tome iv - cyclos-thonon.fr

Les Clampins en 2013(et les Clamines aussi...)

TOME IV

LES Clampins en 2013(et les Clamines aussi...)

TOME IV

jean paul morin

À mes camarades Clampins (et Clampines aussi) de cette époque glorieuse...

2 LES CLAMPINS (ET LES CLAMPINES AUSSI) 2013 LES CLAMPINS (ET LES CLAMPINES AUSSI) 2013 3

TTandem ! C’est à dire « Enfin » en latin, le tome IV des aventures des Clampins et des Clam-

pines aussi est paru ! Hélas ! Nombre des (excel-lents) comptes rendus des mois de juillet, août et septembre sont définitivement perdus dans les méandres positroniques d’ordinateurs obsolètes, ou n’ont jamais été enregistrés.Fort heureusement Monsieur Garmin a fidèle-ment conservé au moins les parcours.Nouveauté 2.013, car il y a gras de nouveautés dans la chronique des Clampins, ces traces glo-rieuses, sont transposées sur des fonds IGN plus lisibles, par le truchement d'OpenRunner, et la magie des copie d'écran, mais quel boulot ! Il faut espérérer que le cyclo-lecteur pourra tirer profit de cette collection de trajets affinés.Toutefois, je ne suis pas certain que cette initia-tive aie un quelconque intéret.

En 2013, la photo numérique s’est définitivement imposée, les images sont donc plus nombreuses, le choix d’entre elles est compliqué. Dans un souci d'honnêteté historique, toutes les photos (hormis les frontispices mensuels) sont d'époque.

Dans ce volume, les exploits des Clampins (et des Clampines aussi) sont émaillés des sorties Club, les deux sont indisociables, certes, les sorties du di-manche matin - sorties club - sont fréquentées par le groupe « officiellement » appelé « Les Tou-

ristes » ; en semaine, ces (souvent) mêmes Tou-ristes deviennent « les Clampins ».Ainsi, nous nommerons Touristerie les actions du dimanche matin et Clampinades les sorties dans la semaine. À cette époque d’ailleurs, ces-dites sorties de semaine, ont lieu le mercredi et le vendredi sauf décision contraire imposée par la météo.2013 sera l’année du Mont Ventoux gravi une dernière fois depuis Sault (Sault 6) (!) Avec la re-montée des gorges de la Nesque le même jour.

Que les Clampins soient ! (Et les Clampines aussi)

Retenez : « Contentia contenta ! » comme le proclame la devise de Thonon, c'est à dire en bon Savoyard : « Heureuse dans l'inertie. » Ça s'invente pas !

AVANT-PROPOSvous voilà prévenus !

(Informés pas inculpés !)


Pour bien commencer

Orange mécanique ?Carte de voeu « d'époque ».

janvier

LES CLAMPINS (ET LES CLAMPINES AUSSI) 2013 7

S

Barbe bleue et la clé magiquemercredi 2 janvier

Parcours du 4 janvier

Parcours du 2 janvier

Six !

Nous étions six !La foule pressée au bord de la route pour nous voir passer borborygmait :« Ce sont eux ! Ce sont les sextuplés du Bas Cha-blais ! Gloria ! Gloria ! In excelsis sextet ».Christian à Douvaine offrit la dôpe servie par une créature fondue directement dans son djinn pardon son jean quatorze tailles au dessous de la bonne…La mèche écarlate et la fesse ronde !Vous narrerais-je une étrange coutume en cette contrée lointaine ? Oui ? Bon !A Douvaine pour faire pipi au chaud, il vous faut demander la clé !Banal ? Queue non poing, que non point di-sais-je ! Vous devrez demander selon votre sexe, la clé des filles si vous êtes une fille et la clé des garçons si... vous n'êtes pas une fille.Gérard qu'a voulu tricher a du se r'tenir !« Bref » comme on dit chez Procter & Gamble c'est pas tout à fait l'histoire mais presque.Cinquante kilomètres parmi les meilleurs du Cha-blais une chouette bosse au milieu.

!


D

MMes bien chers frères, deuxième sortie après le 1er janvier.

Trois, comme dans la sainte trinité pas de fille.Nous étions trois sur les routes du Bas Chablais.Circuit court !Nous conciliabulâmes donc décidâmes d'esca-lader quelques bosses ou l'institutrice lors de la prochaine sortie…Je veux dire escalader quelques bosses OU pousser jusqu'à l'institutrice…À suivre…45 km pour les garés de l'église (pas l'égaré), soixante pour les ressortissants d'Amphion ou des hauts de la ville.Temps magnifique, température clémente, tous Pour rigoler zoomer sur Essert en mode satellite ou non, vous verrez que nous n'avons pas pris le sens interdit !Puis zoomer à mort sur Douvaine et vous verrez les tribulations de pauv' Clampins à la recherche d'un bistro !

Trois petits tours Quatre cent vingt et unvendredi 4 janvier dimanche 6 janvier

Damned !- « 6-35 7-65 14-18 39-45… Bon Dieu c'est

pas ça ».- « Quarante douze vingt quinze, Bon Diable ! C'est pas ça non plus ! ».« 37, 5 Ca marche pas ! ».- « Va voir chez l'boulanger s'il a pas une scie à métaux, un coupe boulon, un chalumeau à acétylène, une cartouche de dynamite…»- « Vise là bas un mec à cagoule, il doit pouvoir nous dépanner… »C'est c'que mon GPS a capté de la conversation quand au sortir du bistro, nous essayions fébriles d'ouvrir l'antivol à combinaison qu'une main obli-geante avait passé dans nos roues pour assurer la dégustation d'arabica en toute sérénité.Entraver les montures c'est bien !Mémoriser les numéros à roulettes c'est mieux !

C'est ce qu'on appelle « ronger » son frein !Rien n'y fit, un canif, des jurons, des tractions en souplesses, des secousses, des tiraillements, des rotations, des prières !Rien !13°5 !Ca y est je me souviens ! Le code c'est 13-5 ! Comme le Kiravi !


Q

Le départ place des Arts : Louis Borelli est en « te-nue bourgeaoise » il est venu dire bonjour...

Quarante six kilomètres chacun… Mais des grands !

