obsèques on ddiand

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I tion sera demandée par le père, la mère ou le- tuteur. Les père, mère ou tuteur des jeunes gens .de la classe 1918 nés hors de la commune sont tenus de réclamer l'inscription de leur, fils ou pupille, si ces père, mère ou tuteur sont domiciliés dans la com- mune. Les opérations de recensement devant être effectuées très rapide- ment, les intéressés sont invités à neri^etfcreaucun retard dans leur déclaration. 11 est rappelé qu'en raison des circonstances actuelles les sanc- tions pénales seront rigoureuse- mentiappliquées en cas de négli- gence par l'autorité militaire. ••••• .. Le Maire, '!•• PIERRE BOYER. •:Â l'Ordre de la Brigade Lacanonnier conducteur Lapeyre Edmond, de la 1" batterie du ..." régiment d'artillerie : « Très bon soldat, sur le front depuis le début de la campagne; modèle de vaillance, est toujours prêt a' s'offrir pour les missions périlleuses. S'est particulièrement distingué pendant la période du 27 mai .au 8 juin 1916, en allant répa- rer lé.s lignes téléphoniques de.labat- teriè, fréquemment rompues par un feu r précïs d'artillerie lourde en- nemie. » Le canonnier Lapeyre, dont les parents sont originaires de La Chapêlle-Geneste et habitent rue de Lavaur, à Issoire, a été décoré de la croix de guerre LaVfamille Lapeyre, bien connue dan&toute la région, a fourni .de nombreux soldats à la Patrie. 37 cousins germains [d'Edmond La- pe^rc pont au front et ont [été tous plus ou moins éprouvés ou on fait brillamment leur devoir. Toïit récemment, un de ses pa- rents, le sous-lieutenant d'artillerie L^peyfe, a été l'objet d'une belle citation; ::,,„.. >.,! A. l'Ordre du Régiment tlè lieutenant-colonel de Lacom- bej.commandant de l'A. D., cite à l'ocre du régiment : ; Le téléphoniste Pourchon Jean- Baptiste, du groupe. •«•toujours volontaire pour la réparation des lignes coupées par le^bjb'mbardement ennemi; a assuré d'ùirë façon parfaite les communi- cations téléphoniques pendant les combats de la Sommé (septembre efeibotobre); ' . >- (S'était déjà distingué comme a»ent de liaison à Verdun. » %H Pourchon est le plus jeune des-, fils de Mme veuve Pourchon, entrepreneur de maçonnerie, rue de-Lavaure à Issoire, qui a encore au front deux fils qui ont été blessés. ,•.;:••)•••:•.•_—: . A'd-t-••;'•• 'y'.: Cérémonie Patriotique Jeudi prochain, 7 décembre, à 2 heures de l'après-midi, aura lieu, sur la place de la Montagne, la remise de diplômes d'honneur aux familles des soldats morts à l'en- nemi. Lesautorités civiles et militaires assisteront à cette cérémonie. En l'Honneur de nos Soldats Morts 'Vendredi dernier, a été céjébré, en l'église St-Paul, un office so- lennel, à la mémoire des soldats tombés à l'ennemi et originaires d'Issoire. L'église était bondée ; nécessaire- ment beaucoup de femmes. Remar- qué aussi les autorités militaires : M. le chef d'escadron Seguin, du 113 e d'artillerie, commandant d'ar- mes, M. le chef d'escadron Ver net, du 16' d'artillerie, des officiers, des sous-officiers, des soldats, des blessés, des mutilés, des représen- tants des [administrations civiles, des différentes sociétés qui s'occu- pent desoeuvres^du soldat, etc., etc. Cette émouvante cérémonie à laquelle tout Issoire, peut-on dire, a pris part, prouve combien le culte de nos vaillants défenseurs de la Patrie est vivace dans toutes les âmes. Les pensées allaient non seule- ment aux disparus, mais aussi à ' ceux qui sont encore debout et qui sont journellement au danger. Obsèques Lundi dernier, à 9 h. 1/2 du ma- tin, ont eu lieu, en l'église Saint- Paul, les obsèques de M. Gou- riaud, percepteur à