LES BELLES EXPOSITIONS DE L’HIVER-2019-2020

REGION SUD/PACA :

Beaucoup d’expositions se mettent en place en ce moment, vérifiez bien les dates d’ouverture et de fermeture.

AIX EN PROVENCE (13) :

CITE DU LIVRE/ GALERIE ZOLA : exposition dans le cadre de l’évènement : PHOT’AIX : jusqu’au 28/12/19 : EVÉNEMENT CULTURELPhot'Aix, Festival de Photographie, organisé à Aix-en-Provence par la Fontaine Obscure s'attache à relever un double défi :- Promouvoir la photographie contemporaine en favorisant les échanges entre artistes français et étrangers dans le cadre de l'exposition internationale Regards Croisés- Faire descendre la photographie dans la rue et favoriser l'émergence de nouveaux talents, en organisant Les Parcours photographiques thématiques à Aix en Provence et dans le Pays d'Aix portant la photographie au regard de tous.Pour sa 19e édition, Phot'Aix invite à découvrir la photographie libanaise. Cinq photographes libanais exposeront en regard de cinq photographes français :Invitée : Chaza Charafeddine avec sa série MaidamesClara Abi Nader - Au Retour et Arto Pazat, Partir c'est rentrerGhaleb Cabbabe - Move to Trash et Guillaume Amat, OpenfieldsMazen Jannoun - 1x1 (One by One) et Valérie Burnand-Grimaldi – Les GardiensJoe Kesrouani - Beirut et Jean Larive – JungleCarmen Yahchouchi – Vulnerable Visits et Irène Jonas - Dormir, dit-elleParallèlement aux Regards Croisés, la Fontaine Obscure organise dans 23 lieux d'Aix-en-Provence une série d'expositions sous la forme de parcours à thème : D'autres mondes , Ici et ailleurs, Ambiances, Tous en scène, Aller plus haut ainsi qu'une exposition dédiée à la gastronomie méditerranéenne dans le cadre de MPG2019 "La photographie en fait tout un plat' abordé sous l'angle de la Transmission". Cette exposition sera ensuite présentée au Liban.Exposition en liaison avec le : Parcours MPG2019 à la Galerie du département (21bis cours Mirabeau : ENTREE LIBRE aussi)

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 8/10 rue des Allumettes Tel : 04 42 91 99 19 ; ouvert du mardi au samedi de 10H à 18H ENTREE LIBRE

HOTEL DE CAUMONT. CENTRE D’ART : EXPOSITION EVENEMENT:

Exposition : LES GRANDS MAITRES DU JAPON / DU 8 NOVEMBRE AU 22 MARS : L’Hôtel de Caumont-Centre d’art présente les coutumes

et la culture japonaise de l’époque d’Edo (deuxième moitié du XVIIIe et la première moitié du XIXe siècle), à travers près de 200 estampes ukiyo-e et autres objets remarquables dévoilés au public français pour la toute première fois. Ils sont pour la plupart issus de la collection de Georges Leskowicz, l’une des plus importantes collections d'estampes japonaises dans le monde entier.En plus d’objets et manuscrits anciens, la collection de Georges Leskowicz regroupe aujourd’hui 1800 estampes ukiyo-e, signées des grands maîtres Harunobu, Utamaro, Sharaku, Hokusai, Hiroshige dont des chefs-d’oeuvre comme "Trente-Six Vues du Mont Fuji" (1832–1833) d’Hokusai, "Les soixante-neuf stations de la route Kisokaidō" d’Hiroshige et Eisen ainsi qu’un ensemble unique en France, de Surimono, qui seront le coeur de l’exposition.Les ukiyo-e, "image du monde flottant" en japonais, désignent un nouvel art de vivre, reflet des plaisirs populaires de l’ère d’Edo (ancienne Tokyo), sous la dynastie Tokugawa (de 1603 à 1867). Cette période est caractérisée par une effervescence artistique et culturelle mais aussi par un enfermement vis-à-vis de toute influence étrangère.Estampes rares et raffinées, issues de matières précieuses et des techniques particulièrement élaborées, les Surimono associent des compositions figuratives et des textes poétiques. Tirés en un petit nombre d’exemplaires, elles sont destinés à des cercles restreints d’intellectuels ou élites culturelles. Représentant ainsi la quintessence du raffinement japonais, ces oeuvres illustrent tout l’éventail de thèmes et images caractéristiques de la vie et de la culture de l’ancien Japon parcourus dans l’exposition : les motifs naturels et les scènes de vie quotidienne ; la représentation des acteurs du théâtre kabuki et de belles habitantes de Yoshiwara ; les natures mortes liées aux célébrations du nouvel an ; les scènes de genre et érotiques ou, encore, les héros et les légendes traditionnelles.À cet ensemble d’estampes particulièrement précieuses viennent s’ajouter d’autres oeuvres majeures des mêmes artistes, mais aussi de noms célèbres tels que Harunobu, Utamaro, Koryūsai, Sharaku, Toyokuni, Kunisada. Faisant écho aux imageries des Surimono, ces estampes montrent toute la variété technique et iconographique d’un art ancestral et fascinant.À travers un parcours thématique, l’exposition présente également des objets d’artisanat de l’époque, soigneusement choisis dans des collections publiques et privées. Aux représentations des courtisanes font écho des chapeaux insolites et d’autres accessoires féminins tandis que les représentations gravées des légendes de guerriers et samouraïs sont accompagnées par des casques originaux et par des armures spectaculaires.Des écritoires, des ustensiles et des objets de la vie quotidienne ainsi que reproductions photographiques et des extraits de films vous immergent dans la vie quotidienne du Japon ancien.L’exposition sera l’occasion de découvrir la culture du pays du Soleil Levant et de s’initier à sa technique traditionnelle de la xylogravure.Commissariat : Anna Katarzyna Maleszko, conservatrice de la collection d’art japonais au Musée National à Varsovie et spécialiste de l’art japonais des périodes d’Edo et de Meiji.

Une exposition superbe par la qualité des estampes présentées dont les couleurs, le bleu du Japon surtout, sont dans un état de conservation remarquable. Une véritable plongée dans le Japon impérial de la fin du XVIIIe siècle et du XIXe, à travers les objets, costumes, laques, armures de Samouraï…tous somptueux et pour terminer une plongée immersive dans la Grande Vague d’Hokusaï, mise en mouvement par la magie du numérique, un vrai moment de bonheur contemplatif.

A VOIR ABSOLUMENT

LES ACTIVITES autour de l’exposition : Des visites commentées de

l’exposition sont proposées tous les jours à 17h.  Les médiatrices culturelles vous commentent les oeuvres majeures de cette prestigieuse collection, Elles vous présentent les œuvres réalisées par des grandes figures de l’art japonais de l’estampe.

Informations pratiquesLes mercredis et samedis à partir de 19h30. 

Chaque groupe se produira entre 19h45 et 22h (2 sets de 19h45 à 20h45 et de 21h à 22h).

Assiettes gourmandes, cocktails, vins et champagne... découvrez la carte des soirées lounge. 

Tarif unique comprenant la soirée jazz + une coupe de champagne : 20 €. 

Les NOCTURNES DE L’Hotel de Caumont/Nous ouvrons nos portes en soirée pour vous faire profiter d'une visite

d’exception de notre exposition d’été et d'une soirée intimiste dans les décors XVIIIe et les jardins à la française

illuminés à la bougie de l'Hôtel de Caumont.

Après un accueil avec une coupe de champagne dans le hall de l’hôtel particulier, visitez dans des conditions

exclusives l’exposition en compaagnie des médiatrices. Des solistes - harpiste, violoncelliste, flûtiste ou

clarinettiste - accompagnent en musique les visiteurs d’un soir.

Ceux qui le souhaitent peuvent s’attarder en terrasse devant les jardins éclairés à la bougie, pour partager un

dîner dans ce cadre d’exception.

En collaboration avec le Conservatoire de Musique d’Aix-en-Provence Darius Milhaud,  l’Association Music’Aix et

l’Association Lo Portalas Musicau. 

Programme de la soirée> Accueil à partir de 19h30

> Visite de l’exposition jusqu’à 21h30

> Pause musicale jusqu'à 22h 

> Dîner servi en terrasse ou dans les salons du Café Caumont

Les après-midi lectures : > Entrée libre aux visiteurs munis d’un ticket d’entrée du jour, aux adhérents Cercle Caumont et aux détenteurs du Pass Café-Librairie. A VOIR ABSOLUMENT RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 3 rue Joseph Cabassol. AIX en Provence. Tel : 04 42 20 70 01 ou www.caumont-centredart.com (ouvert 7J/7 de 10h à 18H nocturne le Vendredi jusqu’à 20H30)

MUSEE GRANET / EXPOSITION FABIENNE VERDIER PROLONGÉE JUSQU’AU 5 JANVIER 2020 ; (Prolongée jusqu'au 5 janvier 2020, avec 20 nouvelles œuvres)Au musée Granet, sur plus de 700 m2 d’espace muséal, l’exposition retrace le parcours de Fabienne Verdier depuis son retour de Chine où elle est restée plus de 10 ans, jusqu’à ses œuvres créées ces derniers mois dans les carrières de Bibémus, face à la Sainte-Victoire, à Saint-Antonin, au sommetde la montagne mythique… Il s’agit de la première rétrospective de l’artiste en France.

Cette exposition permet au visiteur d’appréhender l’œuvre de l’artiste dans sa globalité, de mieux comprendre son apprentissage auprès des lettrés chinois après la Révolution culturelle et de voir comment, rentrée en France, Fabienne Verdier élabore une esthétique nouvelle en se nourrissant des grands courants de pensée de la peinture occidentale (des Primitifs flamands à l’Expressionnisme abstrait). Ainsi, au fil des salles du

musée, ce sont six temps forts qui sont proposés aux visiteurs, qui permettent d’embrasser l’évolution et la richesse du travail de l’artiste…

Le dernier temps fort de l’exposition est consacré à ses toutes nouvelles créations issues de son expérience du plein air sur les terres de Cézanne, où l’on verra pour la première fois comment l’artiste s’est confrontée à la Sainte Victoire et aux lieux cézanniens durant près de deux années.

À partir du 15 octobre et jusqu'au 5 janvier 2020, en plus des 50 tableaux monumentaux qui reprennent les grandes périodes de ses 40 ans de peinture, l’artiste nous fait découvrir une vingtaine d’œuvres supplémentaires – jamais exposées – liées à son travail de deux années sur la Sainte-Victoire et dans les paysages de Cézanne.

Peintures monumentales de la Sainte-Victoire, dessins préparatoires, magnifiques gouaches nous montrent une Sainte-Victoire toujours réinventée par les plus grands artistes.

Commissariat : Bruno Ely, conservateur en chef et directeur du musée Granet

EVÈNEMENTS : Pour la quatrième année consécutive, le musée Granet et l’IESM   – Europe et Méditerranée , Institut d’Enseignement Supérieur de la Musique, poursuivent leur dialogue entre les arts.

Créé à Aubagne en 1992, l’IESM – Europe et Méditerranée -habilité par le ministère de la Culture et de la communication à délivrer le diplôme d’État de professeur de musique- est installé depuis 2013 à Aix-en-Provence et forme des artistes pédagogues en les préparant au métier de professeur de musique.

À l'occasion des premiers dimanches du mois, où l’entrée du musée est gratuite, venez découvrir ces jeunes talents et laissez-vous transporter par leurs analyses et leurs interprétations des collections du musée.Supervisés par leurs enseignants, Pascal Terrien, coordinateur des sciences de l’éducation et de la direction des mémoires de recherche, Joël Nicod et Luc Dedreuil-Monet, coordinateurs de musique de chambre «

classique », les étudiants de l’IESM vous révèlent le fruit de leur travail.

Rendez-vous devant les œuvres pour découvrir cet autre regard !HORAIRESdu mardi au dimanche de 10h à 19h (Fermeture des caisses à 1/2 heure avant la fermeture)Fermeture hebdomadaire le lundi Fermeture annuelle le 1er mai.TARIFS : Inclus dans le prix du billet d'entrée au musée Granet, site Saint-Jean de Malte et site Granet XXe, collection Jean Planque (chapelle des Pénitents blancs).DANS LA CHAPELLE DES PENITENTS BLANCS : EXPOSITION COLLECTION PLANQUE/ Un magnifique ensemble de tableaux réunis par le collectionneur suisse Jean Planque.A VOIR ABSOLUMENT Horaires : En hiver :Du mardi au dimanche de 12h à 18h. Fermeture hebdomadaire le lundi. Du 6 juin au 24 septembre : Du mardi au dimanche de 10h à 19h. Fermeture hebdomadaire le lundi. Billet inclus dans la visite du Musée Granet/ ENTREE LIBRE LE 1er DIMANCHE DU MOIS.A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/Place Saint Jean de Malte 13100 Aix-en-Provence. Ouvert du mardi au dimanche Hors exposition estivale, de 12h à 18h. Tarif plein : 5,5 € Tarif réduit : 4,5 Tel :+ 33 (0)4 42 52 88 32 ou www.museegranet-aixenprovence.fr

MUSÉE DU PAVILLON DE VENDÔME : EXPOSITION/ ELLES REVIENNENT jusqu’au 1 mars 2020, l’exposition présente les œuvres de 5 artistes, déjà exposées dans ce lieu et d’une sixième qui y montrera son travail en 2021. Dans ce lieu atypique du XVIIIe

consacré à l’art contemporain, posé dans un jardin en plein cœur de la ville, on pourra voir les œuvres inspirées par le lieu des artistes : Clémentine Carsberg, Dominique Castell, Karine Debouzie, Marie Ducaté, Nadine Lahoz-Quilez, Sophie Menuet, mises en regard des œuvres anciennes du musée (XVIIe et XVIIIe). Une très jolie exposition. Commissariat : Christelle Roy, directrice du Pavillon de Vendôme A DECOUVRIR ABSOLUMENTRENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Pavillon Vendôme 13 rue de la Molle ou 32 rue Célony. Aix en Provence 13100 Tel : 04 42 91 88 75. Ouvert tous les jours sauf mardi (fermé 1er mai). Horaires jusqu’au 14 avril : 10h-12H30 et 13H30-17H à partir du 15 avril : 10H-12H30 et 13H30-18H. Gratuit tous les 1er dimanches du mois. Adhérent au City PassAix. (tarif normal :3 ,70 euros)

MUSEE DU PALAIS DE L’ARCHEVECHE ancien MUSEE DES TAPISSERIES : Collection permanentes +EXPOSITION : MARC ET MARCEL ANDRE : jusqu’au 12 janvier 2020 : Peintures et céramiques, au Musée des Tapisseries

Le musée des Tapisseries confronte et met en résonance l’univers de deux artistes aixois, le peintre Marcel Albert et son fils Marc Albert, sculpteur, dans une double exposition réunissant près de 200 oeuvres, de la couleur flamboyante du père à la transparence arachnéeenne du fils.

Aixois d’adoption, Marcel Albert ( (1913-1995) a commencé à peindre sous le charme de la lumière provençale. Autodidacte, il a développé une oeuvre très personnelle, caractérisée par l’expressivité et le rythme, au travers d’une explosion de couleurs chaleureuses et sensuelles. L’exposition retrace l’évolution de son style, allant d’un certain réalisme social vers un expressionnisme entre figuration et abstraction lyrique, pour aboutir à une nouvelle figuration fantastique dans la dernière partie de sa vie.

Si l’œuvre du père s’enracine dans la Provence de Cezanne, celle du fils se nourrit de multiples influences. Danseur pendant dix ans, Marc Albert (né en 1964) se tourne vers la céramique puis vers la sculpture, à travers lesquelles il retranscrit l’univers du mouvement, travaillant la matière jusqu’à son point de déséquilibre. Attiré par le jeu de nuances et de lumières, il utilise dans ses créations en porcelaine ses propres techniques de coulages et de tournages, l’étirant "plus loin que la transparence, en faisant une dentelle de formes".

Également grand voyageur, il dévoile aujourd’hui pour la première fois une partie de ses créations pour le projet « Figures de proue », développé autour d’un réseau de villes portuaires jumelées avec Shanghaï.

Exposition jusqu’au 12 janvier 2020Tous les jours sauf le mardi de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h

A VOIR ABSOLUMENT

-DU PINCEAU A LA FOURCHETTE : Du 5 au 22 décembre 2019 : deux musées celui des Tapisseries et le Musée du Vieil Aix, deux chefs interprètes pour deux menus en lien avec les collections : Dans le cadre de l’année de la gastronomie en Provence, les musées du Vieil Aix et des Tapisseries proposent une expérience artistique, culinaire et sensorielle avec la complicité de deux chefs aixois invités à imaginer un menu « musée », en lien avec les collections, reflet de leur sensibilité et de leur créativité.

Joan Sampietro, chef du restaurant Il était une fois… et son épouse Julie, ont trouvé l’inspiration au cœur du musée du Vieil Aix avec le Paravent de la Fête-Dieu.

Œuvre emblématique du musée du Vieil Aix, datée du début du XVIIIème siècle, elle fut commanditée par Joseph-François de Galice, doyen du Parlement, pour la grande salle du Parlement située dans le Palais Comtal.

Guillaume Lemelle, chef du restaurant Atmosph’R de l’hôtel Renaissance a choisi comme source d’inspiration Le repas de Sancho dans l’île de Barataria au musée des Tapisseries.

Cette tapisserie, tissée vers 1735-1744 à l’Atelier de Beauvais d’après les cartons de Natoire fait partie d’une tenture sur le thème de Don Quichotte, composée de neuf tapisseries.

Art et gastronomie se rejoignent, donnant à déguster de nouvelles palettes de saveurs aux couleurs des chefs, qu’il s’agisse d’une « Ballotine de volaille et son ragoût d’écrevisses ou d’un Quasi de veau mariné et rôti à la grenade. »

Une invitation à visiter les musées et par la suite savourer les menus concoctés par les chefs dans leur restaurant respectif du jeudi 5 au dimanche 22 décembre 2019.

Du Pinceau à la fourchette est un projet labellisé MPG 2019, réalisé avec le soutien des Amis des Musées d’Aix.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Palais de l’Archevêché, 28 place des Martyrs de la Résistance. AIX13100. Ouverture 10H30 à 12H30 et 13H30 à 18H tlj sauf mardi: Tel : 04 42 23 09 9 www.museedestapisseries.com

MUSEUM D’HISTOIRE NATURELLE : Musée désormais fermé au public. Les collections permanentes ne sont plus visibles, mais beaucoup d’activités sont proposées dans le cadre du parc St Mitre en Hors les murs. Un autre bâtiment devrait accueillir les collections dans les années à venir

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Parc Saint Mitre 166 avenue Jean Monnet Aix En Provence Tel : 04 42 27 91 27 museumdhistoirenaturelleaix@yahoo.fr

http://www.museum-aix-en-provence.org

MUSEE DU VIEIL AIX/ Collections permanentes+ EVENEMENT TEMPORAIRE :. DU PINCEAU A LA FOURCHETTE : DU 5 AU 22 DECEMBRE : Dans le cadre de l’année de la gastronomie en Provence, les musées du Vieil Aix et des Tapisseries proposent une expérience artistique, culinaire et sensorielle avec la complicité de deux chefs aixois invités à imaginer un menu « musée », en lien avec les collections, reflet de leur sensibilité et de leur créativité.

Joan Sampietro, chef du restaurant Il était une fois… et son épouse Julie, ont trouvé l’inspiration au cœur du musée du Vieil Aix avec le Paravent de la Fête-Dieu.

Œuvre emblématique du musée du Vieil Aix, datée du début du XVIIIème siècle, elle fut commanditée par Joseph-François de Galice, doyen du Parlement, pour la grande salle du Parlement située dans le Palais Comtal.

Guillaume Lemelle, chef du restaurant Atmosph’R de l’hôtel Renaissance a choisi comme source d’inspiration Le repas de Sancho dans l’île de Barataria au musée des Tapisseries.

Cette tapisserie, tissée vers 1735-1744 à l’Atelier de Beauvais d’après les cartons de Natoire fait partie d’une tenture sur le thème de Don Quichotte, composée de neuf tapisseries.

Art et gastronomie se rejoignent, donnant à déguster de nouvelles palettes de saveurs aux couleurs des chefs, qu’il s’agisse d’une « Ballotine de volaille et son ragoût d’écrevisses ou d’un Quasi de veau mariné et rôti à la grenade. »

Une invitation à visiter les musées et par la suite savourer les menus concoctés par les chefs dans leur restaurant respectif du jeudi 5 au dimanche 22 décembre 2019.

Du Pinceau à la fourchette est un projet labellisé MPG 2019, réalisé avec le soutien des Amis des Musées d’Aix.

A DEGUSTER et A NE PAS MANQUER

Musée du Vieil Aix / Musée des Tapisseries /

Renseignements pratiques : Hôtel Estienne de St Jean, 17 rue Gaston de Saporta. 13100 AIX Tel 04 42 91 95 92 ou aixenprovence.fr. Musée ouvert tlj sauf mardi de 10h-12h30 et de 13h30 à 18h

FONDATION VASARELY/ exposition de la COLLECTION PERMANENTE+ 3 nouvelles salles et à partir du 17 février 2020 :

Dans le parc restauré : RHYTHMUS, INSTALLATION DE VERA RÖHM DANS LE PARC DE LA FONDATIONA partir du 17 février 2018Une installation de Vera Röhm donne lieu à des perceptions complexes, ambivalentes. Matériaux de facture industrielle, l’aluminium et le plexiglas contrastent avec le paysage environnant. La nature agit comme un espace structuré par des verticales ainsi que le feraient des éléments d’architecture. On éprouve en même temps une sensation de vitalité et de croissance, comme si les stèles fixes – animées par une dynamique interne – tendaient, telles des plantes, vers la lumière, bien qu’au premier abord elles ne fassent pas référence à de l’organique, avec leur rigoureuse structure géométrique et leur matériau. Les parties en plexiglas, transparentes, reflétant la lumière, ouvrent la vue sur l’espace environnant. Ainsi, la sculpture en tant qu’installation, l’architecture et la nature entrent dans un rapport aussi contrastant qu’unifiant, qui permet le déploiement d’une réflexion aux multiples ouvertures.Dans ce lieu, qui peut être considéré comme la Chapelle Sixtine de l’optico-cinétisme, et dont les travaux de restauration viennent de s’achever, il s’agit de présenter au public un ensemble d’œuvres qui témoigne tout à la fois de l’importance de ce courant esthétique, mais également de sa diversité et de sa persistance contemporaine.

. + d'infos: www.fondationvasarely.org

Vasarely a été célébré en 2019 par une exposition au Centre Pompidou terminée en mai, c’est le moment de retrouver une grande partie de son œuvre à la Fondation Vasarely, gardienne de sa mémoire et récemment restaurée.

OUVERTURE DE 3 NOUVELLES SALLES : Vasarely Plasticien

> Exposition d’œuvres historiques et inédites de Victor Vasarely de 1930 à 1990 : La Fondation Vasarely ouvre ses trois salles

de l’étage pour les consacrer à l’œuvre du « père de l’op art ».Un nouveau parcours de visite et de médiations culturelles

permettront aux visiteurs de découvrir ou de redécouvrir l’univers plastique du Maître, depuis ses débuts de graphiste jusqu’à la réalisation de ses intégrations monumentales et de

son projet utopique de la « cité polychrome du bonheur ».Cette présentation didactique, avec près de 200 œuvres et

documents originaux, dans une scénographie adaptée, intègre les éléments fondamentaux du projet du Plasticien français

d’origine hongroise (Pécs 1906 - Paris 1997).> Cette exposition attendue trouve sa place dans un bâtiment

classé au titre des Monuments Historiques depuis le 25 novembre 2013 et restauré dans son intégralité (2013 - 2018).

A VOIR ABSOLUMENT

INFORMATIONS PRATIQUES

Ouverture tous les jours de 10h à 18h, jours fériés compris sauf les 24, 25, 31 décembre et 1 janvier. Tarif plein : 12 euros. Tarif réduit : 9 euros (étudiants, personnes en situation de handicap, demandeurs d'emplois). Tarifs enfants : 5 euros (de 5 à 15 ans). Gratuit pour les moins de 5 ans. Livret de visite guidée : 1 euros. Audio-guide : 3 eurosFondation Vasarely1, avenue Marcel Pagnol. 13090 Aix-en-

Provence. Tous les jours : 10h-18h (jours fériés inclus). Entrée

payante : www.fondationvasarely.org

PUY SAINTE REPARADE/CHATEAU LACOSTE : LA PROMENADE ART & ARCHITECTUREConseil : La promenade Art & Architecture dure environ 2 heures. Nous vous recommandons de bien vous chausser.

Château La Coste est aujourd’hui comme un domaine où les vignes, l’art et l’architecture s’expriment librement. Artistes et architectes y participant sont invités à visiter le Domaine et à

découvrir la beauté de ses paysages. Puis, la liberté leur est donnée dans le choix de l’emplacement et de l’œuvre créée. Le Domaine continue de se développer avec un certain nombre d’installations à venir.

Venez- vous promener à travers bois, collines, champs d’oliviers et vignes du Domaine afin de découvrir les œuvres d’art et installations des artistes et architectes contemporains invités.

INFORMATIONS

TarifsVisite Art et Architecture 15€ / 12€Départ guidé tous les jours à 10h30 et 14h30, réservation conseillée au 04 42 61 92 92

Période estivale: 1er mars – 31 octobreTous les jours de 10h00 à 19h00Période hivernale: 2 novembre – 29 févrierDu lundi au vendredi 10h00 à 17h00, samedi et dimanche jusqu’à 19h00.

ALLAUCH

GALERIE DE L’USINE ELECTRIQUE/ exposition en cours de montage

Renseignements pratiques : ENTREE LIBRE tlj de 14h à 18H du mardi au dimanche, sauf jours

fériés. Ave du Général De Gaulle. Tel : 04 91 10 49 00 ou www.allauch.com

ANTIBES /

MUSEE PICASSO / COLLECTIONS PERMANENTES +EXPOSITION  GERMAINE RICHIER

la magicienne : jusqu’au 26 JANVIER 2020 :

Du 6 octobre au 26 janvier 2020

À l’occasion des soixante ans de la mort de Germaine Richier (1902–1959) et de sa dernière exposition personnelle organisée à l’été 1959 au musée d’Antibes – Château Grimaldi, le musée Picasso présente « Germaine Richier, la Magicienne ». Depuis la rétrospective Germaine Richier qui s’est tenue à la Fondation Maeght en 1996,

aucune autre en France n’a été consacrée à cette grande sculpteure. L’exposition entend donner une nouvelle lecture de sa création et mettre en lumière son oeuvre gravé et dessiné – aspect moins connu du travail de l’artiste – dans son rapport avec la sculpture.

 Elle sera, sous un format différent, présentée ensuite au printemps 2020 au Musée Beelden aan Zee de La Haye. Depuis l’exposition Germaine Richier qui s’est tenue à la Fondation Maeght en 1996, aucune manifestation en France n’a été consacrée à cette grande femme sculpteur. L’exposition du musée Picasso souhaite relire sa création et mettre aussi en lumière son oeuvre gravée et dessinée – aspect moins connu –, dans son rapport à la sculpture. Elle est réalisée en collaboration avec Valérie Da Costa, spécialiste de l’œuvre et commissaire invitée, et avec le soutien de la famille de l’artiste.

Si vous ne voulez pas aller jusqu’à Antibes, mais ce serait dommage, sachez que le musée Réattu d’Arles possède aussi une sculpture de cette artiste dans sa cour intérieure.

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Musée Picasso d'Antibes/ 4 rue des Cordiers 06600 Antibes Fermé le lundi - Ouvert du 16/09 au 14/06 de 10h à 12h, 14h à 18h; du 15/06 au 15/09 de 10h à 18h : 04 92 90 54 20 Site officiel de la ville d'Antibes

APT

FONDATION BLACHERE/ EXPOSITION: TRANS-FER : du 5 décembre au 2 mai, présente une sélection

d'objets anciens en fer en dialogue avec des oeuvres d'artistes contemporains.

La Fondation Blachère présente une sélection d’anciens objets africains en fer d’une collection privée et des œuvres contemporaines de la Collection Blachère. Le but de cette exposition n'est pas de refléter toute la gamme d'objets en fer et de sculptures d'Afrique, mais de comparer les formes à la fois simples mais aussi tellement sophistiquées des objets de la métallurgie du fer africaine traditionnelle (monnaies, bâtons de médecine, armes, boucliers, etc.) avec les sculptures africaines modernes et contemporaines dans ce même métal.La relation entre l’ancien et le moderne est complétée par les récentes sculptures en fer de deux jeunes artistes béninois invités en résidence de création à la Fondation Blachère plus tôt dans l’année, Marius Dansou et Rémy Samuz. Les dessins de Soly Cissé, les photographies de J. D. Okhai Ojeikere, les estampes sur Dibon de Mansour Ciss mais aussi Confluences d’El Anatsui, flamboyante sculpture murale faite de bandes d’aluminium et de fils de cuivre qui fait référence aux textiles Kente ghanéens, et Dexu Adüna d’Alexis Peskine, profond portrait d’un jeune homme littéralement

cloué sur des planches en bois noires, constituent une résonance discrète aux sculptures en fer, anciennes et contemporaines, de l’exposition.

Elle débutera par le vernissage le jeudi 5 décembre 2019 à partir de 18h30.Ce vernissage sera suivi des journées portes ouvertes Blachère le vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 décembre 2019.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ouvert de 14h à 18h du lundi au samedi et tous les jours (dimanche compris) en juillet août. ENTREE LIBRE ET GRATUITE : 384 avenue des Argiles .84400 APT tel : 04 32 52 06 15 ou fondation@blachere-illumination.com

ARLES

ARLES :

ABBAYE DE MONTMAJOUR/ Monument seul, prochaine exposition en cours de montage.

Tarif : droit d'entrée du monument

MUSEE REATTU / LES EXPOSITIONS DU MUSEE REATTU SUITE A L’ANNIVERSAIRE DE SES 150 ANS EN 2018

Le musée REATTU D’ARLES a été un des premiers à collectionner la photographie et à lui réserver une place de choix parmi ses collections, cela sous l’impulsion militante de son conservateur d’alors Jean-Maurice Rouquette, disparu en janvier dernier, qui a été aussi un des fondateurs des Rencontres photographiques d’Arles. A sa suite, dans le musée avec Michèle Moutashar, ce département s’est considérablement enrichi, par dons ou achats, pour devenir au fil des ans une des collections des plus remarquables de France avec quelques 5000 photos de très grands noms de la photographie.

Cette collection outre l’intérêt qu’elle représente pour l’Histoire de l’Art met aussi en lumière l’influence déterminante de deux grands artistes arlésiens sur l’évolution des collections : Lucien Clergue, artiste emblématique d’Arles et défenseur de la cause des photographes, et Christian Lacroix, créateur protéiforme dont la culture photographique a permis au musée de faire ses plus belles rencontres de Nancy Wilson Pajic à Véronique Ellena et Katerina Jebb.

La partie I s'est terminée début juin, à l’automne sera exposée la PARTIE II/ ARTS GRAPHIQUES/ DU 19 OCTOBRE AU 29 DECEMBRE : une exposition qui nous permettra de découvrir une autre facette des très riches collections de ce musée

EXPOSITION: Annabel Aoun Blanco/Éloigne moi de toi/ 27 avril - 29 décembre 2019/ Annabel Aoun Blanco est une jeune artiste, photographe-vidéaste plasticienne qui travaille sur l’interstice entre la vie et la mort, la mémoire et l’oubli, l’apparition / la disparition, le blanc et le noir, le solide et le liquide… Sujet particulièrement fort qu’elle aborde d’une façon originale et singulière, fondée sur la dynamique de va et vient.Elle fait émerger une notion fondamentale dans son travail : « la boucle » !L’artiste créé des dispositifs alliant gestes, matières et figure humaine. Les matières utilisées pour rendre plastiquement appréhendable sa recherche, ont un rôle symbolique et viennent s’exprimer en séries successives : l’eau, le lait, le plâtre, le sable, la cendre, le charbon. Une pratique de gestes codifiés intervient à la manière d’un rituel sur la matière, mais lui laisse un espace de liberté où elle s’exprime aléatoirement. Elle devient ainsi le socle qui permet de faire apparaître et révéler la figure humaine.L’artiste part de l’analyse et de l’illustration de l’idée platonicienne « le temps est l’image mobile de l’éternité immobile » où « image mobile » renverrait à vidéo et « éternité immobile » à la photographie. Les modèles vivants deviennent masques puis empreintes. La figure humaine ne devient plus qu’une image dans laquelle toute idée de représentation, objet de séduction de la part du modèle ou de l’artiste, laisse la place à l’acte de représenter. Ainsi le sujet devient objet d’analyse métaphysique. L’artiste cherche à apporter aux caractéristiques de la photographie celles de « vitesse » et de « distance » propres à la vidéo, et à la vidéo celles de « figé », « d’instantané » et de huis clos propres à la photographie.Le projet est donc global (photographies et vidéos) ce qui implique des univers similaires entre les deux médiums, avec les mêmes combinaisons de matières, gestes et représentations. La réalité d’un interstice (spatial et temporel) revient à démontrer une dynamique d’aller-retour entre deux points, la vie (l’apparition) et la mort (la disparition). Cette dynamique introduit la notion de «boucle», la vie est dans la mort et la mort dans la vie avec un passage entre les deux. L’objectif est de rendre visible plastiquement cet interstice entre la vie et la mort en utilisant les mediums photographiques et vidéos.Une réflexion particulièrement rigoureuse et cohérente donne ainsi naissance à des

oeuvres d’une qualité plastique plus que troublante, chargées d’émotions. Elles appellent à une intimité entre le spectateur et ces « portraits » qui parlent d’éternité..

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Musée des beaux-arts. Ancien Grand Prieuré de l’Ordre de Malte 10 rue du Grand Prieuré 13200 Arles Librairie boutique : 04 90 49 38 34 Réservation : 04 90 49 37 58 www.museereattu.arles.fr Horaires : Du 1er mars au 31 octobre : 10h-18h

Du 2 novembre au 28 février : 10h-17h Ouvert du mardi au dimanche. Fermé le lundi Fermé : 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre Tarifs Plein : 6 €/ Réduit : 4 € Arlésiens : gratuit (gratuités et réductions sur justificatifs)

FONDATION VAN GOGH / EXPOSITIONS…ET LABORA : jusqu’au 13 avril 2020 : PHOTOGRAPHIES DE LA COLLECTION RUTH + PETER HERZOG

ŒUVRES DE MIKA ROTTENBERG, YURI PATTISON,EMMANUELLE LAINÉ, ANDREAS GURSKY, MICHAEL HAKIMI,

THOMAS STRUTH, LIU XIAODONG, CYPRIEN GAILLARD

EX-VOTO PROVENÇAUX

Cette nouvelle exposition thématique intitulée « … et labora » explore la représentation photographique du monde du travail au XIXe siècle avec des tirages d’une qualité remarquable par leur état de conservation, elle présente également un intérêt social considérable par l’évocation de métiers aujourd’hui disparus. Une centaine de photographies datant du XIXe siècle et du début du XXe siècle issues de la collection de Peter et Ruth Herzog constituent le point de départ de cette exploration du thème du travail. Ces images rares, collectées avec acuité au fil des ans, offrent de puissants témoignages sur l’époque de Van Gogh ainsi que sur les racines des réalités sociales du début du siècle dernier.Les photographies argentiques en noir et blanc – tirages papier ou cartes postales, anonymes ou de photographes renommés – rendent compte entre autres de la transformation des grandes villes européennes en mégalopoles, de la mécanisation du travail agricole, de l’objectivation de l’ouvrier au service de l’usine ou encore du développement du tourisme et du loisir. C’est ainsi tout une époque qui se dessine en creux de la sélection de photographies.

À ces parcelles de réalités, captées par la photographie alors pensée comme outil documentaire, sont associés d’autres modes de représentations du travail. Empruntant aux codes du burlesque ou du docufiction, les œuvres d’artistes contemporains tels Mika Rottenberg, Yuri Pattison et Emmanuelle Lainé transposent ce thème dans un

espace plus onirique et spéculatif. Les photographes Andreas Gursky et Thomas Struth nous mettent face à des œuvres dont la retranscription de la réalité nous fascine autant qu’elle nous échappe : faisant appel à la fois à notre raison et à notre sensibilité, elles interrogent ainsi puissamment notre perception. Grâce à leur proximité avec la photographie d’histoire, les œuvres de Liu Xiaodong, Gursky et Struth sondent la mutation des activités et des espaces de travail, résultant de la globalisation des services qui modifie drastiquement la valeur de l’emploi. Les têtes excavatrices de Cyprien Gaillard évoquent quant à elles la persistance de notre rapport de domination et d’exploitation de la Terre, mais aussi la transformation incessante des villes.

Dans la continuité de l’exposition «   La Vie simple – Simplement la vie   »  (01.10.17 – 02.04.18) précédemment présentée, « … et labora » convie des œuvres d’art populaires, à travers l’inclusion d’ex-voto des XIXe et XXe siècles. La représentation d’accidents – de circulation, du travail, de navigation – y occupent une place considérable, qui n’a cessé de croître durant le XIXe siècle. Nées d’un geste simple et direct de foi, ces peintures reflètent pourtant la laïcisation des mentalités, perceptible à travers leurs évolutions iconographiques. Ce retrait de la sphère religieuse imprègne le titre de l’exposition, variante actualisée de la formule « Ora et labora » (« Prie et travaille »).

Commissaire d’exposition : Bice Curigeravec Julia Marchand, curatrice adjointe

et Margaux Bonopera, assistante curatrice

 

La Fondation Vincent van Gogh Arles remercie les trois institutions dans lesquelles est conservée la collection Ruth + Peter Herzog,et grâce auxquelles nous pouvons présenter cette exposition :la Fondation Herzog (Bâle),le Jacques Herzog und Pierre de Meuron Kabinett (Bâle)et le Musée national suisse (Zurich).

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES :Fondation et librairie ouvertes du mardi au dimanche de 11h à 18h.Fermées les lundis . Dernière admission 45 min avant la fermeture. Droits d'entrée : tarif plein 9 € / réduit 7 €, jeunes et étudiants 4 €, moins de 12 ans gratuit, gratuit les premiers dimanches du mois.Visites commentées (en français) : tous les jours à 11h30 et 15h, 2 € Visite de groupes : Conditions de réservation sur fondation-vincentvangogh-arles.org, T+33 (0)4 90 93 49 36 et reservation@fvvga.org .

FONDATION LUMA / EXPOSITION : prochaines expositions en cours de montage /

 À propos des Luma Eco Days "L’urgence autour des problématiques écologiques occupe aujourd’hui la une des médias et devient une préoccupation essentielle pour un nombre croissant de personnes. Impliquée depuis des années dans la protection de la nature et portée par un engagement continu pour sa restauration chaque fois que cela est possible, j’ai conçu Luma Arles au Parc des Ateliers, comme un lieu de développement créatif et durable où chacun peut exprimer des idées, agir et contribuer aux questions d’intérêt collectif.

Notre site se compose d’un ensemble de bâtiments industriels rénovés et d’un nouvel édifice emblématique conçu avec Frank Gehry en 2008, pour guider, abriter et traduire notre engagement fort en faveur de l’environnement. Dix ans plus tard, il représente probablement une époque qui ne correspond plus aux exigences drastiques de durabilité que nous devons maintenant appliquer à nos décisions et nos actions. La diversité de nos espaces est néanmoins un formidable outil au service des valeurs fondamentales de Luma, pour mettre en œuvre un programme ambitieux et transdisciplinaire, réunissant l’art, l’environnement, les droits de l’homme et l’éducation.

À l’aube de l'ouverture complète du site au public, notre action en faveur de la protection de l’environnement et de la lutte contre le changement climatique demeure une priorité. Notre engagement est visible à travers des programmes comme les Luma Days et Atelier Luma et qui se révélera davantage dans nos prochaines expositions, en 2020 et 2021."- Maja HoffmannFondatrice et Présidente de Luma Foundation

 Les Luma Eco Days sont une nouvelle initiative de Luma visant à réunir, une fois par an, des experts locaux et internationaux autour de questions environnementales.En décembre 2019, cette rencontre prendra la forme d’un séminaire d’experts invités à participer à ces 2 journées qui seront fermées au public. Il aidera à bâtir, tout au long de l’année, un programme permettant de répondre aux nouvelles exigences de durabilité dans son sens le plus large.Aujourd’hui, des villes, des institutions et des entreprises sont en quête de stratégies pertinentes en matière de gestion des déchets et d’énergie. Luma, situé en Pays d’Arles et dans la Région Sud, propose un premier séminaire rassemblant des acteurs clefs dans ce domaine. Engagé de longue date en faveur de l’environnement et dans l’action face au changement climatique, Luma inscrit ce sujet au cœur de son programme.

Impliquée depuis toujours dans la protection de la nature, Maja Hoffmann, fondatrice et présidente de Luma, a fait appel à l’architecte Annabelle Selldorf et au spécialiste de la gestion des déchets Tom Outerbridge pour lancer ce premier rendez-vous annuel.

Nous explorerons et travaillerons ensemble ces thèmes avec des artistes, des designers, des architectes, des urbanistes, des chercheurs, des écrivains, des activistes, des acteurs locaux et des experts afin de trouver des pistes de réponses ensemble. 

Experts invités

Annabelle Selldorf, Architecte, Selldorf Architects, US Hervé Gbego, Expert-comptable et fondateur de Compta Durable, FR Wolfgang Kessling, Directeur de Transsolar, DE Tom Outerbridge, Gérant de Sims Municipal Recycling, US Césare Peeren, Designer, SuperUse, NL Mel Felmuller, Designer, SuperUse, NL Lizanne Dirckz, Designer, SuperUse, NL Jean Rapenne, Directeur général de La Compagnie Énergies et Territoires,

FR

 A DECOUVRIR ABSOLUMENT

Luma Arles : Parc des Ateliers45 chemin des Minimes13200 Arles, France+39 (0)4 90 47 76 17info@luma-arles.org www.luma-arles.org  Horaires d’ ouverture Avril : vendredi - dimanche, 11h – 18h. Juin : vendredi - dimanche, 11h – 18h

ESPACE VAN GOGH : Prochaine EXPOSITION en cours de montage: RENSEIGNEMENTS PRATIQUES  /Entrée libre tous les jours de 10h à 12h et de 14h à 19H Arles / Espace Van Gogh / Place Félix Rey

MUSEE DE L’ARLES ANTIQUE/ Collections permanentes de l’Antiquité d’Arles + 2

expositions « ACTEON LE CHASSEUR EST LA PROIE » / jusqu’au 26 janvier : Création vidéo

immersive, projection monumentale de Dominik Barbier et Anne Van den Steen

Sculpture-environnement de Louna Ricci et Amadea Simeonov

Production : FEARLESS image / espace

« DEVORER LE MUSEE » : jusqu’au 26 janvier : Le musée départemental Arles

antique se laisse " DEVORER " !

Dévorer d'abord par des artistes qui au fils des mois viendront grignoter les galeries

du musée avec des installations audiovisuelles et plastiques et interrogeront les

univers de la gastronomie culinaire comme de la gastronomie de l'esprit.

Et une oeuvre visible du 21 septembre au 26 janvier : l'exposition immersive avec

projection monumentale sur le mythe d'Actéon, le chasseur est la proie

Par Dominik Barbier & Anne Van den Steen, Fearless : image / espace

Salle d'exposition temporaire

Projection monumentale au cœur du mythe d’Actéon, héros de la Grèce antique qui,

pour avoir osé dévorer des yeux la déesse Diane, fut dévoré à son tour.Entrée

gratuite.

Actualités : Le Musée Départemental Arles Antique en charge de la conservation des Reliques de Saint-Césaire va signer une convention de partenariat avec le Vatican . Pour cette occasion les Reliques de Saint-Césaire seront exposées au Musée du Vatican.

A VOIR ABSOLUMENT recommandée pour les scolaires

Renseignements pratiques : Horaires ouvert Tlj : 10H-18H fermé Mardi. Gratuit tous les 1er dimanches du mois Tel : 04 13 31 51 03 ou info.mdaa@departement13.fr

PALAIS DE L’ARCHEVECHE : ALAIN LAMBILLIOTTE - ENTRE LES LIGNES du 26 décembre au 2 février – Gratuit

Alain Lambilliotte développe une oeuvre forte et singulière depuis les années 70. Mêlant techniques et matériaux, fantaisie et grande rigueur, son travail transcende toute classification. Présent dans les collections du Musée d'art moderne de la Ville de Paris et du Centre Pompidou - Musée national d'art moderne - dès les années 80, il sera exposé de nombreuses fois en France et en Allemagne.

Fruit d'un partenariat entre les Villes d'Arles et de Martigues, cette première rétrospective qui lui est consacrée - au palais de l'Archevêché à Arles et au Musée Ziem à Martigues - abordera toutes les étapes du travail et des réflexions menées par l'artiste et mettra en exergue la pertinence de sa production.

Entrée gratuite

CHAPELLE DU MEJAN/ Exposition : TRACES D’ENCRE : CAROLYN CARLSSON jusqu’au 9

février 2020 : les encres très gestuelles de l’artiste, comme les mouvements de la danse, surtout

connue comme chorégraphe et danseuse.

Carolyn Carlson est née en 1943 en Californie. Elle qualifie sa danse de “poésie visuelle”. L’image est au cœur de son travail et les arts visuels constituent une source perpétuelle d’inspiration. Cette relation à la création plastique explique que la chorégraphe ait créé plusieurs pièces de son répertoire en conversation avec Mark Rothko avec lequel elle ouvre un Dialogue en 2013, Joseph Beuys à qui elle consacre une pièce en 2001, ou encore Olivier Debré à l’occasion de la création de Signes en 1997. 

Carolyn Carlson est plus secrète sur son œuvre graphique produit en parallèle. Le geste devient trace, l’invisible devient visible, en contrepoint du geste éphémère de la danse, qu’elle définit comme “l’art d’un instant dans le temps et l’espace”. Se formant en faisant, l’artiste a

toujours écrit, dessiné et peint en lien avec sa réflexion esthétique et son travail d’improvisation. À l’université, elle prend l’habitude de noter ses impressions dans un carnet. La première encre naît d’un souffle en cours de méditation zen d’une jeune danseuse américaine dans le New York des années 1960. Non seulement ces deux pratiques ne la quitteront jamais, mais elles deviennent le vecteur de sa création. 

De la découverte des poèmes aux encres grand format, c’est à une rencontre intime de l’univers de Carolyn Carlson qu’invite cette exposition, dont le titre Traces d’encre reprend celui de l’ouvrage éponyme publié aux éditions Actes Sud (2013). À la suite des expositions conçues par la commissaire Hélène de Talhouët pour la Carolyn Carlson Company et débutées au musée La Piscine de Roubaix en 2017, la Chapelle du Méjan participe ici à la connaissance de l’œuvre graphique et littéraire de la chorégraphe.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ENTREE LIBRE Chapelle du Méjan, place Massillon à Arles 13633, ouvert du mercredi au dimanche de 14h à 18h. Tel : 04 90 49 56 78 ou mejan@actes-sud.fr ou www.lemejan.com

CHAPELLE SAINTE ANNE : Prochaine EXPOSITION en cours de montage

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ ENTREE LIBRE /TOUS LES JOURS 11H-13H et 14H -18H

ANNE CLERGUE GALERIE/ DÜRRBACH & DÜRRBACH jusqu’au 4 janvier

Dans la famille Dürrbach, il y a le père, la mère et les filles, une vraie famille d’artistes.Baltasar peint, Aurélie réalise des poteries en colombin, Jana, 15 ans, peint et sculpte ses assiettes en céramique, Constance 13 ans, dessine. Le Mas provençal, situé en pleine nature, lieu de création perpétuelle se conjugue au rythme des saisons et de la vie simple à la campagne. Présenter le travail de chacun, découvrir chaque personnalité à travers le processus créatif qui se transforme en véritable dialogue dans un même lieu, au sein de la galerie était une évidence à mes yeux.

Plus de 60 oeuvres : huiles sur toile, gouaches sur papier, dessins à l’encre, crayon ou bambou, céramiques. Eléments biographiques

Constance née le 22 février 2006,Jana née le 23 décembre 2003,Aurélie née le 14 avril 1978,Baltasar née le 8 janvier 1962, vivent au mas Chabert dans les Alpilles depuis la naissance des filles. Ils pratiquent dans la joie et alimentés par leur potager-verger toute l'année,différentes disciplines artistiques :céramiques modelées à usage pratique,dessins à l'encre (plume, crayon, bambou), peintures à l'huile sur toile,gouaches sur papier."A découvrir du 30 Novembre 2019 au 4 Janvier 2020 chez Anne Clergue GalerieOuvert du jeudi au samedi de 11h à 13h et de 14h30 à 18h et sur rendez-vous au

06 89 86 24 02. Au cœur de la ville d’Arles, la galerie se renouvelle en passant du 12 au 4 Plan de la Cour, juste derrière la Mairie et double sa surface d’exposition. Elle s’inscrit dans la continuité en proposant un regard sur la photographie contemporaine, la peinture, gravure, sculpture, toujours à la découverte de jeunes talents.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ENTREE LIBRE Anne Clergue Galerie, 4 plan de la cour, 13200 Arles. www.anneclergue.fr. T. +33 (0)689862402/Horaires Mardi, Mercredi, Jeudi, Vendredi, Samedi 11h-13h et 14h-19h et sur rendez-vous Plus d’informations sur anneclergue.fr.

GALERIE ARENA/ Prochaine EXPOSITION en cours de montage:

Renseignements pratiques : GALERIE ARENA16 rue des Arènes BP 10149 – 13631 Arles Cedex : communication@ensp-arles.fr04 90 99 33 33 http://www.ensp-arles.f

GALERIE CIRCA / EXPOSITION : C’est une galerie avec trois pôles d’activités : l’ameublement des années 60, les intérieurs et les œuvres de créateurs de la région. Exposition de l’hiver  Huiles sur toile. Olivier Robin. Jusqu’ au 11 janvier 2020 : Sa peinture trouve ses influences chez les peintres réalistes contemporains. Il voue une véritable admiration pour le travail, entre autre, d’Edward Hopper, Gerhart Richter, Yan Pei Ming, Yue Minjun.

Un lieu et des expositions A DECOUVRIR.

Renseignements pratiques/ CIRCA, 2 rue de la Roquette, Arles. Tel : 0490 93 26 15 ou 06 11 55 73 40. Ou

www.circa-arles.com ou circa-arles@hotmail.fr

AUBAGNE/

CENTRE D’ART CHAPELLE DES PENITENTS NOIRS : EXPOSITION : OLIVIA PAROLDI : ESTAMPES URBAINES/ jusqu’au 18 avril 2020/ au centre d’art contemporain Les Pénitents Noirs : Olivia Paroldi est illustratrice graveuse, une technique qu’elle a découvert au cours de ses études à l’École Supérieure des Arts et Industries graphiques Estienne à Paris. Ses estampes urbaines investissent les lieux, à la manière d’un Ernest Pignon-Ernest dont elle revendique volontiers la filiation. Elle propose un travail de l’éphémère qui n’est achevé qu’une fois la création collée dans la rue. Sa résidence au centre d’art lui permettra de créer in situ sur les murs même de la Chapelle. Ses thèmes de prédilection sont l’enfance et la construction de soi… Cette exposition se devait de croiser le chemin de Grains de sel, le festival du livre et de la parole d’enfant, tant l’on retrouve son univers graphique chez les illustrateurs jeunesse.A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Informations pratiques : Centre d’art contemporain Les Pénitents Noirs Les Aires, chemin de Saint Michel,

13400 Aubagne 04 42 18 17 26 Entrée libre et gratuite du mardi au samedi de 10h à 12h et de14h à 18h www.aubagne.fr/

Musée de la Légion étrangère/ Collections permanentes couvrant toute l’histoire de la Légion.

Prochaine EXPOSITION en cours de montage.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Chemin de la Thuilière, 13400 Aubagne : 04 42 18 10 96

Entrée libre et gratuite du mardi au dimanche de 10h à 12h et de 14h à 18h

www.musee.legion-etrangere.com

AVIGNON : DEPUIS LE 20 AVRIL 2018 LES MUSEES D’AVIGNON MUSEE SONT GRATUITS : donc le MUSEE CALVET. LE MUSEE DU PETIT PALAIS. LE MUSEE LAPIDAIRE. LE MUSEE REQUIEM. LE PALAIS DU ROURE. PROFITEZ- EN.PALAIS DES PAPES : EXPOSITION : ECCE HOMO/ du 29 juin au 29 février 2020

EXPOSITION : ERNEST PIGNON- ERNEST / LES INTERVENTIONS DE 1966 à 2019 :

Une véritable rétrospective pour cet artiste international très reconnu et dont le travail, de « street-art » avant la lettre, des dessins collés sur les murs et unanimement apprécié. Pionnier et initiateur de l'art urbain en France, Ernest

Pignon-Ernest est l'artiste invité de l'exposition estivale. Dans La grande chapelle du palais des Papes, son exposition "Ecce homo", ce sont près de 400 œuvres (photographies, collages, dessins au fusain pierre et encre noire, documents) qui évoqueront ses interventions de 1966 à nos jours.L’ambition de « Ecce Homo » est de retracer le parcours de l’artiste et d’expliquer sa démarche artistique, intellectuelle, politique depuis plus de 60 ans… Les relations entre l’artiste, Avignon et la région ont été multiples depuis ses premières interventions en 1966 sur le plateau d’Albion, en réponse à l’implantation des missiles nucléaires. Rares sont ceux qui se

souviennent de sa première exposition au théâtre des Carmes en 1969. Plus nombreux sont les passants qui ont croisé les regards de ses « Immigrés » au ras du sol dans certaines rues de la ville en 1974. En 1996, le Festival lui confiait la réalisation de son affiche.

Les « Extases » de Marie-Madeleine, Hildegarde de Bingen, Angèle de Foligno, Catherine de Sienne, Thérèse d’Avila, Marie de l’Incarnation et Madame Guyon à la chapelle Saint-Charles, en 2008, restent dans de nombreuses mémoires…Des surgissements symboliques dans des villes choisies pour leur caractère, Naples pour les gisants sortant de terre ou des façades, Paris et ses cabines téléphoniques où Rimbaud rêve d’ailleurs…, et avant les grands collages photographiques de JR, ses dessins hyperréalistes ont toujours interrogé le passant, entre poésie et provocation politique ou sociale signifiante, selon un thème précis en accord avec la culture du lieu.

C’est Pasolini portant son propre gisant, qui fait l’affiche de l’exposition, la présence du cinéaste, revenu d’entre les morts, afin d’interroger ceux qui le regardent sur la raison son meurtre, s’impose comme l’éternité de son œuvre.

L’exposition « Ecce Homo » est une production de la Ville d’Avignon et Avignon Tourisme. Les œuvres proviennent de la galerie Lelong & Co, de collections privées et du musée de Montauban.

Ernest Pignon-Ernest a l’intention de créer « in situ » une œuvre pour Avignon dans l’espace du trésor bas du Palais des Papes, en janvier 2020.

Si vous désirez déjà en voir une dans un musée, allez donc voir celle du musée ZIEM à Martigues (C’est en Entrée libre)

Une exposition évènement A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Du 1er au 31 juillet : Avec la carte du OFF 2019 vous pourrez visiter le Palais + l’exposition pour : 6,5E, ou le Palais + Pont d’Avignon + l’exposition pour 8 euros. Profitez-en. - Palais des Papes, ouvert tous les jours : Juin 9h-19h ; Juillet 9h-20h ; Août 9h-20h30 ; du 1er/09 au 1er/11 9h-19h ; du 2/11 au 15/01 9h30-17h45. Fermeture des caisses 1h avant.

- musées du Petit Palais et Calvet, ouverts tous les jours sauf mardis : 10h-13h/14h-18h, fermeture 25/12 et 1er/01.

MUSEE LAPIDAIRE/ EXPOSITION de la collection permanente.

Renseignements pratiques : Musée Lapidaire De 10h à 13h et de 14h à 18h - fermé

le lundi Exposition 27 Rue de la République Avignon

- Musée Requien et Palais du Roure : Collections permanentes Ouverts du mardi au samedi : 10h-13h/14h-18h, fermeture 25/12 et 1er/01.ARCHIVES MUNICIPALES et BIBLIOTHEQUES : Consultation possible des collections permanentes et exposition temporaire aux Archives Municipales : Boëttes, registres, layettes : retrouver les archives de la Ville /jusqu’au 12 mai 2020 dans la cour et les rues, dans la chapelle jusqu’au 13 décembre : Après avoir passé 130 ans en dépôt aux Archives départementales, les archives de la Ville datant d’avant son rattachement à la France (1791) viennent tout juste de rejoindre leur port d’attache et les fonds communaux plus récents conservés rue Saluces. L’occasion rêvée de mettre en lumière cet ensemble spectaculaire, riche et foisonnant !

Le poids économique d’Avignon, sa position géographique, sa dimension de Ville-État, son statut bien qu’éphémère de capitale de la chrétienté, les influences tantôt françaises, romaines et provençales qui s’y exercent, son identité marquée par les échanges culturels, artistiques et commerciaux, ses jeux de gouvernance complexes, ..., confèrent au fonds d’archives de la Ville une dimension diplomatique importante et une richesse rare sur le plan historique.

La sélection des documents présentés est le fruit d’une (re)découverte émue du fonds par les archivistes municipaux. Documents incontournables pour esquisser l’histoire de la ville ou documents plus anecdotiques, mais ni moins beaux ni moins éclairants, l’exposition a pour objectif le plaisir de chacun à disposer des clés pour s’approprier ce patrimoine commun et l’histoire qu’il permet de retracer.

Du 21 septembre 2019 au 12 mai 2020, 49 panneaux d’exposition dévoilent près de 100 documents d’archives sur les murs "retournés" des Archives (cour et rues).

Du 21 septembre au 13 décembre 2019, l’exposition se poursuit dans l’ancienne chapelle du mont de piété, 6 rue Saluces, proposant une sélection de documents originaux dans des vitrines.

Renseignements pratiques : Cours et rues 6 rues Saluces Tel : 04 90 86 53 12 ou archives.municipales@mairie-avignon.com ou http://archives.avignon.fr

Horaires : >> Archives de la Ville d'Avignon (cour et rues) - 6 rue Saluces - Entrée libre et gratuite - Cour accessible du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h (10h le lundi) Du lundi au vendredi de 8h30 à 17h (Fermeture entre 12h00 et 13h00 au mois d'août) Entrée libre et gratuite. Coordonnées : Archives municipales, 6 rue Saluces. 84000 AVIGNON Tél : 04 90 86 53 12

FONDATION LAMBERT : COLLECTIONS PERMANENTES/+ EXPOSITIONS TEMPORAIRES :

COLLECTIONNER AU XXIe siècle / du 14 décembre 2019 jusqu’au 15 mars 2020 : avec 182 œuvres, 142 artistes et 77 collectionneurs d’art contemporain : Un très large panorama d’œuvres de ces dernières années que certains ont déjà pu croiser dans les couloirs de la FIAC et de Paris Photo, foires internationales d’art contemporain.

, la Collection Lambert accueille à Avignon « Collectionner au XXIe siècle ». Exposition triennale « De leur temps (6) » est organisée par l’ADIAF (Association pour la diffusion internationale de l’art français).

Après Tourcoing en 2004 (Musée des beaux-arts), Grenoble en 2007 (Musée des beaux-arts), Strasbourg en 2010 (Musée d’art contemporain), Nantes en 2013 (Hangar à bananes), Villeurbanne en 2016 (IAC), c’est donc à la Collection Lambert que l’ADIAF présente une sélection des dernières acquisitions des collectionneurs français membres de l’association.

Cette nouvelle édition prend « une forme inédite et plus ambitieuse puisqu’elle plonge au cœur des acquisitions réalisées non pas seulement au cours des trois dernières années, comme les éditions précédentes, mais depuis le début du XXIe siècle : soit presque vingt ans d’acquisitions. L’exposition ne présente pas moins de 182 œuvres prêtées par 77 collectionneurs, auxquels il a été demandé de choisir les œuvres majeures qu’ils ont achetées depuis 2001 à des artistes vivants ».

On attend avec intérêt et curiosité de découvrir ce sixième opus de «  De leur temps » qui promet d’explorer « largement toutes les pratiques artistiques de ce début de siècle tout juste sorti de l’adolescence, avec les bouleversements opérés dans la création et l’appréhension des formes, la mise en oeuvre de nouveaux dispositifs sensibles, de nouvelles manières de penser, et de nouveaux gestes et questionnements. Mais elle dévoile aussi l’audace, la clairvoyance et la passion à l’œuvre chez les amoureux de l’art de leur temps, montrant ce que peut être collectionner en France au XXIe siècle »…

Le commissariat de « De leur temps (6) » est assuré par Stéphane Ibars, responsable de la programmation artistique de la Collection Lambert.

Un tour d’horizon qu’il faut ABSOLUMENT VOIR pour se faire une idée des préoccupations des artistes à l’orée de ce XXIe siècle.

Cet hiver, la Collection Lambert présente, outre une nouvelle sélection d’œuvres de la Collection permanente, UN ART DE NOTRE TEMPS ! #2/ jusqu’au 29 mars 2020 : Le musée poursuit la série de présentations des œuvres de la Collection Lambert, intitulée Un art de notre temps #2, et explore dans un large panorama sensible la singularité de ce fonds unique, constitué à travers le regard d’une personnalité centrale de l’art de la deuxième moitié du XXème siècle et du début du XXIème siècle. L’exposition montre comment les ruptures initiées dans les années 1960-1970 et les nouvelles manières de penser l’art qu’elles ont instaurées, ont nourri les pratiques artistiques de ces 60 dernières années ainsi que la vision d’Yvon Lambert, toujours tournée vers l’avenir, à l’écart des académismes mortifères. Elle montre comment les grandes œuvres constituent à la fois des ruptures avec l’art du passé, ouvrant de nouvelles possibilités pour l’art, en même temps qu’elles invitent à de nouvelles lectures de l’histoire avec laquelle elles tissent des liens nouveaux et conscients, pour reprendre la pensée de Jean Frémon.—Carlos Amorales, Carl Andre, David Armstrong,

Mirosław Bałka, Miquel Barceló, Robert Barry, Slater Bradley, Marcel Broodthaers, Daniel Buren, Claire Fontaine, Anna Gaskell, Nan Goldin, Douglas Gordon, Loris Gréaud, Jenny Holzer, David Horvitz, Koo Jeong-a, Donald Judd, On Kawara, Anselm Kiefer, Joseph Kosuth, Claude Lévêque, Sol LeWitt, Richard Long, Robert Mangold, Brice Marden, Gordon Matta-Clark, Jonathan Monk, Olivier Mosset, Rei Naito, Bruce Nauman, Dennis Oppenheim, Giulio Paolini, Robert Ryman, Richard Serra, Ross Sinclair, Vibeke Tandberg, Niele Toroni, Richard Tuttle, Salla Tykkä, Andy Warhol, Paul Wallach, Lawrence Weiner.

EXPOSITION A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES / du mardi au dimanche de 11h à 18h. Tel: 04 90 16 56 20 ou

information@collectionlambert.com

De nombreuses animations (conférences…) autour des expositions, consultez le site pour les dates. /LES VISITES DU WEEK-END Le week-end à 16h – durée 1h Droit d’entrée + visite commentée gratuite - Sans réservation Venez découvrir les expositions commentées par une médiatrice du musée. LES VISITES FAMILLE Dimanche 4 mars à 11h – durée 1h Droit d’entrée + visite commentée gratuite Réservation auprès d’Anaïs : a.arvis@collectionlambert.com Venez participer à une visite du musée avec votre enfant ou petit-enfant. La rencontre menée par une médiatrice sera ponctuée d’échanges et de croquis pour les plus petits. L’ATELIER ADULTES– durée 2h30 15€ - Réservation auprès d’Anaïs : a.arvis@collectionlambert.com Les adultes ont dorénavant la possibilité de participer à un atelier de création artistique au musée et sera suivie d’une production plastique « à la manière de ».

