arts gazette international n° 697 du 5 novembre 2012
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L'actualité de l'art dans otre boite mailTRANSCRIPT
arts gazetteI n t e r n a t I o n a lN° 697 du 5 Novembre 2012
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expositions
s o m m a I r e
Libres propos de Christian Germak
Maranghi à la Galerie Tatiana Tournemine
Joy de Rohan Chabot à la Galerie Matignon
La Galerie des Arts présente Jean Philippe Ri-chard, sculpteur
Claude Maréchal : une picturalité suggestive et colorée, Musée Art et Histoire Saint Cloud, par Agnès Lecompte
L’expressivité artistique angoissée d’Egon Schiele au Musée Guggenheim de Bilbao, par Agnès Le-compte
L’œuvre tardive de Degas méconnue et com-plexe. Fondation Beyeler. Par Agnès Lecompte
Les Musées du Mans présentent « Peintres contemporains papous »
L’Esp ace Roger Ikor présente Noriko Yamamoto
Etienne Yver et Guy Lachot chez Point Rouge Gallery
Picasso à l’œuvre dans l’objectif de David Dou-glas Duncan au Musée d’Art et Histoire de Ge-nève
Richard Mosse au Centre culturel Irlandais
Peintures 2011 de Etienne Boiteux
Portraits cube by Charlie Davoine
Art Shopping présente Luciana Figueiredo
Albrecht Dürer et son temps, Galeries Quai Mala-quais
Salvador Dali, œuvres sur papier à la Galerie Messine
William Sweetlove et Cédric Bouteiller à la Galerie 208
Schneider. Musée du verre de Conches
Au milieu de nulle part. Pascal Grandmaison, Isabelle Hayeur, Thomas Kneubühler, photo-graphes, au Centre culturel canadien
Cécile Reims au musée Jenisch, Vevey
10 ans de donations et acquisitions du Musée Goya, Castres
Ateliers d’art de la Ville de Saint Maur. Gravure Passion
Caudran à la Galerie Vendôme
Phenix et Dragons, installation de Katarina Hallback Monnier à la Salle des Fêtes du Théâtre de Fontainebleau
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lIbres propos par Chistiant GERMAK
Le bruit court que le gouvernement de la France chercherait à taxer l’usage d’Internet ce qui serait aberrant car même les gouvernements issus d’une dictature ne l’ont pas fait, or la France qui se targue d’être le pays de la LIBERTE ferait par une telle action un reniement à la première des libertés, celle de communiquer.
Certes les nazis l’ont fait, ainsi que les communistes qui l’ont maintenue durant de longues années.
Taxer les seuls abonnés serait discriminatoire, taxer tous les français serait fermer les frontières et un retour vers des faits déjà mondialement jugés et punis de la peine de mort.
Si tel était le cas en France, il serait indispensable de dénoncer députés et ministres qui feraient appel à une telle aberration, et de les destituer, d’annu-ler tous leurs mandats avant qu’ils ne touchent celui des ministres et autres gouvernants.
Intervenir même physiquement serait un devoir national comme fut un devoir d’abattre les gouvernements fascistes et tous leurs adeptes.
Par ailleurs, mais pour sauver la France, il est urgent que les Ministres s’ap-pliquent les 35 heures et la retraite à 60 ans, même si cela nous prive des actions lumineuses de Martine Aubry et de notre premier ministre hélas dé-chu par l’âge d’une retraite bien méritée.
Seul subsisterait pour quelques temps, notre cher président qui engloberait dans ces 35 heures les voyages en métro, par train et bateau à voiles beau-coup moins polluant.
Par contre il serait intéressant de demander conseil aux proches d’un ancien président qui avait dans son groupe de conseillers, bien dissimulée, une nazie antisémite active, une proche famille bien cachée, une indifférence d’une enfant mise en dehors de sa famille naturelle, etc.
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exposItIons
Tatiana Tournemine comme à son habitude, nous présente des artistes de talent qu’elle re-cherche pour nous à tra-vers le monde.
