le scandale d'oudjda nouvelles lueurs de...

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1jOaTRIEME ANNEE, Ti° 1033 " --- ADMINISTRATION & RÉDACTION 38, Rue Roquelaine TOULOUSE .x.x..maxox,,rm 0 43 enseolvornonabora amen. s mon. 1 nu 5 fr. 10f,. 20f,. Etraner 9 fr. 18 tr. 30f,. Ido :undalo fi: C'est bien à nue fin dc régime que no. assistons! I/ ne se passe pas une année, com- ment une année! pas un mois, sans qu'un scandale éclate, étalant au grand jour cd la turpitude d'une Classe gus agonise et se meurt! Te ne parlerai pais du Panama! C'est déjà si loin! N'est-ce pas, monsieur Clemenceau? De l'affaire Humbert? Il y a tant d'années de passé. depuisj N'eut-se pas, moinsieur Deschanel? De l'affaire Rochelle? On n'y pense déjà plus! N'est-ce pas, monsieur Des- tailleur? 'De l'explosion du a Liberté? is Des poudres du Moulin-Blanc et du Pont de-Buis? Mais la Chambre a donné un blanc-seing au ministère et lui a dé- claré qu'elle avait une confiance illimi- tée eu lut! N'est-ce pas, messieurs Sar- rau!. Delcassé et Mérou? Alors? filais c'est justement tom cola qui est 1/1 scandale suprême! C'est justement l'oublê dans lequel tordbent les choses les plus monstrueu- ses, les plus irsnommahles, quo je qua- lifie d, ci seandiale des scandales, si Quand on voit des vols cyniques so perpétrer au su de tout le mande; quand on assiste à des préparatifs d'es- croqueries connus du pouvoir; quand 1111 prend la main dans le sac des ban- dits die haut vol et de grande enver- gure; quand on constate des usalfa- cons, des actes de sabotages perpétrés par des fonctionnaires bien en cour, que les bureaux des misai-stères et I. !e. ministres eux-mômes couvrent de leur silence. et qu'aucune sanction n'est gp.. pl./ciliée, comment voulez-vous que le scepticisnre. le je m'enlossiiiinne. le dé- goût de toute action, ne gagnent pas In mane ouvrière, la préparant à tam- ier sous la coupe du prenuer aventu- rier venu? Et quel est le responsable de celte si- tuation, si ce n'est le parti politique au poilS06,12 Les /rein/M.1X lions reprochent avec ei-fflIRs'" 'les attaque, isuequelle.s listas nous livrons à leur eégtuNI! Ils nous accusent avec force de foire ie jeu do la réaction, quand nells ne re- lirons pss mes candidats vis-à-vis des leur, ou quand flans ne nous désistons pas en leur fascise, et ils no voient pas qua c'-eut leur politique do réaction po- litique et de conserva-Don sociale qui nous oblige et qui nous contraint quel- quefois à agir ainst. Comment xieuleusksils que le brave populo ne les amuie. pas .mlite valant pas plus, ni unifie, quo les par- tisans des régimes déchus, quand ils emploient les reales moyens de gai i- et la même attitude times- ' sis e is de la classe ouvrière? 'Est-in que l'altitude de la bourgeoi- sie française, vis-à-sis des scandales qui 0e sont succédée ces dernières an- , nées. n'est pas des plus abjectes? Est-ce que ça n'est pas une honte - peur ne régime démocratique que do le vair couvrir les bandits et les for- bans de le finance menant le pays en eimpe réglée et l'entraînant dans les aventures colonialia les plus suspec- t' 1,s. dans les combinaisons diplomati- .1. mies les plus ténébreuses? Est-ire mie ce n'eSt pas un crime pour -4. ucc R'.publique d'agir acte tant de rue desse et tant do violeano vis-à-vis du peuple, qu'elle en arrive à se faine exe crer par le peuple lui-même? Hélas, il faut tout ignorer de l'his- toire pour croire qu'il peut en dtra au- trement. Et combien je plains les travailleurs qui ont confiance dans tout Dtat uni- , gemment parce qu'il revét la forme ré- publicaine! 11 faut que les praline/surs ne se gar- garisent plus de mats plus ou moins ronflant, et sonores! 11 faut qu'ils comprennent que la closse possédante ne pensera quo une chose î à défendre ses intérêts de classe e, que le pays ait un monarque, un empereur ou un président de Répu- blique à sa tête. Tant que ses privilèges économiques fie seront pas en danger; tant quelle ne sentira pas te monde ouvrier MM, miné a recouvrer la possession des Mayens de production qu'il met en maure; tant qu'elle ne constatera pas 9.e le prolétariat s'organise pour s'em- Parer du pouvoir pois/igue afin de fa- ciliter la révolution sociale non, elle els pensera pas h se sereir des moyens ne coercition et de répression dont elle pose, et, voulant se concilier Je peu- ple, elle pourra encore, de temps à au- ". se /montrer probe, honnête, juste et ' respecter da propre morale en '''lut les auteurs responsables de êlales plus ou moine publies. sils arrive le réveil de, producteurs, désir de mettre bas le mode de diiété qui permet leur exploitation; -oeil-, tout change ; la classe beur- , (st front vis-à-sis de rennemi pied sur ses e fameux prin- tionnèteM et de justice, de I l- ie fraternité! qui arrive aujourd'hui! nous en plaignons pas, puis- que cula permettra aux plus aveugles d'y vair clair! Mais, malgré tout. am n'est pas le mauvais usage que 11pa O fameux ce- p/lb/Mains n font de la République qui nous poussera à haïr celle-ri. Nous n'identifions point ceux qui se servent de .le République et en vivent avec la République elle-même. Républicains nous sommes parce que la République est M meilleur ins- trument d'émancipation et qu'elle dé- barrasse le champ de bataille des ques- tions dynastiques, permettant ainsi eux classes de se prendre corps it corps, , républicains nous restera/M. 51-1VeliS contre tous. Mais, de grâce, qu'on le sache bien, notre République à noue ne ressemble en rien à la République des Métivier et des Clemenceau, des RMordeau et des Briand, des Société, fiaancières et des Caillasse. COMPERE-MOREL, aqiiiid du Gard ÉCHOS LEPINF CANDIDAT lApine, préfo do polies, m tention d'être cainidelnt ans prochainru élections sénatoriales. Il y a, en effet, un sieige vcessit dats la Loire. 1.arr suiss du décès de M. Chant, et M. Lépine le revendique. Il sera, d'ailleurs, élu. Il o r.du des eutvices, sa fortune pers:usuelle est considérable, a possède des dossiers secrets et °lest plus quiP n'en faut pour acheter une chiale curule au Luxembmdrg. -ALCOOLISME ET TUBERCULOSE D'après mec échelle établie par Sentirait et Bronandel, la statistique des dédiés tubeneuleux nt celle de lu cou.mmatton dialcool eut us étmit rapport cuire eld. Voici cette &bone De 30 5 .0 décès par 10,000 habitants. 12 li- tres 47 d'etorad; de 40 u 50 déehd psi. 10,000 ha- bit.ts, 13 litres 51; de 50 h 60 décès par 10,000 habitants, /1 litme 72; 4,000 70 déehé par 10,000 habitants, lu Liées 6; do 100 50 dere& par 10.000 Inthitunts, 17 litres 16; de 50 à 90 des. par 10,000 Irabitsate, 17 05r. 80, lit la mortalité Pilier...lem. dépasse 90 point 10,000 neural la consommation O bilimod S'élève il plus de IO litr.. lie poison moderne est donc rreponsoblo d'un tiers aa mentie d. déc.. D'une manière pr.que générale, ou mut superposer les cartes don réglons tuberculeuses, les tacle, etiin. Ctstie damage ale« tes nos «sale en Ire asektlistes no cessent de la metrs en relief. Mais il,. ajoutent Ce une les langues jour, aides de travail. I. num:aises conditiens d'hygiène dans den taudi., nauséabonds qui .t déshurmonisé la fessilde es der' ythiné la société. Les expleitsurs de tsute robe et de toute bure, par moire. conduisent les travailleurs limons:imita dans 10 asemnoirs, pour les empêcher de reveu. Cliquer leurs droite. LA 55041' DE LA PHILATEL1E R paraît qu'il est grauJement question de supprimer les timineserposte, lin inventeur allemand vient de construire une sorte de dintributeur automatique où, après revoir grec, une lettre sbire deus sous J'affranchisse- ment, ladite acre se trouvera oblitérée congrû- ment et préte h partir. Il .t évident quet 'ciao ferait ainsi une écu. noutie; aumi; nul asile 5501 0e nu o,sniine de ers appareii. Rangement, que,ivont devenir les philatélistes? Quid» deapident, Lss petite Etate Stal-Amé. ridules. jout le, finances ne sont pas toujours gori.antes. et gal nie,to d'autres ressources que de graver àdru titubroe noue.ns que les collection. s'asracheut à prix a'ai, n'auront jamais l'amureOi eu question et continueront à frapper des timbres rémunérateurs. Le Eluclgret La iimussion Ou boni:gut serntele sent.. Pentiam Ive prenumis jours, au muent les députés veulent avuir de tenir tsars engagements, lis s'appliquent à nous dé- ontrer sont capables de sincérité et Sa eelo, fls respectent Wer notivenu règle- nient et évitent les inutiles bavardages. Cela durera-t-il ? Noue eonimes les premiers à te souharter. Le, socialiste,, par l'organe Seinbat, se sont, en effet, énergiquement ...lés a ta règle du quart d'heure de Pe- role, lises peuvent Pire &nés plus que suais- ires, poisse ils ont de nombreuses critiques â formuler. mais ils ont fait gang/met ce sa- crifice. Les oecasions ne leur manqueront pas de ee rattraper lorsque viendra la dis- cussion elds grandes questions polit igues ou économiques. Nous suons intérût à ce que le budget soit bien viete reté. Ennord cela mettra plus es huilière la situation financière et, y voyant plus clair, los électeurs feront, peut-être, de .lutaires réflexions. Ensuite. il en ré- sultera un long temps de insensé pour les Chambres qui seront nies obligé., sens Pei- ne do se discrédfl,er, de le remplir de ma- nière effective. Il leur faudra mettre, enfin, en chantier, toutes les réformes ineque là ajournées parer qu'on ne pouvait Jour con* saorer (Passes nombre.es séances. Les élue bourgeois ne tarderont pma a apurrovoir ce danger, sil ne leur est déjà apparu. Et ils reermunencerunt musa, der. Le budget traînera et ne sera pas heu- ode av.r 10 fin de l'an. Mais, si, même, un acres de pudeur les poussait à se montrer diligents jusqu'au .bout, il ne faudrait pas se Miter de le. féliciter. Tout, dans leur MU- Mete, passée, nous démontre qu'ils sont. Ume décidés â ne rien changer h l'ordre sana/. Sils ho mettent b la besogne av00 beau- coup d'ardeur, ee ne sera jamais pour abou- tir h grand'oh.e. Laiessons-les dom aller leur train t ils ne s'épuiseront pas,-.. Voir en Quatrième page noire BON-1 PRIME servant a l'achat d'un très in- téressant °Étame de grande utilité poiir tous. LE SCANDALE D'OUDJDA Nouvelles Lueurs de Verité Le Duel Toutée - Destailleurs continue. -- Le Voile se déchire Un Colon s'explique.-- M. Destailleurs essaie de se justifier Paris, 30 novembre. La prpsio parisienne continue d'oreuper du scandale, dOudida. Mais elle csi, deux manu, d'un côté les défenseurs du général, de Peut. I. défenseur, du « civil ee. Noas avoau dUjil dit que, nous élevant au- da.us de cs queedMies, nous noa efforce- ..., surtout ûle pr.ver, â L'aide des faits signal. par les deux adversaires en Pré- sentes que la politiqian coloniale i.taur. Il Maroc esi une politique de spoliati. de brigandage, eie honte cetde crime gui cou- ronne bien nreuvre de conqasl m rPte- rimai accomplie. En de nos confrères radicaux, qui (rail- leurs .ut.nu l'enivre de colonisation et qui par une étrange contradicti. sou/iman, Nandal. coloniaux, publie aujourd'hui 10lettsu d'un en,05 français 505 5015. nous Taies.. un deVnie de reproduire: Lettre d'un Colon Français Ondide., le 13 novembre. 1211. Monsieur le Direeteur, Je suis -propriétaire dans l'urane croyant. faire IOU,110, ce Colonisation, j'ai eomme.e dés le printemps 1509 b acquérir des ter- rains tant à Oueds qu'a &Please. Tai en- gage dan, ces opérations des serem,s 1.- u/ramies 1 110500 !tater cistre iotasa sor- tes diffieuIté, ,j'ai dl, pour eu triompher partiellenunt, m'inrposer des derange_mcnts cOnSidérabies, de grandes peines es des ele- pen.s eseewives A l'époque où j'ai eom- men. niee aehate, il y avait. des risques à enurir ; mitre situation au Maine était pré- cet,. ; m'ou pouvions être ubligés d'évacuer d'un monreat à l'autre le payo que noua uneoupions d'ailleurs qu'il titre de repré- sailles, à la suiW de l'a.assiant. du docteur 51ancliump. L'évacuation elertiiit la ruine :le toutne les entreprises, niais c'était Ii sou' grand risque auquel on put se croire ex- pOSe. Sie/Minent .oeneer, en effet que. dan un pays que nou occupions militairementmlum .11on avion, orgunisê I adnim,a0ealisn cl Mi noue exerciOne, par l'intermiktinire de folie- inifigènes.lauturiti Os 0011 40 lui- .50-mn. nous n aurions pas 010 oeguniser la sincérité dus transactions ; coreureept suppo- ses. qu'aumm contrôle ne serait exercé sur le cadi, qu'aucune règle pour la prompte ré- velstion dos actes, la solution normale des difficultés, la délivrante ranidé dee titres e, In ramino regniiûre 4g lb*so use ne Mise/nig prie, telposee uyiuglikliMea-é iirtipoSé.liden toliétirliTlear monterritlein Malheureusement, l'administration ma rien fait 00 le 010 .50 M. Detimilleur, en la ciroonsImme, a été incompréhensible el, en tout cas. bien nu-desseus de s qu'exigeait ln situation. Les difficultés inhérentes aux acquisitions étaient encore aggravés'u du fuit des Won. perles des indigénes vendeurs,. _ainsi que de celtes de courtiers el intermédiaires Dun- irons ou indigènes qui. laissés a pen près libres de nommenr0 inniumdin.t 0051es le escroqueries. ne sen poivniani Des lo début, j'avais signalai M. Destail- leur la neekee.ltel d'apporter b cet état de chosss des mnétioratiores, de faim c.ser des abus criants. J'ai réclame â divers. is- plie e en dises,. clreorislancess. Je n'ai réussi qu'a m'aliéner M. Destail- leur. Je pariait en effet d'ordre et de justi- ce alors que. volontairement, on eutendeit LW.se régner le désordre et l'arbitraire. Cet idat de choses n'était pas, en effet, défavorable à tutu, et je Mai pas tardé à nie rendre affligé quo les difficultés ei gran- des. presque insurmontables nese les uns. etétairent. 'singulièrement- aplanies ,pour les autre.. trouvant. arienne prot.lion merl, de D.tailleur. j'allai voir le général Lyau- tey, hem commissaire du GOuvernement, lui lis entendre ma, doléances. Le gênerai egrotta de ne pouvoir rien faims. 11 me rnit e, pendait enTatrport avus le capitaine Ille chef du serviie des affaires indigènes de la di, issu d'Oran, qui me lI a déclaration suivante e Si vous êtes dépouillé de votre portefeuille à. main aimée nous intervenons, cela rentre da:les nos opéraetMns de police ; mais. si, dans les transactions, on Vous ex- borgne de l'argent, cessai plus là une opé- ration de polie, nous n'avons pas à inter- venir. Heureusement que cette étrange théorie n'était pas o.. des indigènes, sinon les abus aurai.t elté plus grands et, sauf fonctionnaires civiis et militaires, tous les F50075,0 désireux de fonder des établis- ..ents au Maroc, n'auraient eu qu'a ru- pueser la freine., Dirni-je tufoos jour, après avoir ête dé- possédé d'on terrain qur java bel ot bien pasté, par an autre Français, pinson:4mM. auprès de l'administration, qui, sans autre fouine de procès. m'avait fart sauter mes bor- nes, je voulus, au num de mon inlermédiaire indigene purter plainte au pacha d'Oudida contre les Marocains vendeurs. J'avais fait Dan... ma plainte en keMle écriture arabe ej j'allais la déposer au pacha. « N'en faites mon, me dit un fonctionnaire du C.01/1711inne, rial. Poire plainte sem transmise par le pa- ella au ministre des affaira étrangères ma- rocain. à Tanger ; on saura ai.i que le, E,1Inçais achètent des terrains au Maroc. Il arrivera les choses les plus fâche.es. Se nrabnins, mais, depuis deux nos et, demi, reile *lirai. n'est pas sonore reglee. RebuW par le commissaire. M fias! 00- flua. d'autre part, de m'a= dri,ser au pacha, jes no décourageai quand inceion pus et, P 28 pic els, sr.,- ,asion du passage du couremeur g.e..ed,11 l'Aligeitie O Ouden, j'écrivis au genéral Lyaute0. une lettre dans Saque:Mg je m expri- mais ninei Un tel Mat de 150 0 1001,5 Pceuvu de polie°, d'administration et de perd... des intérêts enroué HIS quo nous avine entippriss Mars Il est contra ire eii,prit, jcei., de clarté et de [nal-iode. Pour le caraetériser. par u,n mot hien vulgaire, mais typeque, il constitue le plus effroyable fetunbi que l'on puisse imagine. Il ne suffit pas de dell.. comme le me tano les autorises françaises, il faut venait qu'en touriste ee ee Si je rappelle ces heaticoup pn.rlé, dû, di gime do niallionmil remain- A ce sujet, le inventé a le oul' preuve, a né Prisme ,ents Incidents d'Ouddd Sans ittger l'acte dugeneral Tester, je crois que cet acte avait été nécessaire pour for- cer t'administration supérieure à s'occuper du régime abominable sons lequel nelmie plusieurs années se trouve placé Painalat d'Oudjda. Or, il eernebele qu'il va être bientôt établi qu'à Otuljda tout esa poUr le mieux da. le meilleur dûs inondes, tins telle solution est difficilement ase coq/pible si le geste, louable et bldlouble, mats à cuup sin énergique du général l'ou- treo, inérituit d'et,. interprété annothent qu'el ne Pa été. 5 Sans cd geste le Gouvernement n'aufait jamns connu les abus qui, sous Paliminis- tration de M. Des-tailleur, se produisaient impunément dans la région d'Oudjda. On a beau vouloir eles atténuer ou même les nier, ils existent quand même. Er maintenam que la gu.tion Je jariecipe est tranchée par la Commit,. que I incidente Teutro-Denailleur esr Mos, que la Supréma- tie titi reiginm eivil, si- anornelement Miro- dtuh, pas none gouvernement dans s par étranger aecupé par nos troupes tr titre temporaire es,..praelaiimi. que la guerre a captliekl devant les affoires étrangères, il faut pourtant que l'état de eh.,0 antérieur résn et que le régime ma.ghninien préco- nisé par le régime ciuil ne suit pas régime de fourbi ; und bile trinité ne peut subsister ; 5 maintenir serait ime honte pour notre gouverne/rush et la ruine de la celOniSatiOn francaiee. Mais le Gouvernement. en ce.o sortes de matières, est quelque fou aveugle, O a he- nnin qu'on lui enivre les yeux ; c'est, 15 le rôle Dort rias de CM:Missions, mais de la preme indépendante. Si le nouveau régime doit donsister mouerel à favoriser quelques privilégies, les amis du comendssaire en fonctions, /es pro- tégés de quelques politiciens, il My aurait rien de changé ; Cl` qu'il faut, c'est, en rd- Oison soi culer li, 00550e 11 bm000mi'frs. sono diotiorl ber, tidr 00 Mins leues entreprises, le maxinmm séeurité 1 un régime qui empêche, dam la menue du 010n1i1lle, les e.rogueries. aussi Sien au detrimeth des remuais o. des in- digna., et qui les punisse si elles se pro- duisent. Au Maroc plus encore qu'en Algérie et eu Tunisie. nous sommes menacés des pires spidiations ; que des le début on rende don: possible l'accès tle Ill propriété régulière OIu0.ouialaani colonise'', honnêtement, el non melba/in/le- meut nieculor. desqu it pensent on a plutôt décourage que favori:pi Ire Francais. Quelques privilégiéo, quelques aigrefins el courtiers véreux ont seras nrefité du régime. Cela ne peut durer. Veuillez agréer. elc. Comntent on spoliait les indigènes L'envoyé spécial d'un de vev e50reOre5 1tellle' 11.e/Itier M12.2 ln5".11o1: e ele n unis Voici .Ore rent les témoignagel que j'ai pu recueillir , le tuent Avis, do ecedle de, MIL., un chef dévoué â la France, dont In burpous blanc se tache glorieusement du rouge J, notre vrais d'honneur, a adres- sé plaintes eur piaintoon a l'administration. o J'al ête dépouillé, med-même. beau- coup de mes administrés ont subi les pires vexations jusqu'à ce qu'ifs eusent cédé leurs biens. 