expédition amazonie

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12 JOURS D’EXPÉDITION AU COEUR DE L'AMAZONIE Sur une rivière sauvage de la forêt primaire dense à plus de 6 heures de 4x4 de la civilisation, en totale autarcie, encadrés par une équipe de guides expéri- mentés ayant une parfaite connaissance de la faune et de la flore. La rivière Rio Azul se jette dans la rivière Sao Benedito qui rejoint la rivière Teles Pires, un affluent de l'Amazone. Ce sont des rivières sauvages, intimes, au coeur de la forêt et pro- tégées, car entrecoupées de sauts de plu- sieurs mètres de hauteur formés par des ruptu- res le long de failles transversales dans le pla- teau gréseux amazonien. Presque personne ne va là, sauf quelques fous de pêche sportive qui vont assouvir leur passion dans ces lieux ou- bliés de la civilisation où l'on ne rencontre presque personne. L’expédition part de Alta Floresta, une ville de pionniers qui n'était encore il y a moins de 40 ans qu'un poste avancé où les trafiquants d'or régnaient en maîtres en dehors de toute loi. De là, il faut 6 heures de 4x4 pour rejoindre la rivière. Nous emporterons tout sur les ba- teaux : matériel pour le campement, carburant, vivres, filtres par gravité de 0,2 microns pour l’eau potable, quelques conserves et surtout le matériel de pêche. Il faudra se passer de ce qui est oublié. Au programme, découverte de la nature. A bord des bateaux et parfois à pied pour tenter d'approcher les capivaras , les coatis, les jaca- rés (caïmans), les loutres, les dauphins roses de rivière, et bien entendu, des milliers d’oi- seaux tels que cormorans, darters, martins pêcheurs, hoatzins, jacu, jabiru, urubu, spatu- les roses, ibis, aigles, aras, toucans, perru- ches, gavotas (espèce de mouette), sans ou- blier le tuyuyu, la plus grande cigogne au monde et le plus gros oiseau volant du Brésil. Il y a plus de 400 espèces d’oiseaux dans la région. Partout des papillons multicolores ex- traordinaires, et bien entendu, de nombreuses espèces de poissons, parfois d'une taille im- posante, et qui constitueront la base de la nourriture (hors fruits et légumes secs). L'encadrement sera de 7 personnes dont 6 peuvent chacun guider dans la forêt vierge pour un maximum de 9 participants. [1] La jungle généreuse Vous apprendrez (comme Béné- dicte sur la photo) comment les indiens se nourrissent dans cette nature, là où les novices ne trouvent rien … Parfois on trouve même du miel sauvage. EXPÉ AMAZONIE 18 août au 4 septembre 2011 (18 jours Paris-Paris) L’aventure au Brésil Deux semaines d’expédition sur une rivière d'Amazonie, dans une région où la nature règne en maître.

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Séjour Nature en Amazonie - DATES A LA DEMANDE À PARTIR DE 6 PERSONNES

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12 JOURS D’EXPÉDITION AU COEUR DE L'AMAZONIE Sur une rivière sauvage de la forêt primaire dense à plus de 6 heures de 4x4 de la civilisation, en totale autarcie, encadrés par une équipe de guides expéri-mentés ayant une parfaite connaissance de la faune et de la flore.

La rivière Rio Azul se jette dans la rivière

Sao Benedito qui rejoint la rivière Teles Pires,

un affluent de l'Amazone. Ce sont des rivières

sauvages, intimes, au coeur de la forêt et pro-

tégées, car entrecoupées de sauts de plu-

sieurs mètres de hauteur formés par des ruptu-

res le long de failles transversales dans le pla-

teau gréseux amazonien. Presque personne ne

va là, sauf quelques fous de pêche sportive qui

vont assouvir leur passion dans ces lieux ou-

bliés de la civilisation où l'on ne rencontre

presque personne.

