prÉsentation - hexafor : formations pnl, hypnose ... · les prÉsupposÉs de la pnl un...
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PRÉSENTATION
1
Au cours de notre développement, nous construisons des programmes, des habitudes...
NEURO
Qui conditionnent notre manière de percevoir et de penser...
LINGUISTIQUE
Et se manifestent au travers du langage, et de nos autres comportements.
PROGRAMMATION
PRÉSENTATION
© HEXAFOR 2000
2
LES ORIGINES DE LA PNL...
L’école de Palo Alto...
Le courant des thérapies brèves :
Richard BANDLERPsychologue et Informaticien
John GRINDERPsychologue et Linguiste
Milton ERICKSONHypnose Thérapeutique
Virginia SATIRThérapie Familiale
Fritz PERLSGestalt
MODÉLISATION
Techniques de Communication
Outils de Changement&
MODÉLISATION
PRÉSENTATION
© HEXAFOR 2000
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LES PRÉSUPPOSÉS DE LA PNL
Un présupposé est une croyance qui s’exprime de manière implicite. Chez les personnes qu’ils ont modélisées, BANDLER et GRINDER ont explicité certains présupposés. Ces présupposés facilitent l’apprentissage, la mise en œuvre et la réalisation d’objectifs, la collaboration avec d’autres personnes.Lorsqu’ils sont explicités, ces présupposés deviennent des postulats.
La carte n’est pas le territoire.
Chacun dispose des ressources dont il a besoin pour atteindre ses objectifs.
Les échecs peuvent se transformer en apprentissage.
On ne peut pas ne pas communiquer.
Le sens de mon message est dans la réponse que j’obtiens de l’environnement.
Chacun fait toujours le choix le mieux adapté parmi ce qui est disponible.
Il y a une intention positive dans tout comportement (toute pensée, toute émotion).
Nous avons des comportements, nous ne sommes pas nos comportements.
PRÉSENTATION
© HEXAFOR 2000
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LES ÉTAPES DE L’APPRENTISSAGE
INCOMPÉTENCE INCONSCIENTEJe ne sais pas que je ne sais pas, ou je suis sûr de savoir. Je ne suis pas en situation d’apprentissage.
INCOMPÉTENCE CONSCIENTEJe sais que je ne sais pas. Je peux commencer à apprendre.
COMPÉTENCE CONSCIENTEJe sais faire mais l’apprentissage mobilise une bonne partie de mon attention.
COMPÉTENCE INCONSCIENTEJe peux agir en dirigeant mon attention sur autre chose.
AUTO-ÉCOLE
PRÉSENTATION
© HEXAFOR 2000
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LA MODÉLISATION DES EXPERTS
Un expert est une personne qui a une compétence hors du commun dans un domaine particulier (pour chacun d’entre nous, il existe des domaines où nous sommes des experts).
Les experts réussissent grâce à des stratégies efficaces. Ces stratégies sont le plus souvent inconscientes.
Les techniques de modélisation permettent de faire émerger les stratégies dans le champ de la conscience, de les décoder, et de se les approprier.
Les outils de la PNL sont issus de la modélisation d’experts en communication inter-personnelle.
PRÉSENTATION
© HEXAFOR 19976
L’INDEX DE LA CONSCIENCE
Tout ce qui peut être vu ou entendu par un observateur extérieur :Voix, postures, gestes, mimiques etc...
Penser, réfléchir, imaginer, se souvenir, se parler à soi-même...
Tout ce que l’on sent et ressent : Émotions
SensationsSentiments...
CE PI
EI
CE PI
EI
CE PI
EI
COMPORTEMENTS EXTERNES
PROCESSUS INTERNES
ÉTATS INTERNES
Notre conscience est dirigée sur l’une ou l’autre des parties de l’index.
PRÉSENTATION
© HEXAFOR 1997
7
33
AMÉLIORATION
44
CHANGEMENT
11
RAPPORT DE CONFIANCE
22RECUEIL D’INFORMATIONS
Praticien Niveau 1Communication &
Développement personnel
© HEXAFOR 19988
LE RESPECT DES RÈGLES
EXPLICITES IMPLICITES (Culturelles) (Individuelles)
Non verbales Verbales
Lorsque le rapport de confiance s’établit spontanément, la plupart des règles sont respectées.Pour établir le rapport volontairement, il n’est pas nécessaire de penser à toutes les règles, notre conscience ne suffirait pas.En revanche, si le rapport s’établit difficilement, il est utile de vérifier sur quel point porte la différence entre soi et l’autre.
11 RAPPORT DE CONFIANCE
Non verbales Verbales
Distance
Voix
Posture
Tris primaires
Index de la conscience
Canaux sensoriels
Taille de découpage
IdentificationDifférenciation
Conscience externe Tri sur l’autre
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7 2 champs de conscienceLorsque nous agissons, nous n’avons conscience que d’une partie de ce que nous faisons. Nous ne sommes conscients que de sept deux éléments. Chaque champ de conscience peut être tourné soit vers la perception d’informations externes, soit vers le traitement ou la prise d’informations en interne.
CONSCIENCE INTERNELa plupart de nos champs de conscience sont tournés vers l’intérieur de nous-mêmes. Par exemple : je ressens une douleur, je repense à un moment agréable, je me demande ce que l’autre pense ou attend de moi...
CONSCIENCE EXTERNE
La plupart des 7 2 champs de conscience sont tournés vers l’extérieur.Exemples :J’arrive sur un rond-point et je perçois instantanément ce qui se passe tout autour de moi.Au cinéma, le film me passionne tellement que j’oublie l’inconfort des sièges.
Développez la vision périphérique : regardez tout autour de vous, fermez les yeux et refaites-vous en interne la même image.Développez l’audition périphérique : en vous promenant, soyez attentifs à tous les bruits.Prenez conscience de vos indicateurs de conscience interne : vision ou audition “tunnel”, conscience du dialogue interne, gestes auto-centrés...
Entraînement
Dans certaines circonstancesla conscience interne est dangereuse...
RAPPORT
© HEXAFOR 199710
CENTRÉ SUR SOI - CENTRÉ SUR L’AUTRE
Au cours de notre vie, nous avons développé une perception du monde qui nous est propre.
Nous avons adopté des valeurs personnelles pour évaluer nos expériences.Nous avons des opinions sur les bonnes manières de se comporter dans une multitude de situations...
Être “CENTRÉ SUR SOI”, c’est juger l’expérience de l’autre en fonction de notre propre modèle du monde, de nos propres valeurs, de nos règles.C’est juger le comportement de l’autre en référence au comportement que nous attendons ou lui prêter les intentions que nous aurions dans une situation similaire...
