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Page 1: Obsèques ON DDIAND

I

tion sera demandée par le père, lamère ou le- tuteur.

Les père, mère ou tuteur desjeunes gens .de la classe 1918 néshors de la commune sont tenus deréclamer l'inscription de leur, filsou pupille, si ces père, mère oututeur sont domiciliés dans la com-mune.

Les opérations de recensementdevant être effectuées très rapide-ment, les intéressés sont invités àne ri^etfcre aucun retard dans leurdéclaration.

11 est rappelé qu'en raison descirconstances actuelles les sanc-tions pénales seront rigoureuse-mentiappliquées en cas de négli-gence par l'autorité militaire.

••••• .. Le Maire,

'!•• PIERRE BOYER.

•:Â l'Ordre de la BrigadeLacanonnier conducteur Lapeyre

Edmond, de la 1" batterie du ..."régiment d'artillerie :

« Très bon soldat, sur le frontdepuis le début de la campagne;modèle de vaillance, est toujoursprêt a' s'offrir pour les missionspérilleuses. S'est particulièrementdistingué pendant la période du 27mai .au 8 juin 1916, en allant répa-rer lé.s lignes téléphoniques de.labat-teriè, fréquemment rompues par unfeu rprécïs d'artillerie lourde en-nemie. »

Le canonnier Lapeyre, dont lesparents sont originaires de LaChapêlle-Geneste et habitent rue deLavaur, à Issoire, a été décoré dela croix de guerre

LaVfamille Lapeyre, bien connuedan&toute la région, a fourni .denombreux soldats à la Patrie. 37cousins germains [d'Edmond La-pe^rc pont au front et ont [été tousplus ou moins éprouvés ou on faitbrillamment leur devoir.

Toïit récemment, un de ses pa-rents, le sous-lieutenant d'artillerieL^peyfe, a été l'objet d'une bellecitation; : : , , „ . .

>.,! A. l'Ordre du Régimenttlè lieutenant-colonel de Lacom-

bej.commandant de l'A. D., cite àl'ocre du régiment :

;Le téléphoniste Pourchon Jean-Baptiste, du 2° groupe.

•«•toujours volontaire pour laréparation des lignes coupées parle^bjb'mbardement ennemi; a assuréd'ùirë façon parfaite les communi-cations téléphoniques pendant lescombats de la Sommé (septembreefeibotobre); ' . >-

(S'était déjà distingué commea»ent de liaison à Verdun. »%H Pourchon est le plus jeune

des-, fils de Mme veuve Pourchon,entrepreneur de maçonnerie, ruede-Lavaure à Issoire, qui a encoreau front deux fils qui ont étéblessés.

, • . ; : • • ) • • • : • . • _ — : . A ' d - t - • • ; ' • • ' y ' . :

Cérémonie PatriotiqueJeudi prochain, 7 décembre, à

2 heures de l'après-midi, aura lieu,sur la place de la Montagne, laremise de diplômes d'honneur auxfamilles des soldats morts à l'en-nemi.

Lesautorités civiles et militairesassisteront à cette cérémonie.

En l'Honneurde nos Soldats Morts

'Vendredi dernier, a été céjébré,en l'église St-Paul, un office so-lennel, à la mémoire des soldatstombés à l'ennemi et originairesd'Issoire.

L'église était bondée ; nécessaire-ment beaucoup de femmes. Remar-qué aussi les autorités militaires :M. le chef d'escadron Seguin, du113e d'artillerie, commandant d'ar-mes, M. le chef d'escadron Ver net,du 16' d'artillerie, des officiers, dessous-officiers, des soldats, desblessés, des mutilés, des représen-tants des [administrations civiles,des différentes sociétés qui s'occu-pent desœuvres^du soldat, etc., etc.

Cette émouvante cérémonie àlaquelle tout Issoire, peut-on dire,a pris part, prouve combien leculte de nos vaillants défenseurs dela Patrie est vivace dans toutesles âmes.

Les pensées allaient non seule-ment aux disparus, mais aussi à

' c e u x qui sont encore debout et quisont journellement au danger.

ObsèquesLundi dernier, à 9 h. 1/2 du ma-

tin, ont eu lieu, en l'église Saint-Paul, les obsèques de M. Gou-riaud, percepteur à Ardes, décédédans la 45° année de son âgo.

L'affluence qui suivait le charfunèbre orné de couronnes et degerbes de fleurs était nombreuse.Remarqué : M. Boyer, maire, M.Bourillon, receveur des finances,des représentants des diversesadministrations, des fonctionnai-res, etc., etc.

