le nouveau genevois, septembre 2013

Dossier spécial

élections cantonales2013

DOSSIER VOTATIONSDU 22 SEPTEMBRE 2013

l’AcTU DE l’éTé

La revue du PLR

Les fêtes de Genève

Retour sur l’université d’été

septembre 2013

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Par amour de Genève

MAGAZINE DU PLR GENEVOIS

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LE NOUVEAU GENEVOIS – Septembre 2013

SOMMAIRESeptembre 2013

EDITOP. 4

l’AcTU féDéRAlEP. 58

- CDI Suisse-France, Charles SELLEGER

l’AcTU cOMMUNAlEP. 54-57

- Veyrier se dote d’une administration 2.0… who’s next ?, Thomas BARTH

- Pourquoi la vente de Naxoo est nécessaire !, Simon BRANDT

l’AcTU DE l’éTéP. 8-13

- La revue du PLR, Alexandre de SENARCLENS

- Les fêtes de Genève, Frédéric HOHL

- Retour sur l’université d’été, Céline ROY

DOSSIER VOTATIONS DU 22 SEPTEMBRE 2013P. 44-53

- Initiative populaire sur l’abrogation du service militaire obligatoire, Nathalie FONTANET

- Initiative populaire sur l’abrogation du service militaire obligatoire, Murat Julian ALDER

- Libéralisation des heures d’ouverture des shops des stations-service, Fabienne GAUTIER

- Modification de la loi sur l’organisation judiciaire

- Révision de la loi sur les épidémies

- Soutenons le développement du coeur de Lully !, Ivan Sierro

- Les candidats au Conseil d’Etat, Julien MARQUIS

- Les candidats au Grand Conseil, Julien MARQUIS

P. 14-43 Dossier spécial élections cantonales 2013

RéDAcTION:Le Nouveu Genevois est l’organe officieldu PLR. Les Libéraux-Radicaux Genève.Les articles ne reflètent toutefois pasnécessairement l’opinion du parti.13, boulevard Emile-Jaques-Dalcroze1205 Genè[email protected]él : 022 818 42 42

ABONNEMENT:Abonnement (1 an) : Fr. 60.–Abonnement de soutien : Fr. 200.–Paraît 10 fois par anCCP : 01-47300-5

RéDAcTRIcE EN cHEf:Sophie Creffield, Secrétaire géné[email protected]

EDITEUR RESPONSABlE: PLR Genève

MARKETING & PUBlIcITé:Publi Annonces SAChemin de la Charpente 31219 Le [email protected]

cONcEPT cOUVERTURE: UNE (uneagence.ch)

cRéATION ET RéAlISATION:UNE (uneagence.ch)

AGENDASeptembre Octobre

Novembre

9 sept Soirée PLR Meyrin-Vernier-Satigny avec la participation de nos 3 CE et candidats au Grand Conseil, au Satigny Business Park 10, rue du Pré-de-la-Fontaine à Satigny dans la Zymesa (accès par la route du Nant d’Avril ou par la route du Mandement, soirée publique. Un apéritif sera offert), dès 18h30.

11 sept Grande soirée électorale – La Revue du PLR au Palladium, Rue du Stand 3, 1205 Genève, dès 19h30.

12 sept Stammtisch au VOC, 5 rue des Chaudronniers, 1204 Genève, à 12h.

14 sept Stand raclette du PLR Thônex et PLR Chêne-Bougeries, place Graveson, 1226 Thônex, de 8h à 13h.

14 sept Stand PLR Chêne-Bougeries, devant la Coop du chemin de la Montagne, de 8h à 12h.

14 sept Stand PLR Arve et Lac devant Manor Vésenaz, de 9h à 12h.

14 sept Stand PLR Onex (devant la Coop d’Onex), de 9h à 12h.

17 sept Assemblée des délégués pour la prise de position sur les objets des votations de novembre avec la venue du Conseiller fédéral, Monsieur Schneider-Amman, à la salle communale, route des Chevaliers-de-Malte 3, 1228 Plan-les-Ouates, de 18h30 à 22h.

18 sept Soirée électorale organisée par l’association PLR de Thônex: présentation des candidats PLR thônesiens et conférence d’Isabel Rochat, à la salle polyvalente de l’école Adrien Jeandin, à 20h.

21 sept Stand café-croissants du PLR Thônex et PLR Chêne-Bougeries, place Graveson, de 8h à 13h.

21 sept Stand PLR Chêne-Bougeries, devant la Coop du chemin de la Montagne, de 8h à 11h.


21 sept Stand PLR sur la Place Favre à Chêne-Bourg, de 10h à 12h.

21 sept Journée récréative du PLR-Bernex à Vallorbe, inscription auprès de Dominique D’Ippolito - [email protected] ou Albert Zirkel - [email protected]

23 sept Soirée électorale à Carouge, Tea-room Wolfisberg, Place du Temple 5, 1227 Carouge, de 19h à 22h.

24 sept Conférence du Procureur général, Monsieur Olivier Jornot au restaurant la Plaine Lune, av. du Mail 14bis, 1205 Genève, de 12h15 à 14h.

24 sept Forum débat organisé par le PLR du Grand-Saconnex avec Thomas Büchi et Hervé Dessimoz : “Le nouveau refuge du Goûter”, à la Salle des Délices, 18 route de Colovrex , à 20h.

26 sept Stammtisch au VOC, 5 rue des Chaudronniers, 1204 Genève, à 12h.

28 sept Stand organisé par le PLR Chêne-Bougeries devant la Coop Florissant, de 9h à 12h.


5 oct Stand PLR Onex (devant la Coop d’Onex), de 9h à 12h.

6 oct Election du Grand Conseil et du premier tour de l’élection du Conseil d’Etat.

7 oct Assemblée des délégués pour désignation des can-didats au Conseil d’Etat au 2e tour, à Onex, de à .

10 oct Assemblée des délégués pour désignation des candidats au Conseil d’Etat au 2e tour, (date de réserve).

10 oct Stammtisch au VOC, 5 rue des Chaudronniers, 1204 Genève, à 12h.

11 oct Soirée de l’Entente, Salle du vélodrome, Chemin de la Mère-Voie 60, 1228 Plan-les-Ouates, dès 18h30.

12 oct Assemblée des délégués du PLR suisse, à Palexpo, de 10h à 13h.

16 oct Stamm du PLR Thônex, salle annexe de la Salle des Fête, de 18h30 à 20h.

24 oct Stammtisch au VOC, 5 rue des Chaudronniers, 1204 Genève, à 12h.

25 oct Stand café-croissants (avec le PDC),place Graveson, de 8h à 13h.

2 nov Stand raclette du PLR et du PDC Thônex, place Graveson, de 8h à 13h.

10 nov Second tour de l’élection du Conseil d’Etat.

24 nov Votation populaire.

N’ATTENDEz PlUS ET RéSERVEz VOTRE PlAcE POUR lA REVUE DU PlR !

Le PLR se Réjouit d’accueiLLiR MME DOMINIqUE ROll, déPutée au GRand conseiL dePuis 2009. ancienne membRe du mcG, c’est avec GRand PLaisiR que Le PLR Lui ouvRe ses PoRtes.

Le 11 septembre 2013 aura lieu notre grande soirée électorale : la Revue du PLR ! Au menu de cette année, les comédiens de la revue vous présenteront leur spectacle intitulé “Cuisine électorale”. Cette occasion marquera un temps fort de la campagne, venez donc nombreux pour soutenir le PLR !

55 CHF (prix standard/repas et boissons sans alcool) ou 85 CHF (prix de soutien/repas et boissons sans alcool). Il y aura par ailleurs deux représentations publiques, les 12 et 13 septembre. Informations et réservations sur www.revueplr.ch

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EDITO

Par Alain-Dominique Mauris, Président du PLR Genève

Après la pause estivale, montons sur le ring !

La pause estivale a permis à chacun de se ressourcer et se rev- igorer avant la reprise de l’activité politique très attendue.

Une bouffée d’amitié lors de la 3e édition de l’université d’été du PLR nous aura permis de resserrer nos liens. Elle a connu un franc succès avec plus de 150 participants. Cette manifes-tation basée sur l’échange, le dialogue et la convivialité s’est déroulée à nouveau dans la magnifique campagne genevoise au Domaine attenant au Château des Bois. Cette année, le centre de la réflexion politique reprenait les trois axes princi-paux de la campagne électorale : prospérité, qualité de vie et durabilité. Le but aura été de tous s’associer pour s’approprier ces 3 thèmes et les décliner en projets politiques dont Genève a besoin. Cette journée a également été l’occasion de partager des moments agréables autour d’un buffet composé de produits locaux. Des paysages bucoliques, le temps est venu de monter sur le ring électoral.

Ce numéro du Nouveau Genevois sonne le rassemblement autour de nos candidats. Le 6 octobre prochain, nous devrons tous – proches, amis, voisins, collègues, clients, et tous les autres – nous mobiliser afin d’aller voter et de faire voter pour eux.

En effet, ce jour-là, nous élirons nos représentants au Grand Conseil et au Conseil d’Etat. Attention, suite à la nouvelle Constitution, nous devrons voter en même temps pour les 2 listes PLR: celle du Grand Conseil et du Conseil d’Etat. Je vous rappelle de voter compact les 2 listes, toutefois si certains sou-haitent prendre une liste officielle (liste blanche), il est essentiel de rajouter le nom PLR.

Puis, le 10 novembre 2013, lors du deuxième tour des élections pour le Conseil d’Etat nous devrons tous nous remobiliser pour soutenir les candidats de l’Entente afin d’obtenir la majorité au gouvernement.

Notre succès dépend des efforts de chacun d’entre nous à convaincre pour voter les 2 listes PLR. Le bilan du parti est très positif : les résultats sont là, les promesses tenues. Pour la légis-lature à venir plus de 150 projets, formulés par les membres du parti au travers des nombreuses réunions tenues depuis la fusion du parti, sont proposés. Des projets de bon sens et réa-listes, loin des solutions populistes et démagogiques qui ne sont pas réalisables. Le PLR, lui, tient ses promesses et s’investit concrètement pour chacun avec des résultats bénéfiques.

Le ring c’est maintenant, l’effort c’est maintenant. Notre message : votez PLR, rajoutez PLR le 6 octobre et le 10 novembre pour soutenir des candidats dédiés à Genève.

En unissant nos forces nous gagnerons.

Le PLR compte sur vous,je compte sur vous,merci.

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’est reparti ! Après le succès de la première Revue PLR “On déménage” de 2011, la Revue PLR cru 2013 intitulée “Cuisine

électorale” vous sera servie en primeur lors de la soirée de lancement de cam-pagne du parti le mercredi 11 septembre au Palladium.

Venez découvrir quelles seront les victimes de nos plumes acerbes :

Des membres du PLR ? Qui châtie bien, chante bien…

Des députés ? Des conseillers d’Etat ? Crime(s) de lèse-majesté ?

Verra-t-on la suite du sketch de 2011 qui avait vu sur les planches DSK, Silvio B. et Ueli Maurer ? Ont-ils encore des conseils à donner à Olivier Jornot ? Ou à d’autres ?

Qui sera chanté sur l’air de “Cinq heure du mat’ j’ai des frissons, je claque des dents et je monte le son…” ?

Quel est l’acteur de la politique genevoise qui, dans une bouffée de narcissisme, chantera “Que je m’aime” sur l’air de la chanson de Johnny « Que je t’aime »… ?

Sur les 81 candidats au Grand Conseil, combien seront cités ? Où est cette “maison des ronchonchons ” ?

Qui veut tant être roi à Genève?

Avec ma gueule de métèque, de juif errant, de pâtre grec… Ah non, ça c’est le texte original…

Pour toutes ces questions et pour toutes celles que vous n’avez jamais osé poser sur… venez découvrir la Revue PLR version 2013 au Palladium le 11 sep-tembre qui saura, on vous le promet, mettre à mal le PLR, ses alliés et ses ennemis...Pour ceux qui auront raté cette soirée, deux représentations ouvertes au public auront lieux les jeudi 12 et vendredi 13 septembre 2013 à 20h30 (voir affiche).

CPar Alexandre de Senarclens, Trésorier

CUISINE ÉLECTORALE !

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LE NOUVEAU GENEVOIS – Septembre 2013 LE NOUVEAU GENEVOIS – Septembre 2013

oici quelques questions qui ont toujours été inscrites dans les subconscients de la population et des organisateurs d’événe-

ments. Du pain et des jeux, telle fut la maxime de nombreuses cités pour dis-traire leurs habitants.

Organisateur d’événements est un mé-tier dans lequel on n’improvise pas : passé le cap de la créativité, c’est la rigueur, l’expérience et le professionnalisme qui apporteront la réussite des manifestations de demain. Très critiquées ces derniers temps dans les médias et par la Ville, les Fêtes de Genève arrivent un peu en bout de course et elles n’ont malheureusement pas su prendre un nouveau virage, un nouveau souffle. L’équipe en place a certes beaucoup de volonté, mais on sent bien qu’elle n’y croit plus ! A trop vouloir bien faire (logistique, barrières, poubelles, saucisses, ...), et à vouloir faire plaisir à tout le monde, on en oublie l’essentiel : la créativité !