L’expédition part de Alta Floresta, une ville

de pionniers qui n'était encore il y a moins de

40 ans qu'un poste avancé où les trafiquants

d'or régnaient en maîtres en dehors de toute

loi. De là, il faut 6 heures de 4x4 pour rejoindre

la rivière. Nous emporterons tout sur les ba-

teaux : matériel pour le campement, carburant,

vivres, filtres par gravité de 0,2 microns pour

l’eau potable, quelques conserves et surtout le

matériel de pêche. Il faudra se passer de ce

qui est oublié.

Au programme, découverte de la nature. A

bord des bateaux et parfois à pied pour tenter

d'approcher les capivaras , les coatis, les jaca-

rés (caïmans), les loutres, les dauphins roses

de rivière, et bien entendu, des milliers d’oi-

seaux tels que cormorans, darters, martins

pêcheurs, hoatzins, jacu, jabiru, urubu, spatu-

les roses, ibis, aigles, aras, toucans, perru-

ches, gavotas (espèce de mouette), sans ou-

blier le tuyuyu, la plus grande cigogne au

monde et le plus gros oiseau volant du Brésil. Il

y a plus de 400 espèces d’oiseaux dans la

région. Partout des papillons multicolores ex-

traordinaires, et bien entendu, de nombreuses

espèces de poissons, parfois d'une taille im-

posante, et qui constitueront la base de la

nourriture (hors fruits et légumes secs).

L'encadrement sera de 7 personnes dont

6 peuvent chacun guider dans la forêt vierge

pour un maximum de 9 participants.

[1]

La jungle généreuseVous apprendrez (comme Béné-dicte sur la photo) comment les indiens se nourrissent dans cette nature, là où les novices ne trouvent rien … Parfois on trouve même du miel sauvage.

EXPÉ AMAZONIE18 août au 4 septembre 2011 (18 jours Paris-Paris) L’aventure au

BrésilDeux semaines d’expédition sur une rivière d'Amazonie, dans une région où la nature règne en maître.

L’activité reine : la pêcheLa pêche est certainement l’activité reine,

ne serait-ce que pour des raisons purement

alimentaires. Mais c’est aussi l’activité reine

car cette région est le paradis des pêcheurs.

En effet, si visiter la région Rio Sao Bene-

dito est exceptionnel pour tous les amoureux

de la nature, y pratiquer la pêche est quelque

chose de totalement magique. Des poissons

comme le pirarara (photo ci-contre en haut à à

gauche) ont une taille de capture minimale de

90 cm, et celui-ci fait 1m15 pour 30 kilos.

Certaines autres espèces peuvent atteindre

100 kilos. Bien entendu, une fois les repas

assurés, les poissons capturés sont relâchés

dans la tradition de la pêche sportive.

D’autres poissons procurent des sensa-

tions très fortes de pêche sportive tel l’aruana

qui peut atteindre 1m de longueur et fait des

sauts hors de l’eau lors de la capture, le tucu-

naré qui se bat bien ou le cachorra aux dents

redoutables.

Même les débutants auront la possibilité

de pêcher, et nous garantissons des moments

d’émotions fortes lors de la séance de capture

de piranhas avec une simple ligne à la main

(oui, même les débutants) le jour où notre

cuisinière nous préparera la soupe de piranha,

un plat qu’on ne trouve probablement pas très

souvent en France.

Connaître la natureDès l’arrivée sur une plage, vous verrez

tout l’encadrement commencer par se balader

comme pour trouver des champignons. En fait,

ils regardent les traces sur le sol pour voir les

animaux qui sont passés. Le sable est comme

un livre où se fixent les scènes de vie que le

néophyte ne peut voir. Vous pourrez commen-

cer à apprendre à lire ces messages que nous

lance la nature et à savoir identifier quelques

uns des animaux.

D’autres activités sur la nature sont pré-

vues. Les lianes qui contiennent de l’eau pota-

ble pour le voyageur assoiffé, le miel sauvage,

certaines plantes médicinales, et vous assiste-

rez peut-être à des scènes étonnantes comme

l'appel des loutres géantes d'Amazonie qui

viennent alors à proximité pour une conversa-

tion parfois orageuse entre ces animaux et les

hommes qui viennent perturber leur territoire.

