mon fils joakim...2 commentaires sur “2” véronique 25/10/2018 À 07:58 bonjour, je suis...
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Le combat d'un père pour revoir son enfant
Salut JoakimPUBLIÉ LE 10/10/2018 PAR PASCAL PÉRISSET
Joakim, c’est papa!
Si tu lis ce message, sache que tu peux appeler papa au numéro de
téléphone suivant:
078 662 81 75
Tu as aussi la possibilité de m’envoyer un e-mail à l’adresse:
Je te laisse également mon adresse si tu veux m’écrire une lettre ou m’envoyer un dessin:
Pascal Périsset
Route en Champ Didon 130
1740 Neyruz
Je me bats depuis très longtemps pour te revoir comme avant Joakim, mais le club qui est aux
commandes entreprend tout pour qu’on ne puisse pas se voir librement.
Les gens qui décident de tout essaient de se convaincre que ce qu’ils font est juste, mais en
vérité ils tentent de détruire les liens qui nous unissent et craignent que je t’informe de
certaines choses.
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Sache qu’il faut être patient et qu’il ne faut pas leur en vouloir, car ce sont des gens qui n’ont
pas de coeur.
Je terminerai en te disant que je t’aime très très très fort.
Ton papa Pascal
>>> page suivante: Avant-propos
Mots-clés permettant un meilleur référencement Google:
joakim.ch, Joakim et papa, papa Pascal, Pascal Périsset, Pascal Perisset, le combat d’un
père pour revoir son fils, le témoignage d’un père,
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Le combat d'un père pour revoir son enfant
Avant-proposPUBLIÉ LE 08/10/2018 PAR PASCAL PÉRISSET
Les évènements passés et les faits décrits sur le site Internet https://venome.ch démontrent
que la juge Suter travestit la réalité et ne respecte pas les règles élémentaires de droit.
Toutes les mesures prises à mon encontre s’étant avérées infondées, j’ai retrouvé l’ensemble de
mes droits après un combat juridique long de plusieurs mois que j’ai mené sans avocat.
J’ai donc retrouvé tous mes droits, sauf un – celui de revoir mon fils Joakim.
Alors que je n’ai jamais commis d’acte répréhensible par la loi et que je suis installé en ville de
Fribourg en y gérant plusieurs entreprises avec le sérieux qui s’impose, je ne suis pas en droit
de voir mon fils parce qu’il existerait un prétendu risque d’enlèvement.
En vérité, c’est ma foi religieuse qui pose problème, mais la justice ne pouvant pas
discriminer une personne pour son appartenance à une religion, Mme la juge Suter
invente des prétextes fantaisistes pour justifier une curatelle de surveillance.
Cette situation étant préjudiciable pour mon fils Joakim, j’utilise donc le présent site pour
dénoncer les agissements de Mme la juge Suter.
En espérant qu’un lecteur puisse influer favorablement sur le cours des événements, je vous
adresse mes meilleures salutations.
Pascal Périsset
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Mon fils Joakim
2 commentaires sur “2”
Véronique
25/10/2018 À 07:58
Bonjour,
Je suis tombée par hasard sur le déroulement des événements que vous décrivez en détail sur
le site venome.ch.
J’aurais aimé avoir contact avec vous car, après la levée de ma curatelle, j’ai décidé de
m’expatrier dans un pays non-européen avec mon enfant sans en parler à la justice de paix.
Évidemment, cela a provoqué un tollé, mon enfant étant encore sous curatelle éducative et
financière.
Le juge de paix bloque la rente de mon enfant depuis mon départ et je ne vis que sur mes
économies.
Au vu de votre expérience, j’aurais aimé avoir des conseils.
D’avance, je vous en remercie.
Véronique
Répondre
https://venome.ch
>>> page suivante: Contexte
Contexte Salut Joakim
Pascal Périsset
25/10/2018 À 12:23
Merci pour votre message.
Prédire les actes d’une justice qui ne respecte pas les règles de droit et rend des jugements
en l’absence de preuves, est aussi improbable que de prévoir les numéros gagnants d’une
loterie.
A ce titre, sachez qu’un juge de paix n’est pas soumis à un jury et il peut prendre des
décisions avec l’aval de deux assesseurs qui souvent n’assistent même pas aux délibérés.
Dans les faits, c’est donc le juge de paix qui décide et «convainc» des assesseurs qui
officient comme alibi.
Après, je ne pense pas que des actes contraires à la loi soient la solution contre
une justice illégale.
Même si on est en droit de se demander si l’Etat n’est pas un adversaire des familles
(également lire ce commentaire), combattre le mal par le mal n’a jamais été une solution et
votre situation de non-retour en est la preuve.
A présent, si vous veniez à revenir en Suisse, les curatelles de l’enfant seront sans
doute renforcées et appliquées jusqu’à la majorité de votre enfant. Il est
également très probable qu’on vous remette sous curatelle.
Par ailleurs, il est aussi possible qu’on vous retire la garde ou l’autorité parentale.
Le juge justifierait alors sans doute une telle mesure par le fait que vous puissiez repartir et
que l’enfant n’a pas la certitude de pouvoir grandir dans un espace sécurisé qui soit propice
à son développement (éducation scolaire notamment).
En dernier lieu, afin de s’assurer que vous ne puissiez pas représenter un danger
pour votre enfant, il existe également le risque qu’on vous interne en psychiatrie
pour y évaluer votre santé mentale. L’article 443 du Code Civil permet de le faire et les
conséquences peuvent s’avérer dramatiques.
Enfin, pour le cas où vous veniez à être de religion musulmane comme moi, je vous indique
que le Coran nous enseigne à nous soumettre aux lois d’un pays tant que celui-ci ne nous
commande pas d’aller à l’encontre de notre croyance.
Vous souhaitant le meilleur pour la suite, je vous adresse mes meilleures salutations et
espère que le Dominateur Suprême vous guidera.
Pascal Périsset
Répondre
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Dossier_JOAKIM_19-11-2018
Le combat d'un père pour revoir son enfant
ContextePUBLIÉ LE 08/10/2018 PAR PASCAL PÉRISSET
Après m’être rendu en Turquie pour un voyagé prolongé, des personnes de mon entourage
m’ont calomnié en dépeignant le portrait d’une personne radicalisée à l’islam et d’un terroriste
en herbe.
Pendant mon absence, les accusations mensongères proférées à mon encontre ont mené à
une ribambelle de décisions judiciaires (https://venome.ch) et après mon retour en Suisse, j’ai
été entendu par des enquêteurs de la police fédérale et interné contre mon gré pour qu’on y
dresse mon profil.
Alors que la durée minimale d’un internement de force est de 30 jours, j’ai été libéré sans
conditions après seulement 6 jours.
Condamnant fermement tout acte terroriste, je peux comprendre que la société
veuille se prémunir contre de possibles actes malveillants de personnes instables. Ce
qui n’est pas réglementaire, par contre, c’est qu’une personne pacifique qui s’est astreinte à tous
les contrôles continue d’en payer le prix.
