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f R MATIN- 23 Oclohre 1920 et d'Aine et dont l'attachement et ii- dévouement BU M M IN étaient à tantes èpïcuye*. Nous ne saurions laisser s e, couler cette journée sans con- sacrer tui souvenir ému h .li LES Sruu: et sans rappeler, une nouvelle lois, combien nous lûmes douloureusement éprouvé par sa mort. MiURICE ETIENNE »i!s Angle de» Hue* du liagonn dt tEtal fl des 1-ronls-l-tirls Chaussures pour bain de mer. L'auto et le piéton En tous Pays, 7."> ù 80 o/o il. s victimes d'incidents d'auloino- biles sont des piétons. Voilà et que disent inexorablement len- tes les slatisticjiio. Il ne devrait paa cependant exister de conflit . général entre les pic ions et Us automobilistes, parce que nous gommes presque tous des pié- tons a certaine*heures, cl parce qui nous tommes presque loi.s des automobilistes à certaines heures également. Chacun doit respecter les droits de l'autre, le conducteur s;ms précautions, comme le piéton (jui semble dire :ni conducteur:* .le me fiche de loi ». sont une menace pour les autres ;ui>si bien mie pour eux- mêmes. Les piétons ont des droits sur la rue, «le même que les auto- mobilistes el les conducteurs d'autres véhicules, l'.nce que des piétons se servent des rues, sans prendre aucune précaution, il n'v a pas d'excuse pour les conducteurs d'autos ou autres 'voitures qui ne prennent p;.s toutes les mesures possibles poi r éviter de blesser les piétons. La loi est ordinairement du côté du piéton, ee qui est souvent lus pisle, parce que le piéton es! généralement le plus à plaindre. Les conducteurs d'autos doi vcni être parliculièremenl pru- dents pour ne pas blesser les piétons qui croisent leur roule. Si les piétons ne vrillent pas taire attention, ou négligent de taire attention a l'avertisseur de voire voiture, rappelez-vous que vous pouvez, avoir alfairc à un sourd, à un laihlc d'esprit, à quelqu'un qui rêvasse, et que les centaines de piétons que I on rencontre dans les rues sont prêts à rejeter leur responsabi- lité sur vous, à cause de leur vieil tige, leur jeunesse, leurs inlirmilcs ou dautres délaull physiques. Kailes spécialement attention lorsque deux ou plusieurs per- sonnes traversent ensemble la rue. Il arrivera souvent qu'à l'approche d'une auto,une den Ira elles s'arrêtera, tandis que l'autre avancera. Ne tuiles p;is résonner Votre avertisseur s;ins nécessité. I.e fiiélon peut être facilement ci- rayé et temporairement para- lysé, lai ce qu'il s'agit desen- huits, redoublez de vigilance; car. vous ne savez jamais, lors- que vous ave/ ;'i croiser un en- tant, ce qu'il 1ère. Malheureuse- ment clie/. nous, la rue est son terrain de jeu. Il court, il pour* suil un camarade el soudain, il arrive laie à voire voiture. Kl cela ne (linquiélc nullement Aussi doit-on être absolument maille de sa vilesse et conduire lentement. lai résumé, voici un petit Code ity prudence pour les chauffeurs : Soyez prudents : 1 °. Quand vous croisez des entants jouant dans la rue. Lorsqde'voUS vous appro- chez île personnes allant à bi- cyclette, surtout lorsque ce sont des enfants à qui il peut pren- dre fantaisie de changer ne di- rection sans s'inquiéter dis nies el ('es traditions qui iv- i; '.seul la rue. .! => : Avertissez les {>ens de vo- ir approche. ! - : Ne permettez jamaii à pe sonne de monter SOT le inar- che -pied.l'arriére ou la «défenses de \ olre voilure. : N'admclc/ jamais que des cyclistes s'accrochent à votre voilure pour une montée laho rieUSt on une descente rapide. Enfin, prudence, maîtrise de soi, attention [soutenue, voilai (nulles sont les régies auxquelles] doit obéir l'automobiliste dansl ses relations vis-à-vis du piélon.J Parisianaj Demain "soir MANDRIN .'te ci;le épisodes.