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Bienvenue dans Business3G

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Bonjour à tous et bienvenue dans cette conférence en « Bienvenue dans Business 3G ». Je sais qu’il y a certain nombre de personnes qui sont dans Business 3G depuis quelques semaines, certains qui viennent juste de revendre le programme mais c’était l’occasion de pouvoir partager un certain nombre de messages avec vous, et puis de vous souhaiter du fond du cœur la bienvenue dans cette magnifique aventure.

J’en profite pour remercier toutes les personnes sans qui Business 3G ne serait pas possible. Bien évidemment, chacun et chacune d’entre vous, parce que pour moi, Business 3G c’est vraiment une équipe, c’est vraiment une grande famille, j’en parlerai. Donc, merci à vous de tout cœur de faire partie de Business 3G. Je remercie aussi tous mes partenaires, tous ceux qui relaient et qui parlent de Business 3G autour d’eux. Merci à vous parce que votre aide est infiniment précieuse. Et puis, merci aussi à toute l’équipe qui travaille sur Business 3G : Céline, Charlotte, Tissem, Jeoff qui avait fait un travail extraordinaire. Toute l’équipe qui permet que tout ça se passe au mieux.

Donc, merci à tous et bienvenue dans Business 3G.

C’est toujours un grand plaisir de pouvoir partager avec vous. C’est vraiment un privilège. On me demande d’augmenter le volume. En fait, le volume est au maximum. Je réessaye d’augmenter encore un peu. Voilà, ça devrait fonctionner. Et comme dit Raphaël : « Bonjour à tous les entredonneurs de cette belle aventure de Business 3G ».

Alors, ce qu’on va faire dans cette conférence c’est que je vais partager avec vous certains éléments qui me tiennent particulièrement à cœur. Déjà, et je ne veux pas être défaitiste mais je vais partager ma vision de l’avenir de notre société et je vais essayer de vous dire comment je vois les choses.

Je vais vous parler des projets SPI et ce qu’il veut dire pour vous. Je vous expliquerai le rôle, le sens que je donne à Business 3G. Je vous expliquerai comment rentabiliser au plus vite votre investissement. Alors j’ai un peu de mal à bien régler le son, parfois pour certains c’est trop fort, pour d’autres ce n’est pas assez, donc j’essaie d’ajuster. Je vous parlerai des guildes, des masterminds au sein de Business 3G. Je vous parlerai du principe d’accompagnement. Je vous parlerai des stratégies méta en particulier sur la collecte massive. J’expliquerai ce que c’est qu’une stratégie méta, si vous ne savez pas déjà, et puis on parlera du programme des prochaines semaines.

Alors, où est-ce qu’on va ?

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Je ne veux démoraliser personne. Mais je crois qu’il y a un moment où il faut juste regarder les choses en face surtout quand on va dans un mur. C’est plus facile pour éviter, d’accord ?

Quand on regarde les faits aujourd'hui, on voit qu’il y a un certain nombre de choses qui sont différentes de ce qui se passait dans le passé. On se retrouve avec des Etats qui sont extrêmement, extrêmement endettés. Donc, ils n’ont plus les moyens de leurs actions. Ils sont pieds et mains liés. Et ça, c’est vrai des pays européens, c’est vrai des Etats-Unis, c’est vrai de la Chine. On se retrouve avec une mondialisation qui est de plus en plus forte, de plus en plus impactante, ce qui fait que ça met en péril un certain nombre de jobs.

La financiarisation dont on a vu les impacts et qu’on n’a pas fini de digérer, je ne sais pas si on pourra être sauvés mais en tout cas on est dans ces challenges.

Et bien évidemment, il y a des problèmes d’écologie, de ressources. Bien évidemment, il y a la pollution mais ce qui me paraît aussi ou peut-être plus grave, c’est le problème d’épuisement des ressources, qu’il s’agisse de l’eau propre, qu’il s’agisse des sources d’énergie comme le pétrole, qu’il s’agisse de certaines terres rares dont dépendent beaucoup de nos technologies.

Donc tout ça, ce n’est pas bien brillant et je crois qu’on le sait. On est un peu au bout d’un système, au bout d’une logique. Et ça, forcément, ça mène à une transformation.

Tout le monde connaisse un peu la tarte à la crème, la crise d’idéogramme chinois qui est à la fois danger et opportunité mais on est dans une transformation, on ne sait pas trop où ça va.

Alors ce que je vois comme futur probable, c’est un peu un scénario qu’on appelle à la japonaise. C'est-à-dire qu’on se retrouve avec une très faible croissance, avec du chômage. Aujourd'hui si je prends le cas de la France, on est assez élevé, on est à des plus hauts historiques et la croissance fait qu’elle est trop faible pour qu’on puisse le résorber. En tout cas, il va continuer à augmenter. Donc ça, ça veut dire que l’Etat va se retrouver de plus en plus pris à la gorge avec toujours un endettement qui est très élevé. Donc, plus de moyens d’avoir recours à des emplois aidés ou de grands travaux qui nous mettaient un peu les stratégies ces derniers temps. Donc, ça veut dire une baisse des prestations sociales.

Malheureusement, on le sait. Les retraites qui, d’une façon ou d’une autre, ce sont des choses qui vont plutôt évoluer dans le mauvais sens. Les impôts, je n’en parle

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même pas. Et ça, ça va amener à des tensions sociales, conflits sociaux, montée des nationalismes et tout ça. On en voit d’ailleurs quelques prémices dans la presse en ce moment avec tous ces sujets.

Alors, je ne pense pas qu’il nous faudrait une bonne guerre, Raphaël, je pense qu’il nous faut une bonne sortie de tout ça. Et encore une fois, je ne veux déprimer personne. Je considère que ça, ce n’est ni bien, ni mal. Comme toute transformation, c’est un fait. Et c’est ce qu’on appelle d’autant plus le « nouveau normal ». C'est-à-dire qu’à force de dire : Ah bien oui, il y a une crise, il y a une crise, il y a une crise et ça fait 20 ans qu’on en parle, finalement c’est peut-être le monde auquel on se prépare et qu’on considère ça comme non pas une aberration mais au contraire comme un fait parce qu’à partir du moment où on est conscient et on reconnaît que c’est un fait, et bien effectivement, comme vous venez de le dire, c’est la fin d’un cycle et ça permet finalement à chacun de devenir responsable, de vivre autrement.

La question c’est : « D’où viendra la solution ? »

D’ailleurs, ce n’est pas la solution, c’est une des solutions. En tout cas, c’est une solution à laquelle je crois. Je ne pense pas que la solution viendra des acteurs habituels c'est-à-dire que les états aujourd'hui n’ont plus les moyens d’agir, on le sait. D’ailleurs, s’ils avaient les moyens d’agir, ils baisseraient peut-être l’argent qu’ils prennent à leurs administrés, quel que soit le pays d’ailleurs. Il ne s’agira pas non plus des grandes entreprises qui, de toute façon, n’ont qu’une envie c’est de se débarrasser des effectifs qu’ils ont en trop. Ça, tout le monde le sait.

Encore une fois, je caricature un peu à l’extrême. Comme toujours, il y a des exceptions à la règle, je donne des grandes lignes. Ok ?

Mais je crois qu’en fait la solution, elle viendra comme vous l’avez dit de notre responsabilité personnelle. Elle viendra des entrepreneurs. Alors, vous connaissez mon « buzz word » comme on dit, mon terme en néologie, « entredonneurs » c’est ceux qui sont des entrepreneurs qui souhaitent à donner, partager autour d’eux, créer de la valeur autour d’eux.

Et je pense qu’une des solutions viendra du fait que chacun d’entre nous se prénomme. Il n’y en a pas des entrepreneurs, des entredonneurs individuels. Et il y a en fait deux axes sur lequel ces entredonneurs vont être capables de créer de la valeur, de l’abondance pour eux et pour les autres.

Pourquoi ?

Parce que c’est beaucoup plus « simple » quand on sait faire que les autres moyens.

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Le premier c’est Internet. Et Business 3G, je crois, en parle largement de ça. Et le deuxième c’est le marketing relationnel.

Ce qui est intéressant, c’est qu’il y a beaucoup de gens qui sont en Business 3G et qui me posaient des questions au sujet de Business 3G et qui étaient, en dehors indépendant dans tel ou tel réseau. Et ce qui est vraiment intéressant, c’est qu’il y a une différence entre le monde américain et le monde francophone, c’est qu’aux Etats-Unis, c’est le rêve de chacun de créer sa propre boîte. Donc Internet, c’est quelque part l’Eldorado, tout le monde a envie de le faire. Le marketing relationnel, il y a d’énormes réseaux qui sont extrêmement puissants et qui apportent beaucoup de produits d’excellente qualité, qui permettent à des gens individuels de créer leur propre entreprise, de faire tout ça. Par contre en France, Internet c’est forcément une arnaque et le marketing relationnel c’est forcément une arnaque. Donc, il y a beaucoup de confusion et d’incompréhension. Alors qu’en fait quand on regarde, on va être obligé d’y aller, non pas pour des raisons aspirationnelles c'est-à-dire je veux être indépendant, je veux créer ma boîte, mais contraint et forcé tout simplement parce que j’ai été viré de mon job, parce que la retraite arrive et j’ai une toute petite retraite, il faut bien que je m’en sorte. Donc on va quelque part être obligé de trouver de nouvelles façons de gagner de l’argent, de subvenir à nos besoins, à ceux de nos enfants, à ceux de nos proches, à ceux qu’on aime. Et ça, il y a des deux leviers qui sont Internet et le marketing relationnel.

Alors Internet, je pense que ça va dans ce groupe. Marketing relationnel, je précise. Il y a beaucoup d’incompréhensions. Dès qu’on entend marketing relationnel, on entend parler de pyramide de Ponzi, on entend parler d'avion, tous ces schémas qui sont de la vente pyramidale et qui sont illégaux. D’accord ?

Entre parenthèses, ça, c’est juste pour le fun, la chaîne de Ponzi, c’est un système où en fait, on paie les gens qui sont dans le système avec ceux qui viennent de rejoindre le système. Et si vous pensez à notre système, en tout cas français de retraite par répartition, c’est vraiment une pyramide de Ponzi où on redonne de l’argent à ceux qui sont dans le système avec ceux qui essaient d’y rentrer. C’est juste une blague, d’accord, mais après, il faut faire attention aux termes qu’on emploie et aux images qu’on donne sur les choses.

Donc, je précise bien : Tout ce qui est pyramidal est interdit en France. Par contre, le marketing relationnel est une vraie opportunité qui se développe de plus en plus.

Donc, la solution viendra des entredonneurs individuels et je pense en grande partie avec Internet et le marketing relationnel. Donc, ça viendra de vous.

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Alors j’adore cette image, c’est le « I want you », je vous veux que vous viviez votre meilleure vie. Et j’aime bien la tête de Chuck Norris, le texas ranger, parce qu’il a une… Je fais juste un petit point à quelqu’un qui dit : « Oui, c’est une erreur de comparer la retraite par répartition avec le système de Madoff. » Je précise, je caricature, je plaisante Loïc. Et d’ailleurs, le système de Madoff n’est pas le seul exemple d’une chaîne de Ponzi. Donc, c’est juste une plaisanterie. D’accord ?

Effectivement, Chuck Norris, j’admire ce personnage. Déjà il y a plein de blagues qu’on ne peut pas contourner, il y a ce côté d’homme intègre avec des super pouvoirs. Et pour moi, l’entrepreneur, l’entredonneur, et bien c’est quelqu’un qui a des super pouvoirs parce qu’il est capable de créer de l’abondance et de la richesse avec rien, avec son intelligence, avec sa capacité à interagir avec les autres, avec sa capacité à partager ce qu’il a. Et je crois vraiment que ce moment que nous vivons dans l’histoire, pour certains, ça va être très difficile parce qu’ils vont continuer à dépendre de gens qui ne peuvent plus les soutenir, un peu comme un enfant qui voudrait dépendre de sa maman alors qu’il a déjà 40 ou 50 ans. Et par contre pour les autres, ils vont se prendre en main et ils vont créer des vies qui leur ressemblent et dans lequel je pense qu’il y aura plus d’abondance et plus d’épanouissement, plus d’enrichissement sur tous les points de vue.

Donc, ça dépend de vous. Et personnellement, mon souhait c’est que vous viviez votre meilleure vie. Et comme tu le dis Annick, c’est la possibilité de devenir soi ou en tout cas de créer qui nous sommes. Et c’est le principe de co-création dont je parle beaucoup à différents niveaux mais pour moi, tout ça est intégré. Et je crois qu’il y a un malentendu surtout en Francophonie. On se dit : Ah lala, l’entreprenariat, ce n’est pas bien. Ah lala, le fait de se créer un deuxième revenu, ce n’est pas bien, il faut être fonctionnaire, il faut être ceci, cela. Je crois qu’aujourd'hui, on est en train de découvrir un peu, contraint et forcé peut-être, on est en train de tirer vers cette réalisation que nous sommes maître de nos vies, maître de notre destin et qu’on peut tout à fait travailler dans une grande entreprise, être fonctionnaire, profiter et contribuer aux états, à la vie sociale, et en même temps, nous inventer nous-mêmes, nous créer nous-mêmes.

Et je crois que cette vision des choses par rapport au côté déprimant : « Ouais, c’est la crise, on va tous mourir », je crois que c’est vraiment à ça que nous sommes appelés ou en tout cas, nous avons le choix. C’est vraiment ça que je veux que vous réalisez, c’est que votre destin est quelque part, vous l’avez en main. Vous l’avez en main et Business 3G, je vais y venir, vous donne ses outils dans les différentes choses. C'est-à-dire qu’aujourd'hui, on va vers des nouveaux besoins, de nouvelles

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évolutions, de nouveaux moyens de travailler, de nouveaux moyens de vous soigner, de nouveaux moyens de vivre, d’être en couple. Donc, on a tout un tas de choses à inventer et ça, ça crée de nouvelles opportunités.

Alors, j’ai un rêve. Vous connaissez tous ce magnifique discours de Martin Luther King. Il a mal fini mais il avait quand même un rêve extraordinaire qui a fait avancer énormément de choses. Et moi, j’ai un rêve. J’ai un rêve qui est peut-être un peu naïf, un peu utopique mais je crois que c’est davantage des rêves que de pouvoir l’être.

Mon rêve c’est que, c’est de vivre dans un monde où chacun peut accéder à la meilleure connaissance pour vivre mieux : la meilleure connaissance pour créer un revenu complémentaire, la meilleure connaissance pour rencontrer l’âme sœur, la meilleure connaissance pour mener une vie de couple épanouie, la meilleure connaissance pour élever ses enfants.

Vous avez aujourd'hui une quantité d’informations dans le monde qui doublent tous les ans à peu près. Et il y a des gens qui sont détenteurs de cette sagesse, de cette connaissance. Vous, je ne vais pas revenir sur le point du P3 et autres, et effectivement, les besoins de l’humanité sont les mêmes depuis des millénaires mais les solutions qu’on a trouvées sont différentes.

Aujourd'hui, on comprend beaucoup mieux par exemple le domaine de la santé. Il y a des façons de soigner ou d’anticiper ou de prévenir en tout cas les maladies qui sont différentes de ce qui pouvait exister il y a 250 ans. Donc ce point-là, cette connaissance, elle est en vous souvent parce que vous avez passé des choses difficiles, vous avez passé des challenges, des défis et vous possédez ça et vous le partagez autour de vous.

Alors après, je parle de connaissance mais ça peut être des objets, ça peut être différentes choses mais c’est toujours cette énergie, c’est toujours cette sagesse qui passe. Et ça, c’est le premier point qui est important pour moi dans ce rêve.

Et le deuxième rêve c’est que les enseignants de la vie, tous ces gens qui partagent cette sagesse sont reconnus, sont respectés. Ils peuvent faire leur travail dans la sérénité et dans l’abondance parce qu’il y a quelque chose qui m’a toujours choqué, et je vais vous raconter cette petite histoire.

J’étais là devant mon ordinateur, je me disais : C’est quand même dingue. On vit dans un monde où tout le monde est en train de râler, d’accord. Rien ne va, on a des problèmes, on a ceci, on a cela. Et en fait, les gens qui contribuent à résoudre ces problèmes sont souvent ceux qui vivent le plus dans la misère, dans la pauvreté, dans

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la difficulté. Avant, vous avez effectivement le chaman, le sage du village qui était reconnu et autre, et aujourd'hui, ceux qui gagnent le plus de sous, ce sont les footballeurs, les financiers, ce genre de choses.

Personnellement, je suis ravi que les gens gagnent bien leur vie sauf que je crois qu’on a la société qu’on mérite. Et aujourd'hui, vous avez quelqu’un qui est thérapeute ou psychologue ou qui est enseignant spiritualité, en méditation, s’il gagne un peu d’argent, tout de suite on dit : « Ah oui, ce n’est pas normal, il devrait faire vœux de pauvreté » et en même temps, vous avez les sportifs qui gagnent des milliards, des millions et on dit : « Ah lala, il devrait être plus payé ». Donc, je crois qu’il y a une aberration. Et je me suis dit : « C’est quand même bizarre, comment est-ce qu’on peut changer tout ça ? Comment est-ce qu’on peut faire quelque chose ? » J’aimerais bien vivre dans un monde différent.

Et en fait, je me suis rendu compte que, comme le dit Gandhi : « il faut être le changement qu’on veut voir dans le monde ». Et donc, je me suis dit : « Allons-y ! »

Si jamais, ça dépendait de moi ou que de moi, ou en partie de moi, qu’est-ce que je ferai ? Et c’est comme ça que j’ai dit : « Ben Ok, allons-y, challenge. Au lieu de râler et de dire que le monde serait mieux si t’es différent, essayons de faire quelque chose. » Et c’est comme ça que Business 3G a commencé à naître et être conçu.

Alors l’incarnation que ça prend, et je vais revenir à Business 3G, je vais vous dire à quoi tout ça ressemble, c’est ce que j’appelle « université de la vie ». Alors c’est un peu pompeux d’accord, université, la vie, il y a plein de façons de le dire, l’école, la sagesse, la connaissance, tout ce qu’on veut mais c’est quelque chose dans lequel je crois. C’est qu’on apprend plein de choses à l’école, le calcul de la racine carrée de 252, mais on n’apprend pas à vivre tout simplement. Le développement personnel, la classe d’une entreprise, les finances personnelles, la parentalité, la spiritualité, le couple, toutes ces choses-là, et bien on ne nous l’apprend pas et on nous laisse, nous, démerder. Donc moralité : on divorce, on a des difficultés avec nos enfants. Tout ça, on ne sait pas, donc c’est l’école de la vie. Souvent c’est l’école des coups, « the school of hard knocks » comme on dit aux Etats-Unis, donc l’école des coups. Je pense qu’il y a de meilleures façons de faire.

Et tous ces éléments-là, je pense qu’ils méritent d’être partagés, d’être connus. Et je crois que nous avons une responsabilité à le faire parce que, imaginez qu’on est cette espèce d’université un peu virtuelle où chacun soit capable de partager ce qu’il a reçu, ses enseignements, les recherches qu’il a faites. Vous prenez quelqu’un qui a vécu un divorce par exemple. Il s’est effondré, il s’est reconstruit. Et bien, cette

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personne effectivement pourra partager, déjà peut-être prévenir les situations en disant voilà, comme tu le dis, Patricia pourra partager en disant : « Ben oui, si vous voyez ces signes-là, c’est que ça va mal, donc prenez les devants ». Et en même temps, elle dit : « Moi, ça m’est arrivé, je m’en suis sorti, voilà les choses qu’il faut faire attention. » Et là, on a un vrai effet de levier sur l’amélioration de la société et sur le fait d’inventer ces nouveaux modes de vie, ces nouvelles façons de fonctionner.

Et quand on le fait, c’est la même chose. C’est ma vision des choses. Pour moi, ça devient un système vivant. Ce n’est pas une université au sens de on a des disciplines très fermées, mais on est capable d’avoir ce… Moi, j’aime bien l’image de la plante mais on pourrait prendre la pierre philosophale, d’accord, ce même principe d’alchimie. Je crois qu’on a toujours les mêmes images mais elles sont déclinées de façons différentes suivant les champs sémantiques, suivant les thématiques.

