19210506 les 10 plus gros mensonges sur la vaccination

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 Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination  Sylv i e Si m o n e st é c r i va in e t jou r nalist e . E lle a é cri t d e no m b r eux ouvra g e s et c o mbat le s idées reçues en explorant divers domaines de la science, et consacre la plus grande  p a r t ie d e s o n a ct i vit é à m ili t e r c o nt re la d é sinform a t i o n e n ma t i è re d e s a nt é et d  é colo g i e , suj e ts de brûlante a ctuali . E lle a dé j à p ublié plusie ur s e ssais sur de s scand ale s ( sang co ntam i né, va ches folle s, am iante, hormo ne s de c r oissance , va ccins, e tc ) , g é s pa r la co r r upt i on de ce r ta i ns m i li e ux et d  e xpe r ts d its scienti f i que s. I l y a d e ux hi st o i r e s : l hi st o i r e o ff i cielle , m e nte use  p uis l  hi stoi re se cr ète où sont les vé r i ta ble s causes de s év è nem e nts, l hi sto ire honte use !  E r r e ur , ap p r o x i mat i ons, me nsonges d é li b é r é s, vérité s pa r ti e lles o u p arti ale s,  p r é d o mi na nc e d  une se ule p e nsée : pe u de d om ai nes auj our d   hui échappent à ces  p no ne s !  P arad o x ale m e nt, la sur i nf ormation y contri bue . A lors qu on aurait pu espérer que la démultiplication de l i nfor ma tion s accompagnerait d   une plur ali de po i nts de vue, nous voy ons au contr ai r e p r oli fé r e r ce tt e p e nsée uni q ue q u i l est de b on ton de nonce r… sans p our aut ant qu  on lui propose de remède !  (Oli v ier C ler c) L  objectif de la collection n es t pa s de rem place r une p e nsée uni que p ar une autr e : elle doit permettre au contraire d   aller j usq u au b out d e la r é fl e x i on sur un suj e t o ù e x i ste nt des informations divergentes, parfois même opposées. PDF created with pdfFactory Pro trial version www.pdffactory.com

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Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination

Sylvie Simon est crivain et journaliste. Elle a crit de nombreux ouvrages et combat les ides reues en explorant divers domaines de la science, et consacre la plus grande partie de son activit militer contre la dsinformation en matire de sant et dcologie, sujets de brlante actualit. Elle a dj publi plusieurs essais sur des scandales (sang contamin, vaches folles, amiante, hormones de croissance, vaccins, etc), gnrs par la corruption de certains milieux et dexperts dits scientifiques. Il y a deux histoires : lhistoire officielle, menteuse puis lhistoire secrte o sont les vritables causes des vnements, lhistoire honteuse Erreur, approximations, mensonges dlibrs, vrits partielles ou partiales, prdominance dune seule pense : peu de domaines aujourdhui chappent ces phnomnes Paradoxalement, la surinformation y contribue. Alors quon aurait pu esprer que la dmultiplication de linformation saccompagnerait dune pluralit de points de vue, nous voyons au contraire prolifrer cette pense unique quil est de bon ton de dnoncer sans pour autant quon lui propose de remde (Olivier Clerc) Lobjectif de la collection nest pas de remplacer une pense unique par une autre : elle doit permettre au contraire daller jusquau bout de la rflexion sur un sujet o existent des informations divergentes, parfois mme opposes.

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Les ouvrages de la collection possdent une bibliographie qui aidera se documenter et se forger par soi-mme sa propre opinion. Mensonges sur les vaccins

Il existe trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrs mensonges, et les statistiques Mark Twain

Mark Twain Les vaccins ne sont pas des mdicaments et sont destins des tres en bonne sant dans le but de prvenir une maladie hypothtique. Aussi, il serait normal que tout candidat aux vaccins reoive une information honnte, prcise et complte, sur les risques de la maladie dont il veut se protger, mais aussi sur les risques quil court en se faisant vacciner. Or non seulement linformation, quand elle existe est tronque et falsifie, mais souvent elle est parfaitement mensongre. Mais comme lavait recommand Joseph Goebbels, ministre de la propagande nazie, qui connaissait bien la question : Rptez un mensonge mille fois, il restera un mensonge ; rptez dix mille fois, il deviendra une vrit Cest exactement ce qui se passe dans ce domaine, o des mensonges dix milles fois rpts sont devenus des dogmes qui dclenchent des crises d'hystrie ds lors quon ose les remettre en cause. Lhistoire de la vaccination est jalonne de falsifications, de dissimulations et de mensonges. Sylvie Simon a opt pour les dix plus gros flagrants, chacun ayant engendr des dizaines de plus petits mensonges. Le mensonge est rarement issu par gnration spontane dune volont dtermine lavance par quelque Machiavel. Cest bien plus souvent un glissement lent et fatal vers une erreur perue, mais inavoue, lorgueil se mlant ici la cupidit Thierry Fenoy (avocat au barreau de Chlons-sur-Sane).

