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Le numéro : 7 5 centimes VENDREDI 19 CF.MBRB 1.924. ir,AZ8TJ1l: IOEBDOlllA.OAJRE PARAJSSANT LE VENOEEDI L DUll\ONT·WILDEN - O. GARNIR - L. SOUOUENST . Joseph V AN DE MEULEBROECK, échevii

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Page 1: Le numéro : 75 centimes VENDREDI 0ÉCF.MBRB ourquoiPas~€¦ · le sourire wigmauque t1l 1roul7/an1 de la Joconde. c'est un bon sourin', obstiné, décoratif et confiant, un sourire

Le numéro : 7 5 centimes VENDREDI 19 0ÉCF.MBRB 1.924.

ourquoiPas~ ir,AZ8TJ1l: IŒBDOlllA.OAJRE PARAJSSANT LE VENŒEDI

L DUll\ONT·WILDEN - O. GARNIR - L. SOUOUENST

. Joseph V AN DE MEULEBROECK, échevii

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LE JOYEUX CHAMPAGNE SAIN T-MARCEA ux 'i!i'f!/·~:JfAIN

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Joseph V AN DE MEULEBROECK J1mia1" "ab1n uu 1•coutète des anciens llgnagn.

limais mag1s/rat Je no• collèges communaux mu· k1rnes nt' /Ut f/fls fUpdaire, dan.s sa paruisse, que ,. l'est, Jan~ le quartier de la chaussée d'Anrers,

•f. i'an de ~frukbmak, qui naquit à Laeken, en b76, erl!rœ la pru/esoion de médecin et est pré­e11tement éc/11'l'ln de /'assistance publique en la onne Pille de Hruxl'lles. Il n'y a pas un commer­anl uu 1111 re11tier de celle chaussée-là qui 11e serait brêt à se 1eter au leu pour lui - expression qu'il aut pn•ndre, J'uil/t'urs, non pas au pied de la lettre, !nais at•ec la signi/1<at1on métaphorique et raisun­wble qu'elle comporte.

C'est que M. Van de Meulebroeck est un humme l.i luis cordial, 101·w/ d d(s1reux de bien Jaire, un

umme cl:ez •JU1 l.i bonne santé morale est le corol­W.re d'un r1.y,ique Pons;ant, un homme ci /'intel­gence pnm• -;a1111, ''" très capable de susciter autour e lui des 11n11t1è; dh•ouécs - et capable aussi de ~s conscnrr, ce ./Ui, pour un homme po.1tique, est ne rare q11a 1iti'. M. v,m de /'tf.>ull!brueck 11 le sourire, il l 'a inlas­

ab/e111t•nt, 11/l,t111émi'llt.Ce n'est roint le hideux SOU·

ire qui mlt1gea1t s11r les os décharnés de Voltaire: ,. n'1•st po111t lt• sourire /if!,é. le rictus inquiétant dé 0111·rant une 1'bluu1~sanl1' denture de caiman, qui a/ut ci ,11. Hcllep111te une réputation si bien assise: e n · t'SI ro111t lt' sourire l'lflaiRré de K amie/ Huy>· nans. aiguisé wmm1• un couteau et /rusant grimacer ne bouche dt' la'1uelle on 1·errait, sat4 surprise, OTIÎr uni· 1.rni;:ut• /11/ide, tuute gorgée de l'enin: ce 'est roint /c' S(lllflrl' Jémocr.1tique, /arge d'un pied arr,:, qui s'ou1•n• l'n précipice dans le masque 1•er­iéto1s dt• Jules 1 . .-keu quand il s'efforce de dire, au ours d'un Ji,;cnurs apncalyptiquc el sesquipédalien, uelques mots aimables d /'ad11ersaire étonné: cr 'est point non plu< l'Ous ne 1•oudr iez pas

le sourire wigmauque t1l 1roul7/an1 de la Joconde. c'est un bon sourin', obstiné, décoratif et confiant, un sourire de chez n1Jus, un sourir.· bien bruxellois, un /uyJ/ et généreux se>urire, ricin de bunne humeur et d'honnêieté. Il n'y a qu'un bra1·e homme pour a1·oir ce sourire-là. " Ce t)pe-liJ est très Jort, con­fiait un 1011r Huysman-randen Nest à un de se$ coll~gues du conseil communal: mtimi' si on lui fait entendre des choses désagréah/1•s. ,;on sourire ne jléc/11t pas •.

Vans l'intimité, la bouche qu 'onlt' ce sounre se fait 1·0/onliers bavarde: le ma)'• n d'êtrt• muet, indi/-1t'rent ou morose a1·er un part'il sounre? .. C'est lii le relit défaut de cet homm1• en tous points admi­rable: m.1is comme ce relit défaut n'arparait que :fans les réunions prfrées ou ti /.i /in de quelque bon U1e11ner ou de quelqu'aùnablt• banqui•t, il est digne Je toute indulgence el même Je to11te absolution.

! 'f?

M. Van de Meulebroeck eut l'honneur d'être pré.se11té, e11 décembre 1921. par le conseil commu-1111/ de La.tke:1. au concours wstitrié par Pourquoi Pa'-:. pour la .iésignJ/ion du Superkas1ar des édiles .lu Grand Bruxelles. Il obtint un nombre de voix cansidér.1b/e el s'assura, uu classement final, une place J1· chfliX. Foici quelques ex/rails de la notice :t11i accompag:rail la présentation de sa photogra­pllie:

Jrl fi<.,, lt tWiU ,, Jdlt· /•Vlll lei d11111rs, qu.·11 '111

1011lours t ,. 9ran.tr ,. trmr \r rMWa.ll qu"un snil 1111t11111 Ct/u1 ch 1/r101r (c1rrr IUI nom, ''"'/'long 1mlubi­''11'1111H1it fl'"" uu Jiommr 1(1 ~.1 t111/l, ( /1f ,·~·t 11cti1 et

011d11111U.11d 1'111 t'r11/u111 1111/1' rf, l:mkJilld. hit·n qu"i/ 111 /dt 1m lnuj01,,-,.. 1fm·rorJ m·tr lui • n • 1utlt homuu /•tl t. "11/ q11i w1 /11iu· 11/111, 9•1tl11111 fm<. Ir yrnnd ri

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206 Pourquoi P as ~

1•.,1da .. 1 la ii••n , , il ""' a11 ' ' "1er dr rormt. " ' ,,, . j Voilà, n'est-ce p~. des titre;. qui éclairent el h lo1u dr mi.ti n " li T<'rtn1 d 1a1 g, .Je palmer. • Cé1a11 la nvrent toute la carrière d'un homme et qw en disen ~tilt tir, Id-bas. a11nc-1-i/ à ,;piln : on "' s'ni [a1ro11 plus sur son caractère el sa 1•aleur personnelle qu P•ll

1 • /1 • n 1s1 '' unu "" P'" plus •ouriarJt t l 1110111 de nombreux discours Quand on a ainsi bra1•é I

f,,qu•1a •·t a aioul• la solni lté aur nombreuses tt1 lu• f d . eu es canons, on aurait mau1•aise grâce, n'est-c •Juil ,,.,.m'1lnit il•'io. En , [{ri, n11r fo11ctionnairtt qui " trloiqii. 111 rlr ln ,.,, clièn. il , 11,011d rnranub/cmi-ni pas l ci ne pas supporter la {lèche de voge:pik ~ lmlts ,.,,,,.,,,, 111, 11 • qu• drnMi • l>iui: atec un dir t/r telum 1mbelle- que 1•ous lance la main taquine d'un /ritu ... 1•,, <f, u /ns1,, 11111,,,..1 • '-'P"•r • Vmirm• P"",. moustiquaire. Aussi M. Van de Meu/ebroeck n'a ta 111111, 1 1-1/ 1amais songé â s'en offenser et sa candidatur

Dégageons les broussaliles Je cette notice et tiquom sur le p11ssage de Van de Meu!ebroeck d l'armée. Il s'engagea le 7 août 1914, prit senice dans les hôpitaux militaires d'A n1·ers et d'Ostende el, em'Oyé, en 1915, à la VI di1•ision d'armée, fut a/jecU, à 'a demande, à une unité combattante (ar-tillerie d tir rapide le 75 français)

El 1·oici la citation 41ue le lieutenant-général Bie­buyck rorta à l'ordre Ju 1uur de la VI dfrision J'armét' , le 1"' ai·ril 19 IS et 41u1 accompagna l'oc­troi, au 1·olontaire de guerrt' \'an Je Meulebroeck. de "1 Croix de guerre:

Médecin d·un courage et d un dévouement ad­mirables. Au cours d'une rude journée de combat, pendant laquelle- les batteries de son groupe, forte­ment engagées. !urent <;oum1ses. pendant de nom· brcuscs heur~. à un feu d'une violence extrême. s'est élancé, à plusieurs reprises, spontanément, au 1revers des rafales d'obu~ explosifs et d'obus toxi­ques. au secours des blesses. A toujours refusé de quitter le service actif dans- une unité combattante où il remplit son devoir avec une bravoure extraor­dinaire et un dévouement inlassable. ,

ët t'OiCI le cflllro1111ement de la 1•ie militaire de ce medecin:

l z1oal( du \l .. n i1• 1JI d• li ducmb" 1!119 Le ~decin de bataillon de Z' classe de réser\e

\'an de .Mculebrocck, Frédéric-joseph. est nommé Chevalier de l'ordre de la Couronne avec palme

Citation:

Médecin dont les états de services attestent un dévouement et un courage qui se sont toujours im­posés à l'admiration des officiers et soldats des uni-1és où 11 a servi Cinq cir:itions. dont deux à l'ordre du jour de I 'Armée, Com loi dt ses brillantes qualités de médecin militaire et de l'altruisme dont il a fait preuve au cours de sa longue présence au front .

\Lu XI ...,._ I

SA VON EN P AlLLETTES Pour les lines l ingeries

V

au Surer-kas!arat n'a fat/ qu'accentuer la bonn i:rdct- de son sourire.

,, Tout en prenant ses diplômes de docteur en m~

decine, 1/ ar•ait sui1-i, à l'Unfrersilé, le cours d /'Ecole des Sciences économiques, politiques et ciales. ce sont ces études qui décidtrent de sa vi politique. li commença p-Jr collaborer, a1•ec son in­séparable ami Arthur Cosyn, au dé/uni journal libl­ral dt• Laeken, Le Réveil. 1\ ommé conseiller com­munal, 1/ dirigea la politique du parti, à Laeken, d 1907 à 1914 et de 1919 à 1921 et remplit, d la satis­faction générale, les fonctions d' éche11in de l'inslruc­t1on publique.

Chose curieuse: œt homme qui de1•ail occ11per, i Bruxelles, quelque temps après, un poste aussi honorifique et aussi eni·1t' qu'un éche~inal de la grande 1•ille, a1•ait été l'un des adrersaires les plus acharnés de l'annexion de Laeken à Bruxelles disons, si i·ous 1•oule:, Je Bruxelles à Laeken, pour réjouir son 1-ieux cœur laekenois. Sa nomination d'éche1in fut nne surprise pour lui. Il n'ambition­nait pas cet honneur; il se plaint, d'ailleurs, quel­quefois de la lourdeur de la charge pour un médecin qui possède une nombre us.: clientèle. S'il fut nom­mé, de même que son adversaire politique, M. Coelst. c'est d raison d< ses mérites, étidem­ment, nuus à raison aussi de l'accord a1•enu. lors de la constitution du collège clérico-libéral, sur la désignation des anciens liche1•ins.