Ardes, décédé dans la 45° année de son âgo. L'affluence qui suivait le char funèbre orné de couronnes et de gerbes de fleurs était nombreuse. Remarqué : M. Boyer, maire, M. Bourillon, receveur des finances, des représentants des diverses administrations, des fonctionnai- res, etc., etc. Les cordons du poêle étaient tenus par MM. Fondary, percep- teur à Issoire, Lâchai, percepteur à Ardes, Jolivet, fondé de pouvoirs de la recette des finances, Bigot, sous-inspecteur do l'enregistre- ment. Le deuil était conduit par les deux jeunes fils du défunt et les membres de la famille. Au cimetière, M. Bourillon a exprimé les regrets que laissait M. Gouriaud, qui fut un fonctionnaire modèle et un homme de devoir très estimé de tous ceux qui le con- nurent. Il s'était acquis de nombreuses sympathies dans notre ville où il exerça, pendant ' quelque temps, avec un zèle et une compétence hautement reconnus, les fonctions de fondé de pouvoirs à la recette des finances. Nous adressons à sa veuve, à ses fils et à toute la famille, l'ex- pression de nos sincères condo- léances. Assises du Puy-de-Dôme Les assises du Puy-de-Dôme pour le l or trimestre 1918 s'ouvri- ront à Riom le lundi 22 janvier prochain aune heure du soir. Elles seront présidées par M. le conseil- ler Bougon, qui sera assisté de MM. Moncourrier-Beauregard et Bourrier, conseillers à la Cour. Les Bons Je la Délense Nationale Placement temporaire avantageux En achetant des lions de la Défense Nationale vous vous assurez un bon re- venu. Vous êtes sûr de toucher l'argent à date fixe. Vous pouvez prendre de votre côté des engagements pour cette date puisque vous retrouverez votre capital augmenté. A tous moments vous avez des facilités pour transformer vos Bons en argent. 11 existe des Bons de 5 fr., de 20 fr., de 100 fr., de 500 fr., de 1000 fr., etc., etc., ce qui permet de placer toute somme quel qu'en soit le montant, l'intérêt est payé au moment même vous prenez le Bon, ainsi quand arrive la date fixée pour ,1e remboursement, vous touchez plus que vous n'avez versé : en versant 95 fr. vous recevrez 100 fr. dans un an ; en versant 97 fr. 50 vous recevrez 100 fr. dans 6 mois ; c'est cette différence qui constitue le profit du placement. ETAT CIVIL DE LA VILLE D'ISSOIRE Pendant le mois de Novembre NAISSANCES Coudeyras Marthe-Maria, fille de Jean-Marie, cultivateur et de Eu- génie Laroche. Forestier Marcel, fils de Antoine, jardinier et de Marie Beaupancy. De Bussac Marie, fille de Marie- Jules-Louis, sans profession et de Octavie-Augustine Boy. Didero Gustave, fils de Pierre et de Marguerite Chemin. Plagnat André-Emile, fils de Emile, pâtissier et de Marie-Jose- phine-Clémentine Montchal. Pavy Jeanine, fille de Auguste- Bertrand-Léon, quincailler et de Marie-Thérèse-Jeanne Andrieux. Meyre Suzanne-Odette, fille de Joseph-Emile, maréchal des logis au 113 e d'artillerie et de Marie- Louise Gilhard. MARIAGES M. Tatry Joseph-Eugène, méca- nicien-ajusteur à Issoire et Mlle Clémentine-Alphonsine-Victorine- Marie Bérenger, à St-Didier (Hte- Loire). DÉCÈS VoissetGabriel,93ans,deBrenat, veuf de Françoise Pissis. Touna Antoine, 81 ans, de Mo- lompize (Cantal), veuf de Félicie Pontel. Aton René-Marius-Henri, 24 ans, célibataire, de Mayenne (Nièvre). Julien Pierre, 75 ans, coutelier, d'Issoire, veuf do Marie Gnmauil. De Bussac Marie, 1 jour, d'Is- soire. Duvert Madeleine, 63 ans, d'Egli- seneuve-des-Liards, épouse de An- toine Floret. Genest Antoine-Henri, 49 ans?, serruiier, de Montmarault (Allier), époux de Thérèse-Louise Couvely. Gromont Catherine, 93 ans, de Brenat, veuve de Jean Jalady. Francolon Euffène, 39 ans, de St- Babel, époux