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MENSONGE N 1 : Pasteur est un bienfaiteur de lHUMANITE Tous nos problmes actuels sont linvitable rsultat de nos brillantes solutions dhier Henry Bergman Bien que laventure de la vaccination ait commenc la fin du XVIIIme sicle lorsque le mdecin anglais Edward Jenner entreprit dinoculer la vaccine, maladie spcifique des bovins, afin de protger les hommes de la variole ou petite vrole, cest Pasteur (18221895) qui reste le pre de la vaccination et cest avec lui qua dbut le long cortge de mensonges. Cet homme brillant, intelligent et gros travailleur, tait un expert en communication et se tenait au courant des travaux effectus par ses pairs. Sa tactique a toujours t la mme : il savait reconnatre les bonnes ides mais commenait par les critiquer ouvertement, puis il se les appropriait sans vergogne en prtendant les avoir dcouvertes. Cest ainsi quil est devenu un bienfaiteur de lhumanit et, surtout, un mythe intouchable. Le dogme pasteurien est tellement ancr dans les esprits que rien na pu encore lbranler et les Franais idoltrent encore un imposteur. Dune part, Pasteur a maquill les rsultats dexprience qui ne lui taient pas favorables, ensuite, il sest appropri certains travaux dautres chercheurs, dont Antoine Bchamp (1816-1908), lun des plus grands savants du XIXme sicle, mdecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie mdicale et pharmaceutique la facult de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique lUniversit de Paris, puis doyen de la Facult libre de Lille. Bchamp a dmontr la vracit des vues de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre chaque individu et fut le premier comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses. Cependant, son uvre est peu prs inconnue de nos jours, parce quelle a t systmatiquement discrdite et falsifie aux profits des intrts personnels de Pasteur. Ds lcole, nous apprenons que Pasteur a sauv le petit joseph Meister, mordu la main par un chien enrag . vrai dire, il nexistait aucune certitude que le chien fut enrag car on ne signala aucune autre morsure ; de plus, quand bien mme il laurait t, le risque pour le jeune Meister tait infime, car un animal rellement enrag ce qui est extrmement rare ne transmet la maladie que dans 5 15 % des cas. Laffaire de la rage est lexemple mme des mensonges de Pasteur qui ont t rpts et introduits par ses admirateurs dans la mmoire collective, au point dtre devenus des vrits pour le commun des mortels. Le vaccin de Pasteur, base de moelle dessche, tait trs dangereux et fut bien vitePDF created with pdfFactory Pro trial version www.pdffactory.com

abandonn, et le jeune Meister a eu beaucoup de chance den rchapper. Lhistoire na retenu que le succs de ce vaccin, mais a oubli de dire quil avait multipli les dcs par la rage Entre 1869 et 1872, Pasteur a nonc trois postulats de base errons qui servent encore aujourdhui de fondement la vaccination. Le premier estimait que lasepsie rgne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exognes (cest--dire quils viennent de lextrieur) et lattaquent, et ces germes ont une existence indpendante des organismes vivants. Le second est que chaque maladie correspond un agent spcifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prmunir grce un vaccin. Enfin, limmunit sobtient par la production danticorps en raction lintroduction dantignes contenus dans le vaccin et ces anticorps confrent une protection. Nous savons depuis longtemps que ces postulats sont faux, les dcouvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font mine dignorer ces travaux. MENSONGE N 2: Il faut ERADIQUER LES microbes et LES virus Il est trange que la science qui jadis semblait inoffensive, se soit transforme en un cauchemar qui fait trembler tout le monde. A . Einstein Nous vivons en symbiose avec les microbes et si nous les considrons comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui met en pril notre systme immunitaire. Les bactries maintiennent notre quilibre biologique et ne deviennent pathognes que lors que notre systme immunitaire est perturb et ne remplit pas ses fonctions. Quant aux virus, ils se reproduisent uniquement partir de leur matriel gntique et ne sont que des parasites des cellules. Notre corps peut abriter de nombreux virus sans que nous ne soyons malades. Il est donc essentiel de comprendre que les microbes et les virus ne sont pas des ennemis quil faut radiquer tout prix et que seul importe le terrain que nous devons prserver de ses vritables agresseurs. A la naissance, le systme immunitaire nest pas encore compltement labor et, pendant les premiers mois, le nourrisson est protg par les anticorps transmis par sa mre. Cette immunit hrite est remplace par une immunit personnelle au fur et mesure que lenfant rencontre des germes, microbes ou virus, particulirement grce aux maladies infantiles.PDF created with pdfFactory Pro trial version www.pdffactory.com

