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2012

CampusLe magazine des années étudiantes

OrientationLes formations en ingénieur

L’ interview MusiqueOxmo Puccino

Place au bordeauxLA MODE

SociétéLes tendances du marché du travail

www.planetecampus.com

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Encore deux mois de cours et vous pourrez bientôt vous régaler de foie gras, de chapons et de bûches généreusement garnies. Et vous aurez surtout le bon-heur d’ouvrir vos cadeaux de Noël (enfin, si vous avez été sages, bien sûr).En attendant ces réjouissances, Campus Mag vous accompagne pour ce mois de novembre. Au programme, vous saurez tout, tout, tout... sur les écoles d’ingénieurs ! Vous pourrez lire les portraits de trois futurs développeurs mobiles… Si, si, ce sont bien eux que vous avez envie de remercier lorsque vous utilisez l’une des dizaines d’applications de votre smartphone pour tuer le temps dans les transports !

Enfin, ce n’est pas parce que l’on est au cœur de l’au-tomne qu’il faut négliger son look en se cachant sous des pulls tricolores et des doudounes épouvantables.Campus Mag vous conseille pour que vous choisissiez le bon jean et le vernis idéal !Ultra-looké, vous ferez fureur lorsque vous sortirez pour tester l’un des bons plans que l’on vous propose ce mois-ci…

Bonne lecture à tous !

Sommaire

Sommaire

TROTTOIRS GLISSANTS EN NOVEMBRE, FÊTES DE FIN D’ANNÉE EN DÉCEMBRE, DIT LE DICTON.

04 /05KENY ARKANA

10 /11LIVRES

14 /15SOCIÉTÉ

Les tendances du marché du travail.

17 /20BONS PLANS

24JEUX VIDÉO

27MON STAGE

30MON EMPLOIS

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06 /09CINEMA – DVD

12 /13OXMO PUCCINO

16JEUXHOROSCOPE

22 /23MODELe bordeaux.

26BEAUTÉComment se maquiller les yeux.

28 /29FORMATIONSDevenir ingénieur.

20 RUE Voltaire 93100 Montreuil / Tél. 01 41 63 29 80 / redaction@campusmag.fr / Fax. 01 41 63 29 89. Direction de la publication : Johanna Naon. Secrétariat Lydia Faribault l.faribault@campusmag.fr. Ont participé à ce numéro: Kea-Michel Cathelotte, Mélissa Idbazzi, Jonathan Guez, Jonathan Petro, Ovary, Docteur Flou, Sarah Riahi, Ornella Lamberti, Françoise Krief, Marine Bépoix, Favienne Prévot, Grégoria Rubio, Emmanuelle Germain, Arno Bihet. Publicité : publicite@campusmag.fr. Pôle culture : Guillaume Courchay / g.courchay@campusmag.fr. Pôle orientation : Karelle Roussin / karelle@campusmag.fr. Pôle grande consomation : Sabrina Dubois / sabrina@campusmag.fr. Couverture © D.R. Direction Artis-tique & illustrations : www.studio-allez.com Maquette: www.studio-allez.com. Dépot légal à parution. Toute reproduction d’articles, d’annonce, publicités est formellement interdite et engage les contrevenants à des poursuites judiciaires. La rédaction décline toute responsabilité du contenu éditorial des magazines Campus Mag, Campus Mag Culture, Campus Mag Lycée CAMPUS Mag est édité par 2NK MEDIAS, S.A.R.L au capital de 90 000 euros. Gérant: Paul Naon ISSN 12677876

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Création web, multimédia et E-communication

Applications mobiles et domotique

Management et conseil des systèmes d’information

LA GRANDE ÉCOLE PARISIENNED’INFORMATIQUE

Titres certifiés et reconnus par l’État Niveaux 1 et 2

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S’il est difficile de résumer une personne en un seul mot, il est quasiment impossible de le faire pour Keny Arka-na. Capable de disparaître pendant des mois, d’être en virée à Rome alors qu’on l’attend dans une radio, Keny ne suit qu’une règle : la sienne. Et si jamais on s’aventu-rait à trouver un mot, ce serait peut-être : insaisissable…

PAR GREGORY CUROTLIBERTAD

Keny Arkana

Retour au studioLe studio attendra. Keny n’est pas pressée. Il faut parfois la pousser pour y aller. Mais la Marseillaise est bloquée. Elle sait qu’on l’attend et elle se prend la tête sur tout : une note, un mot, une virgule. « J’ai une conception très per-sonnelle de ce que doit apporter un album : une certaine profondeur des thèmes, une réelle matière à réflexion et à débat. Et ce, au-delà de toute considération artistique. Cette exigence-là ne facilite pas les choses, le processus créatif n’est pas très fluide. Je devais donc retrouver de la spontanéité pour continuer à avancer. » Elle a besoin de « casser les carcans » et de reprendre du plaisir. Avant le disque, elle lance donc le street-album « L’esquisse 2 » dans lequel elle rappe pour rapper, sans chercher à plaire. C’est le déclic. « J’avais besoin de faire du rap pour effacer cette impression tenace de stand-by. » C’est de cette façon qu’elle s’attèle finalement à « Tout tourne autour du soleil », l’album attendu pour le 3 décembre prochain. Le premier extrait, « Vie d’artiste », synthétise parfaitement ses dernières années : « Rien à foutre de la vie d’artiste… […] Oui, j’ai osé dire non. […] J’ai fui la musique, non je ne suis pas un produit. » Un thème si prenant qu’elle y revient dans le morceau « J’ai osé » :

« J’ai osé regarder mes torts, oui j’ai traversé des déserts, j’ai osé défier l’époque et j’ai osé croire en mes rêves quand tous veulent me faire entrer dans les normes… J’ai prôné l’insoumission… »

Ces quelques lyrics résument presque la personnalité d’une artiste définitivement hors normes… Le reste du disque est à l’avenant, appelant l’homme à réfléchir à son rapport au monde suivant l’exemple des révolutions arabes, à aller plus loin que ce qu’on veut bien lui mettre sous le nez. Il y a aussi beaucoup d’elle, son mysticisme, ses déchirements intérieurs. Au détour d’une rime, d’un titre, d’un son, on croit tenir un bout de sa personnalité, en vain. Keny Arkana est insaisissable. C’est une femme libre et indépendante, une artiste en lutte qui ne respecte aucun schéma de l’industrie. Une posture rare pour un artiste, un exemple pour la plupart d’entre nous…

DisparitionKeny Arkana ne fait pas de concert, juste histoire de « faire le taf ». Pour elle, c’est surtout un moyen d’échanges, « une expérience de vie, une expérience humaine très forte ». C’est de cette façon qu’elle conçoit la vie. Chaque événement ne peut qu’apporter quelque chose. C’est pour cela qu’après deux ans sur les routes, elle décide de poser son mic. « Je vais tailler la route pendant au moins six mois, en Amérique du Sud et peut-être ailleurs, reprendre la galère et regoûter à la liberté », explique-t-elle à l’époque.

« Il faut que je vagabonde, que je reprenne une vraie vie en partant à l’aventure. »

Surtout que la tournée lui a inspiré un EP, « Désobéissance », quelque chose de personnel, de mystique qui montre que Keny Arkana n’est pas qu’une artiste engagée. C’est aussi un être humain qui réfléchit à sa place sur terre. C’est ce mode de pensée qui explique qu’on ne la retrouvera que… trois ans plus tard. Entre-temps, rien. A l’heure où les rappeurs balancent un titre par semaine, elle disparaît des radars. « Après ‘Désobéissance’, j’ai éprouvé le besoin de me recentrer, de prendre vraiment mes distances avec l’image de l’artiste, de la militante etc. Le fait de s’appeler Keny Arkana, d’être perçue comme rappeuse et de n’être considérée qu’à travers ce prisme peut devenir sacrément oppres-sant. Je suis une personne à part entière, pas seulement quelqu’un avec un micro. J’ai la tête dans le guidon depuis que je suis petite, je n’ai jamais plus de trois mois sans écrire, être en studio ou en concert. J’étais essoufflée, il fallait que je retrouve mon spirit. »

KENY ARKANA

Keny Arkana

Pas de doute, Keny Arkana n’est vraiment pas une artiste comme les autres. C’est peu dire qu’elle détonne dans l’univers du rap français… Car, au contraire de la plupart de ses homologues mas-culins, elle ne court ni après l’argent, ni après la gloire, ni après la médiatisation. Voilà pour-quoi il a fallu attendre si longtemps pour que la rappeuse marseillaise débarque avec son deuxième album. Attention, il y a eu, entre-temps, des projets « annexes », mais rien qui ressemble vraiment à un album. Si sa carrière commence en 1996 au sein du groupe Etat Major, c’est en 2006 qu’elle débute véritablement en solo, avec « Ciment et belle étoile ». Pour un artiste, c’est un passage très important. Un succès et c’est peut-être la voie royale. Un échec et c’est presque déjà la fin. C’est exactement ce moment qui permet de comprendre la person-nalité de Keny Arkana.