de Marie Mapscboeuf. RÉCAPITULATION Naissances 7. — Mariages 1. Décès 9. SALUT AU MENHIR (Tribanau Gaulois) Reçois, Menhir, notre salut du soir.. L'ombre du Brenn va venir te revoir. Veux-tu du sang? Que l'on t'en donne à [boire. Faisons couler au pied de tes trois blocs Le sang' fumant d'un belliqueux aurochs : Dieux de l'Arbrenn, venez boire à ce roc. Camul, Tarann, c'est ici qu'on vous fêle. Dieux, donnez-nous batailles et tempêtes : Ciel, garde-toi de tomber sur nos têtes. va dormir : le Démon noir est proche. Le brenn descend : il faut qu'à son approche Le feu s'élève et brille sur ta roche. Qu'on lance enfin des flèches aux étoiles : Elles sauront traverser tous les voiles, Et rrèveront les yeux du Démon noir. Et près d'ici, dans la forêt mystique, Aux derwyd-dyn le chêne prophétique Dira : « C'est bien : gloire au pays celtique. « Car ce pays, sont tant de captifs, « A conservé, par des soins attentifs, «Aux grands vainqueurs leur culte primitif. « Ceux qui des Dieux gardent le souvenir, « Ceux qui du brenn honorent le menhir, « Toujours vaincront, dans les temps à .:;.. ; ..-.-. .", [venir. » Au pied du roc qui flamboie et qui saigne, Viens, Sanglier, viens, glorieuse enseigne: Elève toi, pour que chacun nous craigne. Du haut du roc, ô brenn, tu le regardes : Ma hache est bonne, etluifaitbonnegarde. Bonne est ma rote : entends le chant du [barde. EMMANUEL FOURY. N. B. Arbrenn signifie « Auvergne » ou « terre du chef » ; derwyd-dyn, a druide » ou « homme des chênes ». Le sanglier était l'enseigne des armées gauloises. •. _ Le poète Jean Richepin lance clans Les Annales ce chaleureux appel aux Français : TROP DE TOUT Préparons au delà des prévisions les plus lointaines. Préparons tout. Préparons trop. Oui, le vrai, le seul mot d'ordre à nous donner aujourd'hui, c'est celui-là. Sans doute il est contraire à tous les arguments que semble nous dicter notre raison, et même à toutes les réalités en quoi sem- blent près de fleurir les rêves de notre coeur. Mais, tant pis ! C'est à ce mot d'ordre, à celui-là unique- ment, qu'il faut nous rallier et obéir. Sachons y forcer, y plier, coûte que coûte, notre tempérament, no- tre caractère, même notre espé- rance. Tout ce qui nous a manqué, ayons-le à l'excès. plus tôt, as- surons-nous dans ce ferme propos : qu'il ne peut pas, là-dessus, y avoir d'excès. Telle est la consigne de la nouvelle exigence, que nous de- vons nous imposer avec allégresse. La sagesse classique nous disait, dans l'adage grec : « Mêden agan». Elle nous répétait, dans l'adage latin : « Ne quid nimis ». Elle nous rebattait les oreilles, dans l'adage français de son fameux : « Rien de trop ». Abolissons le souvenir de tout cela, que nous remplacerons par l'adage de demain : Trop de tout ! » Oui, si absurde que cela nous semble, quelque répugnance qu'y apporte notre légèreté confiante, quand même on nous prouverait par a+b que tant de précautions sont vaines, prenons toutes ces précautions, prenons-en plus qu'il est nécessaire, prenons-en trop ! Ayons trop d'or, trop de vivres, trop de vêtements, trop d'abris, trop d'armes, trop d hommes, trop de munitions, trop de wagons, trop d'ambulances, trop de tout. Et puisque nous ne pouvons rien faire qu'en souriant, sourions du moins en faisant ainsi plus que tout, en ayant trop de tout, sou- rions à l'idée de pouvoir terminer cette guerre en disant, le pied sur notre ennemi abattu : Nous avons de quoi faire la guerre encore pendant dix ans, s'il le fallait; c'est ce qui nous permet de proclamer qu'elle est close, définitivement close, àjamaiscloje. Ainsi, et non autrement, s'ac- complira la prophétie de