Avec ce principe d’université, vous prenez une souffrance, votre souffrance, vos difficultés et vous les transformez en bien-être pour les autres. Vous avez des difficultés, et bien ces difficultés nourrissent votre épanouissement, elles peuvent aider les autres à s’épanouir. Vous prenez du manque, vous allez sur l’abondance. Et donc, vous transformez vraiment le plomb en or. C’est le principe vraiment pour moi de l’alchimie. Pour moi, on ne prend pas du vrai plomb en transformant mais ça se passe sans arrêt autour de nous. Et les arbres, ils prennent le gaz carbonique qui est un peu notre déchet pour nous, et le transforme en oxygène qui est bien pour nous.

Mais je crois que chacun d’entre nous peut être un peu un arbre parmi les gens qui l’entourent, parmi les gens qui ont besoin de lui en aidant ceux qui ont besoin de lui à franchir les pas que lui-même a franchi.

Et c’est là que pour moi, ça s’incarne dans un projet qui est très concret, ce que j’appelle « le projet SPI ». Pour moi, l’infopreneuriat, c'est-à-dire que le fait de partager de l’information et puis aussi de certains biens physiques par Internet, ce n’est plus une opportunité. Il y a quelques années, c’est une opportunité, il faut y aller, un peu comme la ruée vers l’or. Je pense que c’est un métier, je pense que c’est une profession. Comme toute profession, ça s’apprend. Et le principe de Business 3G c’est de vous former à ce métier, de vous donner des éléments qui vous permettent d’aller plus vite dans ce métier. Et ma vision, c’est de mettre en place le syndicat professionnel des infopreneurs. C'est-à-dire que je souhaiterais vraiment que l’infopreneuriat soit reconnu non pas comme un truc de types qui sont dans leur garage et qui font du bricolage, mais comme vraiment une profession qui a son droit d’exprimer ses difficultés, ses challenges, ses projets. Donc, ça fait partie de la vision que je suis en train de mettre en place.

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Pour l’instant, on le met en place avec Business 3G. Et puis par contre, j’ai des différents papiers pour mettre en place ce syndicat. « Syndicat », ça fait tout de suite la lutte armée, mais ce n’est pas du tout l’idée, c’est simplement un porte-parole qui s’exprime au nom de la profession. Profession dont pour moi, vous faites partie, dont nous faisons partie.

Alors, pourquoi « SPI» ?

Il y a deux raisons à ça : un, parce que Syndicat Professionnel des Infopreneurs, déjà ça fait SPI. Ok ?

Le SPI c’est une voile qui est… Alors je vais juste parler à quelques points.

Jeannie, sur tes quatre questions a priori j’y ai répondu mais à voir.

Infopreneurs, pourquoi pas infodonneur ? Tout simplement parce que j’ai peur que le terme ne soit pas compris. Et c’est pour ça que pour l’instant, j’utilise infopreneur. Peut-être qu’on utilisera infodonneur si j’arrive à diffuser assez le terme. Donc précision, c’est une bonne question que je me suis vraiment posée. Pour l’instant, j’utilise infopreneur. Je ne sais pas si la société externe est prête à comprendre le terme de entredonneur mais pourquoi pas.

Donc infodonneur, je le note.

Pourquoi SPI, parce que le spinacker c’est une espèce de voile, un peu comme un parachute qu’on met à l’avant des bateaux, qui permet vraiment d’accélérer la vitesse du bateau, qui se gonfle avec le vent. Donc, ça pousse vraiment le bateau.

Et l’image du bateau pour moi, elle est importante tout simplement parce que, je prends l’image de mon père qui était un salarié qui avait son travail et autre. Et son seul moment de liberté, c’était une à deux semaines par an quand on partait en bateau. Et pour lui, il n’avait plus rien, il était vraiment libre. Et le moment où il était le plus libre, c’est quand il y avait le SPI, c'est-à-dire qu’il y avait un bon vent, et on voguait vraiment sur la mer, sur les vagues. Et c’est pour ça que cette thématique de SPI pour moi, c’est ce côté de liberté, c’est ce côté d’accélération, c’est ce côté d’expansion. En tout cas, c’est ce que je souhaite pour tous les infopreneurs, infodonneurs. Donc ça, c’est la vision que j’ai et ce que j’aimerais mettre en place.

Quel est le sens de Business 3G ?

C’est trouver, former et enrichir les enseignants de la vie.

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Alors trouver, et bien le but du jeu c’est effectivement de savoir où ils sont parce qu’il y a beaucoup de gens qui sont enseignants de la vie mais qui n’osent pas, qui ne se jugent pas compétents, qui hésitent, donc les trouver. Ça, c’est un premier point.

Les former parce que comme tout métier, ça s’apprend, ça ne s’improvise pas. Il y a des techniques, il y a des façons de procéder.

Et d’enrichir les enseignants de la vie. Enrichir, dans ce cas-là, est-ce qu’il faut vraiment que j’utilise enrichir parce qu’en Francophonie encore une fois, quand on entend enrichir, on voit tout de suite le nouveau patron avec son cigare, son chapeau de forme et tout ça. Mais pour moi, enrichir, c’est un terme qui est beaucoup plus vaste que ça. Enrichir, c’est vivre de plus belles expériences, vivre des expériences humaines plus riches justement. C’est avoir plus de connaissance. C’est ce côté enrichir au sens de enrichir sa vie.

Quand on parle d’enrichissement personnel, ça peut être un stage, ça peut être effectivement plus d’argent, ça peut être de s’être formé, ça peut être d’avoir découvert de nouvelles choses. Donc pour moi, effectivement, entreprendre est souvent compris comme profiter, c’est pour ça le terme d’« entredonneur ». Donc, j’assume ce truc-là. Je souhaite personnellement trouver, former et enrichir dans tous les sens du terme les enseignants de la vie.

Donc s’il y a des gens qui n’ont pas envie de s’enrichir dans Business 3G au sens le plus noble du terme, et bien, je les invite à quitter cette conférence.

Pourquoi ?

Parce que je crois que la vie est un flux et je crois qu’il est impossible de ne faire que donner et de ne faire que du gratuit, et ce n’est pas pour ça qu’on est. Pour moi, on donne, on reçoit. Et on peut recevoir plein de choses, recevoir des services, recevoir de l’argent, on peut avoir plein de choses, mais je pense qu’il est important de nous réconcilier entre nos aspirations personnelles et le fait de donner, de partager, et le fait d’avoir une vie abondante dans tout le sens du terme.

Donc ce point-là, pour moi, il est important. Il y a plein de gens qui ne comprennent pas ou qui imaginent plein de trucs, donc je l’assume ce terme-là. Enrichir les enseignants de la vie. Et mon rêve – et ça, je vais y venir – c’est de vous enrichir sur tous les plans. Evidemment, il n’y a pas que moi, d’accord, mais c’est l’objectif que j’ai.

Parce que le principe, c’est quoi ?

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C’est vous aider à créer et diffuser l’abondance. Vous partagez votre savoir, votre expérience, tout ça avec le monde et vous recevez de l’argent. C’est simple. Parce que l’argent, on le diabolise mais c’est simplement une énergie. C’est une énergie qui simplifie les choses. Et comme dans tout, vous avez des gens qui ont une approche de vicier des choses, qui sont pervers dans leur usage de leur argent, c’est un instrument de pouvoir, c’est tout ce que vous voulez mais mon système qui est sain et comme vous êtes sains.

Alain, excuse-moi. Je suis désolé, mais si, je trouve que ton commentaire est extrêmement irrespectueux. Il n’y a aucun lien entre ton discours et les commentaires de ces gens à qui tu t’adresses. Donc excuse-moi, je regarde ma présentation, je regarde les commentaires, j’essaie d’avoir un discours cohérent tout en répondant à quelques points. Si ça ne te va pas, je t’invite à quitter la conférence, merci. Je suis désolé mais c’est vraiment du manque de respect.

Donc le principe … Et effectivement : ma caméra n’est pas exactement alignée avec ma présentation, ce qui fait que tu as l’impression que je ne te regarde pas. Il y un moment où il faut juste arrêter les conneries. Voilà. Excusez-moi pour cette petite sortie.

Donc, je reviens. Effectivement, l’argent c’est une énergie. Vous la recevez et puis l’argent, ça simplifie juste les choses. C’est juste qu’effectivement pour certaines personnes, ça peut être un peu à usage pervers mais quand on est avec quelqu’un qui est sain comme vous l’êtes, cet argent, il va être utilisé de façon positive. Mais il a tout à fait le droit de donner son avis et j’ai le droit de donner le mien. Ce qui fait que quand vous recevez cet argent, il se passe un effet multiplicateur. C'est-à-dire que vous recevez cet argent, et en tant qu’entredonneur, vous allez partager avec les autres. C’est-à-dire que beaucoup d’entre vous, et là je parle des partenaires de Business 3G, et bien ces gens-là avec l’argent qu’ils ont fait, qu’est-ce qu’ils ont fait ? Ils ne sont pas partis aux Bahamas, ils n’ont pas acheté une voiture de course. Ce qu’ils ont fait, c’est qu’ils ont investi. Ils ont recruté des gens, ils ont fait des projets. Donc ça veut dire qu’il y a un effet démultiplicateur c'est-à-dire que quand vous partagez de l’argent avec les autres, avec d’autres entredonneurs, et puis ensuite vous les partagez. Donc, il y a vraiment cet effet multiplicateur. Je ne vais pas rentrer dans la théorie keynésienne mais ça fait partie de l’effet multiplicateur des choses.

Alors je fais juste un petit aparté entre la conférence et les commentaires. Pourquoi est-ce que Alain, j’ai réagi de cette façon à ce que tu as mentionné ?

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Tout simplement parce que ce que je partage me paraît important et pour certaines personnes nouveau, en tout cas, me paraît nécessiter une certaine logique et une certaine cohérence dans la façon dont j’explique les choses. Si je passe sans arrêt du coq à l’âne en réagissant à chacun des commentaires, il ne m’est pas possible de suivre celui-là et en fait, ça perturbe l’ensemble des personnes. Donc, c’est pour ça que j’essaie de rester centré dessus. Ça ne veut pas dire que je ne regarde pas les commentaires, c’est pour ça que je n’ai pas toujours le regard fixé sur la caméra, parce que je suis tout ce qui se passe. Et j’essaie de répondre aux différents points qui sont faits de façon générale dans le flux de la présentation. C’est complexe, j’essaie de faire du mieux possible, et je suis désolé si effectivement, ça ne te convient pas, je fais au mieux. Voilà.

Alors, c’est pour ça que pour moi l’indicateur de succès de Business 3G, c’est vraiment important. Et je me suis demandé c’est quoi l’indicateur de succès pour une formation Internet ? Ça sert à quoi ?

Au début, je me dis : oui, c’est le nombre de gens qu’il y a dedans. Mais ça, ce n’est pas un bon indicateur de succès. C’est un indicateur qui est pervers. Ensuite, je me suis dit que le vrai indicateur c’est l’argent que j’aide l’ensemble des membres à gagner. Effectivement, je précise un point. Jean-Philippe, tu as tout à fait raison. Effectivement là, je fais l’exposé et ensuite, j’ouvrirai en détail aux questions. Donc ça, bien évidemment, c’est une évidence sur ce point-là.

Je reprends. Donc pour moi, le point clé d’une formation pour aider les gens à se développer en particulier sur Internet, c’est l’argent que vous recevez. Aujourd'hui, je regarde cette structure et je regarde cet indicateur-là, parce que, et vous l’avez peut-être remarqué dans votre entreprise, ce que vous mesurez, c’est ça sur lequel vous vous développez. Donc aujourd'hui, l’argent qui a été généré et redistribué par Business 3G en milliers d’euros, aujourd'hui on est à Q1, c’est à peu près à 250 000 €. Donc 250 000 €, ce n’est pas mal. C’est un quart de millions d’euros. Un quart de millions d’euros qui a été renvoyé sur la communauté des infopreneurs, des gens avec qui j’ai fait des partenariats, des gens qui ont été partenaires, donc ça effectivement, c’est pas mal. Mon objectif c’est d’être à un million d’euros dans un an. C'est-à-dire que d’avoir redistribué pour vous et pour tous les gens que vous allez aider, pour tous les gens que vous allez toucher, c’est d’avoir redistribué pour vous et tous ces gens-là un million d’euros.

Est-ce que un million d’euros, c’est beaucoup ? Non, ce n’est rien du tout. Ce n’est rien du tout, c’est une goutte d’eau dans la mer mais c’est ma contribution. C’est un

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peu comme le dit Pierre Rabhi avec les colibris, c’est « je fais ma part, et chacun fait sa part. »

Donc là-dessus, ça, c’est mon objectif parce qu’il y a une chose que je sais faire, c’est gagner de l’argent sur Internet. C’est mon métier, c’est ma profession, c’est ma passion, j’adore ça. Que ce soit développer Business 3G, que ce soit dans le domaine de spiritualité, dans le domaine de la parentalité, dans tous les domaines, c’est ce que je sais faire.

Par contre, quelque chose que je ne peux pas faire à votre place, c’est de vous renvoyer cette abondance et cet argent. Donc ça, c’est mon objectif. C’est mon objectif et je dirai que c’est un objectif commun. Pour préciser, Q c’est les trimestres. Excusez-moi, c’est ma façon de noter les jours. Q1 c’est « Quarter one », c’est mon côté un peu anglo-saxon, désolé.

Effectivement, Grégory, pour préciser cette métrique, je souhaite avoir distribué un million d’euros dans un an. Alors, il y a des choses que je ne vais pas pouvoir mesurer. Par exemple, il y a quelqu’un qui me dit : « Grâce à toi, ça ne fait pas tellement longtemps que je suis dans la formation Business 3G et j’ai déjà dépassé 600 contacts dans ma newsletter. » Ça, je suis incapable de mesurer, d’accord, et si cette personne va peut-être vendre plus de produits, je suis incapable de voir ça. De même qu’il y a des gens qui ont des partenariats entre eux, je ne vais pas être capable de savoir combien ils vont générer. Il y a Olivier et Matthieu qui ont un partenariat entre eux, je ne vais pas aller regarder combien ils ont généré parce que ça fait des effets de choses qui se diffusent. Donc, je ne veux pas le savoir.

Par contre, ce que je peux mesurer c’est les gens avec qui je fais un partenariat directement ou les gens qui sont partenaires de Business 3G et qui reçoivent les commissions de Business 3G. Et donc, c’est ça, c’est cette partie. Donc c’est forcément minorant, c’est moins que le total. J’aimerais atteindre dès que possible, donc je vous donne dans un an mais si c’est plus tôt, tant mieux, un million d’euros.

Et pour ça, il y a deux leviers d’abondance particuliers. Je vais préciser, Fabien. Donc, il y a le deuxième revenu sur Internet, c'est-à-dire la capacité que vous avez dans Business 3G sur la formation : de développer votre propre formation, de mettre en place votre rôle de conseiller de confiance influent. Vous avez donc des partenariats qui se mettent en place. Par exemple, vous voyez, j’ai fait un partenariat avec Gaëlle qui a donné 120 000 € de chiffre d’affaires, c’est plutôt pas mal. Je suis en train d’en faire un avec Oliver Masselot. Donc, il y a ces différents éléments qui sont en train de se mettre en place. Et vous avez le principe des ambassadeurs.

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Alors, je vous explique le principe des ambassadeurs. Le principe c’est que sur chacun de vos filleuls, vous recevez 50%, c’est-à-dire à peu près 1 000 €. Sur les filleuls de deuxième niveau, c'est-à-dire sur les filleuls des filleuls, sur les 400 €. C’est-à-dire que Business 3G redistribue 70%, c'est-à-dire que voilà, 50 plus 20% c’est 70%.

Je vous préviens tout de suite, ce chiffre est totalement dingue. Il est un peu inconscient de ma part, et c’est ce que beaucoup de gens m’ont dit. Mais par contre, j’y crois parce que je souhaite atteindre ce chiffre de un million le plus rapidement possible. Donc ça veut dire que là, vous avez une formation qui est d’excellente qualité. Je pense que vous en êtes convaincus. C’est votre offre à étiquette comme on dit, c’est une offre d’une certaine valeur qui rapporte 10 € par contact pour vous à peu près. Alors bien entendu, ce n’est pas du MLM, il n’y a aucune obligation, c’est simplement la contribution à vos efforts de partage de Business 3G et d’accompagnement de vos filleuls. C'est-à-dire qu’aujourd'hui, il y a des gens qui ont dit : « Si vous revendez Business 3G, je vous accompagne, je vous coache. » Et ces gens-là, il est normal qu’ils soient rémunérés pour le temps et l’effort qu’ils font. MLM c’est le Multi Label Marketing, c’est le marketing pyramidal.

Ça, c’est le deuxième levier que vous pouvez utiliser. Parce qu’il y a des gens qui ont dit : « Ah lala, mais moi, j’ai envie de gagner de l’argent très, très vite, tout de suite. » Et bien là, vous avez un système qui vous permet très simplement, simplement en partageant un lien et en envoyant les gens sur les vidéos gratuites de pratiquer certaines des techniques que je vous enseigne dans Business 3G, d’accompagner des gens et autres.

Par rapport à ça, il y a plusieurs éléments que je veux préciser.

Un, j’ai fermé les portes de Business 3G par rapport aux lancements qu’il y a eu lieu tout simplement parce que je ne veux pas qu’il y ait trop de monde dans Business 3G, donc je limite l’entrée. C’est un peu comme un réservoir, ça remplit la capacité de Business 3G. Par contre dans Business 3G, les gens avancent. Il y a aujourd'hui des gens qui sont arrivés, et j’ai dit que quand on le fait bien, Business 3G ça peut aller très vite. Il y a des gens qui sont allés en quelques jours jusqu’au niveau 5. Donc, ça fait de la place pour les premiers niveaux et donc, ça rouvre d’autres places.

Ça veut dire qu’il y a une partie qui est en lancement permanent. Et cette partie-là, pourquoi est-ce que je la laisse en lancement permanent ? Tout simplement parce que ça nous permet de partager Business 3G autour de nous et de le faire dès maintenant. Et non Patricia, il ne faut pas attendre le prochain lancement.

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La seule chose à faire c’est de partager les vidéos gratuites de Business 3G et tous ceux qui ont regardé la méthode fast cash, donc je vous montre comment ça fonctionne. Et bien cette méthode fast cash, il y en a qui l’applique avec différents produits. Vous pouvez aussi l’appliquer simplement avec votre lien de parrainage. Et effectivement, comme je vous l’ai dit, il n’y a absolument aucune obligation. C’est simplement qu’il y a des gens qui m’ont dit : « Je veux partager Business 3G, je veux en parler autour de moi » et bien, bien entendu. Et il y en a qui m’ont dit : « Ah lala, j’ai besoin de récupérer de l’argent le plus rapidement possible, quelle est la meilleure façon de faire ? » C’est de partager Business 3G, c’est conçu pour ça. Et donc, ils disent : « Non, ce n’est pas pour moi. » Il n’y a aucun problème. C’est juste que je donne cette possibilité à ceux qui en ont besoin.

Donc Maxime, lancement automatique dès aujourd'hui, mais bien sûr, il n’y a pas de problèmes. Le lien de parrainage, chacun d’entre vous l’a automatiquement. Je vous enverrai un message à la fin de la conférence pour vous le redonner. Mais c’est quelque chose qui est gagnant pour tout le monde. Vous créez de la valeur pour vos contacts. Ben vous, vous touchez de l’argent, en tout cas je l’espère. Vous aidez d’autres entredonneurs. Vous m’aidez à diffuser Business 3G et j’en suis convaincu, vous créez un impact positif sur le monde.

Je vous expliquerai tout ça en détail. Effectivement, vous pouvez partager votre lien avec tous ceux que vous pouvez toucher. Vous pouvez le mettre en signature de vos emails, vous pouvez le partager sur les réseaux sociaux. Alors ça veut dire qu’effectivement, Patricia, là, on peut entrer à tout moment dans la formation parce que c’est un flux. Je dis : « Regardez d’abord vos ressources, les amis. »

Comment s’est développé Hotmail, par exemple ?

Hotmail n’avait pas de liste, d’accord ? Hotmail s’est développé parce qu’en bas de chaque page de chaque mail, il y avait un lien qui disait : « Vous voulez votre email gratuit, inscrivez-vous. »

Donc chacun d’entre vous envoie des dizaines, voire des centaines d’emails perso par jour. Dans ce cas-là, rien ne vous empêche de mettre ce lien en dessous.

