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8ÈME ANNÉE - N° 2310 - MARDI 4 OCTOBRE 2016 - PRIX 15 DA.

Quotidien national d’information

TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes Lecteurs

Fedjr Dohr Assar Maghreb Ichaâ

05:16 12:37 15:56 18:28 19:58

Le rapport dont unecopie a été reçue parl'APS à Alger et soumis

le 28 septembre dernier auComité des droits de l'hommedes Nations Unies (CDH) traitedu dossier des droits del'homme du Maroc et com-prend des recommandationsdétaillées soumises à laCommission des droits del'homme de l'Onu.Le document présenté par leCentre Robert F. Kennedy etses partenaires, réaffirme quel'"occupation du Sahara occi-dental par le Maroc est illégaleen vertu du droit international,et présente des éléments ainsique des analyses sur lesactions et la façon dont leMaroc viole le droit du peuplesahraoui à l'autodétermina-tion". Le document abordeégalement la poursuite desviolations, par le Maroc, desdroits du peuple sahraoui à

disposer de ses ressourcesnaturelles, de son droit à la vieet de se libérer de l'occupationarbitraire et de la torture.Le centre rappelle égalementles traitements cruels, inhu-mains et dégradants auxquelsfait face le peuple sahraouidont le combat se poursuitpour les libertés individuelleset la liberté de mouvement.Le document aborde en outrele droit des Sahraouis à l'éga-lité devant les tribunaux et auxprocès équitables, à la vie pri-vée, à la liberté d'expression etde réunion pacifique, ainsi qu'àla liberté d'association."Le Maroc persiste et parfoisviolemment dans la violationdes droits du peuple sahraoui",a déclaré Kerry Kennedy, pré-sident de Robert F. Kennedydes droits humains."Les rapports sur les protesta-tions violement dispersées, les

récits concernant les cas dedétentions arbitraires et de tor-ture en prison, le non respectdu droit du peuple sahraoui àl'autodétermination ne peutpas rester sans réponseauprès des autorités marocai-nes et de la communauté inter-nationale", ajoute le rapport."Le Comité des droits del'homme des Nations uniesdoit tenir le Maroc comme res-ponsable de toutes ces viola-tions ", lit-on dans le rapport.En tant qu'Etat signataire duPacte international relatif auxdroits civils et politiques(PIDCP), le Maroc a une obli-gation juridique contraignanteà respecter et à garantir lesdroits énoncés dans le Pactedans tous les domaines où ilexerce un contrôle, y comprisla partie du Sahara occidentalque le Maroc occupe.Par ailleurs, le regrette l'ab-

sence de tout progrès dans lamise en œuvre du droit dupeuple sahraoui à l'autodéter-mination, et les violations sys-tématiques, de toutes sortes,de droits humains.Le récent rapport a été pré-paré en collaboration avec laCornell Law School internatio-nale Human Rights Clinic. Il aété présenté conjointement parRobert F. Kennedy HumanRights, le Collectif des sah-raouis défenseurs des droitshumains (CODESA),l'Association sahraouie desvictimes des violations gravesdes droits de l'homme(ASVDH), l'Association desFamilles des prisonniers et dis-parus Sahraouis (AFAPRE-DESA), la Fondation DanielleMitterrand/France Libertés, leBureau des Droits de l'Hommeau Sahara Occidental(BIRDHSO), l'Association fran-çaise des Amitié et de solida-rité avec les peuples d'Afrique(AFASPA) et Adala UK. Le CDH devrait publierObservations et recommanda-tions finales concernant Marocaprès elle conclut sa sessiond'examen, prévue pour le 24Octobre - 25 2016. Dernière colonie en Afrique, leSahara occidental a été illéga-lement occupé par le Maroc en1975, après le départ des trou-pes espagnoles, et reste à cejour inscrit à l'ONU au chapitredes territoires à décoloniser,conformément aux règles dudroit international en lamatière.

La pauvreté continue derefluer dans le monde mal-

gré une économie mondialeléthargique mais les inégalitéspersistent compromettant laréalisation de l'objectif visant àmettre fin à la pauvreté d'ici2030, selon un rapport publiédimanche par la Banque mon-diale (BM). "Pratiquement 800 millions d'in-dividus vivaient avec moins de1,90 dollar par jour en 2013,soit environ 100 millions depersonnes de moins qu'en2012", précise ce premier rap-port d'une nouvelle série d'étu-des de la BM intitulée "pau-vreté et prospérité partagée",destinée à rendre compte desestimations et tendances de lapauvreté dans le monde.Ces avancées s'expliquent sur-tout par les performances réali-sées par l'Asie de l'Est pacifi-que, notamment la Chine,

l'Indonésie et l'Inde sur le frontde l'extrême pauvreté, soulignel'étude de la BM.Désormais, la moitié des indivi-dus extrêmement pauvresvivent en Afrique subsaha-rienne et un tiers en Asie duSud. Dans 60 des 83 pays cou-verts par ce nouveau rapport,le revenu moyen des 40% lesplus pauvres de la population aaugmenté entre 2008 et 2013,malgré la crise financière. Unrésultat significatif puisque cespays représentent 67% de lapopulation mondiale, relève laBM. "S'il est remarquable quedes pays aient continué deréduire la pauvreté et d'accroî-tre le partage de la prospéritédans un contexte économiquemondial pourtant défavorable,le nombre de personnes pri-vées d'un revenu décent restenéanmoins bien trop impor-tant", souligne Jim Yong Kim,

président du Groupe de laBanque mondiale, cité dans lecommuniqué de la BM."A moins de parvenir à relancerla croissance mondiale et àréduire les inégalités, nous ris-quons de rater l'objectif que laBanque mondiale s'est fixé :mettre fin à l'extrême pauvretéd'ici 2030", avertit cette institu-tion financière internationale. La croissance doit profiter auxplus pauvres en mettant fin auxfortes inégalités, surtout dansles pays qui concentrent ungrand nombre de pauvres,recommande la BM.Le niveau d'inégalités restetrop élevé, avec une concentra-tion préoccupante des riches-ses dans les quintiles supé-rieurs de revenu, note le rap-port qui constate que dans 34des 84 pays analysés, lesécarts se sont creusés, avecune hausse plus rapide des

revenus des 60% les plusriches que pour les 40% lesplus pauvres.Dans 23 pays, ceux qui sesituent dans les deux quintilesinférieurs ont vu leurs revenusreculer sur la période par rap-port aux personnes plusaisées. Les chercheurs de laBM se sont plus particulière-ment penchés sur un groupede pays qui ont réussi à fairereculer sensiblement les inéga-lités depuis quelques annéescomme le Brésil, le Cambodge,le Mali, le Pérou et la Tanzanie.Ils ont identifié six stratégies àl'efficacité avérée qui ontentraîné une hausse des reve-nus des pauvres ainsi qu'uneamélioration de leur accès auxservices essentiels sans entra-ver pour autant la croissance. Ces politiques sont d'autantplus efficaces si elles sont cou-plées à une croissance solide,

une gestion macroéconomiquesaine et des marchés du travailefficaces et créateurs d'em-plois, qui offrent des opportuni-tés aux pauvres, indique la BM.Pour mieux s'attaquer à la pau-vreté, les politiques gouverne-mentales doivent être axéessur le développement de lapetite enfance, la garantied'une couverture médicale etl'accès à l'éducation, tout enassurant des transferts moné-taires aux familles démunies.La BM met égalementl'accent sur l'importance desinfrastructures rurales commeles routes et l'électrificationdans la réduction de la pau-vreté ainsi que sur la nécessitéd'établir une fiscalité progres-sive pour transférer des res-sources aux plus pauvres,sachant que des régimes fis-caux peuvent être conçus pourréduire les inégalités.

OFFENSIVE POURREPRENDRE SYRTE :

" 80 TERRORISTESABATTUS "� Les forces du gouverne-ment libyen d'union nationale(GNA) ont affirmé, hier, avoirtué dimanche 80 terroristes aucours de leur offensive pourreprendre Syrte, bastion dugroupe terroriste autoproclamé" Etat islamique " (Daech/EI). "Les commandants des unitésau front ont recensé pas moinsde 55 cadavres de (terroristes)tués alors qu'ils tentaient sanssuccès de prendre de court leslignes arrières (des forcesloyalistes), en plus de 25autres corps" découverts dansla ville ", ont indiqué les forcespro-GNA dans un communi-qué. Ce bilan n'était pas véri-fiable de source indépendante.Les forces progouvernementa-les, dont huit soldats ont ététués et 57 blessés dans lesseuls combats de dimanche,ont indiqué avoir pris de nom-breux véhicules, armes etmunitions aux terroristes.Lancée le 12 mai, l'opérationde reconquête de Syrte pro-gresse par à-coups, l'arméelançant régulièrement de nou-velles offensives entrecoupéesde périodes de calme.Samedi, les avions militairesdes forces du GNA avaienteffectué "six sorties" pour pré-parer le terrain "à l'avancéedes troupes" vers le réduit ter-roriste situé dans l'est de laville. Ces dernières sont égale-ment soutenues par des frap-pes américaines, dont le nom-bre s'élèvent à 177 depuis le1er août, selon le centre decommandement pour l'Afrique(Africom). Les forces pro-GNAont reconquis la majeure partiede la ville mais les combats ontfait plus de 450 morts et quel-que 2.500 blessés au sein deces forces. Le bilan des mortsdans les rangs des élémentsde Daech reste inconnu.Dimanche, le journaliste néer-landais Jeroen Oerlemans, quitravaillait notamment pourl'hebdomadaire belge Knack, aété tué en Libye alors qu'ilouvrait les combats à Syrte.Jeroen Oerlemans est le pre-mier Occidental et le deuxièmejournaliste à trouver la mort encouvrant les combats à Syrte. Le journaliste libyen bdelqaderFsouk avait été tué en juilletdernier.

RAPPORT DU CENTRE KENNEDY SUR LES DROITS DE L'HOMME

L'OCCUPATION DU SAHARAOCCIDENTAL EST ILLÉGALE

L'occupation du Saharaoccidental par le Marocest illégale en vertu du

droit international, arappelé dans un rapport

le Centre Robert F.Kennedy des droits de

l'homme dans un récentrapport en partenariatavec plusieurs autres

organisations non-gouvernementales et des

universitaires.

SELON UNE ÉTUDE DE LA BANQUE MONDIALE

RECUL DE LA PAUVRETÉ DANS LE MONDE

IL A SURFÉ VAGUEMENT SUR LES SUJETS D'ACTUALITÉLORS DE LA RÉUNION DU BP DE SON PARTI

ACCIDENTS DE LACIRCULATION ET INTEMPÉRIES

1992 INTERVENTIONSENREGISTRÉES PAR LA

PROTECTION CIVILEPage 4

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LA CRISE LIBYENNE AU MENU DES DISCUSSIONS

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VISITE DE FAIZ SERRADJ EN ALGÉRIE

PLUS DE 27 MILLE KG SAISIS PAR LE MINISTÈREPRÉSENCE DE MOISISSURES SUR LE FROMAGE " LA VACHE QUI RIT "

Page 2

PH

. Hafid

a

SAADANI PROMET DE TOUT DIRE DEMAIN

2222

ActualitéMardi 4 octobre 2016



23

Les services decontrôle de la qualitéet de la répressiondes fraudes duministère duCommerce ont saisirécemment unequantité de 279,12kilogrammes defromage fondu enportion de la marque"La vache qui rit" pourprésence demoisissures, selon uncommuniqué de ceministère.

Par : Imen.H

Ace titre, le ministère

du Commerce

appelle les

consommateurs "à plus de

vigilance lors de l'achat ou

de la consommation de ce

produit". Cette saisie inter-

vient dans le cadre de la

mise en œuvre du pro-

gramme d'action relatif à la

prévention des risques

sanitaires pouvant découler

de la consommation des

denrées alimentaires. Il

s'agit des lots: KA 130 16

(date de fabrication

09/05/2016 et date de limite

de consommation

08/05/2017), KA 2426 (date

de fabrication 03/05/2016

et date limite de consom-

mation 02/05/2017), KA 121


03/05/2016 et date limite de

c o n s o m m a t i o n

29/05/2017), KA 126 (date



mation 04/05/2017) et KA

09916 (date de fabrication



07/05/2017). La saisie des

lots de fromage " La vache

qui rit " est intervenue

après l'intoxication d'une

quarantaine d'enfants, le 22

septembre, dans une école

primaire à Bordj Bou

Arreridj, affirme Mustapha

Zebdi, président de

l'Association de protection

et d'orientation du consom-

mateur et de son environ-

nement (Apoce). " 41 élè-

ves ont été intoxiqués dans

cette école et l'aliment incri-

miné dans cette intoxication

était La vache qui rit ",

assure notre interlocuteur

dont l'organisation avait

saisi le ministère du

Commerce pour le " retrait

des lots suspects ". " Ce qui

s'est passé est l'une des

conséquences de la non-

coopération des opérateurs

économiques avec les

associations de défense

des droits des consomma-

teurs ", estime M. Zebdi qui

affirme avoir saisi les res-

ponsables du groupe la Bel

avant cette affaire d'intoxi-

cation. " Malheureusement,

ils n'ont pas coopéré ",

regrette-t-il.

Par ailleurs, dans un com-

muniqué, Bel Algérie dit

avoir pris connaissance "

par voie de presse d'une "

demande de saisie " de pro-

duits La Vache qui rit, boîte

ronde, suite à des symptô-

mes d'indigestion qui

auraient touché des élèves

de l'école de Mansourah,

dans la Wilaya de Bordj

Bou Arreridj ". Le groupe

informe ses consomma-

teurs " qu'aucune preuve

n'a été établie entre l'indi-

gestion évoquée et la qua-

lité de production des pro-

duits La Vache qui rit. Bel

Algérie se tient à la disposi-

tion des autorités sanitaires

". Il assure également qui

va prendre " très au sérieux

cette situation ". " Nous pro-

cédons sur toutes nos pro-

ductions à de nombreux

contrôles quotidiens afin de

garantir à nos consomma-

teurs des produits d'une

qualité sanitaire irréprocha-

ble ", précise le groupe.

I.H.

Présence de moisissures sur le fromage " La vache qui rit "

Plus de 27 mille kg saisis par le ministère

Mardi 4 octobre 2016Quotidien national d’information


Les kangourous peuvent différer leur gestation enfonction des saisons, tandis que les dauphins

parviennent à déceler si une plongeuse face à eux estenceinte. Pour ce nouveau numéro, Adriana et Michel

partent pour un véritable road movie en Australie.Dans ce pays gigantesque, ils vont découvrir unediversité animalière sans équivalent : plus de 378espèces de mammifères, 828 d'oiseaux et 4 000 de

poissons. Près de 80 % de ces animaux, tels que leskangourous ou les wombats, n'existent que là-bas. Le

duo longe la côte est pour aller à leur rencontre,comprendre leur fonctionnement et ainsi établir des

comparaisons avec l'anatomie, la physiologie etl'intelligence humaines.

Patterson et l'équipe souhaitent faire la lumière sur lesdramatiques événements de la veille. Une piste les mène audomicile d'un certain Roger Levkin qui pourrait bien être unespion russe. L'hypothèse selon laquelle il appartiendrait àune cellule dormante est bientôt confirmée. Weller et Janetentent d'identifier les autres membres du groupe ainsi que

les cibles qu'ils s'apprêtent à éliminer.

Blindspot

Sur France 2 - 20h55

Sur TF1 - 20h55

Les pouvoirs extraordinaires des animaux

Sur M6 - 21h00

Les beaux malaises

AAAAuuuujjjjoooouuuurrrrdddd’’’’hhhhuuuuiiii

11h30 Documentaire 12h30 KhousoussiatMin Aâlem13h00 Journal Televisé13h30 Hayati Aâdab15h00 Long métrageanimé 16h30 Spider-Man 18h00 Journal télévisé18h35 Malaïbe Aâlem 20h00 Journal Televisé20h50 Magazine du festival 22h30 Chants patrioti-ques

06:25 : TFou 08:25 : Météo 08:30 : Téléshopping 09:20 : Météo 09:25 : Au nom de lavérité 09:55 : Au nom de lavérité 10:25 : Petits secretsentre voisins 10:55 : Petits secretsentre voisins 11:20 : Petits secretsentre voisins 11:55 : Petits plats enéquilibre 12:00 : Les douze coupsde midi 12:50 : L'affiche du jour 13:00 : Journal 13:40 : Petits plats enéquilibre 13:45 : Météo 13:55 : Les feux del'amour 15:10 : Un romand'amour 17:00 : L'addition, s'ilvous plaît 18:00 : Bienvenue aucamping 19:00 : Money Drop 19:55 : Météo 20:00 : Journal 20:30 : Météo 20:40 : Là où je t'emmè-nerai20:55 : Blindspot 21:45 : Blindspot 22:40 : Blindspot 23:30 : Arrow

09:35 : Amour, gloire etbeauté 10:00 : C'est au pro-gramme 10:55 : Météo outremer 11:00 : Motus 11:30 : Les Z'amours

12:05 : Tout le mondeveut prendre sa place 12:55 : Météo 2 13:00 : Journal 13:48 : Météo 2 13:50 : Consomag 14:00 : Toute une his-toire 15:10 : L'histoire conti-nue 15:40 : Comment ça vabien ! 16:40 : Comment ça vabien ! 17:20 : Mon food truckà la clé 18:15 : Joker 18:50 : N'oubliez pas lesparoles 19:25 : N'oubliez pas lesparoles 19:55 : Météo 2 20:00 : Journal 20:40 : Parents moded'emploi 20:46 : Parents moded'emploi 20:48 : L'Eurovision, l'instant 20:50 : Météo 2 20:55 : Les pouvoirsextraordinaires des ani-maux 22:50 : Mardi cinéma,l'hebdo 22:55 : Dans les yeuxd'Olivier

12:25 : 12/13 : Journalnational 12:55 : Météo à la carte 13:50 : Un cas pour deux 14:55 : Un cas pour deux 16:10 : Des chiffres etdes lettres 16:50 : Harry 17:25 : Un livre, un jour 17:30 : Slam 18:10 : Questions pourun champion 19:00 : 19/20 : Journalrégional 19/20 : Journal régional19/20 : Edition locale19:30 : 19/20 : Journalnational 19/20 : Journal national20:00 : Tout le sport 20:15 : Météo régionale 20:20 : Plus belle la vie 20:50 : De Gaulle 1940-1944, l'homme du destin 22:25 : Bir Hakeim 1942

09:15 : Homeland 10:05 : Homeland 10:50 : La cour de Babel 12:25 : La nouvelle

édition 12:45 : La nouvelle édi-tion,14:05 : Blood Ties 16:08 : Filles d'au-jourd'hui 16:10 : L'effet papillon 16:50 : Diplomatie 18:10 : Pendant cetemps... 18:12 : Pendant cetemps... 18:15 : Le Before dugrand journal 18:45 : Le JT19:05 : Le grand journal 20:05 : Le grand journal 21:00 : Gomorra 21:50 : Gomorra 23:30 : L'oeil de Links 23:55 : Situation amou-reuse: c'est compliqué

10:30 : Cuisines des terroirs 11:00 : Escapadegourmande 11:20 : Le peuple desocéans 12:05 : 360°-GEO 13:20 : Arte journal 13:35 : Quai des brumes 15:10 : Dans tes yeux 15:40 : Ports d'attache 16:30 : Torpillé à l'aube 17:50 : Curiositésanimales 18:15 : Indochine sau-vage 19:00 : Le voyage de lachouette harfang 19:45 : Arte journal 20:05 : 28 minutes 20:45 : Silex and theCity Lieutenant : 22:45 : Madame et sesflirtset les Chipmunks

10:50 : Devious Maids 13:05 : Scènes de ména-ges13:45 : L'amour en 8leçons15:45 : Philtre d'amour 17:40 : Les reines dushopping 18:50 : En famille 19:40 : Météo 19:45 : Le 19.45 20:10 : Scènes de ména-ges21:00 : Les beauxmalaises 22:45 : En famille 23:45 : En famille

Humoriste à succès, Franck vit avec sa femme Anne,peu impressionnée par la notoriété de son mari, et leurs

deux enfants Emma et Léo. Un peu arrogant etmanipulateur, l'acteur se retrouve fréquemment

confronté à son statut de célébrité : dans la rue, ausupermarché... même auprès de ses amis Christophe etJean-François ou de son ex, Marion. Il fait surtout la

fierté de sa mère Monique.

Petit écran

Contrefaçon dumédicament en Algérie

Vigilance et contrôle

recommandésPar Farid Larbaoui

�Les autorités algériennes assurentactuellement que la contrefaçon dumédicament n'existe pas. Aucun casde produits contrefaits n'a été enre-gistré, mais le contrôle doit êtrecontinu selon les propos du ministre." Nous n'avons enregistré jusqu'àl'heure aucun cas de contrefaçon demédicaments dans la fabrication deproduits pharmaceutiques qui sontsoumis à des analyses et à descontrôle rigoureux supervisés pardes cadres et des experts de labora-toires relevant de l'Agence nationalede production pharmaceutique", a-t-il fait savoir dans une déclaration àla presse. Le ministère mise sur lelancement récent de l'Agence natio-nale du médicament qui aura pourtâche l'inscription, l'homologation etle contrôle de tous les produitsmédicamenteux. Une épreuvecolossale face à un marché quin'obéit pas forcément à la rigueur ducontrôle et de la vérification. Il fautse rappeler sans doute les déclara-tions du syndicat des pharmaciensd'officine qui avait signalé " l'exis-tence de certains produits périmésou prés de leur terme de péremptionintroduits de manière floue sur lemarché ". Les autorités de santépublique n'avaient pas nié l'exis-tence d'un stock périmé de médica-ments d'une valeur de 50 milliardsde centimes. Ce stock était com-posé de certains médicaments etconsommables dont la date depéremption était dépassée et qui ontété identifiés et incinérés. On parledès lors de 25.000 tonnes dont unegrande partie était détenue dans lesdépôts de la pharmacie centrale. Leporte-parole du SNAPO, MessaoudBelambri, n'a pas cessé de mettreen grade sur " les dangers d'unapprovisionnement en médicamentsnon homologués destinés principa-lement aux pays pauvres ", en révé-lant que 10% du marché mondial estsujet à un trafic en médicaments detous genres. Cela dit, le syndicatdes pharmaciens d'officine est aussiconcerné par la protection du mar-ché par ce fléau menaçant la santépublique. Une convention signéeentre le syndicat et le ministère de lasanté oblige en effet tout pharma-cien à déclarer son stock de médica-ment usé et on valide pour laconsommation. Les pharmaciesd'officine doivent diriger ces stockset consommables vers des incinéra-teurs pour être brûlés. De plus tousles hôpitaux publics doivent êtreéquipés de brûleurs de médica-ments dont la dépense est prise encharge par l'Etat. L'Algérie qui veutêtre un modèle dans la protectioncontre la fraude du médicamentpossède un grand laboratoire natio-nal du contrôle du médicamentagréé par l'OMS dont l'efficacité aété prouvée à maintes reprisesautour de la vérification de confor-mité des différents produits. Il est ànoter que pour faire mieux, l'instruc-tion du ministère porte sur la miseen conformité obligatoire des pro-duits génériques qui sont produitslocalement alors que pour les prin-ceps importés, ces derniers doiventcomporter un code barre qui rensei-gne sur leur origine, date de produc-tion, certificat de conformité et agré-ment portant mention du laboratoirede production.

F.L.

Bilan mensuel de l'ANP

8 terroristes abattusL

es éléments de l'Arméenationale populaire

(ANP) ont réussi en septem-bre dernier à abattre huitterroristes et à arrêter neuféléments de soutien degroupes terroristes, tandisque quatre autres terroristesse sont rendus. Selon unbilan de l'ANP publié diman-che, " les différentes opéra-tions exécutées par les for-ces de l'ANP ont permisd'abattre huit terroristes, tan-dis que quatre autres sesont rendus, outre huit élé-ments de soutien de grou-pes terroristes arrêtés ". Cesopérations ont permis ladestruction de 38 caches et

la récupération de 10 armeskalachnikov, 29 fusils de dif-férents types, 14 chargeurs,688 cartouches, 53 bombesartisanales et quatre minesartisanales, précise la mêmesource. Par ailleurs, les éléments del'ANP ont réussi le mois der-nier à arrêter 319 trafi-quants, 67 criminels et 820migrants clandestins, selonla même source. Il s'agit également de la sai-sie de 49 quintaux de kiftraité, 1 kg de cocaïne et16.889 psychotropes.Durant la même période, ilsont également réussi àdéjouer plusieurs opérations

de contrebande de carbu-rants (189.517 litres), outrela saisie de 317 tonnes deproduits alimentaires et larestitution de 98 détecteursde métaux, 118 véhicules,tout type confondu et 104générateurs, a précisé lemême bilan.Pour rappel, dans sonnuméro du mois de septem-bre, la revue El-Djeich aexpliqué dans son éditocomment l'armée a pu vain-cre le terrorisme. " Grâce à l'évaluation perti-nente et précoce de lamenace terroriste et de sesrépercussions sur la situa-tion sécuritaire, sociale et

économique du pays, grâceà l'exploitation optimale,immédiate et efficace durenseignement, l'ANP a puvaincre le terrorisme ", avaitnoté la revue de cette insti-tution. Le mensuel de l'ar-mée avait rappelé en outre,que le renforcement descapacités de défense consti-tue un des principes "immuables " pour lequel leHaut commandement del'ANP a accordé un intérêtsoutenu ces dernièresannées, en le considérantcomme un " impératif opéra-tionnel de première impor-tance ".

N.A.

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Mardi 4 octobre 2016Actualité Quotidien national d’information


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Par Assia Mekhennef

De retour après unelongue absence, leSecrétaire général

du Front de libération natio-nale (FLN), Amar Saadani aprésidé ;avant-hier, une réu-nion du bureau politique deson parti. Le patron du FLN arefusé d'évoquer les derniersdéveloppements politiques,économiques et sociaux ourépondre aux questions desjournalistes, précisant qu'ildira tout lors de la réuniondes cadres du parti prévuemercredi prochain à l'hôtelRiad, annonçant, à cettemême occasion que leComité Central se réuniradans les prochains jours." Je dirais tout mercredi pro-chain, gardez vos questionspour le jour "j", promis ", a-t-il dit. A une question sur l'in-tention du FCE de participeraux prochaines électionslégislatives, Saadani aaffirmé que son parti seraclair sur cette question en2017. " L'argent c'est l'argentet la politique c'est la politi-que ", a-t-il indiqué." Le gouvernement doit êtreissu des partis politiques ", "l'État civil est le plus néces-saire dans le pays, donc, leFLN plaide pour un Étatcivil, nous avons dépassé lapériode de transition; fini lescoups d'État et les clans ". "L'Algérie se porte bien. Lapresse est libre, la justiceaussi. Les Algériens sonttranquilles et le citoyen estrespecté ", a-t-il précisé. Exprimant son refus aux for-ces de l'argent dans lechamp politique lors deséchéances électorales de2017, le conférencier a indi-qué que : " certains viellesmentalité veulent user lach'kara dans les prochaineséchéances électorales, maisle FLN fera face ", " on n'ac-cepte jamais que la chkarasoit utilisée dans les élec-tions ", a-t-il affirmé.

Selon Amar Saadani,l'Algérie connait une stabilitédans tous les domaines:politique, économique etsocial garce aux efforts duPrésident de la République,Abdelaziz Bouteflika. " Il fautplus de vigilance et de pré-sence ". Dans un communi-qué sanctionnant la réuniondu BP, le FLN a dénoncétoutes les tentatives d'at-teinte aux symboles de larévolution considérant unetelle attitude comme "uneatteinte aux peuple algérientout entier. Il a considéré queles déclarations officielles etinformelles des responsa-bles français par rapport auxaffaires algériennes étaient"inacceptables et contrairesaux principes convenus parles deux pays.Le parti FLN a réitéré son "soutien total " aux efforts duprésident Bouteflika danstous les domaines, en appe-lant toutes les bonnes volon-tés à accompagner son pro-gramme pour servir l'intérêtgénéral.Dans ce même contexte, lebureau politique du FLN asalué l'attachement du prési-dent de la République à ceque des efforts colossaux

soient consentis pour prému-nir le pays contre toutemenace et préserver lesacquis de la nation en dépitde la conjoncture économi-que difficile.L'ex parti unique s'est, donc,félicité des réalisations gran-dioses accomplies grâce à lamise en œuvre de la loi surla paix et la réconciliationnationale, adoptée le 29 sep-tembre 2005, qui est deve-nue un exemple à suivre.Le BP du parti a rendu hom-mage à l'armée nationalepopulaire (ANP) héritière del'armée de libération natio-nale (ALN) et tous les corpsde sécurité pour les résultatsconcrétisés dans la luttecontre le terrorisme et la cri-minalité louant leur dévoue-ment dans la protection dupays et des citoyens.La formation politique aappelé ses groupes parle-mentaires dans les deuxchambres du parlement àune mobilisation plus accruepour la réussite des projetsde loi dans le cadre desréformes initiées par le prési-dent de la République.Le bureau politique du partiFLN s'est par ailleurs félicitéde l'engagement des militan-

tes et de militants du parti enfaveur des prochaineséchéances électoralessaluant leur souci préserverl'image du parti". Il les aexhortés à se mobiliser pourconcrétiser les résolutionsdu 10e congrès du parti.Par ailleurs, le bureau politi-que s'est dit satisfait "desrésultats importants" réaliséspar le Forum international del'énergie d'Alger, le qualifiantd'acquis diplomatique quitémoigne de la crédibilité etde la renommée internatio-nale de l'Algérie, sous ladirection éclairée du prési-dent Abdelaziz Bouteflika",appelant à la valorisation decet acquis "pour promouvoirl'image de l'Algérie au niveauinternational".Evoquant la situation dans lemonde arabo-musulman, lebureau politique a affirméque le complot qui vise notrerégion continue à faire desvictimes et à dilapider lesrichesses des différents paysarabes, sans exclusionaucune, estimant que la der-nière décision du Congresaméricain visant le Royaumede l'Arabie Saoudite en est lapreuve.

A.M.

Il a surfé vaguement sur les sujets d'actualité lors de la réunion du BP de son parti

Saadani promet de tout dire demain

Annonces classéesEvaluation définitive de la saison hadj-2016

Le bilan est prévu pour le 10 octobre

� C'est finalement un hadj 2016 sansincidents graves, pourtant le bilan définitifne sera pas pour demain. En effet, leministre des Affaires religieuses et desWakfs, Mohamed Aissa a indiqué cedimanche que l'évaluation définitive de lasaison Hadj 2016 se fera avec l'entrée aupays du dernier hadji algérien, soit le 10octobre en cours. " Un Conseil ministérielmixte d'évaluation se tiendra le 10 octo-bre, avec l'entrée au pays du dernier hadjialgérien et vous aurez tous les détails àce sujet ", a souligné le ministre dans unedéclaration à la presse, en marge de laconférence inaugurale de l'année cultu-relle des centres islamiques. M. Aissa anéanmoins précisé que l'évaluation préli-minaire de cette campagne 2016 est "positive à travers le constat fait sur place,la grande discipline et le respect desconsignes affichés par les hadjis algé-riens, qui ont attiré l'attention par leurjonction autour du drapeau national "."Nos hadjis ont fait montre d'un grand sensde responsabilité en évitant les prédica-teurs de tous bords et en se réunissantautour des Oulemas algériens déléguéssur place ", a ajouté le ministre, souli-gnant l'affectation de tentes VIP auxAlgériens à Arafat. " Nous avons mis enplace un plan d'action qui s'étalerajusqu'à 2019 qui vise à assurer au hadjialgérien des prestations de niveau, à lamesure de chaque dinar qu'il auradéboursé pour sa visite aux Lieux saintsde l'Islam ", a souligné M. Aissa, signa-lant, en outre, l'élaboration, en cours, d' "un cahier des charges qui sera soumisaux agences de voyages les engageant àfournir des prestations à la mesure deleurs promesses et permettant aux per-sonnes non satisfaites de recourir à lajustice ", a-t-il expliqué.S'agissant de l'affaire des hadjis escro-qués par des agences de voyages, leministre a indiqué que " l'enquête à cesujet est algérienne et se fait en terrealgérienne, et que c'est à la partie encharge du dossier (qui n'est pas le minis-tère des Affaires religieuses) d'annoncerses conclusions ". Le ministre des Affairesreligieuses et des Wakfs a cité de nom-breux secteurs concernés aux côtés desservices de sécurité combinés, au titre dela préservation de l'identité de la penséealgérienne, à l'égard de la mondialisation,affirmant la " nécessaire préservation del'identité nationale, dont l'âme est l'Islam,la langue est l'arabe, au moment ou sadimension historique réside dansTamazight, qui est le reflet des originesséculaires du peuple algérien ".S'agissant de la détermination de la datedu premier jour de l'an de l'Hégire(Mouharam), le ministre a fait savoir quecette date n'est pas fixée par laCommission d'observation du croissantlunaire, mais plutôt par une partie civileadministrative qui a la charge de fixer lesjours des congés payés, et partant d'an-noncer la date du premier jour de l'an del'Hégire. A contrario du mois de Radjab oùle croissant lunaire doit être vu afin dedéterminer le mois de Chaâbane, puisRamadhan, jusqu'au mois de Dhi L'hidja,mois d'accomplissement du 5eme pilierde l'Islam (le Hadj).Par ailleurs, le ministre a affirmé quel'Algérie était toujours à l'avant-gardequand il s'agit de défendre l'image del'Islam à laquelle certaines parties tententde porter atteinte. " Certaines parties ten-tent de porter atteinte à l'image de l'Islamet des musulmans, en colportant sur euxde fausses informations, mais l'Algérieest et demeurera aux premiers rangsquand il s'agit de défendre la vraie imagede notre religion, en mettant en avant sespréceptes nobles, sa civilisation et sonmessage à travers les siècles ", a souli-gné M. Aissa lors d'une conférence inau-gurale de l'année culturelle des centresislamiques.

N.A

Visite de Faiz Serradj en Algérie

La crise libyenne au menudes discussions

Le président du Conseilprésidentiel du gouver-

nement d'entente nationalede Libye, Faïz Serradj, aentamé, hier, une visite offi-cielle de deux jours enAlgérie. Le président duConseil présidentiel libyen,Faïz Serradj, a évoqué lesderniers développements dela situation et les efforts encours dans le cadre du règle-ment politique de la crise enLibye. Cette visite est, aussi,une occasion de réaffirmer laposition de l'Algérie en

faveur du processus de paixengagé dans ce pays et pri-vilégiant la solution politique,le dialogue inclusif et laréconciliation nationale dansle cadre du respect de lasouveraineté nationale. LePremier ministre,Abdelmalek Sellal, s'estentretenu avec le présidentdu Conseil présidentiel dugouvernement d'ententenationale de Libye. Ce der-nier a salué le rôle del'Algérie et son soutienconstant à la Libye. " Nous

saluons le rôle de l'Algérie etson soutien constant à laLibye au cours des dernièresdécennies ", a dit M. Serradjdans une déclaration à lapresse à son arrivée à l'aéro-port international Houari-Boumediene, affirmant queles relations entre les deuxpays sont " étroites ".Il a souligné qu'il s'agit d'une visitede " concertation " sur lasituation dans son pays, sou-haitant qu'elle aboutira à desrésultats " positifs ". " Noussouhaitons prospérité, paix

et sécurité aux deux pays ",a-t-il ajouté. Au cours de savisite, Faiz Serradj s'estrecueilli au cimetière d'El-Alia (Alger), à la mémoiredes martyrs de l'Algérie.Accompagné du Premierministre Abdelmalek Sellal etde membres du gouverne-ment, Faïz Serradj a déposéune gerbe de fleurs au carrédes martyrs du cimetière d'ElAlia et récité la Fatiha dusaint Coran à la mémoiredes martyrs de l'Algérie.

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TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes Lecteurs Mardi 4 octobre 2016

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Par Samia Acher

Le dispositif de la gendarmeriedéployé dans le cadre de la miseen œuvre du plan Delphine 2016

a contribué, comme chaque année, demanière significative à conforter le senti-ment de sécurité chez les citoyens parun maillage sécuritaire étoffé et uneprise en charge effective des préoccupa-tions des estivants. La gendarmerie amis en application un tel plan depuis2001, adapté à chaque saison estivaledans le but de sécuriser les lieux dedétente et de loisir. Le contrôle des pla-ges, forets, parcs, lieux où il y a le plusde délinquance, le contrôle de l’état desroutes et voies de communication et l’or-ganisation de la circulation routière. Dans un communiqué, il est noté que lasaison estivale 2016 a été marquée pardes activités culturelles et de loisirsnocturnes qui ont été prises en chargedans le cadre de cedit plan. A préciserégalement, qu’à l’occasion de la rentréesociale, coïncidant avec l’aïd, ce disposi-tif sécuritaire a été maintenu dans letemps et dans l’espace, à même de pré-venir toute velléité d’atteinte à l’ordre età la sécurité publics. Lors de cette sai-son estivale, la gendarmerie a sécurisé266 plages, soit un taux de 71% du nom-bre global des plages autorisées à labaignade. Pour la mise en application dece plan, des moyens ont été engagés etmis à la dispositions des citoyens, àsavoir 25.132 gendarmes, 2.247 véhicu-les, 2.155 motos, 07 hélicoptères et 52équipes cynotechniques.L’activité des unités de la gendarmerie aété axée sur l’exécution des services decontrôle général, notamment au niveaudes plages autorisées à la baignade, lemaintien de l’ordre public et la protectiondes personnes et des biens. Les unitéscôtières ont exécuté, durant cette saisonestivale, 209.110 services externes,consacrés à la surveillance générale duterritoire (plages, parcs forestiers), lasécurisation de l’environnement, la visitedes lieux publics, le contrôle sur lesvoies de communication, à travers despatrouilles et des barrages, ainsi que lasécurisation des différentes manifesta-tions.Dans le cadre ses missions tradi-tionnelles, les unités de gendarmeriedes wilayas côtières ont identifié548.681 personnes et 192.638 véhicu-les avec l’arrestation de 1.253 person-nes et la saisie de 07 véhicules recher-chés.

Dans le domaine de la police de la route :

11594 délits ont été relevés, 2.767contraventions rédigées, 126.396 amen-des forfaitaires imposées et 112.790permis de conduire retirés.

Dans le domaine de la police administrative :

13.003 affaires ont été traitées contre13.951 affaires traitées l’année dernière.Il est à signaler que dans le cadre de lagratuité d’accès aux plages et en coordi-nation avec les autorités administratives,les unités de gendarmerie ont traité 93affaires liées à l’exploitation illégale desplages, 175 affaires liées à l’exploitationillégale des lieux de camping, 22 affairesliées à l’exploitation des parkings sauva-ges. Lors de ces affaires, 1184 tables,2700 chaises, 1218 parasols, 238 tenteset 1283 différents équipements ont étésaisis.

Dans le domaine de la protection de l’environnement :

Les unités de la Gendarmerie Nationale,renforcées par les cellules de protectionde l’environnement ont constaté 299infractions (contrôle des infrastructuresclassées, contrôle de différents types dedéchets, protection du patrimoine végé-

tal et des réservés naturelles, la préser-vation de la santé publique,….etc.).Aussi, des campagnes de sensibilisationont été menées, en coordination avecles différentes unités administratives,pour asseoir une culture environnemen-tale auprès du citoyen, où il a été enre-gistré plus de 174 campagnes en plusde 41 interventions techniques pour pré-lever des échantillons d’eau et de terredans le but de les soumettre à des ana-lyses en laboratoire.

Dans le domaine la lutte contre l’at-teinte au patrimoine culturel :

En ce qui concerne l’activité des unitésde la Gendarmerie Nationale dans cedomaine, menée en coordination avecles cellules régionales pour la luttecontre cette forme de criminalité, 12affaires au niveau des wilayas de Jijel,Skikda, El-Tarf, Tlemcen, Oran etBoumerdès ont été traitées et ont aboutià l’arrestation de cinq personnes impli-quées ainsi que la récupération de 324pièces archéologiques dont 247 piècesde monnaies romaines, 28 piècesremontant à l’ère préhistorique et 02armes de guerre remontant à l’antiquité.D’autre part, quatre nouveaux sitesarchéologiques ont été découverts àJijel, El-Tarf et Tlemcen.

Dans le domaine de la protection des mineurs :

En ce qui concerne l’activité des briga-des de protection des mineurs de laGendarmerie Nationale, 12 affaires ontété traitées (détournement de mineurset incitation à la débauche et la prostitu-tion, consommation de drogues,consommation de boissons alcooliséeset mendicité). Les brigades de protectiondes mineurs ont également contribué àla réintégration de mineures dans leursfamilles, ont pris part aux émissionsradiodiffusées et aux portes ouvertes,organisé des campagnes de sensibilisa-tion dans les colonies de vacances, leslieux de détente et les plages et onteffectué des patrouilles d’inspectiondans les lieux fréquentés par lesmineurs.

La santé publique :Au cours de cette période, 11 cas d’in-toxication alimentaires ont été enregis-trées au niveau des wilayas côtières.L’insalubrité constitue l’une des principa-les causes de ces intoxications notam-ment lors de fêtes de mariage ou debanquets. La plupart de ces cas ont étéenregistrés dans la wilaya de Tipaza (05cas), suivie d’Oran et Ain Tèmouchentavec deux cas. En comparant avec lamême période de l’année précédente,une baisse a été enregistrée (14 cas en2015).

Dans le domaine de la police judiciaire :

8.362 affaires ont été traitées dont 56%liées à la criminalité de droit commun et11% au crime organisé et qui ont aboutià l’arrestation de 7.569 personnes dont1.112 ont été écroués.La majeure partie des affaires traitéesconcerne les crimes de droit commun,avec un taux de 56%, soit une baisse de11% par rapport à même période del’année passée.La criminalité organisée constitue 11%de l’ensemble des affaires traitées, dontla majeure partie sont des affaires detrafic de drogues où 410 affaires ont ététraitées et qui ont abouti à la saisie de 07tonnes, 04 quintaux et 20 kg de kif traité.

Contrebande de carburant :187 affaires ont été traitées suite aux-quelles 77.742 litres de carburants ontété saisis, contre 418 affaires traitées en2015, ceci constitue, une baisse de55%.

Lutte contre l’immigration clandestine :

93 affaires ont été traitées grâce aux-quelles 239 ressortissants africains ontété arrêtés dont neuf ont été écroués. Lamajorité des immigrés clandestinsétaient de nationalités (Malienne,Nigérienne et Marocaine). Le nombredes affaires traitées a enregistré unebaisse de 47% par rapport à l’annéeécoulée où 174 affaires ont été traitées.

Crimes constatés au registre deslois spéciales :

Il a été enregistré 976 affaires qui sesont soldées par l’arrestation de 1.134personnes dont 57 ont été placées sousmandat de dépôt, ce qui représente unehausse de 34% par rapport à la mêmepériode de l’année écoulée (727 affai-res).

Les opérations « coup de poing »dans les fiefs de la criminalité :

Dans ce cadre, les unités de laGendarmerie Nationale ont exécuté1656 descentes à travers le territoiredes wilayas côtières lors desquelles,287.777 personnes ont été identifiéesainsi que 101.132 véhicules avec l’arres-tation de 419 personnes et la saisie de06 véhicules recherchés, ce qui repré-sente une augmentation de 220% parrapport à la même période de l’annéeprécédente (518 opérations).La majorité des personnes appréhen-dées étaient recherchées suivant desmandats de justice, consommation dedrogues, psychotropes et détention d’ar-mes blanches.Activité des formations ariennes de laGendarmerie Nationale :Les unités aériennes de la GendarmerieNationale ont exécuté 55 sorties dont 13nocturnes avec une durée de temps de105 heures de vol.Elles ont contribué dans le contrôle de lacirculation routière, l’état des routes, lavoie ferrée, la surveillance générale descotes et la participation aux opérationsde recherches et de sauvetage. Ellesont avisé les unités territoriales des acci-dents de la route, le pillage de sable etles incendies de forêt.

Les accidents de la route durant lasaison estivale 2016 :

Durant la saison estivale 2016, 1706accidents de la route faisant 334 mortset 2936 blessés ont été enregistrés,avec une baisse dans le nombre desaccidents de la route par rapport à lamême période de l’année écoulée 21 %et une baisse de 04% dans le nombrede morts et 23% dans le nombre desblessés et ce grâce à l’efficacité du dis-positif sécuritaire mis en place dans lecadre du plan Delphine.Le plus grand nombre d’accidents de laroute 1303 a été enregistré durant lemois de Juillet avec un taux de 76% dunombre global, qui a coïncidé avec leRamadhan qui connait une grande den-sité dans la circulation routière nocturne.Les wilayas les plus touchées par cephénomène, étaient Alger 360,Boumerdès 187, Tipaza 183, Tizi-Ouzou 148, Bejaia 197, Boumerdès146, ces wilayas ont connu une grandeaffluence des estivants.Les cause directes de ces accidentssont l’excès de vitesse 616 accidents,les dépassements dangereux 217 ,nom respect des plaques de signalisa-tion 177, les manœuvres dangereuses163 accidents.Selon les statistiques établies à ce sujet,le chauffeur reste le facteur principalconduisant aux accidents de la routesurvenus 1563 accidents avec un tauxde 92% du taux globale des accidentsde la route.