Cette fois encore nous dé-couvrons grâce à elle, des œuvres fortes qui s’impo-sent et quoique intimistes ont la qualité d’attirer les regards.
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Joy de Rohan Chabot
GALERIE MATIGNON PARIS
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La Galerie Matignon pousse ses murs en utilisant tous les espaces existants et par un jeu de diversité dans la présentation, maintient une communauté tout en élar-gissant les thèmes.
Trois acteurs vont ainsi participer à cette ouverture: La délicieuse JOY de ROHAN CHABOT que l’on avait déjà remarquée dans LUCIOLES en 2011 et qui revient avec le titre prometteur de Féerie.
Elle sera accompagnée de Gilles de Fayet, (photographe parisien)
Et de Tobias Urell, artiste créateur d’objets dits de curiosité, contemporains.
Karen Lohier, artiste sonore parisienne.
GALERIE MATIGNON 18 avenue Matignon Paris 75008 tel. 01 42 66 60 32 [email protected]
18 avenue Matignon, 75008 PARIS - www.galeriematignon.com
Tel : +33(0)1 42 66 60 32 - Lun au sam : 10h-13h et 14h30 - 19h
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Claude maréchal : une picturalité suggestive et colorée par Agnès LECOMPTE
C’est une peinture toute en subtilité qui permet d’ap-procher l’univers intérieur de cet artiste, dont la vision du monde s’exprime dans une gamme pastel très lu-mineuse, le noir est aboli de ses compositions.
Il fait une synthèse entre le figuratif et l’abstrait, en dessinant quelques éléments du monde sensible dans ses réalisations, il les insère dans un décor foisonnant de teintes chatoyantes, assemblées pour former une sorte de mosaïque aux nuances variées.
Cette juxtaposition d’éclats colorés enchevêtrés aux dimensions inégales donne parfois l’impression de guirlandes de fruits se propageant dans l’espace du tableau, où apparaissent des signes iconiques en rapport avec son titre, cela participe au jaillissement merveilleux diffusé par l’ensemble des créations de Maréchal.
Une fenêtre ouverte s’accordera avec la dimension positive de « L’espoir », quant à « La vague » qui éclate sur la toile, elle offre la perspective des profon-deurs marines insondables, révélant la vie cachée de cet univers dont les immenses richesses sont encore à découvrir.
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Le même dynamisme pictural se retrouve dans toutes ses œuvres, comme dans « Le jardin de mon père », symbolisé en un tourbillon poétique et onirique exaltant les beautés de la nature, sous son aspect joyeux et son perpétuel renouvellement.
Il a pratiqué une multitude de techniques et fut même le pionnier de la sculpture au laser, toutefois il est surtout connu pour sa fresque monumentale de la station de Métro Saint Michel, datant de 1988, projet auquel il travailla quatre années.
La thématique tendrait à procurer un aperçu du Nouveau Monde à l’horizon 2050, la magnifique clarté qui se dégage de cette production originale peut éblouir le voyageur fatigué en transit.
Du 27 septembre au 23 décembre 2012
Musée des Avelines Musée Art et Histoire Saint Cloud
60 rue Gounod 92210 Saint Cloud
Tel : 01 46 02 67 18 www.musee-saintcloud.fr
E-mel : [email protected]
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l’expressivité art ist ique angoissée d’egon schiele par Agnès LECOMPTE
A travers le corps humain, cet artiste autrichien traduit par un dessin tourmenté son angoisse intérieure, ainsi que sa révolte contre la so-ciété viennoise notamment, il est contemporain des avancées de Freud sur la psyché humaine et l’impor-tance de l’inconscient.
Ses autoportraits révèlent tout spécialement le fait qu’il se sent une victime incom-prise et ils lui permettent de communiquer aux autres l’exacerbation de ses senti-ments personnels.
Le nu, érotique en particu-lier, tient une grande place dans son œuvre et lui sert de support pour stigmatiser la fragilité de la condition de l’homme, grâce à un style assez torturé se révélant dans ses corps déstructurés à la chair tuméfiée.
