paris20 - n°1 - 15 février

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Et la suite... ?

Pre m i re

Paris20a n n e n 1 gra tu i t To u s l e s q u i n z e j o u r s -

-

m e rcre d i

1 5

f v r i e r

20 1 2

Infos et lutte de classe2 9 f v r i e r

proch ai n nu m ro m ercred i

Si vous avez des informations, des tmoignages ou des anecdotes sur le 20me ; des coups de gueules, des insultes, des crachats ou des analyses, que vous voulez contribuer au journal :

[email protected] R I Z O N T A L1. Toi- En marge d'un vnement officiel - Jadis, la note "do" 2. A crit "Indignez-vous" et pourtant il est Prsident du bailleur social AFTAM qui expulse et accompli des magouilles sur le dos des locataires - poil 3. Martien qui fait du vlo - Mene, entre autre, pour les retraites

4. Squestrer un patron

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A B C D E F G H I J K L M N

- Atome ayant gagn ou perdu un ou des lectrons 5. Pollu Paris 6. Sans elles, ce journal ne pourrait pas tre ralis 7. Parti fasciste bon teint 8. Pige con - Sigle sur les cartes pour viter les amendes d'excs de vitesse

9. Interjection 10. Pour s'organiser collectivement 11. Homophonie d'athe 12. Se dit des rgimes de pouvoir 13. Apocope du mot politique

- Il faudrait raser le Sacr-Coeur pour en faire Paris 14. Ne pas aller voter

UN NOUVEAU JOURNAL DANS LE 20MEOn lance ce journal dans le but d'informer sur ce qui se passe dans le 20me. Parler de ce qui bouge, c'est parler de celles et ceux qui luttent, qui refusent de rentrer dans la logique du profit et du chacun pour soi. On veut que ce journal, en diffusant ce qui se passe, puisse mettre en lien les gens qui affrontent les mmes problmes. On veut faire l'inverse du travail des mdias et de la mairie. Contre ceux qui veulent cacher la misre, nous isoler et nous diviser, faire de ce journal un outil d'enqute sociale qui expose la ralit que vivent les habitants de notre arrondissement.Pour faire tout a, on voudrait que les prochains numros soient enrichis par un maximum de tmoignages et d'infos envoys par celles et ceux qui habitent les quartiers du 20me ; que les textes du journal soient simples d'accs pour tre diffuss le plus possible. Si vous avez des infos, que vous voulez participer, diffuser ou recevoir des exemplaires :

VERTI C AL

voter I. En marche lectrique trs haute tension - Moyen de transport de Nicolas Hulot - Thtre japonais J. Personnes en fuite C. On a fait plus de 60% d'abstention pour elle en 2009 K. Sigle de la Roumanie - Nous - Manifestations spontanes L. Hpital o se joue une lutte d'nervement pour un centre IVG D. Une des solutions aux - Dans cette socit, dfinit les problmes de logement rapports sociaux dans le E. Un lancer de projectile processus de production - Synonyme d'alpage N. Pour le logement, se F. Embourgeoisement d'un termine le 15 mars 2012 quartier - Caractre prompt et H. Symbole de l'Argon combatif - Corbeille papier ou pour

A. Un juge ne l'est pas B. Abrviation de ligne

[email protected]

C C C C C

SOMMAIRE

Des bibliothques de lutte et de quartier...

F du fric dans le aire social ... p. 2 S'opposer aux expulsions dans le 20me ... p. 4 Brves du logement, brves du quartier ... p. 5 Prsentation du collectif Quartier Libre ... p. 6 Des bibliothques de lutte et de quartier... ... p. 7

