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2001 I 2005

CINQ ANS D’ACTION

au service des Saint-Germanois

SaintGermain

Saint-Germain-en-Laye I 5 ans d’action 2001-2005 I Table des matières

Table des matières

Éditorial du Maire - page 3

Chapitre I - LE RÊVE DEVIENT RÉALITÉ - page 4Le parking sous la place du Marché-NeufL’aménagement de la place du Marché-Neuf

Chapitre II - LA CULTURE BOUILLONNE - page 6Les bibliothèques multimédia et George-Sand, un duo au service de la cultureLe renouveau du théâtreUn bouillonnement de culture

Chapitre III - LES ÉQUIPEMENTS RAPPROCHENT LES HOMMES - page 8Les mesures en faveur de la mobilité

Chapitre IV - LA FAMILLE EST BIEN ACCUEILLIE - page 10L’accueil de la petite enfanceL’accueil dans l’enseignement primaire

Chapitre V - LE SPORT REGAGNE DU TERRAIN - page 12Les terrains de sport se modernisent et s’agrandissentLes amateurs de tennis ne sont pas pris de courtLes jeunes s’adonnent au skate et les boulistes à la pétanque

Chapitre VI - L’ENVIRONNEMENT S’OUVRE AU DÉVELOPPEMENT DURABLE - page 14Tous « écocitoyens »Un jardin urbain de 300.000 fleursLa préservation du patrimoine forestier

Chapitre VII - LE PLU CHASSE LE POS - page 16Le PLU, instrument de notre ambition pour la villeLa mixité sociale au cœur de la politique municipale

Chapitre VIII - LE TISSU ÉCONOMIQUE S’ÉTOFFE - page 18Le plus grand centre commercial à ciel ouvert de l’ouest parisienLes entreprises s’implantent aussiEmploi : nous sommes tous concernés

Chapitre IX - SANTÉ RIME AVEC SOLIDARITÉ - page 20L’hôpital public est sauvé !Un centre de cancérologie à Saint-GermainA l’écoute de nos aînés

Chapitre X - LA SÉCURITÉ EST PRIORITAIRE - page 21L’installation d’un réseau de vidéosurveillanceLa réouverture du poste de police municipale du Bel AirLa lutte contre l’insécurité routière

Chapitre XI - AMBITION MUNICIPALE ET MODÉRATION FISCALE FONT BON MÉNAGE - page 22

Chapitre XII - LES PROJETS D’AVENIR ABONDENT - page 23Le réaménagement du secteur du châteauLa restructuration et l’extension de la CLEF

Un nouvel élan

Jamais sans doute i l n ’aura été entrepr is autant à Saint -

Germain en s i peu de temps.

La plaquette que vous avez entre vos mains vous présente

les pr inc ipales réal isat ions de la major ité munic ipale que j ’a i

l ’honneur de conduire . Qu’ i l s ’agisse de grands projets qui intéres -

sent toute la populat ion et préparent l ’avenir , comme le parking

sous la p lace du Marché ou la b ib l i o thèque mu l t iméd ia , ou

d’act ions qui concernent votre v ie quotidienne, comme la défense

de l ’hôpital , l ’harmonisat ion des rythmes scolaires , la construc-

t ion de logements soc iaux ou la passerel le du v iaduc, nous n ’avons

qu’un seul object if : amél iorer votre qual ité de v ie .

C ’est cette ambit ion qui donne du sens à notre act ion. Et

nous nous sommes engagés à moderniser la v i l le en maîtr isant

la f iscal ité . C ’est un engagement fort s i l ’on considère les nom-

breuses contraintes qui nous sont imposées et qui s ’a lourdissent

sans cesse . C ’est pour moi , et pour toute l ’équipe qui m’entoure,

une grande f ierté de tenir cet engagement, comme tous ceux

qu i ont é té p r i s depu i s not re é l e c t i on , au se rv i ce des

Saint -Germanois .

E M M A N U E L L A MYMaire de Saint-Germain-en-Laye

Éditorial

“Nous désirons

ledit bourg et village

auquel faisons souvent

notre résidence estre

accru, multiplié, édifié

et meublé d’édifices,

meubles, ustensiles et

autres commodités.”

François Ier , au sujet de

Saint-Germain-en-Laye

Saint-Germain-en-Laye I 5 ans d’action 2001-2005 I Éditorial

Chapitre I

Le parking sous la place du Marché-NeufC’est “LE” projet, celui que tout Saint-Germain attendait, que beaucoupd’élus rêvaient de réaliser, mais auquel tous avaient renoncé devant l’ampleur etla difficulté de la tâche. Pourtant, face à l’omniprésence de l’automobile quiaccapare l’espace, il représente un enjeu vital pour l’avenir.Pour l’équipe municipale actuelle, il n’est aucun risque politique qui puisse être mis en balance avec l’intérêt de la ville et des Saint-Germanois. C’est au courage politique d’Emmanuel Lamy quel’on doit cette réalisation qui va restituer le cœur de ville aux piétons et dynamiser le commerce.

Le rêvedevient réalité

Saint-Germain-en-Laye I 5 ans d’action 2001-2005 I page 4

désespérément un emplacementlibre, souvent avant de renonceret de repartir, appartiendra définitivement au passé.

Ce parking s’inscrit dans le droitfil de la politique municipale :privilégier les piétons et la qualitéde vie en gagnant plusieurs milliers de mètres carrés sur l’espa-ce concédé à l’indispensableautomobile dans le cœur de ville.