Michelet, annonçant qu'au vingtième siècle la France déclarerait la paix au monde. JEAN RICHEPIN. Je l'Académie Française. Le Brouillard Plus que le froid, le brouillard est pour les asthmatiques et catarrheux une cause d'accès douloureux et prolongés. On pré- vient ces crises en faisant usage de la Poudre Louis Legras. Ce remède merveil- leux, qui a obtenu la plus haute récom- pense à l'Exposition Universelle de 1900, calme instantanément et guérit progres- sivement l'asthme, l'oppression, l'essouf- flement, le catarrhe et la toux des bron- chites chroniques. Une boîte est envoyée contre mandat de 2 fr. 10 adressé à Louis Legras, 139, Bd Magenta, Paris. BIBLIOGRAPHIE /Umanach Météorologique pour 1917 •(18 e année). Prix : 3 fr., franco, contre timbres ou mandat adressé à l'auteur, M. Alfred JOÙON, 9, rue Cernuschi, à Paris (XV1I°), ancien élève diplômé de l'Insti- tut Agricole de Beauvais, ancien pro- fesseur à l'Ecole Supérieur d'Agriculture d'Angers, chroniqueur agricole au Fi- garo, etc. C'est avec la certitude de leur rendre service que nous recommandons à nos lec- teurs cet Almanacli Météorologique, dont une nouvelle édition vient de paraître, parce qu'ils y trouveront tous renseigne- ments utiles pour réussir en agriculture, viticulture, aviculture, horticulture. L'auteur a fait ses preuves ; il mène de- puis longtemps le bon combal dans la presse agricole et n'a pas peu contribué pas ses articles, ses ouvrages, ses conférences, à Tamélioration de notre agriculture natio- nale et de l'Afrique du Nord. Il s'est en outre révélé météorologiste sagace autant qu'agriculteur consommé el ses prévisions pour les vingt années dernières se sont réalisés, en France, en Algérie et Tunisie, avec une exactitude presque toujours ab- solue. Dans la nouvelle édition de son Alma- nach Météorologique, il publie précisé- ment ses pronostics météorologiques pour la fin de l'année 1916 et pour tout 1917. On peut demander aussi à M. Joùon ses autres ouvrages très pratiques pour tout le monde : les Progrès de l'agriculture, 1 fr.; une Exploitation rurale par lu métayage, 2 fr.; les Travaux agricoles, 2 fr. 50. — II faut surtout s'abonner à la Campagne, le meilleur et le moins cher de tous les jour- naux agricoles (1 fr. pour 3 mois, 2 f. pour 6 mois, ou 3 fr. pour un an) qui publie régulièrement les prévisions de M. Joùon. L'Almanach et La Campagne ensemble : 5 fr. (au lieu de 6 francs). Envoi franco contre timbres ou mandat, à l'auteur directeur : M. Alfred Joùon, 9, rue Gernuschi, à Paris, 17 e . Il n'est pas envoyé contre remboursement. Particulièrement brillant et varié, le nou- veau numéro des Annales contient entre autres : une très intéressante élude de Paul Ginisty sur les oeuvres d'art mutilées ex- posées actuellement au Petit-Palais, et dont un grand nombre sont artistiquement re- produites en fines héliogravures ; de palpi- tantes impressions de guerre de Maurice Barrés, Henri Lavedan, Maurice Maeter- linck, Abel Hermant, de l'abbé Wetterlé. etc.; de réconfortants poèmes patriotiques de François Fabié, Théodore Bolrel, Lucien Cressonnois, Gérard Harry, Emile Roudié ; une dramatique nouvelle d'un des meil- leurs romanciers anglais, "Warren Bell, élégamment traduite par Louis Labat, et de nombreuses chroniques d'actualité si- gnées des collaborateurs les plus goûtés de l'excellente revue : Roland de Mares, Henry de Varigny, Léon Plée, Yvonne Sarcey, Le Bonhomme Ghrysale, etc., etc. ' Partout, le numéro 23 centimes. Abonne- ments d'un an : France, 12 francs ; Etran- ger, 18 francs. Abonnements de 3 mois, pour les soldats de la zone des armées : 2 fr. 50, avec envoi gratuit d'un paquet de livres et d'images. 