revue de presse - difekako · 2014. 11. 4. · «c’est à la fois drôle et tragique,...

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REVUE DE PRESSE ON T’APPELLE VENUS Direction artistique et conception Chantal Loïal Production : Cie Difé Kako Co-production Festival de Marseille (F/D/Am/M), Festival Bolzano Danza / Tanz Bozen, Centre National de la Danse Interprète et chorégraphe Chantal Loïal Chorégraphie Philippe Lafeuille Textes Marc Verhaverbeke Avec le soutien de DRAC Ile-de France-Ministère de la Culture et de la Communication Collaboration Artistique Paco Dècina, Costumes : Agnès D'At, Nicole Crampon Création Lumière et Technique: Stéphane Bottard Association SACD-Beaumarchais (production et écriture chorégraphique) Conseil Général de Martinique Co-réalisation Théâtre Municipal de Fort-France, DRAC Martinique (résidence performance), DJS Paris et Mairie du XIIIième, MJC Club – Créteil

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  • REVUE DE PRESSE

    ON T’APPELLE VENUS

    Direction artistique et conception Chantal Loïal

    Production : Cie Difé Kako

    Co-production Festival de Marseille (F/D/Am/M), Festival Bolzano Danza / Tanz Bozen, Centre National de la Danse

    Interprète et chorégraphe Chantal Loïal Chorégraphie Philippe Lafeuille Textes Marc Verhaverbeke

    Avec le soutien de DRAC Ile-de France-Ministère de la Culture et de la Communication

    Collaboration Artistique Paco Dècina, Costumes : Agnès D'At, Nicole Crampon Création Lumière et Technique: Stéphane Bottard

    Association SACD-Beaumarchais (production et écriture chorégraphique) Conseil Général de Martinique

    Co-réalisation Théâtre Municipal de Fort-France, DRAC Martinique (résidence performance), DJS Paris et Mairie du XIIIième, MJC Club – Créteil

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  • http://genevieve-charras.blogspot.fr/2012/07/avignon-off-entre-en-danse_22.html • Accueil • Pédagogie • Journalisme • Performances • Musée • Danse thérapie

    Geneviève Charras L ' a m u s e - d a n s e !

    dimanche 22 juillet 2012

    Avignon "off" entre en danse! Le "off" affichait en Avignon bon nombre de spectacles de danse. En voici un petit aperçu parmi la vingtaine vus durant 5 journées très "denses"!

    [...]

    "On t'appelle Vénus" une œuvre signée Chantal Loïal de la compagnis Difé Kako, représentée à la Chapelle du Verbe Incarné se donne comme un hommage à la Vénus Hottentote qui fit la célébrité du corps médical à l'époque de colonialisme.Montrée pour sa différence et sa "monstruosité", cette femme noire incarne pour la danseuse chorégraphe originaire de Guadeloupe se donne dans l'interprétation intimiste, évocation discrète du destin de cette"vénus" meurtrie par les regards et les explorations, violations faites à l'adresse de son corps, "différent". Du bel ouvrage où la sensibilité de Chantal Loïal est révélée par Paco Décina qui lui offre ainsi une chorégraphie, une danse sur mesure. Les "fesses" y sont évoquées comme un hommage à la vie, au jeu de mots, à l'humour mais aussi aux formes callipyges de la belle danseuse qu'elle sait toujours être. Beaucoup de tendresse aussi dans ce solo, de révolte, d'aveux sur la valeur et l'estime que chacun a de soi-même. On a envie d'y rire et d'y pleurer tant la pièce est franche, brute, vraie. www.difekako.fr [...]

    http://genevieve-charras.blogspot.fr/2012/07/avignon-off-entre-en-danse_22.htmlhttp://genevieve-charras.blogspot.com/http://genevieve-charras.blogspot.com/search/label/P%C3%A9dagogiehttp://genevieve-charras.blogspot.com/search/label/Journalismehttp://genevieve-charras.blogspot.com/search/label/Performancehttp://genevieve-charras.blogspot.com/search/label/Mus%C3%A9ehttp://genevieve-charras.blogspot.com/search/label/Danse%20Th%C3%A9rapiehttp://genevieve-charras.blogspot.fr/http://genevieve-charras.blogspot.fr/2012/07/avignon-off-entre-en-danse_22.htmldifé kakoTexte tapé à la machine"On t'appelle Vénus" au JT de France 3 - 20 juillet 2012 http://youtu.be/zqWxSpmiuhY

    difé kakoTexte tapé à la machine

    difé kakoTexte tapé à la machine

    difé kakoTexte tapé à la machine

    http://www.difekako.frhttp://youtu.be/zqWxSpmiuhY

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  • 2 Q DU 7 AU 13 JUILLET 2012 Q la deux P

    5, 53 M€

    d’Eurimages Q Lors de sa 127e réunion, du 19 au 22 juin à Copenhague, le Comité de direction du Fonds Eurimages du Conseil de l’Europe a accordé une aide à la coproduction à 17 longs métrages, pour un montant global de 5,53 M€. Depuis sa création en 1988, Eurimages a soutenu 1 453 coproductions européennes, représentant un engagement d’un montant total d’environ 440 M€.