'Cent-ment cela pouvait-5 se faire C. Voiei : de- terrains étaient coin,- tés, le cadi d'Oluidda faisan venir le pro- priétaire t u. Tu veux vendre ton terrain ? â Non. Très bien ; va infléchir en ee liait ion. passaient Le mai - heureux. .rti de prison, 01.011 ramené de- vant le erdi Combien veux-tu de tua « terrain ? Je ne veux paume vendre il assure ma Vie. Retourne en prison. n Après quelquon semaines, l'indien, finismit par accepter. Prix convenu t 7.050 fralle0, ar exempte. Alois le cadi disait Ira vois que tu aurais mieux fui' d'être raison- :, nablc ; lai mon fr., il lui Isou 0.000 te francs ; il y I 10001 nI011 ...Haire à ré- tribuer. je lui denne 1.100 trames, et puis il y a des frais. 500 francs ; tiens, prends it ces 500 francs, 50,1 0e qui le revient. Le relie de M. Destallleur Noire eonfriee continue à narrer son en- quête 05 ees temes fi fa'st que je vous rapproche cette au- tre histoire nayraine que Vient de me rap- porter Si 11.isa, marabout, de Guifail. bon serviteur dota France, lui aussi décoré 15 01 juillet dernier : Quand la gr.de colonne française p.38 cc jUill Chen le1 0111901 /10170110e, 10 e général In 1mb les notables indigènes et pur dh l Voue êtes des arHiS de la Fran- :: ce. elle veut vous apis?.er plue de bien- o être. de seeoulté 005e juanes désormais, e il fendra travailler, il faudra ensemencer vos terres fertiles, car vous serez sûrs n de récolter. s Or, vol. teins semaines, le générai est revenu. et lai do lui présenter cette requête r o '-fu nous a dit de semer, « car nous eu Mirerions grand profit voici pyipaque des semailles ; cuis ou imrs-ddl que nais jet-ions le grain ? Noeo n'avons plu, de terres Fra/nais est venu qui no. en a dépossédés. PL Simon s'explique 0,1. Maurice SiMon, qui sut si bien ené- eider gue les terrains d'Oudjda, continue â slexpliquer, et ses explications continuent à n'expliquer rien du tout. Le chef de bureau du ministère des Ft- nances noas spprend, rependant, que C'est s. 5,00 Destarlicur qui sot venu lui propo- ser d'acheter des terrai.. Et M. Deataildeur ne veut, pas dire appe- lé agioteur !... LE PLAPPORT fil M. DESTAILLEUB por,s, L'Action pubiie ce mutin le ;support tir m, pes- tailmm sur l'affaire d'Oudida. Dêsde début, M. Destailieur montre la lutte qui esistd entre rillêment civil et l'élément ndli- ditui, nt la situation ii difficile qu'on pins, os10 pour les 05100110 ,lfective sur le, oneis u de son dépare...net, il ne .vait ce et ce 00,1 000.1 faire se contentent ee murant dee événements idgetion et tee d. atfair. ébiange- novembre 1801, un projet dant-Mue. fol GARD, troues, :ben., PltenvOss-onlYNTOLes, ETRON, ConnÉon, 1.0T-ET-GWItONNE, Glate,100,nntrreePIalilti0,it0, nnsensvevettnlee, 111013n, TOtener101.18.0tent, émeu, suriens, 11010E-GAnnteiRo M1117i0use elabli, mettant le cernroissnitid civil a4 la tète d l'occupation de Parodias Ce projet était étsbli d'a dccor ent e le sminia- nies de la guerre. et des affaleas êtrungeres, miro 5110510 violente campagne de presse data contre les Mrcisions du gouvernement, en Unie tom1v 505 55 produisait Per:dire des Bt/li-S.1.21/. Pourtant, i/ fallait se préoccuper de saccrs de 1901 et 1502, visant les perceptions cherifimpee: c'est alors, poursuit-il, que se produisit /a cam- pagne bruyante menée par le commandant supé- rieur de Marris contre la suLdis.t trahisoo de ecriains agents français n'ayant en vue que les ituérids ulor,ml10000, Ou fond,' Peoquête était conolitanto et con- traire h l'udniinistcation militaire, tout le transit cl leu 1.re:banderseo passant simplement au sui, iliOudjda d'un ese et b Martinprey de l'autre; ies fraudes d'Alerte au Mans on rase versa avaient. lieu ouverlement samo opposition de Pad- sninistratiott Cest au milieu de ces dissensions que lion prumbilait vers la On de 190e, grâce O la présence d'un haut commissaire etéritien, 0 la mise h exécution des accords concernant les posies, per- ceptions et régies chérifiennes. M. D.tailimir expo. les résultats (vrais Ou Alexi de son administration e {conclut tin quatre /Men. Sans persounel ni presque sa. res.urces. eu moins pendant une longue période, l'achninlStrulinn 1,1814ière ese née, les fi- nal.. Ont Clé organisées. C'est ainsi que la gon:. °ter:nen. NO Wise 0000 des &Mes el qu'on est arrive à ion,010 talée fere à dee &pensas annuel/es «envieofl trels millions au moins et à titre accent.' mns oppo- sition coranque. Se 1011, les crédits permematent d'affectne prês d'un miHion de pesetas aux Sismaux publics. Efiri, malgré Ids dires dune administration rimPle, Io population fut biinéficialre Aune pros. périt6 inconnue juspin. ce 1000. BAVARDA GIES4 La Presse Allemande On a MU grave; bruit atutour dte cas de ees peofeeseari d'allemand qui dumdéent O traduire O Orvet élèves des journaux imprimés de l'autre roté 1.1 Alba eteontenant des eartieles peu caménes .7701.11 1101.. Les uns oed poussé des cris de pnen de paon...-germeedste I nen-. les autres one on bravo Clona donné iferceUerdes OniSOnS. Je ne sois eu 50000 crise de l'allemand rom- me sonore crise detpunéals, male Ji crois la lecture des journaue lof touaient steétéeettle 11,00 10100e eune langue d ce/le dan quelcon- que ulturage littéraire, si leéraiee soit-il. Mais le trouve et journal un autre avantage, résul- tant des défunts mémés gui lui seul si vniainn- nient repu...hes O enseigne dies la langue cd.rdhle du, Peyre ce gué Von ii pela, de nous. Oh ! ce n'es, pas ete bleu, je le suis, mais les lotenaue allemand, disent-4s de mais, de notre année, de noire weikr st ri 'sou OaOiSrs 51,100 de mal que éolains »allumé /./.4eti endisent eue-métres diguaeleanieakéda déPlutrold, nantie ae ,1050 dé Meer systematignement 1fau- tes nes ploies sociales, nue Itel, semblons pren- dre un nuthe plaisir d étaler ou grand jour, ne se retrouvent-sOcs pax dei nos voisins O Sel .moyei-nous l'unique apanage de la France el de, franeals 050 .tes rems donnez les peine dg/ elléchie un instant, soue sure: Pd tee de a- no.fre gut non. Betitenient, ranime non eoretents dé les «trouer, nous en exagérons Ges peintiee, la «alerte eejinia et oublie de regarder ch. elle. LitiA80. dire.., Cl surtout apprenons bien nom. ineal ces gens-la 0001 traitent I nlg eatql einne infime parcelle de édrile parmi leurs critiques, ancien, le dégager el es tirer nie leçon. /d vaut mieux saceir ce gue nos ennemie peu- sem de noue, gtte mn,oe endormir mois fumée des GWYNPLAINE. 01f ANGLETERRE Le Droit do Suffrage dos Femmes Losa,..., 20 nevembre. Hier, MIL Asqulth st Lloyd Coorgo ont Scuté pondmoi one heure. Downing '00eet, leI déiégués Or diver.s organientimas de deusrn suAracolles venue demander que Os projet do lot conférant aux dames le droit de vote aux élections légie. lativsa fut aineuté à lu seenlon pa8haine. M. Asquith repondit qu'il reconaals.it l'im- portance du n'enracinent des suffrage-ri. /mis quo l'opinée Oc gousetnem.t n'assit pas chan- gé. Il est contraire au bien publie fI Joneur aux fenians le droit da vote. Toutefois, le oabinet laisi.ra la Chambre des Commue00 iosos do Soirs, au cours de la discussion On Md &Mins sam u suffrage universel. (rent 11 vans, f115005500, a >Ponté le Premier ministre, de conquérir la majorité parlonsenfaire. Lo gouvernement seePtera sa ddrielou La Population de la France ELLE CONTINItiE A 000uE0IITE S. faut aloatcr foi aux statistiquee, celle que vient do publier le .ministère du 1050515 05 le mou_ veinent de in population on Pradme pour le pre- mier 0e0.,13 de 1911 n'est guêre t'assurante. Le mouvement de deSered0m000 s'accentue. Il y a eu :4.000 naissances de motus que p.- dose le semestm corr.pendant ao 1910. L'os de, nier, 1u naissances, dent le zonière Sait déjà bien imuffmant, avaient atteint 309.669. Cette ansée, elles nient pas dépassé 306.999. Palu:art que lei naissance, diminua:eut. I. 05. 05e progrosudent. La passai, de "78 400 pen- dant le premier semestre do 1900 à 100008 pen- dant /e premier semestre dle 1011, soit une nug- nienbstles de 26.00. unités. Le soli, qu'au cours Onaoiopceudulsut,ia de l'annuel emrante les décès l'ont emporté 00 10210 ar Le nombre des mariagn a fideill Sase une pro- portion un peu moindre. 11 était de 156.161 l'an dernier il n'est plue quo de 153.931 nette année. lus ,livorres qui étaient l'an dernier au nom- bre do 6300 sot pamsé en 1911 00,005, Enfin, 20,593 enfants ont été légitimes 00 11 y a en 17.770 mort.née. iectons Législafives Cinquième cireohsodddloa de Saiat-Den'.is Paris, 19 novembre 'Voici les résultats du scrutin de ballotins Ont obtenu' MM. >butter. nmize de Nen publicain. 0,709 osai, élu; Fabisni, avocat à tussor d'amel, radiait socialiste tvoix; eiteyeA Larn0 sociaSiste unifié, 0,0e, - 11151&11,01 20 NOPEYERZ 1911 1S , MAUS IIEGIOliAl,g DM" giNuaLt reoulueer M. Balsee. dés mumeet unedder le résultat de Ides manque le, vhiffies ms cous. ; sait la note do I llo É nt. sitie4e1P Seme sr des ineid.ts Sartbeee. (Pondais, élu av. 774 voix d d'une bombe cies 01. Mit, LE CAMBRIOLA1111TRAINP081 L'HELME DU VOL rs haut personne,n qui s'occupe lei de cette affaire m'a dit qu'a sus avis le vol osait da être commis entre heures 8 heures 40, décert de Paris, et Isarnebe où le train anolve 10 heums 16; pour a,ppyver .s di., mon interlocuteur faisait remarquer que la Compagnie P.-.L-01, exécute en ...ente. O 'imPol505ts 0r0i ex es que, bien avant l'entrée en gere do La. roche, le train un/outil: eansidérablement son al- lure. Aux Asirum gares d'erra, aies, qu'd Dijon el l'on a dÉteené l'eége à destination d'Italie, rien d'anormal n'a Sté constaté. C'est seulement à Mâcon, à 2 heures 50, et non I Dlion, quo, par une eireonatalluo forhaitu, on a dfieouvest bu pat mu nones. L'a enspinyé ouvrit le eadehai Su prendier ma- ge/ et fat frappé par le bouleversement inso. .11te qui régnait, don conresporplaue., en effet, gisaient, contre toutes les régina, sur lés eare Pabituellem.S olosi 15 fut frappé au.; Par le froid qui régnait dans le sagou. Mais ayant uPereil 00 011,05 vele550 de le vigie, 11 010 tout Or nuite qoa dos cambrioleurs avaient pass6 par ISi. L'employé fit part de eus co.i..o.tations; une plaque de loin 'Sou apposée coutre le Insu béant pratimré par les voleurs et le teedo repartit nous Lyon. C'est A ceNe gine que lise constata, enfiv. oo le sait, los dégâts commis dans les trois el.: OOgst A remarquer toutefois q. l'une diens, n'a par do guérite vigie, mais des impostes, dont une ait iti b laie, mais, sommemOde é.it munie 41 bal-réaux de fer, ello n'a pu servi.n au paedog, des voleurs. COMMENT IL EUT COMMIS Cela dit, un peut supposer que lei voleurs, a In brouhaha de la gide de Lyon, à Patio, and monter I amers-voie, as départ du trais, un tampon, s'i.tailles nalaisément sur la Os et lus doux chelems d'attAage, puis, en ceux, d, route, se hisser, atteimbe 00001 la toitipp gué,. où ils se seront agrippés, briser les sit - de la vigie, di.o2, per mi rétablissement néroli que, l'Os seront tombes sur les sous do, les fi. Sons Stalont rempSis, Ils roueoi remet/veld doux fois leur péell s exereire, en rampant de la tulture 05,0 ira,. O l'nutre. C'eat étourdissant S'endsvs et dida IL du danger. Après avoir éventré et fouillé mese5 tons les ils ont d Cljeter I. saleurs sur la vois, en un endroit. où des complices attendaient. PLUSIEURS MILL_IONS ENLEVES M. NicaLas, inspecteur des bureaux ambulants Or Pairie, venu pour ariguSer sur 10 vol commis dano les fourgons-postee, est mrivé par le rapide de la 505e-d'.00n0. Lice '050m s'est tendu au ponton &Strier. Znam oS SOS g.s. Ida irele fougea. eunkrio- He, il a entendu plusieurs emnDbiés 0m brigades qui se trouvaiairt Use le traie pestât 11 occupée nu tri en «imite de route ot qui, de se fait, no pu. rent rien voir de ee oui te passait dans la partie du trais platée dossière, eux. Ou uteemt égaler:lem des agents de la 05- reté générale, pea orgie nontoino renseignements uPgano rie foi. il se pourrait qua le mâniiint du TOI eteig110 trois millions, cor on parle de giosies nuiso. do banque de Paris qui peu, l'échéance du PO MI' serin., envoyaient génenalemmt de fortes som- mes 0 tous leurs earr.pensiants. Mais le mystère réside suptiout dans la valeur des plis esrealte de Tondre, Bruxelles et Berlin pour les loionicia n lem pas empire r.seigod à ce sujet. Endu, ajulnom ee mit 5r un mois, à Paris, h ne même talion, un individu mania à cuntro.veie entre deux iivacons. L fut saur, par se employé qui oie et l'on acquit la serein-dl, que nana.° saute prestement do wagon, se voyant déeouvert, I haniellr des Meuse ea qui &amen ma da Charolaise IINE PISTE S00000E11815 Pori, 20 novembre. 7-2 peëfnettlee de poiles aOo,,é aujoiudbui. Se /e sousuecrétaire 0000 aux postes, gime sac vide pomme. 1murite rinaiudion : parie/ Post London-Paris-Nord. 01 été tronvii un sues la soir. de .1111(qii, I'Lle de Montreuil. Le sas sera sem, l'administraitos des p00i.-0.i ...ln.s s'il envient du rd comm., dalute 001111-1,1n. Paris-Lyon-Marecille. L'irriiiation di Livior UN COUP DE THEATRE DONT hl. CA1Lû LAUX A MERLE LA. MISE EN SCENE Paris, 20 nosemlire, Pour un coup de thdàlre, liarri.tution pela dire oinoi v- de Mettrie, a été un .up 'Mais nous eatimene que ce n'en 0111 ta, -ian pour tout le 00,45,pcur ceiu .pli ont mdriagé ee500el. Hi voici nos raison, : Fisur forte que fut la suoprtie da publie, elle n'a pas égale la surprise du journalistes. «Pou, quo/ est-ce l'agence Pava, qui transmet 0e110 nonsolle dinielle-nolls hier. Oui, pourquoi I Mem contraire à tous les usa- ges. c'est enntraire à des conventions priCieLses, lien inteernatiann dr l'ordre da OCL/e qui nous 15, Wres., rimeurs flans doit pas le, Irons- 1111111se1 la predie parisienne. 0115 ,5010 .; lei., le bémânce eux journalistes profession* .1s. à cet engagement, elle n'a jamais umu- que sue hier. C'est par exception qu'elle communiquait une inhumation sur un fuit d'ordre pari., c5 fait avait échappé, à Pue des professionnels, pourtant ationt.:11, a nuis. L'agence 111550 a cru Oc vais réparer leur faute penseront les profanes Alms done I Celte crammunisaLion, au surplus tardive, de Poffirieuse agmee prenve que la oomparutien Nlétivier n été prepuree Os. le plus grand secret, et que C'est seulement apres ranis, ddlibieabon, exprès,. quel' c su M- .], Minime/1er le public apres sen0e 00000 000 forrner dlebned, nolvent 50 0005e renûlent, journalistes. Information officieuse, usai l'évidence. Ii'fimllemd officielle, sena aucun doute, et Par 0Wo de conséquence. Car 01. ClInnebenolt, juge d'instruction cornette 9 mutemble n'a certainement pas pris 50111 ni l'iniliati0o du silence ni l'initiative de .ninre cc 01000,,Ce iic peut clos que finiénicur qui a 050050 d'informe le public. Est-0 illétivier qui ai s voulu âtre jugé o, dang l'in.ntion 0e o foire d, iM7,-M-5.0 5, russe Pa avance estai, de Palis e Est-ce M. Canisse qui a voulu son serestptian. 5,5 cela prdeente- ment? Ce qui est indêniuble, l'information judiciaire Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Page 1: LE SCANDALE D'OUDJDA Nouvelles Lueurs de Veritéimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1911/B315556101_MIDSOC_1911... · ne do se discrédfl,er, de le remplir de ma-nière effective

1jOaTRIEME ANNEE, Ti° 1033 "---ADMINISTRATION

& RÉDACTION

38, Rue RoquelaineTOULOUSE

.x.x..maxox,,rm 0 43

enseolvornonaboraamen. s mon. 1 nu

5 fr. 10f,. 20f,.