51, rue Saint-Georges, Paris. Il faut lire et rélire, même après l'avoir entendue et applaudie, l'admirable et subs- tantielle conférence de Jean Richepin sur Dickens, que publie in-extenso et accom- pagnée de pages choisies, le nouveau fasci- cule du Journal de l'Université des Anna- les. Le même numéro contient, en outre, la belle conférence de F. Funck-Brentano' sur les divers types français du patriotisme et le texte intégral de la si vibrante say- nète en veis du regretté Georges Trouillot : Gavroche et Flambeau. Le numéro : 60 centimes. On s'abonne, 51, rue St-Georges, à Paris. Un an, 10 francs ; six mois, 5 fr. 50. a " ON DDIANDE des Jeunes Gens de 14,à 17 ans, ainsi qne des Dames secrétaires pour travailler dans les bureaux. UEHtRE BU JUKY •( HOftS CONCOURS Je suis guéri : voilà ce qu'affirment des milliers de malades atteints de hernies après avoir porté le nouvel appareil de M. GLASER, le réputé spécialiste de Paris, G3, boulevard Sébastopol. Des témoignages authentiques à la dis- position de tous, convainquent les plus incrédules de l'efiicacité de sa méthode curative. La contention et la réduction totale des hernies les plus fortes sont obtenues jour- nellement par ses merveilleux appareils sans ressort. Ce résultat garanti par écrit, la longue expérience de M. Glaser, ses soins éclairés et honnêtes sont pour le malade le plus sûr garant. Allez donc tous essayer gratuitement cet appareil à : CLERMONT-FERRAND, 6 décembre, hôtel de Lyon. AMBERT, dimanche 10, hôtel de la Tête d'Or ; . B1LLOM, 11 décembre, hôtel Sébert ; BRIOUDE, jeudi 14, hôtel du Nord ; ISSOIRE, 15 décembre, Hôtel de la Poste ; MONTLUÇON, 16, hôtel de France. GANNAT, 17 décembre, hôteldela Gare; CLERMONT-FERRAND, 18 et 19, hôtel de Lyon ; RIOM, 20, Grand Hôtel Desaix. TH1ERS, 21 décembre, hôtel de l'Aigle d'Or; . v Brochure franco sur demande. Ceintures ventrières pour déplacements de tous organes. EXCELLENTE OCCASION A VENDRE Octaves complètes Bonne Sonorité Tenant -très longtemps l'accord S'adresser au Bureau du Journal. Etude de M° P. ANGLARET, notaire à Issoire. VENTE Mobilière - Aux Enchères Publiques Après Acceptation Bénéficiaire Le Dimanche 10 Décembre 1916, à 10 heures du matin et jours suivants s'il y a lieu, à COUDES, en une maison Madame veuve BAR- RIÈRE-DELARBRE avait son domi- cile, par le ministère deM° COMBETTE, suppléant M e Anglaret, notaire à Is- soira, mobilisé. On fait savoir à qui il appartiendra, qu'il sera par le ministère de M» Combette, suppléant M 8 Anglaret, no- taire à Issoire, mobilisé, le Dimanche 10 Décembre 4916, à dix heures du matin, et jours suivants s'il y a lieu, Aux requêtes, poursuites et diligen- ces de : Monsieur François VAISSE, maréchal-ferrant, demeurant à Coudes et Madame Mélanie VAISSE, épouse de Monsieur Jacques PALLIEH, me- nuisier, avec lequel elle demeure à Coudes, habiles à se dire et porter héritiers de Madame Marie DELARBRE veuve de M. François BARRIÈRE, leur tante, en son vivant, propriétaire, de- meurant à Coudes, elle est décédée le 17 novembre 1916, mais sous béné- fice d'inventaire seulement. Procédé à la vente aux enchères publiques au plus offrant et dernier enchérisseur : De Divers Meubles OBJETS MOBILIERS Meubles Meublants de toute nature Lits, Literie, Buffets, Tables, Horloge à caisse, Armoire, Draps, Linge, Fauteuil, Vais- selle, etc. UNE CHÈVRE dépendant de la succession de Madame veuve Barrière, sus-nommée. La vente aura lieu au comptant. 11 sera perçu six pour cent en sus du prix. Les adjudicataires devront faire l'ap- point. Pour insertion ; COMBETTE. Issoire. Imprimerie A VESSELY. le Gérant, A. VESSELY