Ce que je ferai, c’est que je ferai une conférence pour tous ceux qui sont intéressés par ce sujet pour vous en parler plus, pour vous donner plus d’éléments. Mais, voilà. Je voulais juste vous donner cette opportunité-là, elle existe, c’est une façon de faire. Encore une fois, aucune obligation ni rien, c’est juste une possibilité.

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Alors je veux vous citer une anecdote. Il y a quelqu’un qui m’avait demandé une bourse au Business 3G. Son projet m’avait l’air intéressant, je lui avais dit Ok. Ok, c’est bon pour moi, ça faisait partie des premiers. J’avais dit : premier arrivé, premier servi. Et j’avais dit OK. Et il m’a envoyé un message : « Non, mais attends, je ne trouve pas ça normal, c’est trop simple. Alors non. » Alors finalement non. Et ce qui est extraordinaire c’est que souvent on a dans la tête une des impressions que les choses devraient être compliquées et si c’est trop simple, on a l’impression que ce n’est pas normal. Et donc cette personne, elle avait exactement ce qu’elle avait demandé mais elle trouvait ça trop simple, donc elle avait dit : « Non, non, non, il y devait y avoir un problème. »

Donc, je suis désolé, la vie est simple. La vie est extrêmement simple. C’est nous qui nous faisons des nœuds au cerveau. Donc, voilà. C’est ce principe qui est effectivement très simple et je partagerai ça avec vous.

Alors pour la petite histoire, cette personne, elle est peut-être dans la discussion, elle est revenue vers moi en disant : « Ouais mais finalement, je me suis peut-être trompée, est-ce que je peux quand même revenir ? » Donc, voilà. Je crois qu’on a beaucoup de vision du monde, de la limitation, de tout ça. Donc, voilà.

Ce principe est assez simple, et je ferais une conférence sur le sujet pour tous ceux qui sont intéressés. Voilà.

Lise, sur le point pratique, tu me dis alors comment ça marche pour l’argent récupéré ?

Je dis juste, tout simplement vous avez un compte qui vous indique les commissions que vous touchez et puis, il y a des reversements de cet argent qui se fait régulièrement. Donc, j’en parlerai. Je ferai une conférence spéciale sur le sujet.

Alors je dis juste un point c'est-à-dire qu’aujourd'hui, mon taux de redistribution est à 70%. Pourquoi ? Parce que j’y crois et que j’ai fait cette expérience un peu dingue.

Vous avez des gens qui partagent des liens, des choses comme ça sans savoir ce qu’ils vont gagner, en gagnant pas grand-chose. Je me suis dit voilà : Est-ce que si on met cet outil entre les mains d’entredonneurs qui ont a priori une approche éthique du business, donc ils ne vont pas spammer tout le monde, qui vont être attentif, qui vont dire : voilà, Business 3G ça me plaît, ça ne me plaît pas, est-ce que je me sens de le partager ou pas ? Donc, ils vont le faire de façon éthique, en conscience et qu’on leur donne les moyens de le faire. C’est-à-dire ça vous permet par exemple d’avoir des

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clients en coaching, de les accompagner, et quelque part vous recevez cet argent à travers Business 3G. Donc, il y a pleins de façons de le faire.

Effectivement, Jean-Luc, est-ce que c’est rentable ?

Pour l’instant, c’est à l’équilibre. C'est-à-dire que quand je regarde l’ensemble des coûts qui sont derrière, c’est juste, ça va mais il y a effectivement un taux de contribution très important. Parce que j’y crois, c’est peut-être idiot mais j’y crois. Voilà.

Donc effectivement, et ça, je le ferai dans la conférence, il y a d’autres choses que je veux vous dire dans cette discussion. Vous pourrez utiliser un certain nombre de matériels, notamment « Entreprenariat vivant ». Si vous diffusez « Entreprenariat vivant », ça, j’y crois. Ces concepts, ils ont totalement changé ma vie. Donc, si vous pouvez les partager avec d’autres, moi je suis ravi. D’ailleurs, il y a Mickaël qui a fait ça et ça intéresse beaucoup ses contacts. Je te permettrai aussi d’utiliser le manuel de Business 3G. Pour moi, ces idées-là, elles doivent se diffuser puisque j’y crois. Sinon, je fais autre chose. Ce n’est pas que ce soit les meilleures idées du monde, comme je dis, elles ne sont pas à moi, mais je crois que ça peut aider énormément de gens et qu’on en a besoin de parler changements dont je vous parlais en introduction.

Je vous donnerai quelques exemples et puis je ferai une conférence spécialement dessus. Vous avez des gens qui sont pros donc en 15 jours, vous avez Olivier qui a gagné à peu près 45 000 €. Je sais, c’est beaucoup 45 000 €. Mais lui, c’est un professionnel du sujet. Vous avez des gens comme Gaëlle qui ont des petites listes de 12 000 €. Vous avez des startupers, des gens qui n’ont pas d’énormes listes, qui ont juste un blog, qui ont ceci mais qui le font avec le cœur, qui le partagent avec les gens qui pensent que ça peut aider, qui le font avec éthique. Et vous avez par exemple Maxime qui a gagné 6 000 €, et Mickaël qui me dit : « Ah ! Business 3G, c’est magique ! »

Oui, parce que je suis un peu dingue. Alors clairement, je ne vais pas laisser ce taux de 70% toute ma vie, d’accord ? Je veux juste atteindre un million d’argent qui revient vers vous le plus rapidement possible. On est en train de faire monter les ressources derrière pour faire continuer tout ça. Et puis ensuite, ce que je ferai, c’est que je changerai ce taux mais évidemment il ne changera pour ce qui aurait été fait jusque-là. Donc, merci.

Et oui, vous pourrez partager cette visioconférence. Voilà.

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Donc, ça, c’est ma façon de contribuer à tous ceux qui ont un besoin rapide d’argent, de aussi partager ne serait-ce que le contenu gratuit, je pense que c’est de bonne qualité pour aider les gens autour de vous. Ça, c’est ma croyance.

Alors maintenant, je passe à un autre sujet qui est le principe des guildes et des masterminds.

On a dit oui mais tu emploies toujours le mot… Oui Laurent, juste un petit point qui dit effectivement : le système n’a-t-il pas une limite ?

Tout système a une limite, d’accord. Les armes ne montent pas au ciel. Aujourd’hui pour l’instant, on n’a pas atteint cette limite-là et il n’y a pas forcément des changements et des évolutions. Evidemment, vous, faisant partie de Business 3G et des partenaires de Business 3G, vous avez un avantage, tout simplement parce que quand j’aurai atteint cette limite, et bien ceux qui viendront après, les commissions sont moins importantes, mais je veux faire cette expérience pour voir qu’est-ce que ça donne quand on donne les moyens à des entredonneurs de partager quelque chose dans lequel ils croient. Voilà. Donc ça, et je ferai une conférence spécialement sur le sujet pour tous ceux que ça intéresse.

Mais encore une fois, j’insiste, c’est un des chemins que je propose pour ceux qui en ont besoin. Personnellement, développer Business 3G, je n’ai aucun problème. Je sais faire des campagnes de contacts. Il y a beaucoup de gens qui venus par des partenaires mais ce n’est pas l’essentiel de la croissance de Business 3G. Donc là-dessus, c’est vraiment pour vous, c’est un outil que je mets entre vos mains.

Cette conférence, je la ferai la semaine prochaine, je pense.

Sur les guildes et les masterminds, tout le monde me dit : « Oui, tu utilises souvent le méta. Mais c’est quoi le méta ? »

Alors méta, ça veut tout simplement dire « niveau logique supérieur ». Par exemple, une cellule, et bien son niveau méta, ça va être un organe. Le niveau méta de l’organe, c’est peut-être votre corps. Le niveau méta de vous-même, c’est peut-être votre famille. Le niveau méta de votre famille, c’est peut-être votre village. Donc, vous voyez, c’est à chaque fois on passe d’un niveau logique supérieur.

Et en business, c’est vraiment très important parce que plus vous êtes à un niveau méta élevé et plus vous avez des possibilités de réussir.

Vous prenez par exemple un auteur. Je prends juste un blogueur qui n’a pas d’offres, qui n’a pas de leads, ça va être dur de gagner sa vie, d’accord. Vous prenez quelqu’un

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qui commence à avoir une offre, c’est un peu plus facile. Vous prenez quelqu’un qui a un éditeur qui a plusieurs auteurs, c’est plus facile. Vous prenez maintenant Amazon qui est en méta par rapport à des éditeurs, et bien c’est un énorme business qui vend du livre à ne plus savoir comment faire.

Donc, réfléchissez toujours à comment vous pouvez être méta. Et c’est pour ça que la clé de la réussite, c’est d’avancer ensemble. Si vous êtes tout seul dans votre coin, vous êtes tout seul dans votre coin, vous ne faites pas grand-chose. Mais quand vous commencez à travailler avec d’autres personnes, vous créez des partenariats, vous vous placez au niveau méta. Ça vous permet d’avoir accès à plus de ressources, à plus d’expériences. C’est le principe de… et je vais t’expliquer. Donc, c’est le principe du mastermind.

Je ne sais pas si vous connaissez Napoléon Hill et ses lois du succès. Il dit que l’une des clés des gens qui réussissent, c’est le mastermind. C’est le fait que les gens se réunissent : Le méta. Donc un mastermind, c’est une méta mind en fait. C’est un esprit supérieur tout simplement parce qu’il est la réunion de plusieurs esprits. Par contre, il y a des points qui sont importants là-dedans parce que comme tu le dis, effectivement, c’est plusieurs cerveaux au service d’un projet.

Le problème de plusieurs groupes qui se disent mastermind, c’est qu’ils se réunissent ensemble et mais ils n’ont pas les mêmes projets. Donc ils parlent, d’accord. C’est super, ils ont pleins de trucs mais ils ne sont pas alignés dans le même projet. C’est un peu comme si vous aviez un orchestre. Si cet orchestre joue de façon différente avec pas la même partition, et bien ils ont beau être ensemble, ça fait une vraie cacophonie. Alors que quand on est effectivement, comme tu le dis Sylviane, plusieurs sur le même sujet, dans la même dynamique, dans la même énergie, dans la même vibration, quand on est en résonance, pour reprendre des termes que j’aime bien, et bien on est beaucoup plus puissant et beaucoup plus performant.

Je vais vous donner quelques exemples de ça, mais c’est le principe de ce qui se passe au niveau 3, c'est-à-dire que vous avez les guildes.

Qu’est-ce que les guides ?

C’est tout simplement, certains d’entre vous le savent déjà, ce sont des groupes qui sont mis en place par rapport à des thématiques données – par exemple, des thématiques au féminin, sur la parentalité, sur le développement personnel, sur la spiritualité, sur les finances personnelles, sur tous ces sujets – qui correspondent en fait aux départements de l’université de la vie. Vous voyez la logique globale ? C'est-à-dire que vous avez des besoins humains qui, effectivement, n’ont pas changé

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depuis des millénaires. Par contre, sa façon d’y répondre a pu les changer. Ces besoins humains, ça fait des thématiques. Et ces thématiques, ça se traduit par les départements de l’université de la vie, et ces départements sont constitués d’enseignants. Vous voyez un peu l’enchaînement au niveau méta depuis votre expérience, ce que vous partagez et puis les besoins humains et l’accompagnement des gens.

Ce n’est pas une des difficultés mais un des manques de… quand j’ai commencé à lancer Business 3G, parce je l’ai lancé en version bêta à la fin de l’année, c’est effectivement un peu comme dans Mindvalley, j’aime beaucoup Mindvalley.

Alors effectivement, on n’a pas d’overlapping parce que chacun a un P3 différent, chacun a une fréquence différente. Quand vous regardez une université, vous avez par exemple un département de finance d’entreprise ou de microéconomie. Mais chacun a sa spécialité. Il y en a qui m’ont parlé de la microéconomie avec la théorie de tel économiste, un autre qui va prendre la microéconomie de façon très pratique en faisant des études de cas dans les entreprises. Donc, chacun a sa polarité. Chacun a ce qu’il peut partager.

Et vous savez, si vous avez un peu d’expériences sur Internet, vous avez probablement 10 à 20% des gens qui achètent chez vous et 80, 90% qui n’achèteront jamais chez vous alors qu’ils achèteront peut-être chez votre copain.

Ça veut donc dire que même si vous parlez une thématique similaire, la façon dont vous en parlez va parler à différentes personnes, et ce qui fait qu’il n’y a pas de concurrence. Il y a simplement, on va dire, des synergies, des cohérences et le fait de travailler ensemble crée au contraire plus de valeur.

Je donne un exemple. On me dit : « Ah lala ! Le lancement de Business 3G, on a entendu parler que de ça ! » Et bien, ça s’est fait tout simplement parce qu’il y avait tout un tas de partenaires qui étaient dans le même domaine, la création d’entreprise à travers Internet. Et tout simplement, tous ces partenaires ont travaillé avec moi, et vraiment je vous remercie, alors qu’elles sont des concurrents. Oui, c’est une façon de le voir. Moi je pense qu’on est confrère, un peu comme des docteurs ou des médecins sont confrères entre eux, et ça permet de partager tout ça.

Alors je répondrai à la question sur Mindvalley aux autres à la fin mais je voulais juste vous expliquer que donc là, il y a des guides. C’est fait de façon un peu artisanale pour l’instant. Mais je suis en train de rajouter une couche sur ça au site de manière à ce que chacun puisse créer son groupe et que ces groupes puissent être des

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occasions pour vous d’échanger entre vous, de mettre en place des partenariats, d’échanger vos expertises et d’avancer beaucoup plus vite.

Quelques implications, des exemples de partenariat.

Et en fait, le fait d’être dans Business 3G, ça va vous permettre d’aller plus vite parce que vous savez comme moi qu’un partenariat c’est génial mais là, si la personne ne vous connaît pas, si elle ne vous a jamais vu, elle se méfie, c’est très compliqué, alors que si vous êtes dans Business 3G, vous suivez la même formation, et bien ça va plus vite. Vous pouvez faire un endroit croisé. Par exemple, j’ai une liste de 1 000 personnes, moi j’en ai une liste de 1 500, et bien tiens, j’envoie sur ton offre, tu envoies sur la mienne et on crée de la valeur commune.

Vous pouvez dire : « Tiens, moi j’ai une liste, et puis toi, t’as une offre, on va se faire un partenariat. » Je vous donne un exemple. Olivier et Matthieu qui sont tous les deux dans Business 3G se sont contactés à travers le principe des guildes, donc c’est au niveau 3, pour l’instant c’est juste une page avec des commentaires. Matthieu a une liste qui correspond tout à fait à la liste d’Olivier. Et bien à deux, ils vont créer une valeur qu’ils n’auraient pas eue tout seul. Voilà.

Donc ça, c’est un exemple. Et aujourd'hui, la plateforme est un peu rudimentaire parce qu’on est en mode très… Voilà. Business 3G, c’est vivant, ça se développe mais j’ai un développeur qui est en train de travailler pour vraiment rajouter des groupes.

Alors Sébastien, on ne reçoit pas les réponses aux commentaires, ça a été réglé aujourd'hui. Il y avait un souci, je ne sais pas trop pourquoi. Mais maintenant, les réponses vous arriveront par email. C’était un bug, je ne sais pas d’où ça venait mais c’est réglé.

Donc, tout ça avance progressivement comme une plante qui pousse. Ça, c’est un exemple sur les partenariats.

Ensuite, autre implication sur l’accompagnement Business 3G. Je vous ai dit, l’infopreneuriat ou l’infodonneuriat, pour moi, c’est une profession. Une profession, ça s’apprend en faisant. C’est comme les avocats, c’est comme les consultants en stratégie, c’est comme le coaching, donc avec le principe de mentoring.

Donc aujourd'hui, vous avez un accompagnement individuel qui se fait sur le site. D’accord, vous recevez vos réponses aux commentaires et maintenant, vous allez même les recevoir par email, c’est extraordinaire.

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Mais ces groupes vont permettre d’avoir un véritable accompagnement en commun parce que ces groupes, je vais limiter leur taille. L’idée c’est qu’il y a effectivement un leader qui serait membre de Business 3G. Et puis, ça peut être des groupes qui sont thématiques par exemple sur la parentalité, sur la création d’entreprise, et on peut aussi avoir des groupes qui sont faits par un parrain pour accompagner ses filleuls Business 3G.

Par exemple, Maxime qui a un certain nombre de gens à qui il a proposé de les coacher s’ils rejoignent Business 3G avec son lien va pouvoir créer un groupe dans lequel il va pouvoir échanger avec ses filleuls pour les aider à réussir. Donc ça, c’est ce qu’on est en train de mettre en place. J’ai un développeur qui est dessus. Donc, ça va commencer doucement et puis on va le complexifier petit à petit.

Alors ensuite, il y a une implication qui est ce qu’on appelle la collecte méta. C’est un bien grand mot pour expliquer que quand on est à plusieurs dans une même niche ou dans une même thématique, et bien c’est beaucoup plus simple.

Beaucoup de gens ont cette vision très limitée qui consiste à dire : « Ah lala ! Surtout je ne partage rien. Je partage mes contacts, je ne fais rien, je reste dans mon coin. » Sauf qu’en réalité, vous voyez ça dans la vie, dans une forêt. Est-ce que vous préférez être dans une forêt où chaque plante échange avec les autres ou est-ce que vous préférez être une plante toute seule au milieu du désert ? Je pense que vous préférez être dans l’écosystème.

Vous avez sur le site dans la partie ambassadeur, j’explique la différence entre la mer de Galilée et la mer morte. La mer de Galilée, elle redistribue sans arrêt l’eau qu’elle reçoit, à 90% et la mer morte elle ne redistribue rien. Quand vous avez un flux, vous créez de l’abondance. Pour ça, il y a deux exemples. Le premier c’est le lancement c'est-à-dire que quand vous êtes dans un groupe et que vous dites voilà : « Tous les mois, le groupe va relayer l’offre d’un des membres du groupe », ça permet de planifier, ça permet de partager et donc, ça permet de créer de la valeur pour tout le monde. Et bien évidemment pour vos clients.

Le principe de la foire aux cadeaux, c’est un principe que je vais mettre en place, même chose, à partir du niveau 6 qui est que des gens qui sont dans une même thématique vont pouvoir organiser et je vous donnerai les outils pour ça. Donc, j’ai identifié les scripts. Après, il faut que je voie la bonne façon de l’utiliser pour vous donner accès. Vous allez pouvoir faire par exemple, une foire au cadeau dans le développement personnel. Et au lieu d’approcher vos partenaires en disant : « Tu sais, moi je suis tout seul, est-ce que tu peux renvoyer sur ma liste ? » d’aller dire

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voilà : « Nous avons avec notre groupe Business 3G mis en place une foire aux cadeaux, est-ce que tu veux participer ? Ça te permettra de construire ta liste. »

Donc vous voyez que quand vous vous placez au niveau méta c'est-à-dire pas simplement en une personne mais par rapport à un groupe, et bien, vous allez avoir beaucoup plus d’impacts sur le marché. Donc ça, on en parle et ce sont des choses qui vont se mettre en place à partir du niveau 6 parce que c’est vraiment là qu’on parle des contacts.

Maintenant, je vais ouvrir à vos différentes questions. Je vais répondre à certaines que j’ai vu passer. Prochaines étapes, donc décider de votre implication à un programme ambassadeur.

Pour certaines personnes, c’est exactement ce dont vous avez besoin tout de suite. Pour d’autres, c’est plutôt une dispersion par rapport à votre propre projet.

Donc, je vais mettre en place une conférence sans doute la semaine prochaine sur le sujet. Je vous enverrai le lien. Je vous enverrai les informations et je vous enverrai aussi votre lien ambassadeur.

Je vous invite aussi à réfléchir déjà maintenant aux rôles que vous voulez avoir sur votre niche, votre marché, dans votre guilde puisque je vais proposer à certaines personnes et à chacun d’entre vous d’être leader s’il le souhaite, donc de se positionner à la fois en accompagnement d’un groupe et en même temps en tant que porte-parole de ce groupe. C’est un rôle intéressant. Il y a beaucoup de gens qui veulent se positionner, être visibles et autres. Là, c’est l’opportunité. Bien entendu, avancez sur votre propre projet.