Les attitudes de ses modèles, saisis dans des pos-tures insolites, sont quelquefois proches de la cari-cature ou provocantes, marquées singulièrement par un travail sur la ligne oblique.
Le gestuel de ses personnages, souvent représen-tés sur un fond neutre dans des positions figées, est le vecteur l’autorisant à exprimer son moi profond, manifestation imagée de son inquiétude métaphy-sique, il met en outre l’accent sur leurs mains désar-ticulées, ou sur leur regard presque hagard, aveugle ou défiant, thème récurrent dans ses croquis.
La souffrance et le tragique de toute vie transpa-raissent donc dans ses réalisations expressionnistes au trait dur, voire excessives, semblant illustrer son destin fulgurant et sa brève existence, comme préfi-gurés par son intérêt pour les pathologies mentales pouvant atteindre l’individu.
C’est assez visible dans ses esquisses d’êtres quelque peu déjantés ou accusant leur solitude, om-
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niprésents dans ses compositions, par ailleurs il se considérait comme un disciple de Gustav Klimt et revendiquait le rôle spirituel de l’art.
Il a produit 300 peintures, 17 gravures et lithographies, de nombreuses sculptures et 3000 des-sins, aquarelles ou gouaches et connaîtra le succès, même s’il eut aussi des critiques, avant d’être emporté à l’âge de 28 ans par la grippe espagnole, en 1918, deux jours après son épouse.
Du 2 octobre 2012 au 6 janvier 2013 Musée Guggenheim Abandoibarra Hiribidea
2 48009 Bilbao Espagne Tel : 944 35 90 80 www.guggenheim-bilbao.es
E-meil : [email protected]
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l’œuvre tardive de Degas méconnue et complexe par Agnès LECOMPTE
Cet artiste, qui jouit d’une grande renommée, est surtout connu pour sa période impressionniste, cependant dans cette exposition sont présentées 150 toiles emblématiques de l’évolution artistique caractérisant la fin de son parcours.
Les thèmes sont en partie les mêmes : danseuses et femmes à leur toilette, mais traités différemment, celles-ci sont peintes sans complaisance dans des poses ou des situations évoquant souvent un cer-tain relâchement.
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Par exemple, des postures prises pendant le temps du repos entre deux exercices chorégraphiques ou un rendu du mouvement des bras moins gracieux que dans les célèbres ballets qui ont fait pré-cédemment sa réputation, les sil-houettes féminines sortant du bain sont également croquées dans tout leur naturel, sans recherche d’élé-gance.
En outre, la figuration brouillée, le trait imprécis, les visages sans net-teté, les couleurs criardes ajoutent au sentiment que Degas ne met pas l’accent sur l’esthétique ou l’harmonie et semble plutôt avoir expérimenté des modes d’expres-sion inusités et étudié des tech-niques, des valeurs chromatiques ou des perspectives variées, pri-vilégiant notamment l’asymétrie dans ses compositions.
On peut imaginer qu’il a subi, comme ce fut le cas régulièrement dans cette seconde partie du XIX°
siècle, l’influence de la photographie, ce qui expliquerait peut-être ces instantanés un peu figés paraissant parfois saisis au vol.
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De plus, le flou artistique, les coupures ou les raccourcis symptomatiques des repro-ductions effectuées par ce media sont fréquents et on retrouve ces particularités dans ses motifs de chevaux et de cavaliers.
Autres genres de réalisa-tions peu appréciées par le maître dans le passé, les ta-bleaux de paysages entou-rés d’une sorte d’aura indi-quant qu’il s’attache à des manières innovantes pour brosser le visible.
Il aurait alors établi une dis-tanciation par rapport à son sujet, cela correspond à une forme de retrait de sa vie publique et des manifestations propres à son domaine, le choix de la soli-tude pour cette dernière étape de sa création picturale est à mettre en parallèle avec de véritables transformations stylistiques et conceptuelles intéressantes dans son œuvre finalisée.
Du 30 septembre 2012 au 27 janvier 2013
Fondation Beyeler
4125 Riehen
Suisse
Tel : 41 (0) 61 645 97 00
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OH !