L’organisateur doit faire rêver, interloquer, surprendre. Ce n’est ni la grandeur d’un site ni le nombre de ses visiteurs qui doit guider la conception événementielle et il n’y a pas que l’argent. Certes, la munici-palité octroie plus de 2 millions de francs pour 2 jours de Fête de la musique et 0.- pour 10 jours de Fêtes de Genève, ce qui a pour effet de les transformer en grand raout mercantile. Elles désintéressent les

acteurs culturels, qui savent bien que le budget total des spectacles ne représente pas beaucoup plus qu’une petite fête campagnarde, en dehors du majestueux feu d’artifice.

Quand tout va mal, l’Etat, la Ville ou l’Office du tourisme dégaine l’arme abso- lue : l’appel à projets ou l’appel d’offres. Quand on veut construire un immeuble, on engage un architecte pour préparer l’appel d’offres ; quand on veut organiser une manifestation, c’est un collaborateur sans expérience qui s’y colle et le résultat est toujours catastrophique. Pourtant, rien de plus simple : le politique pourrait par exemple mandater un professionnel impartial qui a fait ses preuves dans un autre canton pour aider le fonctionnaire à réaliser un descriptif et un cahier des charges utiles et à aborder clairement les mécanismes financiers, et ainsi éviter de faire perdre du temps aux entreprises genevoises de l’événementiel.

Dans notre profession, le PPP (partena-riat public privé) est à mon avis une des clefs de la réussite des fêtes de demain. L’Etat ou une structure paraétatique n’est pas formé aux métiers du spectacle et ce n’est d’ailleurs pas son rôle. Le Grand Théâtre n’est pas dirigé par les politiques, mais bien par des professionnels. Pour les manifestations, c’est la même chose. Le politique doit déterminer le mécanisme financier, par exemple 50% d’argent

public, 50% d’argent privé, ainsi que l’objectif, et ensuite, chacun son travail.

Lors de mon expérience durant 3 ans à la tête de l’exploitation d’Expo02, j’ai apprécié le professionnalisme du Conseil fédéral, qui lui, s’était entouré en amont de spécialistes. Les choses étaient claires et cela m’a permis de rendre 20 millions à la Confédération. Durant mon mandat de 6 ans à la tête de la Revue Genevoise, là aussi, les choses étaient claires et j’ai rendu à la Ville quelques dizaines de milliers de francs. Le PPP peut très bien fonctionner : la Ville et l’Etat devraient s’en inspirer, par exemple pour les pro-chaines Fêtes de Genève ou la célébration du bicentenaire de l’entrée de Genève dans la Confédération.

Le peuple suisse, auquel j’appartiens, se sent toujours un peu coupable de dépenser les deniers publics pour organiser des festivités, mais tout ce qui peut nous faire quitter nos postes de télévision pour nous retrouver, ensemble, est bon à prendre.

Et n’oubliez jamais de faire la fête, la vie est trop courte !

Candidat au Grand Conseil, retrouvez-moi également dans la Revue du PLR, les 10, 11 et 12 septembre.

VPar Frédéric Hohl, Député

GENÈVE EST-ELLE CAPABLE D’ORGANISER DE GRANDES MANIFESTATIONS ?Genève la protestante a-t-elle envie de faire la fête ? Est-il bien raisonnable d’utiliser de l’argent public pour divertir la population ? En dehors des rendez-vous historiques, à quoi peut bien servir une manifestation comme les Fêtes de Genève ou la Fête de la musique ?

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a troisième Université d’été du PLR s’est déroulée samedi 17 août dans l’accueillant Château des Bois à Satigny. Près de 150

membres ou sympathisants du PLR ont ainsi débattu des trois axes de la campagne électorale de cet automne : la Prospérité, la Qualité de vie et la Durabilité.

L’heure était au travail, mais la convivialité et la détente étaient également au rendez- vous, notamment à l’occasion du repas en plein air. Pendant ce moment récréatif, le président du parti national, Philipp Müller, nous a fait l’honneur de sa pré-sence. Lors de son discours, il a souligné l’importance de la mobilisation interne et a relevé à quel point la somme de compétences réunies en cette journée était impressionnante. Nous avons éga-lement eu le plaisir de recevoir la visite des deux candidats PDC au Conseil d’Etat, soulignant ainsi l’importance de l’Entente pour cette élection.

La journée a également été fructueuse en termes de réflexions. Trois groupes de

travail, supervisés par les vice-présidents de notre parti, assistés de Jeunes Libéraux- Radicaux, ont débattu afin de proposer des mesures concrètes pour mettre en œuvre le projet pour Genève du parti. Chaque groupe a produit un projet de motion qui pourra être relayé au Grand Conseil par nos députés.

Le groupe chargé de la Prospérité, diri-gé par Pierre Conne, s’est consacré à la cybercriminalité, ainsi qu’à la fonction publique. Sa motion s’est concentrée sur cette dernière. En effet, sans remettre en cause la qualité du travail des fonction-naires, il est important de se rappeler que la richesse de la société ne peut être créée que par les entreprises et que l’Etat doit être svelte afin de permettre à l’écono-mie de fonctionner. Parmi les nombreuses mesures proposées, celle qui a obtenu le plus de suffrages préconise de limiter le statut de la fonction publique aux tâches régaliennes. Elle implique de dresser un inventaire des missions indispensables de l’Etat et permettra ainsi de laisser les autres tâches au secteur privé.

Mené par Murat Alder, le groupe consacré à la Qualité de vie a mené ses réflexions en sous-groupe. Le premier a proposé une simplification de la législation et des procédures relatives aux constructions afin de lutter contre la pénurie de logements. Le deuxième sous-groupe a proposé d’encourager le bénévolat dans le sport et la culture. Toutefois, c’est l’idée du troisième sous-groupe qui a été plébiscitée pour devenir une motion. Les différents modes de transports doivent être séparés sur certains axes pour permettre d’assu-rer leur complémentarité. Cette motion innovante et facilement applicable vise à mettre fin à l’immobilisme total, qui caractérise la mobilité genevoise.

Le troisième groupe, animé par Yvan Zweifel, a traité de la Durabilité en se concentrant sur les thèmes de l’environ-nement et des énergies et sur celui de la formation. Les problèmes d’orientation des élèves à la fin de la scolarité obliga-toire ont retenu l’attention du groupe. Ils mènent en effet à l’inadéquation entre les besoins des milieux profession-nels et les formations choisies, ainsi qu’à des échecs préjudiciables et évitables. Le projet de motion propose donc de mettre en place un processus d’orientation personnalisé, obligatoire pour chaque élève, lors de la dernière année du cycle. Ce processus devra inclure une collabo-ration avec les entreprises, les écoles et l’Office pour l’orientation.

Cette édition de l’Uni d’été est donc, comme les précédentes, un grand succès tant pour l’unité du parti que sur le plan des idées. Un grand merci aux organisa-teurs et à tous les participants !

L’UNI D’ÉTÉ : L’ÉMULATION DES IDÉES PAR LA PARTICIPATION COLLECTIVE

LPar Céline Roy, ancienne co-présidente de l’Assemblée Constituante

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Une équipe gouvernementale au bilan exceptionnel, tournée vers l’avenir

Nouvelle constitution oblige, le 6 octobre verra également se dérouler le premier tour de l’élection au Conseil d’Etat. L’équipe gouvernementale présentée par le PLR force le respect, par les résultats qu’elle obtient, depuis 2005, 2009 et 2012, par les défis qu’elle entend relever, bref, par son action et ses compétences. Rapide tour d’horizon avant un “dossier spécial”, dans notre prochain numéro.

Isabel Rochat, François Longchamp et Pierre Maudet. Des profils complémen- taires, des compétences et expériences variées qui se renforcent pour former une véritable équipe, comme aucun autre parti n’en connaît. Isabel Rochat, femme engagée, est au bénéfice d’une formidable expérience, tant dans le secteur privé, où elle a travaillé dans le négoce au sein d’entreprises multinationales, qu’en politique. Elue municipale, Maire de Thônex à trois reprises, elle est élue au Conseil d’Etat en 2009. François Longchamp, fort d’expériences professionnelles variées, a multiplié les succès depuis 2005. Animé par le sens de l’Etat qu’on lui connaît, il a réformé des pans entiers de législation, reçu l’aval des électeurs, là ou d’autres avaient échoué. Pierre Maudet, après cinq ans passés à l’exécutif très coloré de la Ville, amène quant à lui audace et abnégation. En moins d’un

an au gouvernement, son bilan est tout bonnement hallucinant.

quel bilan !

Le bilan, nous y reviendrons largement dans notre numéro d’octobre. Trois mots par magistrat tout de même, en guise d’amuse-bouche : Isabel Rochat a lancé la réorganisation de la police, mis en œuvre les prestations complémentaires familiales ou encore créé un dispositif visant à faciliter les avances pour les rentiers en attente de prestations complé- mentaires. François Longchamp est sur le point de faire adopter le Plan directeur après avoir renoué le dialogue avec tous les acteurs, il a débloqué la construction de nombreux logements et vient d’an- noncer une simplification drastique des procédures d’autorisation. Pierre Maudet, en collaboration avec Olivier Jornot, restaure progressivement l’ordre public par une pratique plus stricte face aux multirécidivistes, il a obtenu le double-ment, d’ici 4 ans, du nombre de places de détention, et lancé une action multi- forme contre les cambriolages. Sans commentaire !

Des engagements fermes

La “méthode PLR” fonctionne, les résul- tats sont au rendez-vous. Pour la pro-chaine législature, les engagements des magistrats sont clairs : créer des emplois

pour tous, construire des logements pour nos enfants et mener une action cons-tante pour la sécurité. Bien plus que des slogans, ces quelques mots renferment en réalité un programme ambitieux, dont la mise en œuvre a débuté et doit impérativement pouvoir se poursuivre. Une majorité de gauche marquerait un sérieux coup d’arrêt.

L’élection du Conseil d’Etat, c’est aussi, désormais, choisir – certes indirectement – le président du gouvernement pour toute la législature. Une nouveauté intéressante, qui suppose toutefois une majorité de l’Entente, à renforcer puisqu’elle ne tient aujourd’hui qu’à un siège. Une présidence PLR du Conseil d’Etat pour l’ensemble de la législature constituerait naturellement une chance unique pour notre parti et pour Genève. Pour chaque militant, c’est une raison supplémentaire de se mobiliser et de voter compact. Avec son allié le PDC et ses candidats Serge dal Busco et Luc Barthassat, le PLR a donc, plus que jamais, les moyens de former une majorité forte au Conseil d’Etat.

Grand conseil : conquérir une majorité décisive pour Genève

Aucun doute possible, le PLR présente la meilleure liste. Un coup d’œil suffit pour s’en convaincre. Complète, riche et diverse, elle est composée d’une solide base d’expérience, d’une bonne dose de compétence et de ce fameux zeste d’audace. Les 81 candidats PLR consti-tuent un atout formidable pour le parti. Et, par-dessus tout, pour Genève et les Genevois. Au fil des pages qui suivent, faites la connaissance de l’ensemble des candidats au Grand Conseil.

Dédié plus particulièrement à l’un des douze domaines formant l’ossature du programme 2013-2018 (dediesageneve.ch), chaque candidat est partie d’une mosa- ïque impressionnante : celle de l’ensemble des secteurs d’activité et composantes de la société genevoise, qui font la richesse du PLR. De quoi affronter fièrement une échéance qui s’annonce décisive, à plus d’un titre.

Une grande première

L’élection du 6 octobre, c’est d’abord la première bataille cantonale du PLR. Cet automne, les deux groupes parle- mentaires élus en 2009 céderont leur place à une députation unique aux cou-leurs du nouveau parti. Le groupe PLR n’en sera que plus fort, plus facilement

reconnaissable, mais devra également assumer de lourdes responsabilités.

Il est peut-être bon de le rappeler, dans notre système démocratique, le parlement joue un rôle déterminant : sous réserve des droits populaires, il a le dernier mot sur toute adoption, modification ou sup-pression d’un article de loi. Autrement dit, s’il est certes hautement nécessaire de renforcer la majorité gouvernementale de l’Entente, il est primordial que les idées du PLR soient représentées au Grand Conseil par une députation forte, leader d’une majorité parlementaire capable d’effectuer les choix que nous appelons de nos vœux. Le climat politique actuel ne tolèrerait en effet aucune dispersion des voix : face à des blocs sans colonne vertébrale, aux slogans dangereux pour Genève, seule une alliance efficace de centre-droit autour du PLR permettra aux habitants d’espérer voir leur qualité de vie progresser durablement, dans un canton prospère.

Une ambition à la mesure des défis

Car les défis à venir sont nombreux, et ils sont de taille ! Mise en œuvre de la constitution entrée en vigueur le 1er juin dernier – la liste PLR compte 7 consti-tuants –, poursuite des efforts et concré-tisation des engagements pris en matière de sécurité, de logement et d’emploi, réforme de la fiscalité des entreprises ou

encore problèmes chroniques de mobilité ne sont que quelques exemples.

Le PLR adopte une posture conquérante : l’objectif est d’atteindre 28% des suffrages, tandis que les deux listes présentées en 2009 en ont réuni 26,3%. Un but qui n’a rien d’illusoire : il correspond à la force du parti, de ses élus et de ses membres, aux résultats concrets qu’il obtient et à ses ambitions pour la Genève de demain. Chaque voix compte : un seul proche, un ami, un cousin ou simplement un voisin qui opte pour un bulletin PLR plutôt que pour l’abstention ou une autre liste peut permettre à notre parti de décrocher le siège supplémentaire qui fera la différence au parlement jusqu’en 2018.