Vous verrez de somptueux couchers de soleils

et nous irons taquiner les caïmans pour que

vous puissiez les admirer de près.

Un campement confortableLes célibataires seront logés dans une

tente deux place en single, et les couples dans

une tente 4 places. Et pour tous, matelas et

sac de couchage ou hamac selon la configura-

tion du terrain. Votre aide pour installer le

campement sera la bienvenue, mais si vous

n’avez pas envie ou que vous partez pêcher,

l’équipe d’organisation se chargera de tout

tandis que vous vous reposez.

[2]

N A T U R E

Apprendre à voir et à com-prendre La langue de nos guides de rivière est le brési-lien. Mais Jérome, notre chef d’expédition est Français et traduira les questions et les explica-tions pour apprendre à voir et reconnaitre ce qui est un livre écrit sur le sable et à identi-fier les oiseaux, animaux et poissons.

Deux semaines d’expédition : 1880 euros de Alta Floresta à Alta Flo-resta. Supplément Single offert.L’expédition commence à Alta Floresta, Mato

Grosso, Brésil. Vous pouvez choisir l'organisa-

tion complète de Paris à Paris (2995 euros).

L’expédition doit comporter un minimum de 7

personnes et un maximum de 9.

jeudi 18 août 2011

Départ de PARIS (pour ceux qui ont pris le

transport avec D'Aventure & CO)

vendredi 19 août

Arrivée à Cuiaba et bus de nuit pour Alta Flo-

resta (pour ceux qui voyagent avec D'aventure

& CO)

samedi 20 aout

JOURNÉE DE RENDEZ-VOUS A ALTAFLO-

RESTA POUR TOUS

Arrivée à Alta Floresta, visite du petit jardin

botanique local et courses des produits non

frais (conserves, fruits et légumes hors froid,

vin, …). Nuit au petit hôtel du bout du monde

"Pyramides"

dimanche 21 aout

Le matin, dernières courses (glace pour la

glacière, bière, viande, produits frais) et départ

pour la rivière bleue (environ 6 heures par des

pistes parfois à peine tracées au bulldozer).

Installation dans le premier camp

lundi 22 aout

Acclimatation à la forêt : marche avec les gui-

des pour identifier les types de végétation, et

acquérir les réflexes de comportement de

base dans la jungle. Nuit premier camp.

mardi 23 aout : 1er jour sur l’eau

Lever tôt la matin, pliage du campement et

départ sur le Rio Azul jusqu'à la jonction avec

le Rio Sao Benedito. Installation du camp

pour deux nuits. Nuit deuxième camp.

mercredi 24 aout

Promenade sur le Rio Verde, pêche.

Nuit deuxième camp.

jeudi 25 aout

Navigation avec passage du saut Tamasu et

des rapides aval au saut. Nuit au troisième

camp

vendredi 26

Journée de repos avec bains hydrothérapie

dans les cascades naturelles de la rivière. Nuit

au troisième camp.

samedi 27 aout

Navigation jusqu'après les rapides du camp

Sao Benedito. Nuit quatrième camp

dimanche 28 aout

Journée de repos, marche dans la forêt, pê-

che (réparation et séchage des barques qui

risquent d'avoir souffert dans les rapides).