Aujourd’hui, il y a tout un tas de projets avec lesquels on est en train de relayer, de faire des partenariats ou autres. Et puis les prochains évènements Business 3G donc, puisque c’est une demande, la semaine prochaine, je ferai une conférence sur le sujet. Ensuite chaque semaine, comme je l’ai annoncé, je vais faire une conférence pour répondre en détail à vos questions. Donc, ce sera vraiment de questions-réponses, ce sera très ouvert comme discussion, l’idée étant de pouvoir vraiment rentrer dans des problématiques très concrètes. Et je ferai aussi venir comme pertinent un certain nombre d’acteurs de l’infopreneuriat. Donc, il y a des gens que vous connaissez. Moi, je ferai venir Sebastien le Marketeur Français par exemple qui me parlera des lancements orchestrés, mais vous aurez aussi des gens qui sont dans l’industrie mais qui ne sont pas forcément connus dans le domaine de la formation marketing. Par exemple, vous avez des gens qui sont spécialistes dans la collecte de leads et je les inviterai.

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De même, j’essaierai même de mettre en avant à partir du moment où je suis informé des étudiants Business 3G qui ont des projets intéressants, qui ont des expériences intéressantes, vraiment quelque chose pour partager entre eux. Et puis dernier point, l’évènement Business 3G live. Il aura lieu et je confirmerai la date, a priori le week-end du 31 mai au 1er juin, et j’en mettrai un autre en septembre. Pourquoi ? Parce que, je veux que ce soit vraiment un évènement « business » donc je veux m’assurer que vous soyez au bon niveau dans Business 3G pour que vous en profitiez au mieux. Alors évidemment si vous voulez venir, vous n’êtes pas au niveau, je pense, pertinent, vous êtes les bienvenues mais c’est ce que je pense pour vous par rapport à ce qui nous intéresse. Ou ce sera à Paris.

Je réponds maintenant à quelques questions techniques.

Oui, Louise, tout à fait, je parle de la rencontre en personne. Ça, je vais vous le confirmer. On est en train de regarder pour les salles et autres.

Sur les différents points, mon nom n’apparaît pas non plus. Je pense que ça, c’est pour moi un système de préférence, d’accord. Ça n’a rien à voir avec Business 3G.

Ensuite sur la conf chaque semaine, effectivement, je vais mettre en place une conférence chaque semaine pour pouvoir répondre à vos questions en direct. Je reprends juste… oui alors, il y a des gens qui m’ont dit sur les quatre questions en or. Normalement, il ne me semble pas que j’en ai l’attente. Par contre, comment on avait ce souci sur le fait qu’il n’y a pas de mails qui étaient envoyés alors qu’on pensait que… ça, c’est quelque chose qu’on va mettre en place.

Les conférences auront toujours lieu le dimanche ? Non parce que déjà si je fais ça, ma femme me trucide.

Alissa, j’avais annoncé ça, la conférence d’aujourd’hui depuis quelque temps. J’ai renvoyé un mail 30 minutes effectivement avant mais je pense qu’il y a peut-être eu un souci sur les mails.

Nadège, tu dis : quand et comment se déterminer par rapport aux guildes ?

Ça, tu le verras de toute façon en allant au niveau 3. Il y a déjà des guildes qui sont constituées. Et puis après quand les groupes seront mis en place, et bien tu pourras tout à fait créer un groupe si tu le souhaites.

Louise me dit : Le Business 3G est-il disponible en anglais ? J’étais censé faire un lancement de Business 3G en février en anglais. Par contre, j’étais un peu en retard mais effectivement, il sera disponible en anglais.

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Jean-Luc me dit : Si on coache un groupe, est-ce qu’on a une commission sur leur produit ? Le principe est le même pour tout le monde. Au premier niveau, à peu près 1 000 € sur les ventes réalisées auprès de tes filleuls. Et si eux-mêmes vendent à leurs propres filleuls, tu auras 400 €. Voilà.

Sur les réponses aux questions sur le site, normalement, oui, il y en a peut-être effectivement encore quelques-unes en attente mais c’est un flux entre aujourd’hui et demain.

Alors, penses-tu développer ou suivre sur des projets physiques dans Business 3G ?

Il faut préciser ce que c’est qu’un projet physique mais effectivement, j’ai des projets.

Quand le menu communauté dans Business 3G sera-t-il opérationnel ?

Et bien, il sera opérationnel dès que mon développeur sera dessus. Il est dessus au moment même où nous parlons.

La fréquence de démarrage des nouveaux groupes sur l’entrée des gens dans Business 3G, ça se fait un peu en continu. Après, la création des groupes, et bien ça va être à l’initiative de chacun. Effectivement l’accès à la communauté, quand elle sera en place, ce sera à partir de niveau 3 mais là, il y a déjà les guildes qui sont placées, un peu l’embryon des communautés.

Donc Jeannie, zen, d’accord, tu auras bientôt l’accès au niveau 2, il n’y a pas de soucis.

Sur la page profil et tout ça, c’est normal parce qu’on est en train de développer l’aspect communauté. Voilà.

Ah oui, Kevin, qu’est-ce que je pense de Mindvalley ?

Ça, c’est une excellente question. Alors Mindvalley pour moi, c’est extraordinaire. Déjà c’est aux Etats-Unis, je ne sais pas. Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est le plus grand éditeur mondial de produit de développement personnel. Pour moi, c’est un vrai exemple sachant qu’il n’est pas forcément adaptable et transférable au marché français. Tout simplement parce que le rapport des francophones à l’information est très différent des rapports des anglophones. Le marché n’a pas la même taille, les comportements sont différents. Mais pour moi, c’est vraiment un exemple à émuler et d’ailleurs, je ne m’en cache pas, et je le dis très clairement. Il y a tout un tas d’auteurs avec lesquels je fais des partenariats et je l’ai toujours dit très clairement : « Mon souhait est effectivement que vous arriviez au niveau le plus élevé

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dans Business 3G de manière à ce que je puisse vous aider, si vous le souhaitez, à diffuser votre produit avec un partenariat d’édition ». Effectivement.

Alors sur les histoires de lien, d’accès et autres à la formation, et bien je vais tout simplement vous les renvoyer sur votre boîte email.

Sur le nombre de gens dans la formation, ça dépend des niveaux. Par exemple aujourd’hui, au niveau 6, je crois qu’il doit y avoir 5 personnes. Donc, c’est vraiment une histoire de niveau. Sur l’histoire de photo, de profil, ça va être dans le module social.

Effectivement Stéphane, même au niveau 7, pour moi, Business 3G c’est une ressource pour vous, pour vous aider. Certes le programme fait 7 modules mais je compte bien que l’aventure que ce soit de l’édition, des partenariats, le développement de Business 3G, et bien c’est des aventures qu’on va continuer autant que vous le souhaitez, autant que c’est pertinent pour vous.

Alors est-ce que je connais GIN ?

Oui, j’aime bien GIN. Kevin Trudeau, il est un peu spécial. Je connais d’ailleurs très bien un excellent ami de Kevin Trudeau. Par contre, je n’aime pas ce côté très l’emballage, très les enseignements ésotériques. Je n’aime pas tellement cet emballage-là et ensuite, je n’apprécie pas tellement le côté un peu pushy sur le fait que les niveaux de GIN, il y en a une douzaine. Je crois que le premier, c’est 1 500 dollars. Et puis après, ça monte en prix jusqu’à des 100 000 euros pour passer à ces 5 niveaux. Donc, je pense qu’il y a un moment où on est un peu manipulatoire et on prive les gens de leur pouvoir personnel. Ça, je trouve ça, dommage. Mais encore une fois, je n’en fait pas partie, je ne connais pas assez mais le business model est intéressant, juste qu’il exploite de façon un peu négative. Mais encore une fois, c’est mon opinion.

Un wiki participatif pour documenter Business 3G.

Oui, c’est une bonne idée. Je n’ai pas pensé mais cette une bonne idée.

Une exportation des projets des Etats-Unis, est-ce que c’est envisageable ?

Alors, Business 3G exporté aux Etats-Unis, tout à fait. Il y a certains produits qui sont peut-être intéressants d’exporter aux Etats-Unis, certains de vos projets. Aujourd’hui, j’ai des gens qui sont capables de générer des contacts ciblés aux Etats-Unis. Donc après, ça dépend de la façon dont on le fasse. Effectivement, il y a plusieurs

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personnes qui ont des Business 3G en Espagnol donc on pourra peut-être créer le groupe Business 3G Espagne et on le développera.

Varden me dit : « J’ai beaucoup de difficultés avec les ressources Internet ».

Là, je voudrais faire un point. Le Canada, de toute façon aujourd’hui, Business 3G peut tout à fait être développé au Canada. Peut-être que je ferai d’ailleurs une partie d’évènements live, ça dépend du nombre de gens au Canada directement. Donc, ça dépend de la taille encore une fois. Il y a des coûts fixes, donc ça dépend.

Merci beaucoup Fannie pour ta proposition à Varden.

Ah Stéphane, l’allemand, le cauchemar de ma vie. Je n’ai jamais réussi à apprendre l’allemand. Mais oui, l’Allemagne, je pense que c’est un très bon sujet. Il y a beaucoup de gens qui me disent : « Alors, quand est-ce que tu t’y intéresses ? »

Ça dépend beaucoup d’équipes. Par exemple et ça, je ne le cache pas, pour faciliter la croissance de Business 3G, on est en train de développer une équipe, donc il y a des gens qui m’ont envoyé leur CV de façon spontanée, donc on est en train de regarder tout ça. Il y a des gens qui veulent développer à l’étranger. Et dans ce cas-là, on le fera bien entendu. Les groupes vont aider à structurer tout ça et avancer en cohérence sur tout ça parce que l’un des plus grands risques c’est d’avancer un peu n’importe comment, un foisonnement parce qu’on disperse l’énergie. Donc, je veux vraiment qu’on les mette en place ces groupes mais à ce que l’énergie soit focalisée et qu’on trouve pour chaque groupe le business model adapté.

Voilà. Donc, on fera le groupe Espagne, Allemagne. Donc ça, moi, ma croyance, effectivement sur l’Espagne, sur le Portugais, il y a des gens qui m’ont demandé. Tous ces éléments-là en fait sur l’aspect européen, c’est des choses sur lesquelles je peux récupérer des contacts, sur lesquelles il y a tout un tas de choses que je peux faire. Par contre, je n’ai pas l’expertise de la langue et j’ai besoin de travailler avec des gens qui sont motivés par le sujet. Bien évidemment, il y a un business model à mettre en place pour que tous ceux qui les contribuaient puissent en bénéficier. Donc tout ça, on en parlera bien entendu, et c’est les principes des groupes de Business 3G.

Et effectivement, je suis entièrement d’accord à Raphael. On dit Espagne pour simplifier mais on parle bien de langue puisque la problématique, c’est la même chose.

La Suisse, Stéphane, je pense que ça va. Au moins sur la partie francophone pour l’instant.

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Voilà donc, ça, c’était un peu ce que je voulais vous dire pour vous souhaiter la bienvenue dans Business 3G. On a ouvert plein de sujets. On va reparler de ces différents sujets en détail dont les conférences que je vais faire chaque semaine et bien entendu sur le site. De même que les questions de profil, de groupe, de module social, tous ces éléments-là, ce sont des choses qui sont en train de se mettre en place, de se développer, donc on est en train de le mettre.

Alors, quelques questions : Où pouvons-nous envoyer nos questions ?

Tout simplement sur le site, Louise, ou alors tu as le service client de Création 3G. Donc, tu peux répondre aux mails que j’envoie et en posant tes questions. Par contre si c’est lié à ton projet, c’est sur le site de Business 3G.

Sur Algérie, Tunisie pour voir si c’est pertinent ?

Alors ce que je pense des produits de Dan Kennedy et à Dan Kennedy. Dan Kennedy pour moi, c’est un génie. Ce gars est juste fabuleux. Il m’a appris le côté qu’il est important de ne pas vivre dans sa tête mais vivre au contact de la réalité parce que souvent, on se fait des idées mais qu’on est au contact de la réalité, c’est très différent. Ses produits, ils sont bien mais je trouve que le personnage est quelque part plus intéressant que ses produits. Je pense que ses livres sont très bien. Alors, je regarde.

Alors Raphael, j’ai répondu à la question. Moi, je raisonne par groupe, d’accord. Donc aujourd’hui, tu as tout un tas de gens qui n’ont pas commencé, tout simplement parce que ce n’est pas le moment pour eux. Ils vont commencer dans quelques mois, ils vont commencer dans quelques semaines, dans quelques jours. Et puis, tu as de gens qui sont vraiment dedans et je mesure au moins le groupe par rapport au niveau. Donc aujourd’hui au niveau 5, il y a peut-être 20 à 30 personnes. Au niveau 6, je te dis, il y en a une demi-douzaine.

Olivier me dit : Mets en place un système d’expérience. Oui, je trouve ça intéressant le système d’expérience, la gammification.

Alors ce que je pense de l’Académie Zéro Limite de Martin Latulippe.

Il est en plein lancement en ce moment. Sur l’Académie, il est en plein lancement. En fait, c’est vraiment un élève de Brendon Burchard, Martin. Je connais les produits de Brendon Burchard, ils sont vraiment très intéressants. Il explique bien comment packager son expertise, comment faire des formations, comment faire des partenariats, comment tout ça ? Il y a un point que Brendon n’explique pas, ou en tout cas je n’ai pas vu de ça dans le cours de Martin, qui est tout l’aspect vraiment

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des contacts massifs. Donc, ce que je peux dire sur l’Académie Zéro Limite, je trouve que le concept est intéressant mais je ne suis pas vraiment élève, donc je ne veux pas en dire plus.

Oui, Brendon Burchard. C’est un peu un des héros américains, je crois qu’il a généré un million de dollars en 24 heures. Donc, c’est vraiment une star.

Kevin : que penses-tu d’un Mindvalley francisé ?

Et bien, je suis en train de le mettre en place, Kevin. C’est ma stratégie, que te dire d’autres.

Tu mets des liens dans Business 3G ? Oui, j’en mets petit à petit. Alors, d’ailleurs Stéphane, Olivier Masselot transurfing un monument du développement personnel nouvelle génération fait partie de Business 3G et nous allons partager sa formation à partir du 10 février. Donc, c’est plutôt pas mal.

Oui, Spiritualité 3G sur 1TPE, c’est compliqué. Il faut que je reprenne la façon de le présenter, je ne sais pas vraiment le faire.

Alors Patricia, sur les ambassadeurs, ça, je répondrai dans la réunion qu’on fera la semaine prochaine.

Geoffrey, il y a tout un blog partenaire auquel vous avez accès sur Business 3G. Ce n’est pas lui qui va vous guider pour promouvoir Business 3G. Donc peut-être si c’est pertinent en tout cas, on fera peut-être une réunion spécifique pour les ambassadeurs si ça vous aide. Donc ça, on va vraiment le mettre en place en fonction de nous.

Ma vision de Business 3G en 5 ans ?

Ça, c’est une excellente question Dani. Je vais y répondre. Avant, on me posait une question qui était : Combien il y a de gens premier niveau ? En fait, je raisonne sur le premier niveau, donc je ne peux pas répondre. Sur ce sujet, je ne le compte pas ce premier niveau. Je suis le nombre de gens qui répondent aux quatre questions en or. Et comme je dis, pour moi, ce n’est pas un indicateur. L’indicateur, c’est je vous redistribue. Donc ce que je suis vraiment, c’est… Evidemment l’avancée sur l’ensemble des étapes, c’est à partir du niveau 6 parce que là, on peut faire des partenariats et c’est au niveau 1.

Alors, sur la vision Business 3G à cinq ans maintenant. Alors ça, j’adore Stéphane. Tous les membres de Business 3G au Bahamas savent faire de Business 3G. Alors ça,

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c’est exactement ça. Peut-être pas au Bahamas, moi, je n’aime pas trop le soleil et la chaleur, je suis bien où je suis.

Oui Louise, les quatre questions sont dans le manuel.

Alors, en Suisse, ce n’est pas mal. D’ailleurs, j’ai de très bons amis qui sont en Suisse.

Donc ma vision de Business 3G dans cinq ans, c’est que je souhaiterais que Business 3G soit la formation de référence pour aider les gens à développer un deuxième revenu ou même un revenu principal à travers Internet. Et ça veut dire que ma vision sur cinq ans, c’est que Création 3G, ma maison d’édition qui est en fait, je ne dirai pas que c’est un Mindvalley français mais c’est la vision que j’ai. C’est une image, d’accord. J’ai des choses différentes de Mindvalley. Et bien, pour moi, j’ai une vision à 20 000 000 d’euros. Donc, ce n’est pas un objectif parce que je ne pense pas que l’argent doit être un objectif, mais quand je mets les différents morceaux auxquels je pense et la façon dont je vois tout ça se développer, c’est à ça qu’elle arrive. Tout simplement parce qu’il y a une dizaine de grands besoins humains ; que sur chacun de ces grands besoins humains, on peut mettre des usines de leads, on peut mettre des gens qui sont des auteurs et qui ont des formations compétentes et que sur chacun, on peut développer à peu près des activités qui font 2 000 000 d’euros environ sur chacun. Après, je ne sais pas ce que ça veut dire, je ne sais pas comment ça va se passer mais je me concentre sur l’ici et maintenant et essaie de le développer.

Effectivement, Elie tu as tout compris parce que Business 3G, certes, c’est une formation, on peut le voir très bien comme ça. Mais pour tous ceux qui le souhaitent, ça peut effectivement être une plateforme de partenariat : de partenariat d’approche méta, un peu comme une industrie. Quand je dis : SPI, d’accord, le Syndicat Professionnel de l’Infopreneur, pour moi, il y a ces différentes thématiques. Et aujourd’hui, j’ai des papiers sur mon bureau pour remettre en place, c’est juste que je n’ai pas appuyé sur le bouton parce qu’aujourd’hui, je préfère me concentrer à la mise en place de Business 3G.

Effectivement Raphael, l’union fait la force. Quand on est méta, c’est tout simple. Je vous donne un exemple que je cite dans la conférence. Je ne sais pas si vous avez vu la conférence que j’ai faite chez Zico que je salue au passage, j’ai expliqué comment je fais des partenariats. Quand vous vous approchez aux arrivés comme entrepreneur individuel, d’accord, et vous dites : « Bonjour, j’ai tel business », c’est très difficile de travailler avec des grands partenaires. Mais quand vous dites voilà : « Je représente une communauté d’entrepreneurs et je parle en leur nom parce que nous avons dans

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chacun des 10 ou 20 grands besoins humains. Nous avons sur chacun 10 formations d’excellentes qualités. » Ça vous permet de faire des partenariats qui sont beaucoup plus riches et comme ça tout le monde en bénéficie. Donc, c’est vraiment une stratégie méta, voilà.

Non, je ne suis certainement pas un gourou. J’ai une vision, tous ceux qui veulent la suivre sont les bienvenues et on avance ensemble, et ceux que ça n’intéresse pas, très bien, je leur envoie toute ma bénédiction et mon affection.

As-tu une formation en soi suffisante au marketing de Business 3G. Daniel, as-tu suivi Business 3G ?

Je plaisante mais oui, suis la formation de Business 3G, tu verras que je pense qu’il est de bonne qualité. En tout cas, je n’en ai que des compliments.

Effectivement Stéphane, moi, je veux rendre les gens autonomes. Je préfère être un groupe de gens autonomes qui soient chacun fort parce que comme ça, on est plus fort plutôt que de faire que les gens soient dépendants. Je pense qu’on passe en tant qu’entrepreneur par plusieurs phases. Il y a une phase qui est la phase de la dépendance. C’est-à-dire qu’au début, on est là, on fait des formations ou alors on a envie de quitter son job mais on ne peut pas, donc on est dépendant, d’accord. Après, on a cette phase d’indépendance. On va dire : ça y est, j’ai mon petit business, je suis capable de le fonctionner, j’emmerde tout le monde, je suis le roi du monde. Ensuite, on devient interdépendant. Et pour moi, dans ma vision en tout cas, Business 3G c’est une communauté d’infopreneur interdépendant qui partage tout ça. Et après si vous me demandez vraiment la vision, Dan Kennedy a quelque chose que moi j’adore, il a ses clubs de succès ou les gens font des réunions physiques.

Florence, merci, tu me trouves vraiment fou. C’est vrai je suis complètement dingue, oui. Ça, c’est très vrai. Si tu demandes à n’importe qui, je suis dingue, je suis juste passionné par ce que je fais. J’ai une vision et j’y crois. Est-ce que j’ai raison ou pas, je n’en sais rien, mais je suis dingue. Donc, maintenant vous savez pourquoi.

