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Une nouvelle édition de La Plume pour le mois de novembre. Toutes les actus du monde et de l'ULB et interview exclusive de Isabelle Meuret.

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ÉditoChères étudiantes, chers étudiants,

Voici enfin pour vous la toute nouvelle versionde La Plume. Et comme elle aime se fairedésirer, nous vous avons fait languir pendantplus d'un mois ! Mais pas de panique, LaPlume est bien au rendez-vous avec descontenus toujours plus riches et de meilleurequalité à chaque exemplaire. Cette annéeencore, notre périodique évolue avec une toutenouvelle équipe à la clé. Espérons donc quecette nouvelle édition vous rendra encore plusaccro que ce que vous ne l'étiez déjà.

Alors sans plus attendre, voici le programmeque le nouveau Comité rédactionnel vous aconcocté. Tout d'abord, nous ferons un petitvoyage autour du monde pour prendreconnaissance des dernières news, et accrochez-vous bien car le périple s'annonce tumultueux !A notre retour, nous prendrons bien sûr,comme chaque fois la température à l'ULB etlà aussi vous risquez d'être surpris…Mais queserait un exemplaire de La Plume sans satraditionnelle interview. Isabelle Meuret,présidente du master en communicationmultilingue nous a fait le plaisir de répondre ànos quelques questions. Nous relaterons ensuitedes derniers événements qui ont agité notrebelle capitale avant de vous présenter l'agendades activités du CJC.

Mais qui dit nouvelle équipe rédactionnelleimplique forcément quelques nouveautés. Et lapremière d'entre elle est évidemment sous vosyeux. Désormais, La Plume ne sera disponibleque par format électronique. La société évolueet nous aussi. De nouvelles rubriques font aussileur apparition. C'est le cas du « In » et du« Out » qui établira chaque mois un classementdes personnalités, des services ou desévénements qui ont été marqués par leursuccès ou leur échec flagrant. La rubrique «On

a testé pour vous… » permettra quant à ellede mettre en lumière un service ou unnouveau phénomène à la mode. Et pourpermettre cela, c'est tout le comité qui vatester l'expérience, à ses risques et périls,mais pour votre plus grand plaisir.

Vous l'avez donc compris, de nouvellesrubriques, un nouveau format mais aussibien d'autres choses étonnantes encore vousattendent. Chères étudiantes, chersétudiants, il ne nous reste donc plus qu'àvous souhaiter une très bonne lecture.Profitez bien de ce premier numéro nouvellegénération en attendant le fameux blocus quise rapproche à grand pas. La Plumeremastérisé, c'est maintenant et c'est àconsommer sans modération !

Sébastien Morel,rédacteur

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News of the world

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Act'ULB

Alain Delchambre, ancien président du CA de l'ULB

Alors que les 24 000étudiants de l'UniversitéLibre de Bruxelles (ULB)ont bien repris place au seinde leur campus, la rentrée n'apas été aussi sereine du côtédes autorités de l'université.Le 19 septembre dernier,Alain Delchambre, présidentdu conseil d'administrationde l'ULB fait son traditionneldiscours de début d'annéeuniversitaire. L'événementaurait pu s'arrêter là. Maisc'était sans compter sur lesite Lapige.be (site fondé pardes étudiants encommunication). Quelquesjours plus tard, il révèle ainsile scandale : le discours duprésident du conseild'administration aurait detrès nombreuses similitudesavec celui de l'ancienPrésident français, JacquesChirac, prononcé en 2003.

« Une réponse trop légère »

L'ULB sanctionne trèslourdement, comme laplupart des universités, touteforme de plagiat. Et voilàqu'un des membres les plushauts placés dans lahiérarchie se retrouve enflagrant délit. La réponse nes'est donc pas fait attendre.

« Je n'étais en rien au courantde ces manquements (…) Unde mes collaborateurs a étédémis de ses fonctions »déclare alors Alain Delchambredans une lettre d'excusesadressée à l'ensemble de lacommunauté universitaire. Leconseil d'administration prendalors acte de la décision de leurprésident et décide de ne pasaller plus loin. Pourtant, cen'est pas de l'avis de tout lemonde. Le site Lapige.be,comme beaucoup d'autresétudiants, dénonce « uneréponse trop légère (…) toutmembre de la communautéuniversitaire pris en flagrantdélit de plagiat risquel'exclusion pure et simple ».

