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ATTRACTIVITE ET FIDELISATION
DES PROFESSIONNELS PARAMEDICAUX
DANS LES STRUCTURES SANITAIRES
ET MEDICO-SOCIALES
JUIN 2008
Référentiel d'aide à l'élaboration et à l'autoévaluation
de la politique d'attractivité et de fidélisation des professionnels
SOMMAIRE
INTRODUCTION 3
I – PROBLEMATIQUE ET METHODOLOGIE 4
II - DONNEES DU CONTEXTE NATIONAL ET REGIONAL 7
III - DOMAINES ET FACTEURS D’ATTRACTIVITE ET DE FIDELISATION 15
BIBLIOGRAPHIE 33
LISTE DES SIGLES 36
ANNEXES 37
GROUPES DE TRAVAIL, DE LECTURE ET DE VALIDATION 41
Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008 2
Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008
INTRODUCTION L’offre de prise en charge sanitaire et médico-sociale repose pour l’essentiel sur les ressources humaines. La question de l’attractivité et de la fidélisation des professionnels est récurrente dans un contexte de forte tension entre les exigences de qualité de service rendu à la population et les aspects démographiques et médico-économiques. Compte tenu du rôle des ressources humaines et de l’impact de leur gestion il est apparu opportun de proposer aux établissements un outil pragmatique d’aide pour optimiser leur stratégie d’attractivité et de fidélisation des professionnels. Il est réalisé dans une perspective opérationnelle. Les facteurs d’attractivité et de fidélisation identifiés restent à décliner et adapter en fonction des contextes et des spécificités de chacun. Ce document a pour objectifs :
- D’identifier les principaux facteurs d’attractivité et de fidélisation des professionnels paramédicaux dans les structures sanitaires et médico-sociales à partir des données de la littérature et de l’expérience des professionnels
- De proposer aux établissements un support d’auto évaluation des actions mises en œuvre favorisant l’attractivité et la fidélisation de leur personnel
Dans la réalité des situations de travail, tous les facteurs sont intriqués mais interviennent à des degrés divers. Aussi les actions visant à agir sur l’attractivité et la fidélisation des professionnels paramédicaux portent, dans les documents étudiés, sur un ensemble de dimensions. Les études conduites au niveau international portent principalement sur les infirmières1. Cependant, les domaines et les facteurs identifiés relatifs à l’attractivité et à la fidélisation, sont transposables à tous les professionnels paramédicaux. Généralement, les questions d’attractivité et de fidélisation se rapportent aux professionnels exerçant au plus près des malades mais elles concernent tous les grades y compris les directeurs des soins. Les résultats des études internationales relatives aux questions d’attractivité et de fidélisation convergent. Des actions et travaux ont déjà été initiés au niveau régional concernant cette problématique dont, à titre d’exemple, ceux conduits par la conseillère technique régionale en soins, le Centre régional de ressources pour l’optimisation du management et des organisations des établissements de santé (C2R), l’Agence régionale d’hospitalisation (ARH) dans le cadre de la démarche « métiers, compétences 2012 ». Aussi il n’est pas apparu opportun de réaliser une nouvelle étude spécifique au niveau régional. Le document comporte les éléments de la littérature, les données du contexte national et régional, les domaines, facteurs, actions et moyens d’attractivité et de fidélisation des professionnels et une grille d’autoévaluation pour les établissements.
1 Lire à chaque fois infirmier, infirmière.
3
I – PROBLEMATIQUE ET METHODOLOGIE Dans un contexte sanitaire en forte mutation, pour des raisons sociétales et économiques, les questions de gestion des emplois et des compétences deviennent prépondérantes. Toutes les problématiques, en relation avec la gestion des ressources humaines, invoquées sont traversées par les questions d’attractivité et de fidélisation des professionnels de la santé. Elles s’inscrivent dans le contexte général de l’évaluation des besoins de santé des populations en lien avec :
- une évolution démographique impactant la population en général (vieillissement…) et les professionnels de santé (nombreux départs à la retraite…)
- une évolution épidémiologique (prévalence de maladies chroniques …) - une disparité territoriale, organisationnelle et sociale d’accès aux soins - une consommation médicale croissante - une raréfaction des ressources financières - une tension accrue entre la demande de soins et les allocations de ressources - une nécessité de reconsidérer le périmètre d’intervention de chaque métier
existant, l’émergence de nouveaux métiers et/ou fonctions, les nouvelles compétences professionnelles …
- une implication et une exigence des usagers de plus en plus prégnante dans le système de santé
- une intrication très sensible entre les secteurs sanitaire et médico-social - une offre de prestations concurrentielle
Et, dans un contexte professionnel caractérisé par :
- une raréfaction de la ressource compte tenu des besoins de santé - une diversification des modes de prise en charge - une accélération de la production de nouvelles connaissances et leur impact sur
les technologies et les pratiques - une généralisation de l’accréditation, le principe d’autoévaluation et les démarches
pour l’amélioration des pratiques (démarches qualité, responsabilisation individuelle et collective, évaluation des pratiques professionnelles …) et leur corollaire de niveau d’exigence
- une accélération du phénomène de turn over, de nomadisme (engagement moindre des personnels) et donc de nouveaux comportements au travail à gérer
- un coût de la formation et la nécessité de « rentabiliser » l’investissement en moyens financiers et humains (temps d’encadrement, d’intégration, d’acquisition des compétences…)
- un marché du travail très ouvert avec, notamment, des différences entre les secteurs privés et publics particulièrement pour les professionnels des métiers médico-techniques et de rééducation
- une augmentation de la violence La pénurie, plus particulièrement d’infirmières et de manipulateurs d’électroradiologie médicale, repérable au niveau mondial, est en partie attribuable à des milieux de travail inadéquats et de qualité insatisfaisante. De plus, il existe des disparités importantes géographiques et territoriales, entre types de structures, disciplines médicochirurgicales, secteurs d’exercice.