A présent,
Mme la juge Suter refusant que je puisse revoir mon fils dans le cadre familial;
la Justice de paix s’étant distinguée par des décisions arbitraires et de nombreux
manquements;
la situation n’ayant pas évolué d’un iota depuis mon retour en Suisse;
la justice couvrant les actes malveillants de mon ex-compagne à mon encontre;
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Mon fils Joakim
4 commentaires sur “4”
Mme la juge Suter utilisant des prétextes fantaisistes pour ne pas avoir à nommer l’Islam
qui est le véritable noeud du problème (la justice n’est pas en droit de discriminer une
personne pour son appartenance à une religion);
l’avocat de mon ex-compagne m’ayant indiqué qu’il allait tout entreprendre pour que je ne
puisse pas revoir mon fils si je ne donne pas suite à ses requêtes;
continuant d’être diabolisé, alors que les événements passés me donnent raison;
les besoins de mon fils n’étant pas pris en considération;
n’étant informé d’aucun mesure concernant mon fils comme l’exige l’article 275a du Code
Civil et
la situation qui prévaut ne pouvant pas évoluer favorablement en l’absence de bonne
volonté,
j’ai demandé à la Justice de paix de clore le dossier en me retirant l’autorité parentale.
En mettant la justice et mon ex-compagne devant leurs responsabilités, j’espère trouver une
solution alternative qui permette de renouer des liens avec mon ex-compagne sans être
parasité par des avocats, des juges et d’autres juridictions qui ne représentent pas les intérêts
de mon fils.
Cette mesure vise aussi à couper tout lien avec une justice qui marche sur la tête.
>>> page suivante: Ecrits récents
Mots-clés permettant un meilleur référencement Google:
Calomnies, décisions judiciaires. Personne radicalisée à l’islam, radicalisation islamiste.
Acte terroriste, attentat terroriste. Actes malveillants, terreur. Police fédérale,
enquêteurs de la police fédérale. Décisions arbitraires, Jugements arbitraires. Retrait
de l’autorité parentale. Erreur judiciaire. Principale victime. Mon fils.
Courriers JDP Avant-propos
lamianonyme
11/10/2018 À 09:13
J’ai recu le lien de ton site et je constate que tu continue ton combat.
Je te souhaite de trouver une solution et j’espere que ton bambin connaitra la verite un jour.
Répondre
Pascal Périsset
13/10/2018 À 19:35
En réponse à lamianonyme.
Merci pour ton message, l’ami anonyme.
En criminalisant ma personne, en refusant une médiation et en mettant un terme à tout
dialogue, ni mon ex-compagne, ni Mme la juge de paix, ni le service de l’enfance et de la
jeunesse SEJ ne semblent se rendre compte de l’importance de parler d’une même voix à
Joakim.
Afin que les agissements actuels ne prétéritent pas le développement de mon fils, j’aspire
donc à ce que les principaux protagonistes retrouvent un semblant de raison et s’ouvrent à
un vrai dialogue.
Répondre
LAOUFI Tarik
14/10/2018 À 21:30
Bonjour,
Je suis un fils d’un ancien combattant qui participait à l’armée française en Indochine. J’aimerais
savoir quels sont les droits et les avantages des fils des anciens combattants, ainsi que les
procédures à faire pour les obtenir.
Mon père est décédé en 1994 et il n’avait obtenu ni droit particulier ni pension de son vivant.
Mon père a été décoré d’une médaille militaire avec le drapeau français.
Veuillez Monsieur accepter l’expression de mes salutations les plus sincères et merci d’avance.
Répondre
Pascal Périsset
15/10/2018 À 10:07
Bonjour Monsieur Laoufi,
Mes recherches semblent indiquer que le fait que votre père ait été un ancien combattant
ne vous donne aucun droit particulier et ne vous permet pas de disposer de la nationalité
française. Par ailleurs, le versement d’une éventuelle pension s’arrête au décès de l’ancien
combattant.
Votre père n’ayant jamais reçu de pension, vous pouvez néanmoins effectuer une
demande rétroactive en justice. Toutefois, parce qu’un jugement en votre faveur ferait
jurisprudence et permettrait à toutes les personnes dans le même cas que vous de faire
valoir leurs droits, une telle requête n’a que peu de chance d’aboutir.
Enfin, si vous souhaitez vous adresser à la justice, je vous conseille de ne pas recourir aux
services d’un avocat et d’entreprendre les démarches par vous-même. A ce titre, si vous le
désirez, je peux vous proposer gratuitement mon aide en rédigeant les courriers à
l’attention des juges.
Vous laissant le soin de donner la suite que vous jugerez utile, je vous indique mon adresse
mail ([email protected]) et vous souhaite une agréable journée.
Pascal Périsset
Répondre
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Le combat d'un père pour revoir son enfant
Courriers JDPPUBLIÉ LE 08/10/2018 PAR PASCAL PÉRISSET
Cette page regroupe les principaux écrits que j’ai envoyé à la Justice de paix dans le cadre de la
suspension de la garde.
2017 / Turquie
Suspension de la garde (décision): Joakim_07-07-2017
Prémonition confirmée: Joakim_05-08-2017
2018 / Suisse
Curatelle de surveillance: Joakim_13-03-2018
Instrumentalisation et mensonge: Joakim_15-03-2018
Bilan intermédiaire: Joakim_02-04-2018
Psychologie procédurale: Joakim_07-06-2018
Demande de retrait de l’AP: Joakim_26-09-2018
En l’absence de bon sens: Joakim_04-10-2018
Oubli de mon ex-compagne: Joakim_09-10-2018
A la manière d’une agence d’interim: Joakim_25-10-2018
Acte 1, baisser de rideau: Joakim_07-11-2018
Acte 2, baisser de rideau: Joakim_14-11-2018
Méthodes répulsives: Joakim_28-11-2018
L’unique solution viable: Joakim_15-11-2018
La partie immergée de l’iceberg
L’unique solution qui permettrait de disposer de conditions profitables à tous, consisterait à
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pouvoir revoir mon fils dans le cadre familial. Cela serait d’autant plus nécessaire que mon ex-
compagne est dépassée par les événements et place Joakim à la manière d’une agence
d’interim (accueil matin et soir, innombrables activités extra-scolaires en semaine et le week-
end, placement dans des camps pendant les vacances scolaires…).
Toutefois, l’Islam étant une religion qui évoque la crainte par les temps qui courent, et la justice
ne pouvant pas discriminer une personne pour sa foi religieuse, Mme la juge Suter
invente des prétextes fantaisistes pour justifier une curatelle de surveillance (réacclimatation
après une absence prolongée et prétendue risque d’enlèvement). En procédant de la sorte, elle
n’a pas à nommer la véritable raison.
D’ailleurs, après mon retour en Suisse, Mme la juge Suter et l’assesseur M. Briguet m’ont posé
plusieurs questions au sujet de l’Islam (« Est-ce que j’autoriserais mon fils à manger un
sandwich au jambon? Si je venais à revoir mon fils, est-ce que je prierais en sa présence? »…).
D’autre part, Mme Sandoz du SEJ n’a pas nié que ma foi religieuse n’est sans doute pas
étrangère dans le déroulement des opérations.
Ces éléments démontrent non seulement que ma foi religieuse pose problème, mais
le fait que l’Islam ne soit pas nommé dans la procédure en cours, en dit long sur les
agissements de la justice.
Enfin, je ne suis pas le seul à être de cet avis et plusieurs personnes de mon entourage ainsi
que des internautes partagent mon analyse.
Au final, avec la situation qui prévaut, l’ensemble des protagonistes perdent au change et
Joakim en est la principale victime.
>>> page suivante: La Justice de paix de la Sarine
*Afin que les lecteurs qui s’intéressent au dossier n’aient pas à lire du contenu redondant, j’ai
supprimé certaines phrases inutiles dans l’expression de la pensée. A noter que les textes
originaux en version longue restent disponibles sur le site venome.ch
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Le combat d'un père pour revoir son enfant
Justice de paixPUBLIÉ LE 08/10/2018 PAR PASCAL PÉRISSET
Dans le cas de Mme la juge de paix Wanda Suter, la justice ne dit ni le droit, ni le vrai, ni le
juste.
