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Nicolas ARNOLD U11 u remarque qu.: c'e:st généralement aux Co­

lonies que les peuples se rtfrélent ù eux-mêmes. Lt! fait est qut' lt• Congo a fait naitre. ou plutôt a rél'éle 11ne classe de Belges énagiqu1·s. a1•enturcux, opll­misles, qut• la Belgique d '.iutre/ois ignorait totale­ment, et qui a i•éritablement reno111'elé le pays. Il y a longtemps que le colonial, le Congo/ms est rm type 11vec lt•quel il faut compter: mais autrefois on le re­gar'du1t al'ec 1111e certaine méfiance, 011 le croyait toujours rin peu forban, un peu pirate: au1ourd'hui, 1/ s'es/ fart admettre. Il est dt"l'f/IU 1111 monsieur res­recta/l/1•: 1/ a pignon sur ru.:: 1/ "'t dt·i·enu banquier mdustriel 1J11 fonctionnaire.

,\fa" lt· plu, wrieux, c'est que. rarmi ces cula· maux, cr> Co11golais. il y 1·n /lun nombre qm. " /'1·xe111plt tlt le11r royal patron. 11'11nt 1umais mis lt's pit•ds da11s la Colonie. Ce ne sont ni les moins

ca/t•, . ., /11 lt's moms coloniaux. M. Nicolas Arnold. ,enda1r1• gt'nfra/ au ministère des Colonies, en est un remarqua/lit' spécimen. Il a /ail srm chemin dans la brou»e dt•, bureaux, ce qui. ,ommt• toute. es/ peut-èlre a11s'i difficile que de !t• /am• d.ins la brousse atricain,•.

?1? l.1• fait est qu ·11 y a fait un fort 10/1 chemin. Son

h1stoir1· ,1d11w1istru/ii1e est presqu1• aussi édifianlt• qui• ct'llt ait- ce Jacques Lafitte qui dt'l'int banquier rn ramassant une éping:e: ce secn'taire général du ministi n• des Colonies. ce présid1•nt du conseil con­'ult.i'1/ du m1mst1're, ce lout-ruissant fonctwnnaire entra dans /J carrière en /.iisanl /e, comptes de son /lt'utenant

'uunez pas de ce nom, car Al. Arnold vous ajoutera 1mmédiatemenl: plu:; gr.ind que Grand-Recham ' (c"est un axiome) - au 8 régiment de Ligne. Comme on dit dans les contes moraux, sen ;è/e et son inldl1gence ne tardèrent pas il être remarqu~, t'/ à le faire désigner pour le bureau du chef de corps. .'>i bien qu'en ache1•ant son terme de service, il reçut

t"hosc .:xceotinnnel/e, à /'Lipoque, pour un mili­m•n les galons de sergent. Ce jour-là, parait-il. h• Roi n'était pas son cousin, mais il le fut mleu~ d1•puh.

S1 nous rappelons ces menus faiJs. c'est que son passUftt à /'armée a décidt' de toute la carrière ulté· rfrur1· de .H. Arnold.

l:h quull Une carrière admmistralive nëe sous le ,ignc de Mars .l Mais oui, et 1•oici comment: son chej direct au régiment, le lieutenant Laurent, avait été appeliJ à collaborer a1•ec le capitaine Thys, ( depui> 11,h1éra/) à l'œuvre de /'Association internationale du Con11,o el dt• /'Association internationale africaine, sous la Jirectwn du colonel Strauch. On sait que it's bureaux de ces assoC1Jtions furent l'embryon d'où allait sortir l'administration de l'Etat indépen­dant du Congo. Ayant besoin d'un adjoint sur qui il pom•ail compter, Laurent se souvint de son ancien sous-t1r1frc, le sergent Arno:d et, de Verviers, aù ct'/11i-c1 a1•ait retrouvé une situation abandonnée lors di• son appel sous les drapeaux, le fit revenir ù Bru­xelles, pour tra1•ailler avec Ill/.

,\fa/gré la résistance de ses patrons, Arnold ac­cepta l.i place, sans se douter qu'il allait )' lrouiw l.i fortune! Son ~ieux chef de bureau, ù Venfrrs, en eut cependant la prescience. M. Ar­

c·e,I <'UITWlt' simple p10Ue, en ef{e/, qu'il entra nold aime conter, a11ec une pointe d'émotion mali-dan' la carrrt1rt' administrative. c11•11se, que ce brai•e homme lui dit, au moment oil

J1ilicfrn dt' 1880, notre futur haut fonctionnaire il prt•nait congé de lui: " No11s aurions tort de 11ous arrfra de Pt•tit-Rechain. où il est né en 1860 - ne retenir ici: celle Association du Congo me parait

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1•ou, ) fere: une place: 1e 1·ou, l'Vis même décoré un 1uur! •

A rw rt'/11• parole encourageante, le 1eune Arnold a1m•c u Hruxl'llcs 2ï septembre 1884 et il s'y ·•oil ronlit•r la rrimpta/lililé des dt'ux associations.

?'!.

Nit' f/a11 très curieuse, la physionomie de l'admi­m,1rat111n coloniale à cette époque. Il n'y ai·ait pa' .-ncore alors 1l'Eta1 du Congo. et les bureaux te­naient lot" d1111s une petite maison de la rue de Bré­daod<'. 11111• r·ilritable cahute; quelques employés s11/jisa1c111 a diriger /'œu11re de Léopold Il que pour­s11i1•aient, sur 11• confinent africain, quelques centai­nes d1• blancs. Aussi fallait-il être tout ù la fois, don5 ut11 Jd1111n1>/r11t111n: mililaiff. diplomo/I', financier: tantrit homme d'action el tant6t homme d'inaction fn un mot, il fa/lai/ être un • homme ci fic , commt• on Jit 11<111, le pays natal d'Arnold, lequel sui. dans toute sa carrifre, mériter et garder cette épithète.

fJe la rnh11lt' de la ru1 de Rréderude. /'admi­n1strati11r1 di• 1,1 colonie. devenue I' Etal lndépen­dttul du C1111g11. ,}migra dans les écuries de la place du Trii111•, 11ù 1 .lopold Il lo!!ea, au premier étage, le, f11nct1111mam·s du ;eum Etat. Arnold e11I tôt fait J,• gra1·1r lo11s les échelons et il .let'inl. peu ci peu. /'homm1• indi>r1·nsab:e, le débrouillard qui troui•ait lo11;011rs la solution et le biais pour sortir bril/am­m1•nt .les .f1/ficu/lés: aussi Léopol1i Il ne tarda-1-il ras à lt• remarquer. Il entendait administrer lui­mëme t't st' faisait rendre compte des moindres dé­/ails. li o•'ltit l'œil à tout el, comme le bon maitre lrad1t11111nd, il rnmmençait par donner à ses serl'i­ll'urs /'1•x1•mrll' .11 /'èconomit>. Quand il receJ>ait rme letlre, u11 rapport. unt' supplique, dont la deu­. m'm1· p.ig1' étai/ blanche, il détachait celle page et, sur son b1m·au. il y ai•aif toujours un stock de ces papiers de /011/es couleurs el dt· tous formats. dont 11 "' s1•rt•ail p1111r écrire les ordres ou les instruc­tions q11'1/ crll'oyait ti l'administra/ion coloniale. Quand 1111 dt• ces papiers royaux arrivait place du Trcin1'. tout h' mund1', d'a1/leurs, se mettait à la /le­~ogn1· rour satisfaire aux demandes du grand chef, qui tro1ll'ail sur son bureau. a111our et d l'heure dits, lt'S rt'll>l'rgnt'mt'nls demand11s. Les noies d'Arnold ttaient to11111urs particulièrement claires, complètes et 111J1w·11ses: c'élall du " beau " tra1•ai1 et Léo­r<•ld Il 1l1'cou1•rit 111/e quArnold était un homme '"

<"était frtlemmenl là une bonne école et Ar-1111ld 1'11 11 men•ei/leusement prof/lé De s~n royal ratron. 11 JJ'prit l.i pru:fenc1', l'esprit de pondéra­tit•n, la largeur d1· 1·ues t'l la décision qui distinguent rart1culit'remcn1 sa • manière '· Aussi, quand !e Rm pufectronn.int son Etat irrslitua le contrôle des Fmanu'. <MJ!ea-1-il à Arnold. fï c't11ait là. a1w un cheJ 11ths1 et11!•'<Jnl que /( 'iour•erain, une rade

besol{ne, dont Arnold s'acquitta d'une façon brtl­lanle. Depuis 1911, il est secri:t111re général au mi· nistère des Colonies . li )' remrlil. en somme, le' fonctions tenues, en Angleterre. par le " secrétairt· permanent '" li remplace le Mtnislre en de m11:t1-11lcs circonstances et rreille ci la permanence et ti la pt'rennilt' des traditions, ce qui. pour 1111 ser11ice co­lunial. es/ une condition essentielle de bonne ad1111-nistrat1on.

Comme 11t'goc1aleur, il n'a I'"' son pareil: pcl11ent. J 'une in r•cJriable courl01s1-e, mai' très Jerme dans sa mlonlé, il arrive presque /ou111urs à ses fins.

! 1

H pourtant. il arril'a un 111ur a M. A muid d'cs· :;uyer un échec, LW 11énf,1ble érltec. Ce fut peut-êtrt• quand ri eut le plus rnmplefement raison. En cr tmzrs-là. ccmme au1ounl'hu1-. l'insuffisance de la rém11nùat1nn des cJgents de l'/;tat était notoire, mm~ le J!11111·crneme~/ estimait 1mpossi/1/e J'y remédier, fault' dt' ressources. C'est alors que le secrétair1• gt;néral du département des Co/vnies proposa une formull• d'après laquelle ll>s crédits prêi•us au bud ~et di• 1923 ne seraient pas rele11és lant que 1'111dex­num/la ne dépasserait ras 500; mais, en cas de ré .tuctilln dt' l'el/eclif lu personnrl. rar suite de de âs, dt'missions ou mise' à l.i retraite, les ministre, pourr111ent ne pas confi'rtr les emplois 1•acanls à d,· nou1•eaux a_(!en/s : 11 leur ,craU lc;isible de répartir le tra1·ail entre les 11genh en /onctions, en a11gmen­lant le traitement au m11ycn des sommes de1•enucs , disponibles.

M. Arnold pré11oya1/ 111è111t• qu'11n cer1a111 pour cenlal(t' de celles-ci pourrait t1tre défalqué des cri>­dits dont les départements disposeraient pour èt11· 1ffecté <l la réd11ction rrogressii·e de la clzarge /l!û1· gétairt' •

l.'appli<'ttlion Je ie 'Y'lèmt' eût été a1·anlageux ci la fois pour le Trésor et pour le personnel en actfritti, lequel eùt 1•olunl1as /ral'aillé s11pplémen­tairement po11r que 111 bcso[.!nt administrali1•e nt• souffrit pas de la réd11ctio11 tfr l'effectif et pour s'as­surer en compensation u11e rémunération moin' insuffisantt' et plus en rarport az•ec les nécessités d1• l't1poq11e. ,\fais c'était trop simple.

/Ju temrs .te /'Etat ind~p1•nJant, cette n!/orm1· .:tit pt•ut-etre été agréée: elk était coloniale. mais t'lle n'était pas adminislrtt/11·e. l.e gou1•ernement préféra cmJ!menler tes tra1t<'ml'nt' et les impôts.

·1·! !

l.'allltuJc de .\1. Arnold p.:ndant /'occupation en rtrmit• fut celle q11e l'on de1•ail attendre de son ca. rcict~re . Il fut, pour le personnt'l Ju département de, Colonies, dont la presque totalité était demeurée en Belgique le ministre n'ayant emmené avec lui que trois ou qzwtre funclinnnafre> une 1·t!ritable

1180 P our quoi Fas ?

i·ro1·1.ù•nce Sans instruction Je gou1·ernemen1, il re/usa Je signer la fameuse déclaration de loyauté exigée rar les Allemands et jut suil'1 par tous ses subordonnés, bien que cette ligne de conduite en­tr.iinât la suppression de leur traitement et pût les plonger, eux et les leurs, dans la gêne. 1•oire la mi­-~~re. M11is leur chef 1•eillait, paternel et énergique à l<J fois: lt•s maigres disponibilités qui ai•aient été <'mrartét's en quittant les locaux Ju ministère oc­cupé par l'ennemi. s'étant bient6t épuisées, M. Ar­no/J n'hé<ita pas à faire, sur sa fortune personnelle. Jt» a1•<Jncts ,te fonds au personnel qu'il soutint ainsi /11>•/ll'au moment où pût 1onclionner la Société Coo­rért1ti1·1• J'Ai·ances et de Prêts. Notons encore que c' eM grà1 ,. ù son tnilialfre que les fonctionnaires Ju .fép.irtcment des Colonies furent /es premiers à col­l.i/>11r1r à l'n:u1·re du Comité Sational de Secours et d' Al1ment.ition. qui prit, dans la suite. le dfrelor­pem,·nt que l'un connait: plusieurs d'entre eux s'y firent remarquer à la tête des serrices les ~us im­portants Je l'aJmi:zistralion centrait

Tuut1• cette ac/li'Ï/é spicia/e n'allait pas sans ns­qut'. f'aut-il s'étonner que M. ,lrnold eut maille à partir mw les Boches. qu'il fut arrrté. qu'il eut à 'ubir l1•s ennuis et les périls des perquisitions ,

De as temps sombres. \f. 4rnnld conserl'e un >Ou1•enir plu~ précieux paur lui qu,• la p!aque de Grand Officier ai·ec ravure d'or que lui conféra le .r~ou1·erntment. c·e~t la médaille dans laquelle Godt'· tro1J /Je~u,•se a reproduit ses traits et que le pa­~onnel drs Colonies lui (l/lrit en témoif!na.l!e de re­connaissance.

li en t•st d'ailleurs un autre que l'on peut lire sur la /QCJ.ie d1• l'immeuble qui abrif(' un éta/>lissement charitable perdu Jans une rue populeuse d'un de n0s .raubourg~.

