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  • f R MATIN- 23 Oclohre 1920

    et d'Aine et dont l'attachement et ii- dévouement BU M M IN étaient à tantes èpïcuye*.

    Nous ne saurions laisser s e, couler cette journée sans con- sacrer tui souvenir ému h .li LES Sruu: et sans rappeler, une nouvelle lois, combien nous lûmes douloureusement éprouvé par sa mort.

    MiURICE ETIENNE »i!s Angle de» Hue* du liagonn dt

    tEtal fl des 1-ronls-l-tirls Chaussures pour bain de

    mer.

    L'auto et le piéton En tous Pays, 7."> ù 80 o/o il. s

    victimes d'incidents d'auloino- biles sont des piétons. Voilà et que disent inexorablement len- tes les slatisticjiio. Il ne devrait paa cependant exister de conflit

    . général entre les pic ions et Us automobilistes, parce que nous gommes presque tous des pié- tons a certaine*heures, cl parce qui nous tommes presque loi.s des automobilistes à certaines heures également. Chacun doit respecter les droits de l'autre, le conducteur s;ms précautions, comme le piéton (jui semble dire :ni conducteur:* .le me fiche de loi ». sont une menace pour les autres ;ui>si bien mie pour eux- mêmes.

    Les piétons ont des droits sur la rue, «le même que les auto- mobilistes el les conducteurs d'autres véhicules, l'.nce que des piétons se servent des rues, sans prendre aucune précaution, il n'v a pas d'excuse pour les conducteurs d'autos ou autres

    'voitures qui ne prennent p;.s toutes les mesures possibles poi r éviter de blesser les piétons. La loi est ordinairement du côté du piéton, ee qui est souvent lus pisle, parce que le piéton es! généralement le plus à plaindre.

    Les conducteurs d'autos doi vcni être parliculièremenl pru- dents pour ne pas blesser les piétons qui croisent leur roule. Si les piétons ne vrillent pas taire attention, ou négligent de taire attention a l'avertisseur de voire voiture, rappelez-vous que vous pouvez, avoir alfairc à un sourd, à un laihlc d'esprit, à quelqu'un qui rêvasse, et que les centaines de piétons que I on rencontre dans les rues sont prêts à rejeter leur responsabi- lité sur vous, à cause de leur vieil tige, leur jeunesse, leurs inlirmilcs ou dautres délaull physiques.

    Kailes spécialement attention lorsque deux ou plusieurs per- sonnes traversent ensemble la rue. Il arrivera souvent qu'à l'approche d'une auto,une den Ira elles s'arrêtera, tandis que l'autre avancera.

    Ne tuiles p;is résonner Votre avertisseur s;ins nécessité. I.e fiiélon peut être facilement ci- rayé et temporairement para-

    lysé, lai ce qu'il s'agit desen- huits, redoublez de vigilance; car. vous ne savez jamais, lors- que vous ave/ ;'i croiser un en- tant, ce qu'il 1ère. Malheureuse- ment clie/. nous, la rue est son terrain de jeu. Il court, il pour* suil un camarade el soudain, il arrive laie à voire voiture. Kl cela ne (linquiélc nullement Aussi doit-on être absolument maille de sa vilesse et conduire lentement.

    lai résumé, voici un petit Code ity prudence pour les chauffeurs :

    Soyez prudents : 1 °. Quand vous croisez des

    entants jouant dans la rue. 2° Lorsqde'voUS vous appro-

    chez île personnes allant à bi- cyclette, surtout lorsque ce sont des enfants à qui il peut pren- dre fantaisie de changer ne di- rection sans s'inquiéter dis nies el ('es traditions qui iv- i; '.seul la rue.

    .! => : Avertissez les {>ens de vo- ir ■ approche.

    ! - : Ne permettez jamaii à pe sonne de monter SOT le inar- che -pied.l'arriére ou la «défenses de \ olre voilure. 5° : N'admclc/ jamais que des

    cyclistes s'accrochent à votre voilure pour une montée laho rieUSt on une descente rapide.

    Enfin, prudence, maîtrise de

    soi, attention [soutenue, voilai (nulles sont les régies auxquelles] doit obéir l'automobiliste dansl ses relations vis-à-vis du piélon.J

    Parisianaj Demain "soir

    MANDRIN .'te ci;le épisodes.—{Grand Ciné-j "dlôman d'Arthur Bernêde.?;;. J Entrée : 2, 3 et 4 gdes.

    cEé-;|; Variètésl

    #Demain"soir S Candio

    fj dans ses chansons inédites.£

    L'À*B»G< de l'ÀwrarJ 1 parties, —.huilée : 1 gourde, •»■      '■        ■■■- ..-^.— s— ■■■■ ■»

    Violent ouragan)* à Cuba]

    Par câble français 5 LA HAVA.NK.ii Octobre—I ne tempête venue de l'ouest s'est abat, tue sur la Havane hier vers mi- nuit et col après midi 'e vjntsouf- llait encore avec violence, cepen- dant 1 oura^'au s'était un peu cal- mé et son allait ( au» la direction de Key West C Floride )• Ce vent avait atteint uue vélocité de 1*0 à. 130 m''1rs par lin e, le port ce la IIa\ ne était ioimé et des va- peurs de six à liuit mètres de haut se précipitaient contre le mur quij se trouve tout le lOBJ de la p;oaae nade. Les rues du bas de la ville éta;eat inondées, la lumière élec- trique ne loactior lait plus et tous les moyens de paralysés, cessé de fo maison d' e -ai coasiruner: avec une OS easse d'acier aurait^ été

    iment comme de nouvelles trontiè 1res f nt été établies en de nombre» ses rtgioLs qui jusqu'alors avaient proctué librement i leuis écha-i

    '«es.

    hn Avttiche ■gr Seipel dérouera S£L

    ,a crise^niini&i^iit |Je L Par câble hacçais

    If .VIENNE— L'ex chancelier Mgr iSeipel a été prié de constituer un leabiael en replacement du mi lui.-liie Itamtk démissionnaire de Ipuis le 15 Octobre.Il (,ora terniné ■demain le choix de ses collaLora [leurs.