Que la couleur est vive et lumineuse lorsque l’on dé-saccorde ses nuances pour mieux créer des con-trastes qui vont volontai-rement déchirer l’espace
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Art Shopping présente Luciana Figueirêdo pendant la Fiac au Carrousel du Louvre du 19 au 21 octobre 2012
Vernissage le 19 octobre de 19h à 22h
Stand A 20 Luciana Figueirêdo est une jeune artiste issue de la mode. Son crédo est de se servir de matériaux nouveaux, comme le silicone, pour révéler la profondeur et la complexité des choses. Les matières inattendues utilisées pour son travail, no-tamment le silicone, contribuent à l’expression du double concept oxymorial de l’existence : le jour et la nuit - la clarté et l’obscurité.
Luciana se positionne comme une artiste écologique et pragmatique, choisissant des thèmes: comme la conscience mondiale, l'univers, la planète Terre, la nature et l'être humain dans sa globalité. A travers ses œuvres elle nous fait partager ainsi sa sensibilité créatrice, sa spiritualité, son humilité devant la conception du monde…
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Albrecht Dürer et son temps Du 24/10/2012 au 13/01/2013
Vernissage le 23 octobre 2012 à partir de 18h
Galeries d’exposition - 13 quai Malaquais Paris 6e
Fermeture exceptionnelle les 25 décembre 2012 et 1er janvier 2013
Vernissage le mardi 23 octobre 2012 à partir de 18h00
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Albrecht Dürer et son temps : en haut à gauche un portrait de Frédéric de Saxe, plus bas un inconnu et des œuvres de Dürer et de son époque forment le fond d’une exposition très exceptionnelle et qui sera appelée à voyager en Europe.
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l’exposit ion vue sous l ’angle historique
Cette manifestation offre un panorama inédit et passionnant de la création artistique des
grands centres allemands de la Réforme à la guerre de Trente Ans, notamment
Nuremberg, Augsbourg, Munich et Prague. Le territoire couvert est celui du saint Empire Romain germanique, éclaté en 1648 et disparu en 1815, qui englobait alors la Suisse, une partie de la Pologne, l'Autriche et la Bohême. A l'occasion de ce parcours artistique, le visiteur plonge dans l'atmosphère de l'Allemagne du seizième siècle. Il y appréhende la diversité artistique favorisée par la fragmentation politique, et le rôle joué par les commanditaires d'œuvres en un temps où le statut d'artiste se dégage à peine de celui de l'artisan. Les artistes les plus célèbres sont repré-sentés par des œuvres majeures, notamment: Hans Holbein l’Ancien (1460-1524), Albrecht Dürer (1471-1528), Hans Baldung Grien (1460-1524), Urs Graf (1485-1529). On découvre la diversité des approches techniques, (dessin, gravure sur bois et sur cuivre), de leurs usages (œuvres prépara-toires pour peinture, objet d'orfèvrerie, livre ou vitrail, modèles réadaptés ou à copier) mais aussi la richesse des thèmes abordés. La religion tient bien sûr une grande place, à travers des représen-tations variées : figures de saints, scènes du Nouveau Testament, aux destinations très diverses : projets d'autels pour des églises de la Contre-réforme, livre d'heures pour la dévotion privée, récit illustré de la Passion... La Réforme est évoquée par trois livres de Luther, dont un Petit Catéchisme destiné à la jeunesse, son portrait gravé, et surtout un exemplaire de sa traduction de la Bible, dont la diffusion fonda la langue allemande moderne. La révolution encore jeune créée par l'apparition du livre et de l'image imprimés apparaît dans toutes ses conséquences ; le caractère gothique, qui disparaît dans le reste de l'Europe alors, est montré dans son renouvellement imprimé, la Fraktur. Le monde profane apporte son pendant vivace, avec ses fêtes (les célèbres Danses de paysans d’Urs Graf, des noces à la cour de Bavière), ses révoltes (le Monument à la Guerre des paysans de 1525 de Dürer), ses représentations codifiées (portraits de souverains, bannerets porte-enseignes des armoiries de villes, costumes régionaux). Des portraits dessinés ou gravés donnent à voir plu-sieurs grands princes du siècle : l'empereur Maximilien Ier (1459-1519), le duc de Saxe Frédéric le Sage (1463-1525) qui protégea Luther, l'empereur Rodolphe II (1552-1612) qui fut le mécène d'Arcimboldo et de Kepler.