Par Julien Marquis

ÉLECTIONSCANTONALES2013

DOSSIER SPécIAl

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GenèvePrésident du Grand Conseil, retraité, 1945

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE

Entré en politique sur le tard, envie, disponibilité et énergie de continuer le combat politique à un moment charnière de Genève.

lES DOMAINES AUXqUElS JE ME DéDIE

Fonctionnement des institutions après l’entrée en vigueur de la nouvelle constitution. Organi- sation de la région et infrastructures. Instruction publique (égalité des chances) et formation professionnelle. Maintien du partenariat social et des PME. Genève internationale.

MES OBJEcTIfS PRIORITAIRES POUR lA PROcHAINE léGISlATURE

Consolider l’action du nouveau groupe PLR au Grand Conseil. Décisions et réalisations défi- nitives dans les transports (inauguration du CEVA/RER et planification impérative de la traversée du lac, route des Nations). Valorisation des métiers techniques et artisanaux par une orientation professionnelle plus incitative. Priorité dans l’adjudication des travaux publics aux entreprises qui prennent des apprentis habitant le canton.

BARRIllIER GABRIEl

cONNEPIERRE

cUENDET EDOUARD

DE cANDOllE BEATRIz

DUcRETMIcHEl

fONTANET NATHAlIE

chêne-Bourg Députée, conseillère administrative, journaliste, 1957


Encourager une économie solide, créer des ponts entre formation et activité professionnelle, veiller à une pleine participation de chaque individu dans la société.


L’aménagement du territoire, les relations canton-communes, le développement durable, la prévention et la sécurité et l’intégration des personnes handicapées.


Forte de mon engagement cantonal et communal, défendre les intérêts des genevois et offrir à nos enfants et aux générations futures un environnement propice à leur développement.

GenèveVice-Président du PLRG, député,médecin, 1952

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Assurer les conditions favorables à la prospérité des Genevois.Garantir un environnement économique et social stable.


- Promotion économique.- Allègement de la fiscalité des entreprises.- Développement des énergies renouvelables.- Suppression des doublons canton/communes.- Simplification des procédures administratives.- Autonomisation des cadres du service public.


Promouvoir la qualité de vie en assurant une urbanisation harmonieuse de notre canton et en soutenant l’attractivité de Genève pour les commerces et les entreprises.

GenèveDéputé, architecte EPFL, 1949

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Servir sa collectivité, par tradition et par conviction.


Par ma formation :- La mobilité, et en particulier les transports collectifs- L’aménagement du territoire et la construction - L’accessibilité aux personnes handicapées- La préservation intelligente du patrimoinePar conviction politique :- Le « Grand Genève »- La préservation des valeurs démocratiques- La lutte contre les dérives extrémistes- Le maintien d’une importante classe moyenne


- Porter les valeurs libérales et la justice pour tous- Les grandes réalisations d’infrastructures- Développement et amélioration des réseaux - Urbanisation qualitative- Améliorer les institutions transfrontalières- Amélioration du fonctionnement de l’administration

GenèveDéputée, avocate-conseil, 1965

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Je me suis engagée en politique car j’aime le débat d’idées et je souhaite faire avancer les dossiers et défendre les intérêts des Genevois.


Les domaines qui me tiennent à cœur sont la sécurité y compris ses implications en matière judiciaire et carcérale, l’enseignement et la petite enfance, la santé ainsi que le développement de Genève en matière de logements et de mobilité.


Offrir une meilleure qualité de vie aux Genevois en renforçant la sécurité, maintenant l’emploi, développant la construction de logement et améliorant la mobilité dans notre canton.

GenèveDéputé, secrétaire d’association, 1967


Depuis 2004, je siège au Grand Conseil et participe aux travaux de la commission des finances et de l’économie.


Finances publiques : je plaide en faveur d’un budget raisonnable et d’une fiscalité attractive pour les familles et les entreprises.

Logement : je milite pour la création de loge-ments et l’accession à la propriété.

Economie : je m’engage pour un tissu écono-mique solide et créateur d’emplois.

18 19


GenèveDéputé, ancien Président du Grand Conseil, gérant de biens, 1952


Je me suis engagé parce que je voulais tendre la main. Politiquement cela veut dire que chacun a le pouvoir d’amener sa pierre à l’édifice.


Des finances publiques saines qui ne prétéritent pas l’avenir de nos enfants et qui permettent une politique sociale qui n’oublie pas ceux qui sont au bord de la route. La privation de liberté parce qu’elle révèle la façon dont une société traite ceux qui sont mis à l’écart. Un strict respect de la séparation des pouvoirs garant du respect de la démocratie.


Optimiser le fonctionnement de l’Etat, le recentrer sur ses missions essentielles et le rendre plus proche du citoyen.

GAUTIER RENAUD

HIlTPOlD SERGE

HOHl fRéDéRIc

carougeDéputé, entrepreneur menuisier, 1971

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Diplômé des arts & métiers et quatrième géné- ration à la tête de l’entreprise familiale, je souhaite poursuivre mon engagement d’entrepreneur dans les associations professionnelles de la construction et dans notre parlement cantonal.


“L’esprit des PME” mérite un engagement fondamental, de même que la formation pro-fessionnelle et la relève des milieux sportifs.

VernierDéputé, entrepreneur, producteur, 1963


Je suis pour la justice, la liberté, un Etat fort et la responsabilité individuelle de tous.


La sécurité, l’assainissement des finances publiques, la lutte contre les doublons et la construction de logements font partie de mes domaines de prédilection. Je suis toujours à l’écoute de l’autre sans craindre la confrontation.


Vivre en sécurité, pouvoir se promener dans son canton de manière sereine est une attente bien légitime de la population.

MEYlAN AlAIN

ROMAINJEAN

RONGETPIERRE

choulex Député, secrétaire d’association, 1962


Promouvoir une société libérale mais responsable, solidaire et consciente des défis futurs de notre société.


Mes domaines de prédilection sont l’économie, la fiscalité et les transports. Après de longues années de lutte sur le plan de la mobilité, il convient de laisser la main à des idées neuves et de nouvelles personnes. En revanche, je souhaite m’engager activement dans les thèmes traitant de l’économie, de la fiscalité et des infrastructures comme la traversée du lac.


Réformer la fiscalité des entreprises avec un taux d’imposition unique à 13% et réaliser des grands projets d’infrastructure.

BernexDéputé, écrivain, 1952

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Le temps du progrès est linéaire et ascendant alors que le temps de l’homme est plutôt circu- laire. Pour lui, rien n’est jamais acquis. Sup-poser que le premier va modifier le second est une erreur, et la politique régule ces deux paramètres.


L’homme doit être formé par l’esprit : la culture et l’éducation sont fondamentales dans cette perspective. Mais interviennent aussi d’autres dimensions : le travail, les déplacements, la sécurité, les droits et devoirs.


Que Genève redevienne un centre de rayon-nement. La clé du quinquennat à venir ? La simplification à tous niveaux.

VernierDéputé, Maire, directeur DIP retraité, 1944

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Représentant de la droite humaniste, je suis convaincu qu’il faut défendre, dans le Canton et à Vernier, les valeurs de liberté, de responsa-bilité et de solidarité qu’incarne le PLR. Je crois également qu’une synergie entre magistrats communaux et députés est bénéfique, car l’expé- rience du terrain enrichit les relations entre l’Etat et les collectivités locales.


Ma carrière professionnelle au département de l’instruction publique (direction du collège Sismondi, du service “élèves et apprentis” à la direction générale de l’enseignement secondaire et du Centre de Lullier) et mon engagement politique à Vernier comme conseiller municipal, puis comme conseiller administratif font que trois domaines m’attirent particulièrement : l’enseignement, la culture et l’aménagement du territoire.


Œuvrer pour que chaque jeune puisse avoir une formation adéquate, qui lui permette de trouver un emploi à la fin de ses études. Défendre la qualité de vie des genevoises et des genevois en prenant en considération l’intérêt général et la réalité du terrain vécue tant par les habitants des communes que par leurs autorités.

20 21


Plan-les-OuatesDéputé, médecin, 1960


Mon engagement en politique est la continuation de celui de ma vie professionnelle : améliorer la vie de nos concitoyens.


M’étant impliqué dans des dossiers ayant trait au social, à la santé et à l’enseignement supé-rieur, je désire continuer à imprimer sur ces thèmes nos valeurs.


Maintenir une économie forte et prospère, seule garante du maintien de nos systèmes de qualité dans la formation supérieure et la santé, et de la cohésion sociale à Genève.

SAUDAN PATRIcK

ScHNEUWlY NATHAlIE

SEllEGER cHARlES

colognyDéputée, juriste, 1969

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Très concernée par mon environnement, l’avenir de notre canton et de nos enfants, je m’engage pour être actrice, plutôt que spectatrice.


Titulaire d’un brevet d’avocat, je me dédie aux questions juridiques dans les domaines de la sécurité et du logement. En tant que maman, à l’heure des choix je me sens concernée par l’enseignement.


Poursuivre mon engagement dans les réformes pour la sécurité, notamment les différentes polices, le pénitentiaire et la vidéosurveillance. Je ne veux pas d’un canton où les personnes âgées hésitent à sortir et où les parents ont peur pour leurs enfants. Favoriser la construction de logements pour tous. Je veux des logements pour propriétaires en PPE ou de villas, coopé- rateurs, locataires subventionnés ou non. Maintenir une école publique forte. Je souhaite participer à la mise en place de l’accueil continu pour tous, en coopération avec les communes et les associations.

GenèveDéputé, chef de groupe, médecin, 1950


Promouvoir un Etat efficace, équitable et économe, tout en favorisant l’initiative personnelle au sein d’une société libérale.


Equité des primes d’assurance maladie, préser-vation d’une médecine libérale, école publique de haute qualité et centrée sur l’enseignement plutôt que sur les expériences pédagogiques, équilibre budgétaire.


Réduction des dépenses de l’Etat, amélioration de la mobilité (y compris du transport individuel), de l’urbanisation et des logements.

SlATKINE IVAN

WEISS PIERRE

zAUGG DANIEl

Thônex Député, Chef de groupe, éditeur, 1972


Par Amour de Genève ! Dans un monde instable, il est nécessaire que l’Etat puisse agir en qualité de régulateur en venant en aide aux plus démunis et en favorisant la qualité de vie des habitants de notre Canton.


Les finances publiques, la mobilité, l’amé- nagement, la qualité de vie en général des citoyens. La prospérité passe par un Etat efficace au service de la population et des libertés indi-viduelles.


Assainir les finances publiques et réduire la dette en ne touchant pas aux prestations publiques essentielles. Favoriser des conditions-cadre de qualité pour que nos enfants puissent grandir dans un Etat fort et sain.

SoralDéputé, membre de la Présidence du PLR suisse, directeur à la FER, sociologue, 1952

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Depuis 2001, je mets mon énergie au service d’une économie créant des emplois et d’un Etat respectueux des contribuables, dans le respect de nos valeurs.


L’atteinte de mes objectifs exige des finances publiques saines (budget équilibré et dette réduite), une gestion de l’Etat qui fixe des prio-rités, telles que la sécurité des citoyens, une fiscalité modérée, une école de qualité.


Réduire la fiscalité des entreprises, améliorer la formation, notamment professionnelle, cibler les prestations sociales selon les besoins.

confignonDéputé, ingénieur en électricité EPFL, entrepreneur du bâtiment, 1964

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Je m’engage pour une économie forte et dynamique. C’est par notre prospérité que nous pourrons financer notre Etat social.


En tant que membre des commissions de l’éco-nomie et des transports, c’est avant tout à ces domaines que je me dédie. L’allègement de la fiscalité et des procédures pour les PME sont mes autres priorités.


Je compte continuer à défendre mes valeurs : Prospérité, Liberté et Responsabilité individuelle

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OnexDéputé, conseiller municipal, Vice-Président PLRG,expert-comptable, 1980


Je m’engage pour que Genève et la Suisse restent des îlots de prospérité dans un monde en difficulté, mais aussi surtout pour que chacun puisse profiter de cette prospérité.


- Finances- Culture et sport- Logement- Dé-légifération


- Défendre une économie forte qui assurera une prospérité pour tous.- Supprimer les lois inutiles qui entravent l’action des entrepreneurs, portent atteinte à notre liberté et ralentissent notre économie (dé-légifération).- Promouvoir des activités culturelles et sportives de qualité avec une vision innovante de leur financement.- Equilibrer les budgets et assurer des excédents pour baisser les impôts et diminuer la dette.- Construire en hauteur des lieux de vie de qualité pour économiser de l’espace, amé- liorer la mobilité et favoriser la diversité.

zWEIfEl YVAN

AEllEN cYRIl

AUMEUNIER cHRISTOPHE

VeyrierDéputé, avocat, 1972

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE J’aime Genève et j’ai envie de continuer à m’engager en politique pour assurer à notre Canton un avenir prospère qui profite à tous.


