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Charles DELCHEV ALERIE Les bibliophnes qui s'fntüessent aux orlg'rus de 1 comme disent les tapissiers, car la période /88S.

la flllérature belge conserrent, dans un coin de leur 1890, c'est déiii une époque, presqu"une épo.711c h.s bibliothèque, une iolie petite brochure dont la cou- torique. On reconnait bien encore Tournel:as. l• vcrt11re i•crt tendre a passé ou gris et qu'orne un hautain poète et Maximius Valerius et la Jeunes54 a:Jréable frontispice de Rassenfosse: une délicieuse j belge, etc.; mais, d'ici peu de temp, si un iditeu1 petite femme, à mo lié nue, mais chapeautée à ta s'avisait de rééditer les Fumist:s \\3llons, il s rJi mode de /SS'. q11i se re:,arde dans une glace d main. ol>ligé de mette une note au bas de la page pour dirr Cela s'intitule: Les Fumistes wallons, Histoire de qa'i: s'a(!it d'A lbert Cira11d, de Max Waller et de li quelques fous par L Hemma; c'est imprimé chez Jeune Belgique. Vailla'lt-':armane. d Liéte Mais qui donc est te L. Hemma myst1rr· ux e

On y raconte, a1•u un humour un peu précieux qui, depuis lors, semble a1·0 r disparu de la 1 ttéri> - style ISSS-1890 - mais fügant et fin. la 1•ie ture; d'u11e ieune re11ue littéraire Le Mouvement wallon. /1 y a un moment où l'indiscrétion commence 1

s,, idiu ~ •Il/ L. Htmnu. F.n lillhafu" · Vulain, t t 8Jr!.r11. (a/ dtr Il n lis t/ llJ/101 mr. lo<mnrr dr lutr ,, / .-K. llug<mant f arurrtri11iqut : 11ro'f1 obsrurt1 d "" in1·0Mrin11. l:.n mu•i'I"'· Ir u.'a9•1trismr pa1/ou1 tl rou­jo111·1. Ca1a1 llr,.ti11ur: lt 11i1b,11 1/n ronnroaloirts t t l'rnth1 11ia;r11, pr1tlf Thom.ron·lhu·o1. Po11t lt1 art8 pltH· liq11r1' ( ha1n·:7r ri Jliant.n Knoi {[ ri f:ntor; Rop1 tl Rr<lon. (aradlri11iqvt: lt /onatΕmt du imprr111on­nutn.

Lt ilouwmrnr wallon d1/.11rloir 1<1 •ymboli11e1 - m quoi il aeoit rni•an: mai1 lt1 mrllait 6 1ovlt1 le1 1a11rt1 - rn quoi ri ata•I tort.

Il d1 f,..,, lml Io mut1qur al/rmandr rf wgninmn< - rn quoi il llloir roi1on: mn11 la mtllall 6 Toult1 tri 1aurr1 - tn qun1 rl ai,oit tnrt.

Il •ltfrndai1 tr. \X - tn quoi it avait raison : mait lu mrllnl/ loutr1 lts •nurr1 - rn quoi il ot'OI/ Tari.

E:nrn,, Ir lfou\tn~nf "ilfon ndmirnit Tournrbu - Ir ha.Tain P"'" - raufrur d' \ri. quin lun1t1qur. fErri­va n 1111hhr n C1mlre la vie - ,, nr dlrr11a11 peu Jlnzj. miu• l'n/rn11•. Ir gl"l1til ronrrur •lu l;ai:al•mt dt vivre. q111 Il ri•11irnr roui di ur d la J 'Un 0$f h<-IJ!t.

1•.,11. on oral/ qu1lqur symp11hi1 p"1lr fArlitte rontem· J'<"'Oln. dont on 01mair Ir. rririqu" 1mporlin/t1. 11011 trTf1inr1 ù/lt1 IUT « rnrl radira/ •· dont ft dit jOU1'110I 1'l1mr fair /'api.ln. aigriHaintr la bilr tir llortrmboudir tl donnnirnt n Tri uorobtr dt 1,.,.,.Ïblrt allnqur. dr ntr/1.

N'l'st-ce pas que c'est tout d fait " d'époque "•

devenir de l'érudition. Ne peut-on pas d're au1our d'hui que. sous ce pseudonyme alphabétique el bo varyque, se cachait Albert Mocl:el) Son p lit lim est a•1;011rd'h11i un 6 bien amusanle él•ocation du ml Ueu littéra:re liégeois, en ces années cïmatéri·ue où s'éveillait la littérature belge. Tandis 1111'à Lou vain, d Bruxelles. la Jeune Belgique 1::-tait s ·s pre miers feux, on voyait naitre, d Liége, un mo:J11e ment littéraire autonome, oui se rapprochall prut ~tre plus de Paris que de Bruxelles. mais qui n'e1 gardait pas mo ns un ioli ton pro1•incial. que'au chose de dê!icat et de naïf de la rréciositr /.11 'rair et de la blague estudiantine, de l'ingénuitt' et d l'ironie, de la gaité et de la mélancolie. bref, le to de la prose juvénile de L. H cm ma

Et que de promesses dans Cl! petit milieu liégeai d'alors / (De bons 1uges artisrinues et /'llérair ·s rt connaissaient, dans ces ieunes gens ardents et 1 bre~ plus;ear$ futurs grands artistes.) Quelqucs-une5 or été tenues puisaue, parmi ces ie11nc5 gens il v a1•ai outre Alb~rt /tfockel lui-mtme. F. Sel'erin, Rosser fosse et Donnay. A quoi bon parler des autres f>.

??? Nous voild bien loin de De/chevalerie, direz-1·ou.s

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Fourquci Fas ?

Pas li1nt que ce/il. 1\'otre héros d'au1ourd'hu. n'est pas préciscmcnt de celle g.ni;ra.1on. 1\ous ne crOjOlls pus qu'il µ~ure parmi 1es personnages des fum1st~s 11.aJ/ons; ma,s ce peut mu.eu d'art "'1>• 1>

et 1rançais qui s etJll 1or1.;e a ... our d• li1 \1. a11on1e, d'Albtrt Mockel, eut un long reten~,ssem.nt et u ê.1J1t depuis lonl;temps diS)ierse que la chJleur de son niyonnemcnt se taisait sentir encore. Or, c'est dans ce rayonnement que s'est formé Charles Del­che1·al rie. écrii am liégeois.

Il êtall de ce pt.li milieu délic:eusement pro11r.­cia/ /US:JUt dans sJn ar:feur à adopter to~tes les 1dt'ts noul'elles en ar1 comme en politique et il en a tou1ours gardé le style un ptu timide, un peu 1flacé, m.'.lis dilii"at et savoureux.

La première impression que 1·0 s donne ee grand g.lfçon très brun. tr~s doux, trJs discre~. c'.:st ur.e imprernon de m laru:ol·e. Il aurait 11olor.tiers l'air d'un beau t.!m~br.:ux. On dirait de ui: le voilà b'en " /'inconsolé. le prince d'Aqu'ta·ne d la tour abo­Ue "· Mais un 1011 sourire, un peu nar.;uo.s, l'Ous montre que cc rom.:nt.que est que/qu'a:i d'a• 1our­d'l1ui, quelqu'un de l>eJ•1co:zp trop bien éle: é pour pleurer sur lui-miJme. Triste. rC'ut-~:re. li est de us g•ns qui gardent leur tris!cssc pour eux parce qu'ils sJvent que le ga/3nt homme do·t tou1ours paraitre gai ()n Still tout dt suite un de ces typ•s qui, d 1ns les ser.tier~ .te /J 1-!e quotidur.ne m.i.rchtnt aur la pointe des pieds pour nt pas se salir.

Eh bien, ce'a est trh lit'geo:s. Celle ville où la rue 1st si na~ure!lement gaie. où la 1 ie parait un peu c en dthor< '" au point qu'on pr 'tend que /•s l. t­gea's sont les l.Urid on.;ux dt la Bl/(!i«!!e. a!ïonde t n dilettan!es dê/1cats et un peu déj,.igr.eux qui i•-11ent chez eux et pour eux, a1ec 'es 1 vres. des bibe­lots prüieux et nue!qucs amis. C'est la vie qu'au­rait dû 1frre Del 1'e1•a!erit, s'il v avait une ius!iet 1n a montfe. Or, il est 1ournalistt ...

???

Par/a'tement. li est journaliste. Ce silcn!itux fait t. ,. poignet " dans les meetings, ce déiicat fait du rtportar?,e. Il est mtme très prubalile qu'au d~but de sa cJrrière à /'E;;pre!>S. il a fail les chiens écrasés. c· •st la vie! cor:i:;ie dit /'autre.

,.; la prend, du reste, a;;cc bonne humeur. Pe!il­ltre lui arrivc-t-i/ de se dire in petto qu'il aimera•t mirux détacher /•s courons de ses li:res de rer:1e ou a:fai'r.·strer la Comra;.nie de Sue:. /t!afs. mffer pou m~t:er, celu!-!~ a fini par /'am!!Scr. Il l'a fait dt non mieux, c'est-à-dire lrês tien: il va rencontré des • images fra:erneïts " et il y a trou1•é d'un'­H l'U"lles S'\'m·:.ithies. Arrès tout, rourquoi un frri­Pa!ll délicat nt serait-il pas journa:istt j) Le ;ourna­liJri.t, du reste, ne l'a pas em.,~cl:ê de pu!'! tr 9utlqurs œu1·res l>rèi'es mas inflnime.11 drlicates Sans par1cr àt D~cors q·1i sont un peu " d'ho f UO •, faut-il rappeler l'exquise Mali.on des roses

trémières, la pluie fraj(he des Idylles, ou ces lma­g~s Fraterr.cilts qiu 1·ous reconcdient a~ec le genre 1aux du pocme en prose! Sans parler dts notes qu'il a rcipçort~es d' Ani;le:erre, 0.1 Il a p~sé une grande partit de la guerre. EVidcmment, ccmme J,mens.o,-::;, cda ne p.:ut pJs se comparer avec lu cinquante volumes de Sander Pierran, mO!s tout d1 même ...

11?

Si Dt/chew:.!erie est 1ourr.:iüst:, fl l~ J ~. pro­•esi. ... r. ~ru,c.s.ur J'h1s:o.re dt 1 art ..

Le pro;cssorat artuli~ue, ce a constitue. en Btl-61qu., l.s 1m·a.icies du criaque d'art. Quand, prn-1.1an1 quel~.ie vingt ans, on a loué ou vil.pende les pein.reo modernes et lo:aux, on trou1·e toa;ours un ora1·e homme d'éc';c;i~ ou .... e m.n.stre, dont on a étê le camara.:e, et qui 1•0:1s dit: " Tu t'y conna s '" pemture, 101; Eh bien, 1e te nomme professeur d'histoire di! l'art '" G<nira:cmenl, le vieux ;ourna­liste d qui l'on tient ce discours s'é.:rle: " Ch.c l Cela va mt 1a.re un 1oi1 sup;:lù:;ent de tr11 te."lent "· 11 a:h~t~ un r.i.:;;:uel, le prem:er venu, et il e rtcitt concrument à ses é!è1·es. Ma's Dc/chc1·aler.e est un .le ;es pi1.'nomèncs (jUi ont une conscl:nce. S'il ac­cepta d'éire nommé projcsseur d'histoire de l'art, <'est au'il connaissait /'h.sto:re de l'art. Aussi, ses ~ours 'so-.t-ils en tram de former, parmi les p:tits Liégeois et pJTr:i1 les retdes Liégeoises, toute unt génüJ ion d'amateurs artist s, qui parleront d'art sans dire des sottises, ce qui est infiniment rare.

/ournal:ste, écrivain. professeur, Charles Delcht­valerie est une de ces p.rs1Jnr:a il!s r.iulliples cor.imt on en r n:ontre bea::coup en Be/g1que, pays oil, q::ar.il en ne i·:r.J pas qudque denrée, il faut avoir plus.eurs cordes ci ~on arc pour arriver d v.vre; m~1s quelque chose en fait l'unité : c'est la conscience prof.ssior.nelle. Cet écri1 ain " fig?ole " un arl!de comme un poè;;ie en prase: cet art1Slt enseigne 1 es-­~1,;thi1t a::x t:oliers co1"1r.1e s'il profe sait en Sor­bonne. Dans les réur.ions confratrrn•l/es où règn1 parfois un style débraillé. on le trou1·~ un peu p:u;ta:n. Soit. Mais c'1•st un de ces punlatns qui honorent la corp!:'ration . la corporation dts purl­td:is et a?Jssi celle des /oarnali.stes ... t1 aussi ce/li des écri1·ain~.

Las TROIS Mousr1QUA111u.

~emcuauew7 LU~

' I SA VON EN P AILU: f'.l'ES l\ti r t:lrècil pal-> es lallle8

V

Pourquoi Jiiae ? i 235

.Noos 1>0111 mis en recou.-rement, • la po61t, ceux de os at.c.n11en1<:11ls qui arri\enl i upiralion. /\nus prioN noe abonn& de f&Jre bon accueil • ta quit­

Ince qui leur Mra prâuotèe, 1110 d'h1ter dee (ra;. 10111 ... R3ppelons • noe abonnés qu'ils peuvt'nl nollt! ~.yer par

1 viremenl 6 notre compl• rbè~ut• po~taux n• 16.664.

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nou• ti u)Ol0> que là-bas. luul 1~-ba.s, saint Michel. 1011\anl~. 1u haul dt .a flèche, ;e11l1 l lrtmblcr son ~pèe ms sa ma111 dHa llontr. ~ous admirons ks 'aillanl;. En >litiqu,., cco lrs, il fout qu'on 6e Mrirle; 11 foui qu'on ~ lrur î.ut au\ RC•·s. Ll'S si1uat1011' orqui>cs. 0<qu1.e. •pui. ll'OI' 1011l:t•mp<. ne uous 111.<pirtnt que le n:srcet l1I fout. d •i il:<• pe:mell<nt A leur< dcknkurs de itux o'a1quilltr d~s cbarg<> qu'on leur 1 confi..:s. Qudq~ impolie: ce .tait en \OU•. J sait-on. de la ~l1>in! du p<>S't tn \UC. Soit ! cela <.>t pcrinli: c'c.t la règle

1 jeu. D•n, le~ comb1na1son> de rill'! pohticitn•. l'homme Ji se croit dttrnteur d. la veri1,; pohll~ut doit \OUloir pou\oir tl la rt p<>Mabilit~. Pour ks obtcn r. 11 lua ~I

h'll'lis d• tar.•r le r. !cuol de 1l·~•ou• le cl<"rrièrc d,• ceux Ji •<>11 1 nl'i~ cl. eu,, n'ont p3s ~ ilroit •le SP plaindre : nsi. 1a•hs. durrnl·ÎI• tair<· à leur;. pri'<.li-c<"l"'urs ! Ainsi ra-t-on t 11 ur1 !IUrtt!.>'-'u:-s ! Pattrt /l'grm ... Cependant. r1>11 n•e 1 OU• ,·ous metl ., en route et que

s grand> Lure n, t!lairnr .onnrr ~· b1tn ail r cl le •S<:r-couire, du haut du L..ffroi ,.i haerbrtkois. Y. le ~11ftn1 Uabul du llorh \'VUS fil Ull ret1t •ign<:. et \OUS

\lia l L1"n \ouloir \OU> e>pliquer 8\tt lui. \ou5 sou­litons qu.: cda nt eo1l qu'un.- parenth~"' •l qu'•prèl; roir ent<ndu ll llabut du \forb. \OU' •O\tt rendu 6 l'af­ct1011 de, SrhJNbc"k11is et à votre carr ~re. Ccpcndonl, cm11ort~ por voir< ~tan. vous voulet, enY<!l"I' contre tou1. 1oun~ttre vot,... per.onnc et votre pro-

·amme l 1'1ppruh1llon des électeurs. ~ trouvant dina une s'tualion o;cmblablt à la ,.,ire,

:apion. I• gu1o11d S.:1pion. contre qui di•t?N Babut de u mps portaient d, , .. .-<!> acru•ations. •'- .01nint pc<c1-;llknt de l'annl\tl"'oire où il ~tait el 11 1'kr1a : r Rcr 1ins ! • pareil jour, j'ai vaincu l Zam1: n•on!ons •u 1p·tole el re~n·1on1 lœ dieux ! • \'ow, \OU• a\·tt un una en per1pKll\,, el par-tle\'"'11 1011s. plutôt qu'un !.ma par rle1ri~1c. Il •UU< l"I dillacilt ile 1hrc : c Ci­yens, je vai• aller Merocher 1 .. r•omp1>n • Zama; mon­.ns .t.o<1joura au Capitole : nous y boiro113 la gueuse .mbac lriom11h•le. el .-..men:ion1 IPS dirux ! • C'est q~ notrt c1>ili<ation es1 ain., raite qu'il n" a I~ de .Pla..e pour l_t• ftres d'exception un homme. qud ~ 11 !IOll - dtunt-11 la 11lo1re_ la ricbe<s•, la pu1-nce :>W' t0«1 paya - M do11 il. ùxpliqutr de 1ee aclft indi-

•iduds au premier Bahut qui .unirnt. \'ous auriez ga-1:11< li b11;11lle de Uaelen ou r> ~'" la lorët J'HoulhuH que cela n• •uus em~ècheraat 1•as de p1c11d.e pla~ sur un banc de la l..barectionnt::e. qu11i.o l •ous en aller uhé­ricu~ment en lriompbe, sans les tx<USCll, d'ailleurs. ca la 1111g1•lrature ...