Les règles de droit, les preuves et la vérité sont reléguées au rang d’accessoires par la Justice de
paix de la Sarine. Par ses agissements arbitraires et ses décisions partiales, la juge Suter oublie
non seulement de juger au sens de justice, mais également de justesse.
Domaines de spécialisation de la Justice de paix de la Sarine:
Jugements émis sur la base de témoignages calomnieux;
prise en compte de faits inexacts ou non avérés pour légitimer des décisions;
justification de nouveaux mandats avec des éléments déjà jugés;
mandats d’amener passés sous silence;
non-respect de l’avis d’experts et d’articles de lois;
absence de contrôle concernant les agissements d’un curateur qui n’a pas respecté le
protocole, qui a mis des sociétés en liquidation sans connaître les bilans des entreprises,
facturé plus de CHF 10’000.-/mois pour la gestion purement administrative d’une curatelle
et a vidé des safes sans inventorier le contenu…;
positionnement partial en couvrant des actes malveillants de la partie adverse;
promesses restées lettre morte;
jugement m’interdisant de quitter le territoire en présence de mon fils, alors que je ne suis
La justice dit le droit, elle ne dit pas le vrai, ni le juste.
(Michel Onfray)
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5 commentaires sur “5”
OliP94
de toute manière pas en droit de voir mon fils librement, etc.
Domaines de spécialisation de la Préfecture de la Sarine:
Interventions policières passées sous silence;
émission d’un mandat de recherche pour disparition alors que j’étais en contact avec la
préfecture;
invitation facultative à me rendre auprès de la police cantonale alors que je me trouvais
sous le coup d’un mandat d’amener, etc.
Je terminerai en citant l’adage du vidéaste burlesque Rémi Gaillard:
« C’est en faisant n’importe quoi qu’on devient n’importe qui! »
https://venome.ch/decisions-de-justice/
>>> page suivante: Contact
Mots-clés permettant un meilleur référencement Google:
Madame la juge Wanda Suter. Justice de paix, Etat de Fribourg. Wanda Suter, présidente de la
protection de l’adulte et de l’enfant, la juge Suter. service de l’enfance et de la jeunesse SEJ. Office
Familial Fribourg. Point Rencontre Fribourg, Justice de paix de la Sarine. Justice de paix de
l’arrondissement de la Sarine, autorité parentale, droit de garde de l’enfant. Justice de paix
Fribourg, avocat Fribourg, avocats Fribourg, juge Fribourg, juges Fribourg, justice Fribourg, justice
fribourgeoise.
Contact Courriers JDP
09/09/2018 À 23:36
Beaucoup de gens le pense mais personne n’a les couilles de le dire…
Force et courage pour la suite.
Répondre
Pascal Périsset
13/10/2018 À 19:35
En réponse à OliP94.
Merci pour ton message, OliP94.
Je discute avec beaucoup de personnes et je ne fais que dire tout haut ce que beaucoup de
gens pensent tout bas.
Par ailleurs, une justice qui ne respecte pas les règles de droit, qui dissimule des mandats
d’amener, qui passe des interventions policières sous silence et couvre les actes illégaux
d’une mère ou d’un curateur véreux, une telle justice est du même acabit que les
républiques bananières des pays en voie de développement.
https://venome.ch/decisions-de-justice
Répondre
KOUA Simon
15/10/2018 À 11:50
Je cherche à mettre sur pied un groupe qui se compose de citoyens comme vous pour que les
nations puissent se développer dans un esprit sain.
Répondre
Pascal Périsset
16/10/2018 À 06:50
Je vous remercie pour votre commentaire.
Selon moi, l’orgueil et l’égo surdimensionné des hommes fait échouer tout projet qui se
pose en véritable alternative au système en place.
D’autre part, je suis une personne apolitique qui ne s’inscrit dans aucune mouvance et
j’estime que la démocratie n’est pas le bon outil pour amener un changement durable.
Enfin, je pense qu’établir des règles en l’absence des lois divines est voué à l’échec.
Pour toutes ces raisons, je ne me rattacherai jamais à un groupement de quelque nature
qu’il soit.
Répondre
Pierre H.
18/11/2018 À 20:57
Cher Monsieur Votre sens du détail et la présentation des faits est remarquable! Vous auriez du
devenir avocat!! Pierre H.
Répondre
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Le combat d'un père pour revoir son enfant
ContactPUBLIÉ LE 08/10/2018 PAR PASCAL PÉRISSET
Informations au sujet de ma personne:
Je m’appelle Pascal Périsset, je suis de nationalité suisse, j’ai 41 ans et je dispose d’un casier
judiciaire vierge.
Avant de partir à l’étranger pour un voyage prolongé, j’avais la garde de mon fils Joakim à
hauteur de 50%.
+41 78 662 81 75
Parcours professionnel:
> attaché commercial en logistique (IBM, Zurich)
> analyste chargeback (UBS, Zurich)
Depuis 2005:
> Directeur des sociétés Virgule Vortex SA, Adhân SA et co9e sàrl
> Associé-gérant de l’entreprise Takbîr Sàrl
> Président de l’association OFAR
> Initiateur du site adhan.ch
>>> page suivante: Salut Joakim
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Marc MORINI
16/10/2018 À 16:44
Bonjour Monsieur,
Je suis fils unique et mon père vient de décéder au mois de mai.
Ma maman à la maladie d’Alzheimer avec démence. Elle n’a aucun discernement et elle se
trouve dans un EMS.
Et depuis fin août ma maman a été placé sous curatelle sans que je sois informé et les
prestations complémentaires ont été supprimées.
L’appartement de mon père a été vidé par moi et j’ai donné congé. J’ai fait l’état des lieux et j’ai
aussi payé deux mois de caution.
A présent la régie m’informe qu’ils ont reçu une lettre de la protection de l’adulte comme quoi je
n’ai plus mon mot à dire et que je ne compte plus… La régie m’a aussi informé que la caution ne
me reviendra pas!
Merci de m’aider.
Répondre
Pascal Périsset
16/10/2018 À 18:24
Bonsoir Monsieur Morini,
Justice de paix
La mise sous curatelle de votre mère sans information préalable est une trouvaille assez
récente de nos politiques pour permettre à l’Etat de s’accaparer les biens d’une personne
dont on estime qu’elle n’est plus capable de discernement.
Pour éviter une telle mesure, vous auriez dû établir un contrat pour cause d’inaptitude
ou rédiger des directives anticipées avant la mise sous curatelle.
Mais à présent que la Confédération Suisse est en charge de votre patrimoine
familial, vous n’avez plus de recours légal pour vous y opposer.
Sachez aussi que dans la plupart des cas, la mise sous curatelle par l’Etat se fait sur la base
d’une maladie avérée, mais l’article 443 du Code Civil permet aussi de déchoir des
personnes de leurs droits civiques en les internant en psychiatrie pour des motifs
arbitraires (à ce titre, je vous invite à lire mon commentaire du 22 avril 2018 sur le site
https://venome.ch/contact/#comment-14).
Dans leur ensemble, les médias veillent à ne pas ébruiter l’information et les personnes ne
sont généralement pas au courant d’une telle mesure avant d’en être personnellement
concernées. Toutefois, la mise à l’écart des familles soulevant une forte indignation auprès
des personnes qui connaissent le procédé, je pense que le peuple sera appelé à voter par
référendum au sujet de cette mesure, inshAllah.
