trimestre 2012 · 2020. 12. 15. · 3 assemblee generale ordinaire jeudi 3 mai 2012 à 10 h 00...

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BULLETIN D’INFORMATION N° 65 2e trimestre 2012 Bulletin trimestriel de liaison de la Fédération des Aînés Ruraux du Bas-Rhin 8/10 rue Sainte Marguerite 67000 STRASBOURG 03 88 22 53 08 Permanence : mardi de 14 h à 16 h (en-dehors des vacances scolaires) Email : [email protected] Site : http://ainesruraux67.com Bulletin imprimé gracieusement par « GROUPAMA GRAND EST » Responsable de la publication : Bernard DUMONT Chers "AINĒS" Quelle FROIDURE ! Quelle ÉPOQUE ! Entre ces deux exclamations, je ne résiste toutefois pas à tirer quelques comparaisons, qui me paraissent être communes à ce qu'elles sous-entendent. Quelle FROIDURE ! Nous venons de sortir d'un épisode climatique d'une rigueur dont nous avions perdu le souvenir. Températures extrêmement négatives; sensations de froid amplifiées par un vent du nord incisif et mordant; étangs, mares et canaux gelés; pics exceptionnels de notre consommation électrique pour cause de chauffage plus important; décès trop nombreux pour les plus désavantagés d'entre nous, affublés bien malgré eux d'une identité S D F. (sans domicile fixe). Quelle ÉPOQUE ! En même temps, notre société de modernité et de consommation ressent une perte de ses repères. Certains des SDF mentionnés ci-avant, sont des femmes seules, ou avec enfant(s) à charge, qui ne disposent pas des ressources nécessaires pour vivre dignement dans un logement normalement chauffé. Vous avez pu voir, comme moi, à nos actualités télévisées, ces femmes, obligées de passer la nuit, par très grand froid, dans une petite voiture qui contient tous leurs effets personnels! Ne trouvez-vous donc pas que notre époque est devenue froide ? Au sens propre comme au sens figuré. Chacun pour soi, se renfermant de plus en plus dans son isolement, ce n'est guère propice au réchauffement dont nous avons tous besoin plus que jamais en cet hiver rigoureux. Comment renverser ce constat ? Comment retrouver des valeurs qui paraissent avoir existées davantage auparavant ? Vaste et difficile question à laquelle nous ne pouvons répondre seuls. Par contre, ensemble et nombreux, si nous appliquons entre nous, et pour tous, des principes simples, comme celui de la SOLIDARITE, nous pouvons redevenir les acteurs décisifs de notre présent et de notre avenir. Aux Ainés ruraux, comme partout, cette SOLIDARITE devrait pouvoir s'exprimer souvent concrètement. Saluons l'implication des responsables de chacun de nos clubs locaux (Président, trésorier, secrétaire et comité), et aussi celle de ses adhérents de base. Espérons que leur exemple puisse inciter les plus jeunes membres du club à poursuivre ce qui a été entrepris, par SOLIDARITE avec son association. Si cette SOLIDARITE est revendiquée et appliquée par chacun, elle assurera naturellement le renouvellement des équipes actives, qui animent, dans chaque commune, notre mouvement. Je pense plus particulièrement à tous les clubs dont la prise en charge par une nouvelle équipe de responsables, a du mal ou n'arrive pas à se faire, et dont l'activité repose sur les seules épaules des mêmes, et parfois depuis de longues années. Un certain nombre de présidents de clubs des Aînés ruraux 67 ont beaucoup de difficultés à préparer leur relève, selon eux, par carence de volontaires. Or, n'oublions pas ce qu'apporte en enrichissement personnel l'implication SOLIDAIRE dans une équipe soudée. Car, si il y a insuffisance de SOLIDARITE, cela devient alors une des causes de la disparition de certains de ces clubs, qui représentent pourtant souvent le dernier lien social dans leur localité. Alors, retrouvons-nous tous autour de cette valeur propre à nous réunir, à nous réchauffer, et qui, telle le printemps qui s'annonce lentement, mais sûrement, nous préservera de tous types de froidures par une constante régénération, et éclairera par sa lumière, l'avenir assombri qui nous est présenté trop fréquemment. SOLIDAIREMENT VÔTRE, Bernard DUMONT Président Fédération Aînés Ruraux 67

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  • BULLETIN D’INFORMATION N° 65 2e trimestre 2012

    Bulletin trimestriel de liaison de la Fédération des Aînés Ruraux du Bas-Rhin 8/10 rue Sainte Marguerite 67000 STRASBOURG 03 88 22 53 08

    Permanence : mardi de 14 h à 16 h (en-dehors des vacances scolaires) Email : [email protected]

    Site : http://ainesruraux67.com

    Bulletin imprimé gracieusement par « GROUPAMA GRAND EST » Responsable de la publication : Bernard DUMONT

    Chers "AINĒS"

    Quelle FROIDURE ! Quelle ÉPOQUE !

    Entre ces deux exclamations, je ne résiste

    toutefois pas à tirer quelques comparaisons, qui me

    paraissent être communes à ce qu'elles sous-entendent.

    Quelle FROIDURE !

    Nous venons de sortir d'un épisode climatique

    d'une rigueur dont nous avions perdu le souvenir.

    Températures extrêmement négatives; sensations

    de froid amplifiées par un vent du nord incisif et mordant;

    étangs, mares et canaux gelés; pics exceptionnels de notre

    consommation électrique pour cause de chauffage plus

    important; décès trop nombreux pour les plus désavantagés

    d'entre nous, affublés bien malgré eux d'une identité S D F.

    (sans domicile fixe).

    Quelle ÉPOQUE !

    En même temps, notre société de modernité et

    de consommation ressent une perte de ses repères.

    Certains des SDF mentionnés ci-avant, sont des

    femmes seules, ou avec enfant(s) à charge, qui ne disposent

    pas des ressources nécessaires pour vivre dignement dans

    un logement normalement chauffé. Vous avez pu voir,

    comme moi, à nos actualités télévisées, ces femmes,

    obligées de passer la nuit, par très grand froid, dans une

    petite voiture qui contient tous leurs effets personnels!

    Ne trouvez-vous donc pas que notre époque est

    devenue froide ? Au sens propre comme au sens figuré.

    Chacun pour soi, se renfermant de plus en plus

    dans son isolement, ce n'est guère propice au réchauffement

    dont nous avons tous besoin plus que jamais en cet hiver

    rigoureux.

    Comment renverser ce constat ? Comment

    retrouver des valeurs qui paraissent avoir existées davantage

    auparavant ?

    Vaste et difficile question à laquelle nous ne

    pouvons répondre seuls.

    Par contre, ensemble et nombreux, si nous

    appliquons entre nous, et pour tous, des principes simples,

    comme celui de la SOLIDARITE, nous pouvons redevenir

    les acteurs décisifs de notre présent et de notre avenir.

    Aux Ainés ruraux, comme partout, cette

    SOLIDARITE devrait pouvoir s'exprimer souvent

    concrètement.

    Saluons l'implication des responsables de chacun

    de nos clubs locaux (Président, trésorier, secrétaire et

    comité), et aussi celle de ses adhérents de base. Espérons

    que leur exemple puisse inciter les plus jeunes membres du

    club à poursuivre ce qui a été entrepris, par SOLIDARITE

    avec son association.

    Si cette SOLIDARITE est revendiquée et

    appliquée par chacun, elle assurera naturellement le

    renouvellement des équipes actives, qui animent, dans

    chaque commune, notre mouvement.

    Je pense plus particulièrement à tous les clubs

    dont la prise en charge par une nouvelle équipe de

    responsables, a du mal ou n'arrive pas à se faire, et dont

    l'activité repose sur les seules épaules des mêmes, et parfois

    depuis de longues années.

    Un certain nombre de présidents de clubs des

    Aînés ruraux 67 ont beaucoup de difficultés à préparer leur

    relève, selon eux, par carence de volontaires. Or, n'oublions

    pas ce qu'apporte en enrichissement personnel l'implication

    SOLIDAIRE dans une équipe soudée.

    Car, si il y a insuffisance de SOLIDARITE, cela

    devient alors une des causes de la disparition de certains de

    ces clubs, qui représentent pourtant souvent le dernier lien

    social dans leur localité.