11 'est-ce pas. Monsieur, qu.e c.>la e.t pénible ? ~·es1-u pBS qu'un grand homme qui a l'intime comadion qu'il peul sau,er, non seulement •On parti, ma·~ l'Etat. qu'il •a foire turgir un ordre meilleur. qui voil en perspective .a •lotue équt'Sltt t u rœur de la ca lé .. n'est-ce pas qu'il es1 p~mble q..., cel homme ~ rlo"e e•phqucr sur ues a.tezs qui ne ' ut. ni pa• dire. en wpp1>sant qu'ils lu•srot •1.1-bl s. qu"il no lecait na, un immm•e b-Our~nlt'Stre. uo pre­mitr m niotre ou un emperrur ? \'~\Cl Hirh~lieu, llis­mar<k. \apolêon ... En ce temp, .f,1. le i;cnit en amposiit encore. \oui ·~ sarhon• pas qu'u11 Babot les ait ll'?'ét"" quon<l 11& monlaicnl \'ers un arc de triomphe.

Ce.< oon•talalions. lfons1cur. vous prrmellront de mi>­ditt-r sur notre temrs. Vous illu,lrc 11·1 mirux l'eoprit éga­lilüirc. bur.•aurratique. odmini-tralil et juil ciaire Il• nuire êpoq~. notre ép1>que qui ne >e .oucie plll.> de~ dieux el qui e1i~e. rles g-ands homm, ... le< qualil!k ap­parente• rar quoi se signalent, Si \OU• \OU!tz. d• mt>­desks chtl• ,1e hureau.

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rroir~. lllC111si1•ur. qut le dr;1111a1iq11c ,1,, rtale que \OU~ Î''"' z da11> le p'èce qu'on r1·pr<·.,.11I• en rc rnomenl •ur la •cen.· ile la Comédie i'olitiqu1• r ou• ~chappe. Celle P•~< t•t 11rofo11J•ment h11mJ1ne: ••l!e ei;t Ioule trémîa· .ant d'an~u'''' : la ,·ioknce H lt rc.urll{P \ entrenl commt elénaent.5. Il n\ • pas ik <ituat·on• plu, recherchU3 par les dramaturge. d• 1ou• lt., ltr1•1•s qll<' le- cas d~ run•c irnre qui m•ll~nl l'homme r•ut.r ··n r1>nnit .,.., l'homme pri\·ê. El il n'est pa. banJI. le P"lil•cien qui a su •u>ralcr oulnn l de hainr• et crN>r autant de dêvou•­meol$ que \'OU• ave1 su I• faire.

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Au rhte, même •J la <tl~ 01a11 ,'(;f.l~. tlk n"aurait p3io aJtM.né le minbl<rc llr1 nd. Le 011n1>t.r, « de ron­centrat1e>n q"e la ~our;;eotile hbtrale et naliooal<. l'm cier.r"" clientèle du 11Io, Jes gaucht", ~phc. 1.3 majori ~ li. Uc1 riot, bien ~ue com1.ouie. Hl aol de. Form"" d to1i- 1 s wm1tard5 de pr<\lac:e qut la ir.icrre 11.Ut rend i l"ob..:u:it~. c.>He majorlte a une force érwrme; elle 1a11 ce qu"dle >eut •I die 1cul une chu:;: s1mpk: re>tu au pou1oir et profiler Ju pou1oir. ~lie Mclare tranquille-­meut : " Xou.s somn:.:s un çou-rru,.ment de parti ! • Elle poursui! st'S ad1crsa1n;• el elle d,mandc qu"on les pour· su11è plus 1·igourew;.:n1e111 cnoore. Comme les brocards ctè la pr<""e par1SJ<"n11e l'c'u.;1'<1 cul. elle demande que l'on Sl!1·isse contre les journaul : pour.uite•, commissions d'en· quHe. tk •... \ quand le Comilt· d< ,~1u1 pubhc '/ Le Bloc 11alional. compo>e de jcunts gens iuc'f'Îrltn<ntés, de bour­g. oi- 11mor.:1 et d'hommu 1l"JlfAirc- qui faisaient de la polillque par dis1r:iction, >°<'l conli11ucllemen1 lai~ ma, nuouncr. P<>ur le Bloc de. gauch.:i, If,. alfair<o:', c"e·t la pohliqllt'. Elle oourr t mo·ns bien son ho.nme que le t:~ 11111~ du forg<>S; mais quand on 5111 l !Jnc, el!.- le oour· rit. 1Li-. pour cela. 11 f;u1 rewr mallre du gou1·"n""° ment, u'impa1 le p;i.r qutl mO)C 1.

Cvmme qudque, juurna'ist• ~ M ru-Bloc nalional œ m­melltai ni f,.., •n'nemenb Jans la 5 Il~ Jcs Po• perdus da l'al.is-llou· l<ln. un anricn dfpulol l1bfral qui pa~sa1l dit Il un jeune ccMa n qui prol~!c de grandi:! sympalhiet rour l'.~ctiun [ranraiie:

• \'ous réclamez une diclnlur< ? Eh bi,·n ! .-ous l'avH 1 - o\h ! pnr exemple ! proksla le journalisle. - \lai$ i;i, 1ous l'ai.:z. S nlemcn1, • h~cun 1·eul s:i pro-

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Pourqcoi Pas?

a11drJ qu'6 llru1dk-s, V. \OO l\clll'I' se contcn1ai1 de 1!e-

1 der doucttcu ment à M. H! m11ns •iurl!e str3ÎI l'ai· luê ... du i;ou• rll<'mCnl ~1 " wnc.tnanl l'é1 ~<u;ihon de o'.ogne, Al. ion lli><.-scb. arnho~Jcut d' \llcma;:ne il Pa­s, o b11 .tnio:r ou Qu31 d'Orsay que Ji l'on a·c,acuai1 s Cologn1~ a1an1 le 10 jQn1icr, l'Alkmognc se collerail go11rc•nllrrnl nolionolislc, qui rrluscroi1 d'cx~culer le

Ion 03wc•. C'cir •impie et grand ! Aprts toul • un ptu p!u.s li•I. un peu plus lard ! . u quoi I' \l'crragll<' e1rculcn:i1-dlt Ir pion D•"" ? On i 3 monlr~ 11u'1l lui •ufli•a 1 de v rdusrr • n/ocu:cr te> Îlk pour qu• noas 1 recc.nna s•ion• inc1écu1.1blo11.

o·' ' rr• / qlK' li. llcrr•«I rtd ro. !:1 noire ~ou1erne­nt l°UI flrlroU\(' ~ ; f!:O~ ~r:UJJS hornn"'"" ont cru lttq;

a Il 1lr lr111l<r I' \lkmogt1(' romfllt un r. 1111. " qui il ail cxp .. h• ni 11' nonlcr un conrorilnl. Ils ont voulu con1mc1 <'ioli 1 " la rlctk nllrn•anrlr. l!A <>ni oubl ~ une

105•', CNI r111r k ( ill1 rsl mainlcnnnl 11~ forrr à dire: 7ut ! " .1 l'1111i11si1·r. \mt( en !oo<'rnn11t qu1lll"-! pour nou~ aimh ~ la ~o id~ rf,, \a1ion5. •111i lr<>11Wro 11ne rni~on n~ l'Ur ['11 Jr s'c-n la1rr 1 ~ n·nin•: c 1.1' Mo11 i'llcm~I'~ 1, tf ·JÎt ~·•. t'<"!I la rc •k> juri l.c;-1r qui tl ri~e 1,, bou­

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011. I~ salml nt. lui au.~4'ii. O.C toile foron jam:u .. la .. itu:lliou poli1i,1u,c. n·a d~ u• ro"'use. Il~ ne • ·1 P"' nù l'on \3: lou< k• prrr è'('S nt rn Mfa11 r.n m~1 d rn1tr. lr1 t 1N"llon• Iran­~~ onl l1t' un(" s •rpr•:'t pour roui IP mcHH!P. pour k~ 0Qu.'11rs rt pour l·'S \Pinrus, f.n Mpi1 de la proror­

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ha"I . - le Fn1<'011. romme à cr'I•·, •lt \11• hclrr. d'oillrurs, de tdlt• fo1;011 qu'il• n·onl j.1m.1i~ 1111 I~ IJ .. hrr. ~ 1 qunnd ile on1 lravaillr 1·nsrmhle. soi r op1~,• li-ur ~~porolion. fon­'1lO 0 rail. <ons l\('ulrmon•. ~11rh1u••c ri~rr~ qui onl plus

1 nu rnoin .. n'·t1!'>-,Î. ('('tmm<' lt rmu:in ,J, Vo/pnrnisu tl ''" \oucrflu.r f>nu1·Tr1. \13 s. lnul d, n•fmr. rr n'Mait plt111 1·a. C'•11. •I •lu f'on<on guinM. end1manrh~. <;.·s reu1,..., l'i-\Dn!~. r'lra 1 loujour• du li ul•m~11•. mfme ~uand ·~111. 111011< 1Nta11 ro• là Pn no:n. romml' ilan• ,,, Drmoi­u'I• ilr JJ.i!1•11n ou f ntj• n d• Io • •J'.r, 1 n l! pc que ron a al·r. c c<l <O!Tlme un r.I•; 11 fo•11 ronl1 urr à le •uh1r "' il l'aimer, m~m, ~·;1 1ni:rot mnl. 1l.•11lrmnn• n'a rn• <I

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Les indiscrétions du G énéral

Cel ercdleni g~néral llichan1 •Îenl d"a•oir ù IJ Cham· bre une dllfagreable a•enlure. \'oic1 qudque l~illl>3 d~jil que les membre- de la dro11~ parlemenl<lire le wupçon-11a1ent d't!lre ra11trur des noirs tendanci~u:.:s. sur les r~uni&ns de la droite, publi•e; par un journal clérical bru,rllot> qui n'a J>::S élé béni par le cardinal. Ces rompit> rendus étui<·111 haùitu•·ll• nient très co111pleto et 1h 1·0:1knaîcn1, sur les d1..:uss· ons. des renseigncrll<'nts doni la ~ .cc ion nhélait que le porlP-plume al'ait êlé tenu par un d.,.,; a·~i'~ •ils. Il y al'ait m~me ceci de dé­r.oncrr 1a11t que tous 1. s inrid<"ra!s de carartère (l<'rsonnrl v é101en1 noté:< sans out"une rfp~ce ne mfoag ment. Brel. l'

0 élairnt rlrs romplM rer:du• rcdigé< dan> la noie «rœse» •·t où t .. ; mnirul·.s critiqu~ d·ri!:ks rnntre M. Theunis r'I ~· rolle!?Urs éraient enregi•lri'c's piru~mr·nt.

A 1lroitr. ce,. romrlts rc rill6 avairnt !oit scandale. et lïr.rli~nal on $0 Nnit traduite, ai;~urc-t--00. par quelques d sol>'>nncmcnt• de fi '/o'•s kctrurs du ioumal en qu•slion.

ira:. ~ud ~tait l'aut<•ur ri<'s inrii!'Crêtions On Ir chcr-d1oit •lqmi• lori~lrmp~: qudqut'$ Mputé.; porticulièrc-111rnt lnunn~é• par w jnurnnl n\'nirnt •rnti prscr sur eul le< rr~aril• rénrohalr11rs rie l{'u~s collègues. Mais le cou­pa' le drmeurnrl intromahle.

Or. j<ourl1 rlc·n1rr. dr< droitiers ont surp1 is le génêr~I R h • ,f •u momrn1 nû il rrmrllait ~ un rr1lartrur de la Lil•rr nr/g 'q11r - tont pis ! 0'1115 J'al'OMS nommée - les noir< 1lr•tinrr• à renrl·r ph.- rniré son rompte rrndu d<" l'~•..,.mlNe ~trni~rr ~r• dro'tr•. lmmrtlintNIWnt la nou­\~l'1' ùst ri<pan1fu~: If• M-puti'<. r<111rrmrrrs. on1 invil~ k- pr~•i1!rn1 •Ir la 1lroile à np nlus admettre dans leurs rt-uni"nct rP mnrdntaire inrii~rrtl.

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51 VOVS OC.S•REZ 1.N l''ttRIEUR COQUET ET CO~'FORT ASl.E. l.8 HOME Al\IABLE ET JOU

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J'y fuis ! J'y reste ! POEME AFRICAL'I EN XII CHAN1S t;T XXIV RU'U5 PAR

Primo d e R ivelra

Les qu11.t re ohases àu oéréc-ua.té

l.J ptrcquJl1ou dt~ tra1l m1 Ul!<-. 1vu~ il rc h1ut fonc­l1onnaire. dHermme ch(l luu.< nir' rn1f'loi ~' rt~• f'h 110-nifo<'• r •ych1qu•s qu'il ''l !Jr1lr Je 1li11'<!r en quatre rha<<'6.

A la prrrnière. le p~r~quat~, Ln:•qu<'mrnt aH•cti par moi du fluifr~ nou\·~au ouqur1 ci<' mo1ilr1:i .;.1111 C1i11I~ mrnl. pM11 dr •urrii<r. pui~ ro11~11 d, jo r: 'u" 11•11 <al­lumt: ~ s mains ~r 1~w·n1. a1•rlrm~i~":-.ni.~~. \·r1" IP 1113 ... hnd: on rhra11 qu'il ,.a mt rr'"r. 1·orw11r 1:n 1nf1n1. ;.pf'r•lu ile tmu,er olans la 1hrmi1 ~ hir11 plu• 1lr , .• ,fratl\ qu'il n'Ha11 t•p~r~•: « ll~rri, 11r~11.I ~'in! \1rol. • ! •.

A la rlru, tm• ph)•r. le fu,rtinnn 1irr OJ•~r· nd qur. parmi~ f'OltC~u("", <11n "a~ar:u!t' '\ •• a \U .;t)n Irat •····ot '<# (l"tftn 'f ft°CJnP r:1côn 'li•~. fui Ïll..!r \"1~ntrn• ('\("•~$1\'e.. Il froue~ le sourtil, alk~I• i.. <id ri .... r.n:11 ~1.e ...

1 ~40 Pourquo i P as 7

A 11 troi•rême ph3 .... il •• d l q~ <l'tl ch~là ne ~nt p3s i•sl.-s: al i-e n·et à •1ud n li neu'<'ntent le bar~n • d • Ira len trot• ptr,q~olt~ ri ··elforcc d c:3blir qu• rau~­m nt3t1011 qu'ai a r~u" !'<t trop minet. vu que ctll~ qu'a reçur ..,n ro?l~~<J{' esl trop forte.