Enfin, concernant le remboursement de la caution, je vous conseille de vous adresser au
curateur qui est en charge de la gestion du patrimoine de votre mère. Pour moi, il ne fait
aucun doute que vous avez droit au remboursement d’une charge qui incombe à votre
mère (et donc au curateur).
Si vous veniez à avoir des problèmes à vous faire rembourser, n’hésitez pas à me contacter.
Nous pourrons alors envisager ensemble les mesures à adopter.
En dernier lieu, je tiens à vous exprimer mes sincères condoléances concernant votre père
et je vous souhaite de ne pas vous laisser décourager par la situation qui prévaut.
Pascal Périsset
Est-ce que les gens pensent qu’on les laissera dire: «Nous croyons!», sans les éprouver? (L’arraigné
– Sourate 29, verset 2)
Répondre
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Re: Mon fils: décision du 7 juillet 2017 07/07/2017 21:19
Actions De: [email protected] A: [email protected] Cc: Leuenberger-Progin Nathalie – mon ex-compagne - [email protected] Madame la juge, J'ai bien reçu la décision de justice, prends note que mon droit à une relation personnelle avec mon fils est provisoirement suspendu et que la décision n'est pas sujette à recours. Par ailleurs, je prends acte que l'unique élément retenu pour justifier la décision est mon absence à l'étranger . Cordialement, Pascal Bernard Périsset
07 juillet 2017 15:49 Leuenberger-Progin Nathalie <[email protected]> a écrit:
Décision concernant votre fils
Monsieur,
Nous vous remettons en annexe un exemplaire de la décision rendue le 7 juillet 2017 par la Justice de paix de l’arrondissement de la Sarine, à Fribourg.
Nous vous prions d’agréer, Monsieur, l’expression de notre considération distinguée.
Nathalie Leuenberger-Progin, Cheffe de bureau [email protected], T +41 26 305 86 04 — Justice de paix de l'arrondissement de la Sarine JUSA Friedensgericht des Saanebezirks FGSA Rue des Chanoines 1, Case postale 1639, 1701 Fribourg T +41 26 305 86 00, F +41 26 305 86 01, www.fr.ch/pj
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Pouvoir Judiciaire PJ Gerichtsbehörden GB
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ETAT DE FRIBOURG STAAT FREIBURG
De: "Dualtext Sàrl / Pascal Périsset" <[email protected]> Date: 05 août 2017 15:16 Sujet: JPSarine: citation du 11 août 2017 concernant mon fils A: [email protected], "Leuenberger-Progin Nathalie" <[email protected]>, "Gilgen Vanessa JPSA" <[email protected]>, "Oldendorf-Pittet Saskia" <Saskia.Oldendorf- [email protected]>
Bonjour,
Par la présente, je vous informe que je ne donnerai pas suite à la citation du 11 août pour les raisons suivantes:
1) Projet social en devenir
Je suis en pourparlers avec différentes personnes pour donner naissance à une association qui viendra en aide aux personnes âgées et aux handicapés. Occupant une fonction importante au sein de la structure, une rentrée au pays mettrait non seulement un terme à l'état d'avancement du projet, mais compromettrait également son financement.
2) Investissements dans un pays en plein essor
Je suis aussi à la recherche d'investissements pour le compte de la société Adhân SA. Attendant d'importantes rentrées financières dans les semaines à venir, je souhaite prolonger mon séjour pour raisons professionnelles.
3) Questions restées lettre morte
Alors que j'ai simplement quitté la Suisse pour prendre une plage de repos, j'ai rencontré de nombreux problèmes avec les services de l'Etat (mandat de recherche sur sol européen alors qu’on savait où je me trouvais et sans qu’on ait cherché à me contacter, interventions policières passées sous silence, invitation à comparaître dans le cadre de la garde de mon fils alors que j'étais sous le coup d'un mandat d'amener etc.). https://venome.ch/decisions-de-justice/
4) Relations conflictuelles et florilège de mensonges
Depuis mon départ, mon ex-compagne et ma soeur colportent des propos mensongers et autres allégations diffamantes à mon sujet. Aux dernières nouvelles, je serais même devenu un djihadiste désirant mourir pour Allah... Dans de telles conditions, je ne vois pas comment je pourrais reprendre une place (de choix) dans la vie de mon fils et participer à son éducation.
5) Instrumentalisation et jeu mesquin
Les propos médisants me concernant ne se limitant pas à mon entourage, mon fils a été conditionné pour penser que son père va mal et n'est plus apte à s'occuper de lui. Par ailleurs, tout a été entrepris pour que je ne puisse plus parler à Joakim déjà bien avant le jugement rendu le 7 juillet par la Justice de paix. Ne désirant pas que mon fils soit l'otage du jeu mesquin qui a été mis en place, je courbe l'échine. Par amour pour mon fils.
Priant pour que Joakim et moi puissions-nous revoir un jour, je vous adresse mes cordiales salutations.
Pascal Bernard Périsset
Pascal Périsset <[email protected]> To:Suter Wanda Cc:Justice de paix de la Sarine,Stämpfli Alexia,Briguet Samuel,Oldendorf-Pittet Saskia,Gilgen Vanessa JPSAand 10 more... Mar 13 at 2:28 PM
Bonjour Madame la juge,
La décision de justice du 2 mars 2018 concernant l’interdiction de quitter le territoire en présence de mon fils se base sur des faits inexacts, mensongers ou déjà jugés par l’annulation d’un précédent mandat d’amener (début août 2017). A ce titre, je me permets de relever qu’il est contraire au droit d’émettre des mandats sur la base d’éléments qui ont été jugés ou actés antérieurement.
D’autre part, votre jugement fait fi des contrôles qui me sont favorables et ne tient pas compte de mon hygiène de vie irréprochable - je ne bois pas d’alcool, ne consomme pas de stupéfiants, je vis dans un environnement qui m’est favorable et je gère mes affaires avec le sérieux qui s’impose. Tous ces faits n’ont rien de dissonant et sont conformes à la réalité́.
Je considère que des mesures provisoires sont aussi improductives qu'inutiles et ne permettent pas de réhabiliter mon image auprès de mon fils qui est la principale victime de mon absence prolongée. Par ailleurs, éstimant que l’instauration d’une curatelle de surveillance manque de bon sens, qu’elle vise à pallier un risque inexistant et ne permet pas de véhiculer une image positive du père, je ne donnerai suite à aucune entrevue avec mon fils si une curatelle de surveillance venait à être entérinée. Dans un premier temps, je veux bien revoir Joakim en présence d’une personne de confiance (ma mère, p.ex.), mais c’est par le dialogue, et non pas par le biais d’une décision de justice, que la solution devra être trouvée.
Ayant occupé une place importante dans la vie de Joakim jusqu’à mon départ, étant un père aimant et la mère de Joakim m’ayant toujours fait confiance par le passé, j’estime qu’il est primordial que Joakim puisse retrouver, au plus vite, un père dont l’image n'est pas écornée par un jugement qu'il ne comprendrait pas et qui n’est pas conforme à la réalité.
De ce fait, afin de renouer le dialogue avec la mère de Joakim et rétablir des liens de confiance, je propose que Mme XY et moi suivions une médiation auprès de la personne de son choix.
Par conséquent, pour toutes les raisons nommées, je revendique une levée sans conditions de la garde et demande à revoir mon fils librement.
Finalement, pour le cas où vous ne consentiez pas à aller dans ce sens, je vous prie de maintenir la suspension de la garde et de ne plus agender de rencontres père-fils jusqu’à ce que la justice et mon ex-compagne me fassent confiance.
