un ordinateur de bord financier, indispensable pour votre entreprise, infor feb 15, 10 mai 2012

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  • 8/2/2019 Un ordinateur de bord financier, indispensable pour votre entreprise, Infor FEB 15, 10 mai 2012

    1/4

    >INFORFEBWWW.FEB.BE

    La newsletter pour dcideurs

    [ 10 MAI 2012 N 15 ]

    Seuls quelques pour cent du milliard de fac-

    tures qui seraient changes en Belgique le

    sont par voie lectronique.

    La plupart d'entre elles sont tablies lectro-

    niquement, mais sont ensuite imprimes et

    envoyes au destinataire. Celui-ci encode

    manuellement toutes les donnes de la fac-

    ture dans son systme comptable lectro-

    nique avant d'effectuer le paiement par

    virement lectronique. La facture papier n'a

    donc qu'une vie trs courte. Ce n'est pas effi-

    cace, cote inutilement beaucoup de temps

    et d'argent et peut donner lieu des erreurs

    lors du traitement des informations de factu-

    ration. Pourquoi persistons-nous convertir

    des factures numriques en papier, pour

    ensuite les reconvertir du papier vers un for-

    mat lectronique ? Une premire raison est

    peut-tre que la facturation lectronique se

    situe la croise de deux mondes : la tech-

    nologie et le droit. Une seconde est que le

    cadre lgal tait jusqu'il y a peu trs svre

    et formaliste. l'initiative de la FEB, un pre-

    mier pas a t franchi en 2010 vers une sim-

    plification des rgles en matire de factura-

    tion lectronique. D'ici la fin de 2012, la

    Belgique procdera une nouvelle simplifi-

    cation en excution d'une directive europen-

    ne de 2010. D'aprs les estimations, la seule

    facturation lectronique pourrait faire cono-

    miser aux entreprises belges quelque 3 mil-

    liards EUR.

    La facture lectronique n'est qu'un maillon

    dans la chane de l'administration financire

    des entreprises. Quel chef d'entreprise ose-

    rait encore nier qu'une administration finan-

    cire efficace est devenue un instrument de

    management indispensable ? En ces temps

    complexes dun point de vue conomique et

    o tout volue rapidement, les chefs d'entre-

    prise ne peuvent plus se permettre d'avancer

    l'aveugle. Ils doivent tout moment dispo-

    ser d'un instantan prcis et actuel de la

    situation de leur entreprise. Il ne s'agit pas

    seulement de donnes financires, mais aus-

    si d'autres informations qualitatives, sur la

    base desquelles des balanced scorecards

    sont gnres. Tout comme le secteur auto-

    mobile, l'administration financire au sein

    des entreprises subit actuellement une

    srieuse mtamorphose. Le tableau de bord

    analogique fait progressivement place lor-

    dinateur de bord numrique, lequel collecte

    des donnes de manire plus complte, mais

    aussi plus rapide et prcise. Dans le proces-

    sus administratif, on rencontre de plus en

    plus souvent des termes comme e-accoun-

    ting, e-archivage, e-facturation, e-auditing,

    e-procurement, . Pour pouvoir vritable-

    ment cueillir les fruits de ces (r)volutions,

    une approche intgre de tous ces lments

    est cruciale.

    C'est pourquoi la FEB vient de publier, en

    collaboration avec BDO, un guide pratique

    (*) destin aider les chefs d'entreprise dans

    la poursuite de l'automatisation et la numri-

    sation de leur administration financire et

    ce, en vue d'en accrotre la qualit et l'effica-

    cit. Cela pourrait en outre permettre aux

    entreprises de raliser une conomie consi-

    drable, sans que cela cote un seul euro

    aux pouvoirs publics. Pourquoi attendre plus

    longtemps ?PHILIPPE LAMBRECHT,

    ADMINISTRATEUR-SECRTAIRE G NRAL

    (*) Si vous souhaitez unexemplaire de cette brochure,

    vous pouvez la commanderauprs de Anne Michiels,

    [email protected] ou la tlchar-ger sur le site web de la FEB :

    www.feb.be > Publications >Brochures gratuites.