    115 245 € pour un Lalique Q Une nymphe tente désespérément de repousser un faune particulièrement entreprenant : une statuette de René Lalique (1860-1945), intitulée Le Baiser du Faune a atteint la somme de 115 245 € lors d’une vente, effectuée à Paris (Drouot), consacrée à l’Art nouveau et à l’Art déco. Il s’agit d’une épreuve d’essai en verre blanc moulé en ronde-bosse à cire perdue et patinée.

    FOCUS

    (-)

    BANDE DESSINEE Audrey Spiry en silence… Q Une partie de canyoning un peu flippante, un jeune couple en crise, et une manière incroyable de mettre en scène une histoire, dans des couleurs appuyées, fauves, et un graphisme à la fois libre et d’une incroyable justesse – quelque chose d’une narration cinématographique qui emporte le lecteur, image après image, dans une fluidité bourrée d’énergie. Audrey Spiry signe avec en Silence, un premier album étrange et beau, dans lequel l’auteure impose d’emblée un style, une manière, un expressionnisme du trait et de la couleur qui lui appartiennent en propre. Un corps plongeant dans l’eau, une plage irradiée de lumière, le courant d’une rivière, la sensation d’enfermement dans une grotte… Audrey Spiry a trouvé ses marques, pour un récit qui sait créer une tension, restituer l’intensité psychologique de certains instants où tout peut basculer, avec une étonnante économie de moyens, sans en rajouter dans le texte. Un vrai talent de dessinatrice et d’auteur, en silence.

    S.H. En Silence, d’Audrey Spiry, chez Casterman, 168 pages, 16€.

    Invisible, anonyme. Sans-papiers, migrants, les refoulés afghans de l’histoire, Paris 2009. (PHOTOS MATHIEU PERNOT/ÉRIC DUPONT, PARIS)

    MARSEILLE à l’Atelier De Visu

    En présence de leur absence Au tapage médiatique, Mathieu Pernot oppose une vision abstraite, silencieuse des clandestins afghans qu’il a photographiés, en 2009, à Paris, 10e. Après leur expulsion du square Villemin.

    « NON tu n’as rien vu à Hiroshima » faisait dire Marguerite

    Duras à sa « petite tondue de Nevers » dans le film d’Alain Resnais, Hiroshima mon amour. Le photographe Mathieu Pernot, lui aussi, reconnaît n’avoir rien vu. Et c’est tout le paradoxe et la beauté des images qu’il a enregistrées au petit matin, durant l’été 2009, des migrants afghans, clandestins et refoulés

    les gens

    Olivier Metzger, en Arles Les Rencontres d’Arles, dirigées par François Hébel, consacrent leur édition 2012 à une certaine « école française » de la photographie, et invitent l’Ecole nationale supérieure de la photographie d’Arles, qui a 30 ans De cette école est issu le Mulhousien Olivier Meztger, 39 ans, venu à la photographie après avoir été infirmier dans les hôpitaux publics. Diplômé en 2004, il avait été cette année-là lauréat du festival Off des Rencontres, pour sa série Data, puis nominé en 2009 au prix Découverte des Rencontres, et au prix Lacoste en 2012. En 2005 et 2008, il avait exposé à la mulhousienne Filature. En Arles, il présente sa

    (DR)

    ÉPINAL L’horizon retrouvé

    Q La Lune en Parachute, galerie spinalienne, accueille les œuvres de cinq artistes, issues de la collection du Frac Lorraine : Iñaki Bonillas, Luis Camnitzer, Yona Friedman, Edith Dekyndt et Laurent Pariente. Sous le titre L’Horizon retrouvé, il y est question d’espace évanescent, de territoire ouvert sans limites, de ciel et d’au-delà. Y a-t-il quelque chose au-delà des nuages ?

    Olivier Metzger.

    nouvelle série, Smile Forever, portraits d’une femme aux cheveux gris, qui s’expose dans la lumière. « De sourires évocateurs volontairement prononcés aux moues glaciales ambiguës, elle veut vivre, ditil, comme si elle avait vingt ans de moins. En quête d’une seconde jeunesse, elle a l’âge du regard de l’autre. » R Q Jusqu’au 23 septembre. www.rencontres-arles.com

    «John Cassavetes touchait à des choses auxquelles les femmespensent, mais qu’on n’attend pasd’un homme.» GENA ROWLANDS, ACTRICE.