Je souhaite me battre pour ceux qui veulent entreprendre, créer des emplois et construire des logements. Je serai attentif au maintien d’une fiscalité supportable et à la pérennité de nos institutions sociales.


Dans l’intérêt de ses habitants et des générations futures, notre Canton doit être géré sainement.

VeyrierDéputé, secrétaire d’association, 1967


Notre prospérité et notre qualité de vie sont des atouts pour la démocratie. Mon engagement politique se nourrit de ce constat.


Créer des emplois et des logements, assainir les finances publiques sont les moteurs de mon action. L’échange avec autrui et ma créativité m’ont permis de remporter d’importants succès. Ma motivation et ma persévérance s’en trouvent renforcées.


Je souhaite encore améliorer la mobilité, le bien-être dans les quartiers et faciliter la réno-vation des immeubles qui sont des passoires énergétiques.

BARBEY AlEXIS

BARDE ANTOINE

BéNé JAcqUES

GenèveDéputé, chargé de communication ressources humaines, 1960


Pour qui a le privilège de vivre à Genève, pour qui a la chance d’avoir ou de vouloir des enfants, pour qui sait l’astuce et le travail qu’il a fallu à ses ancêtres de faire de ce canton et de son pays ce qu’ils sont, l’engagement politique s’impose comme une évidence.


L’accent du PLR doit porter avant tout sur les conditions-cadre qui favorisent l’économie : aménagement, sécurité, transport et éducation. Mais il est aussi important de préserver un espace de liberté à l’individu pour qu’il continue à exercer son initiative et son génie propre.


D’abord, achever le contournement de la ville par une traversée du lac. Ensuite, lancer le PAV. Puis, garder la loi accessible au citoyen en abrogeant au moins un ancien texte pour chaque nouveau qui est voté.

AnièresDéputé, conseiller municipal, chef d’entreprise, 1975

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Je me suis engagé en politique pour défendre des valeurs démocratiques telles que la liberté d’entreprendre, la liberté économique, mais aussi pour faire en sorte que notre beau Can-ton puisse un jour résoudre les crises que sont celles du logement et de la mobilité. La défense de nos institutions, souvent mises à mal, me tient également à cœur.


Je me dédie à la mobilité afin que chaque mode de transport puisse trouver sa juste place dans un espace exigu. Je me dédie également à l’emploi, à l’économie ainsi qu’au logement.


Mes objectifs pour la prochaine législature seront de continuer le travail entrepris pour défendre un développement économique sain dans notre canton. La formation et l’emploi sont les éléments essentiels qui permettent à une société démocratique de bien fonctionner. La mobilité et le logement sont ceux qui favo-risent un cadre de vie agréable. Je continuerai également à me battre pour que nos institutions soient respectées.

ThônexDéputé, conseiller municipal, économiste,1964

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Je n’accepte plus les discours populistes et extrémistes de certains. Je veux leur donner tort.


Je m’attacherai à préserver la prospérité du canton en m’investissant pour le logement, la sécurité, l’environnement et le tissu écono- mique, tout en défendant une fiscalité raisonnable.


La sécurité pour tous, un logement pour chacun et un Etat moins cher : voilà l’héritage que nous devons laisser à nos enfants.

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collonge-BelleriveCoordinateur événementiel, 1987


Je m’engage pour développer Genève, pré-server sa prospérité et la qualité de vie de ses habitants, en plaçant l’humain au cœur de son action.


Attaché au bien-être des habitants, l’amélio- ration de la mobilité des transports publics et privés, la réduction de la criminalité et la diminution du chômage des jeunes sont des enjeux majeurs pour lesquels je me bats.


Je souhaite que la population retrouve le plaisir de vivre à Genève où il fait bon vivre en dimi-nuant le sentiment d’insécurité afin d’avoir des rues aussi sûres qu’animées.

MARTIN lOÏc

MAzOUER DENIS

MOGET BENOÎT

collonge-BelleriveActuaire-conseil, 1947

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Sollicité par mes connaissances professionnelles de m’engager dans le PLR, mes premières expériences au sein du parti radical de Collonge-Bellerive m’ont montré deux élé- ments : il y a des actions à entreprendre d’un côté et je pense avoir des ressources et capaci-tés utiles à la collectivité de l’autre.


Participant activement à la Commission cantonale PLRG CT4 sur les questions santé et sociales, c’est mon domaine de prédilection.


Mes objectifs sont par ordre de réalisation :- Comprendre le fonctionnement du Grand Conseil pour être opérationnel rapidement.- Me mettre à jour sur les sujets “chauds”.- Prendre position de concert avec mes collègues. - Intervenir par les voies habituelles pour faire entendre une vision.

Genève Professeur remplaçant, 1983


M’engager pour l’avenir du canton et sa popu-lation me tient à cœur et reflète ma personnalité et mes convictions.


Issu d’études universitaires en science politique, je suis actuellement professeur remplaçant d’anglais dans le secondaire. J’ai aussi travaillé dans la finance, la diplomatie, l’humanitaire (dans une ONG) et le journalisme.


Je souhaite avant tout soutenir la formation, la politique sécuritaire et l’emploi ; plus pré-cisément l’insertion professionnelle des jeunes diplômés universitaires.

MONTANTBéNéDIcTE

MORAND PIERRE-ANDRé

MOUSSA ASHRAf

lancyArchitecte, 1965


J’aime Genève ! J’y vis depuis toujours et je m’engage pour maintenir notre exceptionnelle qualité de vie.


En tant qu’architecte, je suis sensible au déve-loppement durable. J’aimerais apporter mes compétences dans le domaine de l’urbanisme, de la mobilité, de l’aménagement et de la construction de logements.


Comme députée, je compte soutenir les projets qui mèneront à un développement équilibré, prospère et social de notre région.

VeyrierAvocat, 1943

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Je souhaite apporter mon expérience profes-sionnelle et personnelle au service de l’action politique du PLR.


De formation juridique et économique, mes domaines d’action seront la sécurité et la justice ainsi que la promotion des entreprises, mais sans oublier l’aménagement du territoire et les questions liées au vieillissement de la population.


Je compte agir pour réaliser un développement harmonieux d’une Genève sûre, entreprenante et solidaire.

lancyHôtelier-restaurateur, 1957

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Hôtelier et restaurateur à Genève depuis presque 40 ans, mon engagement en politique est un service à l’ensemble de la population.


L’emploi et l’aide à nos entreprises doivent être une priorité. Mon vœu est de construire un meilleur avenir prospère pour Genève et sa jeunesse.


Le développement des entreprises et du tourisme, la formation et la sécurité des citoyens sont des points phares pour une économie saine. Nous avons le devoir d’agir.

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Genève Etudiant, 1992


Par mon engagement, je souhaite défendre au mieux les valeurs de liberté, responsabilité et humanité.


Les domaines auxquels je suis sensible sont la mobilité, l’éducation et la formation, le social et le logement qui sont des thèmes qui touchent fortement les jeunes de notre canton.


Mes priorités ne sont pas actuelles, elles sont futures. En tant que jeune, je veux préparer aujourd’hui les grands projets de demain.

NAVIllE lAURENT

NIEDERHAUSERfRANÇOIS

OPPlIGERDANIEllE

OnexFonctionnaire retraité, 1953

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Après une vie professionnelle au service du public, je compte me mettre au service de mon canton.


L’environnement, la sécurité, la mobilité, l’emploi, le logement sont mes domaines de prédilection pour notre avenir dans le canton de Genève afin de garder une certaine liberté ainsi que notre bien vivre.


Que notre parti ressorte plus fort de ces élections et puisse réaliser des choix décisifs pour notre avenir.

chêne-BougeriesInfirmière spécialiste clinique (soins à domicile de Genève), 1949


Infirmière diplômée soins à domicile GE, an-cienne députée GE, je souhaite m’associer aux valeurs PLR.


Œuvrer en tant qu’infirmière dans le domaine de la santé. Mais aussi la sécurité, l’éducation, la formation, le logement pour tous, la solida-rité, la responsabilité, l’aide aux familles et aux jeunes en rupture scolaire et/ou au chômage.


Je souhaite participer au bien-être des person-nes âgées, handicapées ou autres déficiences et à la prévention.

ORSINIANTOINE

RIGHElEMIRKO

RIGOTTIHElENA

Grand-SaconnexConseiller municipal, consultant EPFL, 1980


Il est primordial de s’engager pour défendre le socle des valeurs garantissant notre avenir commun.


L’économie et l’emploi sont les sources de notre prospérité. Il faut garantir un écosystème propice à leur croissance. Le chômage européen nous oblige à repenser nos mesures d’accompagne-ment des chômeurs.


Permettre à Genève de voir son tissu écono-mique prospérer en évitant un carcan étatique qui ralentirait son développement.

Grand-SaconnexCadre dans une compagnie d’assurance, 1974

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Actif en politique sur ma commune, je suis aussi actif dans le domaine culturel, notamment théâtral.


La création d’un environnement économique et social propice au développement et au bien- être des générations futures.


Des logements en nombre et abordables pour nos enfants, des emplois adaptés et des forma-tions accessibles ainsi qu’un bien-être sécuritaire seront mes priorités pour cette législature.

GenèveChef d’entreprise, restauratrice, 1969

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Faire perdurer nos valeurs et appliquer les lois pour retrouver une Genève prospère.


Pour une économie saine, la mobilité et la sécu- rité sont des vecteurs d’équilibre. Stoppons les étranglements du trafic. Retrouvons la quiétude d’antan en appliquant nos lois afin de per-mettre l’entreprenariat.


M’engager dans des projets réalisables et éco-nomiquement rationnels pour une vision à long terme.

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Genève Chargé d’études Cleantech, 1974


Mettre le citoyen au centre du projet, réunir la classe moyenne autour des valeurs de respect, de solidarité, de responsabilité.


- L’emploi et environnement- La mobilité- La jeunesse- La santé


Soutenir l’emploi à Genève, dans les technologies propres (cleantech), le développement durable et les autres secteurs de l’économie (Chambre de l’Economie Sociale et Solidaire), les PME. Soutenir une mobilité pour tous et à long terme : tous les moyens de locomotion doivent avoir leur place, dans le respect et la respon-sabilité. Redonner à la jeunesse une place de choix dans Genève, créer des endroits pour elle.

RIzzEllO IVANO

ROYcélINE

SAVIDANTHOMAS

carougeAncienne co-présidente de l’Assemblée constituante, ingénieure et assistante en droit à l’UNIGE, 1983

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Je souhaite repenser les règles qui régissent notre société afin de défendre et améliorer la qualité de vie des genevois.


Je milite pour la création de logements, la fluidité des transports, l’égalité des chances par l’accès et la qualité de l’enseignement, ainsi que l’amé- lioration de nos institutions.


En tant qu’ancienne coprésidente de la Consti-tuante, ma priorité sera la mise en œuvre de la nouvelle constitution dans le respect des valeurs PLR.

MeyrinContrôleur de crédits, 1986


J’ai décidé de m’engager car je me soucie de l’avenir de Genève. Sensible aux soucis et aux inquiétudes des autres, c’est naturellement que je souhaite servir les intérêts de notre canton.


Je me dédie à une économie prospère et à l’emploi, des finances publiques saines et un Etat efficace


Ayant connu une période de chômage, je consi-dère que toutes les mesures favorisant l’emploi et l’économie sont une priorité. Je m’engage à maintenir l’attractivité économique de Genève afin de garantir sa prospérité et l’emploi.

ScHAllERVINcENT

ScHNEEBElIROlAND-DANIEl

SMAGAOlIVIER

GenèveConseiller municipal, fiscaliste, 1972


Mon parcours professionnel d’avocat fiscaliste et mon expérience de conseiller municipal en Ville de Genève me conduisent naturellement à m’intéresser à l’activité du Grand Conseil.


Je souhaite participer activement et en connaissance de cause aux importantes réformes fiscales qui feront l’actualité de la prochaine législature.


Mon objectif prioritaire est de lutter contre les hausses d’impôt sans pour autant réduire les prestations à la population. Quelques aména-gements dans le statut de la fonction publique seront nécessaires.

HermanceJuriste, médiateur assermenté, 1966

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Profondément attaché à Genève où je suis né, où je me suis marié et où j’ai fondé une famille, j’ai un désir de progrès et de liberté pour notre canton !

lES DOMAINES AUXqUElS JE ME DéDIE ET MES OBJEcTIfS PRIORITAIRESPOUR lA PROcHAINE léGISlATURE :

Genève doit être dans l’action du monde qui change et renforcer des secteurs clés tels les transports, le logement ou l’économie. Mon action s’appuiera sur des idées claires, s’opposera fermement à toute dérive populiste et parti-cipera à conduire de manière responsable et moderne Genève sur la voie de la prospérité, de la sécurité et de la solidarité, ne laissant personne de côté, ni nos jeunes, ni nos aînés. Renforcer les liens entre Genève et la Suisse sera aussi l’un de mes objectifs.

GenèveEtudiant, 1988

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Mon engagement sera de soutenir l’efficacité des actions de l’Etat afin d’assurer l’avenir de celles et ceux qui construiront le futur de notre société.


Pour préserver l’intégrité de la population genevoise, je veux que l’Etat se recentre sur ce qui garantira l’intégrité directe des personnes. Il s’agit de garantir des conditions de sécurité efficaces pour la défense des plus vulnérables.