Être “CENTRÉ SUR L’AUTRE”, c’est tenter de respecter le modèle du monde de l’autre sans condition, c’est tenter de faire abstraction de son propre modèle.
Le fait d’être “CENTRÉ SUR L’AUTRE” facilite l’établissement du rapport de confiance, et permet de mieux découvrir l’interlocuteur.
Être “CENTRÉ SUR L’AUTRE” ne signifie pas adhérer à son modèle. Être “CENTRÉ SUR SOI” n’est ni bien ni mal, c’est simplement inadapté, voire risqué pour établir le rapport avec un nouvel interlocuteur.
Reformulez régulièrement le point de vue de votre interlocuteur et vérifiez avec lui ce que vous avez compris.
Entraînement
Comment Faire :
Soyez en conscience externe.Écoutez votre interlocuteur et reformulez régulièrement en calibrant ses réactions.Ne vous limitez pas à une seule interprétation.Trouvez des explications valables et positives au comportement de votre interlocuteur.Ayez vous-mêmes des intentions positives vis à vis de lui.
RAPPORT
© HEXAFOR 199711
Pourquoi reformuler ?
La reformulation est une preuve d’écoute.
Reformuler oblige à rester en conscience externe.
La reformulation laisse le temps de la réflexion.
Le fait de reformuler permet de rester “centré sur l’autre”, c’est une position de sécurité
Quand reformuler ?
Au moment de l’inspiration qui correspond à la fin d’une unité de sens.
Comment reformuler ?
Utiliser les mots de l’autre.
Lui laisser la responsabilité de ses propos (ne pas donner son avis).
S’adapter à la distance, à la voix, à la posture.
Sélectionner les informations importantes (repérer les “mots marqués” par la voix, le geste).
S’adapter à la taille de découpage.
Reformuler en calibrant les réactions de l’interlocuteur.
Blablabla blablabla ! Bla bla blabla Blablabla !!! blablablabla ! Bla blablabla blablablabla blablabla....
Ne pas oser interrompre... c’est risquer de s’endormir.
LA REFORMULATION
RAPPORT
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DISTANCE PERSONNELLE
Pour chacun d’entre nous, il existe une distance à laquelle il est confortable de communiquer.Cette distance varie en fonction des individus, de la culture, du contexte.Le non respect de cette distance entraîne des interprétations : “il est collant”, “Il est froid”, et conduit les interlocuteurs en conscience interne.
Au travail : Au moment où vous dites : “Bonjour” : approchez-vous en calibrant les réactions de vos collègues.En entretien en tête à tête : regardez si votre interlocuteur utilise le dossier de sa chaise. Faites comme lui !Entraînez vous à augmenter et diminuer votre distance personnelle.
Comment Faire :
Vous rencontrez un nouvel interlocuteur :Avancez tranquillement vers lui en l’observant attentivementDès que vous calibrez une réaction (recul des épaules, perte du contact oculaire...), reculez légèrement.
Cette distance convient aux deux personnages
Entraînement
Petite distance Grande distance
Sans commentaire !
RAPPORT
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Écoutez les gens parler et repérez comment ils harmonisent ou non leur voix.Quand vous jugez qu’un interlocuteur est “mou” ou “excité”, observez ce qui diffère entre sa voix et la vôtre. Et... adaptez-vous !Tout seul dans votre voiture, entraînez-vous à augmenter et diminuer le débit de votre voix.Écoutez des gens parler à la radio, et répétez une phrase entière en respectant le débit et les intonations.
Comment Faire :
Écoutez attentivement la voix de votre interlocuteur,Observez sa respiration (rythme, amplitude) et harmonisez-vous.
Entraînement
LA VOIX
Tout comme pour la posture et la gestuelle, la synchronisation vocale se produit spontanément quand le rapport s’établit.
En étant attentif et en s’adaptant au rythme, à la tonalité, au volume de la voix de son interlocuteur, on favorise l’écoute réciproque.
Au téléphone, l’adaptation vocale est un moyen déterminant pour établir le rapport.
RAPPORT
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POSTURE ET GESTES
L’adaptation gestuelle et posturale est un automatisme qui se produit spontanément dès que la confiance s’installe entre deux interlocuteurs.
L’adaptation consciente est une technique qui permet à la confiance de s’installer plus vite.
Aucune posture n’est bonne ou mauvaise en soi ! Elle peut être
Au restaurant au café : Observez les gens qui discutent à la même table.En regardant la télé : Observez les journalistes et les personnes interwievées, observez les changements de postures liés à la dégradation du rapport.Au cours d’un entretien non impliquant : Entraînez-vous à vous adapter.
Comment Faire :
Soyez en conscience externe afin de voir votre interlocuteurAdoptez une posture proche de la sienne tout en veillant à votre propre confortReproduisez certains gestes de votre interlocuteur en reformulant ses propos(Il ne s'agit pas de singer l’interlocuteur, ni de reprendre ses tics)
Entraînement
adaptée avec une personne, inadaptée avec une autre.
RAPPORT
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L’ADAPTATION VERBALE
Les mots sont la manifestation directe de notre pensée. L’adaptation verbale permet en fait l’adaptation aux métaprogrammes de l’autre.
Les métaprogrammes sont des manières de penser qui diffèrent d’une personne à l’autre, mais qui sont quasiment constantes pour une même personne, quel que soit le contexte.
Un écart important entre deux personnes au niveau des métaprogrammes peut conduire à une totale incompréhension.
En revanche plus on développe de flexibilité, plus il sera facile d’intégrer des manières de penser différentes, et plus il sera facile de communiquer avec des gens différents.
La reformulation est la technique la plus simple pour s’adapter verbalement.
Nous présentons ici 5 métraprogrammes :
Les Tris primaires
L’index de la conscience
Les canaux sensoriels
La taille de découpage
Identification / Différenciation
RAPPORT
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TRIS PRIMAIRES
Pour donner un sens à nos perceptions, nous devons filtrer, sélectionner les informations qui nous parviennent. Bien entendu, nous ne filtrons pas tous de la même manière, et de plus, nous trions à l’intérieur de catégories différentes : les activités, les personnes, les informations ou les lieux.
RAPPORT
TRI ACTIVITÉSL’attention est portée sur ce qu’il y a à faire. L’efficacité compte beaucoup. Le plaisir est trouvé dans le geste, et dans l’observation du résultat de son travail.
TRI LIEUXL’environnement produit un impact particulier.Un endroit n’est jamais neutre.
