la dépéche de kabylie du 21.07.2013

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    L Boualem Tiab prsident de la JSM Bjaa

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    LLeexxccuuttiiff mmuunniicciippaallssee ddcchhiirreeAAtttteennttiioonn

    aauu ppoouulleett qquueevvoouuss mmaannggeezz !!

    Tizi-OuzouLa viande blanche constituela grande part des saisiesopres durant ceRamadhan

    Akbou

    NNoouuss aavvoonnss rruussssii uunn bboonn rreeccrruutteemmeenntt Cest lhistoire qui se rpte lAPCdAkbou, avec le mme maire en place

    depuis plusieurs annes, et les mmes turbulences. Cette fois-ci, la guerre est toutefois dclare entre le maire et ses propres adjoints

    Le prsident mise beaucoup sur la fougueet la jeunesse du groupe ainsi que la mobi-lisation des supporters, pour crer lexploit.

    Page 5.Page 24.

    BBllooccaaggee !!

    Page 2.

    QUOTIDIEN DINFORMATION - DIMANCHE 21 JUILLET 2013 - N3398 - ALGRIE 10 DA - FRANCE 1 EURO / http//:www.depechedekabylie.com

    ISSN 1112-3842

    La majorit des oppositions se sont manifestes sur laxe Akbou - Ouzelagune - Sidi Ach, indique le responsable de lAgence

    nationale dtudes et de suivi des investissements

    ferroviaires (ANESRIF), filiale de la SNTF, qui chapeaute le projet.

    Page 3.

    Quatre terroristes limins Sour El Ghozlane

    BjaaPlus de 500 propritaires terriens sopposentau projet du ddoublement de la voie ferre

    de Bni Mansour

    JSM BjaaBoualem Tiab, prsident

    Page 4.

    Il sagirait de ttes connues qui auraient fait allgeance Aqmi

  • QUOTIDIEN DINFORMATIONDIMANCHE 21 JUILLET 2013 N3398SP RT

    S

    Alger Tizi-Ouzou Bouira Bjaa

    Max: 29 Max: 38 Max: 39 Max: 32Min : 22 Min: 22 Min : 21 Min: 24

    La Mto du Jour

    NNoouuss aavvoonnss rruussssii uunn bboonn rreeccrruutteemmeenntt

    Ligue I Boualem Tiab prsident de la JSM Bjaa

    Invit par les journalistes, prsents, livrer ses premires impressions surson effectif et les objectifs tr acspour cette saison, le boos bjaoui sestmontr satisfait dans lensemble. Jepense que nous avons ralis un recrute-ment judicieux. Nous avons russi pourvoir tous les postes o nous avionsconstat la ncessit de le faire. Il fautsavoir aussi que nous avons pu recrutertous les joueurs que nous avions ciblsce qui nest pas une chose aise. Nousnavons pas, pr ior i, dans notre effectifde grands noms mais il y a du talent ,dira notre inter locuteur sereinement.Autrement dit, la direction du club desHammadites qui a pr ivilgi la politiquedu rajeunissement de son effectif mis,dsormais, sur le groupe. Vous com-prenez que, mis a par t deux ou troisclubs qui continuent doffr ir dessommes faramineuses aux joueurs, lesautres sont dans lobligation de prnerune autre stratgie et faire selon leursmoyens et cest ce que nous avions fait ,a-t-il encore expliqu. Pour ce qui estdes objectifs du club, Tiab dira que leschoses sont claires la dessus. Nous joue-rons pour le maintien tout en essayantde mettre en place un noyau qui serviradassise cette quipe lavenir. Que lessuppor ters comprennent que ces jeunesjoueurs sont capables de russir unebonne saison pourvu quils les soutien-nent et ne pas leur mettre trop de pres-sion , dira t-il encore. Sur un autreregistre, la venue de Nouredine Saadisemble tre lautre atout du prsidentdes ver t et rouge. Cest un entraneur

    que nous avions voulu avoir avec nous,depuis longtemps, mais pour de diff-rents concours de circonstances cela nesest pas ralis un peu plus tt. Le plusimpor tant est quil soit, aujourdhui, lavec nous. Je suis persuad quil a assezde vcu et de comptences pour russirune bonne saison . En voquant le voletfinancier Boualem Tiab sest montrmoins enthousiaste. Tout le monde saitque les caisses du club sont vides et nousprouvons dnormes difficults pour

    pouvoir payer nos joueurs , dira avecbeaucoup de regrets tout en lanant unappel aux autor its et aux lus locauxpour les aider. Je tiens remercier tousceux qui sont venus en aide au club,notamment les deux investisseurs Far idZizi et Amar Boudiab, qui se sontengags comme leur habitude spon-sor iser le club et jespre que dautresaussi vont le faire , a-t-il prcis.

    Amine Kaci

    Le prsident de la JSM Bjaa, Boualem Tiab, qui continue de servir son quipe au dtriment de sa sant, sest rendu, avant-hier en findaprs-midi, au stade, pour senqurir du travail accompli par son team et voir luvre les nouveaux venus.

    Lattaquant international A maliende lAS Real Bamako, MoussaKon, effectuera des essais lor s dustage queffectuera le MC Alger auMaroc du 19 juillet au 6 aot, a-t-onappr is auprs de la direction du clubvoluant en Ligue1 algr ienne de foot-ball. Moussa Kon, meilleur buteurdu championnat malien rejoindra legroupe au Maroc pour des essais , aaffirm la mme source lAPS.

    Kon (22 ans) dit Koffi, a t sacrmeilleur buteur du championnat duMali saison 2012-2013, avec 18 ralisa-tions. Si le joueur malien ar r ive convaincre le coach du MC Alger, leSuisse Alain Geiger, il pour rait devenirla 5e recrue estivale du "Doyen" aprsSid Ali Yahia Cher if (Istres/France),Sabr i Gharbi (ASO Chlef), MickaelFabre (Clermont foot, Fr ance) etHabib Belaid (Sedan, France).

    Les Canar is croiseront le fer en amical, ce soir Hammam Bourguiba (23h), avec le CSC. Cetterencontre sera un vrai test pour les camarades deRemache, qui affronteront lune des meilleuresquipes du championnat de la ligue une. Aprs plu-sieurs journes de travail Tizi Ouzou, puis sur lelieu du stage Hammam Bourguiba, cette rencontreamicale est la premire pour les Jaune et Ver t, enattendant dautres confrontations organiser. Lecoach Ait Djoudi profitera cer tainement de ce matchpour voir plus clair, jauger le niveau de son quipe etdceler les lacunes cor r iger lors des prochainesconfrontations. En affrontant un gros morceaucomme le CSC, le coach kabyle aura ainsi loccasiondavoir une ide plus prcise sur le niveau de chacunde ses lments. Et vu la grande concur rence Aouedjet ses quipiers doivent tout faire pour donner lemeilleur rendement possible et gagner leurs placesdans lchiquier kabyle. Aprs cette confrontation,les Jaune et Ver t disputeront une autre rencontre, cemardi, face lquipe Tunisienne de lES Metlaoui.Ait Djoudi fera tourner son effectif afin de donner lachance tout le monde. La balle est donc dans lecamp des Jaune et Ver t afin de raliser de belles per -formance et de gagner la confiance du staff tech-nique

    Asselah poursuivra les soins Alger

    Comme attendu, le gardien Malik Asselah ne pour rapas continuer avec ses coquipiers le stage deHammam Bourguiba, aprs la blessure quil acontracte la cheville il y a quelques jours. Asselahdevait rallier la capitale hier ou au plus tard aujour -dhui pour y suivre les soins et se dbar rasser de sablessure pour pouvoir reprendre les entranementsdans les plus brefs dlais. Le por tier numro un desCanar is rate donc le stage de Hammam Bourguibaet se consacrera aux soins afin de retrouver saforme. Bon rtablissement.

    Bencherifa se sent mieux

    Le milieu de ter rain de la JSK, Walid Bencher ifa,na pas pr is par t au stage de Hammam Bourguiba,vu quil est bless au pied. Cependant, son tat desant samliore de jour en jour et il devraitreprendre du service dici quelques jours si tout sepasse bien. Lex pensionnaire du RCK promet detout faire pour reprendre le chemin des entrane-ments et entamer le championnat en force. DieuMerci, mon tat samliore de plus en plus. Je mesoigne chez moi et je ferai tout pour reprendre lechemin des entranements le plus tt possible. J aihte de retrouver les ter rains, car je suis animdune grande volont pour russir une grande sai-son. Je ferai limpossible pour russir ma saison etaider mon quipe raliser le meilleur parcours pos-sible , nous a dclar Bencher ifa. Rachid B.

    En amical JSK - CSCce soir 23H00

    Le premier vrai testpour les Canaris

    MC Alger

    Le Malien Moussa Kon lessai

    2013 - N3398 - ALGRIE 10 DA - FRANCE 1 EURO / h

  • 1 ES Stif 1 TP Mazembe 1

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    Au lendemain de son dpart du club

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    2 Dimanche 21 Juillet 2013l vnement

    LLee rreettoouurr ddee BBoouutteefflliikkaa nnaa ppaass rrggll llaa ccrriissee

    FLN Le parti senlise dans des conflits dintrtsMalika Matoub, propos de laremise du prixde la rsistanceMatoub Lounes

    Cest unmoment decommunion

    Lattribution du prix de la rsis-tance Matoub-Louns au groupede musique touareg, Tinariwin, loccasion de la troisime dition decette initiative, sest dcide selondes critres de qualit artistique,comme celle qui caractrise le travailde ce groupe. Cest ce qua tenu souligner la sur du rebelle, MalikaMatoub, contacte hier par nos soins.Elle nous dira : le choix de cetteattribution sest fait par rapport autravail du groupe, qui en plus dtreartistique, contribue la sauvegardedu patrimoine et de la culture amazi-ghe du Sud, notamment chez lesTouareg . Le prix de la rsistanceMatoub Lounes qui est attribuchaque anne des acteurs qui sesont illustrs par un travail qui favo-rise la culture berbre en gnral, adonc t dcern cette anne ungroupe de musique. Une manireaffirmera Malika de dire qu tra-vers la musique on peut facilementfaire sauter toutes les barrires. Onna plus besoin ni de visa ni daucu-ne autorisation des Etats, la musiquetant libre comme lair . A noterqu cette occasion, une crmonie at organise, hier soir, partir de 22h, par la Fondation Matoub Louns,au niveau du parc de loisirsTamaghra de Tizi-Ouzou. Une cr-monie laquelle ont t convis denombreux responsables et invits demarque. Malika Matoub nous prci-sera : nous avons invit des luslocaux de la rgion, des reprsen-tants du tissu associatif, de nom-breux artistes ainsi que certainscomits de villages . Ne voulantpas parler de fte, la prsidente de lafondation qui porte le nom du rebelleenchanera en disant : cest pluttun moment de communion. Etantdonn qu travers Matoub Lounesnous sommes parvenus runir, letemps dune soire, des gens quiviennent de rgions diffrentes et decultures tout aussi diffrentes .

    Propos recueillis par Tassadit. Ch.