Des piétons privilégiésdans un environnementmoins polluéE n d é c e m b r e 2 0 0 6 , S a i n t -Germain disposera d’un parkingm o d e r n e s o u s l a p l a c e d u marché. Tout en doublant lacapacité de stationnement, ilredonnera aux piétons l’espacelibéré en surface. La pollution dueaux automobilistes cherchant


Un nouveau marché surune place réaménagée

Le parking permettra de station-ner sans difficulté dans le centre-ville, au pied des commerces. Ensurface, la place entièrementr é a m é n a g é e a c c u e i l l e r a l e marché trois demi-journées parsemaine, comme auparavant.Un marché de rue sera maintenule dimanche. Le reste du temps,la place sera un carrefour de rencontre ou le théâtre d’anima-tions régulières.

L’aménagement de

la place du Marché-Neuf

Un nouvel espace de vieanimé par une fontaine

Avec la suppression des rues longeant la poste et les arcades,la place redeviendra entièrementpiétonne. A l’ouest, les arcades,plus faciles d’accès grâce à unevolée de marches redessinée,s’intègreront dans la place etaccueilleront des terrasses decafé aux beaux jours. Au centre,une fontaine animera l’espacepar ses jeux d’eau et de lumière.La place retrouvera unité etharmonie.

L e s p i é t o n s re g a g n e r o n t l e terrain abandonné autrefois àl’automobile et se réapproprie-ront l’espace. Parents avec pous-settes et enfants, personnes àmobilité réduite ou passantschargés de paquets circuleronten toute sécurité sur la place et sur les trottoirs élargis. Les discussions impromptues auhasard d’une rencontre serontautant de moments de convivia-lité que chacun aura plaisir à prolonger.

Emmanuel Lamy suit l’avancementdes travaux avec l’ingénieur chantierde Solétanche-Bachy.

Images de synthèse

Chapitre II

Les bibliothèquesmultimédia et George-Sand,un duo au service de la culture

La construction de deux bibliothèques dans une mêmeville au cours d’un même mandat est un événementexceptionnel qui marque l’importance accordée par l’équipe municipale aux moyens modernes d’accès à laculture, en particulier la lecture. Quel que soitvotre lieu de résidence, une bibliothèquemoderne est désormais à votre dispositionà proximité de votre domicile.

La culture bouillonne


La nouvelle bibliothèque propose plus de 50 000

ouvrages, CD et DVD au public.

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D e s p e r f o r m a n c e stechnologiques de pointeet une extension deshoraires d’ouverture pourune meilleure qualité deservice

La bibliothèque George-Sand,qui a ouvert ses portes en mars2002 dans le quartier du Bel Air,co n n a î t u n g ra n d s u c c è s e tcompte d’ores et déjà plus desept cents adhérents.

La bibliothèque multimédia,inaugurée en décembre 2005, estle pendant de la bibliothèqueGeorge-Sand. Implantée à côtédu théâtre Alexandre-Dumas,elle constitue un modèle d’inté-gration architecturale qui conci-lie progrès technique et respect del’environnement. Conformémentaux exigences de la municipalité,elle répond aux critères de « HauteQualité Environnementale »,notamment pour le choix desmatériaux et des méthodes deconstruction, afin de préserverl’environnement et d’économiserl’énergie. Les deux bibliothèques,

dont la durée d’ouverture a étéaccrue pour améliorer l’accueil dupublic, sont entièrement infor-matisées et fonctionnent enréseau. Les lecteurs ont ainsiaccès à plus de 50.000 ouvrages,CD et DVD situés dans l’un oul’autre édifice. Ils disposent ausside bornes d’accès à l’internetsans fil (WiFi).

Le renouveau du théâtreLa « belle endormie », avait-oncoutume de dire en parlant deSaint-Germain dans le passé. Cetemps est révolu, comme entémoignent les réal isationsmajeures de la nouvelle munici-p a l i t é . L e t h é â t r e v i b r e à l’unisson de ce renouveau. Laprogrammation entièrementrepensée propose des spectaclesattrayants, diversifiés et de qualité à tous les publics.

Les Saint-Germanois et les habi-tants des communes voisines n e s ’ y s o nt p a s t ro m p é s . L a fréquentation a littéralementexplosé, passant de 17.000 à35.000 spectateurs en trois ans.

La bibliothèqueGeorge-Sand a ouvert ses

portes en 2002.

La fréquentation du théâtreAlexandre-Dumas a doublé en 3 ans.

Un bouillonnement decultureLe renouveau touche tous lesaspects de la vie culturelle. Lamunicipalité et les associationss ’ i m p l i q u e nt c h a q u e a n n é edavantage et on ne compte plusles manifestations et animationsnouvelles, comme les Nocturna-les, à l’occasion des JournéesPatrimoine et Cadre de vie, ou lespectacle « Chœurs en fête » etles nombreux concerts organisésautour de la Fête de la musique,pour ne citer que quelques exem-ples parmi tant d’autres.

Cette volonté est relayée par lesnombreuses initiatives individuel-les et le talent des professionnels.La culture bouillonne tout au longde l’année à Saint-Germain qui vitpour et par ses habitants.

ET AUSSI …

� La restauration du tableau« L’escamoteur », attribué à Jérôme Bosch, en 2001.

� La restauration de l’égliseparoissiale Saint-Germain et de ses tableaux depuis 2001.

� La création du « prix Saint-Germain » des clubs de lecture en 2005.