TRI PERSONNESLes relations avec les gens sont le centre d’intérêt. Chaque personne produit un impact différent.
TRI INFOSCe qui compte, c’est d’être bien informé. De savoir où trouver les infos, et souvent de les accumuler. (Ca peut toujours servir !)
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L’INDEX DE LA CONSCIENCE
L’index de la conscience est une grille qui nous permet de décrire notre expérience humaine. C’est aussi un métaprogramme car il nous sert à filtrer l’information qui nous parvient de nous et des autres.
Certaines personnes vont privilégier la perception de leur propre état interne, d’autres celle de leurs comportements externes, d’autres enfin seront davantage conscients de leur processus internes.
Ce filtre existe aussi vis à vis d’autrui : on peut centrer son attention sur les CE, les EI ou les PI des autres.
RAPPORT
CE PI
EI
CE PI
EI
CE PI
EI
Observez la posture, admirez le geste !
Je sais à quoi vous pensez...Je me sens
tout penaud.
EI de soi
CE de soi
PI des autres
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LES CANAUX SENSORIELS
La direction dans laquelle nous dirigeons notre regard lorsque nous sommes en conscience interne, indique la modalité sensorielle des informations que nous allons chercher :Vc : Visuel construit - Vm : Visuel mémoriséAc : Auditif construit - Am : Auditif mémoriséK : Kinésthésique (olfactif & gustatif) - Aid : Auditif interne digital (Dialogue interne)Le regard défocalisé (les yeux dans le vague) indique une dominante visuelle, d’autres modalités peuvent l’accompagner.
LES PRÉDICATS SENSORIELSLa dominante sensorielle est accompagnée d’un vocabulaire spécifique :
RAPPORT
Ac
Vc Vm
Am
K Aid
VVoir, imaginer, refléter, éclaircir...
Image, perspective, illustration, observation, aperçu...
Net, clair, flou, sombre...
KSentir, ressentir, peser, éprouver, saisir, tâter, goûter...
Sensation, coup, poigne, joie, peur, colère...
Collant, ferme, froid, chaud, solide, tendu...
ADiscuter, écouter, résonner,entendre, interpeler...
Écoute, remarque, voix, ronron, silence...
Audible, bruyant, parlant, entendu...
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INDICATEURS DES DOMINANTES SENSORIELLES
Seule la direction des accès oculaires permet de déterminer la dominante sensorielle d’une personne.Cependant, on peut souvent observer des comportements spécifiques qui accompagnent chacun des registres sensoriels.L’adaptation au canal sensoriel doit donc être verbale, gestuelle et vocale.
RAPPORT
DOMINANTE VISUELLE
La voix est haute et claireLe tempo rapideLes mains haut placées dessinent des formes devant les yeuxLa tête est dirigée vers le haut
DOMINANTE AUDITIVE
La voix est moduléeTempo intermédiaireLes mains dessinent des spirales à hauteur des oreillesLa tête est tournée ou penchée sur le côté
DOMINANTE KINESTHÉSIQUE
La voix est profonde et basseLe tempo est lentLes mains sont souvent en contact à hauteur du plexusLa tête est inclinée vers le bas
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RAPPORT
TAILLE DE DÉCOUPAGE
C’est un outil très puissant d’adaptation verbale. En s’adaptant à la taille de découpage, on s’adapte à l’angle de vue de l’interlocuteur (voir les sous-modalités visuelles) : il peut être équipé d’un grand angle ou d’un télé-objectif.
Un décalage important par rapport à la taille de découpage est un moyen économique pour briser le rapport rapidement avec quelqu’un.
Lorsque l’on découpe grand, une expérience n’a de sens que si elle est raccordée à un niveau logique supérieur.
Dans les cas extrêmes, l’expérience sensorielle est totalement occultée,
...ce qui peut donner l’impression de “planer à 15 miles”
Le grand découpage se manifeste souvent par l’emploi de verbes non spécifiques et de nominalisations.
Inversement, le petit découpage conduit à donner des détails de l’expérience.
Dans les cas extrêmes, on se perd tellement dans les détails que l’on ne sait plus où l’on va.
Les “petits découpeurs” peuvent passer pour des coupeurs de cheveux en quatre.
Des exemples concrets sont plus pertinents avec eux qu’une grande théorie.
“Le chômage n’est pas un état, c’est un processus aux effets concentriques qui se répercutent dans toutes les strates de la société...”
“Pour venir chez moi, tu passes devant une maison avec des volets verts... au croisement à droite, il y a une borne d’incendie... ma boîte aux lettres est bleue...”
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IDENTIFICATION / DIFFÉRENCIATION
L’un des processus dans le traitement des informations est la comparaison. Le résultat d’une comparaison peut être : “c’est semblable” ou “c’est différent”.
Hors ce résultat n’est pas déterminé par le contenu de l’expérience, mais par la manière de la regarder.
Anisi certaines personnes ont plutôt tendance à voir les ressemblances, à “IDENTIFIER”, alors que d’autres plus sensibles aux “DIFFÉRENCES”.
RAPPORT
Qu’est-ce que ces deuxpersonnes ont en commun?
En quoi ces personnages diffèrent ?
IDENTIFIER, c’est voir les points communs entre deux situations. Quelques formules propres aux identificateurs :“Ca me rappelle... Ca me fait penser à... C’est comme... De la même façon...” Différentes manières de
DIFFÉRENCIER :
La polarité :Prend le contre pied de ce qui est dit : “Mais non... Au contraire... Ca n’a rien à voir...”
Le contre exemple :“D’un côté oui, mais de l’autre...”
Changer de découpage :L’angle de vue est modifié :“Ca dépend à quel point de vue on se place...”
Métacommentaire :La différenciation concerne la forme de la communication et non pas le contenu :“Je vous remercie de me poser cette question...Et tu me dis ça avec cet air-là !...”
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22 RECUEIL D’INFORMATIONS
QUESTIONNER LE MÉTA-MODÈLE
Recueillir les InformationsManquantes
Changerle Pointde Vue
Omissions
MIR
CNR
Verbes non spécifiques
Nominalisations
Généralisations
Opérateurs modaux
Causes-Effets
Lectures de pensée
Affirmatif
Contrôle
Étapes
Écologie
EXPLORER L’OBJECTIF
Quoi faire quand ?
EXPLORER L’ÉTAT PRÉSENT
© HEXAFOR 199823
Il y a quelque temps déjà...
... j’étais allé exercer mes activités en outre-mer.
On était contraint, par les circonstances locales, de séjourner dans certains types de lieux strictement déterminés.