    Alors, retrouvons-nous tous autour de cette

    valeur propre à nous réunir, à nous réchauffer, et qui, telle le

    printemps qui s'annonce lentement, mais sûrement, nous

    préservera de tous types de froidures par une constante

    régénération, et éclairera par sa lumière, l'avenir assombri

    qui nous est présenté trop fréquemment.

    SOLIDAIREMENT VÔTRE,

    Bernard DUMONT

    Président

    Fédération Aînés Ruraux 67

  • 2

    « Maman, il faut que tu fermes le robinet de la pluie… » Regarde maman, le petit bébé a déjà perdu tou-tes ses dents. Oh la la ! Il pleut des cornes, dehors ! Maman, Papa c’est pas ton papa ! C’est ton mari. Alors, pourquoi tu l’appelles pas « mari » ? Marie (4 ans) cherche son short. Maman, je ne trouve pas mon pantalon à manches courtes. Papa, si tu roules trop vite, la police va te donner une conversation. Cynthia (5 ans) : « Un opticien, je sais que c’est un chien, mais c’est quoi comme chien ? » Maman, il neige ! On va faire des clowns de nei-ge. A l’occasion de Pâques « Avant, Jésus, il était mort. Maintenant, il est recyclé. » Un petit garçon marche main dans la main avec son papy. Il le regarde avec amour et lui dit : «Papy, tu es mon pote !» Mamy lui demande : « Et moi, je suis quoi ? » « Ben, toi, tu es ……euh, ma compote ! » L'été, à cause des insectes, il faut dormir avec un mousquetaire. En passant devant une éolienne dans un pré où

    broutaient des vaches un jour de grande chaleur, mon fils s'exclame : « T'as vu papa, il est gentil le fermier : il a mis un ventilateur pour ses vaches. » En parlant du trotteur de son petit frère qui a une forme de voiture, elle dit : « On lui a acheté une voiture de course avec une culotte" Si j‘étais un garçon est-ce que j‘aurais été dans le ventre de mon papa ? L’institutrice « Marie, pourquoi fais-tu tes multi-plications par terre ? » Marie « Parce que vous m'avez dit de ne pas utili-ser les tables ! » Le printemps ?... C’est quand la neige fond et qu’elle se met à repousser en gazon. Maman, je vais me coucher… je suis fatigué. C’est vrai, j’ai les yeux qui clignotent. Les hommes ont un cerveau… Les femmes ont une cervelle... C’est l’automne, toutes les feuilles sont tombées avec le vent. Et maintenant !... Qui va les remettre ? (Nadine, 4 ans) S'il te plaît, maman, je voudrais une petite sœur. - Mais, chérie, papa n’en veut pas maintenant. - On n'a qu'à lui faire la surprise... - Julie, viens m'aider à changer ton petit frère. - Pourquoi, il est déjà usé ?

    Mots d’enfants à l’occasion de la Fête des Mères

  • 3

    ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE

    Jeudi 3 mai 2012 à 10 h 00

    GROUPAMA Grand Est 101 Route de Hausbergen

    67300 SCHILTIGHEIM

    Tous les membres des différents clubs du Bas-Rhin (à jour de cotisation) sont cordialement invités.

    Possibilité de déjeuner sur place. S’inscrire avant le 10 avril 2012 à la Fédération du Bas-Rhin

    03 88 22 53 08

    Le « Club du 3e âge » de Soultz-sous-Forêts et la Fédération des Aînés Ruraux du Bas-Rhin

    co-organisent la traditionnelle

    Mercredi, le 27 juin 2012 à partir de 10 h 00 Salle des Fêtes « La Saline » SOULTZ-SOUS-FORETS

    Les clubs sont priés de s’inscrire avant le 1er juin 2012

    à la Fédération du Bas-Rhin 03 88 22 53 08

    L’action “Ensemble vers les chemins de

    Compostelle” (ECC) a été lancée officiellement

    en 2011 et se déroule toutes les semaines n° 37 et

    38 jusqu'en 2015.

    Cette marche conviviale permet de : tisser et

    échanger des liens humains, prendre soin de son

    corps, enrichir son savoir, sa culture par la

    découverte de l’histoire et de la nature, participer

    pour renforcer notre action Solidarité Madagascar.

    Cette année la marche aura lieu le

    Samedi 22 septembre 2012. Le site reste encore à définir. Il sera communiqué en

    temps utile, mais retenez la date dès à présent !

  • 4

    Cette année encore, les tricoteuses et grand’mères d’adoption de l’amicale du 3e âge de Lohr se sont surpassées. C’est avec une certaine émotion et beaucoup de fierté que l’amicale a réceptionné une multitude

    de layettes : 33 couvertures, 42 cache-nez, 60 paires de chaussons, 43 bonnets et 35 brassières. Tous ces tricots confectionnés seront distribués à des mamans nécessiteuses.

    Article des D N A

    L O H R Les tricoteuses du club du 3e âge

  • 5

    L’Association des Aînés Ruraux « Feuille de Trèfle » a organisé son repas de Noël en cette période de l’Avent. Au total, 44 personnes ont participé à cette fête traditionnelle où la joie et la convivialité étaient de mise. Avant de passer au dessert, le président, Gilbert Bréfie, a projeté sur écran les photos de toutes les activités de l’année en cours. Et c’est au cours de la prise du dessert que sont apparus Saint Nicolas, le « Christkindel » et le Père Fouettard, qui avaient déjà rendu visite aux enfants de la commune quelques jours avant. Quelle ne fût la surprise de ces derniers, lorsque apparaissent les 3 personnages mythiques. Après un chant, dédié au saint homme, et entonné par toute l’assemblée, Saint Nicolas ne manque pas de questionner chaque personne présente, quant à son comportement tout au long de l’année. Bien entendu, chacun avait mérité une petite friandise en récompense. Après le tour de la salle, les anciens entonnent encore quelques chants de circonstance, Noël étant si proche maintenant. Les anciens remercient la section de l’A.G.F. locale pour cette initiative.

    SAASENHEIM Repas de Noël et visite de Saint Nicolas aux Aînés du 3ème âge

    La traditionnelle fête de noël du club des ainés de Waltenheim-sur-Zorn s'est déroulée à la salle communale. C’est le président Douglas Wiemer qui a accueilli les participants, dont le maire Jeannot Krebs et son épouse, sans oublier de rendre hommage aux bénévoles du club qui se dévouent toute l’année pour la préparation des réunions men-suelles. Le maire a évoqué quelques travaux effectués au courant de l’année écoulée

    dans la commune, avant d’assurer l’assemblée du soutien de la municipalité. Un excellent repas concocté par un membre du club a été servi et l’après-midi s’est poursuivie avec des chants de Noël qui ont ravi les participants.

    WALTENHEIM SUR ZORN Article des D N A du 17 12 2011

  • 6

    Bilan de l’année 2011 Cette première année de l’association fut riche d’évènements. Activité loisirs et jeux de société : Les réunions bimensuelles animées par Philippe Mathis continuent à avoir un franc succès, en particulier auprès des plus âgés d’entre nous. Le baeckeoffe du mois d’avril demeure un excellent moment d’échanges dans le souvenir des participants. Activité visites : Citons pêle- mêle le comptoir agricole de Vendenheim, « l’asperge, du champ à l’assiette » à Pfulgriesheim, l’hippodrome de Hoerdt, la Streisselhochzeit de Seebach, le jardin botanique de Saverne et la sucrerie de Erstein.

    Activité conférences

    Découverte des fresques du XIVème siècle de notre église par Monsieur Busch, de l’office de tourisme du Kochersberg

    L’écrivain Pierre Kretz sur le thème de sa démarche et de son œuvre

    F. Tournay conservateur du jardin botanique de Strasbourg sur les semences

    Conseils pratiques sur la sécurité des biens et des personnes par la gendarmerie de Truchtersheim

    La radioactivité animée par Claude Jacquot ancien du CNRS et moniteur de l’activité informatique

    Le diabète , une maladie évitable du XXIème siècle par le Professeur Pinget

    Activité Rencontres La soirée « Vin nouveau »du 6 octobre a été une belle réussite ; après un excellent repas, les 64 personnes présentes, accompagnées à l’accordéon par Bernard Hummel et à l’harmonica par Sylvain Schmitt, ont repris en chœur un pot-pourri de chansons alsaciennes et françaises d’antan.