    La Norvège au I rrég imel' 'humide*

    . OSLO— Le'peuple norvégien â voté contre la continuation de la prohibition. Un plébiscile s lieu hier sur lu question de la suppres Blondi la loi in erdisant la vente des boissons alcou iques avant uliu teneur d'dcool supérieur a il ojo u'dprés les dtrniers résultats eoc . re incomplets parven* b ce soir o i compte ÔU5.0UO voix contre la Bfj liib.tion et 898.000 pour. liiego , ja doané 26.000 coati e 12.700pour.

    , USLu — Le gouvernement norvé gten annor.ee qu'un projet de loi tendant à supprimer la prohibition partielle sera soumis au l'ai lumen t in Janvier prochain.Le plébiscite |01 a eu lieu luudi dernier sur la lesstton delà prohibition a don- né comme résultat : jltf.OOU voix SOBtTO la prohibition et 509.000

    I pour. La prohibition ci [été soumise à un essai

    iN'orvèi de 9

    ;e a an.-.

    Unek nouvelle /ois ^Mgr Seipel^gou-

    hivernera VJïïfiH- «jLjVIEWIE-- Mgr beip( I, ex chan

    t.a :sport etaient|&7celiei.( a con.entl à pr£ndre ,a di. ,, le Idépi-oae avait aiisMWJrec,uu du nouveau (.abmet , 00' >î.l.i°.a,!rm.,*l fmissioansire depuis le 18 Octobre. combinaison

    rend Le cabinet

    idepi est une

    Les grands raid» \ aériens V

    çais ua messa-

    , . , • .. , "1 wc «""««I csi une comoil ... renversée .t les letôtres des* de socialistes chrétiens et du* , maisons se trouvant près delà mer! Jparli allemill,d opposés aux social- ont été brisées. f) 'démocrates.

    On évalue à 10 morts peut-ètre|r I davantage et a plusieurs ceulaiaes ' de blessés les victimes failes parjp l'ouragan qui a ravagé l'Ile de Cutj ba aujourJ'hui. Huit personnes^: - ■■ snft_ïcihVfr-nr7i ont elé tuées par l'ébouleinenl d'uH ;J^tff^mn, Aîïïff re maison à Lavano, petite ville! ' ,Jl'p- D aPrè« ' dans la province ue la Havane.Ou craint qu'un gtViad nombre de per sonnes n'aient été uoyées Les schoorers Maria Merci lès, Maria del Carmen, Koriquela Crisslida ont coulé. Les paquebots cubaius Laie et Puerto Tsrsfa ont aussi fait sseJrage. Le navire fraudais « tirant » et un paquebot de la Ksi lodian Uia out subi des ava- ries importantes. .^Jm

    MI\V1I( Kloride ) — Laissant derrière lui des rues pleiues de pa près et des maisons inondées, l'ou ra^an qui a ravagé l'Ile de Cuba feudant toute la journée a atteint

    tle de Key West ce soir. Tandis que le vent à la lin de la tempête! souillait encore à une vitesse del ♦J à .'»0 milles. La partie qui al frappé Key West avait uue vélocité! de 80 milles, l'ouragan a reuversé] des arbres et causé d'autres dé-] gats.Toutefois tout permettait d es' pérer que la tempête ne s'abadraitl pas sur l'Ile avec toute sa force, mais que le centre passerait dans! une direction nord'esl au-dessus| des Iles de Uiiliamn.

    Un manifeste} 3 international de financiers}

    be reçu a Madrid aujourd'hui, M. |0untû llraga, aviateur brésilien qui ellectue uu VJI de Gènes à San

    (tos(Brésil ), est arrivé à Las l'ai- mas dans les [lai Canari.s.M. Bia 'ga continuera son vol demain pour atteindre les Iles du Cap Vert.

    *Les efforts jinan- j^c£er8 de la Bel*

    ,:*^,l'ar câble français . BRUXEL! ES-si. Praseoljcni

    j nis'.re des finances et M. t-'rank, ' gouverneur de la banque de Helgi

    que accompagnés de MM. Guttel. I Li.iden, sout partis pour Londres I ou ils signeront un emprunt de :i0

    :™mi Honi d; dollars récemment né gocié par le gouvernement belge.

    A propos du ma" nifesie internatio- nal des financiers £ _r„Par cible Irançais fcPAms — Mr Bolcanowski, minis

    ire du commeice. a re^u les repré sentants des industries françaises r : .an t. Il sullit de l'appliquer, sana frotter, I" ur ao rendre compte de *»j propriétés cura- ti\ • J. Ua iiiuscl.« se tonifient et laissent de faire m.. , et I on aei.t im.l.iin-*;rc eéiiéral. Acheté» ui^ Oteon à la pharmacie la plua prochaine.

    "%Liniment _ « Anéanfit Tou!e Douteur

    Les EtatsmUnis et le Canada

    WASUINOTON— Le Préaident Goo lidge ne voit actuellement aucune raison pour envoyer un ministre des Ktats Unis à Ottawa lorsque le t'.anada en>erra un ministre ca nadien à Washington.Eu tout état de cause, M.


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