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Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008
Les constats de difficultés de recrutement et de fidélisation des infirmières ont amené des chercheurs à faire des travaux portant sur les caractéristiques de nature organisationnelle qui seraient favorables à leur satisfaction au travail et à la qualité des soins. Les travaux les plus marquants ont permis de mettre en évidence des hôpitaux qualifiés d’attractifs, désignés sous le terme de « magnet hospitals »2, et d’identifier les facteurs qui les caractérisent. Par la suite d’autres études, notamment celle du Conseil international des infirmières (2007), ont permis de conforter ces facteurs et de les enrichir. Les contraintes telles que des situations de soins avec des malades relevant de problématiques complexes, le manque d’effectifs pendant de longues périodes, peuvent amener les professionnels à écourter leur carrière à l’hôpital voire dans l’exercice du métier. Les motifs d’insatisfaction au travail les plus fréquemment évoqués sont : la surcharge de travail, le sentiment de ne pas offrir des soins de qualité aux patients, l’épuisement professionnel, le manque de reconnaissance, l’absence de soutien de la part de la direction et de l’encadrement, le manque de contrôle sur le travail, des horaires difficilement compatibles avec une vie privée et de façon plus récente le niveau de rémunération. Les tensions engendrées par les motifs d’insatisfaction se traduisent par de l’absentéisme, une mobilité importante à l’intérieur d’un hôpital ou entre structures et secteurs d’activité qui pourrait être qualifiée de nomadisme professionnel dans certains cas. Les contraintes et les motifs d’insatisfaction ont une incidence sur : l’attractivité pour l’accès aux métiers, le recrutement et la fidélisation dans les structures. Cela est particulièrement vrai dans la période actuelle caractérisée par le plein emploi des infirmiers et des manipulateurs d’électroradiologie médicale. Le turn over important de personnel engendre des difficultés pour stabiliser les équipes et les compétences. Les conditions de travail impactent les résultats de soins, l’utilisation des services (ex. taux de réadmissions) et la satisfaction des professionnels et des patients. La pénurie compromet la réalisation des objectifs des systèmes de santé et limite leur capacité à répondre aux attentes des citoyens et au mandat social confié aux professionnels de la santé. L’étude de l’incidence des contraintes sur l’attractivité et la fidélisation des professionnels permet de caractériser « les environnements favorables ».
2 « Le terme de magnet hospitals a été créé dans les années 80 afin d’identifier le golden standard des soins infirmiers aux USA. Les problèmes de recrutement et de rétention vécus par les institutions de soins de santé américaines, du fait d’une grave pénurie infirmière ont provoqué le souci d’identifier un environnement de travail de qualité pour les infirmières. C’est ainsi que l’American Nursing Academy (Ana) lançait en 1982, une étude visant à identifier les hôpitaux reconnus par les infirmières comme étant de bons milieux de travail, ayant un faible turn-over infirmier et se situant dans un marché du travail compétitif. La gestion d’un magnet hospital est caractérisée par un style participatif et de soutien, dans une structure organisationnelle décentralisée et débureaucratisée. Cette gouvernance partagée (shared gouvernance) implique que les décisions relatives aux soins soient prises par le personnel de terrain et non par l’administration des soins infirmiers, ce qui permet de réduire la structure administrative de 2è ligne (cadres intermédiaires) à son minimum. La prise de décision se retrouve dans les mains de l’équipe soignante, tout en restant dans le cadre défini par la hiérarchie ». cf. Stordeur S., Attractivité, « rétention », implication des infirmières et qualité des soins. Soins Cadres, n°54, mai 2005
5
Le Conseil international des infirmières (CII, 2007) définit la notion d’environnement favorable comme « des contextes professionnels propices à l’excellence du travail dans de bonnes conditions pour l’employé. L’accent est mis sur la sécurité, la santé et le bien-être personnel, sur la qualité des soins dispensés aux patients et sur le renforcement de la motivation, de la productivité et de la performance des individus et des organisations ». Les caractéristiques des environnements favorables à la pratique sont (CII, 2007) :
- « L’application de mesures de santé, de sécurité et de bien-être au travail répondant aux risques professionnels, à la violence corporelle et psychologique et aux questions relatives à la sécurité personnelle
- Des charges de travail et des exigences professionnelles équitables et gérables, un niveau de stress tolérable
- Un climat organisationnel reflétant des pratiques de gestion et de direction efficaces, l’existence de valeurs partagées et d’un système d’entraide entre pairs, ainsi que la participation des travailleurs aux décisions
- Le maintien d’un équilibre entre vie professionnelle et vie privée - L’égalité des chances et de traitement - L’existence d’opportunités de développement professionnel et d’avancement de
carrière - La valorisation de l’identité et de l’autonomie professionnelle, ainsi que du contrôle
sur la pratique - La sécurité de l’emploi - Des salaires décents et des avantages sociaux - Des niveaux de dotation en effectifs garants de la sécurité - Le soutien et la supervision - Des communications ouvertes et la transparence - Des programmes de reconnaissance des qualifications - L’accès au matériel et aux fournitures nécessaires, la disponibilité de personnel
d’appui ». Cette liste synthétise l’ensemble des facteurs relevés par ailleurs dans les documents analysés. La méthodologie pour la réalisation de ce document repose sur les données issues de la littérature et l’expérience des professionnels. Elle a consisté, dans un premier temps, à analyser l’ensemble documentaire sélectionné afin d’en dégager les facteurs d’attractivité et de fidélisation ; dans un second temps, à soumettre la synthèse et la grille d’auto évaluation réalisées à des professionnels de la région pour vérifier leur clarté, leur pertinence et les adapter, s’il y a lieu, au contexte de l’Ile-de-France. Le groupe de lecture est composé de professionnels impliqués dans la politique de gestion, le management et les relations de travail au quotidien : directeurs d’établissement, directeurs des ressources humaines, médecins, directeurs des soins, cadres supérieurs et cadres de santé, professionnels paramédicaux. Il leur est demandé de compléter le document et de faire part de leurs commentaires et suggestions, d’indiquer si l’outil d’auto évaluation paraît opérationnel. Parmi les groupes professionnels sollicités, équivalents en nombre, les paramédicaux ont été les plus nombreux à répondre.