    Yona Friedman, prototypeimprovisé, 2009. (COLLECTION FRAC LORRAINE)

    Telle serait la question, approchée, par tous les moyens de l’art. Jusqu’au 17 août. laluneenparachute.com

    témoignages. Consignés en farsi, ces fragments de vie restituent l’arrachement douloureux, la violence subie sur les routes de l’exil. R

    VENERANDA PALADINO

    Q Jusqu’au 13 juillet à l’Atelier de Visu. 04 91 47 60 [email protected]

    AVIGNON Vénus incarnée La simple puissance de son physique lui coûta la vie. Exhibée comme un monstre de foire, Saartje Baartman, cette Sudafricaine née à la fin du 18e fut maltraitée bien au-delà de sa mort en 1815. Presque deux siècles plus tard, la danseuse Chantal Loïal a fait de ses formes rubicondes ourlées de grâce, l’empreinte de son combat chorégraphique et politique. La Guadeloupéenne tissa sa geste à celle de la Vénus Hottentote et le solo qu’elle lui dédie incarne le saccage de l’impitoyable beauté. On t’appelle Vénus prolonge les engagements de sa compagnie Dife Kako («quelque chose qui chauffe » en créole) autour des questions mémorielles, de l’esclavage. Interprète pour les chorégraphes les plus réputés –Montalvo-Hervieu, Raphaëlle Delaunay, les Ballets C de la B–, elle porte ici à sa plus haute incandescence l’affirmation de la différence, interrogeant dans la violence du texte de Marc Verhaverbeke le regard de l’Occident sur l’autre, choisifié, relégué à l’indigénat. Tout en fluidité, ralenti, légèreté, On t’appelle Vénus défie la barbarie.

    VEP.

    Q Les 13, 14, 15 et 16 juillet à 12h15 à la Chapelle du verbe incarné[email protected]

    Chantal Loïal ranime la Vénus Hottentote. (PHOTOPATRICK BERGER)

    de l’histoire. De leur sommeil, Mathieu Pernot n’a pas voulu perturber la quiétude. Ensevelis sous des plis drappés, linceuls métaphoriques aux troublantes rémanences maniéristes d’un Bernin, les corps révèlent leur présence absente. Bel oxymoron qui interroge dans la forêt de signes médiatiques, la pertinen

    ce du regard. Et notre responsabilité. Avant l’expulsion de la jungle de Calais, les Afghans échoués à Paris en quête de l’eldorado britannique, furent évacués du square Villemin dans le 10e arrondissement, à Paris. Mathieu Pernot prolongea ce travail photographique en recueillant, cette fois, leurs

    la photo

    Le Jardin des Papillons de Huhnawihr expose, du 12 juillet au15 août, les patchworks de Nadia Stumpf et Béatrice Bueche.

    SENONES Fragments de voyage immobile Q Certains voyagent dans leur voisinage, à l’autre bout de leur rue, tel Nicolas Pinier, explorateur de proximité, qui parcourt les mondes d’à côté. A Senones, l’artiste messin pose des fragments de voyage immobile, avec d’autres artistes invités, qui sortent des sentiers battus et bornés : Isabelle Krieg, Mira Sanders, Gaëlle Dodain, Sophie Usunier et le Latourex

    Morpho Cypris, explorateur enbotanique culturelle. (NICOLAS PINIER)

    que créa un jour Joël Henry, dans le grand vent du dépaysement et de la liberté. Jusqu’au 30 septembre. A la Bibliothèque Dom Calmet.

    Supplément hebdomadaireculture-loisirs-découvertes desDernières Nouvelle d’Alsace

    Directeur de la publication :Francis HirnChef de service : Serge Hartmann

    N° Commission Paritaire 0310 C 86450 - ISSN 0150-397X - Imprimerie DNAEdition, Coordination, Scènes : Veneranda Paladino - [email protected]ènes et cinéma : Nathalie Chifflet - [email protected] actuelles : Joël Isselé - [email protected]

    Arts plastiques Serge Hartmann - [email protected] de vivre, gastronomie, tourisme : Sophie Dungler - [email protected] à Mulhouse : Jean-Michel Lahire - [email protected] à Sélestat : Vivien Montag - [email protected]

    Coordination à Saint-Louis :Matthieu Hoffstetter - [email protected] publicitaire : Fabienne Tafani - [email protected] contact Reflet DNA - 17-21 rue de la Nuée Bleue - 67000 StrasbourgSecrétariat : Virginie Rivet - Téléphone : 03 88 21 57 50 [email protected]

    mailto:[email protected]:[email protected]:[email protected]:[email protected]:[email protected]:[email protected]:[email protected]:[email protected]:[email protected]:[email protected]:@www.atelierdevisu.frmailto:@www.atelierdevisu.frhttp://www.rencontres-arles.commailto:@www.verbeincarne.frmailto:@www.verbeincarne.frhttp:chor�graphiqueetpolitique.Lahttp:laluneenparachute.com

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  • Télérama

    Rien ne pouvait mieux convenir à la danseuse et chorégraphe antillaise Chantal Loïal que d’endosser le rôle de la Vénus Hottentote, cette femme africaine devenue une créature de ménagerie humaine dans la France du XIXe siècle. Sous le titre “On t’appelle Vénus”, Chantal Loïal met ses formes, sa gouaille et sa détermina tion rageuse à la disposition d’un morceau de l’histoire pour rendre hommage à une femme mais surtout lui rendre justice. Un pari qu’elle assume seule en scène.

    Rosita Boisseau

    http://www.slateafrique.com/2491/chantal-loial-danse-venus

    Chantal Loïal danse pour Vénus

    La danseuse et chorégraphe consacre un solo de danse à l'histoire de la Vénus hottentote. Un spectacle émouvant pour devoir de mémoire.