Le petit en droit

Doue, k~ clu.ia ils u. d 11, pha. h:e e1 r. l•I "'' donnt. le 18 dccembr,, au Th.~·r.· flam~nJ. un~ rc1u. • caco<h)m<"?, libidineuf• ri ~lrrnur..• oirc » - c'ur \I. (,c

k•·u qui leur oura p;i.,sé cc. odjcc11rs - qui ,l\nal for rhombrie romplète. La salle ~!Jol. dès huit h•u <>. p1tl ,, ~cnutcr I<' f'ct11 rn dro,1; mais la I' 1ue ne rommcnç qu'.\ ncur hrure•. parer r,u'il 131 10•1 d'abord permtltre à t lro('I on tur!rJlen~ de l'a«~rnbl c de jeter sur b sc~nc r' JJnS la S~llC du boui<> f> :nt'9 de.• J'3qutl• i!P J'OIH rt c;.idqur• îmmon11cc•: 11 ra~lt qu'ai n'y o pl • a.j~ur d'h i. ~~· cl.'! arce~oam, de Haar< rtunion d'l udaa1u•

A IJ qualri~ni .. rha•r, il virnl me lrnuvcr. m·etrO>C ,., « 1 !!'111111·, -. 1loll'Dnr~ et m'nnnonre un rapport auquel il .tonll(' 1011< '" <o.ns .. \ quoi je lui 1<..,onrls que la •olu· lion rnlcn<-nut NI un~ !l~1ut on "' rflrirt,rr ...

- li n·! 1 p3< ile cinriui!:me pl.asr ? - \on. ou plu• ·1 si. qurlq11< fo s: •I n1'apport~ loti de

m~me 1 n r:p orl et jt lui inl rdis lie me rarl r encore de rc:r. ar.Jare. r~rc· qut je n'ai p:I< tfe trmr• à perdre et 'I"' 1 a mieut à hirr pour emploHr I• •icn.

Lt lonchonn3"re 511~encur .,. mot b ••)urire cl ajoul.1: fi• ne •ont ""' l lus comme ça; moia il y en a b.·au·

coup tout de m~me ...

L""' rlu< bc3Ut ~S5<Jtlimrnt~ en ru~.n~. •01rnos ri Flnur< ... 1"011\••nl à L\ \ILl.E or <;\)\J "TIP.\\E, CT. "'"""'' âlzd ct.

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Pc. ·- l l\nlr'acle, i la \Io na1<': - füdre la mL- q~e lnlch \!•le •'I celle ~u r.:pcrtoi~

oourant, c'c>I une sor!A!' d'rsralc. qll<' cc1 opéra rus.-.' ... - lrt f's,ale li:or, pa1fa.tcmcn1 !

?? ? M• Thomas Braun plaioloil. la semaine dernière. l'in·

corn• 'lo·no.., de la Cour d'n•so s. rl3n6 1 3ffoire Coppée. Er. ator• 'l"t· 10111 l'dlorr fi<· la d··lrn•e 1rnd • wustra1re le i,., "" r. .. 111·e au r•1cmcn1 dcc q •tique c nqU.:lo1'! mîl· hor < que l.1 rk:lamr l'Elal. il prononta - Io lral:ri....- df.• mol• ! - ut~ ruraru<.• phrDst' . .rin d'lrabl.r qut l<' ptr­aonn<-1 d• la Cnur c!·1·a11 ~·~ •cnct:1rl~:

- La Cour !kvra11 rl•pou1llcr ~ 11eil homme ••

??? - So>ei-vou• quelle ~I la dallnence entre Pi imo dr

R"'rira ri Ir g&n~ral en chd de la i:ucrre ru•sl>-j3ponn.S<! '/ - ? ? ! ! - f.'c"t qu'on disair de~ d!'rn1rr: Kouropatkine, tandis

qu'on dit de Primo: Court au ra• d'cour<e •.

·'1H:un. \J.1.1T n rs, Ili. rut de Stm«art. belle•. W. 1:.3.tl'.!. Repr.-.ent;inl gt'n~r.11 pour Io Bcl;;ique dr• pl1tno• « l!linl""h (;iunrrt •· \ uln·~lano, à pédales c l flcrtrirll~ U l'rl'ELO. Iloulr11" \n '""lie.

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C lin. •i ça foit le Lonh•ur bs L'énëralions p•f•rnks et qu'el 0c• • t·ru,- n1 leur cos:r.p~. r'""! l·u- Haire ni!!('!U<-lr fro:d-mrnl. ,\ •u ment. la i 1i0t'f•!'.' la je ~ ., f'rlc, labrr. ri Iη'r~. 3UX in~i~n~I On• ~ ·~u<rs Cl nu rare hirn po-:ant rt!n~ira l·rlle qurl~ur jo•ar.

~i 1,., Murli3nl• r<sn•oΕ'l'll, l'anni'e prochaine. cl'unr rf\\UC' birn r:'lilC'. ~:'ln.1:; ftt11!r, rui'Mlf'~. ri OUÏ r('sfH f"'r.ut la bni;t•f' r·~nrni•e j 1 I~ lrn~ation• d• 13 >Ε'Ïllt gal! i; uloac ct brbançonne ?

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Il.in~ lrurc ~:l'on~ E-P~rin11t : mnrhrr! ~rul"lh ri'J1alit, brnn:r, d'nrt (relit• rt ~rnndsl, 1toirt1 sculplü, cr111aur

111 rdt,~ ,,,. t:rrr,.. Pte •• r-'r. !\;- 111101 hart ht~11ro11p d hNrrut A l'ocea•ion de• lflN

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Lt 1rnclr~di 2:) jn"' irr t!l2:i: <Qnltrcnce dt \1. L~h Sou~uenrl. S··jcl: /<ahtllt Fboh r./1, p•llr rt L :;1bond. Chorun dt re• mod~lt! romportc : un moteur 5 cylin­

dre<. lmn• 1u' ~ 13tre roue•, pneus 8.llloos el tq111pe­mrnt ~ler1r111u• O•ko.

\ rhtr ' onr • 'br.- <lns t>'oir \'U la nouvelle

I.e 1ru~1 26 lhraer: c:onl r. nœ de li. ,\'""ri Dt1tu. Suitl: /,r rll/• •"<Ï'll ri Ir r(>J, pol1t1qoc dr la r "'"''·

v 1~mrd1 21 mo,...: ronl~rttl(,.. de \L P ~rre Oai·e. ~ujet: /., tlil4trc da111 la ll•rnc 1or ·!ti~ut. an•c projoc lions lumantuaos.

6 r•I ~r 1:1 fi q:.• n "'' t!t .rlir d •! u• nr!. .P.\LL COt;SI~. 52. ru. Calla11, BruieUes.

Four;:uol Fas ? i 2 U

Lu eonlér• ncu auronl lieu • l'l:nion Coloniale, rut de Sra..url, ~i, à ;, liewcs. [, s prix dt J'abonn,n1cn1 a la '"·e db lrois conf ttnc•• sont !"~ à iO, ~O tt 15 Ir.

La 1.,e11ic•n tJI OU\trtr 6 fo il3ison L.1u\\trlf~. SG, nit du T~~urrnbcfî, dr !l 1 :.! à 12 et d~ 2 1 ~ ~ 5 hrur~s, tou5 I'• joun, •au! I• dilr' <ht'! el jours de W .

Savon Bertin à la Crème de Lanoline

1 Le petit pot

f,.11, 1~ <Pl"\allle S0•!1Cr\UI, ce rua!Jn-ll, tD pei-gnanl sa blonde ~h,vtlure Jc,·a111 la gla<t dt ea cham­brtltc. 'lu'elle avait - ho:rrnr ! - d,.. pou<. Elle p-• chtz le r harrnacien du quarlr<r en alla ni !aire 506 em­p!•·lle- rie m~na~e tl le polard lur remil un pelil J")l em­pli d'un ongurn1 SOU\er~in: « Vou~ \"OU! lcoll~rcz la lttc ,;gou~usemrnl, avec celle pommodt. ovnn1 de vous cou­chrr cl, Ir lendrmain. vou6 n'aurrt '111'/I ~·oo~r la l~le:

L'UNION DOUANIÈRE

- Enuoyons les politiciens 11e faire lanlaire ! ... Jouons cartes sur table ...

Le tout eat de s'entendre

En ccrrtcl•onntllr., rfremment, k pre<iden( i11le1ro;;< un mdi• idu JIOU"'uiv1 pour miurrs à un a~enl.

« Enlm, avo•~ t que \OU' aH7 Irai lé ce r ·rré~•nlanl •k l'aulor< l~ de maqurrr~u ,

- l• l'l\ou~. ~lo1161tur le prêsidrnl; je lui ai di1 ~a ,omme j'aurai! ri l autre rh~.

- r~ S<>~l de:i propo• mrnrn:-c~ ! • .\loi.,, le pr~' nu, <rmpltm<"l : • J'- Ir ..,,. b rn, \fonsieur le prl... er.• : mais. , ncorr

11D.t !oa, je lui ~ d11 ça comme je \OU.S l'aun11 dit ••• ,.

11:1 • ront tous moi{..;. et 10111~11\rcint t'.11nnw rit'' tmÎ\ m11î~.'I) 1.a 'l<'l'\JhlC rnÎI le prt·• li lit f\dll r'•l •ln11s l'nrtnnir• de

r.;; t:ui<â11r. 01, Io• ..oir. q1JJnJ rll•• fut ~ 11' ·~u Id, o-ile !>OU~e,1 IOUI

"' roup 'lu·~ll<" :nait ouh'ïtl dt .. ·.·ri11l11p; r I~ 1t1ue1~~ Ell•• rlc.rrutl11 rapi cm1nl ,, la l·"5'n , pr l uu prfi l P'>I d~ns l'nrmoire. a lâ:on,, ,,1r, la1rr il<l lurni· rr el, re111ontéo dar~ •a d1an:brelt~. ,'c:gn 1 le th 1 n'r.: 'i~~~ur

I.e knd m>'n. an -1ut cllJ lil, tt.· rr i;na !3 ùlonel>. rlt••dure ri cl r nb.i k • \ h• '11, P'<, de< p~ut m:r~ cil• n'rn a • 1 i~~· '· 1 1 • ~: IU •Li-~nl

g1 o• oomme de! baimei..n~ de I~ ::;, rnl lean !

12i2 Pourquoi Fas?

Au1 cri~ qu-.ne poœ'•· \l ad,me accourut Il M llt U·

pliqu<r - \'oilà le peû1 pol. Yadame .•• (.'fiait de l'nlrait de \Îand•· <k> la lirme X .. (rétlo.inr 4

lm1rr}.

BE~JUll l'\ COI PnlE 5,._ ,,,,,.lnllt' - :t.,.. 19 an1.v tmM'lt.r

5~. P\tnue Lôu•••. Brutdlls (rorlr Lou1't) - Hl. 116.S.

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La gloire monnayable

t·un .• pic~ l'autre. toue les granrà hommes de la , 1~rr, s<>ut IOHl~s à de-. 1our "~" tn p. ovrnce. La Belg • que. da~ ce ~ns. t"l une pro• ince !rançaise et ell• · c'1nu •ucc~hemcnt Ir-. i: n aut I~ plu,,, rll~tres. E · d~m~ !< acd~n <>r. ko \Olf • ~ entendre. le! en:ourt et !(ur dire d ch~""' •l d"" ch<>s"'· Et repandre el! fI •1 m. Ou • mai• f,.. gtnèrau1 <>ni frni par se drrt q1,

tout cela liait f:.el et bien, nra • que tant d'rllusion nt 'ala t p • le momd·e i;rram de mil. f.'r,1 ainsi qu'un il~· n rai à la fort• ?J~rhoire ne rl'pond pl115 au1 demand • .,, d• ron!~rr11u~ que par lïn1rrmM1airP d'un ... diruns-nou• d'un hornum 7 - d1...,ns <impkmPnl d'un eecrélaire. rt ri demandr prtci•em•nt un ~rain d• mil. un a .. ,, jolr i;rain de mil, c·~1-a-dire d ~1 mille !ranc~. rour ft' fairt \Or • t entend:!' . .\c~•·Jl~IT1"nl, If' •('Cr.taire dcclort que le ,lor1eu1 l!~ral e•t h•ur\'1a d• pror>t:!r l'am1li~ ' n• tn l'-ljlÏqut.

84 ana d'expérience

1011 ,.. q••• mu~ ,,rrr• ·to1nmr <cManhe la llai"On VM1rl•rh1•I• nptiquo de pri'ci~1on, 68. r. de la M0111a.11ne

Sr. luntltfl, tr• iume//n.

Le livre de la semaine :

Je uoas ai d~sirh un soir

l>an.s 1 " , n b 1 lt 1 ·e "• dtn1<11n. Rn~ 8o)l•5\e \lent d~ publ cr , !-OU$'"' titre. un peht n>-1n.in qui "'t un <hel·<fll'UHt ri.- ,i:râC<! tt d'émolK>n di'· rel·. ln '!!'and homm• de pro\lnce. journ:alrste et bel pnt 1 i:1111111•h', a ci<illr, ~an• <~n douter. dans le tcn·

1h1• •ll'Ur d'une trop a1malolc 1 rnnit tk' ln mémc pro\incc unr r• •s1M1 irrë•is:iblr. Il l'a~p"'nd trop tard, quan1I l'a1m '.!Ir r mme r.ot dl>ja mll:e tl que lu•-méll'l>', mant. 1 d p é l'!::t dt, conqu~•r.s. \canmo1ns, l'a,-rn qu'ellr ' i 11 un "''" rJ.. ' l!r;;iature le to11<h. au point qu'il

131~ ulle• à son doqu nec et qu'il lur raconte qu·11 1 a d sir,.., un ~'"· Fatak pit l ~ui • ntrnln• une ~e df catasJrnpht~ et qui r.n1t par un mturlre mystèrieus; le zrand homme dt prov ""' d1~parall rt>mme ..an compa· triol• P•ul-lnui• Coun ""· r.-11• drama11qur h'.tt>ire t!!I raMnl•.,. ""c in!1niment rle rl~lir~I•~• •I de l'OMi~t~; c'œl ilu mril!eur B"' l••tt.

Nos rois au Conaio

Ver$ 1805. un journal belge lit rtm~rqucr qw, du ") mPnt t>li le Congo dc,ait lire annne à la Bdg1q11c, •i~~e du gou,ernemcnt, ~tant rlonnéc la supèrior1té lcrr tor1nle du Con20. de<ail ~t"' â Lêopold\'ille ou a llata

-et non a Bruul~. On parla, :1 cet~ époqll", d'u •o,a;e d• Léopoltl li au Congo, lllut commt on annon aujourd'hui le départ d',\lbr11 !" pour nt>tre colonie.

Et nou< ent•ndon• tnro•c le to!t>nel Tht! r•pondre, br.n \\3ll<>n lib>oi<. ;\ un hnul per•t>~ll.l:tr qui lui dtma dait ce qu• Leopold Il allait !aire au Congo:

- r s"n ~a~i ... Ent•ndei : • Il va ,·e«aH·r. il \'n <'•rrlinialer

Panhard-Levassor

La morqu .. ~ui n~ '"1 •li•r11I• p3$. -~grnct Ghttrolr: 1., rue d•, !fo911tr31, Bruztll"

A NOS l.tECTf URS Le coût de lïmprc&;1on ·~ notr< jvurnal a S<ll. 1J,,

rnonl• depuis qurnu rnn.<: 11· prit du pnpier a augmtn Jrpuis le milieu de 1r2s. clr prh de M p. c.: la rost et le chemin de Ier ont maj1>r~ l•u~ tari~ dans la pr portion que l'on sa.t.

!l'autre part. notrr journal a \11 son !ormat rran•I pro:!'f.ssi.rment d• 16 il ;?O pagre. pui< a 2~ ra~""• nou, avons diJ finir (>ar llf<":' •ur :!S pa;:,--;.

~. ' Irat< de clirhl• ont iripl• M;mi• cicq aM v ~ullal in•l"rl · c '••t ~u·~ pari 1r do , .. jan'1

i""'"hain, le pr11 du " ·rr. ·n ,.,. rort~ ~ fr. o.~., !10 C!;~Tl'll:S

~ prix d'abonn•nwnt montent r•rallèlem-nt. l'oiri l<'S OOU\'CDUt nri~:

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l'n an :\R. -ill.-

Louia Le Ca.rdonnel. poète

ô mois 3 uwi 1!1.50 10.­

':!:l.7)0

Il arri\e tout de n,foit> qut qu• foi., qu• I« 1-111 hll ra1ru <ont b'en donn,~. I~ !'rit '-''"rr' d~ c-tll» ;1n11 a tt~ tmu.-er, d•M l'rnju5t,. nubli ni1 il 1·;.,r•tail, un f'<'~I "qui'. 1.ouis l.e Cardonnrl.