Tel t"I c< ronJ-Je-curr colonial qui n'est 1amais allé au Con110. On 1•oit que lt? ronJ-Je-cuir a quel­quefois Ju />on. Blaguon~ l'administration tout notre saoul !'fit• est faite pour cela mais com·enons tout tic mrmr, 1i l'OLX basst'. que, quand elle est repn1st•ntfr par des hommes comme Arnold, elle apparait comme la 11éritable force de l'Etat. Elle est ce. qui dure

LES TROIS MOUSTIQUAIRES.

'LuXI '- I BA. VON EN P AILL.ETTES N~ rétrécit pas les laines

V

\uu_-. D\On .. nu ... t-'D r<:C'OU\f('fllt-nl, a la p~~ œu\ fi,. no~ , tK:• 1 rnt•nt ... •Jlll arrncnt n e\pralton.

\,,,._ p 1011> no- at.onur< 1Je fJ11c l>t.n accu 11 a IJ qu1l 1,mce 11111 l·--ur ..,..r; 11rt .. nh"t•. afin 1l'••\1ler ,1 .... [rtit..! llllll!Ît:.

lt.11•1wlou ... 1 111 ..... <iholllh"· 111111 f•"ll\1 nl 111111"." l'*''"r p.11

un \ll1•uo·11f ;1 11nf1"P 11•n1pl1 1 h1•1ph' pn .. litll\ n 11 Ili.OH~

A M. Albert 6IR AUD, POÈTE

y,,1 j& IJUÎ [iatait. clair li t1 ~ 'l p~u 1Jf' di ... on-.... ntu Id .1 ax 1 l J, hrtmmf'8 ri trr ~ ~· mf' et J.11 fou11~, totre la

têt1~ et la p'tl:.l' Les prrmH"l'I •ont 1.:i:u• de fa maAfl l"'t Anii ,.JI,. 1\a ne uaittt pa~ r ... qo" r. raud ne 'l'"t>ut pas, e•rst qur \1>0Uon a'abaisw à part.t::tr utt :\l1rsYU l~ h'""e"Jl"I papa wre- 11 faol qu'il plane tan~ pia pc>ur ttuX que lour Io dcur if'p.•ul.!~ empècht! de a' 'Tt'·"' JU..~u"à lui

\f. l:l'Ot'\ , .... t un 1 rÏhlJU.,. oe;:t'r" Il\ 't lpp1 ltf'ul 1 f11 l:i 1fU.1filt J,, plu .. 111pn11.mfl' fh.·z un tl. ,'h t 4'.1 ç, 111f1 ni ~n' ,,,11f rnlonlf 1;..IJh!~ 11'rnt 1u1r.- .... S.'11f··J11,·11I

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c!11 m•1 t' otÇ 1 ul' 1 n .. d1• ' t •' ~ 1\1 Ir!!, w111~1 •1 iflls, mur 1, 11u11 ! t 1• l!"ll ~._. lll '" 1ur.g , <·Il f'('("' 1· n~ut Sul•

;o!I •·1~11. 1 alr •' bt u11'e 1'1 •i.e g:i•ou. \t,1i•_ cnlm. 11 r ~ fonll puir 1 qu"rn<uit~ l'o d lmrrr n·l'U\ 1le111: r110SC"- ....

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l"o1lù 11111 •»I fo1 1 hh 11 dil. t 11 ~lalul oni·cial pour J., lldgrs h.1b1t.1nt la F1 JTI!'C •er:i.I uur r\•'Cll<'nlc , h~sc. Il strnil lut 1 Li n accueilli rn f'rnnrr, mai' en Bd~ qur ..

f:11 r.e'gique, il ••rail forl li rn a. cuelli au~>1 par I< , popco;1t10us. md' il ! a gro~ A l'arier i'o11r que le ~ou­H·rntment, rn:rnœU\r'""· pJr k~ • Lur~.l x -p de~ nffoirt" ttrn11° .. ·1·s. lerd 'ùul "houer. onm:r 11 a (J1I & houer 1t­.1rroril< prderrn'ir'> 1·n l!tl:J.

Le~ l111rc:HJ\ ~1Jnl _rr~n,·111•holes. ils ~v11t to~juur~ gou '~·rn "' p;,1r ta pctT ruhr11l1• 1111 l.1 \.1s ... :il t ... ln :-.t:ilut "{H.'· cial pour Jr ... Ut·l~c"'~ Il l:1111lr~11t a ·1·orcl~·r lo rl-ï 11rol'il.:O PU\ 1-'r<tJH"ol'..., • 1 a!m~. 11

11 ... ;., \ fi:u '! 011 1~ 1l;,.lin<;!:urJ:1 1

t1ln!!I nus~1 l1i~n l.1 frun•'e .. r. 1 H :t\ omc 1b J.1 rt c• 1iP l.1 l.oi. r\'<I •1ue la R•lzi•r o 11'c Jl"• 1,1.,, r•n· d l.1 l'ranrr qur. de l'.\u~l·•0·!". ,.: m•rn.- d. l'\111 'lla:mr.

1. \ P\ \:l t ~-.l 11 1:i;i;

l/OTH l01 rnc T Il. - Lt ni i:I· .. ,

1 i82

Est-ce du fhmingantisme?

Pas prfc"s~ment. On n"l'il p~5 flaminnant dans I~ bu· reau' d.s o!f~in» étrJn;èrrs. !13is, tian; les rapporl~ a•cc la France. on • éprou\e une sorte de sent'.mcnt de parent pauvre. tn IÔnct1onna1re l>clge q•i i-o n~gocier à Pu ris. 1 to11jo11Nt peur qu'or• n•• lui nia11qur de rcsr>< cl. 11 n"orri\e pa! l~·ha; 9\'ec la l~~illrn• l'cr1é •lu reprl:•rntanl d"un peuple labre el ci11I sê, mai• a\~ la susrrp•ib:li1~ d"une co11•1!k dt pro• nce q:.. Ïnllltt • la noce, e>I bien db-1Mc • le re un k'lat si d n• le rorl~ge. rtl~ n"«I ra• c11ctcmcn1 pl; t~e il <on rang l°<'SI re qui e•I • l'or gine de li ma•adm' ; 11 a fa11 naflr. le d~xrord sur Ir modu1 rirmdi. 'ÏQ- bon· lontllonn~·r.-, ~ni •·0•1lu mon­tre• qu"il1 ~111cn1 plu• malin• que le• f rnnta •.

<.u)OOS f1e~. 'iou< D\On< IOU< les ,froÎls d'~tre f'pr•. \13i• fic so•ons nr talilll)O•, ni sU!ccp11lilcs; r"c;t un ~i11ne d~ '3iblcuc cl de me,quin~rie.

ru::snrnA \T m: L \ 110\\.\IE Hur L•opold. ï -1 j

,\ parlir de Samrdi prothain : T ltt jo1tr1, 11 i. ··.,t t oaptr dan1 ni . Attr.action•.

Questionnaire de Salon

!... j Ulll r.'1<· de '" mu1"'.r· A un in1ik: - folre ncur pri'lfn-e 1 - 1ulll"' llH' pl:ai .. r·nl ! ! ! - lolre lnre prd~ré ?... - IP ,ft r 1 r lu!!!! ... - loir~ j u rr leré ••• - lrlu1 t 1 •ous m1• L~llr<'l ! ! ! - \'olre iis n lllrnl rrll Ir~ ' - LI; )'Ïan • ~ c'c 1 un l13r.J 1 ! ! ! A~rn t '.rdusru dt The lolinn t:•, 1cuû /abricanll du

• /'1a1111tn • • /'/ "0.S 11' \LCT. 21:!, rut f/ ,yalr. (Jru.rtllr1.

Il \<IKZ·\vll I' . •n \ al;cr le 11 •ü~ rlcm:in· .!anl:

- E:h Lien et le œmmums~ ? qu:ind la rêm· lulion ?

Toul de m~n c. ne n • lnir~ns pa•. res terreu • bour;:co sci amu raient brai o 1p 1 s < mmunmt<, ù , 1 dairnt cn .1b!{'!I d'ironie. \ous n'rn sommrs pa~ 1•. 1 IOUie 1•clltl lillfrature a'Drmi 1~ nnu' r 41pcll• lrop d1 tourrn11s d,. JfUll('S-'e pour que noua la pn'niono au trio· gi~1c.

Jlc 1101~ rnppcll~roit 1~ au;.•i les an11{e< IS!>S-l~!l.I let ln..ihl~s d11 Q ~l'lier-1.~tin, la l>omll<' rie \'nil'anl. \lO! • :lu~ •.on crwl qu~ b \ 0 rïlr sorié'~ •nri' 011 •Ur ;c;. ~;œ. E:I'~ a r.pri1 s n op'o7:b tl rl'e n ro• 11 1 A •ire. •211!t qu• \a1•Jjo. p1u1."1 m. J que b1rn .r..e •p cire rou::e ! On k' raj unit 10 jour$. m~ s. on r.'a!it~, ri !'fi bien \ICU\, bien 'Î{lo!Jl !

1 n sr .1 .. c d~ li <inqui(Mr. l.'1nq11illude r.st bi~n por­t.le. ir. li rriot s'~inoul de- mr11~0'$ romm1111isl • el •'~­pul •' 11<'$ ran101a1I<'' IJU<• la l~·lj: 'Ill•' 1lcda<1• ne JlnS \OU· loi1 r\'C'NO r tian~ <on ~ in. Il ' • tp11r12t• jour.-.. on nGu~" <ÎA11I. ~u ro1 lra'r". qlk' 10111 ~1011 pcwr le miou> el que lt ro~1plo1 lvilrholik <'l•il '· n< ;mJIOrl.inr~.

burq1101 b •:lllc-lnct 1 I.< ll·••m a publ ~ sur l"or::ani­c:Jrion IL-.. • rn,onP. • I dr~ rr'h ~ s • dt"S r n~i~nrmt'nt.$ qui ÏnJJU /o'rnt 1 fl<'un:eo • li " •11110 If 11 \ 1L•ltn t:h:m­b. rloin. J13 <ont à l'ari!. 1 en ft\I.'<" Il llrrr1nt """ ton­' r<..at,,n, • Qu't<! te qu"1l a bien pu lui rt\Ncr ? flicn,

prul ftrr. M.i, il nous E<'Dlblc qlll' •i Poincaré ruait con­~!Jmn~nl dar., k• branrards dt 1 F.n!mle cordiale, li. Herriot l mont!'!' une docihl~ Mrl1an•e.

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La pr.mrere repr~s~n1a•1on !e trtn1ine par un : • .\11 rc10 r tl m~rci ! • (nir ronnu) ou IÎ('ll d·· la Oraba•· conrrr (air lrop connu alo111~. Qu~lquc di1 officier• t·n ~raient.

Ln <erondo r<prr<~ntation fut hooorr!t de la pr~rl\"c d'un soul Ctffidrr: le mJjor liil'lln. Le~ au!r<'S olf1r rn '·~1aien1 abs!toL<, re~ que cela manquait ik Braban­ccnne .

le "'· Ï4r Giron a ri à pic r.• irof\!e. c• jour-li, C.ommc nous. 1) n'ava1I \U aurun m:I. La l~eioe nous en\O\'D d~s W Cllntions ... f•e<I lMJI. •

\l ro\JOIJIL15TES : P"r ma111 ais t •mp<, rmrloyr1 l'<s· 8u1r-~l~r<' ~rni-n111omat1qur • Sl \flll'\I •. Prit: Ir. lli.:10. \e !<> rl~rMle jamais. T,, 11tr/11·rr ,f. lU!Oab, 30, r.Malrnr1.

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Un aul<Gr a knt que le bon ,.,,. 4at1 < n q,..1q..., '°"'° conc tr~ de- 1 r a,.nl; U a pœr miWoa d cm;aë-:htr ta 50l

l ses d'cclru ou de IOrtll' En -écoutant le m1n .stire pobLc. il m'a oc mbl• qQ u 1 pdpani oon rlq.U:IC;.ft à llll "'°"'tnt où l cou ~ tta t ahffnt.

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Ca1iar - Th~ m"''"~' <pki11l \'1r.s Pl fh~noraiin•

Tou~ 11ln1:- '"li rnmm:rndc fh:u11I.,. (llJ froirle

lll;\l.\\f'EZ 1.~ ~lll\T \U l'l:IX ~otn.\\T

Le modeste Guitry

ln rel Je "lndipt1ttlanc~ in!H,Ît•W Guitry: - Rraullrt, lai dit Guitry, rompt• parmi mn me ll•an

aouvtn1n dt- Ce3 dun1èus annlfl 'rout.n les pt«a que )'y &I ropr< .. n~ aoL ronnu le ptas gnn.I des 1urds: I• • MI• •:inthropt> •. "Tortuff •· • Pasteur•, r • Em1::N • ,\ vr;a1 J1rtt, je ne r'"'~pte plus m~ IOU\'l n1rs tfl' r.r11,tlln, ml'ls J°tn l'hf'rd1<" dé 1 ~,n·c.-aux.