2006, l’album est dans les bacs. 2007, Keny devait cartonner les

scènes et essayer de séduire les mé-dias. Elle, annule tout. Purement et

simplement, même si elle « consciente de [se] tirer une balle dans le pied ».

Pour elle, l’important est ailleurs, dans l’année qu’elle passe sur les routes à par-

ticiper à des « assemblées populaires », des réunions citoyennes pour parler de la crise

qui, déjà, secoue la France. Pour son disque, elle avoue n’avoir « aucune attente », faisant

les choses « pour le plaisir de les faire, sans en attendre de résultat ». Tout juste sait-elle que « l’al-

bum est sincère et peut se répercuter chez les gens ». A eux, alors, de « porter la musique ». Contre toute

attente, ça marche. Keny ne fanfaronne pas. Elle est juste satisfaite : « En 2008, ça a pris une vraie ampleur

et ça m’a confortée dans ma philosophie de vie ». Du coup, elle est prête à monter sur scène. Pas pour surfer sur

le succès, mais parce que sa musique parle au public. Alors, elle va aller à sa rencontre. Deux ans de concerts plus tard,

elle a sillonné la France, l’Europe et une partie du monde.

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avantbob dylan,

il y avaitvioleta parra,

mère de la folklatino-américaine

un film deandrés wood

tiré du livre d’Angel Parra“Violeta Parra, ma mère ”

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AU CINÉMA LE 28 NOVEMBRE

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Cinéma

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007, que l’on croyait mort depuis des mois, réapparaît pour aider M dans le cadre d’une enquête in-terne que Silva, mystérieuse figure du passé, tente de détruire avec tout ce qui compte pour elle. Entre

retournements de situation et clins d’œil (50ème anni-versaire de la saga oblige), action rondement menée (et compréhensible : fini la caméra parkinsonienne façon « Jason Bourne » des derniers films), plans su-blimes (Sam Mendes à la réalisation oblige), et scé-nario intelligent, « Skyfall » est de très loin le meilleur James Bond avec Daniel Craig, et l’un des meilleurs James Bond tout court !De Sam Mendes / Avec Daniel Craig, Javier Bardem, Ralph Fiennes, Judi Dench, Naomie Harris, Ben Whishaw…

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1.SORTIES CINÉMA

Skyfall en salle

Les cinq légendes (3D)Sortie le 28 novembreLe Père Noël, le Lapin de Pâques, le Marchand

de Sable et la Fée des Dents doivent convaincre Jack Frost de se joindre à eux pour combattre Pitch, le Croque-mitaine. Adaptation très réussie de la série de livres, toujours en cours, de William Joyce, ce film contient tout ce qu’il faut pour en faire un succès mé-rité : humour, émotion, action, une histoire passionnante et visuelle-ment magnifique. Et pensez à rester pendant le générique de fin !Le + Campus : William Joyce a participé à de nombreux succès animés comme « Toy Story », « 1001 Pattes » et « Robots ».De Peter Ramsey / Avec (voix) Chris Pine/Gaspard Ulliel, Isla Fisher/Nolwenn Leroy, Alec Baldwin, Hugh Jackman, Jude Law…

Novembre 1979. L’ambassade amé-ricaine de Téhéran est envahie et le personnel pris en otage. Six Américains réussissent à se réfugier avec l’ambassa-deur canadien. Pour les exfiltrer, la CIA concocte un plan incroyable : les faire

passer pour des Canadiens tournant un « sous-Star Wars » ! Incroyables mais vrais, ces évènements, parfaitement mis en images par Affleck – qui poursuit son sans-faute en tant que réalisateur après « Gone Baby Gone » et « The Town » – sont véridiques. Ce film magistral (tant devant que derrière la caméra) mérite amplement les rumeurs persistantes de nombreuses nominations aux Oscars qu’il suscite.De Ben Affleck / Avec Ben Affleck, Bryan Cranston, John Goodman, Alan Arkin…

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« Chasing Mavericks » narre l’histoire vraie du sur-feur Jay Moriarity, devenu une légende du surf à seulement 16 ans. Fasciné par les Mavericks, vagues légendaires aussi specta-culaires que mortelles de la Californie du Nord, il repoussera ses limites dans l’espoir de les surfer, avec l’aide de Frosty Hesson, son mentor/père de subs-

titution. Spectaculaire et émouvant, avec des acteurs faisant la plupart de leurs cascades, « Chasing Mave-ricks » est la nouvelle référence du film de surf !Le + Campus : Gerard Butler a failli se tuer lors d’une cascade en mer, piégé plusieurs minutes au fond de l’eau par une énorme vague.De Michael Apted et Curtis Hanson Avec Gerard Butler, Jonny Weston, Elisabeth Shue…

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SORTIES DVD

De Jacques Audiard Avec Marion Cotillard, Matthias Schoenaerts, Bouli Lanners…

Elle est belle mais au fond du trou, il est fort mais sans émotions. Ces deux destins brisés vont s’entraider, sans compassion ni illusions. Un film brut, vrai, dur mais tou-chant, qui a été présenté au Festival de Cannes en 2012.

Double DVD UGC. Bonus DVD 1 : commentaires audio de Jacques Audiard et de Thomas Bidegain. Bonus DVD 2 : making of, scènes coupées, module sur les effets spéciaux.

De Ken Scott Avec Patrick Huard, Julie Le Breton et Antoine Bertrand…Un « adolescent » de 42 ans est rappelé par sa banque de sperme : 533 de ses enfants veulent connaître son identité… Film canadien hilarant, ce « Star-buck » est un remède anti-hiver : drôle, intelligent et touchant ! Prix Spécial du Jury au Festival de l’Alpe d’Huez.DVD TF1/Diaphana. Bonus : bande annonce, making of, quiz « Expressions québécoises », bêtisier…

De Rouille et d’Os édition collector

Document publicitaire édité en septembre 2012 par le GIE AFER - Groupement d’intérêt économique régi par les articles L. 251-1 à L. 251-23 du Code de commerce – 325 590 925 RCS Paris – constitué entre l’association Afer et les sociétés d’assurance Aviva Vie et Aviva Epargne Retraite – 36 rue de Châteaudun – 75009 Paris

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ZOOM SUR :

29ème Festival International du Film de Montagne d’AutransDu 5 au 9 décembre 2012

Manny et ses amis, séparés d’Ellie et sa fille suite à une dérive des continents causée par Scratt, tentent de retrouver leur chemin alors qu’ils errent sur l’océan, à bord d’un iceberg.Toujours aussi drôle, ce 4ème opus de la saga fait passer un très bon moment.De Steve Martino et Michael ThurmeierAvec (voix) Gérard Lanvin, Vincent Cassel, Elie Semoun, Armelle Gallaud…DVD / Combo DVD-BR / Combo DVD-BR3D-BR2D FPE. Bonus : scènes coupées, documentaires, jeux, chansons (seulement des chansons et un documentaire pour le DVD !)

Autrans, station hivernale proche de Grenoble est, comme chaque année, le théâtre de l’un des plus importants et respectés festivals de films de montagne et d’aventure au monde.Pour sa 29ème édition, longs et courts métrages, documen-taires et fictions, inédits et avant-premières, rencontres et débats, dégustations de produits locaux et évènements sportifs, et le désormais fameux Festival Off des Bobines de l’Extrême, feront d’Autrans, une fois de plus, le point culminant du moment.Renseignements : www.festival-autrans.com

L’AGE DE GLACE 4 La Dérive des continents

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Starbuck(comédie)

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Trois questions aux réalisateursCampus : Les films « L’Age de glace » ont une forte thématique familiale…Steve Marino : Qui a beaucoup évolué au cours de la série. Vous commencez avec la connexion entre ce groupe hétéroclite d’individus qui finissent par former une famille, puis dans le second film où Ellie se lie à Manny, cela se formalise. Et dans le troisième épisode, on a l’arrivée d’un bébé… Pour nous, il était important que « L’Age de glace 4 » expose les différences entre être membre d’une famille et appartenir à un groupe comme un gang ou un équipage de pirates.Michael Thurmeier : C’était un thème important pour nous, mettre en avant les différences entre les gens qui vous aiment et ceux qui le prétendent mais ne pensent qu’à eux en réalité.Steve Marino : Notre famille est prête à couvrir les siens, à se dresser et à prendre des risques pour les sauver.

CM : Comprenez-vous la fascination des gens pour les bonus et les making of sur les Blu-Ray et DVD ?MT : Oh, que oui ! On en fait partie ! J’adore tous ces bonus. L’autre jour, j’ai regardé à nouveau « Super 8 » juste pour le commentaire audio de J.J. Abrams (ndlr : le réalisateur).SM : Moi, c’est le premier Alien, en Blu-Ray. Le travail de Ridley Scott me fascine, surtout maintenant qu’il a fait « Prometheus ». Regarder le DVD et apprendre comment a été conçu ce premier film de la saga, surtout qu’il ne s’agissait que de son second long métrage, était passionnant.MT : J’adore savoir comment certaines décisions furent prises, en quoi cela a changé le film. Par exemple, pour « L’Age de glace 4 », dans la première version du scénario, Captain Gutt était le lapin. L’idée était qu’il serait une espèce de figure napoléonienne à la poursuite de Manny. Mais on s’est finalement dit : « Ce petit lapin ne représente aucun danger pour cet énorme mammouth capable de l’écrabouiller en une seconde ». Du coup, la question est devenue : « Qui va être notre méchant ? ».