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Page 1: Obsèques ON DDIAND

I

tion sera demandée par le père, lamère ou le- tuteur.

Les père, mère ou tuteur desjeunes gens .de la classe 1918 néshors de la commune sont tenus deréclamer l'inscription de leur, filsou pupille, si ces père, mère oututeur sont domiciliés dans la com-mune.

Les opérations de recensementdevant être effectuées très rapide-ment, les intéressés sont invités àne ri^etfcre aucun retard dans leurdéclaration.

11 est rappelé qu'en raison descirconstances actuelles les sanc-tions pénales seront rigoureuse-mentiappliquées en cas de négli-gence par l'autorité militaire.

••••• .. Le Maire,

'!•• PIERRE BOYER.

•:Â l'Ordre de la BrigadeLacanonnier conducteur Lapeyre

Edmond, de la 1" batterie du ..."régiment d'artillerie :

« Très bon soldat, sur le frontdepuis le début de la campagne;modèle de vaillance, est toujoursprêt a' s'offrir pour les missionspérilleuses. S'est particulièrementdistingué pendant la période du 27mai .au 8 juin 1916, en allant répa-rer lé.s lignes téléphoniques de.labat-teriè, fréquemment rompues par unfeu rprécïs d'artillerie lourde en-nemie. »

Le canonnier Lapeyre, dont lesparents sont originaires de LaChapêlle-Geneste et habitent rue deLavaur, à Issoire, a été décoré dela croix de guerre

LaVfamille Lapeyre, bien connuedan&toute la région, a fourni .denombreux soldats à la Patrie. 37cousins germains [d'Edmond La-pe^rc pont au front et ont [été tousplus ou moins éprouvés ou on faitbrillamment leur devoir.

Toïit récemment, un de ses pa-rents, le sous-lieutenant d'artillerieL^peyfe, a été l'objet d'une bellecitation; : : , , „ . .

>.,! A. l'Ordre du Régimenttlè lieutenant-colonel de Lacom-

bej.commandant de l'A. D., cite àl'ocre du régiment :

;Le téléphoniste Pourchon Jean-Baptiste, du 2° groupe.

•«•toujours volontaire pour laréparation des lignes coupées parle^bjb'mbardement ennemi; a assuréd'ùirë façon parfaite les communi-cations téléphoniques pendant lescombats de la Sommé (septembreefeibotobre); ' . >-

(S'était déjà distingué commea»ent de liaison à Verdun. »%H Pourchon est le plus jeune

des-, fils de Mme veuve Pourchon,entrepreneur de maçonnerie, ruede-Lavaure à Issoire, qui a encoreau front deux fils qui ont étéblessés.

, • . ; : • • ) • • • : • . • _ — : . A ' d - t - • • ; ' • • ' y ' . :

Cérémonie PatriotiqueJeudi prochain, 7 décembre, à

2 heures de l'après-midi, aura lieu,sur la place de la Montagne, laremise de diplômes d'honneur auxfamilles des soldats morts à l'en-nemi.

Lesautorités civiles et militairesassisteront à cette cérémonie.

En l'Honneurde nos Soldats Morts

'Vendredi dernier, a été céjébré,en l'église St-Paul, un office so-lennel, à la mémoire des soldatstombés à l'ennemi et originairesd'Issoire.

L'église était bondée ; nécessaire-ment beaucoup de femmes. Remar-qué aussi les autorités militaires :M. le chef d'escadron Seguin, du113e d'artillerie, commandant d'ar-mes, M. le chef d'escadron Ver net,du 16' d'artillerie, des officiers, dessous-officiers, des soldats, desblessés, des mutilés, des représen-tants des [administrations civiles,des différentes sociétés qui s'occu-pent desœuvres^du soldat, etc., etc.

Cette émouvante cérémonie àlaquelle tout Issoire, peut-on dire,a pris part, prouve combien leculte de nos vaillants défenseurs dela Patrie est vivace dans toutesles âmes.

Les pensées allaient non seule-ment aux disparus, mais aussi à

' c e u x qui sont encore debout et quisont journellement au danger.

ObsèquesLundi dernier, à 9 h. 1/2 du ma-

tin, ont eu lieu, en l'église Saint-Paul, les obsèques de M. Gou-riaud, percepteur à Ardes, décédédans la 45° année de son âgo.

L'affluence qui suivait le charfunèbre orné de couronnes et degerbes de fleurs était nombreuse.Remarqué : M. Boyer, maire, M.Bourillon, receveur des finances,des représentants des diversesadministrations, des fonctionnai-res, etc., etc.

Les cordons du poêle étaienttenus par MM. Fondary, percep-teur à Issoire, Lâchai, percepteurà Ardes, Jolivet, fondé de pouvoirsde la recette des finances, Bigot,sous-inspecteur do l'enregistre-ment.

Le deuil était conduit par lesdeux jeunes fils du défunt et lesmembres de la famille.

Au cimetière, M. Bourillon aexprimé les regrets que laissait M.Gouriaud, qui fut un fonctionnairemodèle et un homme de devoir trèsestimé de tous ceux qui le con-nurent.

Il s'était acquis de nombreusessympathies dans notre ville où ilexerça, pendant ' quelque temps,avec un zèle et une compétencehautement reconnus, les fonctionsde fondé de pouvoirs à la recettedes finances.

Nous adressons à sa veuve, àses fils et à toute la famille, l'ex-pression de nos sincères condo-léances.

Assises du Puy-de-DômeLes assises du Puy-de-Dôme

pour le lor trimestre 1918 s'ouvri-ront à Riom le lundi 22 janvierprochain aune heure du soir. Ellesseront présidées par M. le conseil-ler Bougon, qui sera assisté deMM. Moncourrier-Beauregard etBourrier, conseillers à la Cour.