—{Grand Ciné-j "dlôman d'Arthur Bernêde.?;;. J Entrée : 2, 3 et 4 gdes. cEé-;|; Variètésl # Demain"soir S Candio fj dans ses chansons inédites.£ L'À*B»G< de l'ÀwrarJ 1 parties, —.huilée : 1 gourde, •» ' - ..-^.— s— » Violent ouragan)* à Cuba] Par câble français 5 LA HAVA.NK.ii Octobre—I ne tempête venue de l'ouest s'est abat, tue sur la Havane hier vers mi- nuit et col après midi 'e vjntsouf- llait encore avec violence, cepen- dant 1 oura^'au s'était un peu cal- et son allait ( au» la direction de Key West C Floride )• Ce vent avait atteint uue vélocité de 1*0 à. 130 m''1rs par lin e, le port ce la IIa\ ne était ioimé et des va- peurs de six à liuit mètres de haut se précipitaient contre le mur quij se trouve tout le lOBJ de la p;oaae nade. Les rues du bas de la ville éta ; eat inondées, la lumière élec- trique ne loactior lait plus et tous les moyens de paralysés, cessé de fo maison d' e -ai coasiruner: avec une OS easse d'acier aurait^ été iment comme de nouvelles trontiè 1res f nt été établies en de nombre» ses rtgioLs qui jusqu'alors avaient proctué librement i leuis écha-i '«es. hn Avttiche gr Seipel dérouera S£L ,a crise^niini&i^iit |J e L Par câble hacçais If .VIENNE— L'ex chancelier Mgr iSeipel a été prié de constituer un leabiael en replacement du mi lui.-liie Itamtk démissionnaire de Ipuis le 15 Octobre.Il (,ora terniné demain le choix de ses collaLora [leurs. La Norvège au I r rég imel' 'humide* . OSLO— Le'peuple norvégien â voté contre la continuation de la prohibition. Un plébiscile s lieu hier sur lu question de la suppres Blondi la loi in erdisant la vente des boissons alcou iques avant uliu teneur d'dcool supérieur a il ojo u'dprés les dtrniers résultats eoc . re incomplets parven* b ce soir o i compte ÔU5.0UO voix contre la Bfj liib.tion et 898.000 pour. liiego , ja doané 26.000 coati e 12.700pour. , USLu Le gouvernement norvé gten annor.ee qu'un projet de loi tendant à supprimer la prohibition partielle sera soumis au l'ai lumen t in Janvier prochain.Le plébiscite |01 a eu lieu luudi dernier sur la lesstton delà prohibition a don- comme résultat : jltf.OOU voix SOBtTO la prohibition et 509.000 I pour. La prohibition ci [été soumise à un essai iN'orvèi de 9 ;e a an.-. Une k nouvelle /ois ^Mgr Seipel^gou- hivernera VJïïfiH- «jLjVIEWIE-- Mgr beip( I, ex chan t.a :sport etaient|&7 celiei . ( a con . entl à pr £ ndre , a di . ,, le Idépi-oae avait aiisMWJ rec , uu du nouveau ( . abmet , 00' ><u .Une nouvel e|? : 'J remplac ra , e mini8 , era KilIll<k H 1 ' e . > î. l .i°. a, ! rm .,*l fmissioansire depuis le 18 Octobre. combinaison rend Le cabinet idepi est une Les grands raid» \ aériens V çais ua messa- , . , .. , "1 wc «""««I csi une comoil ... renversée .t les letôtres des* de socialistes chrétiens et du* , maisons se trouvant près delà mer! J parli allemill , d opposés aux social- ont été brisées. f) 'démocrates. On évalue à 10 morts peut-ètre| r I davantage et a plusieurs ceulaiaes ' de blessés les victimes failes parjp l'ouragan qui a ravagé l'Ile de Cutj ba aujourJ'hui. Huit personnes^: - snft_ï cih Vfr-nr7i ont elé tuées par l'ébouleinenl d'uH ;J^tff^mn, Aîïïff re maison à Lavano, petite ville! ' ,Jl 'p- D a P « ' dans la province ue la Havane.Ou craint qu'un gtViad nombre de per sonnes n'aient été uoyées Les schoorers Maria Merci lès, Maria del Carmen, Koriquela Crisslida ont coulé. Les paquebots cubaius Laie et Puerto Tsrsfa ont aussi fait sseJrage. Le navire fraudais « tirant » et un paquebot de la Ksi lodian Uia out subi des ava- ries importantes. .