J’étais peu satisfait des conditions matérielles de notre résidence, et c’est pourquoi je suis allé discuter avec les personnes présentes d’une possibilité d’amélioration.
On m’indiqua la personne compétente tout en me conseillant d’être prudent, et de remettre de préférence mes démarches à plus tard.
J’ai cependant décidé d’interpeller le responsable sur le champ. Pour le rencontrer, je l’ai arraché à son loisir préféré.
Légèrement contrarié d’interrompre ainsi son activité, il m’a aussitôt proposé d’en exercer une autre, qui semblait le passionner autant que la première.
Étant peu motivé par sa proposition, je dus faire appel à toutes mes ressources pour échapper à cette corvée.
INFORMATION
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RECUEIL DES INFORMATIONS MANQUANTES
Le langage (Métamodèle) décrit les représentations sensorielles (Modèle). Souvent les imprécisions font perdre le lien entre le langage et les représentations. Le but de ce questionnement est de guider l’interlocuteur dans ses représentations sensorielles afin qu’il décrive son expérience de manière “spécifique”.
LES OMISSIONSCette catégorie peut être découpée en trois :
Les omissions simples :L’élément recherché dans la question est totalement absent dans la phrase :Je passerai te prendre. Où? Quand?L’ordre du jour de la réunion a été fixé. Quand? Par qui?
Les Manques d’Index de RéférenceDes éléments d’information imprécis sont présents dans la phrase :On te rappelle dès que possible.
Qui me rappelle? Quand?
Je voudrais un travail dans la région.Quel travail?Où précisément?
Les Comparatifs Non RéférencésIl y a une comparaison et l’un des termes manque :Il peut mieux faire. Mieux que quoi? Mieux que qui?(comparatif)
C’est le meilleur rapport qualité-prix. Par rapport à quel ensemble?(superlatif)
INFORMATION
Nous passerons te voir.
Nous c’est qui ?
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RECUEIL DES INFORMATIONS MANQUANTES (suite)
Certains mots sont comme des valises, chacun les remplit comme il le veut, à partir de sa propre expérience. Pour explorer le modèle du monde de l’autre nous allons donc ouvrir les valises et regarder l’expérience qu’il y a dedans.
LES VERBES NON SPÉCIFIQUESLes verbes décrivent des actions ou des états. Lorsque le verbe est spécifique, on peut se faire une représentation assez précise : “Je croque dans une pomme.”.Dans le cas contraire : “je me suis éclaté”, on peut imaginer n’importe quoi.Questionner permet de guider dans l’expérience sensorielle de manière à obtenir une description spécifique du comportement ou de l’état.
Je dois m’adapter à mon nouveau travail. “Comment vas-tu t’adapter?”“Que vas-tu faire précisément?”
“Les autres m’ont ridiculisé.” “Comment ont-ils fait?”
Les adjectifs peuvent être considérés et questionnés comme des verbes :“C’est quelqu’un de très sympa.”
“Il se comporte comment?”
LES NOMINALISATIONSComme les verbes, ils décrivent une action ou un état, mais ce sont des noms!
Pour questionner, en premier lieu, on recherche le verbe :
“J’ai besoin d’harmonie dans mes relations !”
Deux verbes possibles : “être en harmonie” décrit l’état, “harmoniser” décrit l’action.
En questionnant on peut induire la possibilité pour quelqu’un d’agir ou pas :“Comment pourrais-tu harmoniser tes relations (ou rendre tes relations harmonieuses)”“Comment ça se passe des relations harmonieuses ?”“Comment souhaiterais-tu que les autres se comportent?”
La question : “C’est quoi pour toi l’harmonie?” provoque le plus souvent une réponse au même niveau logique :”L’harmonie pour moi, c’est le respect de l’authenticité de chacun.”
INFORMATION
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CHANGER LE POINT DE VUE
Notre perception du monde est limitée par des processus de distorsion, de limitation... Ces processus sont perceptibles au niveau du langage et on peut les questionner... en veillant à conserver le rapport !
LES GÉNÉRALISATIONS :Elles peuvent être explicites... ou implicites :Je dois me soigner les Les jeunes craignent pour cheveux tous les jours. leur avenir.
Elles peuvent être incluantes... ou excluantes :Toute la planète est passionnée. Aucun être humain n’a
mis le pied sur Mars.Question : “Vraiment tous? Vraiment aucun?...”
LES OPÉRATEURS MODAUXCe sont des verbes ou des groupes verbaux qui agissent sur le mode d’un autre verbe (celui-ci passe à l’infinitif, au subjonctif...)
Les opérateurs modaux occultent une partie de l’expérience, le but du questionnement est d’orienter la conscience sur cette partie occultée :
Occultation des empêchements Occultation des conséquencesJe vais essayer de t’aider * Tu ne dois pas lui parler. *J’aimerais bien t’accompagner * Il faut que j’y aille. *Q : “Qu’est-ce qui t’empêche de...?” Q : “Que se passe-t-il sinon?”
* Notez le mode des verbes
INFORMATION
Les allemandsboivent
de la bière.
Si tout se passe bien, je vais pouvoir essayer d’atterrir...!
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CHANGER LE POINT DE VUE (suite)
LES CAUSES-EFFETS :
Une proposition en entraîne une autre :“A mon âge, je ne retrouverai plus de travail”Ici la cause effet est implicite, elle peut être explicitée par une conjonction :
“Je suis tombé à cause de la neige.”
Le but du questionnement est d’explorer le lien entre les deux propositions : “En quoi ton âge est-il un obstacle à ta recherche d’emploi?”
Ou de rechercher d’autres causes ou d’autres effets :“A part la neige, qu’est-ce qui fait que tu es tombé?”
LES LECTURES DE PENSÉE
Une lecture de pensée est une interprétation sur les processus internes ou les états internes de quelqu’un d’autre :
“Tu es fatigué.” “Il ne sera jamais d’accord.”
Le but du questionnement est de retrouver l’origine de l’interprétation :
“Comment sais-tu que je suis fatigué?” “Comment sais-tu qu’ilne sera jamais d’accord?”
En réponse, on risque d’obtenir une autre cause-effet :
“Tu bailles, donc tu es fatigué.” “Il n’était pas d’accord la dernière fois...”
Je vois que vous avez compris !
INFORMATION
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FORMULATION D’UN OBJECTIF
Les objectifs qui remplissent ces quatre critères , conduisent à des actions efficaces :
Formulation affirmative
Contrôle de la réalisation
Représentations visuelles précises des étapes
Conscience des conséquences
Les obstacles à la réalisation d’un objectif :
La personne ne sait pas ce qu’elle veut.Ca ne dépend pas d’elle.Elle ne sait pas comment faire.Elle ne s’y voit pas (écologie).