    La seule facturation lectroniquepourrait faire conomiser auxentreprises belges quelque3 milliards EUR.

    > BUDGET > Le gouvernement veut conomiser moins en2013

    SCURIT DES ENTREPRISES > Dialogue entre le priv et lepublic

    FINANCEMENT > Vers un espace unique de paiement

    HEBDOMADAIRE BUREAU DE DPT : SINT-NIKLAAS P409959

    LE CHIFFRE DE LA SEMAINE PINGLER

    Un ordinateur de bord financier,indispensable pour votre entreprise

    Le dficit budgtaire en 2013L'anne dernire, le gouvernement stait

    engag ramener le dficit budgtaire

    1,8% du PIB en 2013, pour voluer ensuite

    vers un quilibre budgtaire dici 2015.

    Dans la version actuelle du budget, leffort

    prvu est quelque peu rduit : pour 2013, on

    table dsormais sur un dficit de 2,15%.

    2,15%

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    Le 3 mai dernier, le comit consultatif fdral

    de la Plate-forme de concertation permanente

    sur la scurit des entreprises (PCSE) s'est

    runi la FEB. La PCSE est un lieu de ren-

    contre prcieux pour le secteur priv et les

    pouvoirs publics, qui peuvent y dialoguer dansun cadre lgal et confidentiel sur la scurit

    des entreprises. Sur la base de cette concer-

    tation, ils laborent ensemble des mesures

    concrtes de lutte contre la criminalit len-

    contre des entreprises. Citons titre dexemple

    lEarly Warning System (EWS) pour les

    menaces terroristes. Ce systme performantdchange dinformations entre les autorits et

    le secteur priv est incontestablement une des

    principales ralisations de la PCSE. Grce

    lEWS, le monde des entreprises a notamment

    t mis en garde contre les projets dactivistes

    animaliers. Un autre thme abord la PCSE

    est la gestion des risques dans le secteur de la

    distribution. Dans ce contexte, les vols lta-

    lage et main arme comptent toujours parmi

    les principales priorits des entreprises. Bien

    quon ait dj investi beaucoup dans la pr-vention, ces formes de criminalit constituent

    encore des facteurs de risque importants.

    Lespionnage conomique est lui aussi un sujet

    de discussion important au sein de la PCSE, et

    plus particulirement la ncessit pour les

    entreprises de prserver leurs connaissances

    conomiques et scientifiques.

    Anneleen Dammekens [email protected]

    FINANCEMENT

    Vers un espace uniquede paiementAprs l'introduction de la monnaie unique,

    c'est prsent le march des instruments de

    paiement qui sera unifi. tant donn que la

    grande majorit de nos paiements se font par

    virement, l'impact du passage un Single

    European Payments Area (SEPA) pourrait

    mme dpasser celui de l'introduction de l'eu-

    ro. Le but poursuivi par le SEPA est que les

    paiements soient aussi aiss, scuriss et effi-

    caces au sein de l'ensemble de l'Union euro-

    penne. partir de fvrier 2014, tous les

    virements et domiciliations au sein de l'UE

    devront s'inscrire dans le mme cadre rgle-

    mentaire. C'est pourquoi les instruments de

    paiement nationaux actuels sont progressive-

    ment remplacs par des instruments euro-pens standardiss.

    Les entreprises devront adapter leurs diffrents

    systmes de paiement la nouvelle rglemen-

    tation. Cette transition peut entraner, au sein

    des entreprises, des adaptations drastiques au

    niveau de la gestion des paiements (par ex. ins-

    tallation de nouvelles interfaces bancaires).

    D'autres changements concrets, tels que la

    >

    Rencontre avecSME envoy

    Sur une initiative europenne, le rseau SME

    envoy a rcemment t mis en place. Il se

    compose de 27 fonctionnaires nationaux un

    par tat membre qui sont autant de points de

    contact pour les PME. Leur mission consiste

    veiller ce que la politique tienne suffisam-

    ment compte, au niveau national et europen,

    des besoins des PME.