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Sa Majesté des Mouches

Loin du rêve américain, c’est le visage sombre de l’Amérique que Tristan Egolf a choisi de décrire avec talent, dénonçant tour à tour le racisme am-biant, l’homophobie, la misogynie et le puritanisme d’une société vivant dans la bêtise et la haine. Indéniablement talentueux, Tristan Egolf a la plume acerbe et raconte sans pudeur l’histoire de John, un jeune homme marginalisé par la société et à qui la vie ne fera aucun cadeau. Cependant, John n’est qu’un prétexte pour dénoncer l’inhumanité de cette Amérique qui n’hésite pas à écraser les plus faibles tout en baignant dans le natio-nalisme, l’intégrisme religieux et le racisme. C’est une invitation à réfléchir sur le mode de fonctionnement des sociétés modernes qui laissent souvent plusieurs personnes sur le carreau sans jamais les intégrer !Folio/Gallimard

JINBE EVOLUTIONApprenti samouraï, Jinbe intègre la prestigieuse agence shôgunale chargée de débarrasser la ville d’Edo des insectes qui commencent à l’infester – des insectes d’un genre nouveau : titanesques, agressifs et meurtriers ! Mais heureusement pour le jeune guerrier, les impressionnants pouvoirs de ses nouveaux coé-quipiers vont lui permettre de développer les siens... s’il ne se fait pas tuer avant !

de Hiroshi Fukuda, éditions Delcourt, 6,99 euros.

Au milieu des années 50, un avion transportant des écoliers s’écrase. Aucun adulte ne survit et les enfants ayant échappé au drame devront organiser leur survie. C’est l’intrigue proposée par William Golding dans un roman fort, glaçant et qui est surtout une véritable critique de la civilisation occidentale. A travers l’histoire de ces enfants, les jeux du pouvoir sont subtilement abordés et l’auteur décrit avec brio comment l’état de nature prend rapidement le dessus sur l’état de culture. L’instinct de survie est plus fort que tout et l’innocence peut facilement céder la place à la cruauté. Une réflexion originale sur l’innocence, les limites de la civilisation et les jeux souvent cruels du pouvoir, qui ne vous laissera certainement pas indifférent. Folio/Gallimard

LE SEIGNEUR DES PORCHERIES

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KAAMELOTT (Tome 5) : Le serpent géant du lac de l’ombreAfin de mettre sur papier l’excellente série comique télévisée Kaamelott, le grand « manie-tout » et non moins gé-nial Alexandre Astier a demandé de l’aide à Steven Dupré pour les des-sins. Les deux compères signent le cinquième tome d’une saga qui fait office de référence dans le domaine depuis des années. En attendant le cinéma dans les mois qui viennent…

D’Alexandre Astier et Steven Dupré, chez Casterman, 12,50 euros.

CHRONIQUES B.D

Super ConnardAprès la télévision et la scène, les deux acolytes du Service Après Vente des Emissions s’attaquent au 9ème art, avec une bande dessinée dont les dessins sont d’Al Covial. L’ouvrage est consa-cré à l’un des personnages récurrents de Fred : Super Connard. Vous savez, celui qui se met juste à côté de vous au cinéma alors qu’il y a plein de places libres, ou celui qui ne rend jamais ce qu’on lui prête et qui ne sait plus à qui est quoi tellement son appartement re-gorge d’objets divers. Super Connard, ah oui, c’est lui !

.D’Al Covial, Omar et Fred, chez Delcourt, 10,50 euros.

Livres Livres

PAR JONATHAN PRETRO

Lancelot (Tome 2): IweretNul n’est prophète en son pays. Dans la légende arthurienne et notamment dans l’histoire des che-valiers de la Table ronde, Arthur occupe une place de choix, même si à plusieurs reprises Lancelot du Lac lui vole la vedette. Ce deuxième volet relate l’avè-nement de celui qui deviendra le plus mystérieux des chevaliers en quête du Graal, appelé aussi « Le Chevalier errant ». Le récit est cap-tivant. En garde !

Collectif, chez Soleil Productions, 13,50 euros.

TRANS ESPÈCES APOCALYPSEComment dire ? Cette œuvre, c’est comme La Planète des singes de Pierre Boulle, vous voyez, mais avec… des porcs. Oui, c’est exactement ça ! Des cochons de tous genres qui en ont marre de se faire massacrer dans les abattoirs, qui finissent par prendre le pouvoir sur Terre (ou presque) et qui parlent notre langue ! Seule l’ima-gination loufoque de Martes Bathori (Utopia porcina, L’Ile du Doktor More O.) pouvait donner ce résultat, et c’est pour ça qu’on l’aime !

De Martes Bathori, chez Les Requins Marteaux, 22 euros.

Gamaran de Yôsuke NakamaruÀ l’ère Edo, Unabara est une région réputée pour être l’antre des combattants les plus belliqueux ; elle est surnommée le « Nid aux Démons ». Ainsi, une impitoyable compétition y est organisée : cha-cun des 31 fils du Seigneur du pays devra présenter lors de ladite compétition un maître d’arts martiaux. C’est ainsi que Naoyoshi, le 28ème fils du Seigneur, fait la rencontre de Gama qui n’a que 14 ans mais qui est déjà le digne représentant de l’école Ôgame. Seul, il va affronter les plus puissants combattants. Que le combat commence !éditions Kana, 7,60 euros.

William GOLDING

de Tristan EGOLF

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Très vite, j’ai été confronté à un problème de cohérence entre la musique et le texte. J’ai donc com-mencé à faire marche arrière, à chercher la musique qui va avec le texte déjà écrit ou la musique qui correspond à un concept. C’est pour cette raison que mes albums ont été de plus en plus homogènes avec le temps car je ne me laissais aucune liberté. Avant, je cherchais parmi des centaines de compositeurs, de producteurs, mais en rencontrant des musiciens, j’ai vu que c’était plus simple d’aller chercher ma propre musique pour qu’elle cor-responde à ce que j’avais en tête. Je perdais moins de temps, c’était plus passionnant et je pense que c’est ce voyage inverse qui fait que les musiques sont plus précises et plus recherchées. Sans oublier l’aide des gens qui m’entourent.

TON INTIMITEC.M : On sent que cet album est plus personnel. Est-ce la maturité qui te pousse à parler de sujets qui te concernent plus directe-ment ?O.P : Il y a ce qu’on veut expri-mer et la manière de l’exprimer. Souvent, le manque de rapport entre les deux provoque des troubles. En ce qui me concerne, je peux mettre du temps avant de savoir si je peux attaquer un sujet, donc je le laisse mûrir. Je note, je note… jusqu’à ce que j’obtienne assez de matière pour aborder la thématique avec la précision et l’angle que je veux. Disons que sur « L’arme de paix », c’était des sujets plutôt philosophiques traités en globalité qui parlaient à un ensemble, tandis que « Roi sans

Carrosse », c’est du direct. C’est du « tu », du « je », c’est entre toi et moi. Quelquefois, pendant la discussion, je dresse un miroir aux auditeurs, plus que sur les autres albums. Avant, je dépei-gnais les situations du monde et aujourd’hui j’implique l’auditeur dans ces situations : je te donne mon avis, je me compare, je te mets devant le fait accompli. Sur certains morceaux, ce sont des passages de ma vie personnelle, mélangés à ceux de proches. Se rendre compte que la situation que l’on traverse correspond à celle d’une génération est la conséquence d’un phénomène so-ciologique. C’est ce que j’essaie d’aborder à travers une théma-tique, parfois de manière ano-dine en traduisant cette matière qu’est la vie de tous les jours.

Pour la sortie de son 6ème album, Oxmo Puccino renouvèle l’exploit des précédents titres avec des sonorités aux antipodes du rap classique. Son style original, technique et fondamentalement hip-hop est mis à profit plus que jamais dans cet opus livré en toute sincérité. « L’acrobate du beat qui marche au classique » revient avec « Roi sans carrosse », insufflant ainsi un nouveau vent frais grâce à une pléiade de talents qui répondent toujours présent. L’artiste reçoit Campus Mag sans sceptre ni couronne, rappelant qu’un Roi n’a pas besoin d’ornement pour briller.

NotoriOus Big Campus Mag : Lorsque tu as commencé, on t’a souvent com-paré à Notorious Big. Pour toi, c’était un compliment ?Oxmo Puccino : J’ai pris ça pour un compliment à chaque fois. Ça ne pouvait être qu’un compli-ment. C’est sûr, il y a un rapport morphologique mais au-delà de ça je me suis inspiré de lui dans sa manière de raconter les his-toires. C’est lui qui m’a le plus frappé par son écriture humoris-tique, cynique, réaliste, par son flow nonchalant, sa voix un peu caverneuse… Et puis, c’est parti peu à peu depuis qu’il est décédé puisque les nouvelles générations vont de moins en moins prendre connaissance de l’envergure de l’artiste. Mais sa trace est là.