Il est indispensable d’avancer en premier sur les deux premiers points.Il est totalement inutile, voir nuisible, d’intervenir en PNL avec quelqu’un qui ne sait pas ce qu’il veut, ou dont l’objectif est hors de contrôle : on renforcerait chez le sujet le non respect des présupposés : chacun est responsable de son message, l’échec se transforme en feed back, chacun a les ressources dont il a besoin...
INFORMATION
D’abord rêver... ...ensuite agir !
REMARQUE IMPORTANTE !
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FORMULATION AFFIRMATIVE
Notre inconscient ignore la négation. Lorsque nous formulons un objectif à la forme négative, nous visualisons ce que nous ne voulons pas, et nous nous préparons inconsciemment à tout faire pour l’obtenir.
De la même manière, lorsque nous avons une bonne représentation de ce que nous voulons, cette image nous aide consciemment et inconsciemment à agir pour l’obtenir.
Peu importe la formulation verbale de l’objectif, c’est la représentation mentale qui compte: un objectif est affirmatif lorsque l’on voit ce que l’on veut.
Quoi questionner :
Les omissions : “Je ne veux plus vivre seul(e).” (l’omission concerne l’objectif) Question : “Que veux-tu à la place ?”
Les comparatifs non référencés : “Je veux faire plus de sport.”Question : “Plus par rapport à quoi?” (le but est de chercher la représentation
négative pour questionner ensuite l’omission comme ci-dessus)
Les VNS & nominalisations : “Je voudrais être plus tranquille (ou plus de tranquillité)”Question : “Comment ça se passe quand tu es tranquille?”
INFORMATION
Je ne veux pas me mettre en colère !
Je veux rester calme !
Que veux-tu à la place ?
© HEXAFOR 1998
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CONTRÔLE DE LA RÉALISATION
Un objectif sous contrôle concerne soit : nos propres comportements : “Comment je vais agir dans cette situation”, soit nos processus internes : “Comment je veux penser à cette situation”, soit nos états internes : “Comment je veux me sentir”.
Formuler un objectif sous contrôle, c’est orienter sa conscience sur ce qui dépend de soi, c’est plus efficace que de penser simplement au résultat.
Conscience du résultat
La représentation interne estcentrée sur le résultat, elle est associée :
Quoi questionner :
Les opérateurs modaux : “J’aimerais avoir plus de temps libre.”Question : “Qu’est-ce qui t’en empêche?”
“Que peux-tu faire, toi, pour avoir plus de temps libre?”
INFORMATION
Conscience de l’objectif
La représentation interne est centrée sur l’objectif (l’action), elle est dissociée.
Je voudrais de belles fraises dans mon jardin.
Je vais bêcher le jardin.
© HEXAFOR 1998
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REPRÉSENTATION VISUELLE DES ÉTAPESAtteindre un objectif ou un but nécessite de mettre en place une démarche comportant différentes étapes, et de déterminer les différents contextes dans lesquels elles vont se dérouler.
Une représentation visuelle détaillée des étapes permet de se programmer mentalement, ce qui rend l’objectif plus motivant et plus facile à réaliser.
Chaque étape ainsi définie devient un “mini”-objectif. S’il est bien affirmatif et sous-contrôle !
Afin d’ancrer l’objectif dans le temps, il est important de dater les étapes de manière calendaire : “le 15 mars” plutôt que “le mois prochain”.
Un objectif non daté n’est pas un objectif, mais un rêve !
Comment je vais m’y prendre?Par quoi je vais commencer?Où, quand, avec qui?De quelles infos ai-je besoin?
INFORMATION
© HEXAFOR 1997
32
CONSCIENCE DES CONSÉQUENCES......OU “ÉCOLOGIE”
Lorsqu’une décision importante se présente, il est habituel de peser le pour et le contre. En effet, chaque changement dans notre vie a des conséquences positives et négatives :
Une situation désagréable, si elle se prolonge, présente des avantages inconscients : des “bénéfices secondaires”.
Un changement qui paraît entièrement agréable aura aussi des conséquences négatives inconscientes !
Faire l’écologie d’un objectif permet la prise de conscience des conséquences négatives et positives de l’objectif.
Cela permet de vérifier si l’objectif est réellement motivant pour la personne, d’éviter le doute, la procrastination, le sabotage de son propre travail, ou la déception lorsque l’objectif est atteint !
La visualisation dissociée et datée permet de vérifier rapidement si un objectif est écologique.
N’hésite pastu en as envie !
Tu as pensé au danger ?
Est-ce que je m’y vois ?
INFORMATION
© HEXAFOR 1997
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VÉRIFICATION RAPIDE DE L’ÉCOLOGIE
Vous avez clarifié un objectif : toutes les étapes sont précisées, elles sont formulées affirmativement, sous-contrôle et datées.
Pour vérifier l’écologie, placez les images des étapes et de l’objectif atteint à leur place sur la ligne du temps.
Si une image ne tient pas sur la ligne du temps, ou si elle présente des sous-modalités particulières, vérifiez l’écologie de cette étape.
Poser mes congés
Appeler les agences
Prendre l’avion
Voir les pyramides
INFORMATION
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EXPLORER L’ÉTAT PRÉSENT
Nous réagissons aux stimuli de notre environnement selon une séquence :
stimulus externe processus internes émotion action
Parfois nous réprimons une partie de cette séquence, car elle nous semble inadaptée. Le système se coince, l’action effectuée ne correspond plus à l’émotion, ou les processus internes tournent en rond.
Explorer l’état présent permet de faire l’inventaire de ce qui se passe à un moment donné, de prendre conscience de la séquence, d’identifier les critères en cause.
A partir de ce diagnostic, on pourra définir quoi changer, et comment le changer (avec quel outil).
LE CONTENU DE L’ÉTAT PRÉSENT
1. L’objectif (que veut le sujet?)2. Le contexte (où, quand, avec qui se passe le
problème?)3. Le déclencheur externe (que se passe-t-il
dans l’environnement juste avant le problème?)4. L’index de la conscience : PI à quoi pense le
sujet (images & dialogue interne), EI : comment il se sent, CE comment il agit.
5. Les critères(un critère respecté - un critère bafoué)
INFORMATION
Comment je fais pour me mettre dans cette état-là ?
12
3
4 4
4
5 5
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QUOI FAIRE QUAND ?