Etraner 9 fr. 18 tr. 30f,.

Ido :undalo fi:

C'est bien à nue fin dc régime queno. assistons!

I/ ne se passe pas une année, com-ment une année! pas un mois, sansqu'un scandale éclate, étalant au grandjour cd la turpitude d'uneClasse gus agonise et se meurt!

Te ne parlerai pais du Panama! C'estdéjà si loin! N'est-ce pas, monsieurClemenceau?

De l'affaire Humbert? Il y a tantd'années de passé. depuisj N'eut-sepas, moinsieur Deschanel?

De l'affaire Rochelle? On n'y pensedéjà plus! N'est-ce pas, monsieur Des-tailleur?

'De l'explosion du a Liberté? is Despoudres du Moulin-Blanc et du Pontde-Buis? Mais la Chambre a donné unblanc-seing au ministère et lui a dé-claré qu'elle avait une confiance illimi-tée eu lut! N'est-ce pas, messieurs Sar-rau!. Delcassé et Mérou?

Alors?filais c'est justement tom cola qui est

1/1 scandale suprême!C'est justement l'oublê dans lequel

tordbent les choses les plus monstrueu-ses, les plus irsnommahles, quo je qua-lifie d, ci seandiale des scandales, si

Quand on voit des vols cyniques soperpétrer au su de tout le mande;quand on assiste à des préparatifs d'es-croqueries connus du pouvoir; quand1111 prend la main dans le sac des ban-dits die haut vol et de grande enver-gure; quand on constate des usalfa-cons, des actes de sabotages perpétréspar des fonctionnaires bien en cour,que les bureaux des misai-stères et I.

!e. ministres eux-mômes couvrent de leursilence. et qu'aucune sanction n'est gp..pl./ciliée, comment voulez-vous que lescepticisnre. le je m'enlossiiiinne. le dé-goût de toute action, ne gagnent pasIn mane ouvrière, la préparant à tam-ier sous la coupe du prenuer aventu-rier venu?

Et quel est le responsable de celte si-tuation, si ce n'est le parti politique aupoilS06,12

Les /rein/M.1X lions reprochent avecei-fflIRs'" 'les attaque, isuequelle.s

listas nous livrons à leur eégtuNI!Ils nous accusent avec force de foire

ie jeu do la réaction, quand nells ne re-lirons pss mes candidats vis-à-vis desleur, ou quand flans ne nous désistonspas en leur fascise, et ils no voient pasqua c'-eut leur politique do réaction po-litique et de conserva-Don sociale quinous oblige et qui nous contraint quel-quefois à agir ainst.

Comment xieuleusksils que le bravepopulo ne les amuie. pas .mlitevalant pas plus, ni unifie, quo les par-tisans des régimes déchus, quand ilsemploient les reales moyens de gai i-

et la même attitude times-' sis e is de la classe ouvrière?

'Est-in que l'altitude de la bourgeoi-sie française, vis-à-sis des scandalesqui 0e sont succédée ces dernières an-

, nées. n'est pas des plus abjectes?Est-ce que ça n'est pas une honte

- peur ne régime démocratique que dole vair couvrir les bandits et les for-bans de le finance menant le pays eneimpe réglée et l'entraînant dans lesaventures colonialia les plus suspec-

t' 1,s. dans les combinaisons diplomati-.1. mies les plus ténébreuses?

Est-ire mie ce n'eSt pas un crime pour-4. ucc R'.publique d'agir acte tant de rue

desse et tant do violeano vis-à-vis dupeuple, qu'elle en arrive à se faine execrer par le peuple lui-même?

Hélas, il faut tout ignorer de l'his-toire pour croire qu'il peut en dtra au-trement.

Et combien je plains les travailleursqui ont confiance dans tout Dtat uni-

, gemment parce qu'il revét la forme ré-publicaine!

11 faut que les praline/surs ne se gar-garisent plus de mats plus ou moinsronflant, et sonores!

11 faut qu'ils comprennent que laclosse possédante ne pensera quo unechose î à défendre ses intérêts declasse e, que le pays ait un monarque,un empereur ou un président de Répu-blique à sa tête.

Tant que ses privilèges économiquesfie seront pas en danger; tant quellene sentira pas te monde ouvrier MM,miné a recouvrer la possession desMayens de production qu'il met enmaure; tant qu'elle ne constatera pas9.e le prolétariat s'organise pour s'em-Parer du pouvoir pois/igue afin de fa-ciliter la révolution sociale non, elleels pensera pas h se sereir des moyensne coercition et de répression dont elle

pose, et, voulant se concilier Je peu-ple, elle pourra encore, de temps à au-

". se /montrer probe, honnête, juste et' respecter da propre morale en'''lut les auteurs responsables deêlales plus ou moine publies.sils arrive le réveil de, producteurs,

désir de mettre bas le mode dediiété qui permet leur exploitation;

-oeil-, tout change ; la classe beur-, (st front vis-à-sis de rennemi

pied sur ses e fameux prin-tionnèteM et de justice, de I l-ie fraternité!

qui arrive aujourd'hui!nous en plaignons pas, puis-

que cula permettra aux plus aveuglesd'y vair clair!

Mais, malgré tout. am n'est pas lemauvais usage que 11pa O fameux ce-p/lb/Mains n font de la République quinous poussera à haïr celle-ri.

Nous n'identifions point ceux qui seservent de .le République et en viventavec la République elle-même.

Républicains nous sommes parceque la République est M meilleur ins-trument d'émancipation et qu'elle dé-barrasse le champ de bataille des ques-tions dynastiques, permettant ainsi euxclasses de se prendre corps it corps, ,républicains nous restera/M. 51-1VeliScontre tous.

Mais, de grâce, qu'on le sache bien,notre République à noue ne ressembleen rien à la République des Métivier etdes Clemenceau, des RMordeau et desBriand, des Société, fiaancières et desCaillasse.

COMPERE-MOREL,aqiiiid du Gard

ÉCHOSLEPINF CANDIDAT

lApine, préfo do polies, mtention d'être cainidelnt ans prochainru électionssénatoriales.

Il y a, en effet, un sieige vcessit dats la Loire.1.arr suiss du décès de M. Chant, et M. Lépinele revendique.

Il sera, d'ailleurs, élu.Il o r.du des eutvices, sa fortune pers:usuelle

est considérable, a possède des dossiers secretset °lest plus quiP n'en faut pour acheter une

chiale curule au Luxembmdrg.

-ALCOOLISME ET TUBERCULOSED'après mec échelle établie par Sentirait et

Bronandel, la statistique des dédiés tubeneuleuxnt celle de lu cou.mmatton dialcool eut us étmitrapport cuire eld. Voici cette &bone

De 30 5 .0 décès par 10,000 habitants. 12 li-tres 47 d'etorad; de 40 u 50 déehd psi. 10,000 ha-bit.ts, 13 litres 51; de 50 h 60 décès par 10,000habitants, /1 litme 72; 4,000 70 déehé par 10,000habitants, lu Liées 6; do 100 50 dere& par 10.000Inthitunts, 17 litres 16; de 50 à 90 des. par 10,000Irabitsate, 17 05r. 80,

lit la mortalité Pilier...lem. dépasse 90 point10,000 neural la consommation O bilimod S'élèveil plus de IO litr.. lie poison moderne est doncrreponsoblo d'un tiers aa mentie d. déc.. D'unemanière pr.que générale, ou mut superposer lescartes don réglons tuberculeuses, les tacle, etiin.

Ctstie damage ale« tes nos «sale en Ireasektlistes no cessent de la metrs en relief.

Mais il,. ajoutent Ce une les langues jour,aides de travail. I. num:aises conditiens d'hygiènedans den taudi., nauséabonds qui .t déshurmoniséla fessilde es der' ythiné la société.

Les expleitsurs de tsute robe et de toute bure,par moire. conduisent les travailleurs limons:imitadans 10 asemnoirs, pour les empêcher de reveu.Cliquer leurs droite.

LA 55041' DE LA PHILATEL1ER paraît qu'il est grauJement question de

supprimer les timineserposte,lin inventeur allemand vient de construire une

sorte de dintributeur automatique où, après revoirgrec, une lettre sbire deus sous J'affranchisse-ment, ladite acre se trouvera oblitérée congrû-ment et préte h partir.

Il .t évident quet 'ciao ferait ainsi une écu.noutie; aumi; nul asile 5501 0e nu o,sniine deers appareii.

Rangement, que,ivont devenir les philatélistes?Quid» deapident, Lss petite Etate Stal-Amé.

ridules. jout le, finances ne sont pas toujoursgori.antes. et gal nie,to d'autres ressources quede graver àdru titubroe noue.ns que les collection.

s'asracheut à prix a'ai, n'auront jamaisl'amureOi eu question et continueront à frapperdes timbres rémunérateurs.

Le EluclgretLa iimussion Ou boni:gut serntele sent..

Pentiam Ive prenumis jours, au muent lesdéputés veulent avuir de tenir tsarsengagements, lis s'appliquent à nous dé-

ontrer sont capables de sincérité etSa eelo, fls respectent Wer notivenu règle-nient et évitent les inutiles bavardages. Celadurera-t-il ? Noue eonimes les premiers àte souharter. Le, socialiste,, par l'organe

Seinbat, se sont, en effet, énergiquement...lés a ta règle du quart d'heure de Pe-role, lises peuvent Pire &nés plus que suais-ires, poisse ils ont de nombreuses critiquesâ formuler. mais ils ont fait gang/met ce sa-crifice. Les oecasions ne leur manquerontpas de ee rattraper lorsque viendra la dis-cussion elds grandes questions polit igues ouéconomiques.

Nous suons intérût à ce que le budget soitbien viete reté. Ennord cela mettra plus eshuilière la situation financière et, y voyantplus clair, los électeurs feront, peut-être,de .lutaires réflexions. Ensuite. il en ré-sultera un long temps de insensé pour lesChambres qui seront nies obligé., sens Pei-ne do se discrédfl,er, de le remplir de ma-nière effective. Il leur faudra mettre, enfin,en chantier, toutes les réformes ineque làajournées parer qu'on ne pouvait Jour con*saorer (Passes nombre.es séances.

Les élue bourgeois ne tarderont pma aapurrovoir ce danger, sil ne leur est déjàapparu. Et ils reermunencerunt musa,der. Le budget traînera et ne sera pas heu-ode av.r 10 fin de l'an. Mais, si, même, unacres de pudeur les poussait à se montrerdiligents jusqu'au .bout, il ne faudrait pas seMiter de le. féliciter. Tout, dans leur MU-Mete, passée, nous démontre qu'ils sont. Umedécidés â ne rien changer h l'ordre sana/.Sils ho mettent b la besogne av00 beau-coup d'ardeur, ee ne sera jamais pour abou-tir h grand'oh.e.

Laiessons-les dom aller leur train t ils nes'épuiseront pas,-..

Voir en Quatrième page noire BON-1PRIME servant a l'achat d'un très in-téressant °Étame de grande utilité poiirtous.

LE SCANDALE D'OUDJDA

Nouvelles Lueurs de VeritéLe Duel Toutée - Destailleurs continue. -- Le Voile se déchire

Un Colon s'explique.-- M. Destailleurs essaie de se justifier

Paris, 30 novembre.La prpsio parisienne continue d'oreuper

du scandale, dOudida. Mais elle csi,deux manu, d'un côté les défenseurs du

général, de Peut. I. défenseur, du « civil ee.Noas avoau dUjil dit que, nous élevant au-

da.us de cs queedMies, nous noa efforce-..., surtout ûle pr.ver, â L'aide des faitssignal. par les deux adversaires en Pré-sentes que la politiqian coloniale i.taur.Il Maroc esi une politique de spoliati. de

brigandage, eie honte cetde crime gui cou-ronne bien nreuvre de conqasl m rPte-rimai accomplie.

En de nos confrères radicaux, qui (rail-leurs .ut.nu l'enivre de colonisation etqui par une étrange contradicti. sou/iman,

Nandal. coloniaux, publie aujourd'hui10lettsu d'un en,05 français 505 5015. nousTaies.. un deVnie de reproduire:

Lettre d'un Colon FrançaisOndide., le 13 novembre. 1211.

Monsieur le Direeteur,Je suis -propriétaire dans l'urane croyant.

faire IOU,110, ce Colonisation, j'ai eomme.edés le printemps 1509 b acquérir des ter-rains tant à Oueds qu'a &Please. Tai en-gage dan, ces opérations des serem,s 1.-u/ramies 1 110500 !tater cistre iotasa sor-tes diffieuIté, ,j'ai dl, pour eu triompherpartiellenunt, m'inrposer des derange_mcntscOnSidérabies, de grandes peines es des ele-pen.s eseewives A l'époque où j'ai eom-men. niee aehate, il y avait. des risques àenurir ; mitre situation au Maine était pré-cet,. ; m'ou pouvions être ubligés d'évacuerd'un monreat à l'autre le payo que nouauneoupions d'ailleurs qu'il titre de repré-sailles, à la suiW de l'a.assiant. du docteur51ancliump. L'évacuation elertiiit la ruine :letoutne les entreprises, niais c'était Ii sou'grand risque auquel on put se croire ex-pOSe.

Sie/Minent .oeneer, en effet que. dan unpays que nou occupions militairementmlum.11on avion, orgunisê I adnim,a0ealisn cl Minoue exerciOne, par l'intermiktinire de folie-

inifigènes.lauturiti Os 0011 40 lui-.50-mn. nous n aurions pas 010 oeguniser lasincérité dus transactions ; coreureept suppo-ses. qu'aumm contrôle ne serait exercé sur lecadi, qu'aucune règle pour la prompte ré-velstion dos actes, la solution normale desdifficultés, la délivrante ranidé dee titres e,In ramino regniiûre 4g lb*so usene Mise/nig prie, telposee uyiuglikliMea-éiirtipoSé.liden toliétirliTlear monterritlein

Malheureusement, l'administration marien fait 00 le 010 .50 M. Detimilleur, en laciroonsImme, a été incompréhensible el, entout cas. bien nu-desseus de s qu'exigeaitln situation.

Les difficultés inhérentes aux acquisitionsétaient encore aggravés'u du fuit des Won.perles des indigénes vendeurs,. _ainsi que deceltes de courtiers el intermédiaires Dun-irons ou indigènes qui. laissés a pen prèslibres de nommenr0 inniumdin.t 0051es leescroqueries. ne sen poivniani

Des lo début, j'avais signalai M. Destail-leur la neekee.ltel d'apporter b cet état dechosss des mnétioratiores, de faim c.serdes abus criants. J'ai réclame â divers. is-plie e en dises,. clreorislancess.

Je n'ai réussi qu'a m'aliéner M. Destail-leur. Je pariait en effet d'ordre et de justi-ce alors que. volontairement, on eutendeitLW.se régner le désordre et l'arbitraire.

Cet idat de choses n'était pas, en effet,défavorable à tutu, et je Mai pas tardé ànie rendre affligé quo les difficultés ei gran-des. presque insurmontables nese les uns.etétairent. 'singulièrement- aplanies ,pour lesautre..

trouvant. arienne prot.lion merl, deD.tailleur. j'allai voir le général Lyau-

tey, hem commissaire du GOuvernement,lui lis entendre ma, doléances. Le gêneraiegrotta de ne pouvoir rien faims. 11 me rnit

e, pendait enTatrport avus le capitaine Illechef du serviie des affaires indigènes de ladi, issu d'Oran, qui me lI a déclarationsuivante e Si vous êtes dépouillé de votreportefeuille à. main aimée nous intervenons,cela rentre da:les nos opéraetMns de police ;mais. si, dans les transactions, on Vous ex-borgne de l'argent, cessai plus là une opé-ration de polie, nous n'avons pas à inter-venir.