TON PHYSIQUEC.M : Le physique compte beau-coup dans le milieu de la musique mais moins dans le rap, non ? O.P : Justement, c’est ce qui est drôle car le rap est aux antipodes de la beauté : les dents en or, les chaînes de vélo, de vilains chapeaux… On atteint d’ailleurs le summum avec le Wu Tang Clan qui a lancé la mode du « moche » : dents en or en haut et en bas, coupes pas finies, vête-ments pas toujours propres, des

Timberland usées… Le style est devenu un peu grunge, un peu punk. J’ai trouvé que c’était l’apo-gée du style : « l’anti-beau ».

TON ECRITUREC.M : Aujourd’hui, tu es reconnu pour tes créations originales. Comment écris-tu une chanson ? O.P : Plus ça va, moins je me sou-viens du moment où j’ai écrit une chanson, sauf si je l’ai écrite en une fois et dans un cadre précis. Sinon, avant d’écrire une chan-son, je mûris beaucoup l’idée et je prends tellement de notes que tout se passe d’un coup lorsque je trouve la musique ou quand je suis inspiré ou quand le moment s’y prête. Pour moi, écrire une chan-son est un processus extrêmement long qui s’accompagne d’une grande réflexion. C’est pourquoi je ne peux pas parler du temps que je mets à écrire. Je peux très bien en écrire une en dix minutes, y réfléchir pendant des mois, puis l’écrire en une heure. Donc, il n’y a pas de temps défini, c’est plu-tôt le résultat d’un travail constant avec des arrêts marqués par les chansons.

C.M : Justement, quand tu com-poses, c’est d’abord une histoire qui devient une chanson ou une chanson qui devient une histoire ?

O.P : C’est toujours une histoire. Toujours. L’inverse arrive quelque-fois mais ça se rapporte toujours à ce qui a existé. On a beau être unique, on n’est pas les seuls sur Terre à vivre ce que l’on vit. Cela part toujours de la réalité, qui est plus forte que la chanson. C’est même le but : rendre cette réalité plus forte qu’elle ne l’est lorsqu’on la transcrit en chanson.

TES TEXTES C.M : Au fur et à mesure de tes albums, la complexité de la mu-sique se fait sentir alors qu’elle est souvent négligée dans le rap clas-sique. D’où te vient cet intérêt ?O.P : Ce qui a toujours été le plus important dans le rap, c’est le rappeur et ses propos. La mu-sique se suffisait d’un rythme et d’une basse pour faire une chan-son. Pour ma part, j’ai toujours cherché la mélodie depuis mes débuts. Quand j’ai commencé à écouter du rap, j’ai été attiré par les mélodies autant que par le flow, et plus tard est venu le texte car je ne comprenais pas l’an-glais. Donc quand j’ai commen-cé, je me suis plus tourné vers la mélodie que vers le rythme. Dans le rap, on a toujours écrit sur une musique. De mon côté, je me suis retrouvé peu à peu à écrire les textes avant la musique.

PAR MELISSA IDBAZZI

OXMO PUCCINO

Musique Musique

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Un Roi sans carrosse ?

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Les secteurs

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Comment chercher efficacement un premier emploi ? Internet étant devenu un outil indispensable et inévitable, il faut tout d’abord se mettre en avant et en valeur en s’inscrivant sur les jobboards (sites spécialisés dans les offres d’emploi sur le web) en adéqua-tion avec le domaine recherché et compléter son profil de façon détaillée et construite.Pour gagner en visibilité, créer un compte sur les réseaux sociaux tels que Viadeo et LinkedIn et détailler son parcours, sa formation, ses compétences et ce que l’on recherche peut aussi vous permettre d’attirer l’attention. Via les groupes et les hubs présents sur les réseaux sociaux, n’hésitez pas à intervenir, à commenter et à interagir avec des professionnels du recrutement. Les salons pour jeunes diplômés sont aussi un axe de recherche à ne pas négliger. Pour les étudiants de grandes écoles et universités, usez des réseaux d’anciens qui constituent souvent un vivier d’offres. Vous pouvez également intégrer les candidathéques des entreprises ou des groupes qui vous intéressent par les canaux offerts et relayer cet intérêt par une candidature spontanée. Se présenter dans les Agences Pôle emplois, ou dans les agences d’intérim et de recrutement peut s’avérer être une initiative payante. Quoiqu’il en soit, il est nécessaire de passer du temps à la recherche d’opportunités professionnelles. Une démarche pro-active est indis-pensable. Retenez que les recruteurs ne peuvent pas vous trouver si vous n’êtes pas visibles. Un candidat ou une candidate qui se présente pour proposer son offre de collaboration retiendra toujours l’attention.

Quels sont les secteurs porteurs ? Et les secteurs à éviter ?

Quand on fait référence aux secteurs porteurs de cette année 2012, on peut principalement citer, l’aéronautique, l’informatique dédiée aux réseaux de communication et le secteur des banques et des assurances. L’industrie est également un secteur en tension ; on recherche de nombreux ingénieurs et techniciens dans des domaines tels que l’agroalimentaire, l’informatique ainsi que dans les travaux publics. Les entreprises spécialisées en consulting ont elles aussi la cote. Au niveau social, de nombreux postes sont à pourvoir surtout dans les métiers de services à la personne. Au sein de la grande distribu-tion, ainsi que dans l’hôtellerie et la restauration, le turnover est important, il est donc possible également d’y trouver des offres d’emplois. Dans le milieu professionnel, il existe cependant des secteurs à éviter. La métallurgie, et le secteur manufactu-rier en général sont durement touchés par la crise, tout comme ceux de la finance et de l’industrie automobile. Mais si un secteur particulier est affecté par l’environne-ment économique du moment, il peut s’avérer source d’emplois de demain. C’est pourquoi il est important de rester en veille permanente et de surveiller l’activité économique qui influe directement sur le monde professionnel.

PREMIER EMPLOIFlashez ce code avec votre téléphone pour retrouver plus d’infor-mations sur les ten-dances du marché du travail.

LES TENDANCES DU MARCHÉ DU TRAVAILPAR CAMILLE COUTANT

Face à un contexte actuel peu rassurant, Campus a voulu savoir et cerner comment se portait le marché de l’emploi. Pour cela, la rédaction a interrogé des professionnels du recrutement à même de nous dresser un bilan complet de la situation, et de définir pour vous, comment chercher activement et efficacement à rentrer dans le dur monde du travail. Si le constat peut paraître alarmant, il est important de ne pas perdre la face, et d’essayer d’avancer à grand renfort de motivation et de détermination.

A l’évidence, la vie est de plus en plus chère et les jeunes sont parmi les premiers à en pâtir. L’UNEF affirme d’ailleurs dans son enquête annuelle sur le pouvoir d’achat des étudiants que l’augmentation du coût de la vie étudiante pour l’année universitaire 2012-2013 est de 3,7 %, soit presque le double de l’inflation. Or, du fait de la crise, les étudiants sont de moins en moins susceptibles d’être aidés financièrement par leur famille ; 73% d’entre eux, toujours selon les chiffres de l’UNEF, sont donc obligés d’exercer une activité salariée pour boucler leurs fins de mois.Heureusement, les plus démunis peuvent compter sur le système d’attribution de bourses. En 2011/2012, ils étaient 665 100 à bénéfi-cier de bourses, soit environ 37,5% des étudiants.

Pour vous différencierQuelles qualités faut-il avoir pour espérer faire la différence ?Outre les qualités de bases dont doivent faire preuve tous les candi-dats comme la motivation, l’ambi-tion, les compétences et le savoir faire, d’autres éléments peuvent faire la différence tels que le sa-voir être, l’esprit d’analyse, l’esprit critique, l’envie d’apprendre. Il est important de mettre en avant sa pugnacité et la démontrer ; savoir valoriser ses compétences et par-ler de soi sans hésitation. La curio-sité naturelle peut aussi être un élément de différenciation.

Question de société Question de société

Que recherchent les recruteurs chez les jeunes diplômés ? Les recruteurs recherchent des candidats avec de l’ambition ; qu’ils soient autonomes, matures et force de proposition, avec un projet de carrière et des compétences. Cependant, ils re-cherchent avant tout du potentiel, des candidats sur lesquels ils peuvent « investir ». Les recruteurs veulent pouvoir se pro-jeter dans le futur et miser sur un savoir-faire autant que sur un savoir-être. Ils recherchent de la motivation, de l’im-plication, de la persévérance, de l’engagement. Le niveau d’études est un levier mais les qualités personnelles ne sont pas à exclure. De plus, aujourd’hui, il ne suffit plus d’avoir fait une grande école ou un master reconnu, il faut également que le candidat ait la tête bien faite pour pouvoir évoluer au sein de l’entreprise. C’est la raison pour laquelle les Training program sont de plus en plus prisés en interne.

Quelles sont les grandes tendances qui marquent le mar-ché du travail en cette année 2012 ?