Nous partîmes quatre par en haut.Comme nous nous hydrations, en cyclos posés, à Douvaine, nous fûmes témoins d'une appari-tion ! Il n'y avait rien de prohibé dans le café.Peut-être vous ai-je déjà parlé de Loana.Peut être ai-je, par le passé, évoqué la délicieuse institutrice de Veigy.Mais jamais ! Au grand jamais ! je nu pardon je n'eu à chanter plus ravissante créature !Dieu créa, dit-on, l'homme à son image… Certes ! Mais la femme ?Où a-t-il, dans son infinie sagesse, trouvé les plans d'une telle merveille ?Songez, blonde, le poil, LE cheveu blond bovin, frisotté, l'œil exophtalmique, la lunette épaisse comme les hublots du Normandie, la lippe char-nue comme un steak haché…Vous dirais-je sa poitrine, ballotant au rythme de sa marche dédaigneuse comme se balance la trompe du pachyderme quand il hésite entre la poire et le fromage ?Cent quarante kilogrammes sans os juchés sur talons aiguille !

Pêche à la baleineMercredi 9 janvier

!

Ainsi délivrés nous Frume pûmes rentrer (tard) au logis où nos femmes anxieuses, se tordaient de rire les mains d'inquiétude.C'était la troisième sortie après le premier jan-vier… La septième après la fin du monde.PS : Pour les initiés, et pour achever la conversation que nous eûmes à Fessy « Père gardez-vous à droite… » a été prononcé par Philippe le Hardi en 1356 à la bataille de Poitier et non pas par Thomas Hollande à la télé en 2012.


DDamned !Votre serviteur a voulu tester sa hanche en

bois cet après midi…Pas le vélo aux fesses, les raquettes aux pieds.La raquette, c'est vraiment… Bon parlons d'autre chose.Pas de bistro, pas de créatures en cuissardes. Rien quoi !Vivement l'vélo !

Tie breacksamedi 12 janvier

Mardi 15 janvier : il neige.

Dimanche 13 janvier, il fait mauvais temps, vot’ serviteur reste au logis.

Le collant gris constellé de fleurettes grimpantes entortillées autour de cuisses de sumo…La botte au genou…Mini jupe au raz du dessus d'une fesse mongol-fièrique…Tableau.

Pour les pros : parcours ci-dessous


Waterloo morne plaine... Tout est perdu fors la trace !mercredi 23 janvier Mardi 29 janvier

Mercredi 30 janvier nous sommes quatre, le compte rendu est perdu.

Nous sommmes trois, nous ferons 50 km le compte rendu est perdu.

Rien d’autre que l’enregistrement garmin ne subsiste de cette sortie... Put être étions nous quatre...

Serge Buffet et vot’serviteur vers Colongette.


C

février

Vendredi, 1er février : il pleut...

Un deux ! Un deux ! Un...

Camarades !Deux pauv' Clampins c'ta matina place des

Arts !Arrive un cycliste « de l'extérieur » :- « Pardon messieurs, on m'a dit qu'il y avait un club cycliste… » dit-il.- « C'est nous ! » clamâmes-nous à l'unisson ! (1)Ce ne devait pas être évident.

La Bise elle aussi s'est levée de bonne heure, aus-si fis-je demi tour au bout de 500 m…Vertuchou ! Ça réveille.

Ci-dessous le parcours héroï... que je fis.

1/ En vérité il ya avait là quatre courageux cyclospor-tifs qui répondirent itou.

Dimanche 3 février

Parcours de 1 km 75…


E

Mercredi 6 Pas de vélo (?)

Vendredi 8 raquette. Montagne des soeurs.

Dimanche 10 Froid.

Vendredi 15 Rien !

Dimanche 17 Froid

Eh ben voilà voilà voilà voilà voilà voilà comme disent les interviouvés à la télé… Le vingt nous

étions dix !Dix comme les commandements du Très Haut, Très Illustre, Très Eminent Grand Klampin.Dont le premier :- « Par dessus les bottes de l'institutrice tu ne lorgnera pas. »

Comme fortuitement nous passions tel Fausto Coppi, la tête dans le guidon, à Veigy Foncenex, les plus perclus d'entre nous firent valoir leur droit à la pause café…Nous entrâmes dans la première buvette venue, sans la moindre préméditation je l'jure ! Nous tombâmes alors tout à trac sur une créature ef-filée du meilleur genre, assurément bonne chré-tienne.

Les dix gagasMercredi 20 février

En ce temps là, vot’serviteur partage ses sorties entre le vélo (en plaine) et les ra-

quettes en montagne...Il y a donc moins de virées à vélo que d’or-dinaire.


Une madone revue par Giacometti… Institutrice dont je n'avais je crois, pas encore parlé, éducatrice spécialisée de son état (…) la sainte femme nous servit la dôpe.Vous la dirais-je ?Un coquelicot tendre et diaphane, une corole écarlate sur un bout de short de rien du tout, dé-chiqueté raz la fesse, sans ourlet noir mat, mor-tel comme le péché ! (1) Mini short serré sur des collants issus des abîmes de bottes noires itou comme la suie de nuit…

Samedi 23, il fait très froid, pour la première fois depuis sa création nous n’irons pas à la Plantation des Oignons à Goncelin.

Vendredi 22 février il fait trop froid - 2 pour cycler raisonnablement.

Dimanche 24 février il neigeote le matin...

Mercredi 27 février, nous sommes quatre, nous avons parcouru soixante km le compte rendu est perdu. Pipo, exceptionnellement était venu avec nous. Il a réellement pédalé d'une seule jambe !

!


V

Mars

Vendredi 1er mars nous sommes trois, nous ferons 58 km, il fait -2° le matin.

Nous rentrerons à la nage comme le précise Monsieur garmin (ci-dessous).


Réunion de début de saisonVendredi 1er mars

Une assistance attentive

L'excellente revue du CRT a été distribuée l'assistance est moins attentive...


« You ! You ! You ! » (les Blues Brothers)


C’est la r’prise

Météo :

il fait 1°

Dimanche 3 mars

Catherine B. et les deux patrons des Cyclotouristes : Daniel Vagnon et Jean-Jacques Bouillet

Daniel Vagnon alias Kiwi

Jean-Jacques Bouillet

le compte rendu est perdu.Première sortie de la saison !

Les « grands » au départ, aucun Clampin sur cette photo !

Bernard Gii (!) Et Serge Buffet chez Loana... Éh oui ! À cette époque, Bernard a quelques fois, participé à nos sorties... Bien vite, il sera trop fort pour les Clampinades.