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II - DONNEES DU CONTEXTE NATIONAL ET REGIONAL Entre 1997 et 2005, le nombre de professionnels, en équivalent temps plein (ETP) non médicaux, a augmenté de 100 000. Cette hausse et due notamment à la Réduction du temps de travail (RTT), soit une croissance de 1,5% par an. Sur la même période, l’activité des établissements a augmenté de 1,1% par an en nombre de séjours en hospitalisation complète et de 3% pour les séjours en ambulatoire ou en hospitalisation partielle ; elle a diminué de 1% en journées d’hospitalisation. Désormais le personnel soignant représente 70% des ETP du personnel non médical contre 68,5% en 1997 (Fizzala, 2007). Les données chiffrées actuellement disponibles contribuent à une meilleure connaissance du contexte national et régional en matière d’état des lieux et de perspective d’évolution, notamment, pour les professions infirmière et manipulateur d’électroradiologie médicale. Elles concernent les secteurs d’exercice et de formation. Les chiffres doivent être examinés avec prudence car ils proviennent de sources différentes n’utilisant pas les mêmes bases d’enquête. Par ailleurs, la situation de certains secteurs d’activité (médicosocial …) est plus difficile à appréhender par défaut d’enquêtes régulières alors que ce sont des secteurs dans lesquels les perspectives de développement de l’emploi sont importantes.
Données relatives aux secteurs d’exercice professionnel
Les infirmiers
Evolution démographique Les infirmiers exercent dans de nombreux secteurs en tant que salariés ou libéraux. La répartition des professionnels en fonction des secteurs d’activité montre que 86% des infirmiers sont salariés – dont 73% dans des établissements de santé publics ou privés. Et, près de 14% exercent dans le secteur libéral.
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Tableau 1 – Répartition du nombre de professionnels en fonction du secteur d’exercice des infirmiers.
Secteur Libéral Salarié hospitaliers
Salarié autre
Libéral Public Privé Total infirmiers EPS 146 267 230 Etabl. Privé PSPH 398 28 225 Etabl. Privé 583 56 917 Centre santé 84 - 7 658 Cabinet individuel 40 085 - 1 218 Cabinet groupe 21 231 - 850 Société 4 377 - 114 Entreprise d'Intérim 192 - 10 328 Santé travail 19 - 2 602 Santé scolaire 12 - 2 469 PMI - - 1 354 Etabl. Handicapés 52 - 3 848 Etabl. P. âgées 157 - 14 784 Autres 535 - 17 912 TOTAL 67 871 352 372 63 137 483 380
(Source : données Drees au 1er janvier 2007 – document de travail / Série Statistiques) Tableau 2- Répartition des effectifs d’infirmiers spécialisés et de cadres dans un exercice salarié ou libéral.
Exercice Libéral Salarié Total Taux de l'ensemble des infirmiers
DE Puériculture 472 13 287 13 759 2,80% Infirmier anesthésiste 206 7 277 7 483 1,50% Infirmier de bloc op. 173 5 510 5 683 1,10% Infirmier cadre de santé publique
18 359 377
Cadre infirmier 196 6 913 7 109 Cadre infirmier psychiatrique 3 1 008 1 011 Cadre de santé 42 3 604 3 646 2,5% d'encadrement Selon les données officielles, le nombre d’infirmiers n’a cessé d’augmenter ces vingt dernières années (cf. tableau 3). Cependant, la progression annuelle a chuté de moitié au début des années 2000 du fait, notamment, des diminutions de quota dans les années 1990. Cette progression est passée de 2% par an avant 1998 à seulement 1% par an. Avec l’augmentation du quota des IFSI en 2000 de 43%, puis en 2003 de 13%, le taux de croissance des effectifs atteint à nouveau les 2% dès 2003 puis 3% en 2004 et 3,3% par an en 2007.
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Tableau 3 – Evolution de la démographie des infirmiers sur une période de 17 ans.
Année Effectif % 1990 304 000 1994 331 000 8,8% 1998 360 000 8,7 soit 2% annuel 2002 411 000 4,1 soit 1% annuel 2003 423 000 2,9% annuel 2005 453 000 3,4% annuel 2007 483 380 6,6% sur 2 ans
Au-delà de ces données absolues, l’analyse de la « ressource » infirmière, intégrant la mise en place des 35h à l’hôpital, l’augmentation dans les années 2000 des demandes de travail à temps partiel et de l’absentéisme, montre une diminution de près de 9% du temps de travail disponible. En valeur relative, l’augmentation ne serait plus que d’environ 1% par an, contribuant aux difficultés de recrutement qu’a connue et connaît encore, dans certains secteurs, la région Ile-de-France depuis plusieurs années. S’ajoute à cela le fait que la région soit « exportatrice » de jeunes et sans doute maintenant de moins jeunes professionnels (ARH, 2002). Rapporté à son poids démographique la région Ile-de-France représente 18,7% de la population française, le nombre d’infirmières en exercice en Ile-de-France est de 81 712 au 1er janvier 2007 (Dress, ADELI) ; soir 16,9 % de l’effectif métropolitain (483 380). L’effectif infirmier a progressé de 20 % dans la région entre 1998 et 2007.