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VOIR, SORTIR, ÉCOUTER EN ÎLE DE FRANCEBons plans IDF

SUPERCROSS DE BERCY : LA TRENTIEME !

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JEUX:

CANCER Le Soleil entrera en Scorpion et va à coup sûr booster votre libido, mais également mettre en avant un projet immobilier ou un projet en rapport avec votre habitat.

SCORPION

LION Vous avez un tonus qui vous permet de réussir. L’argent devrait suivre et rentrer dans les caisses. Attention, cela ne veut pas dire qu’il vous faut foncer tête baissée !

TAUREAU Tout va bien, votre corps se sent bien et cela devrait continuer. Vous pouvez faire du sport, vous êtes en pleine forme.

POISSONS Réglez aujourd’ hui les dépenses prévues afin que d’être tranquille à l’avenir. N’empor-tez pas les problèmes professionnels à la maison.

VERSEAU Quelques petits malheurs risquent d’apparaître, alors créez-vous une certaine discipline de vie, en veillant particulièrement à la qualité de votre nourriture et de votre sommeil.

VIERGE Vous serez plus vul-nérable et sujet à une multitude de petits maux qui vous rendront la vie dure. Surveillez les reins, le dos, les articulations et dormez régulièrement pour récupérer.

BÉLIER Avez-vous déjà pensé aux gens qui n’ont pas autant de chance que vous ? Le travail vous semble être sans fin et insurmon-table. Soufflez un peu, le plus gros est bientôt fini !

GÉMEAUX Mars est en dé-saccord avec vos choix, alors atten-tion à ses représailles ! Malgré votre dévouement, votre travail pourrait être mis à mal.

BALANCE Vous avez des ailes ! Vous voici doté d’un grand pouvoir attractif au quotidien. Un enfant devrait vous apporter joie et bonheur.

CAPRICORNE Soyez vigi-lant quand il s’agit de votre couple ou de certaines personnes que vous rencontrez. Un homme averti...

SAGITTAIRE A l’avenir, vous devriez veiller à ne pas être trop dépensier. Vous avez tendance à exagérer. Mettez vos comptes par écrit, cela vous aidera.

Vous êtes colérique, alors attention à votre tension ! Des questions sur votre lieu de vie vont prendre de l’importance.

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Horoscope

Trente éditions de courses démentielles, de freestyle dantesque, de musique, de pom poms girls, de jeux, trente édi-tions que Bercy fait salle comble pendant trois soirées inoubliables ! Pour cet anniversaire les 9, 10 et 11 novembre prochains, le plateau pilotes est de premier choix dans les deux disciplines et les spectateurs, venus des quatre coins de l’Europe, vont encore vivre un moment inoubliable.Si la qualité de cette épreuve de prestige international tient à ses animations, elle est garantie par un choix de pilotes de tout premier ordre. Ainsi, les meilleurs Américains affronteront une équipe de France relevée en Supercross alors qu’en Freestyle les athlètes choisis font tout simplement partie de l’élite mondiale.

Christophe Pourcel sur KTM.Pour son grand retour à Bercy, et alors qu’il a toujours roulé sur Kawasaki, Christophe Pourcel étrennera sa nouvelle KTM. Le plus titré des pilotes de motocross français en activité est également l’un des rares pilotes de l’Hexagone à avoir battu les Américains en Supercross. Des Américains de choc !«King of Bercy» 2009, Justin Brayton est une pointure de la dis-cipline il fait partie des six ou sept pilotes qui peuvent prétendre remporter la couronne royale de cette édition ! Parmi eux, le jeune Eli Tomac, officiel Honda. l’officiel Kawasaki USA Jake Weimer qui a découvert Bercy en 2011. I. Kyle Chishlom, du team Jeff Ward Racing Kawasaki, et William Hahn, qui roule chez Geico Honda, complètent cette redoutable équipe américaine.Ipone FMX Show : que du beau monde.Point d’orgue de chaque soirée, les trois sessions du show freestyle mettent en scène des athlètes qui offrent au public des figures aussi incroyables que spectaculaires.

Allez contempler le coup de tête de Zizou version statue… mais pas que. L’artiste algérien Adel Abdessemed expose ses œuvres à Paris, au Centre Pompidou, du 3 octobre 2012 jusqu’au 7 janvier 2013. Si le « Coup de tête » de l’artiste, cette gigantesque statue qui représente Zinedine Zidane en plein accès de colère face à l’italien Marco Materazzi est très connue, l’exposition « Je suis innocent » mérite elle aussi le détour. Centrée sur la violence du monde, l’œuvre d’Abdessemed fait réfléchir et interpelle. Vous pourrez y voir un Christ sculpté en fil barbelé, une épave de bateau remplie de sacs vides, ou encore une voiture car-bonisée qui évoque les violences urbaines.Jusqu’au 7 janvier au Centre Pompidou. Tarif : à partir de 11 euros.

ADEL ABDESSEMED/ ZIDANE

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NOTRE PLAYLIST

VOIR, SORTIR, ÉCOUTER EN ÎLE DE FRANCE

Opéra de Giacomo PucciniC’est en assistant à une représen-tation à Milan de la pièce de Vic-torien Sardou, « La Tosca », avec Sarah Bernhardt dans le rôle-titre, que Puccini décide de l’adapter musicalement. Il fait appel aux mêmes librettistes que ceux de « La Bohême », Giacosa et Illica, qui se concentrent plus sur le drame amou-reux que sur les épisodes politiques. L’opéra, créé en 1900 à Rome, est un chef-d’œuvre d’une rare inten-sité dramatique et d’une grande richesse musicale. C’est la mise en scène de Werner Schroeter (1994) qui est ici reprise. La direction musi-cale est de Paolo Carignani.Opéra Bastille / Jusqu’au 20 no-vembre / Loc. 08 92 89 90 90 ou www.operadeparis.fr

BON PLAN : Présentez-vous aux caisses une heure avant la représentation de votre choix : des tarifs préférentiels pour des billets de dernière minute sont proposés (selon places dispo-nibles).

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QUAND ON SERA DES GRANDS

VOIR, SORTIR, ÉCOUTER EN ÎLE DE FRANCE

UNITED BUDDY BEARSAnciennes villes ennemies, Paris et Berlin tissent depuis plusieurs décennies de réels liens culturels et amicaux. A l’occasion des 25 années d’amitié entre Paris et Ber-lin, 140 ours massifs, les « United Buddy Bears » seront exposés au pied de la Tour Eiffel. Ces « potes ours » symbolisent, main dans la main, la paix et l’amitié entre les nations : ils envoient un message de tolérance à tous les touristes amusés qui s’amusent à les prendre en photo. Cette initiative est aussi militante : dons et ventes aux enchères de ces œuvres d’art ont permis à l’UNICEF de récolter 1,9 million d’euros. Dans le cadre de cet anniversaire de l’amitié entre Berlin et Paris, des mani-festations culturelles auront lieu dans les deux capitales. Renseignements : www.paris-berlin25.com et www.tandemparisberlin.com Les ours resteront exposés jusqu’au 18 novembre 2012.

Par Ovaryretrouvez Ovary sur son blog www.ovary.fr

On a tous eu un amoureux d’enfance.Qui dégoulinait dans nos journaux intimes, nous donnait de bonnes raisons de l’embrasser et d’en avoir peur à la fois. Parce qu’on a souvent peur de son amoureux d’enfance. Même si on ne se doute pas que les amoureux d’adultes, c’est un peu la même donne et qu’en plus de ça, ça s’enroule dans ta couette et te demande ton âge.Le mien, il était brun, mystérieux, il adorait les beignets aux fleurs d’acacias et je le voyais depuis ma fenêtre. Nos chambres donnaient l’une sur l’autre et on discutait des heures durant. On empêchait le monde de dormir, du moins c’est ce qu’on croyait.Si on avait été fumeurs, on aurait descendu un paquet de clopes par persienne. Si on avait été capables, on se serait dit les choses pour mieux grandir ensemble. Parce que les sentiments acidulés ne préparent pas aux histoires de grandes personnes.On n’empêche pas un petit coeur d’aimer. De Claire Castillon. Bien sûr, on était passé à autre chose, bien sûr. Et finalement, quel message voulais-je bien faire passer dans ce bouquin ? Je t’aime acidulée, je t’aime enfant, je t’aime d’avant mais je ne t’aime pas vraiment. Mais ne m’empêche pas de garder un souvenir de toi plutôt cha-leureux, presque faternel, même si ça fait sale de dire ça, je te vois lecteur. Ou bien ? Et surtout ? Aime, rencontre. Je ne t’empêcherai jamais de vivre l’ailleurs et ailleurs. On n’est jamais prisionnier de nos premiers émois.Dotée de ma plume la moins préparée, j’ai écrit quelques mots à l’intérieur du bouquin. Je lui ai tendu, j’ai fermé les yeux, j’ai murmuré à bientôt.J’ai imaginé l’impact et l’impact à retardement. Les questions qui le submergeraient, les élans, les retours, les allers et les détours. Je l’ai imaginé le lire, le relire, l’apprendre par coeur. Garder auprès de lui ce livre comme un porte-bonheur, un objet précieux, à mettre sous l’oreiller, à feuilleter dans les moments difficiles, les moments les plus creux.Je l’ai imaginé lui parler, le questionner et lui demander de l’aide. Je l’ai vu d’ici, sans moi et avec d’autres, rece-voir des filles chez lui et lancer des regards sur ce bouquin, posé délicatement dans un coin de la bibliothèque. Comme s’il était un clin d’oeil, un souvenir d’enfance, plutôt doux, plutôt plaisant, un ange-gardien, un souvenir qui accompagne, fait grandir et encourage. Bref, un bonne chance pour la suite noyé de symboles dont on ne voudrait jamais se séparer.Et j’ai appris il y a deux jours que le bouquin demeurait tranquillement dans les chiottes de chez ses parents.