    Abdelaziz Belad, leader du Front El Moustakbel, Boumerds

    Nous ne pouvons pas rclamer lapplication de larticle 88Nous ne pouvons lheure actuelle deman-der la destitution du Prsident de larpublique, au vu des bulletins pr iodiques sursa sant et tant quil est en phase de rducationfonctionnelle . Cette dclaration a t faite parle chef du front El Moustakbel, Abdelaziz Belad,lors dun point de presse quil a tenu hier endbut daprs-midi la maison de la culture ducentre-ville de Boumerds. Lthique politiqueexige, a-t-il ajout, quon souhaite un promptrtablissement au Prsident de la rpublique, aulieu de rclamer, avec prcipitation, lapplicationde lar ticle 88 de la constitution, qui mettrait fin ses fonctions de chef dEtat. Inter rog sur sonventuelle candidature la prsidentielle davr il

    2014, le leader dEl Moustakbel a rpondu queles questions de par ticipation cette lection,ainsi que lidentit du candidat du par ti serontdbattues lors du prochain congrs qui aura lieudans trois mois. Le chef de par ti, qui tait hier Boumerdes pour superviser linstallation de cel-lules organiques des bureaux de wilaya et descommunes, a exhor t la population simpliquerpour une meilleure pr ise en charge de ses proc-cupations. Rester lcar t du combat politique,cest laisser aux autres la latitude de nous impo-ser leur s propres lois, selon leur s propresintrts , dira le chef de file dEl Moustakbel,qui refuse fermement qu on continue de vivreavec les ides du pass . Il ajoutera, sur sa

    lance, quil ny avait en Algr ie ni pouvoir poli-tique ni classe politique. Il donnera pour preuvele fait qu chaque protestation dune quel-conque frange des citoyens, cest la police qui seplace comme inter locutr ice face aux manifes-tants et non lautor it lue, et ce au moment ole FLN na pas dempr ise sur la socit, alorsquil est le grand vainqueur des dernires lec-tions lgislatives et locales , dira-t-il. Quant la classe politique, tout le monde sait quelle secompose de nombreux par tis, dont la plupar t, linstar de ceux de la mouvance islamiste quiprnent des ides du pass, nont pas dancragedans la socit , a-t-il encore expliqu.

    Salim Haddou

    Pour tant, selon les dires debeaucoup de membres duCC, la situation de cr ise quevivait le FLN allait connaitre sonpilogue ds le retour du prsidentaux commandes. Mais au lieu devoir la stabilit revenir, quelquesmois des pr sidentielles, voilquun autre vnement vientsecouer les arcanes du par ti avectout ce que cela suppose commelever s de bouclier s et bataillesr anges. En effet, linstallationdun nouveau chef la tte dugroupe par lementaire du par ti, enloccur rence Mohamed HadjLebid, uvre du coordinateur dupar ti Abder rahmane Belayat, afait soulever beaucoup de remousdans les rangs du par ti. Parmi lesmembres contestataires, figureBoudjema Hachour, ex-ministredes tlcoms et figure de proue dumouvement des redresseurs. Pource dernier, que nous avons jointhier, la prochaine chance lec-

    torale est lor igine de cette situa-tion que nous regrettons . Selonlui, il existerait des clans au seindu par ti qui se chamaillent avec comme unique ambition dedresser des blocages afin que lecandidat soit de leur s r angs.Toujours cr itique au sujet de lasituation qui perdure au sein dupar ti, notamment propos de larepr sentativit de Belayat,Hachour na pas chang dattitu-de en avanant que lar ticle 10 desstatuts du par ti est on ne peut plusclair ce sujet : Lorsque lesecr taire gnral du par ti estdmis de ses fonctions par lurne,

    le BP est automatiquement dis-sous. par tir de l, per sonnenest lgitime, et encore moins lesmembres du BP. Ceci pour direquaussi bien Belayat que lesautres membres sont dans totaleimposture et quil ne leur est paspermis de continuer siger ausein du BP au lendemain de la des-titution. Mais, ils peuvent, nan-moins, siger uniquement en qua-lit de membres du CC . Parailleurs, si auparavant on par laitde pro et danti Belkhadem,aujourdhui, la situation a pr isune autre tournure. On par leplutt de pro et danti Belayat.

    Ceci pour dire que finalement, lacr ise au sein du plus vieux par tinest pas due la prsence deBelkhadem au poste de SG, maisque ce ntait, au bout du comp-te, que larbre qui cachait la fort.Aujourdhui, Belayat est au

    centre des dbats. Il a ses allis etses opposants. Dun ct, il estindsirable pour ceux qui laccu-sent de vouloir rester la tte decette formation politique en entra-vant le processus de llection dusuccesseur de Belkhadem. Et, bienvidement, ses proches qui sou-tiennent ses thses. Entre ceux quile soutiennent et ceux qui lecontestent, une autre guer re vientse dclarer faisant, du coup,oublier, aux uns et autres, unBelkhadem, dont lombre a tou-jours plan sur le par ti. Il est tout fait clair que cet pisode ne feraquaffaiblir davantage le FLN, aumoment o le resser rement desrangs devient inluctable. Cestpourquoi, tout por te croire quele FLN ne semble pas sur lepoint de sor tir de lauberge. Pireencore, la situation ne cesse de secompliquer rendant la mission detrouver une solution susceptibledar ranger tout le monde impos-sible. Quant au coordinateurBelayat, il semble sy plaire endonnant tout lair de vouloirdemeurer en place jusqu latenue de la prochaine lection pr-sidentielle. Ferhat Zafane

    Comme si le partidu FLN pouvait se

    permettre uneautre crise, le voilqui senlise dansune spirale qui nedit pas son nom

    Akbou Guerre dclare entre le maire et ses adjoints

    Lexcutif se dchire !Rien ne va plus la mair ie dAkbou. Desaltercations ont eu lieu, avant hier soir,juste aprs la rupture de jene, entre le pr-sident de lAPC et ses deux vice-prsidents.Ces derniers, allis farouches du mairedurant la dernire campagne lectoralepour les municipalits, sont entrs, semble-t-il, dans une guguer re sans prcdantcontre le mme maire, aprs seulement 08mois de travail. Selon nos informations, lagestion des affaires de lAPC et la lutte pourle leadership au sommet de la commune,classe parmi les plus r iches du pays, est lacause de lagitation actuelle. Joint par tl-

    phone, et tant une par tie prenante duconflit, Hamidouche, vice P/APC a affichun refus catgor ique de faire tout commen-taire. Iskounne, vice P/APC galement,regrette, quant lui, cette atmosphre quirgne au sein de lassemble et qui, selonlui, entache la rputation de lexcutif com-munal : ces problmes doivent tre rglsautour dune table et je suis vraiment navrque lon soit ar r iv ce stade-l , regrette-t-il. Une source municipale rvle que lemaire dAkbou, M. Bensba, aurait entamla procdure de retrait de dlgation designatures deux de ses adjoints . Il sagi-

    rait de MM. Hamidouche et Temmam. Uneinformation confirme par Mouloud Salhi,un lu du bloc opposant, qui se dit heur t par ces compor tements : cettesituation, nous lavions prdite il y aquelques temps. Tout le monde sait que cest une alliancedouteuse et contre nature. Ce nest pas unequipe qui peut tenir plus de sept mois. Etnous y voil. Le clash est annonc , com-mente-t-il. La procdure qui aurait tengage par le maire devrait tre envoyeaux autor its comptentes, selon notresource. Huit mois aprs linstallation de la

    nouvelle assemble, la commune dAkbouplonge dans une iner tie hors du commun.Plus de 80 projets inscr its sont en tat deblocage. Dapr s de nombreux tmoi-gnages, aucun moment, lassemble naconnu autant de problmes et de luttes,notamment entre les membres de lexcutif.Cer tains accusent le maire de prendre desdcisions en solo et sans concer tationavec les autres lus. La rue Akbou com-mence spculer sur un ventuel gel delassemble , si le train de dveloppementne remonte pas sur rails.

    M. C.

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    Tournoi qualificatif au Mondial 2014

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    3Dimanche 21 Juillet 2013 l vnement

    BBllooccaaggee !!Ddoublement de la voie ferre Bjaa - Bni MansourPlus de 500 propritaires sopposent au projet

    Tout est fin prt pourlentame du projet sice nest le phnomnedes oppositions qui surgit encoreune fois. Mais nous ne dsesp-rons pas. On va trouver un ter raindentente lamiable avec lescontestataires dont la major itsest manifest sur laxe Akbou-Ouzelagune-Sidi Ach , dira leresponsable de lAgence nationale

    dtudes et de suivi des investisse-ments fer roviaires, (ANESRIF)filiale de la SNTF, qui chapeautele projet. Pour celui-ci, la diffi-cult rside dans linstallation desa base de vie et lidentificationdun espace, sans contrainte, soitun site domanial. La SNTF dispo-se de ter rains de servitude mais ilssont insuffisants. Le projet nces-site des bandes larges de 50 60mtres dont le recour s desexpropr iations, car les seules dis-ponibilits actuelles sont Akbouet Ifr i-Ouzelagune. Le projet,confi un groupement dentre-pr ises et par rain par Cosider TP,

    est prvu sur une distance de 87Kms le long du couloir de la vallede la Soummam avec une empr isequi va chevaucher prs de 40 %de la ligne de service existante,assor tie dune rocade louest deBni Mansour, pour desservir lesgrandes agglomrations ouest dela wilaya, telles que Tazmalt,Ouzellaguen, Takr ietz, Sidi Ach,El Kseur et Bjaa. La ralisationde ce projet est pr imordiale pourla wilaya. En sus de la rductiondu temps de parcours par linjec-tion de tr ains r apides pouvantrouler jusqu 160 kms /h, il vacontr ibuer aussi laugmentation

    du trafic (fret et voyageurs) et lestr ansbordements lEst deswilayas limitrophes, savoir Stifet Bordj Bou-Arrer idj, retenuespour accueillir des por ts secs,voire terme, des zones logis-tiques r attaches au por t deBjaa. Aussi, limplication entiredes autor its devient imprativecar, lavenir conomique de toutela rgion dpend de ce projet. Siles projets de la pntrante et de lar affiner ie se concr tisent, largion connatr a un dveloppe-ment impor tant qui sor tira seshabitants du mar asme socialquils subissent. Bouras Rabah

    Le projet duddoublement de

    la voie ferre, entreBjaa et Bni

    Mansour risquedaccuser du

    retard, en raisonde lopposition de

    plus de 500 propritaires

    terriens contestantle barme

    dindemnisationprvu en

    contrepartie desexpropriations,apprend-on desresponsables

    locaux de la SNTF.

    Dans une dclaration rendue publiquepar la section syndicale APC voir ie deTizi-Ouzou, les travailleurs sindignaientdes propos tenus par un lu, en loccur ren-ce Mr Idir Nekach, lendroit du secrtairegnral de la section syndicale, Mr AhmedBoubechir. Ils dnonaient galement lamise en place dun EPIC (Etablissementpublic caractre industr iel et commercial)sans que les travailleurs et les reprsentantsne soient consults, conformment auxtextes en vigueur. Suite cela, il a tdcid, lunanimit, lors dune assemble

    gnr ale qui sest tenue en date du11/06/2013, au niveau du service de la voi-r ie, dune grve gnrale aprs expirationdu pravis de grve de 08 jours, dpos parles syndicalistes repr sentant des tr a-vailleurs de la voir ie. Et cest donc aujour -dhui quar r ive son terme ledit pravis degrve, dpos il y a de cela une semaine.Selon le secrtaire gnral de la section syn-dicale APC- voir ie, Mr Boubechir, le chef dedara a appel les deux par ties, savoir lesreprsentants de la section syndicale UGTAet le maire de Tizi-Ouzou, une runion qui

    se tiendra aujourdhui ver s 13 heures.Notre inter locuteur nous a confi que, si lasuite de cette runion leurs revendications,quils estiment lgitimes, ne sont pas satis-faites, la gr ve gnr ale pr vue pourdemain lundi, sera maintenue. Cest suiteaux grandes difficults rencontres danslexercice de leur fonction que les tr a-vailleurs de la voir ie ont dcid de prendrele taureau par les cornes et de passer lac-tion, ajoutera-t-il. Ils se plaignent de pro-blmes socioprofessionnels, mais pas que,car il est galement question du manque de

    respect dont se dit victime la section syndi-cale, en tant exclue de toutes les ngocia-tions, notamment celles relatives la miseen place dun EPIC dans la plus grandeopacit. Autres rclamations des syndica-listes : le respect de la char te dhabillementet la dotation de lensemble des agents pourlexercice 2013. Ils revendiquent galement,le versement des augmentations salar iales,la mise en place dune unit de sant (mde-cine du travail), ainsi que des toilettes et desdouches salubres qui assurent aux tr a-vailleurs dignit et sant. Karima Talis

    Aprs Tizi-Ouzou, le Premierministre, Abdelmalek Sellaleffectuera, mercredi prochain,une visite de travail dans lawilaya de Tindouf o il aura senqur ir de ltat dexcutionet davancement de plusieursprojets, selon un communiqudes services du Premier ministre.Lors de cette visite, qui sinscr itdans le cadre de la mise en uvreet de suivi de ltat de ralisationdu programme de prsident de laRpublique, AbdelazizBouteflika, il sera procd lexamen de ltat dexcution etdavancement de plusieurs pro-jets socio-conomiques dans lawilaya , prcise le communiqu,selon lequel M. Sellal devrait,galement, prsider une runionde travail largie aux reprsen-tants de la socit civile .Selon le mme communiqu, lePremier ministre sera accompa-gn, lors de cette visite, duneimpor tante dlgation minist-r ielle .