Cest pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme des lments perturbateurs incontrlables. Le Pr J. Tissot, professeur de physiologie gnrale au Musum dhistoire naturelle, nous mettait dj en garde bien avant loverdose vaccinale actuelle : Limmunit par vaccination ne sacquiert quen confrant lindividu la phase chronique de la maladie quon veut prcisment viter, phase chronique qui comporte, dans un avenir proche ou trs loign, de redoutables complications . Pr J. Tissot (Constitution des organismes animaux et vgtaux, causes des maladies qui les loignent). De toute manire, les vaccinations ne procurent pas la mme immunit que les maladies et les taux danticorps valus aprs les vaccinations sont gnralement infrieurs ceux qui sont valus aprs les maladies. De plus, limmunit confre par la maladie est dfinitive, ce qui nest pas le cas pour la vaccination, dont la protection, si protection il y a, est limite dans le temps, ce qui entrane un retard dans la survenue des maladies, lesquelles sont beaucoup plus graves chez la population plus ge, avec une mortalit multiplie par dix. MENSONGES N 3 : Les EPIDEMIES ont disparu GRCE aux vaccins

Lopinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis sa disposition . Dr Albert SchweitzerNombreux sont ceux qui estiment que la plupart des pidmies ont disparu grce aux vaccinations et qui refusent de mettre en doute leur efficacit. Pourtant, certaines pidmies qui ont ravag nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font mine dignorer. Mais lorsquon montre les courbes de dcroissance des maladies, elles dbutent au moment des campagnes de vaccination et non des annes ou des sicles plus tt, ce qui nous permettrait de constater que la diminution de ces maladies a commenc bien avant lintroduction du vaccin. Dailleurs, la plupart des mdecins lignorent, et les partisans de la vaccination sappuient sur ces statistiques, pour la plupart tronques et donc inexactes, pour prouver lefficacit des vaccins, quand ils ne se bornent pas la seule affirmation premptoire que ntaye aucune sorte de dmonstration. Ils ne se demandent jamais pourquoi ces pidmies ne continuent pas de svir dans les pays qui nont pas pratiqu les vaccinations ou qui les ont abandonnes, tout comme ils semblent ignorer que lpidmiologie et la presse scientifique internationale attestent que des pidmies se dclarent encore dans les pays o la couverture vaccinale est presque totale. Les immunologistes sinterrogent sur les pousses pidmiques qui surviennent dans les populations vaccines contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtrie et la coqueluche.PDF created with pdfFactory Pro trial version www.pdffactory.com

Ce constat est videmment embarrassant pour eux car, lvidence, il sagit dune faillite de la vaccination. Dans Mdecine praticienne (N467), le Pr Lpine constatait son tour : Dans plusieurs pays en voie de dveloppement, on stait imagin quavec une seule campagne de vaccinations, on arriverait rsoudre le problme. Or, dans plusieurs de ces pays, la frquence de ces maladies a augment, allant mme jusqu quintupler depuis la vaccination MENSONGE N 4 : Vacciner un enfant cest le PROTEGER Sil ny avait que les vrais malades soigner, la mdecine serait en situation conomiquement difficile. Il faut donc convaincre lensemble de la population quelle est potentiellement malade et vendre des mdicaments ceux qui nen ont pas besoin Pr Didier SICARD chef du service interne lhpital Cochin, prsident du Comit national consultatif d'thique Un enfant de parents en bonne sant nat avec un potentiel remarquable et dveloppe progressivement son immunit. Il est parfaitement capable daffronter lpreuve des maladies infantiles quil ne faut pas redouter autant quon le prtend. Les parents anxieux pensent que les vaccinations sont une panace et quelles viteront les maladies de leurs enfants. Les vaccinations affaiblissent considrablement le terrain. Les maladies aigus, incapables de sexprimer, peuvent se dvelopper de faon larve, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et ingurissables. Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider lenfant surmonter cette lgre preuve. Comme le disait dj Hippocrate : Le corps fait une maladie pour se gurir Il est vident quil faut surveiller lvolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre dimprudences qui pourraient entraner des complications chez les enfants fragiles ou prdisposs certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont ces enfants qui manifestent les effets secondaires les plus graves aprs la vaccination. Les vaccins empchent parfois lclosion des maladies pour lesquelles ils sont prvus, mais ils facilitent lmergence dautres maladies, car le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifrent et deviennent virulents. Les vaccins de routine effectus dans lenfance grvent le patrimoine hrditaire et lempchent dapporter une protection efficace lindividu pendant toute sa vie.

