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PETIT GUIDE DU ZICOS 1D CONSEILS SUR LA PROMOTION DES ARTISTES MUSICAUX INDEPENDANTS FRANCAIS

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PETIT GUIDEDU ZICOS 1D

CONSEILS SUR LA PROMOTION DES ARTISTES MUSICAUX INDEPENDANTS FRANCAIS

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INTRODUCTION P1

ETAT DES LIEUX DE LA MUSIQUE INDEPENDANTE P2

FAIRE VOTRE BILAN P5

DEFINIR VOS OBJECTIFS P8

DEFINIR VOTRE PROJET ET VOS MOYENS P11

DEFINIR VOS CIBLES : FANS, PRODUCTEURS, PRESTATAIRES P14

TOUS VOS OUTILS DE PROMOTION MUSICALE P17

UN ALBUM OU UN SINGLE ? P18

COMMENT DISTRIBUER VOTRE MUSIQUE ? P20

COMMENT FAIRE UN BON DOSSIER DE PRESSE ? P22

VOTRE PRESENCE SUR LE WEB P24

VOTRE SITE WEB P26

LE REFERENCEMENT DE VOTRE SITE WEB P30

E-MAILING P32

LES RESEAUX SOCIAUX P34

COMMENT UTILISER LE MOBILE DANS VOTRE PROMOTION ? P36

LEXIQUE DU WEB MUSICAL P39

SOMMAIRE

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INTRODUCTION

Pendant que le web est pointé du doigt comme ennemi numéro un dumonde musical, ses utilisateurs développent, chaque jour, une multitude

d’outils, d’astuces et de techniques pour permettre aux musiciens de réussirleur carrière plus qu’ils n’oseraient l’imaginer.

Et ce, par eux-mêmes...

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Le développement des artistes 1DAvec Internet et ses outils promotionnels, les musiciens indépendants peuvent non seulement contacter des millions degens dans le monde entier, mais ils ont surtout l’opportunité de générer de nombreux pro ts, en raison des moindrescoûts sur les dépenses de production et de distribution. C’est l’avantage principal d’Internet dont il aut absolument tirerpro t en tant que musicien indépendant.

Mais malheureusement, malgré cette possibilité, de nombreux musiciens indépendants n’arrivent pas à percer etrencontrent de multiples obstacles pour promouvoir leurs musiques et aire rémunérer leur travail.

Tout simplement parce que la majeure partie d’entre eux ont tendance à agir et à penser comme des artistes d’abordet comme des pro essionnels ensuite. Que vous l’acceptiez ou non, avec cette optique vous n’avez aucune chance deréussir

Á l’heure actuelle, certains musiciens indépendants gèrent leurs carrières eux-mêmes grâce à l’in ormation qu’ils ontpu saisir et aux moyens o erts par Internet. Ainsi, ils se trouvent dans des situations très con ortables; ils vivent de leursmusiques et ils raisonnent avant toute chose en pro essionnels

Ces artistes indépendants savent pertinemment que comme dans n’importe quel business en ligne, pour avoir desclients il aut générer du tra c et pour obtenir du tra c il aut de la promotion. Autrement dit, pas de promotion = pas deventes. Le tra c représente tout les gens qui ont l’ occasion de voir ce que vous avez à o rir, plus il ya des personnes quivoient vos produits plus il ya des chances qu’il les achètent .

Une musique indépendante et libreLa musique indépendante et Libre devient une réalité sur le Web. Depuis plusieurs années, emmené récemment par lesCreatives Commons, un large mouvement redé nit les contours de ce que sera la place des musiciens indépendantsdans le monde de la musique en ligne.

Du coup, il serait bon d’essayer (je dis bien essayer) de tirer quelques « pré-requis » pour mieux évoluer dans la musiqueen ligne. Ces « pré-requis » permettront au musicien indépendant de mieux appréhender et argumenter sa propreré exion. Certains de ces « pré-requis » sont évidents. D’autres moins.

Il s’agit donc d’une observation du réel. Des besoins et rustrations que peut rencontrer aujourd’hui un musicienindépendant qui se penche sur Internet et les réseaux mobiles pour aire découvrir sa musique. L’ensemble n’est pasexhausti et devra être amélioré

C’est quoi être un artiste en 2010? C’est quoi une maison de disques en 2010 ? Une maison de musique ? Une maisonde musique enregistrée ? Comment dé nir et travailler le music marketing online dans un environnement en constanteévolution ?

« Et la musique alors ? » me direz vous. Bien sûr, la musique est à la base de tout. Elle doit être bonne, et l’artiste doitpouvoir proposer une musique que quelque part, quelqu’un aura envie d’écouter.

I N T R O D U C T I O N

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ETAT DES LIEUX

DE LAMUSIQUEINDEPENDANTE

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1 - Il y a groupe et groupe

Déjà, il aut que tu comprennes que tout le monde ne peut pas être une vedette interplanétaire pétée de thune. Même situ as un blog et un compte twitter. A la limite une partie de la planète peut se outre de ta gueule un jour parce que tonmeilleur pote aura posté des vidéos de toi en train de vomir mais c’est tout. Donc il y a la zone des stars, le top du top.

Très enviée mais nalement très peu habitée.Mais il y a aussi la zone vive, c’est là que le zicos peut vivre de sa musique, plus ou moins bien. Très enviée aussi une oisqu’on s’est bien cassé les dents à essayer de rentrer dans la zone des stars.

Et en n, il y a la zone d’ombre avec dedans des groupes qui galèrent et qui veulent atteindre la zone vive ou la zone desstars. Une zone pas enviée du tout puisque c’est là que t’arrives quand tu démarres. Un peu comme un type à qui onre lerait un petite cahute dans les avelas de Sao Paulo quand il ait une demande de logement. Oui merci mais non. Etdans cette zone, il y a des purs groupes. Et aussi des sacrés merdes. Tout mélangé.

Maintenant il aut que tu saches un truc. Ca a vachement changé depuis 10, 15 ans la manière dont on passe d’une zoneà une autre. Comme tu n’aimes pas les grands discours je te ais un dessin. En n deux.

Allez même toi tu as compris qu’enregistrer un album ça ne veut rien dire aujourd’hui.

2 - Etre un artiste indépendant aujourd’hui, c’est plus acile ouplus compliqué ?

C’est vrai ça. On entend un peu tout et son contraire. Entre la chute interminable des ventes du disque, le live qui doitsauver l’industrie mais qui commence à se casser la gueule aussi c’est dur de s’y retrouver. On t’a dit aussi qu’avec internetles ans peuvent te trouver partout, tout le temps; et twitter c’est génial même si personne ne sait à quoi ça sert.

Hum oui en n par exemple, le live c’est bien mais encore aut-il pouvoir jouer. Parce que c’est devenu compliqué pour unartiste qui débute. Mais c’est quoi un artiste qui débute? Dans les médias traditionnels c’est un artiste qui a entre 5000 et10000 ans, qui joue où il veut mais dans des petites salles, qui a accès à des radios mais des petites.

Bre c’est un artiste qui est déjà passé dans la zone vive. Il n’atteindra peut-être jamais la zone des super stars et n’aura jamais la chance de mourir étou é dans son vomi mais on peut très bien vivre de sa musique sans ça. Et il y a beaucoupd’artistes qui ne souhaitent pas aire partie du star system, qui s’en portent très bien comme ça.

3 - Mais on est où là?

Mais la zone d’ombre alors. C’est quoi en ait ? C’est simple : tu démarres et toute le monde s’en out. Ou tu as démarré il ya dix ans et tout le monde s’en out toujours. Tu sais pas ou plus par quoi (re)commencer. Tu sais qu’il te aut un label. Oupas. Les managers c’est des nazes on t’a dit, alors t’en prend un ou pas ?

E T A T D E S L I E U X

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FAIRE

VOTRE BILAN

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U DMA GNI B HE X

Création du groupe :Oui tu le sais quand tu as été créé.Mais as-tu bien ré échi au ait que 3 semaines d’existence ou 12ans c’est juste un peu di érent.

Et c’est bien, pas bien ?On s’en out, c’est comme ça c’est tout.Si t’as une semaine d’existence « raicheur ».12 ans que tu tournes et que t’as toujours pas percé, hum, pasgrave t’as de l’expérience !

Y-a qui dans le groupe ?Oui si tu es un avec des musiciens accompagnateurs, c’est paspareil que si vous êtes 7 adolescents alcooliques et boutonneux.Pour le partage de maille, c’est important aussi.

Nombre de concerts et de villes oùtu as joué ?Etre un groupe de live c’est pas que des mots !

Plus gros concert ?Plus gros en terme de public pas en terme de nombre de canettespicolées !

Nombres d’albums ?Oui c’est très 20ième siècle comme question...

Nombres de chansons ?T’en as 5 sous le coude ou t’en écris 5 par semaine ?

Style musical ?Peut-être la question la plus chiante et la plus difcile. Mais il autque tu saches. C’est primordial. Si tu ne sais pas, on en reparlera.

Description Comment as-tu envie de décrire ton groupe, ta musique, ce quetu ais?Si tu ne trouves pas une description quelqu’un le era a ta place.Et ça risque de moins te plaire.

ADAMI, SPEDIDAM ? Qui est inscrit ou dans le groupe ? Tu sais pas ?

SACEM ou pas SACEMVous y êtes à la SACEM ? Oui, non ? Vous savez pourquoi ? Voussavez ce que ça veut dire ?

EditeurT’en as un ? T’as signé un contrat de pré érence avec lui ?Pour quelle durée, quelle périmètre ?Es-tu un peu libre ou pas du tout ?

LabelT’en as un ? T’as un label ? C’est super. T’en es content ? C’estencore plus super.Quel type de contrat ? C’est un contrat d’artiste, de licence dedistribution ? Tu comprends rien ?Alors tu reviendras lire le pur article sur les labels.

Tourneur/bookerT’en as un ? C’est important d’avoir un booker par les temps quicourent.Si t’as un tourneur, as-tu signé avec lui une exclusivité pour la terreentière alors qu’il ofcie essentiellement en terre malgache ?

Attaché de presseT’en as ou pas ?Comment tu deales avec?T’es en direct ? C’est ton label ? Tu sais pas ?

Ingé Son C’est toujours le même? Il prend des sous tout le temps ou il estcomme le 5ième Beatles?Y-en a un? Y-en n’a pas?

Manager On sait plus trop à quoi ça sert mais justement ça pourrait servir.Vous en avez un? C’est un an, un pro?

Coach La di érence entre le Coach et le Manager? P j’en sais rien. Maisest-ce qu’il y a quelqu’un qui vous regarde sur scène et qui vouscritique?

Ta présence numériqueMySpace c’est un peu comme les knacki ball. Personne n’aime çamais tu mets une boite 10 secondes après, y-a en plus.MySpace tout le monde trouve ça nul mais jusqu’à preuve ducontraire il en aut un.Sur combien de sites es-tu présent ?Es-tu content d’être visible partout et vu nulle part ?As-tu ton site à toi ?As-tu les login et pwd de toutes tes sites à toi ?Oui voilà parce qu’un site à toi que tu maitrises pas c’est un site àtoi qu’est à quelqu’un d’autre en ait.

As-tu des videos, des clips ?

Oui c’est bien de le savoir quand même. Ca pose son homme.

Passages Radio, TéléT’es passé 1 ois sur radio courtoisie lors d’un débat sur lesatanisme dans le trash death metal rigoriste ? Ou alors une oist’as été à M6 ? En n tu vois quoi…

1 – Pose toi ces questions :

F A I R E V O T R E B I L A N

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DEFINIR

VOS OBJECTIFS

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DE F I NI R V O S O B J E C T I F S

DEBRIEFINGOK, grâce au bilan de ton groupe tu as un truc que 49000 groupes

sur 50000 n’ont pas: tu sais à peu près où tu es.

Mais sais-tu où tu vas?Bah oui, c’est con ça mais quand je demande à un groupe où il sevoit dans deux ans, au mieux il y a un silence un petit peu gênantau pire l’un des musiciens lâche “ben dans deux ans je sais pas où je serai mais c’est sûr que je serai plus dans ce groupe là” pendantque le timide ose du ond de la pièce “heu moi je jouerai avec eux

jusqu’à ma mort”.

Ah ben ça promet les gars.

Dans 2 ans tu te vois où ?Question ouverte mais qui en amène pas mal d’autres.

Tu te vois toujours sur le même projet ?

