voyage d'étude à yangambi du 24 au 31 août...
TRANSCRIPT
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c % Fonds Docümentaire ORSTOM
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V O Y A G E d ' X T U D E à Y A N G A l v l B I
8 ' 0 U T 1954
Vu ce r y t h e un peu excessif nous ne mus sommes interessés daus chacune de ces divisions qu"x activités en rapport; avec la pédologie et l'&m"ie, erectam plw dana notre comp&tace que par
exeanple la selection ou la pathologie anim&e et végéttcle
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On pourra s*é%onner de ne trouver dzus ce conpte rendu que des
rmse;i#gmaats p6dologiques assez auccinks ou d6ja pubLi& : Cous les
p6dologues de Yangaabi txns exception accompagmimt le congre's à
$latek¡. du 23 au27 htxk st l o r s de leur retour le 28, ils étaient trop
occup6s pax ce m&ae cungr6s pour pouvoir acconler beaucoup de t a p o à un seul V i B i - b U T .
P A M G A M B L Apequ Géxìéxd.
Iia S&a%io& de Taagmbi se situe 6 18 rive gamhe du Congo
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!
0% sa repazzissa-b ai 2 poupes : l e plateau de Ymsuka qu'on pour&%
qad.ifier de scimtifiq.ue avec les labomtoires de physiologie V&étsrJle,
Botarniquasz. Ea-komologie, etc. . , et df&a.tre pa& l e plateau de Yangambbs.
ou Be trouvent les divAsions agrowmiquea, l e s services C O " ~ :
tiirectioa, service m a c a , poste etc.., e t &S principâi.es catuses.
L'ampleur : c'est un l ieu c o a " de dire qu'il n'y a aucine nesure'.
mtra &"bi e t ce qu'on p..& voir de simïbire era Afrique
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. III
de vocation coloxxiales belges,. et l ' o n recxxte volontiers ai F m c e et
dorahant le C o w e t dote& d'une VB ;napifique . ' Les p r i o c c q a t i o n s de . c m f o r t des habitats rejoignent d'ailleurs
leur donner des l o i s i r s agréables em d o t a t Le c d r e h o t a l l e r * . de la
s t u t i o n d'un cinéma, d'une piscine, et d'un reskdurant-bar-h-, 1s
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D I X ] V . I S . Z O M d ' A G R O L O G I E P E D 0 ~ I X H ) G Z E ' ' ' ,
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V
Non setilment Is l abo ra to i r e est pfa&tement ouki.U.8 en pipe t tes ii.
auto,mkic;ues, flacons verseurs, p i s se t t e s en polyetbylène, mais la présence L?@un mitre-verrier a perrds de mettre a u point des e t p p a ~ ~ d . l ~
sbples, pl& dt&duc;dmt l r a k m t i c i t é est resnarquable et év i te de
mult iples pertes de $enps. +rticd.ier certains dîspoai t i f s pennettant à
x t m y s t e il* 8ffectuer plusieurs opérations successives saas qui.t;fer son
dège en ap,ppn-t sirnplment sur des poires p o w le rmplissage et l e
lavage de pdusieurs burettes dispos6es davant lui. D'auts% aysyemes 6quip69 de d " a e s B amet r a a b l e Eiont u k i l i s d s p o u commder la opémfions qui doivent %%re faites. e32 des limtos do temps bien précisesl
Peu avmk son coq& Is maitre-verriez t m v U d t w1 appareil de vi-9
et db mplissage aUtonatique;l d m cylindres dtb%3,enberg utilisés p o w
1 *amLy-se mécanique (&-b.hods des d6cantations)
'
€a marche et l'arret mtoffdxl,q,e de certa;ines
Ces d i s p o s i t i f s ne sont pgtlt %%se pas esseatiels à la bonne marahe
. d'un laboratoire mis permetJcent,de g-er du Gmps, dt in t rodui re une
graule m.torc¿à.ticité dayLs l e s opérations, gage de résuJ-tftts sura, da
e u m p i a du control@ assez; fasth3iffl;lx de l a marche des opérations.