En espérant un dénouement favorable, je vous prie d’agréer, Madame la juge, l’expression de ma considération distinguée.
Pascal Bernard Périsset
Pascal Périsset <[email protected]> To:Suter Wanda Cc:Justice de Paix de La Sarine,Stämpfli Alexia,Briguet Samuel,Oldendorf-Pittet Saskia,Gilgen Vanessa JPSAand 9 more... Mar 15 at 4:36 PM
Madame la juge,
Par la présente, je me permets de vous relayer que mon ex-compagne m’a fait parvenir un mail dans lequel elle se réfère, entre autres insultes, à une entrevue à laquelle je n’aurais pas donné suite.
Je n’ai à aucun moment été informé ni par oral, ni par écrit d’un quelconque rendez-vous. D’autre part, le secrétariat de la Justice de paix m’a confirmé qu’aucune entrevue père-fils n’était prévue en salle d’audience hier à 16h00.
Plusieurs éléments démontrent que mon ex-compagne a délibérément inventé ce rendez-vous pour instrumentaliser mon fils afin qu’il ne veuille plus me voir:
- La mère de mon fils n’a pas pu s’annoncer au secrétariat de la Justice de paix. Si un rendez-vous avait été prévu, elle ou une personne du secrétariat aurait alors tenté de me joindre.
- Dans mon dernier courriel, j’ai fait savoir que j’ai des disponibilités en vue de revoir mon fils avant mon départ en vacances. Il en ressortait clairement qu’aucune entrevue n’était convenue.
- Dans votre récent mail, vous me demandez de vous faire des propositions concrètes pour des rencontres futures. A aucun moment, il n’y était question d’un rendez-vous.
- Des rendez-vous en salle d’audience peuvent uniquement être déterminés à court terme et en fonction du planning de la Justice de paix. Une salle d’audience ne peut pas être réservée à l’avance pour des rencontres récurrentes et ni Mme Ackermann ni M. Briguet n’étaient capables de me nommer la date d’une prochaine rencontre après la première entrevue avec mon fils.
- Lors de la dernière rencontre avec mon fils, j’ai vu mon ex-compagne de manière très brève pour la remise du petit et avant mon départ. A aucun moment, il n’y était question d’un prochain rendez-vous.
Mon ex-compagne m’ayant fait parvenir un mail dans lequel elle déverse sa haine et tient des propos incohérents, j’estime qu’une médiation entre parents est la seule issue possible. Par ailleurs, je vous informe que Mme XY instrumentalise mon fils en lui disant que je suis mal portant et m’a fait savoir que, suite au rendez-vous manqué né de son imagination, mon fils ne souhaite plus me voir.
Je respecte mon ex-compagne pour avoir veillé au bien-être de mon fils après mon départ en Turquie et je me suis excusé pour certains événements. Par contre, trouve regrettable qu’elle continue de tenir des propos médisants et instrumentalise mon fils (avec l’aval de la Justice de paix).
Par conséquent, afin de protéger mon fils du jeu mesquin auquel s’adonne mon ex-compagne, je vous demande de donner instamment suite à ma demande concernant une médiation et vous prie d’être vigilante par rapport aux dires et aux agissements de la mère de mon fils.
Vous remerciant de votre bienveillance, je vous prie d’agréer, Madame la juge, l’expression de ma considération distinguée.
Pascal Bernard Périsset
Pascal Bernard Périsset Route en Champ Didon 130 1740 Neyruz Justice de paix de la Sarine Mme la juge Wanda Suter Rue des Chanoines 1 1700 Fribourg Neyruz, le 2 avril 2018 Objet: Les agissements de mon ex-compagne et de la Justice de paix
Madame la juge,
1. Alors que mon ex-compagne m’a fait confiance ces années passées en me confiant la garde de notre fils à hauteur de 50%, elle a essayé d’invoquer des raisons psychologiques pour justifier une suspension de la garde. Dans sa décision de justice du 7 juillet 2017, Mme la juge Suter a eu la lucidité de ne pas y donner suite et l’unique raison retenue a été mon absence prolongée à l’étranger.
2. Après le placement contre mon gré suite à mon voyage en Turquie, ma soeur a informé́ mon ex-compagne que j’allais être relaxé de manière anticipée et sans conditions. Ne tenant pas compte de l’avis des spécialistes, la mère de mon fils a alors essayé de convaincre les médecins de ne pas me libérer...
3. Pour instrumentaliser notre fils afin qu’il ne souhaite plus me voir, mon ex-compagne n’a pas hésité à inventer un rendez-vous auquel je n’aurais pas donné suite. Ce rendez-vous est né de son imagination et j’ai pu prouver qu’il ne s’agit pas d’un malentendu, mais d’une action délibérée.
4. Alors que notre fils n’a que 8 ans et qu’il devrait être tenu à l’écart de conflits entre adultes, mon ex-compagne instrumentalise notre enfant en lui disant que je souffre de problèmes psychologiques.
5. Elle a informé la juge de paix que je souhaite quitter la Suisse en présence de mon fils. Une fois encore, il s’agit d’un mensonge inventé de toutes pièces.
6. Sa soif de vengeance l’anime à tenir des propos calomnieux et à user de son influence pour que je ne puisse voir mon fils que dans des conditions dignes d’une visite en milieu carcéral. En deux mois, j’ai pu revoir mon fils à deux reprises pendant une heure de temps. Ces rencontres ce sont déroulées en salle d’audience et en présence d’un surveillant. Mon fils étant mal à l’aise lors de ces rencontres et ne souhaitant pas véhiculer l’image d’un père qui a des comptes à rendre à la justice, j’ai informé la juge de paix que je ne donnerai plus suite à de telles rencontres.
7. Alors que mon ex-compagne dit faire confiance à ma mère, elle ne lui confie plus notre fils depuis mon retour en Suisse.
A) A aucun moment, la juge de paix n’a remis en question les propos et les agissements de mon ex-compagne.
B) Alors que l’unique raison de la suspension de la garde était mon absence à l’étranger (décision de justice du 7 juillet 2017) et alors que Mme la juge Suter a relevé l’importance que je reprenne une place dans la vie de mon fils, la garde reste suspendue. Pire même, une curatelle de surveillance a été instaurée en l’absence de faits.
C) Dans un souci de conciliation et afin de rétablir des liens de confiance, j’ai proposé une médiation entre parents dans mon courrier du 13 mars 2018. J’ai également fait part de mon souhait que des visites puissent se dérouler dans le cadre familial en présence de ma mère. Non seulement la juge de paix n’y donne pas suite, mais en plus elle couvre les actions malveillantes de mon ex-compagne.