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MENSONGE N 5 : Les accidents VACCINAUX sont exceptionnels

Le seul vaccin sr est un vaccin qui nest jamais utilis Dr James A. Shannon (membre du national Institute of health)Ce mensonge est monumental. Aucun vaccin nest jamais sr 100%, personne noserait prtendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le Ministre de la sant est attaqu dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose labsence de lien direct entre la vaccination et laccident, parlant de simples concidences . Comme il est trs difficile de dmontrer un lien de cause effet, surtout quand la mauvaise foi sen mle, cette complexit aboutit faire porter aux victimes tout le fardeau de la preuve. Ainsi les autorits se refusent-elles enregistrer comme ractions vaccinales les accidents malheureux quon prsume tre le fruit du hasard. Faute de preuves juridiquement dfendables, nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportes officiellement. Il serait plus logique et plus moral que ce soit les laboratoires qui apportent la preuve que leurs substances ne sont pas dangereuses. Mais cela semble impossible tant donn les falsifications, de plus en plus reconnues de leurs essais sur leurs produits. Nos voisins de la CEE sont beaucoup plus honntes dans leur dclaration daccidents. Aux Etats-unis, depuis 1990, la loi oblige tous les mdecins dclarer les complications vaccinales. Aussi, de 1991 1996, on a officiellement enregistr 48743 complications vaccinales... Alors quen France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne gnrent pas daccidents secondaires, surtout chez les enfants. MENSONGE N 6: Le vaccin contre le TETANOS est indispensable Quand on a dcid dtre aveugle, lvidence cesse davoir cours A.Peyrefitte (lEmpire immobile) Le ttanos nest pas contagieux, il ne se transmet pas par contact dindividu individu etmention particulire la maladie nest pas immunisante. Dans son ouvrage La catastrophe des vaccinations obligatoires, le PR J. Tissot, qui ntait pas un gourou de secte, mais un authentique savant comme il y en avait autrefois, posait la bonne question : puisquun malade guri du ttanos nest jamais immunis contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protger de la maladie ? Le ttanos reste aujourdhui une maladie grave, mais rare. Environ 50% des malades gurissent spontanment. On estime que toute plaie, si minime soit-elle, expose au risque du ttanos, ce qui est faux. Il existe, en revanche, des ttanos en labsence de plaie. Quant au ttanos nonatal, qui atteint le nouveau-n essentiellement dans les pays pauvres, il est d au manque dhyginePDF created with pdfFactory Pro trial version www.pdffactory.com