Pour assurer l’avenir de notre jeunesse, je souhaite améliorer en profondeur la politique de formation de notre canton dans un esprit d’excellence et de progrès.

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chêne-BougeriesConseillère municipale, avocate, 1950


La conviction que seul un Etat de droit avec une économie forte est capable de financer les structures étatiques.


Aménagement du territoire, logement, pro- blèmes migratoires, droits de l’homme, position dans la société de la famille et de la femme, compétences de l’Etat face aux communes et à la Confédération.


Favoriser et valoriser toute initiative personnelle tendant à s’investir dans une activité écono-mique.

SOMMERMONIKA

TABOADAfRANcIScO

TANNERSTéPHANE

lancyAncien conseiller municipal, économiste, 1976

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Je veux laisser aux générations futures une société et un environnement le plus sain et équilibré possible.


Je me dédie au développement durable, soit l’économie, le social et l’écologie. L’équilibre dans ces secteurs me semble une priorité aujourd’hui pour vivre mieux demain.


Ancien conseiller municipal à Lancy, mon objectif est d’agir pour la création d’entreprises et d’emplois ainsi que pour le développement des énergies renouvelables.

SatignyAncien membre de l’Assemblée constituante, Juge assesseur au TAPI, conseiller fiscal, 1967


Ma volonté de participer à la construction de la société que nous laisserons aux générations futures.


La préservation des emplois implique des conditions-cadre favorisant la diversité de notre tissu économique. Pour y contribuer mes domaines de prédilection seront les finances publiques, la fiscalité et la formation.


Maintenir des conditions-cadre favorables à notre économie et favoriser la cohésion sociale de notre canton.

UEHlINGERPAScAl

VINcENTcéDRIc

VUIllODGEORGES

ThônexConseiller administratif, Dr ès sciences EPFL, 1971


J’ai toujours eu comme “leitmotiv” d’agir plutôt que de subir et je suis convaincu qu’il vaut mieux s’impliquer que critiquer. Cet engagement permet d’apporter une pierre à l’édifice. Par ailleurs, la diversité des personnes que l’on cô-toie rend le monde de la politique passionnant!


Je désire m’impliquer dans les domaines tou-chant au développement durable, à la petite enfance et à l’urbanisme cantonal.


Apporter mon expérience en tant que magistrat communal afin d’améliorer la collaboration et les synergies entre le canton et les communes. Ceci permettra très probablement un déve-loppement plus rapide des différents projets cantonaux.

lancyConseiller municipal, expert en finance et formateur pour adultes, 1968

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Ne pas subir, ne pas se plaindre, mais agir pour défendre les intérêts de Genève et de ses com-munes, telles sont mes motivations.


La formation gage de l’employabilité. Les associations professionnelles pour se faire entendre jusqu’à Berne. Ma commune, en tant que conseiller municipal, pour que chacun s’y sente bien. Les œuvres de bienfaisances car l’Etat ne peut pas tout.


Promouvoir l’emploi garant de l’indépendance de chacun. Optimiser le rôle de l’Etat pour qu’il puisse pourvoir à ses devoirs à long terme.

BardonnexAncien adjoint au Maire, agriculteur-maraîcher, 1967

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Dynamique et déterminé, je souhaite m’enga-ger pour soutenir une agriculture évolutive de qualité.


Fervent défenseur d’un dialogue permanent Etat/Communes pour trouver des solutions aux logements et aux transports dans un souci d’équilibre entre développement de Genève et maintien d’une zone agricole forte.


Développer une économie dynamique tous secteurs confondus pour un sain équilibre des finances.

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Pregny-chambésyConseiller municipal, administrateur de startup, 1963


Vivre en Suisse est un privilège. S’engager pour Genève est un devoir. J’ai été délégué du CICR pendant 17 ans. Je suis passionné de sport, mais aussi vice-président d’Ecologie libérale.


Je veux me battre pour retrouver le contrôle de notre espace public, aménager de vraies pistes cyclables et construire plus de logements pour nos enfants.


Je veux travailler pour que notre Etat soit plus efficace, qu’il offre un cadre stimulant aux entre-preneurs et un soutien aux plus vulnérables.

WAVRE ROlIN

WIcKY RAYMOND

zUlIAN SéBASTIEN

Aire-la-VilleIndépendant, ancien commandant des sapeurs- pompiers de la Ville de Genève, 1954

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Après 30 ans au service de la population en qualité de Commandant des sapeurs-pompiers de la Ville de Genève, j’entends poursuivre mon action dans le cadre politique.


- La sécurité publique des biens et des personnes. - La protection de la population.- L’organisation et le fonctionnement de l’administration.- L’environnement.- L’agriculture et la viticulture.- Les transports et le logement.


- Renforcer la sécurité publique.- Optimiser notre administration.- Construire du logement.- Protéger notre environnement.- Développer harmonieusement les modes de transport.

VeyrierEtudiant, 1988


Mon engagement politique représente l’une des formes de mon service à la communauté


Je me dédie à la cohabitation efficace des modes de transports, à une urbanisation cohérente, à la qualité de l’enseignement, à la lutte contre le monstre administratif étatique et à la défense de la Genève internationale.


Élu, je soutiendrai une évaluation de l’efficaci-té législative, la lutte contre la pollution sonore, l’harmonisation des méthodes d’enseignement et des plateformes d’échanges entre fonction-naires internationaux et genevois. Dynamisons Genève pour bien y vivre – renonçons à l’im-mobilisme !

zWAHlEN GUY

AlDER MURAT JUlIAN

BENNAÏM GARY

collonge-BelleriveAncien membre de l’Assemblée constituante, avocat, 1959


J’ai toujours été intéressé par la chose publique et le monde associatif. Depuis tout jeune, je m’intéressais aux auteurs “politiques”, tant ceux de l’Antiquité que du siècle des Lumières et de l’époque contemporaine. En tant “qu’ancien constituant”, il m’apparaît important de poursuivre le travail commencé à ce stade au niveau législatif, soit au niveau du Grand Conseil.


Bien entendu, d’abord au domaine de la mobilité au sens large. Il faut mettre fin au sentiment d’insécurité que ressentent beaucoup de personnes. Je m’engage aussi d’agir dans le domaine de l’aménagement.


D’abord dans le domaine des transports, assurer le respect de la Constitution, à savoir le libre choix du mode de transport. Dans le domaine de la sécurité, donner à tous les intervenants les moyens d’agir pour redonner à Genève la sécurité publique qu’elle mérite. Dans le domaine de la construction de logement, je m’engage à agir afin que des logements en suffisance soient rapidement construits.

ThônexAncien membre de l’Assemblée constituante, Vice-Président du PLRG, avocat, 1981

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Je m’engage pour renforcer les libertés des habitants de Genève et leur offrir la meilleure qualité de vie.


Rétablir la sécurité. Simplifier et réduire les impôts (familles et PME en particulier). Assu-rer la mobilité en véhicules privés comme en transports publics. Favoriser la construction de logements.


Concrétiser les réformes prévues par la nouvelle constitution.

GenèveConseiller municipal, analyste immobilier, 1970

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Genève a besoin de lignes politiques claires pour se maintenir comme l’une des principales villes d’Europe.


Pour un développement harmonieux de notre canton, je concentrerai mes efforts sur la mobi-lité, la sécurité et le logement.


Une circulation fluide, la fin des incivilités et la construction soutenue de logements.

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collonge-BelleriveConseiller municipal, directeur d’un organisme actif dans la lutte anti-blanchiment d’argent, 1962


M’engager pour trouver les solutions qui per-mettront à Genève de faire face aux défis d’un monde en pleine évolution.


Mettre mon expérience professionnelle, asso-ciative et privée au profit des projets du PLR pour que Genève redevienne un exemple en matière de sécurité, de transports, d’éduca-tion, d’emploi et de logement.


Créer, développer et soutenir des projets qui gé-nèrent prospérité et sécurité pour les Genevois.

BIRcHlER NORBERTO

BlANcH PAScAl

BÖHlER-GOODSHIP ElIzABETH

GenèveDirecteur financier, 1968

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Je m’engage pour une Genève dynamique et progressiste qui sert les citoyens et refuse les dogmatismes.


Parce qu’il est important de connaître son sujet, c’est dans mes domaines de compétence, la gestion financière, l’informatique, la mobilité et l’accès à la propriété que je dédierai mon engagement principal.


Mon objectif prioritaire est de défendre l’emploi et la qualité de vie dans notre canton. Parcours et expérience Politologue de formation, consul-tant en sécurité routière et directeur financier.

Grand-SaconnexConseillère administrative, manager, 1956

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE ET lES DOMAINES AUXqUElS JE ME DéDIE :

Grâce à mon expérience de 10 ans à l’exécutif d’une ville suburbaine et mon engagement dans divers groupements et associations, j’ai acquis des compétences que je souhaite investir dans le développement du sport, le soutien à la famille, la place des seniors dans la société et dans un plan Alzheimer pour Genève.

MES OBJEcTIfS PRIORITAIRES POUR lA PROcHAINE léGISlA-TURE :

J’entends notamment m’engager pour la construction de logements à des prix décents, pour la défense de la Genève internationale et celle des communes, notamment de la rive droite qui connaissent une forte croissance.

BOUVIERcHRISTINE

BRON GIllES-OlIVIER

BUffETNATAcHA

collonge-BellerivePharmacienne, 1959


Depuis plusieurs années je constate, comme une partie des citoyens, une nette dégradation de la qualité de vie dans notre canton et je désire que cette situation change.


Le coût de la santé pour une famille est important et je suis favorable à une meilleure organisation des soins. Nous devons tout faire pour que les citoyens de notre canton puissent avoir en priorité des emplois.


Je désire que chaque personne puisse avoir accès aux soins médicaux dans les meilleures conditions. Je désire que nos jeunes puissent apprendre dans de bonnes conditions. La for-mation de la jeunesse est primordiale pour l’avenir de notre société.

VernierConseiller municipal, historien, 1976

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Passionné par la res publica depuis près de 20 ans, j’ai eu envie de m’engager plus sérieuse-ment pour défendre les valeurs que j’identifie à Genève.


Je suis convaincu que le Grand Conseil doit mieux entendre les revendications communales en matière d’aménagement du territoire (dont la problématique de la circulation) et de sécu-rité de proximité (APM, SP, PCi).


Que la qualité de vie dans nos communes soit maintenue, par une densification raisonnée de notre canton et un respect de notre patrimoine historique.

GenèveConseillère municipale, enseignante au PO, 1982

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Le contact avec les gens et le goût du partage des préoccupations qui conduisent à penser et améliorer notre canton.


L’enseignement et la formation en tant que bases de notre société et terreau de notre avenir. L’aménagement et la mobilité qui nous touchent en tant que centre de notre quotidien et reflet de notre bien-être.


Me battre pour une formation scolaire en lien avec le “monde extérieur” en valorisant entre autres les formations professionnelles. Définir avec courage les modes de conciliation des dif-férents moyens de transports.

36 37


GenèveConseiller municipal, responsable opérationnel, 1962


Je souhaite contribuer activement à une politique environnementale économiquement viable et vivable pour Genève !


Le développement durable en tant que facteur d’essor économique. La mobilité, un enjeu majeur pour le maintient de notre qualité de vie. La responsabilité sociale des pouvoirs publics pour une économie saine et par conséquent un système social efficient.


Accélérer l’assainissement énergétique du parc immobilier genevois. Développer la fluidité des transports publics en centre ville.

BURRIRéMY

cHANTONGéRAlDINE

cOlqUHOUNcHRISTIAN

chêne-BourgConseillère municipale, greffière, 1978

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Parce qu’en s’engageant on participe à l’avenir et à la défense des intérêts communs.


La famille, la préservation de l’autonomie des personnes handicapées ou âgées, les relations intergénérationnelles et la maîtrise des dépenses publiques sont au centre de mes préoccupations.


Offrir des alternatives adaptées au modèle fa-milial actuel, et permettre à Genève de réduire sa dette.

chêne-BougeriesAncien conseiller municipal, directeur, 1951


Pratique de longue date de la vie genevoise, publique et associative. Très bonnes connais-sances de la politique genevoise


- Economie touristique.- Culture et Sport.- Transports et mobilité.- Sécurité.- Aménagement- Intérieur, environnement, produits agricoles et viticulture


- Soutenir l’économie touristique- Renforcer la sécurité sur le domaine public- Réduire les doublons Ville-Etat

DE MONTMOllIN SIMONE

DE SENARclENS AlEXANDRE

DEKANY ANDREAS

TroinexAncienne membre de l’Assemblée constituante, œnologue-ingénieure, 1968


Je souhaite favoriser une prospérité responsable et profitable pour tous, conforme aux valeurs de notre nouvelle Constitution pour laquelle j’ai œuvré.


Economie, agriculture, urbanisme, politique énergétique, cohésion sociale, recherche et formation sont les domaines auxquels je dédie mon action.


La mise en place de conditions-cadre favorisant l’innovation, des emplois diversifiés, une agri-culture de proximité et l’entreprenariat des femmes sont mes priorités.

GenèveMembre de la Présidence du PLRG, avocat, 1975

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Je m’engage à promouvoir la prospérité et la qualité de vie dans notre canton pour tous ses habitants.