Heureusement que cette étrange théorien'était pas o.. des indigènes, sinon lesabus aurai.t elté plus grands et, sauffonctionnaires civiis et militaires, tous lesF50075,0 désireux de fonder des établis-..ents au Maroc, n'auraient eu qu'a ru-pueser la freine.,

Dirni-je tufoos jour, après avoir ête dé-possédé d'on terrain qur java bel ot bienpasté, par an autre Français, pinson:4mM.auprès de l'administration, qui, sans autrefouine de procès. m'avait fart sauter mes bor-nes, je voulus, au num de mon inlermédiaireindigene purter plainte au pacha d'Oudidacontre les Marocains vendeurs. J'avais faitDan... ma plainte en keMle écriture arabeej j'allais la déposer au pacha. « N'en faitesmon, me dit un fonctionnaire du C.01/1711inne,rial. Poire plainte sem transmise par le pa-ella au ministre des affaira étrangères ma-rocain. à Tanger ; on saura ai.i que le,E,1Inçais achètent des terrains au Maroc. Ilarrivera les choses les plus fâche.es. Senrabnins, mais, depuis deux nos et, demi,reile *lirai. n'est pas sonore reglee.

RebuW par le commissaire. M fias! 00-flua. d'autre part, de m'a=dri,ser au pacha, jes no décourageaiquand inceion pus et, P 28 pic els, sr.,-,asion du passage du couremeur g.e..ed,11

l'Aligeitie O Ouden, j'écrivis au genéralLyaute0. une lettre dans Saque:Mg je m expri-mais ninei

Un tel Mat de 150 0 1001,5Pceuvu de polie°, d'administration et deperd... des intérêts enroué HIS quo nousavine entippriss Mars Il est contra ire

eii,prit, jcei., de clarté et de[nal-iode. Pour le caraetériser. par u,n mothien vulgaire, mais typeque, il constituele plus effroyable fetunbi que l'on puisseimagine.

Il ne suffit pas de dell.. comme leme tano les autorises françaises, il faut

venait qu'en touriste ee ee

Si je rappelle cesheaticoup pn.rlé, dû, digime do niallionmilremain-

A ce sujet, leinventé a le oul'preuve, a né Prisme,ents Incidents d'Ouddd

Sans ittger l'acte dugeneral Tester, je croisque cet acte avait été nécessaire pour for-cer t'administration supérieure à s'occuperdu régime abominable sons lequel nelmieplusieurs années se trouve placé Painalatd'Oudjda.

Or, il eernebele qu'il va être bientôt établiqu'à Otuljda tout esa poUr le mieux da.le meilleur dûs inondes,

tins telle solution est difficilement asecoq/pible si le geste, louable et bldlouble,mats à cuup sin énergique du général l'ou-treo, inérituit d'et,. interprété annothentqu'el ne Pa été. 5

Sans cd geste le Gouvernement n'aufaitjamns connu les abus qui, sous Paliminis-tration de M. Des-tailleur, se produisaientimpunément dans la région d'Oudjda. On abeau vouloir eles atténuer ou même les nier,ils existent quand même.

Er maintenam que la gu.tion Je jariecipeest tranchée par la Commit,. que I incidenteTeutro-Denailleur esr Mos, que la Supréma-tie titi reiginm eivil, si- anornelement Miro-dtuh, pas none gouvernement dans s parétranger aecupé par nos troupes tr titretemporaire es,..praelaiimi. que la guerre acaptliekl devant les affoires étrangères, ilfaut pourtant que l'état de eh.,0 antérieurrésn et que le régime ma.ghninien préco-nisé par le régime ciuil ne suit pasrégime de fourbi ; und bile trinité ne peutsubsister ; 5 maintenir serait ime hontepour notre gouverne/rush et la ruine de lacelOniSatiOn francaiee.

Mais le Gouvernement. en ce.o sortes dematières, est quelque fou aveugle, O a he-nnin qu'on lui enivre les yeux ; c'est, 15 lerôle Dort rias de CM:Missions, mais de lapreme indépendante.

Si le nouveau régime doit donsistermouerel à favoriser quelques privilégies, lesamis du comendssaire en fonctions, /es pro-tégés de quelques politiciens, il My auraitrien de changé ; Cl` qu'il faut, c'est, en rd-Oison soi culer li, 00550e 11bm000mi'frs. sono diotiorl ber, tidr00 Mins leues entreprises, le maxinmmséeurité 1 un régime qui empêche, dam lamenue du 010n1i1lle, les e.rogueries. aussiSien au detrimeth des remuais o. des in-digna., et qui les punisse si elles se pro-duisent.

Au Maroc plus encore qu'en Algérie eteu Tunisie. nous sommes menacés des piresspidiations ; que des le début on rende don:possible l'accès tle Ill propriété régulière

OIu0.ouialaanicolonise'', honnêtement, el non melba/in/le-meut nieculor.desqu it pensent on a plutôt décourage que

favori:pi Ire Francais. Quelques privilégiéo,quelques aigrefins el courtiers véreux ontseras nrefité du régime. Cela ne peut durer.

Veuillez agréer. elc.

Comntent on spoliait les indigènesL'envoyé spécial d'un de vev e50reOre5

1tellle' 11.e/Itier M12.2 ln5".11o1:e ele nunis

Voici .Ore rent les témoignagel quej'ai pu recueillir , le tuent Avis, do ecedlede, MIL., un chef dévoué â la France, dontIn burpous blanc se tache glorieusementdu rouge J, notre vrais d'honneur, a adres-sé plaintes eur piaintoon a l'administration.

o J'al ête dépouillé, med-même. beau-coup de mes administrés ont subi les piresvexations jusqu'à ce qu'ifs eusent cédéleurs biens.

'Cent-ment cela pouvait-5 se faire C.Voiei : de- terrains étaient coin,-

tés, le cadi d'Oluidda faisan venir le pro-priétaire t u. Tu veux vendre ton terrain ?â Non. Très bien ; va infléchir en

ee liait ion. passaient Le mai -heureux. .rti de prison, 01.011 ramené de-vant le erdi Combien veux-tu de tua« terrain ? Je ne veux paume vendre

il assure ma Vie. Retourne en prison. nAprès quelquon semaines, l'indien, finismitpar accepter. Prix convenu t 7.050 fralle0,ar exempte. Alois le cadi disait Ira

vois que tu aurais mieux fui' d'être raison-:, nablc ; lai mon fr., il lui Isou 0.000te francs ; il y I 10001 nI011 ...Haire à ré-

tribuer. je lui denne 1.100 trames, et puisil y a des frais. 500 francs ; tiens, prends

it ces 500 francs, 50,1 0e qui le revient.Le relie de M. Destallleur

Noire eonfriee continue à narrer son en-quête 05 ees temes

fi fa'st que je vous rapproche cette au-tre histoire nayraine que Vient de me rap-porter Si 11.isa, marabout, de Guifail. bonserviteur dota France, lui aussi décoré 15 01juillet dernier :

Quand la gr.de colonne françaisep.38 cc jUill Chen le1 0111901 /10170110e, 10

e général In 1mb les notables indigènes etpur dh l Voue êtes des arHiS de la Fran-

:: ce. elle veut vous apis?.er plue de bien-o être. de seeoulté 005e juanes désormais,e il fendra travailler, il faudra ensemencer

vos terres fertiles, car vous serez sûrsn de récolter. s Or, vol. teins semaines, legénérai est revenu. et lai do lui présentercette requête r o '-fu nous a dit de semer,« car nous eu Mirerions grand profit voici

pyipaque des semailles; cuis ou imrs-ddlque nais jet-ions le grain ? Noeo n'avons

plu, de terres Fra/nais est venu quino. en a dépossédés.

PL Simon s'explique0,1. Maurice SiMon, qui sut si bien ené-

eider gue les terrains d'Oudjda, continue âslexpliquer, et ses explications continuentà n'expliquer rien du tout.

Le chef de bureau du ministère des Ft-nances noas spprend, rependant, que C'ests. 5,00 Destarlicur qui sot venu lui propo-ser d'acheter des terrai..

Et M. Deataildeur ne veut, pas dire appe-lé agioteur !...

LE PLAPPORT fil M. DESTAILLEUBpor,s,

L'Action pubiie ce mutin le ;support tir m, pes-tailmm sur l'affaire d'Oudida.

Dêsde début, M. Destailieur montre la lutte quiesistd entre rillêment civil et l'élément ndli-

ditui, nt la situationii difficile qu'on pins,os10 pour les 05100110,lfective sur le, oneisu de son dépare...net,

il ne .vait ce et ce 00,1 000.1 fairese contentent ee murant dee événements

idgetion et tee d. atfair. ébiange-

novembre 1801, un projet dant-Mue. fol

GARD, troues, :ben.,PltenvOss-onlYNTOLes,ETRON, ConnÉon,

1.0T-ET-GWItONNE,

Glate,100,nntrreePIalilti0,it0,nnsensvevettnlee,

111013n, TOtener101.18.0tent,émeu, suriens,

11010E-GAnnteiRoM1117i0use

elabli, mettant le cernroissnitid civil a4 la tète dl'occupation de Parodias

Ce projet était étsbli d'a dccor ent e le sminia-nies de la guerre. et des affaleas êtrungeres, miro5110510 violente campagne de presse data contreles Mrcisions du gouvernement, en Unie tom1v505 55 produisait Per:dire des Bt/li-S.1.21/.

Pourtant, i/ fallait se préoccuper de saccrs de1901 et 1502, visant les perceptions cherifimpee:c'est alors, poursuit-il, que se produisit /a cam-pagne bruyante menée par le commandant supé-rieur de Marris contre la suLdis.t trahisoo deecriains agents français n'ayant en vue que lesituérids ulor,ml10000,

Ou fond,' Peoquête était conolitanto et con-traire h l'udniinistcation militaire, tout le transitcl leu 1.re:banderseo passant simplement au sui,iliOudjda d'un ese et b Martinprey de l'autre;ies fraudes d'Alerte au Mans on rase versaavaient. lieu ouverlement samo opposition de Pad-sninistratiott

Cest au milieu de ces dissensions que lionprumbilait vers la On de 190e, grâce O la présenced'un haut commissaire etéritien, 0 la mise hexécution des accords concernant les posies, per-ceptions et régies chérifiennes.

M. D.tailimir expo. les résultats (vrais OuAlexi de son administration e {conclut

tin quatre /Men. Sans persounel ni presquesa. res.urces. eu moins pendant une longuepériode, l'achninlStrulinn 1,1814ière ese née, les fi-nal.. Ont Clé organisées.

C'est ainsi que la gon:. °ter:nen. NO Wise0000 des &Mes el qu'on est arrive à ion,010 taléefere à dee &pensas annuel/es «envieofl trelsmillions au moins et à titre accent.' mns oppo-sition coranque.

Se 1011, les crédits permematent d'affectneprês d'un miHion de pesetas aux Sismaux publics.

Efiri, malgré Ids dires dune administrationrimPle, Io population fut biinéficialre Aune pros.périt6 inconnue juspin. ce 1000.

BAVARDA GIES4

La Presse Allemande

On a MU grave; bruit atutour dte cas de eespeofeeseari d'allemand qui dumdéent O traduireO Orvet élèves des journaux imprimés de l'autreroté 1.1 Alba eteontenant des eartieles peu caménes.7701.11 1101..

Les uns oed poussé des cris de pnen depaon...-germeedste I nen-. les autres one onbravo Clona donné iferceUerdes OniSOnS.

Je ne sois eu 50000 crise de l'allemand rom-me sonore crise detpunéals, male Ji croisla lecture des journaue lof touaient steétéeettle11,00 10100e eune langue d ce/le dan quelcon-que ulturage littéraire, si leéraiee soit-il. Maisle trouve et journal un autre avantage, résul-tant des défunts mémés gui lui seul si vniainn-nient repu...hes O enseigne dies la languecd.rdhle du, Peyre ce gué Von ii pela, de nous.Oh ! ce n'es, pas ete bleu, je le suis, mais leslotenaue allemand, disent-4s de mais, de notreannée, de noire weikr st ri 'sou OaOiSrs 51,100de mal que éolains »allumé /./.4eti endisenteue-métres diguaeleanieakéda déPlutrold,nantie ae ,1050 dé Meer systematignement 1fau-tes nes ploies sociales, nue Itel, semblons pren-dre un nuthe plaisir d étaler ou grand jour, nese retrouvent-sOcs pax dei nos voisins O Sel.moyei-nous l'unique apanage de la France elde, franeals 050 .tes rems donnez les peine dg/elléchie un instant, soue sure: Pd tee de a-no.fre gut non.

Betitenient, ranime non eoretents dé les «trouer,nous en exagérons Ges peintiee, la «alerte eejiniaet oublie de regarder ch. elle.

LitiA80. dire.., Cl surtout apprenons bien nom.ineal ces gens-la 0001 traitent I nlg eatql einneinfime parcelle de édrile parmi leurs critiques,ancien, le dégager el es tirer nie leçon.

/d vaut mieux saceir ce gue nos ennemie peu-sem de noue, gtte mn,oe endormir mois fumée des

GWYNPLAINE.

01f ANGLETERRE

Le Droit do Suffrage dos Femmes

Losa,..., 20 nevembre.Hier, MIL Asqulth st Lloyd Coorgo ont Scuté

pondmoi one heure. Downing '00eet, leI déiéguésOr diver.s organientimas de deusrn suAracollesvenue demander que Os projet do lot conférantaux dames le droit de vote aux élections légie.lativsa fut aineuté à lu seenlon pa8haine.

M. Asquith repondit qu'il reconaals.it l'im-portance du n'enracinent des suffrage-ri. /misquo l'opinée Oc gousetnem.t n'assit pas chan-gé. Il est contraire au bien publie fI Joneur auxfenians le droit da vote. Toutefois, le oabinetlaisi.ra la Chambre des Commue00 iosos doSoirs, au cours de la discussion On Md &Minssam u suffrage universel.

(rent 11 vans, f115005500, a >Ponté le Premierministre, de conquérir la majorité parlonsenfaire.Lo gouvernement seePtera sa ddrielou

La Population de la France

ELLE CONTINItiE A 000uE0IITES. faut aloatcr foi aux statistiquee, celle que

vient do publier le .ministère du 1050515 05 le mou_veinent de in population on Pradme pour le pre-mier 0e0.,13 de 1911 n'est guêre t'assurante. Lemouvement de deSered0m000 s'accentue.

Il y a eu :4.000 naissances de motus que p.-dose le semestm corr.pendant ao 1910. L'os de,nier, 1u naissances, dent le zonière Sait déjà bienimuffmant, avaient atteint 309.669. Cette ansée,elles nient pas dépassé 306.999.

Palu:art que lei naissance, diminua:eut. I. 05.05e progrosudent. La passai, de "78 400 pen-dant le premier semestre do 1900 à 100008 pen-dant /e premier semestre dle 1011, soit une nug-nienbstles de 26.00. unités.

Le soli, qu'au cours Onaoiopceudulsut,ia del'annuel emrante les décès l'ont emporté 00 10210ar

Le nombre des mariagn a fideill Sase une pro-portion un peu moindre. 11 était de 156.161 l'andernier il n'est plue quo de 153.931 nette année.

lus ,livorres qui étaient l'an dernier au nom-bre do 6300 sot pamsé en 1911 00,005,

Enfin, 20,593 enfants ont été légitimes 00 11 ya en 17.770 mort.née.

iectons Législafives

Cinquième cireohsodddloa de Saiat-Den'.isParis, 19 novembre

'Voici les résultats du scrutin de ballotinsOnt

obtenu'MM. >butter. nmize de Nen

publicain. 0,709 osai, élu; Fabisni, avocat àtussor d'amel, radiait socialiste tvoix;eiteyeA Larn0 sociaSiste unifié, 0,0e, -

11151&11,01

20 NOPEYERZ 1911

1S , MAUS IIEGIOliAl,gDM"

giNuaLt reoulueer M. Balsee. désmumeet unedder le résultat de Idesmanque le, vhiffies ms cous.

; sait la note do I llo É nt.

sitie4e1P Semesr des ineid.ts

Sartbeee.(Pondais, élu av. 774 voix d

d'une bombe cies 01. Mit,

LE

CAMBRIOLA1111TRAINP081

L'HELME DU VOLrs haut personne,n qui s'occupe lei de cette

affaire m'a dit qu'a sus avis le vol osait da êtrecommis entre heures 8 heures 40, décert deParis, et Isarnebe où le train anolve

10 heums 16; pour a,ppyver .s di., moninterlocuteur faisait remarquer que la CompagnieP.-.L-01, exécute en ...ente. O 'imPol505ts 0r0i

ex es que, bien avant l'entrée en gere do La.roche, le train un/outil: eansidérablement son al-lure. Aux Asirum gares d'erra, aies, qu'd Dijonel l'on a dÉteené l'eége à destination d'Italie,rien d'anormal n'a Sté constaté.

C'est seulement à Mâcon, à 2 heures 50, et nonI Dlion, quo, par une eireonatalluo forhaitu, on adfieouvest bu pat mu nones.

L'a enspinyé ouvrit le eadehai Su prendier ma-ge/ et fat frappé par le bouleversement inso..11te qui régnait, don conresporplaue., en effet,gisaient, contre toutes les régina, sur lés earePabituellem.S olosi 15 fut frappé au.; Par lefroid qui régnait dans le sagou. Mais ayantuPereil 00 011,05 vele550 de le vigie, 11 010 toutOr nuite qoa dos cambrioleurs avaient pass6par ISi.

L'employé fit part de eus co.i..o.tations; uneplaque de loin 'Sou apposée coutre le Insu béantpratimré par les voleurs et le teedo repartit nousLyon. C'est A ceNe gine que lise constata, enfiv.oo le sait, los dégâts commis dans les trois el.:OOgst

A remarquer toutefois q. l'une diens, n'apar do guérite vigie, mais des impostes, dont une

ait iti b laie,mais,

sommemOde é.it munie 41bal-réaux de fer, ello n'a pu servi.n au paedog,des voleurs.

COMMENT IL EUT COMMISCela dit, un peut supposer que lei voleurs, a

In brouhaha de la gide de Lyon, à Patio, andmonter I amers-voie, as départ du trais,un tampon, s'i.tailles nalaisément sur la Oset lus doux chelems d'attAage, puis, en ceux, d,route, se hisser, atteimbe 00001 la toitippgué,. où ils se seront agrippés, briser les sit -de la vigie, di.o2, per mi rétablissement nérolique, l'Os seront tombes sur les sous do, les fi.Sons Stalont rempSis,

Ils roueoi remet/veld doux fois leur péell sexereire, en rampant de la tulture 05,0 ira,.O l'nutre. C'eat étourdissant S'endsvs et didaIL du danger.

Après avoir éventré et fouillé mese5 tons lesils ont d Cljeter I. saleurs sur la vois, en

un endroit. où des complices attendaient.