    On t’appelle Vénus est le titre du solo que Chantal Loïal consacre à la Vénus hottentote. Depuis quelques années, cette danseuse et chorégraphe guadeloupéenne bouscule les critères de la critique bien pensante par son physique rare et son style atypique. Dotée de ce qu’on appelle «des formes» qui n’ont rien de longiligne, elle détonne dans le milieu de la danse contemporaine.

    «On parle de moi comme de “la danseuse aux grosses fesses”, dit-elle avec sérénité. J’ai eu du mal avec ça au début. Mais désormais tout dépend de qui le dit et de la façon dont on me le dit. J’assume et, à ma façon, en participant aux créations de grands chorégraphes actuels, j’ai contribué à faire changer les critères et les codes concernant le physique. Tout le monde peut danser, la preuve!»

    Car si Chantal Loïal se fait d’abord remarquer par ses rondeurs, elle retient l’attention par son talent. A preuve son carnet de bal chorégraphique, rempli de noms aussi prestigieux que les Montalvo-Hervieu, Raphaëlle Delaunay, C de la B (Ballets contemporains de Belgique), qui l’intègrent dans leurs créations. Parallèlement, Chantal Loïal dirige sa propre compagnie, Difékako («quelque chose qui chauffe» en créole) depuis 1994. Elle y relie magnifiquement les continents, les générations (avec des spectacles «grand» comme «jeune» public) et les styles. Car Chantal a aussi été formée dans les rangs des ballets africains Lokolé (Congo) et Lemba (danses d’Afrique centrale) et s’efforce de faire de chaque nouveau pas le résultat de l’ensemble de son itinéraire.

    Un solo en forme d'hommage

    Personnalité hors du commun, Chantal Loïal s’est naturellement emparée du personnage de la Vénus hottentote.

    «Je ne savais rien au départ de l’histoire de cette femme, dit-elle. C’est Jacques Martial, le président du parc de la Villette à Paris, qui m’en a parlé. Mais cela a fait écho en moi: mon travail porte beaucoup sur les femmes et également sur le devoir de mémoire. L’histoire de cette femme m’a frappée, profondément touchée et j’ai senti que je devais en faire quelque chose.»

    Le résultat sera un solo, né après deux ans de réflexion, de documentation et de préoccupation.

    Saartje Baartman, cette Sud-africaine née à la fin du XVIIIe siècle, fut arrachée à sa terre natale pour être exhibée comme un animal de foire en Europe en raison de son physique hors du commun. Elle fut maltraitée jusqu’à sa mort en 1815 mais ne connut toujours pas le repos. Elle fut encore étudiée comme un phénomène scientifique, son corps moulé puis démembré afin d’étayer des théories fumeuses sur l’infériorité de certaines races. Ses organes sont placés dans des bocaux de formol au Musée de l’homme de Paris. En 1974 seulement, Saartje Baartman quitte la galerie d’anthropologie physique du musée. Enfin, en 2002, la France restitue la dépouille de «Vénus» à l’Afrique du Sud, qui lui offre finalement une sépulture selon les rites de son peuple. On l’appelait Vénus, du nom de la déesse de l’amour et de la beauté, un surnom terriblement ironique pour un destin profondément tragique.

    Chantal Loïal veut rendre de la dignité à un être éprouvé par les plus grandes indignités. Afin de ne pas «tomber dans le pathos» et d’échapper au folklore –car «en tant que danseuse antillaise,dit-elle, on me soupçonne toujours de

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    http://www.slateafrique.com/pays/7/Afrique%20du%20Sudhttp://www.rfi.fr/actufr/articles/026/article_14091.asphttp://www.difekako.fr/index.phphttp://www.slateafrique.com/2491/chantal-loial-danse-venus

  • doudouisme»–, elle s’entoure de chorégraphes dont elle admire depuis longtemps le travail. Paco Decina l’aidera à trouver une qualité de mouvements tout en fluidité, légèreté et ralenti. Philippe Lafeuille insistera sur la mise en scène. Marc Verhaverbeke lui offrira les textes forts qu’elle déclame sur scène.

    «On t’appelle Vénus! Je présume que tu t’en fous quand tu découvres la brume de Londres ou du Paris des grammairiens qui te veulent nue dans un mauvais poème. Ils t’exposent avec des nains, des géants, des bossus… Appellent le passant… Ils sont patrons de cirque, de théâtre, proxénètes, scientifiques… On te mesure. On moulera chaque partie de ton corps, mort!»

    «Drôle et tragique»

    Au final, l’émotion est au rendez-vous, mais la dignité bien présente aussi. De l’évocation des exhibitions foraines au retour de l’âme de Vénus, enfin libre et joyeuse sur sa terre natale, Chantal Loïal parvient à rendre un hommage plein de sensibilité à ce personnage.

    Poussant la comparaison corporelle à son extrême, la danseuse clôt son spectacle par un clin d’œil et propose au public de savourer une suite d’expressions: coûter la peau des fesses, tire-fesse, coco fesse, avoir les yeux plus gros que les fesses, tomber les quatre fesses en l’air, aller à un pince-fesses…

    «C’est à la fois drôle et tragique, explique-t-elle. Un rappel de ce qui a coûté la vie à cette femme: la simple puissance de son physique.»