Q

Lombric à bracMercredi 6 mars

Quatre ! Nous étions quatre comme les mous-quetaires, les éléments, les saisons et, en

cette période d'élection papale, les points CAR-DINAUX réunis. « La journée sera rude ! » disaient semblable-ment Ravaillac au matin de son écartèlement… et votre serviteur vers treize heures au parvis de l'église.Or la journée, plus exactement l'après midi fut clémente et primesautière. (Sauf pour Ravaillac)Un ciel de plus en plus clair, une température ambiante de plus en plus douce, une route de plus en plus sèche, des vélos de plus en plus sales, des étriers de feins de plus en plus ornés de lombrics pendouillant telle la morve au nez de l'écolier, comme toujours par temps humide… Bref (nettoie tout du sol au plafond) Bref disais-je une belle sortie !Quoi l'institutrice ? Qui c'est l'institutrice ? Connais pas l'institutrice ! Soixante kilomètres, la meilleure compagnie du monde, pas de fille, une sortie parfaite quoi !

LA FORCE SOIT AVEC VOUS ! PS : Aux alentours du camp du « Drap Dehors » nous vîmes l'étrange cadenas dont photo jointe ! Pour bloquer l'entrée ou la sortie ?


SVendredi 22 mars

Seize âmes ouvrent toi

Dimanche 17 mars : il pleut !

Vendredi 15 mars : sortie annulée pour une raisson inconnue.

Samedi 16 mars : parcours ci-dessous...

Mercredi 13 mars : sortie annulée pour une raison inconnue.

Dimanche 10 mars : sortie club, le compte rendu est perdu.

Vendredi 8 mars : il pleut le matin, la sor-tie fut sans doute annulée.

Seize !Comme on dit en Charente !

Hier 22 les v'la nous étions seize.Yahvé cependant deux filles, rien n'est parfait dans les sociétés zhumaines.Nicole nous avait compté quinze…Heureuse surprise Mileine toute réparée était de la partie.Le Saint au sortir de l'hibernation et Benoît itou.Première question :- Qui étaient les deux nanas présentes ?Parvenus à Gros Perrier nous nous séparâmes en deux groupes celui d'en haut et celui d'en bas…En vérité en vérité ceux d'en bas, (dont le Dédé d'en haut) plus nombreux que ceux d'en haut (dont la Nicole d'en bas) las de regarder passer les vaches au passage à niveau de Machilly fi-lèrent directement à l'école !Ceux d'en haut mis en retard par deux pets de l'arrière faillirent rater la leçon de chose de notre bonne institutrice !Au cours de ces tribulations Mileine disparût avec un Clampin.……………………….NON ! Pas ensemble ! Tous les deux certes, mais séparément ! … Deuxième question :- Combien d'écoliers buvèrent pardon ! Com-bien d'écoliers burent… les paroles de Valéry ?Z'avez deux heures.Plus de 50 km une jolie bosse, cours particuliers offerts par Christian.


O

Mercredi 27 mars

Cois de neuf

Or donc le 27 mars nous étions neufs !Pardon !

Nous étions neuf vrais Clampins !Au parvis, nous prîmes des pauses et des mines un bon quart d'heure durant devant un photo-graphe officiel mandé par la ville de Thonon…(À ce propos, quand doit-il y avoir des élections dans notre bonne ville ?)Et que ch'te fais des risette et que ch'te rentre le ventre et que ch'te prends la pose avanta-geuse !Bref nous fîmes honneur au CRT en convain-quant le portraitiste que nous étions là, les neufs meilleurs cyclos du CRT !Pour preuve pas la moindre fille propre à ruiner notre moyenne horaire !Sous les flashs crépitant nous partîmes vers les hauts, dignes et fiers.Votre serviteur, soucieux au départ de ménager les adeptes du plat, avait concocté un parcours certes bossu au départ mais d'une rigoureuse horizontalité vers la fin…Parcours compliqué zigzagant au gré des vœux de chacun, un parcours en quelque sorte dé-mocratique. Qui a dit : « Donc nul ? » Attention hein ! Je pourrais sévir.Cornegidouille ! Il y eut malgré tout deux défec-tions !

Un seul café pour quatre...


Inconstants, nous profitâmes de l'originalité du trajet pour changer d'école… La nouvelle « insti-tutrice », le visage ravagé par une sorte de cow pox, voire la petite ou même la grande vérole du plus surprenant effet, les hanches alourdies d'un empilement gélatineux de bourrelets superpo-sés et tremblotants, chaussée de savates-à-traî-ner, informes et éculées nous servit aimablement la dôpe.Vivement une vraie réforme de l'enseignement.

Un temps superbe ! Une compagnie agréable ! 62 km variés !

PS : coi : adjectif, silencieux muet… Et non pas coït !

!

Les Clampins au départ y compris « Le Saint » en tenue bourgeoise.


Dimanche 24 mars pas de vélo... temps exécrable.

Personne n’a pris place au premier rang... Comme à la messe. Dimanche 31 mars pas de vélo... Raison

inconnue

Vendredi 29 mars

Réunion au boulodrome pour Collonges-la-Rouge

Il pleut

, il neig

e...

Séjour prévu en avril


Avril

Lundi 1er avril : nous étions cinq pour parcourir cinquante km le compte rendu

est perdu.

O


Vendredi 5 pas de vélo étant donné l’im-minence du départ pour Collonges-la-

Rouge

Mercredi 3 avril : cinquante km vallon-nés, c’est tout. Il subsistent cependant,

le parcours enregistré par Monsieur Garmin et quelques photos.

Lucien Chevallay à l’aise...

Louis Borelli mène la danse...


Samedi 6 avril l’élite du CRT embarque pour Collonges-la-Rouge en Corrèze.

C’est la GRANDE sortie de printemps. Tout le club est représenté pas seulement les Clampins !

GRANDE SORTIE DE PRINTEMPS

DU CRT

Collonges-la-Rougesamedi 6 avril

VVF Les Vignottes : Le pigeonnier !

Serge et Ninette Janan le premier soir


Dans sa grande bonté, afin que nous ne soyons pas trop dépaysés, Jean Luc a intuité un parcours en forme de lac Léman. Il pense à tout Jean-Luc.