- QIH.' picn!'.C:z. ,·ous du publir hrux~l~isf J'aimr infinim4"nr ,·otr~ rap:it111, <"l &On pubtit" partiCU•

hàrnmtnt ar.Ur1&qnl, 1ent.1'11t f'l plein de gollt Jama;J, en •frtr, JI n°a1 noté de Jéu«0rd t1itr• « '\Ur mol.mc\m" J• pcnM tt. ltt tm~reuio:u. ressentici par lfJ 1pedateur8 q11i 1(-.i,t

nnu1 m'entendre (

0t .1 1 ""tH" b (l]U~ ~rand&? SÎIDf11ic1:~.

BUSS & Co, Marché-aux-Herbes, 66

•·\·1Q...~Jif ,, '' lll'nn·ul '\llu: .. <'s putoloMet, rltliratot:" tn'/hr; "''· i·l ·gan'~ cuut11r/1 1lt tal1/1• tlll qut'li·,~ t\ Joule' 11pl'('111.:. lhrhrf>< l'lrn"i' <I lllP•'Îr11\ fllll~ l1~11slor111~~ rn rorifor11l1I ~ 1r1rni11nr1 rlr /1urnm: pc•1i1c ... cl J:'' :1111kci larnpr.t /lrrtr!qur$ t'I f"llrtt"tJ\ /11 M',··11c11l11m.t.

ll~111< !ru.,. •a'on.o: ;p~ri3n• : m11rbrcz uv/pllz .n1~1i<', bron:r1 âart (oe•it• rt :rnndJl, l"COiru •rul~ll>. m11aur et p;ltr dt rr1Tr, Pic .. c•c. ~ quoi larre b auro1.p dllc1u<111 ~ l'cx:cas1on des r~:. ..

"·' ~Oll tl du ~ourc/-.tn.

11 8~

Le cauchemar d'un curé

L;_. CUrt• d, (,,,, u• 0 "r' . • un p.:111 l'ro·r CClll>, OO 1 raronl :

Il "! a Jc1 ç;;.adamus pour tous tt p3ttout . .r·~ Altr.ip' mien a un .. leçon Je ca.tac 1 smt, dt• oit' plutlit

lin .:uf.rnt r'-.·1ta1t, • Ud UllU lt' lNnplt•, du. J~6us, et Jf • I• rcU4ttrai f'D trois 1our1 - Cornrntt1t, d nnt lts Ju h. • aoe piru ont mis quuantt' t 1 ans pour le eomtnin. t-t • vout te ttl 4t.1r1tz eo trots JO 1n 1'1 •

L•itnfant continu.a~ ma11 j• ne (,. su1\a1S pl:n. LH J !1 ont m11 quaur tf' su· ans, pour C'Jin tru re leur tempe' Mr TO)U \"OClJ rnttt quarante·• J. ant d.am ~ bau.r cü j• meo trou' • puer ro tru1t·f" te m c-a • Q 2ra t• a s acs'

.......... P"' ttll< 1dtt. J• mm fin ••• leçon de .atichism• et pmd.atit q:1c IH enfants 1·en •lla ("Dl g4mba.da.ot, bcurc~a d• ('totl• 1ut.•t" mtern1pt1on dt t~, n, je rentre ao pret.bytê>tt-, P""'•f, .• bauu.

l:Omment me- d-s.aiS·Je-, il y rn a •tUJi r :ll..-nt qa .. ua1.tet 1t:. anl, qui \:1Vtlll qua.ra11tt·:tlJ. 011s, .1:1111 CC'f tr:t<'aa Jit cCrnstrm t ic.n' ~la11, '" r1'or.t p.u pc-5.S1l,J~ 1 l :l clt JU 's turwt'

~b.LS rommrr..t da Ju1fa 11 11111m1 ont 1la 1t11 uuu de lt'tnps' Soudam. unr 1dtt tn.Hna mon npr l '.\la 1 c'nt t-. t.·o natu

ul, m'f'n"la1 .... l..es Je f:i ont m quanuite 1 J. li.'iS pour con llnnr• leur l le, toat 1 mpl t J•rtt q"./ n"an f'nt f11 dr comptit heque Com~ aa.run d' lrit tl)DS. n"~t U.id

peu thr't en poo:T 1mpœtt part 1 s.upp Cl' & ('Qrf' dit Ccrb n li ts1 tccit fitr dt> \"'Oas d f'P quf' t'tl fit obligé de coDUru1rit' unr tgl .li", 11 a h ·rmement un compt ht:que qn s comrur """""' ~1.334 - fl<nn G1llu , rf ~ U - l., (13.r" ue or;,: ln •Pp!~ f'nl Utlll" grande t<.1mLola

qui.,. l1r .. r1 6 \,,~J 1924 LP t.•11 t SC" \tn1J 1 frat1'" p.1r r:irnf:l de 5. 10 C'l 25 l..ot.s. a11 h:rnl!l Qu,; ,. ut ae faire n·n~oJtar' llonn~ rttom f':l r ,..d 1

( ~ rur. rl1· ( orlnon l'v < l•I 1 r 1 011 ,, prodo1l '" 1 n• rs <>11 I" •11 1-o i nt. Ili n l li n le nurn~ro du CO!n(lh'-t'h QUt' h

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r arC'h A\C" <;:t "" HP f;o 'iron. SOu"l:tpe" en tête re r ., s u'le ra•nc1lle de pre·en1at o~

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1 4r. r. 1" n:e de ev•re orm!rt rn 1911. le zeno'ral Je Sd. ,.~ dr ll~. mille ru1 rendu 1<'<pOD53t.le d'une q113n. 11•4 d· fo ' i; \1U'1I n'au1il pl'UI \lJn~ P·•'" C'umn11s1 s. On 101 111 <'Il frire Ir ~our ~missoire. IJ~n Q11id1olli•me. s 1

l tl~t \Ou' 1. \011 ... il\on ... lc111jCJ "~ l'U l*omh lion d'Prrr l'ur.:{Jn1.1 1lf'.: lloufs e1rli'.'.-!':tir1·~. \11,~ 1·n 1!ll9. a\·On"­n.J.1 oui ('ri 110< rulon11ts 311 ir<nernl 111· <; ·111,.r:-•. \o; fi. d.,,. 1 ~'t:Ur~ $(' coin l'llUN\1 lians tlt If .tr rdlr lon:,:ue' • t inl· rts• nie pu! m ·'I ~. IA.' g nfr•I < • J ·lrnrlit birn. f 1 fend OlltU• rnc&cc dans $00 l1Hr (IJcr::er-[.(>\TJUI!, r" .-).

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Il \G \ll IQt:E Bl.0(' llb 1 U:P ~I\ .\ \ E\ un•:. :1 il'Ull l du bc•Ult\rlrtl llU ~011\\'r;:ill, eo l·f! ri. Pl tl1• tlc'.I \ rtH·auc •• ~ituit oa uul11ue: 1>1u ..... +nlu~ cftr::.'nt•. l'rh a1nnl;t!;eux. f a<'ilil1· d1• pa)c111t•3f , E ~ r. P.J. ~1. ll:tr«"t:u journal.

Comme qarl"iture oour le '<•1on

1 11 ~ 1 a• de Lui e dr c ·~ "Il< • 1 que b l e>ll

le luxe \f>D1 l.L\. con:enJnt ! OO 1 ;iar lie• e"lt $..• , e r. "llll' I' t"Jul <'a lk·f . .!'u1u1~. pour tlaitb C'I po · mt~si ms.

(die IK>lle 1·011'1rlnr un •I•"' plu< joho r.1dcau\ pO"•it.I• t. 11.,.,, 1111 z " la 1oir.

Le J~une Barreau

:0:Ul\all I'. - <; 1 n' il f • h rc anl Qtle fi QUI

tll pn 1• nen d• -ol nr. 1. uni• • r \Ile " a Hé 1ouée 1 o c.:1s1on rl• la ~.:: r d rmlré._. du Jeune 8Jm au

de Ili 11elks. La rerr ' !l(JI on 'UI lieu J r /l•J/r/ llfr.ro­p Ir l Ire : .~'rrirÏ• 1 lmud '· uu I n 1/10/~gu• airr f111.

I.e jou,.n:il l r J, '"'' f:·1rr1 l.IU. anne"të au / ourrinl dt'$ f,ibuuuu.r. · ~t h qui nous o.lr1•:-.11ï.on'" on confra1l'rll(·I 11t •)lllpa•h <111~ <ahl rle l>i~n 1 nue. pu~lir. rlans '"10 dcu­,ù\rn~ IHl'l!hO. HOfl p:Jrtir 1t11 lt•\fA dr Ct'lt~ rr\lh~lh.•.

\c rarlon- p > des co1111lr's. l.rs coup!< l· 11<> rr' u<, ' s iur la mn·•qur rl h ocht'~. •1nro;iêi'. acrnh~11qu~

1 s ni s à la mo•e. sont 1k'•rn11s proprrment illi•ible5. UJ1~ •o ri un nlra11 du • p <'.li<' •· la .b~iaire eau.se

\ r Ir p31ron . !',\ TRO'\ - Mm, •• f& I, pourquni ... ra ld-TOOI pal

rntrf' 1t ~ comm" tout If' rr.ondr, ch~z ~\J• ~1.ircq ! :< 1 \ (J l.\ lflE - ~l.H1 P""' m<nt P•""' qu'il a trop do

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~T\UJ..\IRE - Uh! ou1' U,01 ca Jtllun ~ a'uruagnent ~u'rn dnf'nu:t ~ug1ane de ~brcq, L . .S dcner.:mmt, par le fait,. d" ui-«t:'1 dt Morg11(

P \TflO'o; - C•ndtur dt kan •'nit! a1>1 1 Qu'1;, prtn.ntr., ;udr i l'tloUrtmnt llu inarl • ! Et dl'ks-mor. moe Jeuc• ami, parmi loti eu JWne.1 coafr~ru q~ vous v"yez ~a Pa· liuJ, qui dllat" pri!ertt.·\"OOS'

!')T.\01 \IRE - lla foi, lloMitur !1 Bâtoa.n ~tr, ai aoeit ICS , CC1f1lft'Ufl !

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i\ l'oml1rt' Jr <''-._ jieunes fill•• "" t1t11rtl dP pou\01r lt!ut fütltr

Jn mots doux Etlrs a.ont 11 Gtnl lln et 11 11mp "'· 1·h:ab1lltn& romm• aou:s, uuf un dieta1J rr(M'nduit e &f"l iot1l fa.H lec.t te;;:• e-n Cl"t'Pf' G-rng'rt' •~lln .001 \'J.tnnl'ftl QD ptu p.r­tou\ J. lllR'Cllfl, da ~alJon, OU dll r4f• Qa1 M Mfa•l ra11t1 C•

m ltrn d• rho"· d;~f"UH C"Ofnf!W dt'I mRr:JrHr•l,•, t..rillat!t.a tOmm,. rf'•c.1le, .t:t,l/o, 11 fermn fltlP J:UNlllJI 8 la ht.rn • fld

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IW-om.an M!. t.o~JOIUt d bôul ! On ertctnSf'

S.i:in agen ~b Hl t:"D no ~n·c• D'un bout d:J mond• A l'autr. boot !

PROJET DE MOBIUER (Ch n bre à coucher)

POUR L'EXPOSITION CES ARTS 0ÉCORAT1FS A PARIS (SECTI ON BELGE) (à M. I• comt• ••n d., Burch, rt1ptclun111mtnl)

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!\,1l,111ih1' ,, ..... 11uj1•1·J111'S. fl411rt". il 11ri1 A .;011 lnm l"uH1·11•n••. f'I r • r ,1 1111 1 r;111 ' ivl:l<"I' • prm~ 11'1 uru h Prt' 1·r tl n I" •l't: 1 ,. tl 11n­'1u1 l:t 1t':11 THtf I+ .. ;. ,:rh •1' Ire •nr 11m•1r l I c nirt•Îc: a• f'j. t ... 1 prf.crfll' fiu.frn\:t IP nn.c:cA ,f ~'UIU" •rc • r l":urwr ,f~ 1r ,mrcct"C .. f\.,,.f-iar ':i ,t rnmn• "'"f'rl• lt'c c.nr • c tir;1 -

u1~tiQu«..."5. ks aulrea ulcm, La 1'11,; .;i;.-;!, il> f .. 1."..w....I d.I

1186 F=iurqucl P::tc?

~ burcaut, tir.: pl:nl~ ~on drapeau. dana unt altaqut dt grand •t1lr, ~m !.· lorl dr la rue fhap•al tt la rcdoult de la ru• llr. '1er: cfa·ronna la gloire cl' \lbrrt 1•; porta .i l'ordre du 1oor. dt1Unl lt Iront dr la tmupè dl't' au· J•leurs, r ... nr,irt. 1,11r1en :;.):1,11. f.lrrucnrrau, la llol· lan•li'. Il• r bcrr. \oli. G 1aerl, r llrc•J\, ftrnaml llern1L'r, ll.1"h rlinrk, Jouhe1l. llr111111I r, \'dal, \\'auwerman•. I•• t:r.ind-lluih~ de l.lm·ml>0u~g. 1 ~on Ouhoi,. P. \ e~r. !' ~ 1111.nlr d• 1 1'0.,1po111rirr1, llr 1n111 (hai~. de llorc b~raH. le G~rdl-lm. l'lcaMmir iot'IJ:r. ><'!am" Il<> liai.nia. li. Cli­i:n llt. <'e l,n.n1I lb'"""· Gr~•n. IJ rr1n• E'i•abelh. llau· ri~ li1 lfcralh, h Franrr, \do'ph• la,, la 1nbunr dccS joUTl'aJi<(('j dt Ja fhamb!"I' - • l UOP OOnll<' tenla>ne d"oulrcs jl('r&onnal té<. cnllth. rorr• oon•t lul•. dans un tohu·bohn lnomphal. pi!lorrsqur el chnrmnnl.