Loui. Le Cardonntl. n111 l'l:qll.t'nta jadis l~s ralrJ litt r.1m·.• du •! mbolism<>. prit au •ni•u' !a petit~ !1hr• m! ique ~ui •'empara d• qu~:IJu" hllérar,.ur$ dt ce trmr• 1 •t fir pr.!tre. \la ·• •a conHr• on !111 •an• klat •I d'un modt«1e lt>ut• cbrtlrcn~. ll•rui,, il a •lt' cure de ram p2~nt. aumVl!irr 'an• .,~ C'l H'<nt de f~·r•nrt. lnd .IT rrnt aut balaillrs litttrJ1rr. comme a 11 uin.. ~Joire. \"Îvait Un< œst>iM, bfUl'\'U• de di•t $l ~•e, d'as'l<t •,.. pauvr~ et <k cél~b~r 11 qloire <k D'.ru et la aplr Mur rlM rho•es rn ver8 adm•rohlt"'. qui rnrois.n1tnr loin en loin rlang d~s rr.-uM d •cr~t<"'. Le Pri1 l.o•ser 1, r••~I• •1nnn ao irrnnrl puhlir. tlu moins au puhlic qui l·t I" vrr< rt no~ \OUI de cnnnollr• un rhorn-~n1 recueil fit runt d l'ottlrt 1111rort, qui parai! au Jln-rnt.

•1mfl" .. • l'a!kntron du mon,i,. corn"· 0 ·mnon11blt. la ll'tne1lleua1 machint caint, d, "'' tl' A11avl.

• 1 ,1rnL ,~,n r• 1.m4ri-

Un beau tour

Vme I• baronnt rtço t. DJris '" '"''"" saloM. on .,. r.ca ,se. on ttou!!e, on danse, or. fun<t, on parle, brrl on 1'.1n ... sc- ffrmr.

»"' ro c1 Il. Durand qui virnl d'l!re 1n11on "· Com mrnl \OU! ne C~llhJltS z pat Y. UurJ10J 1 c· •• 1 l'hon.m• du ~ lr~t.,,. ÎlJI. ~.>ns lu • p~~ unr rfurr1011 n·r~I Dt!r~.aMr

Conr•ur i<m•r1lt, fin Jong:eur. conn11ua111 lou• les 1011r• ~ prr~11c!i1tllat 11 un r •, 1'4. 111, m ' 11 •: '""' 1 forme >itanle du bon bo·>rgeo 1 fdu1ut par rlr1 parent• richt5. ma 1 rons r\2!" IDUJO 1r• u t"1 hnnu". 1:a1. cp rit11d ri,he. usu beJ•J pour fa rt e•pfrrr un maria;• 1\ '"'·'~' u>. brd, l"homm• du JOur.

r~·•I fe rnonolt l"rnlourt. On lui dtmand• d• lairt un Ill r dt pr.•lidig lat.on. On sait d'a•ance quïl .a •e• cu:s~r.

- Mn's je n"en connait aucun 1 - Mai• st ! - - Celui que vous anz fait drrni~rement che1 lt corn·

' '"'" 1 ... - Monsieur Durand. •o-rz "~nhl ! s- •~niV .-t •nlo<fa·t•. Il rnn.,·111. - Q1J'on m'afJJIOrtf un mort 1-r. L" 1al.r de rhnmhrr ,. pr~rit•il• •. - Ron . ma1n1rn,,n1. il mt fout un• belle montre

C'r•r ~o lJn rollier tir perlrs Q11rlq•IO'• hai:ur• Lrs objets ~ont plor~• au rond du mnrlitt. Pui~. soi·

gnernr;1•" ni 11 s n•r·1 rn 11 ·\n·r ,1 '""' piler. - · &foi•. q11r fo11rs-vou•. mon Oiru !

\Ion roll tr ! \la mnnlrr ! Mr•~nmr~ rr llrc•irur•. il fo111 un •'lrnro •h•nl11

mur la '~"'"'• dr mnn rrlit tour. Soin !nns crn1ntr. je r~pr••rl• rir !nul.

Ou sr 1nit : 1,. 1,;;""'- au fond nu mortirr, "" se>nl p: u"' qu"un am:t" ''"' fr,rf""r.

T"u' A rn··r. 't . f\11'""'"" p\11. -· ''"' ~·un rh:rn ! Jt nt me rapptllr plus rommrnl

ça continue ! !

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011 •O•Ptl ~. •r1" ~·un (/.ohritr ~an• 14 •1u1•: ur ecrr llro.Jlm.t' rian1" 011 B ·q1u I: un b ul:uia,• h:1· J!.' dt" Ch1Ju.ri :p1in, t1 t!.- r11u11tu·~ ,\:Jf.t r p;i11'r 11 NI !'U1\ 1 •un homm p.orlanl Ir Grirg rl ~rmhlat•I n•o1t prrilu ~' So1nl-S•rn•: il mnrrhr •n •r ~·lnrftnnnnl.

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- Tu lfohlrr d'un hommr bizar., A mrllrr ,ÇcJrubtr. Uri<' ral•lt lui nycnl rnlrv~ ' "" rhP~rau. il hu 1111 do

~ mrltrr eu ''>',.1f. ror il lnit ~i n. , thQt·rn. Tour à '""fi· l'irr"<'r»n"hlr l'trtf1. li '"'"Ml tir J><'"~rt •a /lnrh. - Cda r.t Fa•rt, d1t-1I; Hnrn un ir•t~•· , JC !J

chrrrh• . JI •Il ••·ait .~""'''· dt •a p•1>mr"adt. !>"6..,0lion. il Bu•t Jan. ta culotw

1243

Un 11'agnrr lui !mail mal La bogu, tl le voleur rurent ·lruu•u- : c• 1kru:~1 rdusa ck ~ re<:onnallre coupable. - La llassin1 ! Put" •oulagrs. fü S1 hubtr dans un bon petit restau­

rt.1n ~.

(\. O. L. R. : \ous jurons qu;, ce n'est p .. noua qui Jvons lr<i\J\~ loul ta ! )

Un comble! le comble dea comb1es!I

- \!u•I ~I l• coo1~le du manq~ dt 1.1,ot pour UD p1H11•~t ?

- ? ? ?. .. - Jou~r >ur un Han let. .. et ne pa• ., foire applaudir 1 Agnur •.rclul!rt d< The ,Lo/mti <; • <tuL. /abncanl6 du

• /'1ar:ula • : /·/ t 1n~ 11.t \LET. 212. ,,u R~~alt, 8ruzt//t1.

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Aforulilt : Marc, l::scaul.

1'/'l Resle sage en poi• lointain, Il 1c11cnt du sol alriruiu Bien exempl Je Iou le sou1llu rt.

Mora/llt: Chalux. demeure cha!te cl pur (el .

•11 (A Rn1I 8r1nl/uor1. irnmnrrruibltrn<tlf)

Ay:u11 four n•111rrac·" ui:t rh~He. f.ranol s•a11 le p'111 roi n."~:

ltJ:~. un JOur. il f, 111 qu'on Il" et\ re, El le nourri<<on fo 1 un nrz !

J;~ra/1/t;

Il n·y a p!u• olr pi•. 11rné ! 1? 1

La \tonlt"'•:rn. on::ueil ins;::!n<\ ~ fil p.'int'rr rn L •d~. et marq 1 r au-dt«ou• :

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\1011s1r11r arrna I• lendrmain. enlr~ quatre plonchca. 1u 1lon11rile ronjuF·"· lln1lame venail d'apprendre pa1 (a\"O<OI qur le l'~r111lo-Ml11n1 avait foil un tcslnm<'nl en i:i faHur. f,a h ~re dnns laqurl~ mon•irur a,·air lait sa ,, nfr~e ~ i,1 mnr•nn rommunr ~fait unr b'ère truqu<'e . t on•itur n'i prnlorl ~"" un mol dt ce qui se raronlail 1 •01.r .i,. lui. Il rnfrorl11 rlonr. du lonrl de r<'llt b1è e. Io reu'r jo,·ru•e Mrror hrr le corne! du fèlrphnne • I an non ter à un ,., ""' ami•, • lui. la nouvelle de sa mort el icllo de rh nia;:•.

C, !a rn t rmr• plutôf rÎ!!oke ... l.'n"11 , ni à la ma1<-0n mortuaire. embrasq corieu"C'­

., nt mJ.!arre ,., \Onf le erreur 1 - quan•l Karl p .. :crsen q1 11 "" 1n::ur a~c, '· ~ rclc'I tur ~n a~anl. r~cu--c1lan1 d' n rt• 1 .... morh !

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l.n poète ~rMurê inconnu a produrl cu \tl&Hs au sujet •lu métro qu 11 est qu s ion d ir,.•all-r a 8ru1•l.e., au• 1 N tl place de la j.,nclron \onl-\l rd1 :

On noua men.a"• d'ua moro; Mau ne: n.ouJ tft1•)0~• pu trop

~e t.<11 fa 1 ru de bile, Emile!

Ne \"3 pat ~ lh•p;1t•r, Oa.car, c~r

St, pour 1'1t.ul() Moon.ait h:eJit1, n • laUu au moin4 aix an,, 0 faudra et-nt fou autant,

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Bouquet de pensée1

C<'S qudquca perl6tes • prolon~ • de llig11d Z3mBcoh -<0nl ''rain~nt Ires amusnnlcs :

- LA pfcbe n·e&.t. na1ment tout à lait nmu&'\n~ que pour le bout hon, qu1 pt'Ul ..,.rcevo1r l la fo11 la t4'4 du pêçhou.r et celle du. poiûOn

- Il n·y a ne.n d'ennuyeoz eomme d'hrt pl•°'· au tbülre, dt•ant qof'1qu"u.o ~QJ a d;jl n la p1Nif, Il q•• ••ul qu'oo f•

'""" .. - l1 1 a d• ge.n.t qui ne U>uuent qo'ao thfAtre - ~ .. ~ . ........ , .. 00"""4 le aJtu .. ~

'Curquol Fas? 1245

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Dtu1 dffiait. ont dt la boxe: c DtuJ' fac• . et. a.ne pilr 1 ,

b1<n : • Uo pom1 1 c e1t tout • • Lat plue Jol °" v1l1fg-Mu1u nt 1~•1•tnt d·mner qnt ce

'tllta ont Il ue laut p.aa leur demand•r davanta)i;t On pour &. paroourir pende.nt tcnl ans. el mtrne plu1, lt 1 lLOral, PM 1ll•r d'tdtlV1otl1, dt mi.me qut l'on pourra;\ uplortr le ni. 0..ane JU•qut da.na Ml moir.dr• crtn-·~ .. .Dl ' roaTer c .... ett••

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lt : on y m.1irtlf' una parl"'r; l mNurf' q,ot l'on ~ rappro rlu cc1.trr, on mart;ro de m'lir" t'n mn1r1' et. l'on pa.r'e

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?? 1 -- fi rani! que •o•~ avet dil que ma le-mm• reuemblait mnn rh.-n? -0111. - l':h l11rn ! rnlcw1 voire vcsle : """' Jllons n·ttlcr cela : '" N•• un i~noh'c ind:1 it!u cl je \"OUS dHr11d' de d.re Ju al de mon rhirn.

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? ?? El.LF,. Tou' Ir• homm ~sont tir• t1ran~. n'r!t-ce po~? f.l I. llni•, ma rh/orc nm ·r, si 111 porm•t<, j'cBtime • [ LJ.E. - (1,11 ou nnn. I•~ hommt• •nnt·il• d.- tyran• 1 1.11. - o.,;.

SPIDOLEINE f.'hu1I 1dt31~ l' our Auton10~1le.

ur '" cit:tare

E'11u1t Ju bulletin de la l.igut Sui1<t toncrt ltt Prohi­i1rn"x Lt• r1:a,... 11c>nl com.m• lea bomD\m • • tuai d fficilt11 l t.ttiter • ln :._ l ltlt Mott

1A1' r1gu-. •~11t ("( mmt te. 9flG:n : il' 1"fY• ?O"-"' ell pu f:l m urent r"or h r.l.I

Le.- ("t;a.rc-• '°"'" cu1AM.o• a JC...net 6.Uee : il,, tmllCJl\ pvtiU LM

LN b.C'mmoa jagerit des cig'rta 11; plupan do tempe comme 1 i Jl:}CUt do ( m.mc:. : d·apr~ l'utinf'Ur; llf" ti.D Wbt.C a l

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apri ln 1\'oir fait coup~r.

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MODES CE'lTO Y Tou les m .. i1es de r1r1s ~'nt "ro•h Hf le dcrrittt

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c Le!l #bun11t•111rnl" au' )011r n1uJ el publlt:u l lOn!I. , ht•la:t""• rr:1ntn;, t l an:t:lni' •111111 rr~u, à I" \ tt t~ 1'' CE , Il t:C'll P.\\ t:. '"· rur clu 1'1•r•tl. llrn<rll•'- •

PRÉCOCITé

J. CD '•mpruaa d. • OUI du-. qo• oet oer\le\l.A IOM p&NI • 11 '° ' nr-t tl n"ont pru 11ucune a.ançt1011 oont.rt d• œuvrw n• ~u•tnt ol'fenaer la plua ausc.cpt.iblt morale demeu.rie ui

Mau, \Oul Je roémr, la ta.Jomn1e •• trop T'l\4 eoa M.M&1 m'ont d~·11ande a • oit un «rta.:n tab uo rtprt'Mnt.&nt bornait plat"é entre deu.a femmu t:t qui Ce t..aL'.nu n'a J• u 1t.6 qç.e d~rta a;;: nat.an d'\.ln u 111a11d qoe!que p.o Ooul et J• t.eri1 l •Olrt d 1po1:t on la phct.o d"un• t.o1lt • peut itre au•1 de poinl de d#part 4 cdtt legendt

J• \'OUI •D prit, Mon11tur, le ' Pourquoi Pas! • o'in •1tndr1 t. •I pu pour ,..,.ttrr rn gardt lt pubhc C'ODtr~ l'h7 cria·• n1.a1ad1 de œruu2• ~:u et pour dHtndr1 la 1. dt l'art.Il•?

~fa) Gt 1'agi.sa.a..t qua dt moi, je mt ptdt"~• bit.a d'ia. ter. cia • tn ce CM-a. tpru l"üt<>u-e du • Totnt•11 • dt M~r tC. lt • 1-""auno mordu • , c'est toutt: la, eant4 mor-al1 det gt011 qui ut mflnarff

Veu1llu c:roue, M. .... 1eur1, l t.ouM la 1mdr1l4: de P64J:lre Mamboar.