2) Section de pl~t3ico -cplinie : celle-ci dtuciie actutiUaiznt m a dona&
asse5 nouvelle d'oz5.g" m&icaino : la capacit6 d'6change Se bases des
racines des plantes
utilisées pour& le sol
et ceci par dea m&thodes t r è s semblables à celies
(.t;xwisfomation des saches arn mcinss H, puis kmera ion W s une so lu t ion d te lec tmlybe N a ,anfin a.mlyse des cdions
adl@rb&s) On obt ien t des ré8üLtats très cons ta t s p o w une a&e espèce
v&&jle consid&& sbwle, m a i s +&s di-ursra d'une espèce B ltautre. On espère ainsi avoir l t e scp l i ca t~on des ph&o&nea de concumEltlce v i t d e
entre les p l a k e s sur m a01 domé e t d'adaptation de la plante au sol. L ' e h % de ce8 recherches n'est pas assez avancé pour qu'il s o i t possible
U* az tirer des coiiclusiom mi?illes provisoires.
' NoCoxlv 6ga.l.meat Ls Elise trajrr de recherches sur l e ph os ph^^^ du fi01
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VI
a C'est avec l'Bgmlogie, la seule division scientifique que mus t;
ayons pu visiter ; c'est peut ?%re celle dont la station de Yangambi est $a plus ' fière par mi t e l'unpleur dee travaux éffectues (nutrition mi&érale
des pibantes SC les facteurs qui les conditionnent) et de'1'importa;nce
du concour8 qws l u i f% apportent certaines QrilFnentss pereonruslif6a
scient i f i ues de Belgique .
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7 E h fait,les études atreprises sont d'ordre absolumtnt général et sour
vaLables pour touts l'Afrique Tropicale . Xous allons &sayer dla donner un scherea, qui mug l'esp8rhs ne trahira
pas l a pensée ce ceux qui nous l'orrt exposé.
Diff6ran%es plantes, caféiem, paJ.mier B huile, cacaoyer, r is , m&s, sont étudides a c u l l u e s en pot,- sable de rivière 'rdativmat
pur(r6Lativermrb p m seulemat pour éviter des jlrteractions kegettables de
carence par oligo-&ments) I
Cerj plantes sont i iourries avec des solutions mtritives l m appntan.1;
6 éléments principaux 3 cations et 3 d o n s P (294 fB., @l. , IC , Ca , I@, soi% 6 objets. hi solution fournie B c b " de ces objets est d6sequilibrle
BM un &&nent dont l a dose est nettmmt trop faible.
On a ainsi étabu pue le pal.0iex-b à huile était surtou% exigeaat EII~ M,K et
P@ ; que le caféier réagissait surtout à l'azote e t au cabiium.
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Le passage B 11exp6z3mentation au champ saable avoir &j&nibla du .fait
d'un pouvoir tampon considérable du s o l qui a a o r t i t l e s réactions au p o b t
de l e s masquer, e t paxait s'8tre sold6 par un certain noabre, d'échecs,
parfois spectaaulaires, du fa un défaut de mise qu point des techniques,
Y (clest tout à lthonnau: des specialistes belges d ' a avoir f a i t part)
Béamoins le division de p siologie s~enorgwìll.it d'un 9 suppl&mt de reuLdmEmt de IO0 % sur palmiers à huile, et ceci par suite
d'une awentat ion du noabre des régimes femelles au dépas des r6gimes
males,obtmus pa r une finure binaire à base de potassium et de nagk5sium
5 8 ; ~ ~ s f b u r e
100 noffibre t o t a l de régimes ( d e s + famales) '
nombre régimes feaelles IO0
II0
I80
100 106
Les chercheurs balges ont repris i c i la t h b r i e de P a " sslon laquelle 1 hectare, qu ' a so i t en herbe, an culture ou en forGt,
évapore exactement l a ro&ne quakité d'eau
si eXLe n'est pas d'une utilité pratique d.m&ate, aide B comprendre le
mécanisme de l 'aliamtation -6raJ-e des pla;nCes.