^Jm MI\V1I( Kloride ) Laissant derrière lui des rues pleiues de pa près et des maisons inondées, l'ou ra^an qui a ravagé l'Ile de Cuba feudant toute la journée a atteint tle de Key West ce soir. Tandis que le vent à la lin de la tempête! souillait encore à une vitesse del J à .'»0 milles. La partie qui al frappé Key West avait uue vélocité! de 80 milles, l'ouragan a reuversé] des arbres et causé d'autres dé-] gats.Toutefois tout permettait d es' pérer que la tempête ne s'abadraitl pas sur l'Ile avec toute sa force, mais que le centre passerait dans! une direction nord'esl au-dessus| des Iles de Uiiliamn. Un manifeste} 3 international de financiers} b e reçu a Madrid aujourd'hui, M. |0untû llraga, aviateur brésilien qui ellectue uu VJI de Gènes à San ( tos(Brésil ), est arrivé à Las l'ai- mas dans les [lai Canari.s.M. Bia 'ga continuera son vol demain pour atteindre les Iles du Cap Vert. *Les efforts jinan- j^c£er8 de la Bel* ,:*^,l'ar câble français . BRUXEL! ES-si. Praseoljcni j nis'.re des finances et M. t-'rank, ' gouverneur de la banque de Helgi que accompagnés de MM. Guttel. I Li.iden, sout partis pour Londres I ou ils signeront un emprunt de :i0 : mi Honi d; dollars récemment gocié par le gouvernement belge. A propos du ma" nifesie internatio- nal des financiers £ _r„Par cible Irançais fc PAms Mr Bolcanowski, minis ire du commeice. a re^u les repré sentants des industries françaises <',eut-ciont,déclai J qu'ils n'avaien pas participé à la rédaction du mi nileste international dans la Tor- publiée ; dans la matinée i s BERLIN—Le bureau Joflicieux ' «me publiée ; dans la matinée i s SoltT publie aujourd'hui le texte' ont précisé qu'ils avaieut signé en 'un manifeste international signet 'Juin dernier une note indépendai \\ d_ par un grand nombre de linanciersl européons et plusieurs banquiers^ américains dont Mr .1. P. Morgan. Ce document expose l'état écono' te laquelle a été faussement pré- sentée aux journaux comme un simple réserve au texte du manif.s .~.-o —, .~.- ,te. Les journaux se montrent géaé raique de l'Europe et insivte sur* paiement sceptiques sur lesrésj'- la nécessité d'abaisser les tari/ ' tl'»ts pratiques du manifeste douaniers d'après guerre si l'on veut rétablir la prospérité généra le. Le manifeste qui a pour titre " Un appel pour la suppression des restrictions au commerce eur ' péeu déclare qu< ses signataire comme honrues c dairea doiven' exposer les ^lavSf conditions fai sant obstacle . i retour i la pro périté mondiale. Il fait remarque comment les tarifs, les permis sp ; ci.uv et les eaibugOl ont réussi d^ is la laerre â lu u r sur le ((ii lier e in em li nal d à rniir. 1 à ton cours naturel particulière M touU.1' J* M t- ce j.. i. ;.. n\.it IA RîGIDiTÉ El U DOULEUR DISPARAISSENT EN UNE Nlliï M£S 11 craignait ne pas pouvoir retour, ner au travail, mais il trouva un remède efficace et économique. TOM nux qui w.nt <.l.li/.V. : \ iravuiilor dehort dciis'pj.t suivru l'exainpla d'un ou\Tier de ît vite de Perpignan, France, qui fut atirap*parla plj'ii à lu uii d'un dur juur de travail dana le* eh ..i.pe, lui causant un lefinHlfiiMiU et iarriMH doulcurt musculairts qui 1'iinponnibUi- lèrent de d -ul»Kr son corps. "Ayant été trompa' par la pluia je rentra chea mot et mo mis au lit. lKrmisemti.t que ma f. niiLueut la précaution de m'Hppliquer du Llni- nu tit do Sloan qui m'onlova inatantanoment la doi leur et do retour au travail la jour auivant, BU condition iih>-sique était déjà normal*.'' l.'eJct du Linimci.t de SI ,an est vraiment sur- I>r : .an t. Il sullit de l'appliquer, sana frotter, I" ur ao rendre compte de *»j propriétés cura- ti\ J. Ua iiiuscl.