À l’école, la poésie avait la forme des fables, des comptines. au...
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À l’école, la poésie avait la forme des fables, des comptines. Au collège, le
visage de Baudelaire ou Prévert. Puis au lycée, la voix de Ronsard, Rimbaud. Mais
qu’en avez-vous retenu?
Quels célèbres poètes se cachent derrière ces premiers vers?
Commencez le quizz ici
Mignonne, allons voir si la roseQui ce matin avait desclose
Pierre de Ronsard
François Villon
Joacquim du Bellay
Etienne Pasquier
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Un indice
Comme je descendais des Fleuves impassibles,Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
Paul Verlaine
Stéphane Mallarmé
Arthur Rimbaud
Théophile Gautier
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Un indice
Il dit non avec la têtemais il dit oui avec le coeur
Claude Roy
Blaise Cendrars
Robert Desnos
Jacques Prévert
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Un indice
Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipagePrennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Gérard de Nerval
Charles Baudelaire
Victor Hugo
Alfred de Vigny
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Un indice
La terre est bleue comme une orangeJamais une erreur les mots ne mentent pas
Paul Eluard
René Char
Yves Bonnefoy
Paul Claudel
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Un indice
Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
Alfred Jarry
Guillaume Apollinaire
André Breton
Louis Aragon
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Un indice
Le carnaval s’en va, les roses vont éclore ;Sur les flancs des coteaux déjà court le gazon
Victor Hugo
Théophile Gautier
Gérard de Nerval
Alfred de Musset
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Un indice
Il y a plus de fleursPour ma mère, en mon cœur,Que dans tous les vergers ;
Maurice Carême
Robert Desnos
Claude Roy
Jacques Prévert
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Un indice
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Pierre de Ronsard
Etienne Jodelle
Jean-Antoine de Baïf
Joaquim du Bellay
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Vous avez un regard singulier et charmant ;Comme la lune au fond du lac qui la reflète,
Prosper Mérimée
Alfred de Musset
Théophile Gautier
Arthur Rimbaud
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Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boireJ'ai vu tous les soleils y venir se mirer
Tristan Tzara
Louis Aragon
Paul Eluard
André Breton
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Un indice
Souvent sur la montagne, à l’ombre du vieux chêne,Au coucher du soleil, tristement je m’assieds ;
Alphonse de Lamartine
Victor Hugo
Alfred de Vigny
Alfred de Musset
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C'est un trou de verdure où chante une rivièreAccrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil de la montagne fière,Luit : C'est un petit val qui mousse de rayons.
Charles Baudelaire
Paul Verlaine
Arthur Rimbaud
Stéphane Mallarmé
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Il pleure dans mon coeurComme il pleut sur la ville ;Quelle est cette langueurQui pénètre mon coeur ?
Comte de Lautréamont
Tristan Corbière
Paul Valéry
Paul Verlaine
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Un indice
Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
Victor Hugo
Charles Baudelaire
Alphonse de Lamartine
Alfred de Musset
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Venez prochainement flâner dans nos fonds de poésie.
À bientôt .