Droit de garde de mon fils | Joakim Pascal de Montmollin 07/06/2018 17:05
Actions De: [email protected] A: Suter Wanda <[email protected]> Cc: mon ex-compagne - ma mère - [email protected] - [email protected] - Leuenberger-Progin Nathalie - Oldendorf-Pittet Saskia - [email protected] - [email protected] Madame la juge Suter, Par la présente, je confirme ce que j’ai laissé entrevoir lors de la séance du jour, à savoir que je ne donnerai pas suite à une rencontre avec mon fils en présence d’une psychologue. Plusieurs raisons motivent ma décision: 1) J’estime qu’il est grand temps d’acter les événements passés et je ne pense pas que revoir mon fils en présence d’une psychologue aille dans le bon sens. Par ailleurs, s’il y a lieu de clarifier des choses, je propose de le faire dans le cadre familial, en présence de ma mère ou de mon ex-compagne. A ce titre, je me permets de relancer l’idée d’une médiation entre parents, afin de renouer le dialogue et parler d’une même voix à notre fils Joakim. 2) Je suis d’avis que revoir mon fils dans un cadre «sécurisé» (terme utilisé par ex-compagne) est malsain et contreproductif. Lors des deux entrevues que j’ai eu avec mon fils en salle d’audience, Joakim a exprimé vouloir me revoir comme auparavant. Alors qu’il conviendrait de reprendre, au plus vite, le cours normal des événements, le cadre proposé ne va pas dans ce sens. 3) Contrairement à ce que mon ex-compagne a laissé entendre, j’ai effectué un travail d’introspection. L’avis des experts, la levée sans restriction de la curatelle et le travail soigneusement documenté sur le site www.venome.ch en témoignent. A présent, il serait temps d’en tenir compte et de tourner la page. 4) Vous avez laissé entendre que le cadre dans lequel se déroulent des visites est secondaire pour un enfant. Je ne suis pas de cet avis et j’estime que l’image véhiculée est importante. Ma situation ayant été régularisée, je ne veux pas transmettre l’image d’un père qui est placé sous surveillance ou qui a des comptes à rendre à la justice. 5) Prétendre que je puisse représenter un danger quelconque pour mon fils est mensonger (et mon ex-compagne le sait pertinemment). Je dispose d’un casier judiciaire vierge, je ne bois pas d’alcool, je ne me drogue pas, je ne consomme pas de médicaments, j’ai toujours été un père bienveillant, je me soumets aux règles et j’assume pleinement mes erreurs passées. Prétendre le contraire est diffamatoire. Alors que c’est du bien-être de notre fils dont il est question, je constate que celui-ci est secondaire et qu’il s’agit davantage d’un bras de fer entre adultes. Comme je l’ai laissé entendre lors de la séance de ce jour, notre fils était la principale victime suite à mon départ en Turquie. A présent que je suis de retour en Suisse, que je me suis astreint à tous les contrôles et que ma situation a été régularisée, Joakim reste la principale victime. Enfin, m’en remettant à Dieu et gardant l’infime espoir de trouver une solution qui prenne en compte le bien-être de tous, je vous prie d’agréer, Madame la juge Suter, l’expression de ma considération distinguée. Pascal Bernard Périsset https://venome.ch https://ohnerechte.ch
Pascal Bernard Périsset Route en Champ Didon 130 1740 Neyruz Justice de paix de la Sarine Mme la juge Wanda Suter Rue des Chanoines 1 1700 Fribourg Neyruz, le 26 septembre 2018 Objet: Demande de retrait de l’autorité parentale en l’absence de bon sens
Madame la juge, Par la présente, je vous informe avoir signé et envoyé le courrier du jour par recommandé aux destinataires suivants. > Justice de paix de la Sarine, Mme la juge Wanda Suter > Service de l'enfance et de la jeunesse SEJ, Mme Nora Sandoz > Point Rencontre Fribourg > Représentant légal de Mme de Montmollin, M. Elmar Wohlhauser > Mon ex-compagne D'autre part, je vous renseigne que j'ai caressé l'espoir d'un dénouement heureux jusqu'à hier soir. Mais en l'absence de la moindre avancée notable, des liens de confiance rompus et à défaut d'un possible dialogue (refus de médiation et absence d’ouverture du représentant légal de mon ex-compagne), la situation qui prévaut est sans débouchée. Aussi, je vous annonce qu'une convocation pour une séance de conciliation est inutile au vu des circonstances. A présent, je vous invite à mettre un terme au litige qui m'oppose à mon ex-compagne en me retirant l'autorité parentale. Enfin, après la destitution de l’autorité parentale, je vous enjoins également d’annuler le jugement du mois de mars qui m’interdit de quitter le territoire Suisse en présence de Joakim. En l’absence de tous droits envers mon fils, il va de soi que ce jugement n’aura plus lieu d’être. En regrettant ce dénouement qui normalement ne s'applique qu'aux cas graves (toxicomanie, violences, menaces, dangers réels etc.), je vous prie d'agréer, Mme la juge, mes cordiales salutations. Pascal Bernard Périsset
Pascal Bernard Périsset Route en Champ Didon 130 1740 Neyruz Justice de paix de la Sarine Mme la juge Wanda Suter Rue des Chanoines 1 1700 Fribourg Neyruz, le 4 octobre 2018 Objet: En l’absence de bon sens Copies: SEJ, Fribourg / Avocats Anwälte, M. Elmar Wohlhauser, Fribourg Madame la juge Suter, Aucune solution ne se présentant à l'horizon et le représentant légal de mon ex-compagne faisant preuve d'une malhonnêteté intellectuelle à toute épreuve, je vous enjoins, une fois encore, de procéder à un retrait total de l'autorité parentale et d'annuler la décision m'interdisant de quitter le territoire en présence de mon fils. Ma décision est murement réfléchie et j’ai nommé les raisons de mon choix à plusieurs reprises. De toute manière, Joakim restera mon fils et ce n’est pas une attestation écrite d'une autorité qui y changera quoi que ce soit. Aussi, si vous y consentez, je pourrai continuer de lui parler au téléphone, et si Dieu le veut, je le reverrai lorsqu’il sera en âge de me contacter. A ce titre, j'ai créé un petit site Web que je vais référencer de telle sorte que Joakim puisse me retrouver en tapant son prénom sur Google (http://joakim.ch). Le retrait de l'autorité parentale permettra peut-être aussi de renouer des liens avec mon ex-compagne sans être parasité par des avocats, des juges et d’autres juridictions qui ne représentent pas les intérêts de notre fils. Par ailleurs, je vous demande de prendre bonne note que je m'engage à poursuivre les versements mensuels de la pension alimentaire. Enfin, le retrait total de l’autorité parentale ayant des incidences patrimoniales, je vais modifier mon testament en conséquence (avec la notaire Hayoz qui nous lit en copie) et je prévois de céder des parts de mes sociétés à mon fils lorsqu’il aura atteint la majorité. Bien que je comprenne certaines craintes, je regrette qu’on ne m’ait à aucun moment accordé une deuxième chance ni pris en considération les besoins de Joakim. Au final, en diabolisant un père de bonne volonté, en évoquant des prétextes farfelus pour justifier des décisions et en coupant court à tout dialogue, l’issue peut se comprendre. Avec mes meilleures salutations, Pascal Bernard Périsset
Pascal Bernard Périsset Route en Champ Didon 130 1740 Neyruz Justice de paix de la Sarine Mme la juge Wanda Suter Rue des Chanoines 1 1700 Fribourg Neyruz, le 9 octobre 2018 Objet: Oubli de mon ex-compagne... Copies: SEJ, Fribourg / Avocats Anwälte, M. Elmar Wohlhauser, Fribourg Madame la juge, Par la présente, je vous informe que mon ex-compagne a oublié l’entretien téléphonique hebdomadaire prévu avec mon fils à 18h00. Comme mon ex-compagne se trouvait au travail, je n’ai donc pas pu parler à Joakim. D’autre part, comme je vous l’ai indiqué lors de notre entrevue du 2 mai 2018, les sites en ligne sont temporaires et je les supprimerai lorsque la situation précédant mon départ aura été rétablie. En espérant un dénouement qui prenne en compte le bien familial et les besoins de Joakim, je vous prie d'agréer, Mme la juge, l'expression de ma haute considération. Pascal Bernard Périsset
Pascal Bernard Périsset Route en Champ Didon 130 1740 Neyruz Justice de paix de la Sarine Mme la juge Wanda Suter Rue des Chanoines 1 1700 Fribourg Neyruz, le 25 octobre 2018 Objet: Une mère dépassée par les événements Copies: SEJ, Fribourg / Avocats Anwälte, M. Elmar Wohlhauser, Fribourg Madame la juge, J’ai bien reçu votre récent courrier et je prends bonne note que vous refusez de me destituer de l’autorité parentale. Toutefois, Joakim étant soumis à un rythme de vie effréné* pour un garçon de son âge, n’étant pas informé des mesures adoptées par sa mère et estimant qu’aucune de vos propositions n’offre une véritable débouchée ou veille au bien-être de mon fils, je vais réorienter mon approche et vous en informerai dans les semaines à venir, inshAllah. Enfin, entre une mère qui place son enfant à la manière d’une agence d’intérim et un père qui n'est pas autorisé à voir son fils dans le cadre familial, la situation qui prévaut reste néfaste pour le petit; quoi que vous en pensiez. Vous laissant le soin de vous auto-persuader que ce que vous faites est juste et va dans le sens de Joakim, je vous adresse mes meilleures salutations. Pascal Bernard Périsset * accueil extra-scolaire matin et soir, en semaine, activités 4 jours sur 5 (entraînements de foot, athlétisme, yoga), matchs le week-end et scouts, placements pendant les vacances scolaires...