PLUSIEURS MILL_IONS ENLEVESM. NicaLas, inspecteur des bureaux ambulants

Or Pairie, venu pour ariguSer sur 10 vol commisdano les fourgons-postee, est mrivé par le rapidede la 505e-d'.00n0.

Lice '050m s'est tendu au ponton &Strier.Znam oS SOS g.s. Ida irele fougea. eunkrio-He, il a entendu plusieurs emnDbiés 0m brigadesqui se trouvaiairt Use le traie pestât 11 occupéenu tri en «imite de route ot qui, de se fait, no pu.rent rien voir de ee oui te passait dans la partiedu trais platée dossière, eux.

Ou uteemt égaler:lem des agents de la 05-reté générale,

pea orgie nontoino renseignements uPgano riefoi. il se pourrait qua le mâniiint du TOI eteig110trois millions, cor on parle de giosies nuiso.do banque de Paris qui peu, l'échéance du PO MI'serin., envoyaient génenalemmt de fortes som-mes 0 tous leurs earr.pensiants. Mais le mystèreréside suptiout dans la valeur des plis esrealtede Tondre, Bruxelles et Berlin pour les loionicia

n lem pas empire r.seigod à ce sujet.Endu, ajulnom ee mit 5r un mois,

à Paris, h ne même talion, un individu mania àcuntro.veie entre deux iivacons. L fut saur, parse employé qui oie et l'on acquit la serein-dl,que nana.° saute prestement do wagon, sevoyant déeouvert, I haniellr des Meuse ea

qui &amen ma da Charolaise

IINE PISTE S00000E11815Pori, 20 novembre.

7-2 peëfnettlee de poiles aOo,,é aujoiudbui. Se/e sousuecrétaire 0000 aux postes, gime

sac vide pomme. 1murite rinaiudion : parie/Post London-Paris-Nord. 01 été tronvii un suesla soir. de .1111(qii, I'Lle de Montreuil. Le sas serasem, l'administraitos des p00i.-0.i ...ln.ss'il envient du rd comm., dalute 001111-1,1n.Paris-Lyon-Marecille.

L'irriiiation di LiviorUN COUP DE THEATRE DONT hl. CA1Lû

LAUX A MERLE LA. MISE EN SCENE

Paris, 20 nosemlire,Pour un coup de thdàlre, liarri.tution

pela dire oinoi v- de Mettrie, a été un .up

'Mais nous eatimene que ce n'en 0111 ta, -ianpour tout le 00,45,pcur ceiu .pliont mdriagé ee500el. Hi voici nos raison, :

Fisur forte que fut la suoprtie da publie, ellen'a pas égale la surprise du journalistes. «Pou,quo/ est-ce l'agence Pava, qui transmet 0e110nonsolle dinielle-nolls hier.

Oui, pourquoi I Mem contraire à tous les usa-ges. c'est enntraire à des conventions priCieLses,lien inteernatiann dr l'ordre da OCL/e qui nous 15,Wres., rimeurs flans doit pas le, Irons-1111111se1 la predie parisienne. 0115 ,5010 .;

lei., le bémânce eux journalistes profession*.1s. à cet engagement, elle n'a jamais umu-que sue hier.

C'est par exception qu'elle communiquait uneinhumation sur un fuit d'ordre pari.,

c5 fait avait échappé, à Pue des professionnels,pourtant ationt.:11, a nuis.

L'agence 111550 a cru Oc vais réparer leur fautepenseront les profanes

Alms done I Celte crammunisaLion, au surplustardive, de Poffirieuse agmee prenve que laoomparutien Nlétivier n été prepuree Os. leplus grand secret, et que C'est seulement apresranis, ddlibieabon, exprès,. quel' c su M-.], Minime/1er le public apres sen0e 00000 000forrner dlebned, nolvent 50 0005e renûlent,journalistes.

Information officieuse, usai l'évidence.Ii'fimllemd officielle, sena aucun doute, et

Par 0Wo de conséquence. Car 01. ClInnebenolt,juge d'instruction cornette 9 mutemblen'a certainement pas pris 50111 ni l'iniliati0o dusilence ni l'initiative de .ninre cc 01000,,Ce iicpeut clos que finiénicur qui a 050050 d'informele public.

Est-0 illétivier qui ai s voulu âtre jugé o, dangl'in.ntion 0e o foire d, iM7,-M-5.0 5, russePa avance estai, de Palis e Est-ce M. Canissequi a voulu son serestptian. 5,5 cela prdeente-ment?

Ce qui est indêniuble,l'information judiciaire

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ataaes.e 'ooÇu.it t s u,560 'O°OOCd salira M,tfl.Oa 'unie. toi r0

- j n';O', tannai - o 0s1 ;ae .aa$S -Me. , 65 rededau5 .56 untirt.

à .'ts. 'unie' Sirota ;rséaaOfl, hOnnir51, élu, le IuTs05000000I s rouet per 'la'

56055 easeaO de ht sànot Ot604Sltr - 500n nanasic tn56000o asonel tir t s00000U '- n'a pub'Ses qgnneonel du contInu 56 de la "Us da Seau.'teicaocufitjeaat, Paru, Qiac le 00 toIt au In lieronpleatbrr orna 05 tamiSe et 50e ILa, II ont alTo8*ccOSrmeal u 05005 hI .6510 ferons 15 15 trio-lice. Le t rsphennto'e, 5e joucetaMo osiata toc

'tnnO,;;WnilL lima Oo°.rUt, las un Jour, saujs;oa nerota '1015m os cri; 'cri arrt là 5411cc 010e nalfluO lovera r, enlier établi. Lue sUées et te,-lors par c;nieeiao,na de' poOeO si d'aplats nefe.;;reqenls o; aMaS vi,ameetatrueé l'attautisu de0M vOIanà,.4 pin is, Chaoer croit inca-h-II occireo5no'dt'efeeaeoM ra qua 0054;eeit 100 pnlinlnnc dr

'q r pMo.dqnl. hlro0ausle in t ilIuM,'ii Ode, e'genru ont davaotaUr ou draM loir Won-

qrluoa in ln;gneirn', o lurodierro, la ne-par '0.1 tOI OU ,000atr As i anta 5165Mo deMlfrsis"eo Moa;;, quelle or" o-n Iéetnnde asjlonnteeir etis lotOcie ale 50 landat t C005bhes ilpot f000m,on de e'ea talas laobu I ale tus tatarsretepno .000k051teer000 -, t nontrolan pout,trac 1501. 1.. 'fana pr un atrereaul', us 30511000srreqee'ni; Ir mb--érable p0000ree.nie, SteM'05mO o I tudrmnn.n, rOt 50 oestre rompis de osateflecamoel, « ou,., b$'o011c,er die trouble, nOn as'dnèteo psi cm portent pio sur .te, 000 Jeit usesmce de Vopdoue

'-4W5 M hlalflunio aéraIt pua pressé... Ut psittni nanas Saur, roovali. at000e,ttemeut pus heM'chue est seOs asIle 550 straotle, hi on met salon-

oeoealaao Drues da ,e0000a olrpurrasn, n o bras faireictteo pied- danavsur loi pnar'on,oheo;' rosat 6,35petit o'a.n anti iteojor 11005 ta cran 1,0 d'uoeao-iet.trursresoi.utlos

O, MAtURAS.

510 P0000RiTUtIX EOttt0550lnB

rI'LErr' rrPondn, 200 00Mai01;,

lit snuodul rJ'àroéd u dis dab-ara1 OIseler, M."2nà56eos, tirnotorona do lia u Luatenor n, U plie-ies eSche snuselalo do meurs dév'rus'oi'l 000°rtaXe-ci à 040tluerne'tnr.

, liotohoan cor nu tuila,Pti polnn n déeanvae'h en effet. 'Une tOnd-

Lubie ongaoinantboo pour In coite 00es bit-srha tous prosdcolctne Iirraaonl à nec-Suions ri-

PIPohOrt, des fthle,rto's donc quelquPo-unmr no-S'0005e5 5es dix na', Des M'osa IOs'euineit eurotmnpires Dito.

I se néon d'sneeotof ions o rOI rpliré;.

A LA CHAMBRE

ouvcau Attermoïcmerts.I. ifr Sehes sot ta soilpito. la gubeortedolut retorde Fleoce dOs ettllleaflÛnS

t'i s'oerpo do btddet do t'agrkuliiirc

l'soIs, 20 oonelul'er.Pie craae rat eànnoeru o 0 11, 10 tour u pal'

nfrtoeou do M, belerue.Sas Cloasolqu cet nppeidu b 40cr '.0 dnlr do la

.tseosunc Uts Inra,pedlatttoe 4e 'dat. Ru-oc, cnnpila Uielarutmaua do oraisons don ud'oluea éreaogtresfris naosraisrina doc af alose cIiocnboea. es tus,e,des lu 00105 dons rap à-goe arbora pOliniqbct leruo'jilte drhle,,e eria'qnas outre, es l'alenonos do Oo,r

orttOsObe poo5,oroutu;oa.-

Nølre Potttkap Extérteure.M. dr Crime., le daaoraie le ratnOi hi 10'

'cueso Pale dI000c010s dans 00cc ,eitna'oa. oeae semasqool'rAtra ealnnraoa.

M. notre. - Je dankeate, na 0050000es, u Pieeoséro ro'nntdlure

iTeeq,eei'ooeipaarsseeeoo.oiodorenjoornelo;¼ rianmsu Irmesia es oouie te reutoerelo'jo te sonna more eOi51ror sonar le éditO clati si5m155 fe,ora'e20unr4, .10 iran 5,01 par us matUt eb-irrl,-da 5020 ods04t les nonnmlme, letales' anis isnorne5é, ii là rooeo,iesosm 'loi upeinos

eO,e On tsliefbnn die la poncera usertrWel'e,gec, aceoeearneiur ton là rulasen Salua pueers f. i'srrurasiou do Lemanhe rr d'El-'Aerr; rn

iSetrlsoeo i0s,rosrm, I! 5e or'prO à n mlmaeo le, ete; ta nesiencabe r tb-ulsOsO dor dl'nesritnn eéeoe,ren er, nenosaoltea pse ose p r0cteierereoeirait O'senoOIO Ondes ne ocrer-osto d ce eéee'lle upoeta sebsiudea à celosnid l'ddtrnsrpcua, t'nasespea nia MOea',ar 'noroet mn0 te cnn Iseranesasse' l'ltemnn5ec; il ce ciordda psI! 0e cOur tondoOrnrMereo frIre uopeàe de mu eréntiontar ércaocrffeiao clona esnnOmaa ispsrtaonue,

I.e chef d'so sp,sOn poscc 000brsee eu nnueitroe*aet'dq'ollorscetreaae.i'oo n'olnni,tcoe,ie';roaibcboaienolas, 0x5 sue pet eu sésisbnia Prooietieie ére'rhrat, h me pur' 0mo ren,eeo es am-

an nrrorrois, M, 4e 15db,, o'. 0M sé 54.consone la e'lrrioernsr urnarte do t,!. O1nopre', quiS'a casons âassS,rpi einnn,1r le saloon as eo,r

à0; 4 foot, an nrréteee pie iaurnii in runeee0i"en .c o' Ose', ers cocu-ne; rleO edUreli,thur.e aie t 'diirn,00,'s,

- ts Ion, sennes-rune que la nbaheàau sonnai aitaernee Passer O'Olmcaaee 'safaris ndeaorelia peut

'hieliae nos aftadep t SOno istirMe or ruoo,nO Otinacref,te b des aulne e'rcei mnnai.u;anoos; s'il esgieoe dc nue antenne pereauueller, les lui taler-etun'-rr, ,'rters cm-canot', r

J'errrrnplhe sa lecehie cri .0 00000il, la die niOonr Instar ecu. classa pesos Osent bas, Patennehler.or' 4.

00. 'le Cancan, do cnnacleemna b sores p61e100'e,es,. cfr,ono-5 ono Von enroue centrer tee d.n'

efrni-rir de prhio'qcn nuséedouena pane unde nec u nanirsi s C

sehsTnes,eon, rous rtrurtoeons q,;rli n 614t'stbiosdr de Tu Feu,ao d,00 ou qoàteo daeaieo,

OiO,

M. Saoa, fl aea{a le eonoit ai note noneese0e tan aomaninthone tsar I'ilitreno0nte cou.

lt.da,0=,_dino;atvsoIorae6 en pouhit' aol me se, pool d'Orsay sein pro ose do500mo eandsuar, dlroe.to; citas, e rrsiemei Pets

(Rince Ou l'aubaine gaines ierUua,ura .com

D étUi o- naoluoco05 or!,

Do 'oui d0050rapo nneona roua r0 in iear lu dutiI O'ln'aqoa où a'ougaumnu fo riblaI du roaltil frou-

Ta caleleloie opoogon tu pions dosu onoiinnvir

il! Ccdloro - Je droi,ondo O lu Chin,aabne ria anion ioaoeooeqrna la é;erooeins du l,Udàel pour in,001neO do àe iatsrirehlot(ne.

Le,r,;ra,os Cone.rlri.01nrat, Ou mInet tsors Oiebolbnon In csppoeO ria lir.alun' ri; l'opa'

ueonoo. nv,i 055 6 h'nMao rIs loue O'oon.'uoo'O'lini,.001 alorpour, Pria voue le nouilse rosa,,

eren;nup0loee. seeorrsaaoa), 10 panelt lnrmucel 10 nopeaeeo'rrOaot Osa ra rai par 574Mo dore soctoroanlole mols saine poiblialos uuiléauno deyvmr

00ioor'raroe pou ocr ne pOf pue ael0000e Sine-, ineol en 041er sous te poranor inarpo'b au do,

- .00, Sonna. - POrc, run, n e'rfre pas auada

if. Ç0,t5à, s'. 35 dualoodo dris,. Tapmel'rIonssh0e Druoulnre, an e uiOsehaon I'nap'oseias 115 1.

sorélarro, an ddsirire la deant ra In nellaieior.esil000le', M à-rai sue norma prllo4os eori'Os;'a,

du sores,', Ouon'lue. - ,tpir no- , S'ait plosurCtorelroe dseo Or0oadoo 'ae5oe'i51a tOTo or

atat u0,métre pus ers nt140'at prinnottr a000,aatee. di'ierns ite,oia unu na dsste 000 OrL'n

Theteeeeocpo-a 10 duaaode alU l,njsidnth, Pan 'nul,

54. Corps sente nain qrorOr b d'srOce,rs lei'

0Tors,PaIr M. dosano motu'on cou tataMI,.

u pa,' prncOesr000et..Pon pnirfage sen de Onsor,

ten56uOOsetàiOleP600lOeS 0t*

0irUR'Q,fruis 001', 611 i',iO'p!unl;r o 15m- r11 'O"'ii'epbeuretepo. 0M' 510M". PeO 'Jnro'lo e'rtor'oel,en,itan loin d'aUto an-. ,sat,».' t,:r:ii'r'. d.r " -leor000arnenno

ii'i li;r?u ties Puigaicgsuo. qu'il (nul ahle.lorlr; nies ainoirmsele lInpournoyonro, aluns oetni,-,' Or, I' r;.

d'arIel rente-r' ,u aMour; .01 r 'rosIr>],sot PÛlseno; al o ,1,rr'hour 'lui, jvurasl pa-riaient.

Ce db-raton,' da M, tartan 5li'ho;o di-orateur du bO0'101 1,41; 01 ' hou Lounlarol

Coccesaçun paS la ioorr aria 'oo,vdi don-rth;0, f dda'roro homnuionJeeoemt don; un

li'ruerl i'tntau nt boas!, il ébo 0e rOsat t,tsh-Ose ; il sa gond; sh'tltsm ente te Jruffn. e poil-daat q on an ,rrp;r.oe, une' lot polrror ,'rpr'anStOIPilUOS tory. o onles'r.queol, crue pas polilundi, enair prie ,uerdr, Vinhur Fi, 'hou qtnil..tait arr. doiniIs et en dln'igaail, use 'o'r,liuoIn Ii. noie, nier bu ga'o don \rmd

.4 von jsotn'noul, o,r demIliar e iprr,;''aOu 20-pool;, maou f orier.pne°iério 'J'y oblate 00

li clC uooderIoe0 d'uer gn001v Oiffn,dOrtt_n rIa eeraensartmshrnt Plu ruilas par

rO'igsrbles pror0000goc, dent booreonnp sou1,dit-es, haut plarle;

Go à-nouer '400'r.0 ploio dro losuneisit-d'uuioaoar, don cocote indipaos or, lis-s recoure-se,, ;,eelalcu rironnh.r do ors e010uprams purIn-rolhbreo. dont loi'hrllé u Clé corne heurtuenpour d100urrla mc uomn, vont boIsa psoronl.

y s daooa .5 sénsbro. doc peauouueadoooeumuo d'tree o. dPi"â ir.nndp6a, n'outres qQnsont auoetunds dn' I Urn oS dSet ourrtulenn pun'5011 pom' avoir dli.. mis lu Inaciti'nrs notreaol et la pathos.

lic neooud prl'souuapr volé par l'oanulpa-tiares1 ou indonleirl, M.).,,, Lui u050i ostoh'OLt'aogoe' 01 00 ma lanniara pur oo'ueu ion;'lopu,pu de rotule Sons,

00 t,rnlc,ièsee. M. Idarujatscbi, o Oguloonrnipanent peudecotuerono u lroofu5rr,

On dii ;lu'uua femme, poilant loi p,0010-oyrna aeistooaot'çar, serai5 lropsqnl n ourorl,U paueburtet.

Lne saèc,nn de dub001tie auspicOlh000 010"oapuirnh bu 'aholmonos. dans ro',nrtnierr villala CMe flop', i.e pmrcvnno 0e dobnr,en, Cr00in-or orrinla Paon e nette, ter tii,rtlrr éluianrhabili'.mu boa progenoten noms. Os ria 'r, par.doit quo r100viq010 Jruno, bOltil 100 10.0 nto-niopoj I inpo',l lotir avare tu> acore u timonr0rereto dma lotions ;l010n loaquu'TTon 1er p00000r',iabionau fubouion l'illagy do Iroro botes airernlaiecet jueltro b loure bleu noise!

Leu icsnubadr tounbncbl cous 'le camp de l'or-blolo 301 di. dodu po'oul, rihUhal, ,i'eueiluilirnIratmtniahle 0O oeoiun000u b lu déboru,Iae, al quipeso-oit dou peiur, do iu m,,io 'u 'loue sonbon,2 ciron r', dn "00 u 100 Iruor, d'uuienide,

IUPtSliOnJ DOl lk 010,5X1101.1' 10 prlo;.Ores prnrlooau u odeuInsO

pr art no,u sonne lue, 10 Moral ai p0000004.