    F. Z.

    Tizi-Ouzou Le bras de fer continue entre le maire et le syndicat de la voirie

    Menace dune nouvelle grve ds demain

    Aprs Tizi-OuzouSellal en visitemercredi Tindouf

    La mmoire du colonel SalahZamoum, un des responsablesde la wilaya IV histor ique pendantla guer re de libration nationale, at " par tiellement nglige" par leshistor iens et " diffame" par cer -taines per sonnalits histor iques,selon son fils Rabah Zamoum. Lor s dune rencontre or ganisesamedi au sige du quotidien ElMoudjahid, Rabah a estim que lammoire de son pre a t " par tiel-lement nglige" par les histor ienset " diffame" par des personnalitshistor iques, soulignant que lcr itu-re de lhistoire doit tre une cr itu-re " juste" dune histoire " vraie" .Auteur du livre " Si Salah, mystre

    et vr its" (Casbah, 2010), RabahZamoum a retrac le parcours com-battant de son pre et le contextedans lequel ont eu lieu les ngocia-tions avec le gnral De Gaulle enjuin 1960. Il a expliqu que cesngociations por taient sur lautod-termination et non pas sur " la paixdes braves" comme le faisait croirelarme franaise, r appelant queson pre sest engag, trs jeune,dans laction politique au sein duPPA (Par ti du peuple algr ien)." Par tisan de la lutte arme, SalahZamoum a par ticip la prpara-tion du dclenchement de la guer rede libration, le 1 novembre 1954,dont les copies de " lappel" ont t

    impr imes dans la maison familialeau village dIghil-Imoula, a-t-ilaffirm. Il a aussi rappel les tor -tures subies par le mar tyr lorsquilfut en pr ison, entre 1953 et 1954, cequi fait de lui, aujourdhui, a-t-ildit, " un symbole de bravoure, decourage et de dvotion" . Lakhdar Bouragaa, qui a pr is par t la rencontre organise locca-sion du 52e anniversaire de la mor tde Salah Zamoum, a relev que l-vocation de ce mar tyr refltait, lafois, lvocation de toute la luttealgr ienne contre la colonisationfranaise et la souffrance de tout unpeuple. Il a soulign avec force quelhistoire de lAlgr ie " doit tre

    cr ite par des spcialistes et desprofessionnels" . Pour lui, " il ny a que les vne-ments majeurs ayant marqu lar volution algr ienne, comme,entre autres, le congr s de laSoummam, le dclenchement de laguer re et les accords dEvian, quifussent relats dans les livres dhis-toire" , estimant que " beaucoup dedtails impor tants ont t ngligsou omis par les histor iens" . A ce propos, il a plaid pour unecr iture de lhistoire " dtaille sansmanipulation ni dformation desfaits" . Le colonel Salah Zamoumest n le 29 novembre 1928 AnTaya (est dAlger ).

    Il sest engag trs jeune dans lac-tion politique. Membre du PPA,puis du MTLD (Mouvement pourle tr iomphe des liber ts dmocra-tiques), il fera par tie, ds sa cra-tion, de lOrganisation secr te(OS). Il a ctoy la plupar t de ceuxqui deviendront plus tar d lesgrandes figures de la Rvolution,tels Kr im Belkacem, le colonelOuamrane, Hocine At Ahmed,Abbane Ramdane et SaddekDehiles. Tomb dans une embusca-de le 21 juillet 1961 Mchedellah(Maillot-Bouira), le mar tyr navaitque 33 ans.

    Rencontres dEl Moudjahid Rabah, fils du colonel Salah Zamoum

    La mmoire du colonel partiellement nglige et diffame

  • En raison de sa maladie

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    Cette sanc-

    t

    Pour avoir align un joueur non-ligible

    L

    4 Dimanche 21 Juillet 2013Nat ionale

    QQuuaattrree tteerrrroorriisstteess lliimmiinnssSour El Ghozlane Il sagirait de gros poissons qui ont fait allgeance Aqmi

    Bonne nouvelle pour les clients Nedjma !Cette anne et pour le mois sacr duRamadhan, Nedjma revient avec ses offresspciales et indites et propose le service Ramadanyate , permettant de recevoir parSMS des informations pratiques qui facilite-ront et enr ichiront le quotidien de ses clients.

    Ramadanyate est un service qui offre, parSMS , un contenu r iche et adapt au moissacr du Ramadhan: Horaires de lIftar, delImsak et des pr ires, conseils dittiques,astuces de cuisine, progr ammes TV deschanes nationales et arabes, Boukalates, etc..Le service est disponible sous deux formules :un abonnement mensuel et une formule lademande. Pour bnficier des avantages de ceservice, il suffit au client de composer le code*5111# , de choisir la langue des informationsreues, arabe ou franais et de slectionner entoute simplicit : la formule abonnement quilui offr ira un contenu quotidien et duranttout le mois de Ramadhan, ou bien la formu-le la demande pour recevoir instantan-ment linformation souhaite.

    Horaires de lIftar, de lImsak et des prires, conseilsdittiques et programmes TV sur votre tlphone portable

    Mobilis, clbre avec ses clients le 19 Juillet 2013, le 1er anniversaire de son pro-gramme de fidlit Fidlis . A cette occasion, Mobilis annonce le mois anniver -saire du programme Fidlis qui prendra fin le 19 Aot 2013, durant lequel lesclients bnficieront de bonification ciblant les abonns grand public ainsi que lesclients classs Gold. A cet effet, Mobilis offr ira des rcompenses comme suit :- Rcompenses Abonns Grand Public :- Les points cumuls durant le mois anniversaire seront multiplis par 2 (x2),- Pour toute inscr iption durant le mois anniversaire, un bonus de bienvenue de 50points sera offer t.- Rcompenses Abonns Gold :- Exclusivement pour les clients Gold inscr its Fidlis : tous les points cumulsdepuis le lancement du programme sont doubls le jour de lanniversaire, condi-tion de remplir les cr itres suivants : Client Solvable, Ayant au minimum cumul 4000 points depuis le lancement du programme- Rcompenses pour les Pionniers du Programme :- Les 200 doyens postpays et prpays seront tirs au sor t et recevront en guise dercompense un Smar tphone.

    Fidlis de Mobilis 1er AnniversaireNedjma lance Ramadanyate le service dinformations pratiques spcial Ramadhan

    Ainsi et selon des sourcesscur itaires, cest vers lescoups de 20h20 que lesquatre sanguinaires, pr is en filatu-re depuis Alger, ont t intercepts lentre ouest de la ville de SourEl Ghozlane, bord dun vhiculetour istique de type ChevroletAveo. Cest par tir de l, prci-sent nos sources, que la br igademobile dune unit dlite delANP a pr is le relai de lopra-tion. Quelques minutes plus tard,plus prcisment aux alentours de20h50, et se rendant compte quilstaient suivis de prs, les lmentsde ce groupe arm ont profit

    dun ralentisseur pour freiner secet tirer des rafales sur la voituredes services de scur it. Sensuivitun violent accrochage, de par t etdautre, qui a dur plus dunedizaine de minutes, daprs lesmmes sources. Pr is sous les tir snourr is des forces de scur it, levhicule des ter ror istes, o plu-sieurs balles se sont niches dans

    le coffre de la voiture et qui tait,selon toute vraisemblance, bour rdexplosif, a fini par exploser, aubout dun moment, dchiquetantses passagers. Les corps calcinset mconnaissables des ter ror istesont t transfrs la morgue dulEPH de Sour El Ghozlane, avantdtre vacus, hier, vers Algerpour identification via des relevs

    dADN, prcise-t-on encore. Lorsde cette opration, 03 PA et 04kalachnikovs ont t rcuprs,indiquent nos sources. La dcou-ver te dune impor tante quantitdexplosifs, en plus du fait que cegroupe a fait lobjet dune atten-tion toute par ticulire de la par tdes services de scur it, indiqueque ces islamistes prparaient un

    grand coup, voire un attentantkamikaze. Cette thse est dautantplus plausible en ce mois deRamadhan, pr iode o les ter ro-r istes ont lhabitude de perptrerleur s plus sanglants attentats.Aussi, il y a lieu de rappeler quedepuis le dbut de ce mois, ce nesont pas moins de quinze (15) san-guinaires qui ont t exterminspar les troupes de lANP. En effet,11 ter ror istes ont t neutralissdans le massif forestier deTamellahth, dans les communesdEl-Adjiba et Ahnif, 40 kms lEst de Bouira, au cours duneopration de grande enverguremene par les forces de lANP.Ladite opration se poursuit tou-jours et, selon des sources bieninformes, le nombre de ter ro-r istes tus pour rait tre revu lahausse dans les prochains jours.

    Anzar O.

    Quatre terroristesont t abattus,dans la soire devendredi dernier,par les lments

    de lANP, au lieuditSouaidia, 10 kmsde la sortie sud dela commune de

    Sour El Ghozlane,sise une

    quarantaine dekilomtres au suddu chef-lieu de lawilaya de Bouira.

    Hammam Melouane au lendemain du sisme

    Des denres alimentaires pour les sinistrsDes aides, composes de denres alimen-taires et de repas, ont t distr ibues auxsinistrs du sisme de Hammam Melouane Blida, indique la ministre de la Solidar itnationale, de la Famille et de la Conditionfminine, Mme Souad Bendjaballah. Dans unedclar ation la presse, la ministre de laSolidar it a indiqu que lopration de solida-r it en faveur des habitants, dont les maisonsont t dtruites, a t lance depuis dhier encollaboration avec le ministre de lHabitat etde lurbanisme et le wali de Blida. Avantdajouter que des aides humanitaires, com-

    por tant des repas et des denres alimentaires,seront distr ibues aux sinistrs du sisme deHammam Melouane et quun groupe de cadresdu ministre tait sur place pour superviserlopration . Par ailleurs, la mme respon-sable a soulign que son dpar tement aappor t sa contr ibution lopration restau-rants de lIftar . Cette anne, selon elle, 800espaces ont t amnags au niveau nationalpour accueillir les voyageurs et autres ncessi-teux et sans-abr i. Cette initiative a t faite encollaboration avec le ministre de lIntr ieur etdes Collectivits locales et celui de la Sant.

    Dans ce sillage, la ministre a indiqu que 570millions de dinars ont t dpenss dans desoprations daide, durant ce mois sacr, auprofit des ncessiteux travers le ter r itoirenational en sus dune enveloppe financiredgage par le ministre de lIntr ieur et desCollectivits locales. Sagissant du couffin deRamadhan, la ministre a indiqu que sondpar tement a dcentralis ses actions de soli-dar it en confrant aux walis les prrogativesde distr ibution de ces aides sous forme dedenres alimentaires ou de pcules.