Q ,.on oime ou qu'on n'aimt p:I.! la pc1 ·e dt lia bour. 1..:u 1mpo1 k: 11 • pl !31k1w·n1 ra on. S ron Mra

l 1e I" 'q11~1 chaqur loi• qu'un art •le eipo•e un nu dt•~~r Mt A qll<'lqut• nc1llM r1llra exc11~e1, Oi<u 1011 ou I' t'l>rrt'h·ra. ~~ mag1!tru15 dt' L1~~e. en crllt occurrcn nnt montrl dt 1-. ~prit ~at< •sr.il ~itn etrta1n que ~

- M'maD, J'ai cli&Ac4 d o ma.itJ-case m

L'affaire Mambour ou la vague de pudeur

Y•moour <•I n ~·uur unllt 1 • •i> qui. romt•JUI l\e-c 11 llad11rnu ....... 1 a :é se pt1frtlÎl11111cr tlan< son a11. non .,..,~ a Honll'. mai~ au <.:011go. Il l a dt~ gl·n~ qui d1" 11 •1u 11 a 1lu g• .... !oui rommt l'ermek<. C"t~I ben P""!•1b!c. me1., nou:c. comprt1ttJr' qu,. r,. ~"'nrt p:aro1~""· a 'l"clqu,.-uns. , .. ,., r~l..,rb:!ll. 1.c's nh r<< s >rrt<.> dr \L \J:unbour 0111 ;::1 u~rat 11 ~ 111 1 a11 if t\:re rou~lrutlu tn hèlou arna•: • r<1 l'otll»ura le ~uM •lu 1our.

llJn1bo111 t!I. •l~n< tnu, 1, .. ro,, un arti~te inti•res~anl. 1lonl l'n•u-rt a Mlar~ l'at1t1•liou ~'"' nmo•~ur~ M lt.·I~ QU< tt dr l"Nr:u1g'"· t.'1· .. t et qui 1111 1' lu p:ioe. n ol 1l"tnncm1s. C•u•<• >trnn•nl d• <li,r;l•r. li 1, ~g•. c une allAirt Yam- 1 "'1nr ». 'J!lt ta ilt'•n .- nn ., ra('ontC'. non !~n~ humour. , rlAo• la 1 11-r ''""ni• :

ChH d1r1Plt..tur, Unt fois d'J• \·ou.; •"l"l bu~n •oulo 1nthesstr lu ltcleun

d• • Po:1rqu<J,1 Pu' • an h1s•o1rt' df' \lamll()ur 1 li m"tn arr 'tt' a11J0&;&rd"hu ont b PP dhacrbihlt Ço1(1 an 1

f;: tt mf' C'ODN'tr.;arit 'l'D• • t"._~I d&M la • GJ.ttttt dt L #g,. •, tn ro tfo 12 d• o mois

t !\olrt rhr'OllfQU(' t hf' ~ndr& r11.1 romplf' dt l°fJpollltOfl

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•rtlrul l-rr-~ .. t rt.'f'nt f'I t. ~"t dm r~pttt qi:e l'art·n•. amrrtt ,..,.~t hnmn f', dn t • C't" tl:lhl t'

• l.or.,'\u 1 t rr!flttt r111 dH!l11t, rhci-1 J0 1nvtll"t, il ut nor 'Ill f'llif! 1°1n\' t~ •'al •f•f'nne

• Pour notr" p~rt. nt)ta noa-. d t1ntlrt•\.trOD! tonJOUrt dn. ib1h•t'n"' f'ID' ,.,,.,.,. ttnt ph1.1 l"a1 1ent.·on dt> parqt:cl q1Jt ttllr

Jrt &'T!ltttJU d"art t

A b "a tt d,. r•t art (''f' ~· <llX_\ 'la prt-'!l()!'I dt la ~pa.~f' d• d tt1p-e~•n1 f!tJ• •'f'n 9.'t "1:",. J'ai r~ httr 11 •,J lt dt C'U '1t"!or; f'l1!"'3 da r ~ tl 'lt'$s f'Qt!l • f...-. fi' rttJr d [loi. "'""~1 ~uhuit it .,J_. J ·.it• u· .,.,,.,or ,.-t rn Krf'ffn oot i1' t. n"f' ''""ctnt• &\l • Cercle dM Bou.z At&. • , oô J 'UpOlt 1:tutU1meaL.

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Souscription pour le fùorort 1r 2.1~0

Reçu 6 f 1'anœ du litut.tnant la.litu, 1vtc I• lé!it~nde • P q 1t 1 .. c:um1tradt· Ocht pr,·tnt.e aus cent mille l•cuu,... • Po\l"lUOI Pu? • le ltir:tndœire ~t. •Ym~.ath1qo~ c;Ap1tAin• t ment br'!\ndiuant d·un,. oui" o .. r c tt1n~~!lfl' • et de l'ao a.nt pa.re de • pt'l.1~ JAmb:~rH • •

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A la caserne des guide..

On nou afin m• - et 11ou1 a\on• peine a le croire -qua la cil6erne de. gu1J,,, le cachot u\~t autre 11u'un• ça\c ru"~lantr d l1111111d11t• ou le- hommes sont tnlcrmh en co•lnnl<' de to Ir, ~Mis l.1 morndre capo~ ou touvcr· turc pour ra.•!Cr la nu11, ol'oil piusieurs cas constat!!• M b1.,.n1 hoir, •oirr m~me de puc11n1onie.

On nouo dot aussi 'l'lC, acludlt•~nl, au premier gu•dcs. le fl(lolon P~tr1a l romp1 end v111gt-d1 ux recrues sur le. quJ: ante quo le compo•oi•nt, 11 ! o quclqu<s ecmaonM. le !Uq•lu• de 1'ellr1111 tlaot 6 l'hùptt~I. blrssé, ce quo trndr ;a t • fotrc ailmctlrc ~ue certains l>-011,,.ollicicre con fonJ.,,1 •ou-rnt ~n.-rL-1e a1cr brulai te.

s, Il for1hon1me nllaot donr visi1rr. a l'imrrov~le, l'u1 oie CM jour~. ~ < r>rhn:• d'Elterbttk ? ...

En Allemaane occupée

S. 0

1'00 • ennuie rarfo;o, dans C<rt:unes pl'l•tes nlk-a dt Rht ~an oc, 11 ao me ''"'" que l't·sprit de nos olhcitr• •ut•· ploie, de l>ç~n lori pl•i•anle, au> .d•Slraellon• dont sout pro'!'<! le• h.1b11111o, de- lh ~âlr<!«, cinéma• et aut.•s 1 eu' Je d11rrl1>'fmrnl•.

o. rmèremcnt, u11 de 110' ~! mpalbiqu~s « loubobs 11, in· >talle dan• un de~ p:u, pa181bl~ quartkr• de la voile de )t .... ;.m.f\hron, pour hot• :\ ~<~ clirnls la longue 8llCnle quo foot mou1 "" .. 11arha1t sur le seu 1 d" sa pori.., au boulon ~ •o •nnnrllr. une carte de \1!11't, sur laquelle il 3\3•1 1-<:rot : /,11 1nMtltt '" march• plus ; /"oppn. 1wr Io po<I~.

Le lendema·n - ' 1l ... 1oi la lare. 6 :llu<e des scirncl\< m-:d:1" ,, ~ - c .., chrnts. 51upcfa, c. lr~attnl. si.:r la cartf'. f'l=nrll"n ain•o moJ1li<'<' rar une maon sacriltgc et on· ~n

nr•rtHR ~ .. f.o 1tr•on1r nt marrhe pfos

Quelque• mots prononcéa à l'E. S. L R.

A r&. S. L. R. /. Le lrr sersrnl Cr ... t • Lrs «nlinrllrs. rn rampai:ne. doh·ent arro'lcr lou•

les c:> ïs el Ica mihl~iru Bt faisant pas partie de f'ar. mée ! •

Le lieuttnan1 R • : • f.carlrr Ir• p td~ en 'qume, un peu moin• ouvrrll

que l'ang'e droit! • Du m~mt. '" •oMat• ftJnt t 111 pas et de•ant reclthcr

muluellen•rnl leur po•ihoo : _ • fallca •ot rwar'iuea ••• to ailtace 1 l

Un ~rgt"nt: . • • Pour l•ire s1len~. on se tait. • Dans le M~nud d• oStl•• IJ/11• "' 1t 1n/ontuir. oar Ritter,

i propos de la lormalion des tranrh~u (pai.:e ~G3): • Si le 1emps le permet el s• la •1lu•IÎ011 l'exige. on

deHa approfondir la fou tir Ir• lell'l" '''1ant au ren­forcement des parapets cl à la crl!ataon d'un paradis! •

,( fE. S. L. R. S. Ad. Un sous-of!ic.er :

7?7

" On ruppelle qu'il e~I dHcndu de metlre des gants m peau d'oll:cocr ou de ~ous-oltiner. n

Un autre: • Il faut montrer que vous avct du $ang dans les

ncrli. • f:nrore: . . • Ce 1oir. pour saluer. <ous prendret le pa> ordooaire

q ·'on \OUS apprendra dema n ! • ~ sergent l ... à l'a51pel du mal.n : 1 Le premier QUÎ ne .rra ras d3M •On pantalon quand

i'•rr.1r. ~ le l .. dedans. • (!n lien!eMnl : • En rampagne, la ration de grai•se e>l de 40 gram­

mes, pnr~ qlll! c'e~l de I~ S• a1•s1 ! •

Histoire de 1914.

On est au début du mois d~ novembre 19 1' el le Boche M trou-. 1ou1ou1~ loon de l'an~. L. llo.111· • b. "'"' de tous $CS hommes. tkaucoup rl'hommcs 1alidrs ont ete ré­lorm~• pour des ra osons plus ou mo.ns Serit ui > el le plus •ou1<•nt moins sêrieu<es. IA' got11ern•mtnl bo hc a 1Jh,dè 1ii< rCl'O r lous ces réformr~. La •rtne rtprr<cnle le c .. honet du mMecin-major : la porte s'ouvre el un prlll bon­homme •e ifü•e dans le cabinet.

.\h ! s'enie le mèd• cin, '"'" •cnet pour la re1 JJIOD 1 Ile qun1 <.OUfü,.?-\OUS ?

- \lonsieur le docleur, je 1ui• mior"· - ïou• ét•'f' m)ope ! C.qmm<'nl 1011' Ile, rnyope., vou~ !

\'ous n'a\'ct pas honte? \'ous 1rot11n ça un mohf ~our M pa~ r('n1vln ,·os ,r,_..,-oir :- rlr h1u Jh1ll wh• ·r ( ·e~1 scn11Ja­leux. Monsieur. c'est honteu•! Mon<ir11r r-t 111yope ... P3r CArmplr! \'ous o~norn donc. malh,•u1~n•. que 10111 le monde !'ijl myope? ~101 je s11is miorr. lonl l'e1nt-ma101 e&t m>op•', l'empereur lui-mfo1e e<l m)opc! Vous ll"t dana lts tranrhtes ! fi~z. et plu~ •ik 11w ça !

L<• pi>hl bonhomme porto. un dru• ;m• vi<iteur sur-1 '.ni. Celui-< i a de f'aslhme.

• Comme111. 1ou< a\~z de f'ostbrnc? Q ;'e,:-ce que c'est ça. l".1"hm"? l,'a,lhme ! A·l·on janoa ' 1u ! Qurl bou;:~ 1 S aurlolrux. lfon, cuo. ~candal•u• ! \'ou• a1u du touret, '""' ! Toul le monde a de f'o•tbnor, J'ai dr l'a«hme. l'Et<l-l'ajor a de f'nslbmc. l'•n pcr<ur a •le f'o<!hn·e. \'otre place c~l dons '" lronrh't•. ~l"n• eur. Je rfü don< Il'! lrand1 .. ·• ! ~· ... -moi le camp ! 11

l!n troisi~me client arri\'e. C'est un petit juif, un tout petit juil.

« Eh bien ! vous. qn'rsl-re <JUC 1·011• >rnor m• rh•nter T lui drmnndo le lou bib.

- \h ! \lncs·cu le doete11r. die wis un r " loqué 1 \ 011~ "1":- un rcu tonur. \ u .. ! l i 'll"l1 w t.;I un riru

loq"'' ! El <'0

P•I pour rrl• •1u• lfon< eo·r iu~" lt prnrM de 4it ~ou~lr:tirt à ~c~5 1IN·o1r-:i; n.11 nn:t11"< ! ? r·,."' rhi1 ! Cesl trh rhir ! Snli<?o11~s ! las dr <0li~•11•l• ! que 1011• ~·es 1 \'ouc n~ ro··cic-.,.1 pa" \'ou~ ii::noru 1fo11r ttur tout lt mon.tr ec.t ri'u.i: nu moin~ 'nttu ... ~ ''ni. Î"' C" ,:c ••n r-1• to-­<)Uf, !nul f'E!at-llajor _.t 1n peu tnqu~. f'errp . ·ir lui-

,,...,.,,""'' ' c ,. h• u ! ... btu ! ... brou ... b1ou ..... .i.lt.-'IOUl-CD f lUfOl'm• 1

f!48

- fXll< t>l do oC Ctl!r hcllllft Jt Mule 1112'1/Ut qui, c;,ant ropporU tl'un to a~r qu'rlit {il, <11 I"' lrt 1lr.-. 111tr , cl :>tutLholm. un mantrau 1/r fourrurt1 qui fJ1I Io•· cluT rouit• rri d mrs du dancing. mtrn• Il un 1ourn11lutt bapti·rr cr man•tau. Ll Shl \CS {J'l \E \l IT ll'l.TI:'

- Q,., lit ,.,l dune crier darnr dt la mrr/lrurt $0ri Il 6ruzrllu11t qui, GJ1lnt 11 '/'ut la nm111nn1111nr, tl nt lOU·

lant pa1 abtl11[urr, do11M des " f1rt o' rlork • qur (on a oppdtl: us 7111 s 0 I ~ q11 r.J/ WT/\ '

- Qu~ll~ rsl rl ·c rtllt rmployit d'un grand ci11fm4 q111, p11nçon'lDnl fr1 tldct1 d (cnLrfc dti {oulc~•ls. O lll J Mmmrr: N/U/ f'()J\(O\ ?

- Q:Jtllt t 1 donc urtc maison brr:rt/loisc ou 1e rt-11111.utnl, une / 11 p:Jr 1tma ne. fr1 doyrnnu dt 11olrc mouumrn1 fimi11111, t1 que ro:i appcU•. pour celle rai-1on; I.E: SHil\ I ES f.ffl,SfES ?

- Qutl <>I t!nnc cr jrunr ~rtlll!drr brurcl/011 qui, a[[utant drt p1 li'"''""' hrllra'ru r1 n'•yant rrprndan1 jamais lt111 unot l•a•rs qui r1illrnr trinrtlf, , • .,, rn­tendu dirtommrr: 1 \ l/Oll'lf' DF. LFTT/ll'S DE rll \\Cf: 1

- Q11• 1 r•l donc u prof1·$sl'l;r dt mrithbr.o!iqurs np· partrnanr nu ro• p• rMrignnnt biurrllni1 qui, 11yn1 t f11.i un 1111 rtnl h1rhnr d ,,rn: n.r dr1 hnobtmrn.ta l•ltU hb pttr 1r• ro/IJ9ur1 rt tir rrur IJu'it. d~sirrrmr111 o/1trnir. n fil 1UrMmmi: f'tRF F.Ql ATIO\ ors rn llTEJIF'\TS •

- Quel c•l donr rr1 amateur dt irv r!'i hLt1 qui, Je prrftrtrtrr dtbaut au rt1 dr1 jovrv.ri dont 1/ IV.li la par­lit, a ttl 1urn mmi. dar11 fr tafl du crnlrr ou tri ma· lll"tlr1 '' ra 1rml /nu J)our ir lit,,,. d ln1r l'U •1lrr.r.r(UZ t t comp/ qut: LE fi/ 1 \DF.lll R DE: l'ECH/Qllfr. 1

- Q id t$1 donc u Cl'' qur arrrhr ri rhagnn qui, chrrrhant nnrtout 1~ r 11/t btlt. s'n1 tntmJu dtnommrr. 1 E /'Til 1 flF,Ç ITITS >

- Q•scll~ ol ,f,,nc t• w d1me de la houle noblrur ra­tholiqvr qui, /r·op r11t/1M il rrngrrt"r Ir< n 1rii. qu'rl/r fait, t'r•t rntrndu dütrnrr Ir nnm dr \OTJ!F.-D IJ/[ nr eornnrs?

- Qutl est donr u rta"•rur dt •t11dio tI. T. S. r. qui. tnu/frnnt h fo ti/r, a Ill sobriq•lftt; IF. ~PF:AlifR H rn•r. r.r: ·~ •

1 •· / nomrntr dans Ir ~omnc:;t : LA C. ILLE Sl I

Qwd ~

G-e. . . ? ,, - Quel est donc u mor, hcnJ ,fr tin tris connu à

lzrllu. particu.li~rcmrnt rost:1'r t! 1i rtd•)V'able par 1a /a­c•mdt mi,.,dionale qu'on l'a ••rnnmmi: LC C/LLE:TTE: fit: 1 HICOI \E ?