    Le 18 avril dernier, la FEB a rencontr la repr-sentante belge de SME envoy, Marie-Christine

    Colin. Elle a fait part de ses priorits en vue de

    parvenir une politique qui soit plus favorable

    aux PME. La FEB a pour sa part attir latten-

    tion sur des dossiers europens influenant

    fortement la vie des PME, comme la respon-

    sabilit en chane dans le cadre du dtache-

    ment de travailleurs. Elle a galement

    comment sa propre politique en matire de

    PME.

    Olivier Joris [email protected]

    Stijn Rocher [email protected]

    Les chefs de PME mnentun dbat sur l'internationa-lisation

    Mercredi dernier, la Plate-forme PME a runi

    une vingtaine de chefs de PME dots d'une

    expertise internationale pour un dbat sur l'in-

    ternationalisation. L'introduction a t pro-

    nonce par Leo Sleuwaegen, professeur la

    Vlerick Management School. Il a soulign

    l'norme potentiel des entreprises belges s'in-

    ternationaliser. Mais des facteurs tant internesqu'externes retiennent bon nombre d'entre

    elles de vouloir conqurir de nouveaux mar-

    chs. Une table-ronde avec les chefs de PME

    prsents a mis en avant plusieurs entraves,

    telles que la barrire culturelle, les lgislations

    diffrentes, le protectionnisme croissant, ... Ils

    ont par ailleurs avanc aussi de nombreuses

    solutions cratives.

    Stijn Rocher [email protected]

    Nouvelle Tunisie, nouvellesopportunits !

    la veille de lEuropean Business Summit, la

    FEB a eu lhonneur daccueillir Alaya Bettaeb,

    secrtaire dtat tunisien de la Coopration

    internationale et de l'Investissement extrieur.

    Lors de son intervention, destine redonner

    confiance aux investisseurs trangers, A.

    Bettaeb a expos les nouvelles opportunits

    daffaires qui soffrent actuellement aux entre-

    prises belges. Il a notamment pingl les sec-

    teurs des soins de sant, de lnergie, de

    lenvironnement ainsi que les secteurs phar-

    maceutique et technologique. La rvolution de

    Jasmin a fait entrer la Tunisie dans lre nou-

    velle de la dmocratie et de lconomie de mar-

    ch. Nos entreprises ont loccasion departiciper activement cette reconstruction et

    den bnficier. elles de la saisir!

    Laurent Sempot [email protected]

    CO2 : place laction !Le 24 avril, la FEB et Business&Society ont

    coorganis une aprs-midi sur la thmatique

    du CO2 (CO2 measuring and compensating).

    Y ont t prsents les dmarches et projets de

    SWIFT, bpost et Alpro. Au-del des dclara-

    tions polmiques et striles, nos organisations

    veulent mettre laccent sur laction ainsi que

    sur le partage et la rflexion autour des bonnes

    pratiques, pour faciliter et guider les actions

    des entreprises.

    Isabelle Callens [email protected]

    >

    >

    >>

    ACTION FEB

    >

    SCURIT DES ENTREPRISES

    Dialogue entre le priv et le public>

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    La semaine dernire, notre pays comme tous les autres tats membres

    a soumis la Commission europenne son budget pluriannuel. Dans

    la version de lanne dernire, le gouvernement stait engag rame-

    ner le dficit budgtaire 1,8% du PIB en 2013, pour voluer ensui-

    te vers un quilibre budgtaire dici 2015. Dans la version actuelle,lquilibre reste lobjectif atteindre pour 2015, mais leffort prvu pour

    lanne prochaine est quelque peu rduit : pour 2013, on table dsor-

    mais sur un dficit de 2,15%. Selon le gouvernement, le taux den-

    dettement augmentera encore cette anne 99,4% du PIB pour ensui-

    te retomber 92,3% en 2015.