Le Budget do 19111,1, SVDOIIT nvi L'AOilslCt'l,Ihl'eiti

L'eerbnrditronaepeibonlooriaiueotcamuujut.nuit d.; lrudoleu do "ugaheedioors.

M, Pli.ru'uuner, - la,, oondoe 1015 en'lnIe. on-nduduiao. r'saeoaonn on ces col 50,0 unoierulesu; sidos e000ctes radhausu 510050 400, appiàqode, rienea:don,uo aoas,000 Ors ipeo1ni. t 'opriootesrer.

,n°aeni,on que l'an Oslo ,anudeunoro'un po;la l'a.gelundaro, leu loch,'. 500 nbeluinu do ton ame, trop

1 f,olt da;,'rnqO' 's pesdunnlor,. asecidrrI 'nniani1ueuseen,n eurcloaln, WO'aerhor t'rslvdai 4mcospoeraon ngnmoleo 5,1. ta'1, snriteut, negt'gatiu

Le 000o;,i Oaoa.CJrer,drn, - Con ocreusl'd4 doperllau.00re d'n,4eoeslOo,'n se l'onuaur. t lino ,onnonne,'evro PnrOe soir or preanaunar 1(10 paranO

.00, F0'na,llr,o, Ii ce pnnduit Piano 10donaOi,; o-tain sontais,o ebr'm qui, ralpéodr. tenaient

esses do t',nentonins, t'euto.00al qna o o'aem mOgis'.alr du 0000', toit durued roue un qal ai to ocra aasnoCl d'ndoclnlsonuo:ss, oct ubeolamnsa drraognio Q l'ogeirutt,erl au-

Li'eoo,r ro Looqror'a'df cool, 'L niopau rienseldi,o uanerolea nuso ubleun nolo 'à O c,3.beu,.ri.'t

M °O;orr, - Es cool, bar snanrud la pro0 notdurai 'ho ion nur; es 5oi do eus,,e néon o,"rené ,uiooe do lu 1,., à dec uiuOhlsesianoe eduanl'eae, il uSO OM'apd au poiomaes de Pst I01 Con po I.. lnsn,r,r, aor'q'uoo ne,,ne d'ionstu n.asoe,uo du,rs ont naroella rie cnn rulsoer, iii'1005,0600 d'or imre Ire ar.ilnre

loep esneer,O In peaeooud de ose nuoeuio,i d'idm,o'n,neullrui et le 'pseuasn,et Waprt000se on non-Isodoot user ta ereteocoo° rire orm'c4.n OIna"aaoo,

In ocanoonios rime entoen es nos de peint b unroeaedoee 11ols,O ouI i'.c.n lut .t'I'iee loue l'aOséuluart, sen 1 lOuis bsuonhs.est do dnnmuuoo;ieo;ula 1mo' ao eueplse, il n 450 e,00u,sO 'rUa dn5457.

Lo nulnpee t,uoràe na psou do ce 1000 Ino pan'qaeto se oefuoent nouoe'il b pro,ao'ulr u 0c0 00nrr

.01, Lo,ureeon bLoreol. -- La rlrrtsc'rr, ou' ml40e pua eigrurnoens para' rer,o qui an lioreot 50oaibolean door la pennoon'r.n de Il mur 'ral, sd'0mo bOsdvaier;est do O;-o,00rsrr quI dont lac

Se 000 rave. mos.11. Cacao, laI 1s fraude Oetouppo, a'rat

scie lrop e005an la no,eotece,deunu 00 In L'Ooouid'Eied un rois oat pIn 001000; un'esi y u 0.'] 0,nndtt '11 001e,' do nou,nllou d'rpre'lluvs ldrp'al.o

M. l'ossu> erpete O'nateolisn du crloloOnr sueta oeunilt dm nffe'r Pela lutom ephtnusr.

1f. Porno, - lia guonnrvnoovt tin net oroupd,eurnqn'il ri fol. r'ni 11 In ceiaerr fr riooisor

Lu sr,010 do lu d;r's'r n.1 ,ru'm A IerniI.a

odno'rr se0 looto 1 1 t;. 45.

le Prochain Conse

Puais, 50 a,,oe;ohiaLii riolirolra'. ,uo'lus,;unt 10,010 lu 'o noinreil

t l'Tlyuln, rouu ho plOsldrone do 05. FollioreS.

sla P.réparaton Miitare

Pur o, 10 nu000ibn'a.Un leroue.r paehnrotetaie'e O0dnla,nr os 00110g;

oh dr prO'lorslonr u poern'ler refIS-are, $000 000'rdyru 'M. 500ssee morne proian'nnf. cor rrorpbunr-canot dn M, Enelonua, u eetoeets 5dM. baobrnel 51s'iflesruse, pefaldOe.t dr l'Oroddrnlu don rporonoPIs, CiOOlst, Adslprn alitIonS, rIe,

Lu gnoops e emnrtr orne srtehr Un strie 1mo-;-U a'OOIOrrOn la dl,e'op;"u,not des ainirtOc d. lin-niallon pueealun 55 11 fuIra rrc,Or ora pinTe or. (Ornant lu r;;oridns ou do I ar0000, lu d,snscca'r; duorbI rie lui eu, l'rd,rr,r,;un phydquc as ta pro'

portrnrl 01m dnvnte srohi001rn.

Election au Conseil gnéraP

Drronrain, o,nleo d'Mrnbberuib petln005i500, 0,110

esenas1u de nooplu,ro M. le lvehsur,tisrnO5 oru,.,, 10101; IIouloOnOOat'sO, na'ObeM, 003 oslO. Il

C,ouluo ,o',Ouloiupn',. - 010 obI,,,,'. rCnuIrons, Or ria au 0,00

deal. 010daaImuulnn.

I. .;erospPui,:'ro;o5hr,

Une hauqnnr sti'i,,eene,s or. . I', os pn;m'u.pr, illil,h.lOo pu rraltO qol 1m "paolceodene;-Os;orini, ,'unfrI il fui lui au 1500, 501,0 d;f,roaton 000iLr;oosouloebrsero,'ilrarnd;nairnu,,,au, do'dol'" boc'polrni;no,ru d'iuulaeio;,;Id el 001iaeu

- L11 SIEUR DI ltAi011l0Corilso, Il roui routas

110 h Ouilla 0000uon n000l0000qnainoa na macàr'dri orriel do porr'r pour 000pronr ou cran de

00001101.

LI> C,)ouA'n'o D',4r"llllO0

1100hrn;a, 10 our"nds-e.Lo colua;n '1100e n pi;O 101js'up;lqrerrnoao il.

g',lroviurr dm00 000 un naurrrr ;ln roui l.,9m,rmeroua prordanr 10 onlro,a, lu cuitOns s'irait touanous tuer,

m,t,n,sboitcnto n'OITia,tOSiEori

l.unl;r, dunossmbne,Ou tolégouptne do 'T,r.u'Tr,m que lu mourIr du

4'Ctflosuro 11 SlOGan-Fou onptalO dolCroate, 055 005tntdm at que ecto h.-, rOsIonS,riruagenu uat Pld Illri',do u ponte l'iiva0-tlisO,11405 te Oc-l'abonna,

Li SOLE au 0,4501,Pais, lOuo,nlril,aa-

in JupO;i SaIn en 10 OiunOOnl dus dlunai'rlrou an'pebi PSu rilremnou pu1505ronru Pour qri'oiies roi-rsi001 outOeolbvemool on Clelsn dea serinas dnruaren rO qto'nllns euro-rot lins aniotu romm000li l'OSlO du IrrbUm.r mors oatonares,

LE InlOtP,nc000tGpl ITALIEN

[ Tr r1it Tau jaurs

VE1U LA AZI o do nuo 00501, ml 000aiivlaa Ion CibtIos,10 Loveo r putibeoil, it y o delco si.e,,

cane neàpeu'tualm oonrmrennioutaoa qu'il disait,5Or nnnalbtnqcas tort etnctr

te 005ruoporolorit oee'oaloemnb abliemuili,tQa0iu qio'onn 'I'olpa'OdWmsn les- OOrri'r

ml esoom'm.;or0bt, '1m ourff ii' a,iIIae.11smObbof, on dpsunmnr duras le, I#nut,nnm 014eslscst,atovns oJo- eupprotbeaeeoto. u"ooruin,at 00OahOnO, Lu buia do l'aanoed parpoal par b!tuIla oeeosi lU ,onm'onto ; 10 ouu,aenrnsnotdo h°nnoor-Euamuooal stout ru' 'M enou uhna-uonarur -: uomrroor, de lu '1tcpOildo,ae. ce r-eiarrslt aOeniddrrie 00n0u50 un, Fuit srrrrispli.Os 5301. go usntnnt do tenace (r fRIrons ultores_fun l'ltulin aunait oSant lu Prote uts lu-daeusitid asiecpeeautreor dm 80 mbbllaeu, tOnngaO'd gut orunraqen qu'ebbe u ro'cgaie duonbOa anerub,ouo noniluo'rs o, un'ao, 'halo'.peopunrrort de à-libre mués' Ouodu'ioceitit do80 a 60 m,Uiosa. Et la o'êtimhotuna du gou-'urecelrnemut rttnoourn punolrrait ueiquamemtautarue de cents rinlnm-oalua 4; 10 rnit'banrnrponird'slouotoe, nia r_n p000noulono ddtmiqinm.

Les ug000ms uffioreuonn ont décesenniro laonet005, al-mE noms, ns'eeou trnnrellrrsproéduno con (auto blaire.

-001e 10 e', u p00 de Ounoér aauar leu,Et e'oo,; que le 'r Tnmpa ' enlsueo colt'

noanlond rie oam000alsnrn qui trot par Use

Le rouc100pulioa 1,1 n. calot Olttcn - es'FoipoInlaono. où ltaleoo ao, 'Forer 'osto-4in 'n k 100; vue Touas pe,sltiorn. 1m aIraiutrisaroeho saaae,rrts eSel reeaojrot,-'lass.-tau,reoo,at loiSirs uasnl'0 tttOrnnrr damO ticmm Eqéa paruirnmnt. avoir 'c'mnrdri quelqueanédq tut nudremutrono rnlattvmn à de ta,'-

' 000etnoce,n.

-' ISa, 0,éppmotnmau de Cauatnestinrnpbe pou-bIlé-s k Vo-une ufilrrornt nre'unu qu'uo réemntotnrnstt des' n,r'serinn,° ra Ou Punis usouij moral-taUd l'e°t'peluol,hé d'In ut'uristire,

s Seul-1012, avono. d'aerelrotir 000 aine.matioro, il roI, ùoo de ra i'agpnlrr qua -'1-toto à aus0006 l'JuOOoOOon do bu Tripoiltol-sa aras pcuiununo'at 4rootbr 00 5045 ph5odrsrltnr 0100 oelLiop00o' do p000nm010u ord

lui 50 paurruol door ,iroù por'buoe0uOn retor,uatoason gte Ion Trac'ru des fuit aa-cnnnpli,

D'uuta part, bru 500000 utïotesoot gnon lar'laoliun. Inla da broc pa000lre nmnanesabea,ou ologopa piolet à pan,lorngor la r00000dsarne.

tIn paraoroout es rOb, oun000ndénar que fagolee,Ua000 in nature la ea,olarr-ar Inu lolosrlrtra i"O db-ono'o prroproo ns000ul,aunaia lia 10.00,pimo olbomau, e ,,v unr'bmesj qw. :0010000I'aocatpatiiou d'-bonn 010 dr bu este EpeOr 0eirO terrI pas 01111e, rI dernuaiuler' In suis,

Duvn rao onodoliore. rina u'iodolùn quolnha5 do sliouns artonl 'Inlbvo pnooba,nr,nnautprendra On, si Ici 'aboiligeuOutsss àcnuoutuur.dra oégocist,aam de paix cnn pourene3 ('teepi'hc ;o snunidritutlue uur l-nrsqu'ils evauntntuitinvaeo Urne dos (urto sa des ,Ieelaretndos

tillE XOTOI DE 1,0 POWTECoualuahmnple, OS aorrioàce.

La Pa;bo an eno.'oe,0 lea na.beeedOues de tuile.'toc p;'_',asuoas que or ,o.on Os,, boaOe 4 sonennuis ira,h0000 a-or sure, etc pseau;i torlrena b.005,iemcsaelfulnos 0cc eue de lu néaoinunr en QUO10e s000'r,s rir ,OOleouO tyclout ns brnuiu soirs'00Mo sue Osa puiona mnse'1u, no quo pesneels cxtra,er 00 niarlgotlon mlsooahiuàaia.

10,5 TlJR01110IdI uSlFuntt,1.00 foFlTl'ltdlO lli'Ill',t,LI11

05,00, 00 rooitemro.Ion bureau dr potin es> dan CecnnoutlnoplO

Or aciuoi do ,,00ri,aaso.ao lefItres odaOsaden 1000 Orspiiesselrse iurue à liais Iniallee,

1,0 mordaher dru poro a orinr.vO la rubnireflOe050 lattas, suu oo1rtdmuoioo 00. uormnt uiué ueue de lu San alasplise dl leuro roararpoodou'non pom los dcoli-ataanoo.

Cari! 0A'tS LE Lb?bI DE LA ESTSIlu000, 20 oornoibro ;000,'nr ital,ceunl.

On 000 h'lr dr Tohr;irio. '10 oono,iuOea, Oa

o POlo 'h,noeunt ,Ottirn dllru ''11 1100 p0i''lu léiéprapba. Vert Su tut1 rouoeat.i'aolqrmnlqua tndultluraa dn o 5000 d'Anaben soc-vont dc ;utdrO anu Officier, mmmc, lino Neuhomo oonrmE 1c'ois daIsosés 01. Ion l'ocam aurontdes pnnleo Orbe srmbrruroa,

lors tsusrliav de torons nentruenn'aeno pne .5"ponttioos itahio'eoru banni utlogosii.o damento nuit du 06 .onnembro ou 07 OaveWbrO a5

r ,rlrrcre, Oluim r, bu attnquo Tut rrpnelruM-In, 1001cc, asrott tutOie, t'enfles cru bonr,'lorarebul. Lot pertes bue'quor, onitttornda5'or do, i000ral.oasn u000nashvSO. esac,prrtb'

;'nItI Irnau:oodo do mol In al da blasodo,

Le' Conflit RussoPersanL',.SCTIOJo nFnSg

VoOl,e,Oourneoi1.onL. 1,0 ùadatilaO lu nliou,eum 0. f'orui,oe rit

patin pote Parue au' d,On',;,r In01010 'p Orouvo dopa ;éntoa 100qs hill.

I> DOIOLIOL DO L'OXSLOIAIITllhuiauO, la um'osuitcr.

.'4irle ou n-ou,I,oO da o.a'l uoso,r, Sularul 500''où, mon, de l'en 0m ca,huII; lit o,naiO oepo,o 'nOOa,oioa, u nOS dotai prOu do ilnrlil,i'd, lsidr,Ol

mOb 50000.10.L'oun;eo o.oDO1, lnelo,l.i.s,'uOriu pI iei,a v-,.

OuO; o Oant maorI p000 00,000 1 tO,ds 0,1$'Oarbud, rut r0000oà vau.et.tpo.

Ouais oento ,eosgoau rlle010 oeil Olarole 1,aoa

pelote' oiootOe

Acr ca-pao1LEO IhOluOlTiONO luIt 10101010001>01

Msirl.l, 00 rurr,uumr.0. olsorioor 10 lori,; l'vp;Oe lenpiul I,

110,0,0'; 050-r louer i ,uu,'snirietu,.irirol'a,,d'io-bloduOoUn lol-Kea; al Ounnouse eu à-5m10d'aoo auuo pesta du onmOolae 050ao..s,

Marrld, 00 uure0000e.uf.moao In Prou. P'nfos.0 b

lai p00000nsu os1ra0solo0 utI 56.

10 'us 10 qoseihou dhoboodnuore EILiierl luru 'lor.

De ato iiI. 10 1 l"s,-;r Vui;o,s,iI ; pilous u,,uror,m lo'u O ,ouel il 5u.000 ,uuto'r lUhaoouoricriirenlu000elerru droit -Su,

Ls aiulalus du Tunis

Fa rio, 00 uoruoiinron.ilo orlOn quo 1cc JcnterpsaaotUes drs aI-

;r'nts La8enaaiOl,ber, Chuosis luernut 00 il,Thatamas, osa 3es eWaicsos tnettisbeoesr, rotIls moira I O OccIre drl 100e de o asrtaa,dn pan-elsamu, DepUis bora, On guUvro:oemeat Ipuotrborot M. :idapetitr. eéuOdaiut géc,e000 on IOn-0101e, do répandra a Ors Iatee-pelIaIiors ongnolola Or oom.mooualan du 000ve000runrh, ruorait ueeonsd 40e 15 débat salait eaeo otocatrrelaie, uhlo do poannnSe-o à M. .tlepatilr borventa' à 1°I,Oio,

Sas oe,nnorude: do uro o naniot,oslaunernul, ccl aured'noeooa, ,bie'rild aoljour.d'touido o snponaoe o tout lnjooeueseeup boas ilion'..pellaliaob, ni au 006 lb srtbso-oi s500.lenI 00-Iar4orn. d'user dr, lu 1500111 quo Icui maltale arp000rmol de dn'pnoia ua pnnjnt de Oelul.101mo sbgsd do Ma moaderno, doat I dm1010-demuit In diocriunion Ouimddiuln,

ituis Inc useie,bn'ns du ffe'aonpr ont cr00 du01, 5001000. prolroiseA do aoaoail. uo:n',o'ae.rr

?uairinOoner rietdranl, oie étiecucniae umndeuliporrb,u;7. Es effat, 0f, Abopetib,r erE arrivé raieeotiuo 11 ,'dereoillro pao le poqaaàrl, '- Eneqèour..Pé'edra «, et ont rrp'uelc uroubtll yunrr l'a'

La épubltqtoe Porttig&ae1.00hno.ciu, 10 nonror0iio

La,, Ootioognnu la tldcb000nnn 001 .t000'arp lagobe rOséole prura'ia,.oJ'tiu'

LI Pr e oill1ue sstinuliO'IluneiurtUt, 10 naua,iOI,r.

4.0 pedaodent do la u.'pnbinpoe s dol aau'oouoné,Lnu ditallu ouauquene.