Tel quel, il est, dans le cabinet de l'assistance pu­/Jlique, lhe right man in the right place. Cet excel­lent mandataire connait fort bien les questions admi­nistrati1•es et les soucis des intérèts bruxellois ne lui ont ras /ait oublier les intaèt~ Je ses premiers com­mettants: c'est ainsi qu'il compte parmi les :élateuri qui ont fait prévaloir l'iJét J'installer. à Laeken, /' Exposillon Je 1930.

Puissions-nous le conlt'mpler dans le cortège o//i· ciel 41ui inaugurera peut-~tre - celle World's fair ou cette Belgian fair et gageons qu'il arbo­rera, ce jour-Id, un sourire plus heureux encore que celui qu'on lui l'Dtl tous les ;ours'

LES TROIS MOUSTJQUAIRl!S.

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Pourquoi Pa& ? 1101

\vus a\Ofl.'!i m1 .. .ei1 h;Cou\1.-tuttnt, à la poc..te. ceux de ..,.. ~bonncm• ni• qui arri.ent A e1p1r111io11.

,\ou, pnoros ooos alionnt> dP fan• b•in accuNI a la quit· .~nce 11111 leur -;era pr,.. nt<!c, nf111 11'1·\lter de, fra..­nut1I..,.,

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qu" '""' l·h• 7 111 .. rt: il 1 .. fallail birn, d l.1 1•rr-~· c-1 ~' politir1rns 10115 ont <"nkrre aussi fiOU lc111 s O<:ur- et !'OUS

lrurs qnll'-"i. l.11 bibhnlhè•p•~ M la l lt1111hre '"'"'·ntira un ~ran1I 'i1lf" 111J fait r~ \Olr~ :.h~rn c t \ .. t c<•oune Eoi 1111•' pi1·11 ~-cuhrll ol11 mohilitr 1111 l'nlai' ri,- IJ '\: Lii;,n avnit rl1 .. p,wu. f.t• tp1"l1 ~ ;i tl'inlnr;;qnl rlttn:-; \ofJe r~!'-. ,•\:~l tpaj• \Htr~ ,.,.,,,,, un"' i·ni~nh~. RI 111 i·~rnt.thf ~rn.~11· 1.\11 .. ('nu·11I, uu rli"lml ilt• \'Oln• rarrit\lt', 1l'u11 populo qui en ;11ait a-•n d'Nrr toisé rlo• haut 11a1 h'~ ~rand~ bour­l:t'Oi•. l'i <jlli 1011lnir jouer d,-.; roudt s o.ùns la 1i . \'OIJ.>

~''' rl~·\+·nu rn.,uit<' une "'ôrlt-. rfo 6\ 111holc "'flllO~"'. d"unr prtt••utu"' 111 im~irr N d'une ~l<>quN1r,. nmphi~<>uriquc. F.n \C~rl' ((Ualit~ rl'in•titut~ur, \OU< 1•r..t n•li• 1 tllllt <a\·oir. r.•, .... 1 la cttr:-t<ll·ri~lioul" ~ prinr .. irl\C d tt\oit' manzë un d1<'ti•>1111aire Il< 5<> rîi:111i'nl qu'i~ M\Cnl tout. il- rai""n• 1të11t lf.,, tool. ,, 11r,ltl0 .. fi, rout. tln lour heurt~ et en tout li1•11. Il IOlllS "''""' ft11t '"'' foit•: ,,, IOllS "flJIOl'tent ,1,~ 1 hÎrft :- • j!, !11•1OU\f1 Ill lt_, rit <I 1·ou111 I' 1(1 )M•llfT1 1•1 t.•n­fo1H't'lll ft•~ llOI f1 ~ 1111v,~rtrs., r~ ~ni rlt•4 i'\OJOitS d'inno­('t'llli i\'I• tir 1r111-:- OnUVt'llf'"·· )1J11•rtti,,"• r'ri;t ain'-Î 1111e • .. lh •1114' l"'T'?lt'lnnr \()Il .. n tlÎl rrie, \(nJ!t. \t'1 1\r{o dt'·man­til111J.·r J',\Ul'j\()), 11· <;h, ~. 'f•~re. lfUI nr <'en C•t pa< IN>111~ phc• 111DI, · · • 1- olnnn~r unr non.-lle 1·. 1-<:t1n ,Je l~u·n' ,,, '-ht1~('f.PÇ'lt1..-1 •a ·~ lnt11 un falrn• m3l or1~0'"'l~. mal dtfendn. oll' 1l~U\~ft.'s ard1N>ln~1Qllf• ou a<lmini-­!nh\"" Îûlll .•IJ r· pm11\11ir rirn, m~i· I~ ri·-n rl11

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r en Fr:::"l(e 1 On lit dans IN joumau~ q~ li. ller­lJ 1 ma ~·. le pr 'den1 dt la ll~ubloqw a en­

•OH un offoc cr M a """"" m lolaore prt•ndoe Je f<!S 11 ;nelk-s. Pa•11,,. Fo 1rA ' ellr < n esl 1.\, ou'on " rom-

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1~12

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Fourq uoi Fas ?

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• ll1lr>-mo1. • Il . ! • Slunl'fal'lion mu!'ltc du p1 ~rosé. • \lions ! D lcs-m•H olnn : • li -- H~ b1rn ! m .. - Encore ! -li.! -- F11Mre ! - \1. ~ ~ - \1 rti. 11

•:• 11 >'llanta - Jr l'r trad~; el 1 c • u o I' iL> • •· Il parait que le « moi • r<I un p rie-ho h r. Il

d,,} d n- toute, I~ bou 1 s et Clll t p !\C " lk' 1rnd111onnel.

On nou; cite le ea• d' :i m3ri. a c azn 1 ju q 13 porle Je la ' le d' r1I •a !rm " luo se. l'tmb •ant au mnmrnl qu'dlt nll31( ..... , d~ll' la ! u~. eu '"surranl /, l'orc1'!e: u Il ! rr.. 1 nt . ! p

Tout cela e;t ab-olumr~ .•1lh 1111ut.

Noël, ~trennes

)/ /.\0\ fi 1 /fi

Dans les couloirs de la Monnaie

1 Je ne• frèrt'$ abo da !, 111 lrr ~oir, M. Corn de Jhonin. l'un d<"s J1recl<ur• du 1h d•t• ik la lfonnn1

• lion rhcr d1rrcU'ur. quood 1 htu la rln~lll on gt r~h· oie la 1 tMalr, de "r n11n1 ?

- :\ou, ne l.1i- r.' rias ''" r~p 1111on Il é•ole . - \Io~. ljll<>i ? ~·ou• allez jl)urr, cornm. tcl3, Epon

nimtnl ln l'r•tnlt ? ... • \i. dt> Tt1~ran fil au«il~I ~uu1r le m~.t cm ae

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Pcur,::zucl Fo.c ? 1215

Impossibilité matérie lle

8, • , dont la lemme a\ail He q clq:ie peu ioli· dde, \l<nl de d ~der.

Sa •ru•e 1cn. 111~ par !<! remords. <"adr~se l c m~ c!Jum aut Can! Je pou•uor on•e~r avtt le tr~p3 é

LE llEUIUll - f:nlrtl 11.m~ celle cli:imbre 1 ~ir Ua· dMne, d quond •011• 'n1rn<lre1 •lu bruit, ce tcrJ • lui •·

(l:n brn1l se la 1 enltn1lr1·.) A'" un tr1'11w1n <lan1 la voix : « E;t-ce 1ou<, Zulore 1 - 0111, ll~lir. - El• s-11.,a lu n 1 - Ça \I rnrozt • - l'ous n'lk1 1•~• tn enfer, je uppo.>c 1 - \on, m"f1e, non ! - Et• <-•Ou! d3ns I~ pur!;3toire ? - l'.a, non! - \'ou~ ~t<'S d3ns le ('U d , alo., 1 - :\on. - Ou é!eiH OU$, alora ? - Je suws 6 la l'orle d11 paradis.

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a l'hcllrl eomm r.al, <'cmp ' her \:O (" humtur:

• Tr ' h1en, la locaht • ~rommela 1 11 en ~·ad ~"'-<ant au• 01111 1rl> '"' la mmune. r><r. Ion!, JC IMtl\e qu'il y n ~a11ro11p fr1 p 11' ·I' ltf,: N ! •

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1210 Pou:-::;i:uoi Fas ?

rn ore par;:e q c plu• pr I• heux el pl~ 1 11<" Il l éUl, 0 1 lendemain de 13 j;U• rrc, un l ,P de r<omanh<m, d' ut ni p)11, 'rrr \ qu• 11' rom~3113nls commrn­Ç(lltlll i;cnéra1f'tn<'n1 fl.1r nôuS dir1 qw~ la lrani:hi'·e I~ (J\ .1il rtnrlu• r-'1h Ir< N do<,iquc;. Hirn 11.• srmblablc J 1ns le livre •le Il. 1 h cr"' rrnJr•. l .1 eu erre ~ert de d or 6 "'-•' roman cl 10! rle;-or r•l planté par qu 1-qa'un qui l'a 'IJC - mais el~ n'en ~I pas le 0trjcl: il 'a 1 d un pelll me l'S\ch 1 ~1qu•. dooJ la lr~me lait

un peu pen r li 4mmir'1llf ... !,a gu.-rre n'c.;1 !Ir p. c le •uJel d11 rr.m.•n ? Toul de

"" mP, '' q111 en foil l'rnl~nlt. c'r-l un peu celle « [»J· rho5<.' ''" inierre P rlo111 pc:>orinc. d.n5 le mon1k. n'r•I toul il foil r mis. 01 les ronl..:!llant<, ni lrs non-combat­ta " \lai.< die Mt i·t11rl1,.- 1lan< un ' 5 partirulier t 3\er """' r11rtme (inr;ise. !la • 1011• 1 cas. c'#•t un

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<1aH; ~S'lll \\CE. lppart 1 1finc dit, traagt bla­<><9 ârz1inctrur1, founusirur 1fe rr.101 b !~r. Fabric:.,

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J ait olon1.è sa prllk n11nonc•' rn naman1l ri qu'un lonc­l 1onna1r(' n·ail pu lrnrtwr\"' Pfl h :mçai~ les mot~: cr!mgt wtalriog , l fol•ric/., 1111i '·ri.li), ni. mal~rc 10111, ~Ire du ,

C HENARD ET WALCKER Fart•• v o M1it chez. ô a.jenta do \llftlt pour le Brabant 1

R . OE BUCK et A. PISART ~1, boulevard d• Waterloo, BruAtll••

i1istoire de curé et de docteur.

t L ' •IO<:l• ùl l!1 11111u•rl raconlt. ~ qui rrut l'en-1 11drc, la petite h 510.re . \\allone que \Ol<t:

Il y a ilJns noire rég'on un bra'e homme de cure que •Hl 1n\lle il IOU' le> Œraml5 diners. à cau'e du talent mJr<J JDLle qu'il 1l• 1•01r pour Jécouprr 11 >olaille. l.'autr~ jour. au ro 11'11 J un Jiner Je noce! romme il r Il un~ ' et m~. dq1o•an1 >Ur le plat a•« un• on•-­u e ~le;; nce. l'aile, lt blan1· Cl le o EOI I') Jai,<e •. la

u;:i • nte pcl1le 1van •' ol»c·n J que le •hgn .. homme 11"!'41il )f"c; 1111sc;r~ 1f11 poulf·l nllnc ht•f'.., à IJ rar('G!'~C.