Nuit quatrième camp.

lundi 29 aout

Navigation vers le camp final

mardi 30 aout

Excursion en barque jusqu'à la jonction Teles

Pires. Nuit camp final.

mercredi 31 aout

Retour à Alta Floresta (6 heures de 4x4)

Nuit Pyramides

jeudi 1er septembre

DERNIERE JOURNEE HORS TRANSPORT

Journée pique-nique près de Alta Floresta

(sert de journée tampon en cas de problème

pendant le retour de la veille). Le soir, bus de

nuit pour Cuiaba. Hotel Pyramides ou bus.

jeudi 2 septembre

Journée de repos à Cuaiba (en général, les

bus arrivent trop tard par rapport aux départs

vers la France). Nuit à Cuiaba

vendredi 3 septembre

Retour vers la France

samedi 4 septembre

Arrivée à PARIS

[3]

Organiser une expéditionOrganiser une expédition en mi-lieu totalement sauvage ne s'improvise pas : c'est quelque chose qui nécessite une grande expérience et une capacité d'adaptation de tous les ins-tants. Il faut tout emmener, car il n'y a rien que l'on puisse rem-placer en forêt à cette distance de la civilisation. L'organisation est spécifique à chaque fois, en repréparant le matériel. Le nombre de visiteurs pour une expédition est entre 7 et 9 .Pour des contraintes de poids sur les barques, vous devrez avoir un sac allégé et étanche (une liste sera indiquée aux par-ticipants) et si vous combinez cette expédition avec un voayge plus long au Brésil, vous pourrez laisser la "grosse" valise à Alta Floresta.

Responsabilité Agence :L'agence D'Aventure and Co ga-rantit le voyage de façon géné-rale, mais chaque participant doit être parfaitement conscient qu'il s'agit d'un séjour en milieu totalement sauvage. D'Aventure and Co et les réceptifs feront de leur mieux pour vous éviter les dangers inhérents à l'expédition mais ne pourront pas les sup-primer.Les participants devront donc signer une décharge de respon-sabilité à l'agence indiquant qu'ils sont parfaitement con-scient de ces risques inhabituels dûs à l'univers de la forêt vierge amazonienne.D'Aventure and Co, licence n°LI 092 08 0015, RCP Agence et Evénemen-tiel AGF 434 126 29, APS. Adresse : 80, rue Laugier 75017 PARIS, Tél : +33 (0)1 43 18 38 54 [email protected]

Condition physique :Il n'est pas besoin d'être sportif, mais simplement d'être mobile et autonome. Le port du gilet est obligatoire en navigation.Aucune participation aux cor-vées domestiques ou logistiques n'est impérative.

Non compris : assurances, dé-penses personnelles, pourboires.

Une équipe expérimentéeJérôme Siffredi, le chef d’expédition, a

une expérience de plus de 25 ans d’organi-sation d’expéditions nature dans tous les coins du globe, et en particulier dans diffé-rents pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique du Sud et parfois dans des conditions extrê-mes et par tous les temps. Même si les expéditions Amazonie sont purement éco-touristiques, il est rassurant de savoir qu’il est un guide de chasse professionnel re-connu et qu’il est à même de reconnaître les dangers de la nature et expérimenté pour les affronter.

Josué, Joas et Ozeias sont trois frères passionnés de la jungle amazonienne où ils ont vécu enfants. Ils en connaissent bien les secrets. Ils ne parlent que le portuguais, mais arrivent à comprendre un peu l'espa-gnol. Les français leur parlent donc portu-gnol.

L'accompagnateur français est Co-rinne Martin, rompue aux organisations extraordinaires là où il n'y a rien à priori. Ce sera sa première participation à une expé-dition en Amazonie, mais elle va certaine-ment trouver de nouvelles idées pour la plus grande joie des participants. Jérôme Josué

LA PÊCHE DANS LE RIO JAVAÉLa pêche dans le Rio Javaé, une activité ac-cessible même aux débutants.

Les poissons les plus courants, ce sont bien entendu les piranhas. La rivière en est pleine, mais contrairement à l’imagerie que l’on peut en avoir, le piranha n’est pas le prédateur suprême et constitue au contraire une nourri-ture de choix pour de nombreux prédateurs, dont en particulier les gros poissons.