1 ~ lul churc!i<.•ant, 1•~ilg1eu1. l!mnath'que. fou· d'ort>liri"l; '" lut une lc.1un•I•'. un gci•rr. un l~phon d'(.fnrnwnn:' • 1lr \"(IU\ p:tr!t~IT'1\11l,aÎrt~ rn r tnient 1-ÙC'r· l u~$. "'"li Ir 11c·u,re <;1 \Cn,, l"hommr rlrs hois. hnbiln~ à rnl 111rr IM rrdlirr• dr ••Ol<'S qn1 <nrl<>nt d'un ~o.<Jrr d" -s znol. par le' "'"''' Nrr hnn•~r< rlr la lord dr "oiirn«. pnma;l conc •o·r qur tnnl tit mot- •orli<,rnl 8\l'I" 1 .,, if' a • 'l'e nu~nrk. dr urhr«ilê. dt loujllle , 1 dr «ll'nl d~ la h•bt- noi,, o!u mrillrur ""8 u::tnl• 11~ n°crnux c!r r~ ' .\. r.. 1. li el M b <; \ . D. -

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Pcut"q uoI FO.!l ? 1187

Histoire 1ainte

I.e J une ~'è\e lil : • llitu pnt une cOt< li .\dam endormi ri u m01tn

d'un peu de limon forn13 la ~rcœ.ib"e lcmmr • 1 i, arr.~ au ba, de la r~i;t'. 11 rourne deu1 1 ualk ts

a la fois rt t.oi11t.~ au chapitre du Mluge cl de l'anhe de :>.~. et 11 ront111ur:

• •. Ille N.11t g~urlronn~r ou-dtdpn• et eu tkhMs tt rcnn;Jl ic ,f,1u1mau' 1lt l11ule .... i"~p/lt-~ .... »

V Î'll hP mvr r•l ~tonn~ !

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• Tu 1ui1, 1l 1t l'un. il parafl que tou• h lrnb11an l• Ju lxmln;111l Tnrk111p1011 60111 courous ...

- Oui , 1oos. P'1uf 1111 seul ~ • Le niaj1>r n'~ch~\t' ra~ 1011 d mi fi rentre rhot l•1i. • SJis- tu, d ot -il • !D lemm•, ce que l'on raconte en

l'ille? - ~on. - f.h liicn ! on d11 qlk! tou• Ir> hommt'll qui habit• r.

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•lu \ nrJ. - ~t ensuite? ... - Ensuite .. mais j'irai à la kcnnrs•e au\ boudins! 11

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06 •on amanl 1111 lai! part dp •nn dkir dr rnmp·•: q11r d, larmes. cpr de plain•r< r.1. rentrant, le so r, Ir~ !•U~ rnror. lnul rou':i>. I~ n•int Mh1lr. ron mari. '1'" •"tn n1•cr(n11. •'rn nlJu èlP rt la IJUc,•=onnr. llur. ~ire? Qu"in· l"tnlrr? \ h : 11 '"' ~·1hhl l"c•prh tirs pr.htrs kmmt~ qui ont J.rrnin d'un manteau :

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d1armt• or1S:"ld fft' C(·.. h s ~llC" nt• ff' tr1111~f10"'\.' 11as ; çdlt-.•1 n\ · t tl"ailieura J>J> diHac1l• à comp1111rtr~ dais 'tOn ~8\'l'IU(['U\ pr.IOÎ'i :

~ Il avo1t cnoe Toi>. né pas. ln n'homme qu i buquoit ~ l"porL~ rlu pa•adis. Il Hoil al'C ~·quit!. Là l' grorld saint pj, rreo qu"arrilr.

» - Tt, i·tri. tu n'c, qu'un mun,. l'.j' ''i' qut t'a! •oulu noù•rr C'I paull~ quae qJ" 1 'la • i. Tu lui au>η m<m m1• un sac J,• bouq11iJ a ,,,, ah. ~ ~ rou • in l1i-o:in1 ÇJ. t'a• lomM li l'•rau 1 ~ • ' qui " rsl 1ao· t A\~ Ir, fO WO!llDI dé L'~au1u. 1: t~e què c'é 1:-.i ,

1188 Fourq1.:ol ?as '?

• - 0 ~"" c"c •Tai. •Ill fhaud~. qu"a•oit in air mj. nabt. p3rcc qu"i 1 ! '° dm' qu~ t'e101t Chaude 1ftl rue 'ans-CNon.

• - f'h loè ! •i c r"~irm, t' 11 s.1 nt-Pa• rr<'. f aras m inlier. 11. homme: i-i.; tt. qw•, t'arM 111 raradi• !

>t (,!J I" '1tlle •}lll r-on:ourulw pa ::tho~rr l'lt? à pOUS.!--41

1lr-s jum1 ~ tnint'- 1i·!rni111 qu' s•i111 Pirrre ~inlou s'cu~ur s"an all1•r. Il a•oll compr~' qu'rl qui/> \'<JUloit dire. clin• ~·1a11gAd1e: • \on. nnn ! l'ut~t l'1nti<r a•e m'naallr qu~ l'r~l &rr' la ! n.

S•mt r erre •into11 comme in lriion Jans s'do,, Lie' '13 q01 la roui, • nr • l3rme ri long d'r ... m3rh<'ll~ ... 1 n'!3· •oil po 5 rleni.

• Taunr in caup. 1 dil : » - P111•qu~ c'f"ain,. •o rmtrè•rz lou< 1 • J•1n. ln

Ir•? 1!', l>or.l, crnm' hr.11• homrno M qui~ .. • f:1~ poui•. in ~t r'touruant '" fh~ndè: • - \ Il~. rinlr1'l ••l'r. •ale b dlr 1t'hnrnme ! ... • E11> i li • foutu 'n Lia•1 roup d ried ~ ùul . . •

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llun • J•' \JI> ,1p11dc1 llo11-1cul' Io cure. \l<ll:i iloll"'-lë 1..ur qui :H:ul <·llkndu, ltnl lui-mêm<

orlu "" ~ lrhJ•rll •· - ~.h l11tu !, mvu Lt\l\P, eu êk'.'>•\Ol.I"' ~urti fociltm"'nl? - t' ub ! uu1. lluu .. 1cur. llon~L·tgucut ! - c·.,,, lri's L1r11; i<' \81~ th\O~rr \Olr • .!Lû; enl!,z

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mê111r momtnL il lire un r \Ohtr de -a r" he ri p.'ln p n. tr ' ·sp ~e deu' b:l11es le b.1s de la •c•le de ~on tl1rnt. ôan 11 lra'•'rse. rl'un nou,·eau coup. •on cfoaptau.

1 ... p;llt \O)OU etait rl \Cllll \•ri. ff \ou" :u- l t-U flt'Ul ? lui 1f·t rnuhino. - \11)j ! \b ~ r:i~ •lu l••lll. - r,·.,,, l·on. je \'011~ tn)!<H~t" (1 '20 franrs par (l1fH•'.:t• 11 •

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p~th~r ~m.;inda.n:., je ~ qoe \"OUI oe \-O.Ud\ • rie.a due à mon bt11~n.int de lequel J'f aoà ordon.innce ,. c~loi qui a tt.é 'OUJODT» oontif'nl .ur 01-01 e-t qu1 o:a"a lou~ara donn4 bee:i .. COUfl dl'I bon.1 enmpl~ poar è::t propre 1oliht M. «uno ~ pour faim d\f bon te:·,·ice.

.)fon C'bcr f\. a me (IC)ft'mandatit, je rente (JUO \'0111 rDl'- Nipoo• .~rn 111.na att.eudre longttm~. m.ûa to faut rien tn<?ttre d.ant \·otrc riponw do to'.Jl Cf' que je vou• d.,na1e ri.a dei ·wut tfi qu.e je \'nu. .. t1ortP A\tt moi pa.tt.e que mon ont'I,. cil jo "'"'~il n"en rlrn oit 1fo tout Çft. et je \"oudrais pa1111 a,,·01r 'tuïl nit non pica

Voulil nui1 lal .. ccr-rz ,-t,vo:r ti vot1!11 \'OUll'.t! 11\·oir I!\ bont' pour m~ pn:ipo.-tf'r et pour iuand t:At-u qu'il "'"' 11vr Jt, :tl'rai nomm6.

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" .li""· moi. dit l'un" d'tll•''· j'ni <".,'l~ tu 1·ain loul ' l<'ll. pummadC'i N miJir.1nir111~ pour 111<: MIJ.irra~ cr ile ru(''.'!! h\'rnor("'(.11dcs ..• ))

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11 ta J Ir rl1un1. rn:-na la ~ rrf". 1:011u i,,.·1a1Jil1· t.11um: \".1·l.t'n. gt:ui t..J irritaMr l/ann•l.nl 1111 pmla.<: lpp-01lc. nnim~I ! J/r.trprrrt'Dt ant1· J! rco.~. \1.-.rzn ni lt.:m•·"- cl::s ru.,~. \on /<qurt: Pa• do h'lticllc• ! \nur ,,. 1prurn: ''-C nu llh' d't~J ~orn. l'ar 1"1TÏ 1·rf1rlur: P.ir P:n• ! Hl-h. 4\rrhur l'cunnn •1ratn: p, N"''Hlllf' cral' ...... f/rt n11a••la tfnmi: Rr<lr \11~'1•!0 dnrmir. .. f:1 fHJilô, ca nnu~ r~jrunil

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A r•"il06 ,1. Io ' ' .,1 d; Purwoi, unt petitr hi~loirt'. A 11 \lonna1e, tro •1~n t arlr di 1 Toua. 1 rtrnolo à

l'o che;trc. U11 utr f'llh 1 qut : 11 fo• a \ICTII d~ eoMta­lrr que Ca\a 110« e•I 111 tl tl~ tnjambe le para[>('l pour ..,. pr~r1p1' r olan• le Trbrr.

On cn rrnd nlnr• la " baronne • rrnduirc ~on ~motion: • l.ap ! q11e je Ili•. 0 ns le ronal. .. •

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C lare r le. t:ft lo I ;llr~. \e en \li o d'~1urrr !Oit 11· r rnn ~lnr._ 1111< d 1d.: à lu1° i; IH.

- J, 1lonnrrn • br. tour po 1 t.re a 13 plaoc dt 1otr, pchl rh1cn. M rlc.1101•ellr

- r.,,imenl l\on•i 111 1 - Oui. 11 me •rmb!t qU(' i• v•oi• •i hrurt~r. - P:>< =~· n1 •!IH' 1011< ~ cro~l'Z lions eur. - >:j 11d Il' "<'I~. jrn • t eer1ain. - ~ ... ~ •0111 r'N<I r>t"UI ~Ir~ M'61ble. lt r.skur. i•

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L \ l'OLÜ: (avec a111r). Oui. ruon r.~s·'llt ... ? 11

- SJ\'tl·\Ou, pourquoi I~ poul•> ou 1••Jn1! .. ,1 f"• '1~50f>Ol:lmse ?

- P ... t;• ' \Ir· ' ~ Tigre cl !'Euphrate •

Th. P H LU P S gt"~~~0

.: ~~~~ 123, r ue Sana Souci, Br1nc.-T el. · r338 O

Exercices de prononciation

d" • 11 , ires \lie: - l!on<K'ur de l:ont cfond d ô31l A lladam~ d~ l on

ontrc •1u'•l ll0

) 1 pas plus de d rr rcnce de Ccolrelond F'onJCOlllrC IJllO de fon•I orlre à fA~lro'fo & ..