\'011~ ne •a\n 1lnnr p3<, rhe~ pcl·tr urn1lomr. fil 1IÎRlll' homm1• 'I''"' le !liOir dr~ nl)('Pq on ne sert pas

• ~I

Buvez le

l.es veux dans l'~ra=el• ..

'" s~lna dt' r \~tQmolulo r;,, toujours 1'1m1taliun flu pr~~<lent. Rios in•. habile,

fait d~ l'aull).<ucct«•ion. lla•.s le 'a<le hill o 1 1 on parqu~ llff aubs - c-h ! plus qu'on ne rJ»11 ! -1:m115 par Je, m.11 ers . d• marqu •, On foit I~ E "ggc ... dP la croix ! lln s'embrouille ! Qorl nmalg.1me ! Je1" 1, Jcwrtt. IJ.11111<. M.1lh\, f'hrnarJ. Panl ard - toute la gamme ! -IAl~y. Bo''l• (l tby. l\cad> .. Oakland. t'le•elan1I, cncorr, lherland. fronkcl tt 1\1. ;,,), 7.edel. Snu'5d ... 11._..,. norr.s ,ono•r., f.t qui Ill' manquent pac. • J~ ~d

\ rhnque Sian•!, 1m •01" imik \ re.:oller d<'S pn p..J.mJ,. .. 111.i ! all<'l ! la • \lir <'<! » èolik. H !'ou alr.rhe d s •. 11 J·~rbrJ " ! Pro•JH'Clu" pancartts que saisie '! -\ttm nt. san- en a1oir l'a r. Pour que l'on "" melte •. à la • Pail.'c •. Ou !,j,•n qu'on 'i nue à. la • GMdn<·r •

On 1<>11,Jrait r. mire ... " l'lfarle1 n w nnc Ou l'on chanle: " 11011 cher cc Îli~nnn " !

0

llrpn .. li l'El:an r:lar.L·. "" mon'nn1' On ~l- mdie dt'. « tïrulrar; » .•• • \ ~rr~- d,, col•"!C~ de • llho1lc •. 101ci l"> ~ Rcnaull •. •n rtMm,

(I.(' p hl tarot •k la mo~c). l::t ~a !inil par .. des « Salm~on • ! \'oit--0n « \agnnt li - à po,le tt\C -San$ le trouver trop di·~anl ? (ln en retire le prdt\~. J:t, cela """' 'o.. comme un ira nt L' « r~th1n • i.k ... IU\t" nou~ attire t.1, J'autre part, r. bt P u~C<Ot Pr. nd ... • 0 "'ge •· mai~ •ans mMire Iles « \'oi,·n •, qui onl l'air « Ballot • ! \'oil'i lu; « lloor~ " - qui 'ont l'Onl 'ile -F;1 r1lc111 rommc du ... « Collon n. I.• rar rn " fla••c • (< h ! ménin~1te !) ~t. pour finir. n<>'on• « \orl<Hl ... . c·--· la foui• au l'inqua1.trna1re. (.M 8UIO$ iMnd Ill (e parr, E1 relui .... i. <an• lrop •'en foirt', \ plus d'une « Ford • à sou ar< '

Mottet Aololoo.

Apprenti les l angues Vlva~les à !'Ecole Berlitz

Sryle militaire.

l.n mohl • Jlcpel'e » dt• J aJ1udant PerkJ(l t • Quinze jour'l! ,1,. ronsi~nr nu soMal C pour avoir

rarhi' par la !rni'lre •an• s'inquiéler. uu prln/ablr, sur la tNe dt que s11p .. rir11r nurnit pu tomt"'1' rel 1mm0<1-•lirr. ~

i- : SPIDOLEINE THE LIPTON j L'bu1k 1dtale pour Au1owol11Je.

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Four;:iuoi Pa:::? 1:?17

Autre var iation sur u n thème connu.

L j• me hnron r1 ·0f 1nlfe son ami ~foudre. M Il llHI'.. - SJi<·lu liir11, Lnron, que l'~m:rnsc csl

un nn.mal lrês !U<ccp1il1le 1 u: r: \1:0\. - \h ! non. tl 11ourquoi rda ? li \l flH t' - PJrce qu'1 Ile rouz 1 de n'Nre p:i.s crue ... l.f; 11.\HO\ (aprt• unt /1bllat1r,n dt ';'[, 1tC'-ndct). -

lia ! ha ! h1 ! lia ! ... ~ ltntl< n1a:n, Ir baron rrnronlrc son ami Raoul. u; li 1110\. - Ili• donr. 1: 11, sais-lu pourquoi l'écrc-

ric ... 1 '"~I un an;mol ~u•rrpl • '! R \Cll l .. - ? 1 1. Je t'a\ 111., mon cher baron, que

j'1nro111pèle .. u; Il \llO\ (prnurnt ion ltmpl). - Eh hicn. c'~I parce

qu" ll· rou~il quand O'l ne 13 croit p.s ! !! 111011 .. - ? ? ? U H \1\0\ (an, ltr ·iMfon n ru nt). - lia ! h• ! ha !

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Le ioli quatrain.

Qualrain rdrourè don• u1w 1ll11>lra1ion 1la!J11l 1lt• 1865 :

Pouf'}uo1 lt11 ""'1' ont ils d'S ailes Ft ro\lrqGot lf't poul"· dt"S œub ! C:'rst que- rr. coq1 oril bn:nn d'ell 1, f..t ltS pcnzttt Ofll bttom cl"• .x'

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La vraie raison.

1< 11 1 al alTi''" 1!, lent du \' r•;;m1cnt d'a11111• J~nt l"mlt'rO:••:

S. I.. R .. \. • la r"' ~al· a .\OH!". I.e comman-

•\ou.~ n'.rnn pa .. rt:ltl'~i l'N1mi11aloire '! - Pat clan, mon romman1J.3111 : m:li.s \'oÏci pourqu~i

j'ai 1hl qu lier l'i-roi••: ie .. ,;, un peu ~ounl, ri Jr 1w suis pa, fl:ll\NJU h fnin~ l'r-xt•1t.•În' rnnn"n;ibl1·111rut : ('haqur loi' qu~ l'inHrucleur com111ani!Jil: • ,\ dro11t ! », j'al­lais ~ g3ur ht.

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hro~ hN. maa..;,, tl a' rul t.oujour1 unt.. ~u1gur H1'tn\ce : ou 1· b • hl'ls " ' r1101•l3lwl pos. ou 11 en a'all n•~nqué t Ol!!i ou qu,1L1~. cl th-.. f.1UH\U\ !

lla1• un beau iour, on l'nvn1t n1 lra,·erscr 111oniphnlc­nlf'l1l lt• rut' 11\!' la nll('t narr~1111 a\eC mouh 1 4'1 •. 111s à 'I"' \uula11 l'tnlrndre. la l'r•s~ d'un mai:rn1lii1ue brorhel de ~" ~ los Quand on rcnronlroil Il. o· . . la omrr>a-1·0" roui••! 1mm~i•h n .. n1 fur t.. • lamrus b•o.-h•I •·

Owt•:uc 1cmr•• "'""" ulle 1 e h~ m1raruleu~. 11 vouu 4, Il . 0 lr<OIH'hlll d Ull w• o• ftJ~On E le n lanl • la maison co01wuo1le, pour fa111 11 déclara1100 d uia~e,

f'h~urcut père lai! la rrnco1.tr~ du curé je la r·· ni!•e : « ,\ prol'o~. M. O ... loure• '"" félicilllion• ! - llo·rci, llonsirur le rur~. rn c'è1a11 un<' Hl• je ne

croya1~ J3111at< l'avoir dd1ors .. : • Il (W.'O<nll loujou~ au brodtct !

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1218

5 s l'a p • dr,1101 ; •aint l'ai; l'a par ~mère. Lo:, d.ln eo nt 1 ont plu• r ortt qu dit> 1 ont P'' du : 1 1 demo < e~ l'ont d u1 fo s, et les mcss1eW'li l'ont dJn! I~ cul lit 1

c «I la 1cure 1.

Automo bilea V ois in

;;:;, 111e 11 ~ 11 u' 1 gl"'"• Oruxelles.

!lte de •a t.aronne de mtre, k pelil ~ L1 • 1 If • •Ul\.lnle :

IJ ' u e d l c:.100 de f'Ol.t

Ou '1er Et• "" Fa re in cr ttft4!.rlon f.t IO rrOAUtue &U ptt<f dr l'auttl; RN' Jf'r 1 ~ iu1~ de ';i nt Prttt Et .~ou r Ut ,-f{' a"'". qup 1~ Pape; En •f'mttt llnt le m itff' d'ocf1n .'\ Nl cf' f11U! là le rit •rt p1u1 ultra T Ar b c• rh.»..•er à la v1 u • d' .o bù1 A•tc fot1 i& pt"nk t t1n t ~ F.t '1 a t Of' nfi •ntt de mondt, C't:L a\"O r e ":!!: r1Ma d ,~.,, Or'

Cl>..lm pagne BOLLINGER PREMIER GRAllD VIII

Motif de punition

D u• ,ou 1 J ~ n 1 so•~at r loch~ rou n1oir jrté sa thll]ti" •ur l,Jtl 1 q. pas,31( par la rcn~lr<.

A nnonces et enseignes lumineuses ..•

A la Lit. 1r < C... tr~lr boule•••' \d.-llu, une a(fi. chcl&.! coaç11e • n • rmc- 1 t• r'"'" ·

rA' \T(' dont OD pàflt -~~ArOLE tl\\,CE r:.\ P\:0-lOt:FLF.S

TOU! ri\t,rra l"homme &" 1.Uft ICJ,

1?1 A la 111 ill(' n·un hr~r 1 1•11• rur Saint-Ghislain:

\f'Ollt:

r~. r

11.ctU alttssalrc r~ur fum~ur l mus.lque

! !1 '=1rr d1•' h 1 t a "· haerbetk :

'I ODILE ctWbrc '\ounte

p:M L r .. ra•• • p~rot •• rannïr 1"ou ... 10-:in d~ J â 1 hevu

DEMBLON Il t>l inhnimrnt proLat.le •JUf Cllesun Ocmblon n"a pa •SS~ de mé!llflircs. Il h·a11 d 0a11lcur1 beaucoup pl11<> qu 1

n ecr11a11 et. depu:s l"a m1H1er surtout. •a plume •ttai roui" e. Par a1Jk u.-.. 11 n<' se 1 nia 1 pas 11tilhr, cl pa plu• l:lrd que la -<enta1nc dani~re. comme ses colle~u. •ocial»lt• le 1a11uinn1rnt "" a qu"i~ apptla1c nt 'a d gnng~la1Je bolchh1qll<', 11 1èpun1la1I a1cc un souri •arra>llque: • Oui. j~ m.e prt•pare à ••!li• rn tailler d, rrouJl:e:!'S. e1 c.e q111 r<I grnH pour 100•. "'c!I que rel !un.ra Jon~l<>mp>. T;lln-r11oi '"' J.1rrr1 ! Yoicz C<'s pec tornux ! Ji! ~ul$ bàh pour ''nie crnt nns ! 1

Il a ,ufli que le pau1rt arl M~lize de •'cmm:1oufle dan• -on cacht'-nrz pour que la gr ppe rcrf1M ait Hein fe hra•1.,. de ce lem;>~rall1<'!ll, du soufllc de son h3lcui de 1Mrl.