Cette donnée , verifide B YaJagambi, conporte un0 com&pence qui,
Une cul ture n'évaporank , donc ne ponpcmt dans l e sol, gutme
qpantité bien dPfinie d'eau , ne pourra fabriquer qu'une quantité constantl
de matière végéta3.e (tigss~+mches)
r
Si l e a01 est pauvre, l a plante developpera ses racines au dépens
des parties aeriennes; si l e sol est riche ou si des e n g d s sly trouvent,
la plaurte developpera peu son système radiculaire, les a l i rna ts étant
à sa portée; par contre U e devdoppesa son système sesiea et parii tra
beaucoup plus vigoureu~o.
h. Ls lumière, facteur Uroitant
Plus origj.ndle est cette théode : tout lep mode
commit cette 103. fondmata;Le depl@agroxlomie Q~ est la loi du U-; la lumière serait, 6U.s aussilm fact- l-tan'c.
Cecf parait '&re une g a g a r e lorqqu'on se rappelle le rendanent d&soire do t'w,sa.$;,
v chlorophyUiènne (s) Et pour ta t l*Qf€et de bordure bien connu de tous les errperimatatws
peut atinterpreter de cette fqort .
res &gsiolo@stes belges expliguent de l a mhe fqon que dans l e s essais
d"gm&s, l e k&oin finit par rattraper les autres obje%s; en eifet
au fu et B mesure de l a croj.ssBsce, dès Que l e peuplatxmt se u?erae, l e
l e facteur limitant qui joue n'est plus l 'azote ou l e phosphore maris Ea
ludhre. S i cette th6orî.e est E+xaCke, die aurait une conséquence extrema
-ant grave ; tous les essais dtengmis seraient à revoir en fonction des
écarteaciats.
Dent h e dé tx"5es mr une terre non fum$o; lradjonction d'me l?u.mure
sur ces &es 6 d a n " t s pwvoque un déwlzags rapide, Le peuplemedi
se feme u11 peu p l u s vi-be ,et, dès ce mamk, l e facteur limitat gyi Joue, cresb la kxnibre que la Providance distribue égalea" a t r e le temoin et les différents objets.
Un essal dtengrais d a s cette é m W t Q , devrait donc tenir compte : - de I*éOartemimt unitaire variable en .théorie su iva t les doses
effet, en Maque %opicae les écar tmats fiont g & é r a J "
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(Les é&emmts ne doivat pas ngn plus atre t rop éqacQs pour ne pas
dirainuer l e rende"% 'a l'hectare)
I de la couverture du SU i l e sol doi t 43tre couvert pas La culture pour i ne pas se dégrader, donc pas d'é&emmts trop laches.
D I V I S I O N du C A F E I E B
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N a u s nous somaea seu2emen-k jntwmsé, faute de tmps, à.la culture caféière, a p t ,
questions de shx&ions, bouturage, hybridation asses peu de pdt&
dél..j.bé&p;llc laissé de doté les
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a , ces azbres -le pbgUe.ntus discoldeus sënble un peu de déave& pgr k t e de La. g a c m t é avec 1aque1.1.e l e v a t l e casse. ho^ la .souche rejette avec
vigueur et bouche au bout d'un an ou deux l e trou' fo&é daqs'ltombrage.
!Foutes les Lntmductions de %LaiS;te ou de Java oat domé des rém2kts
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dec evfurta.