Pascal Bernard Périsset Route en Champ Didon 130 1740 Neyruz Justice de paix de la Sarine Mme la juge Wanda Suter Rue des Chanoines 1 1700 Fribourg Neyruz, le 7 novembre 2018 Objet: Refus d’une curatelle de surveillance Retrait de l’autorité parentale Annulation de la décision de justice du 2 mars 2018 Copies: SEJ, Fribourg / Avocats Anwälte, M. Elmar Wohlhauser, Fribourg Bien que je puisse comprendre une certaine méfiance à mon égard après mon départ en Turquie et divers courriers envoyés depuis l’étranger, je ne peux pas accepter que les règles de droit, les preuves et la vérité continuent d’être reléguées au rang d’accessoires après mon retour en Suisse. Par conséquent, la Justice de paix ne m’accordant aucun droit à l’oubli et Mme la juge Suter ne prenant pas en compte les véritables besoins de Joakim, je demande à ce qu’on referme le dossier concernant mon fils en prenant en compte les éléments suivants:
1) Je ne donnerai suite à aucune proposition qui entre dans le cadre d’une curatelle de surveillance (Point Rencontre, rencontre avec le SEJ, thérapeute ou autre mesure de ce type). En l’absence d’une médiation et d’une volonté de renouer le dialogue entre parents, j’estime qu’une telle mesure est vouée à l’échec. Elle l’est d’autant plus que mon ex-compagne a entrepris plusieurs mesures malveillantes à mon égard (mon ex-compagne a essayé d’empêcher ma libération anticipée après mon internement, elle a inventé un rendez-vous à la Justice de paix... pour tenter de me décrédibiliser, m’a envoyé des e-mails injurieux et n’a jamais cessé de me calomnier). Par ailleurs, les liens de confiance avec la justice étant irrémédiablement rompus et le représentant légal de mon ex-compagne m’ayant indiqué qu’il allait entreprendre tout son possible pour me tenir à l’écart de mon fils si je ne venais pas à donner suite à ses propositions, les conditions-cadres ne sont pas saines. Enfin, une curatelle de surveillance peut non seulement s’étendre sur plusieurs années, mais elle n’offre aucune garantie concernant la suite des événements.
2) Les entretiens téléphoniques avec mon fils entrant également dans le cadre d’une curatelle de surveillance, je vais également y mettre un terme sans délai. Alors que ces entretiens se déroulent très bien et que ceux-ci sont très appréciés par Joakim, mon ex-compagne me prête des propos que je n’ai jamais tenu ou déforme des expressions utilisées par mes soins. En procédant de la sorte, elle continue d’instrumentaliser Joakim et s’efforce de déconstruire les entretiens hebdomadaires que j’ai avec mon fils.
3) Désirant clore le combat juridique qui me lie à mon ex-compagne et souhaitant mettre un terme aux agissements d’une justice qui s’est distinguée par de nombreux manquements par le passé (les sites https://venome.ch et https://joakim.ch documentent les faits), je demande, une fois encore, à ce qu’on me retire l’autorité parentale.
4) L’interdiction de quitter le territoire en présence de mon fils reprenant des
allégations pour lesquelles je me suis expliqué, la décision de justice ne nommant pas les véritables raisons qui ont menées à ce jugement et le verdict mentionnant mon internement de force en omettant d’évoquer ma libération anticipée et sans conditions, je demande l’annulation sans délai de la décision de justice du 2 mars 2018. Enfin, le fait que je ne sois de toute manière pas en droit de voir mon fils librement, rend cette décision caduque.
En dernier lieu, je me permets de vous indiquer qu’à ce jour je n’ai jamais été entendu avant la prise de décisions concernant Joakim (art. 275a CC). Le fait que le SEJ ne réprimande pas mon ex-compagne pour cette absence d’information et la justice couvrant les actes malveillants de la mère de mon fils (voir point 1), démontre la partialité de la procédure. En espérant que l’absence d’un père ne portera pas préjudice au développement de Joakim, je vous adresse mes cordiales salutations. Pascal Bernard Périsset
Route du Châtelet 8, le 14 novembre 2018
Madame la juge Suter, Psychologie de comptoir Votre courrier du 12 novembre 2018 laisse entendre que je me trouve dans une démarche de victimisation qui m’empêche de reconnaitre que la justice soutient une reprise de contact entre mon fils et moi. Le fait que j’accepte les événements passés, que je ne demande la réparation d’aucun préjudice (financier) et que j’ai présenté mes excuses concernant certains faits, démontre clairement que ma démarche n’est pas victimaire. Toutefois, après avoir prouvé de manière irréfutable que vous êtes à l’origine de jugements improbables, que vos décisions sont arbitraires et que vous ne respectez aucune règle de droit, je demande uniquement à la justice de se conformer aux lois, de ne pas entraver les procédures et de veiller à ce que mon ex-compagne donne suite à ses devoirs (art. 275a CC notamment). Je me permets aussi de relever que je m’étonne que la mise en exergue du non-respect de règles de droit soit interprété comme une démarche victimaire... Si un avocat venait à faire mon travail, lui diriez-vous qu’il nomme des faits parce qu’il est animé par un sentiment d’injustice? A présent, comme vous continuez de faire de la psychologie de bazar et que vous ne prenez en compte aucun des faits que je mentionne dans mes écrits, je me permets, une fois encore, de vous rappeler pourquoi je souhaite mettre un terme à la présente procédure. Pour envisager un épilogue qui soit favorable à Joakim, il faudrait non seulement que les partis s’ouvrent au dialogue (médiation et échanges directs entre parents), mais il serait également nécessaire que celui-ci puisse se dérouler sur un pied d’égalité. Aucune de ces conditions n’étant réunie, la situation qui prévaut ne permet pas d’envisager les solutions que vous prônez. L’âne et la carotte Dans votre courrier vous laissez aussi entendre que la reprise de visites chez ma mère va pouvoir se faire dans un avenir proche si je venais à donner suite à vos requêtes. Vous savez, tout comme moi, que les mesures que vous proposez n’offrent aucune garantie en ce sens et peuvent s’étendre sur plusieurs années. A ce titre, je me permets de vous indiquer que vous avez déjà formulé plusieurs promesses par le passé qui sont toutes restées lettres mortes (notamment le fait de pouvoir revoir mon fils si je loue un appartement en ville de Fribourg, procès-verbal du 2 mai 2018).