~e comptez ra> non plus sur 1~ 1n h~·~lions d" qu. qae sccrtla1re d '•n,olle, prt s~ de croq 1er le :T.ln homr~ en p.inlo"~ • Il n'rn vortJ1t pas. de pantoun ' ~, mbok- hou ~ro , d"une 1 c d'inléneur que u ::rond hême. rai ,i. b1l1ho'l1èquc, lurtl '" de col!rclion> et la m1her J,, cl Jhs politique,. ne connut jama;,.

li••' 11 l'<'-te, de -a 111• 1ntin1e, un fonJ, 11'tul(rilnl el ·~ pl'lilc,• h"lOÎt<». oullu nl1qul's ou h·~wdoirc.. sui <ant Il ilocumcnkr qu1ron~111 11>111lr,11t lur foirt• plat~ da une nnlholo~ie du '<><1nl1•111r 1'1'1~<. Ueauroup d~ ces une doh,., 'ont dt•nu..-,. dr b1rn1r llanr. r t il •w scro1l p s ont de J~; nrorrtrr pr~•rolPm nt. fl •ire 1 quand 11 prcna11 pa' Je parl1 de nre tic se< rmp-&-at on>. oü tra1ta11 pu~l1111rrn nt >es ad1 r<a rco de 11cophwk• r pu("Jnl< ou de rb norl. o' piétinant 1 ur C1cnte. on 1 'oua t dt• 1n1m1llh persr•lanr. s.

Quand il entra à la t'hambrc. portè p:ir unr •a~" 1opuJ-r1tè brmanlc. il se propo ail, 11 rarr1-m31t ~ q· \OUJall J'entl'ndre. Je fou1lro>1r J" ronsena' ur, d·a~ •lrophc• dont il; ne ~·aient plus rel \ês.

\"oic1 comm ni. de, ws pre1111~re5 séan~œ. il prit .an a\r<: lt. \for-1c.

- li. \\o•stc, dit-il. •i j'~r m'e,pnmür ainsi .. . Le >iril homme d·r.wt r•qu1~'-" 900 aour1rt k

J1 .. len1 rt "'" conl<'nh.• ,j~ n•p11111h ..-· : .- \lai-. oc.ri fionr. M. T>r·mh!<>n: \'OIJ~ nc.<·1 lout • \f f\tfr naert en pnl a~«1 pour ~on grndc, m3:, ctl

J Jt 1 on ~ppc a 1 la • 1 c11lc .oqurllc d la llro•l• ». <no1i:g. 11. ~ 1nnJ on I~ nLI 11 dt broranl•. d'ullt' ira: h 111~ lt'brile "' man ~,..tant par drs col~re$ blancht< la pet'I• tir tout .-.ari:-fl'(1d 1 Nc•t1n Den blon ronr.n1--a ellt b1bl~,e rt en hr 11 aunl~~· 1 n 1our qu·11 8\11

loul parllc 11 èrement rharr1t \I ll«:rnnrrl. ct'hu...-1 rlrr«a <ur •on banc. bl~me, lremllant d'indignation cou rouctt tl solcna; f lb >IC peut S'êtalcr au clair sol Je la publ1rilP ! •

Il. O~mblon de rir<"'ler, lero.:e : • Ça ll!l P"UI ~Ir" Io $01011 de m1mut ! •

\ 1Jus1on â l'entrr1 uc q111• I• rhrl du goinrrn<'m• ni ro •rn&lPllr avnil .. 1 Jlmpn11knro n·nr...,rrlcr. â la douii~ heure rle la nui!. au lrop fon1ftn Jlom bni\. D•111 rz 1hinn .i·unc i<0nl11le con~pi'111•on d'n~rnl• rn11ncalrur!.

Ormlol•n. â qui l"on prltuit, un peu trop l!"•~e11 mcnl. une rnnd.:ur 1fo grand ~o~e. M•a l A l'otta•i ~urnlluncr !('• pro.•h1~ 1mi1. Il la 1 A ~p1nrlr• hr&• ; ' un autn- 1 tfran J' "'" p~r11 nd•ur dt 1" ~ tl b th~ ~. tl la mhetth• du ~orumrnl l'rml\Orlaol ~llU 1ur la re<herche du st~le. Il arma qu'ar.!dt par lu

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Fourqcol Fao? 1219

1 f.u!IJd•s bourruts de &oo tompairnon, d<>n t 11 poliliqut rEa sic s'efruouchait .!Mani I· s inl.,mp~ranre- craloirt5 du tribun 1 nrois, cclui-<i lui tacha, en pkan 1 i•agc, celte r~o;c11e <norme:

- J ~i• liwn pourouoi lu m'ro reur ! C'ttt paru t~ j'.1 rrlua de lr:irluire rn r:-an~ais ton derni~ livre

d11 ·w~ ! . • 'frêa !1H d 111 réelle • icrixur phy,ique, Célestin llQU·

lc11111 à 1p11 vo11ln11 1'1 nlrndrc que l'e.-.crime, la boxe, Ir 11ugil~1 •'I la Ml"''" n'.null'lll aucun secr.-1 pour lut, el il 1111 lin 1l'a1I, do111 Ir, mulnirt, de se livrer à dts dêrnon­Alraliuns 11'1i '"""•<·111 ~e l•mr, à distance orudcntr . le~ nwmli•cs d .. l.1 l.han1hr1'. ahurn. s1deros. li arrirn qu'1111 1lt cN pri'rhr" ami~ N1ru1.i:~a. sans rcpond1c?. une ~in, qu'un ~ont1'dnteur, un 1~u ncn-eux, lui a1ait allon~~e.

- \u lon·f, s'kria qu<lqu'un, cette gine, il l'av:ul mfr1l~e.

- rarbk ! conclut l•rmLIM, c'e:,t bien pour cda qu'il l'a inrd ...

" Macbeth " et Demblon (Souvenirs de 1910)

En mars IUIO, le hob11u.:~ du Coft dr la la11t1111t, â lhu.cll s, ic ~11l11t·11l !oui il coup lra1aill~s l'ar un prn· 1 Il d' li : 111 11 c11 rl~hr1mnl r•ns lou •• mais loue 1•11 ~la1c111 a1i.cin1-. 111c 11!/v> supcrrnqu .. nlirure les avo11 illumml!5 : rdle dt con1111andi1,,, u11r tuh•vrisc a~a11! ['Our but J• fair" f<pr nier la trn1lu 1100 Je Jlac/11 t/i p.1r OcmLlon. ~ IJ 1 roll- cl « fui 1r1 qu., Li ruépri,e fui Mplora

1i: - ce n N31l pas 11 mblu11 ~111 de\"a1t inl<·rprdcr llac­Le!h; !llllS ~ .. ~on, noire Û'lc..hn national <k1111 •t <Onltnl r d. IJ••c, à chaque 1. prt>,nlalion. une conf.,_ rtnr\: 11 t ~lfr.m:urr.

comma11d1~ l~I H.1bl1~ sur l.1 h.'-e d' dions Il•

:!·10 [a.in ..'S. 1 UC d1Z'11flC Je h111krnÏCr'.'i ~U~UI\ irer1t, (iUI me parl, 11111 1hx. Il 1 eut parmi eu1 J1·; orli>le, du pincrau, 1!., !1l.,.111curs èn herbe, dl'6 indu•lril'I< chet •Jiil l.1 1?cat1on .i~ \li·l'i·n.i s'NJÎI brusquement révèli'<' ..• 1·1 m'111~ 1111 111•11\ r.11 de lh~Mre, habitué ccprndunl, lui, 1i l'on,i1l1•.r·1 11rc r111~lq110 s;ing-froid les cnlrcpri,..,~ ha rntd 11sts des 10111111'<'•.

l,3 com111nnd1~ l.tis~it d<~ 1c'1.-; !l'or: "" dc1.111 Jon· 11tr ,1 Crux Il a ri1111 rcp1~c111;1t1011~ du thd-d'œun~ d fl~mli1on cl de ~hlk• •t•rer~. deu\ à Charleroi. Ull<' à \Ion<, de ' à \ n1crs, qualr<' ,, L1~t. <le. lJ.lme. pour llru •e 1 s, on •on,,ra 11°" IH matin~., du d11nanthe tt du J<U<u ne '• firo1co1 pli • u11•!a1re la fou~ dr6 spcc~ leur q u ne manqu rllCnl pas J'a»i•'::tr les ::u1chc1s, el l'on d, 1da. • .,, princ1~ •· de donner une matin~ s ~ni mcnlairc le mtrtre1h, jour de lnur,e, car 1011' pcnsrz lorn quQ !cd bou'"'iers allaient ~ ru~ ~ l'assaut J~ hu1~u1ls !

.\Ill~ \1111ëc T1s••nJwr lut engagoo ~ roi'On d1 cinq (<ClllS fronc• par COI h< ( pour iih- repr•;~O(OIÎOO< ft•J lnr: le J'('lnlr" 11 • r•el11ni1, pe>ur H lranra, le cal1co1 lron&­lorm~. par ""' ~n1 .1111• pinceau,, en nappe • de l'~p<>­qll<' • tl 1•11 han111clrr5; !(' drs•inalcur J. Th ... dc«•na·

' •l'admirahl"" co~lumo>. nolammenl des colles do• maille eu <h~ Nlh~hqur, f. l!(ln &Ti1i1 une musiqu<' de sdne. lllle T1«a,dK'r lut coml·lft If# c1duu1 1u cours ilet r6-p~Ll1on" notamm< nt do Oacon& ile parfums rle b ~.11111· '\ir ! ' · bref. If plu< Io! rn!hou<1a•me n• te!Sa J~ lrU16• _e'kr le.s 1oterpr~ta de l'heureux Ctl6ti~

Oo avait abaodonnt le flou! pour I~ ~1inl-\1Jr<eau1 ... .\ lèlles en,.-i~nes que les acl Jns lirrnl prime t qu'un

cou5<:ripleur cl.> deu1 paru qui s'<ta•t rku~~ I• lrnJle. main d~ >.l prom<:>sc 1~ ~ou•cr.;illon !OU5 nrole1te qu'il oait ri·Otch1 el qut IOn a~h~ion 1va11 ltl Utheusement conslruli•e 4 l'ab•orpllon d'un nombN> immo llrf rie go­f>tlrt; Je stout el de pale-ni~. !ul ro11sp11~ d'1mporfance: ,r; actions dflai•s~ lroU\êrent imrni<d1.il ·mtnl pre~urs.

~ 5ou<crÎpfeur ;; la manqu<' rtlnit <<'('>< n1lanl un 'age .•.

En eflot. llacbrth n'eut. à l'\lh.11nhrn do llru~rll">. que •11ialre rrprésen1a11orlt' au l1t11 dr cinq: la q11olroeme réa­lisi IG frJncs de roc. lh. A 111 5l1Îlc d1: quoi on Utcha : « llr!Jrhr p-Ollr indispo·1tion '"

!'"u importait : on allJit •e rl'lrnp<'r ~ Chaderoi. où, ;\ dtlau1 du renom ~ ~h. 1 •p<' rc, l.1 po;rnlar té ,Ju co11-f1'rrncier ne pou1ai1 m •1q1 rr d alhr r la mulhl ~ • . On l~lt~raphi.a rour COOoall" la lvc.at1on : elle 5'él ·1 .. 11 t Ir. 12.!>0.