ombilicale la naissance. Il faut donc relativiser les choses et ne pas cder la panique soigneusement entretenue par ceux qui encouragent la consommation vaccinale. Pourquoi vacciner systmatiquement tous les enfants contre une maladie quils ne rencontreront sans doute jamais ? Sous nos latitudes, les enfants nont pas de ttanos, alors pourquoi tous les vacciner ? En matire de prvention, aprs une blessure, on avait coutume dadministrer de faon prventive du srum antittanique, afin de confrer une immunit passive. Cette pratique est tombe en dsutude en raison de son inefficacit et de ses graves inconvnients, dont on ne parlait gure avant son abandon. Aujourdhui, quoi quil en soit, on impose systmatiquement le vaccin en cas dhospitalisation pour blessure. Le ttanos nest pas une maladie contagieuse susceptible de provoquer des pidmies, il est trs difficile dtablir des courbes significatives dvolution. Ce sont les pays o la vaccination est le moins pratique qui prsentent le moins de cas de ttanos. Il se trouve que la France dtient le record de cas de ttanos aprs le Portugal, les deux seuls pays dEurope o cette vaccination est obligatoire. Pour quil y ait ttanos, il faut absolument que ces spores se retrouvent dans un tissu en anarobiose. La multiplication bactrienne du ttanos ne peut se faire dans des tissus sains normalement oxygns, car la prsence doxygne dans les tissus vasculariss entrane instantanment la mort des bactries. Il est donc impossible de trouver le bacille du ttanos dans les tissus normaux, bien irrigus. Cest pour cette raison que la plupart des piqres ou blessures septiques nentranent pas la maladie. Cest pour cela aussi que le ttanos menace davantage les gens gs, car leurs tissus sont parfois mal vasculariss, ncross, atteints de phlbite et de mauvaise circulation. La vaccination antittanique est dirige contre la toxine secrte par le bacille, mais pas contre le microbe. Le Dr Mric prcise : Le systme immunitaire se trouve entirement dans la circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien, les cellules qui forment les anticorps que les anticorps eux-mmes appartiennent ce monde arobie. Tout le langage du systme immunitaire appartient ce monde arobie. Le transport des anticorps se fait entirement et uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, cest--dire en arobiose. Les plaies ttanignes sont ncessairement et obligatoirement anarobies donc les microbes et la toxine du ttanos et les anticorps antitoxines ne peuvent se rencontrer

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Daprs lui, il est absolument impossible que les anticorps rencontrent le bacille ou sa toxine, ce qui semble imparable. De la sorte, le vaccin contre le ttanos nest pas du tout efficace, mais il peut toutefois tre responsable de srieux et nombreux dsordres post-vaccinaux. Les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnsium dont on connat lefficacit dans les tats infectieux (diphtrie, ttanos, polio) grce aux travaux du Dr Neveu, lve du PR Delbet. Le Dr Neveu avait rdig un rapport sur les gurisons quil avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtrie et le Pr Delbet voulut prsenter ce rapport lAcadmie de Mdecine, mais il se heurta une opposition farouche de la part du corps mdical. Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre 1944, il rvlait : La publication de ma communication du 20 juin est dfinitivement refuse. Le Conseil de lAcadmie a trouv aprs 6 mois de rflexion, largument suivant : en faisant connatre un nouveau traitement de la diphtrie, on empcherait les vaccinations et lintrt gnral est de gnraliser ces vaccinations. Voil un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indpendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coteuses, mais qui scartent de la voie autorise, sont condamns au silence. Il ressort de ce rapport que lAcadmie de Mdecine a dcid dlibrment dtouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqu de concurrencer les vaccins. Voil qui donne une ide des puissants intrts qui dictent sa conduite lAcadmie. MENSONGE N 7: EVITEZ la grippe en vous faisant vacciner

Lopinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis sa disposition. Albert SchweitzerChaque anne lautomne, les mdias pays par lindustrie pharmaceutique lancent des campagnes publicitaires pour inciter les personnes ges se faire vacciner contre la grippe. Et pour mieux attirer le consommateur, ils prtendent que cest gratuit. Voil dj un premier mensonge, car tout le monde sait que rien ou presque nest gratuit ici-bas, et que les laboratoires ne sont pas des mcnes. Les vaccins gratuits sont videmment pays par les usagers sous forme de prlvements de la Scurit Sociale. Mais tout cela ne serait pas trop grave si ce vaccin tait efficace. En 1993, la Caisse dAssurance Maladie de Loire-Atlantique a voulu tendre le bnfice de la vaccination gratuite 43000 assurs sexagnaires, et d arrter lexprience en constatant qu cet ge les vaccins consultaient plus et dpensaient plus que les nonvaccins. Et le journal Libration du 11 octobre 1994 titrait : les vaccins contre la grippe cotent plus cher la Scu . Larticle prcisait : Les vaccins consomment plus de mdicaments que les nonPDF created with pdfFactory Pro trial version www.pdffactory.com