RihannaDiamonds

One DayReckoning Song

SkyfallAdele

David Shaw and the BeatInfected

Aluna GeorgeYour Drums

Kanye WestClique ft Big Sean

Miguel Feat Alicia KeysWhere’s the fun in forever

Stand on the worldKeedz

TOSCA

Bons plans IDFBons plans IDF

CENDRILLON ET PEAU D’ÂNE À CHAILLOTCharles Perrault et les frères Grimm inspirent deux grands chorégraphes.

Maguy Marin s’est emparé de Cendrillon et de la musique de Prokofiev en s’interrogeant sur la part d’enfance restée en chacun de nous. Cendrillon et les personnages qui l’entourent deviennent des poupées grandeur nature avec visages masqués. Avec les danseurs de l’Opéra de Lyon Les 29 et 30 novembre à 20h30, le 1er décembre à 17h.

Peau d’âne : Ce célèbre conte n’avait jamais été mis en danse auparavant. Le chorégraphe Emilio Calcagno mélange les esthétiques, mouve-ment, musique originale et vidéo –, et en fait un spectacle très contemporain.Les 8, 9 et 10 novembre à 20h30, le 9 novembre à 14h30.

Loc. 01 53 65 30 00

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400 g de farine / 1 sachet de levure boulangère / 1/2 CC de sel / Crème fraîche épaisse / saumon fumé /fromage râpé

Faire la pâte à pizza:Diluer la levure boulangère avec un peu d’eau tiède. Laisser mousser 5 minutes. Mélanger la fa-rine, le sel et la levure activée. Puis ajouter un peu d’eau tiède afin de former une boule de pâte. Pétrir 10 minutes activement afin de faire rentrer un maxi-mum d’air dans la pâte. Laisser lever 2 heures dans un lieu chaud et sans courants d’air.Préparer la pizza:Étaler la pâte à pizza sur une plaque à pizza (ou une plaque à pâtisserie), disposer dessus une couche de crème épaisse, puis mettre des morceaux de saumon fumé et recouvrir de fromage râpé.Cuire 12/15 minutes à 240°.

MARCHÉS DE NOËLHein, quoi ? Noël déjà ? Non, non, pas exactement, il reste encore un mois ! Mais les marchés de Noël parisiens ouvrent déjà leurs portes, pour commencer dès main-tenant à faire rêver petits et grands. Si la majorité d’entre eux ouvrent en décembre, le marché de la plus belle avenue du monde ouvre lui le 16 novembre, et fera des heures supplémentaires après Noël car il partira des Champs-Elysées le 3 janvier 2013. Alors pourquoi ne pas profiter d’un week-end pour aller flâner et s’émerveiller devant des petits cadeaux artisanaux, et retrouver son âme d’enfant en sentant les odeurs de vin chaud, de gaufres, de houx ? La visite est évidemment gratuite et est, de fait, très prisée. En semaine, le marché est ouvert de 10h à 23h. Le samedi et le vendredi, le marché joue les prolongations jusqu’à minuit.

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INGRÉDIENTS:RECETTE : Pizza au saumon

VOIR, SORTIR, ÉCOUTER EN ÎLE DE FRANCE

REGARDEZ MAIS NE TOUCHEZ PAS !Une comédie de cape et d’épée de Théo-phile Gautier. L’auteur du Capitaine Fra-casse a écrit cette courte pièce en faisant référence au Ruy Blas de Victor Hugo. Ni rejouée ni republiée depuis sa créa-tion, elle révèle le goût du pastiche et de la parodie de l’auteur. Le metteur en scène Jean-Claude Penchenat a conçu un spectacle plein d’humour et de fantaisie. Le Lucernaire, 53 rue Notre-Dame-des-Champs, Paris 6e / Loc. 01 45 44 57 34 / Jusqu’au 18 novembre.

Comédie d’Eugène Labiche et de Marc-Michel.Mise en scène de Giorgio Barberio Corsetti.Le maître absolu de la comédie et du vaudeville nous conduit une fois de plus dans un monde plein de quiproquos et de rebondissements, de jalou-sie amoureuse, d’infidélité et de situations absurdes. Du grand théâtre interprété par la troupe de la Comédie-Française.Théâtre Ephémère de la Comédie-Française, du 31 octobre au 7 janvier / Place Colette, Paris 1er. Loc. www.comedie-francaise.fr

BON PLAN : PLACES À PARTIR DE 5 EUROSUN CHAPEAU DE PAILLE D’ITALIE

BOUGEZ AU SONDE SUPERS DJ !

Les C2C sont quatre DJ français originaires de Nantes qui travaillent ensemble depuis 1998. Vous avez tous forcément entendu le tube « Down the road », qui s’est large-ment fait connaître grâce à une publicité pour un célèbre navigateur Internet qui l’utilise en fond sonore. Le groupe a sorti son pre-mier album, « Tetr4 », en septembre 2012. Le 10 novembre, ce sera pour vous l’occasion d’aller les applaudir à l’Olympia, en achetant des places à par-tir de 29.70 euros : un prix plutôt raisonnable pour aller écouter un groupe de musique créatif et très en vue.La performance live pro-met d’être grandiose. En effet, les Nantais sont les quadruples champions du monde du DMC (Disco Mix Club), une compéti-tion de disc-jockeys. Alors, qu’attendez-vous ? Car eux n’attendent plus que vous !A l’Olympia, 29 bd des Capucines, Paris 9e .

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Pop marketla mode en pop artLa spécialité : les sacs à mains vintage.50 rue Bichat 75010 Paris

Kiliwatchpour avoir la panoplie du boboLa spécialité : des montres uniques.6854 Rue Tiquetonne 75002 Paris

L’AppartementLa déco qu’il vous fautLa spécialité : une décoration unique.99 rue de Rivoli Carrousel du Louvre 75001 Paris

La fausse boutiqueon se croirait à LondresLa spécialité : des jeux de sociétés jamais vus.32 rue Pierre Fontaine 75009 Paris

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C’en est fini du noir pendant l’hiver ! Le noir ne met pas forcément votre teint en valeur, alors essayez le bordeaux, il ira bien aux brunes, aux rousses et aux blondes. La bonne nouvelle, c’est qu’il se porte de la tête aux pieds. Mais pas partout en même temps !

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PAR SARAH RIAHI

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Les stars du basket reviennent sur vos consoles avec ce nouvel opus de la série de référence en la matière : « NBA 2K ». Cette version ravira les fans avec des nou-veautés plaçant le niveau bien au-dessus de l’excellente version « NBA 2K12 ». Le nouveau système de dribble immerge complètement le joueur dans des « 1 contre 1 » au sommet, une amélioration perturbante au début mais qui s’avère être un régal une fois qu’on la maîtrise. L’ensemble des animations, l’ambiance sur le terrain et les notes d’ambiance apportées par le producteur exé-cutif du jeu, j’ai nommé Jay-Z, transforment votre salon en immense stade de basket. Vous retrouverez les stars actuelles du basket mais aussi d’anciennes célébrités qui influencent le gameplay grâce à leur propre style de jeu. Quelques nouveaux modes de jeu intéressants et le nouveau mode « Carrière » viennent allonger la durée de vie. « NBA 2K13 » est aussi réussi que les autres opus de cette franchise et représente un investis-sement sûr, surtout en multijoueur.

XCOM : Enemy Unknown PS3 – PC – Xbox 360Là, on ne rigole plus : les Aliens débarquent sur Terre. Heureusement, une organisation militaire se met sur pied pour nous protéger des terribles envahisseurs. Amateurs de séries B, des « Men in Black », et de jeux tactiques d’escouades survitaminés, ne passez pas votre chemin, « XCOM » est enfin de retour ! Source d’inspiration principale du bijou français « Fray » sorti il y a peu, « XCOM : Enemy Unknown » mixe des éléments de tactique en tour par tour avec des séquences d’action nerveuses. Chaque niveau est une véritable partie d’échec lors de laquelle votre escouade devra arriver à bout de groupes d’Aliens dans des niveaux très intelligemment réfléchis. Gérez chacune de vos actions le plus rapidement pos-sible en coordonnant bien vos membres d’escouades où vous risquerez d’avoir à pleurer leur perte. Le jeu vous propose toute une partie gestion de base très intéressante, en plus des missions de protection. Recrutez vos agents, entraînez-les, gérez vos relations diplomatiques avec les pays faisant appel à vos services, formez vos escouades et partez dans des combats intenses face aux Aliens. Les graphismes sont peut-être un peu faibles, et encore... « XCOM : Enemy Unknown » possède une campagne haletante et conséquente, un gameplay terriblement addictif et une expérience de jeu soigneusement élaborée. Retour gagnant pour la franchise de référence !