Donc, je reprends sur l’implication de la vision. D’ailleurs, je crois effectivement qu’on est tous dingue, d’accord, parce qu’il faut être dingue pour vouloir partager ses passions, pour vouloir être entrepreneur, pour faire avancer le monde. Comme on dit : « Heureux les fêlés parce qu’ils laissent passer la lumière ». Je pense qu’on est tous fêlé et pour moi, c’est l’un des plus grands compliments à me faire. J’essaie juste d’être dingue mais cohérent et pragmatique. Donc si jamais je pousse la vision de Business 3G, pourquoi je donne autant en fait aux gens qui parrainent dans Business 3G ?

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Parce que je crois que sur les gens qui sont intègres, qui sont motivés, et bien ça leur permet de faire des choses vraiment intéressantes. Ça leur permet de dire par exemple voilà : « Je vais organiser tout le mois une réunion gratuite pour les gens qui veulent créer un deuxième revenu par Internet parce qu’ils connaissent telles ou telles personnes, ils ont des relations avec telles associations, tels trucs ». Et ils vont faire cette réunion et dans cette réunion, il y a des gens qui vont s’inscrire à Business 3G. Ils seront rémunérés pour le fait d’avoir diffusé Business 3G. Et rien n’empêche qu’ils fassent après des réunions pour accompagner les gens sur leurs projets. Et on a comme ça un vrai accompagnement qui se met en place. Donc ça, j’y crois.

Après, quelque part ça vous appartient. Je suis au service de Business 3G, Business 3G est à votre service, mon rôle c’est de vous donner les outils, de vous faciliter la vie. Si un moment dont vous faites une réunion avec des entrepreneurs dans tel endroit et vous voulez que je vienne, il faut me caller, d’accord, mais pourquoi pas. Si vous faites une web conférence, c’est une question qu’on m’a posée, je n’ai aucun problème pour intervenir.

Donc tout ça, ça va se mettre en place petit à petit. Mais effectivement Business 3G, dans ma vision en tout cas, certes il y a la formation, je pense qu’il est de très bonne qualité sinon ce ne sera pas la peine d’en parler, mais il y a aussi tout ce côté méta de groupe, de projet qui vont se mettre en place et qu’on va accompagner.

Il y avait d’autres questions intéressantes là-dessus qui étaient : Oui, alors pourquoi un deuxième revenu et pourquoi pas un revenu, et pourquoi 3G ?

Alors, pourquoi un deuxième revenu parce que la plupart des francophones ne sont pas vraiment entrepreneurs parce qu’il y a une aversion c'est-à-dire que la plupart de gens en fait veulent conserver leur emploi et avoir un petit complément ou alors prendre une assurance contre la retraite. Donc si je dis un revenu, ça témoigne une idée de peur qui est l’idée du chômage, l’idée de démissionner, l’idée de tout ça. C’est pour ça que j’emploie plutôt un deuxième revenu. D’accord. Maintenant sur le côté 3G, et bien c’est simple. Et en fait ceux qui cherchent vraiment un revenu principal, deuxième revenu, ça leur parle. C’est une façon de présenter tout ça.

Maintenant sur 3G, d’où vient 3G ?

En fait, ça vient d’une croyance. C’est la troisième génération de développement en tout cas. J’ai commencé 3G sur le côté de la spiritualité en me disant : « il y a une première génération où il y avait une domination ». C’est ce côté dépendance. Encore une fois, c’est dépendance, indépendance, interdépendance. La première génération c’était « l’église a raison, l’église ou n’importe quelle dogme a raison, et vous suivez

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ce qu’ils disent ». Ensuite, ça était en rejet en disant finalement : « La religion c’est n’importe quoi, c’est la science qui a raison et la science sauvera le monde, donc on rejette complètement la religion ». Et je ne parle pas de la religion française qui a fait beaucoup de mal à l’église et à un certain nombre de personnes. Et ensuite, on se retrouve avec une réconciliation. Finalement, il y a du bon d’en bas, il y a du bon d’en haut. C’est la troisième génération.

Sur le business, il y a la troisième génération qui est que la première génération, c’était le blog, d’accord. Chacun peut créer son business. La deuxième génération c’est la vidéo qui permet de faire des formations à plus haute valeur ajoutée que des ebooks et de partager avec des partenaires. Et donc grâce à la vidéo, tout ce qui est affiliation et autre. La troisième génération, ce sont leads massifs qui permettent de travailler avec des médias et de diffuser ces produits de façon très, très large.

Aujourd’hui sur une thématique quand même un peu de niche comme la méditation, je collecte à peu près entre 1 000 et 1 500 de nouvelles adresses emails par jour. Je l’ai dit dans ma vidéo, ce n’est pas de l’esbroufe, d’accord, c’est la réalité.

Pour vous donner un exemple, je travaille avec Office AutoPilot qui n’arrive plus à extraire mes rapports parce que j’ai trop de contacts dans la base. Et sur SG Autorépondeur, il me dit de dédier des ressources spécifiques parce qu’on a une base mail qui est très importante et des mails, au lieu de partir tous à la même heure s’étalaient sur plusieurs heures. Donc tout ça pour dire que ça, c’est la troisième génération. On peut faire énormément de choses avec.

La quatrième génération, c’est une vraie question. Moi, je crois que la quatrième génération, et c’est ça que j’ai mis en place dans Business 3G, c’est le fait que des entrepreneurs se réunissent, travaillent ensemble pour créer de la valeur pour eux et pour leurs partenaires.

Est-ce qu’on va y arriver ? Je n’en sais rien mais c’est en tout cas la direction dans laquelle je crois et que petit à petit, pas à pas – Rome ne s’est pas fait en un jour – qu’on essaie de mettre en place.

Oui, alors, oui, j’ai des contacts chez effectivement Eyrolles. Je peux tout à fait transférer ton ebook chez Claudine Dartyge qui est la responsable éditoriale de Eyrolles, en tout cas, sur une des parties de l’activité.

Est-ce qu’il y a d’autres questions sur le sujet ?

Alors, comment fais-tu pour suivre également tous les inscrits et partenaires ? Eddy.

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Et bien, ce n’est pas possible et je ne crois pas que ce soit souhaitable, tout simplement parce que je considère que la responsabilité d’un chef d’entreprise, c’est de se virer. Tout simplement parce que si j’accompagne et si je continue à accompagner chaque membre individuellement, je limite la croissance de Business 3G, donc je limite une opportunité de partenariat, donc je limite votre capacité à profiter complètement de Business 3G. Ça veut donc dire que je vais mettre en place une équipe de gens qui vont pouvoir suivre les différents projets, comme ça se fait aujourd’hui.

Stéphanie, je dors assez peu en ce moment mais c’est un vrai plaisir. Effectivement, c’est mon challenge, d’accord. C’est de former des gens à la méthodologie Business 3G de manière à ce que ces gens-là puissent accompagner les autres. C’est comme ça qu’on crée de l’abondance, donc il y a effectivement des gens qui, quand ils vont être arrivés à certains niveaux, je leur dirai : « Mais écoutez, passez à travers ça. Tu as vu ce qui se passe et par conséquent, tu vas pouvoir accompagner les gens qui rentrent dans le système. On va faire des petits groupes, un peu c’est le principe des groupes, tu vas pouvoir les accompagner. Il y a des gens qui effectivement, on va recruter, je suis en train de le faire. » Et tout ça, ça crée un environnement qui prend de plus en plus de valeur.

Ben oui, je suis d’accord Stéphane, il faut bien… sinon, c’est un peu compliqué. Mais ça fait partie, je crois, de l’aventure. Je crois qu’il y a d’autres façons de voir les choses. Il y a la vision, et après je te réponds Christiane. Il y a la vision du manque qui consiste à dire : « Plus il y a de demandes, et en fait moins, moins j’en ai ». Par exemple, si vous dites voilà : « J’ai une tarte. Plus je coupe la tarte en morceau et plus j’ai une petite part ». Sauf qu’en fait un système vivant, un business ou Business 3G en soi n’est pas une tarte. C’est un système vivant c'est-à-dire qu’il se développe à mesure qu’il y a des ressources. Dans une activité, ce n’est jamais un problème d’avoir plus de ressources. Encore une fois, est-ce que vous préférez être sur un marché dans lequel vous avez un partenaire ou est-ce que vous préférez être sur un marché sur lequel il y a vingt partenaires.

Regardez le marché du marketing Internet, c’est celui où il y a le plus de blogs partenaires et c’est celui qui aujourd’hui a vraiment le plus de valeurs. Donc, oui, c’est l’explication des tartes Stéphane.

Oui, Christine, je médite, là j’ai un peu mal en ce moment. Alors après, est-ce que tout le monde jouera le jeu ? Non, je ne pense pas mais c’est pour ça que moi comme je le dis, mon objectif, j’ai une vision. D’accord. J’ai une vision de ce que doit être Business 3G et de ce qui me paraît le mieux pour que vous réussissiez. Et c’est pour

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ça qu’il y a des gens qui ne joueront pas le jeu, et ces gens-là, je suis désolé, je serai sans pitié parce que je souhaite avoir un groupe qui est aligné, qui est dans la même fréquence, et je sais très bien que dans ces cas-là, il y a toujours des gens qui sont… Et c’est ce que dit Raphaël, et donc moi, je serai sans pitié sur leur sujet.

Il y a des gens : oui, je fais les bordures mais il y a un moment, je suis obligé. Comment je le saurai ? Parce que les gens répondent aux questions, d’accord. Et je vais bien voir les comportements qui vont se passer. J’ai une agence des réputations qui suit ce qui se passe, donc si je vois des gens qui font du spam, si je vois des gens qui ont des comportements que j’estime non éthique, comme toute communauté, je le dirai, mon équipe le dira. On avancera comme ça.

Alors, Varden me dit : Je bloque avec l’utilisation d’Internet. Varden, suis la formation. Le moment où on commence vraiment à utiliser l’aspect technique, c’est à partir du niveau 5. Donc, je ne pense pas que tu y sois. Pour l’instant, réfléchis, d’accord. Là, tu es bloqué dans ta tête parce que tu dis : « Ah lala, je suis bloqué avec les questions d’Internet », tu verras que c’est plus simple que tu le penses. Donc, avance tranquillement et tu verras.

Il y a aussi des questions qui m’ont été posées sur l’aspect technique. Alors ce que je fais, je donne l’exemple d’Olivier. Olivier n’avait pas les compétences techniques pour faire ce qu’il voulait, donc on l’a mis en place et on a fait un accord de partenariat.

C’est un peu ta question David : partage de ressources nécessaires. Oui, j’ai commencé à les faire un petit peu mais souvent en fait, ça dépend de la taille, d’accord. Mais souvent, je me rends compte qu’il vaut mieux qu’on le fasse, nous, mon équipe, donc qu’on soit vraiment dans une logique d’édition tout simplement parce qu’il y a trop de morceaux. C'est-à-dire que si j’explique à quelqu’un par exemple comment avoir beaucoup de trafics, comme je le fais dans le 6.3 mais que derrière, la personne n’est pas au point sur le plan du support, elle va se retrouver complètement submergée de mails. Donc ce point, il est vraiment important.

Alors, est-ce que Business 3G est compatible avec le lancement orchestré ?

Oui, Business 3G est soluble dans le lancement orchestré, ou le lancement orchestré est soluble dans Business 3G. Absolument. D’ailleurs, j’enseigne un peu comment le faire au niveau 6.

Je précise un point Raphael : je n’ai pas lancé Business 3G avec un lancement orchestré, j’ai utilisé le lancement orchestré comme un élément complémentaire de développement de Business 3G puisque je l’ai fait en interne sur ma lead, je l’ai fait

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avec du trafic payant et je l’ai fait avec un lancement orchestré. Le lancement orchestré en fait, c’est à peu près un tiers du total. Ce n’est pas mal mais ce n’est pas de la seule chose.

Donc effectivement Patricia, ça arrive. Bois un coup, tout va bien se passer. Donc, je crois qu’à un moment, il faut juste être zen, il faut juste regarder les choses telles que c’est, et zen parce que je crois que le plus grand risque qu’on peut avoir c’est de se précipiter sur les choses. Si vous pouvez vraiment vous précipiter et aller vite, c’est pour ça que je vous propose de voir mon ambassadeur. C’est aussi pour faire diminuer nos stress parce que ça vous permet d’avoir une activité complète si vous voulez rentabiliser rapidement Business 3G. Là, vous avez quelque chose, vous n’avez besoin de rien, vous y allez. Et ensuite, ça vous permet d’avancer tranquillement dans la sérénité sur un projet.

Ensuite, il y avait une question qui est technique : Y a-t-il des personnes au niveau 7 ?

Et bien, il n’y a personne au niveau 7 aujourd’hui. Ou en fait, il y a des gens que j’ai quelque part fait passer virtuellement au niveau 7 parce que j’ai fait des partenariats avec eux. Mais aujourd’hui, les gens sont au niveau 6.2 et certains qui commencent peut-être sur le niveau 6.3.

Alors Gaëlle en fait, c’est un bon exemple. Gaëlle en fait, quelque part, je lui ai fait passer directement au niveau 7 parce qu’on a fait un partenariat ensemble et que les problématiques qu’elle a maintenant, ce sont des problématiques qu’on a au niveau 7. C’est un peu particulier parce que je l’ai un peu accéléré parce qu’elle avait une très bonne formation. Voilà.

Chaque chose a son temps. Et puis la formation d’Aurélien, elle est très bonne, donc sur les blogs et autres, tu vas annoncer ça petit à petit.

Donc oui, alors sur les partenaires justement, déjà la plupart… Peut-être tu vas faire des partenariats avec moi et ensuite, on va mettre en place ses stratégies méta pour vous aider.

Il y a un point qui est important aussi sur les partenariats, c’est une histoire énergétique. Je vais montrer un peu l’aspect spiritualité des choses mais votre liste de contact correspond en fait, quelque part, à votre score de vibration. Donc si vous avez 100 contacts, vous vibrez à 100. Si vous avez un million de contacts, vous vibrez à un million.

Si vous commencez à être avec des partenaires qui ont des listes beaucoup plus importantes que vous, et bien vous êtes en dissonance. Donc, c’est dur de discuter.

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C’est pour ça que la bonne méthode, c’est effectivement de tester avec différents partenaires et vous en avez qui sont à peu près au même niveau que vous et vous allez faire des échanges de liste. Là, vous aurez montré d’un cran. Donc, vous pouvez parler avec d’autres partenaires et tac, vous augmentez encore d’un cran. Et c’est comme ça que vous montez en fait la chaîne alimentaire. Et l’un des points que je fais, c’est pertinent, d’accord. C’est que je fais un partenariat avec les gens qui sont au niveau 6.2. J’envoie sur leur liste, qui leur permet en fait de franchir une étape puisque quand on fait ça, on a quelques centaines, quelques milliers même sur le petit pas. Tu vibres à zéro et bien, il y a différentes techniques que je t’expliquerai pour vibrer un peu plus haut.

Je prends l’exemple de Gaëlle parce que beaucoup de gens posent la question. En fait Gaëlle, elle avait une formation que moi j’ai trouvé vraiment très bien. Elle avait compris pas mal de choses. Il y avait quelques ajustements à faire et ça correspond en plus très bien à ce que je fais au sujet qui m’intéresse. Donc, je dis : « Ecoute Gaëlle, tu rentres dans la formation, tu vas suivre 5 métas. Déjà tu as un certain nombre d’étapes, donc tu vas pouvoir travailler tout de suite sur cet aspect du 6.2. » Et c’est ça qu’on a mis en place.

Aujourd’hui, j’ai discuté avec Gaëlle il y a 2 jours. Elle me dit voilà : « Mon problème aujourd’hui c’est que j’ai recruté quelqu’un et il faut que je résolve mes problèmes de support de la sortie des prochaines offres, etc. Donc, elle est sur des problématiques qui sont effectivement des problématiques du niveau 7. Voilà.

Alors, est-ce que la différence vibratoire est quantitative ou qualitative ? Stéphanie.

C’est une bonne question. En fait, il y a les deux parce que je ne sais pas si je comprends vraiment bien tes propos mais la façon dont moi je les comprends, c’est de dire qu’effectivement tu as des gens qui ont des listes de tailles plus ou moins importantes. Donc, c’est une première différence vibratoire de quantité. Et après, tu as des gens qui vont parler de sujets de façon différente, plus qualitative. Donc, si par exemple tu es dans le domaine du couple, tu as des gens qui vont parler de la séduction en elle-même au sens de « Je veux coucher avec tout ce qui se passe ». Et tu as des gens qui vont parler plus de : « Je veux trouver l’âme sœur ». Et là, tu ne vas pas être dans la même vibration même si tu es au même niveau de liste. Donc, ça fait partie du diagnostic que tu peux me faire au début.

Oui, effectivement j’essaie d’enseigner à vibrer toujours plus haut mais on avance. Voilà.

Ceux qui veulent coucher avec l’âme sœur là, c’est une niche spéciale.

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Est-ce qu’il y a d’autres questions ?

Ah oui, mon avis sur le Jean le marketing, qui est Olivier Roland.

Alors un, il y avait une mode dans le domaine d’Internet marketing, c’est le guru bashing qui est de dire : « Oui, un tel est nul, je me suis arnaqué par un tel, etc. etc. ». C’est un gourou, le guru de l’Internet marketing et bashing, taper dessus. Voilà, Laurent est nul, exactement. D’ailleurs, il y a plein de gens qui certainement le disent, ils le diront, ils seront ravis de le dire, de le partager.

De toute façon, dès qu’on fait quelque chose d’un peu ambitieux, et bien on se fait toujours taper dessus. Donc ça, c’est la règle, il faut le savoir, ça va avec le job d’une certaine façon. Parce qu’il y a des gens qui n’ont que ça à faire, qui est plutôt que de prendre leur vie en main, de taper sur les autres parce que si vous voulez, quand vous voyez des gens qui essaient de faire des choses, il y en a qui se sentent attaquer, qui se sentent diminuer alors ce n’est pas du tout ça. Et pour lutter contre ce sentiment d’inconfort qu’ils ressentent, ils essaient de vous diminuer vous et de vous attaquer.

Donc ça, malheureusement, c’est la nature humaine. Et comme dit Rudyard Kipling, un poème que j’aime beaucoup dans « Si tu veux être un homme », quelque part, il y a les louanges, il y a les critiques, tout ça, ce sont deux menteurs, l’important c’est d’avancer avec ce qui est juste pour nous. Voilà.

Alors, maintenant qu’est-ce que je pense de Jean ?

Je le connais peu. Je pense qu’il a une très bonne stratégie parce qu’il a une vraie gamme de produits c'est-à-dire qu’il est capable de sortir des produits très vite. Il a des produits qui correspondent exactement à sa niche donc je trouve qu’il est très fort. En plus, j’avais vu certains de ses produits qui me paraissent de bonne qualité. Maintenant, je n’en connais pas plus. Ce que je trouve un peu dommage ; c’est qu’il a tendance à taper un peu sur certaines personnes mais je crois qu’on est tous ensemble dans le même bateau. Il n’y a pas de concurrence, on avance ensemble. C’est de la compétition.

Donc Olivier, je connais beaucoup plus, c’est un copain. Je le respecte énormément parce que contrairement à moi, lui, il avait fait de l’entrepreneuriat depuis qu’il a 18 ans. C’est vraiment un très bon pro de l’entrepreneuriat. J’ai un défaut que lui n’a pas c'est-à-dire que moi, je suis obsédé par mon travail, peut-être dans le bon sens du terme. J’ai une vision, j’essaie d’analyser. Olivier arrive à être plus détaché de tout ça, il essaie de pratiquer vraiment « la semaine de 4 heures ». Moi, ça ne me fait pas vibrer ce côté-là. Moi, j’adore réaliser des choses, j’adore construire des choses,

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j’adore accompagner des gens, j’adore faire ça. Donc en attendant, tous ces gens-là, ce sont des grands professionnels avec leurs avantages, leurs défauts mais je pense que chacun d’entre eux essaie avec ses ressources d’être le plus esthétique et le plus professionnel possible en accompagnant ses élèves, voilà.