Disparités L’Ile-de-France connaît un déficit relatif, comparée aux autres régions. La densité en infirmiers est de 708 comparée à la moyenne nationale qui atteint 785 pour 100 000 habitants. De plus, il existe des disparités entre départements et secteurs d’exercice. Les départements de grande couronne ont des densités plus faibles d’infirmières en exercice (550 IDE pour 100 000 habitants en grande couronne vs 1 300 pour Paris). La densité francilienne des infirmiers libéraux est particulièrement faible (n = 6845 soit 8,3 % de l’effectif vs 14 % au plan national).
Postes vacants En 2005 on constate une diminution de 24% des postes vacants par rapport à 2004. Celle-ci est significative dans le secteur public. Dans le secteur privé, elle n’est pas constatée ; au contraire, le nombre de postes vacants augmente de près de 15%, notamment dans les établissements privés à but non lucratifs. En 2006, 1 600 postes d’infirmier sont vacants contre 2 575 en 2005. On constate donc une nouvelle amélioration (à relativiser en partie car les bases d’enquête ne sont pas les mêmes). Le taux de vacance de postes d’infirmiers va du simple au plus du double selon le type d’établissement. Les postes vacants d’infirmiers spécialisés, IBODE et IADE, sont très élevés dans tous les types de structures, avec de fortes variations.
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Le taux de vacance de postes de cadres est particulièrement important dans le secteur public. Il est à relativiser car c’est aussi dans le secteur public que le taux de réponse à l’enquête est le plus élevé. Tableau 4 – Evolution des postes vacants entre 2004 et 2006.
Catégories
ETP 2005
Postes vacants
2005
Taux en 2004
Taux en 2005
Taux en 2006
Infirmières 37 809 2575 8% 7% 5% IADE 1 281 256 16% 20% 19%
IBODE 1 254 424 28% 34% 33% Puéricultrices 1 095 145 12% 13% 12%
Cadres inf. 5 487 552 15% 10% ? Manip. 2356 205 7% 9% 9% Kiné. 1615 170 11% 11% 13%
(Source : Postes vacants en - Enquête ARHIF – CRAMIF 2004-2005-2006). Tableau 5 – Répartition des postes vacants en Ile-de-France en fonction du statut des établissements (2005)
AP-HP
Public Privé PSPH
PNL* Privé lucratif
ETP P.V.* % ETP P.V.* % ETP P.V.* % ETP P.V.* % ETP P.V.* % IDE 16346 710 4% 15093 1368 9% 2715 263 10% 1432 31 2% 2220 201 9% IADE 615 150 24% 499 71 14% 118 21 18% 0 0 0% 48 12 25% IBODE 504 260 52% 471 99 21% 177 26 15% 0 0 0% 101 37 37% Puer. 442 2 0% 452 121 27% 127 18 14% 3 0 0% 69 4 6% Cadre santé
2181 278 13% 2043 247 12% 758 11 1% 254 0 0% 249 15 6%
* PV : postes vacants ; PNL : Privé non lucratif Tableau 6 – Répartition des postes vacants par département en Ile-de-France incluant l’AP-HP (2005).
75 77 78 91 92 93 94 95 ETP % ETP % ETP % ETP % ETP % ETP % ETP % ETP % IDE 19625 5% 2350 4% 2874 10% 2772 16% 1948 12% 2571 13% 2060 8% 2850 6% IADE 708 26% 83 12% 99 18% 79 14% 62 11% 52 13% 61 0% 112 9% IBODE 648 44% 92 8% 115 15% 89 34% 91 29% 59 36% 40 23% 94 23% Puer. 554 3% 49 14% 126 3% 76 0% 40 13% 51 24% 83 18% 92 16% Cadre santé
2688 12% 307 6% 42910 6% 339 17% 665 3% 318 13% 260 11% 381 11%
Besoins Les besoins, au niveau régional, varient selon les hypothèses retenues. Cependant, les facteurs devant être pris en compte sont : le maintien du taux de progression des effectifs constaté ces dernières années, le remplacement des départs à la retraite (le pic étant prévu pour 2012) et le solde des flux interrégionaux, l’atteinte d’une densité en personnel infirmier régional égale à la densité nationale, la réponse à de nouveaux besoins (secteur médicosocial …).
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L’ordre de grandeur avancé pour les besoins en infirmiers pour les 5 ans à venir dans la région Ile-de-France, sans tenir compte des nouveaux besoins, s’approcherait de 80 000. Pour le Centre d’analyse stratégique (anciennement Commissariat au plan) et la Dares (cf. « Les métiers en 2015 » sur www.strategie.gouv.fr ), c’est un taux de près de 4% par an qui permettrait de couvrir les besoins en évolution, car 200 000 infirmiers devraient être recrutés d’ici 2015 pour couvrir les ouvertures de postes et les départs à la retraite, au niveau national.
Les autres professionnels paramédicaux : Les manipulateurs en électroradiologie médicale
Evolution démographique
L’évolution constatée pour les infirmières vaut également pour les autres professions médicales et paramédicales, avec des variations de pourcentage. Tableau 7 – Répartition des effectifs et des taux de croissance des professions estimées déficitaires (à l’hôpital) et à fort besoin dans les prochaines années
Professions
Effectifs 2005
Taux de croissance
de 2002 à 2005
Taux de croissance
par an
Taux des plus
de 55 ans
Médecins 205 864 6,1% 1,2% 26,2% Sages Femmes 16 550 15,3% 2,9% 14,0% Infirmières 452 466 18,2% 3,4% 15,6% Masseurs Kiné. 60 364 16,0% 3,0% 21,3% Manipulateurs ER 24 512 13,5% 2,6% 13,8%
(Source : ONDPS Rapport 2005 – Tome 1 – Taux de croissance de 2002 à 2005). A noter les différences d’effectifs par catégorie, les orientations des politiques publiques (taux annuel) et les besoins à venir (taux des plus de 55 ans). Les manipulateurs d’électroradiologie médicale sont au nombre de 5 543, en exercice en Ile-de-France, au 1er janvier 2007 (cf. tableau 8). Ils représentent 21,43 % de l’ensemble des professionnels du territoire national dont le nombre total est de 25 861. Les tranches d’âge allant de 25 à 49 ans représentent 63 % de l’effectif. Tableau 8 – Evolution des manipulateurs d’électroradiologie médicale sur une période de 4 ans.