vaccins. En novembre et dcembre 1993, ils ont dpens 23% de plus que les nonvaccins (en consultation, visites, pharmacie). Quant lefficacit du vaccin, elle reste difficile valuer. Dailleurs, trs peu de mdecins sont vaccins contre la grippe. Ils sont bien placs pour savoir que ce vaccin est inutile. Le Dr Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrle des vaccins qui travaille avec la FDA, est catgorique : Il nexiste aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien quil ne sert rien, mais continuent nanmoins le vendre. Non seulement ce vaccin protge peu ou pas du tout, mais les mises en garde provenant de mdecins ou de revues mdicales rputes sont trs nombreuses. Dailleurs, on recommande de faire au pralable un test cutan en milieu hospitalier sous surveillance, proximit dune unit de soins intensifs, avec de ladrnaline porte de main et un personnel mdical et paramdical entran, ce qui nest jamais fait, mais prouve la dangerosit du vaccin. Parmi ses nombreux effets secondaires, il faut citer des pricardites aigus, des problmes cardiaques (infarctus), et des pathologies neurologiques : encphalites, mylopathie, occlusion de la veine centrale de la rtine, paraplgie, radiculite, et la liste est loin dtre exhaustive. Les recherches du Dr Hugh Fudenberg, fameux immunologiste amricain, lont amen tablir un lien entre les vaccinations rgulires contre la grippe et un risque croissant de la maladie dAlzheimer. MENSONGE N 8 : LHEPATITE B est TRES dangereuse et sattrape par la salive Lignorance est la mre de tous les maux Rabelais Cest par un mensonge, qua t lance la campagne honte en faveur de la vaccination contre lhpatite B, dont la publicit a dpass de trs loin les arguments utiliss pour vendre du Coca-Cola. Ce fut le premier mensonge, mais pas le dernier, loin de l ! Ds lors, les mensonges se sont succds une cadence rarement gale auparavant dans le domaine de la sant. Ainsi, Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Sant du gouvernement Balladur, na pas hsit avancer les chiffres les plus farfelus, sans aucune base scientifique, mais qui avaient videmment t souffls par les marchands de vaccins : Lhpatite B ce sont 40000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes , osa t-il affirmer Libration le 4 septembre 1994. Pouvait-il ignorer que les estimations officielles (Rseau National de la sant) se situaient autour de 8000 ?

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Le Dr Christian Spitz, pdiatre et psychologue charg de linformation , na pas hsit affirmer que 4 milliards dindividus taient touchs par le virus. Lesprit critique aurait ce point dsert la France ? Ce chiffre qui reprsente 70% de la population mondiale, devait effectivement affoler tout le monde, jeunes et vieux ! Cependant, personne na sembl relever lnormit du mensonge, pas une seule voix ne sest leve pour protester officiellement. Plus cest gros plus a passe , selon le dicton ! On peut aussi juger de la qualit des informations donnes aux adolescents en prenant connaissance dune note interne, lumineuse, du laboratoire Pasteur-Mrieux : Sur le march de la vaccination, les adolescents sont un segment trs porteur Il faut dramatiser faire peur avec la maladie . A lui seul, cet aveu aurait d provoquer une remise en question du vaccin, puisque la ncessit de vacciner a t base sur ces informations qui relvent de la publicit mensongre. Et cest le laboratoire Pasteur-Mrieux MSD qui sest charg dinformer les mdecins gnralistes, avec toute lobjectivit quon peut attendre de quelquun qui est juge et partie. Dans cet lan, le laboratoire na pas hsit diter une plaquette affirmant : la salive est un important vecteur de la contamination Avec la bndiction du ministre de la Sant, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein des tablissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin non obligatoire, mais que chacun croyait tel... Car aucun des tracts na jamais mentionn que la vaccination tait seulement conseille et non obligatoire. En fait, cette OPA a t une parfaite russite puisquau cours de lanne 1995, on a vaccin autant de personnes que pendant les quatorze annes prcdentes. Avant toute campagne de vaccination, la frquence de lhpatite B tait dj rduite de 90%, principalement grce au retrait des lots de sang contamin. Et de cela, on sest bien gard de parler durant la campagne. Dans un de ses dpliants, le laboratoire SBK nhsitait pas crire : lhpatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an ! Ce mensonge a t imprim et distribu des centaines de milliers dexemplaires dans les collges et les lyces. Le Dr Bruno Donatini a men une tude sur lhpatite B . Ses estimations sont bien diffrentes de celles diffuses par les laboratoires et rptes par les organismes publics. Le Dr Donatini estime que le risque dhpatite grave chez un sujet franais normal est de lordre de 1 pour 50 millions alors que le risque daccident grave est trs lev. Mais cela, personne ne la jamais dit officiellement. Et personne, non plus, na jamais avou que le nombre de victime de la maladie est bien loin datteindre celui des mfaits de lalcool, mais il nexiste pas de vaccins contre lalcoolisme, aussi en parle-t-on moins. Soyons srieux. Etant donn que lincidence de la maladie avait diminu de faonPDF created with pdfFactory Pro trial version www.pdffactory.com

spectaculaire bien avant la vaccination (douze fois moins de cas en 1992 quen 1978), on ne peut que sinquiter dapprendre que les chiffres pour lhpatite B ont doubl en dix ans. Dans ce cas, il faut surtout viter de continuer vacciner qui que ce soit . MENSONGE N 9: Il nexiste aucun lien entre le vaccin contre lHEPATITE B et la SCLEROSE en plaques