Après exploration d’un objectif : TECHNIQUES D’ AMÉLIORATION
Je sais ce que je veux, c’est sous mon contrôle et écologique, les techniques d’amélioration permettent d’apprendre “comment faire” :
Je veux apprendre à mémoriser, faire des choix, ou mieux me servir de mes Processus Internes (PI) : Stratégies
Je veux accélérer l’intégration d’une expérience (PI) : Rangement sur la Ligne du temps
Je veux y voir plus clair dans mes objectifs : (PI) Ligne du temps
Je veux être plus à l’aise dans une interaction (CE) : Posture d’excellence
Je veux mobiliser mon énergie dans une situation, un objectif (EI) : Transfert de ressource
Après un état présent : TECHNIQUES DE CHANGEMENT
Je veux nettoyer un souvenir désagréable (EI) : Mixage d’ancres
Je veux modifier un comportement gênant (CE) : recadrages.
INFORMATION
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33 AMÉLIORATIONAMÉLIORATION
PI CE
EI
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LES SOUS-MODALITÉS
Les représentations sensorielles sont constituées de trois modalités : Visuelle, Auditive et Kinesthésique. Chacune de ces modalités est constituée de sous-modalités qui définissent les caractéristiques “formelles” des représentations internes.
QUELQUES EXEMPLES DE SOUS-MODALITÉS VISUELLES...
Image panoramique - plusieurs plans - couleurs pastelles - floue
Cadre - couleurs vives - nette- relief
noir et blanc - un seul planimage focalisée .
AMÉLIORATION
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LISTE DES SOUS-MODALITÉS
VISUEL
Taille de l’image :• panoramique• cadrée• focalisée
Distance par rapport à soi
Position dans l’espace
Relief : Un ou plusieurs plans
Netteté
Contraste
Luminosité
Couleurs ou noir et blanc
Saturation des couleurs
Mouvement
Vitesse
Point de vue associé ou dissocié
... Et pour finir, les sous-modalités olfactives et gustatives : pour de plus amples précisions, se reférer aux guides gastronomiques et oeunologiques...
sucré, salé, acide, amère, framboise, fruit mûr, banane, tanin...
AUDITIF
Volume : Fort ou faible
Fréquence: Grave ou aigu
Timbre ou tessiture
Rythme : Rapide ou lentRégulier ou irrégulier
Localisation par rapport à soi
KINESTHÉSIQUE
Température : Chaud, tiède, frais
Pression
Aspect de surface : lisse, rugueux
Masse : lourd, léger
AMÉLIORATION
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ASSOCIÉ - DISSOCIÉ
Je suis associé lorsque je revois mon expérience sous le même angle qu’au moment de l’expérience. C’est une position qui peut également me donner accès plus facilement au kinesthésique primaire de l’expérience (sensations liées à la posture, la température etc...) et au kinesthésique méta (l’émotion).Pour faire un ancrage, il est préférable que le sujet soit associé afin de retrouver plus facilement l’état interne de l’expérience
AMÉLIORATION
Je suis dissocié lorsque je peux voir ma silhouette dans mon image mentale.
Depuis ce point de vue, je suis coupé des sensations (en totalité ou en partie).
Cette position permet d’être davantage conscient de ses propres comportements, elle est donc préférable pour visualiser les étapes d’un objectif, car elle augmente la perception du contrôle.
ASSOCIÉ...
... DISSOCIÉ
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LIGNE DU TEMPS
Le codage du temps nécessite une représentation spatiale. Nous avons tous inconsciemment créer cette représentation.
Toutes les formes de ligne de temps sont possibles, nous pouvons cependant décrire quelques critères qui la rendent plus fonctionnelle :
• Continuité entre le passé, le présent , le futur • Le passé et le futur dans deux directions différentes (l’un à droite l’autre à gauche)• Le futur plutôt devant• Des pentes assez douces• Qu’elle ne soit ni trop resserrée, ni trop distendue• Quelle que soit la représentation, elle doit être confortable
Comment identifier la ligne du temps :De l’autre
• En étant attentif aux gestes de notre interlocuteur : les mains indiquent souvent des points dans l’espace qui sont datés, des directions sont également indiquées.
• En étant attentif aux directions des accès oculaires.
De soi• En étant attentif aux directions d’ou viennent ses propres représentations (et non
pas l’endroit où on les projette).• En différenciant les expériences “banales”, “quotidiennes”, qui sont rangées, et
celles qui ne le sont pas.
AMÉLIORATION
ligne du temps
expériences rangées
expériences non rangées
écran
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POSTURE D’EXCELLENCE
Chaque posture est un ancrage qui conditionne l’état interne. La posture d’excellence favorise les états internes positifs, alors que des états internes négatifs peuvent nous guider dans notre posture de catastrophe.
Identifier sa posture d’excellence :
A sujet - B & C observateurs
A raconte une expérience de réussite, B & C observent la position générale du corps, les appuis au sol, la position des mains, des bras, de la tête.
Identifier sa posture de catastrophe :
A raconte une expérience d’échec, B & C font les mêmes observations que plus haut.B demande à A de sortir de l’expérience. B & C observent ce qui bouge en premier chez A.
Stratégie pour utiliser la posture d’excellence :
1 Je prends conscience de ma posture de catastrophe. 2 Je fais le premier mouvement qui me permet de retrouver la posture
d’excellence. 3 Je me remets en conscience externe (vision périphérique).
AMÉLIORATION
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GUIDAGE DANS UNE RESSOURCEET AMPLIFICATION
Procédure :
1) Identifier une expérience agréable.
2) Le Sujet s’en fait une image, le Programmeur guide dans les sous-modalités (ex: “Tu prends conscience de la taille de l’image...”).
3) Identifier les sous-modalités de l’image.
4) Faire varier les sous-modalités.
5) Identifier la sous-modalité dominante, celle qui amplifie le caractère agréable de l’expérience et entraîne le changement d’autres sous-modalités.
6) Guider en utilisant la sous-modalité dominante.
AMÉLIORATION
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LE TRANSFERT DE RESSOURCES
Une ressource est un comportement, un état d’esprit, un savoir-faire ou une émotion qui nous permet de réagir à l’environnement d’une manière adaptée.
Nos ressources sont contenues dans nos experiences sensorielles.
Nous considérons (dans le modèle du monde de la PNL) que nous avons toutes les ressources dont nous avons besoin pour atteindre nos objectifs :A partir du moment où nous pouvons nous représenter sensoriellement un objectif, nous avons la ressource, puisque nous ne pouvons construire qu’à partir de notre expérience sensorielle.De même, lorsque nous formulons le nom d’une émotion -par exemple l’assurance- nous en présupposons l’existence dans notre expérience, puisque nous n’avons pas accès à l’expérience émotionnelle des autres.
