assurance de la qualitÉ en maintenance
DESCRIPTION
ASSURANCE DE LA QUALITÉ EN MAINTENANCE. Gómez Xavier BTS MI. PLAN. DÉFINITION OBJECTIFS LA TOTAL PRODUCTIVE MAINTENANCE (TPM) Preséntation Les “5 zéros” La méthode des “5 S “ Les “6 grosses pertes ” Les “indicateurs” L’ “automaintenance” Le “QQQOCP” Les “4 P ” - PowerPoint PPT PresentationTRANSCRIPT
Gómez Xavier BTS MI
PLAN•DÉFINITION
•OBJECTIFS
•LA TOTAL PRODUCTIVE MAINTENANCE (TPM)
Preséntation
Les “5 zéros”
La méthode des “5 S “
Les “6 grosses pertes ”
Les “indicateurs”
L’ “automaintenance”
Le “QQQOCP”
Les “4 P ”
Les cercles de qualité
•LE DIAGRAMME CAUSES EFFETS ISHIKAWA
• ANALYSE ARBORESCENTE
•DÉFINITIONNorme AFNOR
•La QUALITÉ c’est l’aptitude d’un produit ou d’un service à satisfaire les besoins des utilisateurs
Norme ISO 8402
•La QUALITÉ est l’ensemble des propriétés et caractéristiques d’un produit ou service qui lui confère l’aptitude à satisfaire des besoins exprimés ou implicites.
•Les enjeux de la qualité
La sécurité des personnes et des biens.
Le maintien et le développement des ventes de l’entreprise.
•OBJECTIFS
L a qualité peut être définie comme l’adéquation maximum entre les besoins du client et le produit proposé en matière de coûts, de performances et de délais.
BESOINS
PRODUIT
COÛT DELAI
PERFORMANCE
La qualité se construit tout au long du cycle de vie du produit (service)fourni au client.
Mise au rebut
SAVMaintenance
Process développement
Achat
Production
Contrôle ,essais
Stockage
Mise en service
VenteDistribution
MAINTENANCE
PRODUCTION
NON-QUALITÉ.
•Concept de non-qualité.
La non-qualité est l’écart global constaté entre la qualité visée et la qualité effectivement obtenue.
•Mesure de la non-qualité.
La non qualité regroupe toutes les dépenses qui ne peuvent être directement affectées à la satisfaction du besoin de l’utilisateur.
•Ces dépenses peuvent se classer trois catégories.
Les dépenses relatives à des activités incomplètes ou mal gérées qui crée une insatisfaction.
Les dépenses relatives à des activités qui ne justifient que pour pallier aux insuffisances précédentes.
Les dépenses relatives à des activités super-flues.
•LA TOTAL PRODUCTIVE MAINTENANCE (TPM)
Preséntation
TPM
Crée au Japon en 1971Les japonais ont fait cette expression de “TOTAL”
pour signifier que la totalité du personnel doit être impliquée dans la maintenance de l’atelier
Le but est de réaliser le rendement maximun.
Optimiser la notion de durée de vie totale/coût.
Fait appel aux cercles de qualité pour une meilleure mobilisation.
Tous doivent etre impliqués dans un tel projet.
Les “5 zéros”
La méthode des “5 S “
SEIRI = SEDÉBARASSER
SEITON = RANGER
SEISO = NETTOYER
SEIKETESU = ORDONNER
SHITSUKE = SEDISCIPLINER
Méthode des 5S+1
“QUALITÉ PERSONNELLE”
La recherche de la qualité en tant que forme de vie personnelle, tout ce qui permet de motiver la recherche d’une qualité personnelle et d’acquérir une attitude positive.
Les “6 grosses pertes ”
TEMPS D’ADAPTATION:
Temps de mise en place d’une nouvelle production
TEMPS DE PANNE:
Temps de maintenance corrective
MICRO ARRET:
Bourrage,nettoyage, mise en place d’un produit mal positionné
RALENTISSEMENT:
Ralentissement de la cadence dû à un produit spécial ,une pièce usée
DEFAUTS QUALITE DUS AUX EQUIPEMENTS:
Obtention de produitsinutilisables
DEFAUTS DE DEMARRAGE
Obtention des premiers produits inutilisables
Les “indicateurs”L’entreprise industrielle doit donc disposer d’un système d’indicateurs de production qui permette:
De mesurer la production réelle de produits utilisables(vendables)
De comparer cette production à la capacité réelle des équipements
D’identifier les origines des différences de production en fontion des natures d’amélioration possibles et donc de mesurer l’impact des mesures d’améliorations prises
De suivre l’évolution de ces indicateurs dans le temps
D’associer tous les services de l’usine à ce suivi d’un système unique d’indicateurs
De permettre en aval de mesurer l’impact de la production sur les bénéfices de l’entreprise
De permettre en amont de suivre chaque équipement de l’usine
L'automaintenance désigne la prise en charge des opérations d'entretien courant et de maintenance de premier niveau par les opérateurs et utilisateurs des machines ou équipements eux-mêmes.
L’AUTOMAINTENANCE
MÉTHODE INTERROGATIVE: QUOI? QUI? OÙ? QUAND? COMMENT? ET PORQUOI?
Méthode du:
QUOI ET POURQUOI? :
Nature et justification du défaut
QUI ET POURQUOI?:
Compétences de l’opérateur.
OÙ ET POURQUOI?:
Lieu où ces défauts sont constatés.QUAND ET POURQUOI?:
Moments où les défauts sont constatésCOMMENT ET POURQUOI?:
Mode opératoire mis en oeuvre
Formulaire QQOQCP
Problème :Informateur :Date :
Qui ?est concerné?
Pourquoi ?
Quoi ?de quoi s’agit-il?
Pourquoi ?
Où ?Lieu, service…
Pourquoi ?
Quand ? fréquence,durée
Pourquoi ?
Comment ? manière,moyens
Pourquoi ?
Combien ? délai, Qté, %
Pourquoi ?
Informer :
Les “4 P ”
PRÉVOIR (plan)
Formaliser et écrire les procédures de travail.
PRATIQUER (do)
Dérouler l’action conformément aux procédures
PROUVER (check)
Démontrer que l’action s’est déroulée comme prévue.
PROGRESSER (act)
Corriger l’action en vue d’amélioration
CES CERCLES DE QUALITÉ CRÉENT UNE DYNAMIQUE DE CONCERTATION EFFICACE SUR L’AMÉLIORATION DE LA QUALITÉ.
DIAGRAMME CAUSES ET EFFET.
•PRINCIPE
L’outil de la qualité exploite deux catégories de données:
DONÉE EFFET: qui s’exprime par rapport à une caractéristique de qualité à améliorer et à contrôler.
DONNÉES CAUSES: dispersion sur la qualité
•DIAGRAMME ISHIKAWA
Il représente sur une forme hiérarchisée:
•Familles de causes.
•Sous-familles de causes.
•Causes de rang différent.
causes EFFET
FAMILLE DES CAUSES.
CARACTÉRISTIQUE DE QUALITÉ
CAUSE
SOUS-FAMILLEDE CAUSES
CAUSE
ANALYSE ARBORESCENTE
Permet d’établir les relations entre les différents éléments d’un problème de qualité.
MODE DE DÉFAILLANCE.
CAUSES
CAUSES CAUSES
ORIGINES DES CAUSES