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Les guerres incessantes entraînées par la Réforme apparaissent à travers le type récurrent du lansquenet, inlassablement dessiné ou gravé. Le développement urbain est manifesté par des vues de villes : Munich, Linz, Bâle, Prague. Les goûts du public pour l'image privée sont révélés à travers le développement de paysages pittoresques et les scènes mythologiques tirées des classiques latins en honneur à la Renaissance, tandis que plusieurs études d'anatomie ou de figures montrent la mise en place progressive d 'un enseignement artistique réglé.
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salVaDor DalI, Œuvres sur papier
Exposition du 30 novembre 2012 au 23 février 2013
Galerie Messine 4, avenue Messine 75008 Paris
Le Centre Georges Pompidou accueille cet hiver en son sein l'œuvre d'un des plus grands maîtres du XXème siècle, Salvador DALI. A cette occasion, l'exploration trouvera une prolongation Avenue de MESSINE. Avec une série d’aquarelles.
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la Galerie 208 208, boulevard Saint Germain PARIS
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la Galerie 208 Subject: L'exposition d'art contemporain à la Galerie 208 du 17 octobre au 20 novembre 2012
William Sweetlove
Exposition du 18 octobre au 20 novembre 2012
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Subject: L'exposition d'art contemporain à la Galerie 208 du 17
octobre au
20 novembre 2012
la Galerie 208
Cédric Bouteiller
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MOIS de la PHOTO à PARIS
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MUSEE :
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G A L E R I E *
V E N D O M E
30 octobre/
12 novembre 12rue de la Paix 7502 Paris
tel:: 0142617391
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Chaque œuvre est une représentation qui contient une part de rêve dont l’écriture surgit du sub-conscient de l’artiste devenue écrivain et qui trouve dans sa musique intérieure les langages de chaque mélodie.
Alors se font jour dans la sensibilité de l’acteur devenu créateur, des mélodies douces ou orageuses, tendres avec des sursauts combattifs et même parfois guerriers qu’une recherche d’harmonie va exacerber avant que ne surgissent de larges plages soumises à l’état d’une intégration générale. Soit au contraire le vide que laisse un chagrin avant que ne se fasse jour un autre centre d’intérêt qui à première vue semble anodin mais qui petit à petit prend sa place et étend ses formes et ses couleurs.
Les discours de l’Artiste se font dans un langage qui par pudeur et en laissant libre cours à toute sa sensibilité, lui donne l’impression d’être ciblée dans des nuances de son vocabulaire personnel le plus intime.
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Les reflets des couleurs se sont entremêlés pour produire une continuité qui se prolonge et s’étend dans les miroitements. Associant les intonations, ces variantes perdent leur individualité pour réta-blir un ensemble qui harmonisera le tableau.
Ainsi par des touches séparées l’Artiste affirme sa personnalité, elle individualise ce qui semble disparate et impose ses sensations passagères qui pourtant n’avaient duré qu’un court instant.
L’œuvre contient une unité, une permanence, un langage qui ne se dévoile qu’à celui qui y porte attention. L’Artiste semble ici pudique, mais ce n’est pas toujours exact, simplement dans son en-thousiasme à pouvoir laisser libre cours à son expression, à révéler son émotion pour transmettre son impression, elle marque l’instant par un coup de pinceau dont elle n’analysera qu’après la moti-vation exacte de ce qu’elle transmet.
Souvent elle croit, elle pense exprimer un message que son subconscient transforme et modifie, prenant en compte ses sentiments passés. Peinture abstraite, nenni, peinture langage intime oui, pudique et codé par la personnalité de l’exécutant.
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