Les cordons du poêle étaienttenus par MM. Fondary, percep-teur à Issoire, Lâchai, percepteurà Ardes, Jolivet, fondé de pouvoirsde la recette des finances, Bigot,sous-inspecteur do l'enregistre-ment.

Le deuil était conduit par lesdeux jeunes fils du défunt et lesmembres de la famille.

Au cimetière, M. Bourillon aexprimé les regrets que laissait M.Gouriaud, qui fut un fonctionnairemodèle et un homme de devoir trèsestimé de tous ceux qui le con-nurent.

Il s'était acquis de nombreusessympathies dans notre ville où ilexerça, pendant ' quelque temps,avec un zèle et une compétencehautement reconnus, les fonctionsde fondé de pouvoirs à la recettedes finances.

Nous adressons à sa veuve, àses fils et à toute la famille, l'ex-pression de nos sincères condo-léances.

Assises du Puy-de-DômeLes assises du Puy-de-Dôme

pour le lor trimestre 1918 s'ouvri-ront à Riom le lundi 22 janvierprochain aune heure du soir. Ellesseront présidées par M. le conseil-ler Bougon, qui sera assisté deMM. Moncourrier-Beauregard etBourrier, conseillers à la Cour.

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ETAT CIVILDE LA VILLE D'ISSOIRE

Pendant le mois de Novembre

NAISSANCESCoudeyras Marthe-Maria, fille de

Jean-Marie, cultivateur et de Eu-génie Laroche.

Forestier Marcel, fils de Antoine,jardinier et de Marie Beaupancy.

De Bussac Marie, fille de Marie-Jules-Louis, sans profession et deOctavie-Augustine Boy.

Didero Gustave, fils de Pierre etde Marguerite Chemin.

Plagnat André-Emile, fils deEmile, pâtissier et de Marie-Jose-phine-Clémentine Montchal.

Pavy Jeanine, fille de Auguste-Bertrand-Léon, quincailler et deMarie-Thérèse-Jeanne Andrieux.

Meyre Suzanne-Odette, fille deJoseph-Emile, maréchal des logisau 113e d'artillerie et de Marie-Louise Gilhard.

MARIAGESM. Tatry Joseph-Eugène, méca-

nicien-ajusteur à Issoire et MlleClémentine-Alphonsine-Victorine-Marie Bérenger, à St-Didier (Hte-Loire).

DÉCÈSVoissetGabriel,93ans,deBrenat,

veuf de Françoise Pissis.Touna Antoine, 81 ans, de Mo-

lompize (Cantal), veuf de FéliciePontel.

Aton René-Marius-Henri, 24 ans,célibataire, de Mayenne (Nièvre).

Julien Pierre, 75 ans, coutelier,

d'Issoire, veuf do Marie Gnmauil.De Bussac Marie, 1 jour, d'Is-

soire.Duvert Madeleine, 63 ans, d'Egli-

seneuve-des-Liards, épouse de An-toine Floret.

Genest Antoine-Henri, 49 ans?,serruiier, de Montmarault (Allier),époux de Thérèse-Louise Couvely.

Gromont Catherine, 93 ans, deBrenat, veuve de Jean Jalady.

Francolon Euffène, 39 ans, de St-Babel, époux de Marie Mapscboeuf.

RÉCAPITULATIONNaissances 7. — Mariages 1. — Décès 9.

SALUT AU MENHIR(Tribanau Gaulois)

Reçois, Menhir, notre salut du soir..L'ombre du Brenn va venir te revoir.Veux-tu du sang? Que l'on t'en donne à

[boire.

Faisons couler au pied de tes trois blocsLe sang' fumant d'un belliqueux aurochs :Dieux de l'Arbrenn, venez boire à ce roc.

Camul, Tarann, c'est ici qu'on vous fêle.Dieux, donnez-nous batailles et tempêtes :Ciel, garde-toi de tomber sur nos têtes.

Hù va dormir : le Démon noir est proche.Le brenn descend : il faut qu'à son approcheLe feu s'élève et brille sur ta roche.

Qu'on lance enfin des flèches aux étoiles :Elles sauront traverser tous les voiles,Et rrèveront les yeux du Démon noir.

Et près d'ici, dans la forêt mystique,Aux derwyd-dyn le chêne prophétiqueDira : « C'est bien : gloire au pays celtique.

« Car ce pays, où sont tant de captifs,« A conservé, par des soins attentifs,«Aux grands vainqueurs leur culte primitif.