La bibliothque du Malandrin s'ouvreauquartier...on pourrait aussi lire des livres pour crire le monde...- Le Jargon Libre, 32 rue Henri Chevreau - Le Monte-en-l'air, 71 rue de Mnilmontant - Bar de la Runion, 52 rue de Bagnolet - Le Merle moqueur, 51 rue de Bagnolet - Au bon accueil, 64 rue Alexandre Dumas - Le Libre re, 111 bd de Mnilmontant - Les Lauriers, 98 rue des Couronnes - Bistrot littraire des Cascades, 82 rue des cascades - Le comptoir des mots, 239 rue des Pyrnes - Le Jardin, 52 rue de la Bidassoa - FASTI , 58 rue des Amandiers - Le Saint-Sauveur, 11 rue des Panoyaux - Librairie l'atelier, 2bis rue du Jourdain et 3 rue Constant-Berthaut - Boulangerie, angle rue de Mnilmontant-Rue des Pyrnes - L'pi d'or, 295 rue des Pyrnes - Librairie 371 , 371 rue des Pyrnes

Points de diffusion

:

Un jour, il y a quelques annes, plusieurs personnes vivant ensemble dans un lieu collectif ont dcid de mettre en commun leurs bouquins, pour les partager et changer leurs lectures entre eux et avec leurs amis. Avec le temps, les livres se multiplient. Des voisins passent voir et en refilent des tonnes. Parfois, on trouve une valise abandonne au milieu d'un trottoir, et elle n'est pas remplie de dynamite, mais de bouquins que quelqu'un avait bien rangs ldedans avant de saluer ce monde. Parfois les bibliothques officielles jettent leurs livres moins lus, et on les sauve du pilon. C'est comme a que peut natre une bibliothque de quartier. Et c'est un peu comme a que la bibliothque du Malandrin a commenc exister. On peut y avoir accs sans prsenter des papiers d'identit, ou sans avoir besoin d'une carte d'abonnement... Pour y dcouvrir des rcits fantastiques, des critiques du rapport marchand capitaliste, des aventures formidables, des mmoires oublies, des ides dangereuses ! La bibliothque sort dans la rue tous les samedis aprs-midi pour tisser des liens et pour partager des expriences dans le quartier. Soit les gens vont la bibliothque soit c'est la bibliothque qui va leur rencontre. Quand les livres se promnent, ils peuvent en rencontrer de nouveaux, changer de compagnie et trouver d'autres gens qui les coutent. Dsacraliser l'ide de bibliothque officielle et ferme nous permet de ne pas les voir comme un triste objet de consommation, mais comme un moyen pour socialiser, partager des rflexions, penser et agir ensemble. Pour qu'on ne soit pas perdus face des rayons anonymes, mais qu'on puisse se retrouver pour discuter (quelles que soient nos connaissances) avec d'autres personnes qui ont lu, qui auraient envie de lire ou d'apprendre (re)lire le monde qui nous entoure.H TTP :// M ALAN D RI N . N O B LO G S . O RG

Les samedis partir de 16h, biblio-

thque de rue devant le 194 rue des Pyrnes.

Permanences tous les samedis de 15h 19hau 14 rue mile Landrin.

Faire du fric dans le social

tl

L'AFTAM se prsente comme une association caractre social, pourvoyeuse de logements pour quelques poignes d'immigrs, parmi les rares qui ont russi dcrocher un boulot et des papiers. L'Association des Foyers de Travailleurs Algriens et Malgaches est cre en 1957 par Stphane Hessel qui, semble-t-il, a oubli de s'indigner de ses propres pratiques. Au sortir de la colonisation, il faut bien faire une petite place dans les grandes mtropoles pour ceux qui se prsentent comme une maind'uvre bas cot. Non contente de faire

partie du dispositif d'exploitation capitaliste l'chelle mondiale, l'AFTAM se fout vraiment de la gueule de ses rsidents : les chambres font en gnral 9 m, payes 300 euros pour des locaux vtustes, quand ce n'est pas tout simplement des prfabriqus. En 2009 l'AFTAM se ddouble et, derrire l'association, apparat une socit prive de logements HLM. a semble compliquer l'affaire mais en fait a rend les choses plus claires : l'AFTAM c'est fait pour faire du fric, de la spculation immobilire, et du chantage l'intgration.

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Texte de prsentation du collectifQuartier Libre, prsent sur le quartier depuis le printemps 2011 .

