suprgp 20130917 suprgp1 full

8
ET SI ON REPARLAIT DE L’ÉPARGNE DES BELGES !

Upload: sa-ipm

Post on 13-Mar-2016

238 views

Category:

Documents


1 download

DESCRIPTION

Dossier Afer Europe

TRANSCRIPT

Page 1: Suprgp 20130917 suprgp1 full

ET SI ON REPARLAITDE L’ÉPARGNE DES BELGES !

Page 2: Suprgp 20130917 suprgp1 full
Page 3: Suprgp 20130917 suprgp1 full

FAUTIL ABANDONNERLE LIVRET D’ÉPARGNE ?

Edito

D’après l’étude réalisée par la BCE en 2010 auprès d’environ 2.400 ménages belges, seuls 48% de ces ménages sont en mesure d’épargner. Ce n’est pas beaucoup. Pourtant, nos compatriotes sont parmi les champions de l’épargne (avec les Allemands et les Luxembourgeois). Ils économisent environ 16% de leurs revenus. En juin dernier, les dépôts sur les comptes d’épargne ont ainsi atteint le niveau record de 245 milliards d’euros (alors que, juste avant la crise � nancière, on en était à 140 milliards). Cela s’explique par l’aversion pour le risque et le besoin de liquidité des Belges. Comme le dit Bruno Colmant, Membre de l’Académie Royale de Belgique, « l’épargne des particuliers représente le fondement de la prospérité du Royaume ».

Or, selon Jean-François Boulier, Directeur Général d’Aviva Investors Europe, « dans la zone euro, les perspectives de crois-sance sont toujours moroses mais certains signes d’amélioration sont perceptibles ». Pour beaucoup, le moment est donc propice pour réorienter une partie de leur épargne, notamment vers la bourse. Il est temps que l’épargne quitte le livret et se réinvestisse dans l’économie réelle, particulièrement dans les PME. Telle est la philosophie du futur emprunt populaire dont on parle de plus en plus et qui devrait être lancé le 1er novembre. Ceci dit, on n’en sait pas beaucoup plus si ce n’est qu’il devrait porter sur une période de 5 ans et que le précompte serait maintenu à 15%. C’est encore le � ou artistique.

Bref, dans les semaines à venir, l’épargnant belge va être confronté à des choix multiples. Il devra peser le pour et le contre. Ou en tout cas, il aura à connaître toutes les options possibles. Peut-être y arrivera-t-il en lisant ce dossier. Libre à lui ensuite de � xer la meilleure voie en fonction de ses objectifs de rendement et de ses aspirations citoyennes…

Paul Grosjean

SOMMAIRE

Pour sortir du labyrinthede l’épargne ................................. 04

Fiscalité mobilière :une réforme est urgente ............ 05

Le point économiqueet � nancier .................................. 06

L’assurance vie en pertede vitesse ? Ah bon ! .................. 07

Supplément gratuit àLa Libre Belgique réalisépar IPM ADVERTISING17 septembre 2013

Rue des Francs, 791040 BruxellesTél : 02.211.28.49Fax : 02.211.28.70.

EDITEURSRESPONSABLES :Emmanuel DenisHenry Visart.

RÉDACTION :Jean-François BoulierBruno ColmantPaul Grosjean.

PUBLICITÉ &COORDINATIONBruno [email protected]

MISE EN PAGE :Fabrice LibenIPM Advertising

PHOTOS :© Shutterstock

INTERNET :www.lalibre.be

Page 4: Suprgp 20130917 suprgp1 full

4

A côté de l’épargne, il y a l’assurance-vie et tout d’abord la « Branche 21 ». Ce sont des produits à rendement garanti. Ils offrent éventuellement une participation aux bénéfices. Ceux-ci varient d’année en année. Rappelons également qu’il faut pouvoir se passer de ce capital pendant 8 ans et un jour (sous peine de supporter le précompte mobilier à 25%). Selon Patrick Dath-Delcambe de LA LIBRE BELGIQUE, la production est en chute depuis le début de l’année (pour des raisons fiscales). Pourtant, sur le long terme, ces produits dégagent des rendements supérieurs au compte d’épargne. BUD-GET HEBDO suggère ainsi d’opter pour AFER Europe. « L’assurance-vie s’entend à long terme, ce qui dilue considérablement la taxe », commente son Président, Marc Vrijman.