    S. S.

    Seddouk

    Une jeunefemme sedonne la mort Tizi Larba La paisible localit de TiziLarba, dans la commune deSeddouk, a t secou, dans la nuitde mardi mercredi de la semainedernire, par le suicide dune jeunefemme de 30 ans son domicilefamilial, apprend-on dune sourceproche de la victime. La malheu-reuse a, selon notre source, laissune lettre dadieu, destine, prio-ri, ses proches. Cela faisait djquelques temps que la victime,pourtant bien intgre, allait mal etdprimait cause de certains pro-blmes. Cela pourrait tre lorigi-ne de ce suicide , ajoutera notresource. Ainsi, et aprs avoir remisla dpouille de la jeune femme auxservices concerns pour les besoinsde lautopsie, la brigade de laGendarmerie nationale a diligentune enqute afin dlucider les rai-sons qui pourraient tre derrire cetacte suicidaire enregistr, encoreune fois, dans la willaya de Bjaa.

    M. Ch

  • En raison de sa maladie

    L

    Cette sanc-

    t

    Pour avoir align un joueur non-ligible

    L

    Il sagirait de gros poissons qui ont fait allgeance Aqmi

    B

    A cette occasion, Mobilis annonce le mois anniver -

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    50p inscr its Fidlis : tous les points cumulsd

    le lancement du programme-

    Les corps calcins

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    Dans une

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    5Dimanche 21 Juillet 2013 Nat ionale

    AAtttteennttiioonn aauu ppoouulleett qquuee vvoouuss mmaannggeezz !!

    Commerce La viande blanche constitue la grande part des saisies opres Tizi-Ouzou

    Cest ce qua dclar le res-ponsable du secteur,Doghmane Akouacha, quisignalait loccasion que la viandeblanche, notamment le poulet, aconstitu le plus gros des lots saisis.Le mois sacr du Ramadhan estdevenu synonyme de bouleverse-ment de la vie quotidienne et deshabitudes des citoyens, notammentdans ses habitudes alimentaires. Eneffet, la consommation change et semanifeste par lexagration. Elleentrane, ainsi, avec elle, dautres

    habitudes dachat des diffrentesdenres alimentaires, par fois sansmme se soucier des pr ix affichs oude la qualit des produits, et sans

    tenir compte des conditions deconservation et dhygine. En effet,ces boulever sements dans les usculinaires des gens est une occasion

    quexploitent cer tains commerantspour couler leurs marchandises tout va. Ils nhsitent donc pas exposer les produits lavar ie, encette saison r isque, mettant ainsile consommateur face au danger.Pour parer ces pratiques, la direc-tion du commerce de la wilaya deTizi-Ouzou a anticip le coup avantle dbut du mois sacr. Elle a ainsimis en place pas mois de 60 br i-gades pour veiller au contrle despratiques commerciales, de la qua-lit et de la rpression des fraudes.Cest ce qua dclar le directeurlocal du commerce, DoghmaneAkouacha. Ces br igades ont pourmission de sillonner les diffrentscommerces afin de dbusquer lesinfractions. Le travail sur le ter raina permis deffectuer, pendant lapremire semaine du mois sacr,pas moins de 952 interventions. Cesinterventions au niveau des mul-tiples commerces se sont soldes parlattr ibution de 184 procs verbaux.Par ailleurs, des saisies ont t effec-tues pour cause de non respect desconditions de commercialisation.Cest le cas notamment de 919 kg demarchandise, dune valeur de plusde deux millions de centimes, dontle plus gros des produits est consti-tu de viande blanche. En effet,

    cette viande aurait t mise lavente sans avoir t soumise uneinspection vtr inaire et au suivisanitaire requis , signaler a ledirecteur qui ajouter a que cetteviande confisque tait destine lavente sans tre passer par les proc-dures dusage pour tre conformeaux conditions de qualit mme dene pas exposer le consommateurs un quelconque danger. Sur un autrevolet, celui des pr ix pratiqus en cemois sacr, o les consommateursont t habitus la cher t desdenres alimentaires, le directeurlocal du commerce constate unechute libre des pr ix, par rappor t la flambe habituelle du mois decarme . par t les viandes,rouge et blanche, qui restent relati-vement chres, les produits de pre-mire ncessit et les produits agr i-coles sont disponible sur les mar-chs avec des pr ix stables , ajoute-ra le responsable, contact hier autlphone. M. Doghmane profiterade cette occasion pour signaler ledbut, ds la semaine prochaine,dune autre campagne de contrle.Celle-ci visera les produits vesti-mentaires ainsi que les produits deptisser ie et ceci en prvision delAd Al Fitr conclura-t-il.

    Tassadit Ch.

    La premire semaine du mois

    de Ramadhansest solde

    par la saisie depas moins de

    919 kg de produits alimentaires

    par les services de contrle des

    pratiques commerciales,

    de la qualit et dela rpression desfraudes auprs de la directiondu commerce de la wilaya

    de Tizi-Ouzou.

    Depuis longtemps revendiquespar les syndicats autonomesde la fonction publique, les indem-nits des salar is de la Fonctionpublique, exerant dans pas moinsde 23 wilayas du Sud et des HautsPlateaux, vont finalement trergles. Ces pr imes de zone, quisont calcules sur le salaire debase ou sur la nature du posteoccup, seront payes avec uneffet rtroactif par tir de janvier2012. Ces pr imes, faut-il le noter,concernent notamment le corpsenseignant, le corps mdical et desagents et cadres de ladministra-

    tion et des collectivits locales.Selon le dernier journal officiel n31, publi le 9 juin 2013 les troisdcrets, 13-211, 13-212 et 13-213indiquent que les indemnits sontar rtes en tout ou en par tieselon une r par tition gogr a-phique et par wilaya concerne .En somme, les avantages dcidspar le gouvernement se feront enfonction des catgor ies des postesoccups et, pour les cadres, des postes ou fonctions supr ieurs . Les travailleurs des wilayas duSud et des hauts plateaux ont eufinalement gain de cause aprs

    lorganisation de plusieurs grvescycliques qui ont t menes parlInter syndicale autonome desenseignants, de la sant publique,des universitaires et de ladminis-tration. Ce mouvement de grvede sept semaines, faut-il le rappe-ler, a engendr la paralysie de plu-sieur s secteur s nvr algiques,notamment (la sant, lenseigne-ment supr ieur, ladministrationpublique et lducation). Dans uncommuniqu rendu public hier,lUnion nationale des personnelsde lducation et de la formation(Unpef) fer a savoir que cette

    mesure est insuffisante en cequi concerne son effet rtroactif. Ilconvient de r appeler que cetteentit syndicale demande depuisdes annes lapplication de cespr imes compter de janvier 2008et non par tir de janvier 2012comme le gouvernement vient dele dcider. Ce syndicat estime galement quele dcoupage gographique oprpour sparer les bnficiaires duGrand Sud de ceux des HautsPlateaux souffre dar bitr aire,dans la mesure o le travail danscer taines r gions des Hauts

    Plateaux prsente la mme pnibi-lit que dans lextrme Sud. De cefait, lUnpef exige la rvision dansles plus brefs dlais des dcretsexcutifs, de manire ce quilsr pondent favor ablement auxrevendications des travailleurs duSud, loctroi de la pr ime de zonequi concerne toutes les tranchesde travailleurs dans le Sud dupays, et lapplication de la pr imede zone et son calcul sur le nou-veau salaire de base avec effetrtroactif compter du 1er jan-vier 2008.

    L.O.CH

    LUnpef juge la mesure insuffisante

    Le secteur de lducation dans la wilaya deBjaa a enregistr dhonorables rsultatsdans les diffrents examens de fin dannescolaire 2012/2013. En effet, les taux de rus-site raliss par les trois paliers de lenseigne-ment placent la wilaya de Bjaa dans les pre-mires loges du classement national. 6 554candidats sur les 13 183 qui ont pass lexa-men du baccalaurat, ont dcroch le ssamequi leur permettra laccs luniversit. Cesuccs a permis la capitale des Hammaditesdtre classe la 14me place au niveaunational. En termes de rsultats individuels,llve Mhidi Sarah du lyce Chouhada Anania dcroch son bac avec 18.04, une deuximemeilleure moyenne lchelle nationale.Trente-trois lves ont eu leur examen avecmention trs bien , 261 autres, quant eux,avec mention bien et 1419 avec mentionassez bien. Le lyce des jeunes filles Taos

    Amrouche de Sidi Ach caracole en haut dutableau concernant le classement des tablis-sements scolaires du secondaire, avec 144lves admis sur les 193 ayant pass lexamen,suivi par le lyce nouveau de la mme ville quia ralis un taux de russite de 73.96. Lelyce Fatma Nsoummer dAmizour est classtroisime, avec 66.67% . Le lyce Massinissa de Bjaa, quant lui,sest accapar de la quatr ime place, avec untaux de russite de 66.23% . Au palier moyen,9335 lves, sur les 14460 inscr its lexamendu BEM, sont admis aux lyces. Avec un tauxde russite de 64.56% , la wilaya de Bjaa estclasse quatr ime lchelle nationale.Llve Agroud Thanina, de lcole pr ive AlSawsen, a obtenu son brevet avec unemoyenne de 18.90, suivie par vingt (20) autreslves, ayant obtenu, tous, des moyennessupr ieures 18/20 et 108 autres ont eu des

    moyennes supr ieures 17/20. Le CEM deBoudjelil est class la premire position avecun taux de russite de 97.44% , talonn deprs par le CEM Mira Abder rahmane deTazmalt avec un taux de russite de 92.16% .Le CEM de Taslent Ighrem, class troisime,a atteint les 90.91% de russite. Le CEM nouveau de Tizi nBerber, lui, estclass quatr ime avec 90.48% . Pour les colespr ives, Al Sawsen a obtenu un taux derussite de 97.06% . Concernant lexamen defin du cycle pr imaire (cinquime), 10891lves, sur les 13385 qui ont pass lexamen,ont dcroch le ssame leur ouvrant les por tesdes CEM. Ouali Sarah et Haman Sarah res-pectivement lves des coles pr imaires AlNasr de Bjaa et Tigr ine de Boudjellil,ont fait des sans fautes en obtenant unemoyenne de 10/10. Soixante-quinze (75) ta-blissements de ce palier ont obtenu un taux de

    russite de 100. Linspection de Bjaa01 est classe la premire position avec93.29, suivie par celle d Akbou 01 avecun taux de 91.15% et enfin celle d Aokas02 avec un taux de russite de 90.40% . Pourr appel, la direction de lducation de lawilaya de Bjaa, sous lgide de HamouAhmed Touhami, wali de Bjaa, avait orga-nis, lundi dernier, une sympathique crmo-nie au profit de ces laurats, la maison de laculture Taos Amrouche.Les parents dlves, les autor its militaires etciviles, des dputs et snateurs, des reprsen-tants de la wilaya de Bjaa dans les diff-rentes assembles de la Rpublique, des chefsde dar as, le recteur de luniver sitAbder rahmane Mira, des lus dassembleslocales, et beaucoup dautres invits ont pr ispar t cette fte.

    Arezki Toufouti

    Bjaa Examens de fin danne

    Les rsultats par des chiffres dtaills

    Les primes du Sud et des Hauts-Plateaux dbloques

  • 6 Dimanche 21 Juillet 2013Nat ionale

    DDK/21/07/2013 Anep N303 119 DDK/21/07/2013 Anep N531 895

    RREEPPUUBBLLIIQQUUEE AALLGGEERRIIEENNNNEE DDEEMMOOCCRRAATTIIQQUUEE EETT PPOOPPUULLAAIIRREE

    MMIINNIISSTTEERREE DDUU CCOOMMMMEERRCCEE

    Centre National du Registre du Commerce (CNRC)R.N 24 le Lido, Mohammadia, Alger

    NIF : 096216299194112/01

    AVIS DINFRUCTUOSITEEn application des dispositions de lar ticle 114alina 8 du dcret prsidentiel n10-236 du 07 octobre 2010, por tant rglementation desmarch publics, modifi et complt, le CentreNational du Registre du Commerce (CNRC)informe lensemble des soumissionnaires ayantpar ticip lavis dappel doffres nationale :

    -N 12/2012 relatif la Ralisation de lantennelocale du CNRC de la wilaya de Tizi-Ouzou

    Que ce dernier a t dclar infructueux par laCommission dEvaluation des Offres (CEO).

    REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

    MINISTERE DE LHABITAT ET DE LURBANISME

    DIRECTION DU LOGEMENT DES EQUIPEMENTS PUBLICSDE LA WILAYA DE BEJAIA

    AVISDINFRUCTUOSITEDAPPEL DOFFRES

    Conformment aux dispositions de lar ticle 114 du dcret 10.236 du prsidentiel por tant rglementation des marchs publics modifi etcomplt, la Direction des Equipements Publics de la Wilaya de Bejaia, informe que lappeldoffres national restreint por tant ralisation dune installation spor tive au lyce El HamadiaBejaia wilaya de Bejaia en Lot CharpenteMtallique paru dans le quotidien national LaDpche de Kabylie du 25 Avr il 2013 est dclarinfructueux pour motif aucun pli reu.

    Publicit

    HHoommmmaaggee AAbbddeellllaahh TTiikkoouukkUn naturaliste impnitent sen va

    Disparu le 15 juillet dernier l'ge de 65 ans, suite une longue maladie, Abdallah Tikouk aura marqula production audiovisuelle algrienne d'une empreinte indlbile, celle qui a fait, pendant plus de 40 ans, du reportage et du documentaire de la nature un vritable sacerdoce. Par Amar Nat Messaoud

    Tikjda, la steppe des Hauts Plateaux,les sommets de Tahat et del'Asekrem, sont des lieux mythiquesqui tmoignent du passage de la camra deSi Andallah. Des lieux qu' il a tenu mdia-tiser et vulgar iser auprs d'une jeunesse la recherche de ses repres. Si la jeunessealgr ienne a pu s' imprgner des grandspaysages mondiaux au travers de chanestrangres spcialises (Ushuaia, Escales,Encyclopdie, Chasse et Pche, NationalGeographic,), elle a trouv peu de talentset d' nergies, comme ceux que recleAbdallah Tikouk, pour lui faire aimer sonpays, ses montagnes, ses vallons, sesfalaises, sa neige, ses arbres, ses animaux,ses sites histor iques,etc. Tout le monde sesouvient de ces images de ' 'djamal biladi' ' ,diffuses sur la Tlvision nationale oTikak fait uvre d'esthte et de pdagogue.D'ailleurs, force de marcher dans la natu-re et de ctoyer les habitants des villages etbourgades loigns, il a acquis de prcieusesconnaissances du monde l'agr iculture, del'environnement et des forts. Ces connais-sances ont t renforces et capitalises aucontact avec les cadres agronomes dans lecadre des documentaires qu' ils a ralisssur le monde rural. En mai 2010, il par tici-

    pa l'Exposition universelle de Shanghaio il a honor le pavillon Algr ie. La der -nire fois o je l'ai rencontr, ce fut lors dela projection du film qu' il a ralis pour lecompte de la direction gnrale des forts,relatif au projet d'emploi rural (PER 2). Iltait dj mal en point; pire, la tumeur quirongeait sa gorge l'a rendu dj presque

    aphone. Mais, il a tenu assister la pro-jection au milieu des cadres forestiers etd'autres invits (universitaires, reprsen-tants d'autres ministres). Avec une voixquasi inaudible, malgr le microphone, il aessay d'expliquer, avec un courage exem-plaire, comment il a slectionn un produit,qui s'est tendu sur des dizaines d'heures, etle contracter dans un documentaire d'unedemi-heure. Ce projet ayant touch sixwilayas (Bouira, Mda, An Defla, Chlef,Tissemsilt, Tiaret) entre 2005 et 2010, aappor t une touche or iginale dans laconduite des projets en milieu rural. Eneffet, l' intervention des pouvoirs publics at renforce par des appor ts en sociologierurale et en communication, faisant valoirl'approche par ticipative o les agr iculteurset les adhrents aux projets publics pren-nent une place de choix dans la conceptionet la conduite des projets. Pour valuer les rsultats d'une telle inno-vation et en analyser le fonctionnement, ladirection des forts a contract un marchavec le Bureau nationale des tudes dedveloppement r ur al (Bneder ). Et c' estdans ce cadre que le regrett AbdallahTikouk a " balay" avec sa camra tous lespr imtres qui ont reus les investissementsdu projet (PER 2). Personnellement, j'ai eu

    l'accompagner, en 2009, dans le secteur dela wilaya de Bouira pour ce projet d'valua-tion du PER 2. Il a film les nouveaux ver -gers installs au sud de la wilaya, les nou-velles constr uctions r ur ales, les pistesr cemment amnages, les r ucher s etd'autres investissements raliss au profitdes communauts rurales. Il a fait interve-nir avec son quipe les pr incipaux acteursinstitutionnels (le conservateur des forts,les cadres et agents qui ont men le projetsur le ter rain, les prsidents d'APC et sur -tout les bnficiaires du projet). Il l'a faitavec un professionnalisme remarquable etun sincre dvouement. Abdallah Tikouknous expliquait chaque fois la complexitde ' ' compr imer ' ' plusieur s dizainesd'heures de pr ises de vue en un film dequelques dizaines de minutes, devantaccompagner le rappor t d'valuation faitpar le Bneder. Cependant, lors de la projec-tion, tout le monde lui reconnat son profes-sionnalisme. Juste aprs cette ralisation, lamaladie de Si Abdallah se fit plus menaan-te. Il a t transfr l'tranger pour dessoins. Il rendit l'me le dimanche 15 juillet2013 en son domicile du Clos Salembier (ElMadania). Repose en paix dans cette naturealgr ienne que tu as tant adule et faitaimer. A.N.M.

    Pub

  • Dimanche 21 Juillet 2013

    LaKa

    bylie

    unjour

    Page 09

    Seddouk Larba Nath Irathen Saharidj

    Tigzirt Des dizaines de jeunes sy adonnent chaque soirdepuis le dbut du Ramadhan

    Page 10

    GGaarree llaa bbaaiiggnnaaddee nnooccttuurrnnee !!

    Page 08

    Akbou

    Page 08

    Tigzir t, ville ctire au nordde Tizi-Ouzou, quelquestemps seulement apr s leftour, des groupes de jeunes pren-nent le chemin des plages. La gran-de plage de la ville de Tigzir t,Tassalast et Feraoun, sont pr isedassaut presque naturellementmalgr labsence suffisant de l-clairage. Faute de pouvoir se bai-gner la journe, cause du carme,les jeunes ne veulent pas rater loc-casion pour se distr aire en cesjournes caniculaires, sur tout quela mer est calme ces derniers jours. Mais comme la surveillance desplages nest pas assure durant lanuit, donc la baignade nocturnereprsente un danger cer tain. Elleest dailleurs str ictement interdite. La mesure ne semble par ailleurspas vr aiment dissuader les pas-sionns ou encore les nombreuxanonymes pousss par la canicule.Mme les petits se mettent de lapar tie. Au dbut de ce mois dejuillet, un enfant de 13 ans a trouvla mor t dans ces circonstances la

    plage Avchar, au niveau de la com-mune voisine dIflissen, en allant sebaigner la nuit avec ses amis. Lesbaigneurs de nuit vitent gnrale-ment par instinct de sloigner etrestent juste sur les r ivages afin d-viter de gros r isques. Mais il ya

    cer tains qui ne font qu leur tte, etpar fois mme se lance des dfis per -sonnel quand ce nest pas entreamis. Et par fois le drame est aubout malheureusement. Car, tantquon sloigne des r ivages le r isqueaugmente et la mer ne pardonne

    pas. Y a que les mir aculs quichappent la mor t, lors des nau-frages , aver tit cet ancien pcheurde Tigzir t.

    Zahir. Fellas.

    La concidence du mois deRamadhan, cette anne

    encore, avec la saison estivale,

    incite certains passionns sadonner la

    baignade nocturne.

    En ce mois sacr du Ramadhan, la ville deTigzir t na pas drog la rgle, cette annenon plus. Un grand restaurant a t ouver t pourles ncessiteux. En effet, la cantine de lcole 05juillet , sise au centre-ville, a t rquisitionnepour labr iter, et ce depuis le 1er jour du moissacr. Les agents dintendance et de restaurationcommunaux ont t appels la rescousse pourcuisiner et servir des centaines de plats journelle-ment. La ville est connue pour sa for te densit depopulation durant la saison estivale. En plus desa dizaine de millier s dhabitants, la villebalnaire a accueilli lt pass quelques troismillions de tour istes. Cette anne tant donnque le mois sacr se tient en juillet et aot, la villeest encore trs frquente. La table du ramadhan

    cette anne fut assure, pour la premire semai-ne, par deux jeunes bienfaiteurs, habitant la ville.Cherkit Hidouche, le chef cuisinier, nous affirme: tout se passe merveille. Nous achetons dansles commerces tout ce dont nous avons besoin, etnos deux bienfaiteurs passent rgler la note. Despar ticuliers viennent galement nous faire desdons . Selon nos informations, lAPC de la villea pr is le relais, ds le dbut de la deuxime semai-ne du mois sacr. A notre ar r ive sur les lieuxquelques minutes avant lAdhan, ce week-end,une foule de quelques 300 personnes tait entrain dattendre sagement, en discutant en petitsgroupe, louver ture de la cantine. Ds lAdhan,une longue chane se droule lintr ieur du res-taurant et les jeneurs prennent place sur les

    tables dj prpares. Le serveur, M. AissaouneGhani, se dmne de table en table, veillant augrain. Trois collgues lassistent, tous employsdes coles de la commune. Le chef cuisinier nousprcisera : le premier jour nous avons dmarravec quelques 200 personnes, en major it desjeunes travailleurs du btiment des chantiers dela rgion, pour la plupar t venus de lintr ieur dupays. Nous avons galement des tour istes et desvoyageur s. Le nombre est all crescendo.Aujourdhui, nous avons atteint les 310 couver ts. En plus des repas servis table, quelques per -sonnes viennent avec leurs rcipients prendre despar ts empor ter. Les mes char itables de largion sont donc appeles pauler par des donscette belle initiative. Z. F.

    Pour ce Ramadhan 2013, lesjeunes de Tizi-Gheniff ont,pour le moins, innov pour animer, leur faon, leurs soires. En effet,cest la premire fois dans lhistoi-re de la localit que les jeunesdcident de lancer, en plein moisde carme, un tournoi de football.Ainsi donc, cest au niveau ducomplexe spor tif de proximit duchef-lieu, plus prcisment sur leter rain de handball que les ren-contres se droulent. Comme leter rain de handball est assez bienclair, sous avons programmtrois matchs quotidiens avec desquipes de six (6) joueurs chacune.Donc, nous sommes l pratique-ment de vingt et une heure uneheure du matin. Lambiance estdes plus chaudes , nous dclareun des organisateurs. Ces derniers sont trs satisfaits etfier s de leur initiative et de lim-pact qua eu ce tournoi sur lesjeunes de la cit. En effet, ceux-cipassent dagrables soires au lieude squatter les cafs en attendantdaller dormir.Juste aprs la rupture du jene, lechef-lieu se transforme en unevr itable fourmilire. Mme si lescafs regorgent toujours de leurshabitus, les rues grouillent demonde et lambiance est bonenfant. Il y est mme trs difficilede se garer. Cependant, et hormis la mosquequi sest pare de ses plus beauxatours pour le mois sacr, les rueset autres places, faiblementclaires, ne respirent pas relle-ment la gaiet. Tizi-Gheniff a toujours t un lieupr ivilgi pour les veilles, nonseulement pour les citoyens de lalocalit mais galement ceux desautres localits limitrophes, lexemple Chabet (Boumerds),Draa-El-Mizan ou MKira. Nous travaillons pratiquementjusqu une heure du matin et letrafic des voyageurs se fait dansles deux sens car beaucoup decitoyens de Tizi-Gheniff se rendentgalement MKira pour veiller ,nous confient ces transpor teurs.Quoi quil en soit, beaucoup decommodits manquent la ville, commencer par lclairage public.