Collection Lambert 5 rue violette, 84 000 Avignon t. 04 90 16 56 20 /collectionlambert.fr / Facebook La Collection Lambert en Avignon Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h. Fermeture le lundi. Tarif : 10€ - Tarif réduit : 8€ - Tarif de 6 à 11 ans : 2€ - Gratuité pour les enfants de - de 6 ans. Visites commentées à partir de 4 personnes. Un jeudi par mois, Stéphane Ibars, chargé de la coordination artistique et programmation culturelle au musée, vous propose des conférences autour de l’art contemporain. Tarif 5€ - Gratuit pour les étudiants, les amis et adhérents du musée - Dans l’auditorium. Réservation auprès d’Anaïs : a.arvis@collectionlambert.com

Les Siestes Acoustiques de Bastien Lallemand. Plus d’informations sur le site internet et le facebook de la Collection Lambert. Venez partager un moment de détente au cœur du musée. Tarif 20€, comprend le cours de yoga et l’entrée du musée. Sur réservation auprès de Camille : inspireyogacontact@gmail.com / 06 05 31 25 08

Collection Lambert 5 rue violette, 84 000 Avignon t. 04 90 16 56 20 /collectionlambert.fr / Facebook La Collection Lambert en Avignon

Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 11h à 18h. Fermeture le lundi. Tarif : 10€ - Tarif réduit : 8€ - Tarif de 6 à 11 ans : 2€ - Gratuité pour les enfants de - de 6 ans. Visites commentées à partir de 4 personnes.

De nombreuses activités pour enfants et adultes sont liées à ces expositions, consultez leur site.RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 90 39 07 37 ou www.collectionlambert.fr

MAISON JEAN VILAR/ EXPOSITION de la collection permanente de costumes et bibliothèque des arts du spectacle de la BNF+ EXPOSITION PARCOURS / ANDRE BENEDETTO AUTEUR/ jusqu’au 16 mai 2020 : Regard dans ses archives10 ans après la disparition d’André Benedetto, fondateur du festival OFF d’Avignon, Frances Ashley, sa compagne dans la vie et au théâtre, a confié ses archives d’auteur à la BnF.La genèse de plus de 120 textes, destinés à la scène et pour certains inédits, est ainsi tracée dans une centaine de boîtes conservées par l’antenne avignonnaise de la BnF.L’exposition donne à voir les richesses de ce fonds désormais consultable par le public.Cette exposition est aussi en Hors les murs sur des panneaux en extérieur sur la grille du Palais des Papes en face de l’hôtel de la Mirande

A VOIR ABSOLUMENT

EXPOSITION EN ENTREE LIBRE

Visites commentées de l’expositionsamedi 21 décembre à 16hinscription– 04 90 27 22 84– maison-jean-vilar@bnf.frRENSEIGNEMENTS PRATIQUES de 11h à 20H entrée possible jusqu’à 19H15: http://maison

jeanvilar.org ENTREE LIBRE

MUSEE VOULAND /Riches collections permanentes d’arts décoratifs du XVe au XIXe siècle + exposition temporaire pour l’été : Exposition Jean-Claude Imbert, face à face/ Du 26 juin 2019 au 5 janvier 2020/ 50 ANS DE PEINTURES, DESSINS, ALBUMS/ « Je suis ce que je peins »

 Cette année, le musée Vouland célèbre les 100 ans de la naissance de l’artiste marseillais Jean-Claude Imbert (1919-1993).Son œuvre singulière et foisonnante mêle le charnel et le spirituel, le visible et l’invisible, la lumière et l’ombre, la générosité et l’austérité. Jean-Claude Imbert est un homme né sous le signe de la Balance en quête d’équilibre, père de 8 enfants, artiste, enseignant.Au fil des jours, il joue inlassablement avec les mots, le graphisme, le noir, l’aquarelle saturée en couleurs. Il modèle sa peinture en couches épaisses d’où émergent forme et lumière. La complexité de l’artiste se glisse-t-elle dans les strates de cette matière tourmentée ? TOUT PUBLIC

« Maison du XVIIIe siècle » dans un hôtel de la fin du XIXe siècle, au cœur d’Avignon, cette demeure de collectionneur nous invite à découvrir

un certain goût français avec son mobilier estampillé Migeon, Ellaume ou Tuart, son rare ensemble de faïences et de porcelaines, ses tapisseries, son horlogerie, ses pièces de lustrerie et d’orfèvrerie.

A côté des Arts Décoratifs des XVIIe et XVIIIe siècles, le Musée Louis Vouland présente sa collection consacrée aux arts de Provence et Languedoc, centrée sur « la nouvelle école d’Avignon ». Peintures et dessins sortent régulièrement des réserves pour dialoguer avec des œuvres provenant d’autres collections ou des œuvres contemporaines.

MUSEE ANGLADON/ Collection permanente : Riches collections d’arts décoratifs et peintures + Evènements dans le cadre de la saison Degas (conférences consultez leur site pour les dates)A VOIR ABSOLUMENTRenseignements pratiques : Tel : 04 90 82 29 03 ou www.angladon.com

MUSEE CALVET/ Riches Collections permanentes: Depuis le 20 mai 2019 : DEUX NOUVELLES SALLES AU MUSÉE CALVET consacrées à l'Art religieux. A l'occasion du nouvel accrochage au Musée Calvet, deux salles ont été dédiées à l'art religieux de la Renaissance au XVIIIème siècle. Toutes les oeuvres, à l'exception de deux dépôts de l'Etat, sont la propriété de la Fondation Calvet. Un nouvel accrochage à découvrir pour renouveler la vision sur les très riches collections de ce musée.

De nombreuses activités sont proposées avec l’Association des Amis du Musée Calvet, voyez leur site.

A voir absolument

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 90 86 33 84 ou www.musee-calvet.org

PALAIS DU ROURE / EXPOSITION : FOLCO DE BARONCELLI : LE POEME D’UNE VIE/ jusqu’au 20 juin 2020 : Dans ce lieu consacré à la culture provençale l’évocation en images de la vie de ce personnage qui a marqué son époque. De nombreuses activités son liées à l’exposition , consultez leur site pour les jours et heures.

Cycle calendal pendant la période de Noël (jusqu’au 11 janvier )

Renseignements pratiques : ENTREE LIBRE du mardi au samedi 10H-13H et 14H -18h . 3 rue du Collège du Roure Avignon Tel : 04 13 60 50 01 paalais.roure@mairie-avignon.com

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 90 86 03 79 ou www.vouland.com ouvert du mardi au dimanche de 14 à 18h. www.museevouland.fr

MUSEE DU PETIT PALAIS / Collections permanentes et renaissance d’un chef-d’œuvre de l’école d’Avignon : Triptyque de Venasque, Renaissance d'un chef d'œuvre : Suite à l’Exposition-dossier On le disait impossible à restaurer, venez découvrir le Triptyque de Venasque enfin rendu aux visiteurs du musée après 40 ans passés dans les réserves. Salué depuis longtemps comme l'une des plus belles réalisations de l'École d'Avignon, le Triptyque de Venasque était cependant invisible du public depuis 1976. Une importante restauration a permis la renaissance de ce chef-d'œuvre peint à la fin du XVe siècle. L'arrivée de cette œuvre monumentale dans le musée s'accompagne d'une exposition-dossier la présentant sous tous ses aspects historiques, artistiques et matériels. Une plongée dans la production picturale en Provence à la fin du Moyen-Âge. À cette occasion, les salles de l'École d'Avignon ont été repensées et réaménagées.

Depuis plusieurs années, le musée du Petit Palais a entrepris à travers une série d'expositions intitulée les Dossiers du Petit Palais, de représenter au public des œuvres nouvelles ou récemment restaurées et réétudiées. 2018 verra la quatrième édition de ces Dossiers.

Pour célébrer le dépôt du Louvre de deux nouveaux tableaux de Botticelli et de son école, une salle spéciale (salle 10) lui est désormais consacrée dans ce musée des Primitifs Italiens.A VOIR ABSOLUMENT

Renseignements pratiques sur le site de la ville d’Avignon. www.avignon.com

CLOITRE St LOUIS/ Expositions temporaires qui se succèdent au fil de l’hiver consultez leur site

 RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ENTREE LIBRE : Exposition ouverte du mardi au dimanche de 14h00 à 18h00.Cloître St Louis 20 rue du Portail Boquier 84000 Avignon Tél. 06 09 50 72 18 ou Tel : 04 90 03 70 60.Dans l’année MACA: De nombreuses activités associatives pour les enfants et les adultes.

Consultez leur programme sur leur site : www.parcoursdelart.com

ou par tel : 04 90 89 89 88 ou par mail : contact@parcoursdelart.com

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/Maison des Arts Contemporains d'Avignon

1, rue Bourguet - 84000 AVIGNON

m.a.c.avignon@gmail.com

blog :http://mac-a.quoideneuf.over-blog.com/ENTREE LIBRE ET GRATUITE du mardi au vendredi de 14 à 18 h30. Samedi , dimanche de 10h à 19h.www.mac-a.org

PARVIS D’AVIGNON (33 rue Paul Sain) /pas d’exposition en ce moment

Renseignements pratiques : ENTREE LIBRE. Parvis d’Avignon : 33 rue Paul Saïn Avignon. Ouvert 7/7 jours de 11H à 18H.

MAISON DE LA POESIE : EXPOSITION : ART T SHOW : XXII : Exposition TarotCollectif Art T Show : 22 cartes / 22 Artistes : du 4 au 21

décembre. Le tarot est composé de 22 triomphes que l'on connaît aujourd'hui comme divinatoire.

Les Art T Show ont voulu soulever un autre visage de ces mystérieuses cartes qui véhiculent de nombreux et anciens symboles.

22 artistes se sont réunis et ont chacun tiré au hasard une carte. C'est avec celle-ci qu'ils ont créé leur vision de la carte attribuée.

L’ensemble des travaux constitue une œuvre unique et commune.L'exposition Tarot est un voyage dans l'imaginaire de 22 artistes et une réappropriation du Tarot qui est une source de savoirs et de réflexion.

A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ENTREE LIBRE Maison de la poésie, 6 rue Figuière Avignon. Ouverture du mercredi au vendredi de 13H30 à 18h et le samedi de 10h à 17H

ARTS UP : EXPOSITION en cours de montageA découvrir.RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Arts Up, 10 rue du Chapeau Rouge, Avignon ou artsup84@gmail.com en ENTREE LIBRE

GRENIER A SEL : ARDENOME : Exposition / THE GREAT ESCAPE/ LIONEL VIVIER AVEC GOURAU & PHONG05 OCTOBRE > 21 DÉCEMBRE 2019/ “The Great Escape” raconte la relation des corps et des êtres au développement pléthorique et autoritaire des nouvelles technologies.  Imaginé par Lionel Vivier, The Great Escape, est un projet global qui porte une réflexion sur la place de l’image aujourd’hui. L'hégémonie de cette dernière à l'ère numérique et post-internet a dilué la photographie dans le flux des images déterritorialisées, démultipliées, conduisant à la transformation perpétuelle d’un réel au contenu incertain et volatile. À travers la photographie, la vidéo, la sculpture 3D, l’artiste nous livre sa vision, mélancolique et picturale, entre répétition et effritement symbolique du réel.

 En collaborant avec le duo Gourau & Phong (Benjamin Roulet et François Bellabas), l’artiste s’embarque avec justesse aux côtés d’artistes et de leurs compétences propres, qu’elles soient technologiques ou réflexives, pour développer une de ces zones autonomes temporaires où se déplacent et se déploient discrètement  les œuvres et les usages pour s’affirmer pleinement et disparaître avant leur devenir spectaculaire ;A découvrirProchaine exposition dans le cadre des Hivernales d’Avignon : HEART : du 15 février au 7 mars 2020: un parcours musical dans l’imaginaire du cœur de Chrsitophe RUETSCHRenseignements pratiques : Ardenome, ancien Grenier à Sel2, rue du Rempart Saint Lazare 84000 Avignon04 32 74 05 31 accueil@ardenome.fr

Entrée libre: de 14h à 19h, ou www.edis-fondsdedotation.fr

ARCHIVES DEPARTEMENTALES DE VAUCLUSE : Collection permanente des archives à consulter sur demande : Renseignements pratiques : ENTREE LIBRE Tel : 04 90 86 16 18 ou http://archives.vaucluse.fr VILLENEUVE LES AVIGNON

SALLE DU PRESSOIR / LES PEINTRES AVIGNONNAIS AU XIX e siècle : du 7 décembre au 21décembre : exposition-vente : rétrospective d’art provençal qui rend hommahe aux peintres avignonnais à une époque où peintres et poètes de la langue provençale se lient pour célébrer leur terre natale.

Renseignements pratiques : ENTREE LIBRE tous les jours de 10H à 12H et de 14H à 19H30. Salle du Pressoir : 4 bis rue du Camp de Bataille. Villeneuve les Avignon. Tous les jours de 10h à 12H et de 14h30 à 19h30. Tel : 06 66 64 04 64 ou info@oriolsole.com

LA CHARTREUSE / Monument seul en ce moment

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

Les samedis de la Chartreuse ont repris et de nombreuses activités sont proposées à la Chartreuse pendant l’année : (Spectacles, lectures, nuits de la Chartreuse) voyez leur site :

www.chartreuse.org ou 04 90 15 24 24 beaucoup de choses sont en ENTREE LIBRE ou au prix d’entrée du monument

TOUR PHILIPPE LE BEL :monument seul en ce moment

MUSEE DE VILLENEUVE : Riche collection permanente dont plusieurs pièces sont exceptionnelles.

A VOIR ABSOLUMENT 

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : www.museevilleneuvelesavignon.com

FORT SAINT ANDRE :

FORT ST ANDRE/ MONUMENT SEUL EN CE MOMENT A DECOUVRIR

Horaires et prix d’entrée du monument. Du 1er juin au 30 septembre : tous les jours de 10h à 18h30. Du 30 septembre au 4 novembre : tous les jours de 10h à 13h et de 14h à 17h

ABBAYE SAINT ANDRE : Monument+ exposition en cours de montage

A DECOUVRIR ABSOLUMENT : Le lieu est superbe

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Abbaye Saint-AndréFort Saint-André,Rue Montée du Fort30400 - Villeneuve-lès-Avignon. info@abbayesaintandre.fr Tel 04 90 25 55 95 ou www.abbayesaintandré.fr

RESTAURANT AUBERGINE (rue de la République) : LES RENCONTRES D'AUBERGINE DU 7 AU 31 DÉCEMBRE 2019 Parcours d’art contemporain Le festival continue son exploration d’un genre dont le succès ne se dément pas. Après le thème de la gourmandise en 2018, c’est le roman noir espagnol (novela negra) qui sera mis en avant du 6 au 10 novembre prochain. Aux côtés de 7 auteurs espagnols, le public découvrira les plus belles plumes du polar français mais également 4 anglo-saxons dont le grand écrivain américain Ron Rash. Le programme déclinera littérature, cinéma, expositions mais aussi plusieurs enquêtes et un escape game. SALON DES AUTEURS ET DÉDICACES Samedi 9 : 10h-12h / 14h-18h30 Dimanche 10 : 10h-17h30 Venez rencontrer vos auteurs ! Ils seront présents pour dédicacer et échanger avec les lecteurs sur les stands des salles de la boulangerie de La Chartreuse. Antonio Altarriba (Espagne), Christophe Alvès, Fiona Barton (Royaume-Uni), Olivier Berlion, Roselyne Bertin, Chris En décembre, quinze lieux d'exposition aussi inattendus que la vitrine d'une mercerie ou celle de la Presse, l'espace d'un garage industriel ou celui d'un salon de coiffure, formeront un parcours artistique dans le centre de Villeneuve lez Avignon : l'art dans la ville, l'art dans la vie, accessible à tous. Pas d'œuvres accrochées au hasard pour « décorer » des commerces, mais des interventions in situ imaginées en cohérence avec ces lieux et le thème choisi : « souviens-toi ». Les artistes, venus de toutes parts et de toutes disciplines, investiront chacun une adresse : Gilles Bingisser, Valérie Bousquet, Martine Cazin, Eléonore Dadoit Cousin, Giamanella, Marie Jeanselme, Michèle Mascherpa, Sophie Mangin, Isa Papasian, Pascal Renard, Laurence Sarnette, Luc Vincent. Ensemble, ils exposeront aussi au restaurant Aubergine, où se tiendront des ateliers créatifs les samedis matin. L'Atelier d'Art Vivant ouvrira ses locaux pour une exposition collective d'élèves. Enfin, deux classes de l'école Montolivet exposeront à la Médiathèque Saint-Pons un travail inspiré de leurs rencontres avec des personnes âgées. Un lien entre les habitants, un pont entre les générations. • « Les rencontres d'Aubergine » : 15 lieux, entrée libre, du 7 au 31 décembre •

Samedi 7 décembre, 19h, vernissage à Aubergine, 15 rue de la République www.rencontresdaubergine. wixsite.com/villeneuve

CAVAILLON

CAVAILLON MUSEES ET PATRIMOINE

Synagogue - Musée juif comtadin Rue Hébraïque. Musée archéologique de l’Hôtel-Dieu Porte d’Avignon. Musée Jouve 52 place Castil-Blaze (fermé au public). Atelier des musées 157 av. du Général de Gaulle

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ CAVAILLON MUSEES PATRIMOINE/ 22 rue de la République 84300 Cavaillon tél. 04 90 72 26 86 Service médiation : tél. 04 90 71 73 81 musees.mediation@ville-cavaillon.fr site : www.cavaillon.fr Synagogue - Musée juif comtadin Rue Hébraïque Musée archéologique de l’Hôtel-Dieu Porte d’Avignon Musée Jouve 52 place Castil-Blaze (fermé au public) Atelier des musées 157 av. du Général de Gaulle Renseignements et inscriptions auprès de la Conservation du Patrimoine et des Musées au 04 90 72 26 86 ou musees.mediation@ville-cavaillon.fr ou site www.cavaillon.fr , rubrique culture

VISITES GRATUITES ET ATELIERS Pour les visites et ateliers, inscription obligatoire auprès de la conservation du Patrimoine et des Musées. ESPACE CULTUREL LEON COLOMBIER

LÉON COLOMBIER : ŒUVRES INÉDITES ET NOUVELLES ACQUISITIONS Espace culturel Léon Colombier (55 rue Raspail) Visite libre et gratuite 14h-19h, fermé le mardi et le dimanche en mai et juin. Fermé uniquement le mardi en juillet, août et septembre. Des œuvres inédites du peintre Léon Colombier seront présentées dans le nouvel espace culturel de la ville qui a ouvert ses portes le 24 mai 2019.

CHAPELLE DU GRAND COUVENT : Pas d’EXPOSITION en ce moment Renseignements pratiques : 10h-12h et 15h-19h, tous les jours sauf le mardi Entrée de l’exposition : plein tarif 5€, tarif réduit 3€, gratuité (Cavaillonnais, enfants -18 ans...).

HOTEL AGAR : MONUMENT & collections permanentes en ce moment exposition sur LES CRECHES jusqu’au 20 février : les crèches napolitaines de la collection de l’hôtel d’Agar :  Du mardi au

samedi à 14h30 Uniquement visites guidées sur réservation.L’exposition présentera un focus sur les crèches provençales et napolitaines de l’Hôtel d’Agar Avec plus de 300 sujets des XVIIIe et XIXe siècle, l’Hôtel d’Agar possède la plus importante collections de santons anciens en France. Partez à la découverte de l’histoire des sujets de crèches, dans un voyage qui relie Naples à Marseille, en passant par Gênes. Cette année sera dévoilée pour la première fois une exceptionnelle collection de soufflets de la renaissance française et italienne, l’hiver sera sous le signe du feu.  L’artiste et designer Ingo Maurer venant de nous quitter, l’Hôtel d’Agar lui rendra hommage cet hiver, avec une mise en valeur de ses créations. Ses créations ayant régulièrement servis à l’éclairage des salles en apportant une magie toute particulière.  L’Hôtel d’Agar se voulant un espace intime de dialogue, et de vagabondage poétique les visites sont uniquement guidées et sur réservation. Les amis de l’Hôtel d’Agar ont à cœur de maintenir l’esprit des cabinets de curiosités du XVIIe siècle, et privilégient l’échange avec les visiteurLes

Caravage de l’hôtel d’Agar seront toujours visibles.Treize salles de l’Hôtel d’Agar seront ouvertes pour un tout nouveau parcours d’exposition. Deux salles restaurées, ouvertes pour la première fois.

Informations 06 24 17 20 13/ Ouverture tous les jours / Visites guidées uniquement. Réserver Billetterie en ligne: www.hotel-dagar.com

Hôtel d’Agar 58, rue Liffran, Cavaillon 84300amis.dagar@gmail.com

Ouvert du mardi au samedi : visite guidée à 15h (1h30 environ) Pour plus d'informations ou organiser une

visite : 06 24 17 20 13 site internet : http://www.hotel-dagar.com/RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : visites à 8E/ gratuit – 18 ans et adhérents. Adresse : 58 rue Liffran

84300 Cavaillon. Visites guidées à 15h du mardi au Samedi réservation possible en dehors de ces

horaires. Tel : 06 24 17 20 13. www.hotel-dagar.com

GAP (05)

MUSEE DEPARTEMENTAL / LES NOUVELLES EXPOSITIONS

Muséum départemental des Hautes Alpes, 6 av du maréchal Foch, 0005 Gap

ÉBRANLEMENTS, ode aux passages des tempsExposition de Mai 2019 à Février 2020Frédérique Verlinden et Michel Barjol présentent

Imminentes évasions, 1ère partie,avec Alain Domagala et Mengzhi ZhengTitre global pour différentes expositions et un nouveau parcours du visiteur dont le fil rouge est le temps compté par les humains. Chaque espace porte un titre signé par un artiste ou des collectifs de chercheurs d’aujourd’hui.Sous-sol- Prendre D.A.T (Dons, Achats, Trocs) ● Collectionneur anonyme, curiosités d’une vie- Études pour un portrait et suites ● Jacques PARIS, la peinture, geste du regard- Relevés ● Stéphanie FERRAT, revoir les oiseaux dans l’espace béant de l’absence- Détournements ● Gérard BOISARD, traits urbains avec sous-bois en série- Âmes des bois ● Yves et Isabelle WALTER, de la naturalisation pour mémoire- Scènes de chasse ● François SCHONTZ, armes de chasse préhistoriques et antiques- Peaux de pierres ● Myriam WETZSTEIN, à la surface de la peau des pierres des Hautes-Alpes- Ma femme a 38 ans ● Dominique ANGEL, sculpture, temporalité d’une vieParvis extérieur, accueil et sur plusieurs étages- Être(s) ou ne plus être(s) ? ● GRANJABIEL, manières d’alerter sur des disparitions programméesRez-de-chaussée- Du Scorpion à Futuropolis, une esthétique du bizarre ● Denis CHOLLET, de la contreculture- Puzzle & Pluzz ● Arthur AKOPY, du détail, morceaux choisis dans les collections- Reliures ● Christian et Christiane PAPUT et FORCALQUIER DES LIVRES, jours d’été- Dolmen et constellations ● Jacques PARIS, traces contemporaines pour le mégalithe de Serres des Fourches- Abd el-Kader, le magnanime ● Anonyme,face-à-face de portraits d’Histoire- Techniques diverses autour du tuyautage ● Raymonde EYNAUD et Guy CAILLET, ports de tête1 er   étage - Imminentes évasions ● Mengzhi ZHENG, Pli et dépli ● Alain DOMAGALA,Les choses qui arrivent viennent-elles de loin ?2 e   étage - Fins provisoires ● Florent QUIGNON, périple photographique à travers les massifs- La vache ● Franck POURCEL, vache de l’anthropocène- Siffler en travaillant ● CQPS,de l’encyclopédique au contemporain- Tohu-bohu… ● Claude LEPAPE, strates, couleurs, matières, graphismes- PATREM ● MuCEM Marseille, appropriation des collections des musées de société à travers une approche ethnologique et artistique par les élèves avec des artistes agréés par la DRAC3 e   étage - Galerie de portraits ●La collection, salon d’écoute, écouter/voir, avec Jacques PARIS et la RAM 05, sur des chefs-d’œuvre connus de tous et présents dans de grands musées nationaux et internationaux pour cultiver son regard- Des Hautes-Alpes aux Hautes Steppes, la collection Aubert-Buès ●Audrey COPETTI, collection de céramiques de l’Afrique romaine- 13000 ans d’Histoire dans les Hautes-Alpes● Audrey COPETTI et Baptiste VAPPEREAU, objets, outils témoins des activités humaines, des temps préhistoriques au XVème siècleDans tout le Musée muséum départemental :Il était une fois une œuvre d’art et La classe l’œuvre ! Édition 2018-2019●CANOPÉ 05, un dispositif pour l’éducation artistique et culturellePartenaires :Frac PACA, CIM, MuCEM, Musée des Alpilles, Ville de Marseille, INRAP, Atelier CANOPÉ 05, Ministères de la Culture et de l’Agriculture, Éducation nationale, CNRS, Amis du Musée muséum départemental, Société d’Études des Hautes-Alpes, Forcalquier des livres, Musambule, Réseau BOTOX’S, Musée de France, RAM 05Les partenariats institutionnels, associatifs, particuliers, contributions multiples, résidences artistiques permettent et font vivre ces nouvelles expositions. Le Musée muséum départemental œuvre à leurs côtés et les remercie.Les collections sont aussi hors les murs pour des expositions partenaires :- Musée de la Préhistoire des Gorges du Verdon (Quinson) ● Trésors alpins de l’âge du Bronze- Musée archéologique de Saint-Raphaël ● Mémoire de Terre, collections d’archéologie en dialogue avec l’œuvre de Raoul Hébréard- Centre du graphisme d’Échirolles ● Bêtes d’affiches, une saga publicitaire d’Achille Mauzan- Réseau BOTOX’S art contemporain Alpes & Riviera, Nice, Les Visiteurs du soir ● La montagne défaite d’Olivier de Sépibus

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Musée Muséum départemental6 avenue Maréchal Foch 05000 GAP     Tél. : 04 92 51 01 58

LOURMARIN

CHATEAU DE LOURMARIN/monument uniquement en ce moment

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : pour consulter la totalité du programme de l’été : programme sur www.chateau-de-lourmarin.com

Ou Tel : 04 90 68 15 23. 

CABRIES

CHATEAU MUSEE / MUSEE EDGAR MELIK : exposition de la collection permanente

Renseignements pratiques : Château de Cabriès. Du mercredi au dimanche de 10h à 12h et de 14h à 18h. Tel : 04 42 22 42 11 ou www.cabries.fr

Stationnement conseillé au Parc Melik

CARPENTRAS :

MUSEE DE L’INGUIMBERTINE : Un musée très récemment restauré et ré-ouvert avec une nouvelle mise

en valeur de ses collections.

A DECOUVRIR ou REDECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Adresse : 180, Place Aristide Briand, CARPENTRAS Tel : 04 90 63 04 92 (dès 12h en semaine)

BANDOL (83) : Expositions : Voir le site de la ville

Renseignements pratiques : Tel : 04 94 29 22 70 ou sur www.bandol.fr

BIOT (04)

MUSEE NATIONAL FERNAND LEGER/ EXPOSITION des Collections permanente+ exposition temporaire : DESSINEZ D’ABORD ! FERNAND LÉGER ET LE PORTRAIT/ JUSQU’AU 2 MARS 2020 : A partir de dessins de sa collection rarement exposés, le musée national Fernand Léger met en lumière la diversité de la pratique du dessin chez Fernand Léger. Pour l’artiste, le dessin ne constitue pas seulement un travail préparatoire et exigeant à la peinture ; il s’agit aussi d’un mode d’expression en soi que Léger pratique chaque jour, un plaisir du geste qui retranscrit avec finesse et spontanéité son observation des êtres et des choses. Peu présent dans son œuvre peint, le portrait est omniprésent dans son œuvre dessiné : croquer sur le vif des scènes de la vie quotidienne, représenter la femme aimée, régler la composition d’un portrait académique ou fragmenter le corps pour mieux en saisir l’essentiel. L’œuvre dessiné de Fernand Léger, foisonnant et intimiste, se dévoile dans cette exposition autour de l’intérêt toujours renouvelé du peintre pour la figure humaine.

Commissariat :Julie Guttierez, conservateur du patrimoine, musée national Fernand LégerNelly Maillard, chargée des collections, musée national Fernand Léger

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ MUSEE F. LEGER : Chemin du Val de Pôme. Biot : HORAIRES D'OUVERTURETous les jours sauf le mardi, 1er janvier, 1er mai, 25 décembre de novembre à avril, de 10h à 17h Fermeture exceptionnelle à 16h, les 24 et 31 décembrede mai à octobre, de 10h à 18h 

GRAVESON (13)

MUSEE CHABAUD : COLLECTIONS PERMANENTES du fond Chabaud+Exposition temporaire : LE BESTIAIRE D’AUGUSTE CHABAUD/ jusqu’au 9 février 2020 : L’automne dernier le musée Auguste Chabaud avait présenté une exposition sur les papiers de boucherie de l’artiste sur le thème de la provençale noire.

Cette année c’est la thématique du bestiaire que nous allons découvrir, thème récurrent sur ses papiers de boucherie mais également dans sa peinture comme en témoigne l’œuvre puissante « Les chevaux dans l’écurie » que nous découvrirons dans le parcours de cette exposition.

En effet l’animal dans l’œuvre d’Auguste Chabaud occupe une place prépondérante, toujours observateur de la scène, il entre dans diverses compositions graphiques. Il est présent dans les cours de ferme, les scènes de transhumance, les labours, les scènes rurales du mas de Martin avec ses drames animaliers comme la mort du cochon où la brebis malade.La figure emblématique est le chien noir et blanc de Chabaud nommé Pied Blanc, compagnon fidèle, figure immortalisée, présent sur ses papiers de boucherie de 1901-02 mais étrangement aussi dans ses peintures de fin de vie.

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Musée de Région Auguste Chabaud 04 90 90 53 02- contact@museechabaud.com ou www.museechabaud.com Horaires : En semaine de 10h à 12h et de 13h30 à 18h30/ Week end et jours fériés de 13h30 à 18h30 Tarifs : 5€ -2,5 € (Tarif réduit). Visites commentées ou scolaires sur réservation auprès du musée.

GORDES

CHATEAU DE GORDES/ Monument seul en ce moment

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Dates et horaires : Fermé le lundi.De 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h. ou : http://www.luberoncoeurdeprovence.com/chateaudegordes

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : www.chateaudegordes.fr

HYERES LES PALMIERS

Fondation Carmignac : voir Ile de Porquerolles (plus bas dans le fichier)

VILLA NOAILLES : Exposition : NOUVEAUX REGARDS : jusqu’au 12 janvier 2020 : Tous les deux ans, la villa Noailles expose ses collections - acquisitions récentes et commandes artistiques - offrant les regards multiples d’artistes d’aujourd’hui sur ce lieu singulier.

Pour la deuxième édition de Nouveaux regards, sont réunis une cinquantaine d’artistes dans un parcours en quatre temps : des portraits de Charles et Marie-Laure de Noailles commandés par le centre d’art fin 2018 à l’occasion de la sortie de son livre sur le mécénat du couple, des films réalisés en 2019 à la villa Noailles, une salle de dessins, peintures et aquarelles et enfin une salle consacrée à la photographie.

Le jeune artiste Florent Groc occupe une place particulière dans l’exposition. Il y a réalisé une fresque monumentale ainsi que des peintures sur bois au cours de sa résidence à Hyères. Deux jeunes artistes sont également présentés suite à leurs résidences : Jean Bosphore (dessins au crayon) et Matthieu Cossé (aquarelles et gouaches). une grande aquarelle de Jean Percet (1982) y est montrée pour la première fois après son acquisition cette année.

Pour la photographie, une série inédite de Louise Desnos jouxte les cyanotypes de Jey Tall qu’il a produits pour l’occasion et les tirages de Romain Laprade acquis en 2018. François-Marie Banier offre au public deux tirages d’après ses images argentiques prises en 1968 à la villa Noailles. On retrouvera une série mode d’Alistair Taylor Young publiée dans Le Figaro cette année et une autre de Balthazar Delepierre pour la prochaine collection d’Ester Manas. Des photographies de Karl Lagerfeld (1995) et deux tirages par Patrick Sarfati (1993) montrent l’attrait des artistes pour la villa Noailles avant qu’elle ne devienne un centre d’art.

Artistes présentés : Grégoire Alexandre, Antoine Audiau, François-Marie Banier, Gio Black Peter, Jean Bosphore, Erwan Bouroullec, Ronan Bouroullec, Florian Bruno, François Cadière, Ludivine Caillard, Mathias Casado Castro, Julien Colombier, Matthieu Cossé, Vincent Darré, Louise Desnos, Vincent Flouret, Jade Fourès-Varnier et Vincent de Hoÿm, Laureline Galliot, Eric Giriat, Florent Groc, Antoine Grulier, Pierre Hardy, Xénia Laffely, Karl Lagerfeld, Romain Laprade, Ester Manas et Balthazar Delepierre, Pierre Marie, Billie Mertens, Olivier Millagou, Grégoire Motte, Alexandre Mussard, Alexandre Benjamin Navet, Felipe Oliveira Baptista, Nicolas

Ouchenir, Pierre Pauselli, Adrien Pelletier, Jean Percet, Patrick Sarfati, Jey Tall, Alistair Taylor Young, Temple & Fils, Marc Turlan, Xavier Veilhan, Karim Zeriahen

Les candidatures sont ouvertes pour le 35e Festival International de Mode, de Photographie et d’Accessoires de Mode, Hyères.Voir toutes les conditions sur la page→ CandidaturesRENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Montée de Noailles, 83400 Hyères Horaires : Ouvre à 15:00h

Téléphone : 04 98 08 01 98 ou www.villanoailles-hyeres.com

LES BAUX DE DE PROVENCE

CHATEAU DES BAUX : Parcours de visite, revivez l’histoire tumultueuse du Château des Baux du Xe

siècle à nos jours, immergez-vous au cœur de la vie sociale organisée autour de la cour du château et

appréhendez ses évolutions au fil du temps. Partez à la découverte de la richesse de ce patrimoine qui nous

raconte une grande page de l’histoire de la Provence.

CARRIERES DE LUMIERE/.

POUR MARS 2020/ Dali aux Carrières de lumières en 2020. C'est le peintre surréaliste Salvador Dali qui sera à l'honneur en 2020 aux Carrières de lumières aux Baux-de-Provence. Les Carrières de lumières aux Baux-de-Provence consacreront leur exposition immersive 2020 au peintre surréaliste catalan Salvador Dali.

 »VAN GOGH- LA NUIT ETOILEE » du 1er mars 2019 au 5 janvier 2020 : C’est

Van Gogh qui aura aux Baux et à l’ATELIER DES LUMIERES de Paris, du 7

février 2019 au 1er janvier 2020, les honneurs du spectacle son et lumière

immersif de Culturespaces.

A partir du 5 janvier et jusqu’au 6 mars pas d’exposition. Reprise le 6 mars avec : DALI L’ENIGME SANS FIN, pour le programme long et GAUDI, pour le programme court (exposition 2020 du 6 mars 2020 au 3 janvier 202

Les Carrières de Lumières offrent un spectacle de son et lumière monumental dans un lieu exceptionnel aux Baux-de-Provence. Cette année, place à l'univers de Van Gogh qui nous transporte dans une nuit étoilée. Les chefs-d’œuvre numérisés de Van Gogh sont projetés sur les grandes parois des carrières. La musique vous entraine dans le monde coloré et étoilé du peintre néerlandais qui vivait et travaillé en France. La Provence a été son domaine, il a vécu à Arles (1888) puis à Saint-Rémy-de-Provence (1889-90), tout près des Carrières de Lumières et nous sommes dans ce spectacle très proche de sa « Haute note jaune ».

Une immersion totale ! Quelles œuvres ?

Le spectacle dure une trentaine de minutes avec plus de 2000 images numériques projetées sur les immenses murs de calcaire de plus 15 mètres de haut.

Le spectacle commence avec la palette aux couleurs denses et épaisses et la voix rauque de Janis Joplin, puis les oeuvres de Van Gogh peintes en Provence, des Alpilles à Saint-Rémy se succèdent en version XXL : Le Semeur au soleil couchant (1888), la Nuit étoilée (1889), Les Tournesols (1888) et La Chambre à coucher (1889). Les peintures de la vie de Van Gogh passent : les paysages plus sombres des Pays-Bas, les toiles peintes à Paris notamment à Montmartre (1886), à Arles avec la Terrasse de Café le soir (1888) et sous le soleil du midi. Les Cyprès (1889) s'élèvent et La Nuit étoilée sur le Rhône (1888) nous plonge dans un rêve éveillé. Une série d'autoportraits faits à Saint-Rémy entrelacés de grands champs colorés noircis par des corbeaux font le final.

Vous êtes dans le monde démesuré, chaotique et poétique de l’artiste : des paysages ensoleillés, des ciels et des nuages hollandais, des portraits et des natures mortes...

La deuxième vidéo, plus courte, évoquera le Japon, pays rêvé, dont les estampes ont été collectionnées par tous les artistes de l’époque de Van Gogh.

: Japon Rêvé, images du monde flottant; créé par le studio artistique Danny Rose, où les jeux d’animation des éventails et des cloisons de papier sont particulièrement réussis.

Ce programme court vous porte dans les vagues d’Hokusai, les geishas, les samouraïs et les esprits, les cerisiers en fleurs, les forêts... Van Gogh a été très inspiré par l'art du Japon, les deux spectacles s'associent donc à la perfection.

La bande-sonore vous aide à voyager : de Ryuichi Sakamoto à Claude Debussy, en passant par les rythmes effrénés des tambours du Japon.

UN SPECTACLE IMMERSIF QUI ENCHANTERA PETITS ET GRANDS.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Carrières de Lumières

Route de Maillane 13520 Les Baux-de-Provence France

Horaire d'ouverture : Tous les jours du 1er mars 2019 au 5 janvier 2020 de 10h à 18h en janvier, mars, novembre et décembre, de 9h30 à 19h en avril, mai, juin, septembre et octobre et de 9h30 à 19h30 en juillet et août.

Infos prix : 13 € / Tarif réduit : 10€ (7-25 ans) -11€ - 12€ (Senior) - Gratuit pour les moins de 7 ans et invalides. Offre Famille : 40 € (pour 2 adultes et 2 enfants de 7 à 17 ans) Pass Provence : Carrières de Lumières + Château des Baux-de-Provence

Comment s'y rendre ? Les Carrières se situent à 800 mètres du Château-des-Baux, 15 km au nord-est d’Arles et à 30 km au sud d’Avignon. Parking gratuit. Pour venir en bus : ligne 59 Saint Rémy de Provence – Arles (de fin mai à fin septembre). Gares TGV les plus proches : Aix-en-Provence et Avignon.

 RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Ouvert tous les jours, toute l’année.Janvier, février, novembre, décembre : 10h-17h. Mars, octobre : 9h30 -18h30. Avril, mai, juin, septembre : 9h-19h. Juillet – août : 9h-20h. www.carrieres-lumieres.com et à Paris : www.atelier-lumieres.comDERNIÈRE ENTRÉE 1H AVANT LA FERMETURE.  La librairie-boutique culturelle est ouverte aux horaires

des Carrières.

 TARIFS : plein tarif : 8 € / tarif réduit : 6 €. Tarif réduit pour les enfants de 7 à 17 ans, demandeurs d’emploi, enseignants et étudiants. Gratuit pour les enfants de moins de 7 ans et les professionnels du tourisme.

AU MUSEE YVES BRAYER : exposition des COLLECTIONS PERMANENTES +

 : Exposition temporaire à partir du printemps : 9 avrilYves BRAYER : Un nouveau regard : du 9 avril – 27 septembre 2020Yves et Hermione Brayer arrivent en Provence, en 1945 après leur mariage. Hébergés chez un ami à Saint-Rémy, ils parcourent la région en vélo. Yves découvre la beauté puissante d'une nature exceptionnelle. Il s’attache immédiatement aux paysages composés de multiples harmonies de verts, d’arêtes rocheuses, des troncs noirs des oliviers. Sa palette évolue vers des harmonies plus pâles qu’il conservera plusieurs années avant de retrouver des couleurs plus ensoleillées.

Pour les 30 ans de sa disparition, cette exposition est un hommage à ce couple fusionnel : d’abord à l’artiste et aussi à sa compagne Hermione, disparue l’été dernier, qui a été sa muse, son modèle, son assistante et surtout son soutien permanent. Elle est restée à ses côtés et l‘a soutenu en organisant tout, autour de lui et de son œuvre. Le Musée continue le travail de mémoire qu’elle a initié. Cette exposition présente de nouvelles œuvres, dont certaines n’ont été que peu montrées. Le premier étage présente un nouvel accrochage sur l’Espagne, le Maroc, l’Italie, les Voyages, la Provence et la Camargue. Le second étage est consacré à des œuvres majeures de Provence et à d’importants portraits d’Hermione et de Nus.

 Pour tout renseignement ou documentationTél : 01 46 33 41 18 Email : olivier@yvesbrayer.com

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES :. Ouvert tous les jours de 10h à 12H30 et de 14h à 18H30. Tel : 04 90 54 36 99 ou http://www.yvesbrayer.com Pour tout renseignement ou documentation, Tél : 01 46 33 41 18, Email : obrayer@noos.fr

 SAINT –ETIENNE DU GRES :

Festival a-part : le festival est maintenant teminé mais vous pouvez consulter leur site pour leurs activités.Consultez leur site et le fichier spécial qui leur est consacré  : www.festival-apart.org

CAGNES SUR MER :

MUSEE RENOIR : EXPOSITION des collections permanentes dans la dernière

demeure du peintre. 2019, année Renoir1 an de célébration. Dans le monde entier, Cagnes-sur-Mer représente la dernière demeure de Pierre-Auguste Renoir.Pour célébrer dignement la disparition il y a 1 siècle, de cet illustre Cagnois, la ville a préparé un programme riche et varié d’événements tout au long de l’année. Petits et grands, initiés ou amateurs, venez découvrir la richesse de l’héritage laissé à la ville par le maître incontesté de la peinture impressionniste.A voir absolument

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 19 Chemin des Collettes, Cagnes 06800. Tel : 04 93 20 61 07 ou www.cagnes-tourisme.com . Entrée 6 euros, gratuit pour les moins de 26 ans.

CHATEAU MUSEE GRIMALDI : Monument + exposition temporaire : Hommage à Pierre-Auguste Renoir par les artistes de l’UMAM : jusqu’au 6 janvier 2020Depuis 2010, la ville de Cagnes-sur-Mer est honorée d’inviter régulièrement l’Union Méditerranéenne pour l’Art Moderne à exposer au château-musée Grimaldi le travail d’artistes contemporains. Cette démarche n’est aucunement le fruit du hasard : elle s’inscrit pleinement dans l’histoire du lieu qui a toujours réservé une partie de ses cimaises à l’art contemporain. Confier le commissariat d’une exposition temporaire à l’UMAM et à sa présidente, Mme Simone Dibo-Cohen c’est une fois encore conforter le rôle que joue le château-musée Grimaldi dans la promotion et la diffusion de l’art d’aujourd’hui auprès des Cagnoises, des Cagnois et plus largement du grand public.Cette année, alors que toute la ville commémore le centenaire de la disparition de Pierre-Auguste Renoir, il nous a semblé évident et surtout prometteur de demander aux artistes de l’UMAM, d’entamer un dialogue artistique avec l’oeuvre du maître, en

toute liberté. Pas moins de 16 artistes ou couples d’artistes ont répondu à cette proposition. Et tous l’ont fait avec brio.

A partir d’un tableau célèbre ou méconnu de Renoir qu’ils ont eux-mêmes choisi et en recourant à différentes techniques, ils ont produit de très séduisantes œuvres qui, réunies toutes ensembles, sont à y regarder de près, bien plus qu’une exposition d’artistes contemporains regardant avec révérence l’oeuvre d’un maître du passé. Par le travail qu’ils ont accompli, les artistes de l’UMAM ont véritablement rendu hommage à Renoir,leur prédécesseur. Les œuvres que vous allez découvrir, loin d’être des pastiches qui auraient été certainement aimables mais sans panache, tout en s’inspirant d’une oeuvre du passé, questionnent avec finesse et pertinence notre monde tel qu’il est, tel qu’il va.

Avec les œuvres de :Daniel Airam – Nasreddine Bennacer – Valérie Breuleux – Véronique et Jean Dalloni-Marc Gaillet – Gérard Haton-Gauthier – Tom Herck – Miryan Klein – Anthony Mirial-Laurent Papillon – Claudie Poinsard – Héléna Krajewicz et Rob RowlandsPascal Saint-Philippe – Rita Saitta – Alexandre Saliceti – Victor Soren

A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ouvert de 10h à 13h et de 14h à 18h en été, en hiver 10H-12H et 14h-17H. Fermé le mardi tarif : 4 euros avec le Musée Renoir : 8 euros, gratuit pour les moins de 26 ans. Tel : 04 92 02 47 35 ou www.cagnes-tourisme.com

ESPACE SUZY SOLIDOR : LA COLLECTION DE LA VILLE : Exposition jusqu’en mars 2020 : Cagnes-sur-Mer est rentré dans le cercle très fermé des villes et métiers d’art pour son implication en faveur du bijou contemporain. Le musée du bijou contemporain « Espace Solidor » qui en est à l’origine est reconnu pour la qualité de sa collection et de ses expositions. Une place peut-être difficile à imaginer tant l’abstraction de la création contemporaine peut être absconse pour le néophyte. La galerie s’accompagne d’un investissement global de la ville qui a créé des résidences d’artistes dans la tour Margaux. Certains d’entre eux, dont les recherches sont dédiées au bijou, ont également accès à la « Crypte » atelier équipé en plans de travail de bijouterie-joaillerie.

Collection de la villeAu fil des expositions temporaires, la Ville de Cagnes-sur-Mer a acquis de nombreux bijoux, ce qui lui a permis de constituer une collection exceptionnelle d’une centaine d’œuvres. Cette collection est présentée actuellement au Musée du Bijou Contemporain – Espace Solidor.Des œuvres étonnantes réalisées à l’aide de matériaux divers tels que le bois, le

papier ou encore le plastique, sans oublier les matières précieuses. Un panorama exceptionnel sur le bijou contemporain.

Musée du Bijou contemporain – Espace SolidorPlace du Château – Haut-de-Cagnes.Octobre à mars : du mercredi au dimanche 14h-17h.Avril-mai-juin-septembre : du mercredi au dimanche 14h-18hJuillet-août : du mardi au dimanche 14h-18h.

Renseignements pratiques : ENTREE LIBRE. Place du Château ouvert de 14h à 18h le vendredi jusqu’à 19h Tel : 04 93 73 14 42. www.cagnes-tourisme.com

MDAC : exposition en cours de montage

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Place du Château. Cagnes 06800. Tel : 06 75 71 83 40 ou mdacagnes@gmail.fr

Ouvert du mercredi au dimanche de 14hà 18H

. Fermé les lundis et mardis.

DOMAZAN (30) :

CHATEAU DU BOSC : pas d’exposition pendant l’hiver

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 651 Chemin du Bosc- 30390 DOMAZAN ENTREE LIBRE. GPS N43°56’50 ‘’ E 4°40’4’’: Tel : 04 66 57 65 11 ou 06 22 80 92 07 ou www.art.chateau-de-bosc.com ou art.bosc@orange.fr http://www.chateau-de-bosc.com/un-patrimoine-mysterieux http://artbosc.blogspot.fr/

SAINT REMY DE PROVENCE :

MUSEE ESTRINE : EXPOSITION des collections permanentes en ce moment. Prochaine exposition en cours de montage. Le Musée Estrine en quelques mots véritable joyau de l’architecture provençale du XVIIIe siècle, l’Hôtel Estrine a été construit en 1748 pour abriter le siège de la judicature des princes de Monaco. Il a été entièrement restauré en 1989 et récompensé par le Prix du patrimoine vivant de la Fondation de France. Depuis 2007, il abrite le Musée Estrine, jeune musée de France et vient de bénéficier en 2014 d’un vaste programme d’agrandissement et de rénovation. Pour rendre hommage à Vincent van Gogh qui vécut à Saint-Rémy-de-Provence du 8 mai 1889 au 20 mai 1890, le musée Estrine a réalisé un espace pédagogique multimédia consacrée à la vie et à l’œuvre du peintre. Le centre d’interprétation Vincent van Gogh permet aux visiteurs de (re)découvrir le parcours humain et

artistique de cette personnalité exceptionnelle et son influence sur la création du XXe et XXIe siècle. La collection du Musée Estrine est dédiée à la peinture et aux arts graphiques des XXe et XXIe siècle dans la filiation des deux grands artistes qui ont marqué la ville de Saint Rémy de Provence, Vincent van Gogh et Albert Gleizes. Une partie importante de sa collection est consacré au renouveau de la figuration autour des deux générations du Salon de la Jeune Peinture. La première est représentée par des artistes comme Bernard Buffet, Paul Rebeyrolle, Michel de Gallard ou encore Raymond Guerrier. La seconde par Eduardo Arroyo, Lucio Fanti, Gérard Fromanger encore Vladimir Velickovic. Des expositions comme « La réalité retrouvée » organisée en 2010 ou la rétrospective Gilles Aillaud de 2015 viennent compléter ce panorama. Plusieurs expositions temporaires sont organisées chaque année dans les différents espaces du Musée autour de thèmes importants de la peinture ou de peintres et dessinateurs de grand talent.

Exposition/Collections permanentes Gleizes etc… L’influence du cubisme sur la peinture des XXe et XXIe siècles 17 mars-2 décembre 2018 La nouvelle présentation des collections du musée Estrine s’intéresse à l’influence de Gleizes et du cubisme sur la peinture des XXe et XXIe siècles. L’exposition débutera par l’ œuvre d’Albert Gleizes de ses débuts figuratifs à ses recherches plus abstraites. Elle se poursuivra ensuite par une salle dédiée à la figuration post-cubiste pour continuer sur deux salles consacrées aux grandes abstractions. Se côtoieront ainsi des œuvres de Anna Eva Bergmann, Geneviève Claisse, Lucien Lautrec, André Marchand, Mondrian, Jacques Busse, Manessier, Estève, etc…

Le LaBo-Expo : Le musée Estrine a choisi de soutenir la création contemporaine locale en invitant plusieurs fois par an certains artistes ou acteurs du monde l’art du territoire à présenter leurs travaux en cours dans un espace dédié du musée leur permettant ainsi de confronter leurs œuvres au public tout en le rencontrant et en échangeant avec lui. —

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 90 92 34 72 ou www.musee-estrine.fr

MUSEE DES ALPILLES : .Collections permanentes EXPOSITION : LE SAUVAGE « Le Sauvage », Paul Blanchet (1865-1947)/jusqu’au mercredi 30 septembre 2020 : Après la restauration de son vélo, voici l’exposition qui est consacrée à ce personnage de St Rémy.Paul Blanchet (1865-1947) appartient à une famille de la bourgeoisie rurale de Saint-Rémy-de-Provence qui lui donne une solide instruction. Toutefois, l’appauvrissement des siens, le service militaire au Sénégal entre 1886 et 1890 firent de lui un éternel révolté. Afin de ne pas avoir à se découvrir devant rien ni personne, il renonce au port du chapeau, ce qui est déjà une forte singularité pour l’époque.

Ouvrier agricole par nécessité, il est surtout chansonnier, poète, jardinier, descoucouneur, fabricant de cadrans solaires et même acteur de cinéma. Il fuse sur son vélo aux 35 cloches, pourfend le culte du progrès, fait sensation à Carnaval, invente le mot anthropomule, cite L’Astronomie populaire de Flammarion, compose des fresques avec ses feuilles d’impôts, apprend aux enfants à aimer les orties.En présentant ses textes, ses portraits et son fameux vélo, le musée des Alpilles met à l’honneur ce personnage légendaire, dont les excentricités masquent à peine la gravité d’un homme qui, à travers l’expérience coloniale et face à l’oppression politique, a écrit un morceau de défiance poétique et fraternelle : sa vie.En partenariat avec la saison culturelleSpectacle   Le Sauvage   – Jérome Gallician . Récit et musique (chant, percussions, shruti-box, looper, objets sonores) le vendredi 20 mars 2020 à 20h30 – salle Henri-Rolland. ALPILLIUM Renseignement et réservation au 04 90 92 70 37 ou 06 29 19 69 78A NE PAS MANQUER .

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Place Favier 13538 St-Rémy de Provence : ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h du 2 mai au 30 septembre, du 1er octobre au 20 avril ouvert du mardi au samedi de 13h à 17H30. Tarif : plein 5 euros, réduit : 3,5 euros. St –Rémy Pass vendu à l’office de tourisme pour tous les musées et les sites archéologiques de St –Rémy : Tel : 04 90 92 68 24 ou www.musees-mediterranée.org ou museedesalpilles@mairie-saintremydeprovence.fr

Place Favier.13538 Saint-Rémy-de-Provence cedexTél. : 04 90 92 68 24 - Fax : 04 90 26 68 42

TARASCON

CHATEAU DE TARASCON : DANS LA GRANDE GALERIE DU MOYEN ÂGE : Oeuvres de : Christian Lacroix, Hervé Hôte, Thibault Franc et Bernard Pourrière : La Grande Galerie du Moyen Âge se déploie dans le château de Tarascon et révèle au public la majesté d’un monument d’exception, entre Moyen Âge et création contemporaine.   L’EXPOSITION PERMANENTE L’exposition débute dans la Salle des Festins, somptueusement ornée d’un grand tapis créé par Christian Lacroix sur le thème de la Tarasque, monstre totémique de

la cité. M. CHRISTIAN LACROIX, ARTISTE INVITÉ AU CHÂTEAU : Le Château de Tarascon – Centre d’art René d’Anjou poursuit le dialogue entre le patrimoine et la création contemporaine en invitant M. Christian Lacroix à investir les salles du château et en les parant d’œuvres décoratives réalisées spécifiquement pour ce monument d’exception. Quatre grands tapis majestueux donnent à voir la beauté d’une commande artistique inédite produite par le Centre d’art René d’Anjou (Ville de Tarascon). L’espace d’accueil du château est orné par M. Lacroix d’un grand tapis reproduisant les animaux fantastiques qui constellent les plafonds peints du château. Cette œuvre est une introduction à la visite pensée pour cet espace au mobilier désigné par la société Eco Fabrik à Arles.

La salle des festins est parée d’un grand tapis qui nous entraîne à la découverte de la Tarasque, le monstre totémique de Tarascon. M. Lacroix a pensé cette œuvre en résonance avec les fondations rocheuses du bâtiment sur lequel la salle est posée et en lien avec le fleuve roi, le Rhône. La

Tarasque déstructurée sert de support à la première séquence de la Grande Galerie du Moyen Age, Il était une fois le château de Tarascon.La salle d’apparat reçoit un grand tapis réinterprétant les motifs géométriques qui soulignent les précieux plafonds à caisson de la pièce. Le tapis ornant le sol constitue par un effet de miroir la base du monde merveilleux des closoirs – petits panneaux peints - du château. La  seconde séquence de la Grande Galerie du Moyen Age,  De drôles d’animaux de compagnie offre une plongée ludique au sein de cet univers peuplé de créatures réelles et fantastiques.La salle de la garde-robe se métamorphose en une vaste cage à oiseaux néo-gothiques réinterprété par l’artiste. M. Lacroix a conçu l’œuvre telle un tatouage géant de 200m2 sur ce sol restauré qui fait aussi écho aux nombreux graffiti gravés par les soldats et civils prisonniers de ce monument. Ce tapis décoratif accompagne la troisième séquence de la Grande Galerie du Moyen Age,  Les murs ont la parole qui nous entraîne à la rencontre de cette mémoire carcérale.M. Christian Lacroix a souhaité aussi investir d’autres pièces, chambre du roi et chambre de retrait, d’œuvres nouvelles qu’il a produites pour le Centre d’art René d’Anjou. A l’image des artistes des princes d’Anjou-Provence, il nous livre un parcours qui convoque l’imaginaire, la passion des arts décoratifs et son amour du patrimoine.

Commissaire d’exposition : Aldo Bastié, conservateur du Château de Tarascon – Centre d’art René d’Anjou

 L’exposition nous entraîne sur les pas des fondateurs de ce château et se poursuit à l’étage avec la découverte du bestiaire fantastique peint et sculpté au XVe  siècle. Les photographies d’Hervé Hôte subliment ces chimères et confrontent le public à un « mano a mano enluminé ». Le bestiaire revit et se réinvente grâce aux interprétations artistiques commandées par le Centre d’art René d’Anjou, auprès de M. Christian Lacroix et de Thibault Franc. Enfin, les murs du château tapissés de centaines de graffiti révèlent l’histoire de cette forteresse-palimpseste dont l’installation sonore de Bernard Pourrière se fait l’écho.A VOIR ABSOLUMENT

 RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : CHATEAU DE TARASCON CENTRE D’ART RENÉ D’ANJOU Boulevard du roi René - 13150 Tarascon 04 90 91 01 93 http://chateau.tarascon.fr

Ouvert tous les jours. 9:30 > 17:30 (avril-mai), 9:30 > 18:30 (juin à septembre)

CLOITRE DES CORDELIERS / MUSEE D’ART ET D’HISTOIRE DE TARASCON : exposition :

BESTIAIRE : jusqu’au 27 décembre 2019 : Boire les larmes des tortues, comme dans le

Bestiaire de Jean Giono qui n'obéit ni aux règles du naturalisme ni à celles d'une

fable morale, les animaux des artistes brouillent les limites et s'affranchissent des

frontières entre humain et animal : ne nous y trompons pas, il s'agit là d'un hommage

appuyé au grand orchestre du vivant tandis que s'égrène la chronique d'un

effondrement annoncé, celle de la disparition.

Chacun des 4 artistes, invités par la Maison d'Art Contemporain sous l'égide des

Rendez-vous de Tarascon, a construit un bestiaire revisité, parfois magique,

parfois monstrueux, parfois mythique, toujours habité.

Nous sommes encore là, dans un jardin fragile. Ne laissons pas s'assécher et

disparaître l'oeil où notre âme s'abreuve.

Renseignements pratiques : Entrée gratuite. Musée d'Art et d'HistoirePlace Frédéric Mistral 13150 Tarascon.Téléphone :04 90 91 38 71

Site web : www.tarascon.fr

LA MAISON D’ART CONTEMPORAIN DE TARASCON (13150) /Presbytère Saint Jacques : Tarascon était en 2018, avec Allauch et Eyguière, capitale Provençale de la culture 2018, le week-end du 22 et 23/09 a été marqué par l’ouverture dans l’ancien presbytère St Jacques, voisin de l’église du même nom, par la galeriste et commissaire d’exposition Chantal Mélanson, qui avait déjà exposé d’autres artistes dans le Cloître des Cordeliers de Tarascon, d’une maison d’art contemporain dans un lieu où l’architecture intérieure ancienne a été respectée, bien que sérieusement restaurée, pour y accueillir les œuvres de nombreux artistes plasticiens ou photographes, dont certains sont déjà très reconnus, Patrick Loste entre autres.Un vrai regard, d’une tonalité très graphique, a présidé aux choix de cet ensemble d’œuvres d’artistes contemporains qui s’expriment aussi bien dans des gravures, peintures, dessins et dans le jardin dans les sculptures.

La particularité du lieu, qui garde donc ses pièces d’habitations utilisables (chambre, cuisine, salle de bains..) c’est que vous pourrez y venir pour séjourner au milieu des œuvres, puisque la galerie fonctionne en duo avec une chambre d’hôte. Cette galerie sera « Les rendez-vous de Tarascon », dont la visite se fera sur rendez-vous, les œuvres des artistes se renouvelant régulièrement.

A DECOUVRIR ABOLUMENT 

MAC Chantal Mélanson /  pour l’été d’autres œuvres sont présentes, au Presbytère  Saint Jacques - Tarascon 06

70 0 0 29 99. Des concerts sont également organisés par la Maison d’Arts contemporains, suivez son actualité. 

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Presbytère St Jacques. Place St Jacques 13150 Tarascon. Tel : 06 70 00 29 99. Email : chantal.melanson7@gmail.com Facebook :@GalerieChantalMelanson

FONTAINE DE VAUCLUSE

MUSEE PETRARQUE : Collections permanentes en ce moment/ Fondé en 1927, sur la rive gauche de la Sorgue, il est sur l’emplacement supposé qu’occupait la maison du poète au XIVe siècle. Le jeune Pétrarque découvrit le site de Fontaine de Vaucluse à 9 ans, en compagnie de son père. Il s’y installa ensuite, dans une maison située au pied de la falaise et sous le château de son ami l’évêque de Cavaillon, Philippe de Cabassole. Il y fit quatre séjours en une quinzaine d’années.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ouvert tous les jours sauf mardi du 1er avril au 31 octobre de 13h à 18h, le reste de l’année sur réservations groupe de 10 personnes. Tel : 04 90 20 37 20 ou musee-biblio-petrarque@vaucluse.fr

MUSEE D’HISTOIRE JEAN GARCIN 39-45 L’APPEL DE LA LIBERTE: Collections

permanentes en ce moment : Découvrez ou redécouvrez, le Musée d'Histoire "Jean - Garcin" 39-45, l'appel de la liberté. Il s’agit d’une visite guidée des collections de la partie du musée consacrée à la vie quotidienne des français sous l’occupation, avec l’évocation des

concepts de liberté, résistance, système D à travers tous les aspects de la vie des populations en 1940.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ouvert tous les jours sauf mardi de 13h à 18h, fermé le 1er mai. Adresse : Chemin du Gouffre 84800 Fontaine de Vaucluse. Tel : 04 90 20 24 00 ou musee-appel-liberte@vaucluse.fr

L’ISLE SUR LA SORGUE (84)

CAMPREDON CENTRE D’ART : EXPOSITION Pierre Sgamma "Adsum" : jusqu’au 16 février 2020 : le centre d’art Campredon à L’Isle-sur-la-Sorgue présente l’exposition «Adsum», première rétrospective d’envergure consacrée aux œuvres de l’artiste Pierre Sgamma.

L’exposition offre un large aperçu de ses 5 dernières années de création, née de 20 ans de recherches, de découvertes, d’échecs, de joie, de doute, de curiosité, de rencontres...

L’univers très personnel de l’artiste, aussi étrange qu’énigmatique, nous emmène toujours en voyage vers le mythe, la légende, le symbolisme, la métaphore et la poésie ; telle une odyssée intérieure.

Il explore avec originalité et pertinence nos paradoxes, notre besoin des contraires, nos émotions, nos peurs, nos failles mais aussi nos ressources.

Il nous confronte sur notre étrangeté pour ébranler notre état de conscience général, nos idées reçus, afin de nous amener à nous libérer des possibles.La rencontre avec Jacques Gilbert, taxidermiste, donnera une nouvelle dimension à son œuvre. Le prétexte de l’animal est pour nous questionner sur notre condition d’humain et explorer notre dualité constante.

La réalisation de sculptures monumentales offre une atmosphère étrange et envoûtante. L’univers de l’artiste, allié au travail de l’artisan, plonge le visiteur dans des histoires fascinantes de mythes et de légendes.

UNE EXPOSITION A VOIR ABSOLUMENT

.Renseignements pratiques : Campredon 20 rue du Docteur Tallet . L’Isle sur Sorgue. Ouvert du mardi au dimanche 10h 12H30 et 14h 17H30. Tel04 90 38 17 41 ou librairie.campredon@islesurlasorgue.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/AUTOUR DE L'EXPO : VISITES GUIDÉES // Pour les réservations : 04 90 38 17 41 campredon@islesurlasorgue.fr . ou www.islesurlasorgue.fr

VILLA DATRIS : Pas d’EXPOSITION pendant l’hiver, reprise au mois de mai 2020.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ENTREE LIBRE : de nombreuses conférences et animations renseignez-

vous sur leur site pour plus de détail. Mai, juin septembre, octobre : ouvert du Jeudi au Lundi de 11h à 13h et de

14h à 18h Juillet et août : ouvert tous les jours de 11h à 13h et de 14h à 19h. Le dimanche sans interruption –

Fermé le Mardi. Ouvert les jours fériés.