Toujours dans l’assurance-vie, il y a égale-ment la « Branche 23 ». Elle s’inscrit dans le long terme (minimum 10 ans). Cette assurance ne garantit ni le capital ni le ren-dement. Mais la rentabilité peut être supé-rieure. En réalité, cela dépend du fonds dans lequel l’argent à épargner est investi. Et puis, il y a la « Branche 44 ». Elle couple une as-surance classique de Branche 21 (à capital garanti) à une assurance de Branche 23 (où le rendement est déterminé par des fonds de placement). Le preneur d’assurance choisit lui-même le poids qu’il souhaite attribuer à la protection de son capital et à la prise de risque. Il n’y a pas de régime � scal par-ticulier. AFER Europe propose ce type de solution depuis 2003 avec son contrat Mul-tisupport. « Il peut être judicieux, poursuit Marc Vrijman, après analyse de votre pro� l, d’orienter une partie de votre épargne vers les produits de Branche 23 ».

Pas de rendement sans tauxEnsuite, il y a le bon d’Etat. Son rende-ment est faible. Il rencontre de moins en moins de succès. Par exemple, en sep-tembre 2013, 24 millions d’euros ont été récoltés (alors qu’en décembre 2011, le fameux « emprunt Leterme » avait rap-porté près de 6 milliards d’euros). Puis, il y a toute une panoplie de produits financiers (bons de caisse, comptes à terme,… ) sur lesquels le précompte est passé de 15 à 25%. Par ailleurs, il existe des placements plus risqués comme les actions en Bourse et les œuvres d’art. L’or peut être aussi une opportunité. Enfin, n’oublions pas l’immobilier. Dans ce domaine, en Belgique, le débat est vif entre les économistes qui prédisent un réajustement à la baisse du marché et les professionnels qui ne voient rien venir sur le terrain.

Par rapport à toutes ces options, comment l’épargnant peut-il s’y retrouver ? En fait, tout dépend de ses besoins en liquidités et du pro� l de risque qu’il est prêt à assumer (sachant que le risque zéro n’existe pas en matière d’investissement). De toute façon, les conseils de base sont connus. Il faut jouer la carte du long terme. Mais ce n’est pas gagné d’avance vu la préférence actuelle des Belges pour le court terme. Il importe d’autre part de diversi� er ses avoirs. Cer-tains disent : un tiers dans le livret, un tiers en actions, un tiers en obligations. En outre, il s’agit d’essayer d’anticiper les changements � scaux, ce qui n’est pas évident en période d’instabilité politique. En� n, certains seront sensibles à l’idée de mobiliser leur épargne en faveur du � nancement de l’économie. Au-delà de toutes ces considérations, il y a un élément que personne ne pourra contour-ner : l’évolution des taux d’intérêt…

Pour passer en revue toutes les options en matière d’épargne, diffi cile de ne pas commencer par le livret.Les rendements y sont faibles. Et une remontée des taux sur les carnets n’est pas encore pour demain.Heureusement, les avoirs sont immédiatement disponibles. Et les montants sont sécurisés jusqu’à 100.000 euros. Le précompte est de 15% mais il y a une exonération sur les premiers 1.880 euros d’intérêt (ce quicorrespond à un capital de l’ordre de 100.000 euros). Cet avantage fi scal accordé aux épargnants et aux banques belges est rejeté par l’Europe. Wait and see...

POUR SORTIR DULABYRINTHE DE L’ÉPARGNE

Page 5: Suprgp 20130917 suprgp1 full

Par rapport à toutes ces options, comment l’épargnant peut-il s’y retrouver ? En fait, tout dépend de ses besoins en liquidités et du pro� l de risque qu’il est prêt à assumer (sachant que le risque zéro n’existe pas en matière d’investissement). De toute façon, les conseils de base sont connus. Il faut jouer la carte du long terme. Mais ce n’est pas gagné d’avance vu la préférence actuelle des Belges pour le court terme. Il importe d’autre part de diversi� er ses avoirs. Cer-tains disent : un tiers dans le livret, un tiers en actions, un tiers en obligations. En outre, il s’agit d’essayer d’anticiper les changements � scaux, ce qui n’est pas évident en période d’instabilité politique. En� n, certains seront sensibles à l’idée de mobiliser leur épargne en faveur du � nancement de l’économie. Au-delà de toutes ces considérations, il y a un élément que personne ne pourra contour-ner : l’évolution des taux d’intérêt…

5

Pourquoi faut-il imposer plus lour-dement un investisseur qui met son épargne à risque dans l’économie productive que celui qui s’assure un revenu � xe ?Aujourd’hui, les dividendes sont globa-lement taxés à 50% contre 25% pour les revenus des bons d’Etat. Par ailleurs, l’embrouillamini de la � s-calité mobilière a entraîné un � orilège de régimes � scaux particuliers pour les assurances-vie, bons d’assurances, SICAV, fonds d’épargne-pension, comptes d’épargne, etc. Des produits se ressemblent (SICAV et Branche 23 d’assurances) mais leurs régimes � scaux sont di� érents. Mais le pire est que les exonérations et exemptions sont devenues totalement illisibles.