Malgr~ tout. I~ con!~rt>nder ron!frrndJ, N l<'5 inler­pn!lcs tnl••rprél-'renl: •rulemrnl, las un• el ks autres 111rér .. nl que plu• jan.ais ils ne r<melfrai(·111 ic, pi .. d1 dan• l"in11r~1e Charlt-oi : tt 11 n'y a pa• de ,fnu.e qu·11s li••11rlron1 parole - à moin, que l'attr.11! im!!islible de l'bpo.,1tion qui s'• pr~pare ..

A 1\ n\·t-1~. m~rnf' 1Jp • 11, ir1•·rn111fiahle el total : le d11rlrP rie lorat•on découro~r" 10111 I~ monrle : un 1 enonça lou t unimrn( a \ nver~. ;\ (. ,.\~~ .. rnl1 ir 1111 lrarlur lcur­tribon. on p(ln~a nue- l'<'n pnurrf'1t rnrnfllPt nu mnint1 sur les •'lrrlrur< de Pirrrru..- : on lit fr 0 l'i. unp fausse ni1'r" d'un sou a1·anl ctl· relni!t 1!ons la r<celle, d1.>on&-le lrniMmrnt . ·

\11 folal. cNtc nohl(' rr.trq>rt'<' 11'a11 1•ur m.n~t3 11-s i,:,oo franc• de la rommJn~Île tl la1~1. rn plu•. un dë­l1r1l d'tn\iron :! 000 lr:wrs. qu~ I~ lf,'cAnt• d'<>cras•on 5rrnprr<Atrrnl d'ai'leur< d~ rl'l!ler, '!l jurant, mais un peu t.ircl. qu'ils ne mtc~ner~ nt plus.

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11/Jfllt 111:0/1.Y 1·1111/u 'Jiii' ,,. "'"·'

C1Jlllp1/i/Îu11. /l 11111(119if d1111c 11'11t1it du d11·im r, tl'trpd., fu

Quelle est la plus personnalités

Et quel est le nom­

possède ~ IL EST BIEI\: E'TE.."DL QL!:. \.

AGE ET Dl::. l OUT 51:.XE. QUI TACE, A\J\'.\T 1 A DATE. DE DE RE."CO'.\IRE'.R l'.\'Tl~:E­l TE.:i ET DE. Lt:üR PA'5ER \ wx. so;o.;T f.XCLL:ES DU . \\

.\\ 1-to. DUB015

lmurl1é ptil /·'1rtiri11cr ,; 11ofrr Jiii·• 11'1111 ('llJIU:-trlt cM11oi1<: 1/ 11~11/t Ïll.\jlldÏo11 tfc l'O tf111~ÏllY:

cheve~ue d~s trois ci·deszcus?

bre d~ cheveux que :elle-ci ?

L SS PERSON"lE.$ DE TOUT AUR \lE1-.;T Dl·.].\ ~.U L'A VAN L'OUVER l L ;U .. DU C0'.\('0' H:> \IE..'T CES moi-. Pf.R-O'IN \ L\ \l .\1:-\ D \'\S LES Cl IF. DROIT DE CON-.OLRlR .

Pendant toute la durée du concours, lea cbev~lures de ces trois c tHbrités (ou ce qui en reste) 1uont envel >ppées dans une serviette im naculée, la:iu·lle sera scellée d'un C!lch t au chiffre d u Pourquoi Pas? Cette apposition de sc:lléa ae fera sous la haute surveillance de M. le président du tribunal de 1 in&tance.

Le compte des cheveux 1era fait, à la clôture du concours, par :

M. GEORGES THEUNIS, premier ministre dont les talents en comptabilité se sont affirmés avec l'autorité que l'on sait depuis qu'il a pris le

po1 lefew1le des financea.

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Voici la nomenclature des prix Plll.lll 1 rt Pltl \. - ln bai•rr à dépu,er, par lt plu.< beau deo Trois )Jou,lle1u1ire•. sur

ln lroU d• l'brUTl"I\ ~;O;!:O&QI OU de l'brureu'e ga,;nanle (f:L<Se le (1tl IJUr ('t >OÏi

unr i:ai:n111l• tl qu'dle po-~dr un lroo1 blant qui rou;:i'-e en<·Ore sou• fr bai-cr! \.11.1.n.1 • •• • ......... \nlt·urlr.

:? PHI\. 1 11 hlllrt olr 100.00'J m3r~·p3pic•r. d·unc• ••h•ur r.<'lle de Ir. C.OO•. mai' <1ui. d"'"' Il ;:uerrr, au '""' d .. Ir .t.2.i. repr~ entt . .• .... •.. .... .. •.... •. .. fr.

:!" Plll \. 1 nr rt'lic1ur r .. n·i-1a111 rn unP .uptrbt p~3lanc•• du mc'J'u,. pr<l\enonl du '"'rP' M '31n'-l~noe" ri m•1nl•'c en épinde de rroulc• (don dr llgr le t.vJiool· a~h•"•'qur dt '1 lir11··1 • • •• •• ... •.• •. •• .... •••• .. ..... . • .. Ir.

Plll\. - t nr h.itbe d'nrrnr' •)&ni apparlrnu au mU'f!'A•e Doudou. tri•nîcul du b:tron du l'.u rln ard .... .. •• .. ..... . ..... . Ir.

r.• Pltl \. - l u C"ui--arcl "''"'ursnl 1• 40 de· tour Il ln bouteur de la rotule. Idem fr. 6 PUI\. - l 111• bull~ Il poudre de riz conlcnnnl un llOll dl' Io barbe de li. le dt'pul~ Urnn•

e1u.1rt . • . . ..... . .. . .. ... .. . ... .. ... .. ....... fr. 7' Plll\, l'1w ran·forl<> uu11Jilic,1e dr Jam•• En•or. r<'llré,enl:inl le nombril de 'I. Juk• !.~-

kc' JI p1•ndnnt qu·i1 r1rOllJll('(' un ninhtrn sptrda QU St•nal tétu&.IP d "e,1>r~ ... ,jon: tr\.~ .. rnr(') ~ l'lll\. 1.n 1•hoto•r11:·bie in,tanlnnre d'nn ,ourlr" de 11. le comte GoblN d' lhit•llA. 1ke'-

pr <ll'UI du 'tll 1 de llc'::'que (pl~<r unique... .. • .. .... . fr. !/ l'nlX. l'n• pl " PU ~rumr de mrr. outre ••limr el la 11bolo::rn11hi~ de 13 m~·-·m ou <'•t

1 e Ir l'ion do 1 Poar11uoi P.i ... l » • ... • ... •.. •• • tr. lit p tl ~. - J Ill• ID tUf'l'r Ù "laf:l;re et ,1 n<r<:ifiu:i D)llnl np;iarte:tU it )1. \'an l'DU1Hf31•rl li P !IX. - 1 n • nfr: ra 1br de li. .\ll11•r1 l'nlin, almin;,1ratc•ur de c Pour11ut1i P~•? 11 f1<1rt11nl

<<'• mo·~: c n .. cu. 11uur 111 r. i'"° cl•· prnpa~nndt• du journal c P. P.? 11. 13 •omnre M Ir r ' 1 tl'r•pnrr lai- 1• en bl3nc• •<"r;1 rrmplu~ 11ar un l'hiffrc nu erl• dn i:n~Mnt.don>· IC lrj •• .. • . . .. •• • . • • ... . ... .... . • , ....

l- PI!.IX. - l n c·lssoiiompt' A p~da'e t-t ù m11 ... '.1pw C\f.~l' t'lllm~nchl'ment en ~ë~on nmw fr. 13 l'ltl\. l'orlrail de Il. le th<ralirr do• \ri1•r1· "" clnn,<'ur n:ipo· :ieiu (M111ar lld . Ir. U 1•n1x. t n d1:1 •1 n11 gitrn ..... unp bouarittc• d"nmt•r \ nnd1•r\l'lcif'. dix ca.bie..., d(_\ p:apit•r à c·I·

i;.trc ft•·,. t•C 1111 rrom~P:c• tic Gru){'rl' 11~rimf. fr. i·,, l' tlli. - l 11 •" n11lr111 111• Tt•IGl)bonir Hnn• 1'11 Il 1•rc·11~•lo11 1·1•ntrnle. ... t'r. lG• l'UIX. l'n 111.- do rnr'<r' le flClrtrnil d'lMhe•r OC'llonrr et uu pot dr roulrur 1rr!•' Ir. 17 l't:I\ . 1 "'' ho'1111·• de• 1l11mkorff ri c·rllc• dr 'I. lt• mlni-lrr \loycr,oen .. l'r. I~ l'"I\. - 1 111· •rhollr :1 ln i:rli·r dr i:r11•e•illr•' .... fr , Ill" l'f!IX. 1'11 rh1'lr•1•t ,,. ''uci•-r' à nll~f'11rr Ir• c·hl<•n•, b~n'f pnr 'aint Ct•nri:;r, llnrr'f·O 2? 1'1:1\. l nr 11nillr à d'·bourrrr lr, pipr, ri unr mi•lhnclr infaillible iiour drbourr1•r h'•

tr DM •.•••• • •• , ff, 21' l' :IX. 1 n ttr1•''e' Il l'3il et un portrni1 de 'l:ir'r· \oloinrllr .. .. ... .. rr. .2 PU!'i, 1 n lranr. Ir drrnkr <olumr de, Cl'U•l"l·• rompl~fr, dl' S~ oclrr Pinrou ri unr bct!r

cl met, r .,. ..... .. .. • .•• . • • •• • fr. ~ P tl X. U 10 po tr "'' mou Ir t't frHr, •. •. •.. ............... ....• ... . • ... fr. ~I Pr.I\. 1 01 hln h•lnp ldoo de 'I. \n11:1l!ll, du \ 'nudr1illt') .. - ..................... _... ... fr, Lea f" X e 1 11 1 c rie t ront. en ;

\111.1·u •'11\ 11"'trn .. i 11•-.. d,~ mt•n:i~e; llru' rhnrrll"• :i lrnl'lioa rhr•aliue ri trui• A lu fond, dr phnr111;1l'ir: 1 •r l•·•ift• ;'1 m:1 .... ·11m1 : Jt,"irau.•t~: '\rh:r bnUr., d" ~altrah"..,; 1 11 rio!11w·111': "'tir cent douzr romplrt' \\ 11111rr': l 11 ro,'1•r ~ri11111anl; Dru\ runtlclle• dr rorlcltl<•s; l 11 11 1r:1to11111't .. 1• 1·n bon f.t:lt; J.n \ nh de ~on mntt rt-: l 11 hr~h···:111•11'r R)~ol nppnr!enu h li. ll1•rrlol: l o roc·hon de t:1it:

l:t tlh4'r, o'.1J•'I• dont le dl'lnil 'ot'rail trop ton~. Total ... fr.

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Tnt31 l:(•ni·r~I du mo:it~nl cl•·, pri\ • Ir. 1.~'00.000.­' ou ... di .. un-..: lu million dt•u\ N'nt mille tr:an,·~ ! ! !

LF.S M \1 0'5 DE CO\I 'ERCE AUSSI BIES QUE LES PARTICULIFRS Pl\.,\ E.'T Noe;:; ADR"'-"' EH DZ:, LO r.;. TO:JS Lf.'.'> oo:--;s SERQ\;T REÇlJS A \'EC RECO:'\\; .\1-'S.\ \;Cf

N. 8. - Il sulSra &tlll lcctt:Ul"9 de a.ou• •n•oycr, pour pouvo:.r pa.t üciper à notre concc.._..., 1es tln.x ttnt ~ait pre!ni• .. p<'rtraih qgi parailrool à la premlire p a,ce dc1 208 prochaios aumO:-OJ d u P P ?. Not.c c >aco:.trs J 1.r1:rA al ut -4 aas, ce q-ù permettra a n os lactcvs d a souscri~ d'wi coup, aoa pu an, mais '1'.'lafre abonn~m•nl• d•ua aa.