S.A

Plan Delphine 2016 de la gendarmerie

Un maillage sécuritaire étoffé

Actualité

DÉTENTION ETCOMMERCIALISATION DESTUPÉFIANTS À TLEMCEN

TROIS PERSONNESAPPRÉHENDÉES � Les gendarmes du groupement ter-ritorial de Tlemcen ont présenté devantM. le Procureur de la République prèsle tribunal de Maghnia, 03 personnes,pour détention, consommation et com-mercialisation de stupéfiants. Elles ontété placées sous mandat de dépôt.Rappelons que, le 23/09/2016, lorsd'une patrouille pédestre exécutée surla bande frontalière, les garde-frontièresont interpellé dans la circonscriptioncommunale de Béni-Boussaid, les misen cause, à bord d'un camion, en pos-session 25 kilogrammes de kif traité.Une est ouverte enquête.

BISKRA

SAISIE DE 500 GR DE KIFTRAITÉ� Les gendarmes de la brigade terri-toriale de Mechounèche ont interpellélors d'un point de contrôle, reliantBiskra à Batna, 03 personnes quiétaient à bord d'un véhicule, en posses-sion de 500 grammes de kif traité.Poursuivant les investigations, les gen-darmes de ladite brigade ont saisi dansle domicile de l'un d'eux, sis à la com-mune de Biskra, 500 autres grammesde la même substance.Une enquête est ouverte.

CONTREBANDE À TÉBESSA

SAISIE DE 400 CARTOU-CHES DE CIGARETTESÉTRANGÈRES � Agissants sur renseignements, lesgendarmes de la brigade de Bedjene,ont interpellé lors d'une patrouille, une01 personne qui transportait à bordd'un véhicule 400 cartouches de ciga-rettes étrangères de différentes mar-ques, en provenance de la contre-bande. Avisé, M. le Procureur de laRépublique près le tribunal de Chéria, arecommandé l'ouverture d'une enquête,la présentation du mis en cause à l'issuet la remise la marchandise saisie à larecette des douanes. Une enquête estouverte.

EN SITUATION IRRÉGULIÈRE À EL OUED

7 RESSORTISSANTSMALIENS ARRÊTÉS � Lors d'une patrouille exécutée aucentre ville de la commune de Robbah,les gendarmes de la brigade locale ontinterpellé 07 ressortissants maliens, ensituation irrégulière. Une enquête estouverte.

MILA

DEUX PERSONNESRECHERCHÉS POURVOL APPRÉHENDÉES � Agissant sur renseignements, lesgendarmes de la brigade de Ouled-Khelouf ont interpellé, deux personnes,qui était à bord d'un véhicule, faisantl'objet de recherches pour vol, suite àune plainte déposée le même jour, parson propriétaire auprès des gendarmesde la brigade d'Aïn-Fakroun. A signalerque, le véhicule en question a été volédurant la nuit du 29 au 30/09/2016, deson lieu de stationnement devant ledomicile de la victime, commune deAïn-Fakroun (Oum-El-Bouaghi).

FAITS DIVERSpar Samia Acher

Page animée par Cylia TassaditPage animée par Cylia Tassadit

Salade depommes de terre

et œufs durs

Ingrédients� 4 pommes de terre� 3 œufs� 1 petit oignon haché� 2 cuillères à soupe de persil haché� 3 cuillères à soupe d'huile d'olive� Sel, cumin, piment doux, piment fort

Préparation :Laver bien les pommes de terre et les mettreavec leur peau dans une grande casseroled'eau légèrement salée, les faire cuire jusqu'àce que la pointe d'un couteau entre facilementdans la chair, épluchez-les et passez-les aumoulin à légumes. Plonger les œufs dans unecasserole d'eau bouillante et laisser cuirependant 10 minutes, les écaler. Hacher deuxœufs et couper 1 œuf en quatre quartiers.Dans un saladier, mélanger la purée depommes de terre, les œufs durs hachés,l'oignon haché, l'huile d'olive, le persil haché,assaisonner de sel, cumin, piment doux etpiment fort, bien mélanger. Chemiser un mouleà cake de papier film, décorer le fond du mouleavec les quartiers des œufs durs, verser lapréparation de pommes de terre, bien tasser etdémouler avec précaution sur un plat,parsemer de persil haché et servir.

Cake au yaourtet à la pomme

Ingrédients� 1 pot de yaourt (garder le pot pour lamesure)� 2 pots de sucre en poudre� 3 pots de farine� 1 pot d'huile� 3 œufs� 1 pincée de sel� 2 pommes� 1,5 sachet de levure chimique� Le zeste d'un citron

Préparation :Éplucher les pommes et coupez-les enlamelles régulières. Mettre les œufs et le sucredans un cul de poule et bien travailler lemélange avec un fouet, ajouter l'huile, le zestede citron, le sel et le yaourt et continuer à battrele mélange, ajouter peu à peu la farine tamiséeet la levure et mélanger jusqu'à l'obtentiond'une pâte homogène. Beurrer et fariner unmoule à cake et y verser la préparation,disposer les lamelles de pommes sur la surfacede la pâte. Enfourner pendant 40 minutes dansun four préchauffé à 180°C, vérifier la cuissonde cake avec une lame de couteau, avant de lesortir du four, laisser refroidir avant dedémouler.

CCOOIINN

CCUUIISSIINNEE

Soins beauté

Une peau radieuse grâceaux peelings naturels

La majorité d'entrenous cherchent àavoir une belle peaulisse qui nous rendbelles et radieuses.Les produitschimiques sont trèscoûteux et peuventparfois causer desirritations de la peau.

C'est pourquoi, nousallons partager avec vous6 excellents peelings natu-rels qui peuvent vous aiderà prendre soin de votrepeau et la rendre radieuse.

Peeling à la bananeLa banane est un ingré-dient très sain pour notre

peau, et nous aide à l'hy-drater, à éliminer les impu-retés et à la maintenirjeune. Dans ce peelingnaturel, nous allonsmélanger de l'huile d'oliveet un œuf, deux ingré-dients très sains pour lapeau, qui sont idéaux pourson hydratation.Ingrédients- 1 banane- ½ tasse d'huile d'olive- 2 œufs

Comme faire? Dans un récipient propre,mélangez l'huile d'olive etles œufs. Ensuite, ajoutezune banane écrasée et for-mez une pâte. Lorsque lapâte est lisse, appliquez-lasur l'ensemble du cou etdu visage, puis laissez agir

pendant une demi-heure,avant de rincer avec del'eau fraîche.

Peeling à l'avoineCe peeling à l'avoine estidéal pour nettoyer la peauen profondeur et éliminerles cellules mortes quis'accumulent et qui résul-tent de l'exposition ausoleil, de la contamination,ou de l'usage du maquil-lage entre autres. L'avoineaide à lisser la peau et éli-mine ces impuretés quiaffectent la beauté.

Ingrédients - 2 cuillères de farined'avoine.- 4 cuillères de petit lait.Comment faire?Mélangez bien les ingré-

dients et ensuite, appli-quez-les sur la totalité duvisage par des massagesdoux et circulaires.Laissez agir pendant 10minutes et ensuite rincez àl'eau fraîche.

Peeling de carottemasque-carotteCe peeling de carotte estidéal pour nettoyer la peauen profondeur, éliminer lesimpuretés et prévenir levieillissement prématuré.Ses ingrédients protègentla peau et l'aident à serégénérer lorsqu'elle estmaltraitée par le soleil.Ingrédients- 1 cuillerée de jus decarottes (5 ml).- 1 cuillerée de jus decitron (5 ml).- 1 cuillère de levure sèche(10 g).- 1 cuillerée d'huile d'olive(5 ml).- 1 cuillerée et ½ deyaourt.

Comment faire?Mélangez tous les ingré-dients dans un récipientpour former une pâte à latexture crémeuse.Ensuite, appliquez sur latotalité du visage et du couet laissez agir pendant 30minutes. Si la peau estgrasse, n'ajoutez pasd'huile d'olive au mélange.Il faut éviter l'usage de cepeeling sur des peaux irri-tées ou qui souffrentd'acné.

Conseils pratiques

Conserver le pain frais plus longtemps Q ue faire pour que le

pain acheté le matinou la veille soit encore bon? Voici quelques astucesefficaces pour conservervotre pain frais plus long-temps :

1. L'Emballer Puisque votre pain est sen-sible à l'atmosphèrehumide ou trop sèche, lapremière des choses àfaire est de ne pas le lais-ser à l'air libre. Le sac enpapier donné par le bou-langer ou une serviettepropre en coton sont lesmeilleures solutions. Évi-tez les films ou sacs enplastique, qui vous donne-raient un pain mou, voiremoisi.

Le garder non tranché Ne le coupez pas àl'avance, les tranchessèchent encore plus vitequ'un pain entier. Si, lorsdu repas de midi, vousavez coupé plus de tran-ches que vous n'en avezmangé, ne les jetez cepen-dant pas. Si vous les pla-cez bien dans votre ser-viette, elles seront man-geables le soir. Si besoin,

passez-les 1 minute oufour, ou alors gardez-lespour vous faire du painperdu le lendemain matin.

Le congeler Un petit passage au

congélateur fait le plusgrand bien à votre pain.Congelez vos baguettes,coupées en 1/2 ou en 1/3,

pour avoir juste le morceauqu'il faut par repas, dansun sac congélation. Lepain, ça se décongèle trèsvite. Une heure avant ladégustation suffit. Vouspouvez le décongeler aumicro-ondes, mais il serapeut-être un peu plus élas-tique qu'avec une décon-gélation à l'air libre.

L'accompagner d'unepomme

Si vous rangez votre paindans une huche ou uneboîte hermétique, posezune pomme à côté. C'estune astuce de grand-mèrequi fonctionne très bien.

Le conserver à bonnetempérature

Attention, la températurec'est important aussi. S'ilfait trop chaud dans votreappartement, c'est l'assè-chement assuré en quel-ques heures. Entre 14° et18°, le pain garde toutesses qualités gustatives.Trouvez-lui une place pastrop chaude, loin des radia-teurs et du four pour leconserver.

Le passer au four Vous constatez un petit

ramollissement ou un grosdessèchement ? Il y a uneastuce toute simple : pourlui redonner son croustil-lant que vous aimez tant,humidifiez légèrement sacroûte puis passez-le quel-ques minutes au four.Choisissez un petit ther-mostat, pour ne pas le dur-cir : th. 4 ou 5 (env. 150°)c'est suffisant.

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Mardi 4 octobre 2016

Actualité Quotidien national d’information


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DétenteLancement officieldu réseau 4G de

MobilisOuargla ville hôte

C'est fait ! Mobilis 1er opérateurattributaire provisoire d'une

licence mobile de quatrième génération,est fière d'annoncer officiellement lelancement de la technologie 4G mobileson sur réseau, à partir de la capital dugrand sud Algérien Ouargla et de sarégion économique Hassi Messaoud.Le coup d'envoi du lancement commer-cial de la technologie 4G de Mobilis, aété rehaussé et donné ce Samedi 01Octobre 2016, par Madame ImenHouda Feraoun, Ministre de la Poste etdes Technologies de l'Information et dela Communication, en présence desautorités locales, du Directeur Généralde Mobilis M. Mohamed Habib et de sonstaff managérial, à partir de l'agencecommerciale de Mobilis sis à Ouargla.Ce lancement, fait suite à la publicationdu décret exécutif N° 16-235 attribué àl'opérateur public ATM Mobilis, portantapprobation de licence d'établissementet d'exploitation d'un réseau public detélécommunications mobiles de la 4G etde fourniture de services de télécommu-nications au public.Le déploiement du réseau 4G deMobilis, touchera au titre de la premièreannée, quatorze (14) wilayas, dont trois(03) wilayas obligatoires à savoir Alger,Oran et Ouargla, et s'étendra aux onze(11) autres wilayas supplémentaireschoisies par Mobilis: Tlemcen,Constantine, Batna, Bordj Bou Arreridj,El Oued, Biskra, Boumerdés, Tipasa,Blida, Tizi-Ouzou et Sidi Bel-Abbés.Soucieux du développement économi-que, Mobilis renforce sa stratégie departenariat avec l'industrie technologi-que locale et participe de ce fait, pleine-ment à l'émancipation de l'économienationale.A cet effet, Mobilis lancera des packsMantoudj Bladi à partir de 9990 Da, eny intégrant des offres internet très avan-tageuses pour le grand public, et dessolutions dédiées aux professionnels,un canal fort important inscrit dans lespriorités stratégiques de l'entreprise.Par ailleurs, l'opérateur nationalconsent des investissements colossauxsur l'ensemble du territoire nationalmais particulièrement dans le grandsud, soucieux de rapprocher les popula-tions et d'apporter la voix et aussi del'internet mobile même dans les locali-tés les plus éloignées du pays.Mobilis s'engage pleinement sur ledéveloppement du secteur des télécom-munications, à travers le renforcementdes investissements techniques surl'ensemble des wilayas mais aussi com-merciaux, à travers la mise à niveau deson réseau de vente.Enfin, Mobilis est engagée pour la réus-site de ce grand saut technologique enAlgérie, est prêt à tenir ses engage-ments afin de participer à la numérisa-tion de l'économie Algérienne et lamodernisation des services publics.

Agroalimentaire

Les Européens constatent un reculdes exportations vers l'Algérie

Le groupe Bali se lance dans l'industrie avicole

Un défi et un enjeu d'avenir

Par : Imen.Hamadache

Grâce au nouveaugrand complexe quisera lancé par le

groupe Bali, dans la régiond'El Hachimia dans la wilayade Bouira, l'industrie avicoleconnaîtra un nouvel départ.Avec une production de 455000 œufs par jour à partir dumois de décembre 2016, legroupe compte produirejusqu'à 1,5 millions d'œufs etl'abattage de 60 000 poulespar jour et compte employerprès de 52 emplois directs et100 emplois indirects. LePDG du groupe, Ali Bali, aexpliqué dimanche lors d'une

visite guidée pour la pressedans un de ses complexessitué à Bouira, que la produc-tion initiale d'œufs ne repré-sente que la première phased'un projet conséquent d'in-vestissement, qui verra l'en-treprise produire 1.5 milliond'œufs par jour d'ici juin 2018.Selon M. Bali, un volume deproduction aussi importantpermettra de " lutter contreles circuits de spéculation etinfluer sur le prix du marchéen évitant que les spécula-teurs puissent fixer le prix dumarché ". Le DG a qualifié leprojet d'investissement d'une" mission pour le pays " ainsiqu'un " service national ".

Le groupe Bali qui est connuplus particulièrement dans lesecteur du bâtiment et la pro-motion immobilière, s'ouvre àl'investissement dans le sec-teur agricole sur lequel legouvernement compte beau-coup dans la situation decrise actuelle. Toujours selonle Dg Bali, son groupe est entrain d'investir dans la cultureintensive du raisin et del'orange qu'il fait dans lawilaya de Blida et de Bouira.Le DG a affirmé qu'avec uninvestissement de 4,5 mil-liards de dinars, ce projetdébutera avec une capacitéde 455 milles œufs jours etpassera à 1,5 millions d'œufsen 2019. Ce qui permettrad'augmenter la productionnationale de 10%. En outre,le groupe Bali affirme avoirmis en place des procédésde filtrage d'eau et decontrôle des aliments permet-tant de garantir un " produitfini de qualité ". Plusieursvétérinaires effectueront éga-lement un contrôle perma-nent des poules et des œufsau niveau du complexe. Legroupe Bali affirme en outreque l'aliment destiné auxpoules sera produit locale-ment à partir de la matièrepremière achetée (maïs,soja, son) et qu'aucune hor-mone ni rajout ne seront utili-sés.L'investisseur a expliqué quele consommateur algérien àle droit de consommer unproduit sein d'où son groupecompte à protéger le citoyen "dans nos complexes, chaqueœuf qui va sortir va avoir unflocage sur l'œuf avec le nomde la société, le numéro dulot qui n'est autre que lenuméro du hangar d'où il estsorti ainsi que la date de laproduction de l'œuf. Ainsi, leconsommateur, en achetantson œuf, disposera de cesinformations et personne nepourra l'usurper "a-t-il souli-gné. Ajoute-t-il que son pre-

mier but et de mettre fin à laspéculation ont régularisonsle marché des œufs pour unemeilleure traçabilité du pro-duit. Dans le cas où le mar-ché local des œufs viendraità être saturé, le groupe Balin'exclut pas d'exporter saproduction, le PDG dugroupe affirmant que le com-plexe " est aux normes euro-péennes ".Le groupe Bali ambitionneégalement de lancer un com-plexe de production deviande blanche (poulets dechair) à partir de juin 2018,pour un investissement de2.4 milliards de dinars quicréerait 250 emplois directset 300 indirects. L'entrepriseprévoit par ailleurs plusieursunités de compostage per-mettant de transformer lesdéchets organiques enengrais biologiques. Ces uni-tés sont prévues dans quatrewilayas d'ici décembre 2018,d'une capacité variant entre200 et 400 tonnes par jour etdont l'investissement globals'élèverait, selon l'entreprise,à près de 10 milliards dedinars.Le projet d'investissement dugroupe Bali ne se limitecependant pas uniquement àla production d'œufs.L'entreprise prévoit égale-ment des lignes de produc-tion d'ovo produits, à savoir latransformation de l'œuf àl'état liquide (œuf entier,jaune ou blanc) d'une capa-cité de 320 000 œufs par jourà partir de juin 2017. Le PDGdu groupe affirme d'ailleursque la transformation del'œuf permettra de réduire lesimportations de ces produitspar les différentes usinesagroalimentaires. Il cite parexemple l'usine de mayon-naise Lesieur qui sera pro-chainement implantée enAlgérie et qui nécessitera degrandes quantités d'œufspour sa production.

I.H

MMoottss fflléécchhééss NN°° 338899 SSuuddookkuu NN °° 338899

MMoottss ccrrooiissééss NN°° 338899

Compléter la grille en utilisant les chiffres de 1 à 9. Le même chiffre ne doit se retrouver qu'une seule

fois dans chacune des colonnes horizontales,verticales de même que dans chacune des boîtes de9 cases tel qu'illustré.

Mots croisés N° 388

SOLUTIONS SOLUTIONS SOLUTIONS SOLUTIONS

Mots fléchés N° 388 Sudoku N ° 388

Horizontalement1 - Dans l'ensemble

2 - Donner un caractère trés "nouveau-monde"

3 - Sortie de couche - Maintenue dans son état

4 - Petit carré - Soutenue

5 - Ancien mollusque - Entre titre et matière

6 - Sujet bien familier - Amènera vers la fin - Parfait

7 - Hollandais en boule - Singe à queue prenante

8 - Instrument de ménestrel - Persiflage

9 - Coula à flots

10- Principauté du golfe persique - Escabeau à plateau tour-

nant

Verticalement

A - Propos flatteur

B - La belle verte

C - Fils de la belle-soeur - Souterrain fortifié

D - Chapelet d'années - Gonflement anormal

E - Poufferais - Nid d'espions tentaculaire

F - Numéro 89 en petit - Emergences - Elu pour l'agenda

G - Piquerais plusieurs fois

H - Il se mit son père à dos - Terrains pour fléaux

I - Déposée sur le tapis - Jetée

J - A droite sur la carte - Propre à la colonne

K - Donc à compter désormais - Patrie de Guillaume Tell

L - Associez-vous, elle tiendra la caisse

Par Imen et APS

Les exportations de pro-duits agroalimentaires de

l'Union européenne (UE) versl'Algérie ont reculé sensible-ment lors ces 12 derniersmois, passant de 3,408 mil-liards d'euros, entre août2014 et juillet 2015, à 2,778milliards euros durant lapériode allant d'août 2015 àjuillet 2016, soit une baissede 18,5%, montrent des don-nées publiées par laCommission européenne.La baisse des exportationsagroalimentaires de l'UE versl'Algérie a été plus significa-tive en juillet 2016 où l'Algérien'a importé de cette régionque pour 188 millions d'euroscontre 261 millions d'eurosun an auparavant, soit unebaisse de 28,2%.Les principaux produits res-

ponsables de la baisse desexportations de l'UE versl'Algérie sont les poudres deblé et de lait, a affirmé à l'APSun responsable des servicesdu Commissaire européenchargé de l'agriculture et dudéveloppement rural, PhilHogan.La diminution importante desprix de ces deux produitsexplique, en partie, la réduc-tion de la valeur des exporta-tions de l'UE vers l'Algérie,selon ce responsable qui citeégalement un autre facteurimportant, à savoir la baisse,en volume et en valeur, desexportations de cigares et decigarettes. Les exportationsdes produits agroalimentairesde l'UE vers l'Algérie ont étéplombées également par labaisse des exportationsd'huiles végétales, en volumeet en valeur, et de celle des

fruits frais, notamment envolume, a ajouté ce respon-sable sans donner de préci-sions chiffrées. La chute desprix du pétrole a contraint legouvernement à prendre desmesures à travers l'instaura-tion d'un régime de licencesd'importation destiné à limiterle volume des importations etencourager le développe-ment du produit local. Descontingents tarifaires agrico-les originaires de l'UE ont étéainsi soumis au système delicences d'importation.Le coût global de l'ensemblede produits concernés par lerégime des licences d'impor-tation non automatiques estestimé à 12 milliards de dol-lars dont un (1) milliard dedollars concerne les produitscontingentés provenant del'UE, avait fait savoir le minis-tre du Commerce Bakhti

Belaïb. Les exportations deproduits agricoles de l'UE ontatteint plus de 128 milliardsd'euros durant la périodeallant d'août 2015 à juillet2016, soit une progressionannuelle de 0,7 %, confortantla position de l'UE en tant quepremière exportatrice agroali-mentaire mondiale, une placeque l'UE a repris aux Etats-Unis en 2013.Cependant, si les exporta-tions de l'UE vers les Etats-Unis, son principal parte-naire, ont progressé de 10%durant la période de réfé-rence et de 17% vers laChine, elles ont, en revan-che, poursuivi leur tendancebaissière vers la Russie (-12,5%), pâtissant de l'em-bargo russe et du faibleniveau des prix sur les mar-chés mondiaux.

I.H/APS


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TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes LecteursMardi 4 octobre 2016Quotidien national d’information


RégionsSportsCFPA de Sidi Lakhdar (Aïn Defla) :

Incitation des jeunes à renouer avec l’agriculture

Inauguré le 25 septembre dernier à lafaveur de la nouvelle rentrée

professionnelle, le centre de formationde Sidi Lakhdar (Aïn Defla) dédié

exclusivement à l’agriculture s’emploieà relever le défi consistant à rendre le

secteur attractif aux jeunes et, partant,redorer son blason.

Une mission pour le moinsdifficile dans cette wilayaà vocation agricole au

regard de la désaffection desjeunes pour ce créneau d’activitéjugé “pénible” et non valorisé surle plan social.En effet, selon la direction localede la formation professionnelle,sur 412 offres de formation dansle domaine de l’agriculture, seuls31 jeunes ont opté pour ce cré-neau d’activité à l’échelle de lawilaya, l’écrasante majorité decette frange préférant jeter sondévolu sur des spécialités qui“collent” à son ère.

Convaincre à opter pour l’agriculture

Pour le directeur du CFPA deSidi Lakhdar, la tentative deconvaincre les jeunes à opterpour des créneaux d’activités serapportant à l’agriculture est “loin de constituer une sinécure

“.“Certes, il nous arrive parfoisde + détourner + un jeune quiaspirait se lancer dans l’informa-tique ou tout autre spécialité versl’agriculture, mais force est deconstater que les cas où nos ten-tatives sont couronnées de suc-cès se comptent sur les doigtsd’une seule main”, reconnaîtTahar Kouadri Mohamed.Il a noté que sur un total de 167stagiaires inscrits au niveau decette structure de formation dontla capacité est de 300 placespédagogiques, seuls 20 suiventune formation liée à l’agriculture.

De son côté, le responsable duservice suivi et formation à ladirection de la formation profes-sionnelle de Aïn Defla, estimeque cette situation s’explique, engrande partie, par le fait quenombre de parents font preuvede réticence à envoyer leursenfants suivre une formation enagriculture, considérant quecette branche d’activité n’est pasvalorisée sur le plan social.“Les parents doivent, une bonnefois pour toute, comprendre qu’ilfaut de tout pour faire un mondeet, à partir de là, admettre que

tous les jeunes ne peuvent sespécialiser dans l’informatiqueou travailler comme agents debureau”, a-t-il martelé, mettantl’accent sur la nécessité, pour lasociété entière, de “revaloriser letravail de la terre auprès desjeunes”. Pour lui, il est “fonda-mental d’expliquer aux jeunesque l’agriculture à laquelle ilsvont s’adonner est différente decelle pratiquée par leurs grands-parents”.

Pas d’avenir pour l’agriculture sansl’implication des jeunes

Les anciens agriculteurs dela wilaya soutiennent, pour leurpart, que l’agriculture ne peut, enaucun cas, se développer si lesjeunes ne s’y impliquent pas demanière active. “Il est clair qu’auregard des spécificités de l’agri-culture, de ses contraintes et desa pénibilité, cette activité a unbesoin pressant de la fougue etde l’énergie des jeunes pour sedévelopper”, ont-ils observédans ce contexte. Une plus gran-de “reconnaissance sociale” desactivités agricoles est un élé-ment fondamental à même deredorer le blason de ce secteuret le rendre plus captivant aux

yeux des jeunes, ont-ils soutenu.Notant que le meilleur moyend’en finir avec la pauvretéconsiste en un “retour au travailde la terre”, Abdelkader, un agri-culteur de la région d’Arrib, a misl’accent sur la nécessité de com-battre l’idée selon laquelle cetteactivité est synonyme de “durlabeur” et de “travail archaïqueréservé aux villageois”. Pour lechargé des statistiques à ladirection des services agricoles(DSA) de Aïn Defla, le peu d’en-gouement pour les métiers liés àl’agriculture pourrait avoir desretombées négatives sur labonne marche du secteur.“Actuellement, nous sommes,pour les besoins de la taille et dugreffage, contraints de ramenerdes travailleurs de Blida ou deHadjout, Tipasa”, a-t-il assuré,faisant état de personnes âgéesprêtes à faire profiter les jeunesde leur savoir-faire acquis à lafaveur de longues années depratique. Relevant que la super-ficie irriguée au niveau de lawilaya est de plus de 55 000 ha,il a observé que rien que pour cesegment, des spécialités telles legoutte à goutte ou l’entretien desréseaux peuvent être ensei-gnées.

E n faisant un tour au mar-ché populaire de Klencha,

situé dans la commune d’ElMatmar, à une dizaine de kilo-mètres du chef-lieu deRelizane, sur la route nationale4, nous avons été surpris parles prix inaccessibles des fruitset légumes. Les prix appliquésdans ce marché «huppé» sedémarquent par rapport auxautres prix affichés dans lesautres marchés de la ville deRelizane. A titre d’exemple, unkilogramme de raisin de

moyenne qualité qui se vend à100 DA au marché de Klenchaest proposé à 160 DA, celui dupoivron est à 140 DA, alorsqu’au niveau des autres mar-chés son prix est affiché entre60 et 80 DA. La tomate à 1O0DA. La pomme de terre estcédée à 50 DA. La viandeblanche ou rouge est intou-chable. La viande ovine est affi-chée à 1150 DA le kg. Demême pour la sardine, qui estcédée à 450 DA alorsqu’ailleurs elle se vend en

début de septembre à 150 DA.Ce marché n’est guère visitépar les habitants de ladite com-mune susmentionnée. Ils préfè-rent s’approvisionner ailleurs,en raison des prix excessifsaffichés. «C’est un marchépour les riches», nous dira unclient. Effectivement, certainsn’hésitent pas à acheter mêmeà ces prix-là. En ces temps plu-vieux et glacial, il fallait prendreles mesures nécessaires et neplus céder le terrain à des com-merçants peu scrupuleux. Face

à une situation exceptionnelle,il fallait, en termes plus clairs,anticiper et dégager lesmoyens adéquats. L’objectif estaussi clair : permettre aucitoyen de passer une vie nor-male sans trop subir les reversd’un marché et de ses commer-çants. Il ne s’agit nullementd’un exercice difficile, mais toutsimplement d’une réelle volon-té pour mettre de l’ordre dansnos « souks » de légumes et defruits. Est-ce trop demander.

A.L.

Formation professionnelle à M’sila: 1000 nouvelles places pédagogiques attendues

� � Plus de 1000 nouvellesplaces pédagogiques serontréceptionnées à M’sila, au titre dela prochaine session de la forma-tion professionnelle prévue enfévrier 2017, a-t-on appris samediauprès des services de la wilaya.Il s’agit de quatre (4) centres deformation professionnelle et d’ap-prentissage (CFPA) devant ouvrirleurs portes dans les communesd’Ain Errich, d’Ain El khadra, et àla localité de Zitoun dans la com-mune de Maâdhid ainsi qu’au cheflieu de wilaya, a précisé la mêmesource.Deux (2) internats de 120lits dans les communes d’AinErrrich et Ain El khadra sont pré-vus pour la prochaine rentrée dela formation professionnelle etdevront renforcer l’offre d’héberge-ment dans la capitale du Hodna,a-t-on encore ajouté soulignantque ces infrastructures d’héberge-ment visent essentiellement àassurer une meilleure prise encharge des stagiaires venant desrégions rurales enclavées.Lamême source a détaillé que lesplaces pédagogiques dans lawilaya de M’sila seront portées à6000 postes, après la réceptiondes CFPA programmés et ambi-tionne de répondre à la demandeexprimée dans la wilaya et auxnouvelles orientations visant l’in-troduction de filières de formationdemandée par le marché de l’em-ploi local.La wilaya de M‘sila dis-pose actuellement de vingt (20)centres de formation profession-nelle et deux (2) instituts de for-mation professionnelle spécialisésà M’sila et Bousaâda.

Infos de Relizane :

Une journée de sensibilisation a été organisée

Le cancer du sein en débatL e lycée Toumi de Sidi

M’Hamed Benali ‘associa-tion a abrité ce samedi, unejournée de sensibilisation etd’information sur le cancer dusein, organisé au niveau dulycée Toumi de Sidi M’HamedBenali dans la wilaya deRelizane. Cette organisationactive depuis 2012 selon saprésidente Mme B. Kheirapour apporter assistance à despersonnes atteintes de cancer,

défendre leurs droits et œuvrerà l’amélioration de leur prise encharge. Pour ce qui concerneles patients vulnérables(femmes et enfants) des 38communes que compte lawilaya de Relizane , ces der-niers sont accueillis et héber-gés gratuitement à la maisond’accueil pour suivre leurssoins. La responsable de l’as-sociation dira que plus le dia-gnostic est précoce plus le pro-

nostic est meilleur avec desrésultats excellents allant jus-qu’à réduire le taux de mortali-té de 30 pour cent. Ce tsunamiqu’est le cancer du seinconcerne dix mille nouveauxcas recensés chaque annéeen Algérie entraînant 3500décès par an, soit 10 décès parjour, c’est pourquoi, concluraMme B.Kheira, il est indispen-sable de prévenir cette patho-logie par un dépistage préco-

ce, ce qui facilitera son traite-ment, en annonçant la créationprochaine à Relizane d’uneunité de sénologie pour le dia-gnostic et le traitement du can-cer du sein.

Enfin, la caravane Khadradu cancer du sein a déjà sillon-né 2O communes de la wilayadans le cadre de son program-me de sensibilisation sur lecancer du sein.

A.L.

Célébrée par la population locale

La « waâda » de Ridjal El Chatte est de retourLa traditionnelle waâda de « Ridjal ElChatte » a été célébrée, hier, dans la joieet la communion, par la population decette localité rurale relevant de la commu-ne de Belacel Bouzegza, une localité rele-vant de la daïra d’El Matmar, dans lawilaya de Relizane. Des centaines defamilles, venues de plusieurs régions desquatre coins du territoire national, ont faitle déplacement pour assister à ce«Maoussem» annuel, une coutume bienancrée chez les habitants de cette agglo-

mération rurale, située sur les collines deBenaka, connue pour leur sens du partageet leur générosité. La population locale n’apas lésiné sur les moyens pour accueillirses hôtes dans la pure tradition : aussibien sous ses toits que dans des kheïmasaménagées. Outre le couscous tradition-nel, l’évènement, riche en couleurs et sen-teurs de l’encens, a été marqué, hieraprès-midi, par l’organisation d’une fanta-sia où les cavaliers sont réputés pour êtreparmi les meilleurs de la région de l’Ouest.

Cette fête traditionnelle a été une occasionpour les participants à cette fête annuelleet notamment les membres de la tribu devisiter le mausolée de Ridjal El Chatte,saint-patron de la région, dans uneambiance de piété, de recueillement et deretrouvailles. Il est à rappeler qu’une autrewaâda de Sidi Belacel Bouzegza qui vaêtre célébrée dans les jours qui viennentou les organisateurs invitent tout le mondepour assister à cette waâda.

A.L.

Marché d’El Matmar

Les prix des légumes flambent

6e journée de la Ligue 1 Mobilis

L'USMA de nouveau seuleaux commandes

L'USM Alger, championned'Algérie en titre et candidate àsa propre succession, s'est

emparée seule de la tête du classementde la Ligue 1 Mobilis de football en bat-tant l'Olympique de Médéa (3-2) enmatch disputé samedi au stade OmarHamadi pour le compte de la 6e journée,au moment où son voisin, le MC Alger aconcédé une défaite amère chez l'ESSétif (2-0). Les Rouge et Noir ont gagné en se don-nant une belle frayeur, il faut le recon-naître, puisque qu'après avoir conforta-blement mené (3-0), grâce à Meziane(5'), Chafaï (9') et Meftah sur penalty à la(41'), ils ont failli concéder l'égalisationdevant le retour tonitruant de l'OM en 2emi-temps. Le nouveau promu a en effet réussi àréduire le score par Banouh dès le retourdes vestiaires (3-1), avant d'ajouter un2e but pas Gherbi à la (58'), ce qui aconsidérablement fait douter l'USMA.Mais le club de Soustara s'est finalementbien ressaisi en fin de match, conservantson acquis jusqu'au coup de sifflet final. Les Rouge et Noir portent ainsi leur capi-tal-points à 16 unités, soit trois de mieuxque leur ancien co-leader, le MC Oran,qui rétrograde du coup à la 2e place,avec 13 points. L'Aigle noir sétifien a également frappéun grand coup en accueillant le Doyenau stade du 8-Mai 1945, auquel il a infli-gé une sévère défaite (2-0), grâce

Haddouche (4') et Nadji, sur penalty à la(17'). Une grosse désillusion pour "Le Doyen"auteur de gros investissements à l'inter-saison et qui s'était déplacé à Sétif avecl'ambition de réussir un bon résultat, àmême de le relancer dans la course auxpremiers rôles. Orphelin de Roger Lemerre, qui finale-ment ne l'entraînera pas cette saison, leCS Constantine a quand même rempor-té une importante victoire (3-1) face àl'USM Bel-Abbès. Aoudia avait ouvert le score pour lesSanafir d'un magnifique ciseau retournéà la 6' minute, mais les Belabbassiensont réussi à égaliser dans la minute quia suivi, par l'intermédiaire de Kourbia.Cependant, l'ancien N°10 de la Lazio deRome, Meghni, a remis son équipe surles bons rails en transformant un penal-ty à la (69'), avant que Belkheir ne clôtu-re le festival par un dernier but à la(90'+2). Vendredi, en ouverture de cette 6e jour-née, ce sont le MC Oran et le CRBelouizdad qui avaient réussi lesmeilleures affaires, en battant respecti-vement l'USM El Harrach (1-0) et le DRBTadjenanet (2-1), effectuant au passagedes bonds appréciables au classementgénéral. Le succès des oranais, assuré parSouibaâ dès la 6e minute de jeu, avaitpermis au MCO de se hisser provisoire-ment en tête du classement, en compa-

gnie de l'USM Alger, avant que ce der-nier ne s'empare à nouveau du leader-ship, après sa victoire contre l'OM. De son côté, le Chabab a réussi l'exploitd'aller gagner chez le DRBT (2-1), pour-tant réputé pour être difficile à manierchez lui. Mais Rebih et Bouchema ontréussi à trouver la faille aux (36' et 64'),avant que Nezouani ne réduise le scorepour le DRBT à la (72'). Le NA Hussein Dey a battu le CA Batna(2-0), grâce à Gasmi (8') et Harrouche(88').La JS Saoura a battu la JS Kabylie sur lescore de 1 à 0 (mi-temps : 0-0), samedisoir à Béchar pour le compte de la 6ejournée du championnat d'Algérie deLigue 1 Mobilis de football. L'unique but de la rencontre a été inscritpar Hamza Zaïdi à la 60e minute de jeu.


ASM Oran 0 - CA Bordj Bou Arréridj 0L' ASM Oran et le CA Bordj Bou

Arréridj se sont neutralisés samedisur le score de zéro partout au stadeHabib Bouakeul d'Oran, en clôture de la4e journée de Ligue 2 Mobilis de football,entamée vendredi. Il s'agit du 4e nul enautant de matchs pour les gars de M'dinaJ'dida, qui restent scotchés à la 11eplace du classement, avec quatre unités.En revanche, les Criquets qui restaientsur une défaite surprise à domicile faceau nouveau promu, le WA Boufarik, seressaisissent bien avec ce nul en dépla-cement, et remontent à la 6e place duclassement général, avec 7 points.

Résultats Vendredi RC Arbaâ - MC El Eulma 1-0 US Biskra - JSM Skikda 1-0 WA Boufarik - JSM Béjaïa 0-0 Amel Boussaâda - ASO Chlef 1-0 AS Khroub - MC Saïda 1-0 USM Blida - Paradou AC 1-1 GC Mascara - CRB Aïn Fekroun 0-0

Samedi ASM Oran - CA Bordj Bou Arréridj 0-0

Classement Pts J 1). Paradou AC 8 4

--). JSM Béjaïa 8 4 --). AS Khroub 8 4 4). JSM Skikda 7 4 --). USM Blida 7 4 --). CAB Bou Arréridj 7 4 7). WA Boufarik 6 4 8). ASO Chlef 5 4 9). Amel Boussaâda 4 4 --). US Biskra 4 4 --). ASM Oran 4 4 12) MC Saïda 3 4 --). MC El Eulma 3 4 --). CRB Aïn Fekroun 3 4 15). RC Arbaâ 2 4 16). GC Mascara 1 4.

Anderlecht

Hanni nominépour le trophée

du joueur de septembre

� L'international algérien du RSCAnderlecht Sofiane Hanni, est nomi-né pour le trophée du joueur du moisde septembre du club, a annoncésamedi la formation belge de premiè-re division sur son site officiel. Hanni qui a rejoint Anderlecht lors dumercato d'été en provenance du FCMalines, a réalisé une bonne entamede saison. Outre Hanni, quatre autres joueurssont en lice pour le trophée dumeilleur joueur du mois de sep-tembre d'Anderlecht: NicholaeStanciu, Lukasz Teodor, LeanderDerdoncker et Hamdi Harbaoui. Le meilleur joueur d'Anderlecht dumois de septembre sera élu par lessupporters du club. Le club remettra le trophée au joueurdu mois sur le terrain, juste avant larencontre contre Lokeren le 16octobre prochain , précise la mêmesource. Blessé lors du match contre Saint-Etienne (1-1) jeudi pour le compte dela deuxième journée de l'EuropaLeague, Hanni est incertain pour leClasico contre le Standard de Liègeoù évolue Ishak Belfodil, selon lapresse locale. Hanni figure dans la liste des 24joueurs convoqués par MilovanRajevac en prévision de la rencontrede l'Algérie contre le Cameroun le 9octobre à 20h30 au stade MustaphaTchaker de Blida pour le compte dela première journée des qualificationsde la Coupe du monde 2018.

O.Marseille

Le CamerounaisNjie souffred'une lésion musculaire

� L'attaquant international camerou-nais de l'O.Marseille Clinton Njieblessé, a déclaré forfait pour lematch de dimanche contre Angerspour le compte de la 8e journée duchampionnat de France de Ligue 1de football, a annonce le club pho-céen sur son site officiel. Njie ne figure pas dans le groupe des18 retenus pas l'entraîneur FranckPassi pour le déplacement à Angers. Selon le journal le Provençal, lebuteur des Lions indomptablessouffre d'une lésion musculaire. Clinton Njie figure dans la liste des23 retenus par le sélectionneur duCameroun Hugo Bross pour le matchface à l'Algérie le 9 octobre à 20h30au stade Mustapha Tchaker de Blidapour le compte de la première jour-née des éliminatoires de la Coupe duMonde 2018, groupe B. En prévision de la rencontre contreles Verts, le Cameroun effectuera unstage du 2 au 7 octobre à Marseilleavec, au menu, un match amicalcontre l'Olympique de Marseille(Ligue 1 française) le mercredi 5octobre à 11h00, précise la Fécafoot. Les hommes d'Hugo Bross rallierontAlger le vendredi 7 octobre. Une fois sur place, les LionsIndomptables effectueront uneseule séance d'entraînementle samedi 8 octobre à 18h00 austade Mustapha Tchaker, selon leprogramme détaillé de l'équipe.

Résultats VendrediDRB Tadjenanet - CR Belouizdad 1-2 NA Hussein Dey - CA Batna 2-0 MC Oran - USM El Harrach 1-0

Samedi USM Alger - Olympique Médéa 3-2 CS Constantine - USM Bel-Abbès 3-1 ES Sétif - MC Alger 2-0 JS Saoura - JS Kabylie 1-0

Reste à jouer Ce mardi, 4 octobre 19h00 A Béjaïa : MO Béjaïa - RC Relizane

Classement Pts J 1). USM Alger 16 6 2). MC Oran 13 6 3). NA Hussein Dey 11 6 --). ES Sétif 11 6 5). MC Alger 10 6 6). DRB Tadjenanet 8 6 --). CS Constantine 8 6 8). CA Batna 7 6 --). JS Kabylie 7 6 --). CR Belouizdad 7 5 --). JS Saoura 7 6 12). USM Bel-Abbès 5 6 13).Olympique Médéa 4 5 14). USM Harrach 3 6 15). MO Béjaïa 2 3 16). RC Relizane -3 5.

L' attaquant international algérien deGaziantespor, Nabil Ghilas a inscrit

samedi son 2e but personnel dans lechampionnat turc, à l'occasion de la 6ejournée contre Bursaspor (3-2). Une bicyclette acrobatique au point depenalty, grâce à laquelle l'ancien du FCPorto a ouvert le score pour Gaziantespor,avant que le Zambien Kangwa ne signeun doublé, pour une victoire finale (3-2).Ghilas (26 ans) aurait pu s'offrir, lui aussi,un doublé dans ce match, mais il n'a pasréussi à transformer le penalty dont il aété chargé à la fin de la première période.

Avec deux buts en un peu moins d'unesemaine, Ghilas peut néanmoins se tar-guer d'avoir chassé la guigne qui l'avaitpoursuivi pendant près de 19 mois.L'Algérien avait perdu en effet le sens dubut depuis février 2015, où il avait inscritson dernier but contre le FC Valence, enLiga espagnole, alors qu'il évoluait sousforme d'un prêt à Cordoue. Transférécette saison en Turquie, Ghilas a déblo-qué son compteur but dimanche dernier, àIstanbul, où il avait inscrit l'unique but deGaziantespor, lors de la défaite (2-1) chezFenerbahçe.

Gaziantespor

2e but pour Ghilas

en unesemaine

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CultureMardi 4 octobre 2016Quotidien national d’information




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Régions

Des mesures préventives ont étéintensifiées sur le terrain, aux fron-

tières sud du pays, pour faire face à lafièvre de la vallée du Rift, une zoonoseapparue dernièrement dans le pays voi-sin, a-t-on appris lundi auprès des servi-ces vétérinaires de la wilaya deTamanrasset.

Ces mesures déployées aux frontiè-res, notamment dans les régions d’in-Guezzam et Tin-Zaouatine, consistenten l’interdiction de l’entrée des cheptels,quels qu’ils soient (bovins, ovins oucamelins), sur le territoire national, pourempêcher tout risque d’introduction decette maladie animale et, ainsi, préser-ver le cheptel local et éviter la contami-nation de l’homme, a expliqué le chef de

l’inspection vétérinaire, BoubekeurBoutefna. Les vétérinaires de la régionsont mobilisés afin de suivre de prèsl’état des cheptels locaux et permetteleur préservation, a indiqué le responsa-ble en signalant le lancement, dans cecadre, d’un programme de sensibilisa-tion, à travers les ondes de la radio et lesaffichages, sur les dangers de cettemaladie, ses symptômes et les voies desa prévention.

Le président de la Chambre de l’agri-culture de Tamanrasset, MohamedBahmed, a mis l’accent, de son côté, surla nécessité d’intensifier les actions desunités de santé animale dans les régionsfrontalières, afin d’assurer les contrôlesvétérinaires des cheptels, nombreux

dans ces régions et appartenant à deséleveurs algériens, et d’éviter des per-tes à l’économie nationale.

Des sources locales dans la régionfrontalière de Tin-Zaouatine, ont fait étatde cas d’apparition de maladies chezdes ovins et des camélidés, entrainant lamort et l’avortement de certaines bêtes,ainsi que des cas présentant des hyper-trophies au niveau du collier. Des symp-tômes enregistrés pour la première fois,a-t-on indiqué.

Le chef de l’inspection vétérinaire dela wilaya a indiqué qu’une équipe devétérinaires est sur les lieux et procèdeaux diagnostics nécessaires, et qu’il fau-dra attendre les résultats de ces diag-nostics pour pouvoir se prononcer.

Fièvre de la vallée du Rift

Mesures préventives aux frontières sud

La décharge contrôlée dela commune d’Agouni

Gueghrane dans la daïrad’Ouadhias au sud de lawilaya de Tizi Ouzou seramise en exploitation prochai-nement, a-t-on appris lundide la directrice de l’environ-nement.