Collonges-la-RougeDimanche 7 avril

Tentative d’assassinat d’un pôv’âne par le Dédé-à-la-Nicole-d’en-Haut. Fort heureu-sement le propriétaire (de l’âne), l’a dès le lendemain mis hors de portée, l’âne pas le Dédé.

P

LLes comptes rendus des pages sui-vantes ont déjà été publiés dans

(l'excellente) revue du crt en 2014. Bis repetita...


LLe premier jour, vous savez c'que c'est ? Les au-tomatismes n'y sont pas, il manque toujpurs un

bouton de guêtre ou un imper Gortex est coincé du zip, c'est à la bourre que le groupe prend le départ votre serviteur (soit disant) trahi par son dérailleur est déjà derrière tout le monde ! C'est sa place...Farceur, le Dédé à la Nicole d'en Haut (Ne pas confondre avec le Dédé d'en haut à la Nicole d'en Bas) (voir Les Clampins et les Clampines aussi 2012 tome 3 page 139) tente une expé-rience médicale sur l'Aliboron qui vit là peinard. Peut-on, chez l'âne provoquer un diabète gras en le gavant de pains entiers (pas complet) en-tiers, tout entier rassis de la veille ? Les jours sui-vants, prudent, l'ânier mettra à l'abri son animal derrière une clôture, hors de portée des expéri-mentations sournoises du Dédé.Une brume langoureuse s'accroche encore en nappes cotonneuses aux collines boisées d'alen-tour mais le temps reste sec. Toutefois, une évo-lution rapide vers l'averse semble prévisible à très court terme. Pour ne pas troubler nos habitudes, Jean-Luc, notre vénéré président, grand spé-cialiste des dénivellations positives lights, a éla-boré un parcours qui monte, descend, monte, descend, monte et monte. En fermant longue-ment les yeux, nous avons l'impression de pé-daller dans le Chablais. Vous pouvez ouvrir les yeux maintenant sinon vous allez vous casser la gueule !La route, en bon état, peu fréquenté par les au-tomobilistes nous amène au bord d'un lac.

Ô temps suspend ton vol !À fleur d'eau, sur une piste sablonneuse la tenue de route des pneus " slick " des vélos est aléa-toire, du coup Nicole en profite pour plonger dans l'arène, tel Didier Camberabero marquent l'essai... Aïe mon genou !

Collonges-la-RougeLe Périgord noirDimanche 7 avril 1er jour

Vot’ serviteur fera le parcours avec le groupe II pilo-té par Gérard Mathieux et Brigitte Bouvier. Au lac de Causse nous descendrons par un escalier de fer au plus près du lac.

« faites ceux qui n'ont rien vu... »Le regroupement a lieu au bout du lac, les va-lides et la blessée.Nous approchons de La Cassagne, non ! Pas de Mireille, d'un village sans aucun doute éponyme. Le bâti est en pierre dorée souvent plus lumineuse encore qu'en Bourgogne. Les toits d'ardoise sont gris acier, partout des pigeonniers agrémentent les façades, un château se dresse sur chaque bosse !


La poésie c'est bein beau, mais il est rare qu'elle apporte les calories nécéssaires à la pratique du vélo. À Borrèze, au bord de l'inanition, sous un soleil radieux, en compagnie d'un gamin bavard nous cassons la croûte dispersés sur des bancs éparpillés aux quatre coins de la place du village.Au sortir de la bourgade, deux carrières encore en activité ferment poussièreusment le site, l'itinéraire se complique, une sente escarpée semble être le bon itinéraire et non pas la routelette plus évidente où deux molosses hérissés sont venus en toute hâtede la ferme voisine pour nous bouffer.

Nicole a sorti le topo !

Alain Agalosthenne et Brigitte Bouvier

Perdus ? Les GPS mis à contribution se bornent à signaler laconiquement une erreur d'itinéraire sans pour autant donner la clé de l'énigme ! Allons-nous périr déorés par les chiens aux confins de Borrèze ?Sombre destin.Brigitte possède une arme secrête : un jeu de cartes (routières) pas piquéedes tarots, en quelques minutes sa décision est prise, elle indique une sorte d'allée de jardin étroite et raide comme le Kandahar ; « c'est par là ! »L'escalade quasi usurière à quatorze, voire, quinze pour cent nous permet de retrouver la voie échappant se faisant à la meute écumante.Quelques uns, tels les anciens « bobets » la tête dans les cocottes, emportés dans une descent vertigineuse, zappèrent l'intersection idoine, gagnant ainsi le droit de parcourir quelques kilomètres supplémentaires pour regagner le gîte (à la noix).Bien fait !


Collonges-la-RouilleLundi 8 avril 2eme jour

Le Dédé en délicatesse avec un lumbago, s'ap-puie sur son parapluie (fermé) au risque d'être trempé jusqu'aux vertèbres (lombaires) ! La maison de Maurice Biraud est très décevante, elle est rouge ! C'est d'un banal !Collonges la Rouge n'est pas New York, au bout d'une heure et demi, après le troisième tour, nous nous filons à Brives la Gaillarde cité célèbre pour ses gendarmes, ses mégères et ses bottes d'oi-gnons. Nous avons la chance de dénicher dans une venelle un p'tit restau (ouvert), " Le Pastis " fréquenté surtout par les gens du cru. L'institu-trice locale nous servit alors tout sourire :- Salade au deux saumons.- Pâtes au jambon et à la mozzarella- Glace à la vanille (maison) Simple mais génial !Je me demande encore aujourd'hui qui a pu émettre l'idée extravagante de visiter Turenne ! Vôt'serviteur, nanti d'une hanche en bois quasi neuve tînt à grimper au donjon !Mal lui en pris, à peine mît-il, tel sœur Anne, le pied sur la plate forme sommitale qu'il tomba nez à nez avec le plus fomidable orage jamais surgi des collines !

SSept heures !« Taritara taritara ! » C'est

le réveil à la vouvouzela ! Il pleut…Chacun retourne au dodo.Que fait le cycliste quand il pleut des citernes ?Il devient piéton !Que fait un piéton logé à deux pas d'un village de carte postale ?Il se transforme en auto-mobiliste pour ne pas se mouiller en allant au village…Que fait l'automobiliste pour stationner au plus près ? Il met des sous dans la tirelire mise à disposition. Parfaitement Collonges-la-Rouge est un village payant ! Ne rigolez pas, comme Yvoire.Pour finir que fait l'automobiliste heureux d'avoir trouvé une place de stationnement ?Gagné ! Il visite.Toutefois au préalable, il va boire le café, comme à vélo.Ainsi, Nicole, Ninette, Serge, les deux Dédé et vôt'serviteur baguenaudent-ils au sein des pierres sanglantes, d'autant plus rouges qu'elles sont détrempées par la pluie qui redouble comme redouble sa seconde n'importe quel collégien moderne.