Et tes musiciens ?Ils se voient au même endroit? Avant de partir à la guerre, véri eque ton armée te suit.

Live Ton rêve c’est de jouer dans des salles de quoi 100 ? 500 ? 50 000personnes ?Tu veux jouer tous les jours ou plutôt une ois de temps en temps ?

Enregistrement Ton truc c’est sortir un album en deux ans ?

Sortir 10 albums ?

Sortir chanson par chanson ?

EncadrementTu veux absolument un label comme ça tu t’occupes de rien ?

Tu n’as qu’un mot à la bouche : Indépendance ?

Statut Tu veux absolument vivre de ta musique ou c’est un rêve ou tut’en ous ou nalement, amateur ça te va bien ?

PromotionTout le monde ne rêve pas de jouer au stade de France ni de passersur TF1. Et c’est bien. Mais justement toi, typiquement, tu voudraispasser en couv’ des inrocks ? Chez Drucker? Tu t’en ous ?

Edition

Finalement si t’arrives pas à jouer sur scène mais que t’arrives àécrire des chansons et à les vendre et à en vivre, ça ira bien ?

Musique sur le net ? Tu veux o rir ta musique ? La vendre ? Les deux mon général ?

Ventes ? Téléchargements ?

Important de vendre beaucoup pour toi ? Tu as des chi res entête ?

Musique en dehors du net ? Hors de question de vendre des CD ou des vinyls c’est dépassé ?

Ou ça reste important pour toi de vendre des objets physiques ?

Limites ? Pour atteindre ton but, tu as des limites ? Pas de pub ? Pas de TV ?Pas de reprise ? Pas de mariages?

En résumé : gardez le ocus !Le meilleur moyen pour y arriver, c’est d’avoir des objecti s clairs

et précis qui eront avancer signi cativement votre carrière.

Vous pouvez par exemple vous xer des objecti s comme : 50personnes abonnés sur votre liste d’envoi d’ici Noël ou encore,

aire un minimum de 10 shows en juillet, etc. Pour prendre del’assurance, il n’y a rien de mieux que d’atteindre ses objecti s.

Soyez réalistes, par contre!

Il aut quelques années avant de aire la couverture du magazine“Rolling Stone” et avoir le privilège de détruire des chambres

d’hôtels.

F A I R E V O T R E B I L A N

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DEFINIR

VOTRE PROJETET VOS MOYENS

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DE F I N

I R V O S M OY E N S

Bon ok vous savez ou vous en êtes, vous savez où vous voulezaller. Cool. Royal. Enorme. Let’s go ! Oui mais comment on y va ?

1 - Le marketing c’est mal ! Non !Ce guide est là justement pour tenter de réconcilier artistes etmarketing musical. Parce qu’il y a marketing et marketing et quesi les groupes se réapproprient la communication autour de leurchansons, bien ou mal au moins ça viendra d’eux. « Oui mais nonle marketing c’est mal ! »

Bien alors ouvrons notre esprit :

Alors je vais te poser une question, une seule:

Est-ce que tu as mis ta musique à disposition de qui que ce soitoù que ce soit (MySpace, CD même gravé, concert) ? Oui ? C’estdu marketing !

Tu as mis ton produit à disposition du consommateur.

Tu n’aimes pas entendre parler de produit et de consommateur?

Moi non plus.Maintenant si tu ne veux absolument pas que quiconquepuisse mettre le terme marketing à côté de ta musique: Tu virestes myspace, tu pilonnes tes Cd et tu vas jouer dans ta cave ettu oublies tes rêves de grandeur. Parce que VOULOIR jouer samusique devant des gens C’EST du marketing.

Bon bien ceci étant ait, je propose aux deux groupes qui sontrestés de continuer.

2 – Lister vos moyens actuels :Tout d’abord, vous ne pouvez pas vous lancer dans la moindreaction marketing, même la plus petite, sans dé nir au préalablevos objecti s.

Je ne vous parle pas d’un business plan sur 5 ans mais juste quevous dé nissiez les résultats que vous attendez de votre action.

Quel est l’objecti derrière votre action ?

Améliorer votre présence online ? OK, mais pourquoi? Destournées, être signé ?

Vous voulez vendre, mais combien ?

Pourquoi êtes-vous sur Twitter ? Qu’est ce que vous en attendez ?

On assiste en ce moment à une pléthore d’actions dans l’industriede la musique. Mais au nal, pour quel résultat ? Est-ce que le

temps passé dessus n’est pas plus important que les résultatsnaux de l’action ?

La plupart des gens rustrés par leurs résultats online ont souventcon ondu tactiques et stratégie. C’est-à-dire qu’ils ont privilégiéles actions avant de dé nir le pourquoi cette action.

3 - Combien coûte l’auto-production ?Voici une des premières questions que se posent les artistesavant de se lancer dans l’autoproduction. Il n’existe pourtant pasde budget type. En onction du projet et des objecti s, chaqueartiste aura à aire ace à des situations di érentes. On peut

néanmoins établir une première estimation basée sur les tari s etles cas de gure les plus courants.

Les diférents postesS’autoproduire, c’est diriger et nancer la production d’un disque.Trois phases principales sont à prévoir. : L’enregistrement, le pré-mastering et la abrication.

L’enregistrement

Si vous décidez d’enregistrer votre disque dans un studiopro essionnel avec ingénieur du son, il audra compter environ250 € par jour d’enregistrement. On estime qu’un jour de studiocorrespond à un morceau enregistré. Il audra également rajouter2 ou 3 heures supplémentaires par titre pour le mixage. Certainsstudios proposent des or aits plus intéressants de plusieurs jours.

Le pré-mastering Etape indispensable de la production, le pré-mastering consisteà donner vie à vos morceaux en leur appliquant une série d’e ets.Cette prestation est généralement acturée à l’heure. Comptez enmoyenne une centaine d’euros par morceau avec possibilité de

or aits.

La fabrication La abrication de 500 CD standards comprenant : réalisationdes lms, boîtier cristal, livret et jaquette couleur, CD couleur,cellophane et livraison) vous coûtera environ 900 euros.

En n comptez toujours environ 10% du montant global pouranticiper les rais divers (déplacements, consommables…) etvous laisser une marge de manoeuvre.

Exemple :

Pour un CD 6 titres

- Enregistrement studio : 2000 €

- Pré-mastering : 600 €

- Fabrication : 900 €

- Frais divers : 370 €

Soit un total d’environ : 3870 €

Si vous vendez votre CD 10 € en concert, il vous audra envendre environ 390 pour rentabiliser votre projet. A noter que cebudget ne tient pas compte des rais de création graphique et depromotion du disque.

Comme nous l’avons vu, en vendant 390 CD vous rentabilisezla production et la abrication. Cela vous permet aussi de testerle disque. Vous avez ensuite la possibilité de aire un retiragede 500 CD pour environ 750 € et vous dégager une marge bienplus intéressante (plus de 5000 €). Or vendre 500, 1000 CD etmême davantage, est pour un artiste indépendant un objecti totalement réalisable.

F A I R E V O T R E B I L A N

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DE F I NI R V O S O B J E C T I F S

4 – Dé nir votre budget :

3 critères donc dans un projet :• le projet en lui-même (dans notre cas là où vous voulez aller),

• le temps (si tu veux construire une fusée en une nuit c’estpossible mais c’est dur)

• l’argent/les moyens : rien ne sert de s’emballer dans des actionsde ou si le budget ne suit pas

Combien donneras-tu pour atteindre ton objecti ?

Combien tu es prêt à y consacrer ? En temps, en argent.

Pas la peine de commencer à se mentir, ça viendra bien asseztôt.

Si tu ne peux y mettre que 500 euros par an, pas la peine de tablersur 3000.

Si tu sais que tu n’iras jamais sur Twitter parce que le principe teait vomir, pas la peine de l’inclure (même si c’est une erreur bien

sûr).

On se lance dans l’autoproduction comme on crée une entreprise.Dans les deux cas, il y a un impérati de résultats. On ré échitaux di érentes étapes, on se xe des objecti s, on établit unplanning... Comme pour une entreprise le budget prévisionnel(recettes/dépenses) est au centre du projet.

Savoir où l’on va

L’autoproduction est un projet à long terme. Il aut se mettred’accord avec le groupe, répéter, enregistrer, aire abriquer desdisques, assurer la promotion, vendre par divers moyens… Toutceci se plani e. Sous-estimer une dépense et c’est tout le projetqui peut s’écrouler. Beaucoup de groupes se séparent lors de lapremière autoproduction. Une erreur de prévision et le retards’accumule, la con ance s’e rite, le moral baisse… Pour abordersereinement un projet aussi lourd, le budget prévisionnel estdonc indispensable.

Etre convaincantPlus que pour se convaincre soi-même, le budget prévisionnel

sert à démontrer la viabilité de son projet. Vous serez en e etplus acilement pris au sérieux si vous êtes capable d’expliqueret de projeter dans le temps vos démarches et les moyens de les

nancer. Pour votre groupe ou vos musiciens, c’est un moyen dese réunir autour d’un projet et d’aller dans le même sens. Pourvotre amille et vos proches, c’est donner un élément de pluspour qu’ils vous soutiennent et croient en vous. En n le budgetprévisionnel est aussi un élément déterminant pour négocieravec les pros : managers, agents, distributeurs… qui apprécierontvotre pro essionnalisme et votre lucidité.

AnticiperSi le budget est “ prévisionnel “ c’est qu’il peut évoluer. Voilàpourquoi il aut aussi tenir un en parallèle des “ comptes réels “. Encomparant les deux vous serez en mesure d’analyser rapidementla situation et de prendre les décisions qui s’imposent. Unedépense supérieure à vos prévisions et l’objecti des ventesdoit être revu à la hausse, une dépense in érieure et on peutaugmenter le budget promo…

Tenir un budget prévisionnel est donc la base de tout projetd’autoproduction. Rappelez-vous que l’objecti reste de aire dela musique, pas de passer des heures à recompter ses actures.Alors appuyez-vous sur votre budget prévisionnel et passezdirectement à la suite.

Qui gagne quoi ?Partons d’un album CD mis en vente dans un magasin. Son prixs’élève à environ 17 € prix public. Si on retire la TVA (19,6%) onarrive à 13,67 €.

Le magasin prend une marge d’environ 35%. Le prix de grosH.T. est donc de 8,88 €. Si vous êtes autoproduit et que vous

onctionnez en dépôt-vente, c’est ce qui vous revient.

Si par contre vous passez par un distributeur, celui-ci prendraune commission de 40%. En tant que producteur vous toucherezdonc 5,33 € par disque vendu.

Dans les deux cas (dépôt-vente et contrat de distribution) ce sera

à vous de nancer les actions de promotion. Si vous travaillezavec un label qui s’occupe de la abrication et de la promotion(contrat de licence), vous toucherez 15 à 20 % du prix de gros H.T.soit environ 1,78 € par disque vendu.

En n en tant qu’interprète (contrat d’artiste), vous toucherezmoins de 8% du prix de gros H.T., soit 0,71€ par disque vendu,que le producteur vous versera.

Récapitulons : si vous vendez 1000 CD à un prix de

vente magasin de 17 €, vous toucherez :- En dépôt-vente : 1000 x 8,88 soit 8880 €

- En contrat de distribution : 1000 x 5,33 € soit 5330 €

- En contrat de licence : 1000 x 1,78 soit 1780 €

- En contrat d’artiste : 1000 x 0,71 soit 710 €

Ces valeurs sont basées sur une moyenne, et varient en onctiondes contrats et du type de disque.

Vous l’aurez constaté, nancièrement parlant un artisteindépendant a plus intérêt à limiter le nombre d’intermédiaires.Mais dans ce cas la charge de travail et d’investissementsaugmente aussi. C’est donc un choix à aire en onction de sescapacités et de ses objecti s.

D E F I N I R V O S M O Y E N S

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DEFINIR

VOS CIBLES :

FANS, PRODUCTEURS,PRESTATAIRES

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DE F I N

I R V O S M OY E N S

1 - Liste ton réseau :Fais une liste, demande toi ce que tu peux leur demander, ce quetu serais prêt à leur apporter en retour et appelle les, vas les voir.

Les gens adorent qu’on les sollicite pour leur qualité, ils adorent ça.

Ton RéseauProduction, studio d’enregistrement

Ingé son, lumière, rodies

Journalistes? radio, tele, presse

Label, attaché de presse ?