QuartierLibreLa politique des partis et leurs proccupations lectoralistes ne servent pas les intrts des classes populaires. Un bulletin de vote tous les 5 ans ou des assembles citoyennes ne sont pas les seules formes lgitimes dimplication politique. Organisons-nous dans le quartier, dcidons collectivement de notre existence, rsistons la domination de classes, recrons des liens, partageons des solutions, combattons l'isolement dans lequel on nous plonge.

* gentrification :

embourgeoisement d'un quartier. Les restructurations urbaines, l'idologie du citoyen responsable , la mise en place de la vido-surveillance, l'implantation de boutiques ou de "services culturels" visent diviser, casser les solidarits, virer les plus pauvres toujours plus loin afin de les remplacer par des populations plus rentables.

Dans le quartier comme ailleurs, la situation empire pour les classes populaires qui sont les premires vises par l'austrit. Les besoins lmentaires sont de plus en plus difficiles satisfaire: augmentation du prix des denres alimentaires, des loyers et des charges, de la sant, des transports Le 20me arrondissement est de moins en moins un quartier populaire. Les nombreuses rhabilitations ont pour consquence la gentrification*, des familles expulses et des pauvres traqus qui laissent place un espace de plus en plus hors de prix o un caf en terrasse quivaut maintenant un quart du smic horaire.

On vous vire mais c'estpour votre bien! Depuis dix ans, l'AFTAM a commenc rnover son parc immobilier - centres d'hbergement d'urgence, foyers pour demandeurs d'asile, centres mdico-sociaux. Quand on voit l'tat de dlabrement de certains btiments, on ne peut que se dire qu'il tait temps de faire quelques travaux. Mais comme toute entreprise de rnovation, cela doit tre rentable et se fait au dpend des habitants. Epinay-sur-Seine. Depuis dix ans les habitants des baraquements AFTAM sont en lutte pour faire reconnatre l'insalubrit des locaux : des carreaux casss de partout, des sanitaires l'agonie, etc. La solidarit fonctionne, quelques militants soutiennent les rsidents et finalement l'AFTAM reconnat la ncessit de faire des travaux. Un premier btiment est vid, on propose des relogements aux habitants, avant de le grillager et d'y installer des vigiles. Pour le deuxime, le processus de relogement est entam mais rencontre la rsistance des habitants qui refusent d'tre disperss aux quatre coins de la banlieue parisienne. L'AFTAM, qui envisage ces formes de solidarit communautaire comme des entraves au processus de rnovation des foyers, dcide d'envoyer la police expulser cette bande de rcalcitrants. C'est par un matin de novembre que les camions dbarquent pour virer tout le monde. Dans le 20me, les habitants du foyer des Mriers, rue Fernand Lger prs du Pre Lachaise, sont "dmnags" proprement parler. Parfois c'est les affaires qui sont dmnages en l'absence des habitants, pendant les heures de travail. Parfois c'est le dlgu qui on promet un meilleur logement pour qu'il n'y ait pas de vague. Et si jamais, malgr tous les coups tordus, certains rsistent encore, il reste toujours les

procdures judiciaires et les coups de matraques. Tous ceux qui n'acceptent pas de dgager au premier coup de semonce de la direction sont virs d'une manire ou d'une autre. Quelques anciens rsidants du Pre Lachaise se trouvent maintenant rue Bichat, installs l aprs que ce foyer ait t squatt par des Tunisiens. L'immeuble sert de foyer de transition. En plus de remplir les poches de quelques actionnaires, les rsidants servent de " gardiens ", vitant que les lieux soient occups par d'autres qui en ont un besoin immdiat. Encore. Aux Mriers, dans le 20me arrondissement, le plan de rnovation comporte la construction de cuisines individuelles. Les habitants sont contre. Ils ont bien compris comment ces installations contribuent les isoler les uns des autres. Par ailleurs, a implique que certains des habitants emmnagent dans un autre immeuble, situ au 194 rue des Pyrnes. C'est l que j'habite, avec quelques potes et une famille de Rroms. Ce btiment, un ancien bar-restaurant bien connu dans le quartier, tait l'abandon depuis 2007. Le permis de dmolir date de 2008 mais les travaux tranent, c'est qu'il en faut du temps pour magouiller. C'est la mairie, propritaire des lieux, qui file le bail la SA AFTAM Habitat pour une valeur de 97 000 euro. Un mois de loyers suffirait rembourser la totalit de la somme et le reste tombera tous les mois dans la poche d'une bande de crapules. Nul doute que la mairie sait trs bien quoi servent ces immeubles : racketter les pauvres. En fvrier, l'AFTAM lave son image et change de nom pour celui abscon de Coallia.