    On n’a jamais autant évoqué «la Vénus hottentote» que ces dernières années. Le réalisateurAbdellatif Kechiche lui a consacré un film (Vénus Noire). La chorégraphe sud–africaine Robyn Orly prépare à son tour sa vision de Saartje Baartman. Car seul l’art, sans doute, peut nous permettre de dépasser le goût de bile qui nous vient à la gorge à l’évocation du martyr subi par cette femme. Et seul l’art, sans doute, peut permettre à sa mémoire de désormais «danser en paix».

    Kidi Bebey

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    http://www.robynorlin.com/http://www.lexpress.fr/culture/cinema/abdellatif-kechiche-venus-noire-ne-devait-pas-etre-un-film-agreable_931119.htmlhttp://www.lexpress.fr/culture/cinema/abdellatif-kechiche-venus-noire-ne-devait-pas-etre-un-film-agreable_931119.html

  • Saartje Baartman erfreut sich plötzlich größter Beliebtheit. Zwei

    Jahrhunderte nachdem sie in ihrer Heimat versklavt, nach Europa ver-

    schleppt, dort als Monstrum ausgestellt, zur Prostitution gezwungen,

    mit nur 26 Jahren in den Tod getrieben und schließlich aus «wissen-

    schaftlichem» Interesse seziert wurde, findet die Südafrikanerin heute

    vor allem bei Choreografinnen leidenschaftliche Fürsprecher – bei

    Künstlerinnen, die sich aus persönlichen Gründen mit Kolonial- und

    Genderfragen beschäftigen. Vier Choreografinnen, ein Filmregisseur

    und eine Theaterautorin haben der «Hottentot-Venus» jeweils neu-

    ere Werke gewidmet. Robyn Orlin, die selbst aus Südafrika stammt,

    meint zwar, sie sei als Spross einer weißen und daher kolonialherrli-

    chen Familie nicht unbedingt legitimiert, sich Baartmans Schicksal in

    deren Heimat anzunehmen. Doch in Europa kann sie guten Gewissens

    die Frage stellen: «... have you hugged, kissed and respected your

    brown Venus today?» Das klingt, als sei diese Verehrung selbstver-

    ständlich, doch wer Orlin kennt, weiß um ihre nuancenreiche Ironie.

    Nelisiwe Xaba, ebenfalls aus Südafrika, aber auf der Seite der

    durch die Apartheid Diskriminierten geboren, bezieht sich expli-

    zit auf Frankreich, wo die sterblichen Überreste Baartmans einst in

    Formaldehyd konserviert und ausgestellt wurden: «Sakhozy says NON

    to the Venus», heißt ihr Werk. Von den französischen Antillen stammen

    Chantal Loïal und Annabel Guérédrat. Beide hinterfragen in ihren Soli

    den Blick auf den exotischen Körper. Hat er sich in Europa wirklich

    geändert? Steckt im Kulturbetrieb von heute, ja selbst im zeitgenös-

    sischen Tanz, nicht noch immer das Erbe einer kolonialen männlichen

    Lust auf Rundungen, braune Haut und einen Frauenkörper ohne ge-

    sellschaftlichen Status? «Ihr seid doch immer noch Hottentottinnen»,

    rufen die vier Choreografinnen den farbigen Frauen zu. Vielleicht sogar

    den Frauen insgesamt.

    Bestattet … Zur Welt kam Baartman 1789, im Jahr der Französischen Revolution.

    1848 schaffte Paris die Sklaverei ab, Pretoria 1991 die Apartheid.

    2002 wurden die sterblichen Überreste der «Venus» aus dem Pariser

    Völkerkundemuseum nach Südafrika überführt, wo man sie mit staat-

    lichen Ehren der Erde übergab. Der französische Staatspräsident

    François Mitterrand hatte seinem südafrikanischen Kollegen Nelson

    Mandela diesen hochsymbolischen Akt bereits 1994 versprochen. Doch

    musste die französische Nationalversammlung zunächst eigens eine

    «Lex Baartman» beschließen, um eine ihrer früheren Entscheidungen

    aufzuheben: nämlich die, allen überseeischen Ausstellungsstücken den

    Status unveräußerlichen französischen Kulturguts zu verleihen.

    … und wiederentdeckt Warum aber das Beispiel Baartman? Warum gerade jetzt, und warum

    so ein- bzw. vielstimmig? Mehrere Ursachen schieben sich ins Blickfeld:

    Da war zunächst die Fußball-WM in Südafrika, die das Augenmerk auf

    die «Rainbow Nation» lenkte, auf ihren Umbruch, ihre Schieflagen,

    ihre Hoffnungen. Und auf die Situation der Frauen in diesem Land,

    das Vergewaltigung noch immer wie ein Kavaliersdelikt ahndet. Dazu

    kommt, dass Frauenrechte und andere kulturelle Errungenschaften in

    Europa erneut unter Druck geraten. Die Sarkozy-Regierung in Paris

    bekundete zuletzt immer öfter und offener, es gäbe durchaus höher-

    und minderwertige Zivilisationen. Im Licht des Konflikts zwischen der

    westlichen und der islamischen Hemisphäre werden die Beziehungen

    zwischen den Zivilisationen überdacht und neu justiert. Das befördert

    vor allem Vorurteile.