Je me dédie à l’environnement, la cohésion sociale et la sécurité, trois thèmes essentiels pour assurer le développement durable et harmonieux de Genève, sa ville internationale et ses magnifiques villages.


Mon objectif est de préserver les conditions nécessaires à une croissance pérenne qui pro-fite à tous les genevois.

GenèveAvocat, 1977

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Je m’engage en politique car l’avenir du Canton de Genève me tient à cœur et je souhaite contribuer à son développement et à sa pros-périté.


Les domaines auxquels je me dédie sont l’emploi, le logement, la santé, la mobilité et la lutte contre le surendettement des jeunes.


Mon objectif prioritaire pour la prochaine législature est de simplifier les procédures relatives au droit des constructions, afin de lutter contre la pénurie de logements.

38 39


BardonnexDirectrice, 1974


Pragmatique et déterminée, je m’engage en politique pour être actrice du développement de mon pays.


Je veux des emplois durables, soutenus par des formations adéquates, pour une région forte, ouverte et consciente de ses responsabilités. Je me dédie également aux questions relatives à la famille, l’environnement et la cohésion sociale.


Je souhaite que Genève bâtisse un avenir du-rable, dans un esprit novateur et respectueux.

DUBUISSOPHIE

DUcHÊNEPIERRE

fAVREMIcHEl

DardagnyMaire, retraité ex-employé Swissair/Swiss, 1948

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Les élus communaux étant sous-représentés, je veux donner de mon temps et amener plus de pragmatisme.


Au vu de mon expérience communale, je dois me dédier à la sécurité, à la mobilité, aux logements, à l’emploi et aux relations Etat-Communes en matière d’aménagement afin de simplifier les procédures.


Dialoguer, écouter, évaluer, préparer, proposer, structurer et surtout respecter mon interlocuteur.

Plan-les-OuatesConseiller municipal, consultant, 1946


La société en mouvement et l’action de l’Etat au cœur de celle-ci m’a toujours intéressé. La détermination de l’Etat, au service de toute la population et des entreprises favorise la qualité de vie de chacun, qu’il s’agit de défendre concrètement.


La réforme d’un Etat moderne passe par une saine gestion des deniers publics. La réduction drastique de la dette publique en est un des éléments. Revenir à un Etat qui assure des prestations essentielles à sa bonne marche fait partie des priorités. La simplification des procé-dures, notamment en matière de constructions, s’avère nécessaire. Genève et sa région est un des objectifs qui mérite toute l’attention de la force publique.


Favoriser un engagement efficace du Grand Conseil et du Conseil d’Etat, au-delà des polé- miques stériles, aux fins de répondre aux réelles préoccupations de nos concitoyens et de nos entre-prises, acteurs du développement de Genève. Favoriser encore davantage la concertation entre l’Etat et les Communes genevoises.

fUcHSBéATRIcE

GENEcANDBENOÎT

HAlPéRINlIONEl

GenèveSecrétaire de direction, 1946


Défendre le bien commun, chaque citoyen homme ou femme, jeune ou aîné, méritant d’être entendu au mieux.


La politique en relation avec le vieillissement de la population (logement des aînés, EMS, plan contre la maladie d’Alzheimer), urba-nisation du canton, environnement, fiscalité, prévention de l’endettement


Soutenir la construction de logements dans le canton pour toute catégorie de la population, rétablir les finances.

GenèveAncien membre de l’Assemblée constituante, administrateur indépendant, 1964

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Faire entendre et représenter les valeurs libé-rales et humanistes au Parlement.


- Réduire la dette du Canton.- Construire 2500 logements par an.- Baisse de la fiscalité des entreprises.- Intégration (chômeurs, handicapés, nécessiteux) : viser la dignité par l’indépendance.- Ecologie, santé : responsabiliser le citoyen.


Une gestion durable des ressources de l’Etat : un fonctionnement économe de l’administration et des investissements adéquats.

collonge-BelleriveAncien membre de l’Assemblée constituante, avocat, 1974

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Poursuivre l’engagement que j’ai eu comme Constituant pour notre Cité (Président de la commission des institutions et chef de groupe) et défendre l’esprit d’entreprise et les libertés individuelles.


Fonctionnement de nos institutions, libertés publiques et amélioration des conditions-cadre de l’économie (sécurité, renforcement de l’Etat de droit, infrastructures, fiscalité…).


Mise en œuvre de la nouvelle Constitution. Renforcement de la prospérité, condition de la responsabilité sociale et des droits individuels.

40 41


GenèveConsultante en communication et en organisation, 1966


Avoir l’opportunité de confronter mes convic-tions à celles d’autrui grâce à nos instruments démocratiques forts.


La mobilité, à cause des heures que je passe entre chez moi et mon bureau, l’emploi pour préserver notre Etat social, et la Genève internationale pour conserver l’exceptionnelle ouverture d’esprit de notre canton.


Participer au développement d’une stratégie de mobilité cohérente, efficiente et inclusive.

HANcOcK MARIE-HélèNE

HARDYN NATHAlIE

JAY DElATTRE SYlVIE

GenèveDirectrice de la Chambre de commerce, d’in-dustrie et des services, 1962

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Circulation, logement, finances publiques, dans tous ces domaines Genève a besoin d’une poli-tique volontariste nouvelle.


Forte d’une expérience de terrain, je connais les besoins des entreprises en matière de mobi-lité, d’énergie et d’environnement. Je milite pour un développement durable qui prenne en compte économie, écologie et social de ma-nière équitable.


Favoriser la réussite des entreprises, facteur de cohésion et de paix sociale, fluidifier la circu-lation, c’est redonner aux Genevois un avenir serein.

confignon Maire, pharmacienne, 1964


Préserver la qualité de vie et le développement harmonieux de Genève pour les générations futures.


Logement, Sécurité et Mobilité


Concourir aux efforts de simplification des procédures administratives et promouvoir la réalisation de logements de qualité nécessaires au maintien de notre cohésion sociale et au respect de notre environnement. Poursuivre mes actions synergiques et solidaires en matière de sécurité, primordiales pour plus de liberté pour tous.

KIRAl MUHITTIN

KOUANGO AlBAN

lAPAIRE cAROlE

GenèveEtudiant, 1976


Je suis un fervent défenseur de la responsabilité individuelle, et en même temps, au lieu d’être un spectateur et regarder ce qui se passe, je préfère être un acteur, jouer un rôle dans le développement de notre société.


La formation, un domaine vaste, où l’on cherche notre avenir professionnel est souvent mal géré. Environnement: Nous constatons tous avec beaucoup de tristesse, que la détérioration de l’environnement continue sans être maîtrisée. Je tiens également à m’investir dans les domaines de l’hôtellerie-restauration et le logement. Ces domaines méritent une meilleure attention.


- Augmenter le nombre de jeunes formés.- Privilégier la formation continue pour les adultes.- Préparer un environnement plus sain pour les générations futures.- Réduire la consommation et les dépenses de l’énergie.- Privilégier des énergies renouvelables.

GenèveEmployé de la Fondation des parkings, 1958

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE C’est pour les valeurs de liberté, responsabilité, solidarité et d’égalité des droits et des devoirs pour tous, que j’ai la volonté de soutenir, que je m’engage comme candidat au Grand Conseil genevois.


Je me dédie à l’emploi, à la cohésion sociale et au bien-être de la population genevoise.


Mettre en œuvre pleinement ces valeurs, amé-liorer la qualité de vie de tous.

collonge-BelleriveConseillère municipale, avocate-conseil, 1960

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE Après 8 ans d’engagement en tant que conseillère municipale, je souhaite aujourd’hui défendre les idées PLR au niveau cantonal.


Je veillerai au bien-être et à la qualité de vie des genevois, à faire preuve de solidarité à l’égard de ceux qui en ont besoin et à lutter contre le chômage afin que chacun ait sa place dans notre société.


Je me battrai pour un Etat responsable dans la gestion des ressources publiques et pour des charges fiscales raisonnables tant pour les en-treprises que pour les individus.

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chêne-BourgAgent municipal, 1973


Parce que je suis convaincu que des solutions nouvelles existent, et suis décidé à les faire porter coûte que coûte.


Intensifier les logements en ville, d’une manière profitable, banaliser l’utilisation des transports publics genevois pour une utilisation simplifiée, économique et crédible. Revaloriser l’école et la formation dans le canton de Genève.


Concrétiser l’un de mes trois objectifs, et faire naître de nouvelles idées sur la scène politique genevoise.

lEcHEVAllIER DAMIEN

lOcHERJEAN

MAlEK-ASGHARPATRIcK

chêne-BougeriesConseiller administratif, médecin, 1962

lES RAISONS DE MON ENGAGEMENT POlITIqUE 16 ans de municipal à Chêne-Bougeries, Conseiller administratif. Un solide bilan et une profonde connaissance des affaires commu-nales. Le Grand Conseil est une suite logique à mon engagement.


Gynécologue, indépendant depuis 14 ans, je participe activement à la politique médicale comme membre du comité de l’Ordre des Gyné- cologues et Obstétriciens, et du Conseil de l’Association des médecins de Genève.


Je souhaite maintenir de la sécurité, assainisse-ment des finances et ne pas laisser une gauche irresponsable s’imposer à Genève.

VersoixMaire, avocat, 1964


Genève est un coin de pays extraordinaire, qui mérite un engagement. Je le fais avec passion et succès depuis 10 ans à la Mairie de Versoix, ville suburbaine, et sur le plan cantonal ou Suisse, en ayant notamment fondé comme président central radical le PLR.

lES DOMAINES AUXqUElS JE ME DéDIE ET MES OBJEcTIfS PRIORITAIRESPOUR lA PROcHAINE léGISlATURE :

Défendre nos libertés de citoyen, plus menacées qu’il n’y paraît, maîtriser les finances publiques (moins 44% de dette en 10 ans à Versoix), construire harmonieusement et rapidement par une concertation efficace sont de mes ex-périences réussies et que je souhaite partager.

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Par Nathalie Fontanet, Députée au Grand Conseil

L’INITIATIVE DU GSSA PRÉVOYANT L’ABROGATION DE L’OBLIGATION DE SERVIR MET EN DANGER NOTRE PAYS ET SES HABITANTS

’est la troisième fois depuis 1989 que le GSsA revient avec une initiative visant à supprimer l’armée. Aujourd’hui, il prétend

ne s’attaquer qu’au service obligatoire, invoquant des arguments soit angéliques soit de mauvaise foi, tels que “la guerre est interdite”, “la nécessité d’enseigner et de pratiquer la paix” ou encore que “l’armée serait impliquée dans presque tous les crimes contre l’humanité”. Pour- tant il ne faut pas se leurrer, son objectif est bien de supprimer l’armée et d’affai-blir notre pays !

Sans obligation de servir, c’est toute la chaîne de sécurité, armée, protection civile et service civil qui disparaîtra.

Une armée de volontaires est une illusion. Sans obligation de servir, la Suisse se retrouverait, faute de pouvoir recruter suffisamment, sans armée et sans réserve sécuritaire. Or, contrairement à la plu-part des Etats européens, la Suisse ne fait pas partie de l’Otan et ne possède pas de politique de défense commune avec d’autres pays. Elle ne peut donc compter que sur elle-même et doit impérativement pouvoir mettre sur pieds sans délai des

forces importantes. Cela n’est possible qu’avec le maintien de l’obligation de servir.

L’indispensable recours à l’armée en cas de catastrophe naturelle ne serait plus envisageable.

Concrètement, les cantons et les communes ne pourraient plus compter sur l’armée pour venir en aide à la population, comme cela a été le cas ces dernières années notamment lors des incendies de forêts dans le secteur du Simplon, des glissements de terrain dans le can-ton du Valais ou encore des inondations récentes dans tout le pays.

C’est aussi l’organisation de grandes manifestations sportives comme la coupe du monde de ski alpin ou différents cham-pionnats du monde qui serait remise en question sans la nécessaire participation de l’armée.

Par ailleurs, en cas d’acceptation de cette initiative, Genève serait également di- rectement touchée et ne pourrait plus compter sur l’indispensable soutien de l’armée dans le cadre du maintien de

la sécurité à l’aéroport, lors de grandes conférences internationales et pour la protection des organisations internatio-nales et missions diplomatiques : c’est la Genève internationale qui est en jeu.

Outre ces conséquences directes pour notre pays et sa population, l’abolition de l’obligation de servir pose aussi la question de la notion de citoyenneté. La milice fait partie intégrante du mo-dèle suisse : elle façonne le rapport des citoyens avec l’Etat. A la différence de ce qui est le cas dans les pays européens qui ont abrogé la conscription, l’Etat, dans notre pays, fait confiance au citoyen et s’en remet à lui pour garantir la sécu-rité collective. En cas de suppression de l’obligation de servir, c’est un pan entier du modèle suisse qui disparaîtrait.

Parce que j’aime mon pays, que je ne souhaite pas son affaiblissement et que je suis convaincue que l’abolition du ser-vice obligatoire mettrait en péril notre sécurité en particulier en cas de conflits ou de catastrophes, je voterai NON à l’initiative du GSsA.