Editeur

Tourneur, salles de spectacles, estivals, programmateur

Blogueur, webzine

Institutionnels, mairie

Tremplin, concours, bourses

Web : développeur, graphiste

Réalisateur

Coach, Manager, superviseur

Reste un aspect qui mérite un chapitre entier. les groupes.Tes amis les groupes. Tu ne les croises nalement que sur desconcerts, entre deux bières ou chacun complimente l’autre surson set alors qu’il est tellement centré sur son propre show avantou après un concert que l’échange est biaisé. C’est cool aussi

remarque.

2 - Identi er votre cible :Comment pensez-vous vendre votre musique si vous ne savezpas qui est prêt à l’acheter ?

Vous avez peut être des centaines de contacts dans votre « Fan List» mais combien sont réellement prêts à acheter votre musique ?

N’oubliez pas d’interroger votre public à chaque occasion, sur leweb ou en ace à ace après un concert : Sont-ils prêts à venir àvos nouveaux concert, savent-ils où acheter vos albums, combien

de an avez vous par région?...Il aut apprendre à connaître ses ans et ses uturs ans.

Savoir où ils sortent, ce qu’ils lisent, ce qu’ils écoutent. Il sera alorsplus acile pour vous de les rejoindre, grâce à une promotion plusciblé.

Maintenant que vous avez une bonne idée de qui sont vos ans...Qu’est-ce qui leurs eraient plaisir? Mettez-vous à leur place,pensez comme eux et aîtes-le, aîtes-vous plaisir.

Voici un vieux concept de marketing, qui a déjà ait ses preuves :on ne vend pas un produit, on vend un événement, une relationou même une émotion. Soyez inspirés, ne aîtes pas que vendrevotre musique.

3 - Appro ondir la proximité avecvotre publicLa proximité, entre vous et votre public, est largement acilitéeaujourd’hui par Internet et l’ensemble des réseaux xes etmobiles.

Votre objecti est de développer votre potentiel à réunir autourde vous des personnes qui vont aimer votre musique.

4 - Se rapprocher des communautés.Seul, un musicien indépendant ne peut di user efcacement samusique. Le relais par une communauté est donc ondamental.Le mieux est de créer sa propre communauté, mais cela n’estpas chose simple. D’autant plus qu’il commence à exister denombreuses communautés. Autant en pro ter. Là aussi laproximité fan/artistes sera essentielle.

5- Reconnaissez les prioritésLa meilleure manière de communiquer ne consiste pas à parleruniquement mais surtout à écouter.

Bien entendu, vous envoyez souvent des emails d’in ormations,de promotions à vos ans ou encore des mises à jour sur Facebook et Myspace…

Mais suivent-ils votre actualité, sont-ils intéressés par vosactualités, vous ont-ils du buzz… ?

Les conseils :• Préoccupez vous de leurs commentaires sur votre site web etvos sites sociaux. Prenez le temps d’écouter ce qui se dit.

• Encourager vos contacts à commenter vos « posts » et vosemails.

• Essayez de faire ressortir la valeur de leurs suggestions etadaptez-la au mieux.

• Inscrivez vous au service « Google Alertes » pour recevoir les

alertes sur le nom de votre groupe• Publiez également un formulaire de contact sur votre site web.Mais n’oubliez pas de répondre dans la mesure du possible àchaque commentaire d’un de vos ans

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6 - Détermines ce que réclament tesans, puis donnes le leur

La cle ici n’est pas de changer votre image et votre stylepour plaire. La meilleure des choses à aire est de présenterdi éremment vos créations a n qu’elles s’accordent avec lesenvies actuelles du public.

Pour être clair, si vous écrivez des morceaux de slam, observez

ce que les « slameurs » à succès o rent à leurs ans (thèmes dechansons, ambiance scénique, téléchargement gratuit, goodies…)et appliquez le avec votre propre touche et vos moyens.

Internet a bouleversé la promotion de la musique, mais ce n’estpas non plus une raison penser que votre présence sur le web àobligatoirement une chance de onctionner. De ait, la vitrine laplus adéquate pour vendre votre musique est votre site web oules réseaux sociaux dont vous aites partis. Toute ois, souvenez-vous, ce n’est pas parce que quelque chose se ait aisément, quecela est efcace.

Vous devez regarder les résultats de chacune de vos actions depromotion, les comparer entre eux, de sorte à distinguer si lesmoyens (mailing, annonces gratuites sur les sites de concert,réseaux sociaux…) sont efcaces par rapport au temps que vousleurs avez consacrés.

7– Convaincre les organisateurs :Si vous ne travaillez pas avec un tourneur ou un booker, c’est àvous de démarcher les salles pour trouver des dates.

La première phase consiste à bien identi er les endroits quipourraient vous accueillir. Renseignez-vous notamment sur lestyle de musique qui y est joué habituellement, sur la taille dela scène, sur la capacité d’accueil (si c’est votre premier concert,

une salle de 1000 personnes sera difcile à remplir). Une ois quevous avez bien ciblé les endroits où vous pourriez jouer, entamezla phase 2 : le démarchage.

La personne qui vous dira oui ou non est le programmateur. C’estdonc lui qu’il aut convaincre. Si vous pensiez envoyer simplementvotre CD en espérant que votre talent vous ouvrira les portes dessalles, et bien vous avez tout aux ...

Les programmateurs ne cherchent pas des génies artistiques, ouun groupe qui a de l’avenir. Ce qu’ils veulent c’est remplir leur salleet gagner de l’argent ! C’est donc là-dessus qu’il aut insister.

C’est à vous de aire venir le public, pas à la salle. Même sicertaines ont des partenariats avec les agendas culturels locaux

ou disposent d’une mailing-list, vous devez assumer la promotionde l’événement. Pour aire venir du monde, appuyez-vous survotre propre mailing-list. Vos ans seront les premiers à répondreprésents. Pour la promotion, prévoyez à l’avance quelles actionsvous allez entreprendre (annonces sur des sites spécialisés oudans la presse, afchage, tractage, etc.). Préparez alors un planpromotionnel que vous communiquerez à la salle.

Essayez toujours de rencontrer le programmateur avant toutenvoi. Si ce n’est pas possible, appelez la salle avant pourconnaître les démarches à suivre. Elles ont toutes des manièresdi érentes de procéder. Une ois bien renseigné, envoyez votrekit promo et votre che technique. Accompagnez-les toujoursd’un courrier qui vous présente brièvement et qui indiqueclairement votre objecti : vous aire programmer. Terminez parle plan promotionnel. Ne surestimez pas le nombre de personnesqui seront éventuellement présentes, vous pourriez vous grillerpour vos prochaines dates. Les programmateurs se connaissententre eux et s’échangent des in ormations. Par contre en cas debonne surprise, vous aurez plus d’opportunités pour la suite.En n si vous avez déjà rempli des salles similaires, précisez-le,

cela rassurera d’autant plus le programmateur. Rappelez deuxsemaines plus tard pour connaître sa décision, cela prouveravotre motivation et votre sérieux.

Si vous démontrez que vous allez remplir la salle, vous aveztoutes les chances de vous aire programmer. Pensez-y avantde démarcher, vous éviterez ainsi des re us et des courriers sansréponses.

8 – Quels sont les attentes desproducteurs et des labels ?Se aire signer c’est avant tout convaincre une maison de disquesd’investir sur vous. C’est le Directeur Artistique qui sert de « ltre »et qui vous juge. Pour être sûr de son choix, il doit se poser, entreautres, les questions suivantes :

Est-ce que cet artiste …

… a du talent ?Cela peut paraître évident mais c’est bien votre talent qui era ladi érence. Peut-être que vous en avez, peut-être pas. Il est difcilede s’auto-juger, on manque souvent de recul et d’objectivité. Avez-vous ait écouter votre musique à un maximum de personnes,autres que vos amis ou votre amille ? Leur avez-vous demandéobjectivement ce qu’ils en pensaient ? Quelque soit votre style demusique, allez questionner des amateurs avertis, vous obtiendrezalors plus de réponses sur votre véritable talent.

… a créé du buzz ?Que l’on parle un maximum de vous, voilà l’objecti . Les maisonsde disques s’intéressent d’abord à ceux dont le nom circule déjà.Pour cela, l’accent doit être mis sur la promotion. A la sortie dudisque aites le chroniquer dans la presse spécialisée, donnez desinterviews dans des radios indépendantes, annoncez vos concertsdans les agendas régionaux, etc. Avoir du buzz c’est aussi pouvoirdire j’ai « tant » de ans qui aiment ma musique. Alors pendant vosconcerts ou sur votre site, enregistrez un maximum de personnessur votre mailing-list.

... est à l’aise en concert ?Tournez ! Tournez ! Tournez ! C’est le meilleur conseil qu’on peutdonner à un artiste indépendant. Votre dynamisme à tourner,votre aisance sur scène et le ait de remplir les salles danslesquelles vous jouez vous permettront sans aucun doute dedécrocher une signature. Les concerts sont les meilleurs endroitspour aire ses preuves, créer du buzz et vendre des disques.

… a déjà vendu des disques ?Vendre des disques ce n’est pas seulement rembourserl’enregistrement. C’est aussi une açon de dire aux autres, etdonc aux maisons de disques : « Vous voyez, à moi tout seul j’aivendu x disques, alors imaginez si j’étais signé … ». On ne signeque très rarement un artiste qui n’a pas vendu de disques en tantqu’indépendant. Que ce soit en concert, en magasin ou sur votresite, vos ventes de disques re ètent votre potentiel commercial,élément décisi pour une signature.

Bien sûr d’autres éléments entrent en jeu pour une signature(management, image, etc.). Mais si déjà vous ne remplissez pasces 4 critères, vous aurez peu de chances de décrocher un contrat.La crise actuelle du secteur musical orce les maisons de disquesà réduire les risques au maximum. Elles pré èrent donc miser surdes artistes qui ont déjà ait leurs preuves.

Pensez-y avant de les démarcher et posez-vous la question :Est-ce que je remplis ces 4 critères ?

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AND NOW...

TOUS VOS OUTILSDE PROMOTION

MUSICALEALBUM, DISTRIBUTION, DOSSIER DE PRESSE,WEB, MOBILE...

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UN ALBUM

OUUN SINGLE ?

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1 - Sortir un album en 2011 ça seait?

Tu le sais mieux que moi, un album tu peux le abriquer pour troisois rien aujourd’hui.

Comme les livres à compte d’auteur. T’enregistres dans ta cave, tuais graver, chez ton presseur local pré éré qui même s’il est plus

cher que sur le web , t’apportera des conseils, des contacts, etsera à côté en cas d’un problème de production.

Tu l’as compris , aire un album sans savoir qu’en aire ça ne sertpas à grand-chose. !

Sau que selon que tu asses un album ou que tu enregistres 12singles, la suite sera di érente. Ca ne se conçoit pas pareil, ne seproduit pas pareil et ne se vend pas pareil.

Et avant de vendre, donner ou promouvoir il aut déjà enregistrer,mixer en n produire quoi.

2 - Comment choisir entre album etsingle?Un album, c’est long et compliqué à concevoir, réserver,enregistrer, mixer, designer mais tu le sors une ois, tu mets toutestes orces au même moment. Mais entre les deux ben, entre lesdeux, si tu t’appelles pas Benabar ou Radiohead tout le mondes’en out !

Le single c’est rapide, dense, en ligne tout de suite ou presqueet tu peux occuper le terrain toute l’année. Par contre à chaquesingle il aut remettre la mécanique de production et promotionen route. C’est donc globalement plus de travail. Eh oui, du travail,encore du travail…

C’est donc un choix que tu dois aire selon ton réseau, tes envies,tes moyens. Globalement la tendance est quand même auxsingles et à l’occupation du terrain permanente (ça ait rêverhein). Et rien ne t’empêche de sortir un co ret plus tard, ou deregrouper tous tes singles pour en aire un bel album.

Gardes en tête, que l’achat d’un album se ait souvent après unepremière écoute.

Le principe : Écouter, Aimer, Acheter. Pourtant, on achète un livreavant de l’avoir lu. On paye pour un lm au cinéma après n’avoirvu que la bande annonce. On débourse des centaines de dollarspour un show qu’on ne verra que des mois plus tard.

Mais on écoute l’album avant de l’acheter, alors n’hésites pas àdoublez d’originalité.

3 - Utiliser les licences libres plutôtque la SACEM ?Lorsqu’un artiste doit di user sa musique, il doit à tout prix

aciliter cette di usion.