PAR DOCTEUR FLOU

Jeux vidéo

PES 13 PS3 – PC – Xbox 360« PES » ne change pas sa recette et continue d’évo-luer sagement sans réussir à passer le cap qui le mettra à nouveau en position de leader du jeu vidéo de football. « PES 2013 » reste toutefois un excel-lent jeu, très efficace. Au niveau des améliorations à noter dans cette version, on saluera principalement le nouveau système de contrôle de balle, qui per-met des échanges bien plus dynamiques et mieux contrôlés. Si, pour vous, jouer au foot entre potes doit rester une partie de fun, alors préférez « PES » pour son côté arcade toujours présent : la balle cir-cule rapidement et le réalisme s’estompe parfois un peu pour laisser place à l’efficacité. On regrettera peut être que l’IA de la défense n’ait pas été particulièrement améliorée, donnant parfois envie de fusiller son écran. « PES 2013 » reste un choix de qualité en tant que jeu vidéo de football.

NBA 2K13PS3 – PC – Xbox 360

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Je m’appelle Steeven, j’ai 25 ans, et je vais vous faire partager cette expérience unique. Un an avant l’obtention de mon Master en expertise informatique, j’ai eu l’opportunité d’effectuer six mois de stage dans les locaux de cette société de ser-vices spécialisée dans les technologies dites mobiles. Grâce à un précédent stage, je possédais déjà quelques connaissances en pro-grammation, mais uniquement sur le système d’exploitation Android (utilisé par exemple par Samsung). Un de mes amis qui était stagiaire à Me Plus My Mobile m’a conseillé de tenter ma chance pour y décro-cher un stage et pouvoir ainsi en apprendre davantage sur le système d’exploitation IOS, utilisé par les technologies Apple.

Après un classique entretien de motivation et des questions sur mon expérience dans le développement mobile, j’ai été confronté à quelques questions générales sur l’informatique et la programmation : rien d’insurmontable, mais il fallait avoir quelques connaissances basiques, nécessaires au bon déroulement des mois de stage. Cette première étape a permis à mon recruteur de voir que je n’étais pas un « imposteur » et que je ne venais pas là pour lui faire perdre son temps : la motivation et le sérieux sont évidemment des atouts clefs pour décrocher un stage dans le développement mobile… et même un stage en général !Il m’a aussi fallu prouver que j’étais rigoureux, une condition sine qua non pour devenir un bon ingé-nieur dans le domaine des technologies mobiles. C’est en effet un domaine dans lequel les marges de manœuvre sont beaucoup plus limitées que dans l’informatique, par exemple.

J’ai alors eu la chance, une fois intégré à l’entreprise, de travailler sur divers projets tels qu’une application mobile destinée aux étudiants de l’Ecole Supérieure de Commerce d’Amiens : grâce à mon travail et à celui de mes collègues, les étudiants pouvaient accéder à des conseils pour leurs examens oraux et écrits, mais aussi à des calendriers d’évènements, depuis leur téléphone ou leur tablette.J’ai aussi réfléchi à des projets de « map », c’est-à-dire de cartographie, ou de récupération des flux vidéo ; des projets très variés, enrichissants, et formateurs !

Ce stage m’a extrêmement motivé : lorsque j’aurai fini mes études, dans trois mois, je souhaite vraiment me lancer dans l’entreprenariat et ouvrir pourquoi pas ma propre société.Et surtout, je ferai ce qu’il faut pour offrir aux utilisateurs de technologies mobiles un réel confort. Avec le développement ultra rapide de ces technologies, une prise en main simplifiée et des applications chaque jour plus performantes sont les objectifs principaux.

MON STAGE CHEZ...PAR FANNY PETOIN

LES FORMATIONS EN INGÉNIEUROrientation

Pour décrocher le stage, j’ai respecté quelques règles simples :

Je suis resté honnête – inutile de raconter des histoires au recruteur qui s’en serait rapidement rendu compte – et humble. Se prendre pour le roi du monde est le meilleur moyen de rester sur le carreau.

Pour avoir un effet réussi voici une sélection de produits pour sublimer votre regard :

Beauté

Comment se maquiller les yeux ?

La méthode:Etape 1 : La base paupièresAppliquez au doigt ou au pin-ceau une base pour fixer l’ombre à paupières et le crayon.

Etape 2 : Le crayon pour les yeuxTracez le long des cils un trait de crayon pour intensifier votre regard. Puis estompez votre trait de crayon de l’extérieur vers l’intérieur de l’œil.

Etape 3 : Le fard à paupièresAppliquez le fard à pau-pières sur l’ensemble de la paupière mobile jusqu’à la nais-sance de l’arcade. Repassez avec l’estompe sous l’œil, sur le crayon, pour envelopper parfai-tement le regard. Enfin, estom-pez au doigt l’ombre située sur la paupière mobile, vers l’ar-cade sourcilière

Etape 4 : Le mascaraPour déposer le mascara, tour-nez légèrement votre brosse de façon à déposer le produit comme une pro, de la base à la pointe des cils.

Se maquiller s’avère parfois un vrai parcours du combattant ! Il y a tous les jours des nouveautés et il n’est pas facile de se faire le tri dans ce qui est tendance et ce qui ne l’est plus. Comment adapter son maquillage des yeux à son look ou à une occasion particulière ?

Trucs de grand-mère :Pour lutter contre les cernes sans produits cosmétiques, mettez deux petites cuil-lères au congélateur pen-dant environ deux minutes. Placez-les ensuite sur vos yeux fatigués.Résultat garanti !Vous pouvez également essayer de verser du lait de-mi-écrémé sur un coton et le poser sur votre œil. Laissez agir environ 15 minutes et se rincer le visage avec de l’eau tiède.

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Je l’ai vite compris : apprendre à développer des applications mobiles, sur por-tables ou tablettes tactiles, ce n’est pas quelque chose que l’on acquiert sur les bancs de l’école. Après un bac scientifique et des études supérieures à EPITECH, l’école de l’innova-tion et de l’expertise informatique, j’ai réalisé un stage de développeur mobile au sein de l’entreprise Me Plus My Mobile.

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LES FORMATIONS EN INGÉNIEUR

Chaque année, des classements des meilleures écoles d’ingénieurs sont publiés. Il n’ont pas une valeur absolue, mais ces classements donnent des indications que l’on aurait tort de négliger. Les écoles les mieux classées, et donc les plus recherchées par les recruteurs, sont connues de tous : l’Ecole Polytechnique, l’Ecole Centrale de Paris, l’Ecole des Mines de Paris, et l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées.Cependant, si les diplômes délivrés par ces écoles sont considérés comme le Graal pour de nombreux étudiants de classes prépara-toires, d’autres formations plus faciles d’accès sont de très bonne qualité. En outre, ces dernières recouvrent des secteurs d’activité dif-férents et sont parfois très pointues et reconnues dans leur domaine.

Les écoles les plus cotées

L’EPITA(Ecole Pour l’Informatique et les Techniques Avancées)

L’école d’Île-de-France, créée en 1984, est régulièrement citée dans le top 5 des meilleures écoles d’ingénieurs pour l’infor-matique. C’est une école post-bac : la prépa est intégrée et le cursus total est de 5 ans, partagé en deux cycles. Il est possible d’y entrer à bac +2, directement en cycle ingénieur.

ESME Sudria(Ecole Spéciale de Mécanique et d’Electricité)

Cette école, créée en 1905 à Pa-ris, forme des ingénieurs dans les domaines du génie électrique, de l’électronique, des télécommuni-cations et de l’informatique. C’est une école post-bac dont le cursus est de 5 ans.

IPSA (Institut Polytechnique des Sciences Avancées)

Créée en 1961, l’IPSA est une école d’ingénieurs spécialisée dans les métiers de l’air et de

l’espace. Elle est présente à Paris et à Toulouse, et est accessible à bac +0, bac +1, bac +2 et bac +3. C’est aujourd’hui la seule école d’ingénieurs française à proposer une formation entière-ment tournée vers l’aéronautique et l’espace, en 5 ans après le bac-calauréat.

ESGI(Ecole Supérieure de Génie Informatique)

Fondée en 1983 à Paris, l’ESGI forme des ingénieurs-informati-ciens en 5 ans. Elle délivre un Ba-chelor informatique à l’issue de 3 ans de formation, et un Master à l’issue de 5 ans de formation. Dès la 3ème année, 7 spécialisations en informatique sont accessibles.