7 Avenue des 4 Otages - 84800 L´ISLE-SUR-LA-SORGUE

04 90 95 23 70 / info@villadatris.com

www.villasdatris.com

A L’ESPACE MONTE CHRISTO A Paris :

Exposition Mare Nostrum : identités méditérranéennes / Du 13 septembre 2019 au 12 janvier 2020.S’inspirant de l’exposition Sculpture du Sud, présentée en 2014 à la Fondation Villa Datris à l’Isle-sur-la-Sorgue, l’exposition pose un autre regard sur les œuvres de la Collection Fondation Villa Datris et, dans une toute nouvelle scénographie, évoque les différents visages de la culture méditerranéenne.Commissariat d’exposition et scénographie :Pauline Ruiz et Jules Fourtine

L’Espace Monte-Cristo est ouvert toute l’année, à tous et l’entrée est libre.Réservation conseillée par téléphone ou par mail :

09 60 37 62 82

montecristo@fondationvilladatris.com

Nous sommes ouverts tous les mercredis, jeudis et vendredis de 14h à 18h30.FONDATION VILLA DATRIS / PARIS9 Rue Monte-Cristo - 75020 Paris / France09 60 37 62 82 / p.ruiz@fondationvilladatris.com

CANNES

MUSEE DE LA CASTRE : Collections permanentes du musée+ Exposition : LOUIS PASTOUR PEINTRE DU SOLEIL : du 7 décembre au 24 mai 2020

: À travers tableaux, dessins, affiches et photographies provenant de collections privées et du fonds du Musée de la Castre, cette exposition dévoile la passion de Louis Pastour (1876-1948) pour Cannes, sa ville natale.

.A DECOUVRIR ABSOLUMENT

Renseignements pratiques : Musée de la Castre, Le Suquet Cannes 06400 

Tel 04 89 82 26 26: juin : du mardi au dimanche de 10h à 13h et de 14h à 18h (21h le mercredi)

Juillet et août : tous les jours de 10h à 19h (21h le mercredi)

Septembre : du mardi au dimanche de 10h à 13h et de 14h à 18h (21h le mercredi)

Octobre : du mardi au dimanche de 10h à 13h et de 14h à 17h

CENTRE D’ART LA MALMAISON : Exposition  PIERRE ET GILLES LE GOUT DU CINEMA : du 12 décembre au 26 avril 2020 : Ce duo d'artistes français, l'un des plus

populaires de notre pays depuis plus de trente ans, a créé des œuvres iconiques, connues de

tous, largement diffusées auprès d'un public peu au fait de la création contemporaine. Ils ont

accepté pour la Ville de Cannes d’inventer une exposition et une scénographie à partir de

tableaux liés à cette passion commune pour le cinéma. Il s’agit d'actrices et d'acteurs, bien

entendu, qui ont posé pour eux, mais également de compositions et de procédés visuels qui

rappellent ceux du 7e art. Pierre et Gilles réaliseront également des œuvres pour l'évènement.

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Centre d'art La Malmaison, Ave de la Croisette 06400Cannes: Juillet à septembre : tous les jours de 10h à 19h, Octobre : du mardi au dimanche de 10h à 13h et de 14h à 18h

centredartlamalmaison@ville-cannes.fr Tél : 04 97 06 45 21

MUSEE DE LA MER : Exposition permanentte des œuvres de Jean LE GAC

Oeuvres permanentes de Jean Le Gac : des peintures murales réalisées dans les cellules du Fort

A DECOUVRIR

Renseignements pratiques : Musée de la Mer, Fort Royal Île Sainte-Marguerite ,06400 Cannes. Tel : 04 89 82 26 26. Juin à septembre : tous les jours de 10h à 17h45Octobre : du mardi au dimanche de 10h30 à 13h15 et de 14h15 à 16h45

VILLA DOMERGUE : pas d’exposition en ce moment

A NE PAS MANQUER

Renseignements pratiques : 15 avenue de Fiesole. 06400 Cannes Tél : 04 97 06 44 90 tous les jours de 11h à 19h. ou centredartlamalmaison@villedecannes.fr

Horaires : tous les jours de 11h à 19h, Villa Domergue et ses jardins, Impasse Fiesole, 15 avenue Fiesole, 06400 Cannes. Tarifs : 6/3 euros

SUQUET DES ARTISTES : Exposition Ce lieu donne l’opportunité à des artistes cannois de vivre leur passion et permet de développer l’esprit créatif et artistique du Suquet tout en valorisant le travail des artistes locaux.

Installé dans les locaux insolites de l’ancienne morgue de la ville, cet atelier de 850 m2 accueille quatre artistes plasticiens reconnus : Olivier Domin, dit OLLL, Richard Ferri-Pisani, Grégory Berben et Olivia Paroldi.

A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Suquet des Art(iste)s - Résidence d’artistes 7 rue Saint-Dizier 06400 Cannes. ENTREE LIBRE Juin : samedi et dimanche de 10h30 à 13h et de 15h à 20h, Juillet / août : tous les jours de 10h30 à 13h et de 15h à 20h, Septembre / novembre : samedi et dimanche de 10h à 13h et de 14h à 18h

LE CANNET

MUSEE BONNARD/collections permanentes + exposition temporaire :

BONNARD/ UNE SAISON AUTOUR DU : NU ORANGE

Les Collections

DU 23 NOVEMBRE 2019 AU 7 JUIN 2020 : Organisée selon un axe chronologique tout en ménageant des

rapprochements entre dessins, sculpture ou photographie et peintures, le parcours de l’exposition souhaite

apporter une vision renouvelée de l’artiste et montrer comment Pierre Bonnard a fait de son travail « quelque

chose de personnel » pour aboutir aux œuvres de la maturité réalisées au Cannet.

Dans une scénographie repensée intégrant le tout nouveau tableau entré cette année dans les collections du

musée Nu orange vers 1943, le visiteur est convié à un voyage autour des sujets favoris du peintre : l’époque

de La Revue blanche, vie intérieure, nus, natures mortes et  paysages.

NU ORANGE,de retour en France

Réalisée vers 1943, cette œuvre solaire et énigmatique est tout à fait atypique dans la production de

Bonnard. Elle présente le dernier modèle de Bonnard, Moucky Vernay,  après le décès de Marthe. Elle est très

proche des œuvres de fin de vie de l’artiste où le peintre oscille entre figuration et abstraction entre intérieur et

extérieur brouillant les lois de la perspective tout en entretenant un dialogue essentiel avec la Nature.

Son acquisition vient en contrepoint des deux dessins préparatoires que le musée possède. Presque inédite, Nu

orange n’a été présentée en France qu’une seule fois lors d’une exposition il y a près de 20 ans. Son retour en

France est une redécouverte patrimoniale majeure.

  De nombreuses activités sont proposées par ce musée consultez leur site pour les dates

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 16 boulevard Sadi Carnot 06110 LE CANNET Côte d'Azur -

FRANCE

+33 (0)4.93.94.06.06 www.museebonnard.fr

CARROS

CENTRE INTERNATIONAL D’ART CONTEMPORAIN : EXPOSITION :

Geneviève Roy, Les terres proches : jusqu’au 12 janvier 2020« Dans la beauté, je marche

Avec la beauté devant moi, je marcheAvec la beauté derrière moi, je marche

Avec la beauté au-dessus de moi, je marcheAvec la beauté au-dessous de moi, je marche

Avec la beauté tout autour de moi, je marche. » 

Extrait du Chant de la Voie de la Nuit «Sa’ah naaghéi, Bik’eh hózhó – Dans la beauté, je marche » en langue navajo, donné par Lorenza Garcia dans le livre de Frederika Van Ingen, Sagesses d’ailleurs pour vivre aujourd’hui, Éditions des Arènes, 2016,ssues d’une exploration approfondie et de longues marches sur le plateau karstique de Saint-Barnabé, situé au col de Vence, les œuvres de Geneviève Roy réunies dans cette exposition offrent une lecture inédite du paysage. Sa pratique simultanément contemplative et active aide à forger un regard différent sur des territoires que l’on croit connaître, dans une démarche intuitive et créative qui multiplie les échelles et implique une approche non conventionnelle de notre positionnement dans l’espace et le temps.Pour Geneviève Roy, la facture photographique sert de matière première pour révéler une nouvelle image ; la réalisation du tirage argentique en chambre noire fait partie intégrante de sa réflexion et de sa création artistique. Par ailleurs, le parcours de l’exposition offre une grande diversité de techniques, de formats et de supports, afin de créer une dynamique de vision ouverte et quasi-cinématographique du sujet.Dans ce travail nourri d’un riche arrière-plan littéraire et philosophique, elle tend également à rechercher les liens qui subsistent avec les peuples qu’on nomme en anthropologie les « peuples racines ». Enfin, en s’éloignant de la prise de vue d’origine, l’artiste révèle d’autres points de vue, de manière à la fois expérimentale et poétique, remettant en question la façon dont nous pensons la nature.Frédérik Brandi

 Un centre d'art atypique : Point de rencontre singulier entre la création artistique et le patrimoine historique, le Centre international d’art contemporain prend place depuis 1998 dans le château médiéval de Carros. Rouvert fin 2010 après une

deuxième phase de travaux, il offre également au public de précieux vestiges ornementaux.

Le CIAC développe une politique d’expositions temporaires monographiques et thématiques, à la fois représentatives des artistes de la région et de la création internationale. Dans le même temps, sa mission de soutien à la création se développe grâce à des résidences d’artistes. Parallèlement, le CIAC dispose d’une collection de plusieurs centaines d’œuvres reflétant la création sur la Côte d’Azur au cours des dernières décennies.

 Les actions du CIAC de Carros bénéficient du soutien du ministère de la culture et de la communication (Direction régionale des affaires culturelles de Provence-Alpes-Côte d’Azur), du conseil régional Provence-Alpes-Côte d’Azur et du conseil départemental des Alpes-Maritimes.

A DECOUVRIR

du mardi au dimanche :

10h-12h30 et 13h30-17h

- Durant les fêtes de fin d'année, le CIAC est fermé au public du 23 décembre 2019 au 1er janvier 2020 inclus.

- Durant le changement d'exposition entre le 13 janvier et le 7 février 2020, ouvert du mardi au samedi, accès limité aux salles du rez-de-chaussée. Réouverture complète le samedi 8 février pour le vernissage.

 ENTRÉE LIBRE - FREE ENTRANCE Fermé le lundi et les jours fériés.Site internet : www.ciac-carros.fr

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Château de Carros, place du Château 06510 Carros. Tel : 04 93 29 37 97. www.ciac-carros.fr ou ciac@ville-carros.fr . Ouvert de 10h à 12H30 et de 14h à 17H30, fermé le lundi et jours fériés. ENTREE LIBRE.

FERMETURE DU CENTRE : du 13 janvier au 8 février.

GRASSE :

MUSEE INTERNATIONAL DE LA PARFUMERIE : EXPOSITION DES COLLECTIONS PERMANENTES+ exposition temporaire : La fabuleuse histoire de l'Eau de Cologne : 21 juin 2019 – 05 janvier 2020Le Musée International de la Parfumerie organise durant l’été 2019 une exposition consacrée à l’eau de Cologne, avec le soutien scientifique et financier de l’ARMIP. Traversant les siècles depuis sa création en 1709, l’eau de Cologne fait partie aujourd’huides incontournables de la parfumerie, un véritable exercice de style auquel se livre chaque parfumeur, en y ajoutant sa touche personnelle. Ses notes hespéridées d’agrumes et de romarin la rendent rafraîchissante, tonique, dynamique, légère.

De tous les parfums, l’eau de Cologne possède une structure olfactive évidente, lisible, compréhensible par tous, inscrite dans la durée et dans l’histoire de la parfumerie. Elle est un parfum d’une haute technicité et pourtant très simple à réaliser, ce qui ne signifie pas facile à faire. Elle se joue du dandy, de l’aristocrate, du punk, du banquier, de l’ouvrier ou du bourgeois. Elle n’a pas de genre et concerne tous les milieux sociaux.

À l’image de l’eau de Cologne, l’exposition donnera une place importante aux maisons de parfumerie françaises et européennes (allemandes, italiennes, espagnoles, anglaises)… Elle est l’occasion pour le Musée International de la Parfumerie de présenter au public sa riche collection de flacons, d’affiches, de boîtes à savons dans leur contexte historique et stylistique. Ces collections seront enrichies de prêts institutionnels et privés, notamment auprès des maisons de parfumerie historiques afin de compléter cette approche sociologique et artistique. Des dispositifs muséographiques interactifs contextualiseront les collections présentées et permettront d’élargir le discours aux cinq sens : vidéos, projections, bornes interactives, points olfactifs et tactiles. L’exposition proposera aux personnes atteintes de déficience visuelle un parcours adapté à l’aide de matériels spécialement conçus. Un cheminement tactile et olfactif ponctuera l’espace de l’exposition, permettant de s’approprier le discours de manière ludique. En partenariat avec le service des publics, une riche programmation événementielle (spectacles, conférences, ateliers) permettra d’approfondir les thématiques relatives à l’exposition.

COMMISSARIAT GÉNÉRAL : Jean-Claude Ellena, Compositeur de parfums, ancien Parfumeur Hermès, Président de l’ARMIP COMITÉ SCIENTIFIQUE : Olivier Quiquempois, Conservateur du patrimoine, Directeur des musées de Grasse Grégory Couderc, Attaché de conservation, Musées de Grasse Nathalie Derra, Chargée des expositions et du mécénat, Musées de Grasse Cindy Levinspuhl, Chargée des expositions et des projets muséographiques, Musées de Grasse Chloé Fargier, Documentaliste, Musées de Grasse

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ 2 Boulevard du Jeu de Ballon, 06130 Grasse - Tél. +33 (0) 4 97 05 58 00 ou activites.musees@paysdegrasse.fr Parkings payants : Cresp - La Foux TARIF : Entrée plein tarif : 6€

LES JARDINS DU MUSEE INTERNATIONAL DE LA PARFUMERIE : pas d’exposition en ce moment

LES JARDINS DU MUSÉE INTERNATIONAL DE LA PARFUMERIE979 chemin des Gourettes, 06370 Mouans-Sartoux – France Tél. : +33 (0)4.92.98.92.69Parking gratuit TARIF : Entrée plein tarif : 4€

MUSEE FRAGONARD/ Collections permanentes. Prochaine exposition en cours de montage

A NE PAS MANQUER

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/Ouvert 7j/7j de 10h00 à 18h00 Visite et entrée libres. Musée Fragonard .Collection Hélène et Jean-François Costa.Hôtel de Villeneuve, 14, rue Jean Ossola 06130 Grasse. France. Tél: 04 93 36 02 0

MUSEE D’ART ET D’HISTOIRE DE PROVENCE : Collections permanentes.

A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 97 05 58 14 ou activites.musees@paysdegrasse.fr

ISTRES/

CENTRE INTERCOMMUNAL D’ART CONTEMPORAIN/ EXPOSITION : FUULGURATION/ DU 28/09 AU 25/01 : Une exposition en partenariat avec la saison du dessin : Paréiodolie : plusieurs grands artistes contemporains. Cette exposition collective permet de faire le lien entre des expositions ayant eu lieu au Centre d’art contemporain depuis 26 ans et la Collection de l’Artothèque intercommunale qui s’est constituée en lien avec des artistes invités au Centre d’art. Traversant plusieurs mouvements, qu’elle soit libre, narrative, expressive, réaliste ou engagée, la figuration présente une forme de continuité tendant vers l’intemporel, que ce soit dans la peinture, le dessin ou le volume, abordant des thèmes populaires, iconiques ou bien traditionnels. Les œuvres témoignent de sa richesse d’expression, se réinventant encore et encore : distorsion, pastiche, militantisme, autobiographie. Le parcours d'exposition embrasse une création prolixe qui établit des liens entre générations d’artistes. C’est un rendez-vous avec l’Histoire de l’Art qui continue à s’enrichir d’une création actuelle avec une cinquantaine d’artistes représentés, des prêts issus de partenariats publics et privés (l'Artothèque intercommunale, La Villa Tamaris, le Fonds Régional d’Art Contemporain de Marseille, des artistes et des collectionneurs). L’exposition est inscrite dans la Saison du Dessin. Valerio ADAMI - Gilles AILLAUD - Pierre ALECHINSKY- Karel APPEL - Eduardo ARROYO - Pierre BENDINE BOUCAR - Denis BRUN - Jean Paul CHAMBAS - Frédéric CLAVERE - Léonardo CREMONINI - Henri CUECO Hervé DI ROSA - Luc DOERFLINGER - Anthony DUCHENE - EQUIPO CHRONICA – ERRO - Lucio FANTI Laurence FAVORY - Gérard FROMANGER - Antonio GAGLIARDI - Jean HELION - Philippe HUART - Art KELLER Peter KLASEN - Yves KLEIN - Yvan LE BOZEC - Jean LE GAC - Philippe MAYAUX - Myriam MECHITA - Ivan MESSAC - François MEZZAPELLE - Jacques MONORY - OBJECTAL - Florence OBRECHT - Raphaëlle PAUPERT BORNE - Nicolas PINCEMIN - Jaume PLENSA - Alain PUECH - Bernard RANCILLAC - Paul REBEYROLLE - Alain SECHAS - Peter STAMPFLI - William

SWEETLOVE - Djamel TATAH - Hervé TELEMAQUE - Vladimir VELICOVICK Jean Luc VERNA - Jacques VILLEGLE

Salle 1 La Figuration au fil du dessin Cette salle graphique présente une grande diversité d’œuvres liées à la figuration : dessin, collage, sérigraphie, lithographie, papiers déchirés, études préparatoires, autant d’œuvres qui témoignent de la diversité des techniques employées. Ici, la figuration s’emploie à montrer la permanence du dessin (y compris chez les peintres) et la survie des formes classiques. La persistance du trait et du contour s’alliant à de nouvelles expressions pour une figuration parfois lyrique, poétique ou gothique, qui engendre mouvement et fragilité, avec un goût pour l’inachevé et l’intime.

Salle 2 Figures et défigurations picturales La figuration est libre de déconstruire les formes, de composer avec les différents plans en les superposant, de déconstruire les visages et de les hybrider si nécessaire, dans une invention de formes permanentes. La peinture exprime une joie de figurer, de répéter, inverser, évider les formes avec des aplats de couleurs vives. Elle personnifie, s’évade dans les paysages ou les corps, inscrivant le temps dans la fixité des images. Le figuratif sous-tend l’idée de narration, par la représentation de personnages, de portraits, de figures d’action, sans utiliser réellement les codes du récit. Par des collages synthétiques, par la répétition du motif, par la série, il crée chez le spectateur une évocation narrative.

Salle 3 Bestiaires et créatures Les différentes sensibilités autour de la figuration ont parfois fait naître des mouvements identifiables et ce depuis les années 60 : nouvelle figuration européenne, figuration narrative, figuration libre ou tout simplement des sensibilités individuelles chez la nouvelle génération d’artistes créant des ramifications et des filiations qui continue à tisser un paysage visuel riche et expérimental. Cette intemporalité est présente dans le bestiaire où elle s’exprime sous de multiples formes. Le règne animal inspire, encore et toujours, la création en sculpture, en broderie ou en peinture avec humour ou bien avec un certain académisme. À partir de ressources scientifiques ou de visions fantasmées, l’animal est une source d’inspiration produisant des œuvres ludiques voire carrément étranges.

Salle 4 Peinture libertaire et rebelle Dans la figuration, l’image est au centre du débat artistique, que l’on rejette la tradition en peinture ou que l’on prône la résistance à

l’ordre social ou bien encore la dénonciation de la société de consommation. Les artistes balisent la figuration dans la représentation et continuent à inventer et à expérimenter la figure à travers mythes, récits, utilisant les citations historiques s’appropriant le monde et ses célébrités, de Disney à l’iconographie chrétienne, le panel d’intervention est large, intergénérationnel et intemporel. La référence à des événements historiques, le rapprochement d’éléments culturels divers voire éloignés composent un certain nombre d’œuvres de la figuration. L’intérêt pour la représentation de la femme, le traitement érotique des visages correspond aussi à la libération sexuelle depuis les années 60. Les mots interviennent aussi dans l’espace de la toile comme des slogans, le figuratif tend alors vers le discours pictural, comme un coup de poing aux idées conservatrices, un contrepoint poétique face à l’ordre social.

AUTOUR DE L’EXPOSITION :

VISITE + ATELIER DE PRATIQUE ARTISTIQUE Le Centre d’art propose d’ouvrir ces visites aux personnes sourdes ou malentendantes. Lors de chaque exposition une visite suivie d’un atelier de pratique artistique seront menés par la médiatrice culturelle du Centre d’art accompagnée d’une interprète en Langue des Signes Française (LSF). Voir leur site pour les jours et heures

SOIREE CONFERENCE + FILM Art & figuration Histoire-s et actualité-s Partenariat avec le Cinéma Le Coluche Conférence menée par Laurent Cucurullo Suivi du film Pierrot le fou réalisé par JL Godard Réservation et paiement auprès du cinéma - 4,60 € Le Jeudi 9 janvier à partir de 18h30

POUR ALLER PLUS LOIN ! ﴿ Dans les médiathèques du Conseil de Territoire Istres Ouest Provence D’octobre à décembre 2019 / Retrouvez une sélection d’œuvres du Fonds de l’artothèque sur la Figuration ﴿ Art’Bribus : Retrouvez certains des artistes de Fuulguration !! dans l’art urbain Istréen avec les Art’Bribus. Ce projet est basé sur la rencontre entre la culture et la politique de la ville, la vie des quartiers. Il s’agit d’installer durablement la création dans le cadre de vie, au plus près du quotidien, et ainsi de permettre à tous les publics, y compris les plus éloignés du fait artistique, de contempler des œuvres d’art. En 2013, ce sont les grands noms de la peinture contemporaine qui ont accepté d’intégrer le proje t: Ricardo MOSNER, Jacques VILLEGLE, Robert COMBAS, Hervé DI ROSA et ROBERT CRUMB.

Centre d’art contemporain intercommunal 2 rue Alphonse Daudet - 13800 Istres 0442551710 - centredart.istresouestprovence@ampmetropole.fr Les expositions sont ouvertes au public : Du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30 Le samedi de 10h à 12h et de 15h à 18h Entrée libre et gratuite

www.ouestprovence.fr / www.centredartcontemporainintercommunalistres

.business.site Facebook : centredart.istresouestprovenceatampmetropole.fr/ Le Centre d’art contemporain est adhérent à Marseille Expo depuis 2017

Situé dans un hôtel particulier, il a ouvert ses portes en 1993. Ses caractéristiques particulières - un escalier central desservant quatre salles d’exposition aux formes atypiques - ont incité

l’intercommunalité à consacrer ce lieu au développement de l’art contemporain sur son territoire. Le caractère historique marqué de ce lieu du XVIIe siècle est mis en résonance avec l’art d’aujourd’hui afin d’offrir au public un accès privilégié à l’art contemporain gratuit. Le Centre d’art contemporain

intercommunal accueille une programmation de deux à trois expositions par an. Ses missions s’articulent autour de deux axes : l’exposition de la création vivante et des actions de transmission de l’art contemporain avec le service de médiation au service de tous les publics. L’une des missions du Centre d’art contemporain est la médiation des expositions et des œuvres par le biais de visites et

d’ateliers. A chaque exposition des médiations et des ateliers à l’attention des scolaires mais aussi de groupes sont organisées. Sur RDV auprès de l’accueil du Centre d’art ou par mail auprès de :

stephanie.lamy@ampmetropole.fr Cette année le Centre d’art propose d’ouvrir ces visites aux personnes sourdes ou malentendantes. Lors de chaque exposition une visite sera menée par la

médiatrice culturelle du Centre d’art accompagnée d’un interprète en Langue des Signes Française.

Nouveautés 2018 : Pour chaque exposition une vidéo 360° d’une des salles d’exposition est réalisée et visible par QR CODE ou sur : www.hdmedia.fr/visite-virtuelle/hd/cbpxdpHDq-centre-

dartcontemporain-istres-13.html

A découvrir absolument

Vous pourrez également retrouver à l’intérieur de la plaquette de saison 2018/2019 un QR CODE présentant le Centre d’art et sa programmation annuelle dans une vidéo en LSF.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Centre d’art contemporain 2 rue Alphonse Daudet 13800 ISTRES ENTREE GRATUITE tél : 04 42 55 17 10 ou centredart@ouestprovence.fr

Ouvert du Lundi au Vendredi de 8H30 à 12H30 et de 13H30 à 17H30, le samedi de 8H30 à 12h et de 15h à 18h.

CHAPELLE SAINT SULPICE : / Exposition : ERIC TRAVERSARI PHOTOS : jusqu’au 19 décembre Amoureux de sa région et passionné de photographie, Eric Traversari aime

capturer les instants magiques qui sont parfois éphémères. " Photodidacte " comme il aime à le dire, il s'émerveille et apprend toujours au gré de ses déambulations, au coeur de sublimes paysages qui s'offrent à lui.“J'aime capter, à travers mon objectif, un reflet, une couleur, une sensation, une émotion ou une histoire... La photographie nous délivre parfois des images tellement merveilleuses qu'elles nous paraissent irréelles...”.

Renseignements pratiques/ Organisateur

CHAPELLE SAINT-SULPICE :Chemin De Tivoli13800 ISTRES Tél : 06 33 41 44 61|04 42 55 50 83

LE REVEST DES BROUSSES

SAINT-JEAN DES ARTS : Une exposition et des concerts à la campagne, dans les paysages magnifiques du Luberon, le lieu à lui seul vaut le déplacement.

A DECOUVRIR

Ouvert tous les jours de 15 h à 19 h ou sur rendez-vous. Informations/ adresse Campagne

St Jean. Le Revest des Brousses Tel  06 15 47 42 49 Nous sommes installés en pleine campagne dans la partie Est du Luberon (Alpes de Haute Provence) à: 8 km de Banon, 20 km de Forcalquier, 25 km de Manosque, 35 km d’Apt, 45 km de Sisteron, 70 k d’Aix en Provence, 90 km d’Avignon Saint-Jean-des-Arts 04150 Revest

des Brousses

http://www.saint-jean-des-arts.fr Nous contacter: par mail :  contact@saint-jean-des-arts.fr

;LE THOR

LA BASTIDE ROSE/MUSEE PIERRE SALINGER/ Pas d’exposition en Hiver /.

La Fondation Poppy et Pierre Salinger accueille des sculpteurs et plasticiens, de renommée internationale dans

ses jardins pendant l’été.

Un lieu superbe et des œuvres de très grands artistes A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : OUVERT de 14H30 à 18H30 tous les jours sauf le mardi LA BASTIDE

ROSE, 99 Chemin des Croupières par le Chemin des Coudelières. 84250. Tel : 04 90 02 14 33 ; Tarifs:

Entrée individuelle : 8 euro. Gratuit pour les enfants de moins de 10 ans. Entrée Groupe : 5 € par personne (8

personnes minimum) Le billet donne accès au Musée Pierre Salinger ainsi qu'aux expositions dans les Jardins de

la Bastide Rose.

MENERBES

MAISON DE DORA MAAR : La dernière demeure de celle qui fut un temps la compagne de Picasso

et où il y a de temps à autre des expositions

GALERIE PASCAL LAINE/exposition d’hiver en cours de montage

Renseignements pratiques : 5, rue Sainte Barbe84560 Ménerbes France ouvert du lundi au samedi 10h30-12h30 et 15h30-19h30fixe +33 (0)4 90 72 48 30 port +33 (0)6 61 89 74 12e-mail gpl.gordes@orange.fr

MARTIGUES

MUSEE ZIEM : EXPOSITION  DE LA COLLECTION PERMANENTE+ exposition « Alain Lambilliotte - Entre les lignes »

L'exposition sera visible jusqu’au 2 février 2020 inclus : Le musée Ziem en partenariat avec le Palais de l'archevêché et les Alyscamps à Arles vous présentent la nouvelle exposition « Lambilliotte  Première rétrospective à lui être consacrée, l'exposition du musée Ziem abordera, avec plus de soixante dix oeuvres, toutes les étapes du travail de l’artiste.Formé à l'école des Beaux-Arts de Montpellier, Alain Lambilliotte développe une oeuvre forte et singulière depuis les années 70. Des premiers dessins à ses dernières créations, dans lesquelles l'artiste revient à des supports traditionnels, il n'a jamais cessé d'interroger l'acte de peindre et de créer. Mêlant techniques et matériaux, fantaisie et grande rigueur, son travail transcende toute classification et précéda souvent les questionnements de ses congénères. Epris de liberté, il ne suivra aucun courant et n'intégrera aucun groupe, bien trop amoureux de son indépendance.Présent dans les collections du Musée d'art moderne de la ville de Paris et du Centre Pompidou - Musée national d'art moderne dès les années 80, il sera exposé de nombreuses fois en France et en Allemagne mais, refusant toutes mondanités, privilégiera toujours la tranquillité de son atelier dans lequel il ne cesse de s'interroger et d'interroger l'acte créatif.

Première rétrospective à lui être consacrée, l'exposition du musée Ziem abordera,

avec plus de soixante dix oeuvres, toutes les étapes du travail et des réflexions

menées par l'artiste et mettra en exergue l'importance et la pertinence de sa

production, parfois pleine d'humour, qui reflète avant tout le plaisir de créer.

La ville d'Arles, partenaire de cette exposition, présentera également des oeuvres

d'Alain Lambilliotte au Palais de l'archevêché et aux Alyscamps du 19 octobre au 2

février.

Visites commentées de l'exposition à 16h, les dimanches 20 octobre, 17 novembre,

29 décembre, 19 janvier et 2 février.

Visites à la demande sur rendez-vous : en famille, entre amis ou un petit groupe (à

partir de 5 personnes).

Visite guidée pour les groupes et les scolaires tous les jours sur réservation.

Ateliers enfants (à partir de 6 ans) : "Place à l'imaginaire !". Tous les mercredis de

10h à 11h30, en période scolaire.

Ateliers adultes : tous les jeudis, de 14h à 15h30 (sauf vacances scolaires).

Stages (6-12 ans) et ateliers (4-5 ans) pendant les vacances scolaires de l'académie

Aix-Marseille.

Pour les publics en situation de handicap : ateliers tactiles et sensoriels, visites

commentées en langue des signes française.

Pour tous publics : déjeuner au musée, anniversaires, ateliers sensoriels, visites les

yeux fermés, cycle de conférences, ateliers et stages de sensibilisation à l'histoire de

l'art.

Le musée est labellisé "charte du Môm'Art" :elle a pour but d'aider les musées, les

muséums, les sites culturels à améliorer leur accueil et leurs services pour les

familles.

Entrée gratuiteA VOIR ABSOLUMENT

Activités : Nouveauté ! Le rendez-vous des familles. Vous avez envie d'emmener vos enfants ou vos petits-enfants au musée mais vous n'y connaissez rien en art...Pas de panique, le musée est là pour vous accompagner...Autour d'un thé ou d'un café, Aurélien vous présentera les jeux que nous avons imaginé pour passer un moment sans stress et s'amuser avec les oeuvres...

.Ateliers adultes

Le musée Ziem propose un atelier pour les adultes ouvert à tous niveaux. Son objectif est de vous permettre de découvrir les œuvres du musée. A chaque séance, vous découvrirez nos collections de façon privilégiée (croquis devant les œuvres par exemple), avant d'expérimenter différentes techniques plastiques.

Tous les jeudis de 14h à 15h30. Gratuit.

Informations pratiques Entrée et activités gratuites, ateliers et jeux pour les enfants pendant les vacances d’Hiver.

Téléphonez au musée pour s’y inscrire. Horaires.o Du 1er septembre au 30 juin, le musée est ouvert tous les jours de 14h à 18h sauf les lundis et

mardis.o Renseignements et inscriptions au 04 42 41 39 60

Contact Tél : 04 42 41 39 60 Courriel : musee@ville-martigues.fr Adresse :o Musée Ziem o 9 Boulevard du 14 juillet

Autour de l'exposition : En lien avec l'exposition, des visites commentées ainsi que des moments particuliers, comme des déjeuners au musée mais aussi différentes formes d’ateliers d’initiation à l’histoire de l’art et aux pratiques plastiques sont proposées aux publics enfants et adultes.

L'atelier du mercredi matin. Le musée Ziem propose des ateliers spécialement conçus pour les enfants les mercredis de septembre à juin. Ils permettent au jeune public de découvrir les collections et les expositions temporaires du musée Ziem et de réaliser une création en rapport avec les œuvres abordées en visite.

Quand ? Les ateliers enfants sont ouverts tous les mercredis en période scolaire de 10h à 11h30 Modalités. Activité gratuite, accessible aux enfants à partir de 6 ans, renseignements au 04 42 41

39 50 

Ateliers ponctuels pour les enfants pendant les vacances : L’objectif principal de ces ateliers ponctuels organisés pendant les vacances scolaires est de sensibiliser les enfants à l’art de manière ludique tout en développant leur imagination et leur créativité A VOIR ABSOLUMENT.

Informations pratiques Entrée et activités gratuites

Horaires. Du mercredi au dimanche de 14h à 18h. Le musée est ouvert du 1er septembre au 30 juin tous les jours de 14h à 18h sauf les lundis et mardis. Renseignements et inscriptions au 04 42 41 39 60 Contact/ Tél : 04 42 41 39 50 Courriel : musee@ville-martigues.fr. Adresse : Musée Ziem Boulevard du 14 juillet Tél : 04 42 41 39 60. Autour de l'exposition : visites guidées et ateliers pour les enfants

SAINT MARTIN DE CRAU :Maison de la chasse et de la nature : collections permanentesRenseignements pratiques : Maison de la chasse et de la nature : ENTREE LIBRE Mas de la Samatane-RN 113. Tel : 04 90 55 12 56

MARSEILLE :

ALCAZAR BIBLIOTHEQUE DE MARSEILLE : PAS D’EXPOSITION en ce moment

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ENTREE LIBRE ouvert du mardi au samedi de 11h à 19h (fermée Lundi et dimanche). ALCAZAR Bibliothèque de Marseille : salle d’exposition 1e étage. 58 cours Belsunce.13001 Marseille. Tel : 04 91 55 90 00 ou bmvr.marseille.fr

DOCKS VILLAGE : ESPACE 200 : pas d’exposition en ce moment

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Les Docks Village 10 place de la Joliette, 13002 Marseille : Ouverture de 10h à 19h. ENTREE LIBRE

CENTRE DE LA VIEILLE CHARITE/ EXPOSITION des collections permanentes+ Exposition temporaire : DU HASARD AU SUBLIME jusqu’au 23 février 2020 : exposition sur deux sites : LA VIEILLE CHARITE et LA FRICHE DE LA BELLE DE MAI : De la tâche à la ligne pure, de l'automatisme au mathématisme, l'exposition déroule une typologie chronologique du hasard comme processus créatif à travers les plus importants courants et ar*stes de la seconde moitié du XIXème siècle à nos jours : Victor Hugo, Edgar Degas, Marcel Duchamp, Man Ray, Max Ernst, Jackson Pollock, César, Niki de St Phalle, Wassily Kandinsky, Jean Arp, Kurt Schwi4ers, Brassaï, Salvador Dali, Oscar Dominguez, Jean Dubuffet, Jacques de la Villeglé, François Dufrêne, Arman, Yves Klein, Gerhard Richter, Ellsworth Kelly, François Morellet, Aurélie Nemours, Calder, Michel Blazy, Robert Filiou, Jesus-Rafael Soto… Comme par hasard ! En parallèle le Préau des Accoules, musée des enfants, propose une histoire du jeu de l’Antiquité à nos jours, à travers les collections des Musées de Marseille.

De Victor Hugo et ses paysages fantastiques et Georges Sand avec ses « dentrites » en passant par les Cadavres exquis des Surréalistes et jusqu’aux artistes contemporains actuels, tout ce que le hasard peut apporter d’imprévu et enrichir ainsi une œuvre d’art.

Du hasard au sublimeIl est la tache d’encre de Victor Hugo, l’hésitation d’une impression d’un monotype de Degas, un coup de dés de Mallarmé, qui jamais n’abolira le hasard. L’ivresse d’une oeuvre d’art.A l’inverse de l’enseignement artistique, l’intervention du hasard dans le processus créatif de l’oeuvre permet à l’artiste de se libérer des règles de la représentation. L’accidentel, l’aléatoire, la trouvaille vertueuse, les sculptures involontaires, les coulures, les compressions, font émerger un répertoire de formes libres menant au sublime dans l’incertitude du geste.Se substituant à l’incarnation de dieu, le tremblement hasardeux devient l’une des composantes symptomatiques de la modernité. Cette magie de l’aléa devient le sujet même d’une oeuvre idéale, géniale, peinte sans aucune intervention de la pensée. Le hasard révèle le rôle démiurgique de l’artiste alchimiste, guidé par la sérendipité des réactions chimiques de la matière.A l’opposé des « anartistes », certains inventent des protocoles, confiant leurs sens aux pouvoirs anonymes de la méthode mathématique. Ils utilisent le concept de l’aléatoire comme un cadre scientifique au travers duquel ils se soustraient à la gestuelle du peintre, créatrice d’une géométrie toujours incertaine, voire bancale.De la tache à la ligne pure, de l’automatisme au mathématisme, l’exposition déroule une typologie chronologique du hasard comme processus créatif à travers les plus importants courants et artistes de la seconde moitié du XIXème siècle à nos jours.Cette première partie de l’exposition s’achèvera dans la Chapelle de Pierre Puget avec la présentation de l’installation de Robert Filliou « Eins, Un. One… » composée de 16 000 dés de couleur posés sur la même face, en écho au poème de Stéphane Mallarmé, « Un coup de dés jamais n’abolira le hasard ».Un parcours en deux sites

Organisé de manière chronologique, le parcours du Centre de la Vieille Charité s’attache à faire émerger différentes techniques ainsi expérimentées par les artistes de 1850 à 1980.

Il se poursuit à la Friche la Belle de Mai à travers des oeuvres contemporaines de 1970 à nos jours provenant du [mac] musée d’Art Contemporain, du FRAC-PACA, du Fonds communal d’art contemporain de Marseille, du CIRVA Centre International du Verre et des Arts plastiques, de collections particulières, de galeries, ainsi que de productions d’oeuvres inédites d’artistes travaillant à Marseille ou en résidence à la Friche la Belle de Mai.

Par Hasard, vol. 2 - Friche la Belle de Mai

Le parcours se poursuit à la Friche la Belle de Mai à travers des oeuvres contemporaines de 1980 à nos jours provenant du [mac], FRAC-PACA, Fonds communal d'art contemporain de Marseille, CIRVA, de collections particulières, de galeries et de productions d'oeuvres inédites d'artistes travaillant à Marseille ou en résidence à la Friche la Belle de Mai.Le parcours se déploie en 10 sections : Ordre / Désordre / Feu / Eau / Air / Terre / Rencontre / Trouvaille / Jeu / Poussière.

Un volet pour les enfants au Préau des Accoules

A découvrir du 10 octobre au 4 juillet :   À qui le tour ? le jeu, toute une histoire...

Programmation culturelle autour de l'exposition

►Sur le site du Centre de la Vieille Charité Visites

Visites individuelles commentées- 22 octobre au 19 décembre inclus : du mardi au dimanche 15h30 + samedi et dimanche 11h -  4 au 30 janvier 2020 inclus : du mardi au jeudi 15h30 + samedi et dimanche 11h-  5 au 20 février 2020 inclus : mercredi + jeudi 15h30 + samedi et dimanche 11hTarifs : adulte, 3€ + droit d’entrée à l’exposition / enfant de 12 à 18 ans, 1.50€

> Visites contées  mercredis  18 décembre 2019 et 19 février 2020, samedi 4 janvier 2020 à 14hTarifs : adulte, droit d’entrée à l’exposition / enfant, entrée et animation gratuiteDe 6 à 12 ans (présence d’un parent obligatoire) – Sans réservation> Théâtre d’ombres et de papier avec Des Bleus et des verssamedis 26 octobre, 21 décembre 2019, samedi 22 février 2020  à 14hTarifs : adulte, droit d’entrée à l’exposition / enfant, entrée et animation gratuiteDe 6 à 12 ans (présence d’un parent obligatoire) – Sans réservation

 Ateliers enfants, avec Polly MaggooAteliers ludiques et participatifs qui permettront au jeune public de croiser les sciences fondamentales et les arts plastiques autour de la notion d’aléatoire, d’imprévisible, de probabilité...Mercredi 23 octobre 2019 , vendredi 3 janvier 2020, mercredi 19 février 2020  de 9h30 à 12h30 ou 14h à 17hSamedi 22 février 2020 à 14h30 :  présentation du travail réalisé par les enfants lors

des séances d’ateliers suivie d’un goûter. Réservation conseillée . Salle Le Miroir. Entrée libre dans la limite des places disponibles.Tarifs : adulte, droit d’entrée à l’exposition / enfant, entrée gratuite + 4 € pour l'atelier (- de 5 ans : 1.50 €)De 7 à 12 ans (présence d’un parent obligatoire) – Sur réservation

Evènements

> Un coup de déProposition de l’Ensemble C Barré :  spectacle déambulatoire pour comédienne, guitariste, percussionnistes et dispositifs interactifsSamedi 14 décembre 2019 - Happenings à 12h, 14h15, et 16h, salles de l’exposition  et le 18 janvier 2020 au musée Cantini, dans les salles de l’exposition Man Ray et la mode« Le hasard, l’aléatoire, le jeu, la mode, sont autant de notions qui nous inspireront pour la création de notre spectacle, spectacle qui pourra être déambulatoire, interactif avec le public, et qui pourra se décliner en plusieurs versions s’attachant à différentes œuvres exposées aux Musées Cantini et de la Vieille Charité.» Sébastien Boin, Directeur artistique de l’Ensemble C BarréCo-création de : François Rossé - compositeur et claviers, Catherine Germain - comédienne, clown Arletti, Thomas Keck - guitariste , Claudio Bettinelli - percussionnisteTarif : droit d’entrée à l’exposition

> Les Ego – Armées  Proposition de Corinne Sérapion, performance poétique / théâtre d’objets le samedi 11 janvier 2020 à 16hTarif : droit d’entrée à l’exposition 

Conférences

mercredi 12 février 2020 de 9h à  18h : Les chemins du hasard. L’aléatoire et le variable dans l’art du XXe siècle. Journée d'étude organisée : un partenariat Aix-Marseille Université / TELEMMe, Services de musées de Marseille, Centre Norbert Élias.Tarif : Entrée libre dans la limite des places disponibles. Projections

Salle Le Miroir – Centre de la Vieille CharitéAvec Marseille Objectif Danse

 Samedi 11 janvier 2020 à 17h : Walk around Time 51’ [hommage au Grand Verre de Duchamp], Scramble, 1968  35’ [décor et costumes Franck Stella] et Exchange, 1978, 40’ [décor et costumes Jasper Johns]Tarif : Entrée libre dans la limite des places disponibles Sur le site de la Friche la Belle de Mai

Visites individuelles commentées

- les samedis à 14h30 public en famille – à 16h30 : adultes- les dimanches à 15h : tout publicTarifs : billet d’entrée dans l’expositionConférences

Par les musées de Marseille, Opera Mundi et la Friche la Belle de Mai.> 22 janvier 2020 : Temps et hasard, par Guillaume Lecointre, professeur au Muséum national d’Histoire naturelle et Nicolas Gauvrit, spécialiste des sciences cognitives15h45- 17h : Atelier philo 7-12 ans et atelier adultes Philosophes Publics17h-18h : Conférence tout public au Grand Plateau à partir de 7 ans.18h-19h : Atelier philo adultes par Philosophes Publics19h-20h15 : Conférence adultes au Grand Plateau. A partir de 15 ans20h15 : Apero MundiEntrée libre dans la limite des places disponibles. Programme détaillé sur www.opera-mundi.org Evènements

> Créations culinaires par Emmanuel Perrodinproduction Grandes Tables – I.C.IDepuis 2017, Emmanuel Perrodin avec I.C.I-Les grandes Tables, introduit au sein des musées des scénarii culinaires. Visites, dîners, performances, ateliers ont ainsi pu nourrir les expositions de Pablo Picasso, Sophie Calle, Erwin Wurm ou la réouverture du jardin des vestiges du musée d’histoire. Par hasard, il introduira du 25 octobre au 23 février la cuisine sur le plateau dédié à l’exposition à la Friche la Belle de Mai en collaborations avec des artistes exposés.Contact: Camille Savoye / camille@ici-culture.org

> Marseille Objectif Danse- 17 janvier 2020 : Tom Johnson, Conférence avec répétition- 18 janvier 2020 : Esther Ferrer, L’art de la performance  et  Mallarmé revisitéEntrée libre, dans la limite des places disponibles.(horaires à préciser)  www.marseille-objectif-danse.org Sur réservation au 04 95 04 96 42 ou  resa@marseille-objectif-danse.org

Beaucoup d’animations diverses autour de cette exposition consultez leur site pour les jours et heures

Informations pratiques

Par HasardDu 18 octobre 2019 au 23 février 2020

►Centre de la Vieille Charité2 rue de la Charité (2)Du mardi au dimanche de 9h30 à 18h (sauf  1er janvier, 1er et 11 novembre, 25 et 26 décembre)► Friche de la Belle de Mai41 rue Jobin (3e)Du mercredi au vendredi de 14h à 19hSamedi et dimanche de 13h à 19h

Renseignements et programmation détaillée :Tél : 04 91 14 58 56 - musees.marseille.frTél : 04 95 04 95 95 - www.lafriche.org

 A VOIR ABSOLUMENT.

MUSEE D’ARCHEOLOGIE MEDITERRANEENNE/1er étage de la Vieille Charité. Nouvelle muséographie de l’espace dédié au Proche-Orient bassin méditerranéen : un parcours sociologique et géo-thématique pour mieux connaître les civilisations antiques, ce qu’elles ont apporté et laissé en héritage à l’humanité. De la naissance de la cité aux premiers alphabets, de l’invention du verre à la technique des céramiques grecques, de la polychromie omniprésente sur toutes les œuvres antiques aux techniques de fontes les plus élaborées : inventions encore en usage de nos jours, détaillées et illustrées par une collection riche de 400 pièces. Avec un discours novateur, le musée établit plus explicitement le lien entre histoire antique et histoire immédiate.

EXPOSITION : FOCALE SUR LE NIL : SALLE DU MUSEE D’ARCHEOLOGIE MEDITERRANEENNE

Les pionniers de la photographie et leurs successeurs Septembre 2019 – janvier 2020 La photographie, comme l’archéologie apparaît dans le courant du XIXe siècle. Ainsi la diffusion du procédé photographique est concomitante au développement scientifique des « fouilles » et d'une nouvelle conscience patrimoniale. L’objectif est de montrer les interrelations entre ces deux « sciences » naissantes.

MAAOA : COLLECTIONS PERMANENTES EN CE MOMENTA VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : www.vieille-charité.org: Sahara, mondes connectés 10

mai au 1er septembre 2019 Musée d’Arts Africains, Océaniens, Amérindiens (MAAOA)

Centre de la Vieille Charité – Marseille 2, rue de la Charité – 13002 Marseille 04 91 14 58 38

maaoa@marseille.fr maaoa.marseille.fr facebook.com/MAAOA Marseille Horaires

d’ouverture Du mardi au dimanche de 9h30 à 18h00 Tarifs Tarif plein : 9 € Tarif réduit : 5 €

Gratuité pour le public des établissements scolaires et des centres sociaux Visite commentée :

3 € Visite commentée en famille : 4 € Visite-atelier : enfant 4 € / adulte 10 € Moyens de

paiement : espèces, cartes bancaires, chèques Réservations Au musée au 04 91 14 58 86 / 38

ou maaoa@marseille.fr À l’office du tourisme pour les groupes adultes payants au 04 91 13

89 03 / 04 91 13 89 06 Autres Librairie éphémère Centre de documentation : consultation sur

RDV Café Accès Métro ligne 1 : arrêt Colbert Métro ligne 2 : arrêt Joliette Tramway ligne 2

et 3 : arrêt Sadi-Carnot ou République-Dames Bus lignes 35, 49, 55 : arrêt Joliette Parkings :

Phocéens, Vieux-Port Fort Saint-Jean, République, La Joliette Ascenseur Accès véhicule pour

les personnes à mobilité réduite sur demande

MUCEM : EXPOSITIONS :

GIONO / JUSQU’ AU 17 FEVRIER 2020 : À la veille des commémorations du cinquantenaire de sa disparition, le Mucem présente une grande rétrospective consacrée à Jean Giono (1895-1970). Loin de l’image simplifiée de l’écrivain provençal, cette exposition suit le trajet de son œuvre écrite et filmée en lui rendant toute sa noirceur, son nerf et son universalité. Poète revenu des charniers de la Première Guerre mondiale, Giono s’est en effet autant attaché à décrire la profondeur du Mal qu’à en trouver les antidotes : création, travail, pacifisme, amitié des peintres, refuge dans la nature, évasion dans l’imaginaire.Pour donner chair à l’un des artistes les plus prolifiques du XXe siècle, la quasi-totalité de ses manuscrits, exposée pour la première fois, entre en dialogue avec près de 300 œuvres et documents : archives familiales et administratives (dont celles de ses deux emprisonnements), correspondances, reportages photographiques, éditions originales, entretiens filmés, ainsi que tous les carnets de travail de l’écrivain, le manuscrit de son Journal de l’Occupation, les films réalisés par lui ou qu’il a produits et

scénarisés, les adaptations cinématographiques de son œuvre par Marcel Pagnol et Jean-Paul Rappeneau, les peintures naïves du mystérieux Charles-Frédéric Brun qui lui inspira Le Déserteur, et les tableaux de ses amis peintres, au premier rang desquels Bernard Buffet.En écho à ces traces matérielles de la vie et de la création, l’exposition explore la symbolique cachée au plus profond de l’œuvre de l’écrivain à travers quatre installations d’art contemporain, créées spécialement pour ce projet.

Commissariat : Emmanuelle Lambert, écrivaine, auteure de Giono, furioso (Stock, septembre 2019)Conseil scientifique : Jacques Mény, président de l’Association des amis de GionoScénographie : Pascal RodriguezCatalogue en coédition avec les Éditions GallimardAvec le soutien de Mutuelles du SoleilDans le cadre de l’Année Giono, avec la Ville de Manosque / DLVA

Toutes ces expositions sont assorties de très nombreuses activités, souvent en entrée libre, consultez le site du Mucem pour leurs dates et profitez-en.RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 84 35 13 13 ou reservation@mucem.org

FORT SAINT JEAN

MASSILIA TOYS Une collection de jouets de MarseilleDu 5 décembre 2019 au 1 mars 2020

Mucem, fort Saint-Jean— Galerie haute des Officiers

Qui se souvient qu’autrefois, Marseille fut le centre d’une véritable petite industrie du jouet ? Entre les traditionnelles savonneries, huileries ou autres minoteries, la cité phocéenne a vu s’épanouir plusieurs dizaines de fabriques de jouets, comme autant d’usines à rêves, dont les productions merveilleuses étaient destinées à garnir sapins de Noël et cours de récré : voitures de course, camions de pompier, avions, trains mécaniques, jeux optiques, dînettes, toupies, panoplies, flippers, poupées, pistolets électriques…L’exposition « Massilia Toy » présente près de 500 jouets créés à Marseille entre la fin du XIXe siècle et la fin des années 1970. Une collection rare, réunie par deux brocanteurs passionnés, Christophe Feraud et Bruno Cirla, dans le souci de faire perdurer la mémoire de ces petits chefs-d’œuvre de l’artisanat et de l’industrie locale.

Guidée par un extraordinaire « Voyageur interplanétaire », l’exposition propose un parcours ludique à travers les différentes salles de la Galerie haute des officiers du fort Saint-Jean, à la découverte de ces jouets vintage « made in Marseille ». Afin de témoigner de la richesse de ce patrimoine oublié, elle présente aussi une sélection d’archives audiovisuelles, de catalogues et de publicités ; sans oublier la reconstitution de l’atelier d’un fabricant de jouets, ainsi que l’évocation de la vitrine d’une célèbre enseigne, qui devrait rappeler des souvenirs à bien des Marseillais !

—Commissariat : Christophe Feraud et Bruno Cirla—Scénographie : Olivier Bedu – Struc Archi 

KHARMOHRA/L'Afghanistan au risque de l'artDu 22 novembre 2019 au 1 mars 2020

Mucem, fort Saint-Jean— Bâtiment Georges Henri Rivière (GHR)

Focus sur la jeune création contemporaine afghane. Avec le soutien de l'Ambassade de France en Afghanistan et l'Institut français d'Afghanistan. Une exposition rare et indispensable, car elle démontre que même sous des régimes bânissant les images, elles reviennent en force et sont plus que jamais d’une force signifiante. BRAVO à tous ces artistes afghans dont les œuvres sont toutes d’une grande pertinence et aussi porteuses de ce qu’il y a de plus beau et de permanent dans leur culture.Depuis 2001, une nouvelle génération d’artistes a vu le jour en Afghanistan, après 20 ans de guerres et un régime taliban hostile aux formes artistiques et aux pratiques culturelles. Toutefois, le contexte de paix retrouvée a rapidement basculé vers celui d’une insécurité croissante : à Kaboul comme dans d’autres villes du pays, les talibans font de nouveau régner la peur. Les attentats, nombreux, ciblent notamment les lieux culturels ; les artistes font souvent l’objet de menaces. Ces derniers, pourtant, ont choisi de ne pas se taire.L’exposition « Kharmohra » présente une soixantaine d’œuvres parmi les plus originales et représentatives de cette jeune génération d’artistes qui travaillent ou ont travaillé dans ce contexte. À travers photographies, peintures, vidéos, installations, calligraphies et contes, elle donne à voir et à entendre l’étrange et complexe dialogue qui se noue entre ces artistes, hommes et femmes, et une situation d’insécurité permanente.

Chacun à leur manière, ils expriment l’horreur des attentats et d’une mort omniprésente dans l’espace public. Chacun à leur manière, ils racontent leur quotidien dans un territoire devenu hostile à ses habitants avec ses murs de sécurité, ses barbelés, ses routes barrées et autres checkpoints. Refusant l’oppression et le contrôle des mœurs d’une société traditionnelle en décalage total avec leur soif de liberté, ils provoquent et résistent. Non sans humour, ils se font l’écho des aspirations de tout un pays en quête d’une paix et d’une sécurité toujours promises et jamais atteintes.

— Commissariat : Guilda Chahverdi, coordinatrice de projets culturels et artistiques, directrice de l’Institut français d’Afghanistan (2010-2013)— Conseil scientifique : Agnès Devictor, maître de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, chercheuse à l'HICSA (Histoire culturelle et sociale de l'art)— Scénographie : Anaïde Nayebzadeh

Avec le soutien de l'Ambassade   de France en Afghanistan  et l'Institut français d'Afghanistan

A VOIR ABSOLUMENT

LE HASARD DE A à Z/Dés et destinDu 18 octobre 2019 au 23 février 2020

Mucem, fort Saint-Jean— Salle des collections

Un abécédaire aussi imprévisible qu’inattendu, composé à partir des collections du Mucem. A comme «   aléa   », B comme «   boule de cristal   », C comme «   chance   », D comme «   destin   »… Les multiples manifestations du hasard se déploient en 26   lettres à travers l’exposition «   Le Hasard de   A à   Z   »   : un abécédaire aussi imprévisible qu’inattendu, composé à partir des collections du Mucem.

Comment les civilisations d’Europe et de Méditerranée ont-elles, jusqu’à nos jours, appréhendé la notion de hasard   ? Quels objets ont- elles imaginés pour s’assurer des bonnes grâces du destin   ? Amulettes, dés, main de Fatma, fer à cheval, horoscope… Le Mucem a puisé dans ses réserves les plus étonnants témoignages de la façon dont les hommes ont, de la Renaissance à nos jours, tenté de prévoir et déjouer les jeux de la Fortune et du Hasard.

Entre chat noir et mauvais œil et entre bonne étoile et baraka, un parcours ludique au sein des collections du Mucem, proposé en écho à l’exposition «   Par hasard   », présentée au Centre de la Vieille Charité et à la Friche la Belle de Mai.

Commissariat   : Caroline Chenu, chargée de recherches et de collections au MucemCONNECTIVITES : GALERIE DE LA MEDITERRANEE : une nouvelle exposition de la collection permanente qui illustre le thème des relations entre les grandes cités portuaires de la Méditerranée des XVIe et XVIIe siècles : Istanbul, Alger, Venise, Gênes, Séville, Lisbonne, entre documents historiques et photos actuelles de ces cités, deux parcours, ancien et contemporain, qui éclairent la mondialisation et le commerce maritime actuel.

A VOIR ABSOLUMENT

Tel : 04 84 35 13 13 ou reservation@mucem.org

VILLA MEDITERRANEE/ pas d’exposition en ce moment

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Horaires : Du mardi au vendredi de 12h à 18h Samedi, dimanche de 10h à 18h Entrée libre

MUSEE CANTINI : » EXPOSITION DES COLLECTIONS PERMANENTES+ MAN RAY ET LA MODE/ JUSQU’AU 8 MARS 2020 Là aussi une exposition sur deux sites : LE MUSEE CANTINI où sont exposées les photos de Man Ray et quelques robes de l’époque et LE CHATEAU BORELY (département de la Mode) où sont présentées les robes de l’époque : LA MODE AU TEMPS DE MAN RAY. Les deux expositions sont superbes et très représentatives de l’époque d’entre deux guerres.

« …je voulais lier l’art à la mode » Man Ray.

L’exposition met en lumière un aspect méconnu du travail de Man Ray, qui renouvela la photographie de mode et lui conféra une dimension expérimentale, faite d’inventivité technique et d’une liberté de ton inédite, venue de l’art de la scène et de la vie culturelle contemporaine. Les compositions, recadrages, jeux d’ombres et de lumière, solarisations, colorisations sont autant d’innovations qui contribuent à la création d’images durant les développements de la photographie des années 1920 et 1930, dont Man Ray fut l’un des éminents représentants. L’exposition du Musée Cantini « Man Ray, photographe de mode » réunit environ 200 photographies

et permet d’aborder l’enrichissement réciproque qui existe entre les projets artistiques de Man Ray et ses photographies de mode et publicitaires.

En contrepoint de ce volet de l’exposition, le Château Borély Musée des Arts décoratifs, de la faïence et de la mode propose un parcours sur deux étages consacré à « La Mode au temps de Man Ray ». Centrée sur l’entre-deux-

guerres, l’exposition offre une vision large de la mode, avec des modèles griffés de maisons prestigieuses et des chroniques mondaines, extraites de magazines numérisés. Celles-ci montrent que la mode, ce n’est pas que des vêtements ! C’est avant tout une attitude, une manière d’être, que Man Ray a su capter à merveille.

Une autre version de cette exposition sera présentée au musée du Luxembourg à Paris du 9 avril au 26 juillet 2020

Beaucoup d’animations autour de cette exposition dont beaucoup sont en entrée libre, consultez leur site pour les jours et heures.

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Musee Cantini : 19 rue Grignan Marseille 13006 Tarif : 5/3euros : Tel : 04 91 54 77 75 ou musee-cantini.marseille.fr

Ou dgac-musee-cantini@mairie-marseille.fr

MUSEE GROBET LABADIE : Les riches collections permanentes. Le Musée Grobet-Labadié propose aux visiteurs la richesse et la variété de ses collections permanentes, ainsi qu’une exposition-dossier autour du centenaire de la donation (1919 - 2019). AUTOUR DES COLLECTIONS VISITES COMMENTÉES > Sur réservation : 04 91 55 33 60 - chateauborely-musee@marseille.fr

Centre Photographique de Marseille : POUVOIR(S) SAMMY BALOJI, YAEL BARTANA, VALÉRIE BELIN, NOBUYOSHI ARAKI, .../JUSQU’AU 11 JANVIER 2020 : Domination, Engagement, Séduction.

Fermé du 24 décembre au 2 janvier inclus.

Exposition présentée par le Centre Photographique Marseille dans le cadre de L’engagement, une manifestation nationale organisée par le réseau Diagonal en partenariat avec le Cnap et le soutien du ministère de la Culture-DGCA et de l’ADAGP.

Commissariat : Erick GudimardLe Centre Photographique Marseille présente Pouvoir(s), une exposition qui explore les notions de pouvoir, de contre-pouvoir, de minorité, de majorité, de séduction, de dissidence, de « collaboration », de marginalité ou d’avant-garde, dans tous les domaines de la représentation par la photographie et par l’image.Des œuvres majeures de la collections sont convoquées et correspondent avec des pièces d’artistes émergents. Depuis les figures de Patrick Faigenbaum, Valérie Belin ou Pierre Gonord, jusqu’au expérimentations de Sammy Baloji, Barbara Kruger ou Stéphanie Solinas, en passant par les « instants volés » d’Alain Bizos, Pierre Boulat, Jean-Pierre Charbonnier ou Paul Fusco, l’exposition montrera autant à voir les icones du pouvoir que leurs anonymes victimes.Qu’ils agissent par représentation directe, réinterprétation ou critique ouverte, les artistes présenté.e.s utilisent l’image pour l’image afin de dénoncer, désarmer ou faire prendre conscience. Chaque œuvre est considéré comme une étape d’un parcours expliquant les facettes multiples des situations d’exercice des différents types de pouvoirs. Le pouvoir esthétique d’une œuvre pouvant aussi servir de démonstration. La question finale de la proposition étant la puissance réelle de l’art, le pouvoir réel des artistes.

L’ensemble des œuvres sont issues des collections de photographie du Centre national des arts plastiques.

Artistes :Sammy Baloji, Yael Bartana, Valérie Belin, Nobuyoshi Araki, Alain Bizos, Pierre Boulat, Jean-Philippe Charbonnier, Patrick Faigenbaum, Simohammed Fettaka, Leonard Freed, Paul Fusco, Pierre Gonnord, Emmanuel Guibert, Hocine, Jean Christophe, Serge Kliaving, Karen Knorr, Barbara Kruger, Olivier Menanteau, Nickolas Muray, Bill Owens, Andres Serrano, Stéphanie Solinas, Yang Fudong, Zhuang Xiao.

L’entrée des expositions est gratuite, les contributions volontaires sont les bienvenues.

A DECOUVRIR ABSOLUMENTDe nombreuses activités seront prévues autour des expositions consultez le site du musée pour leurs dates.

A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : adresse : 74 rue de la Joliette Marseille. Tel : 0491 90 46 76 ou www.centrephotomarseille.fr ou contact@centrephotomarseille.fr

Ouvert du mercredi au Samedi de 14H à 19H. Ouverture certains dimanches de février (voir leur site)

PALAIS LONGCHAMP/ MUSEE DES BEAUX ARTS /COLLECTION PERMANENTE

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

EN DECEMBRE / LES 150 ANS DU PALAIS LONGCHAMP : En 2019 cela fera 150 ans que le musée des Beaux-arts a quitté la Chapelle des Bernardines pour s’installer au Palais Longchamp inauguré en 1869. C’est l’occasion d’un nouvel accrochage de la collection avec la présentation de chefs d’œuvre restaurés qui sortent des réserves et dont certains n’étaient pas présentés depuis plus d’un demi-siècle.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18H M° Ligne 1 station Cinq Avenues-Longchamp. T2 : arrêt Longchamp. Tel : 04 91 14 59 50 ou www.musees.marseille.fr

MUSEUM D’HISTOIRE NATURELLE (dans le Palais Longchamp): Exposition :

HISTOIRES DU MUSÉUM 200 ANS DE CURIOSITÉS jusqu’au 26 avril 2020 :

A l'occasion de son bicentenaire, la nouvelle exposition temporaire du Muséum revisite plus de deux siècles d'enrichissement des collections. Entre dons, achats, échanges et collectes, le Muséum de Marseille, au carrefour des cultures et des espaces naturels de l'Europe et de la Méditerranée, possède de remarquables curiosités naturalistes et patrimoniales, secrets et de la vie politique, économique et scientifique depuis le début du XIXème siècle. Les petites histoires de quelques pièces phares, comme le thylacine, la girafe, l’æpyornis, l'éléphant, le mosasaure, ou encore le gecko, spécimen unique qui sortira de ses réserves, nourrissent l'Histoire des sciences et l'évolution du rapport de l'Homme et de notre société à l'animal et à la nature. Des photographies d'archives viendront compléter le discours et les pièces exposées

A VOIR ABSOLUMENT recommandé pour les enfants.

MUSEE DES ARTS DECORATIFS CHATEAU BORELY/ exposition Pour l’automne : MAN RAY ET LA MODE jusqu’au– 23 janvier 2020 L’exposition présentera un aspect méconnu du travail de Man Ray, artiste majeur qui renouvelle la photographie de mode alors strictement documentaire. Introduit auprès des artistes dadaïstes puis surréalistes, très vite il devient photographe pour Paul Poiret, Elsa Schiaparelli, Coco Chanel, travaillant également pour Harper’s Bazaar mais aussi Vanity Fair, Vogue. L’exposition permettra d’aborder les va et vient permanents qui existent entre « l’art pour l’art » et les productions assujetties à une commande. Cette exposition présentera entre 160 et 180 tirages vintage de Man Ray, presque autant de revues (Vogue, Baazar etc.) et entre 30 et 50 modèles et accessoires de mode. Photographe majeur associé au sujet de la mode participera à la visibilité renouvelée du musée des arts décoratifs et de la mode au château Borély. Les collections de mode du musée Borély feront écho aux photographies présentées en lien avec l’esprit Man Ray. Ce4e thématique devrait remporter un grand succès auprès du public.