- Qudk esl donc celle habitutt dr1 danc1ngt, a" nt: rn d</ dt /o, qui r'gnc 111 mailrflst tl """ 1a1u par· tagr, dans la colcmit dtr fllarcls itraflilt•. 1•n 1ortt qu'on ra IUntommtt : POULE·DE..Jl'/F 1

- Quel ('jl( donc ce profustur dt chant loujour1 tra­ra•llt par la crainlt d bo11nairt dt /roi'<cr '" inlwlocu­ltvr1, qut l'on a afptl<, pour cr, un f\TRF.f'Rf\ELR OF J/f.\ tCUIEiTS ?

- Qocl t<l donc et grtu joumoli•lt a qui 1011 hobitud, d émtl/ t dt malsia11/1 bor6'rygmrs. il l'h<vrt J, Ill di­!Jtlllo~. a talu lt tobnq1'tt dt: L.I PRf.S~E lillTITll'E ~

- Quel r>l donc ct coureur ptdt1lu qai. po1.,Tu tl'un fllrt de romtt. s'est tnl'lufu 1obnqvttrr: LE L'OJITE tOlR Il T ~

- Quel e<l donc cc rir<tirc if'1111 dr no, /oubourgs les plu• 7oopulrur. beau comme un ilu11 poun ri qui. doué 1/ unr forer athlttiqu,. rt prat1qunn1 tn11s /,., •rm·ts ptrn11.< A ''" 1•r~trr. a Ili 1urnommt par''' 011n1/lr•: U:: GIRO\ D nr. l.'F.r.LISE 1

- Qu~I r~I don.c cc paroî1sitn rhault, grimaçant. 1ouf­Trttcuz, pédrmt tl pliu îgnoranl qur toutr1 lr1 rarpu dr Trrrunrn n de fnr.ttt'nrblrau. q"t l'on npnd/r, tfan1 1cn tntouragc: CE CA \CRE·l.~ ?

Quclh"' rct donc c"ll" bt>url'frn ·u tf,.,a·:J,. ri âa~ li I .,,. r. '· ' r(ITIJt tfrnti Tt:r.rn1 &" T t·n sorhn 1.'t I 1

Ct l.4fE 1 '--- - -------------•

F ourqt:ol Pas ? 12iG

pour être lues par les lec!eurs du P. P . ? qui voyagwt en side-car

L'accent, c.•ut l'tt11 chil de rtJocatloa. '/ /1

Le padnsmc 1er11t vraiment une trh noble doc1rJne, 11 l'on fl•lt p1d .. Jtc pu st(olros:IU: pout l'aJun.alre tt pon par cr1ln:e poar Hi mfmc.

7?7 La r.auuic. c·u1 <oa:a;c l;.s bc:fttacU : die coflte plu chu

1 ccl~I qui 1• coo10111mo qo'à telui qui la uod. ???

Lu 1n.st1 du panier toot t'aJ3ance dt la culslnlhc.

177 lia dlatlc;at. c'ut la r~::dca d1 dt•• nn dont l'a.a ut

toucat de trop, tl l'1acrc auul.

? ? ? Comme cous lt1 animaux, l 'homme 11Ht tout ce qu'il touche;

cnala c'tu le seul animal qa.i sache laver ce qu'il • 1111.

?? ? Qund dtus fc:nmt1 d'e1prlt 6)DI ainûncnuu amies, c'ut

q ue l'ont a au ::nolns Je double de l' Agc de l'autre. ?11

Let wmun soot la 1loçér1'~ dc1 n1llons; ltt 1011 o'cn sont que l'h) pocrlslo : \0) u 001 lob 1ur le jeu et l'•lcool.

??? Co1tnlrcmcat • ce qa'ea po•rralt croire, lu jtnau ne par·

\tnncnt q11t btcn raumcnt à Iocr du cocst1ta Jadtdafru. ? ? ?

Gutl c~1u. c;'e1t mcUrt let polot1 •ru les c 1 t de ce dont on parle.

77? L'e.plraact, q•'ut·tt, sinon 11 certhadt d• l'loccrbia?

??? Une folle femme, 1u<c approcht1 dt 11 qAOranfalnc, flotte

enl re trr'9 actu : ctlct qu'elle a , cthd qa'oo lul prtte tt 'thil qa'elle •• donnt .

Pla aa boa mot at mfcbaot, plu •a h dlt boa..

? ? ? Ua ma:I tromp6, c'est uD entier dont la moitit " laU mot.

llpUer par uo tierJ. ???

Cc q1:1c je ac p1ntecdr1I j1mals l ceraprtndrt, ce a'at pu qac les mtd,dr' alita.i.lt'-t at.:nl bil cnfcrnur la M1ru1.o; c'en qu 111 1lon1 l•lsst en llborlt Ica geai qui la preoalcot pour le Christ ou la Vierge.Marle,

/'I '/ Oa a ln·it va Une iolitalt : c Lt prftre cn.a.tml de Dit• a.

Qui ta «-Ira ua autre qal t 'latlialcra: • Le ft&ml.Dg&Dt caalllll du flamaod >?

?? ? Le proh.(1lr~ bolchcvlunl, c'ut ut ouulet hrogoe qui,

quand le wetlcr ne va pu, bat 11 lemme 11 casse ... meablea poar Je ta.ire •&.rcbtr.

? ? ? Po-:arquol tes \ ldll~rd1 prttcndcnt ils aa respect dt la Je•·

acue? Paru qu'Us ont commla plus de f1utc1 et de 1ottlae1 que leo jeunes gen1?

? ? '! Potuquol dlHo d 'oo bommt qui 1 rillSSI qu'il ul le Dit d•

k.I œu' rca? ~e scr:iit U p:as plu tlogcu.a dt dlre q•·iJ tl m le pè; c?

'/?1 Il nt faut foire aux b!!iron; ni:llc peine, m~me llgf:rt. C'ut

pour cd.:t: qu'•l ne 111. t p:.1 conrJadn le bta•on du baron da uoa1n~11d auc. lt bluon eu •·cafonce.at Ju C!:cba d'u •ogtlpl~.

? ? ? Lu romanciers bclgts ont touiours l'atr d'lcrlrt des romaas

paur leurs tpoc.scs : les romondcn rran~ol\1 pour tcars mtl• ucun.

Plaques émaiBlées e Il

C 'est la réc1amo la p lus solide, la plus durable. E lle ne s'altère j amais aux Intempéries. -:· -:·

Adre s sez•vou s à la

S. A. Émailleries de Koekelberg (Anci~ns ~lobl. CHE.RTON)

P O UR DEVIS E T PROJETS

(BRUXELLES)

1230 .F.curquoi F as ?

l es neur d l~l~me.s et demi de ces propos &Ont prantls autbtnllqucs).

n parait que l ·ur ba:tau 1 eu un• lr<• mauu.ise tra- d amcnt que la sœUJ' de nnu~ con<i<rge avait Ulli• loa~ Yèrs~e dans Ir ~o .e Je Ba,togne. d~ prendre. quand elle a tté m1!3dc .. •ou! Nl•<'t l11•n ..

- Il ~t morl ~ubib.ment: al parait qu'il a e~ un OO. lltrcure ! hde au cœur rt \lfll" Oc-1mpdac1e 1 d1t comme ça que - lion lils a ête ,·isitcr. i \Ïenn~. les aocid~ palal• ça ~I une mal~rlre 11u·on attrape qunnil on mange lro!> de la famille d'Autriche; il a dit comm~ ça qu·il ) a.ait d" bul1. partoul des aisles bocêphal;·•·

- t..,llr-1,, m'ugnre awc !OIL' M• rhrchi': clic •e croit 1an• dout• <on-. de la cui<inc d• Jupiter !

- On nc sait plus de rhrmin dan. notre quartier ave< k> rmpJo,to du llc•lbal: r-·ns. z unr loi. qu'il• enlè\lnl se ilrm ni A midi k" • baatord11re• •· \u«i. mon mari a él~ ~ t orle rn pwl• d~n• Ioule noir• rue. pour faire ''-"er une la§lt .~ prestit.1tron.

- 1, s "nanlcs rlu jnur d'auJourol'hui. ça e!>I querq~ rhO'• ! Il n'i a rirn de trop hon pour leur ber. Figurer· •nu< •ll< mn f1'lr rn a unr q111 ~111 rhnnlM' rouie la pnrti­lron olu r nnnrirr dr la mtre ...

- 11 n'w ra• oit rhanc1• awc ~a ramille : J~eph. son pltt< j UI r, • un h rrol)le J.in< Ir nrz; Lo\\irske, ocllt' qua ajop•cnol pour rh~nlrr. 1 une d <!1nrtion rle 'oix: et \Oil~ q te •a fomm~. qui a•a1l d Jà r!c- émrraudrs par tkrv •" \lrnt d' urnprr une prllcnh"ll d'urine p>r­fleva t.

- 11 nt s:ul pa, lai«er unr '""ante tranquille : c'6,I un \TJI Oon J11m('nJ !

- On frarr •n plein dans lri chalru~ !t'ti•·aks: jt tromi1' 4111'11n'r.\:l1 j:i.m:ti~ f:111 ~uc•i ,four!

- 1) r11i• 1111'il~ "' son! oli•p11h« rn jnuant aux do­mino<. ois nr ~ pndr nt 1•hJ<: qot,ind 11• <e l\:nronrront. !I.e. 't" r ~:tr•'rnr romm.- 1lr111 j:imhon" tff'l foirnre.

- Il ar Il qui" '0' l rcr rrn.!rt 6 la \Ion nait . C('I li1\\ r. r 'Ir p ~t r -~ q111 a tu tanr 1! •u c~': l/aurrct I' '"" f/.

- l.1 l1llt dr noire ' rJuncre • ••rr le ho·~lr~: ellt joi:t 1l:tn" un.-~ rj,~\ur t"i'1cq11'tl'"' rr" ·~~ntP un dirn tf,. ro1~111pe ... •llrndct uoe 1018 ... lift nom comme œ m~

- \foi. je ne sais pa• voar maltrailer les bèi<'S: cha11111 lois que ie sai~ qu'un chien e<t malhe11reux, j'l>cris A 1.1 SfJrittt ononymt rlts An1rnau.r.

- Il< n'onl loul de m~me pa• de chanc.- dans c•tt1• hmillc. a•ec eux. lt~ phnrm.lrrrntt dnrvnt !aire lnrlulll' la mtre doit 1<1111 le 1-mr• r~endre " ' ralrapl~<mc- a>r ~I' l°rau 11'~non. •t le r•rC 3\lll• !NI' J.>c matin< du <Îr1>p .i· •rdiar. de rot à liole.

- \la fille florten!t est r•o·corJft. sur le Radiola : vo1111 s~vrz. r~ marhan de lél1'-'hnn1t san~ r.tm ! ~ jG•ellc!. ç3 r•t ce> ptlll~ tas de paille qut

\'OU• •nW'l voir sur IH rhnmp• ~11nnd c'csr le lcmps dt la mo ~•on. Ça. je ronnaiocai• Mjà. mais cc qu.- jr ne ronnai .. a1< pas. c'rst que c'r< t avrc ç~ qu'on lait de l'uu pou r ln•rr !<? lint:e !

- On 3 ~té avc.· mon mnri 1011rr un joli (alm : /. 'dfd-Rni. r~i rit France : Louis Xrl ou num«·o.

sur le rin~ma et on a \1J

C'<"l tnure l'hi•toirc .i·un Lnui · U, ïai oubh6 <0n

_: lrrlanie a r't~ voir l•s menhirs dt Carnac et elle a raronlf ça à ma 'œur. cnmmt ~· (a •rr>it '1l>!"lq11r rho..­rlr rare. i\lo"S. ma $11'Ur . qui a 1<>11;011r< eu ll<'ancoup d'l'I' nrir. lui a r~pr>n.tu romrnr ç1t: Eroulrt 8 ·u1<'rn<'nl, \If. l:"tnir. mcu ir \':'IÎ .. 11nr fnic \'ntJ" rlir<' tfurlq11t rhn~f' • it • 11i• rt"'"' à Rrwcrllr" ntt1rl:tn• 1n·1tr.< Ire varanrf!Wll ri j"1i \Il dr" ml"nh'' '' I011ff l1 jourr/\f,. t l r1 m·11 rir-n rn1lt~ 1 • ,( fon1• n·:- r:t.• r· "°"nri11 mai• '"Hl l.-. mnnA# 11 f'tirn vu n11°• Il• tl. il \ <qu•• qu·M l'n~ÎI rcmL< tommt' ça • <•

'"'"· '\nn ~h• rommrr.rr • prendre de 11 bovldu: il ut Mjà prœque bcctog1n1ir1 '

l .:. ..: i-;:z · oi .Fas ?

~;::=:::====~U:.' ',. NOv'vELLE. ME'ft10P.E I\! j\

1925 -- ~ l

• ou• appor1era une ltre ~e 11 1· tranqulllltcl el •ou• •ou• 1 a'suroz contre lea erreur•

avec uno machine

tlS" Dl:M '\S D!!:Z L'C CATALO GUE OV DÉMONSTRATION t

36, RUE FOSSÉ-AUX-LOUPS, RRUXELLES TéL2ss.os

1152

1252 Pcurqu ol Pas ?

Le fh mand tel qu' on le parle à Gand Ch r • Pourqwv p.._, .. ,.,

E ot.ada d.ro pu le prH<t d • 6\Jdt1 dt \'Athonée royal dt Gand:

• lk kon1 eo1ge rtn1eignerr t:nhn f(('\'.:n. De lc-erlmstn dit aan htl «>mpns1t1t n1flen pUr1ppi;:erJ "ordt•o Wtit. te t riche· ren, .,.ordf'n l•!lnnuleud l

Faut·al &.rad1.u1e? .\ BC.

lnuto~ .

Il y a officier e t officie r , pompier et pompier. li ....,... ... • PoLJ.IT'l:i....n P~' •

Voo..t 1ou.1 lttia i-tonne de et qu•1m• oonf.MTit- Je Bru.Xtllea d emand.J.1l I ·"' \.Oht ll 'a.ncc.oce ltlll atl'\ IC'6& d'un • of1.Ci~r •

U3na 1 rnJwtr1to cboco.atr11c..conf.sc. o. l'at hcr où te pr.; pn.~n\. loe cu.'!111("1 &. thocolat, Jor:d nb, d1op1 o\1 t o1.1tu a.1,. l rQ conr1.1e-nC11 IJO llQllUDtl' c ofGN 11 lt l'OU\ ntr (i\Îs:in'- ~rtie dt oe dtpart,mcnt -=1-t avpc.é • oh1c1er •

On J>C"Ut -in•1 remarquer da:11 t" Ufof'e corpo1ôlt ons dL.,. t.ennu sn! mu d~ mé:1er choqu;!"t pa fo11 do-, ore-111~ pro a.nu, •t. p ur ne n~r qu'u..o teul e.x.ttapl~, ttlw de • pompier • d.a.N an rot&u1ar:•

J e t JppoM' qu 11 O~ \·D-J f'.!! j;itnl.JS Vt!'DU l r1dk, l0t'9q0°QD

JUUuran\ à la mode di.!!n .... nJ1 un pompier f~r \ oi.. do! b: p r<'U(", qco l• patron d: t"t-ubl uemen\ Ten.·t Je pr:R.nter • lul 1 •uto rompe do b nlle de Bru.selles, g.nuie d·, IH I Of'\•ant•

\ ro1C'I dl)nC une pet:le mi~e .a.u point. .Agt ~cz, etc • M. V .. •

Le français tel qu'ôn l'éc rit au Congo K • Io 22 °' tobre 1924.