Seulement, nos ressources ne sont pas toujours disponibles, simplement parce que nous avons appris à nous en couper (mais ceci est une autre histoire).
Considérons simplement que des ressources sont disponibles dans certains contextes et pas dans d’autres. Pour les rendre disponibles, nous allons donc apprendre à les transférer.
PROCEDURE
1) Identifier l’objectif du sujet et la ressource dont il a besoin et le contexte (D).
2) Identifier une expérience (R) de la ressource.
3) Guider le sujet dans l’expérience (R) et amplifier la ressource.
4) Ancrer la ressource R ( Ancrage / État séparateur / Test).
5) Guider le sujet dans le contexte D en réactivant l’ancre R. Test : État séparateur / Guider dans D / Calibrer ou explorer.
6) Pont vers le futur.
NB : L’ancrage peut être Kinésthésique, Visuel ou Auditif, et le guidage conversationnel.
AMÉLIORATION
HEXAFOR 200044
L’AUTO-ANCRAGE
L’auto-ancrage est une procédure que nous utilisons inconsciemment depuis toujours pour nous remémorer des expériences agréables, désagréables ou neutres.
Ainsi les souvenirs que nous rapportons de vacances sont autant d’auto-ancrages (Visuels, Auditifs ou Kinesthésiques), qui nous permettent de retrouver l’accès de nos expériences visuelles, auditives, olfactives, gustatives et émotionnelles.
La technique que nous voyons ici permet, en créant des liens conscients vers nos expériences, d’avoir nos ressources toujours “sous la main”!
PROCÉDURE POUR S’AUTO-ANCRER
1) Trouver un endroit calme et s’assurer qu’on ne sera pas dérangé.
2) Identifier (nommer) la ressource que l’on souhaite retrouver.
3) Convenir avec soi-même d’une manière de s’auto-ancrer (contact kinesthésique).
4) Retrouver une expérience de la ressource, s’y associer, la revivre pleinement, et activer l’ancre K au moment où l’émotion est la plus forte.
5) Revenir en conscience externe et réactiver l’ancre, vérifier que l’émotion revient.
6) Pont vers le futur : prévoir une situation adaptée pour utiliser l’auto-ancrage.
AMÉLIORATION
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LES 3 POSITIONS PERCEPTIVESCette technique est utile pour récupérer de l’information sur une interaction où l’on s’est senti mal à l’aise, ou dont on ressort avec l’impresssion d’avoir eu bien raison, ou tort, ou d’avoir eu du mal à communiquer...
1- Identifier une interaction où l’on s’est senti mal à l’aise et qui a des chances de se reproduire.
2- Identifier les sous-modalités visuelles, auditives et kinesthésiques.
3- Créer une représentation associée à soi (V associé, A associé, K primaire, absence de K méta et d’Aid) = Position 1
4- Créer une représentation dissociée à égale distance des deux interlocuteurs (V dissocié, A dissocié, K méta, présence d’Aid et absence de K primaire) = Position 2
5- Créer une représentation associée à l’autre (V point de vue associé de l’autre, A idem, K primaire lié à la posture, absence de K méta et d’Aid) = Position 3
6- Passer d’une position à l’autre en augmentant régulièrement le tempo.
7- Pont vers le futur : penser à la prochaine rencontre avec la personne.
Position 1 Position 2 Position 3
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LE DÉCODAGE DES STRATÉGIESLE MODÈLE D.O.T.S.*
DéclencheurInformation sensorielle externe (V, A, ou Kp) qui permet de démarer la séquence.
OpérationsSuccession d’opérations sensorielles internes (VAK)
TestComparaison entre deux informations sensorielles V/V, A/A OU Kp/Kp produisant une émotion (Km).
SortieLa séquence aboutit à un comportement externe observable : J’ai décidé : je choisis, j’ai mémorisé, je reviens en conscience externe...
* ou TOTE = Trigger, Operates, Test, Exit
LE DÉCODAGE DES STRATÉGIESPour connaître une recette il faut remettre le cuisinier dans sa cuisine.
Pour identifier une stratégie, vous devez :
Guider le sujet dans l’expérience* en chevauchant.Être attentif aux accès occulaires et aux prédicats sensoriels.Être attentif aux mots de liaison (alors, puis, ensuite...).Être attentif aux gestesEt ... Guider le sujet dans l’expérience en chevauchant.
Recueillir l’information jusqu’à ce que vous vous ayez l’heureuse surprise de découvrir quelque chose de nouveau, d’évident, et d’extrêmement simple.
* L’expérience est un instant précis, entre le déclencheur et la sortie qui dure de l’ordre de la seconde (voir à peine).
AMÉLIORATION
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Pour choisir de répondre ou non au besoin de quelqu’un.
1. Déc ext : Quelqu’un me demande un service2. Vint 1 : Je conserve l’image de ce que je suis en train de faire (ou
de mon besoin, ou du besoin d’autres personnes).3. Vint 2 : Je me construit l’image du besoin de l’autre.4. Comparaison Vint 1/ V int 2 ----> K5. Sortie : Je m’occupe d’un des besoins. L’autre est simplement
repoussé sur la ligne du temps
Pour ne pas intervenir en groupe.
1. Déc ext : les autres personnes discuttent d’un sujet2. V1 int : Une idée me vient3. V2 ext : Je regarde les autres parler4. Comparaison Vint / Vext ---->K-5. Aid : Je me dis que si je les intéromps je risque de perdre des
informations intéressantes6. V3 ext : Je guette les signaux de recherche d’info (accès oculaires)7. Comparaison V1 int / V3 ext ---->K +8. Sortie : J’exprime mon idée
Pour retenir l’info de l’état présent
1. Déc ext : Le sujet parle2. V1 int : Je me fait le film de l’histoire du sujet3. V2 int : Je coche les cases du poste de radio4. Test 1 : Le film se déroule de façon continue ---->K +5. Test 2 : Toutes les cases sont cochées ---->K ++6. Sortie : Je reformule ou je dis que c’est fini
Pour expliquer ce qu’est la PNL (version 1)
1. Déc ext : Quelqu’un me demande de lui expliquer ce qu’est la PNL2. V1 int mémo : Je me fais le film de mes connaissance en PNL3. V2 int mémo : Je pense aux info que j’ai sur la personne (thèmes)4. V3 int construit : je trouve un thème qui peut servir de
métaphore--> K+5. Sortie : J’explique la PNL en me servant du thème.