Les travaux de réalisationde cette décharge entaméeen 2014 sont achevés et samise en service interviendrajuste après l’acheminementdu matériel nécessaire à sonfonctionnement, notammentla pelle à chenille, prévu dansles prochains jours, a déclaréDjoher Haddadou.

Une solution sera ainsiapportée à la problématiquede la gestion des déchets et

la prolifération des déchargessauvages à travers les villa-ges de la municipalité depuisquelques années en l’ab-sence d’un site pouvantaccueillir les ordures géné-rées par les habitants, a-t-elleexpliqué. Deux autresdécharges contrôlées sont envoie de finalisation au niveaudes communesd’Iferhounène et de Tadmaït,a déclaré la responsable quia affirmé que leur réceptioninterviendra avant la fin del’année en cours.

Ces infrastructures vien-dront renforcer les quatrecentres d’enfouissementtechnique (CET) actuelle-ment opérationnels au niveaude Tizi Ouzou, Draâ El Mizan,

Ouacifs et Boghni. Ce dernierCET A été mis en service le04 septembre dernier et cou-vre à présent les quatre (04)communes de la daïra, enl’occurrence Boghni,Mechtras, Assi Youcef etBounouh, a-t-elle signalé.

Cinq autres municipalitésseront rattachées prochaine-ment à cette structure àsavoir Tizi N’Tleta, Maâthkas,Souk El Tenine, Aït Bouadouet Ouadhias d’une capacitéd’accueil globale qui s’élèveà 300 000 mètres cubes etdont la durée de vie du casierest estimée à 15 ans, a-t-elleencore précisé.

Depuis sa mise en exploi-tation, le centre accueille ettraite une moyenne de 30

tonnes de déchets achemi-nés à partir des quatre com-munes de cette même daïraauparavant rattachées auCET de Oued Falli de TiziOuzou, a-t-elle fait remar-quer.

Mme Haddadou a rappeléque trois projets de réalisa-tion de CET sont toujours blo-qués à cause des oppositionsdes citoyens au niveau IlloulaOumalou, Aghribs etMizrana, en plus de certainesdécharges inscrites à l’ordrede certaines communes de lawilaya, ce qui se répercutenégativement sur la gestiondes ordures ménagères et laprotection de l’environnementqui fait face à la multiplicationdes décharges et sauvages.

Direction de l’environnement de Tizi Ouzou :

La décharge contrôlée d’AgouniGueghrane bientôt opérationnelle

Formation professionnelle à Djelfa : Réception de plusieurs projets à la fin 2016

� � De nombreux projets, en réalisa-tion dans le secteur de la formation etde l’enseignement professionnels àDjelfa, seront réceptionnés à la fin del’année en cours (2016), a-t-onappris, lundi, auprès de responsa-bles du secteur.Il s’agit notamment de deux (2)Instituts nationaux de formation spé-cialisée, d’une capacité de 600 pla-ces chacun, actuellement en réalisa-tion au niveau du chef lieu de wilaya,qui verra, également, la réception ,àla même période, d’un nouveauCFPA de 300 places, a-t-on ajouté demême source.Un projet de CFPA similaire(300 pla-ces) sera réceptionné, à la mêmedate, dans la commune de kettara (àl’extrême -Sud de Djelfa), au momentou trois (3) projets d’extension deCFPA sont attendus à la livraisondans les communes de Dar Chioukh,Hed Shari, et Feid El Batma.Selon la même source, le secteur dela formation a Djelfa a été renforcé,durant cette nouvelle session de sep-tembre, par trois (3) salles de cours,un bloc administratif, et un restaurant,tous réceptionnés au niveau del’Institut national de formation spécia-lisée en apprentissage de Messaàd,en plus de deux (2) ateliers pédago-giques concrétisés au CFPA deCharef.Deux (2) logements d’astreinte ontété, également, réceptionnés, à lamême rentrée, au CFPA d’El Birine.Quelque 5.294 stagiaires ont rejointleurs classes, au titre de cette nou-velle session professionnelle de sep-tembre, à Djelfa, dont 2.385 inscritsen mode résidentiel, 2015 en modeapprentissage, et le reste en coursdu soir, formation par passerelles, etautres formations destinées, entreautres, aux femmes au foyer.

9ème Salon du cheval à Tiaret Plus de 2.000 cavaliers attendus

� � Plus de 2.000 cavaliers venantde 23 wilayas du pays sont attendusau 9eme salon national du cheval quidébutera, mercredi à Tiaret, a-t-onappris, lundi, des organisateurs.Au programme de cette manifestationfigurent plusieurs activités sportives,récréatives et scientifiques liées aucheval, a souligné le chef du servicedes activités de jeunes à la Directionlocale de la jeunesse et des sports,Abdelkader Sbaïs.Parmi ces activités, les organisateursont programmé des spectacles decavalerie, des troupes folkloriques,des jeux de fantasia en plus de cour-ses de chevaux sur le parcourséquestre de Chaouchaoua et unconcours national de saut d’obstaclesau centre équestre Emir Abdelkader.Il est prévu également une vente auxenchères de chevaux de race.Par ailleurs, l’université Ibn Khaldounde Tiaret abritera à cette occasion,des assises scientifiques sur le che-val alors que le palais des sportsAbdellah Belarbi abritera une exposi-tion de produits traditionnels et d’ac-cessoires de chevaux.Un autre concours en sellerie, en fer-ronnerie et d’autres activités artisti-ques sont prévus également au théâ-tre de plein air Ali Maachi de la ville.Les hôtes de Tiaret seront conviés àdes visites touristiques des sitesarchéologiques et historiques dontrecèle la wilaya.

Des démarches sonten cours pour rattraperle retard accusé par leprojet de réalisation du

tramway deMostaganem, a-t-on

appris du directeur dewilaya des transports.

“Les travaux sedéroulent à unecadence lente à

tel point où des chantiersétaient à l’arrêt durant lapériode estivale”, a indiquéRezzoug Mokhtar expliquantque ce retard est justifié parune restructuration interne dugroupe espagnol chargé duprojet. L’Entreprise du Métrod’Alger (EMA), initiatrice duprojet a adressé une mise endemeure au groupe espagnolpour reprendre les travauxdans un délai de 15 jours,

faute de quoi le contrat serarésilié selon la la loi des mar-chés publics. Il est attenducette semaine la tenue d’uneréunion entre le wali deMostaganem, TemmarAbdelwahid et le directeurgénéral de l’EMA et le nou-veau directeur général dugroupe espagnol, pour élabo-rer un nouveau calendrier etrattraper le retard en accélé-rant la cadence des travauxpar l’augmentation du nom-bre d’ouvriers des chantierspour travailler en H/24, a

ajouté M. Rezzoug.Un transfert de tous lesréseaux électriques, télépho-niques et des canalisations aété effectué de même que lasurpression de trois lignesélectriques de haute tensionet la libération du tracé de cemoyen moderne de transport.Des travaux sont en courspour la construction de deuxouvrages d’art après l’achè-vement de deux autres.Le taux d’avancement destravaux du tramway deMostaganem a atteint 50% et

le projet sera livré en fin sep-tembre 2017 avec une miseen service expérimentale enjuillet 2017, sans compter leretard accusé, a-t-on souli-gné. Pour rappel, le projetcomporte un tracé de 14,2kilomètres, 24 stations surdeux lignes la premièrereliant la localité deSalamandre au pôle universi-taire de Kharouba en passantpar plusieurs quartiers dont lecentre-ville, hai Tijditt sur 12,2km. La seconde relie l’an-cienne gare ferroviaire à lanouvelle gare routière de lacité “5 juillet” passant par haiBenyahia Belkacem (2 km).Il prévoit également quatrepôles d’échange, un centrede maintenance, un bloctechnico-administratif et unposte de maitrise.Le tramway de Mostaganemdisposera de 25 wagons pourle transport de 5.000 voya-geurs à l’heure.

Tramway de Mostaganem:

Démarches pour rattraperle retard

Les Ouadhias (Tizi-Ouzou) : Exposition sur la richesse des produits du terroir algérien

� Une exposition sur larichesse et la beauté de l’arti-sanat traditionnel et des pro-duits du terroir algérien, s’estouverte lundi, dans l’ex sallede cinéma de la ville desOuadhias (35 Km au sud deTizi-Ouzou), a-t-on constaté.Cette manifestation organiséepar l’association Trésor touristi-que algérien (ATTA) en colla-boration avec la directionlocale du tourisme et de l’arti-sanat, dans le cadre de lacélébration de la journée mon-diale du tourisme, a regroupéune quarantaine d’artisansreprésentant la wilaya de Tizi-Ouzou et celles d’Alger,Boumerdes, Bejaia, El Oued etTipasa.La robe kabyle notamment lacélèbre Thijihlith habit tradition-nel des femmes des Ouadhias,trône fièrement au milieu del’exposition s’accaparant lamajorité des étals. La poterie,le tapis et le bijou traditionnelkabyle, algérois et de OuedSouf, le miel, les gâteaux tradi-tionnels et les produits dérivésdes dates, sont les principauxproduits exposés.“Cette manifestions qui s’éta-lera sur trois jours, vise à pro-mouvoir les produits de l’artisa-nat et du terroir. Elle est aussiune occasion pour mettre enexergue le rôle que peut jouerl’artisanat et les produits duterroir dans la promotion dutourisme”, a indiqué à l’APS laprésidente de l’ATTA,Dahmani Ouardia.La participation des autreswilayas a pour but “d’assurerun échange culturel interwilayas pour faire découvrir ànos hôtes, le trésor touristiquebalnéaire de montagne et arti-sanale, de notre wilaya”, aajouté Mme Dahmani.ATTA ambitionne de participerà l’effort de relance du tou-risme local dans la wilaya deTizi-Ouzou, notamment celuide montagne, par l’organisa-tion d’une caravane à traversplusieurs localités de TiziOuzou, avec la participationd’autres wilayas du pays. Cette caravane a pris ledépart, en mai dernier, à partirde la commune de Tizi-Rached, avant d’arriver celundi dans la ville desOuadhias. Elle se rendra pro-chainement à Tigzirt puisAzazga, a indiqué cette mêmeinterlocutrice.La célébration du mois dupatrimoine se poursuivra mardidans la ville de Tizi-Ouzou, parune exposition sur les potentia-lités touristiques et la richesseartisanale de la wilaya qui seraorganisée, a la maison de laculture Mouloud Mammeri, parla direction locale du tourismeet de l’artisanat.Cet événement placé sous leslogan, “promouvoir l’accessi-bilité universelle en faveur d’untourisme pour tous”, s’étalerasur deux jours et comporteraégalement des conférencessur le thème de l’investisse-ment et l’accessibilité au fon-cier touristique à Tizi-Ouzou.

14 ans après avoir été volés à Amsterdam

Deux tableaux de Van Goghretrouvés en Italie

Deux tableaux de VanGogh volés en 2002 àAmsterdam, “Sortie de

l’église de Nuenen”(1884) et “Vue de la mer

de Scheveningen(tempête)” (1882), ont

été retrouvés en Italie, aannoncé vendredi le

musée Van Goghd’Amsterdam.

“Ce sont bien lesvéritables peintu-res”, a déclaré,

cité dans un communiqué, leconservateur qui a authentifiéles tableaux à la demande duparquet italien.

D’une valeur de plusieursmillions d’euros, ces deux toi-les de la première période del’artiste avaient fait l’objet d’unavis de recherche internationalaprès avoir été dérobés le 7décembre 2002 au musée.

“Après 14 années d’er-rance, les deux oeuvres sem-blent en assez bonne condi-

tion” malgré quelques détério-rations, probablement en rai-son de “conditions de transportinappropriées”, a précisé lemusée. Les peintures ont étéretrouvées dans la région deNaples dans le cadre d’une“enquête de grande enverguresur ordre du ministère publicitalien, menée par une équipespécialisée de la Guardia diFinanza, spécialisée dans lacriminalité organisée”.

“Après autant d’années, onn’osait plus compter sur unéventuel retour”, s’est félicité le

directeur du musée Van GoghAxel Rüger, présent à Napleset cité dans le communiqué.

D’après le musée VanGogh, “on ignore où se trou-vaient les deux tableaux depuisle cambriolage” le 7 décembre2002. Les voleurs avaientgrimpé sur le toit du musée,brisé une vitre et s’étaientemparé des deux toiles avantde prendre la fuite en descen-dant le long d’une corde.

“La valeur historique de cesdeux toiles pour la collectionest immense”, a souligné le

musée. La date de retour àAmsterdam des oeuvres d’artreste inconnue. Le musée VanGogh, ouvert en 1973, rassem-ble des centaines de tableaux,dessins et esquisses du pein-tre, depuis sa première périodenéerlandaise jusqu’à sa fin tra-gique en 1890. Né en 1853dans une famille de marchandsd’art, Vincent Van Gogh a peintplus de 800 oeuvres. Alors qu’iln’a réussi à vendre qu’un seultableau de son vivant, ses toi-les se négocient aujourd’hui àprix d’or.

Manifestation lecture en fête de Médéa

Coup d’envoi de la 2è édition L

e coup d’envoi de la 2è édition de lamanifestation culturelle lecture en fête

a été donné, jeudi, à la maison de la cul-ture Hassan-el-Hassani de Médéa, en pré-sence d’une foule nombreuse, composéeessentiellement d’enfants, venus profiterde l’évènement. Cette manifestation,rééditée après le succès remporté par lapremière édition, qui a eu lieu entre le 16février et 19 mai, est une opportunité pouranimer et réactiver les espaces de lecturedisséminés à travers la wilaya de Médéa,de préserver l’engouement pour la lecturesuscité auprès des jeunes lecteurs, lors dela première édition, a indiqué à l’APS le

directeur local de la culture, Omar Reghal,co-organisateur de la manifestation.

Le taux de fréquentation enregistrédurant l’édition de février, estimé enmoyen entre 250 à 350 lecteurs parsemaine, a incité les organisateurs à met-tre sur pied cette deuxième édition, afin deconsolider cet acquis et ancrer l’acte delecture dans les mœurs des jeunes,notamment les élèves scolarisés, issusdes zones enclavées, a -t-il confie.La lec-ture en fête, dont les activités qu’étalerontjusqu’au 2 octobre, est une opportunitépour gagner de nouveaux lecteurs, enoptant pour une démarche de proximité

visant à rapprocher la bibliothèque aucitoyen, a ajouté ce responsable.

Un programme spécifique a été éla-boré, à cet égard, pour donner plus d’ani-mation et d’attrait à cette manifestation,avec l’organisation d’ateliers de calligra-phie, de jeunes débrouillards, de peinture,en marge des séances de lecture et decontes pour enfants prévues à cette occa-sion. En sus de Médéa, deux autres gran-des communes, en l’occurrence El-Azziziaet Tablat, vont accueillir cette manifesta-tion, qui sera émaillée de diverses activitésculturelles et d’animation en relation avecla lecture.

Classification du site des Djeddars au patrimoine mondial

Un dossier sera déposé au niveau de l’Unesco

Le ministre de la Culture,Azzedine Mihoubi, a

annoncé jeudi à Tiaret que sondépartement comptait consti-tuer un dossier et le soumettreà l’Unesco pour le classementdu site funéraire des Djeddars(Sud de Tiaret) au patrimoinehumanitaire mondial.A l’occasion d’une visite à cesite archéologique, le ministrea fait savoir qu’un “dossiertechnique approfondi” seraficelé en vue de son dépôt àl’Unesco pour classer cemonument au titre du patri-moine humanitaire mondial.Ce site archéologique,implanté dans la commune deMedroussa, comprend dessépultures nécrologiques desrois berbères aux formes pyra-

mides remontant au 4ème siè-cle avant l’ère chrétienne.Azzedine Mihoubi a annoncé,au cours de sa visite à la biblio-thèque de Frenda, que sondépartement lancera prochai-nement la numérisation dufonds documentaire du cher-cheur et penseur JacquesBerque (1910-1995), natif de larégion. Ce penseur a léguétout son fonds documentaire etlivresque à la bibliothèque épo-nyme de sa ville natale.Cette opération sera menée auniveau de la bibliothèque natio-nale d’El Hamma (Alger) afinde mettre ces fonds à la dispo-sition des chercheurs et étu-diants, et d’éviter toute formed’usure et de dégradation, aexpliqué le ministre.

Il a proposé la pose au sein decette bibliothèque d’un pan-neau comportant des informa-tions sur la vie et l’œuvre deJacques Berque, auteurnotamment de “Mémoires desdeux rives” et d’une magnifiquetraduction du saint Coran.Le ministre a indiqué, au coursd’un point de presse, en marged’un spectacle de fantasiaorganisé dans le cadre du9ème Salon national du che-val, que cette manifestationvient pour consacrer la culturede préservation du patrimoinematériel et immatériel, insistantsur l’importance d’organiser cesalon chaque année.Il devait, par la suite, visiter lagrotte située dans la localité deTaoughazout (Frenda) où le

célèbre penseur Ibn Khaldouns’est réfugié pour rédiger saMouqaddima. Le ministre ins-pectera également l’antennede l’école des Beaux Arts deTiaret, le chantier de réalisationde la bibliothèque principale duchef lieu de wilaya, avantd’inaugurer le nouveau siègede la direction de la culture. Il assistera aussi à l’ouverturedes assises scientifiques sur lecheval, organisées à l’univer-sité Ibn Khaldoun et prendrapart à une partie d’une venteaux enchères des chevaux derace et du concours du sautd’obstacles. Une soirée artisti-que est aussi prévue au théâ-tre de plein air de la maison dela Culture Ali Maachi du chef-lieu de wilaya.



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TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes Lecteurs Mardi 4 octobre 2016Quotidien national d’information

TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes LecteursÉconomie Régions

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Dispositif de l’ANSEJ à Ouargla: 34 projets financés en huit mois

� � Trente-quatre (34) projets de micro-entreprises ont été financés dans lawilaya d’Ouargla entre janvier et la finaoût de 2016 par le biais de l’Agencenationale de soutien à l’emploi des jeu-nes (ANSEJ), a-t-on appris des respon-sables de cet organisme.Ce nombre de projets financés est en“nette” baisse (67%) par rapport aux 102projets financés durant la même périodede l’année dernière, a cependant faitremarquer le directeur de l’antenne del’ANSEJ de la wilaya, Mohamed Kaâneb.Ce recul est imputé à la nouvelle orienta-tion de l’ANSEJ visant le soutien et l’en-couragement des projets créateurs d’em-plois et de richesses et répondant auxexigences du marché de l’emploi local.Portant sur des micro-entreprises acti-vant notamment dans les créneaux del’agriculture, de l’industrie et des travauxpublics, ces projets mis sur pied durantcette période ont généré 89 emplois, asignalé le même responsable.M.Kaâneb a rappelé, à ce titre, que4.596 micro-entreprises, ayant généréun total de 11.924 emplois, ont été mon-tées depuis l’ouverture, en 1997, de l’an-tenne de l’ANSEJ de la wilayad’Ouargla.Ces projets sont versés dansles activités agricoles, l’aquaculture, lebâtiment et travaux publics, l’industrie, letourisme et l’artisanat, représentant 26%des projets, contre 72% des projets etactivités dans le domaine des services etfinancés par le dispositif de l’ANSEJ, a-t-on noté de même source.

Centre-ville de RelizaneL’hygiène fait encoredéfaut

� � L’état débloque des montants consi-dérables pour l’amélioration du cadre devie du citoyen mais beaucoup de chosereste à faire. Dans ce contexte, de grosmoyens financiers sont dégagés depuisdes années pour le développement éco-nomique, social et culturel, dont la réha-bilitation urbaine. Et c’est au chef-lieuque s’apprécie l’effort entrepris. Ainsi, auvu de récentes réactions citoyennes etassociatives, le cadre de vie demeurepeu reluisant : l’hygiène fait encoredéfaut, l’éclairage public, vrai casse-tête,continue de faire des désagréments. Là,une virée nocturne dans les populeuxquartiers renseigne les lanternes. Inutiled’évoquer la voirie de la rue des Castors,ou le quartier populaire Satal et autresimportantes artères, telle celle traversantHai Chemérik. Arrêtons-nous pour cescas cités, car en 2016, le montant finan-cier pour le programme d’investissementest considérable selon la dernière réu-nion de l’Assemblée populaire de lawilaya. Mais de là à voir l’homogénéité,l’esthétique prendre un sérieux coup... àtravers des décharges publiques, rem-blais, détritus à perte de vue. Toutes cesmesures urbanistiques, d’ordre, de salu-brité demandent à être accompagnées...Y compris quand on installe un ou despanneaux de signalisation, l’on se doitde relire ce qui est mentionné, nous fontremarquer de vieux retraités au niveaude la placette, à travers les nouvellesplaques vertes de la route.Indépendamment de ces crianteserreurs, des personnalités connues etqui observent bien ce qui est entreprissur les lieux, considèrent cela comme du«surplace». Des actions certes, maisdans un environnement caractérisé parla promiscuité, la voirie défectueused’une mairie peu performante, où l’utili-sation pragmatique des cadres adminis-tratifs demeure l’une des tares décriées.Par ailleurs, des comités de quartier lan-cent un appel au premier responsable dela wilaya pour l’inscription de leur quar-tier pour la réhabilitation de ces quartiersqui sont vraiment dont le besoin pourune nette amélioration du cadre de vie.

A.L.

Des actions de volontariat dans lesvilles côtières de Tigzirt et

d’Azeffoun sont initiées par la directionde l’environnement de la wilaya de TiziOuzou dans le cadre de la célébrationde la journée méditerranéenne de lacôte, a-t-appris lundi de la directrice dusecteur. Célébrée le 25 septembre dechaque année, cette journée a été mar-quée par l’organisation d’un premiervolontariat de nettoyage des plagesautorisées à la baignade à Tigzirt ainsique sur la route nationale N° 24, a pré-cisé Djoher Haddadou. Ont été associésà cette démarche les services de ladaïra de Tigzirt qui ont mobilisé lesmoyens matériels et humains nécessai-res au bon déroulement de l’opération,

les APC de Tigzirt et d’Iflissen, l’Officenational de l’assainissement (ONA),l’Algérienne des eaux (ADE), l’antennede wilaya du Commissariat national dela protection du littoral, les directions del’éducation, de la culture, des travauxpublics et de l’action sociale, ainsi que lemouvement associatif, a-t-elle indiqué.“En plus de la célébration de la journéeméditerranéenne de la côte, ces actionsmarquent également la clôture de la sai-son estivale et s’inscrivent dans le cadred’un programme d’envergure nationalede protection de l’environnement», aexpliqué Mme Haddadou, signalant quel’objectif principal des opérations est lasensibilisation des citoyens sur la pré-servation du littoral. Une deuxième

action de volontariat sera organiséejeudi au niveau des plages d’Azeffoun etd’Aït Chafaâ avec la participation detous les acteurs qui accompagnent ladirection de l’environnement dans cetravail, notamment les APC et la daïra.En sus du nettoyage de la côte, deuxsorties pédagogiques au profit des éco-liers et du mouvement associatif sontprévues mardi et samedi au vieux portd’Azeffoun et dans la localité de SidiKhelifa, dans le but de faire connaîtreles richesses naturelles et atouts touris-tiques de la région, tout en sensibilisantles participants sur la protection et lapréservation de l’environnement engénéral et le littoral en particulier, adéclaré Mme Haddadou.

Célébration de la Journée méditerranéenne de la côte à Tizi Ouzou :

Volontariat sur le littoral

Trois cent soixante six(366) postes d’emploiont été créés dans la

wilaya de M’sila depuisle début de l’année en

cours, grâce à desprojets

d’investissementsfinancés dans le cadrede l’Agence Nationale

de Soutien à l’Emploi dejeunes (ANSEJ), a-t-onappris lundi auprès des

services de l’antennelocale relevant de ce

dispositif.

“Ces postes d’em-plois ont étécréés grâce à

223 projets de jeunes agréésdans le cadre du dispositifANSEJ”, a indiqué la même

source précisant qu’ il s’agitde 109 projets concrétisésdans le secteur de l’agricul-ture et 41 autres projets ontgénéré plus d’une centained’emplois dans le secteur del’industrie et la maintenance. Durant la même période, pasmoins de 29 entreprisesrelevant du secteur du

Bâtiment, Travaux Publics etHydraulique (PTPH), 33entreprises relevant du sec-teur des services et 5 autresdans l’artisanat ont été crééspar de jeunes promoteurs, a-t-on également appris auprèsde l’antenne locale del’ANSEJ. Le taux de finance-ment du secteur des services

est en nette régression pas-sant de 82 % en 2011 à 15 %durant les sept premiers moisde l’année en cours. Plus de 31410 postes d’em-ploi ont été créés dans lawilaya de M’sila depuis lamise en œuvre du dispositifANSEJ, a rappelé la mêmesource.

Dispositif ANSEJ à M’sila

Plus de 360 postesd’emploi créés

Par Philippe Silberzahn.

Dans un avenir proche,l’électricité évoluera, ce

que saisit le concept de ‘paritédivine’ : celle-ci désigne lasituation atteinte lorsqu’ildevient possible, avec lesolaire, de produire de l’électri-cité en dessous du coût defonctionnement du réseau tradi-tionnel.C’est à l’occasion d’une inter-vention auprès d’un acteur del’énergie que je me suis inté-ressé aux ruptures en coursdans ce secteur. Je n’ai pas étédéçu. Comme tant d’autres,l’énergie se trouve au carrefourde ruptures technologiques,géopolitiques, entrepreneuria-les et sociétales qui menacentdirectement les grands du sec-teur. C’est particulier vrai pourl’électricité avec le concept de‘parité divine’, situation atteintelorsqu’il devient possible, avecle solaire, de produire de l’élec-tricité largement en dessous ducoût de fonctionnement duréseau traditionnel. Nous nesommes pas loin, dans ce sec-teur, d’un point de bascule.Les ruptures dans le domainede l’énergie sont très nombreu-ses. Une recherche en a misplusieurs en avant :

Évolution de la réglementationL’une des sources majeures

de rupture est naturellementl’évolution de la réglementation.Nous passons d’un monded’opérateurs monopolistiquesgérés par l’État à un monde delibre concurrence. Cela imposeune transformation à marcheforcée pour les opérateurs his-toriques, obligés à courteéchéance de renégocier tousleurs contrats sur des basesparfois entièrement nouvelles.Les critères de choix sont pardéfinition nouveaux (car avant,il n’y avait pas de choix) et ontsouvent mal été anticipés : on apu se focaliser pendant desannées sur la satisfaction clientet sur la performance techni-que, pour découvrir que finale-ment l’énergie est… une com-

modité, et que le prix est l’argu-ment essentiel. Il y a là un chan-gement de culture induit qui estdouloureux (en gros, on passed’une culture d’ingénieur/pushà une culture commerciale/pull).On observe d’ailleurs que plusces opérateurs ont été protégéslongtemps, plus cette transfor-mation est douloureuse, etmoins ils ont de chance dedemeurer dans la course.

Effondrement des coûts des énergies

Prenant la plupart des ana-lystes à contre-pied, le coût del’énergie a considérablementbaissé ces dernières années.C’est bien sûr vrai pour lepétrole, qui est passé de 12$ lebaril en 1998 à 136$ en 2008,puis de nouveau à 30-50$ en2016. L’impact de cette varia-tion de prix est considérable : lepic de 2008 avait entraîné uneforte réaction, notamment desinvestissements massifs dansles énergies dites alternatives(solaire, éolien) qui se sont avé-rés non rentables dès lors quele pétrole a entamé une chutebrutale, juste après le pic (35$en 2009).L’autre grande baisse de prixconcerne celui du gaz. Celatient à la révolution technologi-que et entrepreneuriale du gazde schiste et du forage horizon-tal qui a eu lieu aux États-Unisdepuis une dizaine d’années.Contredisant toutes les prévi-sions, ce pays se trouve main-tenant à la tête d’immensesréserves de gaz qu’il peutexporter.Il y a naturellement de nom-breux facteurs déterminant leprix de l’énergie et au regard del’histoire, une seule certitude,les choses changeront encore :on raisonne sur les coûts bas àlong terme, mais nous seronstrès probablement, une nou-velle fois, pris par surprise…Mais cet effondrement neconcerne pas que les énergiesfossiles. Le plus impressionnantest celui du solaire. Selon leNational Geographic, le prix del’énergie solaire aux États-Unisa baissé de 70% depuis 2009.

Cela tient à plusieurs facteurs :le coût d’installation de pan-neaux solaires a baissé de 50%entre 2009 et 2014 (et la baissese poursuit), tandis que leur effi-cacité a beaucoup augmenté :SolarCity, l’une des entreprisesleader, associé à Tesla, estimeainsi que ses modules peuventproduire 38% d’électricité enplus que ceux de ses concur-rents, et qu’ils coûtent pourtantmoins cher à produire.Le résultat, c’est que lescontrats d’achat auprès desgrands producteurs de solaires’établissent en moyenne à 5cpar kilowatt heure, très prochedésormais des tarifs de l’électri-cité traditionnelle, qui se situententre 3c et 6c. Évidemment lescalculs se compliquent car ils ya des subventions et des incita-tions fiscales de tous bords,mais la tendance est là, et elleest massive.

Évolution chaotique du mix énergies

Ces évolutions de prix dupétrole et du gaz, on l’a vu, sontinattendues et démentent régu-lièrement les prévisions desexperts les plus chevronnés.Le nucléaire n’échappe pas àcette évolution : on avait évo-qué dans les années 2000 une« renaissance » du nucléaire,mais celle-ci fut stoppée net en2011 avec l’accident deFukushima. L’Allemagne décidealors d’abandonner brusque-ment l’utilisation de l’énergienucléaire, et de re-basculer surle charbon, que tout le mondes’était accordé à considérercomme obsolète depuis lesannées 1970.On passe du « tout pétrole +tout charbon + tout nucléaire »à l’éolien sans pétrole, puis denouveau au nucléaire, puisretour au charbon et au pétrole.Dur à suivre ! Entre-temps, l’éo-lien fait une apparition trèscontroversée.

Transformations « digital » et « data »Pas plus que les autres sec-

teurs, l’énergie n’échappe à lavoracité du digital, et il se trouve

au cœur de la grande bataillepour le contrôle de la domoti-que. Le compteur intelligent «Linky », qui produit une quantitémassive de données sur laconsommation d’une résidence,est la réponse d’ERDF à cetteévolution, mais il a fait l’objetd’une résistance très forte, surdes questions de santé publi-que mais aussi de confidentia-lité, qui montre combien lesacteurs traditionnels ont du malà obtenir de leurs anciens usa-gers et désormais clients lamême confiance qu’ils accor-dent pourtant si volontiers àApple ou Google.Il n’est pas du tout évident queces acteurs traditionnels réus-sissent à passer le cap de latransformation numérique dansla mesure où, comme tant d’ac-teurs avant eux, ils ne l’abor-dent que sous l’angle de la pro-blématique technique. Nokiaavait 10.000 ingénieurs logi-ciels, mais l’entreprise finlan-daise n’avait pas pour autantune culture logicielle. Elle avaitune culture matérielle et design,et elle n’a pas résisté à lagrande transformation du télé-phone d’un objet de communi-cation à une plate forme logi-cielle.

Développement de boucles locales

Dernière rupture notable etnon des moindres : la capacitédésormais en très forte aug-mentation, pour les entrepriseset les particuliers, de produireleur propre électricité à très fai-ble coût. L’effondrement descoûts des panneaux solaires etl’augmentation exponentielle deleur rendement constitue unfacteur-clé. Le développementde batteries intelligentes et per-formantes en est un autre.J’ai eu l’occasion d’écrire dansun article précédent à quel pointla batterie PowerWall de Tesla(encore eux) était révolution-naire. Elle l’est moins en raisonde ses performances purementtechniques qu’en raison du faitqu’elle s’inscrit dans un nou-veau réseau de valeur, où tou-tes les évolutions évoquées ici

se combinent pour disruptercomplètement le marché actuelde l’électricité.Le développement de la pro-duction locale remet complète-ment en question le modèled’affaire de toute l’industriedepuis un siècle, celui de lacentrale. Au contraire, on vaprobablement vers la décen-trale. À tel point qu’il ne seraplus possible à ces centralesd’être rentables. Leur coût esttel qu’elles n’ont de sens que sielles produisent massivement(modèle de coût fixe très élevé).Toute baisse de productionrésultant d’une baisse de lademande due au développe-ment de la production locale larapproche du seuil fatidique ducoût fixe, en dessous duquel onproduit à perte. En fait, seloncertains observateurs, la baissedu coût de production du solaireest telle qu’on va assez rapide-ment franchir ce seuil et attein-dre non plus le grid parity (c’est-à-dire le prix de production duréseau actuel de centrales)mais la god parity, la paritédivine, le point où l’électricitésolaire est tellement peu chèrequ’elle tombe bien en-dessousdu coût du réseau et que mêmesi le charbon, le pétrole et leplutonium étaient gratuits, lemodèle basé sur les centralesne serait plus rentable.On peut s’attendre à un bain desang, à moins que la consom-mation d’électricité soit telle-ment forte que les prix soientcontenus (développementsignificatif des voitures électri-ques par exemple).En conclusion, ces rupturestrès profondes – et il en existesûrement d’autres -ne remet-tent pas juste en question lesmarchés des acteurs classi-ques de l’énergie. Elles remet-tent en question les modèlesmêmes sur lesquels ils ontopéré et, au-delà, leur identitéprofonde. Si l’histoire offre uneleçon, c’est bien celle selonlaquelle la transformation demodèle - et donc d’identité -face à une telle rupture, estextrêmement difficile.

A la conquête de l’énergie électrique

La rupture qui menace les géants

Revisiter la gouvernance desdispositifs constitue un levier

déterminant pour améliorerl’insertion des femmes dans la

vie économique etparticulièrement dans le mondede l’entrepreneuriat, ont estimé

vendredi à Constantine desparticipants à la 2ème éditionde l’université d’été du Forumdes chefs d’entreprise (FCE).

“La nouvelle Constitution aconsacré la parité économi-que et a permis à la femme

algérienne de disposer de toutes ses

chances pour accéder au marché del’emploi et au monde entrepreneurial”, aprécisé la vice présidente du FCE,Nacera Haddad.

Soulignant l’importance de la forma-tion universitaire, Mme Haddad a, dansce sens, révélé que l’orientation des fil-les vers des filières leur permettant d’ac-quérir une culture entrepreneuriale,constitue désormais “un axe de travailprimordial pour le FCE”.

Elle a assuré, par ailleurs que le FCEs’engage à développer et promouvoiravec la participation de la société civile,l’entrepreneuriat des femmes et des jeu-nes, affirmant que l’entrepreneuriatdemeure “la clé pour un développementéconomique durable”.

Elle a ajouté qu’actuellement les fem-mes algériennes représentent 12% dumonde de l’entrepreneuriat en Algérie.

Au cours de ce panel, plusieurs fem-mes chefs d’entreprise, activant dansdivers créneaux d’activité, ont apportéleur témoignage sur l’entrepreneuriatféminin en Algérie.

La 2ème édition de l’université d’étédu FCE a été ouverte jeudi à l’hôtelMarriott en présence des ministres del’Industrie et des mines, AbdeslemBouchouareb le ministre de l’Agriculture,du Développement rural et de la Pêche,Abdeslem Chelghoum, le Secrétairegénéral de l’Union nationale des travail-leurs algériens (UGTA), AbdelmadjidSidi Said aux côtés d’une centaine dechefs d’entreprises et des experts enéconomie et a abordé, sous forme deconférence et des témoignages des thè-mes divers liés au monde économique.

La législation régulant la création desentreprises, le financement des projets,

la stratégie de l’exportation, l’entrepre-neuriat féminin et le rôle de l’Etat et desparties prenantes dans le processus detransformation économique étaient aucentre des travaux de l’université de l’étédu FCE.

Au cours des travaux de cette univer-sité, le président du FCE, Ali Haddad asalué les efforts consentis par la diplo-matie algérienne à l’issue de la réunioninformelle de l’OPEP tenue à Alger qui adébouché sur une réunion extraordinaireet une décision de stabiliser le marchédu pétrole.

“Cet accord laborieux a été obtenugrâce à l’aura diplomatique de l’Algériequi a toujours su user les arbitragesnécessaires et de ses grandes capacitésde négociations pour faire aboutir lesdémarches consensuelles”, a indiqué,dans la foulée, M. Ali Haddad.

Revisiter la gouvernance des dispositifs

Un levier pour insérer les femmesdans la vie économique

Production des cultures maraîchères à Ouargla

250.000 QX de différents produitsattendus

Une production de 250.025 quintaux de produits maraîchers sous ser-res est attendue à Ouargla sur une superficie de 385,25 hectares

réservée à la serriculture au titre de la saison agricole 2016-2017, a-t-onappris jeudi auprès de la direction des services agricoles (DSA). Cetteproduction, dont la campagne de récolte s’étale sur la période allant dedécembre 2016 à févier 2017, concerne différents produits maraîchers,dont la tomate (16.200 qx), la courgette (4.612,5 qx), le piment (3.800 qx),le concombre (3.625 qx) et la pastèque (192.600 qx), selon les prévisionsétablies par le Service de la production et de l’appui technique à la DSA.Une hausse est prévue par rapport à la saison agricole 2015-2016, quiavait permis d’enregistrer une production de 28.443 quintaux de produitsagricoles similaires, sur une superficie globale de 940 hectares, localiséesurtout dans les daïras d’Ouargla, Hassi-Messaoud, Sidi-Khouiled etN’goussa, a-t-on ajouté. La serriculture maraîchère a connu un essor, cesdernières années, dans la wilaya d’Ouargla, à la faveur des divers pro-grammes de développement accordés par l’Etat pour l’extension dessuperficies dédiées à cette filière dans divers périmètres agricoles. Ellese répartit sur le territoire de cette wilaya saharienne qui recèle d’impor-tantes ressources hydriques et d’immenses étendues de terres aptes à lamise en valeur, a-t-on souligné. La wilaya d’Ouargla, où la phœnicicul-ture est toujours la principale activité pratiquée par les agriculteurslocaux, a bénéficié également d’un important projet portant sur la réalisa-tion d’un complexe agro-industriel consacré à la production des culturesmaraîchères et localisé dans la zone de Ghamra, dans la commune deMégarine (170 km au Nord d’Ouargla).

Amélioration de la distributionde l’eau potable à Illizi

Divers projets en cours

Plusieurs projets sont en cours de réalisationà Illizi dans le but d’améliorer l’approvision-

nement en eau potable dans cette commune, a-t-on appris mardi des responsables de la direc-tion locale des ressources en eau et de l’environ-nement (DREE).Il s’agit, entre-autres opérations,de la réalisation dans la zone de Tinemri, au titredu fonds de développement des régions du Sud,d’un château d’eau d’une capacité de stockagede 3.500 m3. Cet ouvrage, dont les délais de réa-lisation ont été fixés à 16 mois, vise à contribuerà l’approvisionnement régulier de la populationlocale en eau potable, a-t-on souligné. Les servi-ces de la DREE font état aussi de la réalisationen cours d’un projet similaire d’une capacité destockage de 1.000 m3 au profit d’une populationde 920 habitants de la localité de “Belbachir”, à lasortie Sud d’Illizi.Le quartier Er-Rimel s’est vu doter, au titre duprogramme communal de développement, d’unréseau d’assainissement long de 500 mètreslinéaires, devant être raccordé au collecteur prin-cipal de la commune via une station de pompage.

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Mardi 4 octobre 2016ÉconomieRégionsInfos de Relizane :

Des pannes dans le réseau AEP

Les habitants de Sidi Khettaben colère

Selon une source

fiable de cette com-

mune qui nous a

affirmé que «le problème de

gestion d’un tel réseau des-

servant les douars mises sur

le giron de l’Algérienne des

Eaux, est dû au manque de

moyens». Les mêmes habi-

tants ont condamné l’absen-

ce du service d’imagerie

médicale, de maternité, des

analyses médicales et des

urgences. «L’insuffisance en

matière de couverture médi-

cale nous contraints de faire

appel à un transporteur pour

nous rendre à l’EPH de la

commune de Hmadna ou

l’établissement hospitalier

public Mohamed Boudiaf du

chef-lieu de wilaya, pour une

simple radio ou un test de

grossesse», déplore un

habitant de la localité. Dans

ce contexte, les habitants de

ladite commune susmen-

tionnée lancent un appel au

premier responsable de la

wilaya pour une prise en

charge totale de leur doléan-

ce et dont le but de dissiper

les nuages qui entourent la

région du Saint mausolée de

Sidi Khettab.

A.L.

Al’évidence, les habitants des ave-

nues de Bendaoued, n’ont pas l’in-

tention de baisser les bras et viennent

encore une fois de relancer le problè-

me lié à un litige concernant une station

de bus, dont ils ne cessent de contes-

ter la présence «polluante et désa-

gréable». En effet, selon les déclara-

tions de certains habitants, ils relancent

le problème de cette station qui, préci-

sent-ils, «ne cesse de nous créer des

problèmes depuis son installation. «

Cette affaire, évoquée à plusieurs

reprises, revient donc sur le devant de

la scène avec ces déclarations lancées

par les habitants dont les fenêtres et

balcons surplombent une «station d’où

émanent des fumées toxiques sorties

des tuyaux d’échappement qui pénè-

trent dans les appartement, qui ont

déjà provoqué des maladies respira-

toires aux personnes âgées et aux

enfants en bas âge». «Outre cette

situation des plus désagréable qui

nous oblige à fermer nos fenêtres, pré-

cise ces derniers, on se plaint du com-

portement des chauffeurs et receveurs

qui passent leur temps à hurler de cinq

heures du matin à tard dans la nuit».

Ainsi, ils demandent aux autorités

locales de déplacer cette station, «car il

y a un état d’exaspération qui risque de

dégénérer à tout moment». On n’écar-

te pas le recours à la protestation si

aucune mesure n’est prise. Interrogés

sur cette affaire, le président de l’APC

et les membres de la commission des

transports signalent «qu’il a été pris

note de ces réclamations formulées par

des représentants des habitants

concernés reçus dernièrement au

siège de la mairie, et envers qui des

engagements ont été pris pour que

cette affaire soit discutée et débattue à

la prochaine séance plénière, afin de

dégager une solution qui arrangera les

deux parties».

A.L.

Localité de Bendaoued

Une station de bus qui fait jaser

Le terrorisme routier» faitréagir le mouvement

associatif et les structuresconcernées à plusieursniveaux qui ne cessent demener campagne sur cam-pagne pour tenter d’atténuerles effets dévastateurs de cephénomène qui a pris del’ampleur. Et parmi lesgrandes opérations, l’onvient d’apprendre que deconcert avec d’autres orga-nismes publics, la radio loca-le de Relizane mène unevaste campagne de sensibili-sation et de vulgarisation ence sens. Mais c’est enthèmes mensuels qu’estabordée cette initiative,apparemment la première du

genre qui débutera, a-t-onappris, par un état des lieux,voire un diagnostic de cephénomène de la recrudes-cence des accidents de laroute qui n’épargnent per-sonne et où nul n’est à l’abri.Outre les statistiques etchiffres perçus comme unsigne voire une donne alar-mante, l’infrastructure routiè-re, la voirie en général, lesplans de circulation urbaineet rurale, la signalisation rou-tière, l’aspect humain etmatériel devrait être aumenu de cette campagne quiprivilégiera les mesures àprendre, les comportementsà tenir pour diminuer l’impactnocif dudit «terrorisme rou-

tier». Et là encore il ne s’agitpas de multiplier les pan-neaux de limitation de vites-se placés ici et là, au long denos chaussées, autoroutesoù la pose de caméras estune réalité tangible, maisd’agir sur les comportementshumains, voire toute une cul-ture pédagogique qui s’ap-prend en bas âge même sil’opération continue deretraits temporaires de per-mis de conduire est unemesure. En somme, il s’agitde réfléchir profondément etconjuguer tous les effortsintersectoriels pour prévenir,prémunir et responsabiliserceux qui sont au volant, dansnos routes, sur les dangers

qui les guettent et menacentautrui. C’est souvent le cas.Hélas des insuffisances sontlargement évoquées entermes d’état de la voirieurbaine, de positionnementde certaines plaques et mar-quage de la signalisation engénéral, et autres lignescontinues et discontinues quiconstituent de par leur malfa-çon un obstacle aux usagerslocaux et surtout ceux qui neconnaissent pas la région.L’initiative en question est àconsolider, soutiennent denombreux citoyens qui ontdû suivre le lancement et lesintentions colportés par laradio locale initiatrice.

A.L.

Avec la participation de mouvement associatif

Campagne contre le «terrorisme routier»

Les habitants de Hai Belhena et ses

environs, qui continuent encore à

utiliser le gaz butane, faute d’être rac-

cordés au réseau du gaz naturel, et ce,

en dépit des nombreuses demandes

adressées aux instances compétentes,

trouvent d’énormes difficultés, ces der-

niers temps, à s’alimenter en gaz buta-

ne. En effet, la seule station-service de

la ville qui distribue le butane n’a pas

été alimentée, depuis plusieurs jours.

Cette situation fait donc surgir le mar-

ché noir du butane et des individus,

sans scrupules, profitent de la situation

et n’hésitent pas à commercialiser les

bouteilles de gaz, sur le marché paral-

lèle. Pourtant, il y a risque dans le stoc-

kage du butane, vu qu’il faut respecter

des normes. Ces individus stockent les

bouteilles du gaz au niveau des habita-

tions et les mettent ensuite en vente à

des prix exorbitants. Le pauvre citoyen,

pris à la gorge et surtout stupéfait de

constater que le gaz naturel algérien

est déjà distribué dans les cités de

Lisbonne au Portugal, alors que son

raccordement à la cité de Hai Belhena

attend toujours! Alors que le prix du

butane, fixé par la loi, est arbitrairement

majoré par des individus sans scrupule

qui créent et profitent des crises. La

question qui demeure posée: Pourquoi

la station-service n’est-elle pas alimen-

tée en gaz butane? Y’a-t-il anguille

sous roche?