« Ceux qui des Dieux gardent le souvenir,« Ceux qui du brenn honorent le menhir,« Toujours vaincront, dans les temps à

.:;.. ; ..-.-. .", • [venir. »

Au pied du roc qui flamboie et qui saigne,Viens, Sanglier, viens, glorieuse enseigne:Elève toi, pour que chacun nous craigne.

Du haut du roc, ô brenn, tu le regardes :Ma hache est bonne, etluifaitbonnegarde.Bonne est ma rote : entends le chant du

[barde.

EMMANUEL FOURY.

N. B. — Arbrenn signifie « Auvergne »ou « terre du chef » ; derwyd-dyn, a druide »ou « homme des chênes ». Le sanglier étaitl'enseigne des armées gauloises. • •. _

Le poète Jean Richepin lanceclans Les Annales ce chaleureuxappel aux Français :

TROP DE TOUTPréparons au delà des prévisions

les plus lointaines. Préparons tout.Préparons trop.

Oui, le vrai, le seul mot d'ordreà nous donner aujourd'hui, c'estcelui-là. Sans doute il est contraireà tous les arguments que semblenous dicter notre raison, et mêmeà toutes les réalités en quoi sem-blent près de fleurir les rêves denotre cœur. Mais, tant pis ! C'est àce mot d'ordre, à celui-là unique-ment, qu'il faut nous rallier et obéir.

Sachons y forcer, y plier, coûteque coûte, notre tempérament, no-tre caractère, même notre espé-rance. Tout ce qui nous a manqué,ayons-le à l'excès. Où plus tôt, as-surons-nous dans ce ferme propos :qu'il ne peut pas, là-dessus, y avoird'excès. Telle est la consigne de lanouvelle exigence, que nous de-vons nous imposer avec allégresse.

La sagesse classique nous disait,dans l'adage grec : « Mêden agan».Elle nous répétait, dans l'adagelatin : « Ne quid nimis ». Elle nousrebattait les oreilles, dans l'adagefrançais de son fameux : « Rien detrop ». Abolissons le souvenir detout cela, que nous remplaceronspar l'adage de demain : Trop detout ! »

Oui, si absurde que cela noussemble, quelque répugnance qu'yapporte notre légèreté confiante,quand même on nous prouveraitpar a+b que tant de précautionssont vaines, prenons toutes cesprécautions, prenons-en plus qu'ilest nécessaire, prenons-en trop !Ayons trop d'or, trop de vivres,trop de vêtements, trop d'abris,

trop d'armes, trop d hommes, tropde munitions, trop de wagons, tropd'ambulances, trop de tout.

Et puisque nous ne pouvons rienfaire qu'en souriant, sourions dumoins en faisant ainsi plus quetout, en ayant trop de tout, sou-rions à l'idée de pouvoir terminercette guerre en disant, le pied surnotre ennemi abattu :

— Nous avons de quoi faire laguerre encore pendant dix ans, s'ille fallait; c'est ce qui nous permetde proclamer qu'elle est close,définitivement close, àjamaiscloje.

Ainsi, et non autrement, s'ac-complira la prophétie de Michelet,annonçant qu'au vingtième siècle laFrance déclarerait la paix au monde.

JEAN RICHEPIN.Je l'Académie Française.

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BIBLIOGRAPHIE

/Umanach Météorologique pour 1917

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Le Dimanche 10 Décembre1916, à 10 heures du matin et jourssuivants s'il y a lieu, à COUDES, enune maison où Madame veuve BAR-RIÈRE-DELARBRE avait son domi-cile, par le ministère deM° COMBETTE,suppléant Me Anglaret, notaire à Is-soira, mobilisé.

On fait savoir à qui il appartiendra,qu'il sera par le ministère de M»Combette, suppléant M8 Anglaret, no-taire à Issoire, mobilisé, le Dimanche10 Décembre 4916, à dix heures dumatin, et jours suivants s'il y a lieu,

Aux requêtes, poursuites et diligen-ces de : Monsieur François VAISSE,maréchal-ferrant, demeurant à Coudeset Madame Mélanie VAISSE, épousede Monsieur Jacques PALLIEH, me-nuisier, avec lequel elle demeure àCoudes, habiles à se dire et porterhéritiers de Madame Marie DELARBREveuve de M. François BARRIÈRE, leurtante, en son vivant, propriétaire, de-meurant à Coudes, où elle est décédéele 17 novembre 1916, mais sous béné-fice d'inventaire seulement.

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