L'association du Robustaf avec des plantes jnaustdaLLss co"nelth6vea
le limba (te- Supsrba) ou l e pdLmier, sont absolment . . dQconsalSL6es
par Yangmbj., l e robusta ne do"t,come pr6vu que des'récoltes infknes.
couverture
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No'com tout d'abord qpe seules sont retames l e a plfinees d'm
mtsetiea facile; ont &+si r i 7 é e 5 des essais t les ~WLCGMB,
Indigofera, Mimosa etc , jugées trop Ugmuses et redank l'accés de l a
ple;ilcation ma;laisé ap&s recepage. . . 3
D e n'&ne , le pueraria avanica n* est pas utilisé Far ce @e trop .volubile . . - , j
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A preaière vue,Fl smble que ce9 ostmcismes soient un peu trop exclusifs;
cartaines p l a t e s ligz~euse pourraiant peut-atre atre ut ìusées .avec e- en-krekian n6c&que, et le puerazda est largemat répandu chez l e s
plmtnrrs 5 à Yangaaibi m%l;ie,U CIllVEibjtt spontanamnt c e q p a r c e l l e s & l a difficulté de son entretien ne seable pas just i f iér certajnes alames.
Lt?. pakte douce est l e s plante précolrisée come couvertme; son seul défaut
est d%re asaepi peu vi@uxeuse (vis à v i s du paspalm conjugaturn e"
&ículier);le personnal emopéan de la division du caféier a été assez
6tonné an apprenant qu8, daas cert8ine,s r&ons, ce6 tubemules
sont t a m a t appréciés des hdi&nes que les malhenreux planteurs voim-b leus couverture ndse en pièces en quelqZzes heures par des cohortes qui
profitent du moiadre rdadhement de surveJlLavlce . Le problème n'a jamais
étQ ernviwQ sous cet angle 8. Y q n b i .
U% couvaMe s a b l e donner beaucoup dtespoirs, c'est m e hedysarée,
Styloi4aul.thes gracilis, auj. sessable beaucoup à l a 1ur;~me. En plaoo depuis près de d m ass, aL le fournit un tapis végéta3 continu
épais de 30 à 60 cm., peu ~ ~ s s 8 3 1 t et non volubile; l'entretien se
l i d t e à cansemar m e aL16e a;ua3?,-l; d%ncaféier à l'autre, et B Par rabattr,
16&remclcut l a plante tous les 6 mola ltépaissaVr de 30 cam ; tout 3%
rabattage NUS &éraque nuit grmiiemmt b. ea v igueur vcjg~tative'(fori;
heureusemer& B 88 stade l e s graines tambées B terre pemetteut la
reconstitution de la couverture au bout d'un certadxt teinps) L* I" ne pense vulgariser cette p l a t e que dans quelques amées, si son conportenent
est jugé satisfaisast
DQS é s e a sy&hatiques de couverture ont U0-z en ce moment . Les plants sont &es à l'heure actuelle de 3 ans et d i .s twmt m tous
les objets par une hetérog&eité deq: croissance assez g d e .
Quatre objets : clean=Vee&&, c o u v e h e naturelle (meru forestier e t
pasp~m) ,pakate douce, stylosanthes gracilis.
&
U est un peu trop tCtt pow dégager des rdkmltats coaplets; ltun d'eux
ntjavlnoiw s a b l e désonmis acquis, c'est; l 'éffet abso1w~en.t néfaste de l a
couverture naturelle, Queldpa+pea &itmt les pmportiona rela%ives de
paspaLum et de recru forestier.
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D I V I S I O B du P A L M I E R h H U I L E
Xous avom eu la boruze fortme de rencontrer l e d i r ec t a r de
La diviaion. Plus que B la cul ture de lt&lo@is d'sullleurs parfa&te"t '
Quant h la question de l a p r o f o d m r du plan d'eau qui selon les 11 technLciens de L'I R H O doit etre comprise antre 2 et I2 ì&tres, 'elle ne
parait pas pr&cnpaper autrenent les sp6eia;listes belges; ils ilotent gut& Yan@piibl l e plan at eau se trouve antre 30 et 80 m, de
profoyldgtc~jils l u i concède& vcrlontiers cependant un role méliomtaxr des rdeiaeuts.
SOL - pmpri6téa phyaiqyw
atténués depuis qua2ques années; on semble adraettrs qu'une inci.nél;.atiorr
au moins pazldslle facuite le démmmge des pca;tmrlers et ne présate
~ u e peu. d'inconvenimts pour le lessiv;;tge des bases si une plmte de
c o u v s ~ s recouvre imjd;ia.t;e;nmt le Sol.