Année
Nbre de
Prof. IDF
France
Métropolitaine
%
Taux de
Féminisation IDF
Densité France
Métropolitaine
Densité
IDF
25 à
49 ans
50 à
59 ans
2004 5 249 23 928 21,93 77,3 40 47 71 % 22,2 %
2005 5 309 24 512 21,65 77,2 40 47 68,5 % 23,7 % 2006 5 387 25 091 21,46 77,3 41 47 66,1 % 24,7 % 2007 5 543 25 861 21,43 76,5 42 48 63 % 25,8 %
(Source Drees, n°108 mars 2007).
Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008 11
Pour les manipulateurs d’électroradiologie médicale : il n’y a pas d’exercice libéral. La répartition des professionnels en fonction des secteurs d’activité montre que : 75 % sont salariés dans des établissements publics ou privés, 19 % dans des cabinets de radiologie et 6 % dans d’autres structures (centres de santé, dispensaires …). Les domaines d’activité se répartissent de la manière suivante :
- 80 % en imagerie - 14 % en radiothérapie - 5 % en médecine nucléaire
Disparités La densité régionale en manipulateurs d’électroradiologie médicale, en Ile-de-France, est supérieure à la moyenne nationale. Elle est de 46,88 en Ile-de-France et varie de 32,93 à 51,07 pour 100 000 habitants sur le territoire français.
Postes vacants En 2005, en Ile-de-France l’effectif en manipulateurs d’électroradiologie médicale est de 2356, 205 postes sont vacants soit 9 %. Il n’est pas constaté d’évolution entre 2004 et 2005. Actuellement, les difficultés à pourvoir les postes de kinésithérapeutes dans les établissements de santé sont davantage liées au choix des professionnels d’exercer dans le secteur libéral plutôt qu’un déficit en professionnels disponibles.
Besoins Dans les 10 prochaines années, on peut s’attendre au départ à la retraite d’au moins 25 % des manipulateurs d’électroradiologie médicale.
Données relatives à la formation Tableau 9 - Répartition des instituts de formation des professionnels paramédicaux sur le territoire national et en Ile-de-France
Instituts
Nombre sur le territoire national
Nombre en Ile-de-France
%
IFSI 333 63 18,91 %
IFMEM 18 3 16,66 %
[Sections Diplôme de technicien
supérieur d’imagerie]
3
IFMK 37 10 27,02 %
IFCS 37 5 13,51 %
Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008 12
Le quota national défini est de 30 000 étudiants infirmiers. Le quota régional est de 6 540 étudiants infirmiers soit 22 % par rapport au quota national. Cependant, il existe un écart important entre les chiffres du quota, le nombre d’étudiants admis en 1ère année et le nombre d’infirmiers diplômés à l’issue de la formation (non réussite aux épreuves, abandons en cours de formation …). En IFSI : Tableau 10 - Répartition de l’évolution des quotas, des effectifs des étudiants inscrits en 1ère année dans les IFSI en Ile-de-France et des infirmières diplômées. [Les étudiants diplômés une année donnée peuvent avoir commencé leur formation plus de 3 ans avant –redoublement, interruption…]
2000 2001
2001 2002
2002 2003
2003 2004
2004 2005
2005 2006
2006 2007
Quota
5800
5800
5800
6540
6540
6540
6540
Nombre d’entrées
4382
5274
5090
5190
5295
5410
5251
Nombre d’infirmiers
diplômés 3 ans après
3854
3873
4264
4096
4188
NA
NA
Le taux de réussite au Diplôme d’Etat d’infirmier est de l’ordre de85 à 88 %. En IFMEM : Tableau 11 - Répartition de l’évolution des effectifs des étudiants inscrits en 1ère année dans les IFMEM en Ile-de-France
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008
Total 98 104 100 94 109 155 134 146 155
Parallèlement, les sections DTS d’imagerie médicale et radiologie interventionnelle ont vu leur effectif croître de manière importante. En 2008 : 155 inscrits en 1ère année de diplôme d’Etat et 175 inscrits en DTS d’imagerie. Le taux de réussite au Diplôme d’Etat est généralement de l’ordre de 100 %. En IFMK : Tableau 12 - Répartition de l’évolution des quotas sur 4 ans dans les IFMK en Ile-de-France 2004 2005 2006 2007
France 1 655 1 867 1 889 1 929 Ile de France 466 531 531 531
Le nombre d’étudiants admis dans les IFMK correspond aux quotas. Le taux de réussite au Diplôme d’Etat se situe généralement entre 90 et 95 %.
Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008 13
Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008 14
Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008
III - DOMAINES ET FACTEURS D’ATTRACTIVITE ET DE FIDELISATION Les domaines et les facteurs d’attractivité et de fidélisation issus de la littérature et de l’expérience des professionnels sont regroupés en six principaux domaines : le recrutement et l’accueil des professionnels, la valorisation des compétences, l’évolution professionnelle, les conditions de travail, le management3, la dynamique d’établissement. Les illustrations ont été fournies par les professionnels du groupe de lecture. Ces points constituent la structure du tableau ci-après et de la grille d’auto évaluation. Parmi les domaines et facteurs identifiés certains concernent plus spécifiquement l’attractivité ou la fidélisation. Cependant, la plupart impactent les deux dimensions aussi n’est-il pas apparu pertinent de les distinguer. Par ailleurs, les modalités de mise en œuvre de certaines actions et moyens peuvent être différents, notamment en raison de la réglementation, selon qu’il s’agisse de structures de statut privé ou public.