On sait quo la Repualoque duullmoublir sapas-lods auto In tl0putnlquO huitonsoO 10 mrorlloeravilIe de 0105, Paru ont Oraoacn 400m.

Lo pocuidool P cia dlOplibhOrun nhooS 10 dosé-001 ltaioun (Mentais.

Le Roi piO,atïoi

Lv o'ol tlosaca le' 15 Oe,'n'to;Olo Is né'Boni uofage

niloodoou'aouo tiresbril o 'mu 'iolpi'uui I 00Meue;uo mUe' çà, po'I était 5500.

Le Crime do ToursTrneo, '20 00000rbr;.

Idouoo'aué o Muer nduillolr,i oeit dl,' nu-1,10,05 loire 'do'Io'qcacrou dInacrél et nonudoibedont le robloot alt Saga It'insba'unotion pour yAirs obscOrestde, OU rp400uoE 40 éoliEn d'Olao.

- t1ecurd 5oaonteu 'o paécast a obeeooté k insol.'l'a bai-e mte raser vu r005me, dtr,onf. quO'lOOptaIt uulOmommeut un rruapnhiuort qo'eOOm nase'1taujouen gomIne ore pr;jaO,s nrim,noOn.

Usant dv réempcoritd Il h'dgned do Idnuu-tond, lIno' Greitlotie à insolé d'atléaure orrsprnnuOnoliié du aOtun-rr, on uttenbiuuut I,onimo b une Sassa poarsto..rOt puosio,oamtln;oSlo u porciioho b dire qn'viln o amont osUlo,tt'sn',o 00mo,, Aurnoon gnon Or' pueaomaitrsou, la mono le eee-'uouro qoi u ouphoquuoontponaucenl. 'Ir plus ootneetbooea0 du tmtaadr,donnaI In logo,

Dentale, In iolrmergmmaoniormon,au 1401cr0000101m n boson In e500ueil de In ,rmnmnrpnsohaice, O!, 0040e à-Curera preiratulnoerulsou onoleoa,thor,

Cr1,1 00 tait isaéld 'au munira do ,nrnnqlaela;matai11 la dcnsneebn 01 110m; boa o'puun Goor'-mOtu ml attaome canin. Jniab Poule Bounanganiro,ar,rànenct Ouserseblo le Juoclomntai Csaaooc Stoteonnoivan S000upe, pene ou d,stt'o,ra, de

otmarr',oanrrmr r, do roetem.snmta, 0610e 0011100On, 100, tout, b nuop à nos, amie o n Rn0oo'daodoua if. mors de sac mari I

M. Gui000is 50 luinnu ba,eo do logo. ,!ei-ne; Mmm Boramsgcaoo lac prit lu ooa,a. l'eau-mica 0e snadost et Occis pue boOO'r I n VoUslare Os Opuor de rie ddvoloppde, s'oon '02, con

Lio,"rnnruo, olennio toUt jayouo- 101,Ostdeobra, es s'oito'csnaub 1 00 mb-mena; nouspusrnuer 81es hnureuia pooduno, do l0nf000aLO Iondoeluin il-01010 uaraaomati pua' 1100o'sou>

Sbs Clmuoleuiasl nui sil-sdlO, hotmpeeébe de.uounhimin b lntecr Brueriguro dm liras ,tauu lamain de rue souri, prue la ieuhlieureaoo étart kla Vr'OIll do uosumls'r mous no nuupn ,te ano

sU da Tbir

b-51010 OI'OIC'Oot'tnL°Or 815' L'a .hob'sO' OLOMoSOttnedoariu, 20 ,lnoniObio

Or i000P, sou0000 eprds-'nIdi, 10 (osarïrp mdLion, au h l,n du o',Uoaunr b Lu nantIe ' '0dahu dlail uaotrnomblt, Dès Il uenuooeoreroeomdo 10 imprasauialoae. mm gniopn la jnosui gnoulIait nhludtné 1 anndnlea te purotaole, e000eaoldou on-Or ri frafnp.005 otntirbomooeol Ose nodal lesouo'emel .00ral dr o0000i'iOOurM et dec i0a'un,,osodu

Ooudxe, mens b sumos et drsnr, 00 oIe leunan000ss pn0000ro car Ir bitors de la éalrnto- despapier, eoenssu000 en 00205 .40 (cou r

Lui aprilotruos 1Mo 001005 9100es apoaçoreutfloernra ne air ptsoqst oseraIs 05 pa.'mb none,

calot alscu ont 0000se dole erlu les sse. .0551.Iieurre0001eol. Onau les dl05goenr;saa 004.055 oeseoelOrsitu et olenlrute pie' la trIée. lesnrlrrso 10'10,11 nones 0l, affolée. en Ialsml'r,.nml no-00 luboum Oo ha pan0010on getenle ou la u, se000lo.'lie adsou ouhorOerkt'OOonOSO rt oSa d'AlOI'

que ors o'1ierluecn's u' la deonitnee, 11,5015 Sus1111e son ooaeeunome000i broyant, os hooi0000t 050,non' sur noou de 10 paeorinor, u ,ii 10,0,110, 1 p

linr'q000 terne.5. rons Oon'qsiiSe e, ré;'- fouimmrlo 000nelotiot ipan s aoaeurtOrerr Ion pm00000nii;,' do 00 ue0000ne gahne'io, no-0101051 gog0001101go tuiomicoal ,o:is elle trou bon 00 polOS o,et fui outinl'nmror .ie000laar.

tu00 un aaonu UmnOaO Mus,, Ou 000e, moiieo011 oluiloi 05 s000'raio 00,01, 000uaa dn 1, tau.loui i uoa 100iallon do umnceae ton 10 $001001

D'uulor pool, d000 I'alOrInmooO, 00e bolaulu, '1morojuot nlson 00 piOnipuul000I uous 10002.000 d'ai.uooma, duUO Ils Ion 0005 0000010 sua au, 0000noeo01 un luluOfront butor 0e 0,0, rnrerrbuon. uuooo0000 r00000, nI0001000a.uOu 1005,0, 1,101 0', olss 10ionl O'oraPi5I050 no,tult de adaqir no e0000uluaolO f000 bu.: 1mo 0,00 0050 000'S 10500 dan 'ou,ne00000.' la PartI P40010, irlo 01e lu f0011',

tu surploo. li OIsOn On 000010p000 011 '0001010;' nI,: li Pool u' sorurro u,'oosa fa 0,1,01555

J;' PI;', ne On 00:0, tairait Mu ,s000borlu or1,uppooO0OiOa' d'nol'\ 010e 0001 f0; WonO, On,raton, do loirs;,, 11 00 1mo OnOmnliul. s'uinrr, ttmotu aroO 105 gal 00e on;, - 1 0;;

L'ooOaul du ;;um Ou 'O'Ou,volrr Or toi. fur r005a;

ol,iilol500 ou, I va liai

dsa srasinsbom cl dec £claea do veeee, Pahi l'es.aes,t flou bond au nensboiea.

LrOfOl'doenonrlapued'oeesenr,upoatad;uou 0' a aaolula nt-ui I, i '" no paon o;nou-

mu'o;i,ilu prls000rO I";''';;'s.nnn,,, dr 5mo.m' lrc oh roc du 11,0 no 0dm seaaolrr su;u

Oanepo otrorla Ouevnl o,,ir0010 Ire st,t,-p,s_ 00mo'g00000 la salOn do 1005150 10 lU 0500qLa000bue l'rrublls,omeel 10e r0010 051001', 00mrrouosno Pu Ohnnede, su 01m,1 su auudeenr dc000e,

L'eOillOèOe u,aon:oum u 0,010. p-001nnma 000510000 Or 10usd' bu uolroco ris ris S,tauedem, P000In 0,100,000 00000e rnnorr ln5000ss.

Dann la rttaade FaotølIe501000001 'O0)bt0dll't OIS 001130 QLI 00010

oLrnonoo. - L'ALTOPSIC DII VETIOUUA'O

TOldsu, 20 000uelolror,Dol, Id antan, -1001.' maie, O, r"Mi

moud ' ri dit I' ,'irleornu ' 00,1 100 00500es .500lIrp10000.

lolo 001m, ra r;; u,!000 00 lno.000;nrol, Olinmar000,ioep muo,ttor,000 liera de daroo.

La eratolut 0-050050 san,olns Le 0,0001, 100mO orrible sI roseagou Ou, Mn luloloonnofu ou es pao-iolsineai leu ose ouupoenr, o 01f uonuoeuif as tOuOiu0m nndllsroauru 05,051,8 cosopé, O l'uOoOonm oulalmru000een 00005iput,

Lno nnOlasmnlo Sas OriOaO en malle gras 000e Inuolrpn'ou,amoesesioetsa dodu eucc'or'Oa Mi, oulorende Ira 0000,00,0 ruaadmr cl 5m dlr"oOnnuitooleo001 ouI c)gcra'ddea onlOni,-alienroorout montons.Su et qur trac las nUloaues-ainirann oroOlmol.n biset mono 00m ii ddsofltrmOnu d'nognsoa. aIaaui quotruies 1mo (501ulneo et eMer 'onnas don 0e .0e'

Comme dans les romansMIlro,tdruoimùo,

ItOnn la 0000m nI, ,11, Oal1ou Cloront5 osado nureou oerauioo u Cula. ou oie 150 pas peu

;rrenoir 015m la u'1a d'oua unI, aras'Or dunena, renouu mIr1, l'Abe,,oudes, où ale hie;bnale, MaO, I 'élsuseinest os fit go, smmlrmo Iosu-'soi, u r:e.toune déalva Otou o aure de 0&njvoaLflembo, l'a senne lnon,aa do ,'hinnbie su r,'mea de la fusu'°e Ccmou, o:Oo doaa,odo qo' u loioruniloiot mn e50m,oO, 0 'rIle ouoii 006lu 00batuser nInla Oea naaéea do ssrteoeebeo nodeno'lom;oa,r. ltasraoliaoueunoltna 00 Or,ià quobhoa,ilc daoeeaierse r eoul trou k mener' insu,.lacnOo r granite dame usuels tene et fce"sr.Et umood000 qon do pôciØtnco MasO il sesionnàoodeao,osocnshrreenul

La puoere Mulmisa,. 540 ,ts o M'osa ce0006tad 'ont gro,bdo Seoir, asuls 610 eUs sue OlendisOuPenard.. Ca o,uoa,ae su o erunume ee*csot l'onOu,Oshusri'noods 05 I OOI,Oaesl monoe iln poiesO'

Idoalelna d,meaato, Sol Cr00 s niena 50.' b,odeaa0nron osa parneaoe adoptits, de,eoue gouodrebaoa.Iolt boasu 0000 '0500 00 .0 u 'p o ouua bao'ra.,q', '00 '010m Ou 'rot rob 5ani celons 000emeaeom,.ela ai ertsloo 00 In Inuoniu Caouas,

Une femme qui e S marislInee"t'aabi', 10 uoncolo'r,

Ponce toast itnno,l, dc llr.aia,euoar, n In ,'nouy.oudoc Ii;gooaco bore) iéluini000 , boloansu las Surirnues nsoénlooioa, e Ois sretl0s, ZIg o,00r 'unsu pmuoscoo Os eàrj 000cr. et ai OnupIo.00sdodat 0500e bmueneabn d'na,iOor.

,I,raorsdssou lot_a in ente sons Onienmhio00 partir n dé-elle, hier, eu momeuu où or i'unrôt,, ut 'aco,re dons dpeso eue abmq ea,'rnl 0Oro,shle leur pe.o les sasOon ra oetalna o 'espase qo'oOou, sreoiehS 0,00 )oionrc l'an de l'ente. rosa oIs000ose,000 100m ai l'outre, e J'ai leejsune me,,slimria'l.r'etn, pus osrinrmo pues daet i'oeesooc, ilor u en, t.emue,o 00500 l'eoiolt eimcoouàen4m oneos nier. OuI de s Mouver rI Oo000is au noosa emueear uaoa au sentine, ji sonp000 pua su 0e.,abarobou ,'u se Ue00100 auiol:ooqn,e.

Mao bous'. e qaaoaule'oosq ana - Voue sa'motel 400,, e'ni'uso acm aoee0000s 1fr 000e 11,500,sou nteeoaea épiai, "an 000a nsnuoanbise In nOnne00 biramoe Ou Oe'épettsnir O

SOus, iu.aalis On l'us, oui' sèuqae 100 0Mb pe,0ioe on PcnoaOIslS O Os oaumc0010 à puerons05505e uttseno O'hraamo k no sOir, Su ou pou.oouas pou isa sols. o Je loua s,

51110 fteluss gIn 531, as losou caSa 00 'nu ou,ada, Oo 001 do 100,1, litrere. lumoseans peLs O balaerop.luieo, '01 1,110 onleuu, mols 101 0m pOseput pas notitire ra mplrotouas die 000 morne-

Drame navrant.0,Igoo, 1m eano,rbrn,

Le psqueboo o Olsoniubial,l0,ogeaud , ose uS'0iéà ,tlpteaceneonranoinstutoenoey0000iledo suimlde P'n.n pasrugre rio loo Psoet, lI eIngh'sain de 05. 53'e Ooaposta.s, 0gO de qauru050 an ussou, isdéso'eue 4e l'oetlIises onnuio, u, euag4 al.asneoe, qol eOoaIP noie su 0Mo eIsoOsmO à dope,

fis getoen, tenmeaount ira porte de 0f, Ounpn000eOsoc,nOa, ors, hait bosons du ruo0o, l'sums:O auOeoaco I"iogémirae pont,, ou tappOrO 40m .r;001accdeeoseebns'a,

Il p a qoelgoe oemainer, 5f, Pouoorto Oaapurà-, mvi aces Il morne t I I MaccIa pdirsmdeo

0nt, fr000 dc M. Sior S000_000sa, s'blud onbriià loger 0i la oPee daea ep.icnaodo pin toi aooitedr000ie nos pt5n, (li datsbes, M Judas tusirse'OiS, es arei5 anevu us pssfsed rlregolo 51 0mobuse ii te ,oioidat O sou 0501r. 100. Elle sml,nn.bas, poil ôtait on gn.rslenu b 'Fouler tort ee000rvo0do smaecau dat qod Is Oeq,paia. lfunu cai 00..eosel000eo, 11 pesant psaaoqo à 05mo da n O.lood-ohd.Sugmu.O s, ais de eest,sr dam as tuonlla.

Mule ï o hue pas le emisepe d'ocmnnooplh' Pu0,ueornOo 'ruotn oslii'ene es Il ne tmnnda.0 P000 05oobiae ooutne mouo nnsonls do Or dIre,

Etopoisoonda par t CloanipignansTess,o, >0 00000n:r.

tdnompulroams,meol rue Ils o510lpi30000 dovoagn,souq goss.000usnu Ou ,a±O luoo'n' 'rus,out land O,0jfrboono-0 bo000,o des obaUIMo, lOmauoumsioleuaa' à lu i000uinopho; olng mulotes nov,USaro absr,unsa bu Soa00010boe; oioq 000es aoniO route nuloOroird,

LA PRESSEL',Ob'l'AIIoL uILOI0IOP,001. .-. Long plr.tillbict,'L

01.10 LOlO lil'OlISCoIITIIJONS

t,a 0000ioa Ooifu.Olubr Sapui,e r1,0 100,00 0,1 0000nool. s et ranima Sa, aIs

Oeu000-uuo,'BOlm Il, sa pacaeaoe 050 OSOt000'00.0 JtsOOlOi, 1,,oaol et Pietonri, en ll, le plu-o 10'uà000ean p00a.bnle, 10 mOnt de, ri;'olonoltuOs de01. CaolOaOu k L000he. A polo. iiaao.,ie colunsé 0emnrorua 511,115 011,11 que Psutul npéoa,t 05oa'rdr Ils sro fus pot suepn-lt, peu plus, dotar,te, poIs lev oamrn000u pmasa000, pci, os miroIestteemrt nuounn luqolOtiole. tu perasusabisl doUroogol puusait.00li. 000 onelu000' r Osai al autre100e 001,. peuaaot. Oies à loi-i, murpentani, polo-

010 chopai s'empoO.oniil dc oomrouo4050 leu ou-h'd'r.0 la Qaaeaa aOm0000. COIt't, os lino latrOd

o, po irabonoronaooaauta du pohilbo os 00001,c,O Os l'aolridenr 4 Osu.dhouu nui000snobi,ines, loUaou lo;m001 eopy000r O O'opleien 1,000550 gloSe0.051 'r .uI,000tsn Ovpsanounn' r sot r n

sPàt5'FOOTBALL RUGBY

Le tsar-logO ut; la Fnun, r ,illn; M lOuras.A1PlOtin'OJloOn par 110 pai000 O I;

- e;s nuI-JO Dlonrio'bmoo o bolOo l01ioioo t0000 nuCo,teaaoointu par n poioo à 01

- A 51001;. 12 OIson Ytnlele u eu l'0000'U1e55m l'Mrorno Boyamoulu p10 0 poi000 O 10,- A 000uoou lu Seotru Falo,,s asurquo Iprinlo nro -ou 10 BIaerIOO 010M.

eliiu'rQc4AL,5,Sit'00,ouo,,uiooro .00lrooren

al miàadu°Patai oar

1)0 l°.Q0005

do lolo-m, 0nime Olreroom,eonolo, dl 1I O 0'iru000, 50 00; 0 de

IObds I oaiornnl, 10 01, pronhuos, ou d5Ouimra, 50 53, 4 00 Oluns, 0.5 10. 50OeI,olso I Clotino,o5, 11 00; a'aosliono,

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iO,tu,Ocs I e000sut, 20 11; isuobuni, sdoocools,a,OI O'OOOIOOuee,llOO,lolo ; oouiol, 10 50; prsmla010, l0 t

1m 00; 0 5m ur000, 60,Llola.0 I n000uut, 61 Id pnaaf.oie, ep

l0ne01seoa, 4107; t0ie boume, ni on ',ua.aeoiu I 000reiiI, 11 75; pesnba,u, ;3 Os ooc'eanhirr. lolo; u ,neo'ons, 14 10,Oeauru I ouaeuvl, 00 100; pnorlo.ai,, 05,

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euo,na000b000.loullOà,uoeroeccs.11lnt,irnlsu J O O b,, '0 Oo,nnu'000 coIngs LO 050100MIus, oololonOt,nsouOOO1O;mbst,ulo r0 paonne, 40 t 50,

BIOLIOGRAPHIE

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LE EU DU LA LIGUEPar Paul MAIIALIN

Toutefois, cette agitation n'était rienauprès de celle qui semblait s'être eut-porto du frère profès Jaoques Clément.