Une image négative pourl'ULB

L'information va finalementfaire le tour de la pressenationale et internationale.L'article parut dans le journalde référence français Le Mondeest la goutte de trop. Dans unmail adressé à l'ensemble desmembres de l'université, AlainDelchambre annonce sadémission. « J'ai pris ladécision, dans l'intérêt del'institution, de démissionnerde la présidence du Conseil

Une rentrée mouvementée à l'ULB

d'administration de l'université.J'en assume la pleine et entièreresponsabilité» explique ledésormais ex-président du CA.Alain Delchambre avait été éluà cette fonction le 17 janvier2011. Il avait été reconduit à laquasi unanimité en janvier 2013pour un mandat de deux ans.

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Act'ULB

17 000 personnes ! C'est le nombre d'entrées qui ontété vendues pour assister à la Nocturne de l'ULB quifêtait ses 10 ans cette année. Et tout était prévu pourmettre le feu au plancher. Ce sont ainsi pas moins de27 artistes qui se sont produits jusqu'au bout de lanuit et un peu plus de 300 bénévoles qui ont encadrésle festival. « Je viens chaque année ici pour assisterà ce festival 100 % musique. Et en plus, il y en apour tous les goûts » nous explique Alice, étudianteen droit. La Nocturne de l'ULB est en effet unfestival qui fonctionne de par sa diversité. Afin desatisfaire tous le monde, les organisateurs ontinstallés 4 scènes de styles différents : Rock-UAE,Electro, Jazz-musique du monde et Urban music. Etencore une fois, les résultats ont été à la hauteur desespérances puisque dès le vendredi matin lesorganisateurs affichaient fièrement sur leurs stands« Sold out ». Plus une seule place n'était disponible,autant dire que la bataille des tickets aux entrées dufestival a de nouveau fait rage. Victime de son suc-

-cès, le festival rassemble chaque année desmilliers de personnes venues de toujoursplus loin. L'objectif étant de « rassemblertoute la communauté estudiantine deBelgique ». Plutôt bien parti, après cetteédition anniversaire surprenante. Et tandisque la dernière note de musique vient deraisonner sur le campus du Solbosh, tous ontdéjà en tête une chose : « Rendez-vousl'année prochaine ! »

Le festival en quelques chiffres…

10 ans d'existence

2500 bénévoles

100 organisateurs

160 000 litres de bière écoulés

170 000 spectateurs toujours plusdéchaînés

Et l'aventure continue dès l'annéeprochaine !

Crédits photos: https://www.facebook.com/nocturneulb?fref=ts

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Interview ProfIsabelle Meuret est professeur d'anglais à l'ULB depuis 2005. Après avoir donné des cours à New-York pendant plus de 6 mois, elle assure désormais des cours en BA3, MA1 et MA2. De l'anglais des médias aux cultures et civilisations anglophones,son panel d'enseignement est large. En plus de ces cours, Isabelle Meuret s'occupe également de la direction du département information-communication avec Irène Di Jorio depuis 2 ans. La Plume revient sur un parcours semé originalité et vous livre les quelques conseils pour vous améliorer en langue.De Mons à New-York : un parcours hors du commun !

Quel est votre parcours professionnel ?J'ai fait mes études universitaires à l'UCL de1985 à 1989. J'ai étudié les langues, pas desurprises (rires). C'était une licence de philologieromane où j'ai choisi l'anglais et l'allemand.Après mon agrégation, j'ai directement enseignédans la région de Mons, d'où je viens, pendanttrois ans dans l’enseignement secondaire. J'ai enparallèle commencé à enseigner à l'université deMons. Ça m'a beaucoup plu et stimulé aussi. J'aidonc décidé de prolonger mes études enentamant une thèse de 1996 à 2001. Je suis restéeenseignante pendant 16 ans à l'UCL. Ma thèsem'a surtout permis de partir pendant un an auxEtats-Unis. J'ai donc fait quelques mois à LosAngeles puis 6 mois à Stanford. J'ai été gâté. Çaa été une expérience transformatrice. A monretour, j'ai continué à donner des cours à Monspuis à Louvain. Puis un poste s'est ouvert àl'ULB en 2005. Je me suis présenté en pensantque je n'avais aucune chance. Mais tout est bienqui finit bien et je suis très heureuse aujourd'hui.