Les t a " an bases échangeables qpi nous ont ét6 oommtmiquéss pour l e s palxuem&es de la cuvette congolaise paraissant asase faibles &out s i nous les compcu;rrlba avec des chiffres en notre posaeasîon ve"% de
s&&ons forestières da 1 ' O u b m g u . i ~
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Tous ces chiffres s'entendfmt sur terre vierge forestiare avant p l m t a t i o n
de palm;iw,
A t i t re d'indication, voici 2 'tableaux d'BYlialyseEI 8ur +=re vierge couverte
de for@fk&kk utilisée u l t é r i e u r m e n t pour des plentations.
palrmiess ont t91 ce momat 4 ans vont entres en production et gont %As beau:
I Y ~ G A X B I : l es m y s e s %tes iz y a 4 ans ,avmt amtation i e s
IX BliMGA Bloc forestier appartfmant B une a t repr l se e c o l e .
Amlyses faites avast plantation, sur bloc jouxtant une pahieme - - déjà en p l e i n rapport
. 190' 583
Profon
FH II0 150 32 75
485 484 4,5
12
414 4,5
Somme bases , .
100 gr ,I,8 V X,6 * I -
D I V I S , I ~ E T des P L Á B T E S V I V R I E B E S
Cette division represente un monde de reoherches et de +wvaui divera ; s u s Qu*à I.a sdection et aux methodes de cu~tures pour
l e s différmtes plantes, mus nous sumes intéressé au problkme des
@xh&res tSgaJ~íìe31.t; du domaine de cQtbe division , jachères forestières
d'une past, jachères hezbacées d'autre pert
Jachère forestibre
La methode des c o u l o i r s B Bt6 abondhunmeat d é c r i f s dans la Utterature zqgronodque bslge (couloihrs ds 108 m de 3.aq.58, de profodeur jnd4finîe, séparés par des bandes forestihes de IO0 m ) Il mus parait
im-bile d'y revanir. \ Nous nous bornemns a consigner ici l e a observations les plus
récentes dont les agronomas de Ymenbi ont bien voulu nous faire part.
Tout d'abord la largeur adopt& pour l o s couloira (IW) ae revèlo cb plua ~ y 1 plus come un
la fox%+(& base de parasoliers) - el le est &*autre part aatisfaiwnte pour
wSuTar un dcl-axent &€iSan.t; des Culhu;.es . Eue est consid6r6e
pour m e bonne régénération de
pos60 et non r6wlue. J
I
C&UI?!J! une d6saffectiorz de plus en plus LZttrqu6e pour l e s ailhares vivrières,
..I obt& des rendmerite aussi &evBs qu'avec la Jachère foxes%i&r
.I i3upprLmer l'abattage et doubler lee superficiem cul.f;iv6eer
à la main.
F E R N 2 D t X L E V A G E .. . -
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Nous sm"n l o h des chiffres parfois c i tés come possibles :.
Une bnovatioa assez cuTif3use e% récente du payaxmat de S t d e y v ï i l e est ltadjudicaticm & d.es calons européas de &crea Ijiyclusos
dans l e ptjrknètres du paysanm-b
Ces lots ont une superficie vuria;bles de 15 b 40 kas, et leur nombre
est fonction de =faces disponibles après lo'cissemwt de Lous les Africains e k w s e w reserve da mfaco desthées à un agranc2iszmwzn.t (ces lots ~l~ocuppexd c e m m e r r r t pas plus d'un% k r m b de la mqjerficis . ~ o t ä ~ e )
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C
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f0mKl.e qui a m un gros suceZis puisque tous les lots sont. r e t a s . Une
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Ce sed. progrès, pour cpxi commit la Ioisèra souriante den yilbges'de . . - . .
hsousse'-est deja U T ~ . gros sv;ccds. * - ..
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, XXVII
l . I .
I @ .
C O N ' C L U S 1 O N
l*Brrope des cherch- fom8s) .
Jeayr'Boyer I