Visites commentées des collections permanentes et expositions temporaires : le dimanche à 15h sauf le 1er dimanche du mois. Visites publiques individuelles : 3 euros // enfant de 12 à 18 ans : 1,50 euro // enfant de moins de 12 ans : gratuit. Le tarif de la visite s'ajoute à celui du droit d'entrée au musée.

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 91 55 33 60/64 ou château-borely-musee@mairie-marseille.fr

MUSEE D’HISTOIRE DE MARSEILLE : Collections permanentes+ EXPOSITION :

À table avec les Marseillais   : 7000 ans de bonnes manières…PROLONGEE JUSQU’AU 29 MARS 2020

Aux côtés de l’exposition « On n’a rien inventé ! », le service archéologique du musée d’Histoire de Marseille propose de dresser le couvert et de faire découvrir les us et coutumes liés à l’art de la table, à Marseille, de ses plus lointaines origines à nos jours. Cette présentation, en forme de clin d’œil, est l’occasion de mettre en exergue quelques trésors cachés du musée d’Histoire et du dépôt de fouilles archéologiques de la ville. Chaque période a ses savoir-faire, ses savoir-vivre, ses ustensiles et sa vaisselle de cuisine et de table. Provenant pour la plupart de fouilles archéologiques, les objets sélectionnés, assiettes, pichets, écuelles, marmites…, témoignent de l’évolution des mœurs culinaires. Le choix d’une longue chronologie, du VIe millénaire av. J.-C. à l’aube du XXIe siècle, et le caractère « mondialisé » des contacts marseillais, est aussi l’occasion d’évoquer une histoire de l’alimentation méditerranéenne à travers quelques produits phares, introduits progressivement à la table des Marseillais. Grains de blé, noyaux d’olives et de pêches, pépins de raisins et de figues, graines de courges, pommes de pins, vertèbres de thons, fleurs de tomates, sont autant de témoignages archéologiques et historiques qui attestent l’arrivée de produits qui vont transformer durablement le régime alimentaire des Marseillais. Certains contenants certifient aussi de façon indirecte la consommation de nouveaux produits. L’apparition de la « tasse » à Marseille, à la fin du XVIIe siècle, par exemple, révélerait la vulgarisation de la consommation du sucre, du café et du chocolat. En matière de gastronomie, les Marseillais n’ont pas été en reste. « Soupe de poissons », « pieds et paquets », « bouillabaisse », « coquillages » ont constitué entre autres les spécialités de la ville. La « bouillabaisse », aujourd’hui célèbre dans le monde entier, était à l’origine un plat de pauvre dont on se régalait au cabanon. En s’embourgeoisant, elle est maintenant servie dans des plats de qualité. Il n’y a guère que la pizza, introduite à Marseille par les Napolitains, qui garde son usage populaire et que l’on mange avec les

doigts après en avoir acheté une part au camion-pizza… inventé à Marseille par Louis Méritan en 1962 !

Une exposition-dossier conçue en partenariat avec l'INRAP. Beaucoup d’activités sont proposées dans le cadre de cette exposition. Voyez leur site pour les rendez-vous.

A VOIR ABSOLUMENT RECOMMANDE POUR LES SCOLAIRES

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/2, RUE HENRI-BARBUSSE ; 13001 MARSEILLE ; TÉL: 04 91 55 36 00

EXPOSITION/ QUARTIER DE LA CAYOLLE : 15 Septembre 2019 – février 2020 SÉQUENCE 13

Le musée d’Histoire, en partenariat avec le CIQ Les Hauts de Mazargues – La Cayolle et le GIP MRU, propose une exposition dossier évoquant l’histoire récente du quartier de la Cayolle et du camp du Grand Arénas de 1944 à nos jours. Ce4e exposition aborde deux thématiques principales que l’on peut retrouver à l’échelle de la ville et même au-delà durant la période des Trente Glorieuses : l’histoire des migrations avec l’arrivée de plusieurs communautés sur ce site (indochinois, juifs tunisiens et marocains avant leur départ pour l’Israël, immigrés maghrébins…) et l’évolution urbaine et de l’habitat à partir de 1945 (installations d’urgence après 1945 de bâtiments en forme de demi-cylindres dues à Fernand Pouillon, bidonvilles, cités de relogement, puis mise en place de ZAC dans le cadre des politiques récentes de rénovation urbaine).

EXPOSITION/ TERRES Escales mythiques en Méditerranée : 15 Novembre 2019 – juillet 2020 exposition en partenariat avec la BNF : Marseille, première ville de Gaule, grecque de surcroît, et premier port sur la Méditerranée a été la porte d'entrée principale de la civilisation grecque et de sa redécouverte à l'époque moderne. Sur 350 m² l’exposition valorisent des vases exceptionnels conservés dans le plus ancien musée de France (le Cabinet des Monnaies et Médailles) mais rarement exposés au public. Ces vases entrent en résonance avec des fragments découverts à Marseille dans des contextes archéologiques et sont probablement passés par Marseille à leur arrivée de Grèce à l'époque Moderne. Cette exposition est aussi l'occasion de voir comment les grands mythes grecs voyagent eux-mêmes et s'imposent dans un contexte gaulois puis Français.

A VOIR ABSOLUMENT et RECOMMANDE POUR LES SCOLAIRES

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tarif : plein 9€ | Réduit 5€Jusqu’au 2 septembre, du mardi au dimanche de 10h à 18hAu Musée d’Histoire de Marseille2 rue Henri Barbusse, 13001 Marseille Tel : 04 91 55 36 00 M°1 Vieux Port entrée libre. web : musee-histoire.marseille.fr mail : musee-histoire@marseille.fr

MUSEE REGARDS DE PROVENCE : LA PROVENCE DE GIONO/ jusqu’au 16 février 2020, le Musée Regards de Provence met à l’honneur « La Provence de Giono » dans le cadre du cinquantenaire de la disparition de Jean Giono. C’est l’occasion d’une grande rétrospective « Giono » au Mucem et de l’exposition « Lucien Jacques. Le sourcier de Giono » au Musée Regards de Provence, en coproduction avec le Mucem. Un grand nombre des ouvrages de Giono ont pour cadre le monde paysan provençal. Selon lui, la nature y est belle, mais aussi cruelle, destructrice et purificatrice : l'Homme en fait partie, mais elle n'est pas l'Homme.

Cette exposition, dont l’ensemble des œuvres est issu de la collection de la Fondation Regards de Provence, réunit près de 70 toiles des XIX° et XX° siècles. Elle propose un voyage dans le temps à travers la campagne provençale et met en lumière le pays natal de Giono par la beauté et le réalisme des œuvres des peintres de l’Ecole des Paysagistes de Marseille.

Marseille, les Bouches du Rhône, le Var, le Vaucluse, leurs paysages, leurs villages emblématiques et les campagnes avoisinantes sont autant de lieux qui fascinent par leur particularité, leur lumière, leurs coloris et par la joie, la sympathie et l’accent des provençaux qui les animent. Au milieu du XIXème siècle, les artistes commencent à peindre sur le motif donnant une autre vision de la nature et des scènes de la vie quotidienne.Au fil des toiles, nous croisons la Provence vivante ou sauvage qui est représentée par Auguste Aiguier, Marius Barthalot, Paul Guigou, Théodore Jourdan, Emile Loubon, Adolphe Monticelli, …. Des sites paisibles et sereins où la nature domine par sa splendeur, sa pureté et sa force et où l’homme et ses animaux s’y unissent au quotidien. Les artistes amoureux de la nature comme Honoré Boze, Joseph Cabasson, Paul Guigou ou François Simon,…, recherchent et retracent la sérénité, la majesté de ses paysages et s’émerveillent devant ces scènes pastorales, comme les lavandières, la transhumance, la chasse et les ramasseuses de lavande ou de bois.  Ils composent dans leurs peintures des ambiances réalistes, naturalistes marquées d’un certain romantisme.

LUCIEN JACQUES « LE SOURCIER DE GIONO/ jusqu’au 16 février :  en parallèle de l’exposition GIONO au Mucem, le Musée Regards de Provence coproduit avec le Mucem l’exposition sur Lucien Jacques (1891-1961) dont le commissaire est Jean-François Chougnet, son Président, et met en perspective ses thèmes de prédilection permettant de rendre justice à la force et au talent de cet artiste pluridisciplinaire.L’exposition bénéficie du concours de l’Association des amis de Lucien Jacques et du soutien de Durance Lubéron Verdon Agglomération (DLVA).Le catalogue est coédité avec Actes Sud, avec trois lettres inédites de Jean Giono à Lucien Jacques.Le Musée Regards de Provence coproduit avec le Mucem l’exposition monographique consacrée à Lucien Jacques, concomitante de l’exposition « Giono » au Mucem, dévoilant les multiples facettes d’un artiste pluridisciplinaire, souvent évoqué en tant que découvreur de Jean Giono. Première collaboration entre le Mucem et Regards de Provence avec un billet couplé Giono & Jacques.

On a souvent lu et vu Lucien Jacques (1891-1961) à travers l’amitié singulière de Jean Giono. Cette exposition ne peut échapper totalement à ce regard, elle entend pourtant montrer une autonomie de l’œuvre de Lucien Jacques. Il ne s’agit pas d’une rétrospective, mais de proposer des thèmes permettant de rendre justice à la force et au talent de Lucien Jacques et à son œuvre foisonnante.

Graveur, peintre, poète, tisseur à ses heures perdues et prolifique éditeur, sont autant d’étiquettes employées pour décrire l’activité de Lucien Jacques. Si ce fervent pacifiste est souvent associé à travers les textes de Giono dont il a publié à partir des années 1920, cette exposition permet de rendre compte de la densité de production de cet amoureux des lettres.

De son activité d’aquarelliste encensée par Jacques Prévert, à sa position de directeur de revues, en passant par ses écrits poétiques et gravures sur bois, Lucien Jacques est en effet l’auteur d’une œuvre protéiforme, enrichie de l’emploi continu de diverses techniques. Lettres inédites de sa correspondance avec Giono, dessins, photographies et documents d’archives constituent la trame de cette exposition, à l’image de cette personnalité volatile et persévérante tout à la fois.

L’exposition est coproduite par le Musée Regards de Provence et le Mucem, avec le concours de l’Association des amis de Lucien Jacques et le soutien de Durance Lubéron Verdon Agglomération (DLVA).

Le catalogue est coédité avec Actes Sud sous la direction de Jean François Chougnet, Président du Mucem et commissaire d’exposition, avec trois lettres inédites de Jean Giono à Lucien Jacques et les textes de Jean Giono et Jacques Prévert, ainsi que les contributions de Jean François Chougnet, Jacky Michel, Jacques Mény, Roger Sailles et Claude Teston (128 pages à 25€).

Informations pratiques et Visites Regards de Provence & MucemMusée Regards de Provence : Ouvert tous les jours sauf le lundi de 10h à 18h.Mucem : Ouvert tous les jours sauf le mardi de 11h à 19hBillet couplé Expositions Giono et Lucien Jacques   : Plein tarif uniquement 11   euros   En vente en ligne ou dans les deux muséesProfitez de l’offre spéciale groupes Mucem/Regards de ProvenceInformations pratiques et Visites Regards de ProvenceTarif normal 3 expositions : 6,50 € – Tarifs réduits : 5,50 € – 4,70 € – 2 € – Gratuit pour le Pass Musées Marseille et City Pass Marseille.Visites commentées de Lucien Jacques et La Provence de Giono pour groupes uniquement : tarif d’entrée + 7€ /pers., du mardi au samedi sur réservation.Réservation au info@museeregardsdeprovence.com ou 04 96 17 40 40CES DEUX EXPOSITIONS SONT A VOIR ABSOLUMENT DANS LE CADRE GENERAL DE CETTE CELEBRATION DE L’ŒUVRE DE GIONO.

DANS LA FONDATION / RETROSPECTIVE HENRI PERSON/Du 5 octobre 2019 au 3 mai 2020Le Musée Regards de Provence met à l’honneur l’œuvre d’Henri Person qui, tout au long de sa vie, a construit son œuvre sur les thèmes qui lui sont chers comme les bateaux, la mer, les arbres qui la bordent et les petits villages du littoral méditerranéen. Dans cette grande première rétrospective, près de soixante-dix peintures et aquarelles sont réunies  issues des collections de la famille, de prêts de musées, de galeries et de collectionneurs privés.

Le jeune peintre arrive à Saint-Tropez au début des années 1900, alors petit hameau de pêcheurs au charme pittoresque qui rencontrera ensuite le grand succès que lui connait. Il y retrouve Paul Signac et les deux artistes se lient d’une amitié indéfectible malgré leur différence d’âge et partagent à la fois leur passion pour la peinture et  pour la navigation et la mer, possédant même un bateau en copropriété, baptisé Le Sinbad.

C’est à l’occasion d’un voyage ensemble à Constantinople en 1907, que le jeune Person, conseillé par le maître, adopte durablement la technique divisionniste. Son tempérament plus discret et plus doux que Signac se traduit dans l’adaptation de la palette et il semble prendre progressivement quelque distance avec le divisionnisme pour se rapprocher du groupe de jeunes peintres qui ont découvert Saint-Tropez au début des années 1900, notamment Henri Manguin, Albert Marquet ou Charles Camoin. Sensibilisé par Signac, Person nous restitue de subtiles et poétiques aquarelles dans lesquelles battent le cœur de la Méditerranée, son esprit et sa chaleur.

Le Musée Regards de Provence met à l’honneur le peintre Henri Person (1876-1926) par la rétrospective regroupant près de 70 œuvres, issues des collections de la famille de l’artiste, de prêts de musées, de galeries et de collectionneurs privés. L'occasion de rendre hommage à l'œuvre délicate et pleine de lumière de cet artiste, qui fut l'ami de Paul Signac avec qui il partagea, tout au long de sa carrière à la fois son amour de la peinture et de la navigation. La Méditerranée fût une source inépuisable d’inspirations pour cet artiste, enthousiasmé par le pointillisme et la quiétude des eaux du port de Saint-Tropez.Henri Person, né le 23 février 1876, dans une famille bourgeoise d’Amiens, a suivi une solide formation à l’École des Beaux-arts de Paris avant de prendre un atelier dans la capitale. Lorsqu’il arrive à Saint-Tropez au début des années 1900, c’est un petit hameau de pêcheurs au charme pittoresque, qui ne jouit pas encore de la prestigieuse popularité qui lui sera ensuite attachée. Portant volontiers la vareuse parmi les pêcheurs du port, l’artiste, en faisant de Saint-Tropez son port d’ancrage, a trouvé son sujet de prédilection : la mer et l'activité humaine qu'elle suscite. Il peint de nombreuses marines qui tiendront une place majeure dans son oeuvre pleine de lumière méditerranéenne et de couleurs éclatantes. Depuis la fin des années 1880 la côte méditerranéenne attire peintres, écrivains et poètes en quête de lumière, d'idéal et de la paix, loin de la grisaille de Paris, Normandie ou Bretagne. Cette descente dans le Sud marque un temps fort de l'histoire de l'art et fait de Saint-Tropez un haut lieu d'avant-garde. Elle initie une nouvelle phase du néo-impressionnisme qui succède à la peinture divisée de Georges Seurat. Henri Person travaille aux côtés de Paul Signac, Henri Edmond Cross ou Jean Peské. A la peinture divisée, réalisée autour de Seurat dans les années 1880-1890 succède une peinture aux touches plus larges sous l'impulsion de Signac et de Cross et qui a pour fief Saint-Tropez et le Midi. Ce second néo-impressionnisme, plus libre dans l'application des principes du divisionnisme, comprend des artistes comme Peské et Person. Celui-ci affiche une nette prédilection pour les paysages de bord de mer et l'activité qui s'y joue. A l’occasion d’un voyage à Constantinople aux côtés de Signac en 1907, le jeune artiste avait adopté la technique du divisionnisme. Cependant, Person, qui n’a rien d’un théoricien, interprète cette technique avec une grande liberté, l’adaptant à son caractère, à son propre sens de l’harmonie colorée, développant une poétique de la couleur plutôt qu’une logique de la couleur, suggérant plus le paysage qu’il ne le représente. Sur la toile, la touche, vibrante et fragmentée, s’étire peu à peu et l’orientation variable des touches au sein d’une même composition lui confère un puissant dynamisme. Ce dynamisme est parfois contredit par la palette, qui dans certaines peintures, tend à effacer le sujet comme pour le mettre à distance. A DECOUVRIR ABSOLUMENT

Le Musée est ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h. Tarif normal 2 expositions : 6,50 € – Tarifs réduits : 5,50 € – 4,70 € – 2 € – Gratuit pour le Pass Musées et City Pass.

Les visites commentées • Visite commentée gratuite, hors groupes, sur réservation le samedi à 10h30 : tarif d’entrée uniquement (6 à 25 personnes maximum)• Visites commentées pour les groupes sur réservation du mardi au samedi : tarif d’entrée + 6 € / personne (6 à 30 personnes max.)• Visites commentées, hors groupes, sur réservation : mardi et samedi à 15h : tarif d’entrée + 6 € / personne (6 à 30 personnes max.).

// PROGRAMMATION HORS EXPOS //A teliers d’art plastique  Le Musée Regards de Provence propose des ateliers d’art plastique animés par la plasticienne, diplômée des Beaux-arts, Frederika von Maltzahn. Les participants sont amenés à « vivre » les tableaux et à expérimenter différentes techniques d’expression artistique.Frais de participation : 9 € (7 à 12 ans) / 13 € (à partir de 13 ans) comprenant droit d’entrée aux expositions et fournitures gratuites. (6 à 15 personnes)Inscription obligatoire 24h avant la date sur : info@museeregardsdeprovence.com ou au 04 96 17 40 40

http://www.museeregardsdeprovence.com/exposition/escales-mediterraneennes

info@museeregardsdeprovence.com ou au 04 96 17 40 40

Informations pratiques et Visites   : Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.

Billet expositions temporaires : Plein Tarif : 6,50 €. Tarifs réduits: 5,50 € - 4,70 € - 2,00 €.

Billet couplé expositions temporaires & scénographie permanente : Plein Tarif : 8,50 €. Tarifs réduits 7,50 €, 6,50 €

Visites commentées : tarif d’entrée + 6 € /pers. le mardi et samedi à 15h et tous les jours sur réservation. Visite commentée gratuite le samedi à 10h30, hors droit d’entrée sur réservation (6 à 25 personnes). http://www.museeregardsdeprovence.com/exposition/david-dellepiane-le-magicien-de-la-couleur

http://www.museeregardsdeprovence.com. Depuis le 17 septembre, le Musée Regards de Provence fait partie du Pass Musées Marseille. Chaque porteur de Pass Musées bénéficie d’un accès gratuit et illimité aux collections permanentes et expositions temporaires dans 15 grands lieux culturels de Marseille : Musées de Marseille, Mucem, Frac et Regards de Provence.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Tél. : +33 4 96 17 40 40 ; Site/ www.museeregardsdeprovence.com twitter.com/RegardsProvence ou https://www.facebook.com/pages/Fondation-Regards-de-Provence/

FRAC PACA / EXPOSITIONS : PHOTOGRAPHIES ET DOCUMENTS 1983-2018

> Une histoire de la collection du Fonds régional d’art contemporain #2 plateaux 1 et 2 > André Fortino / jusqu’au 5 janvier 2020> plateaux 1 et 2

Photographie et documents de 1983 à 2018 est le deuxième rendez-vous dans les murs avec une histoire de la collection du Frac. Cette exposition met en avant des problématiques liées à l’évolution de ce médium, tant au niveau de sa conservation, que de sa production

et plus largement du statut de la photographie dans une société contemporaine de l’image.

A l’occasion de ce deuxième rendez-vous autour de la collection du Frac, l’ambition de cette exposition est de donner à voir l’évolution de la présence de la photographie dans la collection du début des années 1980 à nos jours. L’exposition met en avant des problématiques liées à l’évolution de ce médium aujourd’hui, tant au niveau de sa conservation, de sa production et plus largement du statut de la photographie dans une société contemporaine de l’image.

Après plus de 35 ans d’existence, le Frac dispose aujourd’hui d’une collection riche de plus de 1 000 oeuvres de 540 artistes qui, tout au long de l’année, se donnent à voir sur l’ensemble du territoire régional, national et international, au rythme considérable d’un millier de prêts par an. Cinq ans  après son installation dans le bâtiment de Kengo Kuma, le Frac prend le pari de consacrer chaque année une exposition à sa collection.

L’aventure des Frac n’est pas dénuée d’un grand nombre de paradoxes. Tout un chacun a son avis sur la question ce qui démontre, s’il le fallait, que nos Frac appartiennent à l’histoire collective. Et le caractère public de la collection nous conduit aujourd’hui à rendre visible au plus grand nombre ces oeuvres fortes qui rentrèrent au Frac il y a maintenant une trentaine d’années, entre 1983 et 1990. Le premier paradoxe, et non des moindres, est de parler de collection alors que nous sommes un Fonds régional d’art contemporain. Le deuxième est d’utiliser ce patrimoine contemporain en favorisant sa monstration parfois à la limite des normes de conservations en vigueur. La fortune critique des Frac est riche d’articles et points de vues divers et variés sur l’usage de ces collections financées par l’argent public. Cette valeur d’usage est importante car elle porte en elle toute la symbolique d’une collection qui se donne pour ambition de sensibiliser le plus grand nombre à l’art contemporain. C’est enfin le miroir d’une époque, et il est toujours très difficile d’écrire le récit du présent en toute objectivité.

Une forme de subjectivité totalement revendiquée et assumée car, à l’inverse d’une collection privée, constituer la collection du Frac est le fruit d’un travail collectif et de la mobilisation d’experts bénévoles qui façonnent par leurs propositions cette collection publique. Leurs choix permettent de revenir sur l’histoire du goût d’une époque, sur une actualité artistique dont on mesure à quel point elle est rythmée par un temps court et des affinités esthétiques qui n’ont de cesse de se renouveler.

Cette exposition du fonds photographique du Frac est l’occasion d’une collaboration avec le Centre Photographique de Marseille qui inaugurera également le 11 octobre un focus sur les collections photographiques du Cnap.

A VOIR ABSOLUMENT

André Fortino, Nuit FlammeDans le cadre de Traits libres, partenariat avec Montévidéo, Actoral.jusqu’ au 5 janvier 2020> plateaux expérimental et multimédia

Présent dans la collection du Frac depuis 2013 avec le triptyque vidéo Hôtel Formes Sauvages, André Fortino poursuit son exploration autour des gestes et du corps.

Savoir-faire oeuvre> coursive 2e étagedu 12 octobre 2019 au 5 janvier 2020En partenariat avec le Greta Marseille Méditerranée et le lycée Poinso-Chapuis, Marseille.

Fort d’une première expérience menée en 2018 avec le lycée professionnel Poinso Chapuis et l’artiste Claude Lévêque, le Frac consolide les liens avec le milieu scolaire.

n+n Corsino, SELF PATTERNS> réalité augmentée au Frac jusqu’au au 5 janvier 2020

Dans SELF PATTERNS, les extérieurs s’augmentent et se transportent avec soi grâce à des objets mobiles de communication. La danse apparaît sur smartphone.

Des marches, démarchesdu samedi 8 février au dimanche 10 mai 2020

L’exposition Des marches, démarches aborde la marche en un sens large, considérée non comme une pratique sportive mais comme une démarche artistique. Des marches,...

A DEVOUVRIR

Nouveaux horaires d'ouverture depuis le 22 mars 2019 > Ouverture tous publicsDu mercredi au samedi de 12h à 19hLe dimanche de 14h à 18h (entrée gratuite)Nocturne de saison vendredi 31 mai 2019 (entrée gratuite de 18h30 à 21h)

> Les mardis des nouveaux publicsJournée hebdomadaire dédiée à la découverte du Frac par de nouveaux publics et groupesreservation@fracpaca.org

 

LE FRAC EN REGION/renseignements sur le site du FRAC PACA :

De nombreuses activités sont associées à ces expositions pour le programme complet consultez le site du FRAC PACA: *Nous vous rappelons que l’accès privilégié aux expositions, en compagnie des conservateurs ou commissaires d’exposition n’est possible que parce que nous sommes amis du FRAC, et donc adossés au FRAC.

ACTIVITES PROPOSEES PAR LES AMIS DU FRAC PACA/

Vous pouvez maintenant vous inscrire aux visites déjà annoncées. Pensez à télécharger la fiche d'inscription sur le site des Amis du FRAC PACA (181 206) pour vous inscrire./4 rue Henri Cheneaux -13008 MARSEILLE, accompagnée du chèque de

règlement, à l’ordre des amis du FRAC. Après plus de 35 ans d’existence, le Frac dispose

aujourd’hui d’une collection riche de plus de 1 300 œuvres de 560 artistes qui, tout au long

de l’année, se donnent à voir sur l’ensemble du territoire régional, national et international

Et   dans votre FRAC  beaucoup d’autres propositions d’expositions, films, conférences et rencontres à consulter sur :http://www.fracpaca.org/dans-les- murs- evenements-a-venir

PREAU DES ACCOULES/ MUSEE DES ENFANTS / EXPOSITION EN COURS DE MONTAGE

MAC DE MARSEILLE/ Fermé en ce moment pour réfections, mais les cvollections du MAC participent à des expositions dans les autres sites des musées de la ville MUSEE CANTINI, du MUSEE DES BEAUX-ARTS et de la VIEILLE CHARITE. RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : MAC / MARSEILLE - 69 av. d'Haïfa - 13008Tarif : plein 9€ | Réduit 5€, du mardi au dimanche de 10h à 18h www.musees.marseille.fr. Tel : 04 91 14 65 25 ou 04 91 14 64 63

CHATEAU DE SERVIERES/LA NATURE C’EST LA VIE/ jusqu’au 21 décembre 2019

Après le salon du dessin Paréiodolie une autre exposition conçue par Martine Robin et Michel Barjol. La nature c’est la vie : Un projet du Château de Servières et de la galerie Martagon pour ce 7e temps du dessinExposition collective avec Alexandre Gilibert, Jean Marc Urquidi, Michel Barjol, Océane Moussé : Jusqu’au :21/12/2019 : La qualité esthétique du paysage joue-t-elle un rôle dans le bien être de l’individu ? Assurément au regard des qualités développées par l’artiste, galeriste et ami Michel Barjol qui cultivait naturellement une relation à l’art et aux artistes franche et authentique, au delà des modes et pourtant tellement juste, toujours à propos.Avec la curiosité pour moteur, mais sans jamais avoir passé son permis de conduire, il sillonnait la région à la recherche de nouveaux talents qui partageraient les cimaises avec des artistes plus reconnus, fidèles à la galerie depuis son ouverture en 1991. Pendant trente ans la Galerie Martagon à Malaucène a été un lieu d’échange et de résistance de l’art contemporain en milieu rural, un lieu pour les artistes où se retrouver pour partager sur leurs pratiques et rompre l’isolement. Michel conservait son atelier au dernier étage de la galerie… En quittant Malaucène et la galerie Martagon, la prégnance du paysage du Ventoux fait directement écho au travail artistique de Barjol. La tranquillité du paysage mis à distance par des vues plongeantes sur les étendues végétales et rehaussée par une myriade de points d’encre de chine, d’or et de verts ombragés est une invitation à activer notre perception dans la contemplation de ces lignes de désir.J’ai choisi de montrer la série des derniers dessins telle que, inachevée dans l’atelier, aux côtés du travail des artistes que Michel, (décédé en mai 2019, Michel Barjol avait aussi été commissaire de la dernière exposition du musée de GAP), avait repérés et programmés : Jean- Marc Urquidi et Alexandre Gilibert ainsi qu’Océane

Moussé -artiste présentée en automne dernier à Malaucène- tous engagés dans un projet spécifique propre à cette 7e Saison du Dessin.Martine Robin

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ENTREE LIBRE du mardi au samedi de 14h à 18h. 19 Bd Boisson. 13004 Marseille. chateaudeservieres@gmail.com ou www.chateaudeservieres.org (M° Cinq Avenues ou T2 Foch-Boisson)

CHATEAU DE LA BUZINE/ Exposition : CHARLES AZNAVOUR : jusqu’au JEUDI 31 DECEMBRE (PROLONGATION)

Après Jean-Paul BELMONDO, Johnny HALLYDAY et Brigitte BARDOT, c’est à une autre icône de la culture populaire française que le Château consacre sa nouvelle exposition. Exceptionnelle, cette exposition l’est par la personnalité de l’artiste auquel l’hommage est ainsi rendu. En 80 ans de carrière internationale, Charles AZNAVOUR a bâti une œuvre considérable d’auteur, de compositeur et d’interprète. De son vivant, il avait accepté le principe d’une manifestation autour de sa carrière dans le « Château de ma mère » cher à Marcel PAGNOL qu’il appréciait énormément, et dans cette ville de Marseille pour laquelle il avait un attachement particulier.

Et exceptionnelle, l’exposition présentée l’est aussi sans conteste puisque, pour la toute première fois, avec le plein accord de sa famille et de ses amis, le Château de la Buzine a eu accès aux collections particulières de Charles AZNAVOUR, et notamment des souvenirs, documents, manuscrits, correspondance, objets, photographies, vidéos, disques, affiches, tenues et accessoires divers qu’il conservait dans sa maison de Mouriès.

Ainsi, ce qui est exposé au Château de la Buzine, pour plusieurs mois, n’a encore jamais été montré ! Et nul n’étant mieux placé que le propriétaire de ces trésors pour en parler, c’est Charles AZNAVOUR, par le texte, la voix et l’image, qui racontera l’extraordinaire carrière de la star mondiale. Comme il est d’usage au Château de la Buzine, Maison des cinématographies de la Méditerranée, AZNAVOUR l’expo proposera un cycle des films dont l’artiste a été l’interprète. À prévoir également des rencontres et dédicaces avec des auteurs, des amis et des proches de Charles AZNAVOUR.

Venez découvrir notre hommage personnel à travers l'exposition temporaire du moment, la première à être consacrée à ce véritable monument de la chanson depuis sa disparition.Le Château de La Buzine est situé au cœur d’un vallon entre Saint-Menet et les Camoins, dans le 11ème arrondissement de Marseille. C’est à Henry de Buzens, noble propriétaire du domaine au XVII ème siècle, que le domaine doit son nom. 

Marcel Pagnol achète La Buzine en 1941. Son projet : en faire une Cité du Cinéma, et créer ainsi un véritable “Hollywood Provençal”. Il reconnaît le château dont le gardien et le chien effrayaient sa mère durant son enfance sur le chemin des vacances....

Après plusieurs années d’abandon, la Ville rachète le Château et confie la rénovation au Cabinet d’Architecture et d’Urbanisme Stern International qui lui redonnera vie, faisant cohabiter dans la pierre tradition et modernité.

Aujourd’hui, le Château de La Buzine est un lieu unique dans le paysage culturel régional, vivant, et ouvert à tous. Dans un vaste parc de quatre hectares entouré de sept collines, le Château de La Buzine devient le visage de l’union entre histoire et art contemporain, nature et patrimoine.

LA CITE DU CINEMA : Maison des cinématographies de la Méditerranée, le Château de la Buzine présente « La Cité du cinéma ». Ce parcours scénographique invite à un voyage en neuf étapes dans le temps depuis l’origine du VIIe art jusqu’au triomphe du numérique. La porte des étoiles… du cinéma s’ouvre et l’on avance au fil des évolutions techniques, des différents genres de film, des auteurs et des acteurs, dans des ambiances sonores et visuelles différentes pour atteindre le Hall of fame, boulevard mythique des stars.

L’hologramme: Quoi de plus magique que le cinéma qui donne à voir et fait même parler, grâce à l’hologramme, une image virtuelle en relief pour embarquer le visiteur dans le voyage ? Rien n’existe et tout semble réel.

La genèse du cinéma: 1895, les frères Lumière présentent le cinématographe. Effrayés, les premiers spectateurs croiront que le train entrant en gare de La Ciotat va leur rouler dessus. Tout de suite, la magie de l’image animée était visible à l’écran. La suite ne fut qu’une suite sans fin d’améliorations.

Trucages: Les pionniers du cinéma avaient déjà tout inventé pour abuser les sens du spectateur en lui faisant croire à des situations périlleuses qui ne l’étaient pas du tout sur le plateau de tournage. Art du trucage, le cinéma juxtapose les images différentes, filme à l’horizontale des actions qui paraîtront se dérouler à la verticale. Il nous trompe, on le sait mais on en redemande !

Suspense: D’abord stupéfiant, puisqu’il faisait bouger des images depuis toujours inanimées, le cinéma a tout de suite compris quel pouvoir il exerçait sur les salles obscures en faisant rire, pleurer, frémir ou tenir en haleine le public. Tout peut donc arriver, et même qu’un monstre surgisse du miroir !

Science-Fiction: Méliès, déjà, avait filmé le voyage dans la Lune. Ses successeurs ont développé, perfectionné et magnifié la technologie pour soulager le spectateur de la pesanteur et l’emmener très loin dans les étoiles ou dans le temps, ou l’exposer à des invasions d’extra-terrestres.

Western: C’était l’histoire de l’Amérique, c’est devenu celle du monde avec ses grands espaces, ses épopées et sa mythologie. Le western contient et raconte toutes les aventures humaines possibles.

L’animation: Le dessin animé accompagne et entretient l’enfance. Art à part entière, il réussit grâce au talent des créateurs à toucher tous les publics à des niveaux d’émotion et de compréhension différents et complémentaires.

L’amour au cinéma : Amour au cinéma, amour du cinéma : les deux se mêlent dans la scène culte de « Cinéma Paradiso » pour des baisers sans fin. On peut verser une larme dans le noir, c’est permis et ça fait du bien…

Hollywood boulevard: Pour service rendu au rêve, à l’émotion, au rire et au plaisir des spectateurs, le cinéma célèbre et récompense avec des trophées très convoités, ses créateurs et ses acteurs, jusqu’à les faire entrer dans la légende en écrivant leurs noms sur le trottoir.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : du mardi au dimanche de 10h à 18h. 59 Ave de la Buzine, Marseille 11e.

FRICHE DE LA BELLE DE MAI/.

EXPOSITIONS/Quatre Lieux : de 10h à 12h et de 14h à 19h Gratuit :

Jusqu’ au 23 février 2020Lieux Fictifs

Que dire sur la prison que nous ne sachions déjà ? Depuis ce lieu, quelle place l'artiste peut-il occuper ? Prison Miroir est un événement multiple : deux expositions photographiques, une rétrospective de films et deux grands week-ends de rencontres, performances, écoutes sonores, chacun interrogeant la relation entre l'art et la prison.La Cartonnerie : PRISON MIROIR- La Friche la Belle de Mai, en complicité avec Lieux Fictifs, consacre plusieurs mois à l'exploration de la question de la relation entre la prison et l'art : expositions, rencontres, projections, performances, tables rondes, écoutes sonores permettront de porter un regard renouvelé et hors de tout a priori sur l'univers carcéral.PRISON MIROIR/ 2e TEMPS FORT : Exposition, cinéma, rencontres :Lieu : La Cartonnerie , La Tour-Panorama , Le GyptisDu 07 au 08 février 2020Une proposition de Lieux FictifsLa Friche la Belle de Mai, en complicité avec Lieux Fictifs, consacre plusieurs mois à l'exploration de la question de la relation entre la prison et l'art : expositions, rencontres, projections, performances, tables rondes, écoutes sonores permettront de porter un regard renouvelé et hors de tout a priori sur l'univers carcéral.Lieu : La Tour Panorama : FOR THOSE YOU THINK YOUNG/ OLIVIER MILLAGOU : Du 26 octobre 2019 au 16 février 2020 Une proposition de FRAEME Vernissage le 25 octobre . Exposition- Arts visuels-PerformanceOlivier Millagou déploie le récit d'une « Polynésie provençale », un mix de références et de tribus convoquées sur fonds de rifs de guitare. Mais les notes se sont enraillées et elles produisent inlassablement les sons du ressac. Les palmiers ont perdu leurs feuilles et citent en chœur Brancusi, du skate park ne subsiste qu'une architecture de charbon, scène fantomatique et praticable, les carnets de voyages roulent dans l'espace d'exposition et les couchers de soleils sont éternels comme un horizon qui tournerait en boucle.UN ŒIL SUR LE DOS/ ARNAUD THEVAL : Exposition-arts visuels : Lieu : La Tour-Panorama Du 26 octobre 2019 au 23 février 2020. Une proposition de Lieux FictifsÀ travers un travail photographique au long cours au cœur de l'institution pénitentiaire, Arnaud Théval recompose son parcours depuis les fermetures des vieilles prisons jusqu'aux nouvelles structures. Comme si l'œilleton s'était inversé, le spectateur découvre, en images et en textes, les histoires de ceux qui sont perçus comme des bourreaux.

DÉTENUES - BETTINA RHEIMSEXPOSITION - ARTS VISUELS

Lieu : La Tour-Panorama, 2e étage Jusqu’au 23 février 2020. Une proposition de Lieux FictifsAvec cette exposition, Bettina Rheims confronte l'univers carcéral avec celui de la création artistique ; dans un dialogue complexe, elle interroge la construction et la représentation de la féminité dans les espaces de privation de liberté et d'enfermement.LA MAUVAIS ŒIL 51 TRICEPHALE : jusqu’au 17 janvier 2020GratuitUne proposition Le Dernier CriÀ l'occasion de Vendetta (salon de la micro-édition), découvrez 3 nouveaux auteurs Cha Kinon, FRAMAX et GOTIER et leurs premières publications aux éditions du dernier cri. Cha KinonL'artiste est née en Belgique en 1993, vit et travaille à Marseille. Elevée à la bière et aux frites avariées, elle découvre la gravure sur métal après avoir torturé ses cousins. « Le métal et l'acide ça j'aime. » Elle ressort des Beaux Arts de Liége avec un diplôme homologué en 2018. En 2019, elle sort le fascicule « déformation belge » et diverses estampes montrant des jeunes filles faméliques dans des situations inconfortables. « Petite, j'étais très maigre, on m'appelait le moineau, ma mère devait me gaver de pizza, fallait bien que je finisse à Marseille ».

• FRAMAXNé 1981,  il vit et travaille à Paris. « Impaled in hell » est un recueil d'images embrochées au dernier cri, une série de dessins « vaccinatoires » pour préserver l'auteur de la gangrène du cerveau face à l'implacable bêtise humaine. Des visions d'enfer post médiévales… « Car comme dirait l'autre, l'enfer c'est les autres. »• GOTIERGotier vit et travaille au sein des éditions du Monstre, basé dans une ancienne briqueterie sur Amiens. "Gotier ne dessine pas ce qu'il se passe. Il dessine ce qu'il ne se passe pas. Ou ce ce qui aurait pu se passer. Ou qu'il aurait aimé qu'il se passe mais finalement non. Frénésie cafféinomane de la passivité. Humoriste en avance sur le retard, toujours à coté. " Lieu : LA TOUR PANORAMA/

VERNISSAGE LE 14 DÉCEMBRE À 19H30PAR HASARD: La Tour-Panorama, 4e étage jusqu’ au 23 février 2020

Une proposition des Musées de Marseille et de la Réunion des musées nationaux - Grand Palais avec la Friche la Belle de Mai. La seconde partie de l’exposition qui se tient

actuellement à la VIEILLE CHARITE de Marseille (Voir plus haut dans le dossier)

Du milieu du XIXe siècle jusqu'à nos jours, nombre d'artistes ont confié leur talent au seul hasard. L'exposition se déploie d'une part au Centre de la Vieille Charité, avec des œuvres de 1850 à 1980, et d'autre part à la Friche, avec des œuvres contemporaines de 50 artistes, crées à partir de 1970. L'exposition, pensée en deux volets, rassemble les œuvres de 120 artistes !

VOLET 1AU CENTRE DE LA VIEILLE CHARITÉ, le premier volet de l'exposition présente les expérimentations d'artistes entre 1850 et 1980. On y découvre les œuvres de grands maîtres. Victor Hugo cherche l'au-delà dans les taches d'encre, Edgar Degas se lance dans l'incertitude des monotypes, André Breton et les surréalistes jouent au cadavre exquis, Man Ray capture un monde archéologique dans une couche de poussière, Niki de Saint Phalle tire à la carabine sur des objets de plâtre remplis de peinture, Jacques Villeglé collecte les affiches lacérées sur les murs des villes, César compresse des détritus, Arman fait les poubelles, Spoerri piège des objets délaissés…Tirage au sort, coup de dés, coulures, éclaboussures et brûlures, papiers pliés, déchirés ou froissés, empreintes de corps et peinture faite avec les pieds, traces laissées par des escargots, objets travaillés par le temps forment une œuvre où le geste de l'artiste aura été le déclencheur d'un processus dont l'issue est imprévisible.

VOLET 2À LA FRICHE LA BELLE DE MAI, le parcours se poursuit avec des œuvres contemporaines de 1970 à nos jours provenant du [mac] Musée d'Art Contemporain, du FRAC-PACA, du Fonds communal d'art contemporain de Marseille, du CIRVA, de collections particulières, de galeries. L'exposition comprend aussi les productions d'œuvres inédites de 5 artistes travaillant à Marseille ou en résidence à la Friche (en coproduction avec Fræme) : Gillian Brett, Robin Decourcy, Virginie Sanna, Delphine Wibaux, Adrien Vescovi.Les œuvres sélectionnées ont été créées à partir des années 1970, date de la parution de l'ouvrage du biologiste Jacques Monod, Le Hasard et la nécessité, véritable révolution intellectuelle qui place le hasard au cœur de la biologie moléculaire.

Les œuvres de 50 artistes se dévoilent en 12 thématiques : Dés / Ordre / Désordre / Empreintes / Brisures / Brulures / Eau / Moisissure / Rencontre / Poussiere / Jeu / Musique.On y découvre le travail des artistes : Dove Allouche, Arman, John Baldessarri, Davide Balula, Gilles Barbier, Isa Barbier, Michel Blazy, Jeremie Bennequin, Lieven de Boeck, Eric Bourret, Marie Bovo, Gillian Brett, Sophie Calle, Claude Closky, Philip Corner, Robin Decourcy, Jeremy Demester, Jennifer Douzenel, Mimosa Echard, Esther Ferrer, Alain Fleischer,  Julie Fortier, Anne-Valerie Gasc, Gottfried Honegger, Christian Jaccard, Tom Johnson, Jerome Joy, Paul Kneale, Jiri Kovanda, Tetsumui Kudo, Perrine Lacroix, Sol LeWitt, Mourad Messoubeur, Duane Michals, Gabriel Orozco, Bernard Plossu, Etienne Rey, Evariste Richer, Dieter Roth, Vivien Roubaud, Jean-Claude Ruggirello, Linda Sanchez, Virginie Sanna, Mathieu Schmitt, Franck Scurti, Yann Serandour, Roman Signer, Timothee Talard, Cedric Teisseire, Adrien Vescovi, Claude Viallat, Delphine Wibaux.

Commissariat : Xavier Rey, directeur des musées de Marseille et Guillaume Theulière, conservateur au musée Cantini assisté de Léa Salvador, historienne de l'art.

À SAVOIRDes visites commentées (et gratuites) sont organisées le week-end par l'équipe de médiation culturelle ! Venez découvrir l'exposition avec Entrez dans la Tour ! (la visite tout public) et Exposition en Famille (pour parents & enfants de 6 à 12 ans).

HORAIRESDu 17 octobre au 23 février

Du mercredi au vendredi de 14h à 19hSamedi et dimanche de 13h à 19hAttention, fermé les lundis et mardis+ fermeture les 25 décembre et 1er janvier

TARIFPlein : 5€Réduit : 3€ (demandeurs d'emploi, moins de 26 ans, seniors plus de 65 ans, personnes handicapées, groupe de plus de 10 personnes)Gratuit (sur présentation d'un justificatif) : étudiants, moins de 18 ans,

bénéficiaires RSA, minimum vieillesse, groupes scolaires / centres sociaux, familles nombreuses, groupes scolaires & centres sociaux (accompagnés)Donne accès à l'ensemble des expositions de la Tour et du PanoramaBillet groupé avec l'exposition Par Hasard vol 1 au Centre de la Vieille Charité : 14€

A VOIR ABSOLUMENT

VENDETTA #7EXPOSITION - ARTS VISUELS - LITTÉRATURE ET ÉDITION/ GRATUIT

Lieu : La Tour-Panorama, au 5e étageLes 14 et 15 décembre 2019GratuitUne proposition Le Dernier CriDu 14 décembre 2019 au 23 février 2020Une proposition Le Dernier Cri

En sollicitant des convives de tous les pays, l'exposition Sickscreen Land défend la propagation d'ouvrages artisanaux à contenu graphique. Ils ne craignent pas d'y heurter certaines morales. Soyez avertis.

Rendez-vous incontournable de la scène underground marseillaise ! Le Dernier Cri présente le temps d'un week-end Vendetta, salon international du multiple et de la microédition, avec des éditeurs invités, de France et d'Europe.

Lieu LA SALLE DES MACHINES/ ESTHETIQUE DE L’INVISIBLE : Du 21 décembre 2019 au 19 janvier 2020GratuitUne proposition de la Friche la Belle de Mai

Inscrivant son travail artistique dans le monde du comestible, le travail de Pauline Daniel fait appel à notre inconscient collectif et culturel et à notre imaginaire. Poétique, engagé, empreint de fantaisie et parfois de féminisme, son univers interroge le spectateur autour des questions contemporaines liées à l'alimentation.

A DECOUVRIR ABSOLUMENTRENSEIGNEMENTS PRATIQUES POUR LES EXPOSITIONS ET LES MANIFESTATIONS DE LA FRICHE : Tel : 04 95 04 95 95 ou www.lafriche.org

MENTON

PALAIS DE L’EUROPE / EXPOSITION "MENTON, DEUX SIÈCLES DE REPRÉSENTATIONS"

Le temps des collections 2 / jusqu’ au 18 janvier 2020

Les paysages de Menton à la galerie du palais de l’Europe. Du 9 novembre au 18 janvier, le palais de Carnolès - musée des Beaux-arts présente sa nouvelle exposition Menton, deux siècles de représentations à la Galerie d’art contemporain.

Cet événement s’inscrit dans un cycle intitulé Le Temps des collections, cycle dont le premier acte s’est tenu l’année dernière en ce même lieu. Tandis que le musée continue à faire peau neuve afin d’être à la hauteur de la qualité de ses collections, ces expositions « hors les murs » permettent aux amateurs de beaux-arts d’assouvir leur passion.

Passion qui devrait être satisfaite avec ce nouvel accrochage, intitulé Menton deux siècles de représentations, et consacré à des vues de notre ville aux XIXe et XXe siècles. Sortis des réserves du palais ou redécouverts par le biais des restaurations, ces peintures, dessins et gravures, auxquels s’ajoutent des photographies anciennes prêtées par le service des Archives municipales, racontent l’âme des artistes et les styles successifs de l’art du paysage des deux siècles précédents mais aussi l’évolution de Menton.

L’ensemble de l’exposition, soit 80 œuvres dont de nombreuses inédites pour le public, invite ainsi à une belle balade dans le passé, entre couleurs et nostalgie.

Menton attire les peintres Dès le XVIIe siècle, les artistes du nord de l’Europe, essentiellement les peintres hollandais, commencent à peindre le paysage pour lui-même sans support historique, religieux ou mythologique. Progressivement, ce goût nouveau s’étend à tout le continent.

En France, le XIXe siècle est le grand siècle du paysage avec, entre autres, les peintres de l’école de Barbizon et les Impressionnistes. Les artistes travaillent alors en plein air, avec les couleurs en tubes récemment inventées ou reprennent leurs toiles en atelier, après avoir dessiné dans la nature. Menton, découverte au XIXe siècle pour les vertus de son climat et la beauté de ses paysages, ne pouvait manquer d’attirer les peintres.

Malgré la renommée dont ils jouissent de leur vivant, nombre d’entre eux sont aujourd’hui oubliés. L’histoire de l’art est ainsi faite et les expositions sont là pour exhumer leurs talents.

Laurent Gsell, Raymond Allègre, Gaston Béthune… sont parmi ces gloires du passé à être venues chercher l’inspiration sur les rivages mentonnais.

Ils sont exposés aux côtés de peintres locaux comme Ambroise Gioan, nommé en 1884 professeur de l’école gratuite de dessin de Menton et premier conservateur du

nouveau musée des beaux-arts en 1909 (l’actuel musée de Préhistoire régionale) ou encore Charles Beglia dont le superbe tableau de l’église Saint-Michel vaut à lui seul le détour.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

JARDINS DU PALAIS CARNOLES/ PORTRAIT D’HIER DES GENS D’ICIJusqu’ au 31 mai 2020

Menton se découvre en sépia

Les Archives municipales organisent une exposition à ciel ouvert de photographies anciennes. Intitulée « Portrait d’hier des gens d’ici », celle-ci donne l’occasion de rencontrer les Mentonnais d’antan.

Se promener dans les rues de Menton est un voyage dans lequel passé et présent se conjuguent. Et pour les Mentonnais qui portent particulièrement leur ville dans le cœur, l’émotion et la fierté affleurent à chacun de leurs pas. Menton est leur mémoire, leur âme, leurs souvenirs.

C’est dans cette idée que le service des Archives municipales, dirigé par Valérie Rondelli, a imaginé cette toute nouvelle exposition intitulée « Portrait d’hier des gens d’ici ».

Près de 70 photos en noir et blanc, reproduites en grand format, sont visibles au Jardin Elisée Reclus et aux jardins du Palais de Carnolès..

Elles sont accompagnées de textes courts, vivants et pétillants, signés par Christelle Accary, employée aux Archives, réalisatrice et conceptrice du projet.

Elle nous raconte Menton dans un style marqué par le naturel, l’évidence, la fraîcheur et fait revivre tous les personnages capturés par l’objectif des photographes. Un pan de l’histoire locale L’émotion surgit souvent de la rencontre de ces textes et de ces images allant de la Belle Époque jusqu’au milieu des années 1960.

Vous rencontrerez ainsi les familles modestes de la Vieille-ville, les bandes d’enfants parcourant ses rues pittoresques, les convives des déjeuners à la campagne qui font penser aux toiles des impressionnistes, les bourgeois endimanchés et les hivernants élégants. Vous retrouverez les modes successives : des longues robes de la Belle Époque, canotiers et hauts-de-forme aux robes des années 1960, en passant par les Années folles, la coiffure à la Louise Brooks portée fièrement par les petites filles des années 1930 ou le costume traditionnel des Mentonnaises.

Les ânières, le rémouleur venant offrir ses services en jetant son appel dans les rues, les pêcheurs à la senne, les lavandières du torrent du Fossan…, rappelleront une économie d’un autre temps.

Des lieux de notre ville, aujourd’hui disparus, seront à nouveau visibles comme les ponts du Careï, le clocher de l’église anglicane, l’école de dessin qui se trouvait dans l’actuel musée de la Préhistoire… L’Histoire apparaîtra parfois en filigrane : ainsi, dans cette photographie où des enfants heureux boivent une tasse de lait après les privations de la guerre.

Ou encore celle où le président de la République René Coty est accueilli par les Mentonnais. Et puis et puis et puis….

Une exposition à découvrir du 27 avril 2019 au 31 mai 2020 - idéalement avec des Mentonnais pour les anecdotes et les souvenirs -, en se promenant sous le ciel de Menton à toutes heures du jour et de la nuit.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

MUSEE COCTEAU LE BASTION : EXPOSITION : COCTEAU DESIGN : Du 21 décembre 2019 au 15 juin 2020

Cette nouvelle exposition propose de découvrir une facette inattendue de Jean Cocteau, celle d’un remarquable designer qui a su mettre son talent au service du quotidien, transformant des objets usuels en véritables œuvres d’art.

On le connaissait dessinateur, peintre, dramaturge, cinéaste, et avant tout poète ; on le découvre ou le redécouvre céramiste, créateur de bijoux, dessinateur de mode, affichiste, décorateur, appliquant cette poésie à enchanter des objets parfois très prosaïques.

Le parcours du Bastion – musée-œuvre d’art décoré par Jean Cocteau lui-même – met en scène cette multiplicité de domaines, entre avant-gardisme et pop culture, considérés en leur temps comme en marge de la création artistique, et pourtant aujourd’hui largement reconnus.

A VOIR ABSOLUMENT

Le Bastion - Musée Jean Cocteau

Quai Napoléon III - Bastion du Vieux PortOuvert tous les jours de 10h à 18h, sauf les mardis et le 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre.Attention : le musée du Bastion sera fermé jusqu’ au 20 décembre 2019 inclusTél :+ 33 (0)4 93 18 82 61

.Renseignements pratiques : Le Bastion - Musée Jean Cocteau

Quai Napoléon III - Bastion du Vieux PortOuvert tous les jours sauf les mardis et le 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre, de 10h à 18h.Tél :+ 33 (0)4 93 18 82 61

MIRAMAS

/ARTOTHEQUE/MEDIATHEQUE INTERCOMMUNALE  : Prochaine exposition en cours de montage

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES  : Artothèque intercommunales/c de la responsable de l’Artothèque Béatrice BEHAPôle Culture Sport CECTél : 04 90 58 53 53 ; poste : 27 25laurent.michelangeli@ampmetropole.fr BP 48014 – 13567 MARSEILLE CEDEX 02 – T : 04 91 99 99 00

Adresse territoire : Chemin du Rouquier BP 10647 13808 ISTRES

MOUANS SARTOUX

MUSEE DE L’ART CONCRET : Exposition des collections permanentes+ Nouvelle Exposition : FRANCISCO SOBRINO / jusqu’au 31 mai 2020

L’exposition consacrée à l’artiste espagnol Francisco Sobrino (1932, Guadalajara, Espagne — 2014, Bernay, France) offre un parcours rétrospectif sur le travail de cet important représentant de l’art cinétique, co-fondateur du G.R.A.V. en 1961.

Formé aux Arts et Métiers de Madrid puis à l’École des Beaux-Arts de Buenos Aires, Francisco Sobrino s’engage à la fin des années cinquante dans la voie de l’abstraction géométrique. Comme plusieurs artistes de sa génération à la même époque, il opte pour un vocabulaire formel épuré, strictement géométrique, permettant une compréhension immédiate et non subjective de l’œuvre par le spectateur. 

Héritier des avant-gardes historiques, le travail de Sobrino marque toutefois un point de rupture en délaissant l’autonomie de l’œuvre. Il explore le rythme et les systèmes combinatoires chers à l’art concret pour répondre non pas à des problématiques de composition mais aux questionnements fondamentaux dans la création des années soixante, que sont la perception et le mouvement. 

Bi-dimensionnelles, les œuvres de Sobrino acquièrent ainsi rapidement du relief pour jouer de l’espace et de la lumière, devenant ouvertes, participatives, parfois mêmes pénétrables.

Francisco Sobrino opte pour les matériaux modernes comme le plexiglas et l’acier poli afin de réaliser des structures souvent kaléïdoscopiques dont l’enjeu est l’interférence toujours accrue entre l’œuvre, le spectateur et son environnement.

Véritables pièges pour l’œil, les œuvres de Francisco Sobrino interrogent la complexité de la perception et plongent le spectateur dans une instabilité visuelle où images virtuelles et images réelles ne cessent de se confondre.

Pour annoncer cette exposition, deux sculptures de l'artiste sont présentées dans le parc du château depuis le 6 juillet 2019 et jusqu’au printemps 2020.

À voir aussi• La Galerie Mitterrand consacre également une exposition à l'artiste espagnol Francisco Sobrino.Exposition du 15 novembre 2019 au 18 janvier 202079 rue du Temple – 75 003 Paris, France T. 01 43 26 12 05 – www.galeriemitterrand.com 

Nouvelle monographie Francisco Sobrino Edition Dilecta : sortie le 10 janvier 2020

ExpoLab • Projet pédagogique en collaboration avec les publics en situation de

handicapLa galerie du Château de l’eac accueille le projet Expolab, une expérience multiple : exposition, restitution, réflexion sur l’accessibilité mais aussi un programme de rendez-vous venant étoffer l’offre de médiations à destination de tous les publics et une expérience sensible pour les publics en situation de handicap.Tout au long d'Expolab, des rendez-vous seront donnés pour expérimenter des formes différentes de médiation : visite en langue des signes, visite dansée et jouée.Gérard Traquandi& la Donation Albers-HoneggerContrepoint06 avril 2019 – 05 avril 2020

Gérard Traquandi a conçu son projet comme une partition musicale. Prenant ses distances avec la radicalité esthétique et sociale des avant-gardes du début du XXe siècle, il se joue des dogmes et des classifications historiques pour exploiter les paradoxes de la collection. La figure du contrepoint se révèle dès lors la plus appropriée à définir son projet : sans parler d’une même voix, les oeuvres présentées offrent un ensemble harmonieux dont la richesse naît de leur combinaison.

De nombreuses activités sont en liaison avec ces expositions consultez leur site pour les dates.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

Renseignements pratiques/ Espace de l’Art Concret : 1er septembre — 30 juin mercredi—dimanche 13h—18h 1er juillet — 31 août tous les jours 11h—19h Centre d’art contemporain  Donation Albers-Honegger Château de Mouans 06370 Mouans-Sartoux espacedelartconcret.fr T +33 (0)4 93 75 71 50

MOUGINS

MACM/ EXPOSITION de la COLLECTION PERMANENTEUNE NOUVELLE ŒUVRE CONTEMPORAINE /Tracey Emin au MACM/ Le mouvement connu sous l'acronyme YBA (Young British Artists/Jeunes Artistes Britanniques) rassemble dès la fin des années 80 un groupe de jeunes artistes qui explorent la définition & les limitations de l'art. Parmi eux, Damien Hirst et Marc Quinn dont les oeuvres intitulées Happy Head (Tête heureuse), 2007 et Bill Waltier (Blind from birth/aveugle de naissance), 2005, sont exposés au MACM. Nous sommes heureux d'annoncer l'arrivée au MACM d'une oeuvre de Tracey Emin, artiste féminine attachée à la génération des YBA largement célébrée dans le monde.

De nombreuses activités dans ce musée pour enfants (pendant les vacances scolaires) et adultes (conférences visites guidées…) suivez leur site pour les jours et heures

A VOIR ABSOLUMENT

Renseignements pratiques : Ouvert 7 jours/7 du 1 octobre - 20 juin : 10h – 18hLe MACM sera ouvert pour les jours feriés le 10 juin, le 14 juillet et le 15 août Tel : 04 93 75 18 22 ou reservations@mouginsmusee

MUSEE DE LA PHOTOGRAPHIE ANDRE VILLERS : collection permanenteRENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ouvert tous les jours de 10h à 12H30 et de 14H à 18h ENTREE LIBRE

Porte Sarrazine, Mougins Village. 06250. Tel : 04 93 75 85 67. museephoto@villemougins.com

A VOIR ABSOLUMENT

SCENE 55. EXPOSITION GUY DELAYE / jusqu’au 17 mars 2020 : Il est l’un des plus emblématiques photographes du spectacle vivant. Guy Delahaye, c’est plus de 400 expositions, des centaines d’affiches, de programmes, de parutions, ainsi qu’une dizaine de livres. Son regard, c’est son métier. Il le pose sur ceux qui dansent. Ceux qui marchent, qui courent, qui sautent, qui tournent ou qui tombent. Il les capte, les captive, les capture. En noirs. Comme des ombres, sous la lumière des projecteurs. Gracieuses. Tourmentées parfois. Figées. En mouvement. Sur le vif.

Au travers de son travail photographique, Guy Delahaye sait capter, sans rien enjoliver, l'énergie des corps, le déferlement du mouvement.

Informations pratiques : Entrée libre - Du lundi au vendredi 10h-12h / 14h-18h et les soirs de spectacle

 contact@scene55.fr Scène 5504 92 92 55 67

  55 Chemin de Faissole, 06250 Mougins

MUSEE PORTE SARRASINE/LIBRE DERIVE/ GEORGES SCULPTEUR / jusqu’au 5 janvier 2020 :

Mougins fait partie des quelques villes sélectionnées pour accueillir l’une des étapes d’un parcours artistique mettant à l’honneur le travail de l’artiste plasticienne George Sculpteur. Chaque lieu exposera des œuvres uniques de l’artiste, qui font résonnance avec le lieu lui-même. Une multi-exposition ludique et poétique nomade à travers les Alpes-Maritimes, à découvrir à Mougins, Musée Porte Sarrazine du 14 octobre 2019 au 5 janvier 2020.

Renseignements pratiques : ENTREE LIBRE ouvert de 10Hà 12h30 et de 14H à 18H ; -è rue de l’Eglise . Mougins

GALERIE SINTITULO : Exposition/ SEBASTIEN ARRIGHI/ SHIVERS/ jusqu’au 31 décembre 2019 : galerie sintitulo, mougins–Pour sa première exposition personnelle à la galerie Sintitulo, Sebastien Arrighi opère un choix significatif d’images parmi ses quelques séries en cours : grands et petits formats instaurent dans la conception du parcours d’exposition des rapports d’échelle dans le paysage.« Le paysage est pris comme un corps qu’il s’agit de troubler, de transformer, de réinventer peut-être, en tout cas de tester et de redécouvrir. (…)

A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : en ENTREE LIBRE 10 rue du Commandeur ; 06 250 Mougins. Tel 04 92 92 13 25 ou mougins@galeriesintitulo.com ou www.galeriesintitulo.com ouvert du mardi au samedi de 14 à 19h.

SALON DE PROVENCE :

CHATEAU DE L’EMPERI : Exposition de la collection permanente : Totem de la ville, le château de l'Empéri abrite, depuis 1967, la collection Raoul et Jean Brunon, acquise par l'Etat et exposée dans ce lieu dans le cadre d'une convention avec le musée de l'Armée. Cette collection, propriété du musée de l'Armée (Hôtel National des Invalides, Paris) est l'une des premières collections d'histoire militaire française au monde.

Son fleuron est sa partie Napoléonienne. Les visiteurs y découvrent une fresque vivante de l'histoire de France, allant du règne de Louis XIV à la Grande Guerre (1914-1918). 

 Cette collection, d'une rare qualité et d'une grande abondance, présente également des objets insolites ou exceptionnels. Les deux salles consacrées aux "Armées Royales" ont rouvert depuis quelques semaines, après plusieurs mois de travaux dans le cadre du "projet scientifique et culturel d'établissement". La configuration de ces espaces, qui date des années 1980, commençait à accuser le poids des ans. La ville a souhaité mener, dans un premier temps, la rénovation d'une des deux salles ; l'aménagement de la seconde se fera ultérieurement, dans la continuité en tenant compte notamment des remarques des visiteurs. Cette salle refaite offre une meilleure visibilité des collections avec, à la clé, un effort tout particulier sur la présentation et l'information par des écriteaux plus lisibles. Par ailleurs, les objets et armes sont présentés dans des vitrines plus claires. Le nombre d'objets par vitrine a été réduit de façon à mieux les mettre en valeur. Enfin, un accent est porté sur une la conservation des objets grâce à une lumière plus tamisée. Parmi les pièces phares, une giberne ayant appartenu à Louis XV, mais aussi un uniforme d'un "Maréchal de camp" (équivalent au grade de général sous la Monarchie). 

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ouvert jusqu’au 15/04 de 13H30 à 18h et à partir du 16/04 de 9H30 à 12h et de 14h à 18h ou www.salondeprovence.fr

VALLAURIS :

MUSEE PICASSO : EXPOSITION DES COLLECTIONS PERMANENTES

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Musée Magnelli, Musee de la Céramique et Musée national Pablo Picasso La Guerre et la Paix

Place de la Libération 06220 Vallauris. Tel. 04 93 64 71 83 www. musee-picasso-vallauris.fr

 Ouverture : tous les jours sauf le mardi de 10h à 12h15 et de 14h à 17h et tous les jours de 10h à 12h45 et de 14h15 à 18h15 en juillet et août

GALERIE MADOURA/Pas d’exposition en ce moment

 RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 2,Rue S et G. Ramié 06220 Vallauris. Tel 04 93 64 41 74 ouvert du lundi au vendredi 10H-13H et 14H à 17H ENTREE LIBRE

.NICE

MUSEE MASSENA /LE CERCLE ENCHANTE NOUVEAU CIRQUE / jusqu’au 3 février 2020 : Découvrez la fabuleuse histoire du cirque, de sa naissance au XVIIIe siècle grâce aux œuvres de la collection particulière du Docteur Alain Frère. Dans cette exposition, vous découvrirez côté piste ou côté coulisses, les

clowns, trapézistes, funambules, dresseurs, jongleurs, écuyers … à travers des costumes,

des documents, des objets et accessoires liés à une histoire, une vie de scène.