André Delalex a choisi un pébroque assorti au décor...


Une cavalcade éperdue par des venelles ver-ticales aux pavés glissant sous les niagaras des gargouilles médiévales plus tard, il put se dégou-liner au chaud sur les tapis et les sièges de la toto à Dédé embuée comme un sauna suédois. Comme cinq heures sonnent au clocher du vil-lage … SOLEIL ! Ch'te jure !Désabusés, nous rentrâmes alors au logis …Les forteresses de Monsieur Turenne c'est bien joli, parlons toutefois de choses sérieuses, au res-tau le soir nous nous régalâmes de :- Calmar frits en rondelle caoutchouteuses.- Cuisse de poulet rescapée du « basquaise » du vendredi précédent.Soirée dansante pour les ingambes.

PS : Vous êtes bien contents que je vous donne les menus hein ?

À Turenne le jardin au pied du donjon

Collonges-la-Rouge

Q

Mardi 9 avril 3eme jour

Que fait un cycliste etc. etc. ?Depuis la veille nous connaissions par le

menu chaque rue, chaque venelle, chaque tra-boule voire aussi chaque bistro de Collonges la Rouge, aussi eûmes-nous l'idée de visiter, vôt'ser-viteur en tête ceux de Martel… (En tête… Martel en tête… Bon d'accord.)

Martel est une citée en deux épisodes, l'un actuel, quelconque, l'autre médiéval pierreux assez peu étendu. Quelques monuments historiques plus tard, en bon touristes, nous poussâmes une re-connaissance vers l'illustre Rocamadour ! Ah Ro-camadour ! Ses averses Ses grottes, ses averses, son office du tourisme en verre, ses averses, ses ruelles en pente, ses averses, ses boutiques à va-canciers, ses averses, ses restaurants enfin !Soyons sérieux ! Si vous visitez le Périgord sans vous intéresser à la gastronomie locale vous n'êtes qu'un rustre ! Fuyant l'ondée, nous nousréfugiâmes « Chez Anne-Marie », établissement de la rue principale à « 50 m from the rue de l'Hô-tel de Ville and the Syndicat d'initiative » comme il est écrit sur la carte. « Open all year ». Etablis-sement disais-je chaleureusement recommandé par le rabatteur du négociant d'en face…


Chez Anne Marie, nous eûmes droit à la table N° 21 pour 79 zeuros (une misère pour trois) au menu du jour que je garderai secret, par égard pour votre cravate sur laquelle il serait abject de baver. Nous sifflâmes du vin de Cahors et du café de Sao Paulo. Je vous donne moult détails pour imprégner mon style d'écriture de celui de Balzac Honoré de.

Repu, nous escaladâmes sur le ventre les esca-liers de cauchemar et les raidillons (en travaux) qui des tréfonds de Rocamadour rejoignent lasurface.

À peine échappé de ce piège escarpé, Alain, manifesta son envie de visiter le gouffre de Pa-dirac !

N'en étant plus à une descente aux enfers près, en quelques coups de volant nous nous retrou-vâmes au trou.

Padirac !

Padirac n'est qu'un trou, mais quel trou !

Sensibles à une inopportune forme de claustro-phobie, vôt'serviteur et l'Dédé privilégièrent la visite du musée des insectes et naturellement du bistro symbiotes du gouffre.

Peu après Alain pauvre pêcheur, dont Lucifer n'avait pas voulu, ressurgit des entrailles de la terre tel que le relate (mieux que moi) Dante Alighieri dans la Divine Comédie… Hum !

Dédé et Alain font une "descente" à Rocamadour

Le trou de padirac


Mercredi 10 avril 4eme jour

Collonges-la-Rouge

M

Peoples, toutes ces dames insistèrent pour une halte vers midi à Gluges devant une petite église dont les vitraux furent offerts au siècle dernier par Edith Piaf !

En cercle en prenant bien nos aises, sur cette modeste place, nous sortons notre mâchon, il fait si froid dehors, ici c'est confortable, une cloche sonne, sonne, sonne, sa voix d'écho en écho dit au monde qui s'étonne : « Non rien de rien ! Non je ne rejette rien ! C'est payé dégus-té, digéré ». C'est pas l'tout il faut déjà rincer les verres au fond du bistro et reprendre incontinent la route.

Nous rentrons par Martel pour voir un canon ! (Message sibyllin) Et par la côte rouge habi-tuelle…

Miracle ! Il fait beau ! Pas chaud mais beau.

« Martel » 45 km.Enfin en selle !A peine si un petit nuage blanc dérive molle-ment dans le ciel bleu…

Rouillé par les forces conjuguées de la pluie, des excès de table et de l'inaction des jours précé-dents, vôt'serviteur prudent, préféra s'intégrer au groupe des Pédales Douces plutôt qu'au fa-meux groupe deux plus coriace.

Ce fut là une journée de bonheur !

Heureux ! Un cyclo entouré de tant de filles est un cyclo heureux !

Pendant une heure ou deux parce que s'il ne peut pas placer un mot il se sent stigmatisé comme on dit dans la presse…

Désinvoltes, contemplatifs, nez au vent, nous cô-toyâmes la rivière le long d'une haute et blanche falaise propre à l'habitat troglodyte. Bercés par le mouvement paisible répété et alternatif des pédales, béats, perdus dans nos —songeries nous égarâmes une des filles… Vite retrouvée cependant !

Casse croûte à Gluges


L

Jeudi 11 avril 5eme jourCollonges-la-Rouge Il pleut.

Humide repas sur les bancs de pierre de la place circulaire du village sous le regard compatissant des convives du restaurant voisin ! C'est là qu'à treize heures, gais et primesautiers surgissent af-famés Pipo, Léon et, chaud bouillant, Jean Luc en « bras de chemise » enfin en maillot manches courtes veux-je dire !Par une route étroite, excellent raccourci au de-meurant, nous regagnerons Collonges la Rouille à temps pour boire un verre au bistro du village !