A.L.

Hai Belhena

Le gaz butane au marché noir

Annaba :Remise des clésde 392 logements AADL 1

� � Les clés et arrêtés de 392 logements detype location-vente ont été remis mardi àAnnaba aux souscripteurs du programmeAADL-1 au cours d’une cérémonie tenue ausiège de la wilaya. Ces logements représententla dernière tranche du programme AADL-1(2001-2002) de la wilaya d’Annaba portant autotal sur 900 unités réalisées au pôle urbainEucalyptus dans la commune de Berrahal, aindiqué le wali, Youcef Chorfa, qui a rappeléqu’une première tranche de 508 logementsavait été distribuée au mois de mars passé.Pas moins de 1.450 logements du programmeAADL-2 devront être distribués fin décembre2016 dont 700 dans la commune d’El Bouni et750 au pôle urbain Dhraâ Errich, a indiqué lechef de l’exécutif de wilaya. Le programmeAADL-2 prévoit au total la réalisation de 10.600logements à El Bouni et Dhraâ Errich, a-t-onindiqué l’occasion.

Prochaine campagnelabours-semailles à Sétif :152.000 quintaux desemences mobilisés

� � Plus de 152.000 quintaux de semencesont été mobilisés par la coopérative descéréales et des légumes secs (CCLS) de lawilaya de Sétif, en préparation de la campagnelabours- semailles 2016-2017, a indiqué mardile sous directeur des semences et appui à laproduction de la CCLS. La quantité dessemences réservée pour cette campagne quisera lancée au début du mois d’octobre pro-chain, a connu une augmentation de 32.000quintaux par rapport à la saison agricole précé-dente, a précisé Abdelhak Arab. Dans lesdétails, le même responsable a souligné que106 000 quintaux de semences ont été réser-vés pour le blé dur, 23.000 qx pour le blétendre, 20.000 qx consacré à l’orge, et 3.192quintaux pour l’avoine et sont répartis sur huit(8) centres de distribution, soit un (1) centre deplus par rapport à l’année dernière, et ce à tra-vers les communes de la capitale des Hautsplateaux. M. Arab a ajouté que plus de 10.000quintaux d’engrais phosphatés sont disponiblesactuellement au niveau de la CCLS, signalantl’acquisition prochaine d’une quantité desengrais azotés. En plus des engrais etsemences, la CCLS assure en outre la distribu-tion de divers équipements agricoles dans lecadre de sa stratégie d’accompagnement desagriculteurs, a-t-on conclu.

Le quartier de la cité EI Intissar Un cadre de vie déplorable

� � A première vue, ce qui attire l’attention cesont les poubelles entassées de manière anar-chique en divers endroits. Le quartier de la citéE Intissar, sis au chef-lieu de Relizane, nerépond malheureusement plus aux «normes devie», pour reprendre l’expression d’un citoyende cette cité populaire. En effet, à l’intérieur dece quartier, à première vue, ce qui attire l’atten-tion ce sont ces poubelles entassées de maniè-re anarchique en divers endroits, rendant l’at-mosphère irrespirable de puanteur. Un habitanta mentionné, dans ce contexte, l’absence delieux de collecte d’ordures ménagères. «Quecoûte une benne à ordure pour l’APC ?» s’in-terroge notre interlocuteur. Un autre, résidentdepuis 15 ans dans ce quartier sus -évoqué,explique que les habitants sont menacés demaladies à transmission hydrique (MTH) en rai-son du phénomène de débordement des eauxusées. La saleté et la dégradation de l’environ-nement ont transformé cette cité en un bidonvil-le. Les habitants limitrophes des fermes, fontface à un autre problème. Il s’agit de la visitedes sangliers dès la tombée de la nuit. «Lessangliers se transforment en animaux domes-tiques, sans oublier les rats !» dira un citoyen.Les habitants rencontrés sur les lieux n’ont pashésité à exprimer leur ras-le-bol et souleverleurs problèmes. La route principale, empruntéepar les transports en commun, est revêtued’une vieille couche de goudron, mince et usée.Ainsi, lorsque deux véhicules se croisent, l’und’eux doit obligatoirement s’arrêter afin de céderle passage à cause de l’exiguïté de la routedont la largeur ne dépasse pas les trois mètres.

A.L.

Les habitants de la commune de SidiKhettab, une localité située à une

trentaine de kilomètres, à l’Est du chef-lieu de la ville de Relizane dénoncent la

lenteur dans la réparation des pannessignalées sur les réseaux AEP.

Enjeux et opportunités du numérique en Méditerranée

Une semaine économique se tiendra à Marseille

Une semaineéconomique se

tiendra à Marseille, àpartir du 2 novembre

prochain, sur lethème “Le

numérique, pour uneMéditerranée

connectée”, durantlaquelle les 3000

participants, dont unedélégation de la

CACI France,examineront les

enjeux etopportunités du

numérique enMéditerranée.

Avec une vingtaine depays et environ 300intervenants, la mani-

festation “s’ouvre pour la pre-mière fois vers l’Afrique subsa-harienne”, ont indiqué mardi lesorganisateurs de cette ren-contre (2-4 novembre) au cours

d’un briefing à Paris sur l’évé-nement. A travers une théma-tique aussi variée que richeautour de l’industrie du numé-rique, ce rendez-vous se pen-chera essentiellement sur lesenjeux et opportunités dunumérique en Méditerranée, lesacteurs du numérique, l’impactdu numérique sur les filièreséconomiques et les territoires etsur les opportunités dont peu-vent bénéficier les entreprisesde cet accélérateur de crois-sance. Un atelier sur “L’Algérie :terre d’innovation dans le

numérique” sera organisé aucours de la Semaine par laChambre algérienne de com-merce et d’industrie en France(CACI France).

Pour les organisateurs,l’Algérie “fait partie des pays lesplus dynamiques du Maghrebavec l’essor d’une multitude destartups”, indiquant que l’objec-tif de cet atelier est de “réunirl’ensemble des acteurs concer-nés par le développement dunumérique et l’essor du digitalen Algérie”.

Une session sera en outre

consacrée à la “Transitionnumérique et mutation dessociétés en Méditerranée”, undes “temps forts” de laSemaine, selon les organisa-teurs, organisée par l’Office deCoopération Economique pourla Méditerranée et l’Orient(OCEMO). Un focus sera faitsur l’écosystème numériquelocal innovant, les “DataCenter” et les câbles sous-marins.

“L’information numérique enMéditerranée”, un atelier orga-nisé par le Club de la presse de

Marseille, offrira une autreopportunité pour des échangessur le développement du numé-rique dans les médias et lafaçon dont se diffuse l’informa-tion dans le monde méditerra-néen, en plus de “EuropeMiddle East & Africa BusinessForum” qui examinera l’ouvertu-re des frontières de la coopéra-tion économique enMéditerranée, sera l’occasion,selon les mêmes organisateurset pour les acteurs écono-miques de “se rencontrer et dedécouvrir les opportunités busi-ness offertes par le numériqueen Méditerranée”.

Par ailleurs, un autre voletsera consacré au Réseau desaménageurs de la ville durableen Méditerranée, ont ajouté lesorganisateurs, précisant quel’atelier sur “le numérique auservice du développement éco-nomique en Méditerranée”, fera“le diagnostic sur la réalité et lesopportunités de la créationd’emplois en Afrique du Nord etau Moyen-Orient en vue demettre en place des projets dedigitalisation et des pro-grammes de renforcement descompétences dans ces terri-toires”. De nombreux dirigeantset experts locaux, nationaux etinternationaux sont annoncés àcette rencontre.

Agence de notation Fitch

Meilleure note “AAA” à la dette de l’AustralieL’

agence de notation Fitch a confir-mé vendredi qu’elle attribuait sa

meilleure note, “AAA”, à la dette del’Australie, mentionnant des institutionssolides et une politique monétaire cré-dible.L’agence a justifié sa notation enmentionnant les institutions solides dupays, la croissance constante de l’éco-nomie au cours des deux dernièresdécennies (malgré la crise de 2008), unepolitique monétaire crédible et une dettepublique peu élevée.

L’Australie fait partie du club restreint

des pays dotés par les trois principalesagences de notation de la note de ladette souveraine “AAA”, qui lui permetd’emprunter à des taux avantageux surles marchés. Selon les estimations del’agence, le PIB devrait croître d’environ2,9% en 2016, tandis que le déficit del’Etat “continue à se détériorer”.

Il devrait atteindre 3% du PIB en2016 et 3,2% en 2018.

Quant à l’endettement des ménages,il représente près de 3 fois le revenu dis-ponible. “Le lourd fardeau de la dette est

supportable en raison des faibles tauxd’intérêt”, précise l’agence, mais il aug-mente “la vulnérabilité de l’économieface aux chocs”.

D’autre part, l’agence estime que leclimat politique accroît l’incertitude fisca-le. “Le nombre de sièges de la coalitionau Sénat a chuté suite aux élections dejuillet et le soutien de plus de dissidentssera nécessaire pour voter les lois”, s’in-quiète l’agence.

Certains économistes redoutaientque l’Australie ne perde son “AAA” après

la période d’incertitude politique qui avaitsuivi les élections législatives du 2juillet. Fitch avait évoqué “un blocagepolitique qui conduirait à une aggrava-tion du déficit et qui pèserait sur la note”tandis que SP Global Ratings menaçaitd’abaisser la note du pays, considérantque le gouvernement n’avait pas lesmoyens de modifier rapidement sa poli-tique budgétaire.La coalition conservatri-ce sortante, emmenée par le Premierministre Malcolm Turnbull, s’était finale-ment assuré une majorité au parlement.

Production de maïs à Ghardaia :

Une nette baisse attendueL

a récolte prévisionnelle demaïs sous-pivots attendue

pour la campagne automnale2016 dans la wilaya deGhardaia devrait enregistrerune “nette” baisse, a indiqué àl’APS le directeur de wilayades services agricoles (DSA).Cette diminution sensible de larécolte, comparativement àl’année précédente 2015, etdevant débuter au courant dumois d’octobre prochain, est lerésultat d’une diminution desplantations passant de 2.500hectares en 2015 à 900 hecta-re en 2016, a expliqué M. AliBendjoudi.L’année précédente 2015, laproduction de maïs d’ensilagea atteint un million de quintauxet 8.000 QX de maïs en grain

dont seul 6.800 QX de maïs engrain ont été enlevés par l’offi-ce national d’aliment de bétail(ONAB), a-t-il signalé.La quantité de maïs ensilé etenrubanné a connu l’annéedernière une mévente chez lesproducteurs de cette culturecirconscrite principalementdans les localités de Hassi-Lefhal, Hassi El-Gara et El-Menea (Sud de la wilaya),riches en ressourceshydriques, ce qui a dissuadéles céréaliers de la région deplanter le maïs en dérobédurant la période estivale, aprécisé le DSA.Cette réticence des agricul-teurs à planter le maïs estencouragée par l’absence cetteannée d’un contrat d’enlève-

ment de la production de maïsen grain par l’ONAB, a-t-il ajou-té, soulignant que seul 900hectares ont été emblavéspour la production de maïsensilage, cultivé en dérobéaprès la campagne de moissondestinée principalement àsatisfaire en premier lieu lademande croissante en fourra-ge pour le cheptel laitier de lawilaya de Ghardaia estimé àprés de 4.000 bovins.La problématique de la com-mercialisation de la productionagricole et autre aliments pourle bétail revient à la surface àl’approche de chaque périodede récolte, notamment dans lesrégions du sud qui enregistrentun manque en lieux de stocka-ge et moyens de transport, a

indiqué de son coté Hadj Kada,un agriculteur éleveur deGhardaia.“Nous trouvons des difficultéspour acheminer à partir despérimètres agricoles la produc-tion et la commercialiser pourle consommateur”, a-t-il souli-gné, ajoutant que la commer-cialisation de la productionconstitue un défi pour les agri-culteurs de Ghardaia.La première expérience pilotede culture de maïs dans larégion de Ghardaïa a été effec-tuée sur une surface agricolede 100 hectares en 2011,avant d’être étendue dans lecadre de la nouvelle politiqueagricole destinée à réduire lesimportations et élargir lagamme de production de

céréales.Considéré comme principalintrant dans la fabrication d’ali-ments de bétail et de volaille,les besoins de l’Algérie en ceproduit (maïs) sont dépendantsexclusivement du marché inter-national dont les cours ne ces-sent fortement d’augmenter etse répercutent sur les prix desproductions animales (viandes,lait, œufs), indique-t-on.Dans cette perspective, denombreux spécialistes préconi-sent l’utilisation des eaux épu-rées des stations de lagunagede Ghardaïa, El-Menea,Berriane et Guerrara pour l’irri-gation de cette culture de maïsdestinée uniquement à l’ali-mentation du bétail et devolaille.

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TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes Lecteurs Mardi 4 octobre 2016 RégionsRégions

Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique

Vers la création de pôlesd’excellence universitaires

Le ministre del’Enseignement supérieur

et de la Recherchescientifique, Tahar Hadjar,

a annoncé, samedi àTiaret, que son

département ministérielœuvre à la création de

pôles universitairesd’excellence permettant

une mobilité desétudiants à travers

différentes universités dupays.

Animant un point depresse en marge desa visite d’inspection

dans la wilaya de Tiaret, M.Hadjar a précisé que ces pôlesportent sur la création d’uni-versités spécialisées dans desdomaines précis permettantune mobilité des étudiants,ajoutant que son ministèreencourage la mobilité interwilayas des étudiants.Les universités implantéesdans les wilayas du pays ontun caractère national, a-t-il dit,avant de faire état d’une nou-velle politique visant à revoir lacarte universitaire à partir dece qui est disponible au niveaulocal avec l’implication desautorités locales et les repré-sentants de la société civile etde l’environnement économi-que dans le recensement desbesoins de chaque wilaya.Par ailleurs, M. Hadjar ne

trouve pas d’inconvénient àcréer une faculté de médecinedans la wilaya de Tiaret, expli-quant que “ceci reste tributairede la disponibilité des moyenshumains, pédagogiques etsurtout la présence d’hôpitauxuniversitaires.”Le ministre a en outre indiquéque la nouvelle tendance del’université, à l’heure actuelle,vise l’ouverture de nouvellesspécialités utiles à chaquerégion du pays et la recherchede solutions aux problèmesdont ceux inhérents au secteurde l’agriculture et à la circula-tion routière.M. Hadjar prévoit que la pro-chaine rentrée universitaire2017-2018 se déroule dans debonnes conditions dans lawilaya de Tiaret à la faveur de

structures pédagogiques etsociales à réceptionner dansla région.La visite du ministre a été mar-quée par l’inspection de pro-jets de son secteur qui serontréceptionnés prochainementdont 4.000 places pédagogi-ques, 1.000 lits et un centresocio-culturel.M. Hadjar a également visitéune exposition sur la vulgari-sation agricole au palais dessports “Belarbi Abdellah” àl’occasion de la célébration dela Journée nationale de la vul-garisation agricole, avant deprésider une cérémonie enl’honneur des vainqueurs auxconcours organisés dans lecadre du 9ème salon nationaldu cheval qui a pris fin samedià Tiaret.

Journées de pneumologie à Constantine

Pour une amélioration du taux de contrôle de l’asthme

L’amélioration du taux de contrôlede l’asthme figure parmi lesmesures importantes à prendre

en considération pour permettre une meil-leure prise en charge de la maladie, ontsouligné samedi des spécialistes au coursde la 2ème journée de pneumologie orga-nisée à l’hôpital militaire régional universi-taire de Constantine.

Le taux de contrôle de cette maladieen Algérie est de l’ordre de 10,6%, ontinformé des spécialistes en la matière quiont appelé à ‘’conjuguer les efforts’’ pouraugmenter ce taux et permettre ainsi unemeilleure prise en charge de cettemaladie.

‘’Contrôler l’asthme, c’est le maitriser’’,a estimé le professeur Ziane Benattou ducentre hospitalo- universitaire (CHU) deTlemcen qui a insisté sur l’importance del’organisation des soins dans l’améliora-tion du contrôle et de la prise en chargede l’asthme.

Il a appelé à des évaluations ‘’constan-tes’’ des traitements prescrits aux mala-des atteints de l’asthme, a indiqué que lel’Algérie dispose de tous les moyens

humains et matériels nécessaires pouraméliorer le taux de contrôle de cettemaladie qui demeure en déca des normesrequises. Dans ce contexte, le mêmeintervenant a indiqué qu’il était temps‘’d’organiser’’ les moyens disponibles(médicaments, outils de diagnostic et per-sonnel médical entre autres) pour attein-dre des taux de contrôle de l’asthmeallant de 20% à 30% (normes internatio-nales), a mis l’accent sur l’importance dela formation continue dans l’améliorationde la prise en charge de cette maladie.

Les participants à cette journéed’étude qui ont appelé à ‘’revoir les pointsfaibles’’ et aller vers une démarche d’ac-compagnement des malades atteints decette maladie’’, ont mis l’accent égale-ment sur l’importance du ‘’climat familial’’dans la prise en charge de cette maladie.

Qualifiant l’asthme de ‘’syndrome àplusieurs facteurs et formes immaîtrisa-bles’’, le Pr Abdelhak Moumeni, a indiquéque cette maladie pose un véritable pro-blème de santé publique puisqu’il existeen nombre important en Algérie avec deprévalence avoisinant les 4% chez

l’adulte et jusqu’à 8% chez les enfants.L’intervenant qui a insisté sur l’impor-

tance de ‘’trouver des consensus théra-peutiques adaptés aux moyens disponi-bles’’, a préconisé de ‘’cerner les facteursde risque comme la pollution intérieure etextérieure), de sensibiliser la population,et de former le personnel’’ pour permettreune meilleure prise en charge despatients.

L’asthme est tellement ‘’diversifié’’ qu’ilfaut le ‘’suivre de manière rigoureuse etconstante’’, ont estimé les participants àcette journée d’étude qui se veut uneoccasion pour débattre les moyens scien-tifiques, et psychologiques à mettre enœuvre pour permettre aux maladesconcernés de ‘’mieux vivre avec cettemaladie et l’accepter’’.

Les participants qui ont fait état desdangers représentés par le développe-ment industriel que connait l’Algérie et lesconditions météorologiques instablesdans l’aggravation de cette maladie, ontappelé à une prise de conscience géné-rale pour limiter au maximum les retom-bées et la propagation de cette maladie.

Oran :

Lancement prochain de la chirurgie de la colonne vertébrale

La clinique spécialisée enchirurgie orthopédique et

rééducation fonctionnelle desvictimes d’accident du travail deMisserghine (ouest d’Oran) selancera, avant fin 2016, dans lachirurgie de la colonne verté-brale, a-t-on appris du directeurde cet établissement de santépublique. Cette pratique chirur-gicale délicate prendra encharge, au départ, certains casde différentes couches de lasociété, a indiqué DjellatAbdelkrim, soulignant que lapriorité sera accordée ensuiteaux victimes des accidents du

travail, aux travailleurs assuréset ayants droit et aux nécessi-teux. Ce projet intervient enapplication des orientations duDirecteur général de la Caissenationale d’assurance sociale(CNAS) dont relève la clinique,pour prendre en charge desmalades de la colonne verté-brale et réduire, par consé-quent, les transferts à l’étran-ger. Grâce à la compétence dustaff médical en place et deséquipements sophistiqués misà sa disposition, cette clinique aréussi à faire un bond qualitatifen matière de chirurgie ortho-

pédique depuis son lancementen 2009 commençant au départpar les membres inférieurs.

Dans ce sens, elle a adopté,en 2010, la chirurgie arthrosco-pique portant sur la pose de laprothèse totale de la hanche etdu genou et qui a réalisé desrésultats jugés positifs grâce aupartenariat avec le professeurBenbouzid de l’hôpital de BenAknoun (Alger) et de son staffmédical. Dans ce domaine, lenombre des interventions chi-rurgicales est passé de 25 à100 par an contre deux seule-ment en 2012, a souligné le

directeur de la clinique. Forte de ce succès dans

cette chirurgie encadrée par unspécialiste, Ramdane Rafik, laclinique s’est tournée, dans lecadre de l’élargissement duchamp de ses activités, vers lachirurgie de la colonne arthros-copique, après s’être dotéecette année d’un autre appareilde pointe. Cette clinique, quiinvestit davantage dans la for-mation de son staff médical etparamédical, s’est lancée dansla chirurgie arthroscopique del’épaule qui comporte le diag-nostic et le traitement épar-

gnant aux blessés le déplace-ment d’un hôpital à un autre, enplus de l’introduction de la chi-rurgie de la main (spécialitérare en Algérie) et de la neuro-chirurgie encadrées par le spé-cialiste Midas Djawad et sonconfrère Dr Barka.

Spécialisée aussi en réédu-cation fonctionnelle, la cliniquedispose de trois spécialistes entraumatologie, deux autres enréanimation, ainsi que de struc-tures sanitaires et équipementsmodernes. Elle s’occupe égale-ment des enfants handicapésmoteurs.

La cité des 140 logementsà Ouled Yaich, à quelquesencablures du siège de lawilaya de Blida, est dansun état déplorable. «Notrecité est marginalisée»,décrie le président de l’as-sociation du quartier, par lebiais d’une requête adres-sée aux autorités concer-nées dont une copie est ennotre possession. En ajou-tant, «depuis que nousavons occupé nos loge-ments, nous n’avons pascessé d’attirer l’attentiondes responsables des dif-

férents niveaux sur leslacunes décelées, envain». Le rédacteur de larequête a tenu à manifes-ter son mécontentementquant à «l’insuffisance del’éclairage public, à l’étatdéplorable dans lequel setrouve l’unique chemindonnant accès à la cité età la dégradation totale destrottoirs à cause des tra-vaux de creusement». Leshabitant réclament, entreoutre, l’éradication desodeurs nauséabonde quise dégage des dessous

des immeubles suite à ladégradation des réseauxd’assainissement et laréhabilitation du tissuurbain ainsi que l’entasse-ment des ordures qui jon-chent à même le sol, fautede poubelles.L’aménagement d’unespace vert et la réalisa-tion d’une aire de jeu pourles enfants de la cité sontégalement inscrits parmiles préoccupations deshabitants de la cité des140 logements d’OuledYaich.

Localité d’Ouled Yaich

La cité des 140 logements marginalisée

Cette agglomération s’estime margi-nalisée par les élus locaux de

Meftah, et des pères de famille se sontrapprochés de nous pour attirer l’atten-tion des autorités locales. Abritant plusde deux mille habitants s’estime margina-lisée par les élus locaux de Meftah, et despères de famille se sont rapprochés denous pour attirer l’attention des autoritéslocales. Selon leurs dires, le secteur del’habitat est inexistant, puisqu’aucun pro-gramme de logement rural et logementsocial n’a été concrétisé. Un sexagénaireaffirme : “Nous sommes une douzaine depersonnes entassées dans une seulechambre, et nos enfants adultes ne peu-vent pas se marier, faute de logement !Nous vivons un véritable enfer, et nousespérons que le chef de daira prendra enconsidération nos légitimes attentes !”Cette carence a engendré un cadre de

vie médiocre, avec des trottoirs inache-

vés et les désagréments causés par la

boue lorsqu’il pleut. En effet, l’absence

d’alimentation en gaz, l’indisponibilité du

premier liquide (eau), le manque de

développement local, la question du loge-

ment pour ne citer que cela, toutes les

principales revendications des citoyens

ont été adressées aux responsables

concernés. Cette situation insupportable

pousse quelques jeunes de la localité

vers la délinquance. Toutes les conditions

élémentaires d’une vie décente man-

quent aux habitants. Cependant, ces der-

niers sollicitent l’intervention des respon-

sables locaux, pour remédier à cette

situation, afin d’améliorer un tant soit peu,

leur cadre de vie. En attendant que la

situation s’améliore, les habitants de la

ferme Zougari.

La ferme Zougari (Meftah)

Les habitants s’estiment lésés

Echos de Médéa :

Transport scolaire à MezghenaLe calvaire quotidien des élèves

� � Les élèves qui habitent dans

les villages Gtatèche et Mamria,

relevant de la commune de

Mezghana, vivent le calvaire. Ces

élèves scolarisés sollicitent le droit

au transport scolaire, d’autant qu’ils

affrontent chaque jour les dangers

de la route. En effet, des dizaines

d’élèves traversent des routes et

des chemins classés dangereux.

«La vie de nos enfants scolarisés

dans des établissements situés loin

des villages est menacée. C’est un

véritable danger qui peut entraver

la scolarité de nombreux enfants.

Les parties concernées devraient

se pencher sur cet épineux pro-

blème le plus tôt possible pour pro-

téger nos enfants», dira un parent.

Les problèmes liés à l’absence de

transport scolaire ont été posés à

plusieurs reprises par les parents

d’élèves, mais les solutions tardent

à venir. De l’avis de plusieurs sour-

ces proches du secteur de l’éduca-

tion de la wilaya de Médéa, le

nombre de bus qui assurent le

transport des élèves des trois

paliers est insuffisant. Le manque

de bus scolaires est l’une des cau-

ses liées à la déperdition scolaire.

«Les dangers qui guettent nos

enfants scolarisés, à cause du

manque de transport scolaire,

remontent à des années. Cet épi-

neux problème se pose chaque

année scolaire. Hélas, les concer-

nés font la sourde oreille. Nous

demandons quelques bus pour

assurer le transport de nos enfants

et éviter les dangers de la route»,

conclura un groupe de parents

d’élèves.

Z.M.

Le nouveau CEM de BirBen Abed, dans la com-

mune de Bir Ben Abed, loca-lité de la daïra de Guelb El-Kebir, située à 83km à est dela wilaya de Médéa attendtoujours l’ouverture d’unecantine. Cette cantine n’apas encore ouvert ses portesaux élèves scolarisés au seinde cet établissement malgréle CEM a vu le jour depuis

6ans. La raison de ce retardreste toujours ambigüe.Cette situation a engendrédes désagréments auxenfants scolarisés, dont cer-tains font plusieurs kilomè-tres pour rejoindre leurs mai-sons pour déjeuner, avectous les risques qu’ils peu-vent rencontrer durant celong trajet. D’ailleurs derniè-rement un enfant a failli être

fauché par un véhicule quiroulait à vive allure. Pour sapart, la Directrice de cet éta-blissement a tout fait pourque la cantine ouvre ses por-tes mais les responsablesfont l’oreille sourde. Ce n’estpas là le seul problèmeauquel fait face cette com-mune en matière d’infrastruc-tures éducatives. On citeraaussi le nouveau lycée, dont

la cantine est achevée mais

demeure encore non opéra-

tionnelle. L’infrastructure

manque d’équipements

nécessaires, notamment en

matière de tables. Même

l’accès à cet établissement

n’est pas encore pris en

charge et demeure à l’état de

piste.

Nouveau CEM de Bir Ben Abed

L’ouverture d’une cantine scolaire se fait attendre

AMeftah, ce n’est

pas uniquement le

gaz de ville qui fait

défaut. L’alimentation en

eau potable constitue éga-

lement un souci majeur.

Les habitants affirment ne

recevoir le précieux liquide

que deux fois par semaine,

ce qui est très insuffisant

pour couvrir leurs besoins.

Rien n’a été fait cependant

pour remédier à cette

situation, précisent-ils en

dépit du fait que ce pro-

blème a été porté à main-

tes reprises à la connais-

sance des autorités

concernées. En termes

d’infrastructures de loisirs,

nos interlocuteurs déplo-

rent l’absence criarde d’ai-

res de jeux et de détente

notamment pour les plus

jeunes. «Nous voulons

que nos enfants aient d’au-

tre activités que le trans-

port de l’eau ou des bou-

teilles de gaz butane, que

notre village bénéficie de

projets de développement,

que l’on y installe enfin

l’éclairage public. Bref que

nous soyons considérés

comme des citoyens à part

entière», nous dira avec

beaucoup d’amertume, un

habitant de Souakria.

Z.M.

Localité de Meftah

Les habitants réclament le gaz de ville

Echos de Blida : Touaibia (Beni Slimane)La pénurie d’eau potablecontinue

� � La pénurie d’eau enregistre despics qui rendent le quotidien descitoyens de la wilaya de Médéa des plusardus. Plusieurs communes vont connaî-tre un été marqué par une crise d’ali-mentation en eau potable. Cette pénuried’eau n’a pas laissé les citoyens indiffé-rents, puisque dans plusieurs localitésdes actions de protestation ont eu lieuces trois derniers jours, avec notammentla fermeture de plusieurs axes routiersdans le but d’attirer l’attention des autori-tés concernées par la gestion du liquideprécieux. Dans la commune de BeniSilimane, entre autres, les citoyens nousont confié que la localité n’a pas étédesservie en eau potable depuis long-temps. «Nous sommes obligés de louerdes citernes d’eau. Une eau qui est loinde répondre aux exigences d’un mini-mum d’hygiène. Nous utilisons cette eauuniquement pour le lavage puis, il fautse démener pour trouver de l’eau buva-ble», déplore Mohamed, un jeune, rési-dant dans le village de Touibia. Ce der-nier est l’un des plus affectés par le pro-blème de la pénurie d’eau. Ce problèmese pose également en hiver, mais ils’exacerbe en été. La situation est iden-tique dans le village de Souk Larbaâ.Les citoyens, par exemple, souffrent lemartyre depuis le début de l’été et cha-cun doit se démener à sa façon pour seprocurer sa ration quotidienne d’eaupotable. Cette pénurie d’eau n’a paslaissé les citoyens indifférents, puisquedans plusieurs localités des actions deprotestation ont eu lieu, avec notammentla fermeture de plusieurs axes routiersnotamment RN18 dans le but d’attirerl’attention des autorités concernées.

Boulevard Tahtouh Le poumon commercialpar excellence

� � Situé au cœur même de la ville deMédéa, le Boulevard de Tahtouh est unendroit très prisé par la population. Il estquotidiennement fréquenté par des cen-taines de personnes et tout est ouvertjusqu’à 18h. Les différents magasins ducentre ville sont littéralement pris d’as-saut par des jeunes et des femmes leplus souvent accompagnés de leursenfants pour acheter de nouveaux vête-ments, où plusieurs commerçants sesont spécialisés dans le créneau d’effetsvestimentaires, notamment pour enfants.Par contre, ce qui paraît surprennentc’est habiller un adolescent qui revientmoins cher que d’habiller un enfant. Endépit de la hausse du prix des vête-ments pour enfants, les boutiques deprêt-à-porter ne désemplissent plus demonde où des queues sont observéesau niveau des caisses en cette périoded’automne. Evènement oblige. Lesparents rivalisent d’ardeur pour satisfaireleurs chérubins. Le Boulevard deTahtouh est l’avenue commerçante deMédéa par excellence. Les visiteurspeuvent trouver des vêtements, deschaussures, des ustensiles de cuisine,de produits de beauté et bien d’autresencore qui font du Boulevard un endroittrès populaire pour les sorties quotidien-nes. Les nombreux restaurants et cafésayant pignon sur rue des deux côtés decette grande artère, sont des établisse-ments parfaits pour refaire ses forces ouregarder simplement les passants. Larue commerçante la plus distinguée dela ville, de somptueuses villas du chan-gement de siècle accueillent quelquesélégantes boutiques de toutes sortes aucharme distingué. En bref : LeBoulevard de Tahtouh est devenu cesdernières années un lieu incontournablepour les passionnés de shopping àMédéa. Au passage, une petite pausecafé pour siroter un bon thé à la menthebrûlant.

Investissement à Skikda : 36 actes de concessions agricoles délivrés

� Trente six (36) investisseursont bénéficié samedi d’actes deconcession de terres agricolesdestinés à l’élevage bovin et à laproduction laitière, à l’occasion dela célébration de la journée natio-nale de la vulgarisation agricole,a-t-on constaté.Ces exploitants agricoles ontbénéficié de fonciers à Mekassadans la commune de BekkouchLakhdar (Est de Skikda) s’éten-dant sur une superficie globale de230 hectares (soit 5 à 30 hectarespar bénéficière), selon la directionlocale des services agricoles(DSA).Le wali, Faouzi Benhassine, qui a

procédé à la distribution symboli-que de dix (10) actes de conces-sion, au complexe sportif de proxi-mité de la commune d’AïnCharchar, a rappelé que cescontrats sont inscrits dans lecadre de l’application de la circu-laire ministériel portant créationd’exploitations agricoles, souli-gnant que des surfaces agricolesont été aménagées pour concréti-ser le programme ambitieux d’éle-vage bovin.Trois (3) périmètres agricoles tota-lisant 336 hectares ont été créesdans les communes de BenAzzouz, Bekouche Lakhdar etMedjez Edchiche, a-t-on encorenoté, précisant que 40 agricul-teurs ont bénéficié de lots dansses périmètres agricoles.Le chef de l’exécutif local, mettantl’accent sur la nécessité d’accom-pagner les agriculteurs dans leursprojets, a affirmé que ses servicesœuvrent à réunir toutes les condi-tions nécessaires et requisesdans la réussite du programme dela vulgarisation agricole.Il a relevé l’importance de l’encou-ragement de l’investissement agri-cole à travers la mise à la disposi-tion des investisseurs du fonciernécessaire pour la réalisation desprojets en mesure de booster lesecteur de l’agriculture dans lawilaya de Skikda.La cérémonie de célébration dela journée nationale de la vulgari-sation agricole, tenue dans lacommune d’Aïn Chachar, a étémarquée par la présence desacteurs du secteur de l’agriculture,de propriétaires d’exploitation agri-coles ainsi que d’anciens bénéfi-ciaires d’actes de concession.

Les habitants de Meftah souffrentle calvaire au quotidien. Sur place

des habitants du village nousapprennent que le problème de

l’alimentation en gaz de ville qui atoujours hanté leur vie, surtout enhiver où la température descendau-dessous de zéro, n’a toujours

pas été réglé malgré lespromesses des autorités locales.




TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes Lecteurs Mardi 4 octobre 2016 Mardi 4 octobre 2016Monde

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PRÉSIDENTIELLE 2017 EN FRANCE

Il est assez étourdissant de sedire que passé le printemps, laFrance aura scellé son sort pourcinq ans supplémentaires.L'élection présidentielle de 2007

avait soulevé un vrai enthousiasme (laparticipation fut de 84 %) car on avaithâte de sortir de l'immobilisme chira-quien. Celle de 2012 a généré un vraisuspens politique : la gauche laminéeen 2002 allait-elle revenir au pouvoir ?Qu'attendre de celle de 2017 ? J'aime lapolitique, mais là… Ni nouveauté, nisuspense, ni débat de fond.

Une élection de sortantsOn aura Hollande (le sortant), ouSarkozy (le sortant d'avant), ou Juppé(un ancien apparatchik de JacquesChirac, le sortant d'encore avant) ou LePen (ah là, on pourrait croire qu'il y a dunouveau, mais, non, on est bien tou-jours dans l'étatisme, j'en ai parlé ici etlà). Aventurons-nous plus loin : on auraJuppé ou Le Pen. Et encore plus loin :on aura Juppé. Je prends des risques,mais c'est bien ce qui se profileaujourd'hui. Et dans ce cas, ainsi quel'analysait audacieusement h16, atten-tion danger !Quand je me suis interrogée sur lesdeux candidats qui accéderaient ausecond tour, j'ai abouti à Juppé Le Penou Sarkozy Le Pen. J'en avais concluque si la gauche voulait se hisser ausecond tour, il faudrait qu'elle abatted'abord Juppé qui jouit d'intentions devote à hauteur de 30 % au premier tour,tandis que Sarkozy n'est qu'à 20 % (à lalouche), ce qui rendrait la tâche du can-didat socialiste plus facile. Or depuis,tous les coups, toutes les tentatives dedéstabilisation, se concentrent surNicolas Sarkozy.

Sarkozy et les affairesAu début du mois, le parquet ademandé son renvoi en correctionnelledans le cadre de l'affaire Bygmalion.L'affaire du financement libyen de sacampagne de 2007 revient sur le devantde la scène avec un document beau-coup plus crédible que le précédent (il yest question de 6,5 millions d'euros etnon plus 50, pour une campagne dont lemontant fut de 21 millions environ).

Enfin, Patrick Buisson, son ex-conseilleret inspirateur d'un discours proche decelui du Front national, vient de sortir unlivre, La cause du peuple,dans lequel ilbrosse de lui le portrait peu attrayantd'un sociopathe exhibitionniste et calcu-lateur de court-terme, au moment où ilprétend se faire réélire par les Français.Ajoutons à tout cela que récemment,certains électeurs socialistes, déçus deFrançois Hollande ou simplementinquiets de ne pas voir la gauche parve-nir au second tour, ont fait part de leurintention de participer à la primaire dedroite pour soutenir Juppé. Comme ils'agit d'une primaire ouverte, c'est trèssimple, une carte d'électeur, 2 euros etune petite signature suffisent. En 2017,le bulletin Juppé pour contrer Marine LePen leur resterait moins en travers de lagorge que le vote Sarkozy.

La gauche absente du second tourAu vu de tous ces éléments adversesqui sont venus obscurcir l'avenir prési-dentiel de Nicolas Sarkozy d'un seulcoup, on en vient presque à se deman-der si l'inquiétude de quelques militantsquant à la présence de la gauche ausecond tour n'est pas, en fait, définitive-ment actée par le Parti socialiste lui-même en personne. Ayant perdu toutespoir de faire gagner Hollande, dont le" ça va mieux " vient de subir une nou-velle fissure profonde avec la publica-tion des mauvais chiffres du chômage àfin août, il se ménagerait ainsi le candi-dat de droite le plus acceptable auxyeux de la gauche. Un candidat dedroite qui a de plus annoncé qu'il neferait qu'un mandat. La frénésie à fairefront contre Nicolas Sarkozy me paraitincompréhensible autrement.Du côté des sondages pour la primairede droite, Nicolas Sarkozy a aussi dequoi faire grise mine. Alors qu'il semblaitcombler en partie son écart avec sonprincipal rival en début de mois, alorsqu'il affichait sa confiance dans le faitqu'il allait gagner les primaires, il reperddu terrain tandis que Juppé progresse.Selon un sondage Sofres publié mer-credi dernier, Juppé serait à 39 % etSarkozy à 33 %. Les autres candidatssont loin derrière (Le Maire 13 %, Fillon8 %, NKM 4 %). Au second tour, Juppé

l'emporterait avec 59 % des voix.Sarkozy resterait dominant chez lessympathisants LR, tandis que 90 % dessympathisants UDI ou Modem se repor-teraient sur Juppé.

Mariton invalidéEt voilà qu'Hervé Mariton, confronté àdes invalidations de parrainages, arejoint Juppé. Drôle d'attelage. Sur lestrict plan des idées, c'est-à-dire unecertaine dose de libéralisme économi-que associée à une position plusconservatrice sur le plan sociétal, jel'aurais vu aller vers Fillon. Mais il repro-che notamment à ce dernier ses proxi-mités avec la Russie de Poutine (moiaussi). Il prétend de plus avoir l'assurance depouvoir continuer à défendre ses idées,libérales d'une part et anti-GPA d'autrepart, dans l'environnent Juppé. Son poids politique est cependant telle-ment faible qu'il y a peu de chance qu'ilparvienne jamais à infléchir le tropisme "pour un État fort " d'un Juppé qui se dit "libéral, social et gaulliste " (comprendreétatiste) et qui reçoit en quelque sorte labénédiction du Parti socialiste.Les jeux ne sont pas faits, mais on estclairement arrivé à la saison des évalua-tions, des négociations et des fusionsen vue des primaires et de la présiden-tielle. N'oublions pas non plus les électionslégislatives qui vont suivre, et, peut-êtreencore plus important pour les carrièresdes " petits " candidats, la nominationultérieure d'un Premier ministre et la for-mation d'un gouvernement. Dans cette perspective, tout le monde aregardé de près les sondages et a cher-ché le " mieux-disant numérique. "D'aucuns appellent ça retourner saveste pour aller à la soupe.

Où se situe le débat national surl'avenir du pays ?

Beaucoup d'activité de ce côté-là, donc.Par contre j'ai beau m'intéresser à la

politique, j'ai du mal à voir où se situe ledébat national sur l'avenir du pays. Onparle de l'élection présidentielle. Commele disait François Hollande à juste titre, -et j'aime bien le citer car c'est peut-êtrela seule chose bien qu'il ait jamais dite(sans se l'appliquer, ne rêvons pas) :Ce qui fonde un projet de société,c'est le moment de la campagneprésidentielle où le candidat affirmeson projet et reçoit du suffrage universell'autorisation de le traduire. (FH lorsd'un débat Le Monde sur la réformede la France, 2008)Refaisons la liste de quelques sujets defond : le chômage est au plus haut, lacroissance est en panne, la dette publi-que continue d'augmenter et frôle les100 % du PIB, le poids de l'État danstous les domaines d'activité pèse sur laFrance par ses prélèvements financierstoujours plus élevés et par ses régle-mentations aussi abondantes qu'ubues-ques, le budget 2017 que viennent denous concocter les deux acrobates deBercy " fragilise la trajectoire des finan-ces publiques à compter de 2018 ",l'Éducation nationale est abandonnée àl'idéologie du pédagogisme et du "vivrensemble " réunis, l'ascenseur socialest complètement en panne, les jeunesdiplômés sont de plus en plus nombreuxà quitter la France, la cohésion socialeest mise à mal et les Français, inquietset tétanisés par un avenir sans perpecti-ves, se regardent en chiens de faïence.Au pays du " vivrensemble " triomphant,la défiance domine.

La plaie du terrorismeLe terrorisme, plaie mortelle soudainajoutée à tous les renoncements des 40dernières années, est combattu avecune négligence coupable par le gouver-nement et instrumentalisé à des finsélectorales par l'opposition de droite laplus identitaire. Comme si on allait com-battre le terrorisme avec la loiRenseignement qui surveille tout lemonde tandis qu'un individu fiché S por-

teur d'un bracelet électronique sebalade et assassine à sa guise. Commesi on allait combattre le terrorisme eninterdisant à une poignée de femmesmusulmanes de porter des burkinis surles plages !Et que nous disent nos hommes politi-ques? Quel est le grand projet desociété qui va vraiment briser nos chaî-nes, celles de la course folle vers tou-jours plus de protections et de régle-mentations, vers toujours plus d'impôtset de charges ? Ils nous disent " nosancêtres les Gaulois ", ils nous disent "camp naturiste à Paris ", ils cherchent lebuzz et font assaut de petites phraseset d'éléments de langage.

Toujours plus d'EtatEt parmi les éléments de langage, l'État,toujours l'État, auquel il faut redonner unrôle, comme s'il n'avait pas déjà tous lesrôles :En se faisant à nouveau stratège, acteuret fédérateur, l'État doit construire unnouvel élan, un élan partagé. (AlainJuppé 2017, rubrique Culture)" Élan partagé ", comme c'est beau ! Etpuisqu'on en parle, vous avez visité lesite de campagne d'Alain Juppé, notregrand homme de la présidentielle ? Jevous le conseille, cela ne vous retarderaguère tant c'est léger. À moins de deuxmois de la primaire, certains chapitressont d'une maigreur affligeante. Celui qui traite des comptes publics faità peine 12 lignes. Il est chapeauté d'unegrande déclaration :" Il faudra remettre en cause le périmè-tre d'intervention de l'État, ne plus toutdemander à l'État. "Là encore, de quoi parle-t-on ? Quelssecteurs précisément seront affectés parla remise en cause du périmètre ? PourJuppé comme pour d'autres candidats,l'objectif serait de ramener la dépensepublique à 50 % du PIB en 2022, contre 57 %aujourd'hui. Avec la subtilité des baissesde dépense " en tendance ", on y arrivesans problème en tablant sur une crois-sance de 1,5 % par an pendant 5 anssans toucher aux dépenses publiques.Bref, c'est grandiose, c'est vague etpour les réformes structurelles, on verraplus tard.

Juppé et la cohésion socialeLe chapitre sur la cohésion socialeserait plutôt vague et lénifiant.Exemple :" Agir, c'est enfin changer notre regardsur les plus vulnérables, à qui nousdevons tendre la main pour leurredonner toute leur place dans notresociété. "D'autres chapitres sont davantage rem-plis, notamment tout ce qui concerne "Pour un État fort ", c'est-à-dire le réga-lien, mais les formulations restent sou-vent générales et les projets de créationde haut conseil de ceci et de code decela abondent et surabondent.Et je ne parle même pas du Front natio-nal, dont le programme économiquepour 2017 n'est pas encore connu, maisdont on sait que celui de 2012, avec sonhorreur des " puissances d'argent ", seshausses brutales du salaire minimum etdes pensions, et son étatisme répandupartout, est une parfaite copie de ce quenous a fait Syriza en Grèce, et de cequ'aimeraient faire Podemos enEspagne ou Mélenchon en France,modulo de moins en moins de différen-ces sur la politique migratoire. Et dire que c'est dans ce parti rétro-grade d'extrême-droite ou dans sonpendant d'extrême-gauche que presque40 % des Français pensent trouver unesolution à nos malheurs !

Qui aura le courage des réformes ?