� La réalisation du livre « Saint-Germain-en-Laye -Histoire d’un millénaire ».

Chapitre III


Les équipementsrapprochent les

Les mesures en faveur de la mobilité

Faciliter les déplacements, c’est accroître la liberté individuelle.Cette évidence donne tout son sens aux nombreuses actions dela municipalité en faveur de la mobilité.La passerelle du viaduc, quijouxte le viaduc ferroviaire,raccourcit et facilite les liaisons à pied et à vélo entre les deux versants de la ville. Inauguré enavril 2005, cet équipement plébis-cité par les Saint-Germanois et lesassociations de défense de l’envi-ronnement rencontre un franc succès. Pour sécuriser l’accès despiétons et des cyclistes au centre-ville, un parcours spécifique va êtreaménagé entre la sortie de la passerelle et la rue du PrésidentRoosevelt.

Le réaménagement de la placeFrahier, avec sa nouvelle hallecouverte et ses parterres defleurs rehaussant la façade réno-vée de la gare, a été mis à profit,avant la réouverture de la lignede Grande-Ceinture en décembre2004, pour créer un passage sou-

terrain qui permet aux piétons etcyclistes d’accéder directementde l’autre côté des voies en toutesécurité.

La transformation de la rue desCoches en voie piétonne, aprèsl a r u e Co l l i g n o n , l a r u e d e s

QUARTIER ALSACE-PEREIRERéaménagement de la place Frahier avec une halle couverte pour le marché.

Louviers et la rue de la Salle,concrétise la volonté municipalede favoriser les circulations douceset non polluantes. Les piétonsreprennent possession du cœurde vil le. La vie, qui irr igue etanime ces rues, donne tout sonsens à l’action de la municipalité.

PASSERELLE DU VIADUCLe centre-ville està 5 mn à vélo et à 15-20 mn à pied.

hommes

ET AUSSI …

� L’extension du parking« Centre ville – Pologne » en 2003, avec la création de 87 nouvelles places portantsa capacité à 310 places etl’ouverture d’un nouvel accès rue Grande-Fontaine.

Ville facilite et sécurise leursdéplacements à l’aide de disposi-tifs spécifiques. Depuis 2001,e l l e a d o u b l é ( d e 3 3 à 6 5 ) le nombre des places réservéesa u x h a n d i c a p é s , d e m i e u x e n m i e u x r e s p e c t é e s g r â c e aux actions de sensibilisationmunicipales et associatives, eta déjà équipé six carrefours pourles non-voyants.

Dans le domaine des trans-ports publics, diverses mesuresont été prises pour faciliter lacirculation des autobus. Ainsi,p a r exe m p l e , plusieurs feuxtricolores ont été équipés de dispositifs commandant le passageau vert à l ’approche des bus (« onde verte »). Entre 2001 et2005, la fréquentation de nos busa e n re g i s t ré u n e d e s p l u s fortes progressions de toute l’Ile-de-France.

� L’instauration detéléprocédures pour téléchargerdes formulaires ou des actesadministratifs sur le site web de la ville : elle concourt elleaussi à la liberté individuelle en permettant aux Saint-Germanois de consacrerdavantage de temps à leur vieprivée.

Création de nouvelles rues piétonnes.


L’extension des bandes cycla-bles et des voies mixtes procèdede la même volonté. En concerta-tion avec le comité « vélo », lamunicipalité a triplé le réseauvert en le portant à près de 18 km,hors chemins forestiers. Pourfavoriser la pratique du vélo, ilfaut faciliter le stationnement.La Ville crée donc régulièrementde nouvelles places de station-nement pour les deux-roues et leparc de 110 places d’ores et déjàdisponible est appelé à croîtrefortement dans les années à venir.

Première vi l le des Yvel ines àsigner une charte « Ville-Handi-cap », Saint-Germain se veutl’exemple du « bien vivre » pourtous. Cette charte, adoptée enmai 2004, officialise l’engage-ment municipal en faveur de l ’ intégration des personnes handicapées. Dans ce cadre, la

Multiplication des équipementsen faveur des handicapés.

Extension des bandes cyclableset des voies mixtes.

Chapitre IV


Des capacités en forteprogression

Une des premières préoccupa-tions des parents qui attendentun enfant consiste à trouver uneplace en crèche. Sensible à cespréoccupations, le maire a décidé,dès le début de son mandat,d’augmenter rapidement la capa-cité des établissements municipauxqui accueillaient 254 enfants,dont 212 en crèche et 42 en halte-garderie, en 2001.

Plusieurs crèches, halte-garderieet établissements multi-accueil(Bel Air, Anne-Baratin, FranzLiszt, Saint-Léger, Prieuré) ontainsi été créés, rénovés, transfor-més ou agrandis en quelquesannées dans tous les quartiersde la ville.

La ville compte désormais dix établissements pouvant accueillir320 enfants, ce qui représente un accroissement de 25 %. Avec lacrèche programmée pour 2006

L’accueil de

la petite enfance

Augmentation de 38% de la capacité d’accueil des jeunes enfants.

La familleest bien accueillie

ET AUSSI …

� Un nouveau centre de loisirs(Jean-Moulin) pouvantaccueillir 70 enfants de 2 anset demi à six ans depuis 2001.

� La signature de la Charte « Ville amie des enfants » avec l’UNICEF en 2002 pourdéfinir un cadre d’action enmatière de sécurité,d’environnement et d’accès à l’éducation.