    Activités Informatique et Généalogie : Indéniablement un gros succès : une quarantaine de personnes réparties en 2 groupes pour l’informatique et une quinzaine de personnes pour la généalogie ont suivi ces formations qui se sont étalées sur 44 séances. L’utilité de ces cours, prodigués par des bénévoles du village, correspond réellement à une attente de nos concitoyens à un prix vraiment très abordable si on le compare à ceux habituellement pratiqués.

    Club des Aînés de

    Pfulgriesheim

    Séance d’essayage avant la visite de la sucrerie d’Erstein

    Pour l’année 2012, cette formule va donc être reconduite et étendue, sur leur demande, aux membres de l’association des aînés ruraux des communes environnantes qui le souhaiteraient. Les personnes intéressées sont priées de se faire connaître auprès de Gérard Penchenat

    03.88.20.39.12.

  • 7

    Weinbourg Club de l’Amitié

    C’est une journée exceptionnelle qui s’est déroulée, mardi 8 novembre 2011, au Club de l’Amitié de Weinbourg.

    Marline et Charles G R O S S , n é s respectivement en 1925 et 1926, ont joyeusement fêté leurs « N o c e s d e Diamant ». A cette occasion, un arrangement floral a été offert par le Club. Après un excellent re-pas, commandé gra-cieusement par nos hôtes, la journée s’est terminée dans la bonne humeur, avec des chants repris en c h œ u r p a r l’assemblée.

    Charles HUHNE Secrétaire

    Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son coeur; Sans remord, sans regret, sans regarder l'heure; Aller de l'avant, arrêter d'avoir peur; Car, à chaque âge, se rattache un bonheur Vieillir en beauté, c'est donner un coup de pouce À ceux qui se sentent perdus dans la brousse, Qui ne croient plus que la vie peut être douce Et qu'il y a toujours quelqu'un à la rescousse Vieillir en beauté, c'est vieillir positivement. Ne pas pleurer sur ses souvenirs d'antan. Être fier d'avoir les cheveux blancs, Car, pour être heureux, on a encore le temps Vieillir en beauté, c'est vieillir avec amour, Savoir donner sans rien attendre en retour; Car, où que l'on soit, à l'aube du jour, Il y a quelqu'un à qui dire bonjour.

    Vieillir en beauté, c'est vieillir avec espoir; Être content de soi en se couchant le soir. Et lorsque viendra le point de non-recevoir, Se dire qu'au fond, ce n'est qu'un au revoir.

    Vieillir en beauté

  • 8

    Il était une fois… Es esch emol gsin…

    Pour le Club du 3ème Age, l’année 2011

    s’est achevée par une belle fête de Noël

    offerte par la municipalité de Kirchheim à

    ses aînés.

    Les Joyeux Vignerons de Wolxheim ont

    par leur musique et leur verve emballé le

    public venu nombreux. Tout le monde fit

    honneur aux délicieux plats servis.

    Encore un grand merci aux élus de la

    commune pour cette formidable fête.

    L’année 2012 a démarré par l’échange de

    meilleurs vœux pour l’année à venir et le

    repas de fête des Rois. Le pot-au-feu servi

    était digne d’un restaurant étoilé.

    Les aînés de Scharrachbergheim et de

    Flexbourg venus en voisin ont participé à

    la bonne ambiance relevée par Gérard et

    son accordéon.

    Entre la poire et le fromage il a été procédé

    à l’élection d’un nouveau comité et d’un

    président.

    L’ancien bureau ayant donné satisfaction

    et les challengers faisant défaut, le comité

    sortant a été reconduit. L’ancien et

    nouveau président Michel Bruckmann a

    remercié l ’ass is tance pour le

    renouvellement en bon père de famille

    soutenu par un comité dévoué au club.

    Michel Bruckmann

    Président

    CLUB DU 3ème AGE Kirchheim - Odratzheim – Dahlenheim

    Es gibt Tage und Stunden in meinem Leben, In denen ich nach Gott frage, Ja, nach ihm schreie, und er ?

    Er Schweigt ! Er schweigt zu meinem Leiden.

    Er schweigt in meiner Verzweiflung, Er schweigt in meiner Not.

    Wo ist er ? Wo ist seine Macht ? Wo seine Treue ? Vielleicht geht es mir dann so wie eunem jungen

    Patienten, Den ich lange begleitete.

    Er fragte so nach Gott. Er schrie nach ihm. Er schwieg, der Gott. Und als er sich einstellte, da

    war, kam er anders als erwartet. Nicht als der Mächtige.

    Nicht als der Gesundmacher. Er kam als der, der mitgeht. Als der, der mit hineingeht

    In meine Trauer, In meine Verzweiflung, in meine Not.

    Als der, der mich dort noch trägt, Wo ich mich mehr ertragen kann. Da ist dann neues Leben möglich.

    Allerdings : Ganz anders,

    Als ich es für mich erwartet hatte.

    Auteur inconnu Envoi de Colette HOFFMANN de Lohr

    Er schweigt !

  • 9

    Club Loisirs et Détente de GOERLINGEN Les seniors à Hirschland

    Suite à l’article paru dans le dernier « Flash » sur l’informatique des seniors , je me permets de donner un petit compte-rendu de cette formation. Avec M. KUHN, formateur bénévole nous avons passé quelques heures bien chaudes sur nos ordinateurs : 10 séances ont suffi pour initier des « informaticiens seniors ». M. KUHN a dû s’armer de beaucoup de patience pour répondre aux nombreuses questions et exclamations du style : - Oh , je n’ai plus rien à l’écran ! - Tout est parti ! - Comment je fais maintenant ? - Chez moi , ça ne marche pas ! - J’en ai marre ! » Mais à la fin de la séance, nous étions tous contents et repartions du cours en pensant déjà au prochain.

    M. KUHN ne perdait pas son temps et à la maison , les devoirs nous attendaient. Il disait : « Il faut battre le fer tant qu’il est chaud ! » Aussi , à peine rentrés de notre cours , nous nous retrouvions devant nos écrans. « Dossier, fichiers, contrôle début, contrôle fin, copier, coller, enregistrer, envoyer », voilà des mots qui ne font plus peur. Maintenant les seniors sont prêts à affronter cet ordinateur avec lequel ils se sont familiarisés et qui permet de visiter le monde . Encore merci à M. KUHN qui , à l’initiative de la MSA et la Fédération des Aînés Ruraux, a permis à nos membres de se mettre à l’informatique.

    Marguerite BIER Présidente

  • 10

    Après un début d'année quelque peu agité en interne, le Club a retrouvé toute sa sérénité à partir du mois de mars. C'est ainsi que la sortie printanière permit à une quarantaine de membres d'effectuer, pendant une heure, le circuit touristique en petit train, avec commentaires, à travers Wissembourg. Bien que les seniors pensaient connaître cette ville, une grande majorité d'entre eux découvrirent des coins et des recoins exceptionnels de la ville. Parfois ébahis, parfois admiratifs, les membres furent unanimes à apprécier ce petit voyage au travers les siècles de l'architecture wissembourgeoise. La suite de cette sortie mena le Club, via le col du Pigeonnier, à Niedersteinbach où un excellent déjeuner attendait les membres. Bien rassasiés, les plus courageux d'entre eux rejoignirent à pied la ferme du Steinbach à Obersteinbach où les attendaient celles et ceux qui effectuèrent le trajet en bus. Visite de la chèvrerie, achats de produits locaux ou encore dégustation de succulentes glaces maison par une belle journée de mai ravirent la troupe avant de reprendre le chemin de retour. En cours de route et compte tenu de la chaleur estivale, un dernier arrêt fut observé pour désaltérer les gorges sèches dans un restaurant non loin de notre destination finale.

    Puis au mois de juin, 23 membres participèrent à la journée de la forme, organisée par la Fédération Départementale des Aînés Ruraux, à Gerstheim. Le déplacement s'effectua en bus et en commun avec les Clubs de Soultz-sous-Forêts et de Kutzenhausen. Au cours de cette journée, Joseph Pfohl s'est vu remettre une coupe honorant les membres les plus âgés de la Fédération Bas-Rhinoise.

    Début octobre, une délégation de plus de 20 Surbourgeois partagea une journée de rencontre à la Saline de Soultz-sous-Forêts, organisée par le Club local. La bonne humeur et la convivialité étaient de mise autour d'appétissants « Fleischknepfle mit Spätzle » dessert, café et vin nouveau. Au cours de l'après-midi, François avec son accordéon assura l'animation musicale entraînant les seniors à fredonner des chants de type Volkslieder et Heimatslieder, mais aussi quel-ques tubes français bien connus, tels « Etoile des Neiges », « Chevaliers de la table ronde » ou encore « Je cherche des musiciens ».