Qui se décidera enfin à dire que notreÉtat nous dévore, que l'État-providenceest en faillite financière, qu'il ne survitque parce qu'il consomme en perma-nence une énorme part des richessescréées par ailleurs. Que la protection qu'il nous procure estarrivée à un stade où elle nous masquela réalité : elle nous coule tous les joursun peu plus. Qu'il est illusoire de vouloir réformer unsystème à bout de souffle devenu com-plètement inadapté. Qu'il faut d'urgence passer à un autremodèle, à un modèle qui laisse à cha-cun la liberté de choisir ce qui luiconvient ? Ni Hollande, ni Sarkozy, niJuppé, ni Le Pen.J'aime bien la politique, mais là…

Qu'attendre de l'élection présidentielle de 2017 ? La politique peut être passionnante, mais là… Ni nouveauté, ni suspense, ni débat de fond.

En règle générale, à laquestion : " Quel est l'hommele plus puissant du monde ? ",on répond : " le président desÉtats-Unis ". Seulement, uneanalyse plus fine révèlederrière lui quelqu'un de pluspuissant encore…

Dans deux mois, il revien-dra, très probablement,à Hillary Clinton de

devenir " La femme la plus puis-sante de la planète". En dépit du consensus sur cettedésignation, on me permettrad'adopter une position dissi-dente, sans doute paradoxalemais pas totalement, en attri-buant la palme non à BarackObama, mais à John G. RobertsJr, dont le lecteur n'a sans doutejamais entendu parler.

Le plus jeune président de la Cour suprême

Depuis 2005, nommé parGeorge W. Bush, John Robertsest le jeune président - il a 51ans - de la Cour suprême desÉtats-Unis. Plutôt conservateurmais pas tellement, sa fonctionlui permet d'influencer la Courcomposée de neuf juges nom-més à vie par les Présidentsaméricains. Les décisions prisespar la Cour le sont à la majoritéde ses membres, mais l'histoirerécente illustre que Roberts,souvent, détient la clé de ladécision ultime.Roberts est le dix-septième pré-sident de cette Cour, alorsqu'Obama est le quarante-qua-trième Président des États-Unis :les juges de la Cour suprêmejouissent donc d'une longévitétrès supérieure à celle de ceuxqui les nomment. Par consé-quent, les orientations politiquesdes juges peuvent ne pas coïn-cider avec celles du Présidenten activité : c'est la situation deBarack Obama qui a dû s'ac-commoder, depuis plus de septans, d'une Cour nommée parses prédécesseurs, certains "datant " de Ronald Reagan(Anthony Kennedy siège depuis1988). Fréquemment, on dit auxÉtats-Unis que le principal pou-voir du Président américain estde nommer les juges à la Coursuprême qui, ensuite, contrôle-ront ce Président.

Au nom de la ConstitutionCar l'autorité de la Cour esttotale et sans appel. Il luirevient, au nom de laConstitution, de valider ou nonles lois essentielles que lui sou-mettent des plaignants. Or, laConstitution, qui a créé cetteCour, est assez flexible pourqu'elle puisse l'interpréter à saguise, ce qui avait conduitThomas Jefferson, troisième

Président, à dénoncer la Courqui se jouait de la Constitution "comme d'une cire molle ".Se fondant sur la Constitution, laCour suprême, au cours desâges, a soutenu la ségrégationdans le Sud à la fin du XIXe siè-cle, puis l'a abolie dans lesannées 1950. Elle a, dans lesannées 1930, vidé de toutcontenu le New Deal de FranklinD. Roosevelt au nom de laliberté contractuelle, mais il y adeux ans, elle a légalisé lemariage homosexuel. De même,il lui revient d'avoir autorisél'avortement, en 1960, et de tou-jours soutenir le droit de chacunà posséder des armes, en invo-quant un amendement ambigu,le deuxième qui, à son époque,légalisait l'organisation des mili-ces civiles.

Le gouvernement des jugesIl en ressort que la Coursuprême, par-delà les argu-ments juridiques, est sensible àl'air du temps, parfois le devan-çant sur l'avortement et lemariage homosexuel ou le frei-nant, avec le droit de posséderdes armes à feu. Sur la longuedurée, il apparaît que les muta-tions les plus significatives de lasociété américaine sont l'œuvrede la Cour plus que duPrésident et du Congrès : ce quiconduit les commentateurs degauche ou de droite, selon lescirconstances, à dénoncer " legouverne-ment des juges ".Un des rares arguments ration-nels avancés par Donald Trumpcontre Hillary Clinton est quePrésidente, elle pourrait nommerdes juges " progressistes " à laCour et influencer durablementla société américaine, en parti-culier contre le deuxième amen-dement. Les associations dedétenteurs d'armes, puissantes

aux États-Unis, soutiennentTrump pour cette seule raison.

La Constitution et la Cour pro-tègent la liberté et la sécurité

Est-ce à dire que ce " gouverne-ment des juges " n'est pasdémocratique, puisqu'il peutannuler des lois votées par leCongrès, approuvés par lePrésident ? Ou, à l'inverse, sesubstituer aux élus du peuplepour décider à leur place ? Onpourrait dénoncer ce pouvoirjuridique paradoxal, mais seule-ment en se situant dans uneperspective européenne. EnEurope, l'État est supposé proté-ger la liberté et la sécurité descitoyens et cet État est auxmains de majorités électorales.Aux États-Unis, c'est presque lecontraire : la Constitution et laCour, qui l'interprète, protègentla liberté et la sécurité contrel'État.Telle est la raison du caractèresacré d'une Constitution immua-ble, sans rapport avec lesConstitutions insignifiantes etvariables des États européens ;seule l'Allemagne fait exception,mais parce que les Américainsl'ont inspirée, en réaction autotalitarisme. Depuis l'origine, lesPères fondateurs, réunis enConvention à Philadelphie en1787, ont souhaité que le pou-voir central soit relativement fai-ble, compensé par de multiplescontre-pouvoirs : une vision pes-simiste de l'État Léviathan, àlaquelle les citoyens américainsrestent attachés.Le 8 novembre prochain, seradésigné(e) le quarante-cin-quième Président ; en janvier, il(elle) prêtera serment devantJohn G. Roberts. Le plus puis-sant des deux ne sera pasnécessairement celui ou celle àqui l'on pensera en premier.

OBAMA , HILAY OU LE PRÉSIDENTDE LA COUR SUPRÊME AUX USA

QUI EST L'HOMME LE PLUS PUISSANT

DU MONDE ?NI NOUVEAUTÉ, NI SUSPENSE, NIDÉBAT DE FOND

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TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes Lecteurs Mardi 4 octobre 2016 RégionsRégions

Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique

Vers la création de pôlesd’excellence universitaires

Le ministre del’Enseignement supérieur

et de la Recherchescientifique, Tahar Hadjar,

a annoncé, samedi àTiaret, que son

département ministérielœuvre à la création de

pôles universitairesd’excellence permettant

une mobilité desétudiants à travers

différentes universités dupays.

Animant un point depresse en marge desa visite d’inspection

dans la wilaya de Tiaret, M.Hadjar a précisé que ces pôlesportent sur la création d’uni-versités spécialisées dans desdomaines précis permettantune mobilité des étudiants,ajoutant que son ministèreencourage la mobilité interwilayas des étudiants.Les universités implantéesdans les wilayas du pays ontun caractère national, a-t-il dit,avant de faire état d’une nou-velle politique visant à revoir lacarte universitaire à partir dece qui est disponible au niveaulocal avec l’implication desautorités locales et les repré-sentants de la société civile etde l’environnement économi-que dans le recensement desbesoins de chaque wilaya.Par ailleurs, M. Hadjar ne

trouve pas d’inconvénient àcréer une faculté de médecinedans la wilaya de Tiaret, expli-quant que “ceci reste tributairede la disponibilité des moyenshumains, pédagogiques etsurtout la présence d’hôpitauxuniversitaires.”Le ministre a en outre indiquéque la nouvelle tendance del’université, à l’heure actuelle,vise l’ouverture de nouvellesspécialités utiles à chaquerégion du pays et la recherchede solutions aux problèmesdont ceux inhérents au secteurde l’agriculture et à la circula-tion routière.M. Hadjar prévoit que la pro-chaine rentrée universitaire2017-2018 se déroule dans debonnes conditions dans lawilaya de Tiaret à la faveur de

structures pédagogiques etsociales à réceptionner dansla région.La visite du ministre a été mar-quée par l’inspection de pro-jets de son secteur qui serontréceptionnés prochainementdont 4.000 places pédagogi-ques, 1.000 lits et un centresocio-culturel.M. Hadjar a également visitéune exposition sur la vulgari-sation agricole au palais dessports “Belarbi Abdellah” àl’occasion de la célébration dela Journée nationale de la vul-garisation agricole, avant deprésider une cérémonie enl’honneur des vainqueurs auxconcours organisés dans lecadre du 9ème salon nationaldu cheval qui a pris fin samedià Tiaret.

Journées de pneumologie à Constantine

Pour une amélioration du taux de contrôle de l’asthme

L’amélioration du taux de contrôlede l’asthme figure parmi lesmesures importantes à prendre

en considération pour permettre une meil-leure prise en charge de la maladie, ontsouligné samedi des spécialistes au coursde la 2ème journée de pneumologie orga-nisée à l’hôpital militaire régional universi-taire de Constantine.

Le taux de contrôle de cette maladieen Algérie est de l’ordre de 10,6%, ontinformé des spécialistes en la matière quiont appelé à ‘’conjuguer les efforts’’ pouraugmenter ce taux et permettre ainsi unemeilleure prise en charge de cettemaladie.

‘’Contrôler l’asthme, c’est le maitriser’’,a estimé le professeur Ziane Benattou ducentre hospitalo- universitaire (CHU) deTlemcen qui a insisté sur l’importance del’organisation des soins dans l’améliora-tion du contrôle et de la prise en chargede l’asthme.

Il a appelé à des évaluations ‘’constan-tes’’ des traitements prescrits aux mala-des atteints de l’asthme, a indiqué que lel’Algérie dispose de tous les moyens

humains et matériels nécessaires pouraméliorer le taux de contrôle de cettemaladie qui demeure en déca des normesrequises. Dans ce contexte, le mêmeintervenant a indiqué qu’il était temps‘’d’organiser’’ les moyens disponibles(médicaments, outils de diagnostic et per-sonnel médical entre autres) pour attein-dre des taux de contrôle de l’asthmeallant de 20% à 30% (normes internatio-nales), a mis l’accent sur l’importance dela formation continue dans l’améliorationde la prise en charge de cette maladie.

Les participants à cette journéed’étude qui ont appelé à ‘’revoir les pointsfaibles’’ et aller vers une démarche d’ac-compagnement des malades atteints decette maladie’’, ont mis l’accent égale-ment sur l’importance du ‘’climat familial’’dans la prise en charge de cette maladie.

Qualifiant l’asthme de ‘’syndrome àplusieurs facteurs et formes immaîtrisa-bles’’, le Pr Abdelhak Moumeni, a indiquéque cette maladie pose un véritable pro-blème de santé publique puisqu’il existeen nombre important en Algérie avec deprévalence avoisinant les 4% chez

l’adulte et jusqu’à 8% chez les enfants.L’intervenant qui a insisté sur l’impor-

tance de ‘’trouver des consensus théra-peutiques adaptés aux moyens disponi-bles’’, a préconisé de ‘’cerner les facteursde risque comme la pollution intérieure etextérieure), de sensibiliser la population,et de former le personnel’’ pour permettreune meilleure prise en charge despatients.

L’asthme est tellement ‘’diversifié’’ qu’ilfaut le ‘’suivre de manière rigoureuse etconstante’’, ont estimé les participants àcette journée d’étude qui se veut uneoccasion pour débattre les moyens scien-tifiques, et psychologiques à mettre enœuvre pour permettre aux maladesconcernés de ‘’mieux vivre avec cettemaladie et l’accepter’’.

Les participants qui ont fait état desdangers représentés par le développe-ment industriel que connait l’Algérie et lesconditions météorologiques instablesdans l’aggravation de cette maladie, ontappelé à une prise de conscience géné-rale pour limiter au maximum les retom-bées et la propagation de cette maladie.

Oran :

Lancement prochain de la chirurgie de la colonne vertébrale

La clinique spécialisée enchirurgie orthopédique et

rééducation fonctionnelle desvictimes d’accident du travail deMisserghine (ouest d’Oran) selancera, avant fin 2016, dans lachirurgie de la colonne verté-brale, a-t-on appris du directeurde cet établissement de santépublique. Cette pratique chirur-gicale délicate prendra encharge, au départ, certains casde différentes couches de lasociété, a indiqué DjellatAbdelkrim, soulignant que lapriorité sera accordée ensuiteaux victimes des accidents du

travail, aux travailleurs assuréset ayants droit et aux nécessi-teux. Ce projet intervient enapplication des orientations duDirecteur général de la Caissenationale d’assurance sociale(CNAS) dont relève la clinique,pour prendre en charge desmalades de la colonne verté-brale et réduire, par consé-quent, les transferts à l’étran-ger. Grâce à la compétence dustaff médical en place et deséquipements sophistiqués misà sa disposition, cette clinique aréussi à faire un bond qualitatifen matière de chirurgie ortho-

pédique depuis son lancementen 2009 commençant au départpar les membres inférieurs.

Dans ce sens, elle a adopté,en 2010, la chirurgie arthrosco-pique portant sur la pose de laprothèse totale de la hanche etdu genou et qui a réalisé desrésultats jugés positifs grâce aupartenariat avec le professeurBenbouzid de l’hôpital de BenAknoun (Alger) et de son staffmédical. Dans ce domaine, lenombre des interventions chi-rurgicales est passé de 25 à100 par an contre deux seule-ment en 2012, a souligné le

directeur de la clinique. Forte de ce succès dans

cette chirurgie encadrée par unspécialiste, Ramdane Rafik, laclinique s’est tournée, dans lecadre de l’élargissement duchamp de ses activités, vers lachirurgie de la colonne arthros-copique, après s’être dotéecette année d’un autre appareilde pointe. Cette clinique, quiinvestit davantage dans la for-mation de son staff médical etparamédical, s’est lancée dansla chirurgie arthroscopique del’épaule qui comporte le diag-nostic et le traitement épar-

gnant aux blessés le déplace-ment d’un hôpital à un autre, enplus de l’introduction de la chi-rurgie de la main (spécialitérare en Algérie) et de la neuro-chirurgie encadrées par le spé-cialiste Midas Djawad et sonconfrère Dr Barka.

Spécialisée aussi en réédu-cation fonctionnelle, la cliniquedispose de trois spécialistes entraumatologie, deux autres enréanimation, ainsi que de struc-tures sanitaires et équipementsmodernes. Elle s’occupe égale-ment des enfants handicapésmoteurs.

La cité des 140 logementsà Ouled Yaich, à quelquesencablures du siège de lawilaya de Blida, est dansun état déplorable. «Notrecité est marginalisée»,décrie le président de l’as-sociation du quartier, par lebiais d’une requête adres-sée aux autorités concer-nées dont une copie est ennotre possession. En ajou-tant, «depuis que nousavons occupé nos loge-ments, nous n’avons pascessé d’attirer l’attentiondes responsables des dif-

férents niveaux sur leslacunes décelées, envain». Le rédacteur de larequête a tenu à manifes-ter son mécontentementquant à «l’insuffisance del’éclairage public, à l’étatdéplorable dans lequel setrouve l’unique chemindonnant accès à la cité età la dégradation totale destrottoirs à cause des tra-vaux de creusement». Leshabitant réclament, entreoutre, l’éradication desodeurs nauséabonde quise dégage des dessous

des immeubles suite à ladégradation des réseauxd’assainissement et laréhabilitation du tissuurbain ainsi que l’entasse-ment des ordures qui jon-chent à même le sol, fautede poubelles.L’aménagement d’unespace vert et la réalisa-tion d’une aire de jeu pourles enfants de la cité sontégalement inscrits parmiles préoccupations deshabitants de la cité des140 logements d’OuledYaich.

Localité d’Ouled Yaich

La cité des 140 logements marginalisée

Cette agglomération s’estime margi-nalisée par les élus locaux de

Meftah, et des pères de famille se sontrapprochés de nous pour attirer l’atten-tion des autorités locales. Abritant plusde deux mille habitants s’estime margina-lisée par les élus locaux de Meftah, et despères de famille se sont rapprochés denous pour attirer l’attention des autoritéslocales. Selon leurs dires, le secteur del’habitat est inexistant, puisqu’aucun pro-gramme de logement rural et logementsocial n’a été concrétisé. Un sexagénaireaffirme : “Nous sommes une douzaine depersonnes entassées dans une seulechambre, et nos enfants adultes ne peu-vent pas se marier, faute de logement !Nous vivons un véritable enfer, et nousespérons que le chef de daira prendra enconsidération nos légitimes attentes !”Cette carence a engendré un cadre de

vie médiocre, avec des trottoirs inache-

vés et les désagréments causés par la

boue lorsqu’il pleut. En effet, l’absence

d’alimentation en gaz, l’indisponibilité du

premier liquide (eau), le manque de

développement local, la question du loge-

ment pour ne citer que cela, toutes les

principales revendications des citoyens

ont été adressées aux responsables

concernés. Cette situation insupportable

pousse quelques jeunes de la localité

vers la délinquance. Toutes les conditions

élémentaires d’une vie décente man-

quent aux habitants. Cependant, ces der-

niers sollicitent l’intervention des respon-

sables locaux, pour remédier à cette

situation, afin d’améliorer un tant soit peu,

leur cadre de vie. En attendant que la

situation s’améliore, les habitants de la

ferme Zougari.

La ferme Zougari (Meftah)

Les habitants s’estiment lésés

Echos de Médéa :

Transport scolaire à MezghenaLe calvaire quotidien des élèves

� � Les élèves qui habitent dans

les villages Gtatèche et Mamria,

relevant de la commune de

Mezghana, vivent le calvaire. Ces

élèves scolarisés sollicitent le droit

au transport scolaire, d’autant qu’ils

affrontent chaque jour les dangers

de la route. En effet, des dizaines

d’élèves traversent des routes et

des chemins classés dangereux.

«La vie de nos enfants scolarisés

dans des établissements situés loin

des villages est menacée. C’est un

véritable danger qui peut entraver

la scolarité de nombreux enfants.

Les parties concernées devraient

se pencher sur cet épineux pro-

blème le plus tôt possible pour pro-

téger nos enfants», dira un parent.

Les problèmes liés à l’absence de

transport scolaire ont été posés à

plusieurs reprises par les parents

d’élèves, mais les solutions tardent

à venir. De l’avis de plusieurs sour-

ces proches du secteur de l’éduca-

tion de la wilaya de Médéa, le

nombre de bus qui assurent le

transport des élèves des trois

paliers est insuffisant. Le manque

de bus scolaires est l’une des cau-

ses liées à la déperdition scolaire.

«Les dangers qui guettent nos

enfants scolarisés, à cause du

manque de transport scolaire,

remontent à des années. Cet épi-

neux problème se pose chaque

année scolaire. Hélas, les concer-

nés font la sourde oreille. Nous

demandons quelques bus pour

assurer le transport de nos enfants

et éviter les dangers de la route»,

conclura un groupe de parents

d’élèves.

Z.M.

Le nouveau CEM de BirBen Abed, dans la com-

mune de Bir Ben Abed, loca-lité de la daïra de Guelb El-Kebir, située à 83km à est dela wilaya de Médéa attendtoujours l’ouverture d’unecantine. Cette cantine n’apas encore ouvert ses portesaux élèves scolarisés au seinde cet établissement malgréle CEM a vu le jour depuis

6ans. La raison de ce retardreste toujours ambigüe.Cette situation a engendrédes désagréments auxenfants scolarisés, dont cer-tains font plusieurs kilomè-tres pour rejoindre leurs mai-sons pour déjeuner, avectous les risques qu’ils peu-vent rencontrer durant celong trajet. D’ailleurs derniè-rement un enfant a failli être

fauché par un véhicule quiroulait à vive allure. Pour sapart, la Directrice de cet éta-blissement a tout fait pourque la cantine ouvre ses por-tes mais les responsablesfont l’oreille sourde. Ce n’estpas là le seul problèmeauquel fait face cette com-mune en matière d’infrastruc-tures éducatives. On citeraaussi le nouveau lycée, dont

la cantine est achevée mais

demeure encore non opéra-

tionnelle. L’infrastructure

manque d’équipements

nécessaires, notamment en

matière de tables. Même

l’accès à cet établissement

n’est pas encore pris en

charge et demeure à l’état de

piste.

Nouveau CEM de Bir Ben Abed

L’ouverture d’une cantine scolaire se fait attendre

AMeftah, ce n’est

pas uniquement le

gaz de ville qui fait

défaut. L’alimentation en

eau potable constitue éga-

lement un souci majeur.

Les habitants affirment ne

recevoir le précieux liquide

que deux fois par semaine,

ce qui est très insuffisant

pour couvrir leurs besoins.

Rien n’a été fait cependant

pour remédier à cette

situation, précisent-ils en

dépit du fait que ce pro-

blème a été porté à main-

tes reprises à la connais-

sance des autorités

concernées. En termes

d’infrastructures de loisirs,

nos interlocuteurs déplo-

rent l’absence criarde d’ai-

res de jeux et de détente

notamment pour les plus

jeunes. «Nous voulons

que nos enfants aient d’au-

tre activités que le trans-

port de l’eau ou des bou-

teilles de gaz butane, que

notre village bénéficie de

projets de développement,

que l’on y installe enfin

l’éclairage public. Bref que

nous soyons considérés

comme des citoyens à part

entière», nous dira avec

beaucoup d’amertume, un

habitant de Souakria.

Z.M.

Localité de Meftah

Les habitants réclament le gaz de ville

Echos de Blida : Touaibia (Beni Slimane)La pénurie d’eau potablecontinue

� � La pénurie d’eau enregistre despics qui rendent le quotidien descitoyens de la wilaya de Médéa des plusardus. Plusieurs communes vont connaî-tre un été marqué par une crise d’ali-mentation en eau potable. Cette pénuried’eau n’a pas laissé les citoyens indiffé-rents, puisque dans plusieurs localitésdes actions de protestation ont eu lieuces trois derniers jours, avec notammentla fermeture de plusieurs axes routiersdans le but d’attirer l’attention des autori-tés concernées par la gestion du liquideprécieux. Dans la commune de BeniSilimane, entre autres, les citoyens nousont confié que la localité n’a pas étédesservie en eau potable depuis long-temps. «Nous sommes obligés de louerdes citernes d’eau. Une eau qui est loinde répondre aux exigences d’un mini-mum d’hygiène. Nous utilisons cette eauuniquement pour le lavage puis, il fautse démener pour trouver de l’eau buva-ble», déplore Mohamed, un jeune, rési-dant dans le village de Touibia. Ce der-nier est l’un des plus affectés par le pro-blème de la pénurie d’eau. Ce problèmese pose également en hiver, mais ils’exacerbe en été. La situation est iden-tique dans le village de Souk Larbaâ.Les citoyens, par exemple, souffrent lemartyre depuis le début de l’été et cha-cun doit se démener à sa façon pour seprocurer sa ration quotidienne d’eaupotable. Cette pénurie d’eau n’a paslaissé les citoyens indifférents, puisquedans plusieurs localités des actions deprotestation ont eu lieu, avec notammentla fermeture de plusieurs axes routiersnotamment RN18 dans le but d’attirerl’attention des autorités concernées.

Boulevard Tahtouh Le poumon commercialpar excellence

� � Situé au cœur même de la ville deMédéa, le Boulevard de Tahtouh est unendroit très prisé par la population. Il estquotidiennement fréquenté par des cen-taines de personnes et tout est ouvertjusqu’à 18h. Les différents magasins ducentre ville sont littéralement pris d’as-saut par des jeunes et des femmes leplus souvent accompagnés de leursenfants pour acheter de nouveaux vête-ments, où plusieurs commerçants sesont spécialisés dans le créneau d’effetsvestimentaires, notamment pour enfants.Par contre, ce qui paraît surprennentc’est habiller un adolescent qui revientmoins cher que d’habiller un enfant. Endépit de la hausse du prix des vête-ments pour enfants, les boutiques deprêt-à-porter ne désemplissent plus demonde où des queues sont observéesau niveau des caisses en cette périoded’automne. Evènement oblige. Lesparents rivalisent d’ardeur pour satisfaireleurs chérubins. Le Boulevard deTahtouh est l’avenue commerçante deMédéa par excellence. Les visiteurspeuvent trouver des vêtements, deschaussures, des ustensiles de cuisine,de produits de beauté et bien d’autresencore qui font du Boulevard un endroittrès populaire pour les sorties quotidien-nes. Les nombreux restaurants et cafésayant pignon sur rue des deux côtés decette grande artère, sont des établisse-ments parfaits pour refaire ses forces ouregarder simplement les passants. Larue commerçante la plus distinguée dela ville, de somptueuses villas du chan-gement de siècle accueillent quelquesélégantes boutiques de toutes sortes aucharme distingué. En bref : LeBoulevard de Tahtouh est devenu cesdernières années un lieu incontournablepour les passionnés de shopping àMédéa. Au passage, une petite pausecafé pour siroter un bon thé à la menthebrûlant.

Investissement à Skikda : 36 actes de concessions agricoles délivrés

� Trente six (36) investisseursont bénéficié samedi d’actes deconcession de terres agricolesdestinés à l’élevage bovin et à laproduction laitière, à l’occasion dela célébration de la journée natio-nale de la vulgarisation agricole,a-t-on constaté.Ces exploitants agricoles ontbénéficié de fonciers à Mekassadans la commune de BekkouchLakhdar (Est de Skikda) s’éten-dant sur une superficie globale de230 hectares (soit 5 à 30 hectarespar bénéficière), selon la directionlocale des services agricoles(DSA).Le wali, Faouzi Benhassine, qui a

procédé à la distribution symboli-que de dix (10) actes de conces-sion, au complexe sportif de proxi-mité de la commune d’AïnCharchar, a rappelé que cescontrats sont inscrits dans lecadre de l’application de la circu-laire ministériel portant créationd’exploitations agricoles, souli-gnant que des surfaces agricolesont été aménagées pour concréti-ser le programme ambitieux d’éle-vage bovin.Trois (3) périmètres agricoles tota-lisant 336 hectares ont été créesdans les communes de BenAzzouz, Bekouche Lakhdar etMedjez Edchiche, a-t-on encorenoté, précisant que 40 agricul-teurs ont bénéficié de lots dansses périmètres agricoles.Le chef de l’exécutif local, mettantl’accent sur la nécessité d’accom-pagner les agriculteurs dans leursprojets, a affirmé que ses servicesœuvrent à réunir toutes les condi-tions nécessaires et requisesdans la réussite du programme dela vulgarisation agricole.Il a relevé l’importance de l’encou-ragement de l’investissement agri-cole à travers la mise à la disposi-tion des investisseurs du fonciernécessaire pour la réalisation desprojets en mesure de booster lesecteur de l’agriculture dans lawilaya de Skikda.La cérémonie de célébration dela journée nationale de la vulgari-sation agricole, tenue dans lacommune d’Aïn Chachar, a étémarquée par la présence desacteurs du secteur de l’agriculture,de propriétaires d’exploitation agri-coles ainsi que d’anciens bénéfi-ciaires d’actes de concession.

Les habitants de Meftah souffrentle calvaire au quotidien. Sur place

des habitants du village nousapprennent que le problème de

l’alimentation en gaz de ville qui atoujours hanté leur vie, surtout enhiver où la température descendau-dessous de zéro, n’a toujours

pas été réglé malgré lespromesses des autorités locales.

15


10

Mardi 4 octobre 2016ÉconomieRégionsInfos de Relizane :

Des pannes dans le réseau AEP

Les habitants de Sidi Khettaben colère

Selon une source

fiable de cette com-

mune qui nous a

affirmé que «le problème de

gestion d’un tel réseau des-

servant les douars mises sur

le giron de l’Algérienne des

Eaux, est dû au manque de

moyens». Les mêmes habi-

tants ont condamné l’absen-

ce du service d’imagerie

médicale, de maternité, des

analyses médicales et des

urgences. «L’insuffisance en

matière de couverture médi-

cale nous contraints de faire

appel à un transporteur pour

nous rendre à l’EPH de la

commune de Hmadna ou

l’établissement hospitalier

public Mohamed Boudiaf du

chef-lieu de wilaya, pour une

simple radio ou un test de

grossesse», déplore un

habitant de la localité. Dans

ce contexte, les habitants de

ladite commune susmen-

tionnée lancent un appel au

premier responsable de la

wilaya pour une prise en

charge totale de leur doléan-

ce et dont le but de dissiper

les nuages qui entourent la

région du Saint mausolée de

Sidi Khettab.

A.L.

Al’évidence, les habitants des ave-

nues de Bendaoued, n’ont pas l’in-

tention de baisser les bras et viennent

encore une fois de relancer le problè-

me lié à un litige concernant une station

de bus, dont ils ne cessent de contes-

ter la présence «polluante et désa-

gréable». En effet, selon les déclara-

tions de certains habitants, ils relancent

le problème de cette station qui, préci-

sent-ils, «ne cesse de nous créer des

problèmes depuis son installation. «

Cette affaire, évoquée à plusieurs

reprises, revient donc sur le devant de

la scène avec ces déclarations lancées

par les habitants dont les fenêtres et

balcons surplombent une «station d’où

émanent des fumées toxiques sorties

des tuyaux d’échappement qui pénè-

trent dans les appartement, qui ont

déjà provoqué des maladies respira-

toires aux personnes âgées et aux

enfants en bas âge». «Outre cette

situation des plus désagréable qui

nous oblige à fermer nos fenêtres, pré-

cise ces derniers, on se plaint du com-

portement des chauffeurs et receveurs

qui passent leur temps à hurler de cinq

heures du matin à tard dans la nuit».

Ainsi, ils demandent aux autorités

locales de déplacer cette station, «car il

y a un état d’exaspération qui risque de

dégénérer à tout moment». On n’écar-

te pas le recours à la protestation si

aucune mesure n’est prise. Interrogés

sur cette affaire, le président de l’APC

et les membres de la commission des

transports signalent «qu’il a été pris

note de ces réclamations formulées par

des représentants des habitants

concernés reçus dernièrement au

siège de la mairie, et envers qui des

engagements ont été pris pour que

cette affaire soit discutée et débattue à

la prochaine séance plénière, afin de

dégager une solution qui arrangera les

deux parties».

A.L.

Localité de Bendaoued

Une station de bus qui fait jaser

Le terrorisme routier» faitréagir le mouvement

associatif et les structuresconcernées à plusieursniveaux qui ne cessent demener campagne sur cam-pagne pour tenter d’atténuerles effets dévastateurs de cephénomène qui a pris del’ampleur. Et parmi lesgrandes opérations, l’onvient d’apprendre que deconcert avec d’autres orga-nismes publics, la radio loca-le de Relizane mène unevaste campagne de sensibili-sation et de vulgarisation ence sens. Mais c’est enthèmes mensuels qu’estabordée cette initiative,apparemment la première du

genre qui débutera, a-t-onappris, par un état des lieux,voire un diagnostic de cephénomène de la recrudes-cence des accidents de laroute qui n’épargnent per-sonne et où nul n’est à l’abri.Outre les statistiques etchiffres perçus comme unsigne voire une donne alar-mante, l’infrastructure routiè-re, la voirie en général, lesplans de circulation urbaineet rurale, la signalisation rou-tière, l’aspect humain etmatériel devrait être aumenu de cette campagne quiprivilégiera les mesures àprendre, les comportementsà tenir pour diminuer l’impactnocif dudit «terrorisme rou-

tier». Et là encore il ne s’agitpas de multiplier les pan-neaux de limitation de vites-se placés ici et là, au long denos chaussées, autoroutesoù la pose de caméras estune réalité tangible, maisd’agir sur les comportementshumains, voire toute une cul-ture pédagogique qui s’ap-prend en bas âge même sil’opération continue deretraits temporaires de per-mis de conduire est unemesure. En somme, il s’agitde réfléchir profondément etconjuguer tous les effortsintersectoriels pour prévenir,prémunir et responsabiliserceux qui sont au volant, dansnos routes, sur les dangers

qui les guettent et menacentautrui. C’est souvent le cas.Hélas des insuffisances sontlargement évoquées entermes d’état de la voirieurbaine, de positionnementde certaines plaques et mar-quage de la signalisation engénéral, et autres lignescontinues et discontinues quiconstituent de par leur malfa-çon un obstacle aux usagerslocaux et surtout ceux qui neconnaissent pas la région.L’initiative en question est àconsolider, soutiennent denombreux citoyens qui ontdû suivre le lancement et lesintentions colportés par laradio locale initiatrice.

A.L.

Avec la participation de mouvement associatif

Campagne contre le «terrorisme routier»

Les habitants de Hai Belhena et ses

environs, qui continuent encore à

utiliser le gaz butane, faute d’être rac-

cordés au réseau du gaz naturel, et ce,

en dépit des nombreuses demandes

adressées aux instances compétentes,

trouvent d’énormes difficultés, ces der-

niers temps, à s’alimenter en gaz buta-

ne. En effet, la seule station-service de

la ville qui distribue le butane n’a pas

été alimentée, depuis plusieurs jours.

Cette situation fait donc surgir le mar-

ché noir du butane et des individus,

sans scrupules, profitent de la situation

et n’hésitent pas à commercialiser les

bouteilles de gaz, sur le marché paral-

lèle. Pourtant, il y a risque dans le stoc-

kage du butane, vu qu’il faut respecter

des normes. Ces individus stockent les

bouteilles du gaz au niveau des habita-

tions et les mettent ensuite en vente à

des prix exorbitants. Le pauvre citoyen,

pris à la gorge et surtout stupéfait de

constater que le gaz naturel algérien

est déjà distribué dans les cités de

Lisbonne au Portugal, alors que son

raccordement à la cité de Hai Belhena

attend toujours! Alors que le prix du

butane, fixé par la loi, est arbitrairement

majoré par des individus sans scrupule

qui créent et profitent des crises. La

question qui demeure posée: Pourquoi

la station-service n’est-elle pas alimen-

tée en gaz butane? Y’a-t-il anguille

sous roche?

A.L.

Hai Belhena

Le gaz butane au marché noir

Annaba :Remise des clésde 392 logements AADL 1

� � Les clés et arrêtés de 392 logements detype location-vente ont été remis mardi àAnnaba aux souscripteurs du programmeAADL-1 au cours d’une cérémonie tenue ausiège de la wilaya. Ces logements représententla dernière tranche du programme AADL-1(2001-2002) de la wilaya d’Annaba portant autotal sur 900 unités réalisées au pôle urbainEucalyptus dans la commune de Berrahal, aindiqué le wali, Youcef Chorfa, qui a rappeléqu’une première tranche de 508 logementsavait été distribuée au mois de mars passé.Pas moins de 1.450 logements du programmeAADL-2 devront être distribués fin décembre2016 dont 700 dans la commune d’El Bouni et750 au pôle urbain Dhraâ Errich, a indiqué lechef de l’exécutif de wilaya. Le programmeAADL-2 prévoit au total la réalisation de 10.600logements à El Bouni et Dhraâ Errich, a-t-onindiqué l’occasion.

Prochaine campagnelabours-semailles à Sétif :152.000 quintaux desemences mobilisés

� � Plus de 152.000 quintaux de semencesont été mobilisés par la coopérative descéréales et des légumes secs (CCLS) de lawilaya de Sétif, en préparation de la campagnelabours- semailles 2016-2017, a indiqué mardile sous directeur des semences et appui à laproduction de la CCLS. La quantité dessemences réservée pour cette campagne quisera lancée au début du mois d’octobre pro-chain, a connu une augmentation de 32.000quintaux par rapport à la saison agricole précé-dente, a précisé Abdelhak Arab. Dans lesdétails, le même responsable a souligné que106 000 quintaux de semences ont été réser-vés pour le blé dur, 23.000 qx pour le blétendre, 20.000 qx consacré à l’orge, et 3.192quintaux pour l’avoine et sont répartis sur huit(8) centres de distribution, soit un (1) centre deplus par rapport à l’année dernière, et ce à tra-vers les communes de la capitale des Hautsplateaux. M. Arab a ajouté que plus de 10.000quintaux d’engrais phosphatés sont disponiblesactuellement au niveau de la CCLS, signalantl’acquisition prochaine d’une quantité desengrais azotés. En plus des engrais etsemences, la CCLS assure en outre la distribu-tion de divers équipements agricoles dans lecadre de sa stratégie d’accompagnement desagriculteurs, a-t-on conclu.

Le quartier de la cité EI Intissar Un cadre de vie déplorable

� � A première vue, ce qui attire l’attention cesont les poubelles entassées de manière anar-chique en divers endroits. Le quartier de la citéE Intissar, sis au chef-lieu de Relizane, nerépond malheureusement plus aux «normes devie», pour reprendre l’expression d’un citoyende cette cité populaire. En effet, à l’intérieur dece quartier, à première vue, ce qui attire l’atten-tion ce sont ces poubelles entassées de maniè-re anarchique en divers endroits, rendant l’at-mosphère irrespirable de puanteur. Un habitanta mentionné, dans ce contexte, l’absence delieux de collecte d’ordures ménagères. «Quecoûte une benne à ordure pour l’APC ?» s’in-terroge notre interlocuteur. Un autre, résidentdepuis 15 ans dans ce quartier sus -évoqué,explique que les habitants sont menacés demaladies à transmission hydrique (MTH) en rai-son du phénomène de débordement des eauxusées. La saleté et la dégradation de l’environ-nement ont transformé cette cité en un bidonvil-le. Les habitants limitrophes des fermes, fontface à un autre problème. Il s’agit de la visitedes sangliers dès la tombée de la nuit. «Lessangliers se transforment en animaux domes-tiques, sans oublier les rats !» dira un citoyen.Les habitants rencontrés sur les lieux n’ont pashésité à exprimer leur ras-le-bol et souleverleurs problèmes. La route principale, empruntéepar les transports en commun, est revêtued’une vieille couche de goudron, mince et usée.Ainsi, lorsque deux véhicules se croisent, l’und’eux doit obligatoirement s’arrêter afin de céderle passage à cause de l’exiguïté de la routedont la largeur ne dépasse pas les trois mètres.

A.L.

Les habitants de la commune de SidiKhettab, une localité située à une

trentaine de kilomètres, à l’Est du chef-lieu de la ville de Relizane dénoncent la

lenteur dans la réparation des pannessignalées sur les réseaux AEP.

Enjeux et opportunités du numérique en Méditerranée

Une semaine économique se tiendra à Marseille

Une semaineéconomique se

tiendra à Marseille, àpartir du 2 novembre

prochain, sur lethème “Le

numérique, pour uneMéditerranée

connectée”, durantlaquelle les 3000

participants, dont unedélégation de la

CACI France,examineront les

enjeux etopportunités du

numérique enMéditerranée.

Avec une vingtaine depays et environ 300intervenants, la mani-

festation “s’ouvre pour la pre-mière fois vers l’Afrique subsa-harienne”, ont indiqué mardi lesorganisateurs de cette ren-contre (2-4 novembre) au cours

d’un briefing à Paris sur l’évé-nement. A travers une théma-tique aussi variée que richeautour de l’industrie du numé-rique, ce rendez-vous se pen-chera essentiellement sur lesenjeux et opportunités dunumérique en Méditerranée, lesacteurs du numérique, l’impactdu numérique sur les filièreséconomiques et les territoires etsur les opportunités dont peu-vent bénéficier les entreprisesde cet accélérateur de crois-sance. Un atelier sur “L’Algérie :terre d’innovation dans le

numérique” sera organisé aucours de la Semaine par laChambre algérienne de com-merce et d’industrie en France(CACI France).

Pour les organisateurs,l’Algérie “fait partie des pays lesplus dynamiques du Maghrebavec l’essor d’une multitude destartups”, indiquant que l’objec-tif de cet atelier est de “réunirl’ensemble des acteurs concer-nés par le développement dunumérique et l’essor du digitalen Algérie”.

Une session sera en outre

consacrée à la “Transitionnumérique et mutation dessociétés en Méditerranée”, undes “temps forts” de laSemaine, selon les organisa-teurs, organisée par l’Office deCoopération Economique pourla Méditerranée et l’Orient(OCEMO). Un focus sera faitsur l’écosystème numériquelocal innovant, les “DataCenter” et les câbles sous-marins.

“L’information numérique enMéditerranée”, un atelier orga-nisé par le Club de la presse de

Marseille, offrira une autreopportunité pour des échangessur le développement du numé-rique dans les médias et lafaçon dont se diffuse l’informa-tion dans le monde méditerra-néen, en plus de “EuropeMiddle East & Africa BusinessForum” qui examinera l’ouvertu-re des frontières de la coopéra-tion économique enMéditerranée, sera l’occasion,selon les mêmes organisateurset pour les acteurs écono-miques de “se rencontrer et dedécouvrir les opportunités busi-ness offertes par le numériqueen Méditerranée”.

Par ailleurs, un autre voletsera consacré au Réseau desaménageurs de la ville durableen Méditerranée, ont ajouté lesorganisateurs, précisant quel’atelier sur “le numérique auservice du développement éco-nomique en Méditerranée”, fera“le diagnostic sur la réalité et lesopportunités de la créationd’emplois en Afrique du Nord etau Moyen-Orient en vue demettre en place des projets dedigitalisation et des pro-grammes de renforcement descompétences dans ces terri-toires”. De nombreux dirigeantset experts locaux, nationaux etinternationaux sont annoncés àcette rencontre.

Agence de notation Fitch

Meilleure note “AAA” à la dette de l’AustralieL’

agence de notation Fitch a confir-mé vendredi qu’elle attribuait sa

meilleure note, “AAA”, à la dette del’Australie, mentionnant des institutionssolides et une politique monétaire cré-dible.L’agence a justifié sa notation enmentionnant les institutions solides dupays, la croissance constante de l’éco-nomie au cours des deux dernièresdécennies (malgré la crise de 2008), unepolitique monétaire crédible et une dettepublique peu élevée.

L’Australie fait partie du club restreint

des pays dotés par les trois principalesagences de notation de la note de ladette souveraine “AAA”, qui lui permetd’emprunter à des taux avantageux surles marchés. Selon les estimations del’agence, le PIB devrait croître d’environ2,9% en 2016, tandis que le déficit del’Etat “continue à se détériorer”.

Il devrait atteindre 3% du PIB en2016 et 3,2% en 2018.

Quant à l’endettement des ménages,il représente près de 3 fois le revenu dis-ponible. “Le lourd fardeau de la dette est

supportable en raison des faibles tauxd’intérêt”, précise l’agence, mais il aug-mente “la vulnérabilité de l’économieface aux chocs”.

D’autre part, l’agence estime que leclimat politique accroît l’incertitude fisca-le. “Le nombre de sièges de la coalitionau Sénat a chuté suite aux élections dejuillet et le soutien de plus de dissidentssera nécessaire pour voter les lois”, s’in-quiète l’agence.

Certains économistes redoutaientque l’Australie ne perde son “AAA” après

la période d’incertitude politique qui avaitsuivi les élections législatives du 2juillet. Fitch avait évoqué “un blocagepolitique qui conduirait à une aggrava-tion du déficit et qui pèserait sur la note”tandis que SP Global Ratings menaçaitd’abaisser la note du pays, considérantque le gouvernement n’avait pas lesmoyens de modifier rapidement sa poli-tique budgétaire.La coalition conservatri-ce sortante, emmenée par le Premierministre Malcolm Turnbull, s’était finale-ment assuré une majorité au parlement.

Production de maïs à Ghardaia :

Une nette baisse attendueL

a récolte prévisionnelle demaïs sous-pivots attendue

pour la campagne automnale2016 dans la wilaya deGhardaia devrait enregistrerune “nette” baisse, a indiqué àl’APS le directeur de wilayades services agricoles (DSA).Cette diminution sensible de larécolte, comparativement àl’année précédente 2015, etdevant débuter au courant dumois d’octobre prochain, est lerésultat d’une diminution desplantations passant de 2.500hectares en 2015 à 900 hecta-re en 2016, a expliqué M. AliBendjoudi.L’année précédente 2015, laproduction de maïs d’ensilagea atteint un million de quintauxet 8.000 QX de maïs en grain

dont seul 6.800 QX de maïs engrain ont été enlevés par l’offi-ce national d’aliment de bétail(ONAB), a-t-il signalé.La quantité de maïs ensilé etenrubanné a connu l’annéedernière une mévente chez lesproducteurs de cette culturecirconscrite principalementdans les localités de Hassi-Lefhal, Hassi El-Gara et El-Menea (Sud de la wilaya),riches en ressourceshydriques, ce qui a dissuadéles céréaliers de la région deplanter le maïs en dérobédurant la période estivale, aprécisé le DSA.Cette réticence des agricul-teurs à planter le maïs estencouragée par l’absence cetteannée d’un contrat d’enlève-

ment de la production de maïsen grain par l’ONAB, a-t-il ajou-té, soulignant que seul 900hectares ont été emblavéspour la production de maïsensilage, cultivé en dérobéaprès la campagne de moissondestinée principalement àsatisfaire en premier lieu lademande croissante en fourra-ge pour le cheptel laitier de lawilaya de Ghardaia estimé àprés de 4.000 bovins.La problématique de la com-mercialisation de la productionagricole et autre aliments pourle bétail revient à la surface àl’approche de chaque périodede récolte, notamment dans lesrégions du sud qui enregistrentun manque en lieux de stocka-ge et moyens de transport, a

indiqué de son coté Hadj Kada,un agriculteur éleveur deGhardaia.“Nous trouvons des difficultéspour acheminer à partir despérimètres agricoles la produc-tion et la commercialiser pourle consommateur”, a-t-il souli-gné, ajoutant que la commer-cialisation de la productionconstitue un défi pour les agri-culteurs de Ghardaia.La première expérience pilotede culture de maïs dans larégion de Ghardaïa a été effec-tuée sur une surface agricolede 100 hectares en 2011,avant d’être étendue dans lecadre de la nouvelle politiqueagricole destinée à réduire lesimportations et élargir lagamme de production de

céréales.Considéré comme principalintrant dans la fabrication d’ali-ments de bétail et de volaille,les besoins de l’Algérie en ceproduit (maïs) sont dépendantsexclusivement du marché inter-national dont les cours ne ces-sent fortement d’augmenter etse répercutent sur les prix desproductions animales (viandes,lait, œufs), indique-t-on.Dans cette perspective, denombreux spécialistes préconi-sent l’utilisation des eaux épu-rées des stations de lagunagede Ghardaïa, El-Menea,Berriane et Guerrara pour l’irri-gation de cette culture de maïsdestinée uniquement à l’ali-mentation du bétail et devolaille.