Quelles seraient, dès lors, les pistes d’une réforme de la � scalité mobilière ?Il est nécessaire de simpli� er le système. Cette simpli� cation doit se conce-voir avec froideur et discernement, car l’épargne des particuliers représente le fondement de la prospérité du Royaume : toute modi� cation maladroite de la � s-calité pourrait susciter des glissements impromptus de l’épargne et des investis-sements.

Une idée pourrait être de maintenir le principe du précompte mobilier libéra-toire et de l’appliquer aux revenus de tous les instruments � nanciers, quelle que soit leur formulation juridique. On pourrait même imaginer que tous les produits � -nanciers soient taxés sur base d’un même rendement forfaitaire qui serait celui des obligations d’Etat, a� n de ne soumettre au précompte que le revenu obtenu sans risque. C’est le système hollandais qui fonctionne très bien.

Concomitamment, les particuliers pourraient bénéficier d’une enveloppe globale de déductions (de l’ordre 3.000 à 4.000 euros) qui leur permettrait de déduire des investissements mobiliers à long terme. Il ne s’agirait donc plus de limiter les déductions d’assurance-

vie ou d’épargne-pension à un montant particulier, mais de permettre au contri-buable d’allouer ses déductions selon ses préférences : un particulier pourrait affecter la totalité de son enveloppe à l’assurance-vie tandis qu’un autre l’in-vestirait en épargne-pension.

Cette déduction couvrirait aussi certains investissements en actions destinés à être conservés à long terme. De même, il serait nécessaire d’étendre la déduc-tion � scale aux produits d’assurances de type Branche 23, c’est-à-dire aux fonds à capital non garanti. C’est ainsi qu’il faut imaginer un statut � scal favorable pour les assurances de la Branche 44, à savoir une composition d’assurances à capital garanti et non garanti.

Faut-il, dans cette perspective, conserver l’exonération de précompte mobilier des carnets d’épargne ?Je le crois car cette mesure, appa-remment onéreuse pour les pouvoirs publics, ne leur coûte en réalité rien du tout et leur rapporte peut-être des recettes indirectes. Le même raisonne-ment peut d’ailleurs être appliqué aux assurances -vie dont la déductibilité fiscale conforte la stabilité. En un mot, si l’Etat belge devait se financer exclu-sivement sur les marchés extérieurs, il paierait des intérêts bien plus élevés qu’aujourd’hui. On le voit : la fiscalité mobilière a be-soin de nouvelles fondations stables, de principes directeurs et d’une moderni-sation. Bien sûr, une réforme de la fis-calité mobilière est une démarche peu mobilisatrice et politiquement fragili-sante. La tâche ne sera pas aisée. Elle doit être en phase avec la politique de la place financière de Bruxelles sous la direction incontestée du Ministre des Finances.

Bruno Colmant, Professeur à l’Ecole Supérieure des Sciences Fiscales (ICHEC)Membre de l’Académie Royale de Belgique

FISCALITÉ MOBILIÈRE :UNE REFORME EST URGENTE

Page 6: Suprgp 20130917 suprgp1 full

6

Dans la zone euro, les perspectives de croissance sont toujours moroses, mais certains signes d’amélioration sont per-ceptibles et suggèrent que le PIB pour-rait continuer à se stabiliser après la divine surprise du retour à une faible croissance au deuxième trimestre. Tou-jours en soutien, la Banque Centrale Européenne s’est de plus déclarée prête à rester accommodante « aussi longtemps que nécessaire ».

Après une année 2012 marquée par de belles performances grâce aux avancées politiques sur le front de la crise des dettes souveraines en dépit d’une croissance en berne, l’année 2013 se présente de nou-veau sous des auspices favorables pour la performance des actions européennes malgré les prises de béné� ces de la � n du premier semestre.