Pourquoi avoir choisi l'ULB ?J'avais d'abord postulé partout en France maisc'était vraiment trop bouché. Et j'ai vraiment euune chance énorme d'être la bonne personne aubon moment ici à l'ULB. Après 16 ansd'enseignement, je me suis demandé si j'allaiscontinuer car ce n'est pas évident. Aux Etats-Unis, c'est souvent 600 candidats pour un postedonc je mesure la chance que j'ai aujourd'hui.

Votre fonction au sein de l'ULB a évoluédepuis votre arrivée ?Oui j'ai donc d'abord été chargée de cours. Puisj'ai eu la chance d'être promue professeur. De2007 à 2011, je me suis occupé de laprésidence du master en communicationmultilingue. C'était un gros projet car on a dûdémarrer un diplôme qui n'existait pas. C'étaitun vrai challenge mais je suis très heureuse carça a vraiment bien fonctionné. Le master seporte très bien . Je m'occupe aujourd'hui de ladirection du département informationcommunication avec Irène Di Jorio depuis 2ans. Nous sommes une équipe très dynamiqueet nous avons de chouettes projets comme avecl'IHECS et l'ISTI. On a beaucoup de choses àfaire. Je travaille aussi dans une super équipeavec deux collaboratrices dynamiques.

Finalement, qu'est-ce qui vous plaît dansl'enseignement ?Au départ, je ne voulais surtout pas être prof(rires). J'aimais lire et les langues. L'envie estvenue au fur et à mesure. C'est le plus beaumétier du monde car le principe de base c'est departager la connaissance. J'ai trouvépassionnant que d'aider les gens à faire des pasen avant. C'est très gai d'accompagner lesétudiants dans leur processus d'apprentissagede l'anglais. De plus, ce n'est pas difficile demotiver les étudiants car l'anglais est unematière agréable dont on a besoin. J'aime lepartage des connaissances, J'aime le fait que

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tous les soirs quand on se couche on a appris quelque chose. Tous les jours j'apprends et j'espèrepartager un maximum de choses avec les étudiants. J'adore travailler avec les jeunes, c'est lemeilleur remède contre la ringuardise. On est tout le temps obligé de se remettre en question. Il ne faut pas rejeter les nouvelles technologies mais plutôt les utiliser comme un tremplin.

Vous avez donc écrit votre thèse sur l'anorexie :Writing Size Zero. Pourquoi ce thème ?Le professeur qui s'occupait de moi avait pour thème littérature, corps et femmes. Et on devait travailler sur ces thématiques. J'étais interpellé par cette pathologie parce que le discours médical présentait l'anorexie comme une pathologie menta-

de s'améliorer en dehors de ce que nous luiproposons déjà.

Quels seraient donc les conseils que vousdonneriez aux étudiants en difficulté ?La première chose est bien sûr de venir auxpermanences. Nous avons une étudianteaméricaine qui est là 4h par semaine à ladisposition des étudiants, un peu comme uncoach. Cela permet de se faire corriger pourdes présentations orales mais aussi de fairejuste de la conversation. Le deuxième conseilc'est bien sur de venir au cours. On apprendbeaucoup des autres, c'est donc important defaire cet effort. Un autre conseil un peumoins évident mais tout aussi important est

-le. Et quand on s'intéresse aux patients, on s’aperçoit que cela est totalement différent. Je souhaitais en plus déconstruire le mythe des médias qui voyait l'anorexie comme le fléau du siècle. La liaison dangereuse entre les maux et les aliments méritaient de s'y intéresser. Puis je suis passée au journa-

-lisme littéraire. J'aurai dpar ailleurs la chance de donner un cours sur le journalisme littéraire et narratif à l'ULB dès l'année prochaine.