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TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes Lecteurs Mardi 4 octobre 2016Quotidien national d’information

TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes LecteursÉconomie Régions

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Dispositif de l’ANSEJ à Ouargla: 34 projets financés en huit mois

� � Trente-quatre (34) projets de micro-entreprises ont été financés dans lawilaya d’Ouargla entre janvier et la finaoût de 2016 par le biais de l’Agencenationale de soutien à l’emploi des jeu-nes (ANSEJ), a-t-on appris des respon-sables de cet organisme.Ce nombre de projets financés est en“nette” baisse (67%) par rapport aux 102projets financés durant la même périodede l’année dernière, a cependant faitremarquer le directeur de l’antenne del’ANSEJ de la wilaya, Mohamed Kaâneb.Ce recul est imputé à la nouvelle orienta-tion de l’ANSEJ visant le soutien et l’en-couragement des projets créateurs d’em-plois et de richesses et répondant auxexigences du marché de l’emploi local.Portant sur des micro-entreprises acti-vant notamment dans les créneaux del’agriculture, de l’industrie et des travauxpublics, ces projets mis sur pied durantcette période ont généré 89 emplois, asignalé le même responsable.M.Kaâneb a rappelé, à ce titre, que4.596 micro-entreprises, ayant généréun total de 11.924 emplois, ont été mon-tées depuis l’ouverture, en 1997, de l’an-tenne de l’ANSEJ de la wilayad’Ouargla.Ces projets sont versés dansles activités agricoles, l’aquaculture, lebâtiment et travaux publics, l’industrie, letourisme et l’artisanat, représentant 26%des projets, contre 72% des projets etactivités dans le domaine des services etfinancés par le dispositif de l’ANSEJ, a-t-on noté de même source.

Centre-ville de RelizaneL’hygiène fait encoredéfaut

� � L’état débloque des montants consi-dérables pour l’amélioration du cadre devie du citoyen mais beaucoup de chosereste à faire. Dans ce contexte, de grosmoyens financiers sont dégagés depuisdes années pour le développement éco-nomique, social et culturel, dont la réha-bilitation urbaine. Et c’est au chef-lieuque s’apprécie l’effort entrepris. Ainsi, auvu de récentes réactions citoyennes etassociatives, le cadre de vie demeurepeu reluisant : l’hygiène fait encoredéfaut, l’éclairage public, vrai casse-tête,continue de faire des désagréments. Là,une virée nocturne dans les populeuxquartiers renseigne les lanternes. Inutiled’évoquer la voirie de la rue des Castors,ou le quartier populaire Satal et autresimportantes artères, telle celle traversantHai Chemérik. Arrêtons-nous pour cescas cités, car en 2016, le montant finan-cier pour le programme d’investissementest considérable selon la dernière réu-nion de l’Assemblée populaire de lawilaya. Mais de là à voir l’homogénéité,l’esthétique prendre un sérieux coup... àtravers des décharges publiques, rem-blais, détritus à perte de vue. Toutes cesmesures urbanistiques, d’ordre, de salu-brité demandent à être accompagnées...Y compris quand on installe un ou despanneaux de signalisation, l’on se doitde relire ce qui est mentionné, nous fontremarquer de vieux retraités au niveaude la placette, à travers les nouvellesplaques vertes de la route.Indépendamment de ces crianteserreurs, des personnalités connues etqui observent bien ce qui est entreprissur les lieux, considèrent cela comme du«surplace». Des actions certes, maisdans un environnement caractérisé parla promiscuité, la voirie défectueused’une mairie peu performante, où l’utili-sation pragmatique des cadres adminis-tratifs demeure l’une des tares décriées.Par ailleurs, des comités de quartier lan-cent un appel au premier responsable dela wilaya pour l’inscription de leur quar-tier pour la réhabilitation de ces quartiersqui sont vraiment dont le besoin pourune nette amélioration du cadre de vie.

A.L.

Des actions de volontariat dans lesvilles côtières de Tigzirt et

d’Azeffoun sont initiées par la directionde l’environnement de la wilaya de TiziOuzou dans le cadre de la célébrationde la journée méditerranéenne de lacôte, a-t-appris lundi de la directrice dusecteur. Célébrée le 25 septembre dechaque année, cette journée a été mar-quée par l’organisation d’un premiervolontariat de nettoyage des plagesautorisées à la baignade à Tigzirt ainsique sur la route nationale N° 24, a pré-cisé Djoher Haddadou. Ont été associésà cette démarche les services de ladaïra de Tigzirt qui ont mobilisé lesmoyens matériels et humains nécessai-res au bon déroulement de l’opération,

les APC de Tigzirt et d’Iflissen, l’Officenational de l’assainissement (ONA),l’Algérienne des eaux (ADE), l’antennede wilaya du Commissariat national dela protection du littoral, les directions del’éducation, de la culture, des travauxpublics et de l’action sociale, ainsi que lemouvement associatif, a-t-elle indiqué.“En plus de la célébration de la journéeméditerranéenne de la côte, ces actionsmarquent également la clôture de la sai-son estivale et s’inscrivent dans le cadred’un programme d’envergure nationalede protection de l’environnement», aexpliqué Mme Haddadou, signalant quel’objectif principal des opérations est lasensibilisation des citoyens sur la pré-servation du littoral. Une deuxième

action de volontariat sera organiséejeudi au niveau des plages d’Azeffoun etd’Aït Chafaâ avec la participation detous les acteurs qui accompagnent ladirection de l’environnement dans cetravail, notamment les APC et la daïra.En sus du nettoyage de la côte, deuxsorties pédagogiques au profit des éco-liers et du mouvement associatif sontprévues mardi et samedi au vieux portd’Azeffoun et dans la localité de SidiKhelifa, dans le but de faire connaîtreles richesses naturelles et atouts touris-tiques de la région, tout en sensibilisantles participants sur la protection et lapréservation de l’environnement engénéral et le littoral en particulier, adéclaré Mme Haddadou.

Célébration de la Journée méditerranéenne de la côte à Tizi Ouzou :

Volontariat sur le littoral

Trois cent soixante six(366) postes d’emploiont été créés dans la

wilaya de M’sila depuisle début de l’année en

cours, grâce à desprojets

d’investissementsfinancés dans le cadrede l’Agence Nationale

de Soutien à l’Emploi dejeunes (ANSEJ), a-t-onappris lundi auprès des

services de l’antennelocale relevant de ce

dispositif.

“Ces postes d’em-plois ont étécréés grâce à

223 projets de jeunes agréésdans le cadre du dispositifANSEJ”, a indiqué la même

source précisant qu’ il s’agitde 109 projets concrétisésdans le secteur de l’agricul-ture et 41 autres projets ontgénéré plus d’une centained’emplois dans le secteur del’industrie et la maintenance. Durant la même période, pasmoins de 29 entreprisesrelevant du secteur du

Bâtiment, Travaux Publics etHydraulique (PTPH), 33entreprises relevant du sec-teur des services et 5 autresdans l’artisanat ont été crééspar de jeunes promoteurs, a-t-on également appris auprèsde l’antenne locale del’ANSEJ. Le taux de finance-ment du secteur des services

est en nette régression pas-sant de 82 % en 2011 à 15 %durant les sept premiers moisde l’année en cours. Plus de 31410 postes d’em-ploi ont été créés dans lawilaya de M’sila depuis lamise en œuvre du dispositifANSEJ, a rappelé la mêmesource.

Dispositif ANSEJ à M’sila

Plus de 360 postesd’emploi créés

Par Philippe Silberzahn.

Dans un avenir proche,l’électricité évoluera, ce

que saisit le concept de ‘paritédivine’ : celle-ci désigne lasituation atteinte lorsqu’ildevient possible, avec lesolaire, de produire de l’électri-cité en dessous du coût defonctionnement du réseau tradi-tionnel.C’est à l’occasion d’une inter-vention auprès d’un acteur del’énergie que je me suis inté-ressé aux ruptures en coursdans ce secteur. Je n’ai pas étédéçu. Comme tant d’autres,l’énergie se trouve au carrefourde ruptures technologiques,géopolitiques, entrepreneuria-les et sociétales qui menacentdirectement les grands du sec-teur. C’est particulier vrai pourl’électricité avec le concept de‘parité divine’, situation atteintelorsqu’il devient possible, avecle solaire, de produire de l’élec-tricité largement en dessous ducoût de fonctionnement duréseau traditionnel. Nous nesommes pas loin, dans ce sec-teur, d’un point de bascule.Les ruptures dans le domainede l’énergie sont très nombreu-ses. Une recherche en a misplusieurs en avant :

Évolution de la réglementationL’une des sources majeures

de rupture est naturellementl’évolution de la réglementation.Nous passons d’un monded’opérateurs monopolistiquesgérés par l’État à un monde delibre concurrence. Cela imposeune transformation à marcheforcée pour les opérateurs his-toriques, obligés à courteéchéance de renégocier tousleurs contrats sur des basesparfois entièrement nouvelles.Les critères de choix sont pardéfinition nouveaux (car avant,il n’y avait pas de choix) et ontsouvent mal été anticipés : on apu se focaliser pendant desannées sur la satisfaction clientet sur la performance techni-que, pour découvrir que finale-ment l’énergie est… une com-

modité, et que le prix est l’argu-ment essentiel. Il y a là un chan-gement de culture induit qui estdouloureux (en gros, on passed’une culture d’ingénieur/pushà une culture commerciale/pull).On observe d’ailleurs que plusces opérateurs ont été protégéslongtemps, plus cette transfor-mation est douloureuse, etmoins ils ont de chance dedemeurer dans la course.

Effondrement des coûts des énergies

Prenant la plupart des ana-lystes à contre-pied, le coût del’énergie a considérablementbaissé ces dernières années.C’est bien sûr vrai pour lepétrole, qui est passé de 12$ lebaril en 1998 à 136$ en 2008,puis de nouveau à 30-50$ en2016. L’impact de cette varia-tion de prix est considérable : lepic de 2008 avait entraîné uneforte réaction, notamment desinvestissements massifs dansles énergies dites alternatives(solaire, éolien) qui se sont avé-rés non rentables dès lors quele pétrole a entamé une chutebrutale, juste après le pic (35$en 2009).L’autre grande baisse de prixconcerne celui du gaz. Celatient à la révolution technologi-que et entrepreneuriale du gazde schiste et du forage horizon-tal qui a eu lieu aux États-Unisdepuis une dizaine d’années.Contredisant toutes les prévi-sions, ce pays se trouve main-tenant à la tête d’immensesréserves de gaz qu’il peutexporter.Il y a naturellement de nom-breux facteurs déterminant leprix de l’énergie et au regard del’histoire, une seule certitude,les choses changeront encore :on raisonne sur les coûts bas àlong terme, mais nous seronstrès probablement, une nou-velle fois, pris par surprise…Mais cet effondrement neconcerne pas que les énergiesfossiles. Le plus impressionnantest celui du solaire. Selon leNational Geographic, le prix del’énergie solaire aux États-Unisa baissé de 70% depuis 2009.

Cela tient à plusieurs facteurs :le coût d’installation de pan-neaux solaires a baissé de 50%entre 2009 et 2014 (et la baissese poursuit), tandis que leur effi-cacité a beaucoup augmenté :SolarCity, l’une des entreprisesleader, associé à Tesla, estimeainsi que ses modules peuventproduire 38% d’électricité enplus que ceux de ses concur-rents, et qu’ils coûtent pourtantmoins cher à produire.Le résultat, c’est que lescontrats d’achat auprès desgrands producteurs de solaires’établissent en moyenne à 5cpar kilowatt heure, très prochedésormais des tarifs de l’électri-cité traditionnelle, qui se situententre 3c et 6c. Évidemment lescalculs se compliquent car ils ya des subventions et des incita-tions fiscales de tous bords,mais la tendance est là, et elleest massive.

Évolution chaotique du mix énergies

Ces évolutions de prix dupétrole et du gaz, on l’a vu, sontinattendues et démentent régu-lièrement les prévisions desexperts les plus chevronnés.Le nucléaire n’échappe pas àcette évolution : on avait évo-qué dans les années 2000 une« renaissance » du nucléaire,mais celle-ci fut stoppée net en2011 avec l’accident deFukushima. L’Allemagne décidealors d’abandonner brusque-ment l’utilisation de l’énergienucléaire, et de re-basculer surle charbon, que tout le mondes’était accordé à considérercomme obsolète depuis lesannées 1970.On passe du « tout pétrole +tout charbon + tout nucléaire »à l’éolien sans pétrole, puis denouveau au nucléaire, puisretour au charbon et au pétrole.Dur à suivre ! Entre-temps, l’éo-lien fait une apparition trèscontroversée.

Transformations « digital » et « data »Pas plus que les autres sec-

teurs, l’énergie n’échappe à lavoracité du digital, et il se trouve

au cœur de la grande bataillepour le contrôle de la domoti-que. Le compteur intelligent «Linky », qui produit une quantitémassive de données sur laconsommation d’une résidence,est la réponse d’ERDF à cetteévolution, mais il a fait l’objetd’une résistance très forte, surdes questions de santé publi-que mais aussi de confidentia-lité, qui montre combien lesacteurs traditionnels ont du malà obtenir de leurs anciens usa-gers et désormais clients lamême confiance qu’ils accor-dent pourtant si volontiers àApple ou Google.Il n’est pas du tout évident queces acteurs traditionnels réus-sissent à passer le cap de latransformation numérique dansla mesure où, comme tant d’ac-teurs avant eux, ils ne l’abor-dent que sous l’angle de la pro-blématique technique. Nokiaavait 10.000 ingénieurs logi-ciels, mais l’entreprise finlan-daise n’avait pas pour autantune culture logicielle. Elle avaitune culture matérielle et design,et elle n’a pas résisté à lagrande transformation du télé-phone d’un objet de communi-cation à une plate forme logi-cielle.

Développement de boucles locales

Dernière rupture notable etnon des moindres : la capacitédésormais en très forte aug-mentation, pour les entrepriseset les particuliers, de produireleur propre électricité à très fai-ble coût. L’effondrement descoûts des panneaux solaires etl’augmentation exponentielle deleur rendement constitue unfacteur-clé. Le développementde batteries intelligentes et per-formantes en est un autre.J’ai eu l’occasion d’écrire dansun article précédent à quel pointla batterie PowerWall de Tesla(encore eux) était révolution-naire. Elle l’est moins en raisonde ses performances purementtechniques qu’en raison du faitqu’elle s’inscrit dans un nou-veau réseau de valeur, où tou-tes les évolutions évoquées ici

se combinent pour disruptercomplètement le marché actuelde l’électricité.Le développement de la pro-duction locale remet complète-ment en question le modèled’affaire de toute l’industriedepuis un siècle, celui de lacentrale. Au contraire, on vaprobablement vers la décen-trale. À tel point qu’il ne seraplus possible à ces centralesd’être rentables. Leur coût esttel qu’elles n’ont de sens que sielles produisent massivement(modèle de coût fixe très élevé).Toute baisse de productionrésultant d’une baisse de lademande due au développe-ment de la production locale larapproche du seuil fatidique ducoût fixe, en dessous duquel onproduit à perte. En fait, seloncertains observateurs, la baissedu coût de production du solaireest telle qu’on va assez rapide-ment franchir ce seuil et attein-dre non plus le grid parity (c’est-à-dire le prix de production duréseau actuel de centrales)mais la god parity, la paritédivine, le point où l’électricitésolaire est tellement peu chèrequ’elle tombe bien en-dessousdu coût du réseau et que mêmesi le charbon, le pétrole et leplutonium étaient gratuits, lemodèle basé sur les centralesne serait plus rentable.On peut s’attendre à un bain desang, à moins que la consom-mation d’électricité soit telle-ment forte que les prix soientcontenus (développementsignificatif des voitures électri-ques par exemple).En conclusion, ces rupturestrès profondes – et il en existesûrement d’autres -ne remet-tent pas juste en question lesmarchés des acteurs classi-ques de l’énergie. Elles remet-tent en question les modèlesmêmes sur lesquels ils ontopéré et, au-delà, leur identitéprofonde. Si l’histoire offre uneleçon, c’est bien celle selonlaquelle la transformation demodèle - et donc d’identité -face à une telle rupture, estextrêmement difficile.

A la conquête de l’énergie électrique

La rupture qui menace les géants

Revisiter la gouvernance desdispositifs constitue un levier

déterminant pour améliorerl’insertion des femmes dans la

vie économique etparticulièrement dans le mondede l’entrepreneuriat, ont estimé

vendredi à Constantine desparticipants à la 2ème éditionde l’université d’été du Forumdes chefs d’entreprise (FCE).

“La nouvelle Constitution aconsacré la parité économi-que et a permis à la femme

algérienne de disposer de toutes ses

chances pour accéder au marché del’emploi et au monde entrepreneurial”, aprécisé la vice présidente du FCE,Nacera Haddad.

Soulignant l’importance de la forma-tion universitaire, Mme Haddad a, dansce sens, révélé que l’orientation des fil-les vers des filières leur permettant d’ac-quérir une culture entrepreneuriale,constitue désormais “un axe de travailprimordial pour le FCE”.

Elle a assuré, par ailleurs que le FCEs’engage à développer et promouvoiravec la participation de la société civile,l’entrepreneuriat des femmes et des jeu-nes, affirmant que l’entrepreneuriatdemeure “la clé pour un développementéconomique durable”.

Elle a ajouté qu’actuellement les fem-mes algériennes représentent 12% dumonde de l’entrepreneuriat en Algérie.

Au cours de ce panel, plusieurs fem-mes chefs d’entreprise, activant dansdivers créneaux d’activité, ont apportéleur témoignage sur l’entrepreneuriatféminin en Algérie.

La 2ème édition de l’université d’étédu FCE a été ouverte jeudi à l’hôtelMarriott en présence des ministres del’Industrie et des mines, AbdeslemBouchouareb le ministre de l’Agriculture,du Développement rural et de la Pêche,Abdeslem Chelghoum, le Secrétairegénéral de l’Union nationale des travail-leurs algériens (UGTA), AbdelmadjidSidi Said aux côtés d’une centaine dechefs d’entreprises et des experts enéconomie et a abordé, sous forme deconférence et des témoignages des thè-mes divers liés au monde économique.

La législation régulant la création desentreprises, le financement des projets,

la stratégie de l’exportation, l’entrepre-neuriat féminin et le rôle de l’Etat et desparties prenantes dans le processus detransformation économique étaient aucentre des travaux de l’université de l’étédu FCE.

Au cours des travaux de cette univer-sité, le président du FCE, Ali Haddad asalué les efforts consentis par la diplo-matie algérienne à l’issue de la réunioninformelle de l’OPEP tenue à Alger qui adébouché sur une réunion extraordinaireet une décision de stabiliser le marchédu pétrole.

“Cet accord laborieux a été obtenugrâce à l’aura diplomatique de l’Algériequi a toujours su user les arbitragesnécessaires et de ses grandes capacitésde négociations pour faire aboutir lesdémarches consensuelles”, a indiqué,dans la foulée, M. Ali Haddad.

Revisiter la gouvernance des dispositifs

Un levier pour insérer les femmesdans la vie économique

Production des cultures maraîchères à Ouargla

250.000 QX de différents produitsattendus

Une production de 250.025 quintaux de produits maraîchers sous ser-res est attendue à Ouargla sur une superficie de 385,25 hectares

réservée à la serriculture au titre de la saison agricole 2016-2017, a-t-onappris jeudi auprès de la direction des services agricoles (DSA). Cetteproduction, dont la campagne de récolte s’étale sur la période allant dedécembre 2016 à févier 2017, concerne différents produits maraîchers,dont la tomate (16.200 qx), la courgette (4.612,5 qx), le piment (3.800 qx),le concombre (3.625 qx) et la pastèque (192.600 qx), selon les prévisionsétablies par le Service de la production et de l’appui technique à la DSA.Une hausse est prévue par rapport à la saison agricole 2015-2016, quiavait permis d’enregistrer une production de 28.443 quintaux de produitsagricoles similaires, sur une superficie globale de 940 hectares, localiséesurtout dans les daïras d’Ouargla, Hassi-Messaoud, Sidi-Khouiled etN’goussa, a-t-on ajouté. La serriculture maraîchère a connu un essor, cesdernières années, dans la wilaya d’Ouargla, à la faveur des divers pro-grammes de développement accordés par l’Etat pour l’extension dessuperficies dédiées à cette filière dans divers périmètres agricoles. Ellese répartit sur le territoire de cette wilaya saharienne qui recèle d’impor-tantes ressources hydriques et d’immenses étendues de terres aptes à lamise en valeur, a-t-on souligné. La wilaya d’Ouargla, où la phœnicicul-ture est toujours la principale activité pratiquée par les agriculteurslocaux, a bénéficié également d’un important projet portant sur la réalisa-tion d’un complexe agro-industriel consacré à la production des culturesmaraîchères et localisé dans la zone de Ghamra, dans la commune deMégarine (170 km au Nord d’Ouargla).

Amélioration de la distributionde l’eau potable à Illizi

Divers projets en cours

Plusieurs projets sont en cours de réalisationà Illizi dans le but d’améliorer l’approvision-

nement en eau potable dans cette commune, a-t-on appris mardi des responsables de la direc-tion locale des ressources en eau et de l’environ-nement (DREE).Il s’agit, entre-autres opérations,de la réalisation dans la zone de Tinemri, au titredu fonds de développement des régions du Sud,d’un château d’eau d’une capacité de stockagede 3.500 m3. Cet ouvrage, dont les délais de réa-lisation ont été fixés à 16 mois, vise à contribuerà l’approvisionnement régulier de la populationlocale en eau potable, a-t-on souligné. Les servi-ces de la DREE font état aussi de la réalisationen cours d’un projet similaire d’une capacité destockage de 1.000 m3 au profit d’une populationde 920 habitants de la localité de “Belbachir”, à lasortie Sud d’Illizi.Le quartier Er-Rimel s’est vu doter, au titre duprogramme communal de développement, d’unréseau d’assainissement long de 500 mètreslinéaires, devant être raccordé au collecteur prin-cipal de la commune via une station de pompage.

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CultureMardi 4 octobre 2016Quotidien national d’information




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Régions

Des mesures préventives ont étéintensifiées sur le terrain, aux fron-

tières sud du pays, pour faire face à lafièvre de la vallée du Rift, une zoonoseapparue dernièrement dans le pays voi-sin, a-t-on appris lundi auprès des servi-ces vétérinaires de la wilaya deTamanrasset.

Ces mesures déployées aux frontiè-res, notamment dans les régions d’in-Guezzam et Tin-Zaouatine, consistenten l’interdiction de l’entrée des cheptels,quels qu’ils soient (bovins, ovins oucamelins), sur le territoire national, pourempêcher tout risque d’introduction decette maladie animale et, ainsi, préser-ver le cheptel local et éviter la contami-nation de l’homme, a expliqué le chef de

l’inspection vétérinaire, BoubekeurBoutefna. Les vétérinaires de la régionsont mobilisés afin de suivre de prèsl’état des cheptels locaux et permetteleur préservation, a indiqué le responsa-ble en signalant le lancement, dans cecadre, d’un programme de sensibilisa-tion, à travers les ondes de la radio et lesaffichages, sur les dangers de cettemaladie, ses symptômes et les voies desa prévention.

Le président de la Chambre de l’agri-culture de Tamanrasset, MohamedBahmed, a mis l’accent, de son côté, surla nécessité d’intensifier les actions desunités de santé animale dans les régionsfrontalières, afin d’assurer les contrôlesvétérinaires des cheptels, nombreux

dans ces régions et appartenant à deséleveurs algériens, et d’éviter des per-tes à l’économie nationale.

Des sources locales dans la régionfrontalière de Tin-Zaouatine, ont fait étatde cas d’apparition de maladies chezdes ovins et des camélidés, entrainant lamort et l’avortement de certaines bêtes,ainsi que des cas présentant des hyper-trophies au niveau du collier. Des symp-tômes enregistrés pour la première fois,a-t-on indiqué.

Le chef de l’inspection vétérinaire dela wilaya a indiqué qu’une équipe devétérinaires est sur les lieux et procèdeaux diagnostics nécessaires, et qu’il fau-dra attendre les résultats de ces diag-nostics pour pouvoir se prononcer.

Fièvre de la vallée du Rift

Mesures préventives aux frontières sud

La décharge contrôlée dela commune d’Agouni

Gueghrane dans la daïrad’Ouadhias au sud de lawilaya de Tizi Ouzou seramise en exploitation prochai-nement, a-t-on appris lundide la directrice de l’environ-nement.

Les travaux de réalisationde cette décharge entaméeen 2014 sont achevés et samise en service interviendrajuste après l’acheminementdu matériel nécessaire à sonfonctionnement, notammentla pelle à chenille, prévu dansles prochains jours, a déclaréDjoher Haddadou.

Une solution sera ainsiapportée à la problématiquede la gestion des déchets et

la prolifération des déchargessauvages à travers les villa-ges de la municipalité depuisquelques années en l’ab-sence d’un site pouvantaccueillir les ordures géné-rées par les habitants, a-t-elleexpliqué. Deux autresdécharges contrôlées sont envoie de finalisation au niveaudes communesd’Iferhounène et de Tadmaït,a déclaré la responsable quia affirmé que leur réceptioninterviendra avant la fin del’année en cours.

Ces infrastructures vien-dront renforcer les quatrecentres d’enfouissementtechnique (CET) actuelle-ment opérationnels au niveaude Tizi Ouzou, Draâ El Mizan,

Ouacifs et Boghni. Ce dernierCET A été mis en service le04 septembre dernier et cou-vre à présent les quatre (04)communes de la daïra, enl’occurrence Boghni,Mechtras, Assi Youcef etBounouh, a-t-elle signalé.

Cinq autres municipalitésseront rattachées prochaine-ment à cette structure àsavoir Tizi N’Tleta, Maâthkas,Souk El Tenine, Aït Bouadouet Ouadhias d’une capacitéd’accueil globale qui s’élèveà 300 000 mètres cubes etdont la durée de vie du casierest estimée à 15 ans, a-t-elleencore précisé.

Depuis sa mise en exploi-tation, le centre accueille ettraite une moyenne de 30

tonnes de déchets achemi-nés à partir des quatre com-munes de cette même daïraauparavant rattachées auCET de Oued Falli de TiziOuzou, a-t-elle fait remar-quer.

Mme Haddadou a rappeléque trois projets de réalisa-tion de CET sont toujours blo-qués à cause des oppositionsdes citoyens au niveau IlloulaOumalou, Aghribs etMizrana, en plus de certainesdécharges inscrites à l’ordrede certaines communes de lawilaya, ce qui se répercutenégativement sur la gestiondes ordures ménagères et laprotection de l’environnementqui fait face à la multiplicationdes décharges et sauvages.

Direction de l’environnement de Tizi Ouzou :

La décharge contrôlée d’AgouniGueghrane bientôt opérationnelle

Formation professionnelle à Djelfa : Réception de plusieurs projets à la fin 2016

� � De nombreux projets, en réalisa-tion dans le secteur de la formation etde l’enseignement professionnels àDjelfa, seront réceptionnés à la fin del’année en cours (2016), a-t-onappris, lundi, auprès de responsa-bles du secteur.Il s’agit notamment de deux (2)Instituts nationaux de formation spé-cialisée, d’une capacité de 600 pla-ces chacun, actuellement en réalisa-tion au niveau du chef lieu de wilaya,qui verra, également, la réception ,àla même période, d’un nouveauCFPA de 300 places, a-t-on ajouté demême source.Un projet de CFPA similaire(300 pla-ces) sera réceptionné, à la mêmedate, dans la commune de kettara (àl’extrême -Sud de Djelfa), au momentou trois (3) projets d’extension deCFPA sont attendus à la livraisondans les communes de Dar Chioukh,Hed Shari, et Feid El Batma.Selon la même source, le secteur dela formation a Djelfa a été renforcé,durant cette nouvelle session de sep-tembre, par trois (3) salles de cours,un bloc administratif, et un restaurant,tous réceptionnés au niveau del’Institut national de formation spécia-lisée en apprentissage de Messaàd,en plus de deux (2) ateliers pédago-giques concrétisés au CFPA deCharef.Deux (2) logements d’astreinte ontété, également, réceptionnés, à lamême rentrée, au CFPA d’El Birine.Quelque 5.294 stagiaires ont rejointleurs classes, au titre de cette nou-velle session professionnelle de sep-tembre, à Djelfa, dont 2.385 inscritsen mode résidentiel, 2015 en modeapprentissage, et le reste en coursdu soir, formation par passerelles, etautres formations destinées, entreautres, aux femmes au foyer.

9ème Salon du cheval à Tiaret Plus de 2.000 cavaliers attendus

� � Plus de 2.000 cavaliers venantde 23 wilayas du pays sont attendusau 9eme salon national du cheval quidébutera, mercredi à Tiaret, a-t-onappris, lundi, des organisateurs.Au programme de cette manifestationfigurent plusieurs activités sportives,récréatives et scientifiques liées aucheval, a souligné le chef du servicedes activités de jeunes à la Directionlocale de la jeunesse et des sports,Abdelkader Sbaïs.Parmi ces activités, les organisateursont programmé des spectacles decavalerie, des troupes folkloriques,des jeux de fantasia en plus de cour-ses de chevaux sur le parcourséquestre de Chaouchaoua et unconcours national de saut d’obstaclesau centre équestre Emir Abdelkader.Il est prévu également une vente auxenchères de chevaux de race.Par ailleurs, l’université Ibn Khaldounde Tiaret abritera à cette occasion,des assises scientifiques sur le che-val alors que le palais des sportsAbdellah Belarbi abritera une exposi-tion de produits traditionnels et d’ac-cessoires de chevaux.Un autre concours en sellerie, en fer-ronnerie et d’autres activités artisti-ques sont prévus également au théâ-tre de plein air Ali Maachi de la ville.Les hôtes de Tiaret seront conviés àdes visites touristiques des sitesarchéologiques et historiques dontrecèle la wilaya.

Des démarches sonten cours pour rattraperle retard accusé par leprojet de réalisation du

tramway deMostaganem, a-t-on

appris du directeur dewilaya des transports.

“Les travaux sedéroulent à unecadence lente à

tel point où des chantiersétaient à l’arrêt durant lapériode estivale”, a indiquéRezzoug Mokhtar expliquantque ce retard est justifié parune restructuration interne dugroupe espagnol chargé duprojet. L’Entreprise du Métrod’Alger (EMA), initiatrice duprojet a adressé une mise endemeure au groupe espagnolpour reprendre les travauxdans un délai de 15 jours,

faute de quoi le contrat serarésilié selon la la loi des mar-chés publics. Il est attenducette semaine la tenue d’uneréunion entre le wali deMostaganem, TemmarAbdelwahid et le directeurgénéral de l’EMA et le nou-veau directeur général dugroupe espagnol, pour élabo-rer un nouveau calendrier etrattraper le retard en accélé-rant la cadence des travauxpar l’augmentation du nom-bre d’ouvriers des chantierspour travailler en H/24, a

ajouté M. Rezzoug.Un transfert de tous lesréseaux électriques, télépho-niques et des canalisations aété effectué de même que lasurpression de trois lignesélectriques de haute tensionet la libération du tracé de cemoyen moderne de transport.Des travaux sont en courspour la construction de deuxouvrages d’art après l’achè-vement de deux autres.Le taux d’avancement destravaux du tramway deMostaganem a atteint 50% et

le projet sera livré en fin sep-tembre 2017 avec une miseen service expérimentale enjuillet 2017, sans compter leretard accusé, a-t-on souli-gné. Pour rappel, le projetcomporte un tracé de 14,2kilomètres, 24 stations surdeux lignes la premièrereliant la localité deSalamandre au pôle universi-taire de Kharouba en passantpar plusieurs quartiers dont lecentre-ville, hai Tijditt sur 12,2km. La seconde relie l’an-cienne gare ferroviaire à lanouvelle gare routière de lacité “5 juillet” passant par haiBenyahia Belkacem (2 km).Il prévoit également quatrepôles d’échange, un centrede maintenance, un bloctechnico-administratif et unposte de maitrise.Le tramway de Mostaganemdisposera de 25 wagons pourle transport de 5.000 voya-geurs à l’heure.

Tramway de Mostaganem:

Démarches pour rattraperle retard

Les Ouadhias (Tizi-Ouzou) : Exposition sur la richesse des produits du terroir algérien

� Une exposition sur larichesse et la beauté de l’arti-sanat traditionnel et des pro-duits du terroir algérien, s’estouverte lundi, dans l’ex sallede cinéma de la ville desOuadhias (35 Km au sud deTizi-Ouzou), a-t-on constaté.Cette manifestation organiséepar l’association Trésor touristi-que algérien (ATTA) en colla-boration avec la directionlocale du tourisme et de l’arti-sanat, dans le cadre de lacélébration de la journée mon-diale du tourisme, a regroupéune quarantaine d’artisansreprésentant la wilaya de Tizi-Ouzou et celles d’Alger,Boumerdes, Bejaia, El Oued etTipasa.La robe kabyle notamment lacélèbre Thijihlith habit tradition-nel des femmes des Ouadhias,trône fièrement au milieu del’exposition s’accaparant lamajorité des étals. La poterie,le tapis et le bijou traditionnelkabyle, algérois et de OuedSouf, le miel, les gâteaux tradi-tionnels et les produits dérivésdes dates, sont les principauxproduits exposés.“Cette manifestions qui s’éta-lera sur trois jours, vise à pro-mouvoir les produits de l’artisa-nat et du terroir. Elle est aussiune occasion pour mettre enexergue le rôle que peut jouerl’artisanat et les produits duterroir dans la promotion dutourisme”, a indiqué à l’APS laprésidente de l’ATTA,Dahmani Ouardia.La participation des autreswilayas a pour but “d’assurerun échange culturel interwilayas pour faire découvrir ànos hôtes, le trésor touristiquebalnéaire de montagne et arti-sanale, de notre wilaya”, aajouté Mme Dahmani.ATTA ambitionne de participerà l’effort de relance du tou-risme local dans la wilaya deTizi-Ouzou, notamment celuide montagne, par l’organisa-tion d’une caravane à traversplusieurs localités de TiziOuzou, avec la participationd’autres wilayas du pays. Cette caravane a pris ledépart, en mai dernier, à partirde la commune de Tizi-Rached, avant d’arriver celundi dans la ville desOuadhias. Elle se rendra pro-chainement à Tigzirt puisAzazga, a indiqué cette mêmeinterlocutrice.La célébration du mois dupatrimoine se poursuivra mardidans la ville de Tizi-Ouzou, parune exposition sur les potentia-lités touristiques et la richesseartisanale de la wilaya qui seraorganisée, a la maison de laculture Mouloud Mammeri, parla direction locale du tourismeet de l’artisanat.Cet événement placé sous leslogan, “promouvoir l’accessi-bilité universelle en faveur d’untourisme pour tous”, s’étalerasur deux jours et comporteraégalement des conférencessur le thème de l’investisse-ment et l’accessibilité au fon-cier touristique à Tizi-Ouzou.

14 ans après avoir été volés à Amsterdam

Deux tableaux de Van Goghretrouvés en Italie

Deux tableaux de VanGogh volés en 2002 àAmsterdam, “Sortie de

l’église de Nuenen”(1884) et “Vue de la mer

de Scheveningen(tempête)” (1882), ont

été retrouvés en Italie, aannoncé vendredi le

musée Van Goghd’Amsterdam.

“Ce sont bien lesvéritables peintu-res”, a déclaré,

cité dans un communiqué, leconservateur qui a authentifiéles tableaux à la demande duparquet italien.

D’une valeur de plusieursmillions d’euros, ces deux toi-les de la première période del’artiste avaient fait l’objet d’unavis de recherche internationalaprès avoir été dérobés le 7décembre 2002 au musée.

“Après 14 années d’er-rance, les deux oeuvres sem-blent en assez bonne condi-

tion” malgré quelques détério-rations, probablement en rai-son de “conditions de transportinappropriées”, a précisé lemusée. Les peintures ont étéretrouvées dans la région deNaples dans le cadre d’une“enquête de grande enverguresur ordre du ministère publicitalien, menée par une équipespécialisée de la Guardia diFinanza, spécialisée dans lacriminalité organisée”.

“Après autant d’années, onn’osait plus compter sur unéventuel retour”, s’est félicité le

directeur du musée Van GoghAxel Rüger, présent à Napleset cité dans le communiqué.

D’après le musée VanGogh, “on ignore où se trou-vaient les deux tableaux depuisle cambriolage” le 7 décembre2002. Les voleurs avaientgrimpé sur le toit du musée,brisé une vitre et s’étaientemparé des deux toiles avantde prendre la fuite en descen-dant le long d’une corde.

“La valeur historique de cesdeux toiles pour la collectionest immense”, a souligné le

musée. La date de retour àAmsterdam des oeuvres d’artreste inconnue. Le musée VanGogh, ouvert en 1973, rassem-ble des centaines de tableaux,dessins et esquisses du pein-tre, depuis sa première périodenéerlandaise jusqu’à sa fin tra-gique en 1890. Né en 1853dans une famille de marchandsd’art, Vincent Van Gogh a peintplus de 800 oeuvres. Alors qu’iln’a réussi à vendre qu’un seultableau de son vivant, ses toi-les se négocient aujourd’hui àprix d’or.

Manifestation lecture en fête de Médéa

Coup d’envoi de la 2è édition L

e coup d’envoi de la 2è édition de lamanifestation culturelle lecture en fête

a été donné, jeudi, à la maison de la cul-ture Hassan-el-Hassani de Médéa, en pré-sence d’une foule nombreuse, composéeessentiellement d’enfants, venus profiterde l’évènement. Cette manifestation,rééditée après le succès remporté par lapremière édition, qui a eu lieu entre le 16février et 19 mai, est une opportunité pouranimer et réactiver les espaces de lecturedisséminés à travers la wilaya de Médéa,de préserver l’engouement pour la lecturesuscité auprès des jeunes lecteurs, lors dela première édition, a indiqué à l’APS le

directeur local de la culture, Omar Reghal,co-organisateur de la manifestation.

Le taux de fréquentation enregistrédurant l’édition de février, estimé enmoyen entre 250 à 350 lecteurs parsemaine, a incité les organisateurs à met-tre sur pied cette deuxième édition, afin deconsolider cet acquis et ancrer l’acte delecture dans les mœurs des jeunes,notamment les élèves scolarisés, issusdes zones enclavées, a -t-il confie.La lec-ture en fête, dont les activités qu’étalerontjusqu’au 2 octobre, est une opportunitépour gagner de nouveaux lecteurs, enoptant pour une démarche de proximité

visant à rapprocher la bibliothèque aucitoyen, a ajouté ce responsable.

Un programme spécifique a été éla-boré, à cet égard, pour donner plus d’ani-mation et d’attrait à cette manifestation,avec l’organisation d’ateliers de calligra-phie, de jeunes débrouillards, de peinture,en marge des séances de lecture et decontes pour enfants prévues à cette occa-sion. En sus de Médéa, deux autres gran-des communes, en l’occurrence El-Azziziaet Tablat, vont accueillir cette manifesta-tion, qui sera émaillée de diverses activitésculturelles et d’animation en relation avecla lecture.

Classification du site des Djeddars au patrimoine mondial

Un dossier sera déposé au niveau de l’Unesco

Le ministre de la Culture,Azzedine Mihoubi, a

annoncé jeudi à Tiaret que sondépartement comptait consti-tuer un dossier et le soumettreà l’Unesco pour le classementdu site funéraire des Djeddars(Sud de Tiaret) au patrimoinehumanitaire mondial.A l’occasion d’une visite à cesite archéologique, le ministrea fait savoir qu’un “dossiertechnique approfondi” seraficelé en vue de son dépôt àl’Unesco pour classer cemonument au titre du patri-moine humanitaire mondial.Ce site archéologique,implanté dans la commune deMedroussa, comprend dessépultures nécrologiques desrois berbères aux formes pyra-

mides remontant au 4ème siè-cle avant l’ère chrétienne.Azzedine Mihoubi a annoncé,au cours de sa visite à la biblio-thèque de Frenda, que sondépartement lancera prochai-nement la numérisation dufonds documentaire du cher-cheur et penseur JacquesBerque (1910-1995), natif de larégion. Ce penseur a léguétout son fonds documentaire etlivresque à la bibliothèque épo-nyme de sa ville natale.Cette opération sera menée auniveau de la bibliothèque natio-nale d’El Hamma (Alger) afinde mettre ces fonds à la dispo-sition des chercheurs et étu-diants, et d’éviter toute formed’usure et de dégradation, aexpliqué le ministre.

Il a proposé la pose au sein decette bibliothèque d’un pan-neau comportant des informa-tions sur la vie et l’œuvre deJacques Berque, auteurnotamment de “Mémoires desdeux rives” et d’une magnifiquetraduction du saint Coran.Le ministre a indiqué, au coursd’un point de presse, en marged’un spectacle de fantasiaorganisé dans le cadre du9ème Salon national du che-val, que cette manifestationvient pour consacrer la culturede préservation du patrimoinematériel et immatériel, insistantsur l’importance d’organiser cesalon chaque année.Il devait, par la suite, visiter lagrotte située dans la localité deTaoughazout (Frenda) où le

célèbre penseur Ibn Khaldouns’est réfugié pour rédiger saMouqaddima. Le ministre ins-pectera également l’antennede l’école des Beaux Arts deTiaret, le chantier de réalisationde la bibliothèque principale duchef lieu de wilaya, avantd’inaugurer le nouveau siègede la direction de la culture. Il assistera aussi à l’ouverturedes assises scientifiques sur lecheval, organisées à l’univer-sité Ibn Khaldoun et prendrapart à une partie d’une venteaux enchères des chevaux derace et du concours du sautd’obstacles. Une soirée artisti-que est aussi prévue au théâ-tre de plein air de la maison dela Culture Ali Maachi du chef-lieu de wilaya.


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TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes LecteursMardi 4 octobre 2016Quotidien national d’information


RégionsSportsCFPA de Sidi Lakhdar (Aïn Defla) :

Incitation des jeunes à renouer avec l’agriculture

Inauguré le 25 septembre dernier à lafaveur de la nouvelle rentrée

professionnelle, le centre de formationde Sidi Lakhdar (Aïn Defla) dédié

exclusivement à l’agriculture s’emploieà relever le défi consistant à rendre le

secteur attractif aux jeunes et, partant,redorer son blason.

Une mission pour le moinsdifficile dans cette wilayaà vocation agricole au

regard de la désaffection desjeunes pour ce créneau d’activitéjugé “pénible” et non valorisé surle plan social.En effet, selon la direction localede la formation professionnelle,sur 412 offres de formation dansle domaine de l’agriculture, seuls31 jeunes ont opté pour ce cré-neau d’activité à l’échelle de lawilaya, l’écrasante majorité decette frange préférant jeter sondévolu sur des spécialités qui“collent” à son ère.

Convaincre à opter pour l’agriculture

Pour le directeur du CFPA deSidi Lakhdar, la tentative deconvaincre les jeunes à opterpour des créneaux d’activités serapportant à l’agriculture est “loin de constituer une sinécure

“.“Certes, il nous arrive parfoisde + détourner + un jeune quiaspirait se lancer dans l’informa-tique ou tout autre spécialité versl’agriculture, mais force est deconstater que les cas où nos ten-tatives sont couronnées de suc-cès se comptent sur les doigtsd’une seule main”, reconnaîtTahar Kouadri Mohamed.Il a noté que sur un total de 167stagiaires inscrits au niveau decette structure de formation dontla capacité est de 300 placespédagogiques, seuls 20 suiventune formation liée à l’agriculture.

De son côté, le responsable duservice suivi et formation à ladirection de la formation profes-sionnelle de Aïn Defla, estimeque cette situation s’explique, engrande partie, par le fait quenombre de parents font preuvede réticence à envoyer leursenfants suivre une formation enagriculture, considérant quecette branche d’activité n’est pasvalorisée sur le plan social.“Les parents doivent, une bonnefois pour toute, comprendre qu’ilfaut de tout pour faire un mondeet, à partir de là, admettre que

tous les jeunes ne peuvent sespécialiser dans l’informatiqueou travailler comme agents debureau”, a-t-il martelé, mettantl’accent sur la nécessité, pour lasociété entière, de “revaloriser letravail de la terre auprès desjeunes”. Pour lui, il est “fonda-mental d’expliquer aux jeunesque l’agriculture à laquelle ilsvont s’adonner est différente decelle pratiquée par leurs grands-parents”.