AMARYLLIS PARFUM De LUBIN

Il y a chasse ur et chasseur

l'u t •uro. 1 de lo111" 1 publoa•I, ~ mol> dern1<r. l'n non ~ soma11I•: /lt.lr/ tlt1 \ ruf.f'1 nr.nr•s olrmantlr t h~ srv1. S'g prt1nllr1". Qu•'qur; jours apr~. lt dorert~ur fhO~I ttct\1111 la ldlre q~ \Oin·

Popa". 19 oon.'nbre 1924. ~lonJitor,

Ayanl YU 1ur lt JOurn1~1 du 8 no'Vombrt l~, qut "out d «uunht>.t. un ch.useur t1 que 1e me •~n• npable de nvah -..H<' o'mmportt qui, Jt T1H11 ptr la prlac'nt' vous JtmanJt-.. """"' n l'H pu tD<'Ott ttfU dt' demande, d, l'Ou.loir bien a•o • bont', dt m'tn'01H '"°' ('(1.nd1t1ons 1• 11ir la ch.uet• 2'e prn; 3' Je lioo don< pour la d . .,..,. (I• rnrt)

J1 croq b:en que vau.a aurrz. roblig:ncce dt me 11 rlu' \ 1te pmsrble

Mtrt'I d'&\"loce. Vo1cf mon adrt11t :

Ed,....d B , P1pa11 ( H• naotJ,

(Ù•111n•1 roor la diau• d"abatlf• 8 piktt sw 10). \~us ne $.\\'On• f 3" 13 ~usle: m 1s nou< ga11erio

1olo11h1'r> que. eo111nlt' l'/l,.td dt1 \ '11/ f'rnrinr" 11' ra• 1lr r•'"' où l'r n ure d<• coups da l111il, Edgard B .. n'aura pu été engog6 .••

Pou r :ru o l F as ? 1191

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cm to.mpu beuttu.1 que nous tn. .. ·cnom; "ntint lt pro \:ta.ire coru.aeot. tt o~naé ql1, 10it dit tD pusa.nl, f'IL encore. le mlou part•'' de tom;

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,\ u c•otre, le lioo btlgique, naiononl trop d'mc>dé, •<rait ttmpla~ pllr le V1um!me lt~aw (ttlt11 qut' 1ij 1ul1,.n niet heL~n); Il rriort, !es. deuJ M reutnibl .. nl &'\..'rJ°' tr1a11 le ee­C<>fJJ ... 1 pl.. camelote tt sa phy•ionomi• rapf"llO an r<u ct'le de l'b1~!M'i afin d'éHtH t.oote eonfulllnn, f'D fa·sant prruve en m#mt ttmpii d'o.ll'" ta.gP pr#vor•n«, on ponr&it lfl ool!ltt d'an de - oolidoo •l IW:>nt.t <Mqan de tranch""' que ln Bocbr~ ont a't.andonnh un 'Pf'U part«Wt Q~nl aux Nf~""' d"tl!eo qui .-olett<nt à droit., et à i;aa<ho

da \'Lumstho •-"· C. f<ra1<nt plaœ à d.. ooj<li plua do circon l.lDC.C : par tstmp?e, uof' honr.lte m#n~re ., médi .. ut•on d vant 1 .. pris d"un man:hon<I do t<>mntiblH tl une fam11!n dl."!' m:.lhtneus oontriboah1fllll, •D\11ort1 le fi~ o~• dé~â '"'lua htut'I f'IUe leur.a. cbf'tnÏ..<:(·:s. ~ ... un\ une nou .. ·rJl" fll'u U. de contr1hut.ions les t:n1.nt pour CC''!. ot1jr1t l11W:tQ' q.uo DM p.-.mif'" ('>UtnU ignnrafonl. 1J ~l \'tli quo «a d1•m1era DO payaient p ... d"im~l<.

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La Fhndrt /1b<'ralt 19 ... Toule la 8 lgoqu,• l Ucraire 3>•!.ilail a l'inauzuralion

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LES DISCOURS Diacourt de M. Jules De>trée. ministre

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" lA gocnrnrm1:taL qutt j" 1uL1 charg~t J.eo rtr~entt-r lei t...'t hrutf'u'l d'•rport«'r 100 homnia~r wr le tomhuu du gnnd ctr1\ 1t.1n 1lnot nomr. c::·l~l.tron~ aujoord'hul la mtmolU Il t"n t·M d"a1Jlan1 plu• h1:urr1u qnl' \J.u~krlmtk eu 50m1111, 't.111 unr espfict de •rx·uli1oL4!' l 'n .oc ah a• cb.ns. ruon ~nr .. d d.i.na te gt-nrr tl'•:m1tr \'aud<'ndJr, 111J ~oc11h!it~ art1ttC' tt to1nio­

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Di.court de M. V r n Arenberah, au nom de 1' Académie

li~ ~u.rs

S j'ai t'honoe-ur de rtprcaczuer 1c1 1 .\radlm•e, c"nt q mes coofrtres oat pentè qut r•#-t.a1t • l'aadénuc ta qu1 a mo1n• écrit. qu'il •ppukna t. d~ \tDlt uluer «le qtu •tau le mo1111 ..ou,enl à n.,..,, 111t..nctt \loi, .Ju moin.t. j'&J 1 m acur u.n a-rtain nombre d,. 1ann11t.1 s, '1Ctl1un un• d~ m bonl amls dl.' • la J 1on" 8t'IK1quf'> •· qui ont rooM·n:f la Lr· d1t1on df'> la flnt' n:mf'nt" l:tléra·rr comm~ AU Crmps d,. \1a WallM. troient poul'o1r m'arphquu l'Ppigrnrnmt de H"or lleckque à lleredi• :

M. V•n Arenbtr(th e1t un homru• QU1 rompte Il • iaü dev~ ou trois 10nnt:t1 d_. ph11 11a'Orcmte.

d'autre& m'eo consolent. av«" le un dt' Ho1lrau: Co sonnet .J&ns dilaiiit net iaeul un lotig poème

~luttthod., i la TOr11't. n'a J•tn.a 1 m11 le:a pJ('dt -cftt>1

Il a m~m• ta('Qntl qu·11 nou1 an i. ('OTOJ• sa d~i:P ou la le~trt' ati ooos t'S! jan:ais parnnaf' ~ Jf r?QMra' tOUPÇ'C nu \"ao Zype. notre bon Jttrfta tt, de 1•avo1r jtud :ir da aa por-he La ftr té, c-'Ht qoe Muteort ntk TOU l fair~ •" nno1 toa pet~• Am.toit' Fnnt'f' \h 1 r Arad~m1e F'rança a"Ht b1Pn n·n~ d~ mlpris dt- ~1 H("tgtttt r.u. l'a rosa lors de ff'i fonéraiUts t't lm .a nfui~ un d11 ttt. d sroun qu' •nit fn horrear~ Fidi-1• à la lot de l'ln!t&r, nous ft~lS~ .\tart"rl1nck.

Oo pla1sant.e bc.auwup l\"S :"ti4.·ad1•mln Cola n'a ancuoe 'mpo tau<'"t. Quand t11t'I liennt'nt un homn1f!~ tolll;$ I• t1fnnent bitr:t cvrnmr la bureaucratie- tic nl I• bureaucrate: Il~ ac1d m1 rllt-1, ne -:ont. eUr,. pu h bu~:ucrntif' rlf' l11 l•ll;. atorl""

fo:t tool le mundf" finit rir '! \'f!'fllr \'O)t"Z (1 nl-tre F.llt­Mmrnrnré modt'!ttl'flent rar IJh rJ :!f'OUrt IOAIJ •ural tt p:l!1Al1l

mt'nl 1ron·qof' de Or•t"*" •-'If n·~n n pa\ mo "" "'n ~ hontiommt' deo rbem1n • tllllelJH un • Tout lt mo d" .-·~ndn, toat le: rnondf' 'f ç1enl i'llf' est tt qui dtaf'. ri!. frtf' f'1mmortalrtl>, do monts r11n1norta• t~ adm1n1strat ç

rnlnwo l t•Ot qu• t1:rn v.ulfnt DU \'ovtJ &helrrltnt"k a aro~s col o~tre r ra.té.

Di•coura de Jo!e ,,h Van Slarmolc'e ... dit Pel l~u de Toullemond

au nom de la Jeune fütérature c:omprf'na1t. gail>re Jr lu" m'""" oh!cg~ J&d1& df' prf'ndrt ('Qolre On a dit. Mts-.iearc, qu·;1 n'y ., 1t pl rf, d ·jpld us la dr.!tnae d• rna 1hfort S calt qu'il avait \llll.._, a\'f<" la \tatlrt Jt sui~ venu det rhAh·-ui: d•J tht ou jt m'tnftr

m:iu\;IUM' h11n1C"ur d'un auto111Qhil Mc> q111 crh .. •~• pnru1 Jt au.- porlh d'EIM>ntor poor \'011\ montrer qut "'est. li u 'ai rnit \ •'*" 11rt1mOh1t d .. 11lff"1tM. rnr jt l'a1matt htrO, tl t·tla Mr•Ur dfl C'tS t'S-rl"ltl ~N>Slll.if'rl flUI VtUlrlll tnftirttltr 11 f\f:O

1rit fatuit un bon •n1r.t d'art•f"h~ p<>nr • t.. Sor• Ctla mt- dan• dt'& form~ pr&-1,.... u ,.urf11 ,,.,,,40nt il \' aura toujon d11ptr11Att dt p;t"'ltr pnt Uqne, C't" t)Ui m'a tOllJlmn rnnuy~ dP~ 'm"s d•lit'llf'~ ,1111 •l"1t'rClnl • ,,,. .,,,_,ff, Jr t1 "''"''"•' d Cu la pol•t q11,_, \OU." M\'f'Z, quand oo la ronttm(llf' d·un ~u meth ,,01 nt v~ttlfnt r•tn d r• La lltt"•tttnrr "'''"'t qu,. liO\ut. '1ernr11f'; ,.)If' rerrrplaf'f' annl.l\i.!t'U!Hî'f'r t 11 1 tarur. Ir rh1f>"1

\ la \ :r tt-. quanJ cm t ,;rqo mr dr!Dandrr pour c~ moau f"t lt mooltn â pr1trH poor '" cnndn Amn qui °C'C'Ulir:nt rit lr patr n ~ d t ' l dn du ~vrrnt-.mrnl, j'~1 tom b rt <"roirt- • rJl• mfmn ,,..11·f'l1n n•ont pa1 d,. ~r ;;·ora

mencifi JQr ' na 1'"". car, en ' r t!, si llutnl nd1 (ut a.D O ",...,.~ ... dl'I \h~üt' ... 1 f'tnfnntf.., ,. ,•nn n "'" 'nt J:S~ ~Id t 0~ C' flfl' :c't UD gund I r TDrrt kf51:f!', 11 lf'rnh!t qût ~f" fllond fi • f~t dr t'OGll IM~•rf' b°'1\ à Lou,\ pG"lt lot u filt an priru malgré .bu. Tout de ml.me, JI \..Xa.~.ra la • •Git l aa. oH&aee lu:ntbn cl.tao• dt hn ..

P o urq-..:ol P o.G ? 11!19

I..a u~ est ta lam1f."' df' l°A-mour tl J'a"'OUr ut falunent e iJ la'!n1ir.r ~atrr &a;t3Sf'. t'fft..j dtr" Olf' qo"1I 1 a et. m•rl ~r dJn1 nctrr Ame lt. trouve surtout d1ns nos 1dha qo• ~ nt. ~ to t • '"" cl.: n Un Umpa v1tn.Jra pt'Ul ltre -

L tD d" c.hOHI 'nn(·r «nt qa'1I 1"•J1proch• - ~o temps i~ndra peut trt ou nœ irr1t:t •"apun·\ ron1 ~nJ l'rntermf air. J,. no1 ae111 ~ous viwon!i lou1 d1tn1 lt iobl11n1 Dan'

uoi dt111c> \·oul"z \·oui que nous •1Yion1' fi n'y a pa.s d'aut~ ~n df' la v1• C"t t'JUI no111 n-.11n1ue, c. ,,., tnflt pH Js occaa ons • •11~ 1l&0:1 lt C1 .. J, c'et l'&ttMJt OD tl lt fl('Ueillem~nl:t t'

0 81l n peu d'1vrnw d'•rne' :\h l'ami' ~leu f'Un 1 Le rran<f Mkt.rl111ck • pasa.é u •if l' .. ulttr ••« du motJ subl1mn, pu a 11 nous a d•t qu'il °"

.aY& t pn tt q~ r•lt:ut. 01 11 te~ eusta1t.. \"0111 à quoi M f<OllnA:l • grooJ ph osoph" Et rruuntenont 1 r Jt'lrll pour le pa~• d'l8 ombrrs dont rt

~Jt••ra1t d'aotant rn1eull le m> tèr• 'ltJ"•I do11t• t d,. t0n exil'.! cme Et 1'1) ff!\1!' UD ~our que- t udra1l ,J lui dlrt •••

U n in::ident

lei 6" pr-o.luis11 u•• inc'•'•'OI ~ l ,j 'l•lorabk. Au m<> 1 111 uu !'dira• •lt J ou!kmonrlc 1•rono11tml rdle phrai;e : f:l .. l r, He Hl uu 1our. qUt• !au~•n l-11 lui dire •. unr

OI\ d:ns la loul, prur ra ~ mot Mfinitil, mai:; gr<><=· 1er~• z.,_.,1 1 • rt un runr homme. ~ulanl 6 pi~ joinL< ur l"Mlra•'• 11111 13 p~ro!e a'"' la nt d"aurnrilé qu•" . I'< ll~ns de 1 oullemuncle en okmeura lOul ~brrlué • C'est moi, l\\ Rll l"o1d1 ba>uf. qui va parler au non1

~ la ir11n1• l1l"'r.:l11r<'. 11it-il. Je <Ili~ l'tmMtlrur de 1 Erole e rf:lfiri1•11ro• ~llNU"'llquc. l'rrole clP l'o,en ir. lfMLCr· 111rl. ' ictllc• 11.irl>I', tlrps<s~ ! Finir la 1•h1a•e balanc6e: .... ~ nu11 lil1rt• ri mo1f>'rne ! lla~ltrlrnrk rut un trl&­tur dt' m«lhe, 11p111m <111 peuple: nou•. st'!' ~ucC•'-'<'llrt.

roflS cr~alrnN ift Il n~hrM. Jp 'ai• vnu• li~ un pnl>llW' la q•o rr d11 maitre, pui>qu'il flot prouvt que sa ~if 1 d pass~•:

Poüit lun'btt el r.toriate .., 1 honntur de M. Moctcrllado

1..e <')ï(1te •ogut sur l11 .. u V rr• t-;1tl.umonde. JI ,'e41l 1ens4 dt 0000.

Mondr, monde. mond6.

