toi qui déplores ta vie sur fond damertume rappelle toi le monde qui renaît sous la plume
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Toi qui déplores ta vie sur fond d’amertume
Rappelle toi le monde qui renaît sous la plume
Un soir de mai avec le soleil témoin de l’Histoire
Se souvenir, fait parti à jamais de notre devoir
Un temps plutôt, un homme, le défit de la folie
Fort de sa nation il séquestra la liberté chérie
A l’aube de septembre, il marchait sur d’autres terres
Avait il entreprit de faire de ce monde un enfer
Pas même un souffle a fait frémir la lune
Quand sur la terre la guerre faisait la une
En ce temps la vie ne pesait pas bien lourd
Nul ne savait au lendemain s’il reverrait le jour
L’honneur des hommes n’était que sacrifices
A l’heure où tant de mères pleuraient leur fils
Un doigt sur la détente pour qu’une vie s’efface
Une hécatombe pour sur la terre gagner sa place
Un lourd tribu qui s’étendait jusqu’aux civils
En août « enola gay »porta l’effroi sur leur ville
Ne jamais oublier le fond de l’homme reste bien là
Craignez qu’un jour la jungle n’impose sa loi
LA VIE SOUFFLEEToi qui déplores ta vie sur fond d’amertumeRappelle toi le monde qui renaît sous la plumeUn soir de mai avec le soleil témoin de l’histoireSe souvenir, fait parti à jamais de notre devoirUn temps plutôt, un homme, le défit de la folieFort de sa nation il séquestra la liberté chérieA l’aube de septembre, il marchait sur d’autres terresAvait il entreprit de faire de ce monde un enferPas même un souffle a fait frémir la luneQuand sur la terre la guerre faisait la uneEn ce temps la vie ne pesait pas bien lourdNul ne savait au lendemain s’il reverrait le jourL’honneur des hommes n’était que sacrificesA l’heure où tant de mères pleuraient leur filsUn doigt sur la détente pour qu’une vie s’effaceUne hécatombe pour sur la terre gagner sa placeUn lourd tribu qui s’étendait jusqu’aux civilsEn août « enola gay »porta l’effroi sur leur villeNe jamais oublier le fond de l’homme reste bien làCraignez qu’un jour la jungle n’impose sa loi Bernard H. Le 10/03/09