Les mdecins apprennent nos risques et prils. Ils exprimentent et tuent avec une impunit souveraine et le mdecin est le seul qui puisse donner la mort. Pline lancien (Histoire naturelle)Ce leitmotiv quil nexiste aucun lien entre ce vaccin et la sclrose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un ventail dune soixantaine dautres pathologies. Bien avant cette campagne mensongre, la liste des complications signales tait dj impressionnante : pousses de sclrose en plaques, syndromes de Guillain-Barr, nvrites optiques, paralysies faciales, mylites aigus, lupus rythmateux, polyarthrites, pricardites, uvites postrieures, urticaire, rythme polymorphe, lichen plan et bien dautres. En 1994, le Lancet (Vol.344) avait dnonc : La vaccination contre lhpatite B a t associe une exacerbation ou mme un dclenchement de maladies auto-immunes telles que des sclroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barr . Ainsi, contrairement ce quon prtend, les problmes lis la toxicit de la vaccination contre lhpatite B ne sont pas rservs la France ? Le Dr Laurent Hervieux rsumait clairement la situation dans le N spcial de lImpatient de mai 1997 consacr aux hpatites : Le vaccin contre lhpatite est compos dun antigne HBS dont la structure est partiellement commune avec la myline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqus par lorganisme arrivent confondre les deux et attaquer la myline, do les complications neurologiques enregistres avec cette vaccination. Lexpert, le Dr Marc Girard, a dcouvert un rapport de la direction gnrale de la Sant (DGS), du 15 fvrier 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit la plus grande srie deffets indsirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 , alors que tous nos responsables de la sant persistent affirmer quil ny en a pratiquement pas. Dans la littrature internationale, on note galement une multiplication rcente des articles sur la sclrose en plaques chez lenfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez lenfant a galement t confirm par un article publi en 2001 dans les Annales pidmiologiques. A la suite de ces parutions, les laboratoires ont ragi car, en 2003, les journaux franais ont annonc que des tudes indpendantes avaient totalement innocent le vaccin. En vrit, ces deux tudes, rputes indpendantes furent inities et en partie finances par les fabricants de vaccins, la premire par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, associ de Pasteur-Mrieux. Les marchands de vaccins avec nos instances de sant, nhsitent pas proclamer que les accidents survenus aprs la vaccination relvent de la pure concidence et que les liens quePDF created with pdfFactory Pro trial version www.pdffactory.com

les malades cherchent tablir nont aucun fondement scientifique. En outre, ils continuent claironner quil nexiste aucun accident chez les enfants de moins de six ans, alors quil ny a aucune raison pour que le pourcentage de mortalit aprs ce vaccin, pour cette tranche dge, soit en France infrieur celui des Etats-unis. Dailleurs le Revahb possde plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, dautres associations en dtiennent galement. MENSONGE N10: Lautisme na aucun rapport avec les vaccinations Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir de prendre des dcisions mdicales notre place, nous acceptons tacitement que lEtat soit le propritaire de notre corps Dr Ron Paul Snateur amricain Lautisme se manifeste en gnral au cours des trois premires annes, priode pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Serait-ce un des curieux hasards qui jalonnent le parcours des vaccins ? Les cas dautisme se sont multiplis depuis une trentaine dannes. Alors quaux Etats-Unis on avait dtect seulement une poigne de cas les annes quarante, vingt ans plus tard, aprs la gnralisation du vaccin diphtrie-Ttanoscoqueluche et larrive du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas dautisme devinrent de plus en plus frquente, et elles ont dcupl avec lintroduction du ROR et du vaccin anti-hpatite B. A prsent les scientifiques sont trs inquiets. Sagit-il dune simple concidence, quavant lintroduction de ces vaccins, il y a eu si peu de cas et quils se soient multipli plus de dix fois depuis la vaccination ? Comment se fait-il quon ne cherche pas approfondir les tudes sur ces concidences temporelles ? Comment se fait-il que les pouvoirs discrditent toute tude srieuse mettant en cause la toxicit des vaccins alors quils tiennent compte et plbiscitent certaines tudes simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ? Pourquoi les accidents relvent-ils toujours de concidence ? Pouvoirs publics, mdecins, et mdias persistent rpter la mme rengaine : Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est frquente et parfois mortelle , alors que les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bnignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant. Les mensonges que nous dnonons concernent tous les pays de la plante. Ainsi, lorsque dbutrent les premires vaccinations ROR au Japon, le Ministre de la sant signala les effets indsirables dans un cas sur 200 000. Quelques annes plus tard, ayant rvis les chiffres, le mme ministre annonait un accident pour 3000 vaccins. Les statistiquesPDF created with pdfFactory Pro trial version www.pdffactory.com