� Toutes les écolesmaternelles équipées de jeux de cour homologués depuis la rentrée 2005.

d a n s l e n o u v e a u q u a r t i e r Gramont, sa capacité d’accueilsera portée à 350 places, soitune progression de 38 % parrapport à 2001.

Grâce à l’informatisation, les préinscriptions et les réservationsde créneaux horaires pourronts’effectuer en ligne.

Un dispositif d’accueilcomplété par un Relaisassistantes maternelles

Ce relais, mis à la disposition desfamilles dès 2001, complète ledisposit if municipal grâce à 130 assistantes maternel lesagréées qui assurent la gardepersonnalisée de 260 enfants.


La gestion des écoles primairesest du ressort des communes etc’est le secteur auquel la Ville,qui modernise continûment ses établissements scolaires, consacrela part principale de son budget.Enconcertation avec les parents et lesenseignants, la Ville mène desactions multiples qui visent tantl’accueil lui-même que la sécuritéet l’apprentissage.

Toutes les écoles de la ville ontété informatisées au cours desdernières années. Elles disposentd’une connexion à haut débit etquatre d’entre elles ont une salleinformatique. Plusieurs classes

des écoles et les programmes derénovation des établissementsprévoient désormais des disposi-tifs pour prévenir l’intrusion depersonnes non autorisées.

Enfin, les rythmes scolaires ontété harmonisés. L’expérience dela semaine continue menée en2002 dans trois établissements aété plébiscitée. Depuis la rentrée2005, toutes les écoles maternel-les et élémentaires, publiques ouprivées, ont classe le mercredimatin. Ainsi, le samedi libérépeut-il être consacré à la vie defamille.

L’accueil dans

l’enseignement primaire

� Un soutien scolaire spécialisédans quatre écoles primairesdepuis 2003, en partenariatavec l’Institut universitaire deformation des maîtres (IUFM).

� L’exercice « Pedibus » qui encourage la marche à pied pour aller à l’école.

� De nouvelles aires de jeuxpour enfants aménagées dansde nombreux quartiers.

� L’extension des locaux et des activités de la Soucoupe en 2004.

DANS TOUTES LES ÉCOLES Accès à l’informatique et à Internet.

DANS LES ECOLES ÉLÉMENTAIRES Création de self-service.

AUX ABORDS DES ECOLESDes barrières protègentles écoliers.

ont déjà participé avec succès àdes concours sur internet.

L’introduction du self-servicedans les cantines élémentairesest appréciée des élèves, desparents et du personnel, commele montre la fréquentation enhausse sensible. Ce mode de restauration, déjà adopté danstrois écoles, sera étendu à l’écoleAmpère et à l’école des Ecuyers.

La sécurité des enfants demeureune priorité constante.

La voir ie est aménagée pouraméliorer la sécurité aux abords

Chapitre V


Le sportregagne du terrain

Saint-Germain compte une soixan-taine d’associations sportives quiencadrent quelque 9000 licenciésavec le précieux concours de nomb-reux bénévoles. Pour permettreaux Saint-Germanois de pratiquerleur sport dans les meilleuresconditions, la Ville a lancé dès 2002 un important programme der é h a b i l i t a t i o n d u s t a d e Georges-Lefèvre et de sesinfrastructures sportives.

En deux ans, cinq terrains defootbal l synthétiques ou herbés ont été soit créés, soitrefaits, avec la participationfinancière de la section amateurdu PSG. Un terrain synthétique,praticable quel que soit le temps,est constamment à la dispositiondes amateurs et des scolaires.

Le terrain de hockey a faitl ’o b j e t d ’ u n e r é f e c t i o n c o m p l è t e a v e c p o s e d ’ u n nouveau revêtement synthétiqueau cours de l’été 2005. Gageonsqu’il vaudra au Saint-Germain Hockey Club, qui tient les premiersrôles en France dans cette disci-pline, de remporter de nouveauxtrophées !

Les terrains de sportse modernisent et s’agrandissent

Yvelines en 2001. Pour répondre à une demande forte, la Ville a réalisé un quatrième courtcouvert qui est entré en servicee n m a i 2 0 0 3 . C e s o n t d o n c 22 courts qui sont à la dispositiondes 900 licenciés du Tennis Clubdes Loges.Pa r a i l l e u r s, l e s c i n q co u r t sdécouverts du Bel Air ont été rénovés et pourvus d’un revête-ment synthétique procurant lesmêmes sensations que la terrebattue, mais sans ses inconvé-nients. Les 400 licenciés du TennisClub du Bel Air disposent donc denouveaux courts depuis mai 2004.

LE STADE DE LA COLLINEa été récemment aménagé et un grand projetde rénovation est à l’étude.

Le terrain de football de la Colline a été aménagé récem-ment. Afin d’étendre sa plaged’utilisation, un éclairage y a été installé en 2004. Un projetd’ensemble est à l’étude pourtransformer ce terrain en une s p a c e s p o r t i f p o u r v u d ’u n terrain synthétique avec tribuneet vestiaires.

Les amateurs de tennisne sont pas pris de courtAvec 18 courts découverts ettrois courts couverts, le stade Georges-Lefèvre comptait déjàparmi les mieux pourvus des


ET AUSSI …

� La création d’une nouvellepiste d’athlétisme en 2006.

� Les stages de découvertesportive qui permettentchaque année à quelque 600 jeunes de 7 à 10 ans des’essayer à une ou plusieursdisciplines pendant lesvacances de février, de Pâquesou d’été (juillet) avantde pratiquer en club.