Pas d’avenir pour l’agriculture sansl’implication des jeunes

Les anciens agriculteurs dela wilaya soutiennent, pour leurpart, que l’agriculture ne peut, enaucun cas, se développer si lesjeunes ne s’y impliquent pas demanière active. “Il est clair qu’auregard des spécificités de l’agri-culture, de ses contraintes et desa pénibilité, cette activité a unbesoin pressant de la fougue etde l’énergie des jeunes pour sedévelopper”, ont-ils observédans ce contexte. Une plus gran-de “reconnaissance sociale” desactivités agricoles est un élé-ment fondamental à même deredorer le blason de ce secteuret le rendre plus captivant aux

yeux des jeunes, ont-ils soutenu.Notant que le meilleur moyend’en finir avec la pauvretéconsiste en un “retour au travailde la terre”, Abdelkader, un agri-culteur de la région d’Arrib, a misl’accent sur la nécessité de com-battre l’idée selon laquelle cetteactivité est synonyme de “durlabeur” et de “travail archaïqueréservé aux villageois”. Pour lechargé des statistiques à ladirection des services agricoles(DSA) de Aïn Defla, le peu d’en-gouement pour les métiers liés àl’agriculture pourrait avoir desretombées négatives sur labonne marche du secteur.“Actuellement, nous sommes,pour les besoins de la taille et dugreffage, contraints de ramenerdes travailleurs de Blida ou deHadjout, Tipasa”, a-t-il assuré,faisant état de personnes âgéesprêtes à faire profiter les jeunesde leur savoir-faire acquis à lafaveur de longues années depratique. Relevant que la super-ficie irriguée au niveau de lawilaya est de plus de 55 000 ha,il a observé que rien que pour cesegment, des spécialités telles legoutte à goutte ou l’entretien desréseaux peuvent être ensei-gnées.

E n faisant un tour au mar-ché populaire de Klencha,

situé dans la commune d’ElMatmar, à une dizaine de kilo-mètres du chef-lieu deRelizane, sur la route nationale4, nous avons été surpris parles prix inaccessibles des fruitset légumes. Les prix appliquésdans ce marché «huppé» sedémarquent par rapport auxautres prix affichés dans lesautres marchés de la ville deRelizane. A titre d’exemple, unkilogramme de raisin de

moyenne qualité qui se vend à100 DA au marché de Klenchaest proposé à 160 DA, celui dupoivron est à 140 DA, alorsqu’au niveau des autres mar-chés son prix est affiché entre60 et 80 DA. La tomate à 1O0DA. La pomme de terre estcédée à 50 DA. La viandeblanche ou rouge est intou-chable. La viande ovine est affi-chée à 1150 DA le kg. Demême pour la sardine, qui estcédée à 450 DA alorsqu’ailleurs elle se vend en

début de septembre à 150 DA.Ce marché n’est guère visitépar les habitants de ladite com-mune susmentionnée. Ils préfè-rent s’approvisionner ailleurs,en raison des prix excessifsaffichés. «C’est un marchépour les riches», nous dira unclient. Effectivement, certainsn’hésitent pas à acheter mêmeà ces prix-là. En ces temps plu-vieux et glacial, il fallait prendreles mesures nécessaires et neplus céder le terrain à des com-merçants peu scrupuleux. Face

à une situation exceptionnelle,il fallait, en termes plus clairs,anticiper et dégager lesmoyens adéquats. L’objectif estaussi clair : permettre aucitoyen de passer une vie nor-male sans trop subir les reversd’un marché et de ses commer-çants. Il ne s’agit nullementd’un exercice difficile, mais toutsimplement d’une réelle volon-té pour mettre de l’ordre dansnos « souks » de légumes et defruits. Est-ce trop demander.

A.L.

Formation professionnelle à M’sila: 1000 nouvelles places pédagogiques attendues

� � Plus de 1000 nouvellesplaces pédagogiques serontréceptionnées à M’sila, au titre dela prochaine session de la forma-tion professionnelle prévue enfévrier 2017, a-t-on appris samediauprès des services de la wilaya.Il s’agit de quatre (4) centres deformation professionnelle et d’ap-prentissage (CFPA) devant ouvrirleurs portes dans les communesd’Ain Errich, d’Ain El khadra, et àla localité de Zitoun dans la com-mune de Maâdhid ainsi qu’au cheflieu de wilaya, a précisé la mêmesource.Deux (2) internats de 120lits dans les communes d’AinErrrich et Ain El khadra sont pré-vus pour la prochaine rentrée dela formation professionnelle etdevront renforcer l’offre d’héberge-ment dans la capitale du Hodna,a-t-on encore ajouté soulignantque ces infrastructures d’héberge-ment visent essentiellement àassurer une meilleure prise encharge des stagiaires venant desrégions rurales enclavées.Lamême source a détaillé que lesplaces pédagogiques dans lawilaya de M’sila seront portées à6000 postes, après la réceptiondes CFPA programmés et ambi-tionne de répondre à la demandeexprimée dans la wilaya et auxnouvelles orientations visant l’in-troduction de filières de formationdemandée par le marché de l’em-ploi local.La wilaya de M‘sila dis-pose actuellement de vingt (20)centres de formation profession-nelle et deux (2) instituts de for-mation professionnelle spécialisésà M’sila et Bousaâda.

Infos de Relizane :

Une journée de sensibilisation a été organisée

Le cancer du sein en débatL e lycée Toumi de Sidi

M’Hamed Benali ‘associa-tion a abrité ce samedi, unejournée de sensibilisation etd’information sur le cancer dusein, organisé au niveau dulycée Toumi de Sidi M’HamedBenali dans la wilaya deRelizane. Cette organisationactive depuis 2012 selon saprésidente Mme B. Kheirapour apporter assistance à despersonnes atteintes de cancer,

défendre leurs droits et œuvrerà l’amélioration de leur prise encharge. Pour ce qui concerneles patients vulnérables(femmes et enfants) des 38communes que compte lawilaya de Relizane , ces der-niers sont accueillis et héber-gés gratuitement à la maisond’accueil pour suivre leurssoins. La responsable de l’as-sociation dira que plus le dia-gnostic est précoce plus le pro-

nostic est meilleur avec desrésultats excellents allant jus-qu’à réduire le taux de mortali-té de 30 pour cent. Ce tsunamiqu’est le cancer du seinconcerne dix mille nouveauxcas recensés chaque annéeen Algérie entraînant 3500décès par an, soit 10 décès parjour, c’est pourquoi, concluraMme B.Kheira, il est indispen-sable de prévenir cette patho-logie par un dépistage préco-

ce, ce qui facilitera son traite-ment, en annonçant la créationprochaine à Relizane d’uneunité de sénologie pour le dia-gnostic et le traitement du can-cer du sein.

Enfin, la caravane Khadradu cancer du sein a déjà sillon-né 2O communes de la wilayadans le cadre de son program-me de sensibilisation sur lecancer du sein.

A.L.

Célébrée par la population locale

La « waâda » de Ridjal El Chatte est de retourLa traditionnelle waâda de « Ridjal ElChatte » a été célébrée, hier, dans la joieet la communion, par la population decette localité rurale relevant de la commu-ne de Belacel Bouzegza, une localité rele-vant de la daïra d’El Matmar, dans lawilaya de Relizane. Des centaines defamilles, venues de plusieurs régions desquatre coins du territoire national, ont faitle déplacement pour assister à ce«Maoussem» annuel, une coutume bienancrée chez les habitants de cette agglo-

mération rurale, située sur les collines deBenaka, connue pour leur sens du partageet leur générosité. La population locale n’apas lésiné sur les moyens pour accueillirses hôtes dans la pure tradition : aussibien sous ses toits que dans des kheïmasaménagées. Outre le couscous tradition-nel, l’évènement, riche en couleurs et sen-teurs de l’encens, a été marqué, hieraprès-midi, par l’organisation d’une fanta-sia où les cavaliers sont réputés pour êtreparmi les meilleurs de la région de l’Ouest.

Cette fête traditionnelle a été une occasionpour les participants à cette fête annuelleet notamment les membres de la tribu devisiter le mausolée de Ridjal El Chatte,saint-patron de la région, dans uneambiance de piété, de recueillement et deretrouvailles. Il est à rappeler qu’une autrewaâda de Sidi Belacel Bouzegza qui vaêtre célébrée dans les jours qui viennentou les organisateurs invitent tout le mondepour assister à cette waâda.

A.L.

Marché d’El Matmar

Les prix des légumes flambent


L'USMA de nouveau seuleaux commandes

L'USM Alger, championned'Algérie en titre et candidate àsa propre succession, s'est

emparée seule de la tête du classementde la Ligue 1 Mobilis de football en bat-tant l'Olympique de Médéa (3-2) enmatch disputé samedi au stade OmarHamadi pour le compte de la 6e journée,au moment où son voisin, le MC Alger aconcédé une défaite amère chez l'ESSétif (2-0). Les Rouge et Noir ont gagné en se don-nant une belle frayeur, il faut le recon-naître, puisque qu'après avoir conforta-blement mené (3-0), grâce à Meziane(5'), Chafaï (9') et Meftah sur penalty à la(41'), ils ont failli concéder l'égalisationdevant le retour tonitruant de l'OM en 2emi-temps. Le nouveau promu a en effet réussi àréduire le score par Banouh dès le retourdes vestiaires (3-1), avant d'ajouter un2e but pas Gherbi à la (58'), ce qui aconsidérablement fait douter l'USMA.Mais le club de Soustara s'est finalementbien ressaisi en fin de match, conservantson acquis jusqu'au coup de sifflet final. Les Rouge et Noir portent ainsi leur capi-tal-points à 16 unités, soit trois de mieuxque leur ancien co-leader, le MC Oran,qui rétrograde du coup à la 2e place,avec 13 points. L'Aigle noir sétifien a également frappéun grand coup en accueillant le Doyenau stade du 8-Mai 1945, auquel il a infli-gé une sévère défaite (2-0), grâce

Haddouche (4') et Nadji, sur penalty à la(17'). Une grosse désillusion pour "Le Doyen"auteur de gros investissements à l'inter-saison et qui s'était déplacé à Sétif avecl'ambition de réussir un bon résultat, àmême de le relancer dans la course auxpremiers rôles. Orphelin de Roger Lemerre, qui finale-ment ne l'entraînera pas cette saison, leCS Constantine a quand même rempor-té une importante victoire (3-1) face àl'USM Bel-Abbès. Aoudia avait ouvert le score pour lesSanafir d'un magnifique ciseau retournéà la 6' minute, mais les Belabbassiensont réussi à égaliser dans la minute quia suivi, par l'intermédiaire de Kourbia.Cependant, l'ancien N°10 de la Lazio deRome, Meghni, a remis son équipe surles bons rails en transformant un penal-ty à la (69'), avant que Belkheir ne clôtu-re le festival par un dernier but à la(90'+2). Vendredi, en ouverture de cette 6e jour-née, ce sont le MC Oran et le CRBelouizdad qui avaient réussi lesmeilleures affaires, en battant respecti-vement l'USM El Harrach (1-0) et le DRBTadjenanet (2-1), effectuant au passagedes bonds appréciables au classementgénéral. Le succès des oranais, assuré parSouibaâ dès la 6e minute de jeu, avaitpermis au MCO de se hisser provisoire-ment en tête du classement, en compa-

gnie de l'USM Alger, avant que ce der-nier ne s'empare à nouveau du leader-ship, après sa victoire contre l'OM. De son côté, le Chabab a réussi l'exploitd'aller gagner chez le DRBT (2-1), pour-tant réputé pour être difficile à manierchez lui. Mais Rebih et Bouchema ontréussi à trouver la faille aux (36' et 64'),avant que Nezouani ne réduise le scorepour le DRBT à la (72'). Le NA Hussein Dey a battu le CA Batna(2-0), grâce à Gasmi (8') et Harrouche(88').La JS Saoura a battu la JS Kabylie sur lescore de 1 à 0 (mi-temps : 0-0), samedisoir à Béchar pour le compte de la 6ejournée du championnat d'Algérie deLigue 1 Mobilis de football. L'unique but de la rencontre a été inscritpar Hamza Zaïdi à la 60e minute de jeu.


ASM Oran 0 - CA Bordj Bou Arréridj 0L' ASM Oran et le CA Bordj Bou

Arréridj se sont neutralisés samedisur le score de zéro partout au stadeHabib Bouakeul d'Oran, en clôture de la4e journée de Ligue 2 Mobilis de football,entamée vendredi. Il s'agit du 4e nul enautant de matchs pour les gars de M'dinaJ'dida, qui restent scotchés à la 11eplace du classement, avec quatre unités.En revanche, les Criquets qui restaientsur une défaite surprise à domicile faceau nouveau promu, le WA Boufarik, seressaisissent bien avec ce nul en dépla-cement, et remontent à la 6e place duclassement général, avec 7 points.

Résultats Vendredi RC Arbaâ - MC El Eulma 1-0 US Biskra - JSM Skikda 1-0 WA Boufarik - JSM Béjaïa 0-0 Amel Boussaâda - ASO Chlef 1-0 AS Khroub - MC Saïda 1-0 USM Blida - Paradou AC 1-1 GC Mascara - CRB Aïn Fekroun 0-0

Samedi ASM Oran - CA Bordj Bou Arréridj 0-0

Classement Pts J 1). Paradou AC 8 4

--). JSM Béjaïa 8 4 --). AS Khroub 8 4 4). JSM Skikda 7 4 --). USM Blida 7 4 --). CAB Bou Arréridj 7 4 7). WA Boufarik 6 4 8). ASO Chlef 5 4 9). Amel Boussaâda 4 4 --). US Biskra 4 4 --). ASM Oran 4 4 12) MC Saïda 3 4 --). MC El Eulma 3 4 --). CRB Aïn Fekroun 3 4 15). RC Arbaâ 2 4 16). GC Mascara 1 4.

Anderlecht

Hanni nominépour le trophée

du joueur de septembre

� L'international algérien du RSCAnderlecht Sofiane Hanni, est nomi-né pour le trophée du joueur du moisde septembre du club, a annoncésamedi la formation belge de premiè-re division sur son site officiel. Hanni qui a rejoint Anderlecht lors dumercato d'été en provenance du FCMalines, a réalisé une bonne entamede saison. Outre Hanni, quatre autres joueurssont en lice pour le trophée dumeilleur joueur du mois de sep-tembre d'Anderlecht: NicholaeStanciu, Lukasz Teodor, LeanderDerdoncker et Hamdi Harbaoui. Le meilleur joueur d'Anderlecht dumois de septembre sera élu par lessupporters du club. Le club remettra le trophée au joueurdu mois sur le terrain, juste avant larencontre contre Lokeren le 16octobre prochain , précise la mêmesource. Blessé lors du match contre Saint-Etienne (1-1) jeudi pour le compte dela deuxième journée de l'EuropaLeague, Hanni est incertain pour leClasico contre le Standard de Liègeoù évolue Ishak Belfodil, selon lapresse locale. Hanni figure dans la liste des 24joueurs convoqués par MilovanRajevac en prévision de la rencontrede l'Algérie contre le Cameroun le 9octobre à 20h30 au stade MustaphaTchaker de Blida pour le compte dela première journée des qualificationsde la Coupe du monde 2018.

O.Marseille

Le CamerounaisNjie souffred'une lésion musculaire

� L'attaquant international camerou-nais de l'O.Marseille Clinton Njieblessé, a déclaré forfait pour lematch de dimanche contre Angerspour le compte de la 8e journée duchampionnat de France de Ligue 1de football, a annonce le club pho-céen sur son site officiel. Njie ne figure pas dans le groupe des18 retenus pas l'entraîneur FranckPassi pour le déplacement à Angers. Selon le journal le Provençal, lebuteur des Lions indomptablessouffre d'une lésion musculaire. Clinton Njie figure dans la liste des23 retenus par le sélectionneur duCameroun Hugo Bross pour le matchface à l'Algérie le 9 octobre à 20h30au stade Mustapha Tchaker de Blidapour le compte de la première jour-née des éliminatoires de la Coupe duMonde 2018, groupe B. En prévision de la rencontre contreles Verts, le Cameroun effectuera unstage du 2 au 7 octobre à Marseilleavec, au menu, un match amicalcontre l'Olympique de Marseille(Ligue 1 française) le mercredi 5octobre à 11h00, précise la Fécafoot. Les hommes d'Hugo Bross rallierontAlger le vendredi 7 octobre. Une fois sur place, les LionsIndomptables effectueront uneseule séance d'entraînementle samedi 8 octobre à 18h00 austade Mustapha Tchaker, selon leprogramme détaillé de l'équipe.

Résultats VendrediDRB Tadjenanet - CR Belouizdad 1-2 NA Hussein Dey - CA Batna 2-0 MC Oran - USM El Harrach 1-0

Samedi USM Alger - Olympique Médéa 3-2 CS Constantine - USM Bel-Abbès 3-1 ES Sétif - MC Alger 2-0 JS Saoura - JS Kabylie 1-0

Reste à jouer Ce mardi, 4 octobre 19h00 A Béjaïa : MO Béjaïa - RC Relizane

Classement Pts J 1). USM Alger 16 6 2). MC Oran 13 6 3). NA Hussein Dey 11 6 --). ES Sétif 11 6 5). MC Alger 10 6 6). DRB Tadjenanet 8 6 --). CS Constantine 8 6 8). CA Batna 7 6 --). JS Kabylie 7 6 --). CR Belouizdad 7 5 --). JS Saoura 7 6 12). USM Bel-Abbès 5 6 13).Olympique Médéa 4 5 14). USM Harrach 3 6 15). MO Béjaïa 2 3 16). RC Relizane -3 5.

L' attaquant international algérien deGaziantespor, Nabil Ghilas a inscrit

samedi son 2e but personnel dans lechampionnat turc, à l'occasion de la 6ejournée contre Bursaspor (3-2). Une bicyclette acrobatique au point depenalty, grâce à laquelle l'ancien du FCPorto a ouvert le score pour Gaziantespor,avant que le Zambien Kangwa ne signeun doublé, pour une victoire finale (3-2).Ghilas (26 ans) aurait pu s'offrir, lui aussi,un doublé dans ce match, mais il n'a pasréussi à transformer le penalty dont il aété chargé à la fin de la première période.

Avec deux buts en un peu moins d'unesemaine, Ghilas peut néanmoins se tar-guer d'avoir chassé la guigne qui l'avaitpoursuivi pendant près de 19 mois.L'Algérien avait perdu en effet le sens dubut depuis février 2015, où il avait inscritson dernier but contre le FC Valence, enLiga espagnole, alors qu'il évoluait sousforme d'un prêt à Cordoue. Transférécette saison en Turquie, Ghilas a déblo-qué son compteur but dimanche dernier, àIstanbul, où il avait inscrit l'unique but deGaziantespor, lors de la défaite (2-1) chezFenerbahçe.

Gaziantespor

2e but pour Ghilas

en unesemaine



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Mardi 4 octobre 2016 Mardi 4 octobre 2016Quotidien national d’information


Sports

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Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la RechercheScientifique Centre Universitaire BELHADJ Bouchaib - Ain Témouchent

NIF/000846019003937

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUEET POPULAIRE

" Acquisition d'Equipements pour 4 000 Places Pédagogiques (2eme Tranche 2000

places)."

Le centre universitaire d'Ain Témouchent lance un avis d'appel d'offres national avec exigence

de capacité minimale en vue de procéder à l'acquisition "Acquisition d'Equipements pour

4000 Places Pédagogiques (2eme Tranche 2000 places) "

Les offres doivent être établies en un ou plusieurs lots suivants:

Lot 01 : Mobilier pédagogique (ce lot comporterait des tableaux et paravents)

Lot 02 : Mobilier pour amphithéâtre et autoditorium.

Lot 03 : Matériel et mobilier informatique et reprographie

Lot 04 : Fourniture et installation de matériel audio-visuel.

Lot 05 : Matériel anti-incendie et de secours.

Lot 06 : Rideaux.

Lot 07 : Groupe électrogène.

Lot 08 : Télésurveillance.

Lot 09 : Mobilier administratif.

Les soumissionnaires intéressés par le présent avis d'appel d'offres peuvent retirer les

cahiers des charges auprès du Centre Universitaire BELHADJ Bouchaib d'Ain

Témouchent, Tél : 043-79-84-31 contre le paiement de la somme de trois mille dinars

(3000,00 DA) par versement au mandat CCP du centre universitaire.

Les offres doivent parvenir sous double pli cacheté et anonyme, contenant la mention suivante:

Appel d'Offres National avec exigence de capacité minimale N°03/ CUBBAT/2016

" Acquisition d'Equipements pour 4000 Places Pédagogiques (2eme Tranche 2000

places)"

(Soumission à ne pas ouvrir que par la commission d'ouverture et d'évaluation)

A/Présentation de l'offre :

L'offre doit comporter le dossier de candidature, l'offre technique et l'offre financière, et qui

doivent être contenues dans 3 enveloppes séparées et fermées indiquant la dénomination de

l'entreprise, la référence et l'objet de l'appel d'offres ainsi que les mentions suivantes:

1) Enveloppe N°01 : Dossier de candidature

2) Enveloppe N°02 : offre Technique

3) Enveloppe N° 03: offre Financière

" a n'ouvrir que par la commission d'ouverture des plis et d'évaluation des offres "

Appel offre national avec exigence de capacité minimale N°03/CUBBAT/2016

Lot 01 : Mobilier pédagogique (ce lot comportera tableaux et paravents)

Lot 02 : Mobilier pour amphithéâtre et auditorium.

Lot 03 : Matériel et mobilier informatique et reprographie

Lot 04 : Fourniture et installation de matériel audio-visuel.

Lot 05 : Matériel anti-incendie et de secours.

Lot 06 : Rideaux.

Lot 07 : Groupe électrogène.

Lot 08 : Télésurveillance.

Lot 09 : Mobilier administratif.

1) L'offre de candidature : Dossier de candidature contient

1. Déclaration de candidature conforme au modèle annexé au présent cahier des charges

renseignée datée et signée.

2. Déclaration de probité conforme au modèle annexé au présent cahier des charges dûment


3. Les statuts pour les sociétés ;

4. Les documents relatifs aux pouvoirs habilitant les personnes à engager l'entreprise ;

5. Tout document permettant d'évaluer les capacités des candidats,

2) Offre technique : contient :

1 . Une déclaration à souscrire conforme au modèle annexé au présent cahier des charges

renseignée datée et signée

2. Tout document permettant d'évaluer l'offre technique : un mémoire technique justificatif et

tout autre document exigé en application des dispositions de l'article 78 du décret présidentiel

n° 15-247 du 02 Dou-Elhidja 1436 correspondant au 16 Septembre 2015 portant

réglementation des marchés publics.

3. Une caution de soumission établie dans les conditions fixées à l'article 125 du présent décret

4. Le cahier des charges portant à la dernière page la mention manuscrite "lu est accepté

3) Offre financière :

1. La lettre de soumission conforme au modèle annexé au présent cahier des charges


2. Le bordereau des prix unitaires rempli, daté, paraphé et signé.

3. Le devis quantitatif et estimatif rempli, daté, paraphé et signé.

4. La décomposition du prix global et forfaitaire.

Les documents Justifiant les informations contenues dans la déclaration de candidature sont

exigés uniquement de l'attributaire du marché public, qui doit les fournir dans un délai

maximum de dix (10) jours à compter de la date de sa saisine, et, en tout état de cause, avant la

publication de l'avis d'attribution provisoire du marché.

B/ Durée de préparation des offres : elle est fixée à 30 Jours à partir de la première

publication dans le BOMOP ou la presse.

C/ Date de dépôt des offres : elle correspond au dernier jour de préparation des offres à

12H00.

D/ Validité des offres : Les soumissionnaires resteront engagés par leurs offres pendant une

durée de 120 jours à compter de la date du dépôt des offres.

E/Ouverture des plis : Les soumissionnaires sont invités à assister à l'ouverture des plis qui

aura lieu le jour de dépôt des offres à 14H00 au Centre Universitaire d'Ain Témouchent.

Avis d'appel d'Offres National Avec Exigencede Capacité Minimale N°03/CUBBAT/2016

MINISTERE DE L'INTERIEUR ET COLLECTIVITES LOCALESDIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION CIVILE

DIRECTION DE LA PROTECTION CIVILEDE LA WILAYA DE MOSTAGANEM

NIF : 097427019000238

Conformément aux dispositions de l'article 40 et

65 du décret présidentiel N°15/247 du 16.09.2015.

Portant réglementation des marchés publics et des

délégations de service public, la Direction de la

Protection Civile de la Wilaya Mostaganem

déclare l'infructuosité De l'appel d'offre national

ouvert n°02 et publié dans les quotidiens

nationaux EL OUMA EL ARABIA et TRIBUNE

DES LECTEURS en date du 02.08.2016, relatif à

L'APPROVISIONNEMENT DES CANTINES

DES UNITES DE LA PROTECTION CIVILE

DE LA WILAYA DE MOSTAGANEM EN

DENREES ALIMENTAIRES POUR

L'ANNEE 2016 et pour LOT N°04 (PAIN et

PATISSERIE), pour motif aucun offre déposé.

AVIS D'INFRUCTUOSITE D'APPELD'OFFRE NATIONAL OUVERT

N° 02/2016

Tribune des Lecteurs - Mardi 4 octobre 2016 ANEP 31007830

Tribune des Lecteurs - Mardi 4 octobre 2016 ANEP 31007825

Pour une expression lPour une expression libreibre

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUEET POPULAIRE

PublicitéMamelodie Sundowns (RSA)- Zamalek

Des arbitres tunisiens et gambiens pour la finaleL

a Confédération africaine de foot-ball (CAF) a désigné l'arbitre tuni-sien Youssef Srairi pour diriger la

finale aller de la Ligue des champions defootball entre la formation sud-africainede Mamelodi Sundowns et le club égyp-tien du Zamalek, le 15 octobre àPretoria. La finale retour, prévue le 23 octobre auCaire, a été confiée à l'arbitre gambienBakary Gassama. Mamelodie Sundowns s'est qualifié pourla finale aux dépens des Zambiens deZesco United (2-1, 0-2) et le Zamalek asorti les Marocains du WA Casablanca(4-0, 2-5).

Championnat de trampoline (5e étape)

Domination des gymnastes l'IRBO-Est et l'Entente d'Oran

L es gymnastes del'Entente sportive d'Oran

filles et de l'IRBO-Est gar-çons se sont illustrés auxépreuves de la 5e et dernièreétape du championnatd'Algérie de trampoline indivi-duel benjamins, minimes etcadets filles et garçons, dis-putée samedi à la salle "Frères Missoum " de Haï SidiEl Houari d'Oran. Les athlètes de l'ES Oran ontdominé les épreuves en filles

et l'IRBO Est en garçons,remportant les premières pla-ces, suivis de ceux d'ElWafae et du CSF Oran. Cette compétition de sportsacrobatiques, organisée parla Ligue oranaise de gym-nastique, a regroupé plus60 participants représentant7 clubs: Koléa-Gym deTipasa, le MB Saïda, leRapid athlétic deMostaganem, l'IRB Oran-Est,le CSF Oran, Wafae d'Oran

et l'ES Oran. A l'issue de cette ultimeétape, les six premiers dechaque catégorie sont quali-fiés à la phase finale duchampionnat d'Algérie, quiaura lieu fin octobre àTipasa, lors du festival natio-nal des sports gymniquestoutes catégories qui regrou-pera différentes spécialités. Le directeur de la compéti-tion, Rabah Mekachi aestimé que cette dernière

étape nationale a été d'unniveau technique " apprécia-ble " espérant que les athlè-tes retrouveront progressive-ment la forme et un véritableniveau au cours de la phasefinale du festival national dessports gymniques fin octobreà Tipasa. "Nous avons découvert, lorsde ces cinq étapes, de jeu-nes talents animés d'unevolonté d'aller de l'avant", a-t-il souligné.

Championnat d'excellence de pétanque

La ligue de Mostaganem remporte la compétitionL a ligue de wilaya de

Mostaganem a remportéle titre du championnat d'ex-cellence de pétanque, dis-puté vendredi sur les terrainsdu plateau de Lalla Setti de laville de Tlemcen, a-t-onappris du président de la

ligue de Tlemcen, initiatricedu tournoi. Les 2ème et3ème places ont été rempor-tées respectivement par lesligues d'Alger et de Blida,selon Badredine Khouatir quia indiqué que le championnata vu la participation de 26

ligues de wilayas. En dépit dela défection de certainesligues à ce rendez-vous spor-tif dont les compétitions sesont déroulées vendredi de 9heures du matin à minuit, leniveau de ce tournoi n'a pasété affecté grâce à la forte

présence de joueurs detalent, a-t-il estimé. Le niveaua été " satisfaisant " et l'orga-nisation " parfaite " grâce à lamobilisation de tous lesmoyens humains et matérielsavec l'aide des autorités loca-les, a-t-il ajouté.

Basket-ball

Le Portugais Mario Palma à la tête du " Cinq " tunisien L'entraîneur portugais duClub Africain, Mario Palma, aété nommé à la tête de lasélection tunisienne (seniorsmessieurs) en remplacementde Adel Tlatli pour unepériode de trois ans, aannoncé samedi la fédérationtunisienne de basket-ball. Le technicien portugais aurapour principaux objectifsl'AfroBasket 2017 et la quali-

fication du cinq tunisien pourla Coupe du Monde 2019,précise-t-on de mêmesource. Mario Palma, 66 ans, à latête du Club Africain depuisla saison écoulée, a rem-porté le titre de champion deTunisie aux dépens de l'ESSahel. Le technicien portugais a unebonne expérience d'entraî-

neur avec les clubs portugaisde Benfica Lisbonne (1991-1997), Estrelas Lisbona(1997-1998), le club angolaisde Primeiro de Agosto (1998-1999, 2001-2006), la sélec-tion angolaise (2001-2005),les sélections de Jordanie(2009-2011) et du Portugal(2011-2015). Mario Palma succède à l'en-traîneur tunisien Adel Tlatli

qui dirigeait l'équipe natio-nale depuis 2001. Tlatli a mené le cinq tunisienlors du championnatd'Afrique 2009 à une troi-sième place et à une qualifi-cation pour le championnatdu monde avant de rempor-ter le championnat d'Afrique2011, pour la première foisde son histoire.

Championnat nationalféminin

Résultats de la1ère journée

Groupe Centre-est

FC Constantine - ARTSF Tébessa 5-0 AS Sûreté Nationale - JF Khroub 2-1 MZ 2000 Biskra - FJ Skikda 2-0 CSAFW Oum El Bouaghi - ESFOR Touggourt 0-2

Classement : Pts J

1. FC Constantine 3 1 -. MZ 2000 Biskra 3 1 -. ESFOR Touggourt 3 1 -.AS Sûreté Nationale 3 1 5. JF Khroub 0 1 -. CSAFW Oum El Bouaghi 0 1 -. FJ Skikda 0 1 -. ARTSF Tébessa 0 1

Groupe Centre-ouest

AS Intissar Oran - ASE Alger-centre 0-4 Affak Relizane - Oran Centre 5-0 CF Akbou - SF El Attaf 5-0 COTS Tiaret - FC Béjaïa 0-2

Classement Pts J

1. Affak Relizane 3 1 -. CF Akbou 3 1 -. ASE Alger-centre 3 1 -. FC Béjaïa 3 1 5. COTS Tiaret 0 1 -. AS Intissar Oran 0 1 -. Oran Centre 0 1 -. SF El Attaf 0 1.

CAF

Limitation du nombre de mandats

présidentiels à trois

� La Confédération africaine de foot-ball (CAF) a limité à trois les mandatsde son président, une mesure quientre en vigueur à partir de l'électionprochaine prévue en mars 2017, rap-porte samedi la BBC citant le chargédes médias de l'instance africaine.Junior Binyam, le porte-parole, chargédes médias à la CAF, a expliqué à laBBC que cette nouvelle décision a étéapprouvée par les dirigeants de l'ins-tance chargée du football africain, lorsde l'assemblée générale extraordi-naire tenue jeudi au Caire. LeCamerounais Issa Hayatou, qui dirigela CAF depuis 28 ans, a la possibilitéde rester à son poste pendant 12 ansencore, soit trois mandats. Cette limi-tation des mandats concerne aussi lesmembres du comité exécutif de laCAF. " La principale raison de cettemodification des statuts de la CAF,c'est de les aligner sur ceux de la Fifa", a expliqué Junior Binyam, ajoutantque d'autres réformes sont attendues.L'assemblée générale extraordinairede la CAF avait rejeté l'amendementdéposé par la Fédération djiboutienneconcernant une candidature à la fonc-tion de président de l'instance diri-geante du football. Ledit amendementconcerne l'article 18, paragraphe 3,ainsi libellé: Seules les associationsmembres sont habilitées à proposerdes candidatures à la fonction de pré-sident de la CAF. Une candidature àla fonction de président n'est valableque si elle est soutenue par au moinscinq associations membres. Le candidat doit avoir joué un rôleactif dans le football en tant qu'officield'une association membre, durantquatre des cinq dernières annéesayant précédé le dépôt de sa candida-ture et à l'obligation de se soumettreau contrôle d'éligibilité.

L e pilote australien deFormule 1, Daniel

Ricciardo, a remporté auvolant de sa Red Bull leGrand Prix de Malaisie, 16eétape du championnat dumonde, devant son coéqui-pier néerlandais MaxVerstappen et l'AllemandNico Rosberg (Mercedes),dimanche sur le circuit deSepang. Malgré une pénalitéde 10 secondes pour avoiraccroché le Finlandais Kimi

Raikkonen, Rosberg a réa-lisé une excellente opérationau classement général,puisqu'il a consolidé saplace de leader, son dauphinet équipier, le BritanniqueLewis Hamilton, ayant étécontraint à l'abandon surcasse moteur alors qu'iloccupait la tête de la courseau 41e des 56 tours. Le pilote Mercedes, cham-pion du monde en titre etauteur de la pole position

samedi, était occupé à réali-ser une bonne opération auchampionnat, en devançantRosberg, l'actuel leaderavec huit points d'avancesur le Britannique. Le scénario de course étaitjusque-là idéal pourl'Anglais, triple champion dumonde. Dès le premiervirage, Rosberg, accrochépar son compatrioteSebastian Vettel (Ferrari),avait été relégué en dernière

position. Comme Hamilton,Vettel a été contraint àl'abandon dès le premiertour, victime d'un bris desuspension avant gauche,après un accrochage avecRosberg. Ce dernier compte désor-mais 23 points d'avance(pour 8 au départ du GP)sur Hamilton, alors qu'ilreste cinq Grand Prix à dis-puter et donc 125 points àdistribuer.

GP de Malaisie de F1

Daniel Ricciardo (Red Bull) s'impose à Sepang

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Actualité Quotidien national d’information


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DétenteLancement officieldu réseau 4G de

MobilisOuargla ville hôte

C'est fait ! Mobilis 1er opérateurattributaire provisoire d'une

licence mobile de quatrième génération,est fière d'annoncer officiellement lelancement de la technologie 4G mobileson sur réseau, à partir de la capital dugrand sud Algérien Ouargla et de sarégion économique Hassi Messaoud.Le coup d'envoi du lancement commer-cial de la technologie 4G de Mobilis, aété rehaussé et donné ce Samedi 01Octobre 2016, par Madame ImenHouda Feraoun, Ministre de la Poste etdes Technologies de l'Information et dela Communication, en présence desautorités locales, du Directeur Généralde Mobilis M. Mohamed Habib et de sonstaff managérial, à partir de l'agencecommerciale de Mobilis sis à Ouargla.Ce lancement, fait suite à la publicationdu décret exécutif N° 16-235 attribué àl'opérateur public ATM Mobilis, portantapprobation de licence d'établissementet d'exploitation d'un réseau public detélécommunications mobiles de la 4G etde fourniture de services de télécommu-nications au public.Le déploiement du réseau 4G deMobilis, touchera au titre de la premièreannée, quatorze (14) wilayas, dont trois(03) wilayas obligatoires à savoir Alger,Oran et Ouargla, et s'étendra aux onze(11) autres wilayas supplémentaireschoisies par Mobilis: Tlemcen,Constantine, Batna, Bordj Bou Arreridj,El Oued, Biskra, Boumerdés, Tipasa,Blida, Tizi-Ouzou et Sidi Bel-Abbés.Soucieux du développement économi-que, Mobilis renforce sa stratégie departenariat avec l'industrie technologi-que locale et participe de ce fait, pleine-ment à l'émancipation de l'économienationale.A cet effet, Mobilis lancera des packsMantoudj Bladi à partir de 9990 Da, eny intégrant des offres internet très avan-tageuses pour le grand public, et dessolutions dédiées aux professionnels,un canal fort important inscrit dans lespriorités stratégiques de l'entreprise.Par ailleurs, l'opérateur nationalconsent des investissements colossauxsur l'ensemble du territoire nationalmais particulièrement dans le grandsud, soucieux de rapprocher les popula-tions et d'apporter la voix et aussi del'internet mobile même dans les locali-tés les plus éloignées du pays.Mobilis s'engage pleinement sur ledéveloppement du secteur des télécom-munications, à travers le renforcementdes investissements techniques surl'ensemble des wilayas mais aussi com-merciaux, à travers la mise à niveau deson réseau de vente.Enfin, Mobilis est engagée pour la réus-site de ce grand saut technologique enAlgérie, est prêt à tenir ses engage-ments afin de participer à la numérisa-tion de l'économie Algérienne et lamodernisation des services publics.

Agroalimentaire

Les Européens constatent un reculdes exportations vers l'Algérie

Le groupe Bali se lance dans l'industrie avicole

Un défi et un enjeu d'avenir

Par : Imen.Hamadache

Grâce au nouveaugrand complexe quisera lancé par le

groupe Bali, dans la régiond'El Hachimia dans la wilayade Bouira, l'industrie avicoleconnaîtra un nouvel départ.Avec une production de 455000 œufs par jour à partir dumois de décembre 2016, legroupe compte produirejusqu'à 1,5 millions d'œufs etl'abattage de 60 000 poulespar jour et compte employerprès de 52 emplois directs et100 emplois indirects. LePDG du groupe, Ali Bali, aexpliqué dimanche lors d'une

visite guidée pour la pressedans un de ses complexessitué à Bouira, que la produc-tion initiale d'œufs ne repré-sente que la première phased'un projet conséquent d'in-vestissement, qui verra l'en-treprise produire 1.5 milliond'œufs par jour d'ici juin 2018.Selon M. Bali, un volume deproduction aussi importantpermettra de " lutter contreles circuits de spéculation etinfluer sur le prix du marchéen évitant que les spécula-teurs puissent fixer le prix dumarché ". Le DG a qualifié leprojet d'investissement d'une" mission pour le pays " ainsiqu'un " service national ".

Le groupe Bali qui est connuplus particulièrement dans lesecteur du bâtiment et la pro-motion immobilière, s'ouvre àl'investissement dans le sec-teur agricole sur lequel legouvernement compte beau-coup dans la situation decrise actuelle. Toujours selonle Dg Bali, son groupe est entrain d'investir dans la cultureintensive du raisin et del'orange qu'il fait dans lawilaya de Blida et de Bouira.Le DG a affirmé qu'avec uninvestissement de 4,5 mil-liards de dinars, ce projetdébutera avec une capacitéde 455 milles œufs jours etpassera à 1,5 millions d'œufsen 2019. Ce qui permettrad'augmenter la productionnationale de 10%. En outre,le groupe Bali affirme avoirmis en place des procédésde filtrage d'eau et decontrôle des aliments permet-tant de garantir un " produitfini de qualité ". Plusieursvétérinaires effectueront éga-lement un contrôle perma-nent des poules et des œufsau niveau du complexe. Legroupe Bali affirme en outreque l'aliment destiné auxpoules sera produit locale-ment à partir de la matièrepremière achetée (maïs,soja, son) et qu'aucune hor-mone ni rajout ne seront utili-sés.L'investisseur a expliqué quele consommateur algérien àle droit de consommer unproduit sein d'où son groupecompte à protéger le citoyen "dans nos complexes, chaqueœuf qui va sortir va avoir unflocage sur l'œuf avec le nomde la société, le numéro dulot qui n'est autre que lenuméro du hangar d'où il estsorti ainsi que la date de laproduction de l'œuf. Ainsi, leconsommateur, en achetantson œuf, disposera de cesinformations et personne nepourra l'usurper "a-t-il souli-gné. Ajoute-t-il que son pre-

mier but et de mettre fin à laspéculation ont régularisonsle marché des œufs pour unemeilleure traçabilité du pro-duit. Dans le cas où le mar-ché local des œufs viendraità être saturé, le groupe Balin'exclut pas d'exporter saproduction, le PDG dugroupe affirmant que le com-plexe " est aux normes euro-péennes ".Le groupe Bali ambitionneégalement de lancer un com-plexe de production deviande blanche (poulets dechair) à partir de juin 2018,pour un investissement de2.4 milliards de dinars quicréerait 250 emplois directset 300 indirects. L'entrepriseprévoit par ailleurs plusieursunités de compostage per-mettant de transformer lesdéchets organiques enengrais biologiques. Ces uni-tés sont prévues dans quatrewilayas d'ici décembre 2018,d'une capacité variant entre200 et 400 tonnes par jour etdont l'investissement globals'élèverait, selon l'entreprise,à près de 10 milliards dedinars.Le projet d'investissement dugroupe Bali ne se limitecependant pas uniquement àla production d'œufs.L'entreprise prévoit égale-ment des lignes de produc-tion d'ovo produits, à savoir latransformation de l'œuf àl'état liquide (œuf entier,jaune ou blanc) d'une capa-cité de 320 000 œufs par jourà partir de juin 2017. Le PDGdu groupe affirme d'ailleursque la transformation del'œuf permettra de réduire lesimportations de ces produitspar les différentes usinesagroalimentaires. Il cite parexemple l'usine de mayon-naise Lesieur qui sera pro-chainement implantée enAlgérie et qui nécessitera degrandes quantités d'œufspour sa production.

I.H

MMoottss fflléécchhééss NN°° 338899 SSuuddookkuu NN °° 338899

MMoottss ccrrooiissééss NN°° 338899

Compléter la grille en utilisant les chiffres de 1 à 9. Le même chiffre ne doit se retrouver qu'une seule

fois dans chacune des colonnes horizontales,verticales de même que dans chacune des boîtes de9 cases tel qu'illustré.

Mots croisés N° 388

SOLUTIONS SOLUTIONS SOLUTIONS SOLUTIONS

Mots fléchés N° 388 Sudoku N ° 388

Horizontalement1 - Dans l'ensemble

2 - Donner un caractère trés "nouveau-monde"

3 - Sortie de couche - Maintenue dans son état

4 - Petit carré - Soutenue

5 - Ancien mollusque - Entre titre et matière

6 - Sujet bien familier - Amènera vers la fin - Parfait

7 - Hollandais en boule - Singe à queue prenante

8 - Instrument de ménestrel - Persiflage

9 - Coula à flots

10- Principauté du golfe persique - Escabeau à plateau tour-

nant

Verticalement

A - Propos flatteur

B - La belle verte

C - Fils de la belle-soeur - Souterrain fortifié

D - Chapelet d'années - Gonflement anormal

E - Poufferais - Nid d'espions tentaculaire

F - Numéro 89 en petit - Emergences - Elu pour l'agenda

G - Piquerais plusieurs fois

H - Il se mit son père à dos - Terrains pour fléaux

I - Déposée sur le tapis - Jetée

J - A droite sur la carte - Propre à la colonne

K - Donc à compter désormais - Patrie de Guillaume Tell

L - Associez-vous, elle tiendra la caisse

Par Imen et APS

Les exportations de pro-duits agroalimentaires de

l'Union européenne (UE) versl'Algérie ont reculé sensible-ment lors ces 12 derniersmois, passant de 3,408 mil-liards d'euros, entre août2014 et juillet 2015, à 2,778milliards euros durant lapériode allant d'août 2015 àjuillet 2016, soit une baissede 18,5%, montrent des don-nées publiées par laCommission européenne.La baisse des exportationsagroalimentaires de l'UE versl'Algérie a été plus significa-tive en juillet 2016 où l'Algérien'a importé de cette régionque pour 188 millions d'euroscontre 261 millions d'eurosun an auparavant, soit unebaisse de 28,2%.Les principaux produits res-

ponsables de la baisse desexportations de l'UE versl'Algérie sont les poudres deblé et de lait, a affirmé à l'APSun responsable des servicesdu Commissaire européenchargé de l'agriculture et dudéveloppement rural, PhilHogan.La diminution importante desprix de ces deux produitsexplique, en partie, la réduc-tion de la valeur des exporta-tions de l'UE vers l'Algérie,selon ce responsable qui citeégalement un autre facteurimportant, à savoir la baisse,en volume et en valeur, desexportations de cigares et decigarettes. Les exportationsdes produits agroalimentairesde l'UE vers l'Algérie ont étéplombées également par labaisse des exportationsd'huiles végétales, en volumeet en valeur, et de celle des

fruits frais, notamment envolume, a ajouté ce respon-sable sans donner de préci-sions chiffrées. La chute desprix du pétrole a contraint legouvernement à prendre desmesures à travers l'instaura-tion d'un régime de licencesd'importation destiné à limiterle volume des importations etencourager le développe-ment du produit local. Descontingents tarifaires agrico-les originaires de l'UE ont étéainsi soumis au système delicences d'importation.Le coût global de l'ensemblede produits concernés par lerégime des licences d'impor-tation non automatiques estestimé à 12 milliards de dol-lars dont un (1) milliard dedollars concerne les produitscontingentés provenant del'UE, avait fait savoir le minis-tre du Commerce Bakhti

Belaïb. Les exportations deproduits agricoles de l'UE ontatteint plus de 128 milliardsd'euros durant la périodeallant d'août 2015 à juillet2016, soit une progressionannuelle de 0,7 %, confortantla position de l'UE en tant quepremière exportatrice agroali-mentaire mondiale, une placeque l'UE a repris aux Etats-Unis en 2013.Cependant, si les exporta-tions de l'UE vers les Etats-Unis, son principal parte-naire, ont progressé de 10%durant la période de réfé-rence et de 17% vers laChine, elles ont, en revan-che, poursuivi leur tendancebaissière vers la Russie (-12,5%), pâtissant de l'em-bargo russe et du faibleniveau des prix sur les mar-chés mondiaux.