Quels sont selon vous les plus grandes difficultés que connaissent aujourd'hui les étudiants en cours d'anglais ?La première difficulté c'est bien sûr l'hétérogénéitédes publics. Les niveaux sont très différents. Et c'est frustrant car il y en a peut-être un tiers qui s'ennuient, un tiers qui suit pas et un dernier tiers qui « pédale ». Il faut donc être attentif à tous le monde et offrir des outil de remédiation à ceux quisont faibles tout en intéressant les plus doués. La difficulté du point de vue des étudiants c'est donc de savoir comment on fait pour compenser son retard si on a pas fait beaucoup d'anglais jusque lors. L'étudiant va d'abord devoir cerner ses points faibles pour ensuite les travailler. Nous sommes tout à fait conscient que l'anglais s'apprend en dehors du cours, qui reste simplement un support d'étude. Notre objectif à nous est donc de donner envie aux étudiants pour qu'ils fassent la démarche

de poser des questions quandon a pas compris, de mettre àjours ses cours. Il fautchercher l'aide dès le début. Ilfaut aussi savoir quel'université met en place desdispositifs comme Tandem.C'est ce qui permet depratiquer la langue tous lesjours. Enfin l'un des derniersconseils est de lire et d'écou-

-ter. Ce qui est formidable avec l'anglais c'estqu'il y a pleins de séries télévisés, il y a pleinsde journaux accessibles en ligne. On est tousles jours confrontés à l'anglais. Il faut doncécouter au maximum et lire. Ce sont des petitsréflexes mais qui permettent d'avancer.

Pour vous, le programme ERASMUS peut-ilapporter quelque chose aux étudiants ?C'est une expérience magnifique.Malheureusement, il y a trop peu de places enAngleterre car trop de demandes. Mais il nefaut pas oublier que certains programmes sontfait en anglais comme à Prague ou Amsterdampar ex. Je crois beaucoup en ce programme. Ons'est souvent moqué d'Erasmus en le voyantcomme une entreprise de tourisme, mais non.On apprend beaucoup en étant à l'étranger.C'est très formateur et je l'encourage toujours.

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What's new here ?Accidents de trams en baisseEt justement, parlons de trams. La STIBrelance sa campagne de prévention « le tram apriorité ». De nombreux accidents sont àdéplorer du à l'oubli de cette règle qui régenteles transports en communs bruxellois. Mais lasociété de transport peut se féliciter de voirmoins d'accidents. En 2013, on a compté 43accidents entre trams et piétons, soit unebaisse de 23 %.

Criminalité en baisseEt ce n'est pas le seul facteur qui est en baisse.Les chiffres évoqués par la police de la zonede Bruxelles-Capitale-Ixelles montreégalement une forte baisse de la criminalité.Depuis 2009, c'est 64 % de vols à main arméeen moins par exemple. Et tous les chiffresindiquent la même constance dans l'ensembledu secteur. Seuls les cambriolages stagnent !

Quick de LouiseLes amateurs de fast-food se sont fait unefrayeur. Le Quick situé avenue de la Toisond'Or a été fermé par le bourgmestre de Saint-Gilles pour non-respect des normesélémentaires de sécurité. Le restaurant afinalement pu réouvrir quelques jours plustard après une attestation des pompiers. Unepetite crise qui n'a pas refroidi lesconsommateurs, toujours fidèles !

Euro 2020 !Et on termine ce petit tour de l'actualitébruxelloise en sport. Le comité de l'euro 2020a bien accepté la candidature de la capitaleBelge. Bruxelles accueillera donc bienplusieurs matchs de groupes et un match dehuitième de finale en 2020. Il ne reste doncplus qu'un petit détail à régler. Un petit détailqui n'est ni plus ni moins la construction dunouveau stade qui accueillera plus de 62 000spectateurs.

Un black-Out explosif !Si la menace du black-out cet hiver menaceune grande partie du pays, ne cédons pas à lapanique. C'est en tout la leçon qui sera àretenir après l'explosion d'une villa àWatermael-Boitsfort. La propriétaire avait eneffet stocker des réserves d'essence et investitdans un groupe électrogène. L'accumulationde ces carburants a fait littéralement exploserla villa. La propriétaire avait peur de manquerde chauffage. Cet hiver, c'est un toit qui luimanquera !

La démolition du viaduc en retard !Et on continue ce tour de l'actu bruxelloisetoujours dans le domaine des élémentschimiques. La démolition du viaduc Reyers vaprendre 3 à 4 mois de plus pour cause dedésamiantage. Et cela risque de faire raler lesautomobilistes. Les travaux qui devaientinitialement se terminer en novembre 2015évoque désormais le mois de février 2016...sitout va bien !