Ouais, je suis d’accord Stéphane, c’est des humains. En tout cas, c’est vrai. Moi, j’ai une approche qui est effectivement très particulière. Je réunis quelque part ma vision du développement personnel et de la spiritualité et j’assume le mot avec l’entrepreneuriat et j’assume le mot aussi. Je réunis le fait de se réaliser personnellement avec le fait de gagner sa vie correctement. Donc voilà, ça, c’est ce que j’enseigne. Il y a des gens à qui ça correspond très bien, et d’autres à qui ça ne correspond pas, et je n’ai aucun problème avec ça, il faut de tout pour faire un monde.

Alors, le MLM. Ce que je pense du MLM, c’est que c’est une opportunité qui va être de plus en plus nécessaire pour beaucoup de gens. Le problème quand on fait du MLM, c’est que souvent on construit les actifs d’autres personnes. Et il faut vraiment bien choisir son réseau parce qu’il y a des réseaux qui paraissent très attractifs et en fait, ils s’effondrent et donc on perd. Il y a des gens qui perdent beaucoup d’argents là-dedans, en tout cas qui n’ont pas gagné beaucoup d’argents qu’ils pensaient avoir gagnés. Et puis le problème, c’est que les réseaux de MLM changent souvent leurs règles, donc on est un peu coincé.

Je pense que la question du MLM, effectivement, revient toujours. Ça fait peut-être partie des choses que je mentionnerai explicitement dans Business 3G. En tout cas, on en parlera dans une conférence.

Oui bon voilà, le MLM c’est une excellente école si on le prend dans une logique de don. Si on y va « je vais en mettre plein les poches », souvent on est déçu.

Oui, l’argent doit être trouvé sur la planète comme le sang circule dans le corps humain. C’est comme l’eau doit circuler. C’est très simple, si vous prenez une mare où l’eau ne circule pas, elle stagne et est tout pourrie. Si vous avez de l’eau qui circule, et bien, vous avez des fleurs, vous avez des plantes, vous avez le cycle de l’eau qui se met en place. Et l’argent c’est pareil, c’est de l’eau, c’est de l’énergie, c’est tout ça.

Alors les VDI comme le MLM, je ne connais pas assez cette activité, je ne l’ai jamais faite. Donc, je peux juste donner mon avis extérieur. Je pense que le VDI, c’est un statut et que suivant les systèmes dans lesquels les gens sont, on peut avoir des effets pervers. Il y a beaucoup de systèmes qui sont extrêmement agressifs sur la

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vente, et donc il y a des gens qui sont faits pour ça, qui adorent le challenge, qui adorent vendre de trucs de plus de machin et d’autres que ça va démotiver complètement et qui ne sont pas faits pour ça. Donc encore une fois, c’est une histoire de fréquence et de vibration. C'est-à-dire que si vous êtes dans la fréquence des gens que vous rencontrez, de ceux qui ont du succès, allez-y parce que ça va être génial pour vous, vous allez vous amuser et vous allez gagner de l’argent. Si les gens qui ont de succès que vous rencontrez, vous n’avez pas confiance en eux, vous avez l’impression que ce sont des vendeurs de tapis, vous n’aimez pas les produits et autres, n’y allez pas. Il y a dix millions d’opportunités, d’accord, qui frappent à votre porte, donc vous avez la possibilité de choisir.

Fabien, est-ce qu’il sera possible d’avoir une liste géographique et thématique pour que les membres de Business 3G puissent se rencontrer ?

Oui. A ça, alors je continue sur ce que je voulais mettre en place. Après, encore une fois ça dépend de gens qui sont prêts à s’investir, à partager cette vision. Mais si, vous voyez par exemple par Dan Kennedy, il a mis en place des cercles de succès qui sont que tous les mois, les membres se réunissent d’une ville par exemple. Ils se réunissent pour partager sur leurs projets et échanger. Donc ça, moi c’est des choses que j’aimerais bien voir apparaître parce que c’est plus facile d’échanger, c’est plus facile de partager quand on est en physique. Après, ça demande un peu une structure, ça demande un mode de fonctionnement, ça demande des Business modèles donc ça se fait petit à petit. Et ça se fera avec vous parce que comme j’ai dit : Business 3G, c’est à vous. Quand vous avez 70 % qui vous revient, c’est grâce plus à vous qu’à moi. Moi, j’essaie de créer la structure pour vous permettre de donner ce que vous avez à donner. Voilà. Donc quelque part ça, ça vous appartient.

Voilà. Merci à Louise en tout cas et à tous ceux qui doivent partir. Je sais qu’il y en a qui doivent partir. De toute façon, tout ça est enregistré donc vous l’aurez. Merci de votre participation à tous, moi, je reste pour les questions.

Oui, le Business 4G, c’est effectivement le méta Business 3G, on est tout à fait d’accord.

Alors, Christiane, tu es adorable, tu aimerais connaître ma réponse à ta question mais j’ai un peu du mal à l’avoir. Donc, je veux bien que tu la reposes si tu veux bien.

Oui, tu me dis à plusieurs fois : Peux-tu répondre à ma question ? Mais si tu ne remets pas ta question, j’ai beaucoup de mal à suivre, je suis désolé.

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Oui, alors ça, sur le fait de mettre en place des cercles de succès ; ça, je vous expliquerai comment faire. Même chose, Rome ne s’est pas fait en un jour. Et plus, on a quelque chose qui veut aller haut, puis il forme des racines profondes. Et comme toujours, il y a des gens qui vont être enthousiastes et puis après vont arrêter. Toujours pareil, donc on avance tranquillement. Et effectivement, on est sur des spirales, donc on construit des bases.

Christiane, n’hésite pas à me poser ta question.

Alors, les gens du Québec. Oui, bien entendu, il n’y a aucun problème. Je te dis, on est sur des langues, d’accord.

Martine : est-ce que tous les projets sont compatibles avec Business 3G ?

Les projets, non pas forcément, mais plus sont les projets qui sont prêts du marketing d’informations et du côté un peu grand public ou B to E, donc Business to entrepreneur. Plus, c’est compatible. Dès qu’on commence à être sur des B to C, sur des prestations, sur des choses comme or il y a quelqu’un qui veut remplir son cabinet de thérapeute. Cabinet de thérapeute, il faut qu’il change de modèle ; soit, il veut remplir son cabinet de thérapeute, dans ce cas, c’est d’autres techniques, soit il est prêt à approcher des choses du point de vue de l’Internet et dans ce cas-là, ça change la logique.

Alors, à quel moment crées-tu un partenariat ?

Oui, alors en fait, quand le produit est en place. Donc Stéphane, pour moi, je t’ai dit : je suis tout à fait Ok pour faire un partenariat avec toi, il faut qu’on le cale dans le planning mais je dirai c’est dans l’intention et on va le faire.

Donc, oui Jérôme. Les quatre questions, alors c’était ça ta question Christiane. Les quatre questions, je vais les redonner. Les quatre questions c’est :

- Qu’est-ce que tu veux donner ? Ça part vraiment du don et de ce que tu as en toi, d’accord.

- A qui ? Parce que là, on parle de ton client idéal, aux personnes qui sont importantes pour toi.

- Pourquoi ? Parce que le pourquoi, c’est très important. C’est qu’est-ce qui te motive au-delà de peut-être l’argent, le succès, tout ça, mais qu’est-ce qui fait écho en toi dans ce projet, dans ce que tu veux donner ?

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- Et le comment. Alors le comment, Business 3G t’apprend mais c’est important déjà de voir. Même si le début est une petite graine, comment tu vois les choses, comment tu conçois ton projet ?

Pourrait-on faire des partenariats sans une liste ? Evelyne.

La réponse, c’est oui. Evidemment, si on part de rien, c’est plus compliqué pour des questions vibratoires. Mais je donne un exemple : là, il y a certain nombre de partenariats qu’on est en train de mettre en place ou je vais envoyer une partie de ma liste. Aujourd’hui, j’ai une liste qui n’est pas forcément la partie la plus réactive de ma liste, d’accord mais qui permet déjà de faire des tests. Et ça, ça permet d’envoyer suivant la thématique entre quelques centaines et quelques milliers de contacts. Donc, on fait un partenariat là-dessus et ensuite, ça permet d’avoir quelques milliers de contacts, ce qui permet ensuite d’avancer et de contacter d’autres partenaires et de faire des projets métas, par exemple, sur des foires aux cadeaux. Donc, chaque chose en son temps. Effectivement si tu pars de zéro, il faut bien commencer quelque part mais ça fait partie du chemin.

Comment faire un tri pour répondre à ces quatre questions quand on est multi passionné avec beaucoup d’expériences douloureuses et les solutions trouvées à partager ? J’ai du mal, c’est à cause de moi que j’ai commencé…

Alors Fabien, je te rassure, il y a quelqu’un qui pourrait répondre à ces questions en or et je n’en ai pas dormi pendant trois jours. Je pense que cette décantation est importante. Tu as deux options par rapport à ça. La première, c’est prendre l’expérience qui était la plus douloureuse ou la plus enrichissante pour toi. Ca, c’est un premier point, le truc qui est le plus lourd. Le deuxième point c’est que, regardez les gens qui sont autour de toi, et ceux que tu attires. Les gens sur lesquels qui viennent de demander des conseils sur quelles thématiques. Quels sont les gens que tu aimerais les plus accompagner ? Tu vois, ça, c’est dès façons d’aborder le sujet. Et bien, il y a une troisième qui est simplement de se jeter à l’eau parce que dans le système français en tout cas, la tendance nous apprend à être analytiques. On est là, on fait des équations, on est sur notre feuille, notre ordinateur. Mais comme le disait Audiard : « Deux gens intellectuels assis iront toujours moins loin qu’un con qui marche ». Parfois, il vaut mieux être un con qui marche et prendre un projet et se planter, se rendre compte que ce n’est pas ça. Et par contre, se dire : « Bah tiens, je me suis planté mais au moins j’ai appris, et maintenant, je vais prendre la bonne direction ».

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Donc Fabien, sur la démotivation et sur le fait d’avoir plein de directions, je pense que tu peux demander à Stéphane qui effectivement a fait un certain nombre d’aller-retour dans Business 3G. Et il a fait quelque chose de remarquable, c’est qu’il a avancé. Il a avancé à droite, il a avancé à gauche. Et le fait d’avancer, ça l’a aidé à préciser son projet. Et aujourd’hui, le niveau 6, il a un projet très bien. Donc, travaille, si t’as peur de démotiver, travailles sur ton pourquoi. D’abord, pourquoi tu fais ça ?

Merci Edith, je t’enverrai le replay bien sûr.

Oui, Nadège, on sait bien, les quatre questions, ça a été difficile pour toi, je sais, mais c’est normal. Donc ne vous en faites pas, il vaut mieux que vous avez du mal sur les quatre questions, qu’elles vous prennent la tête mais que ça vous aide à préciser votre motivation plutôt que vous montiez tout un projet, comme moi à mes débuts, si je vous parle des quatre questions, c’est parce que le fait de ne pas répondre, ça m’a coûté 100 000 €. Donc si vous voulez dépenser 100 000 € sur votre projet, allez-y, il n’y a aucun problème. Mais si vous ne voulez pas, ça vaut la peine de passer un jour, deux jours, deux semaines, cinq semaines sur le sujet et au moins d’avoir quelque chose qui est le plus aligné possible.

Et bien oui, il y a des situations très difficiles parce qu’elles sont très importantes, voilà donc.

Alors, oui, pour l’affiliation avec 1TPE. Non, Claudia, tu peux commencer tout de suite sur l’affiliation avec 1TPE. D’ailleurs, tu regardes la méthode fast cash, j’explique comment l’utiliser, comment tu peux créer ton microbusiness en 20 minutes ; comment tu peux utiliser ce Business 3G si tu veux. Donc tout ça, tu peux tout à fait commencer tout de suite.

Oui. Alors ça, on va mentionner parce que Nadège, merci de partager ce point-là. Je sais qu’il y a beaucoup de gens qui ont investi dans beaucoup de formations et qui ont dépensé beaucoup d’argents. J’ai vu des gens sur des projets de bourse qui disent : « Ah lala, j’ai dépensé 5 000, 10 000, 15 000, 20 000 €. J’ai dépensé 30 000 €. Alors moi, j’ai fait 100 000, ce n’est pas mal, d’accord. Mais quand on ne sait pas comment aborder Internet, autant quand on sait faire, ça peut être extraordinaire ; autant quand on ne sait pas faire, ça peut être un enfer. Et malheureusement, il y a des gens qui vivent un enfer parce qu’ils ont mal compris Internet. C’est pour ça que j’ai demandé les bourses parce qu’il y a des gens à qui j’ai donné des conseils et à qui j’ai déconseillé de rejoindre Business 3G parce qu’il y a besoin de stabiliser des choses dans leur vie d’avant. Mais la raison pour laquelle ces gens-là sont dans la merde – excusez-moi, je suis vulgaire – Pourquoi ils sont dans la merde ? C’est parce qu’ils

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n’ont pas réfléchi. Et ce n’est pas de leurs fautes, c’est parce qu’on ne leur a pas appris à réfléchir ou alors c’est parce qu’ils se sont laissés tenter par des formations des autres. Ce n’est pas de la faute des formateurs qui souvent présentent avec la meilleure éthique, et leur passion, leur enthousiasme, ce qui a marché pour eux et des gens qui lisent mal ça, ou qui les comprennent mal, ou qui ne voient que ce qu’ils ont envie de voir. Et malheureusement, c’est des gens qui, ils ont perdu une fois et puis ils ont reperdu une autre fois. Puis, ils ont tellement perdu qu’en fait, s’ils ne gagnaient pas, et bien ils se sentiront mal. C’est le syndrome du joueur. C’est là-dessus que les casinos fonctionnent. Et donc on a perdu. Donc plus on a perdu et plus il faut qu’on joue pour essayer de se refaire.

Malheureusement, ça arrive. C’est malheureusement une des réalités du monde d’Internet. Donc pour ça, la seule solution que moi j’ai trouvée, c’est d’être clair sur ce qu’on veut faire. Donc, les quatre questions en or. Et si vous prenez la tête dessus, c’est une excellente nouvelle. Ça veut dire que vous vous épargnez des milliers d’euros d’investissement et des heures et des heures perdues pour au final vous retrouver sans rien au bout. Voilà.

Oui Guillaume, alors tu me dis : « Depuis le début de Business 3G, je dors moins bien, le cerveau qui réfléchit beaucoup, est-ce que c’est normal ? »

Non, c’est une formation qui n’est pas reposante. Elle remue, je suis d’accord. Il y a des gens qui m’ont dit : « Je n’ai pas dormi pendant trois jours ».

Mais parce que c’est les questions… Un accouchement, d’accord, est-ce que c’est reposant ? Non, un accouchement, ce n’est pas reposant. Mais en même temps, si tu n’as pas l’accouchement, tu n’as pas le bébé derrière. Donc tout ce qu’il y a de la valeur, ça demande du temps. Et ça perturbe, c’est normal parce que si ça ne perturbait pas, ça veut dire que la formation ne t’apporterait rien, que ce sera juste un truc de plus. Oui, du contenu, si tu veux, tu tapes sur Google : créer son business sur Internet, tu as des millions de pages.

Donc ça, ce n’est pas un problème, le contenu. Mais c’est justement cette transformation en toi qui va faire que tu vas avoir une transformation sur ton business.

Oui, c’est l’effet Business 3G. Bienvenue au club.

Alors oui, attends.

Comment on tchatte ?

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Ah oui voilà, waouh. Donc merci, c’est une excellente idée pour le…

Alors, David me dit : on a actuellement à peu près combien de start-ups Business 3G ?

Je te dis David, c’est un indicateur que je ne suis pas. Je suis les flux et je suis les stocks. C’est-à-dire que le flux aujourd’hui, il y a à peu près peut-être une dizaine de questions en or sur les derniers jours, mais c’est normal puisqu’il y a eu beaucoup de dizaine de nouveau par jour parce qu’il y a eu ce lancement. Après au sixième niveau, il y a peut-être cinq personnes. Donc, c’est ça que je suis. Après le chiffre en lui-même, je ne le suis pas parce que pour moi, ce qui m’importe, c’est votre expérience, c’est le fait que vous puissiez proposer la formation à d’autres et je mets les ressources pour le suivre.

Eh bien, merci Sylviane c’est sympa !

Alors, doit-on utiliser le service de sous-traitant pour concevoir notre formation sur le contenu vidéo ?

Je considère que c’est très dur de sous-traiter quelque chose qu’on ne sait pas faire soi-même. Alors ça, c’est une leçon de ma grand-mère entrepreneuse, c’est un conseil qui date de 50 ans mais j’y crois. Non peut-être pas 50 ans mais 20 ans. Je crois qu’au début, il vaut mieux essayer de faire les choses par soi-même quitte à ce que ça prenne un peu plus de temps parce que ça permet de ne pas se faire pipoter.

Moi, je vais vous raconter une histoire, j’étais… Oui, Marie Antonia, le fast cash, c’est dans les études de cas, vraiment du début. Je participais à une réunion entre le groupe de Lagardère et un grand groupe d’édition, et ils ont commencé à expliquer des tas de trucs techniques et ça allait prendre un mois de développement. Mais en fait, moi je connaissais le sujet et je leur ai dit « Ecoutez voilà, vous allez faire comme ça, ça va vous prendre deux heures ». Et on me dit « Et bien oui, c’est vrai, on n’y avait pas pensé ».

Donc, on aurait pu très bien utiliser cette entreprise en tant que sous-traitant mais ils auraient passé un mois pour le faire, alors qu’en fait, moi je l’avais déjà fait, j’ai pu leur dire : « Bon, vous allez faire comme ça, ça va vous prendre quelques heures ». Donc c’est pour ça que sous-traiter c’est bien, mais il vaut mieux déjà connaître de quoi il s’agit.

Oui, Jean Philippe tu me dis que tu viens de la presse spécialisée, tu adores le Serious Game. Oui, c’est un peu aussi ma grande folie si tu veux. J’essaye que les choses soient fun, d’accord. Après, on peut complexifier comme on veut, donc je ne veux pas

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que la forme nuise au fond mais ça donne une petite, je vais faire une simulation, l’envie de connaître la suite de l’histoire. Voilà.

Après, il y a une question : Où avoir les réponses à ma présentation ?

Donc de toute façon, les réponses ou commentaires sur le site ce sont des choses que je traite en continue. Ce sont des choses que vous allez avoir.

Jean Philippe, oui, tu n’as plus le temps de jouer aux jeux vidéo. Je vais te dire un truc Jean Philippe : avant, je jouais beaucoup aux jeux vidéo, et maintenant je considère que mon business sur Internet c’est le meilleur jeu vidéo auquel je n’ai jamais joué. Alors quand je me plante, parce que comme tout le monde je me plante, je fais des erreurs, je suis un être humain, d’accord. Quand je me plante, je me dis « merde, c’était quand même plus simple de jouer aux jeux vidéo » mais pour moi, j’ai l’impression de vraiment faire un jeu dans le monde réel.

Donc, quand est-ce que je dors ?

C’est une bonne question. En ce moment, je ne dors pas beaucoup, mais je trouve que ça en vaut vraiment la peine parce que je suis en train de poser les fondations de tout ça.

Oui, quand on le fait bien, c’est le plus passionnant des jeux. Moi, j’adore. Et puis surtout le fait de pouvoir le partager avec vous, et c’est pour ça que moi je vous remercie parce que ça rend l’aventure plus fun. Vous voyez ce que je veux dire ? Quand on est ensemble, on se soutient bien entendu. Il y aura des gens qui vont avoir des succès extraordinaires et des gens où pour qui ça va être plus difficile. C’est normal, parce que la vie est comme ça. Mais le fait de pouvoir se soutenir, le fait de pouvoir dire : « Tiens… », dans une même guilde : « ben oui, merde, ça n’a pas marché. » « Attends, qu’est-ce qui n’a pas marché ? On doit le faire comme ça. », c’est une aventure, d’accord, et pour moi, c’est vraiment important ce sujet.

Alors Fabien : est-ce que mes conférences hebdomadaires se dérouleront le même jour ?

En fait, j’avais pensé à le faire le même jour mais je me rends compte qu’il y a des gens qui ne vont peut-être pas être disponibles certains jours par structure. Donc, je vais peut-être essayer de les faire tourner dans la semaine. Je vais essayer de mettre en place un calendrier pour tout ça.

Alors, comment je gère les gens à qui je dis « Non » ?

Et bien, je leur dis « Non ».