Un café - arrosé - of course !

« Souillac » il ne pleut pas encore...

Le ciel est plombé, il ne pleut pas lors du dé-part.

Remis en selle par l'excellent périple de la veille je décide de me joindre aux onze furieuses et furieux du groupe deux.

Pour que nous ne soyons pas treize au casse croûte de midi, Lucette se sacrifie, bénévole-ment elle casse son vélo et ainsi ne pourra pas participer à cette sortie.

Brave Lucette !

Turenne, il ne pleut pas… Nespouls il ne pleut pas… Estivals il ne pleut pas… Gignac il ne pleut pas… Souillac…

Gérard Mathieux

Mireille Lacassagne

Alain Agalosthène

Serge Buffet

Le sixième jour, le vendredi 12 avril, vôt'serviteur, pris d'une crise de stupidité maligne d' inanité spongiforme paroxystique, (c'est très grave), rentra au logis avec, une fois n'est pas coutume, de l'avance, un jour d'avance ! Cette chronique sans fin, s'achèvera donc en queue de poisson… Pas étonnant après tant d'eau.


CDimanche 14 avril

: 61 km parcou-rus avec les « Cyclo-touristes »

Camarades syndiqués !Camarades Clampins !

Camarades Clampines !Mercredi nous étions quatorze ! (1)Votre serviteur, suivant en cela son instinct qui le pousse dès le premier printemps à l'estivage, avait proposé, ah ! La vache ! :Col de Saxel – Boëge – Vallée Verte – Col de Ter-ramont.C'est dans l'enthousiasme que tout l'troupeau toute l'équipe s'élançât par en haut vers l'abreu-voir le bistro de Boëge via Saxel…A Gros Perrier (c'est fou) ! Trois dissidents inféodés à la plaine s'ensauvèrent par en bas.

Mercredi 17 avril

Les deux fois sept pères

Réparation sous surveillance... Gérard Serge Nicole Louis et Lucien à Saxel


N

Dimanche 21 avril : il fait très froid, nous irons toutefois à Ballaison.

Vendredi 19 avril pas de vélo : il pleut.

Spectacle éblouissant, sous le soleil tout neuf, de la Vallée Verte sporadiquement encore en-neigée ! Amas de neige agonisante au fond des fossés ombreux, descente endiablée (pour changer des descentes vertigineuses).Meilleure compagnie du monde.Votre serviteur, largué chez l'Suisse, parvînt au parvis bon dernier. (2)1/ Pour atteindre cet effectif j'ai du compter les deux filles…

2/ « Parvînt au parvis » Beau comme de l'Hugo Victor.

Neuf !Nous étions neufs… Tout neuf ! Tous neufs !

Bon d'accord, Yahvé cinq filles en plus…Nous étions donc quatorze en tout comme on dit dans l'Calvados !

Au programme : Col du Corbier par Bonnevaux retour par l'plus Biot, c'est pourquoi après pa-labres, d'un seul élan, nous nous élançâmes vers… le col du Cou via Cervens… Les Clampins sont ainsi.Après crêpage de chignon à Boëge à propos de questions existentielles majeures, et schisme profond quant aux rites et dogme des Clampins, nous nous séparâmes (hélas !) en deux groupes.L'un composé d'une seule personne très « moti-vée »…L'autre du reste des Clampins un tantinet désem-parés dont je…Pour la seconde fois (1) en vingt ans de pratique cyclotouriste au CRT, vot'serviteur, en rogne, avait cru (1) bon d'émettre quelques remarques !Grâce aux éclairages nous pûmes regagner le parvis sans souci.Météo superbe, compagnie des plus agréable, peu de kilomètres mais de qualité. Plus de mille mètres de dénivellation.

1/ La première fois ! Ah ! La première fois ! Tu t'rap-pelles Jean ?

Rififi à BoëgeMercredi 24 avril


Toutes traces du vendredi 26 sont per-dues

Rien ne subsiste de la sortie du 28 avril hormis la trace de Monsieur

Garmin.


PMai Premier mai : Jour de la Saint Travail et de la Sainte Flemme… (parité-parité)

J'espère que vous ne vous êtes pas défilés pour défiler !Sept Néo-Touristes ce matin, partis à 9 h 00 comme il se doit, ont bouclé le modeste par-cours ci-joint avant 11 h 30 !Epoustouflante moyenne due, vous l'avez devi-né, à la fermeture de toutes les buvettes du Bas Chablais pour cause de premier mai.Nous mîmes (Marceau) (1) à profit le temps ga-gné pour siroter l'apéro place des Arts en toute quiétude.La meilleure compagnie du monde, un temps superbe, du muguet dans les sous bois.

1 Marceau, fort à propos, était du voyage ; sans blague.

Mercredi 1er mai

La Saint Travail


JCCamarades !Non ! Non ! Je nie farouchement, il n'a pas

plu.« N'avé bîn risu. N'étâ yon place de l'église cet après midi ! » Ci-dessous le parcours accompli par le seul Clampin présent et intrépide.

Vendredi 3 mai

Mono qui nie

Il pleut Samedi 4 mai

Trois étoiles

Je suis seul Maître à bord !Parfaitement !

Même à la cuisine...En supplément de programme gratuit je vous donne, comme ces années passées lors de mes périodes monastiques, les menus que je me concocte.Ainsi sans aucun effort d'imagination vous aurez des idées de repas !Vous êtes contents (es) hein ?Qu'est-ce qu'on dit ? Repas de ce midi :Temps de préparation 15 minutes. (sans compter le temps des courses of course)Un peu plus de 1500 Kcal si je ne me suis pas gouré.Une bonne heure avant le repas mettre au frais un Riesling et en carafe un Barbera d' Alba. Deux mille dix est une bonne année pour les deux.- Sachet de Salade « machin » avec des lar-dons et des cerneaux. Provenance y compris les ingrédients, Carrefour.- Riesling 2010- Emincé de bœuf de ch'val sauce et cuil-lère pardon sauce écuyère et forestière. Prove-nance Picard.- Barbera d' Alba 2010