ayant t nouveau rvises , il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccins, chiffre trangement diffrent de ceux prcdemment publis. Mais en France, nous navons aucun problme avec le ROR et lon continue administrer ce vaccin et lexiger pour ladmission en crche. Dans le domaine du mensonge, nos experts restent imbattables ! leurs discours insultent lintelligence et sapparente un faux tmoignage. Quand demandera-t-on des comptes ces spcialistes en rappelant leurs responsabilits ? demande le Professeur Jacques Testart, biologiste rput. POUR CONCLURE Ce nest pas le rle du gouvernement dempcher le citoyen de tomber dans lerreur ; cest le rle du citoyen dempcher le gouvernement de tomber dans lerreur Robert Houghwout Jackson Prsident du Tribunal de Nuremberg (1945) Le dogmatisme mdical pourrait tre compar aux pratiques de lInquisition qui brlait tout ce qui dpassait son entendement ou risquait de mettre en pril lhgmonie de lEglise Catholique. Dans notre pays o Voltaire et Diderot ont thoriquement dtrn la superstition et le fanatisme, la sagesse nest gure de mise et les lavages de cerveau qui vont bon train causent des dgts irrparables. Il serait grand temps de nous rveiller et de secouer le joug des ides reues. Il serait grand temps de penser par nous-mmes, au lieu de laisser aux experts le soin de le faire notre place. Devant la puissance financire des laboratoires, leur mainmise sur la politique de sant, sommes-nous condamns dvelopper une certaine dsobissance civique ? Refusant aux Pouvoirs Publics le droit de nous imposer ces vaccins inutiles et dangereux au nom de la solidarit publique. Pourquoi ne pas utiliser cette arme que napprcient ni les fabricants de vaccins, ni les gouvernements, en attendant quune volution lgislative respectueuse des droits de lhomme et de la libert des citoyens sinstaure ? Pour mieux dsobir et rsister, il est prudent dadhrer des associations de consommateurs de sant, puisquil est bien connu que lunion fait la force.

BIBLIOGRAPHIELivres sur la vaccination qui ont pour auteur Sylvie SIMON Vaccinations loverdose Editeur dj 1999 Dj vaccin, comment sen sortir ? (avec le Dr Andr BANOS) Dj 2000 Faut-il avoir peur des vaccinations (ouvrage collectif) Dj 2000

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Vaccin hpatite B, les coulisses dun scandale (avec le Dr Marc VERCOUTERE) MARCO PIETEUR 2001 Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins DANGLES 2005 (3me livre dune collection les 10 plus gros mensonges ) Livres sur la sant Le rveil de la conscience avec Jacqueline BOUSQUET Editeur TREDANIEL 2003 Information et dsinformation TREDANIEL 2004 La dictature mdico -scientifique FILIPACCHI 1997 Exercices illgal de la gurison MARCO PIETTEUR 2202 Autres livres sur les vaccinations Vaccinations, les vrits indsirables Michel Georget DANGLES 2000 Vaccinations, erreurs mdicales du sicle Dr Louis de Brouwer Louise Courteau 1997 Le dossier noir du vaccin contre lhpatite B Lucienne Foucras Editions du Rocher 2004 Vaccination, la grande illusion Bickel (sadresser Ren Bickel, 116 rue de Mittelwihr 68150 OSTHEIM Tl/Fax : 03 89 47 83 06 Pour en finir avec Pasteur Dr Eric ANCELET Marco Pietteur 1998 Constitution des organismes animaux et vgtaux, causes des maladies qui les atteignent 3 vol. Pr. J. TISSOT Laboratoire de physiologie gnrale PARIS Dr CHAUFFAT Franois, vaccinations : le Droit de choisir Jouvence 2001 Dr COUZIGOU Yves, la longue traque de la variole Perrin 1986

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