Cher • Pourqcoi Pu' •,

'Ç"•~ ·• an • motif Je- pun.tion • acthe:ohqucr: il a t:té drus.t à ch .. ::r.. J"un 1(1! du 1nd ~eone chn.rge d• n ultr le p..-. .. ·tmen\ dt ta ~ 1r d'une habitat oo 1 la • dvmo .. tlle • qu dent. sensr au pau ,. :l\ ;t.1l un oiaocht fort<:m~o\. ui.I et q1.11 gli~1t totl j ot•"I hou du nirp! en fer. Le 1ou• of Acter de 'er•ice avait. dooci. · au 10lcJ1t\. l'ordre de réparrr l'mlltru111eJ1t, maia le c j1 .. • noir, f'H bon carottier, n'tn ava1t r1tn tait, d'où la p o m t 10N a1flt1 lilwlll'e:

• 12 roupt J.., cl11rc.lot au ~IJoat K'1.1ul.11pan.ba pour a t-oir f'tf.u' d'oWir .A a<Jn 1er~er.t. qui tu1 ordonn11l d'~inmanchtr a.a df"D'lOI ' , IOUS prtte:tte qo" l'>D m1nr}1• itail. trop usé • ·

Co:11rnrn1 : ais l.1 rc.n11a1 :t:'.'" .. if•nt m~n,c au Congo. la Da· !r•ll2ti~n pour im i~orer 1 • P<'t60nn 't lata~uees ? .. .

u1 manu1«1 il$ t l /~1 dt11in1 nt uront pa1 rt nd111

ùettres Contemporaines Celk-ci lait partie de la col!...:1ion do docum,ots autb('n·

tiques que d<> omis oonslitu.;n1 pour nous. C'est (,1 leur. d'un rMugié [rança1s qui r<·tn~rci.ut Je rure 110 «O!D· mune qui l'a1·ai1 ho;pr lalisé:

Moniitur le cur,, C 'en avec OD mémoraL1t ric1~ qt•c Je \Jt.:Ia ""'u.s aJreutr

mu rwt11 erc.tm€nll tea pli.01 d l!t ripés pou.r œ que \OUi &\d •11r 10-..rra moi et ln. âlJt·ns. l"onq12iit ooos som:na .atr1téi dan1 ""'1.rt commune: rhpectable l toaln pt_rSOn.oes y mrUar..:. le pied pour 1 demturtr pour le& fait.. qui ~iear:tnt. dt tt pa.aa.ff, rhosp1Lal1t.!_, b char U•, la booté eD\'tl"$ les é\J.-:UU

..-oua r.iud digne d'hommag• ~n":.ibl.able J e oa puja cro1ro qut la co,\urc bumia.ine po.i>td ' dtt cœuu 11 bon, 61 J .. oué t t. tl

char1tabJe, en uo mot. vous HtJ d1gnet de "otre 11tuat.on .. t de l' &uoc.:11 .. t1ota que \'OUI &l.l'rcr. J e prier~t Dieu, 1" t rh btiul, pour qu'11 vous atc:o-rde lonrue vie et verte \'.tilles.se et pour vous ae<:ourir dans \'CS œuvrn hum~u1taire:s qui ~uvent. •p­prk . .r &u dcuas de tuut n chwi:s

J. prtuJt l'éo.DOr.lble oùti1 unç.eo dt ge Ù\oDtlU li:' [)!.al.S r d'•cupttr trd s :a.r-rres r-•mtrc .• m~nt.t tout en "~• l~~nt d• ""' L.rntau.a.. A.cccpt~z,. li . lt ~rll9 J e X. . mes •nt. .. p.Ji. t .ou cord.al• .

pour les 6\·~-.;ê:s dt X .••

Le sti 1~ n'est ;,,;J,·mmc:ll pn. J'une n<ttelé 1vlt~i· ri(•nm~. ma.;, 1~ ::<:nhrl:••at.,, 60111 purs.

t:t. au toi JI. 11011~ Lrom orio "l.1 1 1 "1·l1n'.ll •JU~ 1 r.1blc.

??? Voici u1w auire kttr~ lout a.uss1 nu.h1..'l1lt 1 ... ._ "' hvll

mo1r. , c 1 1tao:d1nair~, adrrss~e au l"'urgmtolre dt la commune de So~ :

lloD.iieun, .\ tJr1ts 1"0:1.S La bont~ de- me donnu la d .. te de namcct ùt

d h du piN! d• Btn i J . ni à ::Uy I.e 6 a. "' 1»11 a1mi qut dfl 1& mf.rt ~Ji possibte dtsoo g-rand pè:tl! tt de ~ 1t1anJ o.çtt

t•l encore 1i pou1bt1e du ~rtt m .. tt de a.on gu.nd µ~rl" du ~rt 111-:re dw ta gr,md m~re ~J pou1Llc \OUI pouH:. me le, tfonnt't j'usque ou \OUI posstd.i '°" 't•l ti\•11 n1.10.nccs dc!cl.'1 litu dt ch&cun •llt uo $impJe papier c·t1t. ruème Sllfis.ant. ullo dt r.pousr de B . J . J. de mome.

l<:n \ OW rcmeraant d"açan«1 rttt\'U mes a1k.t~t o::.s d.• ~ 101u~e.

S1 pos• bl• dooc le pire l'•pollM le gund ~re l'~pou.se le pirt d.J grand J>ê'r• le Grand p0r• du grand père . le 1K!r~ du grand p~re d :J gr1rnJ p•t• o voc lellr "pou se dt rt.11.cuo. a1 powi aio1i do s uit e 1'uaqu1

o'I) \·out pouu~dez l't tat vil de chacun.

Je 1u1t • la rec.ht.>rche de la gl·n#•10-g1r de toUJ '""" ar.C'ttre

0~> 1locumcnls de ce l)<Rf<! on! lrur e..<5<'ntirl Înlirfl fan, lrur '1Jlh,nticite. qu·, pour«> J,u,-.:i. est gar:1nt1c.

dfAMPAGNts OfllTZ & l.Âl:l.l>l:R;\\AN:'ol LALLIEI( & C• aucceaseura Ay. MARNE

Gold Lack - Jock ey Club

Tii1.- :s.J2.10 4qrent, Qhfr-eu-s • Jorc~ 6 6'•0M1 DAM 10. Clt. dt Vk i;1 l w

Pourquoi Pae ? 1253

Le Futurisme au music-hall. li. il.uL l,J n.• d le l p. 1. c..fé-<:on-.rl: f'<iu1<1v~i

Pa.r ? c<iD•l•lc IHC plaiJ1r q~ M. il3rinct1i v \"0:1 Loule unt m.De ~ jouiManct d"un <1rdrt •~urémCt.Ï mows no­ble q~ cellet qut pro<urcnl le' hautos ma1hema1iqun et les romans d~ lJ. Sonder Pie1T<>n, mais sulliumm•11t ~­tellectuellrt. "Ut dt !l.fl'IM!, pour etrt admist!I CO!llffi<: Ull

ll~ment de la aalhl ~p~c11k qui Sl!r8 cell< dt la 1ocifll: uturiste. •

Parmi ks idê:s nouHll"" de M. !formclli pour trJns· ormer ri rl·g<'nfrcr IÏ11>hlulio11 du Music-llall, 11 t11 c>< tou!A? une ca l•'goric de natul\: à plaire tout purlicuhérc­

cn l aux imprcuarii, J•Orce qu'cll, s permellront de <l mi­nucr c0Mi1loubknant kurs Irais de troupe quoliJicns.

. ll orine1t1 Jlt>!<' • n pr1nripe que le., spectuleu·s Joh cnl cutlab1)1\ r •à l'amLiar,,c de la gaité•. et 11 r.roptx-. tnlrc autrtt. clio .""· ccl!e-ri, • pour introduire la ~u11'rise tl la n··~eu1l~ d •8 r ~•rn:i le put.l·c » :

lltttre deo b col'.e aor les but.cwla pour que le mo~r la damo ~:-e 1usc-.. tu1\. rh1br tti &•n.érale - le frao OO b

m«• .... c..turellomooi pa)é à la porte • \"endr9 la mtme pt.kt l dl.a. pe.rtoa.Dtll : ~mbN.ment, diâ

GJ.t1îon t t rirH qui 1'er,1u1w~nt; Offrir dei1 p~~C't• 'r"tu;tt.11 l d<'I- me11"eur1 et. daa dlme1 no

oiromitnt. toqufs, irr t•hl..-s ou t"tC"'ntriquts, capabltt dei pro· oquor un bouetU'I f11or01e J Saupoudr<r I•• fftutcuil~ d'une poudre qui provoque le pruri~

o l'ttemof"mtot.. ; l!:tc., etc.

Argurotnlon' ad flomi11t11 .• • 1

1

Ile trois cbosts l'une : quand le \lusic-llall sera oq;a­nÎ6~ •c1>aut le; 1Jées clièrtl' i M. llarm<lli, cdui~ pourn è;re le spcc!ateur qui •as"cd ••r 1, lauleuil collt, 1ler11utafOtrt ou Mjà luut - ou bim le >ois:n de r t SP«'· l t.:ur. le S?Ctfakur di: 1pccro1eur - ou bien, . oun, le

d rec:eur Je 1'~1.i.:i~scrr.cn1 nouH1u. D.11! le premier ca>. • ça S<"rt bien lait • · comme di­

.;,c1 le> bonnes gens: la!!ail p•• qu'il ! colle . Dana le J,u, 1ème ca!, !'Our P<"u qlM' le spcclaclt olTert

1••r le roonsi,·ur collé ou slcrnufalori,~. ~xcile . ches Il, \l,.,inclli. uue • ca•radc J'h, lanh! irr~l·~nabl• t,

11 . U"dnctli risqu" Curt Je se IJire bru>quenocn t couvnr la f1sure par une de ces g1flr~ l.ir~"' .-omme ilrs a~si ctl<'t! J'l Of md.; que les gens un P"ll irrotaLlrs ne ma11qurni pas <le d ~cc1 nc1 • ocu1 qui ont l'air de 11e po)'er leur ltle el ilr .,. r~joui r ~<' 1 ·ur nu:·a•cnture •

11ans I• troisic1n• ca.;. Il. :Jari11tlli. dirt•d('ur 1u llusic­llJll, E< Hrra drcs•er un procb.,·crbal en bonnt et due !or.,.~. s ra con•put rar sa ciientèlc, ff ., •• J<l~ .raiscm­bla~'cmenl à la por:e d ~n Nah! s•cmrnl. sa.na pr~ju­dicc IU\ g10c· .tont il ~SI qu~.tion plu:s houf.

Ce q"i prom·c 'I'"' ,j k m1f1<r d• Jir,'('tcur de music­ltall u'cst dèjà pas a~rfaLI<> rt lacilt par Ir temps de 13\•·' el d~ •urln,o~ q111 court, il 111a11qucro romnl~lrmcnl H Mr.11 :i1em.nt Ir 1lr<.!rric cl de •~rurilJ sou~ le rêgime ruturi•IJ>.

I E la voi ture

qu'on entend

mais dont on PARLE

MINER V A MOT ORS S. A. ANVERS

1254 Pou rquoi P aa ?

Petite correspondance Lto Ti an - Oui, cr juu1 nal s'a1>1><la11 Lo \afadt el

lJr31I i ~00 t'\'-.'0 pl 110. •I011t 300 Î'llt-= t·ll\U)tl IU\

c1f li tl t al11CMlu1~ t•ou1 JU'!-1 f1<"1 dt l"in~t-rt on dN: 1n11u1-...

cet. ri ~!> au• ;1abli•s. "" nl< dt baill5. C...S ;:, olernitr. oum;ro• é1airnl trr~1 •ur rooutrhour, "~ so· lt qur 10!> bJ gnrur1 <'l I;-. ha1er•t•I SP< pou•airnt sans craini, lrtm· per l<'Ur 1our11al ~ans l'rau dt lrur bain. Srholl ~\lnl un d<'S r~cl tlo·ur- tir ce unard. liais bientôt, il di•parut. ce ranard. Il 1111 nov/>

llarzrt. - C'o·~l un KBrçon tellement prudenl el l m1dr qu'ol n• monlo· 1ar1101• rn lrnm••O•". à moins d'avoir lror• o.•nl• lraur~ "" lur tarti il r"a;nl q~ les prrx dn place' nt •oirn1 augn1l"n'~~ rn cour~ "' routr .

Jla/1°rrt. - ("r•t l•~lr romme un bouchon de cerofc. oe11" 11!1'"-lè. \'in,1 .. i.·z: pJ,...

T 1 •• - Ou1. oui. nn11c: n'iqnoron..'- p~ la \·ananle. Mai ... °'°'"' ~a,on• \ÎH~. f™'°r mo·t•irur. i Pourquoi Pa1?

D L rt Ir Mrhr nnr n~mt. - \'o • ronno;«er mal "" c1,~1c-:ur.'t • IM anN"rln'~ qu .. H•u" noos ~n,oyn onl d~j~ p~n• ,tin' Pm1rnun1 l'or '

ll<rm• :r. - f." •t •in f>fonlrr qut la ,je rhèrt feil 1#

de.art rulo-r Il ''"!' rrn,.. pour lra•a'l'er. rlan, un air 1 ~r ro,.•m1 1 • n •~!~ rln-rol'• el ~lurlie. en ct momr l. i.- • ,. n oi! ~111drt •ur loil , ro13li1·<'!' a•rc une bro! eu" •l')nf

T11r/.,.m. - C <'SI rn[erm<'1 le ch3t dans l'armoire p~u· R3•rl,•r b • Ï•11.tr .

/,ud•·1·ir. - Il e un" honnr lêle d~ ~irnrP anémique. - Lr 11er< ri o!rmi rlr 100. C

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SALLE D'EXPOSITION 1

l .... ~.~: ... ~~~-~:: .. ~-~~~~~:._~.:_J

Dt la G~tlle dt tharlf'r<>Î, t pNpo• de Dcmblon : :i-1 m@:ni<are itait extraorJ:ru re li toan.aw..i..t ~h,kapean

~ p.udoo Rutlaad - pu cœur ml. u.1 q1Je \\ ilolbm•-U10 lrnog, lDt.trpr•te fameux du a:rar.d tn.z1q~t.

Il y a conlusioo. \\'3sh1ngton lf\rng. c'<~I l'auu·ur amé­ca1n bien coronu. même à r1iarle1 oi du ,\4r1rh book.

l.'nclcur ne ~·opocla11 pas \\'o~hongton : 11 >appelait l:lcnry; 1 élo•t m~me Sir et, croyons-nous, bnionnct.

117 De la c~'llt du ~o olé<'cn1l>t<' : .\ctutUtroent, oo-J repriwnt:\nll, el n~ ••nauun prob.-&bl&­

-ntnt. •uu1. reçojvent leur• iadtmmt~ par!tmtota1r,.t par it\lte chargie .

••• Ctta Dt ('Otltrlbue Q\.i'.lit:i:r.tut • r ... dJ.tt ru~.ft•tî~a jud.i.~ ca.an qoe le gouv.:-raemtnt at.î.cte cle ·~~\oit ~=Wtae

En elfet, en effet... ?1?

o, .,..,., r ~unir, du 13 .1.ctmbr.: C... lanp~ brux•lloit • MS expr.u.oas M\'Of.ID.c:set.

\ 'insislons pas : nOU6 somm , sur un terrarn gli!'.UOI. ??1

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??? D~ Cou/oit (tS d~mbrr). SOU.li la •ignatme ~

Il . ~d·ien V~h·:

O. mfmt qut Sa.rroi:i moatr-art. d.aoa: wo • Eaft: •, 1•ombf. d.'ua codser •Joi

.a ... ·ec l'ombre d'une liro&M N•t.toyatt l'ombr• d"uo carr<-.M _

Cet ven;, do.1• vn ri I• lPtl , '"' l : Qoi. tenant l"omhre d'urie broliM, En frottait. rombr• d'\Jn ouron••

,... 90nt pas d<! Scarron. On les lrouv.•ra dane lt tixièm• lr1·rp de l'Entidt trnutti qu'~erivirent l<>s trou f.rêret \'icol11, Charles et Claudr Perrault.

??'/ O. la Prmflct, num~ro rlr~ 15 et ta dllctmbn !