Les jeunes s’adonnentau skateA la demande de jeunes prati-quants, un skate-parc a été réaliséen concertation avec le comité dequartier Alsace-Péreire. Inauguréen septembre 2003, il est très fréquenté et fait la joie des adeptesdu sport libre.

� Le Challenge d’escrime de Saint-Germain, organisépar le Cercle d’escrime local,qui réunit les meilleurspoussins et pupilles des liguesde Paris, Versailles, Nevers etHauts-de-Seine.

� Le meeting international de natation de Saint-Germainorganisé tous les ans dans lecadre de la prestigieuse VittelCup, avec l’appui du CNO.

AU STADE GEORGES-LEFÈVRERéfection complète d’un terrain avec un nouveau revêtement synthétique.

QUARTIER ALSACE-PEREIREA l’écoute des jeunes, la Ville a réalisé un skate-parc.

AU STADE GEORGES-LEFÈVRE ET AU BEL AIRLa ville propose 27 courts de tennisrénovés à 1300 adhérents.

… et les boulistes à lapétanqueUn nouveau terrain de bouleséclairé a été réalisé à proximité duterrain de football de la Colline. Lesboulistes bénéficient ainsi d’un terrain adapté à la pratique de leurpasse-temps favori.

Chapitre VI


L’environnements’ouvre au

développement durable

Anticipant la législation, elle aétendu la collecte sélective à toute la ville. Les gestes écolo-

giques des Saint-Germanoissont récompensés double-

m e nt . O u t re q u e c e t t emesure est propice audéveloppement durable,la taxe d’enlèvementdes ordures ménagères

diminue depuis cinq ans.

Si la propreté de la v i l le estl ’affaire de chaque citoyen,la municipalité ne ménage pass e s efforts, et des véhicules

municipaux, dont les « grenouillesvertes », sillonnent la ville quoti-diennement.

Pour mesurer les progrès réalisés, lemaire a fait établir un baromètrede la propreté. L’enquête menéepar un organisme indépendant en2004 a révélé que la majorité deshabitants appréciaient les effortsde la municipalité et étaientsatisfaits des progrès réalisés.

Tous « écocitoyens »

L’environnement, c’est le milieunaturel qui nous entoure, maisc’est aussi le cadre que nouscréons pour notre agrément.Respecter l’environnement, c’estdonc aussi respecter notre cadrede vie dans nos gestes quotidiens.

Forte de cette conviction et cons-c i e nt e d e n o s o b l i g at i o n s à l’égard des générations futures,la municipalité organise réguliè-rement des campagnes de sen-sibilisation, comme l’expositionsur le développement durablequ’elle a entièrement conçuepour les Journées « Patrimoine etcadre de vie » de septembre2005, et elle prend de nombreu-ses initiatives dans ce domaine.

Exposition de sensibilisation au développement durable.

Campagne de sensibilisation auprès des jeunes Saint-Germanois.


U n j a r d i n u r b a i n d e300.000 fleurs

Le fleurissement des places etjardins publics témoigne de l’im-portance accordée à l’environne-ment et au cadre de vie. A chaquechangement de saison, ce nesont pas moins de 300.000 fleursqui sont plantées par les servicesmunicipaux. Dans le même esprit,la Ville encourage les habitants àfleurir jardins et balcons en orga-nisant un concours des maisonset balcons fleuris. Entre 2001 et 2005, elle a créé près d’un hectare de nouveaux espacesverts, dont deux parcs (square de Nerval et mail du Bel Air) etinstallé 24 nouveaux jeux pourenfants qui s’ajoutent aux 86déjà existants.

La « troisième fleur » décernéeà Saint-Germain en 2003 lors du concours national des villes

fleuries récompense les effortsconjugués de la Ville et de seshabitants ainsi que la qualité deleurs réalisations très appréciéesdes Saint-Germanois et des visiteurs.

L a p r é s e r v a t i o n d upatrimoine forestier

La forêt domaniale de Saint-Germain occupe plus de 3.500 hectares, soit environ les trois-quarts du territoire communal.Consciente de la valeur inestimablede cet espace naturel, la Ville mettout en oeuvre pour le préserver au mieux . Dans le plan local d’urbanisme (voir chapitre VII),elle pérennise le classementde la forêt en zone non cons-tructible, crée une zone de protection de 50 mètres au-delà d e s a l i s i è r e e t i m p o s e s o n reboisement. Dans une vision

à long terme, elle s’est associée à l’Office national des forêts (ONF),qui gère le domaine forestier, afinde sensibiliser les enfants desécoles aux gestes écologiques.

ET AUSSI …

� Le quartier Gramont et sonjardin public.

� Rénovation du réseaud’assainissement : un premierprogramme (2003-2007) vise àaméliorer la collecte des eauxusées, à réduire au minimumles rejets polluants par tempsde pluie, et à protéger le ru deBuzot.

� Bus et véhicules municipauxroulant au GPL (gaz de pétroleliquéfié), cinq fois moinspolluant que l’essence.

aménagement du carrefour duBel Air et aménagement des franges ferroviaires en lisière deforêt pour accueillir des loge-ments sociaux et des activités économiques.

P o u r p r o m o u v o i r l a m i x i t ésociale, le PLU octroie un supplé-ment de COS (coefficient d’occu-pation des sols) de 20 % pour les logements sociaux à usagelocatif et il impose aux investis-seurs privés de prévoir 20 % delogements locatifs sociaux danstous leurs programmes.