Les 1Cpt pru....... moll1pli4a pu troia tooi 'fÙoJ' o& llDt

Tîol&j;Ot. gom•l • la purt•. l .a prtn~ maletM a.t &\"tva:I._ •~• U"l'll~1-s d.anMnt &tit.our de la prwc:rmM. J'il~ 'f'"U \ro s n~rts bll\ndut Tout f1 ratit at siltnf'e~

Toul «"Jl rnort Toul ~t mor~, toul. nt tnort. 'J'uul revit, tout flambe. l.t.mpu 6. arc. immoralh,me Jlo.tl" J'alluu1ett1u-. J.a hombe, la boo1bf', la boaab.. Tout nt mort, to\lt rTYit, M .. terhnck est lmrnon.l

ll<>U$ rq•rodu1ions ~ poème P•<'Ustmenl, bi<o que oou• '! ,o:npreneoru ab~ tlunl<'nt rien. ,\ ous nous SOUH~noB.). n df.t, qu'il y 1 •1uel~ue cinqulHlte ans, le- Gantois ne mprirl'fll 1b<0lunw111 rien au Srrr, (haudt du grand

3clcrl1nü, qu'on ''rnt ~ c~l~brer. et nou• nous de­an1!on' '' C<• 11•11nr homme n'e~I pa, I• 1!01•terPnrk de O\Cnir C\'!'I •0111 duul• olan~ ce knt1mrn1 que les IU· rit~<. 111 11111 e11 M~qudles le jrunr n~I• avait surgi n p. u i1101un~mMI, rin11"<'nl par l'a1•pl111dir. 1 Apr+< 11uoi, l'on cnttndit l'arte lun~brt d• llaelcrlinck, mr S!mphonoque de Il. [rl( S.,he: pu.,. f(' voo!t qu1 1 u11t la •f>l•W' tomba. •I on .,, l'aifm1nble slatue

,• U, llan-•I \\"nllrr-. ou lllW'irrl1nrt. romnw oo wt, t rl)p~olt eo boxeur. Le bo~ur dt 1'1dUL_

CHAMPAGNE

AYA LA GÉRARD VAN VOLX EM

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GUE ~ISO 'I do l'albumiocrit n.!~Jr.lt •i&uè e tbtoaiquc touttt tu ,.,,ladlu dt veule- l'/ compr.t .aua1laenct d'l.1 riac~ c11 u ltl tOllGl•I d urgtJO Chltu •1• rlnaltel dtl dCUl aexO, bfraorroiJu, par utr•ili d pl1a1t1.

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dt rv.u F.,_

I.'"f,!J,'~ -- -0 :à. ~

! ~)\ ,. • · 1., r :"" . PIPE ORLUC

Pourquoi Fas ?

. JI:rDI 4 llf.Cf:llRnr.. - L'infortuné Il. fim 101 œt ,it~ lune d~• ~l.D~uct que lut font les ami• lc1 So~trl!, ~oil~ qu'on lui Jelle SJJoul dons Ica br~,, Sadoul c nd~rnnli 6 mort .• E•idcmmenl, &i k'S loi; <l r~~lemwls frJnça11 ptr· mN1a1en1 dt lt111'll't' ~n loul 10111 dp <uilc, en rinq minuits. comme un du~ d Engh1on. la farce aur&•I #1t plus facile t r2rcr. 1'~1& il n') a pa• mO•rn : il y 1 des Io~ t I d!'5 N_.l..menl.!. Il faul que 5.Jlfo~I réi-ncÎli•>P U™! nOll\tllP C1>ndamn111on • mort. Il est infin•mcnt plu' probable q11e. d• toutp rctte &fonlure. 11 ;onira rlfpul~ et e•-is 11.r Il? <''Cfllcnr f.u•cu1I, A\rc le droit d'inter~rr des mi· ?•str,• •t d 'I ~neraui. Le pauH~ ~. ll<rrrot "' rcHnir. 111 a deu• m, s l'\llrmJnd 1·on '\ ,•Jin·Ï1.·. ami de• ren· dul·~ Il s'C'n .••I J ·l111rrn$•~ 1nn1 ben 'l"! mal. et ce>mrnt il n pu L• •O•l.1 111~intennn1 a1rr ;on !':11loul sur l.'fl lira•. Il fo111 plam1I~ ce brai• h~mmc; ~" odwl'1oire• S<111I sn.1< p1ti~. Toute• l•s •rmn n••. on lut en\'erra un nou­veau 11nroi1..•irn. qur tics jui:rment, lui iml>Oftr3i• ni tir fottn• r 6 l'ombrt 011 ~~ roll!'r nu pi•oou. ~t qu'il 1JcH,1

tou'ou1 J, rtC01t•f11irr 6 I~ ln'!'ière du JOU~ ~\tC fmr~ , \· cu•l'!I. C<'SI peul ~tl'I' t•tt h1rn, tl on n PJI r•.S l roce: m3i• leJ m1u1a:J JI\; i1a~tina. li fore.- dt- hire enrPJt• r un bnirr homme. lui Mmon'l"l'ront J)('Ut·Ore qu'il ,.,.1 p!l.15 rommOt'e d'füc r.rocc que !.anas«-. .\lors. (• lie gj•rra llOl•r ('U,,

Et ~nor nou• ? Pour no•is, il n'w tst p~s qu t on. Le; pol ti • rs c'~ droit. ri rie ~urhe et r. r mi1itu jouent l!'Uf'; ~UI rn ~ SOUCI 1 to•1 ncu de \OU• d dP mlJI.

? ?? \'l::\llltl:IH ;, llECF:~ffillE. - Diuourt tir .Il. r.oo­

liJge. - Il <:Il t.1c11. "" Il. l'cüli1l;e : 11 e.11 nu krc; il o rommo f•I <'nom. f.nh in. C'e-1 un p~hl nnm qui 11011 fü" dur .) chucholt-r sur l'ùt\·Îlkr, >'il rlt po'·thl<- qu'un 111011s1cur qui c>t Coh·in 1•t1lendr jam,111 d, • rhucl101~menlj A r' tir lui. <:ur 5on 111dll.1. \1," ce Il. ~Jh · rarle loyouk. ll!l'•mcnt dM 1lc11~. nH une JrI-a11té ndmtl'll~lr. l~ lion• Am~nfnins 5MI 'enus t'n Eutùpt J·o~r 1 ur j u. cl rhcz nou<. Il• n'i ont 1•:is • '" lr<'C le os dt la cu1ll.r; il• ont tout démoli. Il u 1route qu~ 1 ur Jea rtntontrait IP nGltt et r.·•ait notl't' alYair<. lih < ceci f't un• eut~ qut•l;on. En tout cns. opr.& 3\01r liré du 1.:1 leur ~pmglt IQut en or. al. r.ou• on1 la1ssts Ill. il< nous onr. comme on dit. la~«~ t()lltber Eut, "" qu":. qu~ moi~ de trnu1I. 'mpoMaient le résuh~t de nos quatre ni~ Jr fn!trre E•mrlnptr. Ils ont toutP la rit ho>.!•• 1iu manJo; ils 0111 hlute li pu1s.an{è l'i, n1cc «la, tOU'• 1:it '"lenre d~ p.m1 nu•. r.~la r!oi1 se pilycr. J l Il. f.oo­hdJf'. Par q•u ? l'.1r 1!'6 \nit•ricain~ ? fou~ n 1 êh s 11.'!4!. Pnr nous Jum. p.11· lu F1 anc~ r1·3hord. niais p.1r loutr rF,JN'f"' nu1•i. 1:1 o~mme le< 'm~ricoin>. <·n la l"'r· flO .M do l1•ur 1•1i.si1lr11l Je la HcpuLJiquc, de leur ron1lt! dt• pou•·oir. d» irlui qui n•3il leur 'i(!lla1t1re cocial~. a•.1icnl (llÏI dl'! • n~~e111~11ts de ~ •cur le 1·i<-6-1 Îf r!<, nous. tls "' .. t nrr..,.us , 11 u t que r 'a Ir• engn~,ai1 dans tl•s :iFhi,.,.• qui pou1ct1'nl ne p.< tire d~ l·!Xll rq'IOI; tls ont il:I:!\' ·" le fon•A tfp r "' '" méconnu '8 <1~n8(Uh'. JI b.ui tlll'e 10111, dit ,\1, l. If _

? ??

SAlŒDI G DECEl.IBl\E. - ~ou~ connaiuons le nom ~c li. A .. , le rajah qui tul d~ c la1blœ1,. " (si fin p.;ul dire) dont profita d'abord Y~ llobin~n et. 1ub-1d1air..­ment. li. Rllb·nson. sa. ~is. allie. ~• 11•ociês. Pour­quoi nous cacbait~n k nom dt .Il.\ 1 Pnrce quP 1.1.A .... rajah dt prof· ~ion. appartrn~nl l une ca•te tic,~. ~ trou•ait discrédité: d \lnt !~< fulurJ sujets pour a•oir eu ce qu~ nous appellerona de• ~rporb &\•'< une rhrétirnne. E>t-ce que ça n'l"-1 pa' humilianl, Jinon pour nous. au moi"" pour les chrtliennt>? l 1 ,\r,1ltr \1311110111 rd1gieu qui a eu dt'll rapl>Otls nH'C une jui1r. s'il oh•Nll' les ril<'4. rie se rcl•gion. n·en finit po< rl• se l.11·er ol dP pa«rr po ablution~ el ablulion,. ~·ult•n••'nt. l'.\ rnlK'. q11M1d C'll 1 rt\nrnlll bien. ri malaré ~o maj:-.111 1·<'t!Jimcr.1aire. n'a pa h~2uroup p'us d'importauc• q11°11n •ir•i:r. 1 n rnjnh ma· i:ni!iquP rt beau. r'est autrrmcnt rrxont qu'il ron-idê n°" chr~t•• nnc- comm!' d 1 Jn111 an 1c. !or 1 rC'• et q le r •he qu'il a commi• roi1 6 •C! <Pui c; 1rlqu~ ch...,.. romllU' un •ice ùnmond.> qu'on Il<' s'n1oue ra• à ' ~ mf.me. Il v aurait U-d~nu• dM rlrlnm~llOn• 6 1a·,,. c 11ou1"tmcment ~ I~!~. ou mêm<' â l'err.prreur dM Inde• lui-m~l!ll'.

?11

Dlll.\\CHE ; IJEŒ\IBllE. - l lrrtwllJ alltmandrr, 1 parole hi,101 iqll~ s'imnosr : • lfab1ll1•1·IC$ en 1 ouge: h bilkt·le3 lO \Cri: hnbillrz•Jet PO jaUOr. ils 1 ... lou,. jou"' Ir comp ! ». disait ile ~c~ Foltl:its l~ 1101 J~ \api.~ Qu'ilb coi1•n1 rilU!:<>. •1u'ils -u•rnl l1!.111rs. r1u'il, •uirnl noir•. lt•s Allemand> vr<;nl lu11io"r" •le.• ,\1Jr111011u, 1 .,, 1•>urquoi. qud que ..i11 Ir 1uullct •le r~ eJ,.<1io1L•, 11 1wi laut pa> •1oi1., qu'nnr <ir 1 0111cllr dn!" rl n111011PI h.1 lf11I~ u"· nou' a• ons 111\ nit, 1lrp1"' qu~lques ln 1~1 le r~rlionnai~,, M\arrh"1~. le ro10:1111n11t.r 1m;; n31i.t.e Ir libfrol cl~·•r~I. le d ri al po••I" t • <te .. l'r. E1 li'$ f:Cl!TI"> 'c mf!tnl ~ 11 n'v n ri < J .. i: nr . m !~r· ll'S candidat~ croient tk•oir t ~re«nl• r ~ ' clecllo &ltcc une el quel•" <;U" le \tnlr On f.·. p rc r,1 p ... ~·-ilrc. da11s •1u lqu"' :i.nnM>-. rn rei;;inlanl ~rrri~N' 101. Qttr ri. t .:•e< oo• 1:!er1io11s. MS psrll~ ctJi1 nt morl•. 11101- qui rontinuaicnt /1 ~IJt'r a la halO•Jli' NI \ertu •k- Ja \Il(·

ac11ua.c::(I •• \in"i cc :o-0111:1 trau•1.rrrfo p.u um" l~IJ" 1 t a rl1~rl!•' rn(or" 1'1 nnrmi. Il r 1 in~n mrnl prr.t1nltlr <' • I' \ll~m~rnd. 1111l"l~ 'JU<! "U:Ntl 11• JtrOJll':ltlllllf" 1innf il ka r 1 lumr d le drapr~u qu'il 'rul 111 l1orr1. dk11r qw 1' \I' mrii;:n\' ne p.::>\·r rn~ isrs tlrt!tt, ri \'(1111 l.1 itr~tr1ul•on • trJih' ,f,. \01l"ailk•. d. ~ni•<' nout, Mouon~ q111• rN Il lcm~1ul l.1 c•I :is«:1 noricnl et 1111'or• Ir tomnrrn~ 1 rr1tc n·e.-1 •tU" ltll·r.•tur •• ~uiet• ,rorlirl • J, jo11rna11s 11. mnndrt à un pcu~I• vninru r111i n~ rrn 1 nn'n Io r rr n \Oulu IJ for,,. oour lui '' rloi1 • 1hir celle rl , aut· lui démnndcr .i·ë·r~ un peuple rt~I~~ l't rl.! bonne ' !ont<-. ~·<><1 rur~ ~otlise.