Evacuation du Palais de justiceEn pleine guerre contre l’État Islamique enIrak, la tension est à son comble en Belgique.Après l'installation de barbelés près duparlement Européen et dans diversendroitspour lutter contre le terrorisme, lePalais de Justice a été évacué d'urgencependant quelque heures. La cause ? Plusieursarmes et munitions auraient été retrouvés dansune poubelle pas loin de l'édifice.

Braquage dans une pharmacieEt voilà justement une affaire qui devrait seretrouver au Palais de Justice. Trois jeunesmineurs ont en effet braqués une pharmacie àEvere à l'aide d'une arme factice. Les troisjeunes ont pris la fuite avant d'êtrearrêtés...dans le tram.

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Sortir à BruxellesDu 1er au 30 novembre

Samedi 1er et Dimanche 2 : Visite guidée du cimetière de Laeken à l'occasion de la Toussaint(Station Bockstael, ligne 6 / 5€ par personne / http://www.laekendecouverte.be/)

Halloween Festival : animations et parades au musée d'Art Fantastique(Station Janson, lignes 81,83,97/ Différents tarifs/http://www.fantastic-museum.be/)

Samedi 8 et Dimanche 9 : New Music High-end innovation : nouveautés hi-fi et cinema.(Station Lekaerts, ligne 62/ Hôtel Courtyard-Mariott/Gratuit /http://www.nmhighendinnovation.com/)

Du 13 au 15 : Salon Brussels innova : salon de l'inventeur, dernières innovations et technologies(Station Heysel, lignes 6 et 7 /Brussels Expo-Palais 10/Entrée libre/http://www.brussels-innova.com/)

Du 13 au 16 : Week-end du Doc : Festival du documentaire à Bruxelles et en Wallonie(Divers lieux de Bruxelles et de Wallonie/ http://www.we-doc.be/ / 02-413.22.29)

Du 6 au 15 : Pink Screens Film Festival : Festival de cinéma abordant la sexualité et les genres(Station De Brouckere ou Gare Centrale/ lignes1,3,4 et 5/ Cinéma Nova/ http://www.pinkscreens.org/)

Du 15 au 23 : Salon Cocoon : dernières tendances dans le logement, l'aménagement intérieur…(Station Heysel, lignes 6 et 7/ 10€ par personne/ Brussels Expo/ http://www.cocoon.be/)

Du 21 au 23 : 12ème Foire du livre Belge avec pour thème le pouvoir.(Station Marlow, lignes 92 et 97/ Entrée libre/ Centre culturel d'Uccle/ http://www.ccu.be/)

Samedi 22 et Dimanche 23 : Salon du vin : près de 60 domaines présents(Station Ribaucourt/ lignes 2 et 6/ 86C Avenue du Port/ http://salon.larvf.com/fr/)

A partir du 28 : Les plaisirs d'Hiver : animations, marché de noël, patinoire(De la Grand'Place à Sainte-Catherine/ Gratuit/ http://www.plaisirsdhiver.be)

Samedi 29 novembre : Canta ! Festival de la chanson latino-américaine(Station Sainte-Catherine, lignes 1 et 5/ La Tentation/ 14€/ http://www.america-latina.be/)

Jusqu'au 30: Exposition Titanic : The Artifact Exhibition au Palais 2 de Brussels Expo (Station Heysel, lignes 6 et 7 / 15,90€ par adulte / 070 79 00 70 / http://www.expo-titanic.be/ )

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Le InMini-Europe (loisirs)Accessible directement via les lignes 6 et 7 de laSTIB, Mini-Europe est idéalement placé au pied del'Atomium, sur le plateau du Heysel. Venezdécouvrir les plus beaux lieux d'Europe enseulement quelques heures. De la Grand'Place à laTour Eiffel, en passant par Westminster et la Tourde Pise, l'ensemble des monuments et paysageseuropéens sont fidèlement représentés. Le parcoursest ponctué d'animations sonores et visuelle. Deplus, une petite brochure à l'entrée vous

accompagnera tout au long de votre périple pour mieux comprendre le Vieux Continent. A faire enfamille ou entre amis, et sous le soleil de préférence, Mini-Europe fête cette année ces 20 ansd'existence. Comptez 14,30€ pour une visite qui vaut le détour. Plus d'infos surhttp://www.minieurope.com/