    Mais le sommet de cette année 2011 fut le 10ème Anniversaire du Club, fêté le 19 octobre en la Salle des Fêtes de la Mairie. Après l'office célébré par

    CLUB DE L'AMITIÉ DE SURBOURG

    2011 – ANNÉE DU 10ème ANNIVERSAIRE

    Les participants devant le petit train touristique de Wissembourg

  • 11

    Mr le Curé, le Club offrit le verre de l'amitié en présence de Mr le Maire et de conseillers municipaux, de représentants des associations locales, du Président de la Fédération Départementale des Aînés Ruraux, Bernard Dumont, des Présidents des Clubs de Betschdorf, Gilbert Bur, et de Soultz-sous-Forêts, Solange Bordier. Après le repas préparé par un traiteur de la région et servi par quelques bénévoles, une chorale de Schoenenbourg agrémenta l'après-midi musicale. Dans leurs discours, les invités d'honneur ne manquèrent pas de saluer la saine ambiance, la bonne humeur et la convivialité régnant au sein du Club de Surbourg, tout en félicitant le Conseil d'Administration pour la parfaite organisation de

    cet évènement. Enfin, pour clôturer cette année

    exceptionnelle, la fête de Noël rassembla la quasi totalité des membres dans un établissement local autour d'une table richement garnie et dans une ambiance de circonstance en ce temps de l'Avent. Aux lectrices et lecteurs ainsi qu'à l'ensemble de la population, le Club de l'Amitié souhaite

    Bonne et Heureuse Année

    que 2012 soit une année de Paix, de Santé et d'Amitié !

    Une vue de la salle lors du 10

    ème anniversaire

    Une jeune fille, très belle et vêtue de façon provocante, entre dans la salle d’examen pour passer l'oral. L’examinateur semble ému. Il bégaye un peu en lui proposant un sujet et la fille lui répond avec force œillades et trémoussements : - Je sais pas, j'ai pas appris cette leçon... Le professeur, un peu gêné, lui demande : - Je vous propose un autre sujet ou un rendez-vous ? - Oh ! Monsieur, je préférerais un rendez-vous (en rougissant quand même un petit peu) - Très bien ! Alors, à l'année prochaine...

  • 12

    La nouvelle Année, ses activités déjà bien en place, ne nous surprend pas de voir défiler le temps, les journées à "grande vitesse". On le répète bien assez souvent! ! Donc au travail!

    Dans les nombreux articles du Flash, le

    bulletin instructif et intéressant de notre Fédération, il est possible de puiser des idées à exploiter, qui présentent un "plus" pour les organisateurs et les responsables des Clubs.

    Une raison pour nous de parler "assez

    souvent" de notre vaste programme, de profiter ainsi de l'occasion pour annoncer dès à présent que nous organisons ...

    Après les festivités de fin d'année, le

    programme "2012" a été inauguré en fêtant ensemble l'Epiphanie dans une ambiance facile à deviner. Nous avons enchaîné selon le programme établi avec une sortie en covoiturage au Musée de la "Maison du Kochersberg" à Truchtersheim pour apprendre à faire davantage connaissance avec le monde des félins, dont curieusement les chats font partie. Efficacement secondé par son épouse Joëlle, notre guide M. Jean-Richard HAEUSSER "artiste-peintre" d'une polyvalence sans limite, nous a tenus en haleine pendant longtemps sans qu'on ait vu le temps passer. Tableaux, dessins, peintures, animaux empaillés, du chat au lion grandeur nature, ...... "formidable". Nos membres très intéressés et ravis de cette visite n'ont pas manqué d'éloges pour le guide et pour son

    exposition très intéressante. Notre traditionnelle Fête Annuelle 2012 a

    rassemblé 74 personnes au Centre Culturel dans un décor recherché, lumineux, les tables mises avec chic, sur lesquelles des "mini-cyclamen" ont donné la touche finale à la décoration réalisée par notre Présidente Nicole Hausswirth, épaulée par les membres du Comité. Nous lui devons également l'excellente idée d'avoir associé à cette fête Christine surnommée le "rossignol d'Alsace" qui siffle à merveille et "Rolles" le prestidigitateur qui a surpris et capté l'attention, sans pour autant deviner comment il peut faire pour un résultat final ultra-rapide. Ces prestations ont été très généreusement applaudi par nos Aînés.

    Une séance théâtrale - en dialecte - nous

    attend prochainement à Offenheim, précédée du premier tournoi de belote de cette année.

    Pour le plaisir des yeux .... et la tentation

    une sortie en autocar nous permettra de visiter le Musée LALIQUE à Wingen-sur-Moder qui devrait avoir le succès escompté auprès de nos membres.

    Un bonjour de Dingsheim aux lecteurs

    du Flash.

    CLUB DES AÎNES DE DINGSHEIM

    1 - 1928 - Bouchon de radiateur « Grande Libellule »

    2 - 1931 - Christ pour le chœur de Douvres la Délivrande

    3 - 1898 - Pendentif pour femme

    4 - 1927 - Vase BACCHANTES

    4

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    Journée "Portes Ouvertes"

    Samedi, le 10 mars 2012 de 14 à 18 heures

    Bar du Centre Culturel "LA SOUFFEL"

    Venez découvrir nos diverses activités. Nous vous y accueillerons avec

    grand plaisir autour d'un café ou d'un thé.

  • 13

    Janvier : Relâche

    Fevrier : le 17 Assemblée Générale à la salle des fêtes de

    Lalaye

    Le 25 réunion du comité et élection du futur

    président en la personne de Jean RAYMOND. Le comité

    décide ce jour-là du programme des activités à réaliser au

    cours de l’année. Il est bon de le souligner, ce programme

    fut respecté à la lettre puisque tous les repas et sorties

    proposés ce jour-là ont été réalisés.

    Mars :Le lundi 7 mars, Rosenmontag chez nos voisins

    allemands. Un bus complet, 62 pers. se rend au carnaval à

    Oberharmersbach. Au programme, visite d’une distillerie en

    matinée avec dégustation de kirschwasser et autres

    spécialités. A midi, repas au restaurant le Bären. L’après-

    midi, défilé de nombreux groupes carnavalesques,

    cavalcade de plus de deux heures.

    Avril : Le 14, repas dans la salle des fêtes de Lalaye avec

    au menu la langue de bœuf sauce piquante concoctée par

    notre chef Willy et toute son équipe.

    Mai : Le 19 – Départ très matinal de 50 personnes à

    destination du lac de Constance et Insel Meinau, l’ile aux

    fleurs, au retour arrêt à Titisee. Une belle journée

    ensoleillée nous permet de découvrir ces 8000 m2 de parter-

    res fleuris, ces nombreux arbres et plantes exotiques, sa

    serre aux papillons...

    Juin : Barbecue géant sous le hall de sport, saucisses,

    merguez, côtes de porc marinées et grillées…

    accompagnées de salades ont régalé nos aînés ruraux. On a

    aussi failli griller le cuisinier ??? Musique avec nos deux

    membres musiciens Jean-Paul et André toujours prêts

    à animer nos rencontres. Chants, danses et beaucoup

    d’entrain étaient au r.d.v. de cette journée très réussie. A

    refaire si possible.

    Juillet : Départ 6 h. place J.L Guiot de 45 pers. pour une

    croisière sur le Rhin. A 11 heures embarquement à

    Boppard, repas à bord tout en découvrant la plus belle partie

    de ce Rhin romantique avec les nombreux châteaux qui

    l’entourent ainsi que son célèbre rocher de la Lorelei.

    Débarquement à Rüedesheim et visite de la fameuse

    Drosselgasse. Quelques frayeurs aussi : le matin, arrivée in

    extremis au départ du bateau, orage et pluie battante au

    retour sur les autoroutes allemandes, mais heureux et plein

    de souvenirs d’une agréable journée ensoleillée sur le Rhin,

    qui pour beaucoup était une première.

    Août : relâche

    Septembre : Le 13, départ de Lalaye à 7 heures en

    direction des Vosges d’une quarantaine de nos aînés ruraux.

    Après trois escapades au-delà du Rhin nous allons cette fois

    retrouver Gaulois et Romains dans la plaine des Vosges.