EPF (Ecole Polytechnique Féminine)

L’École Polytechnique Féminine, créée en 1926, a été l’une des premières écoles à former des femmes au métier d’ingénieur en France. Elle est cependant ouverte aux hommes depuis 1994. L’école possède un campus à Sceaux et un autre à Troyes. L’enseignement est dispensé sur 5 ans et se veut

généraliste : il couvre la plupart des domaines de l’ingénierie. La spécialisation se fait à partir de la 4ème année.

ECE Paris (Ecole Centrale Electronique)

L’ECE est une des meilleures écoles d’ingénieurs post-bac. Elle contient un cycle préparatoire et un cycle ingénieur, et est géné-raliste : le nombre de parcours possibles pour les étudiants est très élevé.

EIVP (Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris)

Créée en 1959, l’EIVP est l’unique Grande Ecole qui délivre le diplôme d’ingénieur spécialisé en Génie urbain. Elle dispense un enseignement transversal, scientifique et technique sur tous les aspects de la ville (cadre de vie, infrastructures, réseaux, transports, qualité de l’environ-nement...) et recrute à bac +2. Le cursus d’ingénieur spécialisé en Génie urbain est de 3 ans.

LES ÉCOLES D’INGÉNIEURSLe monde contemporain appartient aux ingénieurs. Ou, du moins, ils en sont un rouage essentiel. Qu’est-ce, exactement, qu’un ingénieur ? Selon la définition de la Commission des Titres d’Ingénieur (CTI) : « Le métier de base de l’ingénieur consiste à poser et résoudre de manière toujours plus performante des problèmes souvent complexes, liés à la conception, à la réalisation et à la mise en œuvre, au sein d’une organisation compétitive, de produits, de systèmes ou de services, éventuellement à leur financement et à leur commercialisation. A ce titre un ingénieur doit posséder un ensemble de savoirs techniques, économiques, sociaux et humains, reposant sur une solide culture scientifique ».

LES FORMATIONS EN INGÉNIEUR

En France, l’accès à la profession d’ingénieur est libre. Néanmoins, il est fortement recommandéde passer par une école d’ingénieurs. En effet, il existe un titre « d’ingénieur diplômé » qui, lui, est régle-menté : pour être autorisé à le revendiquer il faut qu’il ait été délivré par une école habilitée par l’Etat. On estime que ces écoles forment environ 33 000 ingénieurs par an; 722 500 ingénieurs seraient actuelle-ment en activité. Les diplômés de ces écoles connaissent un taux d’emploi très élevé : en 2011, il était de 84.2 %, soit plus que le taux d’emploi des diplômés d’écoles de commerce.

LES QUALITÉS REQUISESPour réussir son école d’in-génieurs, il faut avant tout avoir un penchant pour les matières scientifiques (9 étu-diants ingénieurs sur 10 sont titulaires d’un bac scienti-fique), et ne pas avoir peur des charges de travail consé-quentes.

Comment devient-on ingénieur ?

A quoi ressemble une école d’ingénieurs ?Une école d’ingénieurs pratique la sélection à l’entrée et a un effectif réduit. Les études durent 5 ans au total et débouchent sur un diplôme d’ingénieur, un niveau Master. Ces 5 années d’études comportent généralement un cycle préparatoire de 2 ans, qui est suivi par l’école d’ingénieurs proprement dite sur 3 ans. Il existe deux types d’écoles d’ingénieurs : celles qui recrutent à bac +2 – le cycle préparatoire s’effectue alors dans une classe préparatoire aux Grandes Ecoles – et les écoles post-bac qui possèdent des classes préparatoires intégrées.Les écoles peuvent être publiques ou privées. Elles organisent elles-mêmes leurs formations mais ont toutes pour point commun d’être habilitées par l’Etat.On y étudie principalement les sciences mais aussi la gestion, la communication, le management ainsi que divers autres domaines proposés en options.

Quelques écoles d’ingénieurs

L’ESGI : la Grande École Parisienne d’Informatique de Bac à Bac+5

L’École Supérieure de Génie Informatique (ESGI) est la Grande École parisienne spécialisée en Informatique.Les formations dispensées à l’ESGI peuvent se suivre en initial ou en alternance et s’appuient sur des connaissances scientifiques renforcées, des compétences techniques de pointe et des aptitudes à innover, déve-lopper et diriger des groupes tant au niveau national qu’international. Les étudiants de l’ESGI évoluent ainsi dans les meilleures conditions: 5 laboratoires mise à leur disposition (Réseaux CISCO, développe-ment mobile Apple, Microsoft, etc.), et des équipements informa-tiques de haut niveau.

Pendant les deux premières années du Cycle Bachelor de l’ESGI, les étudiants ont une formation initiale sur les fondamentaux de l’infor-matique. La 3ème année est celle de l’approfondissement et du choix de la spécialisation.Au cours du Cycle Mastère, les étudiants de l’ESGI vont terminer leur formation en approfondissant les acquis des 3 précédentes années et en développant leurs capacités managériales. La 4ème et la 5ème année sont celles de la spécialisation et de la professionnalisation.

OrientationOrientation

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Quoi de plus motivant et exci-tant que d’assister aux étapes de construction et à l’évolution de sa propre entreprise, surtout lorsque l’on est encore étudiant ?Je m’appelle Louis, j’ai 20 ans, et avec mon ami Arthur, nous avons décidé de nous lancer. Je vais vous raconter cette aventure si particulière.Après l’obtention de nos bacs scientifiques, Arthur et moi avons débuté nos études à l’EPITA, l’Ecole de l’intelligence informatique. Inté-ressés par les applications mobiles depuis que nous avons touché nos premiers smartphones, nous avons rapidement dévoré des livres spécia-lisés qui nous ont donné les bases pour comprendre les codes infor-matiques. En vrais autodidactes, nous nous rendions sur des sites communautaires spécialisés dans les questions de programmation tels que developpez.com, siteduzero.com ou encore stackoverflow.com. Ces foires aux questions géantes nous ont donné les clefs nécessaires

pour appréhender le métier de dé-veloppeur mobile.Vous connaissez certainement les mèmes, ces vidéos, phrases ou images qui font le buzz après les réadaptations et partages de multiples internautes ? Eh bien, ce phénomène 100% Internet est à la base de notre jeune entreprise. Alors que nous nous trouvions à l’Université de Berkeley, en Califor-nie, Arthur et moi avons eu l’idée de créer notre société. Nous avons choisi d’y développer une applica-tion disponible sur iPhone et iPad, le Meme Reader. Elle permet à chacun, gratuitement, de toucher du bout du doigt tous les mèmes qui se baladent sur la toile. Avec, pour seul risque, de rapidement devenir addict ! Et c’est au sein de notre jeune société, Appinest, qu’Arthur et moi avons pu développer cette application, entièrement financée par la publicité. Avec environ 7000 téléchargements par jour, le Meme Reader a très bien pris, et nous n’en

doutions pas : l’exploitation des mèmes Internet a un énorme poten-tiel viral. Ce premier emploi, qui va de pair avec la construction d’une entreprise, est une expérience ex-ceptionnelle ! A la fin de nos études, dans trois ans, nous souhaitons dé-velopper encore l’entreprise et enfin commencer à embaucher du per-sonnel. Et pourquoi pas atteindre l’un de nos premiers objectifs : réali-ser une nouvelle application tous les mois et demi.Si nous avons réussi tous les deux, c’est grâce à notre passion. Les étu-diants qui lisent des livres de codage informatique pendant les vacances

d’été sans que cela soit imposé par des professeurs, c’est vrai que c’est plutôt rare… Mais c’est ce qui nous a permis de nous lancer ! Car il faut être honnête : être un élève studieux, c’est un bon début, mais ça ne suffit pas. Il faut avoir des idées plein la tête, des projets, des ambitions ! Et surtout, il est obliga-toire d’aimer travailler. Pour pou-voir créer sa société dans le déve-loppement mobile, des semaines de réflexion, d’élaboration et de mise en œuvre sont nécessaires.Les écoles d’ingénieurs nous ap-prennent à apprendre, mais c’est ensuite à chacun de faire preuve de dynamisme pour réussir et dé-crocher son premier emploi. Dans un milieu comme celui des applica-tions pour technologies mobiles, qui évolue constamment et surtout rapi-dement, il faut être réactif, créatif et précis. Les développeurs se courent souvent après et s’inspirent les uns des autres : nous avons vu naître sur le marché une application qui ressemblait étrangement au Meme Reader deux jours après notre lan-cement ! Pour se maintenir dans le top et assurer sa survie, les déve-loppeurs mobiles indépendants que nous sommes doivent sans cesse aller de l’avant et redoubler de tra-vail. Une expérience éprouvante, mais plus que gratifiante !Alors, oui, être étudiant et tou-cher à l’entreprenariat, c’est pos-sible. Et c’est surtout une aventure unique et rare. Le chemin que nous avons emprunté peut être le vôtre si vous avez cette passion, cette dé-brouillardise et une grande force de travail. Nous avons de la chance : notre métier de développeur mobile est encore neuf, et le meilleur est sans doute encore à venir !

MON PREMIER EMPLOI EN TANT QUE DÉVELOPPEUR MOBILE

« Être étudiant et toucher à l’entreprenariat, c’est possible. »

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