I.H/APS

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TTRRIIBBUUNNEEDes LecteursDes Lecteurs Mardi 4 octobre 2016

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Magazine

Par Samia Acher

Le dispositif de la gendarmeriedéployé dans le cadre de la miseen œuvre du plan Delphine 2016

a contribué, comme chaque année, demanière significative à conforter le senti-ment de sécurité chez les citoyens parun maillage sécuritaire étoffé et uneprise en charge effective des préoccupa-tions des estivants. La gendarmerie amis en application un tel plan depuis2001, adapté à chaque saison estivaledans le but de sécuriser les lieux dedétente et de loisir. Le contrôle des pla-ges, forets, parcs, lieux où il y a le plusde délinquance, le contrôle de l’état desroutes et voies de communication et l’or-ganisation de la circulation routière. Dans un communiqué, il est noté que lasaison estivale 2016 a été marquée pardes activités culturelles et de loisirsnocturnes qui ont été prises en chargedans le cadre de cedit plan. A préciserégalement, qu’à l’occasion de la rentréesociale, coïncidant avec l’aïd, ce disposi-tif sécuritaire a été maintenu dans letemps et dans l’espace, à même de pré-venir toute velléité d’atteinte à l’ordre età la sécurité publics. Lors de cette sai-son estivale, la gendarmerie a sécurisé266 plages, soit un taux de 71% du nom-bre global des plages autorisées à labaignade. Pour la mise en application dece plan, des moyens ont été engagés etmis à la dispositions des citoyens, àsavoir 25.132 gendarmes, 2.247 véhicu-les, 2.155 motos, 07 hélicoptères et 52équipes cynotechniques.L’activité des unités de la gendarmerie aété axée sur l’exécution des services decontrôle général, notamment au niveaudes plages autorisées à la baignade, lemaintien de l’ordre public et la protectiondes personnes et des biens. Les unitéscôtières ont exécuté, durant cette saisonestivale, 209.110 services externes,consacrés à la surveillance générale duterritoire (plages, parcs forestiers), lasécurisation de l’environnement, la visitedes lieux publics, le contrôle sur lesvoies de communication, à travers despatrouilles et des barrages, ainsi que lasécurisation des différentes manifesta-tions.Dans le cadre ses missions tradi-tionnelles, les unités de gendarmeriedes wilayas côtières ont identifié548.681 personnes et 192.638 véhicu-les avec l’arrestation de 1.253 person-nes et la saisie de 07 véhicules recher-chés.

Dans le domaine de la police de la route :

11594 délits ont été relevés, 2.767contraventions rédigées, 126.396 amen-des forfaitaires imposées et 112.790permis de conduire retirés.

Dans le domaine de la police administrative :

13.003 affaires ont été traitées contre13.951 affaires traitées l’année dernière.Il est à signaler que dans le cadre de lagratuité d’accès aux plages et en coordi-nation avec les autorités administratives,les unités de gendarmerie ont traité 93affaires liées à l’exploitation illégale desplages, 175 affaires liées à l’exploitationillégale des lieux de camping, 22 affairesliées à l’exploitation des parkings sauva-ges. Lors de ces affaires, 1184 tables,2700 chaises, 1218 parasols, 238 tenteset 1283 différents équipements ont étésaisis.

Dans le domaine de la protection de l’environnement :

Les unités de la Gendarmerie Nationale,renforcées par les cellules de protectionde l’environnement ont constaté 299infractions (contrôle des infrastructuresclassées, contrôle de différents types dedéchets, protection du patrimoine végé-

tal et des réservés naturelles, la préser-vation de la santé publique,….etc.).Aussi, des campagnes de sensibilisationont été menées, en coordination avecles différentes unités administratives,pour asseoir une culture environnemen-tale auprès du citoyen, où il a été enre-gistré plus de 174 campagnes en plusde 41 interventions techniques pour pré-lever des échantillons d’eau et de terredans le but de les soumettre à des ana-lyses en laboratoire.

Dans le domaine la lutte contre l’at-teinte au patrimoine culturel :

En ce qui concerne l’activité des unitésde la Gendarmerie Nationale dans cedomaine, menée en coordination avecles cellules régionales pour la luttecontre cette forme de criminalité, 12affaires au niveau des wilayas de Jijel,Skikda, El-Tarf, Tlemcen, Oran etBoumerdès ont été traitées et ont aboutià l’arrestation de cinq personnes impli-quées ainsi que la récupération de 324pièces archéologiques dont 247 piècesde monnaies romaines, 28 piècesremontant à l’ère préhistorique et 02armes de guerre remontant à l’antiquité.D’autre part, quatre nouveaux sitesarchéologiques ont été découverts àJijel, El-Tarf et Tlemcen.

Dans le domaine de la protection des mineurs :

En ce qui concerne l’activité des briga-des de protection des mineurs de laGendarmerie Nationale, 12 affaires ontété traitées (détournement de mineurset incitation à la débauche et la prostitu-tion, consommation de drogues,consommation de boissons alcooliséeset mendicité). Les brigades de protectiondes mineurs ont également contribué àla réintégration de mineures dans leursfamilles, ont pris part aux émissionsradiodiffusées et aux portes ouvertes,organisé des campagnes de sensibilisa-tion dans les colonies de vacances, leslieux de détente et les plages et onteffectué des patrouilles d’inspectiondans les lieux fréquentés par lesmineurs.

La santé publique :Au cours de cette période, 11 cas d’in-toxication alimentaires ont été enregis-trées au niveau des wilayas côtières.L’insalubrité constitue l’une des principa-les causes de ces intoxications notam-ment lors de fêtes de mariage ou debanquets. La plupart de ces cas ont étéenregistrés dans la wilaya de Tipaza (05cas), suivie d’Oran et Ain Tèmouchentavec deux cas. En comparant avec lamême période de l’année précédente,une baisse a été enregistrée (14 cas en2015).

Dans le domaine de la police judiciaire :

8.362 affaires ont été traitées dont 56%liées à la criminalité de droit commun et11% au crime organisé et qui ont aboutià l’arrestation de 7.569 personnes dont1.112 ont été écroués.La majeure partie des affaires traitéesconcerne les crimes de droit commun,avec un taux de 56%, soit une baisse de11% par rapport à même période del’année passée.La criminalité organisée constitue 11%de l’ensemble des affaires traitées, dontla majeure partie sont des affaires detrafic de drogues où 410 affaires ont ététraitées et qui ont abouti à la saisie de 07tonnes, 04 quintaux et 20 kg de kif traité.

Contrebande de carburant :187 affaires ont été traitées suite aux-quelles 77.742 litres de carburants ontété saisis, contre 418 affaires traitées en2015, ceci constitue, une baisse de55%.

Lutte contre l’immigration clandestine :

93 affaires ont été traitées grâce aux-quelles 239 ressortissants africains ontété arrêtés dont neuf ont été écroués. Lamajorité des immigrés clandestinsétaient de nationalités (Malienne,Nigérienne et Marocaine). Le nombredes affaires traitées a enregistré unebaisse de 47% par rapport à l’annéeécoulée où 174 affaires ont été traitées.

Crimes constatés au registre deslois spéciales :

Il a été enregistré 976 affaires qui sesont soldées par l’arrestation de 1.134personnes dont 57 ont été placées sousmandat de dépôt, ce qui représente unehausse de 34% par rapport à la mêmepériode de l’année écoulée (727 affai-res).

Les opérations « coup de poing »dans les fiefs de la criminalité :

Dans ce cadre, les unités de laGendarmerie Nationale ont exécuté1656 descentes à travers le territoiredes wilayas côtières lors desquelles,287.777 personnes ont été identifiéesainsi que 101.132 véhicules avec l’arres-tation de 419 personnes et la saisie de06 véhicules recherchés, ce qui repré-sente une augmentation de 220% parrapport à la même période de l’annéeprécédente (518 opérations).La majorité des personnes appréhen-dées étaient recherchées suivant desmandats de justice, consommation dedrogues, psychotropes et détention d’ar-mes blanches.Activité des formations ariennes de laGendarmerie Nationale :Les unités aériennes de la GendarmerieNationale ont exécuté 55 sorties dont 13nocturnes avec une durée de temps de105 heures de vol.Elles ont contribué dans le contrôle de lacirculation routière, l’état des routes, lavoie ferrée, la surveillance générale descotes et la participation aux opérationsde recherches et de sauvetage. Ellesont avisé les unités territoriales des acci-dents de la route, le pillage de sable etles incendies de forêt.

Les accidents de la route durant lasaison estivale 2016 :

Durant la saison estivale 2016, 1706accidents de la route faisant 334 mortset 2936 blessés ont été enregistrés,avec une baisse dans le nombre desaccidents de la route par rapport à lamême période de l’année écoulée 21 %et une baisse de 04% dans le nombrede morts et 23% dans le nombre desblessés et ce grâce à l’efficacité du dis-positif sécuritaire mis en place dans lecadre du plan Delphine.Le plus grand nombre d’accidents de laroute 1303 a été enregistré durant lemois de Juillet avec un taux de 76% dunombre global, qui a coïncidé avec leRamadhan qui connait une grande den-sité dans la circulation routière nocturne.Les wilayas les plus touchées par cephénomène, étaient Alger 360,Boumerdès 187, Tipaza 183, Tizi-Ouzou 148, Bejaia 197, Boumerdès146, ces wilayas ont connu une grandeaffluence des estivants.Les cause directes de ces accidentssont l’excès de vitesse 616 accidents,les dépassements dangereux 217 ,nom respect des plaques de signalisa-tion 177, les manœuvres dangereuses163 accidents.Selon les statistiques établies à ce sujet,le chauffeur reste le facteur principalconduisant aux accidents de la routesurvenus 1563 accidents avec un tauxde 92% du taux globale des accidentsde la route.

S.A

Plan Delphine 2016 de la gendarmerie

Un maillage sécuritaire étoffé

Actualité

DÉTENTION ETCOMMERCIALISATION DESTUPÉFIANTS À TLEMCEN

TROIS PERSONNESAPPRÉHENDÉES � Les gendarmes du groupement ter-ritorial de Tlemcen ont présenté devantM. le Procureur de la République prèsle tribunal de Maghnia, 03 personnes,pour détention, consommation et com-mercialisation de stupéfiants. Elles ontété placées sous mandat de dépôt.Rappelons que, le 23/09/2016, lorsd'une patrouille pédestre exécutée surla bande frontalière, les garde-frontièresont interpellé dans la circonscriptioncommunale de Béni-Boussaid, les misen cause, à bord d'un camion, en pos-session 25 kilogrammes de kif traité.Une est ouverte enquête.

BISKRA

SAISIE DE 500 GR DE KIFTRAITÉ� Les gendarmes de la brigade terri-toriale de Mechounèche ont interpellélors d'un point de contrôle, reliantBiskra à Batna, 03 personnes quiétaient à bord d'un véhicule, en posses-sion de 500 grammes de kif traité.Poursuivant les investigations, les gen-darmes de ladite brigade ont saisi dansle domicile de l'un d'eux, sis à la com-mune de Biskra, 500 autres grammesde la même substance.Une enquête est ouverte.

CONTREBANDE À TÉBESSA

SAISIE DE 400 CARTOU-CHES DE CIGARETTESÉTRANGÈRES � Agissants sur renseignements, lesgendarmes de la brigade de Bedjene,ont interpellé lors d'une patrouille, une01 personne qui transportait à bordd'un véhicule 400 cartouches de ciga-rettes étrangères de différentes mar-ques, en provenance de la contre-bande. Avisé, M. le Procureur de laRépublique près le tribunal de Chéria, arecommandé l'ouverture d'une enquête,la présentation du mis en cause à l'issuet la remise la marchandise saisie à larecette des douanes. Une enquête estouverte.

EN SITUATION IRRÉGULIÈRE À EL OUED

7 RESSORTISSANTSMALIENS ARRÊTÉS � Lors d'une patrouille exécutée aucentre ville de la commune de Robbah,les gendarmes de la brigade locale ontinterpellé 07 ressortissants maliens, ensituation irrégulière. Une enquête estouverte.

MILA

DEUX PERSONNESRECHERCHÉS POURVOL APPRÉHENDÉES � Agissant sur renseignements, lesgendarmes de la brigade de Ouled-Khelouf ont interpellé, deux personnes,qui était à bord d'un véhicule, faisantl'objet de recherches pour vol, suite àune plainte déposée le même jour, parson propriétaire auprès des gendarmesde la brigade d'Aïn-Fakroun. A signalerque, le véhicule en question a été volédurant la nuit du 29 au 30/09/2016, deson lieu de stationnement devant ledomicile de la victime, commune deAïn-Fakroun (Oum-El-Bouaghi).

FAITS DIVERSpar Samia Acher

Page animée par Cylia TassaditPage animée par Cylia Tassadit

Salade depommes de terre

et œufs durs

Ingrédients� 4 pommes de terre� 3 œufs� 1 petit oignon haché� 2 cuillères à soupe de persil haché� 3 cuillères à soupe d'huile d'olive� Sel, cumin, piment doux, piment fort

Préparation :Laver bien les pommes de terre et les mettreavec leur peau dans une grande casseroled'eau légèrement salée, les faire cuire jusqu'àce que la pointe d'un couteau entre facilementdans la chair, épluchez-les et passez-les aumoulin à légumes. Plonger les œufs dans unecasserole d'eau bouillante et laisser cuirependant 10 minutes, les écaler. Hacher deuxœufs et couper 1 œuf en quatre quartiers.Dans un saladier, mélanger la purée depommes de terre, les œufs durs hachés,l'oignon haché, l'huile d'olive, le persil haché,assaisonner de sel, cumin, piment doux etpiment fort, bien mélanger. Chemiser un mouleà cake de papier film, décorer le fond du mouleavec les quartiers des œufs durs, verser lapréparation de pommes de terre, bien tasser etdémouler avec précaution sur un plat,parsemer de persil haché et servir.

Cake au yaourtet à la pomme

Ingrédients� 1 pot de yaourt (garder le pot pour lamesure)� 2 pots de sucre en poudre� 3 pots de farine� 1 pot d'huile� 3 œufs� 1 pincée de sel� 2 pommes� 1,5 sachet de levure chimique� Le zeste d'un citron

Préparation :Éplucher les pommes et coupez-les enlamelles régulières. Mettre les œufs et le sucredans un cul de poule et bien travailler lemélange avec un fouet, ajouter l'huile, le zestede citron, le sel et le yaourt et continuer à battrele mélange, ajouter peu à peu la farine tamiséeet la levure et mélanger jusqu'à l'obtentiond'une pâte homogène. Beurrer et fariner unmoule à cake et y verser la préparation,disposer les lamelles de pommes sur la surfacede la pâte. Enfourner pendant 40 minutes dansun four préchauffé à 180°C, vérifier la cuissonde cake avec une lame de couteau, avant de lesortir du four, laisser refroidir avant dedémouler.

CCOOIINN

CCUUIISSIINNEE

Soins beauté

Une peau radieuse grâceaux peelings naturels

La majorité d'entrenous cherchent àavoir une belle peaulisse qui nous rendbelles et radieuses.Les produitschimiques sont trèscoûteux et peuventparfois causer desirritations de la peau.

C'est pourquoi, nousallons partager avec vous6 excellents peelings natu-rels qui peuvent vous aiderà prendre soin de votrepeau et la rendre radieuse.

Peeling à la bananeLa banane est un ingré-dient très sain pour notre

peau, et nous aide à l'hy-drater, à éliminer les impu-retés et à la maintenirjeune. Dans ce peelingnaturel, nous allonsmélanger de l'huile d'oliveet un œuf, deux ingré-dients très sains pour lapeau, qui sont idéaux pourson hydratation.Ingrédients- 1 banane- ½ tasse d'huile d'olive- 2 œufs

Comme faire? Dans un récipient propre,mélangez l'huile d'olive etles œufs. Ensuite, ajoutezune banane écrasée et for-mez une pâte. Lorsque lapâte est lisse, appliquez-lasur l'ensemble du cou etdu visage, puis laissez agir

pendant une demi-heure,avant de rincer avec del'eau fraîche.

Peeling à l'avoineCe peeling à l'avoine estidéal pour nettoyer la peauen profondeur et éliminerles cellules mortes quis'accumulent et qui résul-tent de l'exposition ausoleil, de la contamination,ou de l'usage du maquil-lage entre autres. L'avoineaide à lisser la peau et éli-mine ces impuretés quiaffectent la beauté.

Ingrédients - 2 cuillères de farined'avoine.- 4 cuillères de petit lait.Comment faire?Mélangez bien les ingré-

dients et ensuite, appli-quez-les sur la totalité duvisage par des massagesdoux et circulaires.Laissez agir pendant 10minutes et ensuite rincez àl'eau fraîche.

Peeling de carottemasque-carotteCe peeling de carotte estidéal pour nettoyer la peauen profondeur, éliminer lesimpuretés et prévenir levieillissement prématuré.Ses ingrédients protègentla peau et l'aident à serégénérer lorsqu'elle estmaltraitée par le soleil.Ingrédients- 1 cuillerée de jus decarottes (5 ml).- 1 cuillerée de jus decitron (5 ml).- 1 cuillère de levure sèche(10 g).- 1 cuillerée d'huile d'olive(5 ml).- 1 cuillerée et ½ deyaourt.

Comment faire?Mélangez tous les ingré-dients dans un récipientpour former une pâte à latexture crémeuse.Ensuite, appliquez sur latotalité du visage et du couet laissez agir pendant 30minutes. Si la peau estgrasse, n'ajoutez pasd'huile d'olive au mélange.Il faut éviter l'usage de cepeeling sur des peaux irri-tées ou qui souffrentd'acné.

Conseils pratiques

Conserver le pain frais plus longtemps Q ue faire pour que le

pain acheté le matinou la veille soit encore bon? Voici quelques astucesefficaces pour conservervotre pain frais plus long-temps :

1. L'Emballer Puisque votre pain est sen-sible à l'atmosphèrehumide ou trop sèche, lapremière des choses àfaire est de ne pas le lais-ser à l'air libre. Le sac enpapier donné par le bou-langer ou une serviettepropre en coton sont lesmeilleures solutions. Évi-tez les films ou sacs enplastique, qui vous donne-raient un pain mou, voiremoisi.

Le garder non tranché Ne le coupez pas àl'avance, les tranchessèchent encore plus vitequ'un pain entier. Si, lorsdu repas de midi, vousavez coupé plus de tran-ches que vous n'en avezmangé, ne les jetez cepen-dant pas. Si vous les pla-cez bien dans votre ser-viette, elles seront man-geables le soir. Si besoin,

passez-les 1 minute oufour, ou alors gardez-lespour vous faire du painperdu le lendemain matin.

Le congeler Un petit passage au

congélateur fait le plusgrand bien à votre pain.Congelez vos baguettes,coupées en 1/2 ou en 1/3,

pour avoir juste le morceauqu'il faut par repas, dansun sac congélation. Lepain, ça se décongèle trèsvite. Une heure avant ladégustation suffit. Vouspouvez le décongeler aumicro-ondes, mais il serapeut-être un peu plus élas-tique qu'avec une décon-gélation à l'air libre.

L'accompagner d'unepomme

Si vous rangez votre paindans une huche ou uneboîte hermétique, posezune pomme à côté. C'estune astuce de grand-mèrequi fonctionne très bien.

Le conserver à bonnetempérature

Attention, la températurec'est important aussi. S'ilfait trop chaud dans votreappartement, c'est l'assè-chement assuré en quel-ques heures. Entre 14° et18°, le pain garde toutesses qualités gustatives.Trouvez-lui une place pastrop chaude, loin des radia-teurs et du four pour leconserver.

Le passer au four Vous constatez un petit

ramollissement ou un grosdessèchement ? Il y a uneastuce toute simple : pourlui redonner son croustil-lant que vous aimez tant,humidifiez légèrement sacroûte puis passez-le quel-ques minutes au four.Choisissez un petit ther-mostat, pour ne pas le dur-cir : th. 4 ou 5 (env. 150°)c'est suffisant.

2222

ActualitéMardi 4 octobre 2016



23

Les services decontrôle de la qualitéet de la répressiondes fraudes duministère duCommerce ont saisirécemment unequantité de 279,12kilogrammes defromage fondu enportion de la marque"La vache qui rit" pourprésence demoisissures, selon uncommuniqué de ceministère.

Par : Imen.H

Ace titre, le ministère

du Commerce

appelle les

consommateurs "à plus de

vigilance lors de l'achat ou

de la consommation de ce

produit". Cette saisie inter-

vient dans le cadre de la

mise en œuvre du pro-

gramme d'action relatif à la

prévention des risques

sanitaires pouvant découler

de la consommation des

denrées alimentaires. Il

s'agit des lots: KA 130 16


09/05/2016 et date de limite

de consommation

08/05/2017), KA 2426 (date



mation 02/05/2017), KA 121




29/05/2017), KA 126 (date



mation 04/05/2017) et KA

09916 (date de fabrication



07/05/2017). La saisie des

lots de fromage " La vache

qui rit " est intervenue

après l'intoxication d'une

quarantaine d'enfants, le 22

septembre, dans une école

primaire à Bordj Bou

Arreridj, affirme Mustapha

Zebdi, président de

l'Association de protection

et d'orientation du consom-

mateur et de son environ-

nement (Apoce). " 41 élè-

ves ont été intoxiqués dans

cette école et l'aliment incri-

miné dans cette intoxication

était La vache qui rit ",

assure notre interlocuteur

dont l'organisation avait

saisi le ministère du

Commerce pour le " retrait

des lots suspects ". " Ce qui

s'est passé est l'une des

conséquences de la non-

coopération des opérateurs

économiques avec les

associations de défense

des droits des consomma-

teurs ", estime M. Zebdi qui

affirme avoir saisi les res-

ponsables du groupe la Bel

avant cette affaire d'intoxi-

cation. " Malheureusement,

ils n'ont pas coopéré ",

regrette-t-il.

Par ailleurs, dans un com-

muniqué, Bel Algérie dit

avoir pris connaissance "

par voie de presse d'une "

demande de saisie " de pro-

duits La Vache qui rit, boîte

ronde, suite à des symptô-

mes d'indigestion qui

auraient touché des élèves

de l'école de Mansourah,

dans la Wilaya de Bordj

Bou Arreridj ". Le groupe

informe ses consomma-

teurs " qu'aucune preuve

n'a été établie entre l'indi-

gestion évoquée et la qua-

lité de production des pro-

duits La Vache qui rit. Bel

Algérie se tient à la disposi-

tion des autorités sanitaires

". Il assure également qui

va prendre " très au sérieux

cette situation ". " Nous pro-

cédons sur toutes nos pro-

ductions à de nombreux

contrôles quotidiens afin de

garantir à nos consomma-

teurs des produits d'une

qualité sanitaire irréprocha-

ble ", précise le groupe.

I.H.

Présence de moisissures sur le fromage " La vache qui rit "

Plus de 27 mille kg saisis par le ministère



Les kangourous peuvent différer leur gestation enfonction des saisons, tandis que les dauphins

parviennent à déceler si une plongeuse face à eux estenceinte. Pour ce nouveau numéro, Adriana et Michel

partent pour un véritable road movie en Australie.Dans ce pays gigantesque, ils vont découvrir unediversité animalière sans équivalent : plus de 378espèces de mammifères, 828 d'oiseaux et 4 000 de

poissons. Près de 80 % de ces animaux, tels que leskangourous ou les wombats, n'existent que là-bas. Le

duo longe la côte est pour aller à leur rencontre,comprendre leur fonctionnement et ainsi établir des

comparaisons avec l'anatomie, la physiologie etl'intelligence humaines.

Patterson et l'équipe souhaitent faire la lumière sur lesdramatiques événements de la veille. Une piste les mène audomicile d'un certain Roger Levkin qui pourrait bien être unespion russe. L'hypothèse selon laquelle il appartiendrait àune cellule dormante est bientôt confirmée. Weller et Janetentent d'identifier les autres membres du groupe ainsi que

les cibles qu'ils s'apprêtent à éliminer.

Blindspot

Sur France 2 - 20h55

Sur TF1 - 20h55

Les pouvoirs extraordinaires des animaux

Sur M6 - 21h00

Les beaux malaises

AAAAuuuujjjjoooouuuurrrrdddd’’’’hhhhuuuuiiii

11h30 Documentaire 12h30 KhousoussiatMin Aâlem13h00 Journal Televisé13h30 Hayati Aâdab15h00 Long métrageanimé 16h30 Spider-Man 18h00 Journal télévisé18h35 Malaïbe Aâlem 20h00 Journal Televisé20h50 Magazine du festival 22h30 Chants patrioti-ques

06:25 : TFou 08:25 : Météo 08:30 : Téléshopping 09:20 : Météo 09:25 : Au nom de lavérité 09:55 : Au nom de lavérité 10:25 : Petits secretsentre voisins 10:55 : Petits secretsentre voisins 11:20 : Petits secretsentre voisins 11:55 : Petits plats enéquilibre 12:00 : Les douze coupsde midi 12:50 : L'affiche du jour 13:00 : Journal 13:40 : Petits plats enéquilibre 13:45 : Météo 13:55 : Les feux del'amour 15:10 : Un romand'amour 17:00 : L'addition, s'ilvous plaît 18:00 : Bienvenue aucamping 19:00 : Money Drop 19:55 : Météo 20:00 : Journal 20:30 : Météo 20:40 : Là où je t'emmè-nerai20:55 : Blindspot 21:45 : Blindspot 22:40 : Blindspot 23:30 : Arrow

09:35 : Amour, gloire etbeauté 10:00 : C'est au pro-gramme 10:55 : Météo outremer 11:00 : Motus 11:30 : Les Z'amours

12:05 : Tout le mondeveut prendre sa place 12:55 : Météo 2 13:00 : Journal 13:48 : Météo 2 13:50 : Consomag 14:00 : Toute une his-toire 15:10 : L'histoire conti-nue 15:40 : Comment ça vabien ! 16:40 : Comment ça vabien ! 17:20 : Mon food truckà la clé 18:15 : Joker 18:50 : N'oubliez pas lesparoles 19:25 : N'oubliez pas lesparoles 19:55 : Météo 2 20:00 : Journal 20:40 : Parents moded'emploi 20:46 : Parents moded'emploi 20:48 : L'Eurovision, l'instant 20:50 : Météo 2 20:55 : Les pouvoirsextraordinaires des ani-maux 22:50 : Mardi cinéma,l'hebdo 22:55 : Dans les yeuxd'Olivier

12:25 : 12/13 : Journalnational 12:55 : Météo à la carte 13:50 : Un cas pour deux 14:55 : Un cas pour deux 16:10 : Des chiffres etdes lettres 16:50 : Harry 17:25 : Un livre, un jour 17:30 : Slam 18:10 : Questions pourun champion 19:00 : 19/20 : Journalrégional 19/20 : Journal régional19/20 : Edition locale19:30 : 19/20 : Journalnational 19/20 : Journal national20:00 : Tout le sport 20:15 : Météo régionale 20:20 : Plus belle la vie 20:50 : De Gaulle 1940-1944, l'homme du destin 22:25 : Bir Hakeim 1942

09:15 : Homeland 10:05 : Homeland 10:50 : La cour de Babel 12:25 : La nouvelle

édition 12:45 : La nouvelle édi-tion,14:05 : Blood Ties 16:08 : Filles d'au-jourd'hui 16:10 : L'effet papillon 16:50 : Diplomatie 18:10 : Pendant cetemps... 18:12 : Pendant cetemps... 18:15 : Le Before dugrand journal 18:45 : Le JT19:05 : Le grand journal 20:05 : Le grand journal 21:00 : Gomorra 21:50 : Gomorra 23:30 : L'oeil de Links 23:55 : Situation amou-reuse: c'est compliqué

10:30 : Cuisines des terroirs 11:00 : Escapadegourmande 11:20 : Le peuple desocéans 12:05 : 360°-GEO 13:20 : Arte journal 13:35 : Quai des brumes 15:10 : Dans tes yeux 15:40 : Ports d'attache 16:30 : Torpillé à l'aube 17:50 : Curiositésanimales 18:15 : Indochine sau-vage 19:00 : Le voyage de lachouette harfang 19:45 : Arte journal 20:05 : 28 minutes 20:45 : Silex and theCity Lieutenant : 22:45 : Madame et sesflirtset les Chipmunks

10:50 : Devious Maids 13:05 : Scènes de ména-ges13:45 : L'amour en 8leçons15:45 : Philtre d'amour 17:40 : Les reines dushopping 18:50 : En famille 19:40 : Météo 19:45 : Le 19.45 20:10 : Scènes de ména-ges21:00 : Les beauxmalaises 22:45 : En famille 23:45 : En famille

Humoriste à succès, Franck vit avec sa femme Anne,peu impressionnée par la notoriété de son mari, et leurs

deux enfants Emma et Léo. Un peu arrogant etmanipulateur, l'acteur se retrouve fréquemment

confronté à son statut de célébrité : dans la rue, ausupermarché... même auprès de ses amis Christophe etJean-François ou de son ex, Marion. Il fait surtout la

fierté de sa mère Monique.

Petit écran

Contrefaçon dumédicament en Algérie

Vigilance et contrôle

recommandésPar Farid Larbaoui

�Les autorités algériennes assurentactuellement que la contrefaçon dumédicament n'existe pas. Aucun casde produits contrefaits n'a été enre-gistré, mais le contrôle doit êtrecontinu selon les propos du ministre." Nous n'avons enregistré jusqu'àl'heure aucun cas de contrefaçon demédicaments dans la fabrication deproduits pharmaceutiques qui sontsoumis à des analyses et à descontrôle rigoureux supervisés pardes cadres et des experts de labora-toires relevant de l'Agence nationalede production pharmaceutique", a-t-il fait savoir dans une déclaration àla presse. Le ministère mise sur lelancement récent de l'Agence natio-nale du médicament qui aura pourtâche l'inscription, l'homologation etle contrôle de tous les produitsmédicamenteux. Une épreuvecolossale face à un marché quin'obéit pas forcément à la rigueur ducontrôle et de la vérification. Il fautse rappeler sans doute les déclara-tions du syndicat des pharmaciensd'officine qui avait signalé " l'exis-tence de certains produits périmésou prés de leur terme de péremptionintroduits de manière floue sur lemarché ". Les autorités de santépublique n'avaient pas nié l'exis-tence d'un stock périmé de médica-ments d'une valeur de 50 milliardsde centimes. Ce stock était com-posé de certains médicaments etconsommables dont la date depéremption était dépassée et qui ontété identifiés et incinérés. On parledès lors de 25.000 tonnes dont unegrande partie était détenue dans lesdépôts de la pharmacie centrale. Leporte-parole du SNAPO, MessaoudBelambri, n'a pas cessé de mettreen grade sur " les dangers d'unapprovisionnement en médicamentsnon homologués destinés principa-lement aux pays pauvres ", en révé-lant que 10% du marché mondial estsujet à un trafic en médicaments detous genres. Cela dit, le syndicatdes pharmaciens d'officine est aussiconcerné par la protection du mar-ché par ce fléau menaçant la santépublique. Une convention signéeentre le syndicat et le ministère de lasanté oblige en effet tout pharma-cien à déclarer son stock de médica-ment usé et on valide pour laconsommation. Les pharmaciesd'officine doivent diriger ces stockset consommables vers des incinéra-teurs pour être brûlés. De plus tousles hôpitaux publics doivent êtreéquipés de brûleurs de médica-ments dont la dépense est prise encharge par l'Etat. L'Algérie qui veutêtre un modèle dans la protectioncontre la fraude du médicamentpossède un grand laboratoire natio-nal du contrôle du médicamentagréé par l'OMS dont l'efficacité aété prouvée à maintes reprisesautour de la vérification de confor-mité des différents produits. Il est ànoter que pour faire mieux, l'instruc-tion du ministère porte sur la miseen conformité obligatoire des pro-duits génériques qui sont produitslocalement alors que pour les prin-ceps importés, ces derniers doiventcomporter un code barre qui rensei-gne sur leur origine, date de produc-tion, certificat de conformité et agré-ment portant mention du laboratoirede production.

F.L.

Bilan mensuel de l'ANP

8 terroristes abattusL

es éléments de l'Arméenationale populaire

(ANP) ont réussi en septem-bre dernier à abattre huitterroristes et à arrêter neuféléments de soutien degroupes terroristes, tandisque quatre autres terroristesse sont rendus. Selon unbilan de l'ANP publié diman-che, " les différentes opéra-tions exécutées par les for-ces de l'ANP ont permisd'abattre huit terroristes, tan-dis que quatre autres sesont rendus, outre huit élé-ments de soutien de grou-pes terroristes arrêtés ". Cesopérations ont permis ladestruction de 38 caches et

la récupération de 10 armeskalachnikov, 29 fusils de dif-férents types, 14 chargeurs,688 cartouches, 53 bombesartisanales et quatre minesartisanales, précise la mêmesource. Par ailleurs, les éléments del'ANP ont réussi le mois der-nier à arrêter 319 trafi-quants, 67 criminels et 820migrants clandestins, selonla même source. Il s'agit également de la sai-sie de 49 quintaux de kiftraité, 1 kg de cocaïne et16.889 psychotropes.Durant la même période, ilsont également réussi àdéjouer plusieurs opérations

de contrebande de carbu-rants (189.517 litres), outrela saisie de 317 tonnes deproduits alimentaires et larestitution de 98 détecteursde métaux, 118 véhicules,tout type confondu et 104générateurs, a précisé lemême bilan.Pour rappel, dans sonnuméro du mois de septem-bre, la revue El-Djeich aexpliqué dans son éditocomment l'armée a pu vain-cre le terrorisme. " Grâce à l'évaluation perti-nente et précoce de lamenace terroriste et de sesrépercussions sur la situa-tion sécuritaire, sociale et

économique du pays, grâceà l'exploitation optimale,immédiate et efficace durenseignement, l'ANP a puvaincre le terrorisme ", avaitnoté la revue de cette insti-tution. Le mensuel de l'ar-mée avait rappelé en outre,que le renforcement descapacités de défense consti-tue un des principes "immuables " pour lequel leHaut commandement del'ANP a accordé un intérêtsoutenu ces dernièresannées, en le considérantcomme un " impératif opéra-tionnel de première impor-tance ".

N.A.




Fedjr Dohr Assar Maghreb Ichaâ

05:16 12:37 15:56 18:28 19:58

Le rapport dont unecopie a été reçue parl'APS à Alger et soumis

le 28 septembre dernier auComité des droits de l'hommedes Nations Unies (CDH) traitedu dossier des droits del'homme du Maroc et com-prend des recommandationsdétaillées soumises à laCommission des droits del'homme de l'Onu.Le document présenté par leCentre Robert F. Kennedy etses partenaires, réaffirme quel'"occupation du Sahara occi-dental par le Maroc est illégaleen vertu du droit international,et présente des éléments ainsique des analyses sur lesactions et la façon dont leMaroc viole le droit du peuplesahraoui à l'autodétermina-tion". Le document abordeégalement la poursuite desviolations, par le Maroc, desdroits du peuple sahraoui à

disposer de ses ressourcesnaturelles, de son droit à la vieet de se libérer de l'occupationarbitraire et de la torture.Le centre rappelle égalementles traitements cruels, inhu-mains et dégradants auxquelsfait face le peuple sahraouidont le combat se poursuitpour les libertés individuelleset la liberté de mouvement.Le document aborde en outrele droit des Sahraouis à l'éga-lité devant les tribunaux et auxprocès équitables, à la vie pri-vée, à la liberté d'expression etde réunion pacifique, ainsi qu'àla liberté d'association."Le Maroc persiste et parfoisviolemment dans la violationdes droits du peuple sahraoui",a déclaré Kerry Kennedy, pré-sident de Robert F. Kennedydes droits humains."Les rapports sur les protesta-tions violement dispersées, les

récits concernant les cas dedétentions arbitraires et de tor-ture en prison, le non respectdu droit du peuple sahraoui àl'autodétermination ne peutpas rester sans réponseauprès des autorités marocai-nes et de la communauté inter-nationale", ajoute le rapport."Le Comité des droits del'homme des Nations uniesdoit tenir le Maroc comme res-ponsable de toutes ces viola-tions ", lit-on dans le rapport.En tant qu'Etat signataire duPacte international relatif auxdroits civils et politiques(PIDCP), le Maroc a une obli-gation juridique contraignanteà respecter et à garantir lesdroits énoncés dans le Pactedans tous les domaines où ilexerce un contrôle, y comprisla partie du Sahara occidentalque le Maroc occupe.Par ailleurs, le regrette l'ab-

sence de tout progrès dans lamise en œuvre du droit dupeuple sahraoui à l'autodéter-mination, et les violations sys-tématiques, de toutes sortes,de droits humains.Le récent rapport a été pré-paré en collaboration avec laCornell Law School internatio-nale Human Rights Clinic. Il aété présenté conjointement parRobert F. Kennedy HumanRights, le Collectif des sah-raouis défenseurs des droitshumains (CODESA),l'Association sahraouie desvictimes des violations gravesdes droits de l'homme(ASVDH), l'Association desFamilles des prisonniers et dis-parus Sahraouis (AFAPRE-DESA), la Fondation DanielleMitterrand/France Libertés, leBureau des Droits de l'Hommeau Sahara Occidental(BIRDHSO), l'Association fran-çaise des Amitié et de solida-rité avec les peuples d'Afrique(AFASPA) et Adala UK. Le CDH devrait publierObservations et recommanda-tions finales concernant Marocaprès elle conclut sa sessiond'examen, prévue pour le 24Octobre - 25 2016. Dernière colonie en Afrique, leSahara occidental a été illéga-lement occupé par le Maroc en1975, après le départ des trou-pes espagnoles, et reste à cejour inscrit à l'ONU au chapitredes territoires à décoloniser,conformément aux règles dudroit international en lamatière.

La pauvreté continue derefluer dans le monde mal-

gré une économie mondialeléthargique mais les inégalitéspersistent compromettant laréalisation de l'objectif visant àmettre fin à la pauvreté d'ici2030, selon un rapport publiédimanche par la Banque mon-diale (BM). "Pratiquement 800 millions d'in-dividus vivaient avec moins de1,90 dollar par jour en 2013,soit environ 100 millions depersonnes de moins qu'en2012", précise ce premier rap-port d'une nouvelle série d'étu-des de la BM intitulée "pau-vreté et prospérité partagée",destinée à rendre compte desestimations et tendances de lapauvreté dans le monde.Ces avancées s'expliquent sur-tout par les performances réali-sées par l'Asie de l'Est pacifi-que, notamment la Chine,

l'Indonésie et l'Inde sur le frontde l'extrême pauvreté, soulignel'étude de la BM.Désormais, la moitié des indivi-dus extrêmement pauvresvivent en Afrique subsaha-rienne et un tiers en Asie duSud. Dans 60 des 83 pays cou-verts par ce nouveau rapport,le revenu moyen des 40% lesplus pauvres de la population aaugmenté entre 2008 et 2013,malgré la crise financière. Unrésultat significatif puisque cespays représentent 67% de lapopulation mondiale, relève laBM. "S'il est remarquable quedes pays aient continué deréduire la pauvreté et d'accroî-tre le partage de la prospéritédans un contexte économiquemondial pourtant défavorable,le nombre de personnes pri-vées d'un revenu décent restenéanmoins bien trop impor-tant", souligne Jim Yong Kim,

président du Groupe de laBanque mondiale, cité dans lecommuniqué de la BM."A moins de parvenir à relancerla croissance mondiale et àréduire les inégalités, nous ris-quons de rater l'objectif que laBanque mondiale s'est fixé :mettre fin à l'extrême pauvretéd'ici 2030", avertit cette institu-tion financière internationale. La croissance doit profiter auxplus pauvres en mettant fin auxfortes inégalités, surtout dansles pays qui concentrent ungrand nombre de pauvres,recommande la BM.Le niveau d'inégalités restetrop élevé, avec une concentra-tion préoccupante des riches-ses dans les quintiles supé-rieurs de revenu, note le rap-port qui constate que dans 34des 84 pays analysés, lesécarts se sont creusés, avecune hausse plus rapide des

revenus des 60% les plusriches que pour les 40% lesplus pauvres.Dans 23 pays, ceux qui sesituent dans les deux quintilesinférieurs ont vu leurs revenusreculer sur la période par rap-port aux personnes plusaisées. Les chercheurs de laBM se sont plus particulière-ment penchés sur un groupede pays qui ont réussi à fairereculer sensiblement les inéga-lités depuis quelques annéescomme le Brésil, le Cambodge,le Mali, le Pérou et la Tanzanie.Ils ont identifié six stratégies àl'efficacité avérée qui ontentraîné une hausse des reve-nus des pauvres ainsi qu'uneamélioration de leur accès auxservices essentiels sans entra-ver pour autant la croissance. Ces politiques sont d'autantplus efficaces si elles sont cou-plées à une croissance solide,

une gestion macroéconomiquesaine et des marchés du travailefficaces et créateurs d'em-plois, qui offrent des opportuni-tés aux pauvres, indique la BM.Pour mieux s'attaquer à la pau-vreté, les politiques gouverne-mentales doivent être axéessur le développement de lapetite enfance, la garantied'une couverture médicale etl'accès à l'éducation, tout enassurant des transferts moné-taires aux familles démunies.La BM met égalementl'accent sur l'importance desinfrastructures rurales commeles routes et l'électrificationdans la réduction de la pau-vreté ainsi que sur la nécessitéd'établir une fiscalité progres-sive pour transférer des res-sources aux plus pauvres,sachant que des régimes fis-caux peuvent être conçus pourréduire les inégalités.

OFFENSIVE POURREPRENDRE SYRTE :

" 80 TERRORISTESABATTUS "� Les forces du gouverne-ment libyen d'union nationale(GNA) ont affirmé, hier, avoirtué dimanche 80 terroristes aucours de leur offensive pourreprendre Syrte, bastion dugroupe terroriste autoproclamé" Etat islamique " (Daech/EI). "Les commandants des unitésau front ont recensé pas moinsde 55 cadavres de (terroristes)tués alors qu'ils tentaient sanssuccès de prendre de court leslignes arrières (des forcesloyalistes), en plus de 25autres corps" découverts dansla ville ", ont indiqué les forcespro-GNA dans un communi-qué. Ce bilan n'était pas véri-fiable de source indépendante.Les forces progouvernementa-les, dont huit soldats ont ététués et 57 blessés dans lesseuls combats de dimanche,ont indiqué avoir pris de nom-breux véhicules, armes etmunitions aux terroristes.Lancée le 12 mai, l'opérationde reconquête de Syrte pro-gresse par à-coups, l'arméelançant régulièrement de nou-velles offensives entrecoupéesde périodes de calme.Samedi, les avions militairesdes forces du GNA avaienteffectué "six sorties" pour pré-parer le terrain "à l'avancéedes troupes" vers le réduit ter-roriste situé dans l'est de laville. Ces dernières sont égale-ment soutenues par des frap-pes américaines, dont le nom-bre s'élèvent à 177 depuis le1er août, selon le centre decommandement pour l'Afrique(Africom). Les forces pro-GNAont reconquis la majeure partiede la ville mais les combats ontfait plus de 450 morts et quel-que 2.500 blessés au sein deces forces. Le bilan des mortsdans les rangs des élémentsde Daech reste inconnu.Dimanche, le journaliste néer-landais Jeroen Oerlemans, quitravaillait notamment pourl'hebdomadaire belge Knack, aété tué en Libye alors qu'ilouvrait les combats à Syrte.Jeroen Oerlemans est le pre-mier Occidental et le deuxièmejournaliste à trouver la mort encouvrant les combats à Syrte. Le journaliste libyen bdelqaderFsouk avait été tué en juilletdernier.

RAPPORT DU CENTRE KENNEDY SUR LES DROITS DE L'HOMME

L'OCCUPATION DU SAHARAOCCIDENTAL EST ILLÉGALE

L'occupation du Saharaoccidental par le Marocest illégale en vertu du

droit international, arappelé dans un rapport

le Centre Robert F.Kennedy des droits de

l'homme dans un récentrapport en partenariatavec plusieurs autres

organisations non-gouvernementales et des

universitaires.

SELON UNE ÉTUDE DE LA BANQUE MONDIALE

RECUL DE LA PAUVRETÉ DANS LE MONDE

IL A SURFÉ VAGUEMENT SUR LES SUJETS D'ACTUALITÉLORS DE LA RÉUNION DU BP DE SON PARTI

ACCIDENTS DE LACIRCULATION ET INTEMPÉRIES

1992 INTERVENTIONSENREGISTRÉES PAR LA

PROTECTION CIVILEPage 4

LIRE EN PAGE 3

LA CRISE LIBYENNE AU MENU DES DISCUSSIONS

Page 3

www.tribunelecteurs.com




VISITE DE FAIZ SERRADJ EN ALGÉRIE

PLUS DE 27 MILLE KG SAISIS PAR LE MINISTÈREPRÉSENCE DE MOISISSURES SUR LE FROMAGE " LA VACHE QUI RIT "

Page 2

PH

. Hafid

a

SAADANI PROMET DE TOUT DIRE DEMAIN

quotidien national d’information page 2 tri · 1992 interventions enregistrÉes par la protection...

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