    Arrivé à Grand nous sommes surpris de découvrir dans ce

    petit village vosgien ces vestiges imposants de l’ère

    romaine.

    L’amphithéâtre de Grand figure parmi les sanctuaires les

    plus renommés du monde romain .Le musée aux abords et

    les découvertes dans ces lieux sont à voir et surtout la

    mosaïque de 224 m2 qui constituait le pavement d’un

    édifice antique. Avons beaucoup apprécié la charmante

    hôtesse et guide remarquable pour ses connaissances du

    monde romain et sa manière simple de les relater. L’après-

    midi fut consacrée à Jeanne d’Arc, avec la visite de sa

    maison natale, le centre les « visages de Jehane » univers

    d’images, de sons et de lumières à la découverte du monde

    médiéval et enfin pour terminer, visite de la basilique du

    bois chenu. Belle journée culturelle autour d’un repas

    apprécié servi dans un restaurant proche de Domremy.

    Octobre : le 20, la choucroute pour rester dans la tradition

    et toujours préparée avec beaucoup de soins par Willy,

    Raymond et toute l’équipe féminine laborieuse et toujours

    présente pour aider à la préparation des repas, laver la

    vaisselle et servir sur table.

    Novembre :La journée festive « Sud-Ouest » gastronomie

    et rigolade, organisée par une agence de voyages a été

    annulée faute de participants et remplacée par une

    « cochonnailles » au restaurant d'un village voisin le dernier

    dimanche de novembre. Repas bien sympathique qui a

    régalé une trentaine de personnes et qui devait ainsi

    clôturer les sorties de l’année 2011.

    Décembre : Le 15, environ 75 personnes étaient présentes

    pour le repas de Noël offert à tous les membres. Un

    délicieux repas fourni par le traiteur habituel a ravi tout le

    monde. Musique, chants de Noël … autour d’un sapin

    joliment décoré par les membres du comité des aînés

    ruraux de Lalaye a permis à tous ses adhérents de passer de

    bons moments dans cette belle ambiance de Noël.

    BONNE ANNEE 2012 A TOUTES ET A TOUS

    BWAN'N ENAYE 2012 E TORTU (Welche)

    Depuis notre Assemblée Générale du 19 Janvier 2012,

    l'association est composée de 78 aînés ruraux originaires

    principalement des villages welches de l'arrière vallée de

    Villé que sont Lalaye, Fouchy et Urbeis.

    Roland RICHARD

    Club des Aînés Ruraux de Lalaye-Charbes.

    Compte-rendu des activités de l’année 2011

    présenté lors de l'assemblée générale de 2012

    Notre-Dame de Lalaye

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    Ma Mamie ! Moi j’ai une Mamie, une vraie, avec des cheveux comme de la neige, elle est encore un peu jeune, moins que ma Maman c’est sûr et quand elle me prend dans ses bras, sa peau est douce comme le ciel. Elle ne me gronde jamais et elle écoute tout ce que je raconte, tout en tricotant bien sûr, des fois elle me donne des p’tits conseils, elle s’inquiète quand j’ai le rhume et elle me donne du sirop quand je tousse trop. Elle ne me dit peut-être pas très souvent qu’elle m’aime mais elle me le montre tout l’temps, si jamais je me fais mal en tombant, elle donne un gros bisou sur mon bobo ou elle met un remède qui pique et ça guérit tout de suite. Des fois je vais dormir chez-elle et le matin en me réveillant, je vais la rejoindre dans son grand lit…Ma Mamie elle est drôle, elle a toujours plein d’histoires à me raconter et elle est encore plus douce que ses oreillers. Quand elle me regarde, il y a tellement de douceur que son visage s’illumine comme mon sapin de Noël ! et quand je la fais rire les plis de son visage disparaissent et elle devient presque aussi belle que ma Maman. Des fois elle joue avec moi aux dominos ou aux cartes, elle perd tout l’temps, elle n’y comprend rien mais c’est pas grave, même si elle est un peu vieille, elle ne peut pas tout savoir. Elle colle mes dessins sur son réfrigérateur et elle me dit qu’ils sont supers, des fois elle me donne des p’tites gâteries, même si Maman l’interdit. Elle me fait de la purée avec des vraies pommes de terre et aussi des crêpes au sucre d’érable, qu’est-ce que c’est bon. Mamie est la meilleure pour dire la météo, quand elle a mal au dos, c’est que la pluie arrive, quand elle a la grippe, c’est qu’il va neiger bientôt et quand elle n’a pas mal du tout, c’est sûr qu’on aura du soleil toute la journée. Elle montre mes photos dans tout le quartier, elle a toujours les bras ouverts prêts à nous bercer et son cœur est grand comme le monde entier. Elle fait tellement de choses pour moi que j’arrive plus à les compter. Tu sais Mamie, quand je serai grande, j’irai encore cogner à ta porte avec mon p’tit cœur plein de tendresse et je t’aimerai toujours comme quand j’étais pas grande

    SI Si la note disait : Ce n'est pas une note qui fait une musique, il n'y aurait pas de symphonie. Si le mot disait : Ce n'est pas un mot qui peut faire une page, il n'y aurait pas de livre. Si la pierre disait : Ce n'est pas une pierre qui peut monter un mur, il n'y aurait pas de maison Si la goutte d'eau disait : Ce n'est pas une goutte d'eau qui peut faire une rivière, il n'y aurait pas d'océan. Si le grain de blé disait : Ce n'est pas un grain de blé qui commence un champs, il n'y aurait pas de moisson. Si l'homme disait : Ce n'est pas un geste d'amour qui peut sauver l'humanité, il n'y aurait pas de bonheur. Comme la symphonie a besoin de chaque note, Comme le livre a besoin de chaque mot, Comme la maison a besoin de chaque pierre, Comme l'océan a besoin de chaque goutte d'eau, Comme la moisson a besoin de chaque grain de blé, L'humanité toute entière a besoin de toi, Là où tu es, là comme tu es, Avec ta joie, ton espérance, ta souffrance, ta misère, L'humanité toute entière a besoin de toi car tu es unique et irremplaçable.

    Urgent ! Cherche un électricien pour rétablir le courant entre les gens qui ne se parlent plus... Un opticien pour changer le regard des gens.... Un artiste pour dessiner un sourire sur tous les visages.... Un maçon pour bâtir la paix.... Un jardinier pour cultiver la pensée ... Et un professeur de maths pour nous réapprendre à compter les uns sur les autres !

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    DITES-LE AVEC DES FLEURS

    On peut le dire, l'écrire, Manifester avec plaisir

    L'envie d'offrir Des fleurs pour chérir.

    Aimer et se faire aimer Donner et partager

    Amour, passion, S'aimer à en perdre la raison.

    Avec la belle anémone Je serai ton homme,

    La tulipe te dit mon amour Qui existera toujours,

    Le bleuet magnifique Pour une fidélité idyllique,

    Le lilas est pour toi Mais ton cœur est à moi,

    La tendre capucine Pour une vie divine,

    Le jasmin sensuel Gage d'amour éternel,

    L'orchidée voluptueuse Pour te rendre heureuse,

    La rose rouge, mon amour, Pour t'aimer jusqu'au dernier jour.

    ÊTRE LÀ

    De bon matin en me réveillant Être là me rend déjà content

    Voir tous ceux qui me sont chers Me fait oublier les soucis d'hier.

    Être là, en bonne santé,

    Me fait souvent trop parler Bien entendu, cela dérange, Mais moi je suis aux anges.

    Tous les jours c'est comme ça

    Je suis content d'être là C'est le train-train de ma vie

    Qui me donne des envies.

    Être là, ouvrir les yeux, Je suis un homme heureux

    Que faut-il d'autre ? Je suis bien Car je suis parmi les miens.

    Être là, quel grand bonheur !

    Demander plus serait une erreur Il faut se contenter de peu

    Voilà ce qui rend un homme heureux.

    Poèmes de Henri OTTENWELDER

    Le jour où je t'ai rencontrée Tu as changé ma destinée Tu fus ma providence. Quelle chance ! Nous partions pour une belle aventure Supportant toutes les blessures Nous volions de nos propres ailes Avec une multitude de "je t'aime". Nous avions des hauts et des bas Ce n'était pas toujours la joie

    Tu avais un cœur énorme Tu as fait de moi un homme.