Chapitre VII

Le PLUchasse le POS

Le plan local d’urbanisme (PLU),nouveau nom du plan d’occupa-tion des sols (POS), définit lesrègles d’urbanisme pour l’ensem-ble de la commune. Il représentedonc un document fondamentalpour l’avenir de la ville. A traversle PLU approuvé par le Conseilmunicipal en octobre 2005, lamunicipalité affiche clairementses ambitions et ses grandesorientations en matière d’urba-nisme pour les dix à quinze ans à venir.Le PLU s’articule autour de troisgrandes priorités : la protection

Le PLU, instrument de

notre ambition pour la ville

de l’environnement et l’améliora-tion du cadre de vie dans uneoptique de développement dura-ble, le développement équilibréde la commune dans tous sesquar tiers et pour toutes lesgénérations, et la promotion deson attractivité. Dans ce cadre, laVille prévoit de réaliser plusieursopérations très attendues :ré a m é n a g e m e nt d e l a d a l l e du Bel Air, aménagement du parc de la Maison Verte avec l’assainissement et la mise envaleur du ru de Buzot, aménage-m e n t d e l a r u e Saint-Léger,


QUARTIER DU BEL AIRLe réaménagement

de la dalle est à l’étude.

Concilier aménagement et respect de l’environnement.


ET AUSSI …

� Lancement d’une étude de recensement des logementsvacants du parc privé en coopération avec l’ANAH (Agence nationale pourl’amélioration de l’habitat).

� Construction prévuede 350 logements sociaux et intermédiaires.

L’équipe municipale n’a naturelle-ment pas attendu l’approbationde son PLU en 2005 pour prendredes mesures en faveur du logementsocial.

Une de ses initiatives les plus spectaculaires a consisté à lancer,à l’initiative du maire, le projetde réhabilitation des 469 loge-ments sociaux de l’Immobilière3F au Bel Air qui datent de 1974.LaVille s’est engagée activementdans ce projet en le cofinançant à

La mixité sociale au cœur de la politique de la ville

hauteur de 1,2 million d’euros eten garantissant les emprunts dupropriétaire.

Compte tenu de l’ampleur duchantier, les travaux, financés à70 % par le propriétaire et à 10 %par l’Etat, la Région et la Ville,dureront au moins jusqu’en 2007.Cette réhabilitation totale (appar-tements, parties communes etparc environnant) n’entraînerapas d’augmentation des loyers,conformément aux engagements

du propriétaire. La Ville a piloté ouaccompagné plusieurs autresopérations de réhabilitation oude reconstruction depuis 2001 :1 8 m a i s o n s r é s e r vé e s à d e sfamilles en difficulté (108, rue S a i nt- Lé g e r ) , 3 9 l o g e m e nt sconventionnés et une centainede logements pour étudiants (ruede l’Aurore), 46 logements sociaux(îlot Saint Christophe),construc-t ion d’un pet it immeuble de 26 appartements à loyers intermé-diaires (rue de Mareil).

QUARTIER SAINT-LÉGERRénovation de la voirie rue Saint-Léger.

QUARTIER DU BEL AIRLes 469 logements sociaux des 3F

sont en cours de réhabilitation.

Chapitre VIII


Le tissu économiques’étoffe

Le plus grand centrecommercial à ciel ouvertde l’ouest parisien

Avec quelque 800 magasins,Saint-Germain est le plus grand« marché » à c ie l ouver t del’ouest parisien. La profusion desb o u t i q u e s e t l a q u a l i t é d e s p ro d u i t s p ro p o s é s at t i re n td e n o m b r e u x c h a l a n d s q u i n’hésitent pas à venir de loinpour parcourir les rues commer-çantes, « lécher » les vitrines etfaire leurs achats.

Le rôle social du commercede proximité

Au-delà de sa fonction première,le commerce de proximité joue unrôle social essentiel. Il anime lesr u e s e t p o u r v o i t a u b e s o i n

d’échanges. A Saint-Germain, lecœur de ville bat au rythme dupetit commerce. Avec la flambéedu prix de l’essence, le commercel o c a l r e t r o u v e d ’a n c i e n n e s vertus. Par sa proximité, il écono-m i s e l ’é n e r g i e e t r é d u i t l a pol lution automobile, et lesclients retrouvent le goût descourses d’antan.

Le rôle d’accompagne-ment de la Ville

Si le succès du commerce localtient au dynamisme des commer-çants, la municipalité accompa-gne leurs efforts par la construc-tion ou l’extension de parkings,les rues piétonnes, les anima-tions fréquentes (Semaine dugoût, Journées « supersoldes »,etc.).

Le coeur de ville bat au rythme du petit commerce.


ET AUSSI …

� Organisation d’un Forumpour l’emploi des seniors au printemps 2006.

� Ouverture d’un Pointd’information jeunesse (PIJ)rattaché à la Soucoupe pour informer etconseiller les jeunes afin de favoriser leur insertion dans la vieprofessionnelle.

Les entreprises s’implantent aussi

Saint-Germain, réputée pour sescommerces, n’a pas à rougir deses entreprises. Le départ del’IRSID dans les années 90 a étécompensé, grâce à l’opiniâtretédu maire, par l’installation deFord France en 2002 sur l’anciensite de l ’ I RSI D rénové. C’estla plus grande implantation d’entreprise jamais réalisée àSaint-Germain.