« se tonifient et laissent de faire m.. , et I on aei.t im.l.iin-*;rc eéiiéral. Acheté» ui^ Oteon à la pharmacie la plua prochaine. "%Liniment _ « Anéanfit Tou!e Douteur Les EtatsmUnis et le Canada WASUINOTON—Le Préaident Goo lidge ne voit actuellement aucune raison pour envoyer un ministre des Ktats Unis à Ottawa lorsque le t'.anada en>erra un ministre ca nadien à Washington.Eu tout état de cause, M. <.'. tolidge estimj que l'envoi d'un ministre nécessiterait u n acte d . congre?. Mort de Vapôtre du socialisme^ aux Etats-Unis CHICAGO—M.i-:u/»gen V. Debs, l'apùlre du socialisme aux Etats* l'nis, est mort aujourd'hui dans une clinique des environs de Chi- cago. Le 5 Novembre prochain, il aurait atteint ses 71 ans. I' Vi -i W^mâ roLu ^s de demain ^pilEmuIsionScdit -" 1; u va. enftauj sa la polilique'étrangère del'Angleter le.Sir Austin a pr ooncé son dis- cours i uns conférence tenue i hui clos et «es déclarations ont è\6 consHéi.'es comme confiden- tiels par les délégués et par con séquent elles ne seront pas pu- bliées. -r ——-. Le conflit reli- gieux au Mexique Un prélat catholique arrê- par ordre du linistre de l'Iiilii ieur MEXICO—Des dt pêches spéciales reçues de San Cnsiobal annoncent que Mgr Gerardo Anaya de Chapes a été arrêté par ordre du ministre de l'intérieur. Les dépêches ajou tent que le p-rUt sera amené dan« cette ville sous bonne escorta. 0,i n'a pasr -ndu publiques les accu- salions qui pèsent sur lui. Le pacte entre la Russie et la Let- tonie RIGA— Mr Araloff, représen- tant Mr Tchitcherine commissaire russe aux aflaires étrangères, est arrivé à Itiga pour négocier avec la Lettonie un traité de non agrès sion analogue au traité russo li- thuanien récemment signé. leçon de violon, Solièqe ç^Cours d'ensemble et d'nc- compagnemenl. Mt-thode.. du Conservatoire de Paris. LtjciF.N DUVILLAHD 4 Vambai m àpi WASHINGTON- Ui généra! William W. ll 4 nommé attaché militaire ( bassade des EUts-Unii i | remplacement du colonel T] ley Moll.Le colonel raserai bassade comme attaché DEUIL: ~ .Nous a.ons reyu le (m du décès de Mme Miri, Adelina Dulyx, sarveafl hier malin à mi-urit et Les l'unéralllc» oui m hier après-midi, à .'t heu la Cathédrale. Nos coudoie niées aux] éprouvés. Avis aux Propi de cliitDS* Le Chef de la Police i au Prince d'unie avis Mil ressL's<|ua p;r ir du 23(1 bre l!»2«i la livraison fat ces pour chiens se leraf ollicc les lundi, mardi , dredi de cliai|iic semait heures à 11 h. du malin.| Tous les chiens à lk devant être vaccinnéco rage, à cet effet un tant du Service Technif gricilliiie se tiendra reuii de la Police à lu' tion dv leurs propriélaifll^ heures et jours susciMP Le coût du Vaccin qki sourdes. 'zh^T, Violoniste A la Conférence impériale de l'Em- pire] Britannique^ LONDRES— Sir Austin Cham berlain. secrétaire des allaires é- tiangères, a lait aujourd hui de- vant les rs ministres des Domi- nions et les autres délégués à la conférence impériale un exposa de *Tt W.N.BESTr Chef de Is .. banquiers ; ils notent qu'il s'adr s se surtout aux Ltats-L'nia, nation Is plus protectionniste du moud.'. Le Petit Parisien » déclare q ie le document n'implique aucune- ment une critique du traité de Ver ailles. "Le Figaro " est d'avis que le réajustement des svstèm s économique! dépend de l'équilib e des charges et des dettes en'r l'Europe et les Etats l nia. Po i " L'OEofre'*, le commerce int i- national, entendu dans l'esprit ; manileste, suppose une rnonu t le intermilionale. I . A. DE MATTÉIS & C0, "rprfitrntonh F«w 10