    «... have you hugged, kissed and respected your brown

    Venus today?» von Robyn Orlin Foto: Philippe Lainé

    Den jüngsten Baartman-Skandal verursachte der schwedische

    Künstler Makode Aj Linde. Er ließ seine Kulturministerin

    eine «Baartman-Torte» anschneiden.

    Mehr dazu auf kultiversum.de/tanz

    Sie kam 1810 aus Südafrika und wurde in London und Paris ausgestellt – als Tänzerin, Prostituierte, vor allem als «Negerin». Heute steht sie erneut auf der Tanzbühne. Ein Versuch, mit ihr noch einmal Genderfragen und verdrängten Kolonialismus zum Thema zu machen

    ________Von Thomas Hahn

    die hottentot-venus____________

    ideen

    64 tanz___juni 2012 juni 2012___tanz 65

  • __________Saartje Baartman wurde aufgrund ihrer Körperfülle und der Klicklaute ihrer Sprache als Bindeglied zwischen Affe und Mensch angesehen. Und dennoch oder eben deshalb: als Tänzerin zur Schau gestellt_________

    Symbol … Nicht nur per se ressentimentgela-

    dene Kreise, auch die Wissenschaften

    sahen in der «Hottentot-Venus» eine

    universelle Vertreterin der afrikani-

    schen Bevölkerung. Dass die medizi-

    nischen Studien an Saartje Baartmans

    Physiognomie sich auf Gesäß und

    Genitalien konzentriert hatten, tat

    der «Wissenschaftlichkeit» scheinbar

    keinen Abbruch. Im Gegenteil. Die

    Tragödie der ihrer Menschenwürde

    mindestens fünffach beraubten Sklavin gehört zu den symbolträchtigs-

    ten Traumata der Kolonialgeschichte. Baartman ist für Südafrika, was

    die Nofretete für Ägypten darstellt: eine Erinnerung an Kolonialismus,

    Entmenschlichung, Erniedrigung und Entrechtung – und an die

    Schönheit und Würde der eigenen Kultur. Wie aber können Frauen

    – ob afrikanischer oder anderer ethnischer Herkunft – sich heute mit

    dem Objekt Baartman identifizieren? Indem sie es als Symbol neu de-

    finieren und darüber nicht nur ihre eigene Stellung, sondern auch die

    Kolonialgeschichte verarbeiten.

    Genauso hält es Nelisiwe Xaba, einst Interpretin von Robyn Orlin. Das

    Pariser Musée du Quai Branly (so lautet der verschämte Name für das

    Hauptstadt-Museum der «primitiven» Kunst) beauftragte sie mit ei-

    ner Choreografie. Xaba stellte sich vor, eine auferstandene Baartman

    kehre in ihr Land zurück, finde sich dort nicht zurecht, gehe daraufhin

    wieder zurück nach Paris – wo Sarkozy ihr nichts anderes erlaube als:

    sich drei Monate lang in einem Museum zur Schau zu stellen. Fiktion

    und Xabas eigene Geschichte vermengen sich hier mit historischen

    Fakten. Denn die Händler, die Baartman 1810 nach London verschiff-

    ten, wollten sie ursprünglich zusammen mit einem Giraffenfell an ein

    britisches Museum verkaufen.

    … und Schnittstelle Baartman gehörte zur

    Sprachgemeinschaft der

    Khoi-san, die heute prak-

    tisch ausgestorben ist.

    Insofern verweist ihr Beispiel

    auch auf Völkermord. So

    steht in Annabel Guérédrats

    Choreografie «A freak show

    for S.» das «S» für Saartje (die

    in London auf den Namen

    Sarah getauft wurde), aber

    auch für Guérédrats ei-

    gene jüdische Großmutter Sarah. Den ersten Völkermord beging be-

    kanntlich das Deutsche Reich gleich zu Beginn des 20. Jahrhunderts

    an den Herero im heutigen Namibia. Die Kolonisatoren betrachte-

    ten die Einwohner eroberter Gebiete als Untermenschen, als Wesen

    fernab der eigenen Spezies. Saartje Baartman wurde aufgrund ihrer

    Körperfülle und der Klicklaute ihrer Sprache als Bindeglied zwischen

    Affe und Mensch angesehen. Und dennoch oder eben deshalb: als

    Tänzerin zur Schau gestellt. Noch heute dient ihr Beispiel dazu, den

    Blick auf die tanzende Frau zu entlarven: «Sind wir noch immer Teil eines

    Menschenzoos?» Beide, Nelisiwe Xaba und Annabel Guérédrat, wol-

    len provozieren. Letztere hat sogar eine Machtprobe mit männlichen

    Zuschauern gewagt, mitten auf dem Platz Jemaa El Fna in Marrakesch:

    «Ich berührte ihre Hände, die sich auf die Absperrgitter stützten. Es

    ist ein schmaler Grat zwischen Verführung und Provokation. Tanz darf

    eben nicht wie ein Ritual aussehen. Meine Stärke ist, dass ich ihre

    Blicke zurückweisen kann. Baartman konnte das nicht. Sie wurde wie

    ein Tier im Zoo präsentiert.» Die Sklavin war damals nur eine von hun-

    derten Verschleppten, die im Auftrag von Schaustellern nach Europa

    verschifft und nach ihrem Tod von faszinierten Anthropologen unter

    libidinösen Schaudern untersucht wurden. Das Show-Business bahnte

    also damals den Blick der Wissenschaft vor. Als der Anatom Georges

    Cuvier, der Baartman schon zu Lebzeiten von oben bis unten vermes-

    sen hatte, post mortem ihr Gesäß zerschnitt, stellte er erstaunt fest:

    «Das ist ja nur Fettgewebe!»