Dominus vobiscu m ! Le iour d~ l'ouvtrlt1re du concour$, lei lcclcuu de 9tJurquoi !i'as? seront bénis. :t\·çc cronc et mit~. par S E.

M~r Ron ••nt ~· arc~ •<quo rn potlib•• de Tombouctou. L• btnfdictlon_ de l'é~incnl pr~lal (l<q1:d dttotorl un peu c 1w du !r .. 'l .S1ftlf'I • 6ktldra aux rtdacteun. 1)1pogr.1pht1 et v+o:odrun du 1ournal, a leuu plume~, tncrh:rs et linolypt:a. :1in qu'a x abonnh !U!iQU 4 l.a troislè.mc 1.:i:nér.thoo. y con pns h:uu cor p C,nts légitin.e1 ou non lfg1t1mc1. l~urs cr~aoci•r;I cl r ap 1aircs 1 ur accordttir de p1~no. Jeun lncata1ro et lt.:ur pcraonnel domestique

Ou l rtl nous le d maodon1 ui toute aJ,ur3nce. quel ç.sL tn dehors dt !I fi. 7 lt journal btli!e qui pui.U\! olfrtr de p T av;.nt t • ta clumt~!e., U ~up~·ioratè: de- notN prè:lat n1r le prèlat da colè: cil tt"llc qu r1!e OU'H1ta lea yeux ltt plw o erc: \1 AUUl n"lihitcn.s~riou.s pas i Je dirt lro1d .. mcnt à aos lecteun: Prtnt'.z en conf1&Qce DOlrc t\lque; toua t .. autrn. n.4 • .,, do lui. ae &>Dl qc• de la cro51e de b1qutl •

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i 222 Pourquoi Pae ?

1HDI t 1 Df:ClillBRE. - :'\ou. \01lii à qu~lque temps d,._ ll«t1ons all~m ndl'i. :\oui 8\0nl commencé par crier q\lf; c'tta11 un t.:io:npht de 11 l.'auihc. Entendn que nou< nt \on• pa• b1• n '" que c'c-t que 13 !!aucbe ou la droit<" all mande. ~ou5 \Oulon• dirt que e'éta11 un rriomp~ ·~ ceui qui nr méd1lent pa• de Vl!­

nir r;;ori:cr nus fils tl n°" romp3gnet •I dont nou1 Sérions cnnlr 111ts b.co nrnlg11• 1111u~. d• rêpandre le >an~ impur olans no• sillnn•. 'iou! di~1011~: Triomphe Je Io paix, roui simplement, parce qu"on preno ses dé­sirs pour ol 1 nnht"-. qu'on dit 1oln11t1!'N que ce qu'on ""Pfr u Ml arr 1i\ el qlll' nous somm~ hcurcu~mcnt, peui..:1re p r nous, de• oplim1•lro, Il parait quïl faut dkha • r. Lil pin, lt• ac"Ord• u:! rn11bna11t. le plan D.1\\, l\111po •enl •an• l'emporter, el e."ln• l'emr<>rter. 1~ l'emf'OTIC 1. On nou• dira qu'a\<C un lleich•lair de gaurht. on pourrait b1 n noir on 11ou1t'!'llemenl de droit": br1f, quP l'\llem i:ne niant nrorlami\ 11or '1·~ .. 1cction; sa vo­lonl•" ol'..tie pn1·1!1que. n'rn aurait que plu• ile l1n..r dt· sornu1• pôlll rr~parrr 1~ g11crir. 1 h~ d'i\llcmal!Tlr. f:t a s1. 11 c 1er1f1c•n1t dr 11lu• l'll 11111• •111'on a o<scz de mal do \Olr r! 1r Pn S{li-m~mt Cl o'3n~ '<'S OffAÏI'\'! et qu'on nr •011 j '1181s c!air dan• l'Amr •I daœ le• alfair<• fi..., aut c . Qu. d on o la fo~e. quanrl on a rtmpor!~ la nctoire et qu' a la c n-r1 n e dr n'llrt pm• cnpehle 1!'cn 1mpo r .mflo<t 11 pan pour le plu• Ion~!· mp• pou1blr tth11 qui • \o .:J I~ J:U< rr~; on lui rn •ml'"' par 13 lorte, Io forte mfm• qu'il o •oulu pro111qu,.r. S1 \'OUô \ 01 lcz. on 1 rt,-,J inlitmr 11 •te re qu'il fout pour qu'il ne 11111 r 111ortl•r n1 ~11lfrr, ri tout Ir rr<le ••I litll1•

rature, bafo11ill,1,s:e tl rarlota,::1' 11'hnmrnr• politiques en qw'·t;> rie t11Jnù.11 , 011 de lra1lo·111rnl•, 1>11 11'> pe>pular1ll'. .

??? \T~llllf.111 I~ DECEllllta:. - t.tu lie usl rau~menla·

tion Ms loHrs qlK' 1 l h mLre bt-1~ p~rm•ttra aux pro­pnetaires ? 11. 1.1 on propO#c un• loi riour (3quelle il n'a p 11 momdn> -t;me. t Il• lot rsl contraire aut prrn ip • 11 1 ni, 11 le dit ; mai~ 11 f.i111 bitn. l ~ 3\ru1. on 11 ua11 les faire plus ro111rnt. ll(·pui; qu~ la GUt'rt..: rit11h a 1 1nlr:un1 .. ;t 111.,.S f'( If'"= lp1c la rnoral<! (a],· ... mrnl~ir.• rl·p1 n1nr el u dt•< loi, 11up lr:i g1 nnrls principes. I~ pz Îfll'IJH.'S (' "''nti~·Jco .. comlamrwul. tu• :'!\·eux racilitl'­raie111 plu• laid le 1 ·~ur nu $ us l'ommun et aux prm· C.Î • '1. f.n llrnd ni la qul'!'liun •"'I loi1jou,.. celle-ci : L'Et.11 tle<1rr m llrl' la 1c3in • 1r la cai sr de• indi•idu•. L'f.tat se •Ill 1 au•-re. Ge o' .-t p ut~tre pa• l'a• is du pu­blic : 11131 Ir public la:E't l3 f rcc 6 l'Erar. Les ècc.no­m.,le~ rrg3rdent ~He int~rt"I c~ dru~ r•r~rts de b101i p<>uid ntu: ~ rr lier. Ir prnpru!•aire 1f'immPubles. Il• wnt !.on lous dcu" comm<> on rl1t, bons à foire Mizor­g~r Po111r 11 r<1111i.., snnr;i1h:que•. ret1> qui les délen. dent li• ~u;il1fienl 1lr petil<, IP p li! rentier, le pclil pro­pritltn1rf. IA' propr1êtn•re. :irrr •ou pi~non. parait b1rn in~nl<•nl, 01iil pair. ·l11i-lil nu m~•nr nu'nn l'emp~che d• ,-:r· \Mr !Ir' rrr lie~ ! rln drrlar.,: f.I li• pau,·re p!!­llt rrntier? Il n'v n rirn fl f ire pour lui. rirn. Sr• renlM cnt 1 a•S.S• ri h •alcur dt' son nf'j1r111 n lonJu dans ~on p?rttfeu1 l • "~ukml'nl, l'un •' l'oulrr .• n querelk le j'.<h1• •lltlftnl, finiront bien un jour ru ,. mcll"e d'ac­cord rour h pper à ce roi:•. u, ~ ce m3uvais associé

qu'oo apptlle l'Efal. Et toute la roncîliation qu'on •eut crttr kra •aine. à moins qu'tllt ne ae reprodu se <ontre l'enllfmi commun qui f;I, en l.oo !111nçai1. n"t,... m llrr.

??? Stll!EDI 15 OECE~JBnE. - Lœ gens ~ la S. Il. ~.

qu11tenl Rome. Ils onl dll. u~ fois rlc plu>. se mt'lll't' d'1ccord 1ur occi: qu'il< 1.udro1e111 bien Hre d accor1I, mau; que raccord e.t d1f!irile. Gepcn.lant, dan• I<, dii­c~urs qu'a tenus M • .\11••rn Chamhrrl1rn entre Lontlrt<> et Rome. par Pari.. il y a une vut 1nttr. ''"n~ 1•our notrt ci'fhullon 8 nou~ de !Europe occidentale. 1 oil l'acei>rd q11'1I veut. qu'il prho•t entre Io Latins, les ri·

"r~ina de ta Yed11A'rran<t . CtUt de ~u1 nou• trnons rn somm• not lois, oot art•. ne>$ 1roli1,. noire m~rnlc. J1d1•, le fou d<' Berlin vonla11 unir l't:urope contre le Jaune. Il loi1.1ir un tableau horrif1qu~ dr•tmé ,, nou< ;l!lc\Cll r lou~. Il monlrait le mon•lte chino1' cl nou< rnd•I : • Uni<.S<'M'Ous pour dMrndrt vos hirns les phi• pr~­e•eux ! • C'est un peu c~ QUI' nous demande Il .. \ustcn fhambrrlain. el il nous indique un mon,1re orien11lo­t.olchni11e 1uui fll"imarant qur Ir C:hiooi• Je 1odis. mat l>•1utou11 nlus féroce el donc les pallt• a'ec cr1flœ sont rllljA pr~ de nou<. LP coM.'11 de li. thaœ!itr'Jtn. qui pa rait a•oir fortement 1mpress1onne )1. Il rnol. ~I t:• s pr citu~. On ~- del!WI~ pou·quo1. dmhlt ! le• trois gr nd ptuple• miditt't'ran~eN tn ont fll bc'oin: pourqo101 1

n'ont p~g vu SP'Jnlano!m,nl r~ penl: qll{' leur O\cn 11'uill•ur, a tous e~l fonr lion, •i on prut dire. tl.> 1 ur un,on: qut. rlisp~rs1·,~. il• k'1·on1 folal .. mrnt 111n11~.is; nu'au rnntra1r.'. la clv1li>nlion lnline pr.ndrJ un c!!M1 aclmirulok du fait de la rumrn11uou1i' M• pc~-i' s ~t de inlé1M• cfo tous .,,~ p3rl1cipJnl•, L'e•I 1raimc111 dt~ou ra~canl '{"'Ufl(' loi~ de pluJ r~ dol\~ t'lrt la •iN.lc \l­b100 qui 1ntliqu.• à cr• ~ ns.là re qu'il ,fol\'tol fairt pour 11e pa• mourir. •Or Il"' co~•ultollons d~ la mère \lb100 .., poi~iil lr/o• chtr.