Lorsque vous êtes « déclarés à la SACEM », il aut payer pourpouvoir di user votre musique.

L’artiste qui veut di user sa musique paye, mais celui qui veutdi user la musique de cet artiste paye aussi.

Du coup, c’est un rein important pour la di usion de l’œuvre. Peude gens sont prêts à payer pour di user la musique d’un autre.

Par contre, des licences libres (Creative Commons, Art Libre...)permettent une libre di usion.

Au lieu de soumettre toute exploitation des œuvres àl’autorisation préalable des titulaires de droits, les licences libresvous permettent d’autoriser à l’avance certaines utilisations selonvos propres conditions, et d’en in ormer le public.

Nul besoin de payer, ce qui donne un coup de ouet à la di usionde votre musique.

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1 - Penser « difusion artist to an »plutôt que « distribution »La distribution : modèle qui permet au musicien indépendant deplacer sa musique sur une plate orme Internet où des centainesd’autres musiciens se présentent eux aussi. Mais ce modèle

sou re de se qu’on l’on pourrait nommer « goulot d’étranglement». L’artiste n’est plus visible, car il se trouve noyé dans la masse.

La di usion : le principe n’est pas d’entreposer sur une plate ormeunique ses oeuvres, mais plutôt de les placer sur des structures qui

avoriseront sa di usion. Les blogs et les radio blogs, les podcasts,le P2P, les radios web, etc., sont d’excellentes technologies quipermettent de pratiquer la di usion. Cette di usion est diteprescriptive, car il y a prescription d’un artiste par un an.

Un an aime la musique d’un artiste alors il la place en premièrepage de son site/blog, bien en vue.

Du coup, ceux qui visitent son site et qui ne sont pas là par hasard,ont de grandes chances d’avoir les mêmes afnités que lui.

2 - Privilégier le local pour la promotion:Lorsqu’un artiste indépendant s’attaque à sa promotion, il nesait jamais vraiment par où commencer. Pourtant la manière laplus efcace de aire parler de soi c’est de se concentrer sur sapropre région, autrement dit « le local ».

On est bien plus efcace quand on ne s’occupe que d’une seulechose à la ois. Pour la promotion c’est pareil. La région où voushabitez est la plus accessible pour vous aire un nom. Vousconnaissez bien l’endroit et vous savez mieux que quiconquece qui s’y passe. C’est un atout. Que ce soit pour les salles deconcerts, les magasins de disques, la presse locale, etc., vous avezune longueur d’avance sur les autres. Pro tez-en.

Une ois bien implanté en local, vous pouvez étendre votrepromotion et passer à une autre région en reproduisant le mêmeschéma. Prenons l’exemple des concerts. Si vous remplissezles salles dans lesquelles vous jouez grâce à vos contacts et àvotre mailing-list, vous convaincrez plus acilement des artistesd’autres régions à partager des scènes. Chacun assure une bonnepromotion en local et en pro te pour aire découvrir sa musiqueà un nouveau public.

Au nal vous allez couvrir une zone de plus en plus grande jusqu’àdevenir un artiste « national ». Et à ce moment là, ce sont les labelset les maisons de disques qui s’intéresseront à vous.

3 - Tentez de miser sur l’internationalsi vous avez le temps.Il aut avoir une démarche internationale. C’est un prérequisévident.

La France, c’est 24 millions d’internautes. Le monde, 1 milliard.Les musiciens indépendants peuvent déjà commencer unetraduction anglophone de leurs sites. Et pourquoi pas une versionchinoise (103 millions d’internautes) le plus vite possible.

4 - Favoriser les concerts et le régionalismeLa représentation publique est pour l’artiste un point essentiel.C’est un pré requis évident.

Il aut à tout prix augmenter les concerts. Mais chacun sait quece n’est pas acile. Internet permet une meilleure visibilité pourl’annonce de ses concerts. Les communautés ont là aussi un rôleprimordial à jouer. Et on trouve de plus en plus de communautésrégionales . Il aut donc investir, en temps et en énergie, pouraugmenter sa visibilité dans ce type de communauté

5 - Comment choisir les médias en ligneaidant à la promotion de votre musique ?Il est temps de vous demander quelle est la meilleure option pour

aire la promotion de votre musique en ligne :• Allez-vous envoyer des emails qui informeront vos potentielsclients que vous o rez des prix spéciaux pour votre album etvotre merchandising ?• Avez-vous su samment de fonds pour sponsoriser telle action ?Au-delà du budget, vous devez aussi considérer l’efcacité desméthodes que vous utilisez :

• Pouvez-vous investir les heures d’internet nécessaires pourvotre promotion ?• Souvenez-vous que même la promotion « gratuite » sur le webvous coute du temps. Il aut donc bien choisir les sites web oùcommuniquer pour éviter de perdre son temps

6 - Envoyer des démos pour démarcher ?C’est bien. Mais si la présentation est originale, di érente,ré échie... C’est beaucoup mieux! N’oubliez jamais qu’il auttrouver le moyen de sortir de la pile de CD que les di érentsmédias reçoivent hebdomadairement. Commencez par le début.Avant de viser MTV, courtisez les radios communautaires etuniversitaires. En plus, les auditeurs sont avides de nouveauté

et les animateurs choisissent eux-mêmes le contenu musical deleurs émissions.

7 - Rentabilisez vos concerts.Avoir la chance de monter sur scène, c’est souvent le résultats denombreuses heures de pratique, de cris, de pleurs et de colère. Ilserait intéressant qu’un petit quelque chose vous revienne, non?Parce que vous le valez bien.

Il ne aut pas organiser qu’un simple spectacle, il aut présenterun événement. Préparez des thématiques, programmez votrespectacle en même temps qu’un anniversaire, inventez-vous desconcepts sur scène... Osez. Tout ce que vous risquez, c’est qu’onparle plus de vous et qu’on ne vous oublie pas acilement.Trouvez la bonne salle. Prenez la liste des salles de spectacledans votre quartier et n’hésitez pas à les comparer. Une salle tropgrande est souvent plus chère et peut nuire à l’ambiance votresoirée.

Lorsque vient le temps de « booker » la salle, négociez! Si vousconnaissez la valeur de vos soirées, vous êtes sûrement en mesurede sauver quelques euros.

Que vous soyez chanteur, musicien ou mime, c’est pareil: vendredes produits dérivés c’est du bonus intéressant. Faites-vous dest-shirts, des tasses, des portes-clés, des boxers, des salières/poivrières, peu importe… Amusez-vous !

Restez prendre un verre avec les spectateurs qui vous attendentaprès le spectacle. Ils seront enchantés de aire votre connaissanceet deviendront peut-être, des ans inconditionnels.

Faîtes des surprises. Organisez un show gratuit dans un parc, sousle toit d’un édi ce au centre-ville. ..

DISTRIBUERVOTREMUSIQUE

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COMMENT FAIRE UN

BON DOSSIER DEPRESSE ?

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1 – Contenu de votre dossier de presseIl n’y a rien de magique à propos de l’expression «dossier depresse”. Tout ce que nous parlons, c’est un peu de ond sur vousou votre groupe, quelques aits de base, de bonnes citationsau sujet de votre musique, quelques bonnes photos, et un deséchantillons de votre musique.

Vous pourrez l’utiliser pour envoyer à des magazines spécialisés,des stations de radio, des labels, des estivals... le but du dossierde presse est de susciter l’intérêt autours de votre musique.• Inclure une quantité limitée d’informations sur vous-même. Il estbon de dire d’où vous venez, mais pas besoin de raconter chaqueper ormance vous avez aite. Les plus importantes sufses alorsque les moins importantes vous dévalorisent.

• Le lecteur doit être capable d’avoir une bonne idée de ce quevotre musique donne sur scène, juste à partir de votre description.Soyez ré échi et n’hésitez pas à être un peu drôle (mais tout demême pro essionnel)

• Ne donnez pas simplement votre genre musical mais plutôt uneexpression du genre : “Maroon 5 et Green Day après 20 tasses deca é” pour aider le lecteur à se aire une image.

• Rappelez-vous : si vous n’avez pas de générer su sammentd’intérêt dans la première minute, vous ne serez jamais à l’afched’un estival. Les programmateurs reçoivent énormément dedémo et ne leur consacre souvent que 5 min.

• Qu’est-ce qui rend le groupe spécial et di érent des autres ?

• Quelles sont les compétences et expériences que vousdémarquent ?

Si vous cherchez à vous aire produire par un label :

Vous devez prouver aux responsables du label que vous avez tousles bons ingrédients, justi ant de dépenser quelques dizaines de

milliers d’euros dans votre promotion. Le Lancement d’un nouvelartiste est risqué.

• Si vous avez envie d’aider les responsables du label à comprendrepourquoi vous êtes un investissement solide, il aut inclure dansle dossier de presse, les di érents coûts qui sont liés à une devos prestations types, et en contre partie les coupures de presseque vous avez générer. Un bonne source journalistique réputéepeut ajouter beaucoup de crédibilité à votre dossier et justi er lemontant de votre cachet.

• Le ton de votre dossier de presse est à votre image : illustrervotre bio par des photos appropriées a n de mettre en évidencevos atouts à partir d’une perspective visuelle.

• Votre dossier de presse doit rester professionnel, mais les photosdoivent re éter votre style et votre musique.

2 - Si vous n’avez pas de bonnes photos devotre groupeL’un des meilleurs moyens pour en obtenir est d’aller chez unbon photographe local. Ces les photographes sont souvent prêtsà aire un bon shooting pour environ 200 €.

• Assurez-vous d’obtenir un accord initial qui garanti qui vouspossédez les droits d’auteur après la prise de vue

• Demander la haute résolution des images numériques sur CD(avec vos droit d’auteur, vous pouvez imprimer ces photos àn’importe quel grand détaillant).

• Travailler avec un photographe est béné que. Si vous avez lesmoyens Ils ont une meilleure idée de ce que vous voulez, ilsencouragent la créativité, et ils sont beaucoup plus disposés àvous donner un concept actuel et original.

3 - Envoyer un CD de démonstration dehaute qualité• Il ya beaucoup de nouveaux services de duplication de CD surInternet qui vous permettent de presser ou dupliquer vos CD.Attendez-vous à payer environ 4 euros par CD pour les productionde détail (1-5 CDs), et environ 1 euro (à partir de 1000 CDs). Lesprix diminuent pour de plus grandes quantités.

• Assurez-vous d’étiqueter clairement le CD et le boitier avec votrenom et vos in ormations de contact.

Dire que vous êtes le plus grand groupe de tous les temps, mêmesi après avoir lu ces conseils vous allez le devenir !, n’est pas lameilleure manière de vous vendre. Soyez positi et concentrez-vous sur des déclarations qui sont crédibles. Votre lecteur dudossier de presse veut comprendre la place de votre musiquedans l’e ervescence d’aujourd’hui, mais il veut égalementconnaître d’où elle vient :

• Un conseil est de ne pas trop inclure ce qui pourrait vousdévaloriser. Vous devez vous présenter comme un artistepro essionnel de qualité.

• Rappelez-vous : même si vous faites la bonne musique, vousdevez vous aire remarquer au premier coup d’œil. Il aut sortirde la masse ! Vous pouvez toujours rajouter un petit objetpersonnalisé à votre éfgie (porte-clés, décapsuleur…)

• Adapter votre message : il doit être di érent si vous vousadressez à un représentant label, à votre journal local, ou à un

estival national. Soyez clair, bre et précis.

Votre musique est votre art, mais votre dossier de presse est votrebusiness ! Souvenez-vous, être pro essionnel. Votre musiquepeut être dingue et sauvage, mais votre dossier de presse doitêtre plus pro.

• Eviter de gaspiller votre temps et votre argent avec l’envoi d’un

dossier de presse à quelqu’un à qui vous n’avez jamais parlé devotre courrier.

• Toujours : appeler et prendre contact en premier lieu, demanderà qui vous devez l’envoyer , notre bien son nom et sa onction.Si possible, utiliser quelqu’un qui connaît la personne pouragir comme intermédiaire et peut rendre votre démarche plus

ructueuse. La promotion musicale c’est principalement lescontacts. Il aut développer et tirer parti de votre réseau.

• Après l’envoi de votre dossier de presse, attendre environ 2semaines pour relancer a n de s’assurer qu’ils l’ont bien reçu .