3 A titre indicatif les références relatives au management extraites du Manuel de certification des établissements de santé sont présentées en annexe (annexe 2).
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2008
21
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22
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2008
23
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-
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ss
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Souti
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perso
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rang
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Rése
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nels
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2008
25
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Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008 34
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Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008 35
LISTE DES SIGLES AAS Autre activités afférentes aux soins AP-HP Assistance- Publique Hôpitaux de Paris APM Agence de presse médicale ARH Agence régionale de l’hospitalisation AS Aide soignante ASH Agent de service hospitalier C2R Centre régional de ressources pour l’optimisation du management et des
organisations des établissements de santé CESU Centre d’enseignement des soins d’urgence CH Centre hospitalier CLACT Contrats locaux d’amélioration des conditions de travail CLAN Comité de liaison alimentation nutrition CLIN Comité de lutte contre les infections nosocomiales CLUD Comité de lutte contre la douleur CMP Centre médicopsychologique CRAM Caisse régionale d’assurance maladie CSIRMT Commission de soins infirmiers, de rééducation et médico-techniques DARES Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques DRASS Direction régionale des affaires sanitaires et sociales DREES Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques DTS Diplôme de technicien supérieur d’imagerie DU Diplôme d’université EPP Evaluation des pratiques professionnelles EPS Etablissement public de santé EPU Enseignement post universitaire ETP Equivalent temps plein IADE Infirmier anesthésiste diplômé d’Etat IBODE Infirmier de bloc opératoire diplômé d’Etat IDE Infirmière diplômée d’Etat IFCS Institut de formation des cadres de santé IFMEM Institut de formation de manipulateurs d’électroradiologie médicale IFMK Institut de formation de masseurs kinésithérapeutes IFSI Institut de formation en soins infirmiers MSP Mise en situation professionnelle ONDPS Observatoire national des professions de santé PHRC Programme hospitalier de recherche clinique PSPH Participant au service public hospitalier RTT Réduction du temps de travail SIIPS Soins infirmiers individualisés à la personne soignée SROS Schéma régional d’organisation sanitaire VAE Validation des acquis de l’expérience
Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008 36
ANNEXES
Annexe 1 Liste des travaux et/ou actions réalisés ou initiés au niveau régional en lien avec l’attractivité et la fidélisation des professionnels :
- Gestion des ressources humaines (ARH) o Plan de recrutement et de formation des infirmiers, ARH, décembre 2002
- Formation et tutorat des infirmiers exerçant en psychiatrie - Gériatrie, gérontologie :
o Information sur les évolutions réglementaires de la gérontologie et leurs répercussions sur l’exercice professionnel
o Conférence régionale de gériatrie sur l’attractivité des métiers dans ce secteur
o Contrats d’apprentissage o Formation et tutorat en cours d’emploi
- Contrats locaux d’amélioration des conditions de travail (CLACT) - Information pour faire connaître et valoriser les métiers paramédicaux - Sensibilisation des étudiants cadres de santé aux problématiques des professions
déficitaires - Apprentissage pratique
o Recommandations pour l’apprentissage pratique des étudiants en soins infirmiers, DRASS Ile-de-France, mars 2005, multigraphié
- Projets, actions ou travaux effectués en santé publique ex : CLAN (PNNS) ; Prévention et Education à la santé (asthme, BPCO, diabète)…en lien avec les Plans gouvernementaux
- Région Ile-de-France o Schéma régional de la formation initiale et continue tout au long de la vie –
2007 – 2013, 2007
Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008 37
Annexe 2
HAS. Manuel de certification des établissements de santé et guide de cotation. Edition 2007 (extrait) Chapitre 1- Politique et qualité du management
- Référence 3 La politique des ressources humaines o 3b Une gestion prévisionnelle permet l’adaptation des ressources
humaines aux évolutions de l’établissement Cette gestion prévisionnelle permet à l’établissement de s’assurer
qu’il dispose des compétences nécessaires en qualité et en nombre.
Elle consiste en une anticipation des évolutions pour faire face aux besoins et intègre donc une dimension qualitative (bilan de l’existant et termes d’activité, de compétences et de métiers, adéquation des compétences aux postes et aux orientations de l’établissement, arbitrage entre recrutement externe et promotion interne, détermination des facteurs d’évolution, veille sur les compétences, réflexion sur les organisations etc.).
Elle comprend également une dimension quantitative (nombre d’emplois, tableau des effectifs prévisionnels, pyramide des âges, suivi des entrées/sorties, congés etc.). Cette gestion est directement liée aux politiques de recrutement, de mobilité interne et de formation, ainsi qu’à l’analyse des organisations de travail et à la prise en compte des conditions de vie au travail. La mise en œuvre de cette gestion (et des outils et indicateurs afférents) pourra varier en fonction de la taille et de l’activité de l’établissement.
o 3c L’amélioration des conditions de travail et la prévention des risques
professionnels font partie des objectifs de la politique des ressources humaines
Les actions d’amélioration des conditions de travail et de prévention des risques professionnels proposées par le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT), la médecine du travail ou le directeur font l’objet d’une planification. Une politique de suivi et de gestion, adaptée aux personnels ayant des problèmes de santé ou présentant un handicap, est mise en place.
o 3d La politique des ressources humaines favorise la motivation des
personnels Exemples d’actions conduites : encouragement de la prise de
responsabilité, promotion par la formation, politique d’intéressement, accès aux diplômes par la validation des acquis de l’expérience.