??? 01\1 \ VllE I > DECF.\lr.llE:. 1 rai is. auju11roJ hui, I•

dr,1pcau roui:e a ~lé oolc11uclk11wnt ,11 Lor ... aHc c 11 cours ile rnu>ique. ~rclanw1io11~ l'i 1,. r('•fc l'i. rl<.ormv•. il nur~ droit au salut do l'um~e et du 1ou\Crfl•·mrnl lr:nçni,, Cc n·~sl pa> la prrn11crc fob •JUr le drape J

fOUJ:l' .~1 il la r.:re. à PJIÎS: 011 le •nol, fi ln r. •publrnu hien qu'elle ~oit lricolatt, so11111, à l'occa, on. ' rs" haillo11 <an~lant: du moms, on le non111iait ai11~1 jad1 . llt>p~i- le t mp< où lam:rlrne l.l 1~pud1ait du h t du bJkon M l'h•·ld Je \Ille. le 1lrape~u rou!!e a r 1 du rhemin .• \11\ fun1"roillM d< hures. il ël~il u l'ho1111•11r. 11 ~arole pourlanr loutr ~n \Dh 11r 1l'cnou•anl<'. Il f.1111 1lii-e qut c'est parc<> 'l"e 001" l:i 1111 mon< don111'r Fu vieilli>SJnl. le> drapea1a 1hll< i•1nrnt ro111me 1,,. opi111n11<'. I.e< l•llllr< s'cmou:>S"nl, le-; ~nltrs ;,11ln11ris-ent. Ir• aij!I•• ~~ deplum<'nl et let plu• farouch•! rholulionnaires ri n­nont dei bocks en pantou!l;o•. A d•1 ltrrMsr• de tout "pos. Or. d~nr. '1 lh c•ns ::-001 nffol~ ~ l'idfo du drapeau ro piani# •ur un M1imen1 ollfrirl à Par <, rnmrr.e il le !ut noJ?Uè:-e à Lon~res. ils drvrairnt, 011 ronlra re, se l re qut Ot n'p•t ra' 1~ drapNu r<>ll!P ~ui rnnnu1er1 une \11lc ou un F:lat: r"est le conlraire. I.e .!rn~rnu roui:e e.1 pl3ntr sur un pala's. mais non pa• dan• le foui d'u"" rcrnlu­llon. li r!I hi~•~ tou1 tr"llq11illemen1 comm~ un lion "rut drapeau hourjl<'Ois. On l'arclnroe en ml'1ure: la mu'''I'" "'' r~11lementaire. C'eH le drapeau rlr l'ai111J:•sa1le 1u1<r à Paris. Quand un draprau rnarqut la rc!•irlei,ce 1 on· qu1llr d'un cilonn bitn hal01ll~. bien rt ntê. bien pu~. '"ec dfil larbins con•·mab~ nw-ni •h lk. d11e ... ou•, rout de mlme, q~ ce n'ul plus ~•tn iliÏni:rre~•. L'unrnt a, ~IH, rnvie " m3n11cr f'O(c11l<ont, tl l'o~ration e•t p<>!­siblf' M l'Oeddent ae ri.'<)ue en Orient. liai;, tout de mlme,

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1 e.n 6 croire que quand on aura vu de pr~ lirassine, on dra~au, 11 llU6 , leur 5jj\"~l, t .. ur 6ucd's, kJJr& 01tum,, kun art.li~. lcun forbins, l'amb;asadcur

a beau a'appe!er camarade, la farce a\ortera. 7 71

U:\DI 15 llECE\IRRF.. - Les P·3nçais ~1n l ,_. fton­~ de 11'a•oir ~ enlcndu, h1tr, la •o" t!loqurnl<! de

1. ff•rr101 IWn. ! Il u~r r ~· es! malad• . .. hant $Uô­··dé t li Pou1rnrf, li. ll•rriot, qui dl aurrer;" nt "* aud d'aspect, 1 tru •1uïl H nna1 t de rt!ali«'r des I" ''·

"13ncœ DU5!1 ntr11Mol1nn 11 t< que tel a1oco l d'a! [o«l.

n sommr, gr111~al•I. Il. 11••11101. engagé Btn•i ~ans un hompion 11nl o' .11oir.• ri 1fomin iral, y es! allf bon Jllll lfln lll'fl•nl. et c hnq111• 1limnnd1• le .-ovai1 df.li11rq111'r 1l'ur1 rarn, har:ing1at 11nfl fouir, rt'pr ncJr, un lra1n . r~har110· W""t UOt 1 DlJlf"'t f 1,1Ulf'! f'1 Cf'(3 r•lu•Îtut?' for' dt> CiUll~\ ÎU'""

1Jou ' Olr, •l'u r.c lrrmma11 par un b3nqucl. '' rminé 1111· ème J13r Un<' li 1 on,i:ur l"e ICU n'es! pac à la po•tét- dt ul le n onde. 11 l.111 un 11r our·propre lra•.squillon pour

'en ab.si nor. 'J•" i; ns k:o muuHrt>s bd~ ' quo ~ a1~n1 au moins le d mand1e. et heurw1 sont le,, d1man­h~ A quo on l1d1e la p• 1. En tout ca'. 1oilà notre li ros k ndu sur aon 111: al 11~m11, 11 •cul r•rlrr. Cetlt> fo111. 5'lS

•• l'adjun'nl dt' se 11ire. l'armr r•s in<i;:-nc• qu'on dl'­r:ul r'mcttrP J~·m:u~ :1111 no•nraui m1n· ... 1r• .i: en tou' 131~. 11 d• 1r1111 y a1o•r, "" plus d'un p<>rtel('lulfi', da ns •'Ill' 111ten'1 ro111m11n co1•1rnc 1lans le nOtn?. un bouchon. m <Uf'•rllc houd onu. ·

? ? ?

\1 l llfll Ill DEn,11:1111·:. .Il. llr rbtrt, prt'sid<'fll du I• ich, SC! tl/>f1.1I roolre d<'ê olilf .noal1ons ou •los rnlomnou. tous nr !iJH•ll~ pas l11rn. \ Ct.:Ci. on \•oil lnut do1 u1èm uc le r<R1Ua• ollrma11d rst dèmoco atique. l 'n <111pereur 11 ro1, clilfam~ ou ulumm~. rst ddendu l'•r une 101 de ~ma1 sh!. el d1ffJrn•l<Ur" ou ralomn'a' '"' s\ n \Onl 'Rkh1r • nlrt' u"• cru he 11'eau !'I une linrll~. ,fa!li uro ut d< ba<&l los:,. un monde sur le dan ac• d~ ~urs 1" •IGol§. Qu'un rr s11knt de Il pub11que, chl'I d'Etat. se di-. ende commr un ermplc p~rtk11fi<r ri ! •oit mt'n1"' con­rnrnl. c<>lo r.cut sal !Jorr I<'• alhmts d0 g.1f1lc lla19, dll on1l, 11'r,f.<:~ ra• absur•Je ? tÀl-ce que la morale d ... U!1• •, 1f1c journa1J\ rt rk \1. Toul·~llondt• prut Hre I• ~HIC 'I"" r.11• 11'un homme ~u1 \'tille <ur dr• m1ll1011<

l cl"< million• d'homml'5 1 [•:cl CP que ln rnorolt> de rt:1, t l , 11111 ron•~'l'"''nt , 13 moi .i l<> dN ~Pll<S nui conslt lurnl 'scn1 ·ell""'""t l'E1 .. 1 1"'"' ~l rr 1.1 m~me qu<' celle du im pie rilo1Cn ? l'o\0115 ! 1 e rrwn<nn~r « I J,1 r~~r._, d•' l.1 iplornal11• · I• meurtri tl l'a«8"•ina1 •t>n l la r~glr• Je la ucri. : ultoma ra/111 l ·1 pof111que u1lc·rnatie>nsk-. !(! '"c· ti6 (~tllll t' IOUl \101'11 1 J j:trfZ·>OU' un hommr ~Ill or.• I MIC Il la! tl qi;J 11-0tt Ull!JlllbMI t( ro!lro ~loulfcr tout omme un liommt qui n'c•t rcsponnble qu;i dt lut·même

tout au rtus ~ ~ l>c!u11q~ ?

11?

lffillCRF.nt t1 r1f.CF.llllRE. - La Chamhre rrançaisc a ol~ l'amntt' e On Jc>rD•l s'embras,.r. L'q"111gc t!I '1n!lrumrnl ile rho" dr5 J!l'anJ• hommt , du JOllr. \IJ1s out au m1l·ns lu 1nuu•r1~•. eu , , ne •onl po1~ rontenh. u·c,1 .. ·e 11u'il leur '11111 fl, • in1IPmn 1l~'. pP11l Nr,,; t t es txcut;u et .i11••i ile~ dl'rorattons '1 a1-. ensu1IP :<fi· ont 11~ •a~r•? fol' J.ourgM•~ - m'me p1rlrmrnl~irc -

pru r du •"•olullonn31rc nu couteau entre lrs dent• . l 11 lui ror.tonn1•.

L'ugnl':ln n'ava11 pas tu l'idée mgfoieuse d'olfrir l'am• i,t~ au loup.

k4 manourit1 tl lu drmns nt 1tr011t paz rtndUJ

aa 12:13

c Pourquoi Pu1 > U1 en nnte, OU Le Vl!~DRl!DI ~ATIN •••• kl•lqHS 4• la .... da Nord et d• la .... d• p •• L •• M., 6 Parlo.

Une 1olufon Mon clttr " r•our'}IJO l'..s' . ,

~o lrouvn-vout pas étrt.n~fll 'lUc!l la deatinAllon à dooner • UI ll•rr1\01rt>3 d' f:upen}.blmc!-dy lroubl.ii n~ hon1n1ea pGhl 1quq l ce pomlf

ll1 n• voi1nt pu la uule 1olullon log1qr.1e, nu l1quelt1, J'a1llf!ur1, le ~mie du Uaut Cornm111a1rf' du R(11 1 or ~nt6 1'tal1qul'rn"r1t IC•tJ •dmrn 1trat 011 ca la pcu1,f•ot. de Ltaem· Lourg'°"· 41U heu dt> lk'&•• ou dd M n Id eus

Qu'on ratt.ath~ Ruprn 'hm dv au firand l>JJchf dt Luxem· bou.rg' !\DUS •urona ams:i 1"11Ju5 oo d ua t-:tat tampon ent re Io lloc'iN tt nou ..

Jt temple IW' "OUI. c.htrs 110 1-t a rH pour lancer mon dh, tt fOUS prie d'a;:reer tees u!ut hona ln p u1 dtttiD· goks.

l'o ~yaac do la Wardi1 ~o" e•• D\ i< <1u'il ! a là une rd~e p3s Mie Ju louL

r ( 1. l ) l \'[ ir.

Lésitime protestation. - Leaitime protutatie M1Jnhtaeu ,

Jk pak do hhl'lrtl"lt U te argnall!er(IU JAi. Op d.i1 ltltOÙUS d1e nu in den S.-ifon van d .. n .-\utomolu! m dr C1111panlen11r1 lHkpotierrd IA, er uoot •u•ulerm·nt ln rruu \tor,11:11e Porte de ~amur lx.lies, tn n1tl de trad~.t1on 1n damuJ1 'l onntole· Jt :-..i11n1ur l1~r1. .. Atsrl1t

?.tft tttlf"n 11ch d.a 1~ da ion moeten r.tUt'Q want andtn ~ljo 111• dt vlom1cht .,1 pdel" JH"td p lot I.e tO(t goc.n, Jo1J1 lJl.

dane fur~ one \"01ture te rr•mp«rtn , h,?l• u.luut1oos

Plljt ~Dot.