Solidarit, rappropriation, lutte de classe Si la nourriture manque, prenons l o elle est, si les loyers sont trop levs, refusons de payer, si le savoir a un cot, collectivisons-le. Reprenons le contrle de nos vies. Diffusons nos luttes car notre socit est bel et bien une socit de classes, fonde par une organisation ingalitaire du travail. Seul le renversement des classes dominantes nous librera. Pour cela, ce sont les fondements de la socit quil faut remettre en cause, c'est dire notre manire de produire et dchanger des richesses. Avec des collectifs et Quartier Libre, nous avons redistribu des vtements et de la nourriture qui ont t collects auprs des habitants. Dans cette logique, nous essayons de rinvestir lespace public, de produire de nouvelles formes d'entre-aide et de reprendre ce qui nous est vol chaque jour. Nous vous invitons nous rejoindre pour former une solidarit de quartier et de classe, pour nous dfendre et nous organiser !

Ds lors, il faut s'auto-organiser pour reprendre les espaces, les biens matriels et la culture qui devraient appartenir tous.

tl

T

quartierlib re@riseup. net

suivre.

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LES

PERMANENCES

Tous les samedis, de 16h 18h, nous vous proposons de discuter de votre situation (loyers impays, huissiers avant procs, dcision dexpulsions..), dapporter et dchanger des conseils juridiques, techniques, matriels ou pratiques, et dimaginer ensemble des possibilits de dfense.

L

Tous les samedis de 16h 18h au 194 rue des Pyrnes.

Contre toutes les expulsions ! 'E N U M R O U R G E N C E

es problmes de logement ne viennent jamais seuls, ce nest quun bout du problme : ceux qui peinent trouver un toit sont aussi ceux qui galrent se nourrir, se vtir, moisissent au chmage ou dans des boulots souspays. Quil y ait suffisamment de logements ou non, pour les pauvres il ny en a jamais assez. Les spculateurs immobiliers, mairies et bailleurs sociaux inclus, profitent de cette pnurie et ont intrt ce que perdure la concurrence de tous contre tous. Alors quil y a suffisamment de logements, les propritaires nhsitent pas en laisser vide une grande partie, les faire surveiller par des armes de vigiles pour maintenir des loyers levs,

les quartiers, recoins et parcs. La ville devient une vitrine o tout peut se voir et sobserver. Lors dune expulsion, on se sent seul face lhuissier, le juge et la police. La mascarade du procs nous donne limpression que tout cela ne nous concerne qu'individuellement, puis la police dbarque tt le matin, au moment o personne nest l pour la voir, afin de chasser les plus tenaces. Tout est fait pour casser les gestes de solidarits, pour quon oublie quil sagit dun problme des plus communs. tre mal-log nest pas quune affaire technique qui pourrait se comptabiliser en nombre de toits disponibles, de personnes par chambres, de prix au mtre carr. Cest aussi lide de ne pouvoir choisir soi-mme le territoire, le bout de quartier, les personnes avec lesquelles on vit, partage un quotidien. tre mal-log cest un tat disolement, de fragilit o tout est rendu individuel. Cest ne trouver personne avec qui parler de ses problmes, navoir aucun lieu o se runir, se retrouver. Face cela, nous avons entam un processus de rsistance, occup collectivement des logements, nous les avons rendus habitables selon nos besoins et nos fantaisies, trouv des armes juridiques et effectives afin de dfendre ces espaces et les possibilits quils librent.