    Malgr une croissance meilleure que prvu au premier trimestre,

    le climat conomique reste difficile. Le gouvernement avait donc unebonne raison de rduire lgrement leffort budgtaire court terme. Il

    aurait toutefois bien fait denvoyer simultanment un signal aux mar-

    chs financiers en annonant sa volont dinscrire

    dans la Constitution lobjectif europen imposant de

    rtablir et de maintenir structurellement lquilibre

    budgtaire. En omettant de le faire, il entretient la

    crainte que cet assouplissement temporaire ne

    devienne structurel. Ce ne serait pas la premire fois

    dans lhistoire des finances publiques belges que les

    autorits optent pour la voie de la facilit, qui se

    rvle nfaste terme.Geert Vancronenburg [email protected]

    modification des documents de paiement,

    s'imposent galement, le numro de compte

    belge tant converti en un numro IBAN inter-

    national. cet gard, une communication clai-re s'impose l'attention des clients. Un plan

    de rforme dtaill s'avre donc ncessaire. Et

    le temps presse. Ainsi, les chefs d'entreprise

    ont tout intrt agir ds prsent pour pr-

    parer une transition aise vers le SEPA. En

    tant que dirigeant d'entreprise, votre premier

    point de contact est votre banque. Vous trou-

    verez plus d'informations sur le site web men-

    tionn ci-dessous (*).

    Stijn Rocher [email protected]

    (*) www.sepabelgium.be

    MARCH INTRIEUR

    La transposition de lalgislation reste probl-matique

    Au cours du second semestre de 2011, 1,2%

    en moyenne des lois lies au march intrieur

    europen n'ont pas t transposes en lois

    nationales dans les dlais. Ce pourcentage est

    le mme qu'au premier semestre de 2011,

    lorsque le dficit moyen de transposition tait

    repass au-dessus de la barre de 1% pour la

    premire fois depuis le dbut de 2008. Des

    chiffres rcents de la Commission europenne

    indiquent que la Belgique serait le plus mau-

    vais lve de la classe europenne, avec un

    dficit de transposition de 2,2%. celasajoute quau cours de cette priode, le retard

    de la Belgique na fait que sintensifier et seul

    Chypre a fait encore moins bien.

    Il est vident que la longue priode daf-

    faires courantes a eu un impact ngatif sur les

    prestations de notre pays, puisque le bon fonc-

    tionnement du march intrieur est essentiel

    pour une conomie ouverte comme la

    Belgique. Cest pourquoi les diffrents gouver-

    nements et parlements de notre pays doivent

    redresser la situation dans les plus brefs dlais.La FEB plaide non seulement pour le respect

    des dlais de transposition convenus au niveau

    europen, mais aussi pour une transposition

    dans le respect de lesprit des directives. Plus

    concrtement, cela signifie quil ne faut pas,

    lors de la transposition en droit belge, aller

    plus loin que la directive europenne (le ph-

    >

    BUDGET>

    Le gouvernement veut conomiser moins en 2013

    >

    [INFOR

    FEB

    15

    10MAI2012

    ]

    Ce ne serait pas la pre-mire fois dans lhistoiredes finances publiquesbelges que les autorits

    optent pour la voie de lafacilit.

    Vous cherchez des

    salles de runion

    au cur de Bruxelles ?La FEB propose un large ventail de salles

    polyvalentes et modernes, des prix concurrentiels.

    Infos : Service Events - [email protected] - T +32 2 515 09 83

  • 8/2/2019 Un ordinateur de bord financier, indispensable pour votre entreprise, Infor FEB 15, 10 mai 2012

    4/4

    Grap

    hismee

    tpro

    duc

    tion:

    The

    Ma

    ils

    hop

    tl.037711230

    ma

    il@thema

    ils

    hop

    .be

    nomne du goldplating, susceptible daffai-

    blir la position concurrentielle de nos entre-

    prises par rapport leurs concurrents ailleurs

    en Europe).