UROE~T Oa demande penonnf" 2 ..... pow

lnnil laeile E<r l!! L bur J Evideinmeot, ça doit lacilittt dim~n~ e!pffM •

lrlY&UL ••

Pourquoi Pas 'P 1255

JeJ11 Jaco~. prolc~,ur à l'A.he .. -c u, )'""·"" u.­'Aradémie royale Il.- langue et dt l111~r:11u. e rran-

1ien1 ~, rouronll<'r un m~moire sur Andr~ Van Il. /o<r1I rl3nl l.i1·g, (6 dèt·,•mhr<) : ••J homrn.ag• n !Kr•nd m~nn• .r1 lQCO La oommUD•

lr.t Joue ten.!\oodr dor.nr a un • d• tet n1e1 :f nom da et fat plattr tJr la ma sc,n q ·d hab ta un mrda1l!oo

ODl• o~ Cr•c-o • b.ari!M '" tra:h "-•r;1quu utrur dt"S Qu 1lrt Jnrar1141 O"t rlu l/11111 rts da. 6 ·fo•s~. N mouru1 d•n• un imrn•uhl• cl. la rut Saont­e. Ir~! i11.;gnl" d' ln rue And~ Van H;i..,,elt, où rut le me•fo1llon de CrJro.

1?1 la ,\'11i"' r Co:rt (lraduction) d'Anv1rs (H déo<mbN!

lt ft ch.t m•nt d• 1a pc;ilitiqu.e d\J doi,i 1uoa IJi 8 e.ta 'a der, J4ns a.on pal~, i l'arracl1emeot dt J'1na1• boche. •nir• •M .. .,., •Dt·• tt '-"UP d w

b mo.,toa qti• tna n~nat'll 11 rhoh•. tt nt t0nt qut dt:1 , Qlll 101 CTo IHnt par dHJ:.n la t~t.. tl &lJlf'J,Utl:o 11

1r• le pant~loa. co~m• jamai.t annlurltt poht1que a d ~h1tt n vl1er tn\.

cll" ,.1 ... 11~ f '' ''' pour 1" mair~ d'une grande ville r 11 •'•g•l 1f~ oil. Van Cnuwrla~1 t - M porler la

te ! ???

journal du C3nlon ile C11~y: :\i\'t;ff$4.\IRE 1 .. - c~nt aujourd'tuu du:n.t.ocl- q\l'a Ueu. en • Il•. la m•n fn~ll<ia con:u·rr•n:orat•vt rap~

ptri:~t. a d• l"cpouvantaLl@ rnarç!., d'bom.mu orp-r lb L<Klu.'9, en d emlm~ 1816.

fol J4n1 I• parc du c.h ... ttau dt • La Haute , qo'1l ta\ Pa.r Uh• "1al1n~• d'h1vtr, romLre tt. maun1.d.,, lugubre t'trl louiic~•• U1oor1tt d'hommes défil"rtu1\., la face gbbre

~re:ur, le dot cou rbO toua 111 •ac de voyAI•• •tLendant. de 1gno-ble-1 &.) 1·a.01 Io dlc1i1on de leur sort. br< Je '"' r. ur ! Dans une ci1 ron11an~ l veu pcès émuu•an'<'. une jeune d.ame nou.t usurait quel~

1 pas un r•>1I atc •. TH

ET\BJ.l C:SF.JUC\'TS S \l~T-SHl \'ECK

, 41, 43. l5. 47, rut Jlonl<J{Jnt-our-H1Tl1t1·Pot41ht1 IJ.1111 divers - llov. hr.g - Dancin1

117 le Bullt'lm tlt l'Union d~ la p,.,.,, 11~riodiqvt

(num111·0 •lu G novembre 192·1). su1io le titre: • Essai lloro·at•on •. G J. nous apprend •

ra11 m~: ,., d'«1"rt. ma11 ma plumt •l rude, uti. oo cnordanlt ulun le eu et. &eC'Ot.r.hm • l iit coona;t: • t n, •Ut ta t.t'OQ•er b tn ~range ma "-'1.&dain• 11"'.odtt• t11e ft t COmpr.ndta f'IQ &tll maa1trtt efhb1M dont Je

dno.r f1.1rt G.ta(t T6tl.t. p;.a, pu.-.qat le no -. •..-.6, ~ COùpt 1

lou qot dt tr .. fr"1,u.nt.u ~nione p1fo:fr• devraient p~rmtttre dt nou• mieux connaître. l'a i.aemblff g ·nlralt

1er • d~jl d1IR<dt (plalL·1l! Q. J 1 dt oou. sroupu à 'on di1i~m• d• nnh• •"f"t1f

et Aute-plan• ie Fa.bncatita Belr;e

LUCIEN OOR Ill 2e, •OUL&VA"D •OTANIQU &, •"UX&LLQ

de V!NOGf 6 C° u>eA ... AV

~~ .. 185'

h\:flV~tVU• I• \ *"·•·~ ·-~, _._;,1._f

rf-un1nai& '1atour d'une ubJt b1tn t.t:~v • ÎI n'y a 1nco,.. qu'en mangunL la •·-;1'• •nte-rnhlt qut l'on appnnd A 1'a1mer na1· ment tt i H drvouet le1 t.Jn1 enura 1,., aulrN .•

Tr~ b1tn ~nié et encore m1eu1 d11 ! T17

Ile \ 'Jll•nt, 10 dt>tembct 19~! : DELICATE ATTE!iTIO:\ - Cinq coa~maéa à morl,

act01tlle:ritnt d4>&.tnus • la pr ton dt Sm1 bio.i. 1 ~ c ... York, on\ et• •"''" qu• leur •:técut on •l 11. rctudtt JU•qu'apr• lu (~tw de N'ool Ct'tie me'\urf a U: pr11of eu '-'on11dtrat.1oa de n que 1 ... coudunnèt font pullt dc la choral• dt la pr1Son eL qu'on a lJuo1n dt leur concourt pour I• rt1haa1.1on du pro gramme d.. (ile. dt N otl

IJ..Ji, "" AH<·••l1011. en 1•ffct on °" peul plut Jéhcate ... SouhOllnn• qu• l'on lll enrort b, <0"1 cf'1••" pour la :\oel 1925, 1 9~6. ttc ... ce sera toul i fait dllicat !

77? Dt l'E..t~i, (Paros) rlu 16 détemb,.• 192' :

Dr.1Japtt\, 15 dttembre - Lt cornlt Ju. loncitt+-npe dt la Vit publ1qut. • f.;ut., h1u, dtVAl:l US éJerteurt, une conftrent« au coura dr hquellt Il a cr.tiq126 la pol.uqut 4t.rangtirt du gouverflement

Le comte Julungtoiu1~ de I• ~ c Puhlique ? Il a un jol, noin, r'I 1mt0<·ra•e ! Au fo1t, c'c<I pcUt·être le pseu­donym.. du comlt Jule~ Andra~<y. ,

111 Du li 11in cl.. Pari1. numéro du 9 d:..:embrt : Meu, a d"•• •brt - (.;Of d. b1tante, )1 m1 J .1.. Ete, ...

Cat.htru11 Lcco 1\rt., r, 57 ans, tt:mar1i• l M Grtu.tlsa, eom. m11 phatlhu1tn l Morhangr. a lté tro..:•ée a.uu11nff u matin, •era g hcurH, l aon dom1c:1I•, au ca(é dt la Oeit• Champt&re, par deux g•ndarmu dt l.a bngadt mobdt de l:hi&tau Salins.

S1 11'9 x1·nd11rmes 'c mctf<ont ê on1rc lc• gcM, vu-t-il lal­lou- que nous nous r~sio~ prol•'g1·r pnr IC!I as<B«Stns ? .•.

1?? Du S~ir du 12 dec, mbre. IPu1lle1on c Lt .lbtch • :

Jeao 1.nra ..- iouret>Hrr.~r.t l• do111a qu'tnrtrma-t la peau ooire l liMrO. btaou ...

!:ne l<mme-itlire, q..oi ! ? 17

Ou Soir du 16 dt!cen.bre : Trlett. a rteonnu 1a ré:allti dee flits rui1 l sa ch•rae, tt a d•

clar6 que 1eie d'tou111ement.c, dont il 1'6tait. rcndJ coupable, t'4tàvent l SC> ou .0 mille lrnnco f R 1 •Pr"'' m n• par QD dot JOlltl lu,irc.- IXJlOfl.M au n• 2 de l'av~nut dtJ Midi...

A ~ prit-là, on peut 11-oir un bel appariement !... 11?

Lt U • S·lrl~ (19 dkembrr) parl• di- l.tlopold 11 : A C\t dix Mrt.:•me anninnaire de la mort dt l'11la•&rt

IDOD&r-que

lèopolJ Il, d<âM à La,l, n le 1 i décembre 1909, a dl)nC at1~1n1 Mjà !<? dix-~ptiême anniver<a·re de retlt da!• ? D~11l~mtnl, Burger evt>l rai~n : IP1 morlll \'Onl vite !

S.ule m 11 laoo beloe rabrlcantell ... m•me IM m6oantames d'AUTO-PIANOS

a~1a11w de tMOna rormattoo d'anot.­appaNll• • n 88 not.oe

T61'phon• · l!I0,77

Pourquoi F::is?

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Aciériès d·Jugienr el ~es &ùardounanes Beln SièJe social: TILLEURalez-LIEGE "

41

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lu 9~.;c;, attl s;. .. 1ou11 >ol d s tr.t: 1 tt c! · ~ d 1vantl\rs "..., tt'"'X cent~ r-:.- ,,.., '\4\:Jt.. aux G:.:u etti ci, aae· L0u't:Q:1'. tHrs ne pcJhC'lptn.nl a 1_,J. t"'n t ('d t.t• •f''S Q1J'111 f'At .. t W lrr fl\T.i.:t 1 !~.

1, n~lltt 1 ~N"' ;• ... 1 •1 1 ar c .e .. G •1~ l.J~\ C-QQitJoané<• ~r .a ~K:tôa cown.crri&..û a •t.t publl~ au..s. o~ouu du • tcu.r Uol~ J:S cUumbrt 1~!5, o. i ;t:i;rl ...

COND'TIONS DE LA SOUSCRIPTION eto ... Orrmr.r L" 1 b "If" t 4 Ju r.: 1." •"" ft), :aiuo,.,..,D•• ~'l 't d. a..t dit \.!! ure. a u.rr Jrttdti"hli!t. les

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l-c.i p. r""'ura d:a.:: .. ~ or.:ltonc.) qu! o'ourt::nt ru fa.il w1:c d-e 1, r dr":t de "Cl scr~pU'ln nt p.xirront ph•~ •f'r' "" lt ta J:n,.cr •.!:..

b lJUt.1Jl ltrlll 1 J IUl f: Lrs act1ormairt".! r 'U'""' pro; l!rt un.• *'4.lu-ctri11tioo m:Jurttt.Je. l vBiolr sur 1"5 arUvoi ooo QUI 1 t Hrllll'Ol pu$ ttl15orlftS l•tr l'c:\f"rt'll'C du cJr Il .Je S/\d~··t1fth fi lf1ttJ111_\lt.te

La 1t1 nrtt!t n é\er1t11tl r '1e-.s ecl«l\ns • · 1•s. nk_. • titre rtdu .:"ûlitt 'lr.!ro unqoc et .tt rcu o.u prorflto des t(lupon" o 46 ah. "'°ru fra.rl~n.

P 1Jt l4 ré?nrM n.. Cb:!quc bul elin <'• IOt -.:t 1;,..Uvn ~ c.r 6.4tré ecmme oot , .,. t· n d:!'C.•n ·"e et ,, ra tr"-lll rtft rt

PRIX D'tMISSION 550 :frara_cs par payablo• commo ault :

a Pwr lrs 'O<lt<rlpll<Mh lrrMu ,tlbln:

269 francs à la sou~cript1on; 300 francs le 28février1925 b Pour IC) -.uo· r'1 ton' r..'ffut"l:hll' .. :

139 francs a la s:>uscriptlo:i; '3 50 froancs à la ré!'artltion; ~~e fr&ncs le t ... v;1er i925.

Lu ~ • .._.k ~ n t'\'1M::!l...r"llut c l"k.1r PolJ: NM l.l..Wil u 1nt:;r LPru~t lt" .. rs Ultel l ant.iii! u '' de: • 1• t Lr-.. t. S Jr ~.# .. ·~· uw 4 1 • µqi ~ ~"' 1 J ei.nml d,e\.l\iido

l'llr writ ...... a d•fa1' du rt,. ,.r. crit. e .a p .., rtlP ;~ ... $ r.'""' 1:'!:.i tJt. "-'•'" nt Jt hlll111.~1on. Lt'.$ ~1.o• t1lo'l~·lr~ pOiiblt t"J. d 1..n ir.:u~1 dl" rt •~d ra;ru!~ uu l•u' tl.· • "' <" 1,.0: 1l cu111 rJ dt "11eui :itt '' d sarh 1111~ tO h~ 1u:11rii: du 1 1

l't'fJ%1hhtf tus.: u·uu ;~ llf üu uo1ernt"ril. a.1 1, ~ ·CU r1nnt 1u 11r11w1r101 et dr> 111'~""L"- n A 11.1s N- •1ré:é dnns lr1 '.Ml l·>UNJ \.1 vu1t ltl d'te J't-~1.:1t1Htt IY \ tr,e·urnt. le~ ll:rt'!' pnurr m f'~rt \ (.ndu.) o 11 Uour~ rt1.• Uru,.tt1c:"S. S'\OS m1$e 1·n rt"rnl'Ute. cc1mfl!l!' f'l "~' r1sq1.:-r1 tt p/'1 11 dts rr1arJa·A1rt1

t t N.,..ht':ut!en·t11t ''th St: mmt>• 'trsM>s a ra11-'UI dM c;ot;.~:rn·ll'-'n' a Ulrt ~uc.lll !t q1.n o•auront pu ~lrt accu•U1""' a ~" Ir la r+"'tir1 lJ"'n t:1n• qur u s-""u.v· p'turs " enl I fl'1"S a rf't ~ .rr dPS l"l'fr/ILi 1ur eu vc,.qmenls

La sous~ription sua ouverte du 22 Décembre 1924 au UI Janvier 1925 inc A BRUXELLES:

\ ln SOI 1~76 l'lEXliTI \LE 06 Ot:l.U IQCE, Monta.r;11c du P~r~. 3; I ! à .e. ugcwcc• •D •l.~c: 1:1.ulenml \aspn 1, . ; boulcrull Léoi;o:d u, 08; Orand ' Place, IC ; altnUe

MWJ»-1''"'""~'· 1: AT('R DC c~~acoru. ro. Au l'C31H1 f:ii ' llJt \L LIEGEOIS, G4, rue no1•le;

&l'i Pt<OH-'l.1:.: A LIEGE:

A 13 G\XQl'C CEXBU.~L:!!? D!: UI:GE ET DC UUY1 .Au C..BE011 1.l~'!ll\l LIE!i 80lll,

anu lc3 Ca.o~~· ~bnr1"cs llu stnitl<! d ng • acc de 13 SOCIETE Gll i'ilmAL!:: DE B~LOIQCE: • ALCNT: 6. la ll11•11uc t'&!ltr..Je de la .Jen.rc ; n A:,Vi.1W:;. la Couque d'.\a••r.; à ARLO;'i

LllX t:..iDOl:IH;: a .a UGaque Gé.n~ul du Lu~eci~o· r~ : la. ... u1.0l!.S et 031'l:;Nth: à ln l. <·' O~c .. t'tudr(' Oocl!lul.>!e; D n .. K' t:lt()I : à la u~~'JUC CCll. :\le .:c Il S:wbr(' ; ;. COl 12· - 1: & la n,e~rc 'c tral1 à IH'.'l .i !'iT : à la Bcaq11e C~t"11 ie t: l:i lle:ise à(;\.'"' à ' a B:aque de G~n·: à !I \' .SEIT: à• que t'e:>lr.~ •b l.imb,,nrr;. 'iei:.e rt t':im,;;i~ : ....ALOU \'IERt:. à la Ooaque (' .alra!e du Cuir•: a H à la nu.,uc G~nttalc .. c. 11'~ ri d~ Hu1: à LOUVAI~ •la C~11que Lc•lr•lt C:e la Dyle: à !.<0)1 : à b Ba du ll:··n'!1t:" t\.\t!UR: à 1. 83nque t'c~:r~le de •• nn,ur: à 'fOUR~A I ·à la llaol)n,. ~ .ltrale Ton r:!•l9!t 1. Yl:ltVIERS: à la Banque de l' errlcn el dnns tes ~~•n•rs du Crfdlt Gée .roi Ll~i;eols.

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