Renseignements pratiques : 65, rue de France +33(0)4 93 91 19 10 Fermé le Mardi 11h-18h jusqu’au 22 juin 10h-18h jusqu’au 30 septembre

AU 109/ 89 ROUTE DE TURIN à Nice : / PAR TEMPS DE RAGE/ jusqu’au 11 janvier : Une exposition conçue par le collectif LOVISTAN et les artistes résidents de La Station. : Rendant hommage à Laure Chocheyras (1992 – 2018), Par temps de rage rassemble des œuvres de cette artiste diplômée de l'École Nationale Supérieure d'Art de Nice en 2017.

Le week-end d’ouverture de cette exposition sera animé par des événements (actions, performances, concerts et projections vidéos) conçus de manière à recréer la « mystique collective » qui traversait la pratique de Laure Chocheyras.Comme le souligne Joseph Mouton, « si Laure s’est mise à la performance et au happening en délaissant provisoirement la sculpture, c’est que les formes collectives et processuelles lui paraissaient plus engagées que la production solitaire d’objets vendables. Mais elle a gardé de sa pratique antérieure un sens du dramatisme, du paradoxe et de la force brute qui rend son travail toujours reconnaissable. [Dans son œuvre] Laure critique le travail parcellaire, isolé et administré de nos sociétés. (...) La révolte, l’inconciliable des conflits humains, les revendications féministes, voilà ce qui porte (...) cet art poétique et rugueux, souvent habile à exclure le regardeur qu’il inclut, — et vice versa. »Convoquant la rage et la révolte comme énergies créatrices, cette proposition expérimentale invitera également au faire ensemble et à la solidarité. Scénographiée autour du four conçu par Laure Chocheyras lors du workshop de la Clochy Foundry Compagny et prélevé à Valdeblore, l’exposition sera habitée par des images d’archives, des actions ainsi que par des sculptures, dont certaines inédites : leurs moules seront décochés à l’occasion du week-end d’ouverture.

Une programmation vidéo sera proposée à l'occasion d'OVNI en ville du 22 novembre au 1er décembre.

La Station remercie la famille Chocheyras, L’atelier 960° (Carcès) et la Villa Arson (Nice) pour leur soutien.

Renseignements pratiques : 89, route de Turin +33(0) 4 97 12 71 11 Fermé le dimanche et le lundi 11h-18h jusqu’au 22 juin 10h-18h jusqu’au 28 septembre le109.nice.fr

MAMAC/Exposition : Charlotte Pringuey Cessac/ du 6 décembre au 17 mai 20206 décembre – 17 mai / Bruit originaire/à Terra Amata et au MAMAC/ :

Bruit originaire est une invitation à un voyage dans le temps, des premières traces d’occupation humaine à Nice il y a 400 000 ans et du témoignage des pierres taillées laissées par cette communauté, aux expériences menées aujourd’hui par l’artiste Charlotte Pringuey-Cessac pour convoquer la mémoire vibrante de ces vies passées.

La préhistoire, les outils et méthodologies de l’archéologie constituent une source pour son travail, une matière à partir de laquelle elle tisse des expériences et des récits, s’autorisant des vagabondages entre la science et la licence poétique, la trace laissée par l’histoire et sa réinvention contemporaine.

Pensée comme un parcours, son exposition à Nice se déploie du musée de Préhistoire de Terra Amata, épicentre de l’activité de ces premiers hommes, au MAMAC, en passant par la colline du château où, en 2013, fut découverte une sépulture peuplée de restes funéraires datant des XIIe et XIIIe siècles.

Cette promenade à travers les siècles s’articule autour de l’idée d’un Bruit originaire, expression empruntée au poète Rainer Maria Rilke. Après qu’il ait découvert avec émerveillement le potentiel des premiers phonographes, il rêve à « une chose inouïe » : « mettre en sons les signatures innombrables de la création qui durent dans le squelette, dans la pierre, (…), la fissure dans le bois, la démarche d’un insecte », et entendre la mémoire d’un être disparu en parcourant les sillons du crâne avec l’appareil… Entre pensée romantique et fantasme démiurgique, cette aspiration de Rilke à ré-animer l’absence, est un fil conducteur de la proposition de Charlotte Pringuey-Cessac.

La convocation d’un monde révolu, le dialogue intime avec les témoins du passé et la pensée magique dont elle investit ce qui semble inerte, dessinent une ode sensible à la mémoire et aux bruissements de ce qui n’est plus : nos origines.

La production des œuvres de Bruit Originaire a bénéficié du soutien :Du MAMAC, du Musée de Préhistoire de Terra Amata, de l’Assocation des Amis du MAMAC de Nice et de l’Hôtel Aston La Scala à Nice.Du Ministère de la Culture et de la Communication, de la Galerie Eva Vautier à Nice, de la Ville de Versailles, du Centre International d’Art Verrier de Meisenthal, d’EasyCeram à Limoges, du Laboratoire de Mécanique et d’Acoustique de Marseille, de l’École d’Art de Céramique de Vallauris, de la Cité des Sciences et de l’Industrie de La Villette, du Centre National de la Recherche Scientifique / Modèles et Simulations pour l’Architecture du Patrimoine.

Commissariat des expositions : Hélène Guenin, directrice du MAMAC et Bertrand Roussel, directeur des musées d’archéologie de Nice

Lars Fredrikson /jusqu’au 22 mars 2020

Le MAMAC consacre, en collaboration avec le NMNM de Monaco, la 1ère grande rétrospective de Lars Fredrikson. Le travail de cet artiste majeur, disparu quasi-anonymement en 1997, jouit depuis quelques années d’une redécouverte et relecture. L’exposition organisée au MAMAC permet pour la première fois d’embrasser l’ensemble des recherches de l’artiste et de faire découvrir un travail sensible, exigent et novateur encore méconnu du public. De grands ensembles d’œuvres sont ainsi entrés récemment dans les collections du Centre Pompidou, de la GAM à Turin et d’autres collections publiques et privées internationales.

D'origine suédoise, Lars Fredrikson s'installe dans le sud de la France en 1960. Artiste inventeur, chercheur inlassable et bricoleur de haut vol, il est passionné tout autant par l’univers sensible de la poésie que par les expérimentations plastiques ; fasciné tant par la philosophie extrême orientale que par les possibles offerts par les technologies de son temps. S’entremêlent et se succèdent ainsi au fil des années, une pratique artistique de facture classique - en témoigne l’abstraction gestuelle de ses aquarelles qui le rattache à un courant formaliste - et des expérimentations techniques sur téléviseur, fax, produisant des lignes serpentines d’une épure égale. Ses recherches sont pleinement ancrées dans l'esprit de son temps : à l’instar de Nam June Paik, Fredrikson va très tôt travailler avec les potentialités de la télévision et les détourner dans son œuvre plastique, tandis que ses recherches sur les structures de l’invisible et l’aléatoire frappent par leur proximité avec la démarche de John Cage.

Porosité des champs esthétiques et porosité des champs de production : Lars Fredrikson entreprend une intense activité de gravure aux ateliers de la Fondation Maeght avant d’en opérer le déplacement dans les domaines de la sculpture et du livre. Conjointement, dès les années soixante, Lars Fredrikson s’empare de la question sonore, et défend l’idée d’un « espace plastique », révélé et façonné par la matière-son. « Je voulais que ma sculpture parle de l’espace dans lequel nous nous trouvons, qu’elle donne des indications sur ce qui nous entoure- y compris l’espace sidéral [1] », déclare-t-il alors.

Son approche protéiforme est traversée par une tentative de capter et révéler à travers le langage, des gravures, dessins aux fax, inox martelés ou œuvres sonores, des flux énergétiques telluriques, sidéraux ou intérieurs. Son œuvre interroge ainsi les notions d’espace, de vide, de rythmes corporels, notre capacité à les percevoir, et leur convolution avec les lois cosmiques. Lars Fredrikson rend ainsi palpable ce que l’on ne voit pas et qui est pourtant sous nos yeux : l'interaction des éléments et du monde.

Le réseau de collaborations et d’amitiés de Lars Fredrikson permet de dresser une ébauche du paysage artistique et littéraire français, et plus spécifiquement celui de la région niçoise, dont il fréquente quelques-unes des plus emblématiques institutions - la Villa Arson et la Fondation Maeght notamment. Son approche plastique sonore et sa transmission pédagogique de l’écoute se sont répercutées localement à plusieurs niveaux : en 1971 il est nommé au département audio-visuel de la Villa Arson au sein duquel il crée le premier atelier de « Son et de recherches électro-acoustiques et visuelles » qu’il dirige jusqu’en 1991. Sa recherche et son engagement pédagogique en font une figure influente pour toute une génération d’artistes qui, aujourd’hui, sont les moteurs à divers degrés de la perpétuation et du partage de ces pratiques sonores sur la Côte d’Azur.

Le parcours proposé s’ouvre sur les dimensions cosmiques des œuvres luminocinétiques, gravures, aquarelles et peintures. Ces relations conduisent vers les reliefs en Inox et leurs infinis jeux de reflets. Martelés, pliés, striés, ces feuilles d’inox créent un espace englobant à la frontière entre le réel et le virtuel. L’exposition invite ensuite à l’appréhension des interférences, des collages et des dessins par fax jusqu’aux œuvres et expérimentations sonores avec la présentation exceptionnelle du studio son de l’artiste.

Ce parcours non linéaire, opérant des renvois multiples, est étayé par une documentation inédite, fruit d’un long travail de recherche. Il permet de mettre à jour la contribution singulière de Lars Fredrikson et l’ampleur de son héritage.

Nouvel accrochage des collections/ 2019 - 2020SALLE ALBERT CHUBACAlbert Chubac est né en 1925 à Genève.(Genève 1925- Tourrette-Levens 2008)A la suite d’études aux Arts Décoratifs et aux Beaux-Arts de Genève, son œuvre est marquée d’étapes déterminantes : l’intérêt porté à Klee, Kandinsky, Miró, Matisse, Picasso, la rencontre avec Nicolas de Staël en 1950; des voyages en Italie, en Espagne, en Grèce, en Egypte et en Algérie.Dès les premières peintures, proches de l’abstraction, il utilise un registre de couleurs primaires, en aplats. Il applique ensuite cette technique aux sculptures de bois " modifiables ", dont le principe permet aux spectateurs d’intervertir les éléments. Puis il explore dans une nouvelle période les ressources lumineuses du plexiglas coloré.En 2004, Albert Chubac fait don d’une centaine d'œuvres à la Ville de Nice pour le musée d’Art moderne et d’Art contemporain. Le Mamac a présenté cette donation en 2004, devenant ainsi le pôle de référence pour l’œuvre de l’artiste en France. 

Galerie Contemporaine 

Renseignements pratiques : 1, place Yves Klein +33(0) 4 97 13 42 01 Fermé le lundi 11h-18h jusqu’au 22 juin 10h-18h jusqu’au 29 septembre www.mamac-nice.org

GALERIE DES PONCHETTES : Exposition en cours de montage

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Galerie des Ponchettes – MAMAC Hors les murs77 quai des Etats-unis 06300 Nice / 04 93 62 31 24tous les jours sauf le lundi de 11h à 18h

MUSEE NATIONAL DU SPORT/jusqu’au 8 mars 2020:

Exposition Portraits d’Athlètes

Le portrait est une forme de langage qui dévoile les représentations et les perceptions. Qu’il s’agisse d’une photographie, d’un dessin, d’une peinture, d’une sculpture, d’une vidéo ou encore d’un texte, il permet de faire ce lien, parfois fragile, entre le supposé et le réel, entre l’imaginaire et le vécu.L’exposition Portraits d’Athlètes dévoile les secrets de cet exercice périlleux qui permet de décrypter l’image renvoyée par le sportif et son rôle au sein de la société.

 INFORMATIONS PRATIQUES MUSEE NATIONAL DU SPORT/ Renseignements pratiques : Stade Allianz Riviera. Boulevard des Jardiniers. Horaires de 10h àn18h Tarif : 6 euros, gratuit pour les moins de 18 ans. Tel : 04 89 22 44 00 ou www.museedusport.fr

Tarifs :- Exposition permanente OU temporaire : 6 € l’entrée - 3 € pour les groupes (Sur réservation à partir de 10 personnes).- Exposition permanente ET temporaire : 8 € l’entrée - 4 € pour les groupes (Sur réservation à partir de 10 personnes).- Gratuit pour les moins de 18 ans, personnes handicapées, titulaires Carte Culture, titulaire Pass Education, personnel de l’administration des sports, demandeurs d’emploi, journalistes, membres de l’ICOM, détenteurs du French Riviera Pass et de la Côte d’Azur Card.- Gratuit pour tous le 1er dimanche de chaque mois d’octobre à avril.Horaires :Ouvert toute l’année du mardi au dimanche (fermé le lundi), de 10h à 18h de mai à septembre et de 11h à 17h d’octobre à avril.Autres activités :Le musée propose également un programme riche en activités tout au long de l’année (visites guidées, visites en famille, ...). Voir l’agenda des activités au musée du sport...Accès :À proximité de l’aéroport Nice-Côte d’Azur et de l’Autoroute A8. En voiture sortie 52 Saint-Isidore ou suivre signalisation Allianz Riviera depuis le centre-ville. Parking gratuit et sécurisé à l’Allianz Riviera. En bus Lignes 11 et 59, Arrêt Saint-Isidore. En train (ligne Chemin de Fer de Provence) Gare Nice - Saint-Isidore.Contact :Téléphone : 04 89 22 44 00Courriel : contact@museedusport.fr

MUSEE DE LA PHOTOGRAPHIE CHARLES NEGRE/ EXPOSITION GUY BOURDIN/ jusqu’au 29 janvier 2020

Après l’Isle sur Sorgue au Centre d’Art de Campredon vous pouvez retrouver les magnifiques photos de Guy Bourdin à Nice.

Photographe de mode et de publicité

Guy Bourdin (1928-1991) est un photographe de mode et de publicité français. Cet autodidacte est né et a vécu à Paris où il a exercé son art des années 1950 à la fin des années 1980. Pendant plus de trente ans, il a repoussé les frontières de la photographie de mode contemporaine et son œuvre est toujours une source d'inspiration et de fascination. Il a consacré sa vie à une quête artistique qui s'est également exprimée à travers la peinture, les films et l'écriture.

Créateur avant-gardiste, il fut sans aucun doute l'un des photographes de mode les plus influents du vingtième siècle. Fascinante et révolutionnaire, son œuvre continue d'inspirer ses contemporains et fait l'objet d'un véritable culte.

La photographie de mode a été pour Guy Bourdin un support pour transmettre un message difficile à décoder, pour explorer un univers à mi-chemin entre l'absurde et le sublime. Réputé pour ses mises en scène suggestives, ses superbes décors et son esthétique surréaliste, il a rompu avec les conventions de la photographie commerciale à travers un perfectionnisme acharné, un humour cinglant et une réelle vision artistique.

Inclassable, imprévisible, polyvalent et cultivé, Guy Bourdin demeure une énigme. De sa carrière professionnelle et artistique à sa biographie aux multiples facettes, sa vie et son œuvre échappent à toute définition simple et tranchée.

Les portraits des débuts datent de ses premières publications dans la presse : " Chapeaux Choc " pour Vogue Paris et " Portraits de l'artiste " pour Nouveau Femina. Toutes deux publiées en février 1955, ces séries témoignent déjà de la netteté de sa vision.

L'exposition met en lumière la fascination de l'artiste pour les compositions graphiques très travaillées, les concepts, le cadrage et le style narratif digne du cinéma propre à Guy Bourdin. Les personnages occupent néanmoins une place secondaire dans ses œuvres : l'environnement naturel ou urbain encadre le sujet, et le corps se fond dans son cadre immédiat. S'il fait partie intégrante de l'image, le personnage n'en constitue jamais le point central ; c'est cette subtilité de composition et de forme qui rend l'œuvre de Bourdin si fascinante.

De la nature morte au portrait en passant par le paysage et l'abstraction, Guy Bourdin aborde ses sujets sous un angle novateur et expérimental. C'est par la tension qui s'instaure entre la maîtrise de la mise en scène et l'originalité du regard que ses œuvres sont toujours aussi intéressantes et fascinantes aujourd'hui.

LA GALERIE DU MUSÉE[MUSEUM GALLERY]

La Galerie du Musée de la Photographie Charles Nègre est ouverte tous les jours de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h sauf le lundi

du 14 décembre au 16 février 2020

LE BABAZOUK DES PHOTOGRAPHES

Surnommé « le Babazouk », adaptation locale du milieu du XIXe siècle d’une expression arabe signifiant la porte du souk, le Vieux-Nice, Vila-Vielha en niçois, est le cœur historique de la ville, son âme

et son esprit.

Au pied de la colline du Château, entre les rivages de la Baie des Anges et les rives du Paillon, la place Garibaldi et la place Masséna ; ce quartier pittoresque s’offre aux yeux et aux objectifs de ceux qui savent le regarder. Dans ses ruelles étroites bordées de modestes immeubles dont les persiennes et les

façades ocre dissimulent de splendides palais baroques, le linge est encore pendu aux fenêtres. Au détour des rues se dévoilent des places aux marchés animées et surgissent de derrière les toits, les

clochers des églises. C’est sur la place Pierre Gautier et le cours Saleya qu’avait lieu à l’origine le Carnaval,  et dans les rues, la fête des Mais qui permettait le temps d’une célébration de réconcilier le

peuple et la bourgeoisie plus habituée aux fauteuils de l’Opéra, rue Saint-François de Paule.A la tombée du jour, quand les lumières s'allument, c'est ici que les Niçois se donnent rendez-vous.

Il n’est pas étonnant que musiciens, écrivains, poètes, peintres aient été attirés par ce lieu et y aient puisé leur inspiration comme Matisse fasciné par « cette lumière qui crie », ou Raoul Dufy qui y découvre la couleur : « le bleu lumineux entre les toits du Vieux-Nice ». Romain Gary, Jean Cocteau, Louis Nucéra, Jean-Marie Le Clézio et bien d’autres écrivains y fixent leur légende et leurs récits, les musiciens aussi.

Berlioz composera l'ouverture du "Roi Lear" alors qu'il est hébergé dans la tour Bellanda.

Mais ce sont les photographes, arrivés avec le développement du tourisme à la Belle Epoque, et les millions de cartes postales adressées dans le monde, qui contribueront le plus à la popularité de ce quartier. Charles Nègre, Les Frères Neurdein, Walburg De Bray et Jean Gilletta sont les plus illustres

représentant de cette première génération. Jacques Henri Lartigue, Brassaï, Joseph Lucarelli, Paul Louis et Raph Gatti à leur tour se laisseront séduire par la beauté et la simplicité de ce lieu. Un lieu photogénique

qui offre aux photographes comme Olivier Monge, Bogdan Konopka, Raymond Dityvon, Pentti Sammallahti, Hugues de Wurstemberger, Michael Kenna, Claude Nori et Pelle Kronestedt une multitude

de décor et d’aventures possibles.

Aujourd’hui, la vieille-ville a perdu son caractère de village avec la disparition des échoppes traditionnelles remplacées par des commerces destinés davantage aux touristes et même si Nice est une ville moderne et cosmopolite, elle n’oublie pas qu’elle plonge ses racines dans ce Babazouk qui continue d’inspirer de nouvelles générations de photographes.

Renseignements pratiques : 1, place Pierre Gautier – 06300 Nice +33(0)4 97 13 42 20 Fermé le lundi 11h-18h jusqu’au 22 juin 10h-18h jusqu’au 29 septembre museephotographie.nice.fr

MUSEE MATISSE/ EXPOSITIONS

Exposition : CINEMATISSE : jusqu’au 5 janvier 2020 Pour la première fois, le musée Matisse se propose d’explorer les liens entre Henri Matisse et le cinéma. Spectateur assidu, Matisse aborde le cinéma comme un divertissement mais pense aussi son œuvre en fonction de cette nouvelle forme d’expression populaire. Il ne dédaigne pas l’observation de sa pratique de peintre à travers la « loupe temporelle » qu’est la caméra. Dans le film de François Campaux (1946), cette dernière dévoila que la fulgurance de son trait était nourrie par la préparation autant que par l’improvisation et la pensée. En 1930, Matisse rencontra un des cinéastes majeurs du cinéma muet, Friedrich Wilhelm Murnau, à l’occasion d’un voyage à Tahiti qui fut décisif dans son parcours. Le cinéma moderne, et plus particulièrement la Nouvelle-Vague française a élu Henri Matisse comme un de ses « patrons ». Commissariat de Claudine Grammont et Dominique Païni

Du 14 février 2020 au 3 mai 2020:Exposition Matisse MétamorphosesGrande exposition consacrée à la sculpture d’Henri Matisse avec plus de 120 œuvres sculptures, peintures, dessins et photographies. L’exposition prend pour point de départ la méthode de création de l’artiste et son travail de transformation de la figure selon des déclinaisons sérielles. Elle montre également un important ensemble de sculptures extra-occidentales en dialogues avec Matisse.Renseignements pratiques : 164, av. des Arènes de Cimiez +33(0) 4 93 81 08 08 Fermé le mardi 10h-18h jusqu’au 15 octobre 11h-18h jusqu’au 5 janvier musee-matisse-nice.org

MUSEE CHAGALL/ Exposition  jusqu’au 27 avril 2020:

Sur la terre des dieux. Marc Chagall et le monde grec

A travers un ensemble d’œuvres rarement montrées, l’exposition explore le rapport entre Marc Chagall et la littérature antique grecque. A l’invitation de son éditeur d’origine grecque, Tériade, l’artiste entreprend deux voyages en Grèce en 1952 puis en 1954, desquels découlent plusieurs projets.Renseignements pratiques : 36 av. du Docteur Ménard + 33 (0) 4 93 53 87 20 musees-nationaux-alpesmaritimes.fr

MUSEE D’ART ASIATIQUES : COLLECTIONS PERMANENTES A VOIR ABSOLUMENTRenseignements pratiques : Parc Arenas (à côté de l’aéroport de Nice) 405, promenade des Anglais. Quartier Arénas - 06200 NICE. Téléphone : 33(0)4 92.29.37.00 Site internet : www.arts-asiatiques.com Contacter le musée par courrielLe musée départemental des Arts asiatiques est ouvert tous les jours, sauf le mardi. Du 1er septembre au 30 juin : de 10 heures à 17 heures.Du 1er juillet au 31 août de 10 heures à 18 heures. Fermeture le 1er mai.ENTRÉE GRATUITE

VILLA ARSON /3 EXPOSITION/ jusqu’au 12 janvier 2020:

Exposition Daniel Rycharski. La Goutte creuse la pierre

En résidence à Villa Arson, Daniel Rycharski produit pour cette exposition de nouvelles œuvres en fonction du contexte local, notamment en lien avec l’afflux des migrants aux portes de nos frontières. Informations pratiques

Horaires :En période d’expositions, ouvert tous les jours sauf le mardi de 14h à 18h (jusqu’à 19h en juillet et en août).Fermé le mardi, le 1er janvier, le 1er mai, les 24, 25 et 31 décembre.Tarifs :Entrée libre et gratuite.Accès :En transports : Bus 4 et Bus 7 arrêt "Deux Avenues" - Tramway 1 arrêt "Le Ray".En voiture : sortie N° 54 de l’autoroute A8 "Nice Nord", direction Centre Ville en suivant les panneaux vers la Villa Arson.Contact :Téléphone : 04 92 07 73 73E-mail : communication@villa-arson.org

LA STATION :Exposition des artistes de La Station au 109

.A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 20 avec S. Liegeard 06 105 Nice Tel : 04 92 07 73 73 ou www.villa-arson.org

Ou servicedespublics@villa-arson.org

Ouvert tlj sauf mardi de 14h à 18h ENTREE LIBRE Tram : arrêt L Ray.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : pour LA STATION :Le 109, 89 route de Turin 06 300 NICE Tel : 04 93 56 99 57 ou starter@lastation.org ou www.lastation.org

ouvert du mercredi au samedi de 14h à 19h et sur rendez-vous.

MUSEE D’ART NAIF ANATOLE JAKOVSKY/ COLLECTIONS PERMANENTES des œuvres des grands artistes d’art naïf.

A voir absolument

Renseignements pratiques : Horairesdu 2 janvier au 22 juin compris : ouverture à 11 heures – fermeture à 18 heures ;du 23 juin au 15 octobre compris : ouverture à 10 heures – fermeture à 18 heures ;du 16 octobre au 31 décembre compris : ouverture à 11 heures – fermeture à 18 heures.

Fermeture : mardi toute la journée. Parking gratuit devant le musée.Fermetures exceptionnelles : 01/01, Pâques, 01/05, 25/12 AdresseChâteau Sainte-Hélène, Av de Fabron

MUSEE DES BEAUX-ARTS JULES CHERET : Riches collections permanentes

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/33 av des Baumettes - 06000 NICE.Tél : +33(0)4 92 15 28 28Email : musee.beaux-arts@ville-nice.fr Site : http://www.musee-beaux-arts-nice.org

Galerie Lympia, ancien Bagne de Nice / jusqu’au 12 janvier 2020:

Exposition Mercantour

L’exposition présente le travail de Eric Lenglemetz et Noëlie Pansiot autour du projet "Paroles et visages du Mercantour" (portraits en noir et blanc et extraits de témoignages audio et écrit des habitants du Mercantour) ainsi que les photos de paysages du Mercantour, glanées par Emmanuel Juppeaux tout au long de la Grande Traversée du Mercantour (GTM).

Informations pratiques

Horaires :Ouvert le mercredi, le samedi et le dimanche de 14h à 17h45. Ouvert le jeudi et le vendredi de 10h à 12h et de 14h à 17h45.Fermé le lundi et le mardi.Tarifs :Entrée libre et gratuite.Accès :Tout proche du port de Nice. Parking public souterrain Port Lympia.Bus 38 arrêt "Chemin Tordu".Contact :Téléphone : 04 89 04 53 10

GALERIE MOVING ART/exposition DRAW SOMEWHERE ELSE / jusqu’au 18 janvier 2020 les dessins, feutres, crayons de couleurs… de paysages d’Anne Sophie Viallon dans une scénographie originale.

Renseignements pratiques  Moving Art dans l’appartement galerie deVéronique de Lavenne, 24 Rue Paul Déroulède, 06000 Nice

A découvrir

ESPACE A VENDRE/ EXPOSITION du vendredi 13 décembre 2019 au samedi 1 février 2020

Vernissage vendredi 13 décembre 2019 à 18h

New York is burning ! Exposition de Stéphane Steiner/ La Galerie :Stéphane Steiner / New York is burning ![Flash-back] mars 2019 : Espace A VENDRE traverse pour la première fois l’Atlantique et pose quelques jours ses valises au cœur de la Grande Pomme. Hébergée avec une dizaine de galeries internationales par la Paula Cooper Gallery dans son espace historique de Chelsea, Espace A VENDRE présente avec succès un solo-show de l’artiste Stéphane Steiner.Décembre 2019 : 9 mois plus tard, Espace A VENDRE rejoue l’histoire. New York is burning reconstitue (certes avec beaucoup de liberté) l’exposition new-yorkaise : dispositif de transport et de monstration, œuvres exposées, mais aussi work in progress pour une immersion dans l’œuvre brulante de l’artiste !Le Showroom : Sélection d’œuvres d’artistes montrés et défendus par l’Espace A VENDRE depuis 2004.Le Château : Retour du volet Editions : une sélection toujours plus amusée d’œuvres multiples, objets d’arts et artefacts en tous genres… À découvrir au milieu

de l’accrochage explosif et épuré de l’exposition précédente par Thierry Lagalla et Arnaud Labelle-Rojoux : Toi-même.

Renseignements pratiques : ESPACE A VENDRE10, rue Assalit06000 Nice

Tram : arrêt Gare SNCF

Ouvert de 14h à 19h du mardi au samediet sur rendez-vous09 80 92 49 23 / 06 11 89 24 89contact@espace-avendre.comwww.espace-avendre.com

BIOT (06)

MUSEE FERNAND LEGER/ exposition : DESSINEZ D’ABORD FERNAND LEGER ET LE PORTRAIT/ jusqu’au 2 mars 2020 :

A partir de dessins de sa collection rarement exposés, le musée national Fernand Léger met en lumière la diversité de la pratique du dessin chez Fernand Léger. Pour l’artiste, le dessin ne constitue pas seulement un travail préparatoire et exigeant à la peinture ; il s’agit aussi d’un mode d’expression en soi que Léger pratique chaque jour, un plaisir du geste qui retranscrit avec finesse et spontanéité son observation des êtres et des choses.

Peu présent dans son œuvre peint, le portrait est omniprésent dans son œuvre dessiné : croquer sur le vif des scènes de la vie quotidienne, représenter la femme aimée, régler la composition d’un portrait académique ou fragmenter le corps pour mieux en saisir l’essentiel. L’œuvre dessiné de Fernand Léger, foisonnant et intimiste, se dévoile dans cette exposition autour de l’intérêt toujours renouvelé du peintre pour la figure humaine.Commissariat :Julie Guttierez, conservateur du patrimoine, musée national Fernand Léger Nelly Maillard, chargée des collections, musée national Fernand Léger

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Chemin du Val de Pôme 06410 Biot. Tel : 04 92 91 50 30 ou www.musee.fernandleger.fr Gratuité tous les 1 er dimanches du mois

Gratuité tous les 1er dimanches du mois.

TOURETTES SUR LOUP/ Exposition Caribaï

Jusqu’au- 11 janvier 2020Espace muséalArtiste franco-vénézuélienne, née à Tokyo en 1984. Caribaï cherche un langage fait de papiers froissés, d’encre, de reliefs et de traces, pour donner forme à des réminiscences de sensations. Il ne s’agit pas de reproduire un paysage spécifique, ni de reconnaître un objet particulier, mais plutôt, comme les peintres orientaux le font si bien, de recueillir et de laisser ressurgir, dans un mouvement de transformation, une énergie première. A travers la spontanéité d’un geste (séries Entropie, Waterscapes, Feuilles), la lente élaboration d’une composition alliant peinture, collage et/ou gravure (séries Dépaysages, Caïa, Ouranos), ou encore des installations (Ecran-rêve, Monde-flottant).

CHATEAU MAIRIE/ ESPACE MUSEAL : RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Place M. Escalier 06 140 Tourettes tel : 04 93 59 40 78 ou 06 17 18 36 40 ou culture@tsl06.com

Ouvert mardi au samedi 11h à 13h et 14H30 à 17H30 ENTREE LIBRE

VENCE

CHATEAU MUSEE DE VENCE : collections permanentes prochaine exposition en cours de montage VISITES, ATELIERS, CONFÉRENCES : Afin d’enrichir votre découverte des oeuvres, de nombreux rendez-vous sont proposés pendant toute la durée de l’exposition. Les visites guidées (comprises dans le droit d’entrée). Visite de l’exposition temporaire, assurée par un membre du musée (durée : environ 1h)

Les ateliers en famille (compris dans le droit d’entrée)Visite rapide de l’exposition adaptée aux enfants suivie d’un atelier faisant intervenir enfant(s) et accompagnant(s) (durée : 1h30 à 2h)

Les conférencesPar des intervenants spécialistes ou des associations (compris dans le droit d’entrée).

ACTIVITÉS POUR LES SCOLAIRESLe musée propose des visites et ateliers pédagogiques pour les classes. Informations et réservation : 04 93 58 15

LE MUSÉE POUR TOUS Le service pédagogique du musée conduira plusieurs collaborations pendant la durée de l’exposition, avec le Foyer d’Aide Médicalisé pour adultes handicapés (FAM), la Résidence la Vençoise (EHPAD), le Centre Médico-Psychologique (CMP), le SAS Les Près (AFPJR).BOUTIQUE-LIBRAIRIEUn choix original d’articles pour toute la famille (livres d’art, affiches et lithographies, cartes postales, carnets, calendriers, jeux, pochettes, abat-jours, assiettes bols et plats, montres…).

Ouverte toute l’année du mardi au dimanche de 11h. à 18h.

ESPACE PERMANENTHENRI MATISSE, COLLECTION DE LA VILLE DE VENCE : Dans les salles : Henri Matisse, collection de la ville de Vence - espace permanentDans le prolongement de l’exposition temporaire proposée en 2017, l’espace permanent permanent présentera une sélection de la collection municipale d’oeuvres de Matisse, constituée essentiellement d’œuvres graphiques : fusains, lithographies, eaux-fortes. Le visiteur découvrira notamment des planches de l’ouvrage Jazz, des études de Martiniquaise, eaux fortes, pour le frontispice de Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire, ainsi que des oeuvres liées à la chapelle du Rosaire : Rosaces, St-Dominique, chasuble. Des photographies réalisées par des photographes de renom international - Henri Cartier-Bresson ou Robert Capa – témoigneront du quotidien de l’artiste pendant son séjour à Vence.

INFORMATIONS PRATIQUES

Exposition temporaire :Droit d’entréeTARIF : 6 € TARIF RÉDUIT : 3 €Groupes à partir de 10 personnes, enfants de 12 à 18 ans. Étudiants sur présentation d’une carte en cours de validité.

GRATUIT Moins de 12 ans, adhérents ICOM, demandeurs d’emploi inscrits en France (justificatif de – 6 mois), allocataires du RSA ou de l’aide sociale (justificatif – 6 mois), titulaires du minimum vieillesse, artistes membres de la Maison des Artistes, Journalistes sur présentation de la carte de presse, Élèves du lycée Matisse, du Collège de la Sine et des établissements scolaires vençois, élèves scolarisés résidant à Vence.

 Visites guidées et ateliers VISITES INDIVIDUELLES :comprises dans le droit d’entrée. VISITES GROUPES : 2,50 € par personne, sur réservation, à partir de 10

personnes. VISITES ET ATELIERS SUR TEMPS ÉDUCATIF : gratuité des visites guidées et

ateliers pour enfants et leurs accompagnateurs sur le temps scolaire. VISITE “SUR LES PAS D’ARMAN” Visite dans la cité, d’une durée d’environ 1h30,

proposée dans le cadre des visites estivales “Vence et ses artistes.” Sur réservation obligatoire au Bureau d’Information Touristique de Vence +33(0)4 93 58 06 38 (nombre de places limité). Tarifs : 10€ par personne – minimum 5 personnes 5€ de 6 à 12 ans – Gratuit pour les enfants de moins de 6 ans.

ATELIERS INDIVIDUELS Ateliers du mercredi : 65 €, tarif trimestriel.Stages d’arts plastiques durant les vacances scolaires : 65€ tarif par semaine.

ATELIERS EN FAMILLE : compris dans le droit d’entrée. Réservations au 04 93 24 24 23

STAGE :“Sur les traces d’ARMAN” Du 8 au 12 juillet de 9h30 à 12h. De 8 à 14 ans Tarif 65€ la semaine. Réservation au 04 93 24 24 23 (places limitées)

HORAIRES :Les espaces d’exposition sont ouverts du mardi au dimanche de 11 heures à 18 heures.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 2 place du Frêne. 06 140 Vence Tel : 04 93 24 24 23 ou info@museedevence.com

Ouvert tlj sauf lundi de 11h à 18h.

GALERIE CHAVE : Exposition:PROGRAMMATION HIVER 2019-20/ Du 14 décembre 2019 au 31 janvier 2020… la galerie sera ouverte sur rendez-vous. Demande de rendez-vous sur ce lien ou téléphoner au 0493580345.  Au 12, Nouvel accrochage LOUIS PONS. Cette  exposition met l’accent sur les axes majeurs de l’œuvre de Louis Pons : dessins à l’encre

de Chine, jouets pour adultes et montages LOUIS PONS/ DESSINS PARTIE 2 : ŒUVRES DE 1952 A 1986 PEINTURES A L’HUILE  –  DESSINS A L’ENCRE DE CHINE  –  PREMIERS « JOUETS POUR ADULTES »  –   ASSEMBLAGES DE REBUTS ET DÉBRIS 2019 Galerie Chave 12 13, rue Isnard 06140 Vence L’exposition Louis Pons (œuvres de 1952 à 1986) se poursuit dans les 2 galeries jusqu’au 30 novembre HOMMAGE A LA GALERIE CHAVE AU CENTRE POMPIDOU/ Dans le cadre de la rotation annuelle des expositions-dossiers thématiques présentées dans le parcours des collections, le Musée national d’art moderne rend hommage à quelques-uns des grands marchands d’art moderne et contemporain, actifs en France de 1905 à la fin des années 1960 dont Alphonse Chave qui a créé et dirigé la galerie Chave .

Galerie Chave 12 & 13, rue Isnard Vence Tel : 04 93 58 03 45

MUSEE DE TENDE/ VALLEE DES MERVEILLES/

Exposition : Gravures nomades. L'art rupestre dans la steppe Mongole et Sibérienne. :MUSÉE DES MERVEILLES :Jusqu’au mardi 31 mars 2020 : Le musée des merveilles de Tende vous propose une version adaptée et actualisée d’une exposition conçue par le Musée d’Anthropologie de Monaco, dans le cadre de la mission archéologique conjointe Monaco-Mongolie débutée en 2006.Lors de plusieurs campagnes archéologiques au plein cœur de la Mongolie, sur le site de Tsatsyn Ereg, des dizaines de grands complexes funéraires ont été découverts ainsi qu’une centaine de stèles ornées de cervidés (« pierres à cerfs »), de figures géométriques et d’armes.C’est autour de ces vestiges archéologiques d’exception qu'est axée l’exposition présentée au musée des Merveilles. Ces monuments gravés réalisés par des peuples nomades sans écriture entre l’âge du Bronze final et l’âge du Fer, dans une période protohistorique proche de celle où les hommes ont gravé des milliers de motifs sur les roches de la région du mont Bego, demeurent uniques et fascinants.L’exposition tente ainsi de décrypter les relations entre les objets trouvés dans les fouilles (armes, ornements, vaisselle…) et ceux gravés sur les stèles par les anciens cavaliers mongoles.Grâce à des outils multimédias, des moulages d’exception et une scénographie complètement rénovée, vous partez ainsi à l’aventure avec ces peuples nomades protohistoriques dans des lointains et mystérieux territoires...

Des animations pour tous les publics se dérouleront également autour de cette exposition :

 Festival de musique de montagne, avec la participation

d’un groupe mongole de chant diphonique« Horizons mongols », exposition de photographies de Bruno et Tuul Morandi, de début juillet 2019 à mars 2020 Renseignements pratiques : Tende 06430. Tel : 0493 04 32 50 ou www.museedesmerveilles.com

MANE (Haute- Provence):

PRIEURE DE SALAGON : monument + EXPOSITION/ Intérieur paysan : jusqu’ au 15 décembre 2020Les collections du musée de Salagon sont une nouvelle fois mises en valeur et évoquent une maison bas-alpine avant l’arrivée de l’électricité grâce à une scénographie originale qui mêle objets et dessins.RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 92 45 70 50. Ou info-salagon@le04.fr ou www.musee-de-salagon.com

QUINSON (04)

MUSEE DE LA PREHISTOIRE DES GORGES DU VERDON : collections permanentes ouvertes jusqu’au 16 décembre puis fermeture du musée jusqu’au 14 février 2020.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Pour toutes les activités, sauf la visite libre du musée, réservation obligatoire : 04 92 74 09 59

Le musée est ouvert du 1er février au 15 décembre. Fermeture hebdomadaire le mardi sauf vacances scolaires de la Zone B2

Adulte: 8 €

Enfant: 6 €

SAINT PAUL LES TROIS CHATEAUX/

ANGLE ART CONTEMPORAIN : EXPOSITION/ "Cheminement(s)" avec Joana TEULE et Raphaël KUNTZ : Jusqu’au11 janvier 2020Exposition, "Cheminement(s)", nous avons demandé aux deux artistes de nous la présenter. Et voici ce qu’ils nous ont dit :

Joana TEULE : "Les pièces présentées à Angle ont été pensées lors d’une résidence en juillet-août 2019, et inspirées des différentes rencontres drômoises : la centrale nucléaire du Tricastin, les anciennes carrières de pierres, le café de Réauville, des flâneries automobile, un vendeur de bois exotique à la retraite, un mur pour faire un enduit, des dents de requins dans le sable, le Lez et ses baigneurs, un éleveur de brebis... Ici je propose une suite de

pièces, qui, traduisant une enquête, m’initie sur les pratiques et les liens présents sur le territoire. J’invite aussi des compagnons d’ailleurs à pratiquer et penser la Drôme...."

Raphaël KUNTZ : "Je propose une série de dessins qui présentent trois phénomènes : la génération d’une montagne, la formation d’un nuage et l’ascension d’une bulle. Les dessins montrent des temps immobilisés, produits par des procédures et des simulations informatiques animées, résultat d’une recherche d’un instant représentatif de ces phénomènes. Ces temps sont ensuite capturés et recomposés dans un ensemble de feuilles de papier. Au moyen de trames procédurales, les différentes couches d’encres, de feutre et de stylo révèlent volumes et mouvements gazeux, solides et liquides. Le langage graphique de ces compositions est une libre interprétation des systèmes de représentation des sciences géologiques et météorologiques. Les envergures des phénomènes ici représentés sont délibérément incertaines et jouent sur une confusion d’échelle qui interroge notre relation au paysage." Le projet de Raphaël KUNTZ a bénéficié de l’aide individuelle à la création de la DRAC Occitanie.

Venez découvrir ce qu’ils ont sélectionné pour notre exposition de l’automne !

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ANGLE ART CONTEMPORAINPLACE DES ARTS 26130 SAINT-PAUL-TROIS-CHÂTEAUX04 75 04 73 03 /contact@angle-art.fr /--> www.angle-art.comOuvert du mercredi au samedi (sauf jours fériés)14h - 18h d'octobre à juin / 16h - 19h et le jeudi de 20h à 23h de juillet à septembre

SAINT RESTITUT/

CENTRE D’ART CONTEPORAIN :MAZEN SAGGAR : Exposition du Lundi 9 Septembre 2019 et jusqu’au 29 Décembre 2019 :Parenthèse 2019, au retour de Visa Pour l’ImageMAZEN SAGGAR, photographe : Né en Irak et arrivé en France à l’âge de dix ans, Mazen Saggar est un photographe qui a dédié sa carrière à la couverture de deux mondes opposés: d’un côté, les coulisses de la mode chez Louis Vuitton, et de l’autre, le vécu des populations en situation tragique à travers le monde.Au Centre d’Art Contemporain de Saint-Restitut, vous retrouverez ses paysages de l’Ile de Pâques, son reportage sur les conséquences du déversement de pétrole dans les rivières du sud du Nigéria, et ses portraits de mode à Paris. De quoi vous transporter d’un bout à l’autre du monde.

Renseignements pratiques : Centre d’Art Contemporain de Saint-Restituten face de l’Église 3 passage de la Cure, 26130 Saint-Restitut (Drôme Provençale)

MONTELIMAR

CHATEAU DES ADHEMAR/ Exposition : CESAR FACE A FACE/ jusqu’au 31 décembre Dialogues avec César. Regards d’artistesAu château de Montélimar, deux artistes contemporains inspirés par la figure tutélaire de César exposent leurs créations.L’accumulation et la transformation d’objets fondent le travail en volume de Thibault Franc, qui collecte jouets et matériaux de rebut pour fairesurgir des formes nouvelles. Il partage également avec César un goût pour la culture populaire et un imaginaire luxuriant où les animaux prolifèrent.En écho avec les expérimentations de César sur la viscosité des matériaux (mousse polyuréthane, cristal…), Frédérique Nalbandian explore le savondans toutes ses variations de forme ou de couleur. Les jeux de courbes et les nuances nacrées évoquent une sensorialité que César ne renierait pas.Du 18/05 au 31/12/2019, tous les jours. Château des Adhémar› de mai à juin et de septembre à décembre:10h - 12h30 / 14h - 18h› juillet - août : 10h - 18h› fermeture le mardi du 01/11 au 31/12 et jours fériés 11/11, 25/12 ; VISITES DE L'EXPOSITIONEn mai, juin et septembre les dimanches à 11H au MAC et à 14H30 au châteauEn Juillet Août tous les jours à 11H au MAC et à 14H30 au châteauEn octobre, novembre et décembre les dimanches 20 et 27 octobre, 24 novembre, 22 décembre, 29 décembre à 11H au MAC et à 14H30 au château.SAINT TROPEZ

MUSEE DE L’ANNONCIADE : Collections permanentes du musée HorairesDu lundi au dimanche de 10h à 19h, nocturne tous les lundis jusqu’à 21h de juillet à septembre.RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Place Grammont Le Port ; 83990 Saint-Tropez . Fax : 04 94 97 87 24. Tel : 04 94 17 84 10Mail: annonciade@ville-sainttropez.fr  

Fermé le lundi : ouvert les autres jours : de 10h à 13H et de 14h à 18H. Fermé en novembre, les 1er et 17 mai, Ascension, Noël et 1er janvier.

SANARY SUR MER(83) : MAISON FLOTTE / Jacqueline GRAS, Maryse PIAT et Roselyne ASTIER-CLAUSE

Du 8 au 19 février, Maison Flotte20 Quai Charles de Gaulle, 83110 Sanary-sur-Mer

GALERIE MABRTHELEMY DE DON/ MERYLDu 8 au 19 février 2020Galerie Barthélemy de Don17, rue Barthelemy de Don

ESPACE SAINT NAZAIRE : Exposition en cours de montageRenseignements pratiques : Rue Joseph Courrau, Sanary. Ouvert du mardi au vendredi de 10 à 12H30 et de 15h à 19H Tel : 04 94 32 97 00 ou www.sanarysurmer.com

LA SEYNE SUR MER/ TAMARIS (83) :EXPOSITION AU FORT BALAGUIER :.

L'INVENTEUR DE TAMARIS Une exposition très complète évoque la vie hors du commun de Marius Michel Pacha ses réalisations à La Seyne. Des panneaux pédagogiques détaillent l’évolution et la protection du paysage terrestre et maritime. Fort Napoléon, exposition permanente. Le massif forestier du fort Napoléon étant soumis à l'arrêté préfectoral régulant la circulation des piétons et des véhicules l'été, se renseigner avant toute visite au 04 94 30 42 80.

maisondupatrimoine@la-seyne.fr - 04 94 06 96 45

DÉCOUVRIR LES VISITES GUIDÉES DE L'OFFICE DE TOURISME TAMARIS, LE RÊVE ORIENTAL Allons à la découverte du quartier Tamaris créé par Marius Michel Pacha. Une agréable balade parmi les villas de style oriental, italien, « chalet », parcs et jardins vous permettra d’appréhender l’extraordinaire diversité de ces aménagements. Vous apprécierez la vue exceptionnelle sur la rade de Toulon et les parcs à moules de Tamaris. RDV à 9h15 au port du Manteau, devant le portail aux lions ; visite de 2h, réservation obligatoire >, jeudi 3/10 et mardi 22/10 Tarifs : adultes 8€ ; enfants (6-12 ans) 2€, gratuit pour les moins de 6 ans.

LES SABLETTES, BALADE ENTRE DEUX MERS Promenade dans le Parc paysager Fernand Braudel, et jusqu’au hameau des Sablettes labellisé « Patrimoine du XXe siècle «.Vous découvrirez un site unique tant par son histoire, sa géologie que sa reconstruction par le célèbre architecte Fernand Pouillon dans les années 1950. Et vous vous laisserez conter la fameuse légende des Deux Frères. RDV à 9h15 à l’Office de Tourisme des Sablettes visite de 2h, réservation obligatoire 2334 corniche Georges Pompidou - 83500 La Seyne-sur-Mer tourismeouestvar.com - 04 98 00 25 70 jeudi 26/09 et samedi 12/10 Tarifs : adultes 8€ ; enfants (6-12 ans) 2€, gratuit pour les moins de 6 ans.

LES SABLETTES : UNE TRADITION BALNÉAIRE Fernand Pouillon (1912-1986) reconstruit en 1950 le hameau des Sablettes créé par Michel Pacha 70 ans plus tôt et rasé en 1944. Ce village d’inspiration méditerranéenne en matériaux traditionnels obtient le label Patrimoine du XXe et attire de nombreux curieux, touristes et architectes. Au cours de cette visite, vous pourrez retrouver le projet de Fernand Pouillon grâce à des photos d’archives exceptionnelles. Dimanche 22 septembre à 9h30, animée par Florence Cyrulnik Sur réservation : maisondupatrimoine@la-seyne.fr - 04 94 06 96 45. Les Sablettes au cinéma dans le dernier festival de Cannes le film très sympathique : « Mais qu’est –ce que c’est que cette grand-mère ! » avec, entre autres Julie Gayet, a été tourné sur la plage des Sablettes.

L'ANSE DE BALAGUIER ET LA FAMILLE ESTIENNE Promenade commentée à la découverte de l'anse de Balaguier : forts, batteries, population, mytiliculture, botanique... Animée par Monique Estienne et Geneviève Bauquin, association Histoire et Patrimoine seynois. Samedi 21 septembre à 14h30 -

Durée : 2h environ Sur réservation : maisondupatrimoine@la-seyne.fr - 04 94 06 96 45 et XXe, écrivaines, musiciennes et femmes du monde ont séjourné à Tamaris, charmées par le paysage et la douceur de vivre qui règne dans ce quartier de La Seyne. maisondupatrimoine@la-seyne.fr ou 04 94 06 96 45.

FORT BALAGUIER : monument seul en ce moment

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Direction culture et patrimoine. culture@laseyne.frFORT NAPOLEON/Monument SEUL EN CE MOMENT

A NE PAS MANQUER

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Direction Cultures et Patrimoine : Tel : 04 94 06 96 60//

culture@la-seyne.fr ou FORT NAPOLEON : Tel : 04 94 30 42 80 ou Bibliothèque municipale : Tel : 04 94 16 54 00, ou Ecole des Beaux-Arts : Tel 04 94 10 83 09.

MAISON DU PATRIMOINE/ EXPOSITION / PAUL PAGE ET L’ORIENTALISME : exposition en rapport avec les manifestations du bicentenaire de Michel Pacha.

A NE PAS MANQUER

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : MAISON DU PATRIMOINE 04 94 06 96 45 / 96 64 maisondupatrimoine@la-seyne.fr

VILLA TAMARIS : Expositions / TERRASSE/ALUN WILLIAMS LUX FECIT

Jusqu’au 09-02-2020 : peintures

Depuis plus de 20 ans, Alun Williams peint des toiles ayant toutes pour point commun de posséder en leur sein une tache de couleur variable. Ce sont des traces, des taches accidentelles de peinture trouvées dans des endroits spécifiques. Elles sont ensuite associer à des personnages familiers tels Jules Verne ou Garibaldi, à des nouveaux venus, Joseph Gautier , Michel Pacha ou des célébrités tout droit sorties de l’histoire de la peinture : Picasso, Manet, Goya, Raphaël. Depuis 2010, Alun Williams a beaucoup travaillé le personnage de Victorine Meurent, modèle préféré de Manet, qui apparait dans «le déjeuner sur l’herbe» et que Picasso réintroduit dans sa série d’œuvres inspirées par ce même tableau. A la Villa Tamaris sera exposée cette série consacrée à Victorine Meurent vue notamment par Picasso et réinterprétée par Alun Williams. Une série des nouvelles peintures consacrées à Michel Pacha, officier de marine qui fit construire la Villa Tamaris, et aux phares qu’il érigea entre la Méditerranée et le Bosphore sera également présentée. Isabelle Bourgeois

REZ-DE-JARDIN

WILD ON THE BEACH

Du 08-12-2019 au 02-02-2020

L’actualité d’Olivier Millagou, en cet automne 2019, l’a amené à concevoir deux expositions, sur un même territoire régional : une exposition « For those who think young » à la Tour Panorama, Friche Belle de Mai à Marseille et « Wild on the Beach » exposition collective où les artistes invités, plasticiens, designers, musiciens cohabitent comme dans le « Beach movie » des années 60 qui donne son nom à l’exposition, dans une maison d’été au bord de la plage. Olivier Millagou occupe dans ce dispositif la place du générateur et au fil de ses expositions/projets, il crée des affinités électives, des communautés  qui se rejoignent, s’agrègent comme des galaxies en expansion. Chaque projet est spécifique, réfléchi « in situ », en résonnance à celui imaginé précédemment, ultérieurement, concomitamment.Telle la chanson culte « Over the rainbow » chantée par Judy Garland dans le Magicien d’Oz, les couleurs de l’arc-en-ciel à la Villa Tamaris nous invitent à tous les possibles.  Isabelle Bourgeois 

Artistes : Nine Antico, Antoine Boudin, François Curlet, Gibus de Soultrait, Jean Jullien, Pierre La Police, Arnaud Maguet, Olivier Millagou, Nico Morcillo, Mrzyk & Moriceau, Studio Briand & Berthereau, Caroline Viquenault, Jessica Warboys, We Are The Painters.

Parallèlement aux expositions qui se tiennent aux niveaux terrasse et rez de jardin, la Villa organise des conférences, des lectures, des visites guidées, des rencontres avec les artistes, des animations scolaires.

A VOIR ABSOLUMENT surtout si vous ne connaissez pas ce très bel espace.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ENTREE LIBRE : Ouvert tous les jours de 14 à 18H30, sauf les lundis et jours fériés. 295 Ave de la Grande Maison. 83500 LA SEYNE SUR MER. Tel : 04 94 06 84 00 ou villatamaris@tpmed.org ou www.villatamaris.fr

LE THORONET (83)

ABBAYE DU THORONET / monument seul en ce moment

Renseignements pratiques : Dernier accès 30 min avant fermetureÉvacuation 10 min avant la fermetureDU 2 JANVIER AU 31 MARSOuvert tous les jours10.00-13.00 / 14.00-17.00

DU 1ER AVRIL AU 30 SEPTEMBREOuvert tous les jours10.00-18.30

DU 1ER OCTOBRE AU 31 DÉCEMBREOuvert tous les jours10.00-13.00 / 14.00-17.00

PASS GRAND SUDPASS GRAND SUDPrésentez votre Pass Grand Sud à l’accueil des 7 monuments nationaux de Provence et de Camargue et profitez d’un tarif préférentiel dès le deuxième monument visité.PASS SITES VAR

L'Abbaye du Thoronet est partenaire du Pass Sites Var de l’Office du Tourisme du Var.Présentez votre Pass Grand Sud à l’accueil des 7 monuments nationaux de Provence et de Camargue et profitez d’un tarif préférentiel dès le deuxième monument visité.PASS SITES VARL'Abbaye du Thoronet est partenaire du Pass Sites Var de l’Office du Tourisme du Var.

TOULON :

HOTEL DES ARTS : EXPOSITION en cours de montage : Le 1er janvier prochain, l’Hôtel des Arts de Toulon géré actuellement par le Conseil départemental passera sous la compétence de la Métropole-Provence-Méditerranée. En attendant cette échéance, Hubert Falco, maire de Toulon et président de la métropole, a signé avec Serge Lasvignes, président du Centre Pompidou, une lettre d’intention, première étape d’une convention de partenariat de trois ans.

L’accord prévoit la création d’une exposition par an liée aux collections design du Mnam. Cette convention est la première du genre en France pour le Centre Pompidou.

l’exposition la Modernité de la BD qui s’est achevée le 15 décembre était donc la dernière exposition programmée par Ricardo Vazquez, directeur des lieux, directeur également de la culture du conseil départemental du Var. Conservateur en chef du patrimoine, Ricardo Vazquez spécialiste de la photographie contemporaine avait succédé en 2011 à l’artiste Gilles Altieri fondateur du lieu et impulsé une autre dynamique.

L’évolution de la programmation de l’Hôtel des Arts de Toulon vers le design est à relier à l’appui à ce secteur par la métropole qui regroupe douze communes dont celle de Hyères, où se trouve la Villa Noailles épicentre du festival de la Mode mais aussi de Design Parade Hyères créé en 2006 par Jean-Pierre Blanc.

La manifestation hyéroise est présidée par Pascale Mussard, initiateurs de Design Parade Toulon dont la 4e édition a eu lieu cet été sur une programmation davantage tournée vers l’architecture intérieure que son aîné. L’exposition Nouvelles Vagues a précisément été conçue à partir des collections du Musée national d’art moderne par Marie-Ange Brayer, conservatrice en chef Design et prospective industrielle au Mnam - CCI.

La création par l’École Camondo, établissement supérieur d’architecture et du design d’intérieur, d’un second site à Toulon, dénommé Camondo Méditerranée, renforcera ce pôle culturel et artistique en plein essor à Toulon. Dès septembre, le campus accueillera ses premiers étudiants, 150 sont attendus à la rentrée 2020.Depuis sa création en 1999, l’Hôtel Départemental des Arts, centre d’art du Var, a exposé l’ensemble des médiums artistiques : photographie, peinture, sculpture, vidéo, installations… Mais il a, ces dernières années, également exploré des disciplines moins familières dans ce type de lieux. Les arts numériques bien sûr, dès 2013, l’architecture contemporaine dans le Var et en Méditerranée ou la bande dessinée qui a trouvé ici un public exigeant et connaisseur. Ainsi, en 2014, Enki Bilal a occupé ces espaces avec la puissance de son travail, l’intelligence de son regard et la générosité de ses attitudes. Parallèlement, le centre d‘art s’est inscrit dans une réflexion qu’il a voulu sincère sur notre temps et son évolution. L’idée de modernité, si chère aux avant-gardes artistiques de la fin du XIXe et début du XXe siècle, s’est rapidement rendue suspecte sous les assauts des guerres mondiales, de la bombe atomique et des dérèglements croissants de notre cadre et nos modes de vie. Les temps modernes, illustrés par Chaplin dès 1936, ont très tôt été perçus par les artistes comme un mouvement double, l’émancipation croissante de l’individu semblant s’accompagner en contrepartie d’une perte de sens collective. Les dessinateurs ont immédiatement compris cette ambiguïté. Aux temps insouciants et utopiques des années 60 illustrés notamment par Spirou et Fantasio succèdent, les premiers doutes face au désenchantement du monde et aux naissantes difficultés écologiques. Gaston Lagaffe, du même Franquin, apparaît ici comme un révélateur de l’inadaptation de l’homme aux nouveaux modèles de travail et de vie qui s’organisent. De fait, les années 80 et 90 seront les années punk, celles du « No Future » et de la violence dont Liberatore et son androïde Ranxerox se font l’écho. Elles sont aussi celles de la nostalgie d’un temps fantasmé, les années 50 et 60, qu’une autre partie de la jeunesse cherche à recréer. De même, Mézières montre à travers Valérian et Laureline une humanité confrontée à la montée des eaux, au clonage humain et au télescopage de l’espace /temps. Punks, gentlemen et agents spatiaux entremêlent ainsi les époques dans l’espoir de redonner du sens à ce qui est alors compris comme échappant à tout contrôle. L’emballement de la croissance urbaine, la montée de l’intolérance religieuse, le dérèglement spectaculaire du climat puis notre dangereuse dépendance au numérique seront les terrains de réflexion des grands dessinateurs des années contemporaines. François Schuiten ou Enki Bilal semblent alors compter sur l’indépendance et la force des femmes pour sauver le monde de sa déshumanisation. Pour eux, seul l’amour, le courage et l’intelligence peuvent rivaliser avec les nouveaux Cronos des époques contemporaines que Goya, visionnaire comme nul autre, a représenté dans les sublimes peintures noires ou dans « Les Caprices », estampes dans lesquelles l’abîme de l’âme humaine est dévoilé. Peut-être en effet, le regard d’une Maja, qu’elle soit nue ou vêtue, saura-t-il nous consoler… Ricardo Vazquez

PROCHAINE EXPOSITION EN COURS DE MONTAGE

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Ouvert du mardi au dimanche de 10h30 à 12H30 et de 13H30 à 17H30. Fermeture les lundis, le 25 décembre et le 1er janvier. 236 Boulevard Maréchal Leclerc.83000 TOULON.ENTREE LIBRE Tél. 04.83.95.18.40. www.hda.var.fr Mél. hoteldesartspublics@var.fr

GALERIE DE L’ ESADTPM/ Du 13/12/2019 au 08/02/2020, tous les jeudis, vendredis et samedis de 14h à 18h.

Présentée à l’occasion de l’exposition « Picasso et le paysage méditerranéen », cette exposition est le point de départ du projet de recherche centré sur le paysage en Méditerranée, piloté par Valérie Michel, chercheur et professeur à l’ESADTPM.

La Galerie de l'école (ESADTPM)18 rue Chevalier PaulPlace des Savonnières83000 - Toulon

Téléphone : 04 94 62 01 48 Site web : http://www.esadtpm.fr

MAISON DE LA PHOTOGRAPHIE : exposition  PICASSO TRIBUTE: jusqu’au 15 février 2020La Ville de Toulon organise en partenariat avec l’agence Magnum Photos, une exposition autour des portraits de Picasso, de vernissages célèbres et des instants de vie privée du Maître , une cinquantaine de portraits du maître espagnol ou de ses œuvres captés par les plus affûtés des regards.

Cette exposition propose aux visiteurs une série de photographies de René Burri dont la première grande publication, qui le rendit célèbre en 1953 fut consacrée à la rétrospective de Picasso au Palazzo Reale de Milan.En 1960, il récidive avec l’exposition consacrée au Maître à la Tate Gallery de Londres. Ses portraits de Picasso comptent parmi les plus emblématiques du peintre. Autre immense photographe présent dans l’exposition, Robert Capa, qui a su saisir les moments d’intimité de la vie de Picasso et Françoise Gilot, notamment les instants de bonheur sur la plage de Golfe Juan.

L’exposition permettra également de découvrir de somptueux clichés d’Elliot Erwitt, Burt Glinn, Werner Bischof, David Seymour, Guy le Querrec, Micha Bar-Am, Inghe Morath et Herbert List. Signés Robert Capa, Elliott Erwitt,

Burt Glinn et d’autres grands noms encore, les clichés offrent trois climats différents et complémentaires. Trois univers à pénétrer pour des émotions variées. Au rez-de-chaussée, le parcours propose au  visiteur des portraits de l’artiste, songeur, rieur ou concentré, dans son atelier ou ceux d’autres artistes. Au fond, la petite alcôve réserve quant à elle d’autres types de surprises : sorte d’expo dans l’expo, elle livre des photos d’œuvres réalisées en présence de leur public. Coups d’œil un brin malicieux, concordance des sujets dans un même temps ou léger décalage pris sur le vif, le sourire n’est jamais très loin, la connivence au creux du regard.

Tranches de vie

La coursive pour sa part  s’ouvre tout en rondeur à des clichés plus personnels de Picasso : des photos de famille, pourrait-on dire, dans lesquelles flottent souvent sourires et insouciance, bonheur de vivre et instants partagés. Une belle occasion de plonger aussi le regard dans celui d’un artiste dont l’œil parle à chacun de ses visiteurs.

Alors, on ne saurait trop conseiller aux amateurs de belles émotions en noir et blanc de prendre la direction de la place du Globe.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES  / de 12h à 18h sauf les jours fériés. Fermé lundi et dimanche. 

Renseignements par téléphone du mardi au samedi de 12h à 18h.

: Maison de la photographie Rue Nicolas Laugier Place du Globe 83000 - Toulon

Téléphone : 04 94 93 07 59 Site web : http://www.toulon.fr

du mardi au dimanche de 12 à 18H. ENTREE LIBRE

MUSEE DES BEAUX-ARTS DE TOULON : PICASSO ET LES PAYSAGES

MEDITERRANEENS/ jusqu’au 23 février 2020 L’exposition « Picasso et les paysages méditerranéens est coproduite par le Musée d’Art de Toulon, la métropole Toulon Provence Méditerranée et la Réunion des musées nationaux-Grand Palais et s’inscrit dans le cadre de la Saison Picasso-Méditerranée 2017-19 impulsée par le Musée Picasso de Paris.

L’œuvre de Picasso est plus connue de grand public pour ses portraits. Cette exposition sera l’occasion de découvrir une autre facette du travail de l’artiste. Une grande exposition dans le cadre du projet Picasso Méditerranée. Il a choisi de mettre en lumière les liens qui existent entre l'artiste, son oeuvre et le paysage.