- Référence 5 La politique de communication
o 5a La direction et les responsables développent une politique de communication interne
Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008 38
Chapitre 2 – Ressources transversales
- Référence 8 La maîtrise des processus de gestion des ressources humaines o 8a Le recrutement de l’ensemble des personnels est organisé
Le recrutement s’appuie sur des procédures diffusées et connues, par exemple : des modalités définies, l’adéquation des compétences aux évolutions de l’établissement et aux postes, la publicité de vacance de poste en interne et en externe, l’annonce des critères de sélection, les fiches et profils de poste, l’organisation de la sélection, les circuits de décisions, la vérification des conditions d’exercice des professionnels, les bourses d’échange de poste, etc.
o 8b L’accueil et l’intégration des personnels sont assurés o 8c La formation continue contribue à l’actualisation et à l’amélioration des
compétences des professionnels La formation continue du personnel tient compte non seulement de
la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, en adéquation avec les orientations stratégiques et les priorités définies par les instances, mais aussi de la réalisation des projets professionnels individuels, notamment lors de l’élaboration du plan de formation.
La formation médicale continue s’inscrit dans cet objectif même si elle relève d’organisations différentes selon le caractère salarié ou libéral de l’exercice médical.
Les actions de formations mises en œuvre doivent tendre à la mise à niveau des compétences du personnel pour atteindre les orientations stratégiques de l’établissement (formation liée au projet d’établissement, aux projets des secteurs d’activité, promotion professionnelle, etc.).
o 8d L’évaluation des personnels est mise en œuvre Chaque membre du personnel doit pouvoir bénéficier d’une
évaluation à travers des procédures et des outils (adaptés aux différents secteurs d’activité) : identification et formation des évaluateurs, guide d’entretien, calendrier, objectifs fixés et évalués, besoins de formation identifiés, etc.
Chapitre 3 – Prise en charge du patient
- Référence 17 La sécurité des biens et des personnes o 17b Des mesures préventives pour assurer la sécurité des personnes sont
mises en œuvre Le terme « personne » couvre les patients, les visiteurs et les
professionnels.
- Référence 27 La continuité des soins o 27a Des règles de responsabilité, de présence, de concertation et de
coordination sont mises en œuvre pour assurer la continuité des soins Une réflexion concertée de l’établissement doit permettre la mise
en œuvre d’une organisation adaptée aux besoins et aux moyens disponibles.
A titre d’exemple, les tableaux de permanence des soins constituent un support de coordination.
L’organisation des changements et l’information correspondante aux secteurs et aux professionnels concernés font partie des règles de présence et de concertation.
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Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008
La coordination et la continuité des soins s’appuient notamment sur les transmissions orales et écrites entre les diverses équipes.
Chapitre 4 – Evaluation et dynamique d’amélioration
- Référence 44 L’évaluation des politiques et du management o 44a Une évaluation de la politique des ressources humaines est mise en
œuvre Il s’agit pour chaque établissement, d’identifier ses mesures de
suivi (par exemple : indicateurs, tableaux de bords, bilan social, enquête de satisfaction corrélée avec les réclamations ou les plaintes de patients et les évènements sentinelles, etc.), et l’exploitation qu’il en fait en vue d’améliorer sa politique de ressources humaines, par exemple en matière de recrutement, formation, évaluation, conditions de travail, etc.
o 44e Les objectifs déterminés dans les orientations stratégiques font l’objet d’un suivi, d’une évaluation et d’une communication interne
Le suivi des objectifs peut se réaliser à partir d’indicateurs, de tableaux de bord, de rapports d’activité annuels, de définitions de cibles etc.
Le réajustement des objectifs doit notamment tenir compte du SROS.
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GROUPES DE TRAVAIL, DE LECTURE ET DE VALIDATION GROUPE DE TRAVAIL Madame Mercedes CHABOISSIER, Responsable du Centre régional pour l’information sur les professions paramédicales (CRIPP), ARH – DRASS - Conseil régional Ile-de-France Madame Danièle GOLDSZMIDT, Directeur des soins - Conseillère pédagogique régionale, DRASS Ile-de-France Madame Ljiljana JOVIC, Directeur des soins - Conseillère technique régionale en soins, DRASS Ile-de-France Madame Julie BOISSIER-LAINE, Centre régional pour l’information sur les professions paramédicales (CRIPP), ARH – DRASS - Conseil régional Ile-de-France GROUPE DE LECTURE Madame Yvelise ABECASSIS, Directrice CLIC FACIL, Fontainebleau (91)
Madame Aude ALEXANDRE, Ergothérapeute, SSESD l’Adapt, Paris (75)
Madame Hélène ARCHAMBAULT, Chef de projet sur les métiers de la gériatrie ARH Ile-de-France, Paris (75)