C

Les tacs attaquent

Camarades Néo-Touristes !Un parcours tout en longueur aujourd'hui,

nous verrons pourquoi ci-dessous…Nous partîmes huit comme on dit à Arcachon et à Bouzigues.Le Dédé d'en Haut à la Nicole d'en Bas, ressusci-té était de la partie !Cependant, pour ne pas oblitérer ses chance de guérison et amener à bonne température le Montrachet de l'apéro, il tourna bride à mi-par-cours.Ainsi nous nous retrouvâmes six et demi… Sept si on compte la fille comme un garçon à l'instar d'un cyclo de passage qui claironna à notre vue : " Bonjour Messieurs ! " .Poli mais TRES myope le Poulidor !Parvenus en ligne droite chez Loana, empressés, nous investîmes la terrasse ! La créature nous a snobé !Eperdus nous attendîmes alors les interminables cuissardes de l'institutrice sous-son-bout-de-jupe-qui-parfois-va-jusqu'-à-dépasser-d'un-bon-cm-sous-la-ceinture.J'arrête c'est mauvais pour la tension …

Dimanche 5 mai

- Tagliatelles. Provenance Barilla Italia. (1)- Barbera d' Alba 2010- Yaourt nature au « bifidus actif » avec deux cuillérées de miel du Forez. Provenance Carre-four pour le laitage, Monts du Forez pour le miel.- Café pur Arabica Blue Montain. Provenance Jamaïque, disponible vert en sac de 50 kg uni-quement.En option :

- Liqueurs.- Cigares

Bon appétit.

1/ On peut remplacer les tagliatelles par du riz bas-mati… mais c'est moins bon !

PS : Si, pris de pitié vous m'invitez, je jure que je ne divulguerai pas votre menu sur le Net


Que pouic ! La première nous snoba la seconde vacançait !Une inconnue nous servit la dôpe en trois voyages !Frustrés nous jurâmes comme ivrognes à satiété, de n'y plus succomber. Nous regagnâmes en ligne droite nos logis… Parcours dynamique, la meilleure compagnie du monde, UNE fille !

Mercredi 8 mai

Trou ducal ou cal du trou ?

Tour du lac...

En France

CCe tour du lac n’est pas une Clampinade à proprement parler, c’est une escapade

du CRT. Cependant les Clampins étaient là ! Et même un peu là ! Voire un peu las. Aucun compte rendu de l’époque n’existe encore.


Qui sont ces deux cyclistes ?

En Suisse


On est malheureux...

Ô temps suspends ton vol !Le tour du lac près de 1.200 m de gain d’altitude...


D

On étaient deux trois dans l’ouest

Deux !

Ô Marie ! Sors les deux bœufs qu'j'les compte ! Je sais je vous l'ai déjà faite celle là, mais j'aime bien.Or donc, nous étions deux, comme les Testa-ments et comme les testi… Bon d'accord.Hein quoi ?Ah oui ! Pardon ! Yahvé aussi une fille mais ça compte pas. Aïe Nicole ! Mes lunettes ! Non ! Pas sur la tête !Comme le ciel menaçant n'incitait pas aux ébats dans les maïs, nous parcourûmes comme de coutume le bitume.Je vous le donne Emile il y a des crocodiles dans le Chablais !Le changement climatique est là ! Les caïmans aussi ! Voir photo jointe.Souvenez-vous de l'éléphant de la fable dont le nez, distendu par le crocodile est devenu la trompe ! (1)Il y a donc un réel péril lors de nos pauses pipi…Parcours économique, peu de kilomètres mais de qualité, temps de plus en plus frais, sorte de bise au retour,

1/ Vieille légende africaine.

Vendredi 10 mai

Dimanche 12 mai - 50 km Gros Perrier - Les Crapons. Cinq participants... Il fait 7°. Le compte rendu est perdu.

Crocodile du Chablais...


S

Mardi 14 mai

Remise de pêne

Si j'ai bien compté mercredi, nous étions sept… Comme les merveilles du monde !

J'oubliais ! Yahvé aussi deux filles…Bon d'accord.Votre serviteur, grand démocrate, avait prévu deux parcours possibles :- Col du Feu pour les Clampins-aventureux- Prison pour les Clampins-délictueuxOr donc nous partîmes tous vers la plaine de Champ Dollon !

Gavé d'avoine (?) nous filâmes sans la moindre pause, sans le moindre (maison d') arrêt !Papipi.Votre serviteur, pour freiner la fougue de certains (et certaine) ne dut-il pas simuler toute une sé-rie de déraillement, au risque de se tacher les doigts ?Ces cadences infernales nous interdirent tout sé-jour prolongé à la prison. Météo superbe ! Température agréable, vent de fesses au retour, luminosité exceptionnelle, cha-toiement des paysages avant la pluie, la meil-leure compagnie du monde !

PS : À la réflexion je me demande si nous n'étions pas dix !

Prison en grève ! « complet »


C

L’étroit mousquetaire

Clampins !C l a m -

pines !Cyclos !Cyclotes !Camarades !Camarades ! À l'Aube du 17 mai 2013 nous étions Troyes. (!)A 13 heures, au parvis, nous étions trois itou.(Pas de fille nous pûmes donc converser plai-samment.)Trois juchés sur deux montures !Qu'allez vous penser ! Nul n'a pris en croupe quelque frivole créature, nul n'a proposé son porte bagage a quelque fessier stoppeur !Non ! Christian, tout bonnement, avait « sorti l'tandem » (1) comme on dit dans les salons lit-téraires !Votre serviteur ne daigna point prendre la place des booster au motif que son arthrose et sa hanche en bois (la vue basse n'est pas en l'eau cul rance un motif suffisant) lui interdisent les en-fourchements à la hussard.Partis peu après les dernières gouttes nous re-vînmes avant les neuves, seule la roue arrière du vélo pris la pluie !

C'est dire si c'était juste.La plus selecte compagnie qui soit au monde, pas de pluie ! Peu de kilomètres mais des bons. 1/ Je rappelle que « tandem » vient du latin « tandem » qui signifie « enfin ! ». Balaise non ?

Vendredi 17 mai

Le « Black Bird » Christian Frume et Louis Borelli86 LES CLAMPINS (ET LES CLAMPINES AUSSI) 2013

G

Néo-touristes Vèl’d’hiv’7° le

matin

Froid !