STRATÉGIES
AMÉLIORATION
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Pour expliquer ce qu’est la PNL (version 2)
1. Déc ext : Quelqu’un me demande de lui expliquer ce qu’est la PNL A eût j’entends sa voix Vext : je vois ses gestes le regard
2. K+ : Je sens qu’il y a une vraie demande Je suis contente (je vais pouvoir partager)
3. Vint mémorisé : je vois les difficultés qui m’ont incité à faire de la PNL / Je vois les améliorations
4. Sortie : J’explique ce que la PNL m’a apporté.
2. Si K- : L’autre n’a pas de vraie demande3. Sortie : Je réponds de manière évasive
Pour retrouver un objet
1. Déc ext : L’objet que je cherche n’est pas à sa place2. Vint const: Je me fait plusieurs images de l’objet en le faisant
tourner dans ma tête3. Vext je regarde s’il y a des image que ressemble dans
l’environnement4. Vext/Vint ----> K+ Les deux image corresponde j’ai trouvé l’objet.5. Sortie : Je prends l’objet
Pour retenir les dates de naissance
1. Déc ext : Quelqu’un m’indique sa date de naissance2. Vint : je recherche les personnes que j’ai déjà dans ce mois à une
date proche3. Vint/Vext : je cherche des points communs entre la personne qui
est là et celle dont la date de naissance est proche4. Vint+ A int : Je construit une histoire pour me rappeler l’écart de
date5. K+ : L’histoire me plaît je suis sûr de retenir la date6. Sortie : retour en conscience externe
Pour retenir les prénoms1. Déc ext : La personne dit son prénom2. Vint : Je me fait l’image d’une personne que je connais déjà qui a le
même prénom3. Vext / Vint : Je compare les deux images et j’ajoute à la personne
qui est là, des accessoires de l’autre (lunettes, cheveux...)4. K+ l’image me plaît je suis sûr de retenir le prénom5. Sortie : conscience externe.
STRATÉGIES
AMÉLIORATION
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44 CHANGEMENT
PI CE
EI
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CHANGEMENT
MIXAGE CLASSIQUE
Repenser à une expérience désagréable provoque un état interne négatif. Repenser à un souvenir heureux provoque un état interne positif. Lors d’un mixage, on repense simultanément à deux expériences (1 positive et 1 négative). Or il est impossible de ressentir en même temps deux états internes différents. L’une des deux expériences est neutralisée.
PROCÉDURE
1 Guider (rapidement) le sujet dans l’expérience négative.Ancrer (ancre-).
2 Guider le sujet dans une ressource suffisament forte.Ancrer (ancre +).
3 Réactiver simultanément les ancres + et - .Maintenir les deux ancres tant que le sujet reste en conscience interne.
4 Test : réactiver l’ancre - .
5 Pont Vers Le Futur.V ”négatif”
V ”positif”
État Interne “neutre”© HEXAFOR 2000
51
CHANGEMENT
LES RECADRAGES
Les recadrages sont un ensemble de techniques qui permettent d’établir une meilleur relation entre le conscient et l’inconscient.Cette relation est basée sur une distinction entre le comportement et l’intention.La premiére étape est d’apprendre à :
COMMUNIQUER AVEC UNE PARTIE
1) Identifier un comportement que j’ai et qui me plaît
2) Percevoir (V, A ou K) la partie en charge de ce comportement, saluer & remercier (éventuellement nommer la partie).
3) Établir un signal (V int, A int ou K interne primaire), remercier (vérifier le nom à l’aide du signal).
4) Identifier la fonction du comportement, remercier.
5) Proposer un programme, vérifier avec la partie, remercier
6) Vérifier si les autres parties acceptent le programme.
Fin) Remercier et saluer toutes les parties et le cas échéant prévoir des RDV.
comportement critère ou fonction
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B ib l i og raph ieB ib l i og raph ieBANDLER & GRINDER : Les secrets de la communicationBANDLER & GRINDER : Le recadrageBANDLER Richard : Un cerveau pour changerCAYROL & BARRERE : La PNL: des techniques nouvelles pour favoriser
l'évolution personnelle et professionnelleCAYROL & DE SAINT PAUL : Derrière la magie, la PNLDE SAINT PAUL Josiane : Choisir sa vieDE SAINT PAUL Josiane : Au delà de la magieDILTS : Croyances et santéLABORDE Génie : Influencer avec intégritéLASSUS DE René : La communication efficace par la PNLLONGIN PIERRE : Agir en leader avec la PNLMISSOUM G. : Guide du training mentalMISSOUM G. : Les stratégies mentales de la réussiteMISSOUM Guy & SEYLA Chantal : Le modelage de l'excellenceROBBINS Anthony : Pouvoir illimitéROBBINS Anthony : L'éveil de votre puissance intérieureTENENBAUM Sylvie : Les tours de BabelTENENBAUM Sylvie : Bien gérer sa vie de coupleTENENBAUM Sylvie : Les paysages intérieurs
INFORMATION
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PRÉSENTATION Page 1• PNL Page 2• Les origines de la PNL Page 3• Les présupposés de la PNL Page 4• Les étapes de l’apprentissage Page 5• La modélisation des experts Page 6• L’index de la conscience Page 7
PRATICIEN NIVEAU 1 (plan) Page 8RAPPORT DE CONFIANCE (plan) Page 9
• Conscience interne - Conscience externe Page 10• Centré sur soi - sur l’autre* Page 11• La reformulation Page 12• L’adaptation para-verbale
La distance Page 13La voix Page 14La posture Page 15
• L’adaptation verbale : Page 16Les tris primaires Page 17L’index de la conscience Page 18Les canaux sensoriels Page 19Les indicateurs des dominantes sensorielles Page 20La taille de découpage Page 21Identification - Différenciation Page 22
RECUEIL D’INFORMATIONS Page 23• Il y a déjà quelque temps Page 24• Le Recueil des Informations Manquantes Page 25• Changer le Point de Vue Page 27• FORMULATION DES OBJECTIFS Page 29
Affirmatif Page 30Sous-contrôle Page 31Etapes et contextes Page 32Écologie Page 33Vérification rapide de l’écologie Page 34
• État présent Page 35• Quoi Faire Quand* Page 36
AMÉLIORATION Page 37• Les sous-modalités Page 38• Liste des sous-modalités Page 39• Associé- dissocié Page 40• Ligne du temps Page 41• Posture d’excellence Page 42• Guidage et amplification de ressources Page 43• Transfert de ressources Page 44• Auto-ancrage Page 45• Les 3 positions perceptives Page 46• Le décodage des stratégie Page 47• Les stratégies Page 48
CHANGEMENT Page 50• Le mixage Page 51• Les recadrages Page 52
Bibliographie Page 53
INDEX
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