SNCB (Transports)La SNCB œuvre pour la mobilité. Avec son billet« Webdeal », elle te propose de partir n'importe oùsur le territoire belge pour seulement 6€. Tu astoujours rêvé de partir en escapade à Bruges, Liègeou Anvers...Alors c'est le moment où jamais. Maisil faut faire vite. Il ne reste plus que 150 000 billetsdisponibles via le site de la SNCB. Si tu a moins de26 ans, tu pourra toujours profiter du « GoPass »pour le même prix. Mais encore une fois, il faudrafaire vite. Le nouveau gouvernement prévoit sasuppression dès le 1er janvier 2015. Plus d'infos surhttp://www.belgianrail.be/

Princesse Elisabeth (People)La Princesse Elisabeth de Belgique était présente lors de lacommémoration « Lichtfront » (Front de Lumière). La cérémonie avaitpour but de retracer la ligne de front de 1914 à l'aide de 8400 porteurs deflambeaux. A ce titre, la princesse Elisabeth s'est exprimé dans les troislangues nationales avec une maîtrise parfaite de chacune d'entres elles. Aseulement 13 ans, elle a lancé une invitation à tous les jeunes de « porterhaut le flambeau » et former un « front de lumière contre les guerres ».

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Le Out

Le Grand Bi (restaurant)Situé au 2 rue des petits Bouchers, à quelquespas de la Grand'Place, ce restaurant paraît de

l'extérieur si atypique. Et pourtant...fuyez mes amis ! Les serveurs sont désagréables et n'ont qu'une envie c'est de finir le service. Les prixsont assez élevés pour ce qui a tout l'air d'un

restaurant « moyen ». Quant à la nourriture elleest juste médiocre...et je pèse mes mots. En réalité,vous ne savez pas trop ce que vous mangez. Alors

un seul conseil : préférez un sandwich à ce« restaurant ».

Théo Francken (People)A peine nommé et déjà sous le feu des projecteurs. Le nouveau secrétaire d'étatN-VA à l'Asile et la Migration est le responsable de trois polémiques depuis sanomination. La première est celle qui a tout déclenché. Après sa prestation deserment devant le Roi Philippe, le nouveau secrétaire d'état s'est rendu àl'anniversaire d'un ancien collaborateur durant la 2nde Guerre Mondiale, BobMaes, qui fêtait ses 90 ans. Ce sont ensuite des mails datant de 2007 et àcaractères homophobes qui ont été retrouvés. Enfin, plus récemment, sur leréseau social Facebook, Théo Francken aurait déclaré : « Je peux me figurerquelque chose concernant la valeur ajoutée des diasporas juive, chinoise etindienne, mais moins concernant la (diaspora) marocaine, congolaise oualgérienne. Ou est-ce trop controversé? ». Un comble pour le secrétaire d'état àla migration. Théo Francken s'est finalement excusé devant les députés. Legouvernement Michel commence donc sur les chapeaux de roue.

Mesures de sécurité (Santé)Alors que les aéroports du monde ont misen place des mesures de sécurité depuisplusieurs semaines pour faire face au virusEbola, le gouvernement Belge vientseulement de s'y mettre. Les bagagistes deZaventem menaçaient ainsi la direction dene plus manipuler les bagages venant despays à risques. La psychose ne cessait degrandir depuis la contamination de plusieurspersonnes en Espagne. Bien que desmesures soient prises, les bagagistes restentsceptiques. Et il faudra beaucoup de couragesi la nouvelle coordinatrice Ebola, ledocteur Erika Vlieghe souhaite convaincre.

Source: http://www.cumuleo.be/mandataire/11614-theo-francken.php

Source: http://media-cdn.tripadvisor.com/media/photo-s/04/59/be/72/le-grand-bi.jpg

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On a test pour vous...éLe Villo !