    Karikiert … Cuvier beschrieb Baartman als ansonsten eher grazile Erscheinung mit

    attraktiven Armen, Händen und Füßen. Nur ihr Gesicht fand er hässlich.

    Die Zeichnungen, die sie als wandelnden, monströsen Wackelpudding

    darstellen, können jedenfalls getrost ins Reich rassistischer Zerrbilder

    verwiesen werden. Was wir über Baartman wissen, haben ausnahms-

    los Europäer geschrieben und dokumentiert. Es sagt mehr über die

    Autoren aus als über das Objekt ihrer Beobachtung. Das brachte die

    afro-amerikanische Theaterautorin Suzan-Lori Parks dazu, in ihrem

    Stück «Venus» (1996 in New York in der Regie von Richard Foreman

    uraufgeführt) die Geschichte erstmals ins Positive zu ziehen. Dafür er-

    hielt sie sogar den renommierten «Obie Award». Parks stellt sich vor,

    dass Baartman als Gogo-Tänzerin berühmt werden, Geld verdienen

    und sich so eine Existenz aufbauen wollte. Dadurch wurde sie zum

    Ebenbild aller unter falschen Versprechungen in die Prostitution ver-

    schleppter Frauen.

    … da füllig Die Karikatur aus dem frühen 19. Jahrhundert konnte die schwarze

    Venus bis heute nicht abschütteln. Rundungen sind in der gesam-

    ten Ikonografie ein Fixpunkt ihrer Identifikation geblieben. Chantal

    Loïal, einst in der Kompanie Montalvo-Hervieu als «die Tänzerin mit

    dem dicken Hinterteil» stilisiert, spielt in ihrer eigenen Produktion

    «On t’appelle Vénus» mit einem Totenschädel und kokettiert mit ih-

    rer Körperfülle, die sie zum ersten Mal nicht nur humoristisch, son-

    dern auch tragisch einsetzt. Dazu ließ sie sich von Paco Dècina eine

    Choreografie erarbeiten, um dem karibisch-feurigen Stereotyp zu

    entkommen. Auch bei Robyn Orlin geht es um Körperfülle. Die aus-

    ufernde Gestalt von drei der fünf aufgebotenen Damen hakt ironisch

    sowohl hinter den afrikanischen als auch hinter den europäischen Blick.

    Verurteilt ... Wie ernst der Hintergrund ist, bricht in Orlins «... have you hugged,

    kissed and respected your brown Venus today?» nur manchmal

    durch. Zum Beispiel, wenn sie an Baartmans Prozess erinnert. 1810

    verklagte die African Institution, eine Vereinigung zur Abschaffung

    des Sklavenhandels, in London die beiden Schausteller, die nach

    Augenzeugenberichten die «unglückliche Kreatur notfalls mit dem

    Stock» zwangen «zu gehen, zu tanzen, sich selbst zu zeigen, nicht

    um ihres Vorteils willlen, sondern für den Profit ihres Masters». Doch

    Baartman entlastete ihre Peiniger. Ein paradoxer Versuch, sich als

    selbstbestimmt zu empfinden? Die Wissenschaft debattiert bis heute

    darüber. «Ich bin nicht schwarz, ich bin braun!», heißt es bei Orlin. Das

    erinnert auch an die unselige Hautfarben-Debatte vor und nach der

    Wahl Barack Obamas. Die Hautfarbe der «Venus» wird in der Tat mit

    gelb-braun beschrieben. Nichtsdestotrotz nennt der tunesisch-fran-

    zösische Filmregisseur Abdellatif Khechiche sein cineastisches Werk

    «Vénus noire». Das Fürchterlichste ist der Blick des Publikums, der zum

    eigenen wird: «Es ist unmöglich, sich von dem Bild zu befreien, das

    die Anderen sich von einem machen», sagt der Regisseur, weil er aus

    eigener Erfahrung weiß, was es heißt, aufgrund seiner Herkunft oder

    Hautfarbe vorverurteilt zu werden. Die Bezeichnung «Hottentot» war

    denn auch weniger wissenschaftlich begründet als vielmehr ein simp-

    ler Sammelbegriff für die verwandtschaftliche Nähe zu den Primaten.

    Insofern ist die «Hottentot-Venus» als Oxymoron und Ausdruck extre-

    men Spotts zu verstehen.