Des paysages d’Espagne à ceux d’Aix-en-Provence, l’oeuvre de Picasso est ponctuée de paysages qui témoignent des différents lieux de villégiature qu’occupe l’artiste, et des paysages qu’il eut le temps d’apprécier à l’occasion de ses déplacements ou séjours sur la Côte d’Azur. A la fin de sa vie, il découvre d’autres paysages, plus arides au pied de la montagne Sainte-Victoire, dans le château de Vauvenargues.

Du 16 novembre 2019 au 23 février 2020, cette exposition temporaire s’inscrit dans la saison Picasso Méditerranée 2017-2019 et dans le cadre des travaux de rénovation du Musée d'Art de Toulon, le MAT.

Picasso et le paysage méditerranéen - l'exposition

L’exposition s’articulera autour d’une vingtaine de paysages méditerranéens peints par Picasso, mis en parallèle avec une vingtaine de paysages du Midi peints par ses contemporains, amis ou connaissances, en faisant ressortir les

influences réciproques des uns sur les autres : Raoul Dufy, Georges Braque, André Derain ou Kisling.

Enfin, une sélection d’une quinzaine de photographies de Lucien Clergue, Robert Capa, André Villers viendra illustrer les lieux familiers, résidences ou ateliers fréquentés par Picasso. Les œuvres présentées seront issues d’importantes collections publiques (Musée National Picasso, Centre Pompidou – Musée national d’art moderne, Musée Picasso de Barcelone…) et privées.

Les premiers paysages de Picasso sont de petits tableaux, peints en plein air à Barcelone, à Málaga. Au cours des périodes bleue et rose (1901-1906), le paysage disparaît quasiment de sa production. En 1909, lors d’un séjour à Horta de Ebro, à la veille de sa période cubiste, l’artiste réalise différentes vues de ce petit village espagnol, dans lesquelles les procédés cubistes sont déjà bien affirmés. L’année suivante, Picasso peint un certain nombre de vues du port de Cadaqués, en compagnie de son ami André Derain. Au cours des années cubistes, il fait aussi plusieurs séjours estivaux à Céret, l’occasion de travailler sur des paysages de cette région. À partir de 1919, Picasso passe presque tous ses étés sur la Côte d’Azur : les paysages ensoleillés de Saint-Raphaël (1919), de Juan-les-Pins (1920, 1924, 1925, 1926, 1930) qui deviennent des sujets d’étude de « formes », du Cap d’Antibes (1923) et de Cannes (1927) inspireront toute sa production des années 1920 et 1930. Le peintre multiplie alors les peintures de paysages, les collines, les arbres et la mer lui rappelant son Espagne natale.

À la fin de sa vie, la découverte d’autres paysages, plus arides, au pied de la montagne Sainte-Victoire, autour du château de Vauvenargues, lui donne l’occasion d’un travail renouvelé sur la

renouvelé sur la Ste Victoire, autour du château de Vauvenargues, lui donne l’occasion d’un travail renouvelé sur la couleur et la lumière.

Commissaire : Brigitte Gaillard, conservatrice en chef des musées de Toulon.

62 oeuvres vont être exposées dont 33 de Pablo Picasso ainsi que des photographies et toiles de Raoul Dufy, Georges Braque ou

encore Juan Gris.16 photographies de Pablo Picasso seront également présentées.

Cette exposition d’envergure va être réalisée avec le concours de TPM et de la Réunion des Musées Nationaux. En effet, toutes les œuvres de Picasso présentées seront des prêts issus de musées prestigieux et de collections personnelles.

C’est alors l’occasion d’un travail sur la couleur et la lumière. Le propos de l’exposition sera ainsi d’associer une vingtaine de paysages méditerranéens de Picasso à des paysages peints par des contemporains de l’artiste : Dufy, Braque, Matisse, Derain, Kisling, Marchand…

Les œuvres présentées sont issues d’importantes collections publiques (Musée National Picasso, Centre Pompidou –Musée national d’art moderne, Musée Picasso de Barcelone, …) et privées. Une occasion supplémentaire de se rendre sur la Côte d’Azur et en Provence.

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 113 Bd du Maréchal Leclerc Toulon ouvert du mardi au dimanche de 12h à 18h. Fermé les jours fériés. Tel : 04 94 36 33 30 ou 04 94 36 81 01 www.toulon.fr Tarifs 5 et 3 euros (réduit)

MUSEE DES ARTS ASIATIQUES DE TOULON/ COLLECTIONS PERMANENTES

A VOIR ABSOLUMENT les expositions et les collections permanentes sont superbes et en entrée libre. Un programme de visites gratuites par des guides professionnels formés par la conservation accompagne leurs expositions, consultez leur site pour leur calendrier et profitez-en.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Entrée libre - 169, littoral Frédéric Mistral (Bus 3 et 23) – Tél. 04 94 36 83 10 Ouvert du mardi au dimanche de 12h à 18h, fermé les jours fériés ? www.toulon.fr

CERCLE NAVAL/PAS D’ EXPOSITION EN CE MOMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Gratuit. Cercle naval 29 rue Jean Moulin 83000 - Toulon

Téléphone : 04 98 08 01 98 Site web : https://villanoailles-hyeres.com

ANCIEN EVECHE/PAS D’EXPOSITION EN CE MOMENT:Horaires : tous les jours de 11h à 17h

Renseignements pratiques : 69 Cours Lafayette. Toulon

MUSEE NATIONAL DE LA MARINE/ EXPOSITION RAYMOND DEPARDON/ PHOTOGRAPHE MILITAIRE 1962-63/ jusqu’au 31 DECEMBRE : Célèbre pour son oeuvre photographique, ses

réalisations cinématographiques et ses nombreux ouvrages dans lesquels il tisse un dialogue réflexif entre texte et image, Raymond Depardon est un auteur total, sans frontières ni limites, un témoin sensible et engagé des époques qu’il traverse, des territoires qu’il arpente et des habitants qu’ilrencontre. Riche d’un parcours débuté enfant au sein de la ferme familiale à Villefranche-sur-Saône, Raymond Depardon s’est souvent raconté, notamment dans son autobiographie, La ferme du Garet (1995). Pourtant, une zone floue demeure: quels souvenirs précis conserve-t-il de son service militaire?

À vingt ans, Raymond Depardon, pigiste pour l’agence Dalmas, s’est déjà illustré professionnellement et publie régulièrement dans les grands quotidiens et magazines d’informations nationales: France-Soir, Paris Match, etc. Au cours d’un reportage en Algérie, en 1960, il rencontre des photographes militaires du journal Bled, qui lui donnent l’idée de faire son service au sein de la revue des armées. Affecté à la rédaction parisienne de TAM (Terre Air Mer magazine) au grade de brigadieren juillet 1962, Raymond Depardon découvre une atmosphère de travail très libre rassemblant des officiers et des conscrits issus du monde des arts et du journalisme.

Pour le compte de TAM, entre les mois de juillet 1962 et d’août 1963, Raymond Depardon entreprend un véritable tour de France militaire aux côtés des différentes unités et photographie du sol, du ciel et de la mer, réalisant ainsi un panorama du territoire métropolitain, pour des entraînements ou des événements sportifs, pour des sujets de sociétés ou institutionnels.

Au diapason d’une génération en uniforme, Raymond Depardon délivre un inventaire sensible de la France des années 60, déjà empreint d’une douce distance et d’une conscience du territoire qui constitueront, des années plus tard, la signature d’un grand regard.

L’exposition « Raymond Depardon: 1962-1963, photographe militaire » est une création originale, à la fois par son contenu composé de photographies jamais vues depuis leur parution dans le magazine TAM entre 1962 et 1963 et également par sa forme, qui verra l’accrochage de tirages spécialement fabriqués pour l’occasion.

Mise en lumière d’une page inconnue de la carrière de Raymond Depardon grâce à la présentation exclusive d’une centaine de ses photographies, le parcours est enrichi de documents d’archives, de films et d’entretiens audiovisuels, témoins de la création de TAM et de l’expérience du service militaire. 

L'exposition se tiendra dans un premier temps à Toulon puis à Paris au Musée du service de santé des armées du 1er octobre 2019 au 30 janvier 2020.

Une superbe exposition des photographies très vivantes, encore peu connues, des premières photos professionnelles de Depardon.

A VOIR ABSOLUMENT

Renseignements pratiques : www.depardon1962.fr. Musée national de la Marine. Place Monsenergue. Quai

de Norfolk 83000 Toulon. Tel : 04 22 42 02 01/ www.musee-marine.frLA GARDE (VAR)

GALERIE G/ Exposition en cours de montage

Renseignements pratiques : Galerie G Rdc. Complexe G.Philipe-Rue Charles Sandro. Mardi-Vendredi 10H-12 et 14h-19H. mercredi 10h-12h et 14h-18H. Samedi 9h13h/ service culturel 04 94 08 99 19 ou lagalerieg@ville-lagarde.fr

ABBAYE DE LA CELLE/ Le Département restaure la galerie ouest du cloître de l’ Abbaye de la Celle à partir du 26 août 2019, l'Abbaye de la Celle sera fermée au public jusqu'en mars 2021 !Le Département du Var ferme les portes de l'Abbaye de la Celle pour réaliser la cinquième et dernière phase de travaux qui permettra au public de découvrir au printemps 2021 ce monument témoin remarquable du style roman provençal entièrement restauré à l'identique.À l’issue de cette ultime tranche de travaux, le Département disposera d’un monument de grande valeur architecturale.  Infos pratiques Tél : 04 98 05 05 05 ou courriel: abbayedelacelle@var.frRenseignements pratiques : ENTREE GRATUITE ouvert du Mardi au dimanche 10H30-12H30 et 13H30-17H30 . Place des Ormeaux La Celle 83 ou www.abbayedelacelle.fr ou abbayedelacelle@var.fr

HYERES : ILE DE PORQUEROLLES

FONDATION CARMIGNAC/ EXPOSITION DES COLLECTIONS PERMANENTESA VOIR ABSOLUMENT

Renseignements pratiques : ouvert : 9H30-19H : juillet et août/ 10H-18H : avril, mai, juin, septembre, octobre, novembre. Départ maritime de La Tour Fondue à Hyères : horaires des navettes sur www.tlv-tvm.com

.  Informations : La Fondation Carmignac île de Porquerolles, La Courtade. 83400

Hyères. La Fondation est à 400 m derrière l’Office de Tourisme de Porquerolles www.fondationcarmignac.com

Contactez la Villa Carmignac au 04.65.65.25.50 tous les jours de 10h à 13h et de 14h à 18h / par mail : reservation@villacarmignac.com - Visites guidées, Groupes et Privatisations : 

reservation@villacarmignac.com pour les visites de groupe, les visites guidées (Fr/En/It), les visites scolaires et les demandes de privatisation.

UZES (30)

MEDIATHEQUE INTERCOMMUNALE D’UZES : EXPOSITION / GERRD LATTIER / LE PEEINTRE CONTEUR/DU 20 DECEMEBRE AU 18 JANVIER Dessin épuré, couleurs chatoyantes, histoires revisitées avec espièglerie et sensibilité, les tableaux de Gérard Lattier nous délivrent une imagerie résolument tournée vers la vie : l’univers des petites gens, les histoires racontées par les anciens et les amis, sa propre histoire, celle des Evangiles, ou encore les chansons de Brassens ….

Avec son ton bien particulier, empreint de culture occitane, il nous transmet avec malice et humanité son imaginaire et un « réenchantement » de toutes ces petites et grandes histoires. Un beau cadeau de Noël !

Renseignements pratiques : heures et jours d’ouverture de la médiathèque

MUSEE GEORGES BORIAS : Collections permanentes en ce moment

Renseignements pratiques : Ouvertures :

Tous les jours sauf le lundi.Fermeture annuelle en janvier, le 1er novembre et le 25 décembre.

Horaires :

De novembre à février : 14h-17h.De mars à juin et de septembre à octobre : 15h-18h.En juillet et août : 10h-12h et 15h-18h.

VAISON LA ROMAINE

GALERIE DECLIC-ART :exposition en cours de montage

A+C Galerie

FERME DES ARTS : Exposition.

Ferme des arts - Médiathèque - Vaison la Romaine

LA STATION GALERIE/ EXPOSITION DES CERAMIQUES / L’ASSIETTE ET LAA COUPE / Jusqu’au 11 janvier

La Station Galerie expose les créations des artistes : Louis Bueder, Catherine Chabouis, Virginie Faguet, Mireille Favergeon, Dai Nguyen, Maureen Rose. 

A DECOUVRIR

Renseignements pratiques : 14 Ave V. Hugo Vaison. Ouvert Mardi jeudi vendredi samedi de 10 à 12H30 et de 14H30 à 18H30

SAINT PAUL DE VENCE :

FONDATION MAEGHT/ exposition RA’ANAN LEVYL’épreuve du miroir : 7 décembre 2019 au 8 mars 2020Commissaire invité : Hervé Lancelin, président de la Pinacothèque au Luxembourg.

La Fondation Maeght présente du 7 décembre 2019 au 8 mars 2020 « L’épreuve du miroir », exposition consacrée au monde pictural de Ra’anan Levy dont le commissaire Hervé Lancelin, à la fois proche de l’artiste et familier de sa création, rassemble une trentaine d’œuvres et un ensemble de gravures qui seront mises en regard avec les collections de la Fondation Maeght.

L’artiste franco-israélien n’a cessé de traquer des portions de la réalité ordinaire, singulièrement choisies, affirmant son style tout en approfondissant ses thèmes de prédilection : configuration de l’espace, fuite du temps, absence des personnes, présence des objets, l’habité et l’inhabité, les jeux de perception visuelle et d’imagination transformant le quotidien en étrangeté.

 Le principe que l’on peut détecter dans l’œuvre de Ra’anan Levy et qui sert de fil conducteur à son travail est l’AMBIGUÏTÉ. D’un côté, les œuvres qui représentent la plénitude jusqu’à la BOULIMIE comme les tables de travail et les ateliers pleins d’objets utiles ou négligeables, ou encore les tableaux qui représentent des bibliothèques dans lesquelles on peut se noyer sous des piles de livres jetés dans tous les sens. De l’autre côté, les sujets maigres voire ANOREXIQUES comme des pièces et des appartements vides, ou des fragments de miroirs. L’élément qui lie des sujets si opposés est simple : si l’on observe les pots de peinture sur les tables de travail, on aperçoit qu’ils sont toujours ouverts et qu’ils nous invitent à entrer, comme Alice entre au pays des merveilles dans un labyrinthe où elle trouve des pièces vides et des miroirs. Il y a toujours une ouverture qui invite les spectateurs à entrer.

Ra’anan Levy est né en 1954 à Jérusalem, il vit et travaille aujourd’hui entre Paris et Florence. Formé aux arts plastiques en Italie à l’Academia di Belle Arti de Rome et de Florence, et au centre d’art graphique Santa Reparata à Florence de 1975 à 1979, à l’histoire à l’Université Hébraïque de Jérusalem (départements Histoire et Histoire des pays musulmans) de 1980 à 1983, Ra’anan Levy passe trois années en résidence à la Rijksakademie van beeldende Kunsten d’Amsterdam de 1983 à 1986 grâce à une bourse du gouvernement hollandais pour post graduate. En 1987, il s’installe à Paris après avoir reçu une bourse de la Fondation de France. L’œuvre de Ra’anan Levy a été exposé à Paris, Londres, Tel Aviv, Jérusalem, Saint-Pétersbourg, Zurich et New York. Parmi quelques grandes expositions personnelles : « Ra’anan Levy : Works on Paper » (cat. expo) en 1997 au Tel-Aviv Museum of Art, « Ra’anan Levy, la chambre double » (cat. expo) à la Fondation Dina Vierny-Musée Maillol à Paris en 2006, exposition présentée en 2007 au Tel-Aviv Museum of Art sous le titre « Ra’anan Levy: The Poetics of Space » (cat. expo), « Ra’anan Levy, Passages du temps » (cat. expo) à la Fondation Dina Vierny-Musée Maillol à Paris en 2012.

En 2013, Ra’anan Levy est nommé Chevalier des Arts et des Lettres. Son travail a déjà intégré de grandes collections publiques et privées internationales : Bibliothèque nationale de France, Paris ; Galleria degli Uffizi, Florence ; The Israel Museum, Jérusalem ; Tel-Aviv Museum of Art, Tel-Aviv ; Victoria and Albert Museum, Londres ; Fondation Maeght, Saint-Paul-de-Vence.

 A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 93 32 81 83 ou www.fondation-maeght.com

GALERIE CATHERINE ISSERT/ Déclics analogiques (1)/ 21 DECEMBRE AU 15 FEVRIER

Une exposition imaginée par Anna Patricia Kahn et Catherine Issert

Dans une photographie de Jacques Henri Lartigue, la nounou Dudu lève les yeux au ciel pour suivre l’envol d’un ballon avant qu’il ne retombe au sol : apesanteur rendue visible par l’acte photographique. Ici, le geste relatif à la gravité est inspiré par le jeu. Chez John M. Armleder, la représentation de formes rondes sur une toile résulte d’un mouvement minimaliste et conceptuel. Dans les deux cas, la rotondité et l’apesanteur se manifestent sur la surface.

Ce rapprochement cristallise les enjeux de l’exposition à quatre mains conçue par Anna-Patricia Kahn et Catherine Issert. L’une s’engage pour la photographie sous toutes ses formes, l’autre est aux côtés des peintres et plasticiens.

Elles ont conjugué leur savoir et leur passion pour réunir photographie et peinture.

Ainsi l’abstraction du photographe pictorialiste Alvin Langdon Coburn nous renvoie à la géométrie systématique et facétieuse de François Morellet dans les années 2000. Le photographe Philippe Halsman et le peintre contemporain Jean-Charles Blais ont-

ils un rapport ? Mises en regard, leurs oeuvres révèlent des analogies formelles, donnant raison au cinéaste Robert Bresson qui écrivait: « Il faut qu’une image se transforme au contact d’autres images comme une couleur au contact d’autres couleurs (…) Pas d’art sans transformation. (2) » La comparaison mise en oeuvre ici redonne du relief et du sens.

Soudain, on saisit mieux les envols de stars qui résistent à la fixité photographique en sautant joyeusement devant l’objectif de Philippe Halsman. Ses modèles semblent emportés par une impatience de sortir du cadre que trahissent également les grandes enjambées des personnages peints par Jean Charles Blais. Les surprises qu’engendre le principe analogique valent surtout pour la force avec laquelle elles raniment les oeuvres

associées. Rapprochées, celles de Tomasz Lazar et de Jean-Michel Albérola ou encore d’Eikoh Hosoe et de Kim Minjung « s’allument de reflets réciproques comme une virtuelle traînée de feux sur des pierreries » comme l’écrivait Mallarmé (3). Elles rentrent en résonance l’une l’autre, favorisant une acuité renouvelée du regard.

Par ces juxtapositions, la proposition interroge le vocabulaire artistique déjà bousculé par la photographie et l’art contemporain : clair-obscur, composition géométrique, opposition entre netteté et flou, opacité et transparence, abstraction et figuration. Il s’agit toutefois autant de ressemblance que de contrepoint, car au cours de leur développement en miroir, les deux disciplines n’ont cessé de se transformer mutuellement, de se répondre. C’est dans cet écart que se joue tout l’intérêt d’un dialogue complice.

Renseignements pratiques : GALERIE CATHERINE ISSERT 2, route des Serres 06570 Saint-Paul

Ouvert du mardi au samedi 10h-13h et 15h-19h

 En provenance de Marseille et de Nice, Sortie Cagnes-sur-Mer Direction Saint-Paul/Vence puis Saint-Paul

La galerie est située à l'entrée du village, face à la Colombe d'Or et au Café de la Place04 93 32 96 92 / 06 09 09 26 42 info@galerie-issert.com ou www.galerie-issert.com

DIGNE (04)

MUSEE GASSENDI: collections permanentes + EXPOSITION : Richard Nonas : jusqu’au 31 décembre (derniers jours)COL : La collection du musée Gassendi s’enrichit de deux nouvelles œuvres de l’artiste américain Richard Nonas. Anthropologue de formation, il synthétise la complexité de notre relation aux lieux dans des sculptures in situ qui visent « à rouvrir et refermer la partie du monde où elles sont mises ».Inauguration de l’oeuvre, Le col de la porte entrouverte au musée GassendiEXPOSITION/ Double exploration. Jean-Jacques Rullier – Alexandra David-Neel, au CAIRN

centre d’art]Inauguration de l’oeuvre, Le col du deuxième jour au Cousson. Héritières du land art, les œuvres de Nonas se construisent en résonnance avec les sites qui les accueillent.Elles s’étalent sur l’horizontalité en suivant le rythme du sol comme nous l’expérimentons par l’acte même de la marche.L’emploi de matériaux bruts, de formes simples et de modules répétés renvoie à une certaine esthétique minimaliste. Cependant, l’œuvre de Nonas se distingue par un rapport physique et sensible au lieu, en questionnant notre perception de l’espace et du monde.Le col du deuxième jour – The col of the second day : Cousson, Entrages – 2018/ Bois de chêneLe col du deuxième jour est une œuvre qui se compose d’un alignement de soixante-dix-sept poutres de chêne, installées entre les deux sommets de la montagne. Elle fait référence au « col » comme lieu de passage. Par un jeu de directions et de lignes, Nonas

met l’accent sur l’espace intermédiaire entre deux lieux, l’interstice qui ouvre la voie vers d’autres horizons.La recherche de formes et matériaux simples, agencés dans la continuité de l’espace environnant, nous ramène à l’essence du lieu. Nonas ne s’intéresse pas à l’objet en tant que tel, mais à ce qu’il produit dans l’interaction avec le site dans lequel il est

installé.L’œuvre, étendue à l’échelle de la montagne, prend en considération la dimension du site évoquant ainsi les structures mégalithiques érigées en Europe à l’époque préhistorique.

Le musée Gassendi, situé au n° 64 du boulevard Gassendi à Digne-les-Bains est à la fois un muséum d'histoire naturelle et un musée des beaux-arts.

Le musée Gassendi présente des collections encyclopédiques dans le domaine de l'art, de l'histoire locale et sciences physRenseignements pratiques : Adresse : 64 Boulevard Gassendi, 04000 Digne-

les-Bains

Téléphone : 04 92 31 45 29

CAIRN CENTRE D’ART : collections permanentes d’artistes contemporains du Land Art

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : www.cairncentredart.org. Montée Bernard Dellacasegrande 04500 Dignes les Bains ou cairn.accueil@musee-gassendi.org ou Tel : 04 92 62 11 73

MUSEE PROMENADE : GEOLOGIE ET ART CONTEMPORAIN/ JARDIN JAPONAIS/ SENTIER DES PAPILLONS

Le musée invite aux randonnées d’automne dans cette superbe région depuis début avril et jusqu’en novembre.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Adresse : 10 Montée Bernard Della casa grande, 04005 Digne-les-Bains Téléphone : 04 92 36 70 70 ou www.museepromenade.com

MAISON D’ALEXANDRA DAVID NEEL : Collections permanentes

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 27 Ave du Maréchal Juin. O4000 DIGNE. Ouvert tous les jours sauf le lundi. Visites accompagnées sur réservation au : Tel : 04 92 31 32 38 ou maison.adn@dignelesbains.fr ou www.alexandra-david-neel.fr

SIMIANE LA ROTONDE (04)

LA MAISON DE BRIAN/ Un village de Haute-Provence hors des sentiers battus, une maison chaleureuse entre ses murailles, quelques passionnés d’art vivant désireux de partager leurs découvertes, ainsi est née en 2004

l’association «la maison de Brian, art contemporain ». Quinze ans de pari, pari tenu ! Cinquante expositions, plus de cent vingt-cinq artistes présentés…

Et cette année encore des découvertes, des alliances inédites, de la tendresse à la violence et toujours l’émotion.Une belle saison que nous vous invitons à découvrir.Notre première exposition commence le 12

avril pour « le printemps des arts » organisé par le Conseil Départemental.

Les expositions de l’été sont maintenant terminées et ont eu beaucoup de succès.

Attendons les prochaines pour le printemps 2020

Exposition ouverte du mercredi au dimanche de 15 à 19h.

A DECOUVRIR

CHATEAU DE SIMIANE : Monument seulement en ce moment

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Le Haut village 04150 Simiane La Rotonde ouvert tous les jours de 15h à 19 h et sur rendez-

vous. lamaisondebrian@orange.fr www.lamaisondebrian.fr Tel   : 04 92 75 91 49

GAP (05) :

MUSEE DE GAP/ EXPOSITION  des collections permanentes + exposition temporaire : ÉBRANLEMENTS, ode aux passages des temps

Exposition de Mai 2019 à Février 2020

Frédérique Verlinden et Michel Barjol (malheureusement décédé depuis mai 2019) présentent

Imminentes évasions, 1ère partie,

avec Alain Domagala et Mengzhi Zheng

À propos du nouveau parcours des expositions et des collections Les collections du Musée muséum départemental témoignent de curiosité(s), choses rares et exceptionnelles, objets insolites collectés au sein des Cabinets d’individus curieux des choses nouvelles. Depuis le XVIIIe siècle, lions, loups, papillons, herbiers côtoient des vestiges archéologiques, des meubles précieux, des estampes, peintures et sculptures, des monnaies, des monstres et figures étranges, des souvenirs exotiques et locaux, des ouvrages et des correspondances rassemblés… Le XXe siècle les a patrimonialisés, valorisés. Maintenant, il faut identifier les enjeux du Musée muséum départemental pour les prochaines décennies du XXIe siècle et répondre aux grands axes portés par les musées de France, institutions culturelles et scientifiques. L’espace décloisonné des salles et des étages convie les publics dans ce parcours JADIS DÉJÀ. La visite du Musée muséum départemental se fait au rythme de créations inédites, de coproductions en appui sur des partenariats, sur la découverte de la diversité culturelle des Hautes-Alpes pour apporter un éclairage aux mythologies personnelles, à l’animalité de l’humain, à la place de la nature… L’approche est aussi d’Éducation Artistique et Culturelle, sur et hors temps scolaire.

A DECOUVRIR

MUSEUM DEPARTEMENTAL DES HAUTES-ALPES : Collections permanentes.6 avenue du maréchal Foch

05000 Gap tél 04 92 51 01 58 Site Web : http://www.hautes-alpes.fr

ARDECHE VALLON PONT D’ARC

GROTTE CHAUVET 2

EXPOSITION de la Grotte seulement en ce moment

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/http://cavernedupontdarc.fr ou http://expo-grottechauvet2.com/

POUR LES RANDONNEURS AMATEURS D’ART CONTEMPORAIN : une destination en région Rhône-Alpes mais à deux

pas :

EN ARDECHE : PARC DES MONTS D’ARDECHE : LE GR7 : Une promenade par monts et vaux sur la ligne de partage des eaux

(entre Atlantique et Méditerranée) a été initiée en 2017 par le parc naturel régional, à quelques kilomètres de la Grotte Chauvet, une

dizaine de plasticiens contemporains de renom ont imaginé des œuvres pérennes : Gloria Friedmann, Stéphane Thidet, Felice

Varini… Certaines sont faciles à atteindre d’autres nécessitent un plus grand entrainement, il faut compter 4 à 5 jours de randonnée

pour visiter tous les sites, mais c’est en accès libre.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ www.parc-monts-ardèche.fr

BALAZUC (Ardèche)

LE MUSEUM DE L’ARDECHE : MUSEE DES FOSSILES : qui vient d'ouvrir ses portes à Balazuc, dans le sud du département détient une collection paléontologique d'une exceptionnelle rareté. Plus de 800 fossiles, animaux, ossements, ou végétaux y sont été rassemblés, témoins d'un temps où l'homme n'existait pas. Certains pièces datent de plusieurs centaines de millions d'années, la plupart ont été découvertes en Ardèche. Créé par le paléontologue Bernard Riou, le Muséum de Balazuc (Ardèche) raconte plus de 350 millions d’années d’histoire au travers d'une collection unique au monde de fossiles authentiques. 200m² d’exposition dédiés à ce patrimoine paléontologique ardéchois invite le visiteur dans les forêts houillères du carbonifère et dans les remarquables fonds marins du Jurassique ardéchois.

A ne pas manquer dans votre promenade ardéchoise avec bien sûr les merveilles de la Grotte CHAUVET reconstituée, convient très bien aux enfants.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Muséum de l'Ardèche La Croisette - 07120, Balazuc Avril, mai, juin : de 10h à 12h30 puis de 13h30 à 18h juillet, août : de 10h à 19h non-stop Enfants (6 à 17 ans) : 6,60 € Adultes (+18 ans) : 8,80 € - Gratuit pour les enfants jusqu'à 5 ans Muséum de l'Ardèche

OCCITANIE / REGION LANGUEDOC-ROUSSILLON MIDI- PYRENEES

AGDE :

MUSEE DE L’EPHEBE : Archéologie sous- marine : Collection permanente/

EXPOSITION EVENEMENT /FORTUNE A BORD ! CHRONIQUE DE LA JEANNE-ELISABETH"/Jusqu’au 20 septembre 2020

Le Musée de l’Éphèbe d’Agde doit sa renommée à ses collections antiques, dont le célèbre Éphèbe - sans doute une effigie d’Alexandre le Grand - est l’emblème.

Mais le musée ne se limite pas à une période unique : il propose un regard sur près de 3 000 ans d’histoire ayant pour théâtre la mer, le fleuve ou l’étang de Thau.

Avec Fortune à Bord !, le musée propose bien plus qu’une exposition : il ouvre en grand ses portes à l’archéologie de la période moderne, qui ne cesse de prendre de l’ampleur, et dont la Jeanne-Elisabeth est un témoin majeur pour la méditerranée languedocienne.

L’exposition s’attache aussi, grâce à l’histoire d’un bateau, à la lecture d’une page à la fois prospère et tourmentée de l’Europe. Elle aurait pu s’intituler Jeanne Elisabeth : histoire d’un bateau, histoire d’une Europe.

Tout commence le 14 novembre 1755 quand, prise dans un fort coup de vent de sud/sud-est virant au sud/sud-ouest, la Jeanne-Elisabeth, un brick suédois voguant vers Marseille, coule au large de Maguelone…

L’épave est découverte en 2006 et en partie pillée. Le DRASSM met un terme aux infractions sur le site et commence la fouille archéologique de l’épave en 2008. La dernière campagne s’achève en 2019.

« Fortune à bord ! » propose un retour sur 12 années de fouille et d’étude du site de la Jeanne-Elisabeth.

Mêlant informations issues de la fouille et des recherches en archives, l’exposition délivre un regard détaillé et sensible sur le bateau, sa construction, sa cargaison, ses hommes, ses passagers, la vie à bord, le naufrage. Ainsi que sur la géopolitique de son temps troublé, sans quoi sa singulière aventure ne peut se comprendre. 

  tout public, tarif d’entrée en vigueur

A VOIR ABSOLUMENT recommandé pour les scolaires

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Adresse : Avenue des Hallebardes. 30400 Le Cap d’Agde. Ouverture de juin à septembre : 10H -18h30.Tel : 04 67 94 69 60 ou www.museecapdagde.com

AGEN

GOYA À AGEN : UNE EXPOSITION ÉVÉNEMENTDu 8 novembre 2019 au 10 février 2020, le musée des Beaux-Arts

d'Agen présente une exposition aussi insolite que novatrice : « Goya, génie d'avant-garde, le maître et son école ».

EGLISE DES JACOBINS

Renseignements pratiques : Exposition : Goya, génie d'avant-garde, le maître et son école

Date : du 8 novembre 2019 au 10 février 2020

Horaires : ouvert tous les jours de 11h à 19h sauf le 25/12 (du 8 novembre au 10 février) / Nocturne le

jeudi jusqu’à 21h

Lieu :Église des Jacobins - Agen

Tarifs :o Plein tarif : 12 € / De 10 à 18 ans : 6 € / Moins de 10 ans : gratuit 

o Visite guidée adulte : 15 € / Visite guidée 10-18 ans : 8 € / Visite guidée moins de 10 ans : gratuit

o Pass adulte musée + Jacobins : 15€

o Pass adulte musée + visite guidée Jacobins : 18€

Horaires des visites guidées:o Lundi, mardi, mercredi, vendredi : 17h

o Jeudi : 18h / 19h30

o Samedi et dimanche : 11h / 15h30

o Pendant les vacances de Noël, du 21 décembre au 5 janvier, des visites guidées auront lieu tous les

jours (sauf les 25 décembre et 1er janvier) à 11h et 16h.

Commissariat général : Adrien Enfedaque, conservateur du Musée des Beaux-Arts

Conseillers scientifiques : o Juliet Wilson-Bareau, historienne de l’art (Londres)

o Bruno Mottin, conservateur en chef du patrimoine (Centre de Recherche et de Restauration des

Musées de France)

Exposition soutenue par le Ministère de la Culture, l’Agglomération d’Agen, le Département de Lot-et-

Garonne et la Région Nouvelle-Aquitaine et réalisée avec le concours exceptionnel de la Bibliothèque

nationale de France et du musée du Louvre.

Une exposition insolite et novatrice

Une enquête scientifique

Cette exposition s’inscrit dans les recherches organisées par le musée du Louvre et le Centre de

Recherche et de Restauration des Musées de France (C2RMF).

L’équipe scientifique du musée d’Agen est accompagnée dans ce projet par Juliet Wilson-

Bareau, spécialiste reconnue de l’œuvre de Goya et avec le soutien personnel du ministre de la

Culture.

Cette exposition propose d’établir à travers les peintures, les dessins et les gravures, les

constantes dans les œuvres de Goya et entend révéler pour la première fois au public le rôle joué par

son entourage et par les artistes qui travaillaient dans son atelier.

Le parcours muséographique sera accompagné de dispositifs numériques, notamment des écrans

pour pouvoir pénétrer dans la matière picturale à travers l’imagerie scientifique.

Un espace immersif multi-sensoriel sera aménagé au début du circuit afin de permettre au visiteur de

plonger dans l’atelier de Francisco de Goya y Lucientes, de comprendre les techniques employées et

la diversité stylistique de son œuvre.

Des oeuvres du monde entier réunies à Agen  

Près de 90 œuvres provenant de musées du monde entier (Paris, Budapest, Suisse, Berlin, Espagne,

New-York…) seront réunies dans l’écrin agenais que constitue l’église des Jacobins.

« LA FEMME À L’ÉVENTAIL »

26 avril 2019 : arrivée au Musée des Beaux-Arts d'Agen du tableau prété par le musée du

Louvre. / Cette oeuvre est actuellement visible au musée, salle Goya

Goya et Agen

Les origines 

Le comte Damase de Chaudordy, né à Agen en 1826, meurt à Paris en 1889. Célibataire, il lègue à sa

ville natale ses collections d’art, amassées au cours d’une vie diplomatique au service de la France.

Ambassadeur à la cour de Madrid entre 1874 et 1881, il y acquiert un groupe d’oeuvres, notamment

cinq sur les six tableaux de Goya dans la collection particulière de Federico de Madrazo,

ancien premier peintre de la reine et directeur du musée du Prado.

Déjà catalogués par Charles Yriarte en 1867, ils proviennent directement de Don Xavier (1784-1854),

et de Don Mariano (1806-1874), marquis de l’Espinar, fils et petit-fils de Goya.

À ce groupe d’oeuvres s’ajoutent, de sources inconnues, une jolie petite scène galante qui porte au

dos une inscription témoignant de sa vente par Mariano Goya en 1843.

L’inventaire du comte de Chaudordy signale aussi un « grand tableau genre de Goya, marché aux

bestiaux », en fait une scène d’élevage de taureaux par un peintre non-identifié de la seconde moitié

du XIXe siècle, et un panneau attribué à Goya, mais identifié depuis comme une oeuvre

caractéristique et connue en plusieurs versions, Le Garrot par Eugenio Lucas Velázquez.

ALBI

MUSEE TOULOUSE-LAUTREC : Exposition des collections permanentes et EXPOSITION HORS LES MURS AU GRAND PALAIS DE PARIS CET AUTOMNE : TOULOUSE LAUTREC RESOLUMENT MODERNE/ Du 9 octobre 2019 au 27 janvier 2020,

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel :05 63 49 48 70 ou www.musee-toulouse-lautrec.com

ALES (30)

MUSEE PAB : Collection permanente avec des œuvres de Braque, Alechinski, Picasso, Jean Hugo… qui ont tous travaillé avec Pierre André Benoit. Le Pab ré-accroche...Ré-accrochage des collections au musée – bibliothèque Pierre André Benoit avec une salle consacrée au fondateur du musée : Des peintures, des sculptures et des mobiles de PAB dans une présentation sobre et poétique. Venez découvrir de nombreuses gravures d'artistes variés de la donation Tailleur tout en savourant à nouveau les chefs d’œuvre de Braque, Picabia et Alechinsky qui font la réputation du musée depuis maintenant presque trois décennies !

Renseignements pratiques :Le musée Pierre André Benoit est fermé les jours fériés : 1er janvier, 1er mai, 14 juillet, jeudi de l’ascension, 1er novembre et 25 décembre.Adresse :Musée PAB,Rue de Brouzen, quartier de Rochebelle,30100 Alès

Horaires/ Du lundi au dimanche de 14h à 18h, et de 11h à 18h en juillet/août

Téléphone :04 66 86 98 69/Courriel museepab@alesagglo.fr

A VOIR ABSOLUMENTEntrée libre pour les adhérents de l’association des amis du musée – bibliothèque PAB

Ouverture tous les jours de 14h à 18h (sauf les 25/12 et 01/01)

TLJ de 14h à 18h sauf le 25/12 et le 01/01Fondé en 1989 à partir de la collection de l'artiste et éditeur éponyme, le musée-bibliothèque Pierre André Benoit n'a cessé d'enrichir ses collections depuis sa création.ACTIVITES POUR LES ADHERENTS A L’ASSOCIATION DES AMIS DU MUSEE PAB : RENSEIGNEMENTS SUR LE SITE DU MUSEE : S’adresser à l'association des amis du musée PAB - 52, montée des lauriers 30100 Alès,

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Association des Amis du Musée - Bibliothèque Pierre André Benoit, rue de Brouzen, Rochebelle 30100 ALES TEL : 04 66 869 869

MUSEE DU VIEUX COLOMBIER : collections permanentes

A NE PAS MANQUER

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : rue Mayodon Tel : 04 66 86 30 40 Jusqu’au 22 septembre : Tarifs : plein 5 € ; réduit 2,50 € ; -12 ans gratuit

Du lundi-vendredi de 14 à 18h, en juillet/août de 11h à 18h/ tél. 04 66 86 30 40 ou museeducolombier@alesagglo.fr

SAINT JEAN DU GARD (ALES AGGLOMERATION)

MAISON ROUGE/MUSEE DES VALLEES CEVENOLES / 

Amandine, Jules et les autres/Scènes de vie en en Cévennes/

27 SEPTEMBRE AU 29 DECEMBRELa quatrième exposition de Maison Rouge rend hommage aux gens d’ici, aux scènes de la vie quotidienne, aux gestes simples et oubliés.Trois photographes ont parcouru le Gard, la Lozère et l’Ardèche à une époque charnière (1960-1980) où le paysage rural se transforme radicalement.La série de clichés exposée, exclusivement en noir et blanc, donne à voir des paysages et des portraits pleins de tendresse et d’humanité. Informations : maisonrouge@alesagglo.fr – 04 66 85 10 48 Exposition payante, ouverte du 27 septembre au 29 décembre 2019. Ouvert tous les jours de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h (du 2 septembre au 3 novembre) / Du mercredi au dimanche de 14h à 18h (du 4 novembre au 29 décembre).

A NE PAS MANQUER

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES :

Adresse : 5 rue de l’Industrie (entrée piétons) ou 35 Grand’Rue(parking) 30 270 St Jean du Gard. Tel : 04 66 85 10 48 ou www.maisonrouge-musee.fr

Ouverture: jusqu’au 30/06 :tlj : 10H-12H30 et 13H30-18H.Fermé 1er mai.

Du 1er/07 au 21/07 :Tlj de 10h à 18H. Entrée payante.

AUBAIS

CHATEAU-LAVOIR D’AUBAIS : Exposition en cours de montage pour : Les dernières œuvres des Artistes Nomades.: Renseignements pratiques : Tel : 06 62 01 55 78. ENTREE LIBRE Château d’Aubais30250 Aubais

07 86 87 14 89ContactSite Internet

Ouvert les samedi et dimanche et sur rdv,horaires variables selon les expositionsEn quatre saisons : printemps, été, automne et hiver, de la date du changement de saison et pendant quatre semaines.

BAGNOLS LES BAINS(48)

VALLON DU VILLARET : Pas d’exposition pendant l’hiver

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Vallon du Villaret à Bagnols les Bains, tel : 04 66 47 63 76

BAGNOLS SUR CEZE / MUSEE ALBERT ANDRE/ EXPOSITION : ALBERT ANDRE CONSERVATEUR DU MUSEE D’ART MODERNE D’EXCEPTION DE BAGNOLS SUR CEZE/ jusqu’au 29 mars 2020 : Une exposition qui complète heureusement la superbe rétrospective des œuvres d’Albert André, conservateur du Musée de Bagnols de 1917 à sa mort en 1947, qui se tient actuellement aux Archives départementales de Nîmes. Sur les conseils de son ami Renoir il avait finalement accepté la charge de conservateur ce qui lui a permis de moderniser le Musée Léon Alègre en faisant de celui-ci, à son époque, grâce aux dons généreux de ses amis artistes, le premier musée de France d’art contemporain.A VOIR ABSOLUMENT avec l’exposition rétrospective A. André des Archives départementales de Nîmes

D'autres conférences sont proposées à la médiathèque Léon Alègre de Bagnols-sur-Cèze :Mardi 17 décembre 2019 à 18h30⇒ Albert André vu par sa fille adoptive, Jacqueline George-Besson. Rencontre et discussion avec Alain Girard, Conservateur honoraire en chef du patrimoine.Jeudi 23 janvier 2020 à 18h30⇒ Albert André, Conservateur. Constitution d’une des premières collections d’art moderne publiques en province par Béatrice Roche, Conservatrice du patrimoine, directrice de la Conservation départementale du Gard.Renseignements pratiques : Musée Albert André, Hôtel de Ville Place Mallet. Tous les jours (sauf le lundi) de 10h à 12h et de 14h à 18h. Fermé en février et les jours fériés.Entrée libreRenseignements et visites guidées par téléphone au 04-66-90-75-80.Toute la programmation sur www.musees.gard.fr

BAGES (11)/

MAISON DES ARTS DE BAGES : GALERIE MUNICIPALE/Exposition en cours de montageTous les jours, y compris fériés, de 15h à 20h.Entrée libre.

A NE PAS MANQUERRENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ouvert tous les jours y compris fériés, de 15h à 20h. Maison des arts de Bages 11100, 8 rue des Remparts Tel : 04 68 42 81 76 ENTREE LIBRE

BEZIERS

LA MOUCHE : Lieu d’art contemporain/ exposition en cours de montage

A découvrir absolument dans ce très beau lieu.

Renseignements pratiques : La Mouche. Domaine de Pradines le Bas-Route de Corneilhan.34500 Béziers. www.lamouche-art.com

MUSEE GUSTAVE FAYET : Collections permanentes en ce moment : Les collections vont de la fin du Moyen-Âge à la période contemporaine, et sont réparties sur deux sites : l’Hôtel Fabrégat et l’Hôtel Fayet. S’y trouvent les collections du sculpteur biterrois Injalbert, Magrou, pour la statuaire ; des peintures régionales du XIXe siècle ; des arts décoratifs avec les collections de diverses faïences régionales ainsi que les verres de Maurice Marinot, quelques meubles et crédences des XVIIe et XVIIIe siècles.

L’Hôtel Fayet, du nom d’une famille importante de la région biterroise, est composé de plusieurs bâtiments élevés depuis les restes de l’implantation médiévale reconstruits aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, successivement Hôtel de Villeraze, puis Fuzier, et enfin Fayet au XIXe siècle.

Son cadre est exceptionnel, organisé autour d’un jardin où sont donnés des concerts au mois de juin.

A NE PAS MANQUER

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : site de la ville de Béziers. Été : du 1er juin au 30 septembre: Du mardi au samedi : 12h à 17h. Musée des Beaux-Arts – Hôtel Fayet, Rue du Capus34 500 BéziersTél.: 04 67 49 04 66 musees@ville-beziers.fr

BEDARIEUX :

ESPACE D’ART CONTEMPORAIN / Exposition en cours de montage

A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Maison des arts-Espace Henri Pujol, 19 avec Abbé Tarroux 34600 Bédarieux Tel : 04 67 95 48 27 ou culture@bedarieux.fr

Entrée libre et gratuite : Mardi 14h - 18h/ Mercredi 9h30 - 12h et 14h - 18h/ Jeudi 9h30 - 12h

Vendredi 9h30 - 12h et 14h - 18h/ Samedi 9h30 - 12h et 14h - 18h

CARCASSONNE

MUSEE DES BEAUX-ARTS : collections permanentes en ce moment+ exposition / CARCASSONNE VILLE D’ART et D’ARTISTES/ jusqu’au 5 avril 2020 : ; une exposition avec les œuvres de la collection du musée qui rappelle que la Cité a inspiré un grand nombre d’artistes.

A NE PAS MANQUER

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Exposition Gratuite.15 Boulevard Camille Pelletan.Tel : 04 68 77 73 70. Ou www.carcassonne.org Horaires d'ouverture : Durant l'été, du 11 juin 2019 au 22 septembre 2020, ouvert tous les jours de 10h à 18h, fermé les jours fériés. En dehors de cette période, ouvert du mardi au samedi inclus de 10h à 12h et de 14h à 18h et le 1er dimanche du mois de 14h30 à 17h30, fermé les dimanche, lundi et jours fériés. Nota : les groupes de scolaires peuvent être reçus dès 9h30. Parking souterrain payant devant le musée

CASTRES :

CENTRE NATIONAL et MUSEE JEAN JAURES : PORTRAITS DES ILLUSTRES CASTRAIS /jusqu’au 7 mars 2020: Une esposition qui rend hommage aux grands hommes locaux avec une cinquantaine de portraits des collections des musées de la ville, qui retracent la vie sociale de cette région.

A DECOUVRIR

MUSEE GOYA : Collections permanentes en ce moment

A NE PAS MANQUER

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 05 63 71 59 30 ou www.ville-castres.fr

CLARET/ GRAND PIC SAINT LOUP (34)MUSEE DU VERRE ET CENTRE VERRIER/pas d’exposition en ce moment

HALLE DU VERRE/ EXPOSITION LES MATELLES/ GRAND PIC SAINT-LOUP (34)MAISON DES CONSULS/ prochaine exposition en cours de montage

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Halle du Verre :50 avenue du Nouveau Monde34270 Claret Tél. : 04 67 59 06 39

Maison des Consul /Musée d’Arts et d’Archéologie, Rue des Consuls, 34270 LES MATELLES Tél. : 04 99 63 25 46

MONTPELLIER

HOTEL DE VILLE/ exposition Beate et Serge Klarsfeld, les combats de la Mémoire 1968-1978» : Du 04 novembre 2019 au 03 janvier 2020 Exposition gratuite à l'Hôtel de Ville / Klarsfeld : deux consciences pour l'humanitéDès le 4 novembre et durant deux mois, le hall d’accueil de l’Hôtel de Ville de Montpellier reçoit l’exposition événementielle « Beate et Serge Klarsfeld, les combats de la Mémoire 1968-1978 ». Un regard posé sur le destin exceptionnel de ce couple qui a fait de sa vie un combat pour la mémoire des victimes de la Shoah.

Cette exposition créée en 2018 par le Mémorial de la Shoah vient s’intéresser surtout à une décennie, celle de 1968- 1978, où l’action du couple Klarsfeld va connaître un retentissement international et où l’évolution de la mémoire de la Shoah agite les consciences d’un continent à l’autre. Ces deux dates 1968 et 1978 sont deux repères : un repère dans l’histoire du couple et un repère dans la grande Histoire du XXe siècle, notamment pour la mémoire des victimes de la Shoah.

En effet, 1968 est l’année où Beate Klarsfeld adresse une gifle à Kurt Georg Kiesinger, car, pour elle, il était inconcevable que le chancelier ouest allemand puisse être l’ancien responsable de la propagande radiophonique d’Hitler. 1978 est celle de la publication par Serge Klarsfeld et son épouse d’un travail colossal de quinze ans : « le Mémorial de la déportation des Juifs de France », publication destinée à appuyer l’acte d’accusation du procès de Cologne.

L’exposition « Beate et Serge Klarsfeld, les combats de la mémoire, 1968-1978 » se construit sur un fil chronologique pour restituer pas à pas les ressorts, les péripéties, les enjeux d’une action où se mêlent à dessein vie publique et vie privée. Panneaux aux

contenus historiques, photographies, documents, médailles et vêtements ayant appartenu aux Klarsfeld sont autant d’objets exposés à cette occasion, comme l’agenda de Serge Klarsfeld durant le procès de Cologne.

Exposition gratuite : Hall de l’Hôtel de Ville ; 1, place Georges Frêche34000 MONTPELLIER

Horaires d'ouverture de l'Hôtel de Ville :Les lundi, mardi, mercredi, vendredi de 8h30 à 17h30. Le jeudi de 10h à 19h. Tramway 1 et 3 arrêt Moularès Hôtel de ville. Tramway 4 arrêt Georges Frêche - Hôtel de VilleCoord. GPS : 43°35'52"N, 3°52'39"E

Hôtel de Ville - Mairie de Montpellier1 place Georges Frêche34267 Montpellier

Téléphone : 04 67 34 71 23

LA SERRE DE L’ARBRE BLANC/ un nouveau lieu d’ART et PATRIMOINE, au pied de cet immeuble très récemment achevé, en liaison avec le RESERVOIR de Sète qui présente des artistes contemporains avec des œuvres que vous pouvez acheter afin de rendre l’art accessible. Actuellement ce sont les œuvres de CHARLELIE COUTURE, qui avait eu récemment une exposition au Musée Paul Valéry de Sète et celles de HANS LANKES, des œuvres papier finement découpées, qui ornent leurs cimaises.

A DECOUVRIR

Renseignements pratiques : ENTREE LIBRE. TEL/ 04 48 79 84 70 Ouvert du mercredi au samedi 10H30-13H et 14H30-19H

PARC DU LUNARET/ EXPOSITION : UN CONTE D’HIVER / DU 11 DECEMBRE AU 29 MARS 2020 : A partir du mercredi 11 décembre et jusqu’au 29 mars 2020, le Parc de Lunaret expose les clichés de Thierry Vezon, dans l’exposition "Un conte d’Hiver". 

L’EXPOSITION

Pour l’entrée en saison des frimas, le Parc de Lunaret propose "Un conte d’Hiver", une exposition de photographies accessible gratuitement dans les allées à proximité de l’entrée.

Thierry Vezon est un photographe gardois qui a parcouru la planète, côtoyant les grands espaces glacés et rencontrant les animaux qui peuplent ces régions froides. Ses images nous offrent à la fois une rencontre avec des paysages magnifiques, calmes plus qu’hostiles, et un tête-à-tête avec des ours polaires croisés en Norvège, des bisons

majestueux ou un furtif coyote nord-américains, mais aussi des vautours et des flamants roses qui vivent à nos côtés.

Ses clichés vous plongent dans la douceur et le calme hivernal. Il saura vous faire voyager par sa propension à capter l’ambiance de paysages. Du Sud de la France au Japon en passant par l’Italie, l’Islande et les glaciers du Spitzberg, il fait la part belle au sauvage. Les sujets observés impressionnent par la sensation de puissance sereine qu’ils dégagent et le respect qu'ils imposent.

L'ARTISTE, THIERRY VEZONDepuis plus de douze ans, Thierry Vezon photographie la faune sauvage en pleine nature. Ses lieux de prédilection sont situés dans le Sud de la France : le Languedoc, la Camargue, les Cévennes… Mais il affectionne également particulièrement voyager dans le grand Nord.

Il se consacre à la photographie nature depuis 2004. Spécialisé dans la photographie de faune et de paysage, ainsi que dans les prises de vues aériennes, il est le lauréat de nombreux prix dans de grands festivals de Nature.

Pour réaliser ses clichés au cœur d’étendues sauvages, il consacre de très longues heures à l'affût, toujours dans le respect de la nature. Les photographies présentées pour cette exposition ont été prises dans des conditions hivernales parfois difficiles. Ces clichés témoignent en beauté de ces merveilleux écosystèmes en période hivernale que l’on doit plus que jamais protéger.

 « Depuis 2007, Thierry Vezon est allé à la rencontre de paysages singuliers au Japon, au Spitzberg, en Islande, aux Etats-Unis d’Amérique, en Italie… Mais aussi, chez lui, dans le Sud Est de la France. Comme dans une symphonie, on se laisse emporter dans des images abstraites qui soudain se peuplent d’un vol d’oiseaux ou deviennent, l’instant d’une parade d’un couple de sternes arctiques, d’un réalisme étonnant. C’est que les animaux sauvages, canards, macaques, grues, flamants, chevaux rendent la vie à ces splendeurs glacées. Un vrai bonheur pour les rêveurs et les amoureux de nature. » Danièle Boone, journaliste.

 Thierry Vezon collabore avec plusieurs magazines en France comme à l’étranger et a publié plusieurs ouvrages, dont Un conte d’hiver aux éditions Hesse et Un voyage en hiver chez Alcide.

POURQUOI UNE EXPOSITION SUR DES ESPÈCES D'ICI ET D'AILLEURS ?Le Parc de Lunaret est soucieux de vous faire découvrir la diversité du monde vivant, et souhaite montrer que les espèces de notre région peuvent être aussi étonnantes, belles, bouleversantes et touchantes que d’emblématiques espèces exotiques. Nous montrons

une nature que l’on considère à priori comme rude, austère, voir hostile, nature sur laquelle ces clichés posent un regard doux, curieux et bienveillant.Nous souhaitons émerveiller notre public, lui proposer un voyage sensoriel, une pause poétique, en plus d’un moment de découverte. Cette exposition s’inscrit dans cette intention.

PRÉCISIONS SUR L’EXPOSITIONCette exposition de 32 bâches de 1,80 m x 1,06 m a été imprimée dans l’atelier du service pédagogique du Parc de Lunaret. La sélection s’est opérée conjointement par le service pédagogique et le photographe.

A DECOUVRIR  

CONTACTS ET LIENS UTILESPour plus de renseignements sur la serre amazonienne, RDV sur le site internet du zoo de Montpellier : zoo.montpellier.fr

Thierry Vezon, photographe-  vezonthn@wanadoo.frAccès gratuit. Tout public.Parc du Lunaret - 50 avenue Agropolis - Montpellier

MUSEE FABRE / EXPOSITION / LES SOULAGES DE MONTPELLIER/jusqu’au 19 JANVIER 2020À l’occasion des cent ans de Pierre Soulages, le musée Fabre de Montpellier Méditerranée Métropole vous convie, au travers d'un parcours enrichi de nouvelles œuvres, de documents d'archives et de témoignages littéraires, à (re) découvrir sous un nouvel angle, subjectif et intime, le travail de Pierre Soulages, dont les liens privilégiés avec Montpellier remontent à son plus jeune âge. Des commentaires de l’artiste, qui a fréquenté assidûment le musée tout au long de sa carrière et fut marqué par nombre de ses œuvres, viennent ponctuer les salles des collections permanentes du musée.Inaugurées en 2007, avec la réouverture du musée Fabre après un vaste chantier de rénovation, les salles Soulages, au cœur du parcours consacré à l’art moderne et contemporain du musée, abritent sur 600 m² un ensemble unique constitué grâce aux dons et dépôts de l’artiste. La nouvelle aile du musée, conçue comme un « écrin de lumière » a été spécialement dessinée pour y présenter ses grands formats. Elle offre des conditions idéales pour admirer l’œuvre de l’artiste : certains polyptyques suspendus à l’aide de câbles semblent flotter dans l’espace, tandis que le

mur de verre filtre la lumière permettant un dialogue subtil entre la lumière du midi et la surface des Outrenoirs.Retrouvez le programme "SOULAGES À MONTPELLIER" sur le site du musee Fabre.

EXPOSITIONS:DE MARBRE BLANC ET DE COULEUR - LA CHAPELLE DEYDÉ DE LA CATHÉDRALE DE MONTPELLIER

16 novembre 2019 - 15 mars 2020

Le musée Fabre présente cet hiver une exposition au fil des collections consacrée à la beauté et à la splendeur perdue de la chapelle Deydé.

Au musée Fabre (Atrium Richier) et à la Cathédrale Saint-Pierre.

 BONJOUR MONSIEUR COURBET ! FORTUNE D’UN CHEF-D’ŒUVRE

du 21 septembre 2019 au 19 janvier 2020

Le musée Fabre présente cet automne une exposition d’un genre nouveau, entièrement consacrée à une seule œuvre.A l’occasion du bicentenaire de la naissance de Gustave Courbet, elle explore dans les moindres détails l’un de ses chefs-d’œuvre :"La Rencontre" appelé aussi "Bonjour, Monsieur Courbet".Cette exposition, au fil des collections, raconte la genèse de ce tableau, sa fortune critique ainsi que sa postérité dans l'art contemporain.

A découvrir au 2e étage du musée Fabre à partir jusqu’au 19 janvier

Toutes ces expositions sont A VOIR ABSOLUMENT

Prochainement JEAN RANC (1674-1735), UN MONTPELLIÉRAIN À LA COUR DES ROIS26 janvier 2020-26 avril 2020Cet hiver, le musée Fabre présente la première exposition consacrée à Jean Ranc, peintre né à Montpellier en 1674 et qui accomplit une carrière internationale, entre Paris et Madrid. Spécialisé dans le portrait d’apparat, Jean Ranc développa un langage pictural fait d’élégance et de raffinement, pour servir le prestige de ses commanditaires.D’abord formé dans l’atelier montpelliérain de son père Antoine, Jean gagne Paris en 1696 pour devenir collaborateur de Hyacinthe Rigaud.

Reçu à l’Académie royale de peinture et de sculpture en 1703,  il expose un ensemble de onze tableaux au Salon de 1704. Ses clients apprécient la beauté de ses tissus, la brillance de ses moirures et le charme de ses couleurs. Sa renommée lui permet d’exécuter le portrait de grands seigneurs tels que Joseph Bonnier de la Mosson, et même des personnages de rang royal, comme le jeune Louis XV ou le Régent Philippe d’Orléans.Sa carrière devient internationale lorsqu’en 1722, il est appelé par le roi d’Espagne Philippe V, petit fils de Louis XIV, pour devenir le portraitiste officiel de la cour. L’artiste exécute ainsi les effigies du roi, de la reine, des infants et infantes de la cour d’Espagne, et devient le témoin des échanges matrimoniaux et diplomatiques entre la monarchie française et espagnole.Grâce aux prêts d’institutions prestigieuses telles que le Musée du Prado, le Patrimonio Nacional, le Musée national de Stockholm ou le Musée du château de Versailles, l’exposition permet de révéler le talent de l’auteur du très célèbre Vertumne et Pomone du musée Fabre. Avec le concours de nombreux collectionneurs particuliers, l’exposition révèle un très bel ensemble d’œuvres inédites.

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 39 Bd Bonne Nouvelle .34000 Montpellier. Tel 04 67 14 83 00 ou www.museefabre.fr

Ouvert 10H-18h sauf lundi

ESPACE DOMINIQUE BAGOUET 

Prochaine exposition en cours de montage.

Renseignements pratiques : Esplanade Charles-De-Gaulle, 34 000 Montpellier

ESPACE SAINT RAVY/ EXPOSITION en cours de montage

Cette salle d’exposition municipale est dédiée à l’art contemporain émergent et présente chaque année 14 expositions d’artistes montpelliérains.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Place St Ravy 34000 Montpellier.Tel :04 67 66 39 40 ou www.montpellier.fr ouvert tlj sauf lundi 13H-19h.

DOMAINE DEPARTEMENTAL DE PIERRES VIVES : EXPOSITION : TAPIS D’EXCEPTION/ JUSSQU’AU 18 JANVIER 2020 : Exposition en partenariat avec le Mobilier National

Le domaine Départemental de Pierres-vives continue de décliner dans sa programmation une valorisation du territoire en accueillant une exposition unique sur les tapis de la Manufacture nationale de la Savonnerie de Lodève . A Pierresvives, en partenariat avec le Mobilier national, le

Département propose une exposition sur  l’atelier de Lodève de la Savonnerie. Une douzaine de tapis exceptionnels, des tirages sur papier, des outils et des matières premières, enfin de précieux documents d’archives, pour rendre hommage au savoir-faire d’excellence des liciers lodévois, à leur tradition séculaire et à leur notoriété.

Un voyage dans le temps pour évoquer tour à tour l’histoire d’une tradition drapière et de l’atelier de la Savonnerie ; l’évolution technique des tapis berbères aux tapis d’aujourd’hui ; la couleur ;  les créations contemporaines.

Le Mobilier national et les manufactures nationales des Gobelins, de Beauvais et de la Savonnerie, est un service à compétence nationale sous la tutelle du Ministère de la Culture (Direction Générale de la Création Artistique) dont les missions sont fixées par arrêté en date du 23 décembre 2002.

Héritier du Garde-Meuble de la Couronne, créé en 1604 par Henri IV et réorganisé en 1663 par Louis XIV, le Mobilier national pourvoit à l’ameublement des hauts lieux de la République et des différentes résidences présidentielles. Il a notamment pour mission d'assurer la conservation et la restauration de ses collections constituées d’environ 100 000 biens de nature variée : meubles, tapisseries, tapis, tissus d’ameublement, dentelles, broderies, huiles sur toile, dessins, luminaires, pendules, objets d’art décoratif...

A VOIR ABSOLUMENT

Entrée libre et gratuitedu mardi au samedi de 10h à 19hVisites guidées: les mercredis à 16h et les samedis à 11h et 16h (inscription sur place)Visite LSF : samedi 12 octobreVisites sensorielles : samedi 19 octobre et 28 décembre à 14h30 

Livret découverte ludique disponible à l'accueilRENSEIGNEMENTS PRATIQUES : du mardi au samedi de 10h à 19h, 907 rue du Professeur Blayac à

Montpellier. Tram : ligne 1 direction Mosson (arrêt : Halles de la Paillade) ou ligne 3 direction Juvignac (arrêt :

Hôtel du département) puis bus 19 arrêt Lycée L.de Vinci.

Tel accueil : 04 67 67 30 00 ou www.pierresvives.herault.fr

PAVILLON POPULAIRE EXPOSITION VALIE EXPORT/ EXPANDED ART/ jusqu’au 12 janvier : Après avoir donné à voir l'univers personnel d'Andy Summers, surréaliste et empreint de musicalité, puis la première rétrospective exhaustive en France de la photographe canadienne Lynne Cohen, le Pavillon Populaire propose à nouveau un projet d'envergure internationale portant sur une figure mondialement reconnue de la création contemporaine : l'Autrichienne VALIE EXPORT. Cette artiste a développé au cours des cinquante dernières années une approche originale de la photographie, qui lui vaut un véritable statut de

pionnière et la présence de nombre de ses œuvres dans les collections des institutions muséales les plus importantes.

Grande figure du féminisme dans l'art, dont elle est une instigatrice dès les années 1960, héritière des actionnistes viennois initiateurs du body art, VALIE EXPORT met en avant son propre corps dans des photographies et des performances parfois volontairement outrageantes, et s'attelle à un véritable dynamitage de l'art bourgeois de son époque. Elle innove en Europe en reprenant et poursuivant le travail sur l'Expanded Art initié aux États-Unis, notamment par Robert Rauschenberg et Robert Heinecken : privilégiant une approche conceptuelle – l'exploration du statut et du devenir de l'image –, elle cherche à dépasser les formes plastiques traditionnelles en proposant des dispositifs complexes où le film photographique est utilisé en tant qu'objet de recherche et élément d'installations, sans oublier d'instiller à cet « art médiatique » et à la photographie conceptuelle un radicalisme et un sens de la provocation typiquement autrichien.