Madame Anne-Sophie AUBERT, Directeur des ressources humaines, Centre hospitalier, Gonesse (93)
Professeur Sadek BELOUCIF, Hôpital Avicenne, Bobigny (93)
Madame Lucie BERGERON, Cadre de santé, Hôpital gérontologique, Plaisir (78)
Madame Annick BOURBOUSSON, Directeur des soins, Centre hospitalier, Gonesse (93)
Madame Irma BOURGEON-GHITTORI, Cadre de santé, CHU A. Chenevier-H. Mondor, Créteil (94)
Monsieur Jean-Marie BOURGOUIN, Directeur des soins, Hôpital gérontologique, Plaisir (78)
Madame Isabelle BOZ, Infirmière, Centre hospitalier, Lagny-sur-Marne (77)
Madame Danielle CADET, Directeur des soins, CHU Lariboisière-F. Widal, Paris (75)
Madame Ghislaine CARME, Cadre de santé – rééducation, Clinique Le Moulin de Viry, Viry Chatillon (91)
Madame Valérie CAUGANT, Infirmière, CHU Saint Louis, Paris (75)
Madame Delphine CERVELLE, Chef du service Formations sanitaires et sociales, Conseil régional Ile-de-France
Madame Nadine CHASTAGNOL, Directrice des soins, CHU Bicêtre, Le Kremlin-Bicêtre
Madame Laurence CLUZEL, Cadre supérieur de santé – infirmière, CH Corentin Celton, Issy-les-Moulineaux (92)
Madame Sylvie DAIEFF, Cadre supérieur de santé – infirmière, CH Victor Dupouy, Argenteuil (95)
Madame Martine DRUFFIN, Cadre supérieur de santé - infirmière, Hôpital du Vésinet, Le Vésinet (78)
Monsieur Didier EVENOU, Cadre supérieur de santé – masseur kinésithérapeute, CHU Robert Debré, Paris (75)
Monsieur Christian FAUSSER, Cadre supérieur de santé – masseur kinésithérapeute, CHU Bicêtre, Le Krémelin-
Bicêtre
Madame Isabelle FRASSA, Directeur des soins, Centre hospitalier, Gonesse (93)
Madame Marie-Agnès GUERAUD, Directeur des soins, CHU Bichat, Paris (75)
Monsieur Philippe GERSON, Cadre supérieur de santé – manipulateur d’électroradiologie, Hôtel-Dieu, Paris (75)
Monsieur Henri GOSSET, Directeur, Centre hospitalier, Mantes-la-Jolie (78)
Monsieur Christophe GUENOT, Directeur des soins, Centre hospitalier, Coulommiers (77)
Madame Sorya HAROUMI, Manipulatrice d’électroradiologie, Cabinet privé, Ste-Geneviève-des-Bois
Monsieur Hocine HASNAOUI, Cadre de santé – manipulateur d’électroradiologie, CH L. Mourier, Colombes (92)
Madame Catherine HERAIN, Cadre de santé – manipulatrice en électroradiologie, CH Sud francilien, Corbeil (91)
Madame Karen INTHAVONG, Directeur des soins, CHU Lariboisière-F. Widal, Paris (75)
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Attractivité et fidélisation des professionnels … DRASS – ARH Ile-de-France, Juin 2008
Madame Bénédicte LAMBILLON, Infirmière générale, Hôpital privé gériatrique les Magnolias, Ballainvilliers (91)
Madame Nathalie LARIBIERE, Directeur des soins (75)
Madame Caroline LEFRANC, Directrice adjointe, CH Théophile Roussel, Montesson (92)
Madame Luce LEGENDRE, Responsable ressources humaines, Hôpital du Vésinet, Le Vésinet (78)
Madame Geneviève MARCHALOT, Directeur des soins, Direction du service central des soins AP-HP, Paris (75)
Docteur Michel MAUDUIT, Radiologue, Hôpital Sud-Francilien, Corbeil-Essonne (91)
Madame Marie-Cécile MOCELIN, Directeur des ressources humaines, GH C. Foix-J. Rostand, Ivry sur Seine (94)
Monsieur Didier MOTTO, Coordonnateur des plateaux d’imagerie médicale, médecine nucléaire et radiothérapie,
Institut Gustave Roussy, Villejuif (94)
Madame Armelle PERON, Cadre de santé - infirmière, Hôpital gérontologique, Plaisir (78)
Docteur Serge PERROT, Médecine interne et consultation de la douleur, Hôtel Dieu, Paris (75)
Monsieur Jean-François POPIELSKI, Directeur des soins, EPSM Erasme, Antony (92)
Docteur Valérie POULAIN, Chef de service de la filière gériatrique, Centre hospitalier, Lagny (77)
Madame Marie QUARATO, Infirmière, MGEN Résidence Denis Forestier, La Verrière (78)
Madame Jacqueline REVEL, Surveillante générale - infirmière, Hôpital Foch, Suresnes (92)
Madame Roselyne VASSEUR, Directrice des soins infirmiers, Institut Curie, Paris (75)
Madame Véronique SAGNO, Cadre de santé - infirmière, CH Marc Jacquet, Melun (77)
Madame Christine SALIOU, Cadre supérieur de santé - infirmière, CHU A. Chenevier-H. Mondor, Créteil (94)
Madame Martine SIMON-MARZAIS, Cadre supérieur de santé – infirmière, GH Ch. Foix–J. Rostand, Ivry sur Seine (94)
Docteur Marc STERN, Pneumologue, Chef de service, Hôpital Foch, Suresnes (92)
Madame Evelyne TESTA, Cadre de santé - infirmière, Hôpital gérontologique, Plaisir (78)
Madame Nathalie WARCHOL, Cadre de santé – infirmière, Centre hospitalier, Meaux (77)
GROUPE DE VALIDATION Docteur Anne DESOUCHES, Médecin inspecteur régional, DRASS Ile-de-France
Monsieur Jean-Yves LAFFONT, Directeur adjoint, ARH Ile-de-France
Madame Marie-Claire L’HELGOUALC’H, Directrice adjointe, DRASS Ile-de-France
Madame Catherine MARTIN-LE RAY, Directeur, Chargée de mission à l’ARH Ile-de-France
Monsieur Jacques METAIS, Directeur, ARH Ile-de-France
Madame Dominique MONGUILLON, Directeur des soins, Conseillère pédagogique régionale, DRASS Ile-de-France
Monsieur Michel PELTIER, Directeur, DRASS Ile-de-France
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Directeur de Publication : Michel PELTIER
(c) Impression : DRASS Ile-de-France
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