    Nous menions notre vie

    En toute modestie, Portant un fardeau souvent lourd

    Vivant d'eau fraîche et d'amour.

    Nous étions bien tous les deux Pas riches mais tellement heureux N'est-ce pas cela le plus important

    Être heureux, tout simplement.

    ÊTRE HEUREUX

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    Im verrücktesten Traum hätte eine Waschfrau sich nicht vorstellen können, dass eines Tages die Wäsche per Knopfdruck in einem geschlossenen Kasten ohne einweichen, einseifen, schrubben und bürsten sauber gewaschen, gespült, « geschwenckt », ausgerungen und halb getrocknet herausgenommen wird. Sie hätte sich auch nicht vorstellen können, dass das Wasser unsichtbar nässt, warm oder sogar heiß wird ohne Feuer und ohne Flamme, dass kein Laum, kein Dampf, kein Rauch, kein Ruß, kein Dreck entsteht und… dass keine Hexe dabei am Werk ist und ihr Spielchen treibt ! Und genau umgekehrt geht es heute den Frauen, sich die alte Situation vorzustellen, ihre Wäsche am Bach oder im Holzkasten einer Waschpritsche kniend waschen zu müssen. Sie wüssten nicht mehr, wie ein Feuer im Waschhaus angemacht wird, wie schwierig die war, wenn die Sonne auf das Kamin schien und der Rauch nicht nach oben zog, sondern rußig aus dem Ofentürlein strömte. Eine Generation liegt zwischen der alten und der neuen Art und schon ist das in Jahrhunderten erworbene praktische Wissen verloren. Waschen, „beuchen“ Das Wort „waschen“ kennt jeder, „beuchen oder bäuchen“ bedeutet das Gleiche und steckt noch in „Büchkiche, Büchküche, Büchkessel“, mit derselben Wortwurzel wie „la buée, buanderie, buerie“ im französischen. „Lavandière“ bezieht sich auf „lavande, Lavendel“ das heißt „etwas, was zu waschen dienlich ist. In jedem nach 1870 gebauten Miethaus gab es eine „Büchkiche“, die spaßhalber als „cuisine du ventre“ übersetzt wurde ! Ich kannte unsere „Büchkiche“ am Johannesstaden mit Herd, K e s s e l , W a s c h t i s c h , W a s s e r a b l a u f , Schlauchanschluss, u.s.w., wo alle Bewohner des Hauses ihre Wäsche nach Hausplan waschen konnten. Es gab auch eine „Dreckelbuehne, Dreckelkascht“ unter dem großen Dach zum Wäschetrocknen. Feste Seile waren gespannt und Lüftungsfenster eingebaut. D ie

    Dienstmädchen mussten die ausgerungene nasse Wäsche in großen Waschkörben über die schmale Diensttreppe nach oben tragen. Das war keine leichte Arbeit. Große Wäsche, kleine Wäsche Auf den Bauernhöfen, gab es zwei Mal „großi Wäsch“ im Jahr, die jeweils eine Woche dauerten : eine im Frühjahr nach der Eisschmelze, eine im Herbst nach den Erntearbeiten. Deshalb brachten die jungen Frauen eine reiche Aussteuer in Dutzendfacher Anzahl an Bett-, Tisch- und Leibwäsche mit in die Ehe. In den einfachen Haushaltungen gab es alle drei oder vier Wochen Waschtag. In der Stadt mieteten die Hausfrauen für einen Tag einen Platz auf einer der Zahlreichen Waschpritschen in der Nähe ihrer Wohnung, wenn es keine Waschküche im Haus gab. Es gab auch private Pritschen, wovon einige noch erhalten sind. In den Dörfern, wo ein Bach fließt, wurden Bordsteine eingebaut und manchmal mussten die Frauen in Waschzuber stehen, wenn Überschwemmungen waren, oder ein Rinnsal wurde vom Bach abgeleitet und die Frauen legten ihr Waschbrett darüber. Besser war es, wenn ein Waschhaus mit Herd existierte, das Schutz gegen Regen und Kälte einigermaßen bot. In Feldkutschen brachten die Frauen ihre Wäsche, mitsamt Holzscheite und alles was dazu gehörte, herbei. Die Plätze wurden per Los gezogen, damit nicht immer die gleiche Frauen auf den besten Plätzen arbeiten konnten. Am schwersten war es in jenen Orten, wo es keinen Bach gab, da musste das Wasser zuerst am Brunnen geschöpft werden. Waschmittel Von Plinius (etwa 50 Jahre vor Christus) weiß man dass die Germanen aus Buchenholzasche und Ziegentalg ein seifenartiges Mittel herstellen. Durch einen Zusatz von Kalk wurde die ätzende Wirkung erhöht. Schon zur Zeit Karl des Großen (9. Jahrhundert) gab es im Mittelmeerraum Seifensiedereien, die sich zur Seifenindustrie entwickelten, deren Hautprodukt die „Marseiller

    Als Waschen schwere Arbeit war ! De Jeannne LOESCH de Strasbourg

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    Seife“ wurde. Emilie Guillaume-Felden gibt im II. Teil ihres Bu ches „Der prakt isch e i l lu str ierte Frauen-Wegweiser“ auf 5 Seiten Ratschläge zur Wäsche, wie das „kostbarste Gut des Haushaltes“ schonend und richtig zu behandeln ist. 1937 empfahl sie Borax zu nehmen, um das Wasser weich zu machen, verschiedene Seifen- und Waschpulversorten, Bleichmittel wie Eau de Javel « Jawellewasser », Panamarinde, Terpentinöl, Salmiakgeist und zum Spülen Waschblau « Blöijkejele ». Auch verschiedene moderne Methoden sind beschrieben, vom Wäschestampfer bis zu den damaligen modernen Waschmaschinen, soweit die Hausfrauen sie sich leisten konnten. Im zweiten Weltkrieg haben alte Rezepte wieder gedient, um eine schmierige Seife aus allermöglichen Zutaten zu sieden. W a s c h f r a u e n , „ W a s c h w i e w e r “ , „Britschewiewer“ Der Ausdruck „Wiewer“ hat einen negativen Sinn bekommen, doch war früher das Wort „Weiber“ ein ganz normaler Brauch, heißt es nicht „ gebenedeit unter den Weibern“ in der alten Fassung des Mariengebetes, das erst in jüngerer Zeit in „Frauen“ umgeändert wurde ! Waschfrauen waren solide starke Frauen, die für opft kargen Lohn viel leisten. Auf den Waschpritschen mussten sie Miete für das Kistchen, das heiße Wasser, ein warmes Getränk und alles andere dem Pritschenmann bezahlen. Schwamm ein Wäschestück beim Schwenken weg, mussten sie es durch Bargeld ersetzen. Es gab eine 30 Meter lange Waschpritsche mit etwa 20 Kistchen vor unserem Haus am Johannesstaden, Pritsche die im Krieg bombardiert wurde und 1954 in den Fluten der Ill versank. Nach dem Krieg gab es in Straßburg noch 12 Waschpritschen, 1954 blieben nur noch deren zwei. Wir Kinder speilten oft unten am Wasser und hörten die

    Frauen lachen und im Rhythmus des Bürstens auf den Reibbretter singen, wir hörten sie auch schimpfen und jammern, manchmal rollten Tränen in die Seifenbrühe. Oft hatten sie aufgesprungene schmerzhafte Schrunden an den Händen vom „üsringe“ (wringen). Sie hatten einen derben Humor und ein butterweiches Herz. Sie würden sich krumm undbucklig lachen, wenn sie die sauberen modernen Waschfrauen sehen könnten, die in blitzblanken, persilweissen Blusen und Leinenhauben, „Charlotte“ genannt, große voluminöse Nachthemden und vorsintflutige Unterhosen bei sommerlichen Volksfesten am Bach „schrubben“. Die Wäscherinnen waren „zellemols“ alle dunkel und warm gekleidet, denn der Ruß des Feuers, der Laum, der triefende Schweiß hätten erbarmungslos ihre Spuren hinterlassen. Waschen und Wäscherinnen in alten Texten Viele Gedichte zu Ehren der Wäscherinnen, ihrer Kraft, ihrer Freude am Trinken, ihre Lebenslust, wurden besonders im 19. und 20. Jahrhundert in herrlichen elsässischen Ausdrücken geschrieben. Fritz Stephan und Ernest Beyler verfassten 1922 „Grossi Wäsch“, ein Singspiel in drei Akten, in dem der Anfang des „Wäscherliedes“ so klingt :

    Jucche, wie macht e grossi Wäsch, De Wäschere Freid un Luscht !