Route du Châtelet 8, le 14 novembre 2018
Aussi, je vous informe que le 30 octobre 2018, mon ex-compagne a laissé entendre qu’elle s’opposerait encore pendant plusieurs années au fait que je puisse voir mon fils librement. Enfin, je me passerai de tout commentaire concernant le représentant légal de mon ex-compagne. Surveillance inscrite dans du marbre Vous me donnez aussi la possibilité de me déterminer sur la possibilité que Joakim puisse s’entretenir avec Mme Stefanie Frölicher pour que les réflexions soient centrées sur l’enfant et non celui des adultes. Non seulement c’est votre rôle de défendre l’intérêt de l’enfant, mais vous connaissez parfaitement les besoins de Joakim et savez quels sont ses souhaits. D’autre part, après mon fichage à la police par le biais de votre jugement du 2 mars 2018 et vos décisions qui prétextent un risque d’enlèvement ainsi qu’une possible mise en danger de mon fils, la mesure de surveillance est inscrite dans du marbre. Aucun souhait de mon fils n’ayant été pris en compte jusqu’alors et votre suggestion étant de toute manière sans incidence pour la procédure en cours, je m’oppose donc à ce que Joakim soit entendu par Mme Frölicher. Quant à ma proposition concernant Joakim, elle ne visait pas à ce qu’il soit entendu, mais à ce qu’il puisse prendre en compte mon point de vue pour ne pas être instrumentalisé par sa mère. Acte 2, baisser de rideau En l’absence d’un possible dialogue entre parents, de conditions-cadres malsaines et des liens de confiance irrémédiablement rompus, je vous demande donc de mettre un terme à la procédure. De ce fait, je vous enjoins de prendre en compte que je:
- ne donnerai suite à aucune rencontre qui se déroule dans le cadre d’une curatelle de surveillance;
- souhaite qu’on me retire l’autorité parentale; - demande l’annulation de la décision de justice du 2 mars 2018.
Vous remerciant de clore la procédure en donnant suite à mes requêtes, je vous prie d’agréer, Madame la juge Suter, l’expression de ma considération distinguée. Pascal Bernard Périsset
Pascal Périsset Route en Champ Didon 130 1740 Neyruz Justice de paix de la Sarine Mme la juge de paix Suter Rue des Chanoines 1 1700 Fribourg Fribourg, le 28 novembre 2018 Objet: Courrier du représentant légal de Mme de Montmollin Madame la juge Suter, Par courrier du 23 novembre 2018, l’avocat de mon ex-compagne prétexte une «dépendance judiciaire de sa mandante» pour ne pas avoir à se prononcer au sujet des arguments que je nomme dans mes divers écrits et plus spécifiquement concernant ma demande de pouvoir revoir Joakim dans le cadre familial. Non seulement l’argument nommé n’a aucune teneur juridique et ne se base sur aucun article de loi, mais le procédé en dit long sur les véritables intentions de la partie adverse. En agissant de la sorte, mon ex-compagne essaie de figer le jugement du mois de mars 2018 qui nomme les prétextes fantaisistes d’un risque d’enlèvement et d’une possible nuisance à l’encontre de mon fils. Au vu des méthodes utilisées par le représentant légal de mon ex-compagne, j’attends de vous une mesure forte qui:
- ne se base pas sur vos impressions subjectives; - prenne en compte les éléments que je nomme dans mes courriers; - réponde aux véritables besoins de mon fils.
En espérant que vous fassiez preuve de perspicacité et que vous respectiez les règles élémentaires de droit, je vous prie d’agréer, Madame la juge Suter, mes meilleures salutations. Pascal Bernard Périsset PS: le présent courrier et les principaux écrits à l’attention de la Justice de paix sont disponibles à l’adresse http://joakim.ch/ecrits-recents/ Annexe: courrier du 23 novembre 2018 de M. Wohlhauser
Joakim Pascal: Requête concernant l'enfant de M. XY 15/11/2018 11:30
Actions De: [email protected] A: Suter Wanda Cc: [email protected] - [email protected] - [email protected] - Gilgen Vanessa JPSA - mon ex-compagne – ma mère - Leuenberger-Progin Nathalie - Briguet Samuel - [email protected] Madame la juge Suter, Par la présente, je vous fais parvenir un dossier que je viens de traiter dans le cadre de l'association OFAR (voir corps du message). Il s'agit là d'un cas type dans lequel une curatelle de surveillance et des entretiens téléphoniques donnent un sens. Par contre, je trouve navrant que vous appliquiez des mesures fortes à l'encontre d'un père aimant qui n'a jamais entrepris de démarches nuisibles envers son fils, qui gère plusieurs structures avec le sérieux qui s'impose et qui vaque à des projets sociaux. Pour le cas où vous ne l'auriez pas encore remarqué, je suis non seulement fermement ancré à Fribourg et j'ai un comportement irréprochable, mais je suis une également une personne parfaitement équilibrée qui dispose d'une hygiène de vie exemplaire. Vous demandant de faire (enfin) preuve de bon sens en supprimant la curatelle de surveillance et en donnant suite à ma requête de revoir Joakim dans le cadre familial, je vous adresse mes salutations distinguées. Pascal Bernard Périsset ------- Message transféré ------- De: Pascal Bernard Périsset <[email protected]> Date: 15 novembre 2018 10:50 Sujet: Requête concernant l'enfant de M. XY
Madame la présidente Mailler,
Les statuts de l'OFAR permettant de défendre les droits de quiconque qui s’adresse à l’association, je vous écris en qualité de président de l'association OFAR concernant le cas de M. XY.
Après son divorce et le non-renouvellement de sa carte de séjour au mois d’avril 2015, M. XY a été déporté de force vers la Tunisie.
Depuis, son ex-femme ne répond à aucun message et M. XY est sans nouvelles de son fils.
En procédant de la sorte, Mme XY ne respecte pas l’art. 273 CC qui donne le droit à M. XY d’entretenir des relations avec son fils (quelle que soit la décision sur l’autorité parentale).
Par ailleurs, conformément à l’art. 275a CC, Mme XY doit informer et entendre son ex-mari avant la prise de décisions concernant leur enfant.
Enfin, l’art. 9 ch. 3 CDE, art. 273 CC stipule que l’enfant a le droit d’avoir des relations personnelles avec ses deux parents.
Par conséquent, Mme XY privant l’enfant de son père et ne donnant pas suite à ses obligations, nous vous demandons d’entreprendre les mesures nécessaires pour que l’enfant puisse parler à son père sur une base régulière (entretiens hebdomadaires par téléphone, Skype, Viber ou autre moyen de communication).
En dernier lieu, nous vous demandons également de faire en sorte que Mme XY entende et informe M. XY avant la prise de décisions concernant leur enfant.
Vous remerciant de donner suite à notre requête dans les meilleurs délais, nous vous prions d’agréer, Madame la présidente Mailler, l’expression de notre haute considération.
Pascal Bernard Périsset
Président de l'association OFAR
https://ofar.ch
Annexe: courrier signé envoyé ce jour par recommandé aux destinataires suivants:
- Autorité de protection de l'enfant et de l'adulte, Av. de la Gare 21, 1951 Sion - OPE de Sion, Avenue Ritz 29, 1950 Sion - Mme XY