C'est une figure absolument majeure de l'art contemporain, renommée dans le monde entier, qui est aujourd'hui invitée au Pavillon Populaire, dont les espaces sont pour la première fois, et de manière tout à fait inédite, investis par des installations monumentales. Accompagnant l'inauguration du MoCo au début de l'été dernier, cette exposition ambitieuse contribue à faire de la ville de Montpellier un des centres de l'art contemporain en Europe.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Esplanade Charles de Gaulle. 34000 Montpellier. Tel 04 67 66 13 46 ou www.montpellier.fr ouvert tlj sauf lundi 11H-13h et 14H-19H. ENTREE LIBRE

FRAC LANGUEDOC-ROUSSILLON/ EXPOSITION Le Bal des survivances · Post_Production 2019/Du 5 décembre 2019 au 1er février 2020

LANA DUVAL, MARIE HAVEL, LUDOVIC SALMON, MAXIME SANCHEZ

Pour la quatrième édition du dispositif Post_Production, le Frac et les écoles d’art en Occitanie offrent l’opportunité à quatre nouveaux artistes de produire et d’exposer des œuvres. Lana Duval (Pau Tarbes), Marie Havel (MO.CO. Esba), Ludovic Salmon (isdaT), Maxime Sanchez (Esban). Une bourse est accordée aux lauréats par leur école d’origine, et l’accompagnement et la prise en charge des moyens liés à l’exposition elle-même sont proposés par le Frac.Post_Production est un programme destiné à l’insertion professionnelle et artistique de jeunes diplômé(e)s, conçu et réalisé en partenariat avec les écoles supérieures d’art de Montpellier (MO.CO. Esba), Nîmes (Esban), Pau-Tarbes (ÉSA Pyrénées) et l’Institut supérieur des arts de Toulouse (isdaT) depuis 2016.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ENTREE LIBRE TEL (0)4 99 74 20 35 |contact@fraclr.org ou www.fraclr.org

LA PANACEE / Exposition Caroline ACHAINTRE Estrid LUTZ: Ambera WELLMAN:/ jusqu’au 5 janvier 2020: Une immersion dans l’œuvre de 3 artistes émergentes

Caroline Achaintre/ Née en Occitanie, élevée en Allemagne, basée à Londres, Caroline

Achaintre est une artiste à la renommée internationale. Tapisseries, aquarelles, céramiques : autant de techniques traditionnelles dont elle s’empare pour constituer un carnaval de l’absurde. Ses œuvres sont des masques hagards, hilares, aux cris primitifs. Ses grands tapis colorés dialoguent avec des céramiques au plissé souple, reptilien. La laine s’inspire de l’expressionisme allemand, la terre garde des empreintes de peau, les aquarelles coulent : Caroline Achaintre ne cesse de mettre au défi ses matières pour créer une œuvre sensuelle et hors-norme. Après une formation de forgeron, Caroline Achaintre étudie les beaux-arts à Londres. Ses premières œuvres sont en papier, elle travaille la tapisserie puis la céramique en 2007. Influencée par l’expressionisme allemand, la sculpture britannique d’aprèsguerre, les arts premiers, les cultures urbaines (la musique goth ou métal, les films d’horreur, la science-fiction, etc.), elle a su développer une œuvre unique, d’abord reconnue par ses confrères artistes, et désormais par l’institution. Le MOCO Panacée s’associe avec le Belvédère de Vienne pour proposer une des premières monographies en France de l’artiste. L’exposition révèle l’ampleur de sa production avec un ensemble d’œuvres créé pour l’occasion, ainsi que des productions spécifiques pour Montpellier

Estrid LUTZ : The Body of Tears/ Fascinée par la science et la technologie, Estrid Lutz manipule les matériaux techno-spécifiques. Elle cherche à reproduire des phénomènes biologiques naturels en émulant le vivant (planctons bioluminescents, cellules en nid d'abeille, peau de reptile…). Elle fusionne matériaux à la chimie, explorant ce qui réagit au contact de l’eau, de la lumière et de la chaleur. À travers cette démarche expérimentale, l’artiste donne vie à ses œuvres et abolit les frontières entre nature et technologie. Inspirées par son environnement immédiat, les dernières recherches d’Estrid Lutz explorent le changement éternel des vagues de Puerto Escondido au Mexique, et les entités invisibles constitutives de l’océan pacifique. Pour cette première exposition personnelle dans une institution publique, l’artiste bénéficie d’une résidence de production au MOCO. Elle produit collages, pigmentations et reliefs en matières composites (polycarbonate, fibre de verre, Kevlar, pigments colorés…) ainsi que des dessins à l’encre hydrochromique dont la couleur change lorsqu’elle est mouillée. Commissariat : Vincent Honoré, directeur des expositions, assisté de Rahmouna Boutayeb et de Jacqueline Kok.

Ambera WELLMANN : S’il est une évidence quand on regarde le travail d’Ambera Wellmann, c’est qu’il est bien ici question d’une peinture du désir. Avec force et générosité, cette peintre contemporaine s’empare de la représentation de l’amour physique et du nu, traditionnellement réservée aux artistes masculins. Chez Wellmann la représentation du désir est tout autant érotique que thanatique, tendresse que violence, bonheur des corps et des sens,

qu’excès et débordements. Les corps nus se brouillent, se dissolvent les uns dans les autres, parfois jusqu’au démembrement, frôlant l’abstraction et nous entrainant dans des expériences charnelles frémissantes de pulsion vitale. L’absence de détails dans les visages et la difficulté à identifier le genre des personnages émergeant d’aplats colorés confèrent une dimension universelle à ces scènes d’étreintes. La sensualité des surfaces peintes, les doux effets de brillance, la sensation de vitesse d’exécution alliée à un grand sens du détail, témoignent d’une grande maîtrise technique. Le rendu des chairs n’est pas sans suggérer le Saturne dévorant ses enfants de Goya ou les toiles de Francis Bacon. Par ce tour de force pictural, Ambera Wellmann parvient à renouveler avec puissance et originalité les représentations du désir humain. Pour sa première exposition monographique dans une institution publique, le MOCO Panacée présente un ensemble d’une dizaine de tableaux récents de l’artiste, dont plusieurs réalisés pour l’occasion. Commissariat : Victor Secretan, senior curator, assisté de Rahmouna Boutayeb et de Jacqueline Kok.

La Panacée fait désormais partie du MoCo, une structure multi-sites inédite, dédiée à l’art contemporain, qui inclut également l’École Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier (ESBAMA) et l’Hôtel Montcalm (3500 m2 près de la gare Saint-Roch, ouverture le 29 juin 2019).

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES / LA PANACEE. 14 RUE DE L’ECOLE DE PHARMACIE/ MONTPELLIER/ ENTREE LIBRE.

MOCO : HOTEL DES COLLECTIONS/Exposition LES NON CONFORMISTES RUSSES/jusqu’au 9 février 2020 :

LES NON-CONFORMISTES.HISTOIRE D'UNE COLLECTION RUSSE : UNE EXPOSITION EN PARTENARIAT AVEC LA GALERIE TRETIAKOV

Pour sa deuxième exposition, le MOCO Hôtel des collections présente un ensemble exceptionnel de 130 œuvres provenant de la Galerie Nationale Tretiakov, le musée d'art russe de Moscou.Peintures, installations, sculptures et photographies d'une cinquantaine d'artistes composent un parcours chronologique des différents courants de l'art "non-conformiste" en U.R.S.S, puis en Russie.

Cette collection a été constituée entre 1983 et 2008 à l'initiative de l'historien de l'art russe Andreï Erofeev en vue de créer un musée d'art contemporain à Moscou, alors qu'aucune institu-tion soviétique ne s'intéressait à l'avant-

garde. Composée à l'origine de plus de 5000 pièces, une sélection de cette collection a finalement intégré la Galerie Nationale Tretiakov, faisant de cette dernière la première institution abritant un département d'art contemporain russe.

L’exposition permet ainsi une plongée inédite dans cet « underground » des années 1960-2000.

Chaque salle rassemble des artistes issus d’un même mouvement et met en lumière leur affinité avec le Tachisme, l'art cinétique, le Pop Art, l’art conceptuel, ou la performance.La constitution de la collection, révélant les relations parfois complexes entre artistes, art officiel de l'époque soviétique et institutions, sera évoquée par des documents historiques, des frises chronologiques et un programme pédagogique.

Un catalogue richement illustré accompagne l'exposition, incluant des textes critiques inédits et des notices d’œuvre. Le MOCO, en partenariat avec la Galerie Nationale Tretiakov, dévoile cette collection mythique, présentée pour la première fois hors de Russie dans sa dimension historique. Curator : Andreï Erofeev

Andreï Erofeev est historien de l’art, président de la section russe de l’AICA (Association internationale des critiques d'art). Il a été conservateur dans plusieurs musées, dont la Galerie Nationale Tretiakov (2002-2008) où il a dirigé le département d’art contemporain, spécialement créé pour sa collection. Aujourd’hui, il travaille comme commissaire d'exposition au Musée

d'art contemporain de Moscou (MMOMA). Andreï Erofeev a été commissaire de plus de 50 expositions, notamment Vers l'objet (Moscou et Amsterdam, 1990) Le fou dédoublé (Moscou et Château d’Oiron, 1999-2000), La Biennale de Cetinje (Monténégro 1994, 2002), Pop Art russe (Moscou, 2005) et Sots Art (Moscou et Paris, la maison rouge, 2007). Galerie Nationale TretiakovLa Galerie Nationale Tretiakov est l'un des principaux musées de Russie. Fondé au 19ème siècle comme un musée de la peinture russe, la Tretiakov dispose aujourd’hui d’une collection de plus de 200 000 œuvres, dont 7500 d'art contemporain. Fin 2001, la Galerie Tretiakov a reçu une collection de plus de 1500 œuvres rassemblées par Andreï Erofeev, historien de l'art et conservateur, conservée jusqu'alors au Musée Tsaritsyno. En 2002, grâce à cette collection, considérée alors comme la plus importante et la plus significative collection publique d'art contemporain en Russie, la Galerie Tretiakov a créé un département dédié à l'art contemporain.www.tretyakovgallery.ru Artistes : Yuri Albert, Vagrich Bakhchanian, Blue Noses (Viacheslav Mizin et Alexander Shaburov), Sergueï Bordatchev, Alexander Brener, Erik Boulatov, Ivan Chouïkov, Elena Elaguina, Valeri Guerlovine, Rimma Guerlovina, Gnezdo (Guennadi Donskoï, Victor Skersis, Mikhaïl Rochal), Sven Gundlakh, Francisco Infante, Inspection Herméneutique Médicale (Pavel Pepperstein, Sergueï Anoufriev, Iouri Leiderman), Ilya Kabakov, Vyacheslav Koleichuk, Vitaly Komar et Alexander Melamid, Irina Korina, Valery Koshlyakov, Alexander Kosolapov, Igor Koukles, Oleg Koulik, Rostislav Lebedev,

Iouri Leiderman, Georgy Litichevsky, Vyacheslav Loktev, Sergueï Mironenko, Andreï Monastyrski, Vladimir Nemoukhine, Anton Olshvang, Boris Orlov, Anatoly Osmolovsky, Gosha Ostretsov, Nikolaï Ovchinnikov, Nikolaï Panitkov, Dmitri Plavinsky, Dmitri Prigov, Oleg Prokofiev, Mikhaïl Roginsky, Guenrikh Sapguir, Sergueï Shablavin, Igor Shelkovsky, Nikolaï Silis, Vladimir Slepian, Leonid Sokov, Ülo Sooster, Vladimir Sorokine, Avdeï Ter-Oganyan, Boris Touretski, Sergueï Volkov, Alexander Yulikov, Konstantin Zvezdotchetov. MO.CO. curators : Pauline Faure, Anya HarrisonUNE EXPOSITION EVENEMENT A VOIR ABSOLUMENT pour la rareté des artistes et œuvres présentées cette fois hors Russie.

LE MOCO : UN LIEU DE VIE ET D'ÉMULATION POUR TOUS

Cosmopolite et dans l'air du temps, le MOCO entend offrir à tous les publics, du plus exigeant au plus néophyte, la possibilité de participer à l'art de notre temps.Le MOCO a été pensé comme un véritable lieu de vie où l'ensemble de la population, toutes générations confondues, aura plaisir à se retrouver au-delà du programme d'exposition. En effet, le restaurant, le parc mais aussi l'espace boutique du rez-de-chaussée, (renouvelé de manière saisonnière) seront des espaces conviviaux qui viendront rythmer la vie quotidienne montpelliéraine, de jour comme de nuit.Un partenariat a été initié avec l'université Paul Valéry à Montpellier et son réseau de chercheurs afin de créer un Centre international de recherche sur la notion de collection, dans ses aspects les plus divers.DES ŒUVRES D'ART EN LIBRE ACCÈS : Au-delà des expositions temporaires, le lieu est voué à accueillir des interventions d'artistes en lien direct avec son architecture, un parti pris pleinement intégré à la proposition architecturale de Philippe Chiambaretta, « un travail de réenchantement du MOCO (ex l'Hôtel Montcalm) p par l'action d'artistes qui transformeront le fonctionnel en fictionnel. Cette fiction se déroulera en trois séquences : le Jardin magique, l'Hôtel réenchanté et la Cour des fêtes. »

Le jardin magique, un jardin-atlas imaginé par Bertrand Lavier

Bertrand Lavier, à qui l'espace du parc a été confié pour la réalisation d'une œuvre pérenne, a travaillé sur un jardin en forme de mappemonde, composé d'espèces

végétales du monde entier, choisies en concertation avec le jardinier, paysagiste, botaniste et biologiste Gilles Clément. Ce projet s'inscrit par essence sur la durée, le temps naturel nécessaire à l'évolution végétale au fil des saisons : temps de plantation, de pousse et d'évolution, animaux paisibles, sans prédateurs, lents... Deux tortues viendront habiter cet espace vivant. Le jardin sera divisé deux parties : l'une pénétrable, et l'autre non. Une signalétique dessinée par Bertrand Lavier reprendra les codes d'étiquetage des jardins botaniques. Une fontaine, également conçue par l'artiste, viendra s'intégrer au centre de cet atlas planté.Ce jardin, créé pour le MOCO, est le premier jamais réalisé par l'artiste.

l'Hôtel réenchanté: des interventions artistiques sur le bâtiment : Au-delà du jardin, le bâtiment réhabilité comprendra deux premières interventions artistiques: l'une dans le restaurant/bar, l'autre sur la façade côté parc.

- Façade / Côté parc : La façade principale du MOCO-Hôtel des collections (accès au public côté rue de la République) sera le théâtre d'interventions artistiques renouvelées chaque année. Ainsi, au-delà de leur entrée pour découvrir les trois expositions annuelles présentées au sein de l'Hôtel des collections, les visiteurs pourront découvrir librement, des propositions artistiques originales en déambulant dans les espaces.

La Cour des fêtes, un espace événementiel modulable, en plein cœur de la ville : Enfin, le MOCO propose également un espace de liberté, à réinventer au fil des collaborations (artistes, étudiants, entreprises, associations...) La cour des fêtes de 640m2 pouvant accueillir jusqu'à 800 personnes située à l'arrière du bâtiment est un espace totalement dédié à l'événementiel. Un lieu qui pourra être réinventé au gré de la programmation artistique du MOCO. La Cour des fêtes pourra également être entièrement privatisée par des entreprises, afin de rassembler et fédérer leurs clients et/ou collaborateurs dans un cadre unique, hors du temps, et au plus près des valeurs d'innovation qu'incarne l'art contemporain.

.Pour son exposition inaugurale, MOCO a révélé pour la première fois en France les chefs d’œuvre de la collection japonaise de YASUHARU ISHIKAWA

 - Espace restaurant/bar:The Unplayed Notes Factory de Loris Gréaud : The Unplayed Notes Factory est né du projet de Loris Gréaud de faire revivre durant la biennale de Venise 2017 une ancienne verrerie installée sur l'île de Murano en lançant la production de 1200 lampes à filament, toutes soufflées et toutes différentes. Réactivée spécialement pour l'ouverture du MOCO, l'œuvre de Loris Gréaud, composée de formes nébuleuses et luminescentes, recouvrira le plafond du futur bar de l'Hôtel des collections et viendra sublimer cet espace dédié au partage et à la convivialité.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : voir www.moco.art

MUSEE D’ART BRUT/

Le musée d'Art Brut, qui a ouvert le 9 avril 2016, présente une importante collection de pièces d'art brut et singulier. Le collectionneur Fernand Michel (1913-1999) expérimente des techniques artistiques sur le zinc, son matériau fétiche avec lequel il crée de nombreuses œuvres qui lui vaudront le surnom d' "artiste-zingueur". A la fin de sa vie, Fernand Michel possède plus de 750 pièces artistiques dans son atelier-musée. Aujourd'hui, sur 800m² dédiés aux icônes de l'art brut, la figuration libre, l'Art Singulier, le Folk Art et le Mail Art (art postal), le visiteur peut avoir un large aperçu des différents artistes surréalistes européens et américains allant de la période « historique » du début du XXe siècle jusqu'à aujourd'hui.

EXPOSITIONS :

Exposition Rebecca Campeau/ jusqu’au 31 décembre:

Peintre, dessinatrice, sculpteur, Rebecca Campeau garde un goût prononcé pour le textile et le papier mais peut faire oeuvre de tout matériau.L’artiste est une perfectionniste. Son travail de couture relève d’une minutie parfaite.

Exposition Joaquim Baptista Antunes/ Du 1er janvier 2020 au 30 avril 2020:

À la fois peintre et sculpteur, Baptista Antunes travaille le plus souvent sur des troncs et branches d’arbres qu’il assemble et qu’il peint avec des couleurs vives. Ces sculptures personnages déformées de l’extérieur, sont drôles, grotesques et le plus souvent attachantes.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

Renseignements pratiques : Tel : 04 67 34 70 00 ou www.montpellier.fr

LA FENETRE CENTRE D’ART DE MONTPELLIER/ Du 23 janvier 2020 au 25 avril 2020:

Exposition André Baldinger - Kanji Kana Bline

Le projet du graphiste et typographe André Baldinger consiste à établir et à vérifier les principes de base pour la création d’un nouveau caractère japonais-latin nourri par la recherche, l’étude des sources historiques et les échanges avec des spécialistes de la typographie japonaise. Un questionnement autour des notions d’esthétique du répertoire formel utilisé jusqu’à présent et son évolution ces vingt dernières années. Une réflexion sur l’héritage culturel, les possibilités des nouveaux outils de créations de caractères et les changements des habitudes de lectures et des supports.

Renseignements pratiques : Le Centre d’Art La Fenêtre est situé non loin de la gare de Montpellier Saint-Roch, à proximité du Tramway Nouveau Saint-Roch.Contact :Téléphone : 04 67 64 23 90 E-mail : contact@la-fenetre.com

A DECOUVRIR

Horaires :Ouvert pendant les expositions du mercredi au samedi de 15h à 19 et sur rendez-vous.Tarifs :Adhésions annuelles à partir de 5€ (donnant notamment accès libre à toutes les expositions

CARRE SAINTE ANNE : En travaux pour l’année 2018 pas d’exposition.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Entrée libre et gratuite du mardi au dimanche 10H 13h et 14h -18H

FIGEAC

MUSEE CHAMPOLLION : Exposition des collections permanentes pendant l’hiver.A NE PAS MANQUER

Renseignements pratiques : Lieu : à L’annexe du MuséeHoraires : Juin et septembre : tous les jours sauf le lundi de 10h30 – 12h30 / 14h – 18h. Juillet – Août : tous les jours de 10h30 à 13h  et de 14h à 18h30Tarif : 3 € tarif réduit 2E, gratuit pour les moins de 13 ans.

Renseignements 05.65.50.31.08 / musee@ville-figeac.fr

LATTES(Hérault)

MUSEE ARCHEOLOGIQUE LATTARA : EXPOSITION des collections permanentes+2 EXPOSITIONS Temporaires: L’AVENTURE PHOCEENNE/Jusqu’au 6 juillet 2020 > Exposition "L'aventure phocéenne. Grecs, Ibères et Gaulois en Méditerranée nord-occidentale"La nouvelle exposition "L'aventure phocéenne. Grecs, Ibères et Gaulois en Méditerranée nord-occidentale" sera présentée du 23 novembre 2019 et jusqu'au 6 juillet 2020 au Site archéologique Lattara-musée Henri Prades de Montpellier Méditerranée Métropole. De l’Orient vers l’Occident, de la fréquentation commerciale à l’installation permanente, les Grecs Phocéens, originaires d’Ionie, ont marqué d’une empreinte durable l’espace de la Méditerranée nord-occidentale.Avant la fondation de Marseille par des Grecs Phocéens, originaires d’Ionie, les

populations indigènes du Midi de la Gaule et de la péninsule Ibérique entretenaient déjà des contacts avec les sociétés méditerranéennes.Les contacts et les partenariats rapidement tissés avec les sociétés locales ont accéléré le développement du commerce et favorisé les échanges culturels avec, pour conséquence, une transformation structurelle des sociétés en contact.Dans ce contexte d’échanges ponctuels et de trafics commerciaux, l’installation permanente de Grecs à Massalia a marqué d’une empreinte durable l’espace de la Méditerranée nord-occidentale.C’est l’histoire de cette rencontre entre Grecs, Ibères et Gaulois que l’exposition se propose de mettre en récit, sur les territoires situés entre Nikaia (Nice) et Emporion (Ampurias).Au sein d’un parcours chronologique (VIIIe - Ier s. av. notre ère), différentes thématiques permettront d’appréhender la réalité de ces interactions.Navigations méditerranéennes, relations économiques, contacts culturels, fondation de colonies, dynamiques des comptoirs commerciaux et conflits armés seront ainsi illustrés par plus de 400 œuvres provenant de musées méditerranéens.

Une exposition coproduite par le Site archéologique Lattara - musée Henri Prades et le laboratoire d’excellence ARCHIMEDE, en partenariat avec le musée d’histoire de Marseille et le musée d’archéologie de Catalogne.

.A VOIR ABSOLUMENT et recommandée pour les scolaires

Benoît Maire, Laicriture :Jusqu’au 17 février 2020Le Site archéologique Lattara - musée Henri Prades, programme chaque année une exposition d’art contemporain dans une volonté d’ouverture et de transversalité artistique et culturelle. Chaque artiste invité est appelé à interroger la collection permanente du musée en créant des interactions fertiles entre les espaces du musée, les pièces archéologiques de la collection et ses œuvres.Suite à une première collaboration avec Raphaël Zarka l’année passée, MOCO Montpellier Contemporain et le Site archéologique Lattara - musée Henri Prades s’associent et réalisent, en partenariat, une résidence artistique et une exposition à Lattes avec l’artiste Benoît Maire en 2019/2020. Benoît Maire réalisera une exposition au musée archéologique intitulée « Laicriture » qui se tiendra du 28

septembre 2019 au 17 février 2020. Une conférence publique de l’artiste aura lieu à La Panacée jeudi 26 septembre et des rencontres individuelles avec des étudiants de l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier (MOCO ESBA) en novembre.Pour cette édition, l’artiste Benoît Maire crée des interactions fertiles entre les espaces du musée, les pièces archéologiques de la collection et ses œuvres. Pour lui, l’archéologie est une « aicriture » qui se base sur l’interprétation d’objets, de restes et de signes anciens. Pour s’écrire, l’archéologie se doit d’accepter la faute, et donc d’être « aicrite ». La possibilité de l’erreur est à la base de toute écriture, et même une de ses conditions de possibilités. La faute d’orthographe est porteuse de sens à l’endroit précisément où la signification défaille. Dans Laicriture qui est une « écriture fautive » il y a par exemple le verbe « avoir », qui en droit n’est pas séparable de la question du musée. L’exposition, organisée pour la deuxième année consécutive avec le MOCO, est placée sous le signe de l’étonnement et de la métamorphose des espaces, entre passé et présent. Curator, Directeur général MOCO Montpellier Contemporain : Nicolas BourriaudConservatrice, Directrice du Site archéologique Lattara - musée Henri Prades : Diane DusseauxSite archéologique Lattara – Musée Henri Prades, LattesBenoît Maire (né en 1978, vit et travaille à Bordeaux) a mené des études en art et en philosophie, une double formation qu’il fait se rencontrer dans sa pratique artistique en cherchant à donner une forme sensible à des concepts théoriques. Ses productions font souvent référence à l’histoire, l’histoire de l’art, la philosophie, la psychanalyse, ou même les mathématiques et la mythologie.A VOIR ABSOLUMENT RECOMMANDEE POUR LES SCOLAIRES

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ENTREE GRATUITE LE 1er DIMANCHE DE CHAQUE MOIS ;

Fermé le Mardi, 1er mai, 14 juillet et 15 août. Ouvert les autres jours en semaine : 10H-12H et 13H30 -17H30 . Samedi, dimanche et jours fériés : 14H-18H et à partir du 1er avril 14H-19H.

Adresse : 390 route de Pérols 34 970 LATTES. Tel : 04 67 99 77 20 ou www.museearcheo.montpellier3m.fr

LODEVE :

MUSEE DE LODEVE/ EXPOSITION Exposition Ensor, Magritte, Alechinsky... Chefs-d'œuvre du Musée d' Ixelles, jusqu’au 23 février 2020 : EXPOSITION CHEFS D’OEUVRE DU MUSEE D’IXELLES// Exposition événement. En 90 chefs-d’œuvre, l’exposition retrace les grands courants de l’art belge : impressionnisme, symbolisme, fauvisme, surréalisme, abstractions, CoBrA. Entre réel et imaginaire, l'art belge se révèle, tel une ode à la modernité, à la liberté et au non-conformisme. Le Musée de Lodève présente, du 28 septembre 2019 au 23 février 2020, son exposition événement : Ensor, Magritte, Alechinsky... chefs d’œuvre du Musée d'Ixelles.

L'exposition invite à un cheminement sensible sur les sentiers de l'art Belge à travers une sélection de chefsd’œuvre des collections du Musée d'Ixelles (Bruxelles). Elle offre un éclairage sur les principaux courants développés en Belgique de la fin-de-siècle au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Elle illustre la densité, la richesse et la singularité de cette épopée artistique. Oscillant entre des influences internationales et des caractéristiques spécifiquement locales, entre un profond attachement à l'égard du réel et une propension féconde à l'imaginaire, l'art belge se révèle tel une ode à la modernité, la liberté et au non-conformisme.

Le parcours de l’exposition : Le parcours propose un panorama de l’art belge, depuis sa fondation dans la première moitié du XIXe siècle. Les 90 œuvres exposées sont présentées dans 10 sections : - paysagisme et pré-impressionnisme, - impressionnismes, - symbolisme, - art social, - fauvisme, - expressionnismes, - surréalisme, - abstraction de la Jeune Peinture à CoBrA, - abstraction construite et lyrique.

Le musée d’Ixelles : fenêtre sur les avant-gardes de l’art belge Par Claire Leblanc, commissaire de l’exposition James Ensor, René Magritte, Paul Delvaux, Pierre Alechinsky... sont autant d'artistes belges parmi les plus connus du grand public illustrant la richesse, la variété et la fécondité de l'art belge, depuis la création du pays en 1830 jusqu'à l'aventure CoBrA au lendemain de la seconde Guerre Mondiale. Cependant, au-delà de ces individualités remarquables, rares sont les manifestations dédiées à l'art belge. Entre influences extérieures et spécificités nationales Les relations de la Belgique avec les principaux foyers artistiques étrangers - et principalement la France - sont incontournables dans l'approche de l'art belge. Le statut de plaque tournante, dotée d'une capacité d'ouverture et d'accueil aux tendances nouvelles, affichant un dynamisme et un soutien constant à l'égard de l'audace créative, a été démontré. Fort de ces qualités, l'art belge a naturellement équilibré les apports extérieurs avec l'entretien de spécificités locales traditionnelles. Les fondations de l'art belge Les développements de l'art de la première moitié du XIXe siècle constituent les fondations de l'histoire de l'art belge. En effet, ils contribuent non seulement à la construction du pays, mais aussi à l'établissement d'une identité artistique propre qui se consolidera tout au long de la seconde moitié du siècle et même encore durant le siècle suivant. Parallèlement, le jeune pays se dote des structures utiles à l'organisation de la vie artistique. Sur le modèle français, un salon officiel des BeauxArts est organisé par roulement à Gand, Anvers et Bruxelles, les Académies des Beaux-Arts se développent dans de nombreuses communes du pays, des musées sont créés et des associations artistiques dynamisant la vie culturelle émergent. On peut considérer qu'un art belge existe dès les premières heures du pays, même si l'influence des grandes nations voisines, notamment la France, restera un point d'appui important durant tout le siècle.

Les collections du musée d’Ixelles : L'opportunité de présenter un aperçu de l'évolution artistique en Belgique nous est donnée aujourd'hui à travers un choix d’œuvres de la collection du Musée d'Ixelles, fermé jusqu'en 2023 pour mener à bien un chantier d'extension et de restructuration. L'art belge du XIXe siècle occupe une place importante dans les collections du Musée d'Ixelles. Fondé en 1892 à partir de la collection d'un artiste contemporain - le peintre animalier Edmond de Praetere (1826-1888), le Musée d'Ixelles a immédiatement suscité l'intérêt des artistes, des collectionneurs et des intellectuels de l'époque qui n'hésitèrent pas à participer au développement du jeune musée par des dons ou des legs en œuvres d'art. Cette

bienveillance spontanée permet alors de faire entrer dans les collections des œuvres d'artistes de l'époque devenues aujourd'hui, pour nombre d'entre elles, des références de l'art belge. Au gré du temps, de nombreuses acquisitions viennent compléter ce noyau. Les développements artistiques de la seconde moitié du siècle sont particulièrement présents dans les collections (réalisme, impressionnisme, néo-impressionnisme, symbolisme). Le musée conserve également une riche collection représentative des principales évolutions de l'art belge du XXe siècle. Plus de 90 œuvres représenteront tous ces courants pour cette exposition exceptionnelle.

Autour de l’exposition visites guidées À 11h et 15h, du mardi au samedi inclus Tarif : 3 euros en + des droits d’entrée Conférence : « Cobra ou l’enfance de l’art, spontanéité et liberté » Conférence de Anthony Spiegeler, professeur à l'Institut Royal Supérieur d'Histoire de l'art et d'Archéologie de Bruxelles. Samedi 25 janvier 2020, 18h Salle Marie-Christine Bousquet, Lodève Gratuit Réservation conseillée : 04 67 88 86 10 ou sur www.museedelodeve.fr Soirée musicale Récital de piano et chant autour des compositeurs belge et européens de l’époque des œuvres présentées dans l’exposition. Samedi 16 novembre 2019, 20h30 Dans les salles du musée Tarif : 15 € Réservation conseillée : 04 67 88 86 10 ou sur www.museedelodeve.fr Catalogue d’exposition Un catalogue illustré de 192 pages est publié à l’occasion de l’exposition. Il comporte des contributions de : - Claire Leblanc, conservatrice du Musée d’Ixelles : sur la période depuis l'impressionnisme jusqu’à 1945 - Anthony Spiegeler, historien de l’art : sur l'abstraction, de 1945 à Cobra. livret-jeux enfants Jeux d’observation et petits plus historiques pour découvrir les œuvres de l’exposition en s’amusant. Livrets pour les 4-7 ans et les 7-12 ans, Gratuit sur demande à l’accueil. Concours : Faux airs / Faussaire ? Saurez-vous reproduire avec vos propres moyens une des œuvres de l’exposition ? Envoyez vos créations du 1 er septembre 2019 au 2 février 2020. Élection de la reproduction la plus originale le samedi 8 février 2020. Jeux gratuit. Règlement sur la page de l’exposition du site.

Les deux commissaires de l'exposition sont :

Claire Leblanc, directrice du Musée d'Ixelles

Ivonne Papin-Drastik, conservateur en chef du patrimoine, directrice du Musée de Lodève

CABINET D’ART GRAPHIQUE DU MUSEE/ LES CLOWNS DE PAUL DARDE / jusqu’au 14 mars. Les dessins de la période parisienne des années 1920 de Paul Dardoesont à découvrir.

De nombreuses activités seront prévues autour des expositions consultez le site du musée pour leurs dates.

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Musée de Lodève Square Georges Auric 34700 Lodève Tél : 04 67 88 86 10 Mail: museelodeve@lodevoisetlarzac.fr

Horaires d'ouverture 10h – 18h fermé le lundi Fermé le 1er novembre, 11 novembre, 25 décembre, 1er janvier

Tarifs pendant l’exposition Plein : 10 € Réduit : 7 € Pass famille : 22 € (1-2 adultes + 2 à 5 enfants -18 ans) Carte accès libre à l’année : Plein : 20 € Réduit : 10 € Pass famille : 30 € (1-2 adultes + 2 à 5 enfants -18 ans)

Visites guidées Visite de l’exposition temporaire du mardi au samedi à 11h et 15h Tarif : + 3 € Réservations : 04 67 88 86 10 et www.museedelodeve.fr RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : www.museelodeve.com , www.museedelodeve.fr

LUNEL

MUSEE MEDARD/ Collections permanentes + 2 expositions :

DU CHATEAU DE VERSAILLES AU MUSEE MEDARD DE LUNEL : MARAT S’INVITE CHEZ MEDARD/ jusqu’au Samedi 1 février 2020 : Dans le cadre du plan ministériel « Culture près de chez vous », amorcé en 2018 et destiné à lutter contre la disparité culturelle en France, le musée Médard, fort de son appellation musée de France, s'est vu accorder un prêt exceptionnel. L'emblématique tableau Marat assassiné. 13 juillet 1793, peint par l’atelier de David et conservé au musée national des Châteaux de Versailles et Trianon, sera présenté dans le cabinet de Louis Médard. Le bibliophile lunellois, né en 1768, avait 21 ans lors de la Révolution française et a vécu cette période historique de rebellion. En tant que collectionneur, il a conservé dans ses bibliothèques une centaine de volumes sur cet événement et ses protagonistes, parmi ceux-ci Jean-Paul Marat et Charlotte Corday. Journaux révolutionnaires, pièces de théâtre et écrits politiques feront écho à ce tableau majeur de l'histoire de l'art. Ce prêt extraordinaire sera l'occasion de célébrer le 230e anniversaire de la Révolution française.

DU PAPYRUS À LA PHOTOGRAPHIE : L'EGYPTE EN VOLUMES ET EN IMAGES/ JUSQU’AU- Dimanche, 5. avril 2020 :

Le musée Médard s’associe à l’année culturelle 2019 France-Égypte, célébrée en concomitance avec les 150 ans de l’inauguration du canal de Suez pour mettre en avant les riches échanges artistiques et intellectuels des deux pays.C’est le livre, vecteur de transmission et de connaissance, qui a ouvert le monde occidental à la découverte de la millénaire civilisation égyptienne. À partir du XVIIIe siècle, se multiplient les relations de voyages et les ouvrages documentaires, suivis plus tard par des oeuvres d’art à part entière, dignes d’orner les plus belles collections de bibliophilie. Cette Égypte en papier et « en volumes », qui ne manque pas dans la bibliothèque de Louis Médard, est évoquée par le musée à travers quelques épisodes cruciaux : de la Description de l’Égypte, monumental reportage (23 volumes et 974 gravures) de l’expédition voulue par Napoléon Bonaparte, à l’étude de l’écriture et au déchiffrement des hiéroglyphes par Champollion en 1822, des grandes missions archéologiques à la naissance de l’égyptologie. En complément des livres, le parcours est jalonné d’images, reconstitutions et objets originaux : sphinx, pyramides, papyrus, scribes, momies, pharaons... une invitation à partager cette égyptomanie !Pour ce projet, le musée Médard peut compter sur l’apport de plusieurs partenaires institutionnels et privés.A VOIR ABSOLUMENT recommandé pour les scolaires.

Renseignements pratiques : Tel : 04 67 87 83 95 ou www.museemedard.fr

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 71, place des Martyrs de la Résistance. 34400 Lunel. Tel : 04 67 87 83 95. Ou www.museemedard.fr Accès Le musée Médard est situé dans le centre historique de Lunel en face de l'église Notre-Dame-du-Lac, à 400 mètres de la gare SNCF. Accueil du musée : 04 67 87 83 95Pour toutes réservations : 04 67 87 84 21 / 04 67 87 84 22E-mail: museemedard@ville-lunel.fr

Accessibilité: Le musée Médard est entièrement accessible aux personnes à mobilité réduite (place de parking à proximité, ascenseur).Des sièges pliants sont mis gratuitement à la disposition des visiteurs dont la station debout peut être pénible.Le musée est aussi doté de boucles magnétiques auditives, équipement d'aide à l'audition lors des visites guidées.

Horaires d'ouverture : Du mercredi au vendredi de 14h à 18h et le samedi de 10h à 18h

Fermetures annuelles : dimanches, lundis et jours fériés

MILLAU :

MUSEE DE MILLAU : collections permanentes en ce moment

A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Musee de Millau et des Grands Causses, Hôtel de Pégayrolles, Place Foch à Millau. Tel : 05 65 59 45 96 ou www.museedemillau.fr

MONTOLIEU(11)

MUSEE DES ARTS ET METIERS DU LIVRE : exposition :LA TERRE NOUS EST ETROITE/ LE GRAVEUR MICHELBOUCAUD/ jusqu’au 31 mars 2020 : créateur des éditions « Le libre feuille » Michel Boucaud publie son 1er livre d’artiste dès les années 1970, suivi par d’autres dont il fait les illustrations par ses gravures, 20 ans de ses créations sont exposés au musée.

A DECOUVRIR

Renseignements pratiques : 39 rue de la Mairie Tel : 04 68 24 80 04.

MUSEE CERES-FRANCO/EXPOSITION des collections permanentes en ce moment

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Musée Céres- Franco, 5 route d’Alzonne. Montolieu (11) Tel : 04 68 76 12 54

NIMES

CARRE DART : PETER FRIELD/TEATRO/ JUSQU’AU 1 er MARS2020/ Peter Friedl utilise différents médiums, dessins, photographies, installations et films. Son travail se concentre sur des représentations convoquant pouvoir, narration, identité, langage et histoire. Pour lui, les images contiennent toujours des points aveugles, et les œuvres qu’il propose manifestent des tensions entre histoire personnelle et collective. L’exposition mettra en évidence son intérêt pour la littérature et le théâtre qui sont des espaces fictionnels permettant d’aborder d’une autre façon la réalité. Trois œuvres importantes de l’artiste font partie de la collection de Carré d’Art.

Peter Friedl est né en 1960 en Autriche. Il vit actuellement à Berlin. Il a eu d’importantes expositions personnelles au MACBA à Barcelone, la Kunsthalle de Basel, Witte de With à Rotterdam et a participé à plusieurs Documenta et biennales. Au printemps 2019 une importante exposition personnelle, Teatro, a ouvert à la Kunsthalle de Vienne et il est présent à la Biennale de Sharjah avec une nouvelle production ;

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Ouvert du mardi au dimanche inclus de 10h à 18h T - 04 66 76 35 70(le week-end et les jours fériés : 04 66 76 35 35)F - 04 66 76 35 85

ENSBA : PAS D’EXPOSITION EN CE MOMENT

RENSEIGNEMENT PRATIQUES : www.ensba.nimes.fr

MUSEE DES BEAUX ARTS : Collections permanentes en ce momentA VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : rue Cité Foulc 30 000 NIMES. Tlj sauf le lundi de 10h à 18h : Tel : 04 66 76 71 82 ou musee-beauxarts@ville-nimes.fr

MUSEE DU VIEUX NIMES : Collections permanentes en ce moment : Etabli dans l'ancien palais Episcopal du 17e s, le musée raconte la vie à Nîmes depuis la fin du Moyen Age, à travers objets quotidiens et intérieurs bourgeois. Des expositions régulières sur les objets du musée y sont données.

A NE PAS MANQUER

 RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Place aux Herbes NImes. www.museeduvieuxnimes.fr

MUSEE DES CULTURES TAURINES : Collections permanentes en ce moment Situé à deux pas des Arènes, le musée des Cultures taurines est unique en France. Œuvres d'art et objets du quotidien évoquent ici la tauromachie et la course camarguaise, traditions tauromachiques autant régionales qu'internationales. Le musée des cultures taurines vit au rythme des expositions temporaires, ponctuées par les férias nîmoises, il est enrichi par des donations de grands artistes de la région comme par exemple Madame et Monsieur Claude Viallat.

 Ouvert récemment, il offre au public la possibilité de découvrir comment le rapport au taureau et à la terre de Camargue est devenu indissociable de l’identité .nîmoise.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENT PRATIQUES : Ouvert du mardi au dimanche inclus. De 10 h à 18hFermé le lundi et les 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembreOuvert de la Féria de Pentecôte jusqu'à fin octobre.

6, rue Alexandre Ducros 30000 Nîmes Tél : 04.30.06.77.07 musee.taureau@ville-nimes.fr

MUSEE DE LA ROMANITE : COLLECTIONS PERMANENTES EN CE MOMENT + exposition : BATIR UN EMPIRE : exploration virtuelle des Mondes Romains : jusqu’au 8 mars 2020Les nouvelles technologies numériques permettent aujourd’hui une reconstitution des grands sites archéologiques du monde romain, que ce soit Palmyre, Pompéi, Léptis Magna ou Aphrodisias. Présentées à l’Institut du Monde Arabe dans une exposition récente « Cités millénaires » c’est maintenant à Nîmes que l’on peut

se retrouver vituellement dans ces lieux prestigieux du monde antique. Pour tester ces formidables outils de reconstitution rendez-vous au musée de la Romanité à Nîmes cet hiver.

A VOIR ABSOLUMENT recommandé pour les scolaires

Elisabeth et Christian de Portzamparc, les architectes lauréats du concours international réalisé en 2012, ont conçu le projet d'un bâtiment digne de son emplacement exceptionnel, une splendide façade blanche et sinueuse face aux Arènes de Nîmes, avec une ouverture très agréable sur la ville, entre son café sur le devant de la place face aux arènes, et le beau jardin par derrière, conçu comme une rue face au musée des Arts Taurin et l’îlot de maisons anciennes en fond de décor.Le musée de la Romanité établit un dialogue parfait avec la ville romaine. Dès 2018, ce beau volume percé par une large rue intérieure sera le sésame pour la compréhension de Nîmes. Innovations techniques et esthétiques seront au rendez-vous. La disposition intérieure est très claire et permet de circuler aisément entre les deux étages consacrés à l’exposition des collections archéologiques permanentes de Nîmes qui retracent l’histoire de la ville des époques gauloises jusqu’au Moyen-Age et le sous-sol où se déroulent à la fois les expositions temporaires et d’autres activités du musées (ateliers pour les enfants, locaux de conservation)

Dans ce nouveau musée dont l’architecture remarquable est due à Elizabeth de Portzampac, face aux arênes de Nimes, une très riche collection des antiquités de la région, dans une belle scénographie. Les expositions y sont aussi d’une rare qualité tant par les objets présentés que par les commentaires érudits dont ils sont assortis

De nombreux évènements y ont lieu, colloques, visites guidées, conférences…, pour connaître les jours et heures consultez régulièrement leur site

A VOIR ABSOLUMENT et très recommandé pour les scolaires

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 16 Boulevard des Arènes. 30900 NIMES. Ouvert tous les jours : juin : 10h/19H- Juillet et août : 10H-20H. Du 1er septembre au 4 novembre : 10H-19H et du 5 novembre au 31 mars : 10H-18H (sauf mardi). Avril et mai : 10H-19H.

GRATUIT LES PREMIERS DIMANCHE DU MOIS DE SEPTEMBRE A JUIN (sauf expositions temporaires)

ARCHIVES DEPARTEMENTALES DU GARD/ EXPOSITION RETROSPECTIVE/ ALBERT ANDRE : PEINTRE POST IMPRESSIONNISTE (1859-1954) / JUSQU’AU 29 MARS 2020

À travers deux expositions sur deux lieux, le Département du Gard rend hommage à Albert André à l’occasion du 150e anniversaire de l’artiste post-impressionniste.

L’exposition est co-organisée par deux directions partenaires, la Conservation départementale du Gard et les Archives départementales du Gard. Après l’exposition du Pont du Gard en 2011 et ses 35 000 visiteurs, la Direction de la conservation départementale du Gard rendra un nouvel hommage à Albert André à l’occasion du 150e anniversaire de l’artiste post-impressionniste. Des œuvres de jeunesse à l’affirmation d’un style propre, la rétrospective retracera la carrière artistique de ce peintre d’origine lyonnaise entre les années 1890 juste après son arrivée à Paris et les dernières œuvres réalisées 50 ans plus tard dans sa maison de Laudun (Gard). En illustrant les 20 années d’amitié partagées entre l’artiste et le grand maître

impressionniste, la manifestation s’inscrit dans le cadre de la célébration du centenaire de Pierre-Auguste Renoir.

Né à Lyon en 1869 dans une famille de soyeux, passionné par le dessin dès son plus jeune âge, Albert André part à l’âge de 20 ans étudier la peinture à Paris. Inscrit à l’Académie Jullian, il se lie d’amitié avec les peintres de sa génération tels que Bonnard, Valtat, Vuillard, Maurice Denis… Paul Durand-Ruel et Auguste Renoir le repèrent au Salon des Indépendants de 1894. C’est le début d’une longue et indéfectible amitié avec le grand maître impressionniste, dont il a laissé des textes et des portraits d’une saisissante acuité. A l’écart des courants officiels, le peintre compose d’abord des œuvres au style libre et moderne pour renouer avec le temps avec un plus grand réalisme tant dans la forme que dans la palette.

L’exposition présentera 150 toiles et dessins (dont 11 œuvres d’Auguste Renoir, ami intime du peintre) rassemblés pour la première fois, issus des collections départementales et du musée Albert André de la Ville de Bagnols-sur-Cèze. Cette sélection sera complétée par des prêts exceptionnels sollicités auprès de plusieurs musées publiques partenaires (Orsay, Villefranche-sur-Saône, Montbéliard, Saint-Denis, Cagnes-sur-Mer) et de collectionneurs privés. Correspondances, photographies, objets personnels issus de l’exceptionnel fonds d’archives conservé par le Département du Gard permettront d’entrer dans l’intimité du peintre, ami des plus grands artistes de son temps.

Cette manifestation est également l’occasion de rendre un hommage à la générosité de sa fille adoptive Jacqueline George-Besson qui a légué cette collection inestimable au Département du Gard.

Commissariat des expositions

Béatrice Roche, conservatrice du patrimoine et directrice de la Conservation départementale du Gard.

Fanny Charton, attachée de conservation du patrimoine et directrice-adjointe de la Conservation départementale du Gard.

Le Département du Gard remercie ses partenaires culturels et institutionnels pour leurs prêts et leur précieux soutien

Musée d’Orsay

Musée d’art et d’histoire de Saint-Denis

Musée Paul-Dini de Villefranche-sur-Saône

Musée d’art moderne de la Ville de Paris

Maison Renoir de Cagnes-sur-Mer

Durand-Ruel et Cie.

Une superbe rétrospective en trois volets où sont évoqués à travers les eouvres exposées, son amitié avec Renoir, ses relations avec son marchand Durand –Ruel, ses relations avec les autres grands peintres de cette époque, dont Monet et sa vie intime entre deux femmes artistes elles aussi, sa femme Malek et leur fille adoptive, Jacqueline.

A VOIR ABSOLUMENT pour découvrir ou redécouvrir ce peintre

CONFERENCES PROPOSEES SUR LES EXPOSITIONS / A NIMES/ Gilles Bourdos, 2012Samedi 29 février 2020 à 10h30⇒ Les peintres post-impressionnistes, 3e génération défendue par le marchand Paul Durand-Ruel par Claire Durand-Ruel Snollaert, historienne de l’art, commissaire d’expositions, experte et auteure du catalogue critique de l’Œuvre de Pissarro.

D'autres conférences sont proposées à la médiathèque Léon Alègre de Bagnols-sur-Cèze :Mardi 17 décembre 2019 à 18h30⇒ Albert André vu par sa fille adoptive, Jacqueline George-Besson. Rencontre et discussion avec Alain Girard, Conservateur honoraire en chef du patrimoine.Jeudi 23 janvier 2020 à 18h30⇒ Albert André, Conservateur. Constitution d’une des premières collections d’art moderne publiques en province par Béatrice Roche, Conservatrice du patrimoine, directrice de la Conservation départementale du Gard.

Renseignements pratiques : aux Archives départementales du Gard, 365 rue du Forez.Heures d’ouverture : du lundi au samedi de 10h à 17h (Dernières entrées 30 minutes avant la fermeture. Fermeture les jours fériés).Entrée libre et gratuite. Accessible aux personnes à mobilité réduite.Possibilités de visites commentées des expositions à partir de 12 personnes (Gratuit uniquement sur réservation : www.archives.gard.fr).À Bagnols-sur-Cèze :1869-1954 rétrospective 150 ans - Albert André conservateur et fondateur d'un musée d'art moderne d'exception.Du 21 septembre 2019 au 29 mars 2020 au Musée Albert André, Hôtel de Ville Place Mallet. Tous les jours (sauf le lundi) de 10h à 12h et de 14h à 18h. Fermé en février et les jours fériés.Entrée libreRenseignements et visites guidées par téléphone au 04-66-90-75-80.Toute la programmation sur www.musees.gard.fr 

GALERIE LA VIGIE/ ART CONTEMPORAIN / jusqu’au 25 janvier 2020HORS PISTESEtudiants et Jeunes diplômés des écoles d’art ESAAA Annecy et Esban Nîmes 

Intégré au volet Résonance de la 15e Biennale de Lyon, le projet « Hors pistes » consiste en une trilogie d’expositions, accueillies par les espaces d’art partenaires. Il a été conçu à la fois comme un coup de pouce pour les jeunes artistes, une véritable opportunité de se confronter au milieu professionnel de l’art et une occasion pour le public de découvrir leurs univers.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/La Vigie Art-Contemporain32 Rue Clérisseau30000 NIMES

Située à côté du centre ville de Nîmes et de Carré d'Art, au pied de la faculté Vauban (lettres et art) son accès est facile.

PONT DU GARD/ Monument + Exposition FEU/ jusqu’au 08 mars 2020 une exposition itinérante sur le thème du feu "Expo Feu", conçue par Universcience, qui explore la thématique de la maîtrise du feu par l'humain de façon ludique et pédagogique.

La maîtrise du feu a été d’une importance capitale pour l’humanité. Elle a marqué un profond bouleversement non seulement de la vie quotidienne mais aussi de la pensée de l’être humain.Notre rapport avec le feu a évolué au fil du temps. Il demeure à la fois un objet de fascination et de peur, renvoie à la chaleur, à la vitalité, à la convivialité, à la création, au progrès, à la technique… mais également au danger et à la destruction.Accessible dès 9 ans, cette exposition rassemble des installations audiovisuelles, des dispositifs multimédia et des expériences interactives ainsi que de nombreux objets visant à enrichir la connaissance des visiteurs et à déconstruire les idées reçues. Le parcours est pensé comme une progression depuis l’obscurité originelle jusqu’à la lumière éblouissante de l’incendieAu Pont du Gard, les thématiques de l’exposition résonnent de par la présence d’un espace naturel sensible, cette garrigue méditerranéenne si belle et si fragile à la fois mais aussi vis-à-vis de l’origine de la maîtrise du feu avec la présence de l’Abris de la Salpêtrière qui témoigne de la présence de l’homme sur le site depuis la Préhistoire.

LES THÉMATIQUES DE L’EXPO FEUAPPRIVOISER LE FEUQuand l’Homme a-t-il domestiqué le feu ? Qu’est-ce que la découverte du feu a apporté à l’être humain ? Comment le feu a-t-il a permis de fabriquer des nouvelles matières mais aussi de développer le langage ? La première partie de l’exposition aborde le thème de la maîtrise empirique du feu par l’Homme dès la Préhistoire.COMPRENDRE LE FEUQu’est-ce que le feu ? Qu’est-ce qu’une flamme ? Quels sont les enjeux actuels autour de la combustion ? Quelles sont les perspectives ? Quels défis pour les chercheurs ?Cette deuxième partie de l’exposition traite de la maîtrise scientifique et industrielle du feu.COMBATTRE LES INCENDIESQu’est-ce qu’un incendie ? Comment se propage-t-il ? Comment prévenir un incendie et s’en protéger ? Comment le combattre et se former ? La troisième et dernière partie de l’exposition explore le feu hors de contrôle sur lequel l’humain cherche à reprendre la maîtrise.

UN ÉTÉ DE FEULe Service Départemental d’Incendie et de Secours du Gard propose une présentation en trois parties pour illustrer l’été que nous avons vécu dans le Département du Gard et plus largement dans le sud de la France.Plusieurs feux de forêt se sont succédés tout au long de l’été entrainant une mise en place de moyens conséquents, sans parler des conséquences dramatiques qui l’ont accompagné.Expo Patrimoine mondial & Grand Site de France (Pont du Gard)

Qu’ont en commun les îles Galapagos, la cité de Carcassonne, les pyramides de Gizeh, la Grande Barrière de corail d’Australie, le palais de Versailles, la Statue de la Liberté, la grande muraille de Chine , … et le Pont du Gard ? Ils font partie des 962 Biens communs de l’Humanité que l’UNESCO a inscrits sur la liste du Patrimoine mondial. Le Pont du Gard, qui a reçu ce prestigieux label dès 1985, est situé au cœur d’un site de 165 hectares qui lui-même a obtenu en 2004, renouvelé en 2011, le label « Grand site de France ».

Le site du Pont du Gard est un des rares, en France, à cumuler ces deux labels d’exception. Des mosaïques de photos grands formats et des panneaux d'explication installés sur le parvis du bâtiment de la rive gauche permettent de faire découvrir et de comprendre le rôle des labels Patrimoine mondial et Grand Site de France. Une exposition visuelle accessible à tous et en 3 langues (Français, Anglais et Allemand).

A VOIR ABSOLUMENT recommandé pour les scolaires car l’exposition est très ludique

Renseignements pratiques/: Musée du Pont du Gard rive gauche. www.pontdugard.fr ou Tel : 04 66 37 50 99 Salle Jean-Luc Fiches DUREE : 1H PUBLIC : Conseillé à partir de 9 ans

TARIFS : Exposition comprise dans l'Entrée SiteGratuit pour les jeunes de moins de 18 ans

HORAIRES :

De 9h à 18h en octobre et en mars De 9h à 17h en novembre, décembre, janvier et février

Fermé le lundi matinExposition trilingue (français, anglais, italien).Accessible à tous types de handicap

PEZENAS

MUSEE DE VUILLOD St- GERMAIN : collections permanentesInstallé dans un ancien hôtel particulier, il présente des collections de faïence, mobilier, tapisseries d’Aubusson. Différentes salles retracent le souvenir de Molière. L’une d’elles expose le fauteuil du comédien.A découvrir absolument

Renseignements pratiques : Musée Vuillod Saint –Germain, 3, rue Albert Paul Alliés à Pézenas (34)Tel : 04

67 98 90 59. Du mardi au dimanche : 10h-12h et 14h-19H www.ville-pezenas.fr

PONT SAINT ESPRIT :

MUSEE LAIQUE D’ART SACRE DU GARD : Collections permanentes : Quel rapport y a-t-il entre une Vierge romane, une statuette de soldat provenant d’un tombeau chinois, un masque africain et une icône crétoise ? Différent des traditionnels musées de Beaux-Arts, le musée d’art sacré du Gard rassemble des objets que l’on n’a pas l’habitude de voir cohabiter. La signification de ces œuvres est aujourd’hui obscure pour la plupart d’entre nous… Le musée laïque d’art sacré du Gard propose une

approche culturelle audacieuse et originale de l’art sacré et vous éclaire sur le sens des œuvres de sa collection. 

 A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Musée laïque d’art sacré du Gard, 2 rue Saint-Jacques à Pont St Esprit (30).

Tel : 04 66 90 75 80 ou www.musees.gard.fr

SAINT QUENTIN LA POTERIE/ (30)

MUSEE DE LA POTERIE MEDITERRANEENNE : EXPOSITION DES COLLECTIONS PERMANENTES A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 14 rue de la Fontaine. Saint Quentin la Poterie 30700 Tel : 04 66 03 65 86 ou www.muse-poterie-mediterranee.comA NE PAS MANQUER

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES: www.musee-poterie-mediterranee.com

Ou www.terraviva.fr Ouvert du mercredi au dimanche de 14 à 18h Tel: 04 66 03 65 86. Adresse: 14 rue de la Fontaine. St- Quentin- la- Poterie.

UZES/

MUSEE GEORGES BORIAS : Collections permanentes Le musée Georges Borias est installé dans l’ancien palais épiscopal du 17e siècle, superbe bâtiment (monument historique classé), entre ville et garrigue.

 Le musée de Uzès est né au début du XX siècle des initiatives simultanées de deux enfants du pays, un artiste et un poète. Créé en 1910, puis considérablement développé à partir de 1945 par Georges Borias, artiste et enseignant, lemusée regroupe des collections d’archéologie, d’histoire et d’artisanat. Elles permettent de découvrir le riche passéd’Uzès et de sa région. La poterie de l’Uzège est un des points forts du musée, avec un bel ensemble de terres vernissées et pipes enterre. A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 05 66 22 40 23 ou www.pays-uzes-tourisme.com

MEDIATHEQUE : exposition temporaire en cours de montage

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 66 55 83 82 ou www.laquincaillerie.info

SETE/

MUSEE PAUL VALERY : Collections permanentes : EXPOSITION : MARCEL GROMAIRE : L’ELEGANCE DE LA FORCE / du 14 décembre au 23 février 2020 en collaboration avec le musée de la Piscine de Roubaix et le musée de

Honfleur et avec le soutien du Musée d’Art Moderne de Paris et de la Galerie de la Présidence. L’exposition est organisée avec la participation exceptionnelle de Paris Musées – Musée d’Art moderne de la Ville de Paris. Elle bénéficie du soutien essentiel de la galerie de la Présidence (Paris).

« Il est rare d’exposer un artiste dont l’œuvre soit à ce point en mesure d’inspirer trois lieux aussi différents que le musée Eugène-Boudin de Honfleur, le musée Paul-Valéry de Sète et La Piscine – musée d’Art et d’Industrie André-Diligent de Roubaix : Marcel Gromaire est de ceux-là. Par la forte empreinte sociale de ses scènes de la vie rurale et industrielle, tout autant que par son art du portrait ou sa vision renouvelée du paysage, il a le pouvoir, d’un port à l’autre et du nord au sud de la France, de fédérer ces trois musées autour d’une rétrospective que nous avons le plus grand plaisir à vous présenter aujourd’hui. Mais la pratique de ces genres si divers n’est que l’un des aspects ayant motivé une telle manifestation ; la modernité inclassable de Marcel Gromaire et son humanisme sans faille composent également le faisceau des raisons de cette exposition. En marge des sillons déjà creusés par d’autres – bien qu’attentif à l’art de son temps –, Marcel Gromaire a en effet forgé une manière dont on a trop peu souligné l’originalité jusqu’ici : fidèles à leur volonté d’arpenter des terrains peu connus ou délaissés du grand public, nos trois musées avaient ainsi à cœur de remettre sur le devant de la scène cette figure incontournable de l’art du xx e siècle. De même, sa profonde attention à l’humain et sa lucide empathie résonnent comme autant de valeurs partagées et défendues par nos trois collectivités. » FRANÇOIS COMMEINHES Maire de Sète Président de Sète Agglopôle Méditerranée

Marcel Gromaire (1892 – 1971)/ L’élégance de la force

L’élégance de la force », deuxième étape de l’ambitieuse exposition monographique itinéranteconsacrée à l’artiste, conçue en association avec le Musée Eugène Boudin à Honfleur (depuis le 7septembre et jusqu’au 25 novembre 2019) et La Piscine, Musée d’art et d’industrie André Diligent àRoubaix (du 14 mars au 21 mai 2020) avec le soutien exceptionnel du Musée d’Art Moderne de laVille de Paris et de la galerie de la Présidence (Paris).

L’exposition rassemble 130 peintures et dessins datés de 1914 à 1956 provenant de prestigieusescollections publiques – legs du docteur Maurice Girardin au Musée d’Art moderne de la Ville de Parisen 1953 ou encore donation Pierre et Denise Lévy au Musée d’Art moderne de Troyes en 1954...-ainsi que de collections privées. L’ensemble a été particulièrement choisi pour embrasser toute lacarrière de Marcel Gromaire, des premières recherches jusqu’aux oeuvres parfois plus systématiquesdes dernières années.

Réunissant les chefs-d’oeuvre les plus connus – La Guerre (1925), La Partie de cartes (1925), New-York, Brooklyn Bridge (1950) ou Paris, Notre-Dame (1956) – et des oeuvres jusqu’ici peu exposéesou encore inédites, l’exposition met en avant les thématiques majeures abordées par Gromaire :partout domine son intérêt pour l’être humain et sa diversité, différence des corps, des conditions etdes relations sociales – travailleurs de la terre, artisans, modèles, loisirs, famille…

L’exposition fait enfin apparaître comment l’écriture plastique de Gromaire s’est peu à peu définie

entre rigueur cubiste, expressionnisme et volonté réaliste, associant une palette volontairement simplifiée à une géométrisation vigoureuse des volumes et des formes.Marcel Gromaire, repères biographiques (1892-1971) Marcel Gromaire est né le 24 juillet 1892 à Noyelles-sur-Sambre , petite commune de 300 âmes au Nord de la France, voisine du Cateau-Cambrésis, rendu célèbre par Henri Matisse (1869- 1954). Il sera élevé par sa grand-mère maternelle Reine-Marie Bisiaux (1846-1929), peintre autodidacte qui l’initiera à la peinture, et par sa tante Octavie Bisiaux (1869-1952), poète : sa mère, Marie-Léopoldine, meurt en couches, son père Georges Gromaire, professeur d’allemand, est très rapidement envoyé en poste à Paris au lycée Buffon. Il suivra alors ses études à Douai , puis rejoindra son père au lycée Buffon où il obtiendra son baccalauréat en droit. Il abandonnera très vite ses études juridiques pour se consacrer à l’écriture et à la peinture. « Le droit : ça va bien ; maintenant la peinture ! ». Durant les années 1910-1911, il fréquente sans jamais se fixer différents ateliers de Montparnasse. Ami de Matisse qui le conseille, il expose six toiles au Salon des indépendants ; il est alors âgé de 19 ans. Marcel Gromaire se passionne pour l’art roman, le gothique et les primitifs, visite les pays du Nord, dont l'atmosphère influencera profondément son œuvre. En 1913, il effectue son service militaire à Lille, son grade de caporal lui permet d’avoir « une chambre en ville » qu’il transformera très vite en atelier.

La Première Guerre éclate. Gravement blessé sur le front de la Somme en 1916, il est déclaré inapte. Après une longue période passée à l’hôpital pour soigner ses blessures, Gromaire est affecté en 1918 comme interprète auprès de l’armée américaine. Il rencontre Jean-Émile Laboureur (1877-1943) qui l’initie à la gravure sur cuivre. De retour à la vie civile à Paris en 1919, il installe son atelier au 20, rue Delambre. Passionné de cinéma, il assure la critique cinématographique dans le journal Le Crapouillot. Publie « l’Art moderne » et « Notes sur l’art d’aujourd’hui », qui ont valeur de manifestes. 1920 : Première participation au Salon des indépendants où le docteur Maurice Girardin découvre son travail. Dentiste et grand collectionneur (Rouault, Modigliani, Dufy, Picasso, Braque…), propriétaire de la galerie La Licorne (rue de la Boétie, Paris), le Docteur Girardin lui propose un contrat d’exclusivité dit « de première vue » que le jeune artiste accepte, ce dernier sera renouvelé en 1926 et 1929. En 1921, le Docteur Girardin organise sa première exposition personnelle à la galerie La Licorne. Marcel Gromaire commence la rédaction de ses notes de travail dans lesquelles il consigne ses réflexions sur les formes, l’espace et la lumière et livre ses références sur les peintres anciens (Bruegel, Rembrandt, Van Eyck) et modernes (Cézanne, Seurat, Matisse). C’est en 1924, que Marcel Gromaire s’installe 3, Villa Seurat (Paris) dans un atelier que son ami l’architecte André Lurçat construit. Il le partage avec le peintre-graveur Édouard Goerg (1893- 1969). Il y peint La Toilette, le Faucheur flamand, Les Buveurs de bière tout en poursuivant la rédaction de ses notes personnelles. En 1925, il présente La Guerre au Salon

des indépendants et Jean Cassou (1897-1986) lui consacre une première monographie. S’ensuivent des expositions régulières dans différentes galeries parisiennes de renom – galerie Berthe Weil jusqu’en 1928, galerie Bernheim-Jeune, galerie Pierre …

Il peint : Dimanche en banlieue (1927), Femme attachant son bas (1928), Étude de nu au manteau (1929). Un peu plus tard, en 1931, le galeriste Pierre Matisse expose ses œuvres pour l’inauguration de sa galerie new-yorkaise. En 1932, Maurice Girardin met fin à son contrat alors qu’en 1933, la Kunsthalle de Bâle lui consacre une rétrospective (25 juin – 23 juillet). Peint Le Tir Forain, les Joueurs d’échecs et Pietà, une de ses très rares œuvres à sujet religieux. 1934 :

Marcel Gromaire devient membre de la Société des Artistes de France dont l’objectif est de promouvoir l’art contemporain. 1935-36 : Participe au débat sur « Le Réalisme et la peinture » organisé par les peintres de la Maison de la Culture à Paris. Prend part à toutes les manifestations du Front populaire. Il est fait chevalier de la Légion d’honneur.