Depuis lors, d’autres entreprisesi m p o r t a n t e s o n t c h o i s i d e s’installer à Saint-Germain ou d’yaccroître leur activité. Le parc debureaux représente désormaisquelque 120.000 m2.

Emploi : nous sommestous concernés

La Ville complète l’action de l’Etatpar l’intermédiaire de son Bureaumunicipal de l’emploi (BME) et, enintercommunalité, de la Missionlocale.

Depuis 2002, elle organise une « Course à l’emploi » en partena-riat avec les communes voisines.I l e s t d i ff i c i l e d ’e n m e s u re r l’impact, car les demandeurs peuvent trouver un emploi endehors des offres reçues pendantla course. Cependant, 81 % desSaint-Germanois avaient trouvé unemploi dans les 12 mois suivantla course de 2004.

La même année, le BME a organiséun forum « Initiatives cadres » quia permis à 800 cadres demandeursd’emploi de rencontrer des entre-prises, des sociétés d’intérim etdes associations, de recueillir denombreuses offres et d’élargir leurchamp de recherche pour mieuxs’adapter au marché.

E n 2 0 0 5 , l a Vi l l e a d o n n é u n nouvel élan à son action pour l’emploi en signant un partenariatavec le syndicat interdéparte-mental pour l’assainissement del’agglomération parisienne (SIAAP)

Une “Course à l’emploi” est organisée par la ville pour les demandeurs d’emploi.

QUARTIER HENNEMONTInstallation du groupe Ford France à Saint-Germain.

Le forum “Initiatives Cadres” organisé par la Ville facilite les contacts entre entreprises et demandeurs d’emploi.

dans le cadre de son chantier d’extension de l’usine Seine-Aval.En vertu de ce partenariat, quiporte sur plusieurs centaines de postes, tout recrutement estsoumis en priorité au BME qui propose des candidatures au SIAAPen puisant dans son fichier.

Chapitre IX


Santé rimeavec solidarité

ET AUSSI …

� Les Journées de l’Amitié etdavantage d’animations pournos aînés en 2006.

� Ouverture, en mars 2004,d’une garde médicaled’urgence à Saint-Germain lesdimanches et jours fériés(initiative conjointe de la Villeet de l’Association libérale desmédecins de santé).

� La politique de solidarité duCentre communal d’actionsociale (CCAS).

� L’aide au logement des plusdémunis et le centre dedistribution alimentaire.

L’ h ô p i t a l p u b l i c e s tsauvé !

G r â c e à l a d é t e r m i n a t i o n d’Emmanuel Lamy et à l’enga-g e m e nt d e P i e r re M o ra n g e ,député de notre circonscription,Saint-Germain conserve son hôpital avec son plateau techniqueet un service d’urgences fonction-nant tous les jours jusqu’à 22 h.Les sites hospitaliers de Poissy etde Saint-Germain désormaisf u s i o n n é s c o n t i n u e r o n t d e répondre aux besoins des 700.000habitants des deux bassins de vie.

Un projet associant les cliniques p r i v é e s L o u i s X I V e t M a r i e -Thérèse sur le site de l’hôpital publicest également à l’étude.

Un centre de cancérologieà Saint-Germain

Le projet médical retenu prévoitde lourds investissements sur les deux sites. Un centre decancérologie doté d’un équi-pement de radiothérapie à lapointe de la technique sera érigéà Saint-Germain sur un terraincontigu au parking de l’hôpital. Lechantier doit commencer prochai-nement et le centre devrait êtreprêt à accueill ir ses premierspatients dès la fin 2006 ou ledébut 2007.

A l’écoute de nos aînés

La coordination gérontolo-gique YVELENE est à l’écoute de nos aînés 24 h sur 24 et7 jours sur 7. Même si l’épisodecaniculaire de 2003 n’a pas eu deconséquences dramatiques àSaint-Germain, la Ville a décidé de mettre en place un programme de prévention en partenariatavec YVELENE. Par ailleurs, unenouvel le maison de retraitemédicalisée a été créée dans lequartier du Bel Air.

La Ville s’emploie aussi à faci-liter le maintien à domicile.A cet effet, elle assure plusieurstypes de prestations (téléassis-tance, repas à domicile, aides àdomicile et soins à domicile) dontbénéficient plusieurs centainesde Saint-Germanois.

Emmanuel Lamy et Pierre Moranges’entretiennent avec le corps médical.

Le maintien et l’aide à domicile bénéficient à de nombreux Saint-Germanois.


Chapitre X

La sécurité estprioritaire

L’installation d’un réseaude vidéosurveillance

La sécurité est un droit fonda-mental au même titre que laliberté. C’est dans cet esprit quela Ville a installé un réseau devidéosurveillance en 2004 enpartenariat avec la police natio-nale. Ce réseau de dix camérasmobiles installées en centre-villeet dans le quartier du Bel Airretransmet les images vers deuxpostes de surveillance 24 h/24.

Soucieuse du respect des libertéspubliques et individuelles, la Villea adopté une Charte d’éthique etmis en place un Comité d’éthique,allant ainsi au-delà des exigencesde la législation en vigueur.

La réouverture du postede police municipale duBel Air

La réouverture de ce poste vise àrenforcer le contact direct de lapopulation avec les policiersmunicipaux. Ce poste de policede proximité est ouvert du lundiau vendredi.

La lutte contre l’insécu-rité routière

Les risques d’accident de la routesont grands en milieu urbain, enparticulier pour les cyclistes etpour les enfants. La Ville a doncpris toute une série d’initiativesd è s 2 0 0 1 p o u r sensibi l iser

e n f a n t s e t a d u l t e s à l’insécurité routière et

repenser les aména-gements de voirie.