Les Bons Je la Délense NationalePlacement temporaire avantageuxEn achetant des lions de la Défense

Nationale vous vous assurez un bon re-venu.

Vous êtes sûr de toucher l'argent à datefixe. Vous pouvez prendre de votre côtédes engagements pour cette date puisquevous retrouverez votre capital augmenté.

A tous moments vous avez des facilitéspour transformer vos Bons en argent.

11 existe des Bons de 5 fr., de 20 fr., de100 fr., de 500 fr., de 1000 fr., etc., etc.,ce qui permet de placer toute somme quelqu'en soit le montant, l'intérêt est payéau moment même où vous prenez le Bon,ainsi quand arrive la date fixée pour ,1eremboursement, vous touchez plus quevous n'avez versé : en versant 95 fr. vousrecevrez 100 fr. dans un an ; en versant97 fr. 50 vous recevrez 100 fr. dans 6mois ; c'est cette différence qui constituele profit du placement.

ETAT CIVILDE LA VILLE D'ISSOIRE

Pendant le mois de Novembre

NAISSANCESCoudeyras Marthe-Maria, fille de

Jean-Marie, cultivateur et de Eu-génie Laroche.

Forestier Marcel, fils de Antoine,jardinier et de Marie Beaupancy.

De Bussac Marie, fille de Marie-Jules-Louis, sans profession et deOctavie-Augustine Boy.

Didero Gustave, fils de Pierre etde Marguerite Chemin.

Plagnat André-Emile, fils deEmile, pâtissier et de Marie-Jose-phine-Clémentine Montchal.

Pavy Jeanine, fille de Auguste-Bertrand-Léon, quincailler et deMarie-Thérèse-Jeanne Andrieux.

Meyre Suzanne-Odette, fille deJoseph-Emile, maréchal des logisau 113e d'artillerie et de Marie-Louise Gilhard.

MARIAGESM. Tatry Joseph-Eugène, méca-

nicien-ajusteur à Issoire et MlleClémentine-Alphonsine-Victorine-Marie Bérenger, à St-Didier (Hte-Loire).

DÉCÈSVoissetGabriel,93ans,deBrenat,

veuf de Françoise Pissis.Touna Antoine, 81 ans, de Mo-

lompize (Cantal), veuf de FéliciePontel.

Aton René-Marius-Henri, 24 ans,célibataire, de Mayenne (Nièvre).

Julien Pierre, 75 ans, coutelier,

d'Issoire, veuf do Marie Gnmauil.De Bussac Marie, 1 jour, d'Is-

soire.Duvert Madeleine, 63 ans, d'Egli-

seneuve-des-Liards, épouse de An-toine Floret.

Genest Antoine-Henri, 49 ans?,serruiier, de Montmarault (Allier),époux de Thérèse-Louise Couvely.

Gromont Catherine, 93 ans, deBrenat, veuve de Jean Jalady.

Francolon Euffène, 39 ans, de St-Babel, époux de Marie Mapscboeuf.

RÉCAPITULATIONNaissances 7. — Mariages 1. — Décès 9.

SALUT AU MENHIR(Tribanau Gaulois)

Reçois, Menhir, notre salut du soir..L'ombre du Brenn va venir te revoir.Veux-tu du sang? Que l'on t'en donne à

[boire.

Faisons couler au pied de tes trois blocsLe sang' fumant d'un belliqueux aurochs :Dieux de l'Arbrenn, venez boire à ce roc.

Camul, Tarann, c'est ici qu'on vous fêle.Dieux, donnez-nous batailles et tempêtes :Ciel, garde-toi de tomber sur nos têtes.

Hù va dormir : le Démon noir est proche.Le brenn descend : il faut qu'à son approcheLe feu s'élève et brille sur ta roche.

Qu'on lance enfin des flèches aux étoiles :Elles sauront traverser tous les voiles,Et rrèveront les yeux du Démon noir.

Et près d'ici, dans la forêt mystique,Aux derwyd-dyn le chêne prophétiqueDira : « C'est bien : gloire au pays celtique.

« Car ce pays, où sont tant de captifs,« A conservé, par des soins attentifs,«Aux grands vainqueurs leur culte primitif.