1937-1938 : Il exécute une frise pour le Pavillon de Sèvres à l'Exposition internationale de la Ville de Paris. Par la suite, il s'intéresse à la tapisserie et fonde, avec André Lurçat (1894-1970), la nouvelle école d'Aubusson. L’État lui passe commande de cinq panneaux (356 x 215 cm) pour la faculté de Pharmacie (Paris). Il réalise sa première tapisserie, La Terre (manufacture des Gobelins). 1939-1944 : Pendant la Seconde Guerre mondiale, il réside à Aubusson pour travailler ses projets de tapisseries aux côtés des lissiers de la manufacture. Dès la fin de la guerre, il rentre à Paris et peint Le Panier de poissons et La Charrue.

En 1947, la galerie Louis Carré (Paris) organise sa première exposition personnelle depuis la guerre, ses œuvres seront aussi montrées à New-York. La galerie exposera ses œuvres jusqu’en 1956. 1948-1950 : Marcel Gromaire est nommé vice-président de l’UNI (Union Nationale des Intellectuels) et préside durant ces mêmes années, l’UAP (Union des Arts Plastiques). Il est fait officier de la Légion d’honneur en 1949 et est nommé en 1950 professeur d’art mural à l’École nationale supérieure des arts décoratifs (il la quittera en 1962). Cette même année, Marcel Gromaire participe à la Biennale de Venise et réalise pour l’Assemblée de l’Union française son dernier grand décor mural, L’Abolition de l’esclavage. Il se rend aux États-Unis en tant que membre du jury du prix Carnegie qui sera décerné au peintre et graveur Jacques Villon (1875- 1954). Ce même prix lui sera attribué en 1952 pour Paysage avec fond de montagnes. 1954 : Peint L’Homme au Livre, Moisson au pays de Chartres. Il reçoit le titre de commandeur de la Légion d’honneur. 1956 : les musées des Beaux-Arts de Valenciennes et de Besançon lui consacrent une rétrospective. Il reçoit le prix

Guggenheim pour La Cité. 1960-1966 : le Musée national d’Art moderne de Paris lui consacre une grande exposition en 1963 ainsi que le musée des Beaux-Arts de Lille en 1966. En 1965, Marcel Gromaire refuse son élection à l’Académie des Beaux-Arts. Publie son dernier texte À quelques jeunes peintres inconnus dans Les Nouvelles Littéraires. 1967 : La maladie s’installe affaiblissant la vue du peintre. Marcel Gromaire renonce aux séjours à Noyelles. Marcel Gromaire meurt à Paris le 11 avril 1971. Il repose au cimetière de Noyelles-sur-Sambre. 1937-1938 :

Quelques éléments pour lire l’œuvre Marcel Gromaire est né en 1892. Il a dix ans de moins que Georges Braque (1882-1963) et Fernand Léger (1881-1973). Picasso (1869-1954) est de vingt-ans son aîné. Entré en peinture à 19 ans, il a laissé une œuvre puissante, singulière, au trait riche et savant et son influence fut considérable sur les jeunes générations, signale Jacques Busse. Son rayonnement intellectuel en fait le porte-parole de l’art indépendant durant les années 1920 à 1950. Cubiste ? Expressionniste ? Indépendant, Gromaire travaille à l’écart des groupes et des courants de son époque, intégrant bien entendu les apports de la modernité tout en rejetant ce qui rompt avec la tradition. Il crée son propre style, regarde la réalité telle qu’elle est, n’est l’élève de personne, et invente ainsi un art qui s’affranchit des règles. Un style qu’on ne peut confondre avec aucun autre, un art en tension qu’il qualifiait lui-même, en 1944, d’« Art des extrêmes. Extrême élégance et extrême masse – Extrême élan et extrême poids. Extrême grandeur et extrêmes nuances - Extrême stabilité et extrême mouvement - Extrême matérialité et extrême libération - Extrême structure et extrême fluidité - Extrême localisation et extrême ubiquité. Extrême naturel et extrême irréel ». Son originalité se définit par la puissance monumentale des formes, courbes et droites multiples, alliée à une palette dominée par les couleurs brunes, rehaussée parfois de couleurs plus vives, qui s’éclaircit à partir de 1926. L’œuvre de Marcel Gromaire est dominée par son intérêt pour l’être humain et sa diversité, différence des corps, des conditions et des relations sociales - travailleurs de la terre, artisans, modèles, loisirs, famille, paysages urbains… - sont toutes traitées avec un accent d'humanité. Noyelles-sur-Sambre, petit village du Hainaut où Marcel Gromaire est né, est pour l’artiste non seulement un refuge intime, mais aussi un repère pictural : la lumière des Flandres, les couleurs terreuses du Hainaut et ses habitants sont autant de sources d’inspiration qui apparaissent dans la plupart de ses œuvres. Marcel Gromaire a peint quelques 725 huiles dont près de 330 en une dizaine d’années entre 1920 et 1931, des aquarelles relativement peu nombreuses, au rythme d’une dizaine par an à partir de 1951 jusqu’en 1968. Il a laissé une centaine de carnets où se côtoient de simples croquis au trait et des dessins plus « poussés ». Son œuvre gravé est conséquente avec quelque 245 planches. S’y ajoute une trentaine de bois datés de 1918 à 1925. Marcel Gromaire est un artiste

conscient du monde, sensible aux mystères de la nature et à l’écoute des hommes d’hier et de son temps. Son œuvre n’est autre que le témoignage de sa quête intérieure de vérité, d’un besoin instinctif de revenir aux origines de l’humanité et de fait, aux sources de l’art. Les vestiges de Chaldée, d’Égypte ancienne, de la Chine de Haute Époque et de la Grèce archaïque, les fétiches d’Afrique et le travail des primitifs du Nord al imentent sa réflexion ainsi que son répertoire de formes, de couleurs et de significations. Marine Roux

« Gromaire primitiviste », in catalogue officiel de l’exposition.

L’exposition est accompagnée d’un film sur l’artiste de Maïté VALLES –BLED Conservatrice du patrimoine de Sète et sera accompagnée de manifestations diverses (voir le site du musée).

Une superbe et très nécessaire exposition, d’une rare pertinence en liaison avec l’actualité sociale de notre temps, car c’est toute l’histoire d’une époque qui est évoquée à travers les œuvres de cet artiste (1ère guerre mondiale. Conquêtes sociales du Front Populaire en 1936)

A VOIR ABSOLUMENT***

DONATION SALAH STETIE/ Une salle du musée lui est entièrement consacrée, elle est

ouverte au public depuis 10 décembre 2017. Une exposition des nombreuses œuvres

poétiques de cet auteur, illustrées par de très grands artistes et d’œuvres picturales de ses amis

qui ont fait de lui beaucoup de portraits à différentes époques de sa vie.

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 99 04 76 16 ouverture tous les jours sauf lundi de 9H30 à 19h jusqu’au 31 octobre puis de 10h à 18h du 1er novembre au 31 mars. Le premier dimanche de chaque mois accès GRATUIT à la visite des collections.

www.museepaulvalery-sete.fr

MIAM : MUSEE DES ARTS MODESTES : Collections permanentes+ Exposition :

LA PART MODESTE : Bernard Belluc, Delphine Coindet, Gérard Collin-Thiébaut/ du 4

juillet au 5 janvier 2020 : La part modeste est la rencontre improbables de trois artistes :

Bernard Belluc, Delphine Coindet et Gérard Collin-Thiébaut, reconnus dans des champs

différents de la création contemporaine, et que le MIAM a décidé d’interpeller sur leur vision de

l’Art Modeste.

Si Bernard Belluc, co-fondateur du MIAM, est ici « chez lui », Delphine Coindet et Gérard Collin-

Thiébaut, dont on a déjà vu les œuvres dans de précédentes expositions au musée,

entretiennent, tant par leur démarche que dans leur production artistique, une relation

cordiale avec l’Art Modeste.

Tout en poursuivant sa collecte nostalgique, Bernard Belluc opère un feedback sur son

adolescence ; il sort de ses célèbres « vitrines » pour nous inviter dans son univers

cinématographique et musical. A coup de puzzles et de rébus, Gérard Collin-Thiébaut construit

son musée imaginaire entre culture savante et culture populaire, et joue, avec malice, des

relations incertaines entre image et langage.

Delphine Coindet quant à elle, poursuit, dans le cadre singulier du MIAM, la remise en question

de son oeuvre protéiforme, tout en assurant la scénographie de l’exposition ; double posture

qui illustre son penchant pour les prises de risque.

Se souvenant des propos d’Hervé Di Rosa, qui aime à rappeler qu’il n’y a pas d’oeuvre

modeste, mais seulement des regards modestes, Bernard Belluc, Delphine Coindet et Gérard

Collin-Thiébaut convient ici d’autres artistes*, amis et complices, ainsi que des oeuvres de la

collection du MIAM. Construit autour d’espaces conçus par chacun des trois artistes, le

parcours de l’exposition est pensé comme une déambulation ouverte sur des points de vue

croisés, proximités et frottements entre leurs oeuvres ; qui ainsi s’interrogent et s’enrichissent

mutuellement, dans

un joyeux désordre plus ou moins organisé, propre à l’esprit du MIAM. Dans cette exposition, il

est question de peinture, de sculpture, d’objets, d’installations, de collections, de mises en

espace et de mises en scène ; mais aussi de cinéma, de musique et de danse…

Invités : Jacques Bonnard, Patrice Carré, Raquel Dias, Hervé Di Rosa, Elisa Fantozzi,

Charlotte Guinot-Bacot, Marie-Caroline Hominal, Hélène Iratchet, Bertrand Lavier,

Jean-Luc Montginoul, Jim Shaw.

Commissariat : Martine Buissart, Norbert Duffort.

Scénographie : Delphine Coindet.A DECOUVRIR ABSOLUMENT

 RENSEIGNEMENTS PRATIQUES :Musée International des Arts Modestes, 23 quai Maréchal

de Lattre de Tassigny 34200 Sète> T. +33 (0)4 99 04 76 44 E. miam@miam.org .

www.miam.org. Horaires du MIAM :1er octobre – 31 mars : ouvert tlj de 10h à 12 h & de 14h à

18h. Fermetures annuelles : 1er novembre, 25 décembre, 1er janvier/ www.miam.org ou E : miam@miam.org ou miam@ville-sete.fr

CHAPELLE DU QUARTIER HAUT : Exposition EDGELAND de Christine BOILLAT : jusqu’au 5 janvier : L’exposition de Christine Boillat, Edgeland, des œuvres dessinées en grand format, dans une ambiance mystérieuse, recueillie, où le temps semble figé. Christine Boillat l’a dit : elle ne pouvait imaginer plus approprié pour développer cette installation étrange que ce lieu investi d’une dimension rituelle. Depuis quelques années, son travail s’articule principalement autour du dessin au fusain. Et ce sont ces dessins grand-format que le public est invité à découvrir dans un clair-obscur propice au rêve.

Forêts dont les troncs massifs évoquent les colonnes d’un temple, ce labyrinthe obscur et clos traversé de lumière se révèle le cycle de la vie. Entre les arbres, on distingue en effet ici des tentes éclairées par des guirlandes d’ampoules, là une sarabande de mouches-anges, là enfin un étrange pèlerin monté sur ses échasses…Tout un univers que la maîtrise de l’artiste et son usage virtuose de l’ombre et de la lumière transfigure.

A voir jusqu’au 5 janvier –  le public est convié à une rencontre avec l’artiste le 5 janvier à 16h.Renseignements pratiques : de 12h à 19h.2 Rue Borne à Sète. Tel : 04 99 04 76 00.ENTREE LIBRE de 11h à 18H

Galerie PLURIELLE : La Galerie Plurielle, espace d'arts pluriels de l'île singulière, présente à Sète (Herault) une sélection d'artistes permanents dans la lignée de la figuration Libre 

Renseignements pratiques : 76, Grand-rue Mario Roustan – SETE ou www.galerieplurielle.com

CRAC : CENTRE D’ART CONTEMPORAIN :ERIC BAUDELAIRE / FAIRE AVEC/ jusqu’au 2 février 2020: Commissariat de l'exposition : Marie Cozette, le CRAC Occitanie (Centre Régional d’Art Contemporain Occitanie/Pyrénées Méditerranée) accueille Éric Baudelaire, récent lauréat du Prix Marcel Duchamp pour « Faire Avec » Cette importante exposition personnelle occupe l’intégralité des espaces du centre d’art avec un ensemble de projets existants et de nouvelles productions.Pour « Faire avec », Éric Baudelaire a travaillé avec :Aissé Sacko, Alvin Curran, Alyssa David, Ambrine Belarbi, Andres Castro Henao, Anida Ait Abdesselam, Assia Chaihab, Basile Leignel, Bintou Kamate, Claire Atherton, Dafa Diallo, Fatimata Sarr, Gabriel-David Pop, Gaëtan Gichtenaere, Guy-Yanis Kodjo, Ibrahima Konate, Lina Ikhlef, Manelle Zigh, Marcella Lista, Marie Proyart & Jean-Marie Courant, Masao Adachi, Maxime Guitton, Melinda Damis, Mohammed Samassa, Océane El Faqir, Rabyatou Saho, Sabou Fofana et 47 membres du Parlement Britannique…

Au sortir d’une recherche en sciences politiques, Eric Baudelaire a choisi la pratique artistique comme outil de son regard critique sur le monde, à travers le film, la photographie, l’installation performative et le texte. Son œuvre sonde un réel travaillé par les systèmes de représentation qui structurent les sociétés contemporaines : systèmes politiques, judiciaires, économiques, informationnels. Elle scrute ce qui n’est pas conforme à ces systèmes, ce qui déraille, se retourne, erre, bascule hors lieu. L’activité artistique devient incursion dans les revers de l’Histoire, dans les projets contrariés de la machine politique. Après le 13 novembre 2015, le projet d’Eric Baudelaire mène aussi à réinterroger les moyens et les fins de l’art à partir d’un musée, dans le temps présent. Le film d’Eric Baudelaire, Also Known As Jihadi (2017) suit le parcours d’Aziz, de Vitry-sur-Seine jusqu’au Tribunal Correctionnel, et s’intéresse à une réalité qui dépasse l’événement. Une réalité saturée de lectures interprétatives et dont la complexité résiste pourtant à la compréhension. À ce film répondent, dans l’espace d’exposition, les œuvres d’autres artistes, du passé et du présent. Après est un dispositif, inauguré au Centre Pompidou à l’automne 2017, qui réunit des objets, des images et des discours organisés en des configurations spécifiques selon chaque situation.

Marcella Lista

Commissaire : Marie Cozette. Commissaires associées pour le projet Après : Marcella Lista et Alexandra DelageCommissaire associé pour le projet When There Is No More Music to Write : Maxime Guitton.

ANABASE : Qui sont May et Fusako Shigenobu ? Fusako, leadeuse d’un groupuscule d’extrême gauche, l’Armée rouge japonaise, impliquée dans de nombreuses opérations terroristes, s’est cachée pendant près de trente ans à Beyrouth. May, sa fille, née au Liban, n’a découvert le Japon qu’à 27 ans, après l’arrestation de sa mère en 2000. Masao Adachi ? Scénariste, cinéaste radical et activiste japonais engagé auprès des luttes armées et de la cause palestinienne, reclus lui aussi au Liban avant son renvoi dans son pays. Par ailleurs, initiateur d’une théorie du paysage », le fukeiron : en filmant le paysage, celui-ci dévoilerait les structures d’oppression qui le fondent et qu’il perpétue. Anabase ? C’est le nom donné depuis Xénophon au retour, difficile voire erratique, vers chez soi. C’est cette histoire complexe, sombre, toujours en suspens, qu’Éric Baudelaire, artiste réputé pour se servir de la photographie afin d’interroger la mise en scène de la réalité, a choisi d’évoquer en usant du format documentaire. Tournées en Super 8 mm, et comme dans la veine du fukeiron, des vues de Tokyo et de Beyrouth aujourd’hui se mêlent à quelques images d’archives, de télévision, à des extraits de films, pour dérouler le décor sur lequel les voix de May et d’Adachi vont faire remonter leur mémoire. Il y est question de vie quotidienne, d’être une petite fille dans la clandestinité, d’exil, de politique, de cinéma, et de leurs rapports fascinés. Pas une enquête, une anamnèse morcelée.

Jean-Pierre Rehm

WHEN THERE IUS NO MORE MUSIC TO WRITE/ Historien de la musique, Maxime Guitton développe depuis plusieurs années une recherche autour du compositeur, improvisateur et artiste sonore Alvin Curran. Cette recherche a largement inspiré

l’essai filmique qu’Éric Baudelaire présente pour la première fois dans le cadre de Faire Avec. Figure mythique de l’avant-garde musicale, Américain exilé à Rome dans les années 60 et cofondateur du groupe d’improvisation Musica Elettronica Viva, Alvin Curran s’est employé à dissoudre la figure de l’auteur dans le collectif, produisant des œuvres soniques révolutionnaires où se mêlent composition et improvisation, et où la notion d’instrument est élargie aux objets naturels et du quotidien, ouvrant un champ de possibles musicaux inédit. Pendant un an, Eric Baudelaire et Maxime Guitton ont sillonné les paysages romains qui ont inspiré l’œuvre de Curran, enregistré des conversations fleuves avec le musicien, et retracé l’histoire d’une révolution musicale, en miroir des mouvements politiques qui agitaient l’Italie pendant ces années de poudre et de plomb. L’installation documentaire intitulée When There Is No More Music to Write rassemble des archives inédites du compositeur collectées et mises en récit par Maxime Guitton, des images Super 8 tournées par Éric Baudelaire, accompagnées d’interviews et d’extraits sonores et musicaux pour la plupart inédits d’Alvin Curran.

Le projet When There Is No More Music to Write est une coproduction du CRAC Occitanie et de Spike Island à Bristol qui présentera une exposition d’Éric Baudelaire au printemps 2021. Il est réalisé en collaboration avec Maxime Guitton, responsable de la programmation artistique et culturelle des Beaux-Arts de Marseille (ESADMM), et le soutien de École(s) du Sud, réseau des écoles supérieures d’art et de design de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (Aix-en-Provence, Arles, Avignon, Marseille, Nice, Toulon) et de Monaco.

Exposition conçue en 2017 au Centre Pompidou, comprenant :• Also Know As Jihadi (video HD, 101 min) Projections le lundi, mercredi, jeudi et vendredi : 13h 15h 17hProjections le samedi et le dimanche : 14h 16h• Une sélection d’œuvres et de documents issus de la collection du Musée national d’art moderne – Centre de création industrielle et de la Bibliothèque Kandinsky, Centre Pompidou, du CNAP, de la Fondation Le Corbusier, du M HKA, de la BIU Paris Santé Descartes, de la Bibliothèque de l’Académie de Médecine, de la Bibliothèque de Rouen et de collections privées.Un livret d’exposition

L’exposition est réalisée en partenariat avec le Centre d’Art Spike Island à Bristol

Une exposition composée essentiellement de films, assez longs (prévoir beaucoup de temps pour la visite) et de documents qui s’y rattachent. Il faut faire, si vous le pouvez l’exposition en plusieurs fois, notez que l’entrée est gratuite vous pouvez donc revenir suivant vos disponibilités, au cours de la durée de l’exposition.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 67 74 94 37 ou http//crac.languedocroussillon.fr ENTREE LIBRE et GRATUITE : ouvert tous les jours sauf mardi 12h30-19h W.E : 15h -19h Informations Crac Languedoc-Roussillon, 26, quai Aspirant Herber, 34200 Sète.

LE RESERVOIR : en bordure du port de Sète :.

45-46, quai de Bosc – 34200 Sète en ENTREE LIBRE

Ouvert du mardi au dimanche de 10h00 à 19h00 Un grand espace ouvert par un collectionneur Gilbert Ganivenq, qui a créé la société « ART ET PATRIMOINE » dont la directrice est Clémence Boisanté, ex-galeriste de Montpellier, qui fait voisiner des œuvres de grands artistes internationaux de Sète : Combas et Di Rosa et de jeunes talents, soit 2000 œuvres en tout. Un second lieu est maintenant ouvert à Montpellier : « La Serre », un espace d’art dans le superbe immeuble surnommé « L’Arbre Blanc «,  prôche de la mairie édifié par Jean Nouvel, conçu dans le même esprit. 

Vous pouvez aussi acheter certaines œuvres, y rencontrer les artistes, et profiter de l’espace accueillant du coin café.

Pour leur programmation consultez leur site.

SERIGNAN / HERAULT :

MRAC :2 Expositions : LA MESURE DU MONDE et FATA BROMOSA : ABDELKADER BENCHAMMA/ jusqu’au 19 avril 2020

LA MESURE DU MONDE : Jusqu’au 19 avril 2020, le MRAC (Musée régional d’art contemporain Occitanie/Pyrénées-Méditerranée) présente « La mesure du monde », une remarquable exposition collective sous le commissariat inspiré de Sandra Patron et Clément Nouet.« La mesure du monde » rassemble des œuvres de : Dove Allouche, Marie Cool & Fabio Balducci, Caroline Corbasson, Attila Csörgo, Edith Dekyndt, Hugo Deverchère, Julien Discrit, Roberto Evangelista, Anne-Charlotte Finel, Mark Geffriaud, Joan Jonas, Pierre Malphettes, Masaki Nakayama, Otobong Nkanga, Elisa Pône, Linda Sanchez, Stéphane Sautour, Daniel Steegmann Mangrané, Batia Suter, Francisco Tropa, Keiji Uematsu, Capucine Vandebrouck, Adrien Vescovi, Maya Watanabe, Lois Weinberger.

Le texte d’intention des commissaires précise : « La mesure du monde s’attache à dresser un inventaire sensible et poétique du monde et de ses lois physiques. Prendre la mesure du monde, de ses reliefs, de sa texture, de ses flux et contre flux, opérer un temps de pause et d’immersion dans le paysage ».

Sans aucun doute, ce projet concrétise l’ambition de nous inviter à regarder comment à travers des « pratiques protéiformes (…) comme modalités d’enregistrement du monde, les artistes de l’exposition nous donnent à voir le merveilleux caché dans les replis de ses lois physiques et matérielles ». Pour les deux commissaires, « l’exposition repose sur notre attention individuelle et collective à ce qui constitue notre monde visible et invisible, à la mutation permanente de toutes choses et de tout être vivant. Mais une fois que cet inventaire est fait, demeure le mystère de sa présence, et de là surgit l’émotion que l’exposition appelle de ses

vœux : une émotion qui naît à la fois de l’étude de ses mécanismes, mais également de ce qui, précisément, se refuse à toute étude rationnelle »…

« La mesure du monde » se déploie au rez-de-chaussée dans la pénombre avec une remarquable mise en espace.

L’exposition se poursuit à l’étage dans la grande salle de l’extension au dessus du bureau de poste. Ici la lumière du nord domine. L’accrochage comme toujours très réussi valorise parfaitement les œuvres exposées…

FATA BROMOSA/ ABDELKADER BENCHAMMA/ jusqu’au 19 avril 2020 : une proposition d’Abdelkader Benchamma. Pour cette première exposition personnelle dans un musée, l’artiste dévoile une série de dessins et de peintures récentes qui font écho avec sa résidence à la Villa Médicis à l’automne 2018, dans le cadre du premier Prix Occitanie – Médicis . À celles-ci s’ajoute un ensemble d’œuvres anciennes et nouvelles, dont une installation immersive. Le titre choisi pour cette exposition « Fata Bromosa » (littéralement Fée des brumes ou Brouillard de fée) fait référence à un phénomène optique proche des « Fata Morgana ». À proximité d’îles, la présence à différents niveaux de l’atmosphère de couches d’air où se produisent des variations thermiques plus ou moins brutales entraîne l’apparition de mirages supérieurs et inférieurs. Des images simultanément droites et renversées s’empilent en formant une colonne verticale. Elles peuvent évoquer des falaises, des palais de cristal, des temples ou encore des villes fantômes…

Celles et ceux qui connaissent le travail d’Abdelkader Benchamma ne seront certainement pas étonnés par le choix de ce titre. Il renvoie parfaitement aux univers étranges, inspirés par la littérature, la philosophie, l’astrophysique et l’ésotérisme et avec lesquels il joue sur le doute de ce que l’on croit percevoir…

Avec leur architecture singulière et leur lumière éclatante et parfois dorée, les salles au premier étage du Mrac où Abdelkader Benchamma a choisi d’installer « Fata Bromosa » valorisent parfaitement les grands formats qu’il a en partie réalisés in situ.

Comme toujours, il joue parfaitement avec l’espace de l’exposition pour offrir au visiteur une expérience unique. Le regard est happé dans un monde énigmatique où se brouillent les frontières entre le visible et l’invisible, le figuratif et l’abstrait.

Dans la première salle, Abdelkader Benchamma présente une série de grands formats inspirés des marbres symétriques qu’il a découverts il y a quelques années dans les décors de Sainte Sophie à Istanbul. Pour l’artiste, ces panneaux créent « des formes étranges qui paraissent dans un espace entre la figuration et l’abstraction ». Plusieurs dessins de grands formats ont été produits après cette expérience à Sainte Sophie. On se souvient en particulier de Paréidolie #1 et #2 qui avait été montrés en 2014 dans « Le soleil comme une plaque d’argent mat   » au Carré Sainte-Anne à Montpellier.

Par la suite, Benchamma a lu « Dissemblance et Figuration » de Georges Didi-Huberman, ouvrage dans lequel l’historien d’art, ancien pensionnaire de la Villa Médicis, analyse entre autres la signification symbolique des faux marbres dans la peinture de Fra Angelico.La résidence d’Abdelkader Benchamma à la Villa Médicis, dans le cadre du Prix Occitanie – Médicis, a été l’occasion de reprendre et de prolonger cette réflexion sur les marbres symétriques. Ce fut notamment le cas avec la rencontre de l’historien d’art Cyril Gerbron, pensionnaire de l’Académie de France à Rome en 2017-2018 et auteur d’une thèse intitulée Liturgie et mémoire dans l’œuvre de Fra Angelico. Ces échanges et ces analyses conduisent l’artiste à imaginer les marbres symétriques comme des pré-tests de Rorscharch, « une sorte de matière presque hallucinatoire qui fait entrer le croyant dans un état spécial où lui-même allait reconstituer ou recréer des images à partir de formes abstraites ». Une manière de faire apparaître l’irreprésentable et l’invisible ou de figurer l’infigurable… Sur papier ou peints directement sur le mur, les grands formats exposés dans cette salle renvoient à ces questions autour des marbres symétriques et des faux marbres, au « moment où l’on bascule vers des interprétations visuelles ». Esquissés d’abord au crayon, en même temps main droite et main gauche, ces dessins parlent aussi de la symétrie du corps, symétrie que Benchamma qualifie d’impossible. L’artiste utilise ensuite des feutres enrichis en cuivre, en zinc, en aluminium qui rappellent la matière du marbre et son origine métamorphique…La séquence suivante rassemble dans deux espaces des dessins inspirés de mythes et de légendes trouvés sur internet, dans des gravures, plus rarement dans des souvenirs plus intimes. Parmi les œuvres nouvelles et autobiographiques, on découvre un grand triptyque sur papier construit à partir d’une carte postale ancienne. Elle reproduit un marabout, cénotaphe à coupole d’un sage ou d’un saint homme qui fait l’objet d’un culte populaire en Afrique du Nord. Pour l’artiste, cette image évoque un souvenir très personnel en compagnie de sa mère. Benchamma fait un lien entre ce lieu « à la fois vide et très “habité” » et les temples shintoïstes visités lors de séjours au Japon qui peuvent se résumer à quatre cordes suspendues dans l’espace.

Dans la deuxième partie de cette séquence, on retrouve une vaste fresque à l’encre de chine sur laquelle sont accrochées des œuvres encadrées (dessins, peintures, vidéo, gravures, faux documents…) qui semblent reliées entre elles par les éléments du dessin mural. Dans cette œuvre très proche de celle présentée au Frac Paca dans l’exposition « Un autre monde /// dans notre monde » par Jean-François Sanz, Abdelkader Benchamma reprend l’imagerie des phénomènes ou « rumeurs » célestes. Cette installation s’appelait Sédiments au Frac Paca. Au Mrac, elle prend le titre d’Engramme, nom de l’exposition à la Galerie Templon au printemps dernier où une autre version de cette fresque était présentée. Il n’est pas inutile de préciser qu’en neurophysiologie, l’engramme est la trace biologique de la mémoire dans le cerveau…

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 67 32 33 05 Ouvert du mardi au vendredi de 10h à 18h,

le week-end de 13h à 18h. Parking gratuit 5 € tarif normal, 3 € tarif réduit.

http://mrac.languedocroussillon.fr

CERET :

MUSEE D’ART MODERNE / Musee acteullement fermé pour travaux de réfection, réouverture en

2020 date encore non précisée.

Collections permanentesA VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES :Horaires et jours d’ouverture : Du 30 juin au 30 septembre : ouvert de 10 h à 19 h. Horaires exceptionnels les 14 et 15 juillet 2018 en raison de la féria : ouvert de 10h à 15hDu 1er octobre au 4 novembre : ouvert de 10 h à 17 h, fermé le lundi.Fermeture annuelle le 1er novembre 2018 Plein tarif : 8 €. Tarif réduit : 6 €. Gratuit jusqu'à 12 ans. Tel : 04 68 87 27 76 ou www.musee-ceret.com

MUSIC/ Musée des Instruments Céret :

Collections permanentes d’instruments du mondeA DECOUVRIRRenseignements pratiques : 14 rue Pierre Rameil 66400 CERET. Tel : 0468874040 : ou

contact@music-ceret.com ou www.music-ceret.com

COLLIOURE

MAM/ Exposition : LES COLLECTIONS DU MUSEE :+ EXPOSITION TEMPORAIRE/ Exposition "Rêver Picasso" de Jean Baptiste Des Gachons/ Jusqu’au 27 janvier

2020)

Rêver Picasso présente les œuvres récentes de l'artiste qui, depuis 2012, s'est lancé pour défi de réinterpréter les toiles du maître Picasso. De ce premier combat sont nées des toiles rageuses. C'était l'époque des démons, des hallucinations et des médicaments. Depuis 2018, les dernières œuvres disent l'apaisement retrouvé. Les larges aplats de teintes pastel nimbent de douceur ses toiles. Il s'attarde alors sur les portraits de Marie-Thérèse, que Picasso

représente alanguie dans de profonds fauteuils, pour en livrer des versions colorées d'une rare audace et d'une subtile sensualité. En 2019, une sérénité toute matissienne infuse l’œuvre de Jean-Baptiste et donne naissance à une dernière période où le thème de la dormeuse est central. Il travaille en série, propose des variations colorées du même sujet, recommence sans se répéter.Les tempêtes sont loin et le calme revient, au sein de ces femmes-ports où l’artiste accoste, accueilli dans l’anse paisible de leurs bras repliés et de leurs yeux clos.

Le musée d’art moderne présente aussi une partie de son importante collection de pièces récentes, qui, au fil des ans s’est considérablement enrichie par l’apport de dons, de dépôts et d’acquisitions réalisées par la ville ou l’association des amis du musée.Lors de la présentation des expositions temporaires, malheureusement le fonds du musée par manque d’espace ne peut être présenté, une partie le sera pendant quelques mois de l’année 2019, autour de l’art historique du XXe siècle et de l’art contemporain.La thématique du paysage à Collioure a été retenue dans la salle du premier étage, donnant à lire la vision des artistes qui sont passés tout au long du siècle dernier dans ce petit port mythe de l’histoire de l’art. Des peintures de Masson, Camoin, Hanicotte… mais aussi de très belles aquarelles de : de Maistre, Dechorain, Vergé-Sarrat…y sont présentées.

Dès l’entrée, au rez-de-chaussée, avec les très beaux reliquaires de Claudia Comelade et Michel Bertrand, s’annonce l’art contemporain, suivis au deuxième étage par le travail photographique remarquable, fruit de deux  ateliers en résidence au musée dans les années 2007 pour Aurore Valade et 2000 pour Bleda y Rosa.Viennent compléter ce travail, les Bâtons de Francesca Caruana et la série des Voramar de 2016  de Joël Desbouiges, en juxtaposition avec deux rares pièces de Pascal Comelade.

Enfin, la vitrine centrale grâce l’exceptionnelle collection de cartes postales d’André Julia, fait le lien photographique entre le Collioure du début du XXe siècle et la vision conceptuelle actuelle.

Collioure reste  une source d’inspiration constante pour tous les types d’expression artistique et le musée en est le réceptacle.

A DECOUVRIR

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Route de Port-Vendres 66190 Collioure .Ouvert tous les jours du 1 juin au 30 septembre  de 10h à 12h et de 14h à 18h.Tel : 04 68 82 10 19 ou www.collioure.net/museedartmoderne/

PERPIGNAN

MUSEE HYACINTHE RIGAUD : EXPOSITION des collections permanentes en ce moment+ Expositions temporaires :exposition Albera Bella/Jusqu’au 19 janvier 2020 De tout temps j'ai considéré la peinture de Michèle Vert-Nibet comme le reflet de deux mondes, le français et le catalan. Non parce qu'elle vit . u Perthus, mais plutôt parcequ’elle a comme points de référence le Paris des avant-gardes et la Barcelone de lamodernité.En effet, l’endroit où elle est née et réside a sûrement une influence profonde sur sontravail « Nous sommes les enfants de notre paysage » disait Lawrence Durrell. Les Albères ysont présentes, le côté occidental, à la végétation centre-européenne et l’oriental, plusméditerranéen et plus doux. Son monde vital ainsi que le tréfonds de son monde artistiquebaignent dans cet environnement. Je me risquerai même à dire que son oeuvre nousprésente une vision et philosophique et plastique du paysage. Son regard d’unespontanéité naturelle part d’une réalité contemplée, vécue, approfondie, plongeantdans les zones inconnues de l’être.Or, il y a une caractéristique essentielle dans son oeuvre : cela se présente par unephénoménologie inversée : là où l’on penserait que le choix esthétique, vue ou idée, est àl’origine de l’oeuvre, c’est tout le contraire. L’état poétique dans lequel baigne l’artiste faitque soudain, ce qu’elle voit ou ressent s’enchâsse dans cet état, ce qui déclenche alorsses créations. Le départ étant toujours la vibration poétique, ce qui l’amène aussi sur unautre terrain créatif, celui de la poésie, où dans un langage des plus exquis, elle s’exprime,comme elle le fait dans sa peinture, avec une mystérieuse et

profonde magie ».Daniel Giralt-MiracleCritique et historien d’art. Barcelone"C'est miracle que la terre rase se couvre de fleursDont les pétales éclatent en parfum, en couleurs,Miracle que les âmes aimantes les transfigurentEn vive résonnance qui jamais plus ne meurt".Poème de François Cheng à Michèle Vert-Nibet

EXPOSITION DIGITALE 2019 RODIN/MAILLOL, RENCONTRE AVEC

LES MAITRES DE LA MATIERE/ jusqu’au 5 janvier 2020Avec le Centre pénitentaire de PerpignanA l’occasion de l’exposition temporaire RODIN MAILLOL FACE A FACE, proposant un dialogue inédit entre les deux grands sculpteurs, le projet RODIN/MAILLOL RENCONTRE AVEC LES MAITRES DE LA MATIERE inscrit le centre pénitentiaire dans l’un des grands évènements culturels de l’été à Perpignan, et répond à la mission du musée d’ouverture et d’accessibilité aux œuvres du patrimoine.Le projet, ouvert à tous sans prérequis, propose une rencontre privilégiée des personnes détenues avec les œuvres, les professionnels du musée et une plasticienne intervenante.En juin et juillet 2019, deux groupes distincts (groupe hommes et groupe femmes) se sont vus proposer une série d’ateliers de pratique et une visite exceptionnelle de l’exposition RODIN MAILLOL FACE A FACE pour les participant.e.s ayant pu obtenir une autorisation de sortie.Les créations font l’objet d’une exposition digitale, accessible en ligne jusqu’au 5 janvier 2020.Ce projet a été mené dans le cadre du dispositif Culture/Justice. A ce titre, il a reçu le soutien de Direction Interrégionale des Services Pénitentiaires de Toulouse et de la Direction Régionale des Affaires Culturelles Occitanie. A VOIR ABSOLUMENT

 Musée d'art Hyacinthe Rigaud - 21 rue Mailly.Ouvert : du 1er juin au 30 septembre : tous les jours de 10h30 à 19h  et du 1er octobre au 31 mai : du mardi au dimanche, de 11h à 17h30.  Accueil des classes de 9h à 11h. Tarifs : entrée plein tarif : 8 € - en période d'exposition estivale : 10 € - Tarif réduit : 6 € - en période d'exposition estivale : 8 € .Carte Pass Musée : 20 €/an

RODEZ :

MUSEE SOULAGES : Collections permanentes en ce moment+ expositions temporaires :

FEMMES ANNES 50 AU FIL DE L’ABSTRACTION PEINTURE ET SCULPTURE/ Du 14 décembre au 10 mai 2020

A partir du 14 décembre 2019, le musée soulages consacrera une exposition à la création abstraite des femmes dans les années 50 à Paris : Femmes années 50. Au fil de l’abstraction, peinture et sculptures/ Déjà aux Etats-Unis se tenait en 1951 l’exposition fondatrice « Ninth Street Show » dans laquelle figurait 4 femmes : Joan Mitchell, Grace Hartigan, Elaine de Kooning et Helen Frankenthaler. Dans L’autre moitié de l’avant-garde 1910/1940 de Lea Vergine, éditions des femmes, publication doublée d’une exposition en 1980 en Italie. : Lea Vergine parle de découvrir la « moitié suicidée du génie créateur de ce siècle ». En 2009, le Centre Pompidou offrait une importante exposition d’artistes femmes, « Elles » qui réunissait plus de 3 millions de visiteurs.L’exposition présentera un ensemble de plus de 70 œuvres de provenance riche et variée : prêts d’artistes, de particuliers, d’institutions, de galeries, de fondations, de musées nationaux et régionaux (Centre Georges Pompidou – musée national d’art moderne, Fonds national d’art contemporain, musée Matisse Le Cateau-Cambrésis, musée des Beaux-arts de Nantes, abbaye de Beaulieu en Rouergue, musée de Grenoble, Musées Royaux de Belgique, les Abattoirs-Toulouse, musée de Gravelines), des fondations (Hartung / Bergman, Marta Pan / Wogensky…), des galeries françaises et étrangères (Denise René, Antoine Laurentin, Convergences, Jeanne Bucher Jaeger , Callu Mérite…).

Une riche programmation culturelle sera proposée par le musée : visites guidées, édition d’un petit journal, ateliers et documents pour les enfants.

Un programme de conférences et des événements dédiés (spectacle…)

accompagneront également l’exposition.

A VOIR ABSOLUMENTRenseignements pratiques : Musée Soulage Avenue V.Hugo, jardin du Foirail à Rodez (12)

Toute l’année (sauf juillet et août) :Mardi au vendredi : 10h-13h / 14h-18h

samedi & dimanche : 10h-18h

Juillet et août :lundi au dimanche : 10h-18h

Tel : 05 65 73 88 60 COURRIEL : museesoulages@rodezagglo.fr

MUSEE FENAILLE : Collections permanentes +Expositions temporaires : "NAINS, HERCULES ET GÉANTS. LA COLLECTION DE CLAUDE RIBOUILLAULT"DU 26 JANVIER AU 21 AVRIL 2020

Le musée Fenaille poursuit par cette exposition sa réflexion sur la représentation humaine à travers le temps. Il révèle aussi le monde secret des collectionneurs et de fonds parfois insolites, en écho avec la personnalité de son illustre donateur, Maurice Fenaille. L’exposition offre aussi l’occasion de se pencher sur l’histoire tragique d’Henri Cot , le géant aveyronnais, un temps l'homme le plus grand du monde…

Gnomes ou ogres, lilliputiens ou costauds, vrais ou faux Pygmées, nains ou colosses du spectacle ou de la rue… Les écarts de taille par rapport à la moyenne étant patents, incontournables, visibles et voyants, ils ont attiré et attirent le regard, la sympathie, l’empathie, mais aussi les jugements, les idées reçues, les ostracismes imbéciles, alors que l’image seule, bien sûr, ne saurait conditionner le point de vue sur autrui. On découvre dans ce corpus d’images des clichés en quelque sorte dérobés à la vie privée, d’une nature que notre seul regard trie et met à part ; mais on trouve aussi des éléments d’enquêtes traquant le rare, l’exceptionnel, le bizarre ; on rencontre enfin des portraits professionnels, promotionnels, revendiquant le phénoménal, s’en réclamant avec une quasi-arrogance, au nom du record. L’humanité est là, prise par la taille, multiple et riche de sa diversité. Ces images, par la variété contradictoire et paradoxale qu’elles projettent, en disent beaucoup, au fond, sur chacun de nous, nos blessures mais aussi nos fiertés.Claude Ribouillault

A NE PAS MANQUER

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Musée Fenaille, 14 place Eugène Raynaldi. Rodez. Tel : 05 65 73 84 30 ou http://musee-fenaille.rodezagglo.fr

SIGEAN (11):

LE LAC : Exposition en cours de montage.

Attention le lieu n’est pas ouvert en dehors des périodes d’expositions

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Ouvert en juillet/août tous les jours sauf mardi de 15h à 19hOuvert en septembre du jeudi au dimanche de 14h à 18h. Hameau du Lac, 1 rue de la Berre à Sigean. Tel : 04 68 48 83 62

SOREZE :

ABBAYE ECOLE DE SORREZE/ MUSEE DOM ROBERT et de la TAPISSERIE DU XXe siècle / jusqu’en janvier 2021:2e temps de l’exposition : Un parcours historique retrace la vie du monument et les grandes heures d’enseignement à l’école du XVIIIe siècle jusqu’à sa fermeture en 1991 et le musée Dom Robert présente ses œuvres de tapisserie ainsi que celles de ses contemporains comme Jean Lurçat. Le parcours est renouvelé cette année et permet de suivre le processus de création du dessin préparatoire à la tapisserie. Il rend hommage au savoir-faire des lissiers d’Aubusson, classé par l’Unesco depuis 2009 comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité.

Riche programmation culturelle pendant l’année : consultez leur site pour les évènements.

Renseignements pratiques : Rue St Martin . 81 540 Sorèze ; ouvert du lundi au dimanche, fermé le mardi, sauf en juillet août. Avril/septembre : 10H-12H30 et 14h-18h ; Octobre à mars : 14h -17H30 fermé jours fériés. Tel : 05 63 50 86 38 ou abbaye-ecole.soreze@tarn.fr ou www.abbayeecoledesoreze.com

TOULOUSE

MUSEE SAINT RAYMOND/ EXPOSITION TEMPORAIRE / L’HUMANITE UNE LONGUE HISTOIRE DE MIGRATIONS/jusqu’au 5 janvier 2020 : Sous l’égide de l’INRAP

Le musée Saint-Raymond développe un nouveau concept : pendant une partie de la saison hivernale, le café s’installe dans la grande salle du rez-de-chaussée et voisine un coin lecture aménagé en partenariat avec la Bibliothèque Nomade  (fauteuils, chaises longues, poufs géants... détente assurée !) ainsi qu'avec une exposition faisant le point sur des questions en lien avec l’actualité de l’archéologie.Cette année, comme une introduction à l’exposition « Wisigoths, rois de Toulouse », vous pourrez y découvrir une proposition réalisée par l’Inrap : « Archéologie des migrations ».Depuis que les humains ont quitté l’Afrique pour coloniser le reste de la Terre il y a au moins 2

millions d’années, ils n’ont jamais cessé de parcourir la planète. Grâce à leurs capacités d’adaptation, ils se sont déplacés partout, à des rythmes différents, par curiosité, contrainte ou nécessité, très loin ou à proximité, par peuples ou petits groupes. Des rencontres de populations, pacifiques ou brutales, ont produit d’infinis métissages, construit et enrichi des cultures. Jour après jour, les archéologues mettent au jour les vestiges témoignant de l’histoire et de la diversité du peuplement et ils les questionnent : qu’est-ce qu’un territoire ? Comment définit-on un « chez nous » ? Quelle est ma culture ? Qui est « l’autre » ? Qu’est-ce qu’un peuple ? Cette exposition propose une plongée ludique dans cette grande histoire.Du 8 octobre 2019 au 5 janvier 2020.Gratuit. Accès par l'entrée principale du musée.Vous pouvez y pique-niquez si vous consommez sur place une boisson.Beaucoup d’activités prévues autour de cette exposition consultez leur site pour les jours et heures

A VOIR ABSOLUMENT recommandé pour les scolaires

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Horaires d'ouverture

Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 10 h 00 à 18 h 00.Fermé les 1er janvier, 1er mai et 31

décembre.

Contactez-nous Courriel Tél. 05 61 22 31 44

Se rendre au musée :Situé au centre-ville de Toulouse, le musée est accessible en TER, à pied, en

métro, à vélo. Place St Sernin Toulouse. www.saintraymond-toulouse.fr

FONDATION BEMBERG : Exposition des collections permanentes en ce moment

VOIR ABSOLUMENT

Renseignements pratiques : www.fondation-bemberg.fr

MUSEUM DE TOULOUSE : Exposition permanente en ce moment

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Muséum Toulouse, 35 allées jules Guesde. 31000Toulouse.Tel :05 67 73 84 84 ou www.museum.toulouse.fr ouverture tous les jours de l’année du mardi au dimanche de 10h/18H, fermé les 1er janvier et 1er mai.

AUX ABATTOIRS DE TOULOUSE : PETER SAUL Pop, Funk, Bad Painting and More"

Jusqu’au 26 janvier 2020 : Cette rétrospective, première exposition dans un musée en France depuis 1999, de l’artiste américain Peter Saul (né en 1934) couvre la carrière d’un des tout derniers contemporains du Pop Art, depuis la fin des années 1950 jusqu’à aujourd’hui. Elle rassemble près d’une centaine d’œuvres (peintures, arts graphiques, etc.), pour certaines inédites, ainsi

qu’un ensemble d’archives.Ce parcours commence étonnamment à Paris, à l’orée des années 1960. C’est là que l’artiste réalise ses premières œuvres reproduisant des super-héros, des comics et des objets quotidiens de l’American Way of Life. A des milliers de kilomètres de l’épicentre du Pop Art auquel il se défend d’appartenir tout en partageant ses thèmes,Peter Saul, dont le travail exprime la quintessence de l’art américain, en offre un versant davantage critique, questionnant le modèle consumériste et impérialiste. À son retour aux États-Unis en 1964, il rejoint la Californie, foyer d’un art cette fois-ci « Funk » dans lequel son œuvre picturale, pop et surréaliste, trouve un écho. La peinture de Peter Saul se révèle être à la fois unique et anticipatrice des grands courants de la peinture. Pop différemment, Funk éclatant, son art est une nouvelle manière de faire de la peinture d’histoire avec les couleurs et les clashs d’aujourd’hui, tout comme sa manière de réécrire les chefs d’œuvre de la peinture préfigure la Bad Painting et son succès des années 1980Il a également toujours été attentif au chaos du monde. La guerre du Vietnam, les luttes pour les droits civiques, l’Amérique des présidents (de Ronald Reagan à Donald Trump), l’écologie, la malbouffe, la cigarette, sont entre autres des thématiques fortes qu’il a abordées dans son travail.Peter Saul n’a cessé jusqu’à aujourd’hui de nous révéler les enjeux les plus forts du monde et de l’art, ce qui en fait encore actuellement l’un des peintres majeurs du XXe et du XXIe siècle et l’un des plus influents sur la jeune scène artistique. Le visiteur y découvre sa manière exubérante et colorée de figurer l’histoire et la culture du monde et des États-Unis, y compris lorsqu’il s’attache à réinterpréter l’histoire de l’art, comme dans la salle de l’exposition consacrée au « Musée de Peter Saul », un musée libre, drôle et décalé.Un catalogue bilingue inédit comprenant des textes de John Yau, Annebelle Ténèze et de l’artiste lui-même est édité chez Hatje Cantz à l’occasion de l’exposition.A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Les Abattoirs, 76 allées Charles de Fitte à Toulouse. Tel :

05 62 48 58 00

L’ENVOL DES PIONNIERS : Un nouvel espace muséographique consacré aux débuts de l’aviation civile qui a ouvert ses portes fin décembre 2018 dans le quartier de Montaudran sur le site de la « Piste des Géants » c’est-à-dire autour de la piste qui a vu s’envoler les pionniers de l’aéropostale (Mermoz, St Exupéry…). Ce site réunit aussi Les Jardins de la ligne et la Halle de la Machine lieu des créations de la Machine, compagnie nantaise fondée par François Delarozière.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : www.toulouseaerospace.com/fr/poles/La-piste-des-

Géants

MONACO :ESPACE GRIMALDI : prochaine exposition our l’été 2020 en cours de montage

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : www.espacegrimaldi.com. Du 6 juillet au 8 septembre 2019 - Espace Ravel du Grimaldi Forum Monaco. Horaires : Ouvert tous les jours de 10h00 à 20h00. Nocturnes les jeudis jusqu’à 22h

MUSEE OCEANOGRAPHIQUE DE MONACO : Collections permanentes+ Exposition

/ L’ODYSSEE DES TORTUES MARINES / fin en début janvier 2020 : De leur apparition sur terre il y a des millions d’années aux menaces qui pèsent sur leur existence, de la magie de la ponte aux actions menées pour leur préservation, la grande aventure des tortues marines se raconte au Musée océanographique dans la toute nouvelle exposition l’Odyssée des Tortues Marines.

En écho à la visite du tout nouvel espace qui présente les tortues du Centre monégasque de soin, l’exposition nous familiarise avec l’histoire de cet animal fascinant et mystérieux. Elle nous permet entre autres de comprendre que si nous sommes potentiellement à l’aube de leur extinction du fait de nos pratiques quotidiennes, individuelles comme collectives, chacun de nous est également une part de la solution pour leur conservation.

L’Institut Océanographique, la Fondation Prince Albert II de Monaco, les Explorations de Monaco et l’ensemble des organismes partenaires se mobilisent pour les tortues à travers leurs actions sans frontières, et vous invitent à participer activement à leur protection.A voir avant début janvier 2020 !

BADU ISLAND/ UNE MISSION DES EXPLORATIONS DE MONACO :

A VOIR ABSOLUMENT re Le carnet de route d’une expéditionFidèle à l’esprit des expéditions historiques de son trisaïeul le Prince Albert I er, S.A.S. le Prince Albert II a relancé les Explorations de Monaco. C’est dans ce cadre qu’il s’est rendu à Badu, l’une des îles du détroit de Torrès, dans l’État du Queensland (nord de l’Australie). Sur place, S.A.S. le Prince Albert II s’est immergé dans la culture des insulaires, qui prônent un rapport équilibré et respectueux de l’homme avec la nature. Accompagné notamment par Robert Calcagno, directeur général de l’Institut océanographique, il y a puisé une grande source d’inspiration. L’exposition présentée depuis le 27 avril 2019 au Musée océanographique en est la mémoire : elle évoque aussi le souvenir d’une première rencontre en terre monégasque.

Dans la continuité de l’événement Taba Naba, S.A.S. le Prince Albert II a souhaité conduire une mission des Explorations de Monaco sur l’île de Badu, à la rencontre du peuple d’Alick Tipoti. Une exposition photographique en retrace les moments forts dans la Salle de Conférence du Musée.

Les Explorations de Monaco sont une plateforme au service de l’engagement de S.A.S. le Prince Albert II en matière de connaissance, de gestion durable et de protection de l’Océan. Créées à l’initiative du Gouvernement de la Principauté de Monaco, elles associent la Fondation Prince Albert II de Monaco, l’Institut océanographique, le Centre Scientifique de Monaco et le Yacht

Club de Monaco. Elles viennent en appui de leurs actions par des missions menées à l’international qui articulent recherche scientifique, médiation auprès des publics et coopération

gouvernementale.

LE SOUVENIR DE TABA NABAEn 2016, le Musée océanographique accueillait en effet Taba Naba, avec le soutien du Gouvernement australien et de l’État du Queensland. Trois expositions majeures avaient cohabité et exploré la relation unique liant les peuples de la mer à leur environnement. Un dialogue alliant tradition ancestrale et modernité. Alick Tipoti avait alors réalisé une magnifique « linogravure » de 17 x 40 mètres sur l’immense terrasse du Musée. Alick Tipoti est l’un des plus célèbres artistes des îles du détroit de Torrès. Il participe activement au renouveau du patrimoine culturel, des traditions et de la langue de ces îles. À travers son art, il explore la cosmologie traditionnelle et raconte comment culture orale, musique, danse et arts visuels s’interpénètrent pour nous livrer des connaissances fondamentales sur l’environnement marin, essentielles à la survie des peuples. Sans oser y croire, il avait invité S.A.S. le Prince Albert II à lui rendre visite sur son île, pour mesurer la richesse de sa culture, de son environnement, et sa fragilité aussi…

DE QUOI CE TERRITOIRE EST-IL EMBLÉMATIQUE ?Entre l’Australie et la Papouasie-Nouvelle-Guinée, les îles du détroit de Torrès sont situées à la jonction de la mer de Corail et de la mer d’Arafura. La population, estimée à sept mille habitants, se concentre sur seulement quatorze des îles. Aguerris depuis leur plus tendre enfance aux rudesses du milieu naturel et aux baignades parmi les « salties » – les crocodiles de mer – et les requins, les habitants du détroit entretiennent un rapport quasi fusionnel avec ce milieu qui les nourrit physiologiquement comme spirituellement. Les insulaires du détroit de Torrès demeurent attachés à la notion de clan, notamment le Kwod familial avec ses totems (crocodile, tortue, dugong, raie, émeu…). La prérogative du chef de clan et du conseil des Anciens – les « Elders » – prévaut encore pour de nombreux sujets, notamment pour ce qui est du « native title », le droit coutumier de règlement de la propriété terrienne.

QU’EST-CE QUI LE MENACE ?Aujourd’hui, la population originaire du détroit de Torrès est au moins six fois plusnombreuse sur le continent australien que dans sa région d’origine, avec un risque dedissolution des traditions et de la culture ancestrale. Ce territoire est égalementparticulièrement vulnérable aux effets des changements climatiques : côtes insulairesrongées par l’érosion due aux grandes marées, disparition des coraux à la suited’épisodes répétés de blanchissement… Au cours d’une randonnée aquatique dans lessuperbes fonds qui entourent l’île de Badu, S.A.S. Le Prince Albert II a pu constater leseffets du réchauffement climatique sur les récifs de coraux, qui ont souffert d’épisodesde blanchissement sévères ces dernières années. À Badu vit aussi le dugong, considéré

comme sacré et auquel plusieurs clans s’identifient. Seul mammifère marin herbivore, ilest aujourd’hui menacé. À l’ouest du détroit de Torrès, une réserve protégée lui estdédiée.

commandé pour les enfants

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/Av. St-Martin. MC 98000 Monaco.

Janvier | Février | Mars 10h00 à 18h00Accueil : + 377 93 15 36 00Réservations (groupes) : + 377 93 15 36 40. Restaurant : + 377 93 15 36 16. Fax : + 377 93 50 52 97Email : musee@oceano.org

NOUVEAU MUSEE NATIONAL DE MONACO :

VILLA SAUBER. : 17 Ave Princesse Grâce . La villa Sauber est actuellemeent fermée. La prochaine exposition est en cours de montage.

VILLA PALOMA/ (Villa Paloma 56, boulevard du Jardin Exotique) Fermée jusqu’en début février

Prochaine exposition : VARIATIONS/ Du 7 février au 21 mai 2020 NMNM Villa Paloma 56, boulevard du Jardin Exotique

 

L’exposition Variations est consacrée à l’art méconnu des Décors lumineux, une technique scénographique élaborée en 1900 dans la lignée des théâtres d’ombres et des représentations de lanternes magiques, et développée sur la scène de l’Opéra de Monte-Carlo jusque dans les années 1930. Cette exposition proposée par le Nouveau Musée National de Monaco rassemble pour la première fois 300 œuvres sur papier et plus de 100 plaques de verre de l'artiste Eugène Frey (1864 - 1942), qui inventa un système complexe de projections lumineuses combinant techniques photographique, picturale et cinématographique, lui permettant de conférer aux décors de scène de multiples variations de couleurs, de lumières et de formes mais aussi d’y intégrer des images en mouvement. Plus qu'une monographie consacrée à l’inventeur des Décors lumineux, l'exposition entend révéler les interactions entre la technique développée par Frey pour la scène et les créations expérimentales de nombreux artistes, chorégraphes et réalisateurs, des premières années du XXe siècle jusqu’à nos jours. 

Elle présente ainsi des créations aussi diverses que les pièces d’ombres d’Henri Rivière et de Caran d’Ache pour le cabaret du Chat noir ; le théâtre mécanique de l’artisan Emmanuel Cottier ; le théâtre d’ombres de l’artiste Hans-Peter Feldmann et les performances de Lourdes Castro ; les films de silhouettes créés par Lotte Reiniger et Michel Ocelot ; les expériences fantasmagoriques de Georges Méliès, Alexandre Alexeïeff et Claire Parker ou encore Jean Hugo ; les chorégraphies lumineuses de Loïe Fuller ; ainsi que les scénographies de lanternes magiques imaginées par les artistes João Maria Gusmão et Pedro Paiva.

Pour cette redécouverte des Décors lumineux, qui contribuèrent à la renommée de l'Opéra de Monte-Carlo dans le premier quart du XXe siècle, le commissaire de l’exposition a voulu associer à la perspective historique le regard  contemporain de l’artiste João Maria Gusmão qui, au fil de son travail littéraire, plastique et filmique, a pensé et réinterprété différentes techniques de projections. 

En réponse à l’invitation du NMNM, João Maria Gusmão propose une production scénographique spécifique intitulée Traveling without motion, un « micro-cinéma en lumière continue » produisant des images en mouvement, sans film et sans opérateur. Ce

sont ainsi neuf projections mécanisées, dispersées dans le parcours de l’exposition et jouant avec l’architecture de la Villa Paloma, qui réactivent la technique des lanternes magiques tout en offrant un contrepoint iconographique et conceptuel aux œuvres de Frey.Commissaire : Célia Bernasconi

Exposition ouverte tous les jours de 10H 18H entrée gratuite tous les dimanches.

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

Villa Paloma 56 boulevard du Jardin Exotique, parking à proximité.

ACTIVITES AUTOUR DE L’EXPOSITION : Ouvert tous les jours de 10h à 18h, le NMNM vous propose des visites sur rendez-vous

de l’exposition en cours. Nos médiateurs sont là pour vous accueillir, vous guider et répondre à vos questions.Tarif de groupe applicable à partir de 15 personnes : 4€ par personne (la visite guidée est gratuite, sur réservation)

Chaque mardi entre 12h30 et 14h nous vous proposons un focus sur une œuvre exposée à l’intérieur ou à l’extérieur du musée. L’occasion de consacrer 10 minutes ou plus à la découverte d’une œuvre, d’un artiste, d’un ouvrage voire même de toute une exposition si le temps vous le permet au cours de votre pause déjeuner.

Chaque dimanche matin à 11h venez en famille et participez à nos ateliers  saisonniers!Le jardin pédagogique de la Villa Paloma se consacre cette année aux différentes formes de feuilles. Après une brève initiation botanique, réalisez un herbier au moyen d’un tirage solaire.Sur inscription (dans la limite des places disponibles) ; durée : 45 minutes ; âge des enfants : 7-12 ans, accompagnés d'un adulte minimum.

Renseignements et inscriptions : public@nmnm.mc

A DECOUVRIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/ Villa Paloma : 17 Ave Princesse Grace. Bus ligne 2 direction Jardin Exotique, arrêt Villa Paloma. Bus Ligne 5 direction et arrêt Hôpital, accès par ascenseur public. Bus Ligne 3 direction Hecto Otto, arrêt Villa Paloma. Parking du Jardin exotique accès par le bd. du Jardin Exotique et le bd. de Belgique. Accès Villa Sauber : Bus Lignes 5 et 6 direction Larvotto, Arrêt Grimaldi Forum Villa SauberBus Lignes 1 et 4 direction Saint Roman, arrêt Place des Moulins accès par ascenseurs publics. Parking du Grimaldi Forum. Accès 2, avenue de Grande Bretagne. Lignes 1, 2, 4, 5, 6 arrêt Monte-Carlo TourismeParking du Casino, Saint Charles ou Saint Laurent. Bus Ligne 2 et 3 arrêt Villa Paloma ; Bus Ligne 5 arrêt Parc Princesse Antoinette, accès par ascenseurs publics. Parking du Jardin Exotique, accès par le bd du Jardin Exotique et le bd de Belgique.

PAVILLON BOSIO : ECOLE SUPERIEURE D’ARTS PLASTIQUES DE LA VILLE DE MONACO/ pas d’exposition en ce moment ;RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 1 ave des Pins. 98000 MONACO. Tel : 377 93 30 18 39 ou contact@pavillonbosio.com ou www.pavillonbosio.com

FRANCIS BACON MB ART FONDATION : Cette institution se consacre à l’étude d’un des plus grands artistes du XXe siècle, avec une attention particulière pour la période où il travailla à Monaco. 90 œuvres y sont présentées d’une collection qui en compte à ce jour plus de 2500. Une nouvelle présentation a eu lieu cette année

A VOIR ABSOLUMENT :

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES: 21 Bd d’Italie 98000 Monaco. Tel : 377 93 30 30 33. www.mbartfoundation.comOu info@mbartfoundation.com visite mardi et jeudis sur rendez-vous uniquement.

UN PEU PARTOUT EN FRANCE/ LES EXPOSITIONS D’ARCHEOLOGIE DANS LE CADRE DES JOURNEES DE L’ARCHEOLOGIE /

INRAP : INSTITUT NATIONAL de RECHERCHE d'ARCHEOLOGIE PREVENTIVE:

CONFERENCES ET EXPOSITIONS /

Actuellement l’INRAP fouille sous les Arênes de Nimes : Commandée et financée par la Ville de Nîmes, une nouvelle fouille archéologique menée par l'Inrap s’est ouverte dans l’amphithéâtre, sous le contrôle scientifique du Service régional de l’archéologie (SRA à la DRAC Occitanie). Cette nouvelle campagne s’inscrit dans le cadre du chantier de restauration des Arènes, entrepris par la Ville depuis plus de 10 ans. Les archéologues concentrent leurs recherches dans la salle dite « cruciforme », située sous l’arène et accessible par une trappe située au milieu de la piste. C'est l’un des points les plus bas de la cité antique, un vaste puisard alimenté par la nappe phréatique ou par le ruissellement et qui posait dès l'Antiquité le problème de l’évacuation de l’eau.L’objectif poursuivi est d’interpréter les aménagements souterrains et de mieux appréhender la problématique des eaux de pluie, passée et présente. Ces investigations permettront de compléter l’enregistrement des données archéologiques, de contribuer à la restitution de l’histoire et l’évolution de cet espace technique souterrain et de rassembler toute information utile pour la conservation de cet espace et l’étude globale du monument.

L’AMPHITHÉÂTRE LE MIEUX CONSERVÉ DU MONDE ROMAINConstruit à la toute fin du Ier siècle de notre ère, l’amphithéâtre de Nîmes n’a cessé d’être occupé durant ses 2 000 ans d’histoire. D’abord édifice de spectacle pouvant accueillir 24 000 spectateurs sous l’Empire romain, le monument devint successivement forteresse, résidence de l’administration féodale puis quartier de la ville jusqu’au XIXe siècle. Grâce à cette occupation ininterrompue, l’édifice a échappé au pillage systématique de ses matériaux et à une destruction irréversible. Il est l’amphithéâtre le mieux conservé du monde romain.

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Leurs expositions d’hiver seront mises au fur et à mesure de leur ouverture dans l’espace : DERNIERE MINUTE