'" l.l ~Dl s llEt.EllCIŒ. - 1 Nic p<lltc C<rcmo:- • de rtunion cl1romqu~ du con11eil ilt Io ~ori~r~ lies ~ni o ...,..t m~in> •·mou1ank t'll elle-in~mp que 11arc<' qu'elle no.s min:strrs sur l18 jtror11l< rhcmins. On ne saur3il cro1 comme c'c:;t amu!ant. un mini•t11• sur unr srrand·routc Il ne peul pas •'nrn'trr conlrc un 1nu1 ou ronlrc 11 ministi!re 5'lns qu'o11 en tir~ ift'll rnnrl11sio11s. Quon A11s1cin Chornberloin rltljcuno D\«° llmiol. la ~mai •lernitlre. le menu lut r.c>mlll<'nh• Pt Io 111101 I~ •l<'> cig oimi. \otr~ Paul lhmant a l:tc 1. nu i 1'"•11 pendant toO son parcours. On lift qu'il ne ùsr n"C·I~ riullt p~tl. 5~ /1 P.11'11'. pour d1an~er lie train. \'ovrz qurll<'I ronclus1c, on ~ul en tirer. dan• 10111 1('9 ~rns, bon• ou m: 1ai•. heureux ou malhrur,'U\, Toni qu'on n'1u111 ll'OU•e le mo!·cn d'ex~ier I~ mi11i11~ dans une •

P o urquoi Fa3? i 105

obus 1<elli, tl par un lube hermNique. dt puÎE !fur inl dt dfpu1 jouqu"~ 1 ur dest !lation, il sera toujours lrêmrmcnt imprulknl qu"ils 1'arrêr,•nt en cours de utr. et tl!olem•nt exlrêm~rnenl imprudent qu"ils oe rr~tenl pas du tout.

?? ?

llAROI 9 OEOtE'.IBRE. - le droilr d1!cutc 6 propos rnop •IS 1.n ~Du< he auS!'i, d'aillrur,. et non mo ns lt$

ia!iUCS, M. rhrun:• 1>301 dit C<> qu'il a•·ail ~ dire. ne l plus rien .. • Ce qu.• no•1• romprenon<, nous. c\'$1 qu'il (JUI il<> l'ar· ni. tl que ctl ar~r·I. c

0

cs1 no•• qui lt Hr« rons. - ,\1mi r.·\011t m11·u1. 11. I~ a1nu·•r.uabte. qur. rt:I argtnl it pr•s 1lo11s 1n1r,• pwhr gauche ou 1ofr,• porhe 1lroill>: ris \l1lrt11 tiroir 011 \·otrt cc.ffrt": qu'on vous I<" rhipe au in d'11n buis ou nu rour. d'uue I> lie c•'remonic? - J'airncrni1 mieux, rcpomkr-1·001, garder mon ar­nl.. - Ta. la. ln ! On dem3ndail tu lap'n: • PrHér<i->·ous

rMi 011 "''•' mi• en cil Cl 1 • Il d1•~l! : • Je prf!fr~ i! n'Mrr ni rôll, ni m1< en c ni. . • On lui r~pondil : \'oM 'orlrz de b question ! •

16!?

m:ncnEnl 10 01;rF.1lllRE. - Il l eur un i·pfü brouil­r<l <tllc u11il, nuu< l"opprrno11s p.1r li-s journaux du atiu, en 111~11w l•·rnr~ ljUl' 11ou5 li·MJllM Ir l'Ontftlc rendu unr runfi·r.'nre dr ll. llillrran.I. If. Alilleruntl o droil noire r1·1Nrnr.e, mois rnl1n il •si 1.·nu nnus c~pl1qurr mnienl 11 lnllarl ~au1a le rru11d~. Il rro11s 1·icnt apros f•o"n<arë tl aunl li. llcrriol qui ne <1cndni que dam moit.

fhacun de <rs mossieur< S3Ïl « qu'il l~ul (a:re. th3· n 3 5a seime. u n m~1ho11f q•i sont I~ se1.•., el le> illrures. n"1i~. par un ha<onl rlonnanl, ris rrc 1 ;; pos­

dt11t •1nc 111aruJ ils ne p;:u\·cnl plus - ou pos encore s•<'n SU\ir.

C'P.$1 un 1rni malheur.

On nous écrit T oujou,. l'affaire de Balay

lion <hfr • rourquoa l'ai? •, . r Plma !\ûl.humb \OU& a krit. qab l'aaitre du cap1Uint by (.,1.·:CUM lt"an11•'\~1mi1me, pulaqu'tl a dit f]IJ'il lui sem* tL que I~ Oela:ic1uo é\.tiL un proloa11trnf'nt de L.1 Prance t) IL un• 1w.u1u. e n'ai 1.a1 LtaUO:fJUP :.ppréd~ ls twllnU', ma.Js '11fin j'

\'at.I admllo. Ma1J pui1qu• c'"t unt 1w1nr.c, pourquoi c Art ou ~1l.on11e • c::ontinul·t tilt A lanrrr &ca foudrn lm ,. P4•'<• C!lplt&lnt B•I•)', qu"tllt apptCt le pè~ !ay" Eu tir tli, ttlto ternpé~ autour d'un chff d, musiqu-. compl~#mtDt rad C\!~lt - l moins, bina •nt~ndu, que tt

! un• :r•anze Mat., tn tt f'&S. la zwanz" ni un pt"U •on1ue 1''".t paLs, nt,... qu'il nt aou1 de b 1wanze cc hon ~t Bau

• t.:n•afn alho'.q~. qu, kr1t cbn1 ~ " Rtt'\"llt' p;éni-• •· dont. lui •0111 qu• la f\tf;cique, tant 1111 nL doore 1 Fran~ 1 q1.11 la •it,1ltnt., loi &Y••t fatt l'tlft:~ d"un pro­S(•m .. nl de 1,. Funce" Iles do11e, mon ch•r • Pourquoi P111 f a, • eu nationalistes

it.H, qu'tl1 lhuront. par gâter t.ont i\ fait leur atlaire. t.: o tp«l.ateur.

Sant! noia m~!rr d,• t~tlc vieille allaire, nous signalons lt leu~ • qui dt droiL

L,, ""'""''"'' ,., lr1 dr1ru1.1 "' .rwont P4J rnadtts

CLEVELAND SIX

Moasitur BLASER l"afcal ~tahal bi~a connu d~s Au t ocobile e BIGNA "Il el d .. Camloao Bl RNA d . ux rnarquu dont I• r .. put11hoo Hl li bien ttabHt en Btitl&jqut. vient de •"adjoindre l'Aio"ce Ctnhale d11 Aut omobUe. CLE\EL ,fND 6 c1I dont la voiu• tn Amtriqut e11 considé:rab1t en ce moment -ci. Cu trois marquu u ront tapo1fc1 au proct-aio Salon d• fAatcmoHlw l Bnin'lu. d1 a au 11 dtccm·

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Chrronique du Sporrt l.'!;uion lloul;,lro de Bdg:IJUC, bien 4uc d<' crèalion Ioule

r1·crntc-. •• dè•c'.opre el s'orguuiso ru1111IJ.111C'lol. Elk wrnplo dqâ pr~. Je J''"' '" lie nil'mÙr<;;, parmi

lcsquct. de gro• in1lu•lr1d~. Je• pcrsonnagct pol11.ques 1nRucnt.1, de uombr,..n .porltnK'u.

Ceu\ qui onl prlS eu m3in leo d<sl nkl de œ gruupe­mtnl nou•~au rtp~nm solul1<1•11<1 la 1li!f1c1le el lfê, coù­l<:u!I<' quC$l1011 Je 1"1 ul1cllcu tl of,. la rtfcdion d<! ruult!, atl'C la coll•bora11011 •n•ll'Jl'"fl<31•1e 1fos pQu•oir~ l'"t.I ca.

En ullend.1111. le t:om•lê 1111 rdl'ur a lou~ ile •a~~ a bu-1·cau,, SittJ~I OU ccnlre rlP la Vllil'. à l°~l;ij:e rl°ull tCSIOU•

rani bit•n co111111, et lïm<lalL1llr111 11,• cru•-c1 a èl~ cont1~c ~ noll P ami \rmand \'.irh z.

Il ~ a qucfquo·• JOllr'. l'olrltZ fa!s\i1t Ïu!érer dans fc• 1uumau1 u,• a::n?nre d m~ntlanl ~ "' 'l~no-darh Io. li la ih't1rai1 n1 !Top jeun(', Dl !Tor l\l'lllr 111 ltt>p uiile. "' trop brllr: 11 la"t romp:cr. punll 11, 8\tr la 1rrlu r.,·s mtmbrrs du con<c;I d"admim•1r:11 on d~ n nion Ro1u1êtt et aussi aie<: la jaloos•'. pa. fois b·cn l~gilime. cl<! leur-. ~pousrs.

llrtr, donc. \'Jrl,z se lrau,all 1·11 grande con1·cr,alron UH'\! le d1rt'('h•ur tlu l'l'.Sl3UI 1101. IOl''.'iflll

0

1111e rlome. sln1 .. plcmrnl 1113i< COITCl lc111rn l 111!UC, l°Oll digne el '<i~CC· L:iblc. l'at.01 d.1 rn c.-, I~. ·s:

c lloMieur, je 'iro~ pOllr l.1 pdilr• nnnonce ... - \h ! rarfoil. h1·1-1·~us ""' r r rr •• .., ? - Oui, l'tfl<Jnd la da'"": j'ai ~·~ (mrlo•~e da11< r•lu-

•itur; groniks rna -ons de la pllce, ~• je cro1> pou1oir J:r• nlN' ~ f~rai •Oire dfo" e.

- Da11:1 ce c.a •• nous alloDJ OIU$er un p<u ; je 1uua

i t!lO Pourcruo1 Pas ?

pNudrai • l'e""" penrlant un mois, alin dt ~oir exact~ ment ce qi.e ~ou< ;3\et foin: et 1. .... ,enice.> qu~ •1111! pôurrez °""" rtudrr.

- Oh ! \lon•1eur. ,e conua ~ ~ fonJ le mNi.·r. répliq11t 1·11 n>ug15~a11t la dan1e. dau, l(' fo111l, un p-•u ,.,.,~~ .

l an1 ruit·ux ! Tant """"' ! !:or 1 ou~ me pl.11stz, et ft~pèrl' que riou~ nou., cnkll•iJ<ins tJicn. Connnis'.(~Z·\'OUS i. \ . 1 C1• •ont l~ s mad1111es que nou• emplo)ons.

Mon Daru ! l!oP<lt>Ur, je n• me •ou,icn< ra' ~i j'ai Mjà \U re 5! •ltm1-là. mais c1 :a n'a 11uèrt> d'irnporUnt<> .• .\uiounl'h • looo lb ~\Stem"" sont bons. pounu que 1 nn:u!Jlt11;;n d'~au •oil surr. J'.l1mer1t o!.,ndJnl<> !

l mm ni, LI c1r u!Jlll)n J'.-.i1 ? -'txd~me \"arlci ,If 1s 1v1Js n't':cs donc ras teno-dJ hlo ?

\h ! 11011. lfor'.s1,ur. je H'f!J:s' pour fJ petit nn 11 n du r~laur.inl. qui Mmnnd,1i1 un• frrnme pM1 ''" \\' ( • )1

1 t, Ju 1·oup. \'::iriez.. ,~u1 11n n \tJ 1lé1t1 Jwimlrnl 1JC' cc .. \l·rt' • t.m1}1.'- ci.:' ;;:3 1 •itt- lia 11t 11r. sur :-ou ;n,Jtmr 1le-r­r1erc !

??? J 111!