    Essad Mouas

    Tizi-Gheniff

    La solidarit au rendez-vous

    Un nouveau matriel pour lAPC

    Rush sur les sources naturelles

    Soires moroses en ville

    Le projet de ladcharge publique enqute dune assiette

    Un tournoi de football en nocturne

    J

  • 8 Dimanche 21 Juillet 2013BJAIA BJAIA06SSooiirreess mmoorroosseess eenn vviillllee Akbou Faute de programme divertissant

    Et pour tant la communedAkbou recle dnormespotentialits. Prs de 100000 habitants, une manne finan-cire considrable avec un budgetannuel de prs de 83 milliards decentimes, une super ficie immensestend sur 52,18 km. La villedAkbou, avec toutes ces potentia-lits, offre, en revanche, une imagedune ville mor te o les jeunestrouvent du mal vivre pleine-ment leur jeunesse et trouver leursmarques dans la socit. Lorganecommunal Alliance quiincombe la tche dorganiser desftes, des soires et galas, aprsdes annes de lthargie, a repr isdu service, depuis le 05 juillet der -nier, mais sans pouvoir, jusque l,prendre linitiative de ranimer lavie nocturne des akbouciens.Hormis quelques activitsanimes par des associationsancres dans la rgion, r ien ne faitle bonheur des milliers de familles.En outre, des coupures dlectr i-

    cit agaantes ont ainsi compliqula vie de ces habitants, durant cesjours caniculaires remettant en lesengagements du premier respon-sable de la SONELGAZ qui a pro-mis la fin du dlestage en cettesaison estivale. Dailleurs, il suffitde faire un tour du ct de la nou-velle ville, notamment au quar tierdu Stade, tout prs du lyce Hafsa,pour rencontrer des groupes dejeunes dsuvrs et livrs eux-mmes. Des jeunes qui nont queles murs pour sy adosser toute lajourne, ne sachant quoi faire de

    leur temps. Pour ceux qui ont untalent ou un don cach, il savretrs difficile de lexploiter vu lemanque effroyable de centres deloisir s, de mdiathques ou decentres culturels. Sur le volet spor tif, le conseil com-munal des spor ts a br ill jusque lpar son absence, alors quon taithabitu des manifestations spor -tives en pr iode estivale. Durant lapremire semaine de ce mois deRamadhan, seules, les mosques etles caftr ias connaissent unegrande affluence. Dans le volet des

    diver tissements, le programme esttout simplement inexistant. Mises par t, quelques activits animesen gnral, par des associationsculturelles, il ny a aucun afficha-ge dactivits culturelles ou autresdurant ce dbut du mois sacr.Pour preuve, lunique salle decinma de la ville est reconver tie,faute dactivit, en une gargotecdant ainsi sa vocation culturelleet ducative au commerce. Eneffet, selon le vice P/APC, M.Iskounne, lAPC dAkbou aautor is des jeunes chmeurs

    dexploiter, uniquement, la cafete-r ia annexe la salle pour vendredes sandwiches juste aprs larupture du jene. La salle estdisponible, tout moment, pournimpor te quelle activit , dira leP/APC. Inter rog sur liner tie etlincapacit de la commune dor -ganiser des soires, notre inter lo-cuteur estime que la plus par t deschanteurs demandent assez dar -gent. On avait prvu un pro-gramme dorganisation de soiresar tistiques durant ce mois sacrmais, hlas, cer tains ar tistesdemandent et exigent des sommesdargent faramineuses. On pense,dailleurs, inviter les troupes et lesar tistes locaux pour animer dessoires dans les prochaines jours, ajoutera-t-il. Menad Chalal

    Dans les quatrecoins de la ville

    du Piton, lactivit culturelle est

    renvoye, semble-t-il, aux

    calendesgrecques,

    notamment durant ce mois de Ramadhan.

    En dpit de leur maladie (atro-phie musculaire) qui leur rendla vie difficile, les myopathes fontpreuve dune volont et dunmoral dacier, que mme leur han-dicap ne les dcour age pas atteindre leurs objectifs. La preu-ve nous vient de ces lves myo-pathes, qui ont t reus dans lesdiffrents examens scolaires, quiont eu lieu en juin dernier. Ainsi, lexamen du BAC, ce sont 3 myo-pathes qui ont dcroch le fameuxbrevet, avec la cl 14 de moyen-ne pour lun deux. Au BEM, cesont 5 lves qui ont eu leur preu-

    ve dont trois qui ont russi leurpassage en seconde avec un 15 demoyenne pour lun dentre eux. Dans lenseignement supr ieur,deux tudiants en master2 desmathmatiques et de linforma-tique ont eu leurs diplmes avecmention. Un autre tudiant enmaster2 prpare sa soutenance enlittr ature fr anaise pour, sep-tembre prochain, luniversit duHavre en France. Cest dire quer ien nest impossible pour lesmyopathes, qui ont la volont der ussir, pour peu quon leurdonne les moyens ! , assure Nora

    Abder r ahmani, pr sidente delAssociation des myopathes deBjaa qui dira, dans la foule, que lAssociation compte organiserune rception en lhonneur deslaurats, des diffrents examens,histoire de les encourager allerde lavant et ne pas se laisserdcourager par la maladie, qui,faut-il le souligner, demeure trsinvalidante et par fois mme mor-telle, car elle touche tous lesmuscles du corps, notamment lecur . Notre inter locutr ice regrette queles myopathes soient encore mar-

    ginaliss et ne trouvent toujourspas une oreille attentive pouramliorer leur quotidien, eux quinont pas les moyens dacheterune pice de rechange leur chai-se roulante lectr ique. Elle rajou-tera, par ailleurs, une simplebatter ie pour alimenter cette chai-se roulante cote 19 000 dinars etle pire, cest que les pices derechange ne sont pas rembour-sables en sus du fait quune fois lachaise endommage, le myopathena pas le droit de demander l-tat une autre avant 5 ans ! .

    Syphax. Y.

    Malgr leur maladie

    Selon le prsident dAPC, M.Djamel Tigrine, la commune deSeddouk vient dacqurir diversmatriels et quipements informa-tiques pour combler les dficitsconstats dans les diffrents ser-vices. Pour les dplacements,pour des raisons de services, lesvhicules de transport des per-sonnes de lAPC ont atteint ladure de la rforme et ncessitent,donc, un renforcement par dumatriel neuf pour la bonne marchedes services. Cest pourquoi lAPCvient dacqurir une camionnettedouble cabine et un vhicule pourladministration, financs sur lebudget communal . Aussi, pouramliorer la collecte des dchetsmnagers, nous avons acquis unebenne-tasseuse finance dans lecadre des PCD de lexercice encours. Pour linformatisation desservices qui en reclent un dficit,nous avons acquis 14 ordinateurs et15 imprimantes, financs partsgales du budget de Wilaya et dubudget communal , rajoutera leprsident. Dans le cadre de lareprise des crdits allous dans lecadre du budget de wilaya auxassembles antrieures et nonconsomms, nous avons achetun compacteur pour des rparationsen bitume des chausses dgrades.Nous allons rquiper la salle desftes par de nouveau sige et dunquipement de sonorisation.Comme nous avons une anciennedcision pour lacquisition dunebtonnire, un matriel dont nousnavons pas besoin, nous avonsdonc, cet effet, demand le chan-ger dintitul pour lacquisitiondun autre lot dquipements infor-matiques pour annihiler le dficitque tranent les services dans leurinformatisation a soulign lemaire de Seddouk. L. Beddar

    SeddoukMicro ordinateurs,benne-tasseuse, voiture de serviceUn nouveau matriel pour lAPC

    Si le mois sacr du Ramadhan est synonymede nouveaux r ites, d'aventures culinaires etde veilles ramadhansque dans une ambianceconviviale, il n'en demeure pas moins que cettepr iode est propice au retour des pratiquescommerciales illgales menaant, en premierlieu la sant des consommateurs. A Aokas,Tichy et Souk El Tenine, o l'ambiance dumois du jene se conjugue avec la saison esti-vale, la question de la sant des consomma-teurs est remise au got du jour par la prolif-

    ration, de jour comme de nuit, de la vente ill-gale de produits alimentaires. Le commercedes zalabias, des gteaux or ientaux, des sucre-r ies, des merguez et brochettes cuites sur lebarbecue et autres activits sont pratiques surles trottoir s, loin des moindres normes d'hygi-ne. Les autor its locales qui misent, pour tant,sur le bon sjour des tour istes et une meilleureambiance ramadhansque pour les citoyensrestent, cependant, passives. Une vire dans lesruelles et les coins de ces villes, la journe tout

    comme la nuit, confirme ce constat dsolantauquel les responsables sont appeles rem-dier. Aprs le ftour, l'ambiance commencentet les trottoir s et moindres coins de ces stationsbalnaires sont squatts par les jeunes, profi-tant de ce mois pour faire de bonnes affaires entransformant les lieux squatts en magasins defor tune, de vente de glaces et sucrer ies. Cettesituation laisse craindre des intoxications parla vente des produits avar is en ces jours degrande chaleur. Salim Nasri

    AokasLe commerce informel refait surface

    La perfermance des myopathes aux examens scolaires

    1

  • 9Dimanche 21 Juillet 2013 TIZI OUZOU TIZI OUZOU15UUnnee sseeuullee mmooiissssoonnnneeuussee --bbaatttteeuusseeppoouurr 555522 hheeccttaarreess !!

    Tizi Gheniff Le manque de moyens retarde les rcoltes

    Notre commune relvede la subdivision agr i-cole de Tizi Gheniffavec Ait Yahia Moussa et le chef-lieu bien sr. Donc comme noussommes, chaque anne, les derniers recevoir ces machines, nousvivons tous les jours avec la peur devoir notre rcolte par tir en fumeou gte par des orages , nousconfie ces fellahs de Tamdikt, dansla basse MKir a, tout en nousconfiant que, prs de 242 hectaresattendent dtre moissonns dont137 en bl dur, 3 en bl tendre et 87en orge, alors que 15 autres avaientt rservs pour les diffrents four -rages . Ainsi, pour M. Deguiche, lesubdivisionnaire de lAgr iculturequi nhsite pas expr imer sa joie

    et son bonheur sur les rendementsenregistrs jusque l, travers lesparcelles moissonnes de la localitde Tizi Gheniff, le problme de cetteopration moisson-battage 2013 se rsume une seule et uniquemoissonneuse-batteuse affecte parla CCLS la dara de Tizi Gheniff. Il ny a quune seule moissonneu-se-batteuse pour les deux com-munes, qui totalisent pas moins de552 hectares de crales moisson-ner , nous fera remarquer notreinter locuteur tout en ajoutant quedautres moissonneuses-batteusesqui oprent Draa-El-Mizan ou Fr ikat, pour r aient venir lor s-quelles finiront dans ces deux loca-lits. Pour cette anne, la cam-pagne avait dbut en mme temps,

    travers toutes les subdivisions, savoir au dbut du mois de juillet ,expliquera-t-il encore. Par ailleurs,en ce qui concerne la commune deTizi Gheniff o pas moins de 310hectares avaient t ensemencsdont 180 en bl dur, 105 en orge etle reste en avoine, le rendementmoyen jusqu pr sent est delordre de 25 26 quintaux par hec-tare, ce qui est jug trs appr-

    ciable. Pour cette anne, deuxvar its de crales ont t utiliss,il sagit de celle appele Chens etvitron qui, premire vue, lorsquevous regardez le champ de bl, lestiges vous paraissent minuscules,alors que les pis sont comptentquatre ranges de grains , nousexplique M. Deguiche, qui nousassure que la campagne moisson-battage 2013 se droule dans de

    bonnes conditions si ce nest ceregret pour les craliculteurs deMKira, qui doivent patienter enco-re quelques jours.