L e s a b o r d s d e s écoles sont sécuri-sés à l’aide de diversé q u i p e m e n t s e t

a m é n a g e m e n t s :panneaux clignotants,

barrières de sécurité,dépose-minute, etc. Dans

le reste de la ville, d’autresmesures sont prises pour amélio-rer la sécurité routière : « zones30 », miroirs aux angles des rues,modification des cycles des feuxtricolores, utilisation d’enrobésmoins glissants, etc.

ET AUSSI …

� Création d’une brigade depolice municipale de nuit en2006.

� Programme d’aménagementsde voirie pour améliorer lasécurité.

La vidéosurveillance est auservice de notre sécurité.

DANS LES ÉCOLES,COLLÈGES ET LYCÉES

Campagnes de sensibilisation àla sécurité routière auprès des

futurs conducteurs.

Chapitre XI


Ambition municipale etmodération fiscalefont bon ménageInvestir dans de grands projets et améliorer les services rendus à la population n’est pas incompatible avec une politique de modération f iscale, comme Saint-Germain en apporte la preuve.

A Saint-Germain, le taux moyend’imposition est de 10,52 %alors qu’il est de 14,19 % dans lescommunes des Yvelines de taillecomparable, soit un écart d’envi-ron 30 % (chiffres officiels de2004). Saint-Germain appliqueen outre les abattements maximaprévus par la législation pour lataxe d’habitation en faveur desfamilles.

La modération fiscale n’est pas lefruit du hasard, mais le résultatd’une utilisation judicieuse du

patrimoine et d’une gestion trèsrigoureuse. L’équilibre financierpasse par la maîtrise des dépen-ses de fonctionnement qui sanc-tionnent le « train de vie » de lacollectivité. A Saint-Germain, lesdépenses de fonctionnements’élèvent à 1080 ¤/habitantcontre 1170 ¤/habitant dans lescommunes des Yvelines de taillecomparable (chiffres officiels de2004).

Cette maîtrise des dépenses defonctionnement, qui progressent

moins vite que l’inflation, déclen-che le cercle vertueux de l’autofi-nancement et des investissements,sans alourdissement de la dette.

6,79,3 10,4

2000 2001 2005

mil

lio

ns

d'e

uro

s

Évolution del’investissement

95

100

105

110

115

2000 2001 2002 2003 2004 2005

inflation

fonctionnement

Évolution comparée de l’inflation et desdépenses de fonctionnement

33.5 32.5 29.4

2000 2001 2005

mil

lio

ns

d'e

uro

s

Évolution de la dette


Chapitre XII

Les projetsabondent

Pour améliorer encorel a q u a l i t é d e v i e à S a i n t - G e r m a i n ,la Ville s’apprête àlancer deux nouveauxprojets.

Le réaménagement dus e c t e u r d u c h â t e a u(« pôle gare »)

C’est l’un des grands projets dumandat. Les problèmes d’encom-brement devant la gare du RER etl e c h â t e a u s o n t c o n n u s d e longue date et, avec la mêmedétermination que pour le par-king de la place du Marché-Neuf,la municipalité a décidé de s’yattaquer. Ce projet d’envergure,m e n é e n p a r t e n a r i a t a v e c la Région, le Conseil général,les Directions régionale et dépar-tementale de l’Equipement, leSTIF (syndicat des transportsd’I le- de-France), la RATP etConnex (autobus), consiste àréaménager les gares routièreset à réorganiser tout l’espaceautour du château (rue Thiers,p l a c e M a l r a u x e t r u e d e l a Surintendance) pour en améliorer la fonctionnalité et la circulation.Le plus grand soin sera apporté àla phase d’étude en raison del’importance névralgique de cesecteur.

La restructuration etl’extension de la CLEF

Le centre de culture, loisirs etformation (CLEF), créé en 1984,propose une cinquantaine d’acti-v i t é s t r è s d i v e r s e s ( d a n s e ,musique, expression artistique,langues, etc.) à quelque 2.300adhérents de tous âges. Leslocaux, qui datent de 1970, nerépondent plus aux besoins de cecentre très fréquenté. La Ville adonc décidé de les restructurer etde moderniser l’équipement dansle respect des normes acous-tiques en vigueur pour ne pasgêner les riverains, ainsi qued’aménager une sa l le despectacle de 500 places. Lesétudes sont en cours. Les travauxdevraient commencer en 2006 ets’achever en 2007.

ET AUSSI …

� L’aménagement de la dalledu Bel Air.� Le programme immobilier dela Maison Verte.� L’aménagement de la rueSaint-Léger.� L’aménagement de la placede la Victoire.� Le déblocage du dossier del’A104 (« Francilienne ») entreCergy et Orgeval.� L’aménagement de la RN13 àl’entrée ouest de la ville.� L’aménagement carrefour deBel Air/rue Priolet.� La réhabilitation de laRampe des grottes.� La construction du GrandBassin dans le parc duchâteau.

Modernisation de la CLEF.

PÔLE DE LA GARE RERGrand projet de réaménagement du secteur du château.

SaintGermain

www.saintgermainenlaye.fr

Supplément au Journal de Saint-Germain n° 481Conception Mairie de Saint-Germain-en-Laye

cinq ans d’action - les ateliers · chapitre vii-le plu chasse le pos - page 16 le plu,...

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