Le passage d’un marché porté par la liqui-dité à un marché porté par des fondamen-taux plutôt solides est en cours. Plusieurs éléments militent pour une amélioration de la perception du marché européen des actions : le rythme de dégradation de l’activité semble avoir cessé de s’y accélé-rer et certains indicateurs se redressent, à l’image des enquêtes dans l’industrie qui s’améliorent nettement.

Dans cette optique et pour des raisons de valorisation relative, nous portons notre

préférence sur les actions de la zone euro par rapport aux actions américaines, qui ont déjà enregistrés de belles performances.Au Japon, l’amélioration de la situation reste à con� rmer sur le long terme, dans le sillage de la politique monétaire très agressive du nouveau gouvernement. Depuis plusieurs mois, nous favorisons l’investissement en actions japonaises (couvert contre le risque de change) au sein de nos portefeuilles.

Enfin, du côté des pays émergents, la vigilance est de mise, en particulier en Chine qui se focalise désormais sur l’as-sainissement du crédit et des capacités de production plutôt que sur son taux de croissance. Le rythme de croissance des pays émergents restera, quoi qu’il en soit, soutenu même s’il sera plus modéré que lors de la décennie précé-dente. Le repli des marchés émergents depuis le début de l’année devrait four-nir de nouveaux points d’entrée attrac-tifs aussitôt que la visibilité sur la dyna-mique économique s’améliorera. Les turbulences que connaissent certaines devises militent pour une exposition prudente.

Sur les marchés obligataires, la � n pro-bable du «Quantitative Easing» d’ici mi-2014 a déclenché un choc à la hausse des taux d’intérêt à long terme des deux côtés de l’Atlantique qui valide notre scénario

de normalisation des marchés. Depuis de longs mois, nous estimons que les obliga-tions des Etats considérés comme les plus solides sont fortement surévaluées. La bonne santé des entreprises nous conduit à rester favorables aux obligations qu’elles émettent en privilégiant avec sélectivité les titres du secteur � nancier.

Au total, au second semestre, Aviva In-vestors France maintient ses principales orientations de gestion: positif sur les ac-tions, sélectif sur le crédit, négatif sur les obligations d’état des pays « cœur » et sur le monétaire.

LE POINTÉCONOMIQUEET FINANCIER(au 1er septembre 2013)

Par Jean-François Boulier,Directeur Général d’Aviva Investors Europe

Après une première moitié d’année particulièrement porteuse pour les investisseurs, la Réserve Fédérale américaine a entraîné les marchés fi nanciers dans une nouvelle période de turbulences en annonçant son intention de réduire ses achats d’obligations, dans le sillage d’une amélioration, à confi rmer, de la dynamique économique. Les statistiques américaines sont, en effet, plutôt bien orientées ces derniers mois :excellentes pour l’immobilier et la confi ance des ménages, plus mitigées sur la croissance de l’activité.

Page 7: Suprgp 20130917 suprgp1 full

7

PG : Marc Vrijman, les taux des contrats de Branche 21 sont en forte baisse ces dernières années ! Faut-il encore investir en assurance-vie ?MV : Il est vrai que les taux ont baissé ces dernières années et que l’on est loin des 9% o� erts au début des années 90, voire des 6% o� erts début des années 2000. Mais les taux ont baissé pour l’ensemble des produits sans risque et pas unique-ment en assurance-vie. Aujourd’hui, sur les livrets, ils sont à un niveau historique-ment bas (entre 0,6% et 1,8%) et l’in� a-tion est maitrisée depuis de nombreuses années. Les taux des émissions obliga-taires des entreprises ont également for-tement diminué de même que les obliga-tions d’Etat. Il est donc logique que les taux o� erts sur les contrats de Branche 21 soient en baisse. Ceci dit, concernant notre fonds garanti, nous avons o� ert 3,45% en 2012 après 3,43% en 2011. Comme quoi… Mais l’augmentation de la taxe d’as-surance de 1,1% à 2% au 1er janvier 2013 n’aide pas !MV : Nous acceptons cette contribution complémentaire du secteur, en espérant que cela s’arrête là ! L’assurance vie est une des réponses importantes aux dé� s que pose le � nancement des futures pensions. Nos gouvernants doivent comprendre qu’il faut arrêter de taxer cet outil destiné à assurer une partie de ce � nancement.Il faut au contraire favoriser le développe-ment de l’assurance-vie comme c’est le cas en France. Pourquoi ne pas ré� échir dans cette direction?