Lu membres du Cercle" dea Ga mins " de Wavre br• 1924

Yl)n dua • l'u.,. '{1.101 l'.a ' •, J'h1b1&• )hmbre lkpu1s plua J• ' ngt am, •t tout te qui

\outh• i • mt.mbr• • m tnier ue, rain10 lonitu ll 1"1gl\. d• m1mlirn1 Jet • ù.amins • de W•vrt:

Il t1t OfotU•n que de dtiux ac~•pt on1, ._. pum1ioui qui se ptl ttnlo i\ 1"espr 1. Hl tou,oun la plu.1 n .. t m~I t, e"t'at à. d ire relle qui d~m1u1de • l;i pt!n$êo le 111om J lffurt ''-·'' s1 le 1•« rtur l Ir ttr\HU à l'emrers, \• t ëv d mm nt I' nHraeo qui • proJCJ.1t. et JM·1nt «- l~trur l cornpuhcn'IJIC111 l•nt~. 't!>L

la ften•'~ cngttiiJrtt par :e pla1 ~rand rffotl qu1 prvnd plac:• Il n'nt donc p;.t "'"nn.ant que \Ot ,. rorr nd.ant ait vu

un membr• qu•tC'( oqu.: dt1 corps bgh .11 où e tommun des leci.eun • COILpn11 um. dtf6CU!Lt cp'11 1'a1 UA l dt-• me-ml . et d~ cercle.

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Fourauoi F a g ?

8 . cependant •otrt corTtlpondant 6uit poanuiYi pu l"id !u d"oc .!ort dt rrembra - pe-ut ltu IOO t nfanœ echè"' t"nt ~n~ pat.Ife a t ru 'es ,:- cella d"un pot.ch nd't - oo poor n t le t<.>Dtf't:.tfr t.!I spttiE.u: q e po;Jt la traTao• dr mon t..> e. e!o membres Jô!l5 • Ga.:mm1 • H h Herunt d'abord •ur ln Kti.Un par un effort dr jambn pour atcrochtr t:n.~itr l~un l&utcrnra et. lenr' gn~rtandlt par un rffort d11 l,,ras

Cordialement, G C.

Eulo•nJu. Eukndu. 1\vw ne \OUdlll>R.! vas \OU• conlrarlt'r •••

Souscription pour le mémorial de Gaillon fr ~ ••

l..e mi.JOT Rwu.J IbnfrE-Ji;Oe ffo b Ch \ '• e.Jl'fô.ç

du ch1t "" Je !Spramc..nt s.a soLW:r pt • en LommR~,. ~us mll;n16•1u12 oChc.eD tuu1 de ,;, 1.m, flUC' J'a..J • u l'bonn,ar de oomm1rnùcr • W -

t.. l.f!Dfrnant '.\apoléon Antoic1e, d~ 4~ c'ta.ucur à r .-d. \ B 0 , ,. .. «= sa n-çr approbat on 5 -

Cap ta r.t Maurice Denis 'ZO -li E.. Cuton, a.-on.t 1 T rna1, l r t nut dt res..

do 3o ch r a p .J .;. Nd a d• Ga l011) 10 -li J \ a!tttf'. J ' t.eo.anL d"arl n r ad ri. ilra·

t r inr tor & 1 nous rtt.t d'\T r· , L f.ffic tn('<" a ucsoa, t 11uL q (' lc-s autr s'en

C";(' en&. C1 JOtC&. pour le mc:mc.r1al de ~& Ion • .5 -

Fr. ~.IA>-

Chf1onique du Spof1t e •.. :... rr, c., u • ~ u d p -., L"tl:lpe 11ou,clk- a tté !ranch• Ir~ alltITemenl, rc­

conna "oos-1,. r•ar oomt.re dr • ' ' » du monde J. J"aulomob 1•, dr \ÎCUl, lùujour, (l3 Jl:nls el jeunes -c'c•1 à •uu· 11uc je pcr1>e, Il. I.· co.11k' Jnrq•h'S de LÎ< de­kcrke. baron l'irrcr de f.ro"h"'· tle fonl?. Ü>rar Engk­bcrl, Joas~rl, Goldsrhm1dt. Wolrar! • l con,orts - cl bien 1110111> •a.'lamnwnt. 11 Î.lUI ~n rorm·nir. 1>3r de~ jeune• hHJ• : déja hi~n \ICU\ rt 11ue h-~ IJ•igucs du S..lon on1 rnl! •ur I<» l10ukt-.

Ici nous c '' f'1\"Ç aucun oo:m: mai .. que ~ min ' d I\~ tl q ' ".. l· . Il ttnd"s !

l.f1 follgu~ °'>f• <! ? \lai6 GIJÎ ! Onze /'our5 J. " h r J labour •, IOUI iimpkmenl; d'in­

l""r111111a 1lt·s cr qlloluiitnn ... promt':uarle-;. 1·n rond. dans I• hall du ( 111quanlena1re. pour Ir, 11ro!e->ionncls du « mé!1cr "; d'rnen11ni.:. el r.1•hrlir11\ >ur-place dans le> ~· • ''!$ - 6 ! qu~ j~ \OU~ 3j plain•., p.i:!oi". 11~-,·eur, lrs ~ \. it ... (onm1• rri:un ~ po"-r,~ r.,,, ! - pour le--- cin~ rvn('S d .... r1rmr• npo•3r' ~. cl IM i! jeuntrs ù':R•ireo impos par le.; tr. di11or.· uu 1 s RN. •Il•' du moment . tl ''' b n 15 .~!ic "el< •! olil ~a tom' !

.\1 s. \ " rorrprencr. 1 s ,ritn§, 1 • \ICU1 Il. P. de "• 1r q 1 • o t fa,• k• dl\· e 1 S•lon~ p1 .-cNrni> J iv • u r il t:ll «:1.1111 rntrolntrnl'11I, d'une exp~ n't rf. pa r. (t il~ tloiu•n1 3'o1 11 ... 11111•$ ~ ~ux ~·nur • l•n1r li roup »: m,11 .. t~ :111111 ~. 11,.., noinNlUt \'~nu~. :"~!. ( ~111i uril 1ft\r('OU\'C'rl 1'i111lu,.uu.• 1 I If" rontm{)rCi' auto· mo~i' ·'"' 1 •ir<>•" tle l'.1111 l!ll!I, "b ! ceux-là. l!, ~ 11~. ~1 nt .. \ . d1 t, 1 li ... wi ('D:ptS !

E! r"• ~. <rne loi, .!< p!u-. '·· pc•11 père t.harl-s Lac rois· R r1: r 1 qui 1 1 1 •11 J 10 • rn un• phra • J , t Ir •

Il ma d

...iut dt 11 c.ourse. il faut: 1• nt pa• <tn laiN': ~ a'oir le.< jarrtt• rnlra.n•, sur la d1•ln<.•"<' du l.·atbon • .>" • 1 111r • a\• c a•c.:'ncc l'.! .. n ultln n nt •c 1 :re dt- 111 :1.rd tl 1 •. n a~num J~ mol65tU\ !

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Pourquoi Pas ? 122fi

t 4111\1•1 ~a11or1 cntn: Jos• (4 an") en on monsieur en 1..111• ,, l.i rnnl!'.>on:

l li n".15 Jll.h uw~ r1•f11Jlll'. tni '! \uo. ""'" p·111. f!u• laal Ion caf, Jlorto 1 ~l.1 mctt: 1 u \OÎ~ l11t n •tth lu d!il Ulll" lt·mmt' h,.in !

l? '/ lruw (Il ,111-) ..t111lie sa fi' a11rn1:111r. E:ll" "1lhr1l1 tl1 'a

u"rn.m, 11111 IH111I•· ·• :oit·' rM1'·i;., t111l• t•tplicallon. Cr•lle-r1, •11j1.11 r 1111.!li(•1 lui réphllll :

" 1 u t fPlllJ•I 11ul-.. j'.1l l'l111l11• l,,ut t:rla Ùall'" h h·mp:o1.. u 1111; 11 pu .. , je 1".ai 0•1li1il• ».

\,,, • \1t111 frtH•l ·m nt . .. l.11 ! l:t •11, "' \""l pom 1 .. uhlu 1 G 1'v11 1t1J11!- le f~ut

? ? ? fi11~··Jlt• (!J Ull>) rrcque11le 1'1·rnlc Jll'llllUlrl do• 111 • pc-

ik 1 01111111111e du Lenti c. So•s p;in•nts, a'anl 1'"1 rlu l.1 loi 11• l1•111s nnrHres. font r il 1h>1>1·n•Pr du """'" th~ rdi­Îo11, qui 6e donnt! lou J, ~ malin ... au ditbul 1lr la cla .. ~e. ~us 11t \ou1lrnit l1i1•11 .. l\Otr cr qui ... :~ pa~ .. r. \u!'oo .. î, un

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\I. le (mdtun• n:•mm .. n~ ... , •u,i iivur du t, n:lo') tl \Io ,Jamr, •111i 1i•·nnenl d'arri1er de l'ml~rieur ri ton~1.1lulo·nt le. Jl·•rt·nl• a l'occa>ion d .. J,1 rt~•·nte auirm•·nl.111011 de IA r,~n-!llt•,

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pnndu: 1111nn1I papa hnl. "n lui r~pond 1oujnurs. LE C0\1\1 \ \ OAH Dll Œl11'.L•:.-F.nl111. f/.rrirai enron.,

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1226 F o u r q uoi Fas ?

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lrur 4ulrcSSl t dtc l'OUr•l\ tuais cordial, hlN.\~t'ntle: c ~~ou• h•ni.nl tlrci1ts tl1naut \'OU!-, Mtsdem01!-r1IC'~1 11011t

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• f..a nr1t 1h J nf rnalJOrU.) \ ~Ïal&Qn of Journal li <JUI qou..s tn.1te •• fraternetlt".tnt"nt. ~ardf tri \-Op. .. , ~tiss Nnld·cta, .. ! nous J'rn Hl c tons haut mtnt la nillante. l'Ü'toom~rablt iteCfl' tairt1 qa1 Ja d1r ~a si hien qu•enf" admira toujoan

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i..~ .-trac•rdinair<~ 1vu11w11>1< •IU ou edi.lh perwJ ~u ""'m par !.> rMnde -ou• coultur de c<>mrrr· Jç pre.,... ,., a~trtnl leur pittore-q1H', poorlaat r•l··brr uni\e,.,..;ll m•nt

711 1111 \, '''""' 1111 :\tJ 110.,·mlire (• 1.,, rfl1'3Île dt> \1. B~inz

"'"' Sa\1110 11. par \laursc, •I" S<-11) • (~otum l'1rg11e, l \!oil JPOne t! nl'nf, 11 ,ntc.od pJt_ure

11· c.·htJ"llW> ... t coruut•· ~ur la harpe.- J~ l...unntmr!, f'lut~ la plumtc hunuune \ïbrfl sur ~ou ''1olon J' l nR:tH •

f 1 plu:-. ln111, d,111-.. 11 11u'·111 11111 lt 1lu 1111~1tll' ;n1ti:ur 1 111 r1•dllnt· 111. li• rnl11 1"''11 I~ .. 111:tcl111u .... ;I nrltn\l'r lf'S 1'lt1; ~1 fechOntl,..' :

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1 1 nd1 l'>mhan1 tr•uiour- 1, 1 11 !1 mam dr la \"l'ÎI Io lï1nifre lihl-m/~ .toit Nrt' \lrfllll• rlu l'l'pO• olominic~I

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.l?ourquoi Pas '? i:l27

l,u sur un lui tt lLI· :, 11,10•~ (''Ill '• 1u .. ~ 11 Frarte1·) !.a loi pun1L lrs <0ntrorac1 .... n dd trava,. ford \Ion<, qu"tlle 11un·••C lts mar • •1ui •l'nn• nt la " 1h11

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i 228 P ourquoi F as ?

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Ve nie par souscriplion de 7. o o o aclions sans mention de valeur nominale

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Le prix de souscription de 1,075 francs par âction

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La souscription sera ouverte du 15 au 30 décembre 1924 inclus

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