C

POSITION DU PlR SUR l’INITIATIVE POPUlAIRE “OUI à l’ABROGATION DU SERVIcE MIlITAIRE OBlIGATOIRE” : NON

Les délégués ont massivement rejeté l’initiative du GSsA. Le PLR regrette que cette initiative mette en péril la sécurité du pays et élude le nécessaire débat sur le rôle et les missions que l’on souhaite donner à notre armée pour affronter les défis du XXIe siècle. Pierre Maudet a, par exemple, réalisé un important travail de réflexion sur ce thème, appuyé par plusieurs experts. Or, l’objectif réel du GSsA consiste en la suppression pure et simple de l’armée. Le PLR ne peut donc que s’opposer à cette proposition.

46 47


’initiative constitutionnelle fé- dérale “Oui à l’abrogation du service militaire obligatoire” soumise au vote du peuple et des

cantons suisses le 22 septembre 2013 a été lancée par une association qui porte très bien son nom et qui assume pleinement son but statutaire : le Groupe pour une Suisse sans Armée (GSsA).

Cette association a échoué à deux reprises en tentant d’obtenir la suppression pure et simple de l’armée suisse, en 1989, puis en 2001. C’est pourquoi elle cherche dé-sormais à atteindre son but de manière indirecte, en essayant d’affaiblir progres-sivement l’institution militaire au travers d’initiatives ayant notamment pour objets l’opposition à l’acquisition d’avions de combat, l’interdiction d’exporter du ma- tériel de guerre, le dépôt des armes d’ordonnance à l’arsenal et désormais, la suppression de l’obligation de servir.

Dans le contexte d’individualisme qui marque notre époque, les auteurs de l’initiative tentent d’utiliser à leurs fins la perception consumériste qu’ont hélas de plus en plus de nos concitoyens de notre charte fondamentale : la Constitution fé-dérale ne serait rien d’autre qu’un vaste supermarché dans lequel tout un chacun pourrait librement faire ses courses en choisissant soigneusement entre les droits et les devoirs.

Or, dans une société démocratique fondée sur un contrat social au sens où l’enten-dait Jean-Jacques Rousseau, un citoyen libre et responsable est certes titulaire de prérogatives, telles que les droits poli-tiques, mais aussi d’obligations, telles que fréquenter l’école, s’assurer contre la maladie, cotiser aux assurances sociales,

payer des impôts et servir dans l’armée, la protection civile ou le service civil.

En soi, il n’y a strictement rien de malsain à proposer une réforme de la conscrip-tion militaire. L’obligation de servir dans l’armée n’est d’ailleurs pas un but en soi. Il faut d’ailleurs reconnaître qu’à l’heure actuelle, le modèle en vigueur pose un vrai problème qu’il est insensé de vouloir nier. D’égalité de traitement, d’une part, sachant que seulement deux tiers des hommes de nationalité suisse accomplis- sent effectivement leur service militaire et que de très nombreuses femmes seraient également compétentes pour le faire. De santé publique, d’autre part, puisque cela signifie que 33% des jeunes Suisses ne seraient même pas aptes à effectuer du service dans les fonctions physiquement les moins exigeantes.

A teneur du texte de l’initiative, on peut cependant élever de sérieux doutes quant à la volonté réelle des initiants. En effet, cette initiative ne propose aucune modi-fication constructive de la Constitution fédérale. Elle se contente de stipuler que “nul ne peut être astreint au service mili-taire” et que “la Suisse a un service civil volontaire”. Elle ne dit rien à propos du service militaire en tant que tel. Alors qu’elle le fait pour le service civil, l’initiative ne prévoit pas explicitement que la Suisse dispose également d’un service militaire volontaire. Curieusement, elle ne remet pas non plus en cause l’art. 58 al. 1 de la Constitution fédérale qui consacre le principe de l’armée de milice. Le libellé équivoque de l’initiative trahit ainsi les véritables intentions de ses auteurs.

En réalité, cette initiative ne vise rien d’autre que les effectifs de l’armée. Ses

auteurs savent pertinemment qu’il sera impossible de trouver 100’000 ou 120’000 volontaires en Suisse pour que l’armée suisse soit en mesure de remplir ses mis-sions constitutionnelles. Et en cela, il s’agit d’une attaque en règle contre l’armée elle-même. Une fois l’armée dépossédée de ses moyens en personnel, elle ne serait plus en mesure de remplir ses missions, et partant, deviendrait inutile au point de rendre sa suppression politiquement acceptable.

A supposer que les initiants veuillent véritablement introduire le service mili-taire à base volontaire en Suisse, ce volontariat est une illusion. L’armée ne sera jamais en mesure de combler ses besoins en effectifs. La preuve en chiffres : si chaque année, l’armée disposait de 1’000 volontaires masculins et de 100 volontaires féminins, il faudrait une gé- nération entière pour constituer une armée de 25’000 hommes. Or, avec un tel effectif, l’armée pourrait tout juste assurer la sécu-rité des aéroports de Genève et de Zurich, mais ne pourrait assumer aucune autre mission et ne disposerait d’aucune réserve.

Un tel système fondé sur le volontariat n’existe nulle part dans le monde. Il n’existe que des armées de milice et des armées professionnelles. D’ailleurs, dans les pays dotés d’armées de métier, la pénurie en main d’œuvre est tellement grave qu’elle conduit à des politiques de recrutement absurdes. L’Espagne se voit contrainte de recruter en Amérique du Sud, alors que la Grande-Bretagne promet des remises de peine à des personnes emprisonnées. De surcroît, il est évident qu’une armée professionnelle coûte plus cher, que ce soit en salaires du personnel, mais aussi en matériel de pointe pour compenser la réduction des effectifs.

Par ailleurs, puisque les citoyens qui servent dans la protection civile proviennent des rangs de ceux qui ont été déclarés inaptes au service militaire, la suppression de la conscription militaire aura pour effet indirect de démanteler la protection civile. En effet, dans le canton de Vaud par exemple, on compte 0,1 % de volontaires pour servir dans la protection civile.

Enfin, il convient de rappeler que l’armée fournit de nombreuses prestations au

service des autorités civiles, notamment dans les domaines de la sûreté secto-rielle, de la protection de personnes, de conférences et d’ouvrages, du sauvetage et de l’aide en cas de catastrophe. Si la conscription militaire est supprimée, l’armée ne disposera plus des moyens nécessaires pour l’accomplissement de ces tâches et les cantons devront faire face à de nouvelles charges, puisqu’ils devront désormais assumer financièrement ces prestations.

Autrement dit, il n’existe, dans le cas spécifique de la Suisse, eu égard aux missions constitutionnelles de son armée et des prestations que cette dernière fournit à la population et aux autorités civiles, aucune alternative à l’obligation de servir.

Le lancement de l’initiative soumise au vote le 22 septembre 2013 a toutefois un mérite : celui d’avoir provoqué un débat aussi passionnant que nécessaire, en particulier sur la notion de service à la collectivité dans un pays profondément marqué par l’idée de milice au sens large.

A ce propos, il est dommage que l’As-

semblée fédérale et le Conseil fédéral se soient contentés de rejeter ce texte sans examiner d’éventuelles variantes par rapport au statu quo. Les différentes pro-positions du Conseiller d’Etat Pierre Maudet, du Conseiller national Hugues Hiltpold et des jeunes libéraux-radicaux genevois allant dans le sens d’un élargis- sement de la conscription militaire à une conscription civique couvrant l’ensemble des métiers de la sécurité (armée, garde- frontières, police, sapeurs-pompiers, secours, protection civile) ou d’autres secteurs d’intérêt général auraient as- surément mérité une meilleure attention. Elles seront toutefois traitées par un groupe de réflexion annoncé par le Conseil fédéral, mais qui ne sera mis sur pied qu’en cas de rejet de l’initiative.

En d’autres termes, si véritablement nous voulons nous donner une chance de mo-derniser l’obligation de servir, et ce, tout en garantissant à l’armée les moyens en effectifs de remplir ses missions consti-tutionnelles, alors nous devons préala-blement rejeter, sans aucune hésitation, cette énième initiative du Groupe pour une Suisse sans armée.

MODERNISONS L’OBLIGATION DE SERVIR AU LIEU DE LA SUPPRIMER

LPar Murat Julian Alder, Vice-président du PLR genève

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n décembre 2012, le Parlement a accepté à une large majorité l’initiative parlementaire de Christian Lüscher sur la libéra-

lisation des heures d’ouverture des ma-gasins des stations-service qui demande que ces derniers puissent occuper des travailleurs toute la nuit et le dimanche, sans devoir obtenir une autorisation spé-ciale. Un projet frappé au coin du bon sens.

La modification votée par le Parlement propose de compléter la loi fédérale sur le travail dans l’industrie, l’artisanat et le commerce (soit l’article 27 al. 1 quater) de la manière suivante : “Les magasins des stations-service qui sont situés sur les aires des autoroutes ou le long d’axes de circulation importants fortement fréquentés par les voyageurs et dont les marchandises et les prestations répondent principalement aux besoins des voyageurs peuvent occuper des travailleurs le dimanche et la nuit.” La modification est ciblée.

En vertu de la réglementation actuelle, les shops de stations-service peuvent vendre du carburant et des produits de restauration, comme le café et les sandwichs, 24h sur 24. Cependant, entre 1h et 5h, ainsi que le dimanche, les stations-service ne peuvent pas employer leur personnel pour vendre certains articles comme du papier toilette, une pizza surgelée, des saucisses à rôtir alors même que le per-sonnel est présent dans le shop.

Outre les syndicats et la gauche, des re-présentants de l’Eglise et de la médecine du travail ont lancé en janvier 2013 un référendum “alliance pour le dimanche” pour contrer la modification de la loi fédérale sur le travail. Les référendaires voient par cette modification une libé-ralisation totale des heures d’ouverture des magasins. Contrairement aux affir-mations des opposants, le travail de nuit n’augmentera pas, puisque le personnel est déjà sur place.

Sur le plan national, actuellement 24 stations-service emploient déjà du personnel de nuit. La plus proche de Genève

se trouve sur l’autoroute entre Lausanne et Genève, à Bursins. Les sondages dé- montrent que très peu de nouvelles stations- service profiteraient de cette modification car employer du personnel la nuit a un coût. Si tel était le cas, cela aurait l’avan-tage de créer des emplois.

Votons “oui” le 22 septembre!

LÉGALISER LES SAUCISSES À RÔTIR : OUI À LA LOI SUR LE TRAVAIL (LTR). UN PROJET 100 % PLR

EPar Fabienne Gautier, Présidente Fédération Commerce Genevois

Le bonheur d’une naissance

www.grangettes.ch

POSITION DU PlR SUR lA MODIfIcATION DE lA lOI féDéRAlE SUR lE TRAVAIl (lTR) : OUI

POSITION DU PlR SUR lA MODIfIcATION DE lA lOI SUR l’ORGANISATION JUDIcIAIRE (lOJ) :

Les délégués appuient massivement ce texte 100% PLR, frappé au coin du bon sens. Il s’agit simplement de supprimer une contrainte bureaucratique absurde. La modification est ciblée, de sorte qu’aucune péjoration des conditions de travail n’est à redouter. A Genève, 40 stations-service sont potentiellement concernées.

Cet objet consiste à augmenter le nombre de juges assesseurs de 30 à 36 au Tribunal des baux et loyers. Adopté à l’unanimité au Grand Conseil, il est malgré tout soumis à votation en raison de l’ancien référendum obligatoire concernant toutes les questions liées de près ou de (très) loin au domaine du logement. Ce mécanisme imaginé par Christian Grobet a heureusement été supprimé, sous l’impulsion du PLR notamment, par la nouvelle constitution désormais en vigueur. A l’avenir, il ne sera donc plus nécessaire d’inviter les électeurs à approuver des projets législatifs non controversés, finalement adoptés par des majorités dépassant les… 90% d’avis favorables.

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OUIPour une protection efficace contre les

maladies infectieuses

à la loi sur les épidémies le 22 septembre 2013

Comité de votation

Aide Suisse contre le Sida • Aide zurichoise contre le sida • «Alliance pour la santé» en Suisse • ASMAC – Association suisse des médecins-assistant(e)s et chef(fe)s de clinique • Association suisse des infirmières et infirmiers ASI • CURAVIVA Suisse • Fédération Suisse des Patients • FMH – Fédération des médecins suisses • GELIKO – Conférence nationale suisse des ligues de la santé • H+ Les Hôpitaux de Suisse • Kinderärzte Schweiz – Association professionnelle de la pédiatrie ambulatoire • Konsumentenforum kf • Ligue pulmonaire suisse • Ligue suisse contre le cancer • Médecins de famille Suisse • Network • pharmaSuisse – Société Suisse des Pharmaciens • Santé publique Suisse • SANté SExUELLE Suisse • Société Suisse d'Infectiologie • Société Suisse de Médecine du Sport • Société suisse des médecins-dentistes SSO • Société suisse des médecins spécialistes en prévention et santé publique • Société Suisse de Pédiatrie • topPharm Apotheken

www.lep-oui.ch

La nouvelle loi sur les épidémies nous protège contre les dangers d’aujourd’hui. La loi en vigueur a 40 ans et ne satisfait plus aux exigences actuelles.

OUI à la loi sur les épidémies:• pour que la population suisse soit mieux protégée contre les épidémies et

les maladies infectieuses dangereuses.

• pour que les patientes et les patients ainsi que le personnel soient mieux protégés contre les infections à l’hôpital.