4 - Faites-vous des cartes d’a aires originalesC’est encore le meilleur moyen de ne pas se aire oublier aprèsune rencontre lors d’une soirée. N’oubliez pas d’y inscrire votresite web, le nom de votre groupe, vos talents et vos ambitions,le tout relayé par un ash code qui envoi directement sur un sitemobile où l’on peut écouter votre musique (airbuzz. r)

LEDOSSIERDEPRESSE

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VOTRE PRESENCE SUR

LE WEB

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1 - Soyez présent sur le web classique etmobile :Et voilà. On y est en n! Vous l’attendiez depuis quelques pages.L’Internet.

Mais attention de ne pas vous lancer comme une poule pas detête. Sauvez de l’énergie et positionnez vous stratégiquement.

Si vous n’avez pas le temps ou d’intérêt réel pour le web, n’hésiterpas à engagez une personne qui s’y connaît. Elle sera d’une aideprécieuse et s’occupera de votre mise en marché numérique.

2 - Promotion d’un album sur le webCommencez votre promotion au maximum une semaine avant lasortie de l’album, pour garder les uturs acheteurs à chaud. Il nesert à rien de les bombarder de messages des mois et des moisà l’avance, ils risquent plutôt de rester indi érents ou pire, de sere roidir…

Soyez acti sur le web. Le «social networking» ça demande dutemps et de la discipline. Mais c’est payant.

3 - Créez-vous un blog et utilisez-le comme journal de bord.C’est gratuit et en n, vos ans pourront vous suivrequotidiennement. Le mot magique pour décrire votre présence

sur le net :OMNIPRÉSENCE CONTRÔLEESi vous voulez que les gens soient acti s sur votre blogue, vousdevez rendre la pareil. Il est primordial d’aller aire un tour sur lessites de vos collègues.

Avec l’arrivée des blogs, le orum de discussion n’est plusessentiel. Si vous désirez en mettre un en ligne pour échangeravec vos ans, soyez sûr de bien le modérer. Un orum acti estsouvent difcile à contrôler.

Il ne aut pas sous-estimer la puissance des blogueurs. Qu’on leveuille ou non, ce sont des leaders d’opinions pour votre clientèlequi se retrouve sur le web.

Prenez quelques heures pour bien connaître et comprendreles di érentes plate ormes de blogues. Certains logiciels sontbeaucoup plus complets, sans être plus complexe et vouspermettent d’utiliser un maximum d’outils pour vous vendre.

4 - Soyez geek Utilisez tous les outils d’analyse possible pour vous aider àconcentrer vos e orts sur ce qui produira le plus de retour.Et ainsi vous deviendrez plus efcace. Vous devez analyserchacune de vos actions, pour supprimer les moins productiveset améliorer les autres. Les outils d’analyse gratuit de Google oude Soundcloud vous indiqueront où les gens ont écouté votremusique, grâce à quelle action, qui l’a écouté, d’où ils venaient,où ils sont repartis, s’ils l’ont acheté et ce qu’ils aiment en général.Vous verrez, très vite, les stats de votre site, les charts sur vosvisiteurs vous exciteront terriblement.

Une des beautés du web, c’est qu’il permet un accès acile à toutessortes de statistiques. En utilisant les outils de web analytiquedisponible, vous saurez qui visite votre site, quand, où il habite,etc. Il ne reste qu’à comprendre le « pourquoi » de sa visite.Tenez-vous au courant des principaux outils de ré érencementdisponible : Meta, Header tags, Site Map, Content, RSS. C’estimportant de prendre le temps de comprendre leurs onctionset de les utiliser.

Prenez quelques minutes par semaines pour vous tenir aucourant des nouveautés sur le web. Internet est un média qui setrans orme constamment et ceux qui adoptent ces changementsrapidement et à bras ouverts, sortent souvent grands gagnantsà la toute n.

5 - Créez le buzz avec…Le marketing viral a ait ses preuves sur le web. Allez-y, chercherles di érents concepts et renseignez-vous sur la manière de lesréaliser… À votre tour maintenant! Demander l’aide de ses ans,c’est permis.

… une vidéoIl ne aut pas sous-estimer la puissance d’une vidéo sur internet.

Même si la qualité n’est pas exceptionnelle, le contenu est plusimportant que le contenant. Plusieurs campagnes virales à succèsont débuté avec de simples vidéos, à base résolution.

Utilisez la vidéo comme « buzz », avant la sortie de l’album. On esttous un peu voyeur, on aime suivre un artiste lors de la productionde son album.

…un teasingAvant votre lancement, trans ormer toutes vos pages réseaux,en utilisant les mêmes couleurs et la même thématique que lapochette de votre album, puis mettez-les en ligne quelques jours avant la sortie de votre album, pour attirer l’attention desinternautes.

En ce moment, Facebook est le réseau social le plus populaire.Plusieurs « plug-ins » sont destinés aux musiciens et vous

aciliteront la tâche.

... la participation de vos ansUtilisez le marketing viral pour promouvoir vos contenus et votresite. Le gros avantage du marketing viral, c’est qu’il se propagepar lui-même. Lancez un concours sur votre site auprès desmusiciens (qui era votre 1ere partie ?), lancer un concours pourcustomiser un CD, un Tshirt. Sur iTtunes, créer vos playlists. SurYoutube, proposez à des internautes de participer à la réalisationde votre clip. Bre , interagissez pour créer la viralité.

Organisez un concours de remix, de photos, d’afches, de vidéos,etc. C’est une bonne açon de pousser les internautes à revenirplusieurs ois sur votre site.

6 - En résumé :Vous devez être acilement accessible. Non, plus que ça... Vousdevez être partout en même temps. N’oubliez pas que le web 2.0,c’est bidirectionnel. Vous devez échanger avec la personne quiprend de son temps pour commenter sur votre blogue ou vousécrire. Vous n’avez jamais été aussi près des gens...

L’industrie vit un changement important et même lespro essionnels, qui ont 20 ans de métier, n’ont aucune idée dece que le utur nous réserve. Pour rester à jour et connecté, vousdevez être au courant des nouveautés du Web 2.0. Soyez prêts.

VOTREPRESENCEWEB

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VOTRE

SITE WEB

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Voilà, y-a pas à tortiller, quel que soit ton but, il te aut ton siteweb. A toi. C’est incontournable. Et comme toutes les chosesincontournables, tu peux me citer des gens qui ont sans. Ouimais on parle pas de chance, de hasard ou de talent miraculeux,on parle de stratégie et de se donner les moyens d’y arriver.

1 - Avant de monter le siteTu dois savoir tout aire tout seul mais c’est mieux si tu es aidé.

Munis-toi d’un ami qui connait un peu wordpress. C’est uneespèce de plus en plus répandue. Attention, sur wordpress,comme pour le reste, uis comme la peste l’ami qui « doit pouvoiry arriver ». Ce pote ne connait surement rien à rien, va tout tesaloper ton site et tu te retrouveras dans la catégorie de site «prostituées polonaises transsexuelles » avant d’avoir dit « t’es sûrque tu t’y connais» ?

Ensuite c’est ton site. Donc tu te munis de tous les login et de tousles mots de passe nécessaires. C’est important.

2 – HébergementCa y est, ça commence par un gros mot. Hébergement. Merde.Aujourd’hui quand même c’est plus simple qu’il y a 10 ans.Gratuit ou pas ? Si tu veux un minimum de service après vente(tu sais le truc où tu dois appeler un numéro pour aire répareret qui te coute plus cher que ce que tu veux aire réparer) prendsune ormule payante. De 2 à 10 euros par mois. 1and1, OVH oud’autres.

3 - Quel nom de domaine pour monsite ?Eh oui c’est compliqué. Si tu as un nom de groupe passe-partout,

orcément ton nom de domaine est déjà pris. Alors tu pestes,tu rages sur tous ces cons d’internet. Oubliant que si tu as unnom de groupe passe-partout c’est un petit peu parce que tu aschoisis un nom de merde non ? Parce que la règle numéro unc’est quand même de prendre un putain de nom qui claque. Bonbre , tu t’appelles « rocking band ». Et rocking band c’est pris. Si tuas trouvé ton venin, tu peux trouver un nom de domaine autourou continuer à le chercher ton venin ! Mais RockingBand ça peutdevenir R-band.com ou RockingB. r en n n’importe quoi quirappelle le nom . Ton pote débile proposera surement de choisirwww.Roquinebende.com. C’est le moment de trancher dans le vi et de bourrer son pi à ton copain débile.

4 - Sur Internet : ofrez à l’internauteune expérience !Votre site internet « ofciel » devra être simple et pratique.

Actualisez-le régulièrement (environ 1 ois par mois) :communiquez sur vos dates de concerts, rajouter de nouvellesmusiques, photos ou vidéo.

Les personnes qui viennent sur ce site ofciel cherchent enpremier du contenu, puis des in ormations sur vos dates et

également votre contact.Le tout ormera une dynamique qui orcément produira (avec dutemps et du travail) l’adhésion d’autres ans ; et ainsi de suite…

O rez le plus de contenus possible. O rez des enregistrementsinconnus, en studio, en unplugged…Faites des vidéos de vous.Pas orcément sur scène, mais également en dehors de la scène.Avant un concert, après un concert. En train de découvrir une ville.Faites des podcasts, expliquer ce qui vous inspire. Commentez vosconcerts. Permettez également à vos visiteurs de vous contacterpartout, de commenter partout. Wall, email, orum. Ouvrez votreagenda, mettez à jour votre calendrier de concerts, promotionTV et radio.

La plupart des sites artistes ne proposent pas à leurs ans etvisiteurs une véritable “expérience » sur leurs sites. Les sitesproposés sont statiques, immobiles et rarement remis à jour.Pourtant, il aut voir votre site comme un canal de di usion et dedistribution.

Il vous permet de rentrer en contact avec vos ans, de lesconnaître, de les suivre et d’interagir. Vous devez le remettre à jour régulièrement, a n qu’il corresponde à l’image que voussouhaitez projeter. Vous devez donner. Donner des photos,donner des vidéos, donner de la musique… (oui oui ! les j’ai biendis les donner…).

Vos ans et visiteurs ont choisi de venir sur votre site, ils ont choisi

de vous rencontrer. Alors si vous n’êtes pas là, l’expérience ne serapas concluante. Les ans ne veulent plus attendre deux ans, entredeux albums, pour avoir des nouvelles. Vous devez être là.

5 - Mais j’ai déjà un MySpaceRépondre “j’ai déjà un MySpace” quand on parle d’un site webperso c’est un peu comme dire à une personne qui te propose degouter son grand cru 1962 “j’ai déjà ma bouteille de la villageoise”.C’est hors-sujet. Pas convaincu? Bon puisque tu es borné, je teprends un exemple.

Sur ton MySpace tu as 5289 amis. C’est bien. Tu es content tu aspassé un temps ou à aller chercher ces 5289 amis. Si MySpace

erme ton compte parce que tu as ais trop de pub pour Facebook,tu ais quoi? Si MySpace erme tout court, tu ais quoi?

Tout évolue très vite. Tout ce qui est hype un instant, ne lesera bientôt plus. Il y a eu Myspace, qui devait révolutionner lamusique, maintenant Facebook (« Si t’as pas ta page an à 30 ans,t’as raté ta vie »), Twitter…

C’était très chic il y a quelques années d’avoir son url MySpace.Plus maintenant. Maintenant c’est Facebook. Oui, mais Facebook,où sera t’il dans plusieurs mois, années?

En résumé, qu’est ce que tout ça va vous rapporter ? Le retour surinvestissement) doit être supérieur au temps passé sur l’exécutionde l’action. Sinon, c’est que vous vous êtes trompé et que l’actionne valait pas le coup.

C’est pour ça que votre site web classique doit être au centre detoute votre stratégie online. Bien qu’il doit être relayé par un siteweb mobile, les réseaux sociaux, les blogs… c’est votre site webqui doit être au cœur de tout. Un Myspace ne remplacera jamaisvotre site. Vous ne créerez pas une véritable relation avec vos ans

en restant sur Myspace. TROP DE MONDE !!!Facebook, Myspace… sont des vitrines qui doivent vous permettrede les emmener ailleurs. Par contre, les réseaux sociaux et votresite se complètent par aitement. Et vous en avez besoin : tous vosliens doivent donc pointer vers votre site web classique (voir survotre site mobile)

VOTRESITEWEB

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V OT R E S I T E WE B

6 - Connais tes amis!Et tes amis, tu les connais? T’as 5289 ans dont 3560 sur Paris etquand tu ais un concert à Paris, y-a 7 personnes. Y-a rien qui techoque? Non? Passe ton chemin. Sinon oui le problème est là. Tune sais pas qui sont tes ans. Tu ne sais même pas si tu en as. Sit’as un peu de thune, Tu t’es abonné à MySpace Marketing Music

Manager. Bon, t’as perdu ta thune c’est tout.Il y a des sites qui arrivent pour remplacer MySpace. Par exempleReverbNation qui veut justement te permettre de gérer tes anset tout ce qui tourne autour. Et gérer toutes les interactions entretous tes sites. Ok c’est cool et on en reparlera. Mais ce ne sera jamais aussi cool que si TU maitrises tout de A à Z. Toi ou unepersonne avec qui tu travailles.