    Denn was d‘au uff em Herze hesch, Dü wäsch dr‘s vun d‘r Bruscht.

    So flink wie d‘Händ, so flink isch d‘Zung, Ze wäsche dreckig Wäsch,

    Im ganze Dorf in einem Schwung, Mit Seif un Laugenäsch.

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    Originaire des forêts tropicales de l'Amérique centrale, le cacaoyer était cultivé par les Mayas et les Aztèques. Ces peuples appréciaient cet aliment qui était consommé sous forme de breuvage appelé " chocolatl " (eau amère). Ce breuvage était préparé à l'aide de fèves de cacao (cacahuatl) grillées et broyées sur des pierres brûlantes. La pâte obtenue était chauffée, puis mélangée avec de l'eau, on y ajoutait de la vanille, du poivre, de la cannelle, de l'anis, etc... Cette boisson était reconnue nourrissante, fortifiante et aphrodisiaque. Les Mayas et les Aztèques utilisaient le cacao comme monnaie d'échange. Les paiements des impôts et les achats d'esclaves notamment, s'effectuant en fèves de cacao. Christophe Colomb fut le premier européen à découvrir le cacao en juillet 1502 sur la petite île de Guanaja (actuel Honduras), mais il n'attacha aucune importance à ces "amandes". En 1519, Hernán Cortès débarque au Mexique et entreprend la conquête du pays. L'empereur Montezuma offrit un breuvage préparé avec du cacao à Cortès qui apprécia et écrivit : lorsqu'on en a bu, on peut voyager toute la journée sans fatigue et sans avoir besoin d'autre nourriture. En 1524, Hernán Cortès expédia à Charles Quint une cargaison de fèves de cacao. L'empereur d'Espagne et sa cour firent leurs délices de cette boisson à laquelle ils ajoutaient du miel. Le monopole du cacao à cette époque fut réservé aux espagnols. Le cacao apparut en Italie en 1594 grâce à Francesco Carletti. C'est de Naples, qu'un savant de NUREMBERG, du nom de Johann VOLCKAMMER ramène en 1641 le cacao en Allemagne. La France découvrit le cacao en 1615 avec le mariage d'Anne d'Autriche, fille de Philippe III d'Espagne avec Louis XIII. La nouvelle reine de France fit partager rapidement son goût pour le chocolat à toute la cour et au clergé, on raconte que les premiers spécialistes en chocolaterie furent les moines : le clergé avait un goût délicat et s'entendait mieux que les militaires aux préparations culinaires. Le 28 mai 1659, Louis XIV accordait par lettre patente pour 29 ans, à David Chaillou, un officier

    de la reine, toulousain "le privilège exclusif de faire, vendre et débiter une certaine composition se nommant chocolat ". David Chaillou tenait boutique rue de l'arbre sec à Paris. A cette époque, le chocolat était surtout connu et apprécié à la cour, chez les religieux et les médecins. En 1957, il fit son entrée en Angleterre et dès 1660 les Anglais cultivèrent le cacaoyer dans leur colonie de la Jamaïque. Dans le même temps, les Hollandais en bons navigateurs se rendent vite compte de l'intérêt des fèves de cacao et en assurent le transport d'Amérique en Europe. Le monopole de David Chaillou prit fin en 1693. Le chocolat fut alors fabriqué par un certain nombre d'apothicaires et marchands d'épices. La technique de préparation était primitive et restait proche de celle des mexicains. L'ouvrier travaillait à genoux et broyait le chocolat à la main avec un cylindre sur une pierre inclinée chauffée. En 1732, Dubuisson apportait un premier perfectionnement en inventant une table chauffée horizontale devant laquelle l'ouvrier travaillait debout. La fabrication s'améliore grâce à un dénommé

    Doret qui invente une machine hydraulique pour

    broyer le cacao et le réduire en pâte.

    L’industrialisation entraîne la démocratisation du

    chocolat et il devient alors abordable pour les

    masses. Le chocolat se diversifie et l’on voit

    apparaître du chocolat aux fruits secs, à la

    liqueur, fondant, praliné, fourré, en poudre, en

    pâte à tartiner, etc.. Chocolat de chocolatiers ou

    produit de consommation courante, il fait

    désormais partie de notre pyramide alimentaire.

    Bien des améliorations y ont été apportées

    depuis ses débuts

    antiques sous formes

    de boissons. Comme

    Anthelme Bri l lat-

    Savarin l’a si bien dit :

    « Qu’est ce que la

    santé ? C’est du

    chocolat ! »

    L'histoire du chocolat Trouvé sur Internet

  • 19

    Un homme est allé à un salon de coiffure se faire couper les cheveux et la barbe. Comme le barbier commença à travailler, ils ont commencé à avoir une bonne conversation. Ils ont parlé de tant de choses et de sujets divers. Quand ils ont finalement abordé le sujet de Dieu, le coiffeur a dit: «Je ne crois pas que Dieu existe.» «Pourquoi dites-vous cela?" demanda le client. «Eh bien, il vous suffit de sortir dans la rue pour réaliser que Dieu n'existe pas. Dites-moi, si Dieu existe, y aurait-il tant de gens malades? Y aurait-il des enfants abandonnés? Si Dieu existait, il n'y aurait ni souffrance, ni douleur. Je ne peux pas imaginer un Dieu d'amour qui permettrait toutes de ces choses. " Le client a pensé pendant un moment, mais n'a pas répondu parce qu'il ne voulait pas commencer une dispute. Le coiffeur a fini son travail et le client a quitté le magasin. Juste après avoir quitté le coiffeur, il vit un homme dans la rue avec les cheveux sales et une barbe inculte. Il avait l'air sale et mal entretenu. Le client se retourna et entra dans la boutique de barbier à nouveau et il dit au coiffeur: "Vous savez quoi? Les barbiers n'existent pas." «Comment pouvez-vous dire cela?» demanda le barbier surpris. «Je suis ici, et je suis un barbier. Et vous n’êtes pas le seul à qui j’ai coupé les cheveux et la barbe ! »

    «Non!» s'écria le client. « Les coiffeurs n'existent pas, parce que s'ils existaient, il n'y aurait pas de gens avec de longs cheveux sales et la barbe inculte, comme cet homme à l'extérieur. » «Ah, mais les barbiers EXISTENT! Voilà ce qui arrive quand les gens ne viennent pas à moi. » « Exactement! a affirmé le client.» C'est mon point! Dieu aussi existe! Voilà ce qui arrive quand les gens ne vont pas à Lui et ne demandent pas son secours. C'est pourquoi il ya tant de douleur et de souffrance dans le monde. » SOYEZ BÉNIS et souhaitez aux autres d'être bénis!!

    C’est l'une des plus sympathiques explications du pourquoi Dieu permet la douleur et la souffrance que j'ai pu lire sur Internet

    „Ohne Beruf“, so stand es im Pass Mir wurden fast die Augen nass ! Ohne Beruf, war da zu lesen, Und sie war doch das nützlichste Wesen ! Nur für die andern zu sinnen, zu sorgen, War ihr Beruf vom frühen Morgen Bis in die Tiefe des kargen Nacht, Nur für der Ihren Wohl gedacht. Gattin, Mutter, Hausfrau zu sein, Schließt das nicht alle Beruf ein. Als Köchin von allen Lieblingsspeisen, Als Packer, wenn es geht auf Reisen ; Als Chirurg, wenn ein Dorn sich im Finger zersplittert ; Schiedsrichter bei Kämpfen erbost und verbittert;

    Färber von alten Mänteln und Röcken ; Finanzgenie, wenn sich der Beutel soll strecken ;

    Als Lexikon, dass schier alles soll wissen ; Als Flickfrau, wenn Strümpfe und Wäsche Zerrissen ;

    Als Märchenerzählerin ohne Ermüden, Als Hüterin von des Hauses Frieden ;

    Als Puppendoktor, als Dekorateur, Als Gärtner, Konditor, als Friseur ;

    Unzählige Titel, könnt ich noch sagen, Doch soll sich der Drucker nicht weiter plagen,

    Von Frauen, die Gott zum Segen erschuf… Und, das nennt die Welt, dann ohne Beruf !