Compte tenu de la baisse des taux et de la hausse de la taxe, la com-paraison avec le livret d’épargne redonne un avantage au livret. Sans parler des frais (entrée – gestion – sortie) qui sont pénalisants pour les contrats d’assurance vie. Quelle est votre analyse ?

J’entends souvent les épargnants me dire : « sur mon livret, je n’ai pas de frais d’entrée, pas de frais de gestion, pas de frais de sortie et pas de taxe. Et comme j’ouvre 2 livrets dans 2 banques différentes, en plus, je ne paie jamais de précompte, même si je dépasse les 1.880 euros d’intérêts exonérés au total ». C’est vrai. Ils ont raison. Ceci dit, personnellement je préfère payer tous les frais liés à l’assurance-vie sur un rendement de 3 à 3,5% par an, que ne rien payer sur un rendement de 1 à 1,5% par an. Au terme de la première année, il est exact qu’un livret aurait rapporté plus. Mais il y a un équilibre au bout de 2 ans, et plus la durée va augmenter, plus les frais vont s’amortir et plus la différence se fera à l’avantage du contrat d’assurance-vie. Rappelons également que l’assurance-vie n’est pas l’alternative au livret. Elle est son com-plément idéal.

Quels conseils donneriez-vous au-jourd’hui à vos épargnants pour amé-liorer le rendement de leur épargne ?MV : Dans un contexte où les taux obli-gataires sont à des niveaux historique-ment bas, la diversi� cation d’une partie de l’épargne vers les supports en Branche 23 mérite l’attention. Cette diversi� ca-tion a pour objectif, en cohérence avec le pro� l de l’épargnant et en acceptant une certaine prise de risques, de dynamiser le rendement global sur le long terme. Cela passe par l’investissement sur les marchés boursiers. Pour aider nos épargnants, nous proposons di� érentes approches qui font référence à leur niveau de risque et de volatilité, en rappelant également que nos produits de Branche 23 béné� cient d’une garantie plancher en cas de décès avant 75 ans. En 2012, les performances de nos produits de Branche 23 ont été comprises entre 5 et 22% ! Chez AFER Europe, nous ne sommes donc pas trop inquiets pour l’avenir de l’assurance-vie.

7

Ces derniers temps, l’assurance vie a été mise en cause. Il est vrai qu’après la hausse de la taxe d’assurance de 1,1 à 2% au 1er janvier 2013, il y a de quoi se poser des questions sur ce type d’épargne. Nous avons rencontré Marc Vrijman, Président d’AFER Europe, qui tient son Assemblée Générale ce mardi 17 septembre à Bozar à Bruxelles en présence de 750 de ses adhérents (sur 24.000, ce qui est un record).

L’ASSURANCE VIE EN PERTE DE VITESSE ?AH BON !

LE POINTÉCONOMIQUEET FINANCIER(au 1er septembre 2013)

Page 8: Suprgp 20130917 suprgp1 full

Vous aspirez à une épargne simple, souple et mieux rémunérée, en toute sécurité ?

Rejoignez les Épargnants Gagnants d’AFER Europe et comme eux, regardez votre capital croître avec force et vigueur, sans prendre aucun risque. Nos résultats le prouvent : en 25 ans, une épargne déposée chez AFER Europe a été multipliée par 4 ! Intéressé(e) ?

Certaines épargnesrapportent plus que d’autres.

Chez AFER Europe, nous le prouvons depuis 25 ans.

* Les rendements du passé ne constituent pas une garantie pour le futur. Les taux mentionnés concernent notre Fonds Garanti (Br 21). Le contrat d’assurance sur la vie multisupport AFER Europe est un contrat d’assurance sur la vie des Br 21 et 23 souscrit auprès d’AVIVA VIE et Aviva Epargne Retraite, compagnies d’assurance-vie établies en France - Succursales belges Avenue Lloyd George 6 - 1000 Bruxelles - FSMA 1479 et 1480. Fiche

Info Financière disponible sur simple demande au 02.627.47.00, par e-mail à [email protected] ou sur le site www.afer-europe.com

*Moyenne sur les5 dernières années3,78% netsTaux de

rémunération 2012*3,45% nets

+Les épargnants gagnants

Av. Lloyd George 6 - 1000 Bruxelles Tél: 02.627.47.00 - Fax : 02.627.47.17

[email protected]

Contactez-nousgratuitement et sansengagement au

0800 13 143

Afer_A4_Echo.indd 1 27/05/13 10:44