Raide et immobile sur son siège - eldans sa m idoste robe tic laine -- nousavons déjà constaté que celui-ci rivaittoute son attention sur madame de Mont-pensier. Ses traits témoignaient d'uneJerveur sans bornes, d'un culte à toole'épreuve nmir cette divinité de son choix.I, dévirait, en quelepic sorte, chorus desmouvement, il ramaissait - pour lesboire et pour s'en griser - chacune desparoles de celle-ci.

Puis, lorsque la duchesse avait baisse10, Vois ; lorsqu'elle s'était si étroitementvapprochec de Pergame ; lorsqu'el° avait.semblé se consacrer tout entière à lui, etqui'l avait été facile de lire le sens deleur conver.tion sur leur visave et dansleurs yeux, l'état contrarotatif 'du moines'était changé en une flecrense et doulou-reuse émotion.

Ses lèvres minces avaient blanchi. Lalividité dose prou était devenue effrayan-te. S011s Ses paupières démesurément re-levées, sa pupille couleur d'or lançait les

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La Mèche d'OrParr Pierre SAL1.5

- Vous aviez l'esprit .bien calme pourremarquer une choso aussi peu impor-tante dans un moment aussi pénible pourVOUS.

- Qui sait, dit Serge, vite n'est pas cedétail de peu d'importance qui permettrade eCouvrir lit criminelle Y

- Je vous ferai observer, en tout cas,que ce parfum a disparu._

- Il s'est évaporé ; mais toute ma vie,il me semblera que je loi dans la tête.

- Votre père a bien dù prononcer quel-ques paroles avant de mourir ?

Non. E n'a dit que ces mots« C'est celte malheureuse I»-a- Et, après cela, comment se fait-il

que vous n'ayez pas pliniSSé ,ln seul cri?- Je vous l'ai dit, Monsieur, j'etais

comme fou... Je m'imaginais que je rê-vais.,. Voir mort, à. MS pledS, ce père quej'aimais tant et qui m'avait enserré tomesa vie I... 0 inon père ! mon père ! C'estmoi qu'on accuse de t'avoir frappé !...Moi qui aurais donné ma vie avec joiepour préserver lu tienne

Sergv, se dégageant des deux gar-diens placés anprès de lui, vint se jeter

iVite aue jour wu., qui n'ont

peau's huai .fo'didt. Conan. Livy, édité.

'Pailves eartés de Del du ellitt.figre auxagnats-Ces clartés allaient et venaient de l'of-

Prierqui eidgtiat eeieter .Îtitle.oceint,e'eq

quand elles s'arrêtaient sur mile arme delabile, on eût dit que l'acier do la lamie serougisimit de taches de sang.

Alors, it,Icques fermait /es yeux. I/plongeait ses poings dans les larges man-ehes de 5a robe Ses mains se joignaientsoirs l'étoffe. Elles s'accretraient. Elles seretenaient.

s'agissait de résister à la tentationde sauter sur ce couteau et de le planterdans une poitrine humai..

Cependant, M. de Guise venait de selever après une dernière rmadc.

- Têtebleu! messieurs dit-il, ne nousendormons pas dans les délices de cetteCapoue ; nous aVon. de /a besogne à p.raehever oc soir.

Ensuite, interpellant Bussy-Leclerc etLa Chapelle Marteau

..- N'este,: pas la empagnie de //avo-cat Roland qui a dû prendre position Munele cimetière des Innocents é .

- Oit, monseigneur. et c'est là que lesautres officiers de la garde bourgeoise seréuniront dans une heure pour recevoirvos instructions et le mol d'gsvdre.

- J'irai les leur porter moi-mame...Vous intaccompagnerez. eapitaine Por-garne... Vous aussi, Saint-Paul et Mayne-v Ie.

PM., à sa soeur- Duchesse, j'ai fait dresser des 'ta-

bles de jeU dans la galerie, et je vntm

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ots cosmisnen SUR LesPIIELLES num. tue. SEet mr-caMsledds0.0.00000,

genoux devaet le cadavre. Pendant cele chef de la Sûreté se bai.att

pour ramasser la haelle ; mais, avec eeSOM nutannlctte qui disungiteChut les enquâtes de la justice - seindont les résultats sont. hélas ! si peu heu-torts - avant de relever l'arme, il mar-qua au crayon rouge lemplacenicut exactqu'elle occupait sur le planeher. Aprèsl'avoir regardée, il dit :

N'est-ce pas une arme étrangère?Si, répondit Serge ; c'est une hache

que mon père.avait dérobée, pendant sacaptivité eri Allemagm, et grâce à la-quille il a pn briser la porte de /a forte-resse où il Mea interné.

Ce 'souvenir de l'acte héroïque du corn_mandant III frisonne tout le monde ; muron savait qu'après s'aie évadé di.A.1.1e-

magne, il avait regagné l'armée de laLoire, où il s'était battu ennui cil lion.

- Cl cent avec cette hache, dit le chefde la Sûreté, que vous avez roule-Né laporte, derrière laquelle votre père se dé-fendait aujourd'hui?

- C'était pour voler à son secours !Le magistrat haussa les épaules et con-

tinua l'examen de la pièce. Le eomman-dant Morain était un grand ameiur d'ar-mes; il en avait littéralement tapissé sasalle à tnanger. Presque toutes étaient desentes Militaires, /melon.0 ou récentesmais un des panneaux était gânimes de fantaisie, 'des armes de chasse. Enregardant ce dernier panneau, le chef dela Eilrele vit 'qu'un clou avait été arrachécomme dans IO sahn. Il se rapprocha deSerge, et lui tapant sur rtapaule

-- Est-ce que cet armes étaient à votre'Pieu?

laisse Britaaa cl Boit4DMiphit psoe voustenir tete à la prime.

Tout le monde était debout, saufdom Modeate Gorenflot, ne seplaignait point de la grandeur qui l'at-tachait au rivage ainsi que devait lefaire plus tard le Roi-Soleil, eût pi: seplaindre à juste titre de sa grosseur 4,r,le retenait dans son fauteuil.

Saint-Paul poi.sa Clément du coude :Hé ! afiez donc aider cette futaillepleine a dernarrer... Et roulezèle jusqu'àson lit... Autrement, en sera obligé de lamettre en perce pour l'emporter.

Le Balafré s'enveloppait de sa cape et'agrafait son ceinturon.

Madame de Montpensier avait l'aird'arranger symétriquement les plis de sarobe.

Capitaine, muromra-t-elle rapide-ment à l'oreille de notre ami, qui s'incli-nait pour prendre coupé, Capitaine, fat-tes-vuus indiquer l'hôtellerie de l'Epéefier Chevet:ter...

- L'Epée du fier Ctieeiatterp Eh ! je laconnais, Votre Altesse... Gest El que lesuis descendu à mon arrivée à Paris...

Eh bien, écoulez-inoi et retenezceci : en face do cette hôte/lerie, il vune vieille maison d'apparence vide- etteiste...

-Je l'ai remarquée, madame u serte-P-hase- aux volets clos, qui semble privéede toute vue, veuve de tout visage hu-main...

Le Lorrain ajouta in pePoVis-à-vis du logis de mon compère

Rriq.t.La chiches. continua :

enàuelx bicatiortaties, sudistes, (1,51Z3741

Serge regainu et repOndil- Non, ce trophée est composé de mes

armes de 'chasse.- Fort bien. Remarquez qu'il manque

flop arme au milien s un couteau, sansdoute 2'

barge tressaillit et instinctivementbaissa les veux sur te couteauplanté qui élan tombé près du cadavre.

- Vous connaissez peut-être cc cou-louis? fit railleusement le magistrat.

-- Oui.., oui... murmura Serge. C'est lemien.

-- Ah I vous l'avouez ?

-Pourquoi tie dirais-je pan ee qui est lavérité ?

- Cela confirme toutes nos pr4sornp-Nom. El. vraiment, je me demande coin-ment voias osez nier, CloCalre, 1110/, qU'Ot1voll5 surpris tenant à la main l'arme MI°siffle... et que celte arme est à vo. !

Serge eut un éb/ouissement- Sam doute, dit-il, cette femme aura

arraché ce couteau pendant /a discus-sion... Elle aura eu . morno.nt de tette-

- mais vous misonnez fort bien, ditfroidement le magistrat. Seulement, vousme permettrez de croire que l'arme a oléprise par vous, dans le tenon., et non parla femme_ Est-ce qu'une femme auraiteu la force de donner desi.cou.ps aussiviolents ?... Votre père mira fui devantvoué... Il y a des chaises renversées dansle con/oir, dans votre chambre- Vous lesuiviez... Il est revenu dans la salle' àmanger, il P. essaye de 'se barricader...Vous avez enfoncé la porte... Et vous l'a-vez frappé.

- Une dernière fois. Monsieur, je vousjure que je suis innocent I Dois-ije vous

- Cette maison sera vivante cetteVivante et en haie., Pour voue.

Elle appuya ;- Pour «nes seul.

- Frappez à sa porte a minuit... Onvous reonnailea à votre manteau gris...Ainsi qu'aux trois coups de heurtoir quevous aurez soin d'espacer reguldinement.

M. de Brissac s'approchait- Conate, votre bras, dit la jeune fem-

me.Puis, en se dirige.t vers la salle de

jeu, appuyée sur le gentilhomme- A bientôt, me.ire Pergame.Celui-ci restait confondu.-- Venez-vous, capitaine ? lui crièrent

Mayne-ville el Saint-Paul.Le Lorrain se hâta de suivre /e duo et

les doux officiel,.Pendant ce temps, avec le secours de

nombreux domestiques, Jacques Clémentavait réussi à renflouer dom Modeste(aphone dans une béatitude qui, muséepar la benee chère et par les vins dechoix, tournait peu à peu au sommeil.

Mais, tout eu procédant à cette poéra-lion, le jeune moine n'avait cessé de ten-dre le cou et l'oreille - vers Madamede Montpensier, derrière laquelle il setrouvait. '

C'est ainsi qu'il n'avaq rien perdu duendez-vous donné par la duchesse à, no-tre ami.

Tandis que Gorenfint, majestueux. com-Me Rchérnoth ou Léviathan, s'éloignaitau bras de deux valets qui pliaient sousle faix et le remorquaient yetis sa &iam-be; lef rère mons demeura un abornentdebout près de la table. La tête penchée

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IIISTOIREH. La République de 1848 (G. Re.

nard).Second Empire (Albert

Thomas/.

'et il/ cttlantlin 1d.3'=i'etretbretlithl.

15 La Troisiente Republionel(Jahn.abusquiere et J Jaurès).

itt histoire anecdotique du Cru.ta (A. Thomas).là. La Comm.. de Paris (Kael

Mus).16. Histoire du Socialisme Jean.

loue le-alu Lues'.te. Ode-ouate tue 0500nsetaea

ft Allemane).CONGRES

103. Compte renuat da Congres,salle Wagram (decembre 1895).

100 Compte rendu du Conte,m.t declonunentry (septembre 15.).

101. COMPtV rendu da Congrès defleelao (.piennee l303).

109. Compte rend. de Congresdes Elne munteipatts (1.vier 2904)

lit. Cempte rends an Congres de0tini-4,71,01d (septembre /Pep

173. Compte rendez du Omo Conearts nati.al mie th Coopéraiton seciatiele.

.,.'è14;i:ee, dr rt orko.;g2e,,.g°e..

COMpfe rendu du Oins Colinés naltemai. de la Coopération ne.

rt,. Canin/é /va.. due 6rae Cnational de ta Coopérée. su.

ETUDES SCONOMIQURSEV POLITIQUES

NI. L'apprentissage (Pierre leison).02..

ieanoue;lemet morale vie

513. tltllt.'lre de "la susuovopss,;Earl Mura.

une. Ossa, sur ta prophète (Tar-

205. Le Ceddifai tir Kart Mars (e...lem/ Bevin..

200 Le Produit miegrat du Tes.ma (A, menée),

répéter que je n'avais Mdenn motif de de-aler le mort de mon pauvre père ?... Jevous jure que naati père m'avait prenaisde ne plus s'opposer à mon mariage lors-que tues appointements s'élèveraient àcinq imite francs ! Eh bien, non seule-ment j'avais atteint ce chiffre, mais jedois être intéresse, l'année prochaine,danu les affaires de la maison Ganchois,Perrin el Gie...

- Mais justement, si vous avez annon-cé cette nouvelle à votre père et si, naalgrécela, votre père s'est opposé à la réalisa-tion de vos désirs, dans un accès de co-Eire fo/le, vous l'aveu frappé... Pont celaconcorde.

Serge eut un geste de i,:espoir, tandisque le magistrat continuait

- Et, d'ailleurs, je le répète, il doitexister d'autres motifs... que .nons décou-vrirons sans doute uvant peu.

âlethodiquement, il poursuivait l'exa-men de la pièce ; il arriva devant le buf-fet. En touchant l'abat-jour de la lampe,il aperçut le gant de femme et la lettretachée de sang.

- Ah ! voici déjà un gan.i qui va nousmettre sur les traces de la femme, dit-ilavec satisfaction.

Il chercha minore sur le buffet- Je ne vois pas l'autre gant... Serait-il

tombé quelque part dans la pièce ?Toua les agents cherchèrent, dans la

salle à manger ainsi que dans l'entrée,dans les autres pièces, dans l'escalierservice. On ne trouva rien. Le ebef de laSûreté Mt

- BOU. Nous nous occuperons de cegant tout à l'heure. En attendant, voyonscette lettre.

en eVaint, les lèveet serrees, relsongeait. et, pure/min de Inn tr,st.plissait de grandes rides, qui étaient cont:me des balafres et au fond de.squellesseniblaie.nt s'éventer des idée, sinistres.

- Moi aussi, pueisu.l.ul tout haut, je laconnais, cette maison da carerfour Bossa%Puis, après une pause- Gent là qu'otle l'attendra anjour-d'hoi, à minuit.

Un frémissement de colère et de dou-leur le secoua de la .nuque aux talons.Ses ongles s'enfoncèrent dans la paumede ses mains. Sa poitrine rendit un râle

- A minuit A minuit !...Il répétait ce chiffre. il se faisait entrer

cette certitude dmis cervelle aveevolupté 'farouche que d'eue., sectaireséprouvent à se- trouer la chair de la pointed'un poignard et à retourner ensuite lefer dans la plaie pour savourer plus long-temps l'amer délice de /a souffrance.

Tmit à coup, il parut pren,dre une ré-solution.

Sans qu'il relevât la tête. comme celuiune bête qui ,guette, son Mil courutsour-

noisement autour de Mi.Il était seul en quelque sorte.Les valets éclairaient aux invités, qui

étaient en train de sortir, qui à la suite dela duchesse qui à celle du Balafré.

Sur 1 atabte, à la place que le Jacobinvenait de quitter, ores de en verre et deson assiette. - également vierges de toutliquide et de tout solide, brillait, avecsa turne d'acier et son manche d'ébène, lecouteau dont l'étrange convive n'avait paseu à se servir.

Sans regarder, jaeri.s allongea le brasvers l'endroit où il savait /e trouver.

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- -Il prit d'abord l'enveloppe qui portait le

numéro de la distribution de trois heureset demie à cinq heures. Elle était adres-sée à

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'Monsieur Louis MORAIN

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Parla, - Ruede Rome, n. Où.

Le magistrat prononça :"-Je n'ai pas besoin de vous demander

si vous avez lu cette lettre elle est ta-chée de sang ; vous l'avez donc eue entreles mains.

Serge s'écria violemmentNon, non ! Je me rappelle... Je ne

songeais plus à cette /etrre... Mais, en ccmoment, c&a revient à mon esprit oui,j'ai vu ce gant, et j'ai vu cette lettre... Je

meme ouverte, mais, je l'ai repliéesans la Ere... Mes yeux étaient obscurcispar les larmes...

Ne vo. donnez dom pas tant depeine pour mentir. Dites-moi plut& Clvous connaissez M. Sian iSlas /Marmont.

- Je ne le connais pas personnelle-ment niais je sais que c'est un notaire.

Gommant sa.ren-vous cela ?Je le sais, parce que mon meilleur

ami, Claude Gai:ancien travaille dans sonétude.

effitteau d.partit aem Mânelt7Puis, le ;eine m'ire; Censriges vers ta porte,

là4bas à minuit.- Et moi 05551, Medd0n0F4dil,

je Serm

Dans la cour de l'hôtel, on rontinuatdistribuer à quiconque on faisaitmande, des armes et des munitions, -Deux officiers étaient préposé, àbesogne. Ils étaient, en outre, rhu,.`'e_d'exalter le zèle des postulants eu 78glissant, à chacun, dans la maincouple d'écus pour boire it ta 01515de Guise.

Personne n'avait garde de déclinertelle aubaine. Aussi les deux dispei.leurs des large.es du Balafré serent-its singulièrement étennés

'.qu'un quidam aecuman leurs offres1-4subsides par un I t Merci ! » .c ettain.

- Merci oui ? demanda l'un d'eutMerci non I répondit le quidam,

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- Et 1001 prétendez toujours neconnaiLre le contenu de cette lettre ?

vous le jure !Eh bien, roui, je crois que, non se.

/ement vo. le connaiss.. mais que /°°'Pavez e012¢5 avant Votre père, à qu '-pendant la lettre était adressée...leurs, je vais vous la lire. Et je suis Pe,'.`soudé que nous trouverons la te nus.secret qui a causé la mort du comma/.dant Morain.

Le magistrat lui à haute voix :

e Monsieur,» Je viens de recevoir d'un de MI

» ocinfreres de province, âle jean 1,00.boss, de Bayosne, une nouvelle Weil.

o portante qui vous concerne. Il s'agd» testament de votre frère, M. Paul Me-» rais, qui dirigeait, à Baltimore, une» portante fabrique de tissus, et piss mort tout récemment, dact de, e!,_» constances que j'aurai l'honneur nV.,» vous expliquer. Ce testament. d'unei» leur considérable, est eutièrcruento on votre faveur I et ('st moi One t'"i» frère, désirant confier ses volontés»

notaine parisien, a choisi .reuiC» cuteur testamentaire. Si or peht» vous arirvo à temps, nous pourren

ser dès ee soir dans mon bureau,..» suis jusqu'à six heures. Sinon. je01» mettrai demain à antre dispositiâa,» l'heure qui vous conviendra le ane%,

» Veuillez agréer, Monsieun, rassura» ce de ma considération distingue.

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