    … und befreit Orlin wagt deshalb, was bisher niemand wagte. Sie geht das Thema

    mit Humor an. Der Blick richtet sich nach vorn, statt die üblichen

    Klageklischees abzutasten. Wenn die Tänzerinnen «I’m a prostitute»

    oder «Motherless Child» singen, dann mit unbändiger Energie. In einer

    Bilderfolge, die Orlin wie Kabarettnummern montiert, kombiniert sie

    Gesang, Sprechtheater, Videokunst und Tanz nach Belieben, ob auf der

    Bühne oder im Saal. Ihr künstlerisches Attentat nimmt alle Abziehbilder

    auf die Schippe, samt Schälen und Verteilen von Bananen, und verkün-

    det implizit: Zu unserer neuen Freiheit gehören eben auch Dinge, die

    nach euren Maßstäben unter «schlechten Geschmack» fallen. Etwa die

    plumpe Anmache des Publikums. Die Tänzerin Dudu Yende beschwert

    sich direkt bei ihrer Chefin: «Sarah Baartman ist eine zu schwere Rolle.

    Robyn, ich mache Schluss!» Wie zum Beweis dafür, dass der Job zu

    hart ist, verletzte sich Yende tatsächlich und trug zur Aufführung wäh-

    rend des Monaco Dance Forum einen Fuß in Gips. «Da haben wir sie

    einfach ins Publikum platziert», erzählt Orlin gelassen. Yende wandte

    sich dort per Mikro und Kamera an eine europäische Zuschauerin und

    forderte sie auf: «Repeat after me …». Soll heißen: Ab jetzt geben wir

    den Ton an.

    Saartje Baartman, genannt die

    «Hottentot»-Venus, starb am

    29. Dezember 1815. Der Leichnam

    wurde konserviert und noch bis

    1974 im Musée de l’Homme in Paris

    ausgestellt. Erst 2002 wurden die

    sterblichen Überreste nach Südafrika

    gebracht, damit ihr Volk sie bestatten

    konnte. Ein Gipsabdruck ihres

    Körpers steht nach wie vor im

    Musée de l’Homme.

    Foto: Antoine Devouard/Rea/laif

    ideen

    66 tanz___juni 2012 juni 2012___tanz 67

  • DANSE - Samedi soir à Bayeux

    Mélanie Lomoff et Chantal Loïal sur la scène de la Halle aux Grains Samedi soi" la Ville de Bayeux donne «Carte blan-che à Mélanie Lomoff », danseuse caennaise qui occupera la scène en première partie avant de lais-ser la place à sa complice Chantal Loïal.

    Organisé par la ville de Bayeux et rassociation Danse Perspective ce spectacle sera divisé en deux parties. Dans la première, intitulée« Musique intérieure >>, Mélanie Lomoff évoquera son parcours de danseuse interprète. Un défi-lement de petits bouts de son

    histoire, des traces à la fois fragiles , drôles et touchantes, et d'une virtuosité époustou-flante. Ce sera aussi pour Mé-lanie Lomoff comme un re-tour aux sources, elle qui dé-buta dans les studios de danse du Gay-Sçavoir et sur le plateau de la Halle aux grains avant d'entamer une carrière professionnelle. Elle a en-suite fréquenté les scènes in-ternationales avant d'obtenir en décembre 2000 le grand prix de danse contemporaine au 9• concours international de danse de Paris.

    Rencontre avec les artistes

    En seconde partie de soi-rée, Chantal Loïal proposera un solo chorégraphique ins-piré de l'aventure de la Vénus

    hottentote, jeune esclave africaine qui devint une bête de foire à Londres en 1810 à cause de sa morphologie peu commune. La danseuse pro-pose un travail autour du corps et du regard de rautre.

    Avant le spectacle, ceux qui le dés irent pourront rencon-trer et discuter avec Chantal Loïal et Mélanie Lomoff ainsi que des danseurs de la ré-

    gion. Des duos et des perfor-mances seront proposés au-tour d'un apéritif antillais [sur réservation). Pratique:samedi31 mars, ren-

    contre à 19 h au centre de danse de Bayeux. Entrée li-bre mais sur réservation au 02 31 92 36 68. Spectacle à 20h30 à la Halle aux Grains. Tarifs: 11 € 16 €. Rensei-gnements au 02 3192 03 30.

  • Francophonies du Sud/mars 2010

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  • 7/33

  • Le 18ème du mois/ mars 2011

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  • Point d’Afrique/mai-juin 2011

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  • 10/33

  • 11/33

  • 12/33

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  • 14/33

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  • 16/33

  • 17/33

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  • 19/33

  • 20/33

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  • 22/33

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  • Le Mag/ janvier 2011

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  • Le Mag/ janvier 2011

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  • El impulso-C8 Cultura/ 21 mars 2011

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    Chantal Loïal danse pour VénusLa danseuse et chorégraphe consacre un solo de danse à l'histoire de la Vénus hottentote. Un spectacle émouvant pour devoir de mémoire.Un solo en forme d'hommage«Drôle et tragique»

    Page vierge2012-07-22-VENUS-AMUSE-DANSE2.pdfGeneviève Charrasdimanche 22 juillet 2012Avignon "off" entre en danse!