7- Garde un double des cle s« Oui mais je suis pas développeur, les sites web ça coute cher, et je sais pas m’en servir ». Tu n’as pas d’argent ? Alors ne demandepas un pote développeur de te aire un pur site dont tu ne sauraspas te servir. Tu ne le eras pas vivre, ton pote aura autre choseà aire. TU dois maitriser le site. Et même si un pote ou un pro te

le un coup de main, assure-toi que tu as les mots de passe, leslogin, les adresses. Assure-toi que le jour ou ton pote te pique ta

emme, tu puisses encore utiliser TON site.

Et pour ça il y a des outils aujourd’hui. Tu peux monter un siteen 2 heures si tu es bien énervé ! Bon comme tu es un musicien,quand tu es énervé c’est que tu as bu ou que tu t’es drogué. Donccompte une grosse journée. Quoi, qui, où ? Il y a Joomla mais je teconseille WordPress. Et je te erai même une petite étape dédiéeWordPress parce que c’est bientôt Noël.

8 - Ergonomie :Je ne vais pas encore reparler du design, qui doit être léger etrapide. S’il vous plait, abandonnez une ois pour toute le ash, lestrucs compliqués qui obligent le visiteur à attendre 5 mn avantde pénétrer sur votre site. Ce n’est pas ce qu’il veut, ce qu’il veut,c’est vous voir. Et puis nous sommes dans une ère de la simplicité.L’Ipod c’est un rectangle avec un rond, google, c’est un ormulairede recherche. Les internautes sont devenus des internautesexpérimentés qui veulent aller vite, là où ils veulent. Proposer unload time de 5mn avant de pouvoir accéder à votre site, ça ne

atte que l’égo de l’artiste, mais ça ait perdre des contacts…

le « sur design », c’est so 2004… Prenez exemple sur le site dugroupe : nin.com

Première page : Aujourd’hui tu peux mettre une page actualités,ormat blog ou un page statique classique genre site web. C’est

comme tu veux. L’important c’est qu’en arrivant sur la premièrepage on sache où on est. Sans avoir à cliquer 5 ois.

Rubriques :Là aussi c’est toi qui décides mais dans lesincontournables tu seras gentil de ne pas oublier :

• La musique

• Les vidéos

• Les concerts

• Les photos

Et selon ton humeur, tu peux mettre les textes, des liens (trèsimportants les liens vers tes potes), des partitions, des ré exions.

9 - Je stocke où mon contenu ?Alors les vidéos et les photos tu les mets sur ton site ?

NON. L’idée c’est que tu intègres les autres sites à ton site:

• DONC tu crées une chaine sur youtube et/ou dailymotion.

• DONC tu t’inscris sur un site qui te propose des widgets pourdi user ta musique (on en reparlera).

• DONC tu intègres ta page face book sur ton site et/ou testweets.

Du coup ton site doit ressembler à un truc comme ça. Bon biensûr c’est une proposition, une base. Il y a des oublis, il y a des choixdiscutables mais c’est l’idée.

N’oublie pas : le web n’est qu’un moyen ! Pas une n en soi.Toucher des gens, rencontrer des gens voilà le but! A toi de airevivre ton site pour toucher les gens que TU as envie de toucher. Etpour ça, je n’ai aucun tuyau.

10 - Un peu de lecture sur la créationde sites web gratuit :Hop tu as ton nom de domaine, passons à l’installationproprement dite. Vas lire « comment installer un site wordpress »orienté musique. C’est bien ait, c’est clair. Va lire pour t’imprégnerde la chose: d’une manière générale vas lire ce qui se passe sur cesite d’ailleurs.

11 - Installe ton site gratuit :Oui je sais c’est acile à dire. Si jamais ton pote est vraiment troprelou, tu peux l’obliger à regarder le tutoriel sur www.videonoob.com. Le mec qui a monté ce site doit avoir plein d’amis un peucons. Du coup il a ait des vidéos que même un débile léger sousprozac au sortir de deux lobotomies pourrait comprendre. Tudois donc pouvoir y arriver avec ton pote. Très clair. Très concis. Eten plus le mec est très sympa et répond aux questions quand onest tellement con qu’on n’y arrive quand même pas (comme quoion peut avoir des amis cons et être sympa)

Si vraiment ça prend pas: WordPress.TV ou un autre guide surTom’s Hardware.

V O S C I B L E S

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12 - Quelques plugins qui vont bienOK, t’as perdu un ami mais t’as gagné un site. Sur ce site il te autmettre des plugin. Des briques qui te permettront de vraimentpersonnaliser ton site. Les tutoriels précédents t’ont indiquéplein de plugin à installer. Je te redonne juste une liste que je aistourner sur les quelques sites dont je m’occupe (oui pour mesamis c’est moi le mec « qui devrait y arriver »).

12.1 - Catégorie an et discussionTes ans ils te parlent comment?

• Par un formulaire contact : Le tueur des formulaires c’est cforms.Il ait un peu peur ce truc mais une ois que tu as dompté la bêtec’est une rolls. Tu peux aire des ormulaires pour tout.

• Par facebook, twitter : intègre les plugins qui vont bien (ça peutêtre la barre Wibiya) ou des trucs pour chater en direct• N’oublie pas la Newsletter : il y a une newsletter par défaut maistu peux installer des trucs plus chiadés.

12.2 - Catégorie biblio, Media, video etecommerce• Tes concerts tu les annonces sur Gigs calendar

• Ta discographie? Hop Discography

• Une boutique, tu vas bien faire une boutique: wp ecommerce

• Les photos? Lightbox2

• Musique et video hum je te laisse chercher.

12.3 - Liens vers les réseaux sociaux :Votre site internet doit être connecté aux réseaux sociaux dumoment. Tous les réseaux sociaux.

Simple et efcace. Surtout, si vous désirez o rir l’achat de votrealbum sur votre site, les internautes devraient être en mesure decompléter leur transaction, en quelques clics seulement

12.4 - Vente d’album en ligne :Vendre son album sur son site personnel, c’est acile. Oui, oui.Vous n’avez besoin que d’un compte Paypal. Plusieurs « plugins» sont disponibles sur la plate orme Wordpress et aciliteront vostransactions.

N’hésitez pas à utiliser tous les médias possibles sur votre siteweb : photos haute dé nition, vidéo, audio, etc

12.5 - Vente de billets en ligne :Vous pouvez mettre en vente une paire de billets pour votrespectacle sur les sites d’annonces classées : Craiglist, Kijiji,LesPac.

13 - L’email/newsletters = Saint Graal!Vous devez récupérer toutes les adresses emails de vos ans survotre site web et sur les réseaux sociaux. C’est seulement ainsique vous construirez votre base de données de fans/futursconsommateurs. Demandez-leur au préalable s’ils sont d’accordpour recevoir emails et newsletters. Proposez-leur un titre gratuiten échange de leur inscription sur la newsletter. Demandezleur également de mentionner leur ville, vous pourrez ainsi leur

envoyer un email pour leur dire que vous passer en concert prèsde chez eux. Attention, vos emails et newsletters ne doivent partirque si vous avez réellement du contenu à proposer. Pas de push !Si quelqu’un demande à ne plus rien recevoir, écoutez-le.

Vous pouvez également utiliser les emails pour votre o recommerciale, en proposant par exemple du merch, ou une promosur vos albums, ou en intégrant le lien iTunes pour l’acheter. Maisc’est le contenu de votre newsletter qui doit amener la propositioncommerciale. Pas le contraire. Les emails et la newsletter nedoivent pas être prétexte pour lourdement proposer l’achatd’albums et autres si vous n’avez pas de contenus à proposer.

14 - Comment donner de la valeurnancière au gratuit ?• Allez voir Topspin/ BigChampagne (ou un autre) pour pouvoirtout vendre et gérer à partir de votre site

• O rez des packages prémium à édition limitée. Pensez à quelquechose d’unique, quelque chose que vous aimeriez avoir comme

an. Signez ces packages par exemple. Demandez à vos ans decréer le packaging…

• Basez votre prix sur ce que vous pensez pouvoir vendre(volume)

• O rez di érents prix et packages. De 1€ à 300€ par exemple.

Prenez exemple sur Fan arlo• Vendez du merchandising, des vinyles, des posters ou joignezces produits à vos achats de package

• Vendez ou o rez des applications smarphone (Album is dead,long live Mobile !), des remix…

• Vendez des vidéos exclusives (coulisses, tournée…)

• Permettez à vos fans de vous soumettre leurs propres contenuset vendez les. (concours de la meilleure illustration d’un albumvinyle, d’une afche, d’un t-shirt)

• Une fois que vous aurez mis en avant plusieurs morceaux survotre site, rien ne vous empêche de les packager en y ajoutantplusieurs titres encore inconnus, et le vendre comme un collectoravec un packaging spécial.

• Vendez sur iTunes tout ce que vous mettez « en gratuit » survotre site. Les acheteurs d’ITunes ne sont pas vos véritables ans. Ils’agit d’un public plus traditionnel, qui achètera sur ITunes mêmesi cela est gratuit ailleurs, car ils ne se poseront tout simplementpas la question.

En résumé, ré échissez à tout ce que vous pourriez vendre etqu’on ne retrouve pas sur un site de trans ert et de partage enligne.

Vous ne vendrez pas sur votre site un titre qu’on entend à la radioet qui est vendu sur ITunes;

Par contre , vous vendrez la démo studio, la vidéo ou le Tee-shirtque vous portiez. Vous vendrez un album premium signé devotre main accompagné d’un t-shirt. Vous vendrez un titre quipeut être remixé par vos fans (openmusic/creative commons).

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Le ré érencement

Oublie le mot ré érencement. Mais regarde ce groupe. Il s’appelleeliotE & the ritournelles. C’est un groupe qui déchire. Je vais surYouTube et je tape eliote & the ritournelles.

Tu vois ce que je vois? Oui. C’est mal rangé, on ne sait pas quoiregarder. Il y a des videos avec le nom du groupe uniquement ce

qui ait qu’on a l’impression que c’est la même video plusieurs oisalors que non. Bre tant que tu es le seul à mettre tes vidéos sur lenet (avant, je te souhaite, que ces petits salopards d’internautesne commencent à te pirater) tu les mets bien !

Créez un blog:Le blog vous permet là encore de vousrapprocher de vos ans. Postez des in os, des commentaires, desliens de musiques que vous aimez. Permettez à vos lecteurs departager vos articles sur Facebook, sur MySpace… Le blog a denombreux avantages. Demandez à un artiste qui aime bien votremusique de venir le dire (Ex Sigur Ros/Fanfarlo, Passion Pit/JohnMayer).

Votre présence est décuplée, l’interaction avec les ans estdéveloppée, vous postez di érent types de contenus, donc demots clés, donc votre ré érencement online est développé.

Mais attention, le blog n’est pas votre site web. Il ne doit pasdevenir votre unique stratégie online. Il est un complément.

Et n’hésitez pas à intégrer un lien direct vers votre album suriTunes.

• Donnez quelques titres gratuitement

• Collectez les emails de vos ans. Cela pour vous permettrede démarrer une database de vos clients potentiels. Cela vouspermettra également d’in ormer vos ans de ce que vous aites etquand. N’hésitez pas à remercier les utilisateurs qui souscrivent àvotre mailing list (un titre gratuit, un tshirt= engagement !)

• Donner envie à vos ans de retourner souvent sur votre site.Engager vos Fans ! N’hésitez pas à mettre en avant régulièrementde nouveaux morceaux de votre musique.

1 - Tague toi !Utilise toujours la même syntaxe pour charger des clips, musiques,vidéo.

Par exemple“groupe – chanson”. Ou« groupe | Chanson ».Ou“Chanson – Groupe”mais ne change pas.