    Auteur inconnu

    Texte transmis par Colette HOFFMANN du club de Lohr

    Ohne Beruf

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    L'équipe du professeur Chabolle, chef du service ORL de l'hôpital Foch de Suresnes (Hauts-de-Seine) a testé pour la première fois en France un nouveau dispositif visant à améliorer la situa-tion des personnes souffrant d'apnée du som-meil. Explications. Le Syndrome d'Apnée obstructive du Sommeil (SAOS) est une maladie respiratoire qui a des conséquences graves sur la santé par ses conséquences cardio-vasculaires, cognitives, métaboliques et les risques d’accidents induits par la somnolence lors de l’éveil.

    Nuit après nuit, le sommeil est perturbé et sa qualité altérée. À chaque apnée, le cœur et le cerveau subissent un stress.

    Jusqu'ici les moyens de traiter l'apnée du sommeil étaient : la diminution du poids chez les obèses, le port d'un masque de ventilation nocturne (relié à un compresseur d'air par un tuyau), la mise en place la nuit d'une prothèse dentaire qui avance la mâchoire inférieure et la langue et enfin, la chirurgie.

    Mais une nouvelle technique pour venir en aide aux patients est actuellement testée près de Paris à l’hôpital Foch de Suresnes. Nommée « Inspire Medical System », elle devrait permettre d'éviter les inconvénients de ces méthodes précitées. Une dizaine de centres américains et européens testent actuellement ce nouveau dispositif. L'hôpital Foch est le premier hôpital en France à participer à ces tests.

    Plus concrètement, le dispositif comporte un petit pacemaker mis en place sous la clavicule (os de la partie supérieure du thorax placé entre le sternum et l'épaule). Son but : stimuler le nerf de la langue, pour qu'elle puisse, durant le sommeil, se projeter légèrement en avant au moment de l'inspiration et ainsi empêcher l'apnée.

    Ce pacemaker est relié par des fils conducteurs à deux électrodes : l'une située sous la peau, au niveau du cou, au contact du nerf de la langue ; l'autre implantée au niveau du thorax, entre deux

    côtes. A noter toutefois que l'intervention s'effectue sous anesthésie générale.

    L'électrode du thorax détecte le début de l'inspiration et adresse un signe au pacemaker, lequel va envoyer une stimulation sur l'électrode touchant le nerf de la langue. À la fin de l'inspiration, la stimulation s'arrête et l'expiration est normale. Avec cette technique mini-invasive, le chirurgien n'intervient pas dans la gorge.

    Les résultats semblent « très prometteurs » selon le communiqué de l’hôpital Foch de Suresnes : « sur plus de 100 patients implantés depuis un an, le taux de succès dépasse 80%. On peut espérer bénéficier d'une généralisation de ce système d'ici deux à trois ans.

    Extrait de senioractu.com

    Apnée du sommeil un nouveau dispositif testé pour la première fois

    par une équipe de l'hôpital Foch

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    La durée du sommeil en partie inscrite dans les gènes Pourquoi Napoléon n'avait-il besoin que de 4 heures de sommeil ? Des chercheurs européens ont identifié un gène impliqué dans la régulation du sommeil, tout en montrant que sa durée est aussi influencée par d'autres facteurs individuels ou environnementaux. Selon les chercheurs, dont les travaux viennent d'être publiés dans la revue spécialisée Molecular Psychiatry, ce gène appelé ABCC9 explique envi-ron 5% de la variation dans la durée du sommeil. L'équipe des chronobiologistes Till Roenneberg et Karla Allebrandt (université Ludwig-Maximilians, Munich, Allemagne) a mené une étude sur plus de 4.000 personnes de sept pays européens aussi différents que l'Estonie et l'Italie. Leur analyse des comportements vis-à-vis du sommeil (via un questionnaire) et des caractéristiques génétiques des participants à l'étude a montré que les personnes porteuses d'une variation du gène ABCC9 dormaient généralement pendant une période "significativement plus courte" que les personnes porteuses de la version non altérée du gène. Sommeil Vous dormez trop ? La faute à vos gènes "Ce n'est pas la première étude à mettre en évidence l'implication de gènes dans la régulation du sommeil, mais sa force est de mettre en évidence ce gène dans une large population et de confirmer son rôle chez la drosophile (mouche du vinaigre)", a commenté pour l'AFP le chronobiologiste français Claude Gronfier (Inserm, Lyon). L'équipe du Pr Roenneberg, en collaboration avec des chercheurs de l'université de Leicester (Royaume-Uni), a en effet montré que le gène ABCC9 affectait également la période de sommeil nocturne chez la mouche du vinaigre. Couche-tôt ou couche-tard "Ce n'est donc pas seulement une association statistique qui donnerait un rôle à un gène qui finalement n'en a pas tant que ça, c'est un vrai rôle biologique qui est montré, une belle confirmation", explique le Dr Gronfier. "Le rôle

    de ce gène dans la durée du sommeil est incontestable", ajoute-t-il. Ce même gène ABCC9 a été précédemment relié au diabète et à des pathologies cardiaques. "Ainsi, apparemment, les relations entre la durée du sommeil et les troubles métaboliques peuvent s'expliquer en partie par un mécanisme moléculaire sous-jacent commun", a déclaré le Dr Allebrandt. L'autre enseignement de l'étude, souligne le Dr Gronfier, c'est le rôle de l'environnement sur la durée du sommeil. Elle montre ainsi l'influence du chronotype (le fait d'être plutôt "couche-tôt" ou "couche-tard"). Plus précisément, elle montre que la conséquence de la variation du gène ABCC9 est plus importante chez les « couche-tard » que chez les « couche-tôt ». De la même manière, les chercheurs ont observé que les conséquences de la variation génétique sont aussi plus importantes chez les populations subissant une forte amplitude de durée de la journée en fonction des saisons. "On voit là la combinaison, la synergie, entre l'environnement et la génétique qui conduisent à une altération du sommeil", souligne le Dr Gronfier. Pour ce spécialiste, ces résultats "renforcent le message qu'une durée de sommeil suffisante, par une bonne hygiène du sommeil, est capitale pour un fonctionnement physiologique adapté et pour éviter l'apparition de troubles sérieux".

    La durée du sommeil en partie inscrite dans les gènes Dépêche AFP

    http://actu.orange.fr/une/vous-dormez-trop-la-faute-a-vos-genes-le-figaro_358638.html

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    S C H O E N B O U R G Club du 3e âge

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    Les éditions Thierry Souccar ont publié un ouvrage intitulé Touche pas à ma prostate. Un guide qui s’adresse aux malades et à leur famille. Un livre, fruit d’une collaboration unique entre un cancérologue et un patient atteint d’un cancer de la prostate. « Un pavé dans la mare » assure l’éditeur. Message n°1 de ce guide : l’ablation de la prostate est souvent inutile et nuit presque toujours à la qualité de vie. Si on pense améliorer son espérance de vie en se faisant ôter la prostate, on se trompe : seul un homme sur 48 voit sa durée de vie s’allonger grâce à cette opération. En revanche, la plupart des patients souffrent de dommages collatéraux non négligeables : impuissance, incontinence, problèmes urinaires… Message n°2 de ce guide : pour la majorité des hommes, le cancer de la prostate peut être considéré comme une maladie chronique. Cancer qui évolue très lentement chez la grande majorité des hommes, il ne nécessite souvent pas de traitement immédiat, et en tout cas pas de traitement radical. La surveillance active (examens réguliers à l’aide notamment de l’imagerie médicale) est maintenant considérée comme la norme au sein de la communauté scientifique mais malheureusement pas encore dans le milieu médical. Dénonçant biopsies et ablations inutiles, ce livre détaille tout ce qu’il faut savoir pour choisir un traitement adapté à sa situation.

    « Anticipant la parution de ce livre en français, et inquiets de ses retombées, les urologues français (chirurgiens qui pratiquent les ablations de la prostate) se sont fendus d’un communiqué de presse en novembre 2011 pour tenter de montrer qu’ils ont pratiqué moins d’ablations en 2010 qu’en 2007 : 22 000 contre 26 500. « Nous ne sommes pas des voleurs de prostate ! » ont-ils clamé, en référence au titre original (Invasion of the prostate snatchers). Mais 22 000 prostates ont été « volées » tout de même, alors qu’il n’y en avait que 6.000 en 1998 ! » souligne l’éditeur dans son communiqué.

    Touche pas à ma prostate un guide pour les malades et leur famille

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