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Pourquoi est-ce que j’ai un peu rouspillé Alain tout à l’heure, c’était pour faire, par exemple, c’est pour communiquer une idée. Ce n’est pas Alain, ce n’est pas un souci ce qu’il a dit, mais je veux communiquer une idée qui est que pour moi, il y a un certain nombre de règles qui sont importants, qui sont le fait que l’on avance ensemble, on respecte ce qu’on fait et qu’on se soutient mutuellement. Donc, il y a des façons de dire les choses : je n’ai aucun problème, j’ai plein de défauts, je fais plein d’erreurs. Mais il y a des façons de s’exprimer au sein du groupe avec les groupes.

Donc, comment je gère les refus ?

Je dis tout simplement « Non ». Je dis : « Je suis désolé, tu devrais faire comme ça et ton projet, il ne tient pas la route pour telles raisons, tu peux l’améliorer comme ça. Travaille dessus et tu reviendras dans Business 3G plus tard si tu veux ».

Alors Fabien : Blog sur le thème des arts martiaux ? Excellent sujet, est-ce que je dois en faire quelque chose ?

Oui, bien sûr. Mais alors tu sais, je vais te dire : tout est un phénomène un peu spécial. Tu crois que la méditation, c’est un sujet où beaucoup de gens achète des produits ? Tu as plein de méditation gratuite sur le Net. Donc, je ne suis certainement pas en train de vous dire que j’arnaque mes clients parce que je propose une valeur qui est supérieure à ce qu’ils peuvent trouver gratuitement sur Internet. Je prends juste un exemple. Tu as 750 contacts, parfait, quelle est leur plus grande frustration aujourd'hui ? Est-ce qu'ils font tous du Karaté, tous du Judo ? Est-ce qu'ils sont tous autonomes ? Est-ce que c'est tous ces arts martiaux en général ? Est-ce qu'ils s'intéressent plus à l'aspect physique des arts martiaux ? Est-ce qu'ils s'intéressent plus à la philosophie des arts martiaux ? Tu peux très bien – ça, c'est un exemple que je te donne – faire un sondage en disant : « Comment est-ce que je peux le mieux vous aider », en leur posant quelques questions très concrètes. Et là, ils vont te donner la thématique de ton prochain produit. Tu vas regarder sur Amazon les meilleures ventes dans le domaine des arts martiaux, tu vas voir ce que c'est, tu peux leur proposer : « Est-ce que quelque chose comme ça vous intéresserait ? ». Donc, tu vois ?

Tu vas leur proposer un sondage, ils ne répondent pas, et bien dans ce cas-là, peut-être que tu as une liste qui ne vaut rien. Tu vois, si tu as construit pendant un an une liste où les gens ne sont pas réactifs, ils sont tous inscrits parce qu’ils n’utilisaient que des adresses jetables, je ne sais pas comment tu as construit ta liste. Tu vois, si elle n'est pas réactive, soit effectivement elle n'est pas réactive parce qu'elle est mal

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construite, je connais des listes comme ça, soit ce sont des gens qui sont…, tu ne communiques peut-être pas assez avec eux. Dans ce cas-là, et bien tu vois les articles que tu as sur ton blog, des thématiques qui toi te parle par rapport à ton P3, d'accord. Si on reçoit beaucoup de mails de remerciements, à ce moment-là donne autre chose. Tu dis : « Ecoutez voilà, j'aimerais vous offrir tel article que j'ai fait ou telle compilation des meilleurs articles du blog. En échange, je vous demande juste un conseil, je vous demande juste de me dire comment je peux vous aider au mieux ». Donc, tu peux tout à fait la stimuler ta liste simplement en leur donnant ce qu'ils apprécient de ta part.

Et sincèrement, regarde bien ces 2 axes parce que si tu es « arts martiaux », le problème c'est que c'est très large. Entre Judo et Karaté, ce ne sont pas les mêmes choses. Mais par contre, je pense qu'il ya 2 axes : il y a le côté entraînement physique : comment entraîner son corps pour réussir les arts martiaux ? Ce n'est pas pareil que l'entraînement physique en général. Et puis, il y a le côté plus mental, tu vois. A mon avis, les fans d'arts martiaux, ils sont plus sur le domaine du physique donc tu pourrais imaginer. Tu vois, là, je brode. C’est juste purement de la créativité. Tu pourrais très bien imaginer de créer la formation, je ne sais pas quel nom tu lui donnerais mais qui serait « ceinture noire expert » ou je n'en sais rien, où tu partages des techniques d'entraînement physique associées avec des considérations spirituelles et de développement personnel, qui permettrait si tu veux, c'est l'entraînement total. D’ailleurs, ça pourrait être le nom du produit, tu vois : « entraînement total », et qui permet aux gens de renforcer leur côté art martial à la fois sur le côté physique et sur le côté de l'esprit. Donc si c'est quelque chose qui te parle, tu peux tout à fait leur proposer en disant : « je vais faire ça, est-ce que ça vous intéresse? » Donc là, ça, c'est juste une idée.

Stéphanie : Je blogue sur la musique pour aider les artistes à créer leurs musiques et à les faire connaître. J’enregistre aussi mes albums sur Internet, sur toutes les plateformes.

Stéphanie, il faut bien différencier deux choses. Ce qui se passe avec la musique, c'est que c'est une commodité, d'accord. Ça ne veut pas dire que ta musique n'est pas bonne. Ça veut dire que de la musique, tu en trouves partout gratuitement et l'industrie du disque et de la musique ne va pas super bien. Tu peux très bien te mettre sur toutes les plateformes, mais dans ce cas-là, tu ne vas pas avoir de différenciation. Evidemment tu peux communiquer, tu fais des vidéos sur Youtube, tu peux faire plein de choses, mais le problème de ça, c'est qu'il y a beaucoup de bruits. Donc si tu fais un clip totalement délirant, dans ce cas-là il faut faire ce que l’on

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appelle de la publicité outrageuse. Donc, faire un clip délirant un peu comme Lady Gaga, tu t'habilles avec des côtes de porc, un truc comme ça, en espérant que ton truc fasse le buzz. Ça, c'est une possibilité pourquoi pas. Mais j'aimerais te proposer de voir ta musique de façon un peu différente.

D'ailleurs, il me semble t'avoir répondu sur le sujet. En tout cas, j'ai préparé la réponse pour te la donner qui est que : il faut que tu voies ta musique, non pas comme un but mais comme un moyen. Tu me disais si je me souviens bien que ta musique, en fait les gens qui l'achètent, qui l'écoutent, ce sont des gens stressés : que tu les déstresses, tu les aides à se sentir mieux. Donc, je te propose de voir ta musique non pas comme un but mais comme un moyen. Et ce moyen étant de se déstresser, de se relaxer, de vivre mieux. Dans ce cas-là, qu'est-ce qui t'empêche de proposer une formation, une méthode dont ta musique serait un composant important. Par exemple, tu vas dire aux gens voilà : « Je vais vous expliquer comment mieux utiliser vos compétences personnelles, par exemple, où je vais traiter 5 sujets comme la concentration, la relaxation et autres. » Et sur chacun des modules, tu vas proposer quelques conseils et en même temps, une musique qui va être adaptée par rapport à cette chose-là. Par exemple, « Vous pouvez utiliser cette musique », « Je vous ai parlé de la concentration, voilà les points clés sur la concentration, voilà les types de musique qui sont importants pour vous si vous voulez être plus productifs quand vous travaillez. Et en même temps, voilà ces 5 musiques que j'ai faites pour vous pour mieux vous concentrer. » Donc de cette façon, tu améliores la valeur que tu prouves. Tu vois ? Donc je t'engage à passer au niveau méta.

Quelque part, tu as ta musique. Certes, c’est une bonne chose, mais réfléchis au besoin que sert ta musique, ta musique en tant que moyen d'atteindre un besoin. Et donc ce que tu fais, ce n'est pas de la musique, c'est que tu satisfais un besoin humain. Donc réfléchis au besoin humain que tu satisfais et comment tu peux y répondre. Ça, c'est vraiment le conseil que je te donne. Après, tu as le côté : tu vas aller sur my major company, tu vas faire ta vidéo où tu es à poil au milieu des pingouins pour que ça fasse le buzz. Toutes ces techniques-là, ils sont relativement connus. Comme tout le monde les emploie, c'est de plus en plus difficile, tu vois. Donc après, ça m'intéresse si tu fais ce genre de vidéo parce que j'aime bien rigoler en les voyant, mais c'est à toi de voir.

Alors, le livre électronique est-il toujours d'actualité pour son projet ? C’est ce que me dit Michel.

Oui, il est toujours d'actualité. Le problème, c'est comme tout, c'est que tout change dans la vie. Il y a 5 ans, le fait de recevoir un email était un truc juste hallucinant et

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c'était drôle, et on avait « You got mail » d’AOL. Maintenant si on avait « You got mail », d'accord, on serait tous fou et on jetterait notre ordinateur par la fenêtre.

Le ebook s'est développé avec ça, et le fait qu'il y ait cette nouveauté, ce côté instantané, est quelque chose qui justifiait des prix importants. C’est-à-dire qu'il y a des gens qui achetaient, on peut avoir des ebooks qui sont à 37 € sur une thématique alors qu'on va trouver le même livre dans une librairie à 11 €. Donc, on avait cette différence de prix alors que tout simplement parce que le média était nouveau. Ce qui s'est passé, c'est qu’il y a eu de plus en plus d’ebooks parfois de qualité assez médiocre, et la valeur perçue est descendue alors que le prix, lui, n'a pas baissé. Donc, c'est plus difficile de vendre des ebooks.

C'est possible, je ne dis pas que ce n'est pas possible, mais c'est plus difficile. En même temps, il y a eu un phénomène qui est le Kindle. Le Kindle ça a fait que beaucoup de gens ont commencé, au lieu d'aller sur les ebooks, ils demandent quand même de faire une page de vente, ils demandent de la technicité, et bien ils ont dit que finalement il y a des gens qui leur ont expliqué ça, ils auront vendu du rêve quelque part en leur disant : « Il suffit de faire un livre, le mettre sur le Kindle et puis vous gagnez de l'argent toute votre vie, c'est super simple ». Ce qui fait que le contenu peu cher sur le Kindle a augmenté de façon exponentielle donc qu’est-ce qui gagne ? C'est Amazon. Pour Amazon, l’ebook, c'est parfait. Par contre, si tu veux gagner ta vie sans être une maison d'édition en ayant 10, 20, 50, 100 ebooks, ça va être très, très difficile. Encore une fois, il y a des exceptions.

Il y a effectivement, Claude, Christian Godefroy qui avait fait son cours sur le Kindle, où il expliquait comment faire et autres. Et Christian, au début, je pense qu'il avait gagné un peu d’argent sur le Kindle mais le problème c'est que comme vous avez beaucoup de concurrents et peu de valeur, c'est très compliqué de gagner des sous. Et on peut gagner le statut d'auteurs certes, et gagner en audience certes, ça fait grossir sa liste certes, mais c'est dur de gagner sa vie uniquement avec ça. C'est pour ça que moi je propose plutôt de travailler sur des taux des formations à haute valeur ajoutée. Donc, on peut vraiment apporter beaucoup de valeurs aux gens et effectivement, on sort un peu du domaine de l'ebook.

Encore une fois, j'en discutais avec Sylvain Milon qui est le responsable et le fondateur de 1TPE, qui est un ami. Puis, il interviendra dans une des séances qu'on fera toutes les semaines. Il me dit : « Mais non, il y a toujours de l'avenir pour les ebooks, ça se vend toujours ». Certes, ça se vend. Moi, je constate néanmoins, c'est une question qu'on me posait, est-ce qu’on a une baisse des taux de conversion ? Je constate que oui. D'accord. Est ce que c’est peut-être anecdotique, c'est peut-être

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temporaire, je n'en sais rien mais les lois économiques font que clairement la valeur du livre électronique pur est quelque chose qui ne peut que baisser à mon sens. Donc, je pense avoir répondu à ta question Christophe. En fait, moi, je ne mesure pas mon taux de conversion Christophe parce que… je vais répondre à ton point Christophe mais je veux juste répondre à ce que dit Fanny.

Il y a tout un tas d'exemples de succès. Il y a des gens qui écrivent des séries. Mais encore une fois, il y a des gens qui jouent au loto et qui ont de très beaux résultats. Donc la question, c'est : est-ce que c'est une stratégie ou est-ce que c'est quelque chose sur lequel on joue sur la chance ? Moi je ne sais pas jouer sur la chance, je ne sais pas le faire. Donc, j'évite ces stratégies-là. Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de gens qui réussissent dedans. Ça veut dire qu’il y en a qui tire leur épingle du jeu. Effectivement, ils ne sont pas riches mais ce n'est pas scalable. Moi, ce qui m'intéresse c'est construire des business.

Le fait que quelqu'un ait du succès en tant qu’auteur, c'est génial, si il veut devenir riche c'est vraiment ce que je lui souhaite. Par contre, ce qui m'intéresse c'est que comment on peut étendre et dupliquer le succès. Et c'est vraiment très dur sur l'aspect du Kindle.

Sur l'aspect des conversions, alors ça, c'est un point important, ça va peut-être te choquer Christophe mais je ne suis pas mes taux de conversion. En tout cas, pas de la façon dont on entend habituellement. Je suis en fait la rentabilité de mes investissements, c'est-à-dire que ce que je veux c'est que quand je dépense 1, ça me rapporte au moins 2. Et effectivement, il y a un effet de crise qui est depuis 2013, mais en même temps, est-ce que c'est un effet de crise ou est-ce que c'est le nouveau normal ? Donc moi, je considère un peu comme tu dis Maxime que c’est polarisé sur le manque. Pour moi, ce n'est pas une crise, c'est juste tel que c’est. Donc effectivement, je constate que sur certains sujets, il y a moins de conversion, que sur d'autres, il y en a peut-être plus, qu’en même temps une autre façon de le voir c'est que s’il y a de la valeur qui baisse sur certaines parts du marché, ça veut dire qu'il y a des gens qui sortent donc ça fait moins de concurrence. Ça veut dire que ceux qui sont capables de profiter des opportunités sont beaucoup mieux placés.

C'est ça qui est intéressant. C’est que quand tu regardes un sujet, par exemple si tu regardes la conversion de ta page de vente de ton premier produit, tu peux voir effectivement des variations. Mais si tu regardes d'un point de vue global, d'un point de vue systémique, si tu dis « Ok, là j’ai une baisse sur ce produit mais en même temps, ça augmentait l'autre ». Ou : « Tiens, c'est vrai que ça baisse mais en même temps ça veut dire que la valeur baisse dans toute l'industrie, donc c'est plus facile de

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trouver des contacts. » Donc tu vois, quand tu es sur global, et bien ça change l'approche, tu vois.

Lionel, tu me dis : Promotionner ma région à ma façon sur la base d'un reportage vidéo. La question c'est, dans ce cas-là, tu vas plutôt faire un média et tu vas être financé par des commerçants locaux ou peut-être par ton conseil régional ou autre. Donc avant de faire tes vidéos et de faire ton site, fais un dossier de plantation de ton projet, c'est toujours pareil, tes 4 questions en or et ensuite tu fais ton offre. Et ce projet, tu vas le présenter aux différentes personnes qui pourraient financer ton projet et tu ne fais pas tant que tu n’as pas de clients. Tu vois parce que faire des vidéos, c'est très simple. Par contre, le risque c'est que tu te retrouves comme tellement, tellement d'acteurs qui ont fait des blogs magnifiques et qui ont investi énormément de temps et d'argent dans le fait de faire des trucs super sauf qu’il n'y a personne pour payer en face. Alors qu’ils seraient sortis de leur tête pour aller au contact de leur client potentiel en testant leur idée, en prenant leur retour, en le co-créant avec eux, ils s'en seraient beaucoup mieux sortis.

Edith, juste un point parce que là, j’entends beaucoup dessus. Effectivement, ça se professionnalise c'est-à-dire que, un peu comme dans toute industrie, vous gardez l’automobile. Au début, il y avait tout un tas de petits artisans qui étaient là avec leur clé de 12. Et puis ces artisans, il y en a qui ont totalement disparu et puis, il y en a qui sont devenus professionnels et qui ont fait les géants automobiles qu'on connaît aujourd'hui. C'est la même chose dans toutes les industries. Donc là, c'est ce qui est en train de se passer sur Internet.

Vous avez tout un tas de gens qui ont un blog par ci, un blog par là et puis au final, vont abandonner, qui vont laisser tomber, qui vont arrêter. Et par contre, vous avez tout un tas de gens qui vont savoir comment jouer avec ces nouvelles règles et qui vont totalement exploser. Donc souvent, on dit que les entreprises qui réussissent le mieux, c’est celles qui se sont développées pendant les crises, tout simplement parce que, et ça, c'est lié aux effets cycliques des choses parce que la vie est cyclique. C’est que quand vous vous développez en temps de crise, vous êtes obligés de faire très attention à vos ressources. Vous construisez des structures qui sont pérennes et qui sont solides. Ça éliminé au moins la médiocrité d'autre part. Et comme après la pluie vient le beau temps ; après une crise, il y a toujours une phase de reprise, d'accord, qui met plus ou moins longtemps à avoir arrivé. Et bien au moment où la reprise arrive, vous êtes prêts, donc vous accompagnez la croissance. Alors que les autres qui avaient profité de la croissance et avaient des structures de coûts très importants, et bien ils accusent le coup de la crise et ils se retrouvent avec de vrai crise de cash, et

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souvent ils disparaissent. Donc c'est pour ça que toute la question c'est vraiment à haute stratégie et construite sur le long terme en professionnalisation, voilà.

Oui alors, je suis d'accord Edith, les temps changent, les règles sont toujours les mêmes, ça se professionnalise, il faut bien connaître son métier. C’est pour ça que moi je partage un métier. Voilà.

Alors, comment on fait au niveau fiscal sur le revenu sur Internet?

Ça dépend beaucoup. Je ne me permettrai pas de répondre. C’est une autre question qui est technique, d'autant plus que le fisc a un avis qui évolue. Je vous donne un exemple très concret : il y a un acteur sur Internet qui faisait beaucoup d'affiliations, et le fisc a revérifié ça en revenu déguisé. Donc, il se retrouve en train de devoir payer des pénalités et autres alors qu'il est totalement de bonne foi. Donc pour ça, il y a plusieurs options : il y a l'autoentrepreneur, il y a le portage salarial. Ce sont des solutions à étudier. Par contre, il y a généralement une tolérance c'est-à-dire que je conseille généralement de gagner d'abord des revenus et ensuite de mettre en place la structure quitte à ce que la structure évolue, elle aussi, et d’en changer 2 mois après, plutôt que de se prendre la tête sur toute l'architecture du groupe et du mode de fonctionnement avant de commencer à gagner des sous. Donc effectivement, le fisc est très fort, seulement parce qu'il a besoin d'argent. C'est la vie. L’Etat français n'a plus de sous. Mais comme tous les Etats, ils sont mal, donc ils renforcent les règles fiscales et autres. C’est normal.

Il faut regarder les Etats-Unis, je crois qu'ils ont recruté 3 000 contrôleurs des impôts plus importants, et voilà. Donc, ça veut dire qu'ils ont effectivement besoin plus d'argent et ils vont être beaucoup plus agressifs. Donc, je vous encourage à être les plus réglo, les plus clean possibles. Et pour ça, suivant votre situation, vous avez différentes façons de comptabiliser au plus simple, autoentrepreneur ou au portage salarial.

Jeannie, tu dois gagner beaucoup ou rien car on supprime l’allocation adulte handicapée.

Là-dessus et c'est pour cela que je l'ai mis en place, tu as le programme ambassadeur Business 3G. Je vais te renvoyer des liens que j’ai renvoyés à tout le monde, et tu peux les partager sur Internet avec les gens que tu penses que ça peut aider, évidemment avec éthique, avec conscience. Mais c'est quelque chose qui peut t'aider de façon très, très concrète.

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Une thématique sur les arts martiaux, un site et un blog de conseils sur l'expatriation, voyage dans un pays précis, de la vente de produits ou services. Est-ce que c'est trop ciblé pour Business 3G?