Ensuite tu te souviens des mots qui te décrivent, des 2-3 artistes donttu te sens très proches et des 2-3 mots pour décrire ton style ?

Alors maintenant, tu vas devoir être super relou et coller çapartout, tout le temps. Tu vas le mettre dans ta bio, tu en parlerasen itw, sur ton myspace, acebook, ton site, twitter.

Tu colleras tout le temps ces mots là, à chaque article que tuposteras comme une base.

Si ton style c’est technopuant et que tu te sens proche de DidierBarbelivien, ok, mots cle s : technopuant et didier barbelivien etaprès tu mets les mots cle s qui vont avec l’article dont tu parles.

Et d’une manière générale sur le choix de mots-cle s, tu dois

répondre à la question : avec quels mots j’aimerai qu’un internautearrive chez moi ?

ATTENTION : tu as comme souvent deux techniques. L’honnête etla malhonnête. La malhonnête que je vais te décrire onctionnetrès bien sur le court terme.

2 - Arnaque et Tag à éviter !!

Tu mets des mots cle s racoleurs qui claquent, qui sont hype pouraire venir le maximum de gens ! Et des noms d’artistes avec qui

tu n’as aucun rapport mais qui cartonnent. Et “à poil” aussi.

Tu rajoutes “à poil” un peu partout.Plein de gens ont ça, plein. Ahaha tu es malhonnête c’est bien.

Mais tu es surtout très bête : tomber sur un clone de Céline Dionquand je tape The Clash sur youtube, laisse moi te dire que çane met pas dans un état d’esprit de découverte. Plutôt envie delaisser un commentaire assassin et d’appeler des potes tocards,pardon geek, pour aire planter son putain de site. M’en n bonc’est vous qui voyez.

Après la méthode honnête c’est d’utiliser des mots qui ont queben si le mec arrive sur ton site c’est qu’il y a un lien avec ce qu’il atapé et qu’il y a une chance qu’il aime.

S’il aime pas c’est pas grave mais y-a pas manipulation.

Par exemple que Clarys mette Dominique A dans ses mots cle sc’est pas de l’arnaque ou du vol, c’est qu’elle aime Dominique A,beaucoup, tant la musique que l’esprit et qu’elle y voit une liation(toute orme d’orgueil mise à part). Et qu’elle pense que celui quiaime Dominique A pourrait aimer sa musique.

Mais le mec qui tape Dominique A, il arrivera toujours surDominique A d’abord et de loin. S’il ouille, bon, s’il ouillebeaucoup il tombera peut-être sur Clarys.

Et ça pourrait lui plaire.

3 - Les adwords et le Pay Per Click (PPC)Qu’est ce qu’un adword? Ce sont des mots clés qui sont desmots ou des expressions en rapport avec votre activité. Lorsqueles internautes e ectuent des recherches sur Google à l’aidede l’un de vos mots clés (ex concert + votre nom, ou merch oualbum), votre annonce/site web apparaît à côté des résultats derecherche.

Votre publicité est donc di usée auprès d’un public qui s’intéresseà votre activité. Vous ciblez l’audience qui vous intéresse (ciblagenational, régional, ou même local).

Vous payez uniquement lorsqu’un internaute clique sur votreannonce et se rend sur votre site Web. AdWords vous permet dechoisir vous-même combien vous payez pour qu’un internautesoit envoyé vers votre site (c’est le « coût par clic »).

Vous pouvez le aire très rapidement même si vous êtes débutanten vous connectant sur Google.com. Google vous accompagnedans la création de mots clés, la rédaction de l’annonce et le choixdu coût par clic.

Cela demande du travail, on est d’accord, mais vous ne pouvezplus passer à côte. Votre exposition, votre promotion, vos revenusen dépendent. Et si vous ne pouvez pas aire tout ça, demandez àvos ans de vous aider, demandez à votre maison de disques…

LEREFERENCEMENTD

USITEWEB

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LE E-MAILING

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2 - Le contenu du mail :Il est essentiel d’apporter une attention particulière aux motssélectionnés dans l’onglet « sujet » de votre courriel. C’est peut-être cette phrase qui di érenciera votre courriel des 80 autres en

attente dans leur boîte de réception, le lundi matin.Ne cherchez pas à impressionner vos abonnés avec un vocabulairesérieux et « corporate ». N’oubliez jamais que les gens qui vouslisent sont comme vous.

Vous devez obligatoirement inscrire un lien de désabonnement,dans le bas de vos courriels. N’oubliez pas que personne n’estobligé de vous suivre.

4 - Ajouter une signature automatiqueà vos envois avec :votre nom, le nom de votre projet, votre site web et votre numérode téléphone. Cette onction est disponible dans tous les logicielsde messagerie (Outlook, Mail, etc.).

1 - La liste d’envoi :Vous voulez rejoindre plusieurs personnes pour leur envoyervotre communiqué, sans lécher de timbre? Internet.

C’est un outil simple et très efcace. Voici maintenant quelquestrucs pour bien l’utiliser.

Se bâtir une solide liste d’envoi de gens intéressés par vosdémarches, demeure encore aujourd’hui, l’un des meilleurs

outils de communication pour rejoindre vos ans et les gens del’industrie avec efcacité.

Il est primordial d’avoir son propre site internet et surtout d’o rirun lien clair et direct, pré érablement dans le haut de votrepage, pour que vos ans puissent aisément s’inscrire à votre listed’envoi.

Pour inciter les nouveaux visiteurs à s’abonner à votre listed’envoi, o rez-leur gratuitement un mp3 exclusi aux nouveauxabonnés.

3 - Illustrez vos mails :Il est prouvé qu’une image, incorporée aux courriels, attiredavantage l’attention et augmente vos chances de lecture. Vouspouvez ajouter le logo de votre groupe, de votre compagniede disques ou bien une photo, pré érablement dans le haut dumessage.

Votre contenu doit être simple, rapide et efcace. Le lecteur doitêtre en mesure de connaître la raison de votre envoi en quelquessecondes.

Assurez-vous d’envoyer des messages avec un minimumd’importance. Regrouper plusieurs brèves dans un mêmemessage, plutôt que d’envoyer un courriel à tous les jours.

Il est primordial de ne pas bombarder vos abonnés pour des trucsridicules et inintéressants.

5 - Vous voulez être inoubliable ?

Voici le truc in aillible :

Écrivez un mot de remerciement aux médias et aux gens del’industrie à la main.

Prenez ensuite le temps de le numériser et de l’envoyer parcourriel.

J’ai beaucoup plus d’intérêt à lire un courriel quand il m’estpersonnellement adressé lors de la salutation. Oui, c’est uneattention qui demande plus de temps, mais vous gagnerez àécrire le nom de la personne à qui vous l’envoyez.

Utilisez cette technique surtout avec les gens del’industrie et des médias.

UTILISERLEE-MAILING

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LES RESEAUX

SOCIAUX

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LES RESEAUX SOCIAUXSur le social media marketing, je ne suis pas d’accord avecplusieurs “gourous” qui disent que les artistes n’ont besoin quedes réseaux sociaux.

Le but des réseaux sociaux est de construire une passerelle entrevous et vos ans qui utiliseront ensuite le bouche à oreille pourparler de vous. En positi et négati .

Donc vous devez construire votre présence sociale online etaller chercher vos ans. Mais l’objecti est de trans ormer et deramener vos ans sur votre site web. Pour qu’ils vous découvrent,partagent, interagissent et achètent

Que pouvez vous donc aire :

Sur Myspace :Encore maintenant, Myspace est essentiel pour que des gensvous trouvent et découvrent votre musique. Et un mauvais pro l,non maintenu, peut vous aire perdre beaucoup de contacts.

• Vous voulez customiser votre background. OK. Mais bon, vousn’êtes pas obligé non plus. Plus votre background sera simple,plus il sera rapide à s’ouvrir, et plus le fan/la maison de disquetrouvera ce qu’il veut

• Si vous êtes compétent en CSS/HTML, virez le player MySpace,le moins accueillant qui existe. Allez sur SoundCloud, enregistrezvous , intégrez le sur MySpace et utilisez le player et sesnombreuses onctionnalités ; Il est vraiment bien, d’un point devue écoute et vision

• Pas plus de 3 vidéos avec liens vers Youtube . Pas besoin d’envoir plus. Pour en voir plus, on ira sur Youtube

• Merci de laisser le layout comme il est, si on l’a designé comme

ça, c’est qu’il y avait une raison. C’est très atiguant de chercher laboite message si je veux rentrer en contact avec vous mais quevous avez décidé de la modi er ou de la changer de place.

• Mettez une adresse email claire et visible sur votre pro l. Jepré ère vous contacter par email que par le client email MySpace.En plus, j’y suis même plus sur MySpace et je n’ai pas l’intentionde me créer un pro l pour vous parler. Comme beaucoup.

• Evitez les Flickr slideshows. Utilisez l’album photo MySpace.Pensez simplicité encore une ois!

• Répondez aux questions, dîtes Bonjour, communiquez!

Sur Facebook:• Construisez une page fan en répondant à cette question :pourquoi les gens devraient avoir envie de vous rejoindre?

Sur Spoti yVous devez être sur Spoti y pour maximiser votre présenceonline (oui, pas pour les royalties, on est d’accord). Vous n’avezaucune excuse pour ne pas y être. Grâce au partage de playlists,votre musique peut être di usée viralement (en interne +externe) beaucoup plus vite que sur n’importe quel réseau social.Lorsqu’on ait une playlist que l’on di usera ensuite, si votretitre est apprécié, il peut vite se retrouver au milieu des Kings O Leon et des Black Keys (groupes totalement cités au hasard bienentendu) et envoyé à un ami.

Sur TwitterLorsque vous créez votre pro l, attention à la bio. Beaucoup degens décident de vous suivre grâce (ou à cause) de que vous avezécrit sur votre bio. Mentionnez votre site web dans les liens (oui,votre site web, pas votre pro l MySpace). Il aut aussi donner surTwitter pour construire votre communauté. Allez suivre des gensqui peuvent s’intéresser à ce que vous aites. Intéressez vous auxdiscussions. Continuez, même si êtes peu suivi au départ. Postez

vos commentaires, vos photos (twittpic). Répondez à vos ans.Ne parlez pas que musique et concerts. Si vous ne postez quevos dates de concert, vous ne serez pas suivi longtemps. Twitterne doit pas être vu que comme un simple outil promotionnel demonologue. N’oubliez pas le buzz. Plus de 80% du grand publicindique qu’il pré ère suivre les recommandations de ses « amis» pour voir un lm ou acheter un album plutôt que de se er àla publicité ou aux critiques de magazines. Twitter est devenu lepremier prescripteur pour le Box Ofce au Cinéma. Et il est entrain de prendre le même chemin pour la musique…

Allez voir le twitter d’Amanda Palmer, la chanteuse des DresdenDolls. Par ait exemple de l’utilisation de Twitter. Elle parle avec sesfans, vend son merch (19 000 $ en un mois)…www.twitter.com/

amandapalmer

Sur FlickrFlickr est la 1ere communauté de photos du monde, utiliséepar plus de 300 millions de personnes. En créant vos albums

ickr, vous vous exposez à une très orte audience. Vous pouvezégalement créer des thématiques, permettre à vos photos d’êtreretrouvées par la communauté par des mots clés. Créez un pro lFlickr à votre nom et intégrez le lien vers votre site web.

En n, Flickr est extrêmement bien ré érencé sur Google, ce quivous permettra de sortir en tête des résultats des moteurs derecherche.

Sur YoutubeSur les 10 vidéos les plus recherchés sur Youtube, 9 sont desvidéos musicales. Cela montre donc tout l’intérêt du public pource type de vidéos. Créez donc une chaine sur Youtube, indiquez(comme toujours) le lien vers votre site, déposez régulièrementdes vidéos. Pas orcément des clips. Des vidéos. Vous en concert.Vous en studio. Vous en tournée. Vous en répétition…Donnez,donnez, donnez…..

Sur WikipédiaLes internautes pré èrent se connecter à Wikipédia plutôt qu’àMySpace pour avoir les premières in os sur un groupe (ratio de2 pour 1). Il est donc primordial que vous soyez sur Wikipédia.Créez votre pro l. Intégrez le lien vers votre site web, des photos.Remettez-le très régulièrement à jour. D’autre part, Wikipédiaétant extrêmement bien ré érencé par Google, vous pouvez êtresûr que si quelqu’un vous recherche sur Internet, votre pro larrivera dans les 3 premiers.