• pour que des mesures soient prises contre les résistances croissantes aux antibiotiques qui nous menacent.

• pour qu’une éventuelle vaccination obligatoire temporaire soit exclusivement limitée aux situations d’urgence et à certaines catégories de personnes comme les médecins ou le personnel soignant.

Liberté de vaccination garantie: avec la nouvelle loi aussi, chaque individu décidera librement s’il souhaite se faire vacciner ou non.

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e 19 février 2013, le Conseil Municipal de Bernex a accepté d’octroyer deux dérogations à un projet immobilier ambitieux,

situé dans le village de Lully sur une parcelle sise en zone constructible (zone 4B protégée). Le projet porte sur 178 logements, un parking souterrain, des espaces publics, une place de marché et un commerce de proximité. La densité du projet est de 0.89 et vient s’inscrire dans un contexte déjà très urbanisé, seules deux parcelles encore constructibles persistent encore dans le village de Lully. Les propriétaires du terrain, des maraî-chers bernésiens de père en fils, ont présenté leur projet à la commission Aménagement et Transport de la commune, ainsi qu’à l’association des habitants du village. Des négociations ont été entamées avec le Conseil Administratif afin de trouver des solutions aux préoccupations des édiles locaux. Par exemple, le principal accès aux habitations devra être élargi et adapté aux nouvelles conditions de trafic. Ces modifications seront à la charge des promoteurs. Il a été égale-ment convenu de privilégier les jeunes de la commune lors de l’attribution des logements.

L’Autorisation préalable de construire a été délivrée le 13 janvier 2012 avec, en prime, un préavis élogieux de la com-mission des Monuments et des Sites.Malheureusement, comme souvent dans notre République, les voisins se sont regroupés pour s’opposer à ce qu’ils considèrent comme une péjoration de leur qualité de vie et de leur tranquillité. Ils reprochent au bureau d’architecte (réputé pour la création du tout récent pont Wilsdorf et des bâtiments Rolex) de nombreux manquements et approxi- mations totalement infondés. Ils dénon-

cent par exemple de futurs embouteillages à la sortie du village aux heures de pointes. Une étude a démontré que les usagers, malgré l’augmentation de trafic, devront attendre au maximum 10 secondes au giratoire lors des heures de pointe…

Le Tribunal de Première instance a de-mandé à la Commune de se prononcer sur deux dérogations à son règlement communal. L’une concernant l’indice d’utilisation du sol et l’autre concernant la nécessité d’élaborer un plan d’aména-gement, équivalant ici à un Plan localisé de quartier (PLQ). L’Entente et le MCG ont obtenu ces deux dérogations lors du Conseil municipal de février dernier. Les Verts et les Socialistes, comptant un électorat fourni parmi les opposants, se sont opposés farouchement aux déro-gations, repoussant ainsi le problème du logement de leurs communiers vers d’autres cieux.

Dans le but de faire traîner le projet et ainsi gagner quelques étés sans être dérangés sur leur terrasse, les opposants (sous l’impulsion d’un Conseiller muni-cipal UDC) ont mené une campagne dénigrante en alignant mensonges et amalgames douteux afin de faire annuler les deux dérogations du Municipal. Ils ont donc obtenu les signatures néces-saires à un référendum communal qui aura lieu le 22 septembre 2013.

Il est donc primordial de se mobiliser pour accélérer la réalisation de logements dans une zone constructible et dans laquelle le PLQ n’est pas obligatoire ! A tous les Bernésiens de soutenir un projet qui ne sera que bénéfique pour la Commune et ses habitants.

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LPar Ivan Sierro

SOUTENONS LE DÉVELOPPEMENT DU COEUR DE LULLY!

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n date du 18 juin 2013, une nouvelle ayant fait grand bruit dans la République et largement relayée par la presse romande

est venue du sud de notre canton. Veyrier est en effet devenue la 1re ville genevoise à supprimer le fonctionnariat. C’est ainsi que sa soixantaine d’employés devien-dront dès le 1er janvier 2014 autant de collaborateurs, sur la base d’un contrat individuel de droit public passé avec le Conseil administratif.

Le changement opéré est de taille non seulement de par le fait que les enga-gements pourront désormais au besoin être résiliés dans le respect des principes de droit public, mais aussi et surtout car la relation contractuelle de départ ne se décrétera plus sur la base d’une nomi-nation unilatérale de l’Exécutif. Bien au contraire, les relations de travail se noueront, à l’instar du secteur privé, au moyen d’un contrat dont les principales composantes auront été négociées entre les futurs partenaires. Il en ira en parti-culier ainsi de la rémunération, laquelle comportera désormais une composante importante fondée sur le mérite, en sus du critère de l’ancienneté. C’est par conséquent en chaque fin d’année que le Conseil administratif aura le loisir de récompenser financièrement le travail réalisé par ses employés sur la base d’éva- luations de ses chefs de service. Cette me-sure, destinée notamment à encourager les hautes performances des collaborateurs communaux, permettra également de déplafonner les rémunérations d’un

certain nombre de personnes qui, arri-vées au sommet de leur catégorie parfois 15 ans avant leur retraite, n’avaient guère plus de possibilité d’évoluer. Parmi les autres mesures mises en place, citons enfin la retraite à l’âge AVS et non plus à 62 ans, le congé-paternité et d’adoption, des procédures simples et efficaces de médiation, également en cas de harcèle-ment psychologique ou sexuel.

Ce modèle moderne de gouvernance a été adopté à l’unanimité du Conseil municipal, partis de gauche y compris, et a reçu le plein soutien du personnel. Après plus de 2 ans de travaux, le résultat obtenu démontre qu’au-delà des clivages poli-

tiques, une approche ferme quant aux objectifs mais ouverte aux compromis permet de réaliser des avancées signifi-catives dont la principale gagnante, aux côtés des employés eux-mêmes, est sans conteste la population.

Ces principes, défendus par le PLR depuis de nombreuses années, sont déjà en vigueur dans de nombreuses admi-nistrations et notamment au sein de la Confédération. Gageons qu’ils seront bientôt adoptés par d’autres villes gene-voises, avant une indispensable réforme du statut des fonctionnaires de l’Etat.

EPar Thomas Barth, Conseiller administratif

VEYRIER SE DOTE D’UNE ADMINISTRATION 2.0... WHO’S NEXT ?

CHOUILLY GENEVE AOC


e dossier Naxoo est un peu à l’image de la Ville de Genève, quelque chose qui a été créé par la droite et qui a été telle-

ment mal géré par la gauche qu’on en est à prendre des décisions dans l’urgence faute d’avoir pris nos responsabilités avant.

En effet, si cette société fondée dans les années 1980, avec une mise de départ de 2.5 millions de la Ville de Genève, a été avant-gardiste en matière de télévision, elle avait raté le virage de la télévision numérique et du triple-play (fourniture simultanée de la télévision, du téléphone et d’internet) en raison de l’incompétence des conseillers administratifs de 2006 qui ont validé une convention d’action-naires qui n’a pas tenu ses promesses.

Aujourd’hui, le seul moyen pour Naxoo de sauvegarder ses parts de marché et ses emplois est de continuer à améliorer son offre, ceci ne peut se faire qu’à l’aide d’investissements massifs qui permet-tront de continuer à étendre l’offre de chaînes de TV, la bande-passante internet et de préparer la prochaine étape que sera l’adjonction du quadruple-play qui

consiste en l’adjonction de la téléphonie mobile. Et si actuellement Naxoo a pu mettre en place le triple-play, ce n’est que parce qu’UPC Cablecom a accepté de fournir cette prestation (payante).

L’autre aspect qu’est le maintien des emplois n’est (malheureusement) pas davantage crédible pour justifier le maintien de Naxoo en mains publiques, car non seu-lement Naxoo a déjà procédé à 10 licen-ciements entre septembre 2012 et mai 2013, alors même qu’elle était à 51% en mains publiques, chose qu’on aurait pu éviter si on avait vendu plus vite étant donné que le maintien du nombre d’emplois dépendra avant tout de la capacité de la société à conserver ses parts de marché à Genève. On peut aussi relever que l’exercice 2012 de Naxoo n’a été béné-ficiaire (2’115’383.-) qu’en raison de la

baisse massive du niveau d’investissement de la société, lequel a diminué de moitié de 2011 (11’879 millions) à 2012 (5’838 millions). Le bénéfice de la société n’est donc que de façade sur le dernier exercice car uniquement dû à la baisse des investissements.

Rappelons enfin que les Services Industriels Genevois (SIG) exploitent un réseau ultra- moderne de fibre optique qu’ils louent aux divers opérateurs de télévision par IP comme l’est Swisscom TV... entreprise en mains de la confédération ! Preuve que non seulement le service public n’est pas menacé, mais qu’il convient de mettre fin à une situation paradoxale qui voit la Ville de Genève faire concurrence au canton et à la confédération !

LPar Simon Brandt, Conseiller Municipal

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près plus d’une année de gestati- on douloureuse, Eveline Widmer- Schlumpf (EWS) a accouché d’une superbe “Convention

entre la Confédération suisse et la Ré-publique française en vue d’éviter les doubles impositions en matière d’impôt sur les successions” !

Nonobstant l’injonction qui lui fut faite sous la forme d’une motion votée à une large majorité des deux tiers du Conseil national le 19 juin dernier, EWS a signé cette convention, qui n’attend plus que sa ratification par les Chambres fédérales pour entrer en vigueur. Mais pourquoi cette convention a-t-elle autant fâché nos concitoyens, notamment à Genève ? N’est-il pas toujours utile d’éviter une double taxation des mêmes objets ? On pourrait le penser ! Toutefois, il est néces-saire de comparer l’ancienne convention, conclue en 1953, et la nouvelle version.

L’ancienne convention stipulait que les biens immobiliers ne sont soumis aux impôts sur les successions que dans l’Etat où ils sont situés (art. 2). En cela, cette convention était conforme aux règles de l’OCDE. La nouvelle convention, beau-coup plus complexe à lire, énonce (art. 11, chiffre 1, lettre c) que “lorsqu’un héritier… est domicilié en France…, la

France impose tous les biens reçus par cette personne et, … impute sur l’impôt calculé… l’impôt perçu en Suisse…”.

Eh bien, me direz-vous, rien de grave ! Sauf que l’impôt français avoisine 45 % de la valeur du bien immobilier, alors qu’en Suisse, l’impôt est très largement inférieur, voire inexistant, comme à Genève pour les descendants en ligne directe.

La preuve par l’exemple : M. et M. Gencouple, nés et habitant jusqu’ici à Genève, ont recherché en vain, pendant plus d’un an, à s’établir à la campagne. Bien que toute leur activité profession-nelle se situe en Suisse, ils se sont résolus à s’installer à Prévessin, délicieuse petite commune de France voisine, où ils ont pu acquérir une maison pour y élever leur famille. Ils y résident officiellement et règlent tous les impôts afférents à leur situation. Les parents de Madame ont le bonheur de posséder une villa située dans le canton de Genève, mais viennent à décéder. L’espoir de retrouver un espace vital situé dans leur pays d’ori-gine décide les Gencouple à revenir sur notre territoire. Las, établis depuis plus de huit ans à Prévessin, l’Etat français leur réclame 45 % de la valeur immobi-lière de cette villa genevoise. Autant dire que les espoirs des Gencouple s’envolent

comme les hirondelles en automne. Impossible de satisfaire l’appétit gargan-tuesque du fisc français.

Où réside l’intérêt de la Suisse dans cette convention ? Y a-t-il réciprocité ? Aucu-nement, puisque la Suisse n’impose pas, ou très peu selon les cantons, les succes-sions en ligne directe. C’est d’ailleurs tellement vrai qu’aucune disposition n’est prévue, dans la nouvelle convention, pour régler les cas des Français qui, résidant en Suisse au moment du décès de leurs parents, seraient héritiers d’une fortune située en France. Bien au contraire, le paragraphe 2 du même art. 11 sti- pule simplement que “La Suisse exempte de l’impôt les biens qui… sont impo-sables en France”.

Serait-il dommageable de ne pas rati-fier cette convention ? Ne vaudrait-il pas mieux une convention imparfaite qu’un vide conventionnel ? En l’état, cette convention n’apporte rien à la Suisse. Il faut donc absolument la rejeter – c’est-à-dire en refuser la ratification – plutôt que de laisser le fisc français faire main basse sur les biens, notamment immobi-liers, situés en Suisse. En cas de refus, le seul dommage serait la perte définitive de crédibilité de notre ministre, EWS, et, derrière elle, du Conseil fédéral, qui se seront ridiculisés, tant devant les Suisses que devant les autorités françaises.

Dans l’hypothèse d’une ratification de la convention par les Chambres fédérales, le PLR a pris les devants et déposé d’ores et déjà un projet de résolution pour que Genève s’associe à une demande de référendum des cantons. Huit voix sont nécessaires, et compte tenu de ce qui pré- cède, il est plus que vraisemblable qu’elles puissent être réunies. D’ici là, la balle est toutefois dans le camp du Parlement fédéral. A lui de rappeler le gouvernement à ses responsabilités : l’intérêt supérieur du pays et de ses habitants.

LE CONSEIL FÉDÉRAL A-T-IL PERDU LA TÊTE ?

APar Charles Selleger, député au Grand Conseil

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le nouveau genevois, septembre 2013

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