« Ceux qui des Dieux gardent le souvenir,« Ceux qui du brenn honorent le menhir,« Toujours vaincront, dans les temps à

.:;.. ; ..-.-. .", • [venir. »

Au pied du roc qui flamboie et qui saigne,Viens, Sanglier, viens, glorieuse enseigne:Elève toi, pour que chacun nous craigne.

Du haut du roc, ô brenn, tu le regardes :Ma hache est bonne, etluifaitbonnegarde.Bonne est ma rote : entends le chant du

[barde.

EMMANUEL FOURY.

N. B. — Arbrenn signifie « Auvergne »ou « terre du chef » ; derwyd-dyn, a druide »ou « homme des chênes ». Le sanglier étaitl'enseigne des armées gauloises. • •. _

Le poète Jean Richepin lanceclans Les Annales ce chaleureuxappel aux Français :

TROP DE TOUTPréparons au delà des prévisions

les plus lointaines. Préparons tout.Préparons trop.

Oui, le vrai, le seul mot d'ordreà nous donner aujourd'hui, c'estcelui-là. Sans doute il est contraireà tous les arguments que semblenous dicter notre raison, et mêmeà toutes les réalités en quoi sem-blent près de fleurir les rêves denotre cœur. Mais, tant pis ! C'est àce mot d'ordre, à celui-là unique-ment, qu'il faut nous rallier et obéir.

Sachons y forcer, y plier, coûteque coûte, notre tempérament, no-tre caractère, même notre espé-rance. Tout ce qui nous a manqué,ayons-le à l'excès. Où plus tôt, as-surons-nous dans ce ferme propos :qu'il ne peut pas, là-dessus, y avoird'excès. Telle est la consigne de lanouvelle exigence, que nous de-vons nous imposer avec allégresse.

La sagesse classique nous disait,dans l'adage grec : « Mêden agan».Elle nous répétait, dans l'adagelatin : « Ne quid nimis ». Elle nousrebattait les oreilles, dans l'adagefrançais de son fameux : « Rien detrop ». Abolissons le souvenir detout cela, que nous remplaceronspar l'adage de demain : Trop detout ! »

Oui, si absurde que cela noussemble, quelque répugnance qu'yapporte notre légèreté confiante,quand même on nous prouveraitpar a+b que tant de précautionssont vaines, prenons toutes cesprécautions, prenons-en plus qu'ilest nécessaire, prenons-en trop !Ayons trop d'or, trop de vivres,trop de vêtements, trop d'abris,

trop d'armes, trop d hommes, tropde munitions, trop de wagons, tropd'ambulances, trop de tout.

Et puisque nous ne pouvons rienfaire qu'en souriant, sourions dumoins en faisant ainsi plus quetout, en ayant trop de tout, sou-rions à l'idée de pouvoir terminercette guerre en disant, le pied surnotre ennemi abattu :

— Nous avons de quoi faire laguerre encore pendant dix ans, s'ille fallait; c'est ce qui nous permetde proclamer qu'elle est close,définitivement close, àjamaiscloje.

Ainsi, et non autrement, s'ac-complira la prophétie de Michelet,annonçant qu'au vingtième siècle laFrance déclarerait la paix au monde.

JEAN RICHEPIN.Je l'Académie Française.

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BIBLIOGRAPHIE

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•(18e année). Prix : 3 fr., franco, contretimbres ou mandat adressé à l'auteur,M. Alfred JOÙON, 9, rue Cernuschi, à Paris(XV1I°), ancien élève diplômé de l'Insti-tut Agricole de Beauvais, ancien pro-fesseur à l'Ecole Supérieur d'Agricultured'Angers, chroniqueur agricole au Fi-garo, etc.C'est avec la certitude de leur rendre

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On fait savoir à qui il appartiendra,qu'il sera par le ministère de M»Combette, suppléant M8 Anglaret, no-taire à Issoire, mobilisé, le Dimanche10 Décembre 4916, à dix heures dumatin, et jours suivants s'il y a lieu,

Aux requêtes, poursuites et diligen-ces de : Monsieur François VAISSE,maréchal-ferrant, demeurant à Coudeset Madame Mélanie VAISSE, épousede Monsieur Jacques PALLIEH, me-nuisier, avec lequel elle demeure àCoudes, habiles à se dire et porterhéritiers de Madame Marie DELARBREveuve de M. François BARRIÈRE, leurtante, en son vivant, propriétaire, de-meurant à Coudes, où elle est décédéele 17 novembre 1916, mais sous béné-fice d'inventaire seulement.

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Issoire. — Imprimerie A VESSELY.l e Gérant, A. VESSELY