Bien entendu, toutes vos in ormations doivent s’entrecroiser.Vous pouvez lier vos statuts Facebook et Twitter (c’est-à-dire qu’àchaque tweet, votre statut FB se remet à jour, et réciproquement).Vous prévenez partout de la mise à jour de vos vidéos, duchargement de nouvelles photos, de la sortie de votre nouvelalbum (avec lien vers iTunes). Mais attention à ne pas tout croisernon plus. Votre audience sur Youtube n’est pas la même que survotre site, ou que sur Twitter et Facebook. Travailler égalementla singularité. Ce n’est pas parce que des outils techniques vouspermettent de poster partout la même chose que vous devez lesutiliser. Adaptez vous à votre audience. N’industrialisez pas tout.

LESRESEAUXSO

CIAUX

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COMMENT UTILISER

LE MOBILEDANS VOTREPROMOTION ?

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Comment utiliser le mobile dans l’aideà la musicale ?Pour l’instant, le mobile ne peut pas être un moyen de promotionunique. Il doit soutenir une stratégie multi canal. La cible desartistes indépendants, n’ayant pas toujours le temps de gérerune telle stratégie marketing, il aut leur apporter une solutionqui centralise l’ensemble des outils qui permettent de la menerà bien.

Le rein majeur à l’utilisation des supports mobiles est sanscontestation lié à un manque de temps crucial de la part de cesartistes.

Consacrer du temps pour communiquer sur un énième support,doit signi er que ce support est susceptible de générer unecertaine orme de rentabilité.

Soit en apportant des revenus nanciers liés à la vente demusique numérique en téléchargement sur les mobiles, soit enpermettant à l’artiste de se aire repérer et ainsi être plus souventrémunéré pour ses prestations physiques.

Après mes nombreux entretiens avec une partie de ces artistes

indépendants et pour avoir travaillé avec eux pendant plusde trois ans, je me rends compte que le mobile ne peut, pourl’instant, n’être qu’un relai à la communication menée par le biaisde campagnes directes (afches, yers, démarchage…). La ciblen’a pas encore le re ex de l’internet mobile et du marketing quien découle.

L’exemple de la plate orme AIRBUZZ dans le cadre de lapromotion des artistes nous montre que la majorité de cette ciblemanque cruellement d’in ormation quand à l’utilisation possibledes outils de marketing mobile, tel que le QR code.

Pourtant le mobile apporte une toute nouvelle dimension à leurpouvoir de communication. L’afche qui avant se contentaitd’attirer l’œil et de ournir un message concis et clair, peutaujourd’hui, grâce au QR code, proposer une expérience ludiqueet enrichissante pour la personne qui souhaite connaître de açonplus appro ondie l’artiste.

En ashant le code, elle pourra être baignée dans un universartistique ort illustré de musique, de photos et de vidéos.

1 - Les limites actuelles du marketingmobile musical :Le mobile permet actuellement aux grandes entreprises de créerune application utile pour leur clientèle mais il n’a pas encore étéutilisé de açon complète par les musiciens.

Pour réellement entrer comme principal support dans unestratégie de promotion d’un artiste indépendant, il aut concevoirle mobile comme un outil de management nomade et pourtantconnecté à l’ensemble de la communauté artistique musicale.

Pour vraiment représenter une solution pratique et pas seulementun « gadget marketing » de plus, il semble intéressant dechercher à développer le mobile comme le moyen unique pourgérer l’ensemble des communications utilisées pour promouvoirl’artiste. Aller en quelque sorte, vers un outil de « managementvirtuel » qui simpli erait la gestion d’un artiste et le rapprocherait,au plus près, de ses ans.

2 - Miser sur la complémentarité duweb classique et du web mobile :Il semble judicieux de ne pas se contenter de communiquer surle mobile. Aujourd’hui les outils de promotion mobile ne sont pasencore assez développés pour être utilisés comme média unique.

Nous conseillons donc de poursuivre une action de communicationsur les réseaux sociaux et sur les di érents sites web classiquesde promotion musicale ainsi qu’une communication directe(afches, yers…) Le mobile doit être un relai d’in ormationqui o re un contenu supplémentaire. Il doit aciliter l’accès auxdonnées utiles concernant le groupe.

Si l’artiste n’a pas les moyens de se créer un site mobile, il peuttout de même utiliser les réseaux sociaux comme Facebook,par exemple, qui o re un support de promotion et de di usionper ormant et qui est surtout accessible sur l’ensemble dessupports numériques (ordinateur, mobile, tablette…)

Le mobile doit servir, particulièrement, comme un outil deprospection. N’importe où, l’artiste ou le an pourra aire écouterune chanson ou montrer une vidéo à un prospect. I

l aut donc imposer le QR code de l’artiste sur le plus de supports« print » pour augmenter sa visibilité.

Il aut penser à une carte de visite ou à des autocollants avec QRcode pour inciter les gens à découvrir l’univers musical de l’artisteet pour leur aciliter l’accès aux in ormations utiles.

La vidéo mobile :Utiliser de pré érence YouTube pour di user des vidéos car leormat de lecture est compatible avec la majorité des mobiles

alors que d’autres sites mobiles utilisant le ormat ash parexemple ne sont pas lus par les supports mobiles Apple (iPhone,iPad).

Flash code :Cet outil permet de créer une dynamique autour des supports decommunication papier. Imposer un QR code sur une afche ouun yer par exemple, o re pour un passant averti (et ils le sont deplus en plus) un contenu numérique complet.

L’artiste peut en e et proposer l’accès à un site internet mobileou classique, et ainsi, à une in nité de contenus type audio, vidéo,texte, photo et en allant plus loin de la réalité augmentée.

Il est important de noter que ce dernier outil est très coûteux caril nécessite le développement d’un programme in ormatiquemobile.

Ce programme utilise la camera pour aire apparaitre une imagevirtuelle à la place du QR code lmé.

Ce type d’outil peut, dans le cadre de la promotion d’un artiste(muni d’un gros budget) aire apparaitre par exemple, un avatarqui pourrait danser sur la musique de l’artiste.

Dans un environnement local et dans la promotion d’un artiste àrayonnement régional, le QR code doit être principalement utilisépour générer un intérêt chez les mobinautes.

Il aut arriver à capter au plus vite l’attention de ce an potentielcar même s’il a ashé le code de son propre che , il est le plussouvent dans une situation de mobilité.

Le conseil est de lui aciliter l’accès au contenu audio et pour êtreencore plus per ormant vers le contenu vidéo. La vidéo est un bonrelais à l’afche car il peut générer du tra c sur les événements. Lemobinaute se ait directement un avis sur la prestation physiquede l’artiste et peut décider ainsi s’il a envie de se rendre à sonconcert pour pro ter pleinement de se qu’il a pu entrevoir sur lemobile. Il semble intéressant de monter la vidéo de promotion à

la açon d’un teaser.

L’idée est de aire augmenter l’envie par la curiosité et derelayer l’in ormation découverte sur ses réseaux pré éré.

MOBILE&MUSIQUE

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M O B

I L E & M U S I Q UE

3 - Favoriser la viralité

Aujourd’hui le mot « buzz » est partout et chacun se demandecomment créer de la viralité autour d’une cause. Selon GeorgesChétochine dans son livre « To buz or not to Buzz » la solutionpourrait être de rémunérer « l’évangélisation » pour augmenter lebuzz. En d’autres termes, il aut arriver à motiver des internautesou des mobinautes à relayer le plus le message et pour cela nouspouvons leur o rir une certaine récompense.

Dans le cadre du marketing mobile musical, cette technique peut,sans nul doute, être adaptée pour permettre de aire connaîtreun groupe par la viralité.

Une sorte de jeu-concours peut être mis en place. Le but estsimple, plus le mobinaute « ait tourner » l’in ormation plus il ades chances de gagner des places de concerts.

Si nous prenons le cas du réseau social le plus in uent en cemoment, Facebook, nous pouvons acilement proposer aux ans

de « taguer » un maximum de contacts sur l’afche numériqued’un événement et les personnes qui marqueront le plus d’amissur cette afche remporteront une place de concert par exempleou un objet personnalisé à l’efgie du groupe.

4 - Pro ter de la nouveauté :

Pour être pleinement efcace, il peut être très avantageux dechercher à générer des rédactionnels avorables en envoyant uncommuniqué de presse aux journalistes spécialisés.

Peu d’artistes ont mis en avant une stratégie de marketing mobileet le caractère novateur d’une telle démarche peut séduirequelques rédacteurs qui se eront un plaisir de mettre en avantcette initiative.

V O S C I B L E S

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FLASH LE QR CODE ET RETROUVE TOUTES

LES INFOS DU “PETIT GUIDE DU ZICOS 1D”

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LEXIQUE DU WEB MUSICAL

Airbuzz: la première plate orme de promotion et dedi usion musicale sur mobile.

Artistdata : Un portail permettant une mise à joursimultanée des dates de spectacles sur plusieurs sites web.

Bandcamp : Le meilleur endroit sur le web pour votreband. C’est eux qui le disent.

Band Metrics : Semblable à Google Analytic, maisconcentré uniquement sur le domaine musical. Ils sont aussiles créateurs du ormat MDEF que vous croiserez sûrement trèsbientôt.

CdBaby: Un service de distribution physique et numériquede vos projets. Plus de 100 millions de dollars payés directementaux artistes.

Facebook :Surtout pour ses multiples applications intégrées. Aujourd’hui, ilest le site numéro un lorsqu’on parle de réseau social. Il o re unepanoplie de « plugins » qui vous permettront de bien promouvoirvotre musique

Flickr: Un site pour l’entreposage de vos photos de groupe,de spectacles, de studio, etc.

Google Analytic: Un outil qui permet de répondre àplusieurs de vos questions concernant les visiteurs qui cliquentsur votre page web. Indispensable pour tous les sites con ondus.

Gydget : Un système de « widget » gratuit, qui vous permetde mettre en ligne vos chansons.

Indiepool : Une compagnie canadienne qui o re ladistribution numérique et qui abrique l’album à l’achat. Fini lesboîtes de CD empilées dans le salon!

Nimbits: La table de marchandises internationales. Mettezen ligne tous vos produits dérivés.

MySpace: Quoique bientôt désuait, le site demeure d’uneimportance capitale car il se retrouve souvent dans les premiersrésultats de recherche sur Google lorsqu’on inscrit votre nom.

Reverbnation : Le site web le plus complet à ce jour.Plusieurs outils intéressants, tous au même endroit.

Sonicbids : Les dossiers de presses électroniques (EPK)sont de plus en plus populaires. Ce site o re un service dequalité.

SoundCloud : Un outils qui vous permet de partagervotre musique et de la aire voyager un peu partout sur la Toile.

Tubemogul : Un portail vous permettant de distribuervos vidéos sur les 18 sites les plus populaires de l’heure.

Tunecore : Un service de distribution numérique à prixxe. Vous payez un montant annuel et par la suite, tous les

revenus découlant de vos ventes de chansons vous reviennenten totalité.

Tumblr : Un site qui tente d’o rir le tout-en-un du web.J’aime bien, mais il reste à voir si la communauté va l’adopter, elleaussi.

Twitter: Un site de micro-blogue vous permettant de resteracti , d’échanger avec vos ans et les gens du domaine musical entemps quasi-réel.

Vimeo: Le cousin de Youtube qui vous permet de partagervos vidéos.

Wordpress: L’outil par exellence,car il est le plus completpour vous créer un blogue et même un site internet complet.

Youtube : Il est primordial de créer votre propre canalYoutube. C’est votre Musique Plus à vous.

MOBILE&MUSIQUE

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Pépin Thibault24, boulevard Général Gallieni, 38100 Grenoble

(responsable marketing musical et mobile - Société AIRBUZZ)

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Il était une fois, votre meilleur ami musicien...

Comme il n’avait pas eu la chance de s’entendre avec une maison de disque compétente,il décida de sortir son album par lui-même.

Un an plus tard, des dizaines et des dizaines de boîtes de CD traînaient dans son salon.Il entendait des histoires horribles :«C’est une crise du disque sans précédent, c’est le bouleversement de l’industriemusicale»

Comme il ne connaissait pas les outils et les moyens essentielspour bien promouvoir sa musique, ses disques vécurent heureux etéternellement ...... comme substitut de table à café dans son appartement.

Cette histoire ne sera pas la vôtre...