Je pense que tu poses la question dans le mauvais sens, Kevin. La question, ce n'est pas est-ce que c'est une bonne opportunité, toute est une bonne opportunité. La question c'est quel est ton P3 ? La question, c'était la réponse à tes 4 questions en or parce que tu peux tout faire, d'accord, mais si tu n'es pas aligné avec ce que tu fais et ce qui te passionne, et si ce n'est pas lié à une expérience de vie que tu as eue, tu feras du bruit. Tu pourras le faire avec toute la motivation que tu veux, ce sera du bruit, ce ne sera pas pertinent. Voilà, donc ma question ce n'est pas ce que je pense, on s'en fout de ce que je pense, la question c'est qu'est-ce que toi tu veux et qu'est-ce que tu veux donner ? Donc, tu vois ? P3, voilà.

Alors, le prochain ambassadeur est Ok via la formation?

Oui parce que ça permet vraiment d’appliquer et d'être dans le concret parce que le problème, c'est toujours d'être dans sa tête et d'attendre 15 ans avant de lancer quelque chose de concret. Là, ça permet de le faire de façon concrète.

Oui, effectivement, je précise. Encore une fois je ferais une réunion spéciale uniquement bien entendu pour ceux que ça intéresse, aucune obligation là-dedans, c'est purement une opportunité que je propose en plus, c'est tout. Le principe c'est qu'effectivement en partageant le lien, votre lien d'ambassadeur que je vais vous renvoyer, et bien les gens peuvent, s’ils cliquent dessus, ils arrivent sur la page où on leur propose de s'inscrire pour recevoir les vidéos et après, ils sont dans le système. Donc, le système se souvient que c'est vous le parrain, donc s’ils achètent, vous recevez les commissions. Mais bien entendu, quelque part c'est transparent pour vous. Vous n'avez pas de vente à faire. Évidemment si la personne vous pose une question, je crois que vous allez répondre mais c'est totalement transparent pour vous, et vous n'avez besoin d'aucun système.

Oui Béatrice, oui, c'est top, c'est très simple, c'est fait pour ça.

Alors Cyril me dit : Est-ce qu’il vaut mieux suivre la formation avec un projet naissant ou un projet existant?

C'est le projet qui te tient le plus à cœur. Je reviens encore une fois sur le P3. Il faut le faire avec le projet qui te parle, tu vois Cyril. Après, qu'il est naissant, s’il est existant, pour moi c'est l'opportunité Business 3G. Si ton projet naissant c'est celui qui te tient à cœur, c'est l'opportunité de le faire et de l'explorer, tu vois.

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Dominique, le développement 1TPE vient progressivement sur les différents niveaux ou seulement sur les CCI ?

Tu vois ce n'est pas la question d'1TPE, ou pas 1TPE, la question c'est ta gamme d'offres. Donc 1TPE, c'est un réservoir d'offres. Si tu es CCI, donc Conseiller de Confiance Influent, et bien tu vas naturellement utiliser 1TPE ou ClickBank pour le faire. Si tu es plutôt sur un côté créateur, tu vas commencer à faire ton offre qui va te permettre de récupérer des contacts par exemple et derrière, tu vas avoir besoin d'offres complémentaires. Dans ce cas-là, tu vas peut-être utiliser des offres sur 1TPE.

Alors, quelques questions.

Il y a Christophe qui me dit : je n’ai rien compris au projet ambassadeur.

Christophe, ne t'en fais pas, je ferais un cours sur le sujet. Encore une fois, je le répète : quand je fais des points, ce n'est pas contre ou avec les personnes. En tout cas, j’essaie de faire des choses qui communiquent des messages, plus que de prendre une personne à une autre. Et parfois, comme vous savez, un peu Docteur House.

Christophe, d'accord, sauf si tu vis sur une île déserte que tu n'as pas d'amis, que tu n'as pas accès à Internet, je pense que tu as des emails que tu envoies à des gens. Tu as peut-être même une existence sur les réseaux sociaux. Tu croises peut-être des gens dans ta vie sociale, au boulot, tu as peut-être des voisins, tu as peut-être des gens qui sont intéressés par ces sujets. Donc dans ce cas-là, rien ne t'empêche de partager sur les réseaux sociaux en disant voilà : « Moi, j'ai découvert un projet qui m'intéresse bien, vous avez accès à des milieux totalement rapides sur le fait de votre 2ème projet, votre 2ème revenu sur Internet. Ça, c'est quelque chose que tu peux tout à fait faire sur les réseaux sociaux par exemple. Tu peux tout à fait organiser une réunion chez toi en mettant des petites annonces dans ta boulangerie en disant : « J'aimerais vous parler de l'entrepreneuriat sur Internet qui est ma passion et on va partager ensemble ». Tu peux tout à fait mettre dans la signature de ton email un lien en disant eh bien voilà comment générer un 2ème revenu sur Internet. Donc tu vois, tout est possible, là tu es dans une ville de manque, tu vois : « Ah, je n'ai rien ». Déjà encore une fois, ce n'est pas contre toi, ce n'est jamais contre ou avec quelqu'un, c'est général. « Je n'ai rien compris », déjà tu as une logique de manque ; tu abandonnes ton pouvoir personnel « je n'ai rien compris ».

Je n'ai pas une seule liste email.

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La question, c'est parce que tu n'as pas. La question, c'est ce que tu as. Tu vois ce que je veux dire donc, ne te concentre pas sur ce que tu n'as pas, concentre-toi sur ce que tu as, concentre-toi sur l'art des possibilités. Et là-dedans, il y a peut-être plein de choses qui ne vont pas avoir les résultats que tu veux mais si tu imagines juste le fait de parler autour de toi de ta passion entrepreneuriat et d'organiser un apéritif chez toi pour parler des projets d’entrepreneuriats et autres, et que derrière tu dis aux gens : « Très bien, je vais vous envoyer des vidéos gratuites » et vous allez voir ce que ça va, et bien, c’est que tu auras certainement plus d'impact avec tes 10 potes ou tes 10 connaissances passionnés d'entrepreneuriat que quelqu'un qui a une liste de 10 000 personnes avec qui il n'a aucune relation. Tu vois donc c'est vraiment le....

Alors Fanny, tu me dis, et encore une fois je parlerai essentiellement d'ambassadeur, mais la peur du rejet.

Effectivement on a toujours peur du rejet, d'accord, et c'est d'ailleurs pour ça que je le fais de la manière la plus simple possible. La seule chose, si vous souhaitez participer à ce programme encore une fois, au programme ambassadeur, c'est de partager un lien qui donne aux gens des vidéos gratuites. Donc oui, on peut difficilement faire moins pushy, tu vois. C’est vraiment le plus basique du basique, du basique, du basique. Il y a un truc gratuit que j'ai vu. Ça peut même être « Tiens, qu'est-ce que tu en penses ? » Tu vois, « J'ai vu ça, t'en penses quoi? » Est-ce que ça t'intéresse ou pas, ça peut être totalement neutre quoi. Donc effectivement, la peur du rejet, on l'a tous. C’est normal, c'est humain mais c'est une façon de le faire.

Penses-tu, Christophe, c'est une question qu'il m'a déjà posée, qu’un consommateur client lambda peut être intéressé pour devenir un affilié au moment de ton produit d’information, au moment qu’il présentait son produit à des plateformes d’affiliation ?

Je ne peux pas répondre dans l'absolu. Ça dépend vraiment des situations. Et en plus, je crois que le monde n'est pas figé.

Je prends l'exemple de la méditation. Il y a plein de gens qui n'avaient jamais pensé méditer mais comme ils ont vu les publicités, comme ils ont vu le fait que je partageais la méditation, ils sont venus. Donc quand on commence à partager des choses, quand on commence à expliquer des choses, et bien on augmente le nombre de gens qui sont intéressés. Donc là-dessus, je ne peux pas répondre. Pour moi, le consommateur client lambda, il n'existe pas. Pour moi, il y a des individus qui peuvent être intéressés par un message particulier ou un autre. Donc la réponse est

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oui, je pense que comme tu dis, un client consommateur client lambda peut être intéressé. Après, il faut voir au cas par cas.

La différence entre affilié et ambassadeur.

On peut dire que c'est la même chose mais j'utilise le terme ambassadeur parce que je n'aime pas le terme affilié. L’affilié, dans l’inconscient collective, c'est le gars qui envoie un email à tout le monde pour récupérer un maximum de commissions et qui s'en fout. Moi, je crois que dans la vision d'ambassadeur, parce que c'est plus sur ce côté entredonneur : « Moi, je suis dans ce programme-là, il me plaît bien et je pense que ça pourrait t'intéresser ». L'affilié c'est peut-être plus ma vision très personnelle, l’affilié c’est le mec qui est devant son ordinateur, qui essaie de se faire de l'argent comme il peut. L'ambassadeur, c'est le mec classe en costard dans son ambassade, qui fait des réceptions et qui partage les intérêts, la culture et la philosophie d'un pays. Donc après, c'est de la sémantique, mais c'est pour ça qu’à la place d'affilié, j'utilise Conseiller de Confiance Influent parce que je pense que les mots ont vraiment une importance. C’est vraiment une importance.

Affilié, pour moi, je dis que ça a une connotation négative parce qu'il y a certaines personnes qui ont mal utilisé ce pouvoir extraordinaire. Alors encore une fois, c'est peut-être juste un blocage mental que j'ai. Mais comme les mots peuvent être mal compris, c'est pour ça que j'essaye de créer mes propres mots. Donc entredonneur, pour moi, ça permet d'enlever le côté entrepreneur, le mec qui veut s'en mettre plein les fouilles. Le côté affilié, je préfère utiliser Conseiller de Confiance Influent parce que c'est vraiment ça, c’est quelqu'un qui va recommander ce qu'il aime bien, le partager. Il y a un côté noble dans le mec qui est Conseiller de Confiance Influent. Je trouve que c'est plus sympa que affilié. Ambassadeur, pour moi on va à un cran plus loin parce que c'est vrai que Business 3G, c'est un programme qui est un peu cher donc il y a peut-être plus d'implication, des gens qui vous appellent au téléphone, qui veulent le savoir. Il y a quelque chose dans lequel je crois, voilà. Donc c'est pour ça que j'essaye toujours de mettre un sens derrière les mots. Effectivement bonnes ambassadrices, entredonnes, comme dit Raphaël. Je trouve ça sympa.

Autres questions : Alors, oui bien sûr, en partageant et en étant aligné, on s'expose. C’est une responsabilité, c'est vrai. C’est pour ça que surtout je n'inciterais personne à partager Business 3G s’il ne croit pas à la pertinence de la vision, s’il ne croit pas déjà à la pertinence de la formation. Je vais vous donner un exemple. Il y a Casey qui m’a dit : Ah lala j'ai partagé Stiforp, c'est un programme de MLM, je l’ai dit. Et il me dit : Ouais, ce n’est pas terrible. Dans ce cas-là, pourquoi tu l'as partagé? Si ce que tu veux c'est juste gagner de l'argent, et bien laisse tomber parce que tu ne dormiras

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pas bien, tu ne seras pas fière de toi et les gens se rendront compte et ça ne sert juste à rien. Prends quelque chose dans lequel tu crois, voilà. Donc si vous croyez en Business 3G, partagez-le autour de vous. Donc voilà.

Est-ce qu'il y a d'autres questions ?

Sur le lien d'ambassadeur, ne vous inquiétez pas, je vais vous le renvoyer. Il n'y a pas de souci, je vais vous renvoyer ça, vous l'aurez. C'est juste que je ne veux pas, et c'est pour ça que je n'en parle pas au début, que ce soit le cœur de votre sujet. Ça peut le devenir si vous êtes vraiment passionnés et autre mais pour moi, vous avez des choses à partager et Business 3G en fait partie mais vous avez plus que ça. Effectivement, je gère l’affiliation avec Office AutoPilot.

Alors sur 1TPE, merci Dominique de ta question. J'allais justement te répondre.

Je pense qu’ 1TPE, c'est vraiment très bien. Par contre, effectivement ça te demande d'assembler une offre, de créer des emails. Ce n'est pas vraiment un piège, ça marche. Par contre, ça va effectivement te demander du travail. Si tu es « très pressé » et si finalement entre différents projets, tu peux faire plusieurs choses, tu peux tout à fait commencer à partager Business 3G parce que là, tout est déjà installé. Donc c'est vraiment le point de départ si tu veux commencer à faire quelque chose. Si tu as besoin de rentabiliser très vite, tu peux utiliser Business 3G comme programme. Après, tu pourrais te rapprocher de quelque chose qui est ta passion, je prends par exemple les arts martiaux. Business 3G ne parle pas d'arts martiaux en tout cas pas encore, dans ce cas-là, tu pourras utiliser 1TPE pour parler de produits d'arts martiaux, commencer à construire ta liste et après tu feras ton offre sur les arts martiaux par exemple, tu vois.

Bonjour à tous. Bientôt, de toute façon, on se retrouve dans les prochaines conférences ou sur le site. Et bien entendu, toutes les réponses aux questions sont débloquées dans les heures qui viennent.

Alors Michel, est-ce que je préfère 1TPE ou ClickBank?

Je vais te dire, je suis biaisé parce que je connais Sylvain Milon, le fondateur d’1TPE et je ne connais pas le fondateur de ClickBank. Et donc j'ai tendance à préférer 1TPE. En plus, je préfère acheter français. Alors je ne suis pas nationaliste pour deux sous, en tout cas je ne pense pas, mais je crois dans les écosystèmes. Et je pense que l'écosystème français gagnerait à être plus développé parce que quand on envoie de l'argent sur ClickBank, on renforce l'industrie de l'infopreneuriat aux Etats-Unis.

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Quand on envoie sur 1TPE, on renforce l'industrie de l'infopreneuriat en France ou en Francophonie.

Moi, je crois que l'infopreneuriat en Francophonie doit se développer et donc j'essaye de renvoyer le maximum de ressources sur la Francophonie. C'est pour ça que je donne la priorité au développement Business 3G en France. C’est pour ça que j'essaye de travailler autant que je peux même si d'un point de vue technique j'ai quand même besoin d'Office AutoPilot, donc je roule pour l'infopreneuriat français. D’ailleurs je salue Sébastien Gourrier de SG Autorépondeur au final parce que je sais que ce n'est pas toujours simple de travailler avec beaucoup de contacts qui arrivent d'un coup, c'est beaucoup de boulot, et Sébastien a toujours été au rendez-vous. Et je salue aussi Sylvain, il a besoin de faire gaffe à mes réponses Sylvain. Tu as vu, je dis ce que je pense d’1TPE et je ne pense pas que ça te déplaise.

Alors on fera une conférence avec Sylvain qui expliquera en détail ce que c'est qu'1TPE. 1TPE c'est LA plateforme de prodigation de référence. Donc si tu ne connais pas 1TPE, je t'engage à aller voir à 1tpe.com. Sylvain fait un excellent boulot, et je ne dis pas ça uniquement parce qu'il est là.

Personnellement moi, sur l’aspect pub ou autres, je… Pour moi, je considère que l'industrie de l'infopreneuriat, ce sont des copains. Parfois on n'est pas toujours d'accord, parfois on se prend la tête, comme dans toutes relations d'amitié ou de partenariats ou autres. Et les gens avec qui je travaille, ce sont des gens dont je respecte le travail et je souhaite que les choses se développent. Donc effectivement, je fais de la « pub » pour Sylvain ou Sébastien mais ce n'est pas de la pub. C’est juste que je partage mon enthousiasme par rapport à la qualité de leur travail, c'est tout. De même que je pense qu'ils partagent leur enthousiasme sur la qualité de mon travail parce qu'on essaye de faire les choses bien.

Alors Daniel, la meilleure stratégie?

Tu as besoin de résultats rapides, de revenus. Tu as besoin de revenus rapides. Encore une fois, ce n'est pas pour faire de la pub pour ambassadeur de Business 3G mais je l'ai conçu pour ça, pour les gens en mode « Bon sang, il faut que je m'en sorte rapidement ».

Il y a tout un tas à qui j'ai dit non parce que je considérais que leur situation n'était pas assez solide ou qu’ils n’avaient pas le bon état d'esprit. Par contre pour les gens qui sont dans le Business 3G, et bien vous pouvez utiliser le programme « ambassadeur Business 3G » parce que je pense, je suis confiant en tout cas, que vous le ferez de la bonne façon et pour les bonnes personnes, voilà.

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Alors le lien ambassadeur Business 3G en fait, alors ça, c'est un petit secret que je vous livre mais je vous en parlerai plus en détail lorsqu'on fera la discussion spécialisée sur le Business 3G. En fait, chaque personne qui s'inscrit au vidéo de Business 3G a un lien ambassadeur. Par contre, je ne partage pas et je ne le diffuse pas largement parce que la qualité m'intéresse plus que la quantité, en tout cas à ce stade.

Chaque personne a son lien de parrainage. Ça veut dire que même des personnes que vous parrainez et qui ne s'inscrivent pas à Business 3G vont recevoir en fait quelque temps après leur lien de parrainage pour les inciter à partager Business 3G, et ça voudrait dire que comme ce sont vos filleuls, vous pourrez gagner potentiellement des commissions sur les clients qui viendront de chez eux. Mais je fais attention à la façon de le faire parce que je ne veux pas que ce soit du n'importe quoi.

Alors Jeannie me dit : Au niveau juridique, quel est votre responsabilité?

Sur le plan juridique, l'éditeur, celui qui fait la vente, c'est Création 3G. Donc, c'est Création 3G qui est responsable. Toi, tu as partagé un lien. Là-dessus, ton lien, c’est un lien de parrainage. Il y a effectivement des textes, des conditions générales que tu pourras regarder.

Alors, est-ce qu'il y a d'autres questions?

Voilà. Exemple, Dominique, moi j'apprécie ce que tu dis : très bonne ambassadrice sur Facebook parce que comme je le dis encore une fois, développer Business 3G par moi-même avec des contacts, je n'ai aucun problème pour le faire et je le fais parce que je crois dans le sujet, je crois dans le fait de créer des opportunités pour des gens, je crois au fait de renforcer des groupes, d'avoir un vrai effet d'échelle et de diffusion pour augmenter la qualité de tout ça, les partenariats et autres. Mais ce que je ne peux pas faire, c'est de vous renvoyer de l'argent à vous. Donc à travers les partenariats, oui, à travers les produits, oui, mais pas sur le plan direct comme ça peut être le cas dans les ambassadeurs. Et quand tu me parles Dominique d'une très bonne ambassadrice sur Facebook, je trouve ça génial, j'ai envie qu'on dise que les ambassadeurs de Business 3G sont très bons voilà.

Sébastien a un point important : est ce qu'il y a des concurrents et est-ce qu'il y a des confrères?

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Moi, j’étais dans le conseil. Quand j'étais dans le conseil, effectivement les grands cabinets de conseil, Mc Kinsey et autres, et ce qu'on disait, c'est effectivement ça. C’est qu'on n'était pas concurrents mais parce que nous étions confrères.

Salut David. David Jay, on l'aura aussi s’il est d'accord dans les conférences qu'on va faire chaque semaine. Tout simplement parce que dans une profession, et une profession au sens noble du terme d'accord, comme les avocats, comme les médecins. Dans une profession, la notion de concurrence quelque part n'existe pas. Certes il y a des gens qui le font les uns et les autres mais c'est plutôt le partage de valeur du métier qui compte et qui réunit les gens plutôt que de dire : « je vais avoir un client de plus».

Quand vous vendez une maison, votre client, il va acheter une maison. Donc, vous êtes concurrents. Par contre quand vous vendez des formations, quand vous êtes coach, la personne va peut-être acheter votre formation et puis celle de votre confrère. Sur les autorépondeurs par exemple, il y a différents fonctionnements qui peuvent correspondre à différents besoins. Donc, c'est que la notion de concurrence n'existe pas vraiment. De même que quand vous êtes dans un marché, Ok, tout le monde peut faire des formations sur les arts martiaux mais chacun va les faire de façon différente. Et les clients vont acheter une formation chez Michel, chez Kevin, chez Fanny, chez un tel, chez un tel. Donc, il n'y a pas vraiment de concurrence.

Alors, on me pose la question sur les ambassadeurs : comment et pourquoi développer Business 3G?

Alors un, il y a le pourquoi, c'est uniquement si vous le voulez. Et c'est un chemin qui vous permet de gagner potentiellement des commissions rapidement, qui vous permet d'avoir une base par rapport à votre propre activité. Donc moi, je crois dans le fait de renvoyer de l'argent dans l'infopreneuriat français. Donc mon objectif, c'est ce que je disais déjà au début, je veux renvoyer le plus rapidement possible 1 million d'euros dans... (fin de conférence)