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  • f R MATIN- 23 Oclohre 1920

    et d'Aine et dont l'attachement et ii- dévouement BU M M IN étaient à tantes èpïcuye*.

    Nous ne saurions laisser s e, couler cette journée sans con- sacrer tui souvenir ému h .li LES Sruu: et sans rappeler, une nouvelle lois, combien nous lûmes douloureusement éprouvé par sa mort.

    MiURICE ETIENNE »i!s Angle de» Hue* du liagonn dt

    tEtal fl des 1-ronls-l-tirls Chaussures pour bain de

    mer.

    L'auto et le piéton En tous Pays, 7."> ù 80 o/o il. s

    victimes d'incidents d'auloino- biles sont des piétons. Voilà et que disent inexorablement len- tes les slatisticjiio. Il ne devrait paa cependant exister de conflit

    . général entre les pic ions et Us automobilistes, parce que nous gommes presque tous des pié- tons a certaine*heures, cl parce qui nous tommes presque loi.s des automobilistes à certaines heures également. Chacun doit respecter les droits de l'autre, le conducteur s;ms précautions, comme le piéton (jui semble dire :ni conducteur:* .le me fiche de loi ». sont une menace pour les autres ;ui>si bien mie pour eux- mêmes.

    Les piétons ont des droits sur la rue, «le même que les auto- mobilistes el les conducteurs d'autres véhicules, l'.nce que des piétons se servent des rues, sans prendre aucune précaution, il n'v a pas d'excuse pour les conducteurs d'autos ou autres

    'voitures qui ne prennent p;.s toutes les mesures possibles poi r éviter de blesser les piétons. La loi est ordinairement du côté du piéton, ee qui est souvent lus pisle, parce que le piéton es! généralement le plus à plaindre.

    Les conducteurs d'autos doi vcni être parliculièremenl pru- dents pour ne pas blesser les piétons qui croisent leur roule. Si les piétons ne vrillent pas taire attention, ou négligent de taire attention a l'avertisseur de voire voiture, rappelez-vous que vous pouvez, avoir alfairc à un sourd, à un laihlc d'esprit, à quelqu'un qui rêvasse, et que les centaines de piétons que I on rencontre dans les rues sont prêts à rejeter leur responsabi- lité sur vous, à cause de leur vieil tige, leur jeunesse, leurs inlirmilcs ou dautres délaull physiques.

    Kailes spécialement attention lorsque deux ou plusieurs per- sonnes traversent ensemble la rue. Il arrivera souvent qu'à l'approche d'une auto,une den Ira elles s'arrêtera, tandis que l'autre avancera.