Dans lanonymat des procdures, il est plus que ncessaire de se retrouver pour sorganiser contre les expulsions. Les solutions affiches par ltat ne font que masquer et aggraver le problme. En luttant contre les expulsions nous ne voulons pas pousser ltat respecter ses obligations en matire de logement ou suppler ses dfaillances, mais bien trouver des moyens collectifs de nous rapproprier la question du logement .

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Depuis plusieurs semaines deux familles sont menaces dexpulsions au 87 rue des Marachers. Malgr les menaces de la mairie (et les mauvais conseils de certains soutiens), elles ont dcid de ne pas rendre les clefs des deux appartements quelles occupent depuis sept ans. Un rassemblement est organis chaque samedi 14h devant leur immeuble. Le 194 rue des Pyrnes, lieu occup depuis octobre 2011, est dsormais expulsable. Une runion publique est organise jeudi le 16 fvrier 19h pour prparer la dfense contre lexpulsion. Avec la vague de grand froid, l'tat et les mairies ont ouvert dbut fvrier 1300 places d'hbergement supplmentaires. Mais rien dans le 20me. Les familles Rroms, et leurs enfants, dorment toujours dans la rue, ou chez quelques voisins solidaires malgr les belles promesses de la Mairie du 20ime.

Brves du logement

On veut nous faire patienter passivement jusquaux prochaines lections alors que dans dautres lieux, dans dautres pays, comme en Grce ou Madrid, une partie de la population a commenc se runir pour exposer publiquement ces problmes et sorganiser pour y faire face. Dans tel quartier une assemble dcide dempcher les expulsions, dans telle ville, presque plus personne ne paie llectricit.

ASSEMBLE

POUR L U T TE R C O N T R E LES EXPULSIONS

Tous les seconds mercredis du mois 18h30 194 rue des Pyrnes mtro Gambetta

LD

En cas durgence (expulsion, huissier) dans le 20e, appelez ou envoyez un message au:

inaccessibles. Une partie des pauvres se retrouve par miracle dans la portion qui leur est rserve dans les hlm, une grande majorit na dautre choix que de sloigner toujours plus de Paris. Dans cette configuration, les expulsions permettent de trancher dfinitivement en faveur de lordre impos par la proprit. La loi du propritaire prime plus que toute ncessit vitale, et pour elle des dizaines de milliers de personne peuvent crever petit feu dans la rue. On pourrait croire que les dcisions quotidiennes dexpulsions sont une multitude de cas particuliers, mais cest toujours le mme processus luvre. Augmentation des loyers et rnovation tout crin font quil est toujours plus difficile de payer son loyer temps. Faire disparatre ceux qui ny arrivent plus permet alors de dtruire ce quil restait dingouvernable dans

Et des infos sur les luttes de logement dans le 20e et ailleurs sur HTTP://PARIS20. NOBLOGS. ORG

06 84 46 96 74

Un message sera transmis aux personnes inscrites au numro qui pourront intervenir rapidement. Si vous souhaitez intervenir lors des alertes, envoyez un message au numro pour vous inscrire. Le mieux tant bien sr de venir aux assembles gnrales.

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Comme si tre enferm dans une salle de classe toute la journe ntait pas suffisant, la police a arrt un jeune homme de 14 ans pendant sa rcration du matin au collge Jean-Baptiste Clment rue Henri Chevreau. Si vous navez pas 20 euros dpenser pour assister une pice de thtre , il existe dans le 20e un lieu qui propose chaque semaine des spectacles prix libre : 18 rue des Envierges, El Clan Destino.

Brves du quartierw w w w

Une redistribution de vtements dhiver par le collectif Quartier Libre aura lieu dimanche 26 fvrier 15h au mtro Mnilmontant. Les entrepts de la RATP, rue de Lagny, devenus un lieu important du graffiti Paris, seront dmolis prochainement. Tous les mardis partir de 19h30, une cantine de quartier, prix libre, se tient au 194 rue des Pyrnes. Soire-dbat sur les luttes sociales au Pays Basque. a se passe samedi 18 fvrier partir de 17h l'Espace Louise Michel, 42ter rue des Cascades (restauration sur place).

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