On distingue surtout deux espèces de piranhas dans la région sous des appellation purement locales. Le piranha rouge (piranha vermelha) est le Pygocetrus nattereri. C’est

l’espèce la plus commune que l’on retrouve en bancs de plus de 100 individus. C’est un pois-son dangereux dans certaines circonstances car ses dents sont très coupantes. Mais la plupart du temps, on peut se baigner à côté de ces piranhas sans qu’ils n’attaquent l’homme. C’est un poisson très apprécié, même si la grande quantité d’arêtes ne le rend pas facile à préparer. La “soupe de piranha” (caldo de piranha) est considérée comme aphrodisiaque, mais est surtout un plat délicieux. La pêche du piranha rouge est assez amusante. Il suffit d’un simple fil plombé, avec un gros hameçon et surtout un bas de ligne en acier de 20cm et un appât avec un bout de poisson (y compris piranha) ou de viande quelconque, le tout sans canne. On lance, on compte jusqu’à deux, et

on ramène en donnant un coup sec pour “ferrer”.

Le piranha noir (piranha preto) est le Serrasalmus rhom-beus. Il est plus gros que le piranha rouge et est plus soli-taire. C’est un poisson qui peut atteindre 40cm. On l’attrape plus avec un lancer et un leurre plongeant.

Les gros poissonsOn trouve de très gros

poissons dans la région. Celui que l’on trouve relativement facilement est le Pirara (Phracto-cephalus hemioliopterus). C’est un gros pois-son sans écaille de la famille des Pimelodidae qui possède une tête osseuse énorme. C’est un des poissons sans écailles les plus colorés de la région, avec un dos entre chatain et vert, des flancs jaunes et un ventre blanc. C’est un poisson qui peut atteindre plus de 1,50m et

peser plus de 50 kilogrammes. La légende dit que c’est un poisson qui attaque l’homme, surtout les enfants. Sa chair est ferme, rosée, sans arête et ne sent absolument pas le pois-son. Coupé en larges tranches, on peut prépa-rer le pirara comme du veau. La taille de prise minimale est de 90cm.

Le cachorra (plusieurs espèces du genre hydrolycus dont H. Scomboreides) est un poisson aux dent inférieures impressionnantes

se rangeant dans des étuis de la mâchoire

supérieure lorsque la bouche est fermée. C'est un poisson délicieux grillé, mais qu'il ne faut pas couper en darnes, du fait de ses arêtes longitudinales.

La pêche sportiveLe poisson le plus renommé en pêche

sportive dans la région est le Tucunaré (Cichla spp.). En fait, il existe plusieurs espèces de Cichla qui portent toutes le nom générique de Tucunaré : C. temensis, C. monoculus, C. orni-censis, C. intermedia. Les américains le nom-ment “Peacock Bass” et si la région com-mence à être connue aux USA, c’est pour la pêche du Peacock Bass.

L’Aruana (Osteoglossum bicirrhosum) se trouve souvent dans les aquarium sous forme de petits alevins d’ornement. C’est un poisson spectaculaire car, lorsqu’il est pris, il réalise de grands sauts hors de l’eau. Mais il n'est pas comestible.

[4]

Le droit de pêcherIl suffit d’acheter la carte de pêche pour

être en règle. Tous les participants rece-

vront leur carte de pêche. La réglementa-

tion locale distingue la pêche pour se

nourrir et les limites autorisées pour ra-

mener du poisson chez soi. Pour nos

expéditions, nous relâcherons immédia-

tement tous les poissons en dessus de la

taille minimale et tous les poissons que

nous ne pouvons pas consommer quel-

que soit leur taille.

Le matériel de pêcheIl est conseillé aux pêcheurs d’apporter

leur propre matériel de pêche (en particu-

lier canne, moulinet, leurres). Nous pou-

vons prêter du matériel pour les débu-

tants qui n’en ont pas et veulent s’es-

sayer. Pour les hameçons et les bas de

ligne, nous pourrons nous rendre le pre-

mier jour dans un magasin local pour

compléter la panoplie.

Renseignements sur les espèces que l’on peut pêcher.Les inscrits au voyage peuvent demander

à D'Aventure and Co le document décri-

vant les poissons les plus courants.