    Ne tuiles p;is résonner Votre avertisseur s;ins nécessité. I.e fiiélon peut être facilement ci- rayé et temporairement para-

    lysé, lai ce qu'il s'agit desen- huits, redoublez de vigilance; car. vous ne savez jamais, lors- que vous ave/ ;'i croiser un en- tant, ce qu'il 1ère. Malheureuse- ment clie/. nous, la rue est son terrain de jeu. Il court, il pour* suil un camarade el soudain, il arrive laie à voire voiture. Kl cela ne (linquiélc nullement Aussi doit-on être absolument maille de sa vilesse et conduire lentement.

    lai résumé, voici un petit Code ity prudence pour les chauffeurs :

    Soyez prudents : 1 °. Quand vous croisez des

    entants jouant dans la rue. 2° Lorsqde'voUS vous appro-

    chez île personnes allant à bi- cyclette, surtout lorsque ce sont des enfants à qui il peut pren- dre fantaisie de changer ne di- rection sans s'inquiéter dis nies el ('es traditions qui iv- i; '.seul la rue.

    .! => : Avertissez les {>ens de vo- ir ■ approche.

    ! - : Ne permettez jamaii à pe sonne de monter SOT le inar- che -pied.l'arriére ou la «défenses de \ olre voilure. 5° : N'admclc/ jamais que des

    cyclistes s'accrochent à votre voilure pour une montée laho rieUSt on une descente rapide.

    Enfin, prudence, maîtrise de

    soi, attention [soutenue, voilai (nulles sont les régies auxquelles] doit obéir l'automobiliste dansl ses relations vis-à-vis du piélon.J

    Parisianaj Demain "soir

    MANDRIN .'te ci;le épisodes.—{Grand Ciné-j "dlôman d'Arthur Bernêde.?;;. J Entrée : 2, 3 et 4 gdes.

    cEé-;|; Variètésl

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    fj dans ses chansons inédites.£

    L'À*B»G< de l'ÀwrarJ 1 parties, —.huilée : 1 gourde, •»■      '■        ■■■- ..-^.— s— ■■■■ ■»

    Violent ouragan)* à Cuba]

    Par câble français 5 LA HAVA.NK.ii Octobre—I ne tempête venue de l'ouest s'est abat, tue sur la Havane hier vers mi- nuit et col après midi 'e vjntsouf- llait encore avec violence, cepen- dant 1 oura^'au s'était un peu cal- mé et son allait ( au» la direction de Key West C Floride )• Ce vent avait atteint uue vélocité de 1*0 à. 130 m''1rs par lin e, le port ce la IIa\ ne était ioimé et des va- peurs de six à liuit mètres de haut se précipitaient contre le mur quij se trouve tout le lOBJ de la p;oaae nade. Les rues du bas de la ville éta;eat inondées, la lumière élec- trique ne loactior lait plus et tous les moyens de paralysés, cessé de fo maison d' e -ai coasiruner: avec une OS easse d'acier aurait^ été

    iment comme de nouvelles trontiè 1res f nt été établies en de nombre» ses rtgioLs qui jusqu'alors avaient proctué librement i leuis écha-i

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    If .VIENNE— L'ex chancelier Mgr iSeipel a été prié de constituer un leabiael en replacement du mi lui.-liie Itamtk démissionnaire de Ipuis le 15 Octobre.Il (,ora terniné ■demain le choix de ses collaLora [leurs.

    La Norvège au I rrég imel' 'humide*

    . OSLO— Le'peuple norvégien â voté contre la continuation de la prohibition. Un plébiscile s lieu hier sur lu question de la suppres Blondi la loi in erdisant la vente des boissons alcou iques avant uliu teneur d'dcool supérieur a il ojo u'dprés les dtrniers résultats eoc . re incomplets parven* b ce soir o i compte ÔU5.0UO voix contre la Bfj liib.tion et 898.000 pour. liiego , ja doané 26.000 coati e 12.700pour.