    Pieter-Jan Van Steenkiste [email protected]

    Olivier Joris [email protected]

    SERVICES GNRAUXDINTRT CONOMIQUE

    Le nouveau cadre rgle-mentaire est complet

    Le 25 avril dernier, la Commission europen-

    ne a adopt un rglement consacrant la pos-

    sibilit, pour les tats membres, de financer

    des oprateurs privs hauteur dun maxi-

    mum de 500.000 EUR sur trois exercices

    budgtaires (drogeant au seuil gnral de

    200.000 EUR) dans le cadre de la prestation

    de missions de services publics, sans devoir

    en informer la Commission. Ce rglement de

    minimis constitue la dernire partie du nou-

    vel ensemble rglementaire europen sur les

    services gnraux dintrt conomique des-

    tin encadrer les dotations doprateurs pri-

    vs par les pouvoirs publics. Il complte la

    dcision, la communication et lencadrementadopts la fin de lanne 2011, qui visaient

    faciliter la comprhension des rgles par les

    parties prenantes.

    La FEB a trait attentivement ce dos-

    sier afin de prserver les intrts de ses

    membres tout au long du processus de rvi-

    sion du cadre rglementaire et a organis dif-

    frentes runions dun groupe de travail ad

    hoc. Afin dassurer la bonne information de

    ses membres, la FEB organisera le 6 juin pro-

    chain un vnement sur le sujet runissant

    diffrents panels dexperts (avocats, fonc-tionnaires, consultants, professeurs, etc.) qui

    feront la lumire sur tous les aspects de cet-

    te rglementation et les impacts quelle aura

    sur la vie des entreprises.

    Anne-Laurence Cock [email protected]

    Pierre Sabbadini [email protected]

    >

    FEB Fdration des Entreprises de Belgique ASBLrue Ravenstein 4 1000 Bruxelles tl. 02 515 08 11 fax 02 515 09 15

    RDACTION : Anne Michiels tl. 02 515 09 44 [email protected]

    Thrse Franckx tl. 02 515 09 50 [email protected]

    DITEUR RESPONSABLE : Charles Gheur rue Ravenstein 4 1000 Bruxelles

    PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes tl. 02 515 08 43 [email protected]

    ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba tl. 03 448 07 57 [email protected]

    CHANGEMENTS DADRESSE : FEB Service mailing tl. 02 515 09 06 fax 02 515 09 55 [email protected]

    COPYRIGHT : Reproduction autorise moyennant mention de la source

    LInfor est imprim sur du papier issu de la gestion durable des forts. La gestion durable des forts tient compte de l'cosyst-

    me forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indignes et des travailleurs forestiers*) et est

    responsable d'un point de vue conomique.

    >

    DATE : 22 MAI 2012

    DATE : 31 MAI 2012

    DATE : 6 JUIN 2012

    DATE : 13, 20

    ET 27 JUIN 2012

    DATE :

    17 SEPTEMBRE 2012

    Comment trouver votre chemin parmi lesstandards RSE ?

    En collaboration avec Business & SocietyPour comprendre les implications concrtes que peuvent avoir lesdiffrents principes et lignes directrices pour votre entreprise etchoisir linstrument le plus adapt, rendez-vous le 22 mai pour

    un sminaire pratique et interactif.

    From bench to bedComment raliser un pont entre la recherche appliqueet la mdecine spcialise en Belgique et linterna-tional

    Une confrence sur les technologies mdicales organise par la FEB, HealthcareBelgium, Unamec et NCBME.

    Secteur priv et services publics : en concurrence ?Dans le cadre de Brussels MetropolitanCe sminaire a pour but d'identifier tant les nouveaux marchspotentiels pour les oprateurs privs dans des domaines relevant

    jusqu prsent de la sphre publique que les dfis lis la con-currence en provenance du secteur public sur des segmentsdactivits commerciaux.

    FEB Social Academy workshopsDialoguez mieux avec votre personnel pour atteindrevos objectifsEn cette priode d'incertitude conomique, impliquer son person-

    nel dans les objectifs de l'entreprise est un lment important de croissance.

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    Plus dinfos > www.feb > Manifestations & sminaires

    LIEU : FEB, BRUXELLES

    INFO : SERVICE EVENTS

    T 02 515 08 36

    [email protected]

    LIEU : FEB, BRUXELLESINFO : ANNE COUDEYRE

    T 02 515 09 38,

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    17.09.2012

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