Tu l'a forc ment crois uneé éfois dans ta vie. Avec soncadre gris m tallique et sonégarde-boue jaune « fluo »,impossible de rater ce bolide.Pourtant, tu doutes encore deson utilit . Nous avons doncéd cid de le tester pour toié é !

Le bilan est finalement positif. Villo ! obtientune moyenne générale de 7/10. Pas mal du tout pour un service qui fête ses 5 ans cette année. Alors plus question pour vous de faire l'ignorant. Villo ! vous permettra, en plus de son efficacité, d'éliminer lehamburger de la veille et de réveiller en vous une conscience écolo ! Alors n'attendez plus et à vos villos !

Il était une fois…Villo ! Est un service qui est apparuten 2009. Il a remplacé l'anciendispositif, Cyclocity. C'est l'entreprisede publicité JCDecaux qui en a lacharge.

Le Villo !L'ensemble des cycles ont été rénovés depuis 2009. Ils sontaujourd'hui équipés de 7 vitesses, ce qui, il faut l'avouer, est bienpratique pour s'adapter au terrain, surtout lors de la montée versl'ULB. Un panier assez large permet d'y poser son sac et un antivolest à votre disposition. Quant à la selle, elle est entièrementréglable. Le seul mauvais point reste le poids du vélo (environ15kg). On accordera toutefois une cote positive de : 7/10.

Les stationsVillo ! C'est une entreprise en pleineexpansion. On compte une station toutes les450 mètres environ et cela dans les 19communes de la région Bruxelles-Capitale.Fin 2014, le réseau sera ainsi équipé de 360stations. Pourtant, toutes ne sont pastoujours efficaces. Les stations situées dansles quartiers les plus élevés sont souventdésertes, tandis que celles se trouvant en bassont bien souvent surchargées. Et malgré lebalai incessant des techniciens, leréapprovisionnement des stations laisse àdésirer. Enfin, toutes les stations nepermettent pas le paiement par cartebancaire, restreignant ainsi la possibilité deprendre une location. Difficile donc de bien coter les stations. Onaccorde 6/10.

Les tarifsLes tarifs en vigueur sont plutôt démocratiques. Comptez32,60€ pour un abonnement annuel(31,60€ si vous êtes titulaired'une carte MOBIB). Des locations à la journée (1,60€) ou lasemaine (7,65€) sont aussi disponibles. Et bonne nouvelle pourvous, 6 mois sont offerts pour l'ensemble des étudiants ! La cote de 9/10 nous paraît donc tout à fait acceptable.

La mise en pratiqueMais les choses sont-elles si simple dans la réalité ? S'il fautadmettre que des efforts en terme de mobilité ont lieu, necrions pas victoire trop tôt. De nombreuses pistes cyclables setrouvent sur des chaussées en très mauvais état. De plus, il fauttoujours faire attention à certains éléments. Car si les vélossont pour la plupart assez neufs, cela n'empêche pas leurs rouesde se bloquer dans les rails du tramway. Certains moments sontaussi très peu plaisants. Rouler entre les bus d'un côté et lesvoitures stationnées de l'autre n'est pas toujours agréable.Enfin, n'oublions pas que la pluie fait partie de notre quotidien.Et il n'est jamais confortable de rouler sous une pluie battante.Il faut en effet faire attention à notre distance de freinage etnotre stabilité sur la route. Et une fois arrivé, il ne vous resteplus qu'à vous changer. Nous avons donné une cote un peumoins positive de 6/10.

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Espace détente

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Le CJC

Et comme à son habitude, le CJC se mobilise pour te proposer toujours plus d'activités. Après un moisd'octobre bien chargé entre les visites des coulisses de la RTBF, la projection des saisons 1 et 2 de Black Mirror et les traditionnels TD et journées de parrainages, nous te proposons un mois de novembre plutôt sportif. Sans plus attendre voici l'agenda du mois.

La Plume recrute !

Si toi aussi tu aimes écrire, faire des reportages ou des photos, tes compétencessont les bienvenues. Pour cela, il te suffit d'envoyer un message à l'adresse suivante : [email protected] Alors à toi de jouer. Plus que jamais, La Plume a besoin de toi !

Et n'oubliez pas notre verre Infocom du jeudi 13 novembre !

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Souriez, vous êtes filmés

Réponse du rébus : La poupée Annabelle (film d'horreur)

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