    , USLu — Le gouvernement norvé gten annor.ee qu'un projet de loi tendant à supprimer la prohibition partielle sera soumis au l'ai lumen t in Janvier prochain.Le plébiscite |01 a eu lieu luudi dernier sur la lesstton delà prohibition a don- né comme résultat : jltf.OOU voix SOBtTO la prohibition et 509.000

    I pour. La prohibition ci [été soumise à un essai

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    hivernera VJïïfiH- «jLjVIEWIE-- Mgr beip( I, ex chan

    t.a :sport etaient|&7celiei.( a con.entl à pr£ndre ,a di. ,, le Idépi-oae avait aiisMWJrec,uu du nouveau (.abmet , 00' >î.l.i°.a,!rm.,*l fmissioansire depuis le 18 Octobre. combinaison

    rend Le cabinet

    idepi est une

    Les grands raid» \ aériens V

    çais ua messa-

    , . , • .. , "1 wc «""««I csi une comoil ... renversée .t les letôtres des* de socialistes chrétiens et du* , maisons se trouvant près delà mer! Jparli allemill,d opposés aux social- ont été brisées. f) 'démocrates.

    On évalue à 10 morts peut-ètre|r I davantage et a plusieurs ceulaiaes ' de blessés les victimes failes parjp l'ouragan qui a ravagé l'Ile de Cutj ba aujourJ'hui. Huit personnes^: - ■■ snft_ïcihVfr-nr7i ont elé tuées par l'ébouleinenl d'uH ;J^tff^mn, Aîïïff re maison à Lavano, petite ville! ' ,Jl'p- D aPrè« ' dans la province ue la Havane.Ou craint qu'un gtViad nombre de per sonnes n'aient été uoyées Les schoorers Maria Merci lès, Maria del Carmen, Koriquela Crisslida ont coulé. Les paquebots cubaius Laie et Puerto Tsrsfa ont aussi fait sseJrage. Le navire fraudais « tirant » et un paquebot de la Ksi lodian Uia out subi des ava- ries importantes. .^Jm

    MI\V1I( Kloride ) — Laissant derrière lui des rues pleiues de pa près et des maisons inondées, l'ou ra^an qui a ravagé l'Ile de Cuba feudant toute la journée a atteint

    tle de Key West ce soir. Tandis que le vent à la lin de la tempête! souillait encore à une vitesse del ♦J à .'»0 milles. La partie qui al frappé Key West avait uue vélocité! de 80 milles, l'ouragan a reuversé] des arbres et causé d'autres dé-] gats.Toutefois tout permettait d es' pérer que la tempête ne s'abadraitl pas sur l'Ile avec toute sa force, mais que le centre passerait dans! une direction nord'esl au-dessus| des Iles de Uiiliamn.

    Un manifeste} 3 international de financiers}

    be reçu a Madrid aujourd'hui, M. |0untû llraga, aviateur brésilien qui ellectue uu VJI de Gènes à San

    (tos(Brésil ), est arrivé à Las l'ai- mas dans les [lai Canari.s.M. Bia 'ga continuera son vol demain pour atteindre les Iles du Cap Vert.

    *Les efforts jinan- j^c£er8 de la Bel*

    ,:*^,l'ar câble français . BRUXEL! ES-si. Praseoljcni

    j nis'.re des finances et M. t-'rank, ' gouverneur de la banque de Helgi

    que accompagnés de MM. Guttel. I Li.iden, sout partis pour Londres I ou ils signeront un emprunt de :i0

    :™mi Honi d; dollars récemment né gocié par le gouvernement belge.

    A propos du ma" nifesie internatio- nal des financiers £ _r„Par cible Irançais fcPAms — Mr Bolcanowski, minis

    ire du commeice. a re^u les repré sentants des industries françaises r : .an t. Il sullit de l'appliquer, sana frotter, I" ur ao rendre compte de *»j propriétés cura- ti\ • J. Ua iiiuscl.« se tonifient et laissent de faire m.. , et I on aei.t im.l.iin-*;rc eéiiéral. Acheté» ui^ Oteon à la pharmacie la plua prochaine.

    "%Liniment _ « Anéanfit Tou!e Douteur

    Les EtatsmUnis et le Canada

    WASUINOTON— Le Préaident Goo lidge ne voit actuellement aucune raison pour envoyer un ministre des Ktats Unis à Ottawa lorsque le t'.anada en>erra un ministre ca nadien à Washington.Eu tout état de cause, M.