    Essaid Mouas

    Chaque anne, la mme priode, linquitude des craliculteurs atteint

    un pic pareil celui de la canicule. Cet tat est engendr par le retard procder la moisson de leurs

    rcoltes qui ne se fait quavecune seule moissonneuse-batteuse.

    La dcharge publique en qute dune assiette Larba Nath Irathen Le projet attend depuis plusieurs annes

    Le gaz naturel a t mis en servicedans 330 foyers Adrar AthQod et dans 117 autres Iaggachne, villages relevant de lacommune dAghrib, dans la daradAzeffoun, loccasion de lacommmoration du 51e anniversairede lIndpendance et la fte de lajeunesse. La mise en marche de cettenergie sest droule en prsencedes reprsentants de la subdivisionde la Sonelgaz, des membres ducomit de village de la commune, deM. Lamri Bouhait, chef de daradAzeffoun, et de M. RabahIrmche, P/APC dAghrib, accompa-gns danciens moudjahidine, dluslocaux et dautres citoyens simples.Il sagit dune opration faisant par-tie de la tranche qui rentre dans lecadre du quatrime lot de la direc-tion de distribution des services de laSonelgaz de la wilaya de TiziOuzou. Rappelons au passage queles trois premiers lots avaient t misen marche Aghrib en date du 25dcembre 2012. Les responsablesainsi que les reprsentants de laSonelgaz ont saisi lopportunit pourrappeler aux villageois les dangersde cette nouvelle commodit en casde ngligence au niveau desmnages. Les habitants des autresvillages de la localit dAghrib, quinont pas prsent bnficis dugaz, souhaitent voir leurs maisonsgratifies de cette nergie et bnfi-cier dautres projets de dveloppe-ment. Aghrib a longtemps souffertdu sous-dveloppement. Elle estparmi les communes les plus dsh-rites et dpourvues de ressources.

    Djema.T

    447 foyersraccords

    Aghrib Le gaznaturel arrive Adrar Ath Qodet Iggachne

    Cela faisait des lustres, que la dara de LarbaNath Irathen est la recherche dune assiet-te, dans lespoir dimplanter une nouvelledcharge publique ou un centre denfouissement,mais en vain. Tous les effor ts tombent leau.Les services chargs de cette tache sont pieddoeuvre dans ce projet. La moindre parcelle deter re capable daccueillir lun de ces dchargesest passe au cr ible. Toutes les solutions imagi-nables et possibles ont t proposes, r ien faire.Aucun projet ne peut ce concrtis. Dans le pass dj, deux sites ont fait lobjet d-tudes et dsigner pour recevoir ce projet, savoir, Ighil Tazar th, prcisment lanciennemine, relevant de la localit en question etIhleme, relevant de la localit dAt Aggouacha.Mais, ds que les habitants de ces deux rgionsont su, plusieurs oppositions ont t dposesauprs des services concerns. Dans cette per -ceptive, le chef de dara nous dira : le projetdun centre denfouissement au niveau de ladara, date de plusieurs annes dj. Lenveloppe

    ncessaire sa ralisation a t acquise, maisaucune date, pour le lancement des travaux, nepeut tre communique ou envisageable. Pourcause, plusieurs oppositions ont t faites par leshabitants. Bloquant ainsi, tous projets de cegenre . Sachant que lancienne dcharge nar r i-ve plus recevoir et contenir tous les dtr itusde la commune. Une quantit qui ne cesse daug-menter, danne en anne, ce qui compliqueradavantage la situation. Mais encore, il faut recon-natre que cette dcharge cause plus de dsagr-ments quelle en rsolue. Sa proximit du chef-lieu, sis environ huit cent (800) mtres de cettedernire, reprsente un vr itable danger pour lapopulation. La ville et son entourage souffrentdes odeurs rpugnantes qui se dgagent de cesdcharges. Aussi, lorsquelle est incinre, dunefaon volontaire ou involontaire, le chef-lieu estplong sous un nuage pais et brumeux. Lairdevient ir respirable que des personnes atteintesde maladies chroniques, notamment respir a-toires souffrent de cette situation. En t, la situa-

    tion se complique encore beaucoup plus que lhi-ver. maintes repr ises, des incendies sontdclenchs par tir de cet endroit. Donc, y a unr isque dincident, tout moment, dans cettedcharge quil faut surveiller de prt. Nousavons fait tous ce qui est dans notre pouvoir pouracqur ir le nouveau centre denfouissement ,ajoutera le chef de dara. En effet, dans cesmontagnes, le moindre bout de ter re et infimeparcelle de ter re compte. Un bien qui doit treprserv et garder quelque soit le pr ix. Car par lasuite, il ser a lgu aux gnrations futures,comme la t lgu par nos aeux , nous dira uncitoyen. Ce qui explique le blocage et les pitine-ments des projets au niveau de cette dara.Malheureusement, le constat est le mme par -tout. Il est for t de le constater, que mme de nosjours, le moindre projet, gaz, eau, pistes agr i-coles, assainissement ou route, qui sont dune uti-lit gnrale, font toujours lobjet dopposition.

    Youcef Ziad

    Mise en service le 20 aot prochain At Yahia Moussa Antennes administratives dIllalen et Ath Attela

    Aprs celle de Tafoughalt miseen service en 1990, ces deuxnouvelles antennes viennent dtreimplantes dans deux grands vil-lages de cette municipalit, Illalenet Ath Attela. Elles ont t rcep-tionnes le 5 juillet dernier. Il resteencore quelques travaux et noussommes en train de programmerleurs quipements , nous dira lemaire. Il ajoutera : nous allonsattendre la fin du mois de

    Ramadhan et nous allons les mettreen ser vice officiellement. Ellesouvr iront leurs por tes aux citoyensvers le 20 aot . Les dlgus sp-ciaux qui seront en charge de lasignature des documents sont deuxlus. Quant aux fonctionnaires, ilsseront recruts dans le cadre du premploi en attendant des postesbudgtaires qui seront inclus dansle plan de gestion de l'APC. Notonsau passage que ces deux projets ont

    t raliss dans les dlais. Commecelle implante Tafoughalt, cesdeux antennes vont soulager leshabitants de ces villages et deshameaux environnants qui pour -ront ainsi se faire dlivrer cer tainespices administratives et bien sr lalgalisation de tous les documentsofficiels sans " descendre" jusqu'auchef-lieu. L'expr ience de la mise enservice de celle de Tafoughalt admontr que ce genre de service

    est trs impor tant dans le rappro-chement des habitants de l'adminis-tration. On pourrait la limitecharger un enfant daller chercherles pices qu'on veut. Il suffit de luidonner la liste des documents et leprpos ny ver rait aucun probl-me. Depuis son ouver ture, r aressont les villageois qui vont jusqu'Oued-Ksar i pour lgaliser telle outelle pice administrative , nousdira cet habitant du village en ques-

    tion. Ces antennes attnuent lesaffluences au niveau de l'tat civilde la mair ie, notamment la ren-tre scolaire ou encore la rentreuniversitaire. En somme, leur gn-ralisation, du moins dans les grandsvillages, est une solution efficacepour en finir avec ces chanes inter -minables qui se forment devant lesguichets d'tat civil.

    Amar Ouramdane

    1

  • 10 Dimanche 21 Juillet 2013BOUIRA BOUIRA10QQuuaanndd oonn nnaa qquuee llee ccaaff mmaauurree !! El Mokrani La classe juvnile livre elle mme

    Les jeunes de la communedEL Mokrani, une tren-taine de kilomtres louestde Bouir a, r clament, depuisbelles lurettes, l'amnagement dester rains de jeu de leur localit, quine r pondent nullement auxnormes de la pratique spor tive vuleurs dgradations avances. Ces jeunes, pr ivs de la pratiquedu spor t, se rfugient dans lescaftr ias du chef-lieu o ils pas-sent leur temps libre.Le ter rain de jeu se trouvant auchef-lieu communal, lui aussi, estdevenu infrquentable. Depuis saralisation dans les annes 1980,cet espace, qui abr itait jadis destournois de football, n'a fait l'ob-

    jet d'aucune opration d'amna-gement. Les habitants disent avoirrclam son homologation pourrenouer avec l'ambiance d'antan,mais en vain. Faute de trans-por t, les jeunes ne se rendent pasfr quemment au chef-lieu de

    dara pour pratiquer leur spor tfavor i, dit-on. Actuellement, lesjeunes de cette localit ne dispo-sent que d'une petite salle de full-contact, qui accueille plusieur sjeunes et moins jeunes amateursde cette discipline spor tive qui est

    en plein essor, malgr quelle estdpourvue de toutes les commo-dits. Cela reste toujours insuffi-sant par rappor t aux besoins deplus en plus accrus de la jeunessede ladite rgion. Les citoyens de cette localit inter -

    pellent les responsables de lawilaya ainsi que ceux du secteur,afin dinscr ire de nouveaux pro-jets leur profit.

    Oussama K.

    Ces jeunes, privsde la pratique du

    sport, se rfugientdans les caftrias

    du chef-lieu o ils passent leur

    temps libre.

    Saharidj La bonne qualit de leur eau attire les foules

    Rush sur les sources naturelles Les sources naturelles, sises sur leshauteurs de Sahar idj, linstar deThala Larba dans le vieux Sahar idj,El Ainser NAt Ali Outhemime, en bor -dure de la RN30, El Ainser Guidaouen proximit dImesdhour ar, ThalaRana ou enfin Thala NVouhrev au vil-lage Ivelvaren, ont t pr ises dassautds les premiers jours du Ramadhan, cause de la bonne qualit de leur eau.En effet, de longues files de vhiculesstationnent aux alentours de ces fon-taines situes en plein milieu de pay-sages paradisiaques. Ceux qui viennentpour sapprovisionner en eau potablene se pressent pas de quitter les lieux.Ils prfrent passer plus de temps pourprofiter de la fracheur qui y rgne etles dcors naturels fer iques de cesrgions montagneuses. Les citoyens quiy viennent pour sapprovisionner eneau ou tout simplement pour admirerles paysages, ne se disper sent ququelques minutes de lAdhan. Il est signaler que lensemble de ces fontainesont un dbit deau assez impor tant.