Lli trompe! Dfj~ ellt a•a' t pro•oqué des polèmiques, le spirituel franci•~ue '3rtt! n• dê!f312n3 pont de l ro11sacn?r un de·~~• farots •du Trmps. p~ur 1lrmand ~a ... uppr. ~$ÎOn.

fi y a rle ttla •in:;:l·huit un; M1.I ! Les op.non> ont L1! d1. nc:c fi ·ureusrm1~n1 ! \ ;, tor U 111n

PU&LICITE: AUTOMOBILE Ar~nc• 'Bo,:rhonz JunlO'

38, boule•~rd .R.eyer•, .Schae rbeek T e l • p !toa.e 360. 14

Souscription pour le mémorial

( .i;1Îh f1t_• n~ SO;), 'IJtJ .. i)~ • IJlll

I> ·~ax rme Wte d" lto()U:: 1pl 011 .Ju hcutc~~l Sd~\·0111 :

.'.I t:ar, ux.. üeut(!Pfl.ot d1~ tt"!!·rvc, Uu de li~ne ••••••

.Il. de Chppde, 1J.m ...... - ............................ ~ )il \ erbru~:l.'.n, idern ••••..•..•.. • •.•••• L'.tuleno.nt U..-lnu, !)\, •I k~lll! .............. -Laf!Ult'na.i.t i>G<JiUUbt'l \)ti dt- ~ S::b

Lht:ttn:..t:!. D'Ha1naut. Ce dC'I lr;;ue Eo mlmture d:s ..:tuteu t i; fi, un d s:s dlfot.

rh~.mbrtt, i!r2 d lmal.de d~ g-.if"n•, li li. lion dRr c Poaqco1 P.u ! •

.\( p~. a~t.- z. Tl)U:S dt \U _, 14 rc r< rrurqc~r qt;f: 1lluu cU t lè • e...sb •, li" c l . b1 • e!.a1t n ci autr~ f

.Je h ' ... >: p;:~ vota 1J 11 f"r tit' ~.iplt 11o n . J,.. ci q C'

nt H1ldrll 1111 ( .'1.ii, lN 1111.a 1lu mo:r.1, 1'0l!t 1 Ut'Cll~ •

if.mu lor11.1u on ilit .1llu•Jo11 A 4 ,;i.1 '•n; <"t":.1•• f""TI.a1 ~:a. riu ' • rnl horu.e r à lrlU' ("\;)r l dt! :-Olt"'• •Jt IOJll.l'• ~ C~ nats oct. r•u. ta\I 1 , i1 t. rnt J C"l 1>11• ,-t t r:i nL l

op à e ic:. .. 14."01 c ( u,.,. • r tl) JOCT• i:n • 4.. t

wt J~ • is c rt n q <' te J ~ r y <\ t ~ • qu •"l!Jt p.ISSC'I rar 1 kolci de G-

1

}.;t:r t"Z. men eher c v ... ul"ltOOt ras' ., r.s c n>(-

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'IF ,, Lcch.r'1tr. d1 ttleur J 1" c I.t. c én~ • , 11-.atPrunt d~ rt e.-.·f! \? 'l ul r ' " ~L 1Q:t d,1 l il ii• Je r nu:\, noa .. éCl ·i lh n"'J' n ·11L : • ~I ·n t11~ c Pou~,,utl l'a"'• .JI\ \'O 1 4' \0 l' ttnt SOCI J•'>Ur J m mo. LI~ d~ G:l1Uort, pli~ 'lll"cm ne 1:1.ll r1r·1 r U't'

.. \""f'C ~.000 i.l1na. r-t c I' .,i<'I ' l.I l ttn qu'il f.i..ot q\t\' l UI' 1 J• DX .. 1 rJ. 't'l f t Î 1 ('fi S mra\':i·~Ct' J 1' • ~ctr" ·~nné '-1 ,.\ P \ l :.:u1.,. Yt' ~

E • tr. l'o• i\antoor. T t" J; 1 t , ~::IR ra .o 111. t J c • en r.O!lS b ~t pa"t do cbf-qut' de ~S fr c l 'nt a\'tc p ! r qaei Jt' \OU~ •d$-~ en wr.odp.te soos .,z pt oo pocr 1" m • r , de Ga1Uti11. ExCU! n. le reb.rd avtc 1eqi:,•I dl• ,.ô"J.S ('CU'' rnt, car jt' s • .s s1 knn Jr \"OUI.

, l~J-.; 1!:5S 1. f'tlJJCnil.uil J-OUf oul1lil'r Ît't annll's I~· nMu, 1L les 1100! 10tn1•n1u tnt!l>OrtSs de (.:J1l1on Pu11· t. ~· \Ol.:s, à l"o<:e~~:on d 1 rn~:: or•al. rapoeltr a lQUS t"t'U'\ r!OI orbl1ent lN'>I' '.1 :., rornL:1·n J', nt~e r:ou• rt'Tf1> .~ do t uJ !t3 r 1r:'.\ 1lu tAonde, sonur.1,,.,. pu ~ ' r là9 ro:>r a1Jn t usu te prwtJ r p!arir co:nmt- •aux ••

3 re .. d..!!!J 16 tnnr-'!t M • L bab-1-rre fn "• ln h,rutC"G.' ft!\nt~ s·irn aon•

:.U , • lhi kr~·:. d \"r&I q er nolre chu pel.; p>}"1 a·~

p.: 1 tn .. f' t-om~r • ou dtJ~ anb11'. la trrr"Lro lc;un d(! 191-t 1 qis. tl qnt- to s d uons un JCUr r. .. 'l«nrntn ~r, on '- n\•ôJ' ·r ;) Jt't so11ffrnore1 qut tt ront p1rn ••Ot dtc:rl' pt·t :..S !;OSMI

• L"1 .t C'è qi:;~· M! tl(niu1Jt"rit nn~1<~""'"1l!f1t. unt> jeu110 M:ut1':rn _.t un t·'· 1ux1ha1 , 1u1 \ f \' D d"' l';n~1U .. ue d4 tri.nr'16e, au:\ x C't"nl rn Ile ù1.&L1H Je lt"ur "hu ftrQl l't.

• Muu ther c. PoorquoJ l'as' •t paruu tant d'1' jClttS lt1"= 011, n•orb' u J~rr-• 1 Jir ION:rT ttU~ sawtt clocb.­li. et. 1"trn d"c,1u~cit i'(.CJ' noe.s d 1ts pu ts

1111 Bita à \'u<.U.. • ...

T1>tat. ..... -fr.

Pourquoi Pas ? 1197

On lit ... Annexe au Petit Guide du Belge à Paris

Il a\( 1 ~ ' ,, (, li " EJ,fgr l'ai 1

• Jqu """ rlfio 11 U·~ 11..-Jflur ..... rl<1anrJt"nl que null~ (,

"'lS T.ll!r!l't\!S J:u 1.: 11 tl1• •llH..'1111.e bas-JoruJ. "'i 011 '"' ul llr<. f '• ~t 'llW 11 haft--forlil"• 1l.m1e ! c'~l tri\s. roMf•li'JUt\, ·"" 1·nr111. 11 ) .1, 1f:s11" 1. ~ ha .... fo1111 .. 1.ari,1Pn-., un m<>rul·· 1i 111111 ,, 11' lilh·rul 11, 1111r• lilh"raur1• ronmtt' t l tv

mi .. 1'1.1111oi!Ç.\1llun j11 .. 11u',·t Fr;LIH'Ï:-- Ci1tl~()I un pr1..,•lÎJ.W ·101111o1111. P11·1Js1·m1·nl, f'a11~ ,J t••t·lamt• 11• \Ïcil \1i .. 1irJ,. ru.ml 'ftlJ 1;.:-1' 1l1• fiu1\.111li'- qui nu an~. \"lut chanh_·r 1•"11 1111""d1otr1,,)J1•11" ~m11ep11lo11r. 011 coup. f'.tr~ol Jq•rerul

H1uuul, t.:111111111 t1111 11"' .1rti~t1~ vt"r1t.1htt--t- •l l1!1o 1'°4'fr!l tllwl) li, Û•lrl~ !Miil U:ll\li' ,., \1·1uli141h·, .. ; ar'l1t·r1•, ct1 .. 1'4'.1111.,, d1

·ntlrt"Mc 11n11rt'\l.lt t 1 1)• lu,.11 U1' U'uu Irait ruriul 11 111.nr1u1• ltJu••11ot1 \ 1\1 IJU ur l"mtcllfl:t rut.ryonuair.-· fi,. "'' 5 1~rM»11 ~'~ pr.1,J1r -Mnt I' t• rn• 11, ),, ~11t(" 11+ ~ f..ho...,•·1o 11 J" rtlour 1)11

ors d rua

• Il dt"t"01a·re rher. J.a fille d:J 1rotto1r l'clpr,.ss,1un nettf' rt JUS\# qu1 rnH son ~un~ durion dr 1 t111"r i.u nt"reau d~ pin~ lmoa,anl.ff ,.J·g:f'S

• \rt 't"" va.ofenl "'l tontCJu, pout-d m champ dt"< na:oo borné 1 cl·:J.S.CIU, mai:s par cela m~me- d UIK'r cl•rt.e: aau3 p& r~: .r

1 un m1crocœme où s•1n.scr1nnt d111.-me-nt. 1 ~:mmt' I~

1iL~outllf"3 no1n!l s.ur la rubrique 11 pt>tt"rl~ ~tnuques ltt pf'rtol.ina!(l".-. l1nïl a \'US Il <'Onoait. leurs émc:• 1ons comme l•ura .apptt1t1; 11 ronnait cè uio• lhl)Ut.itahle qui I" fixe- ll}ll

JOUTI. •

l.ulfllllt' Oii \Ull. l'.llJ,!"ol .t .. , . .., ldlrt""' 111 11ol1li'5-.'4 I'( ... ,~ ... p.111111U .. 11Ïf1J(• rltt111·1·, \fat~ J',u t.:ol 1·h.t11i,:1•, 1'.11 J,:nl t'\Olui·

t·I lt .. mn•tn .. 1!1 .. ha:-.·Îh111I... ..11111 ...... 111 .wv·q 11·~ lni.;. •le l'l'\nlulion. f.', .... , poUlïJUlll. tlt·1 uu\ raot cl:i11,.. /.r.... U(IJ'fl' .\'

.1,.,. t.1l1h·a•1lio ... :u;?olirph· ... .Ju!'I "' \1. \l,1rf.:'I l.1 .. ,1g11"""· l't 1p11 m..it.-·nt •·n 'C.'~l'nt> Ill 1111111111 tl 1·1 f1•1tl11Ï1 • t d•'' ti.u ... 1100 ... J ..... f)u1inon ... 1ri. \Ï11.;.1 lo1> Urie.~ .1 1' "' \ ••i•PrM11Jt:l u11 Nnhn1tn dt 111111• l••rcon. 'tu'll 111 fa111trait l'Onnailr• ~·il \1 ut .toi

0

~!!ftn."1' tfat ... dr ,•nd1 )t•:oi 'PN'l3 .\ 11u• la hlli"­rAh' ,. 1 i:-lt ,r;,~. \QU• cl"'o - 1111 a10uer. d'a11lcur•. ,,,1 Il ' a 1.1 .. dedan ... rl· ... 111of .. •llh nOU<i. ~' r 111prenon .. pa"" \oi;~ \U\011-. lu u •1m lan'"' 1 .. 11rt:1111t , ... 1 gOt'". il ('tool

tflK ... ri un 11 ff,è"3111f': m.u .... (,-0t1r '4 îC''h. hercha. m~ .. nllll' rh ... 1rh1'; r. \OU ... 11 .... 1ruu.1. li .. \OU' :l\fl, df<­rn;i.rnf•'ll.llll. 1'f'"Tihn·11n rit.~ (lhra.V!'i •ft '°'' ... N'li rn~~rin U\• I.'\ Fout ltnt' ou l.1 Lo1il u

J .. , \ l a.H• m':wai1 di.L • \ tit>ma111, ,,1111t J,. JU'IJ au hu d,.~ \ lp1 s, J;1 l..oulnu a IMi -;iJU't, j'm\i .-l11·rd1.-r l 1 r.nrur• mai•• la

lid11 P•'"' 11 moin1 d'uot" c 1gal1 )f· ).:ll•llH111~ •

Et n11la 1>0ur11uoi j'arril·u.t 1111x \lpe"'. :n Jour là, kprè& avoit' naru .11 dt• 1• l.oulou. pour prt·111l11 mou p Lll 1101r J~e .'.\1arc~1 4•h11l )Â ~t\·1r un 1.i(.•ler1n f]UI fa•K.a&·t tlr'I 111ag111~ Cn tavt', 41uu1 •1u1 Hait '"t"DU ~«' p .. rdr. au !Jar d1 \ I~ oa11qn'il v a qui ,1.~ "'-''•o .. 't"Ta'"

MINER VA ...............................................

la voiture

qu'on entend

iv.roI~S

mais dont on PARLE

MINERVA MOTORS S. A. ANVERS

P------------------------------------------·

H.93 Pourquoi Pas?

• Tu rouu.a~ l• )t.a' J"f:lf.~ant ! que m~ d:t il'! 'brrnl, quand autr... •'rat harrf!

'"n •:t tu1 t \ a cinq JUttH qtfor. s".a. oonuu 11 n·~~L pai a 1~ couku.r • l.'1':1 &•nt ' JI t• mtttra1t ~a l1f.utf' 1' .. t mol ai.:et •:t

t liarlot b f 'ourl1n' rt l>m.tn !.-i 'Jlsurh f'tSt 1111 hcninit Il ,. rair ct'tm J·~~ t:n •Urntlllf1t, ~· sort Ju ly• .. t" ~lal.\ J~ LoJulou ' •

On IJrt nil un t,.i.~ On trou'\,. l• Loulou, V.. ~farn•l la dur fhtr la rnanha1ulL~ 1.1 HQUS rtJOint dari10 unt"' C'rf.mrr1r, 1uu \faa• crruhrh ou lt·A hourr~ u'1raH"11t pa"i gafft·1 Ir~ l101" 1l11u

l...1 ,\forl·tl po,•w ljlllfl.'t' tuh~ Mir L·1 tahlr • c··,.~, d1· 1 .. 1""' hi

.'Lus, h1J11 rl1 t' lll,\'1 , dit Je l.oulm1. c'e~l vrngl ).(1.amm111

1111t· J'1 \'tll'.\.

\oui f .. duz f'AJ r1 I• 'l•n·c_•I ('<.m1ptt C1111) Ji.ll$1•n

\·01111. Il JlUf'l1 \b1 <"t 1 ()uatr.- Jrq'°'• C0"1't f\l't!ft rl•mu~

ta. l.,rmlou pbnqu•• lt-s tnlte"$ L .. \hrf't:l • \'011.a Ir JOMeo. Loulou Qtnhu "t crnq, '·1ngt .J, <tUlA. ttjC!I

in mo d· mand«" l .Jojo Ln t:1uw1~. c"~t JJOUr th1g I~ rrnq. pour ln m1d1f'loos •

l.a J.oulou a irin•~ ~ pt 11n • Tu 16 u m.aiqu !~ fum1rr • Pour lti coup J• l"ounr • ra !I PA-\ ta Hd.«1'.a m11 g'LIM("

SI Jt't '\rU\

S· t:a ,,•nx? ltoulurr fo:lîl tlr:tn3nde r.a~ lOn r.-st•· ("l m.ol~llt ç hi.li

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