    Dailleurs, les eaux de Thala Rana et deThala NVouhrev ont t achemines,durant loccupation coloniale, jusqu'MChedallah pour alimenter les foyersdes colons installs dans lex-maillot. lheure actuelle, leau de ces deuxsources par t inutilement dans desravins. Les canaux de transpor t deausont compltement hors dusage, fautedentretien. Mme les autres sourcesprcites ne sont pas exploites. Il ny aque quelques abreuvoirs raliss etl dans les nombreux programmes desoutien llevage et lagr iculture demontagne et qui servent aux cheptelsbovins, ovins et capr ins. Notons, enfin,que dans la mme commune deSahar idj, les citoyens or iginaires duarch Iwakouren, rsidant Raffour,dans la commune de MChedallah, ontdans chacun des deux de leurs ancienvillages, Ighzer et Thadar th Lejdid, unefontaine qui attire, notamment en cemois de Ramadhan, une foule nom-breuse. Oulaid Soualah

    Ahnif Elle passe ras dun groupede maisons etdun CEMUne vieilleligne MTmenaanteCest une ligne de moyenne ten-sion, ralise dans les annes1960, vtuste et pendouillant.Deffrayants courts-circuits sy pro-duisent chaque variation clima-tique. Elle passe moins de 5 mtresseulement, au-dessus un pt de mai-sons, frle carrment le mur den-ceinte dun CEM et longe la rue quimne au sige de lAPC. Les citoyens, se sentant menacs parcette ligne use, ont multipli lesrequtes et ont fini par faire ragirlAPC. Les lus locaux ont en effetdemand la SONELGAZ de dpla-cer la ligne, et les responsables de lasocit ont rpondu par ltablisse-ment dun devis de lordre de 149millions de centimes, en date du23/08/2011. Les moyens de lAPCne permettant pas de prendre encharge ces frais, il se rvla nces-saire de rechercher un autre mcanis-me de payement au niveau de lawilaya. Le dossier risque ainsi deprendre encore beaucoup de tempsalors que lirrparable peut se pro-duire tout moment. Les citoyens,directement exposs au danger dunventuel dtachement de fils lec-triques, disent guetter chaque pertur-bation atmosphrique et quittentleurs maisons la moindre alerte.Plusieurs familles vivent dans unevritable terreur, voyant la ligne sus-pendue sur leurs ttes comme unepe de Damocls. Dans lAlgrie de2013, qui se lance dans des projetsde modernisation tous azimuts, loncontinue fermer les yeux sur unesituation qui pourrait avoir desconsquences dramatiques. Les rsidents du quartier menaclancent un appel au nouveau walipour quil intervienne, afin de mettreun terme leurs angoisses quoti-diennes. Oulaid Soualah

    Crte-Rouge En dpit des diffrentes dmarches entreprises par les villageois

    Le tlphone fixe ne sonne toujours pas Au moment o le monde excelle dans latechnologie et innove de plus en plusdans ce domaine, les citoyens de la Crte-Rouge, dans la commune dEl Adjiba, yvivent encore en marge. En effet, cette localitest dpourvue de la ligne de tlphonie fixe etdu rseau Internet. Les citoyens, par ticulire-ment la frange juvnile, sont obligs de sedplacer vers les rgions limitrophes pour seconnecter. Ce problme pnalise, notammentles collgiens et les lycens auxquels cet outilest devenu dune utilit pr imordiale, vu leurs

    programmes scolaires bass sur une pdago-gie de projets quils raliseront en puisant lesinformations de lInternet. Labsence de cetoutil de communication se fait sentir en cesmoments mme des grandes vacances sco-laires. Les sor ties ne sont pas la por te detout le monde. Ainsi, la monotonie et le marasme semparentde lespr it des jeunes dont la major it se rabatsur les jeux de domino. Ce calvaire est signalgalement au niveau du village Semmache. Lerecours au moyen du WLL, Internet sans fil,

    na pas satisfait les abonns. La connexion esttoujours mauvaise, ce qui a dcourag plusdun. Dailleurs, plusieurs requtes ont tadresses aux services dAlgr ie Tlcom.Dautres internautes, eux, utilisent les clsUSB de la tlphonie mobile. Malgr que leurdbit soit relativement meilleur, par rappor tau WLL, leurs factures ne sont, par ailleurs,pas la por te de toutes les bourses. Unemensualit 2500 DA nar range pas la majo-r it des gens. Rappelons, enfin, que des jeuneshabitants de la Crte-Rouge, ont adress, eux

    aussi, des requtes, depuis dj plus de deuxannes, aux diffrents services concernspour mettre un terme ce problme, mais envain. Les citoyens de cette localit, qui nesavent plus quel sain se vouer, ni quellepor te frapper pour rsoudre ce problme,demandent aux responsables concerns din-tervenir incessamment pour y remdier cette situation qui, selon eux, a trop dur.

    S. M.

    L

    Au lendemain de violences meurtrires

    S

    Les ngociations suspendues depuis 3 ans

    I

  • 11Cul tureDimanche 21 Juillet 2013

    SSooiirree ppoouurr llaa ppoolliicceeaauu tthhttrree rrggiioonnaall

    Tizi-Ouzou Humour et musique au menu jeudi dernier

    Par Abdennour Abdesselam

    Madame Djoher Amhis-Ouksel est revenue chez Casbah Editions dans sa collection Empreintes avec une lecture de louvrage de Malek Ouary intitul Le Grain dans la meule .N le 27 janvier 1916 Ighil Ali en Kabylie o il frquente lcole pr imaire avant de se rendre Alger, lauteur dcde le 21 dcembre 2001 en France. Malek Ouary a t jour -naliste radiophonique de profession avec son mission intitule : La prservation et la valor isation du patr imoine kabyle. Mai Ouary est plus connu par son uvre, que Madame Amhis-Ouksel, professeur de lettres franaises et inspectr ice denseignement, nous fait revivre, grce une note de lecture remarquable qui situe laventure de la vendetta dans ses vr itables faitsde socits. Nous noterons au passage que Malek Ouary par tage le mme pays et la mme profession que Jean Lmouhoub Amrouche mais galement dautres valeurs et aspects qui leurssont communs depuis cette ter re de Kabylie. Ce retour aux sources ou plutt cette affirmation de soi en tant que Kabyles et Algr iens ; les deux auteurs les assumeront avec hauteur de vueet force de caractre sans gne et encore moins un sentiment de complexe. Louvrage de Madame Amhis souvre justement sur une pitaphe de Malek At War i qui disait Alors, une chosema frapp, tout ce que javais acquis comme culture venait de chez les autres . Ny a-t-il donc rien de valable chez nous ? Cela tournait langoisse et lide que la rponse pt tre ngative,comme certaines bonnes mes le proclamaient bien haut, me peinait, mhumiliait. Cest autour de cette profonde imprgnation de sa culture or iginelle et la qute de soi double du droit decit des siens que linspectr ice prsente lcr ivain. Ds 1946, Malek Ouary enregistre la radio dAlger des chants kabyles. En 1955 parat la socit algr ienne de publication son premierrepor tage intitul : Les chemins de lmigration. Cest en 1956 quil publiera Le Grain dans la Meule aux ditions Buchet-Chastel, Par is, suivi de Pomes et chants de Kabylie en1972 et enfin ses deux derniers ouvrages intituls : La montagne aux chacals et La robe kabyle de Baya rdit chez Bouchne. Nna Djoher Amhis dresse dabord le tableau des per -sonnages du roman comme pour taler la trame de son tude. La note de lecture est annonce sur plusieurs chapitres qui aident encore mieux la connaissance de louvrage de Ouary dontles textes ont t depuis for t longtemps bannis des ouvrages didactiques scolaires officiels. Ainsi en a t dailleurs de la plupar t des auteurs du pays kabyle. Nna Djoher finit son tude enproposant des axes de rflexion sur bien des sujets traits par Malek ath War i dans son ouvrage. Elle notera que Le Grain dans la Meule a t adapt lcran suivant une vision dIfticnesous le titre Les rameaux de feu . A. A.

    culturel

    Au cah

    ier

    Une lecture de Le Grain dans la meule de Malek Ouary

    En effet, la crmonie a eulieu dans une ambiance degaiet. Elle sest droule enprsence de plusieurs personna-lits, notamment M. AbdelkaderBouazghi, wali de Tizi-Ouzou, M.Ould Ali El Hadi, directeur de laCulture, M. Moussa Bellabes, chefde sret de wilaya, M.Ouguemat, vice P/APW, Pr. Zir i,le directeur gnr al du CHUMohamed Nedir, ainsi que lesfamilles et proches des policiers.Un programme r iche et var i a tconcoct pour la soire. Au menu,il y avait du thtre, de la magie etde la musique. Cest le clbre duocomique, compos de Sad Kellaset Kr imo Arab, qui ont ouver t le

    bal avec leur spectacle titr Wardia Ourezki . Ils relatent tr aver s leur spectacle lhistoiredun jeune homme dpassant lavingtaine et qui vit aux dpends deson pre. Orphelin de mre et sanstravail, ce jeune, de retour dusige de la wilaya, explique sonpre quil voulait rcuprer lat-

    testation dun examen quil avaitpass il ya bien longtemps. Encolre, le vieux pre prcisera son fils unique que cet examendate dil y a vingt ans et que lesper sonnes avec, qui, il lavaitpass occupent, aujourdhui,diffrents postes, notamment desmdecins, des ingnieurs et ensei-

    gnants. Mais sa grande surpr ise,le fils annonce son pre quilveut se mar ier, une chose que lepre refuser a catgor iquementprtextant que tant quil na pasun travail stable et une maison, illui est impossible daccepter cettemascarade. Ainsi, tout au long dela seconde par tie du spectacle, le

    fils tentera tout pour faire chan-ger davis son pre mais en vain.Aprs ce spectacle thtr al, lemagicien Hachemi Omar montesur scne pour prsenter une sr iede tours de magie en invitant surscne le maire, le vice P/APW, leDG du CHU et des enfants. Desspectacles qui ont gay et mer-veill le public prsent, notam-ment celui des car tes. Lorsque lemagicien, en distr ibuant lescar tes, il avait attr ibu chacunun AS mais la fin du tour demagie lensemble des AS seretrouvent chez une seule person-ne. Ainsi, le Pr. Zir i, invit mon-ter sur scne par le magicien,tonn ! il dira : je ne comprendspas comment a sest pass ! Jenavais quun seul AS et la fin dutour jen ai quatre. ne r ien com-prendre ! Chapeau au magicien .La crmonie a t clture parun spectacle musical prsent parle chanteur kabyle FahemMohand Sad, qui a interprt,entre autre, Rouhed anemwali,Mizr i averkan et Yewar lahssavithifin. Samira Bouabdellah

    La Sret dewilaya de

    Tizi-Ouzou, en collaboration avec

    la directionde la Culture, aorganis, jeudi

    dernier, une crmonie,

    dans le cadre du programme

    spcial Ramadhan,au niveau du

    thtre rgionalKateb Yacine

    de la ville.

    Le mythique groupe Abranis s'est produit,dans la soire d'avant-hier jeudi, laMaison de la Culture Ali Zamoum de Bouira,dans le cadre des soires ramadhansque,organises par la direction de la Culture de lawilaya. Ainsi, le public tait venu en grandnombre pour applaudir et dlecter le stylepop-rock la sauce Kabyle, qui a fait larenomm de ce groupe. Pour preuve, la sallede spectacle de la maison de la Culture, s'estavre trop exigu pour contenir les nom-breux fans venus des quatre coins de lawilaya. En effet, vers les coups de 22h, l'en-ceinte culturelle tait archi-comble et lesretardataires n'ont eu de choix que de resterdebout, ou bien s'asseoir dans les travers de lasalle, ce qui a pour effet d'nerver quelquepeu le service d'ordre, qui tait dj sur lesdents. Au fil des minutes, l'ambiance com-menait monter de plusieurs crans et les

    acclamations des spectateurs montaient cres-cendo. Aux alentours de 22h20 l'animateur dela soire fit une brve appar ition afin d'an-noncer, au public pr sent, lar r ive desar tistes qui sont prts mettre le feu surscne. Quelques instants plus tard, la lgen-daire troupe fera son entre sous un tonner red'applaudissements. Le premier a avoir foulles planches, c'est le clbre Yuba, le talen-tueux guitar iste de la bande. : Yuba, Yuba,Yuba , c'est ainsi, quil a t accueilli parl' assistance. Ensuite, le reste du groupe,notamment Kar im le vocaliste qui pntre surscne et lance la foule azul fellawen, saharamdhanwen! (...) vous tes prts? Alor slets'go! (Cest par ti!). S'ensuit un tourbillondes plus grands succs qui ont fait l'histoirede ce groupe fond en 1967 et qui tait l'undes prcurseurs, si ce n'est le seul l'poquede la musique pop kabyle. Ainsi, le public a

    repr is en chur les tubes tels que Id Dwass, Amek Ara Sevra-gh Fellam , Yul-iw et l' incontournable Lynda . Cette derni-re a fait, car rment, chavirer la maison de laCulture! Des jeunes et moins jeunes se sontlaisss entraner par les rythmes endiabls del'orchestre. Aussi bien le batteur que le guita-r iste, ont su acco