Gabarades Glambins ! Snif !Bercredi 22 nous étions sept ! Sept comme

les bêchers capiteux et les bercedaires.Bétéo incertaine.Une fille !Un vélo neuf !Un vélo climatisé avec bédales electro-aiman-tées à tintinabulateurs d'inanité cosmo-plané-taires ! C'est dire !Un vélo dignement arrosé (dedans) ! Non bas bar le ciel ! Jus servis bar Quatrevingt Quinzessé la remblaçante de Loana.bas bouillés (dehors).Bendredi 24 dous étions six !

BBRRRRRRRRR !

Temps peu encourageant !A 9h, place des Arts, pas de Pédales Douces, pas d'autres groupes partis à 8 h EUX, ou en train de galérer dans l'Ain.Deux pôv' cyclistes c'est tout.Ciel menaçant, température 8°. Vent aigre.Dédaignant le trajet prévu dans les hauts, nous avons fait rigoureusement le même parcours que vendredi, le long duquel nous avons nos gîtes, abris et bonnes hôtesses qui remuent le joues qui remuent … les tresses ;-)Air connu !Comportement responsable par ce temps à gi-boulées.A Messery ! Surprise ! Soleil !Café à Chens.Retour pour midi tapante ! Mission accomplie.

Pour finir bonne petite sortie en discutant l'bout d'gras.

Dimanche 19 mai Mercredi 22 mai


D

Encore une fille ! Ça fait beaucoup à la longue.Berdard instigateur du parcours, « chaud bouil-lant » a bouclé l'affaire en cuissard court et betit baillot !Bondeur des barticipants, votre serviteur a fait l'métier « frappé » entre autre, de catarrhe et d'extinction de voix.Y z'étaient bien.Balgré des brévisions bétéo dissuasives, très belles sorties, courtes mais bonnes comme disent les lilliputiennes.La meilleure compagnie dont on buisse rêber.Pour finir pas une goutte d'eau, dembérature to-nique.

Vendredi 24 mai, nous sommes six.

Dimanche 26 mai, nous sommes quatre.

Fulgur et tempestatum

Demain le temps sera vendu en charcuterie selon Météo France…

Un temps de cochon quoi.

Nous ne céderons pas devant les rodomontades des tigres de papier et les grimaces de vipère lu-brique de l'impérialisme météorologique…Ne nous laissons pas abattre !Haut les cœurs !Force et courage !Le beau temps vaincra !Amen.Euh... Par précaution nous ferons quand même le point demain matin…

Mardi 28 mai


Q

Omo

Quatre ! Trois ! Deux ! Un !Tels les quatre cavaliers de l'Apocalypse, re-

doutables, fiers et hardis, nous giclâmes du par-vis à treize heures trente pétantes !Tels la lessive de la mère Denis, nous revînmes au logis, rincés, essorés et pliés en quatre avant seize heures.Si nous partîmes avec la pluie, nous rentrâmes par contre avec un beau soleil !Yapa d'justice.La peste soit des giboulées !

À Yvoire il fait nuit... à 14 heures.

Mercredi 29 mai


ÉJuinEvelyne Dhéliat a de gros genoux, penche vers

l'arrière, mais possède un bon pronostic mé-téo…« Dimanche beau temps ! » Avait-elle conjecturé sans rire.Les Touristes sont ainsi faits qu'ils l'ont cru !Du coup place des Arts ce matin à l'aube, dès neuf heures nous étions dix !Dix comme les doigts de la main.Comment cinq ?Bon. Dix comme les doigts de pieds.En comptant les filles toutefois.Des rapides. Bernard d'en haut en manque de lubrifiant sy-novial dans le vilebrequin gauche a apprécié le parcours allégé proposé par Marie-Pierre.Chaude, Nicole a enlevé l'bas dès l'départ place des Arts !Nous bûmes le café rituel en un nouvel estanco servi par une créature qu'ch'te dis qu'ça !Vous la dirais-je ? Oui ? Une autre fois bande de voyeurs.Du coup nous sommes en errance scolaire ! Ou-bliées la bonne institutrice, Loana et compagnie.La roche Tarpéienne est proche du Capitole.

Touristerie du dimanche matin

Très peu des comptes rendus de ce mois-là ont été enregistrés, subsistent par contre les parcours gardés en mémoire par « Monsieur Garmin »...

Dimanche 2 juin


O

Apéro offert par le Dédé d'en haut à la Nicole-d'en-Bas (1), du moins la première tournée !Temps acceptable, la meilleure compagnie du monde.

1/ Offert à tous pas rien qu'à Nicole ! J'explique, « Dédé d'en haut à la Nicole d'en bas à offert l'apéro »… Pas le « Dédé d'en haut à offert l'apéro à la Nicole d'en bas » Bon d'accord. Or donc, le 5 juin 2013, les Clampins sont bien

montés…Je veux dire les Clampins sont bien montés à Très le Mont.Nous partîmes six de l'Eglise de la Grangette à neuf heures sonnantes et nous arrêtâmes (1) à hauteur du contournement pour ôter nos coupe-vent (2).Coupe-vent que nous remîmes Marceau, pour franchir l'Epine ! Tel Roland à Roncevaux ! Le lieu est à l'ombre propice aux coulis d'air glaciaux et aux guet-apens, un coryza est vite attrapé ! Nous stoppâmes peu après Chez le Suisse pour enle-ver nos K-way vu qu'à proximité de la Fouaise il fait assez chaud… K-way qu'il fallut remettre à Reyv' au détour du bistro de Marinette, l'ubac étant encore frais et humide à dix heures.Aux poubelles de Vailly nous fîmes une petite étape-barres-vitaminées-rangement-des-im-pers-dans-les-poches (Ça monte).Au ressenti de la fraicheur sévissant Sous la Côte, il fallut hélas bien vite passer une petite laine.Sous la Côte ! Un lieu traître, orienté nord-est, re-doutable pour les bronches ! Une bise traîtresse, plus meurtrière que le plomb de Gravelotte, le prend en enfilade. La Siaux ! Vite ! Vite ! Bien négocier le virage et poser le manteau pour faire une entrée digne, tête haute, jarret avantageux, look sportif, dans Lullin.

TauromachieMercredi 5 juillet

Taur

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Lullin ! Une créature qui n'a aucun point com-mun avec notre bonne institutrice de Veigy ! Même pas de cuissardes ! Nous offrît les cafés al-longés rituels. A cette terrasse pourtant ensoleil-lée nous dûmes repasser d'urgence nos Goretex un courant étésien caressant importunément la place du Village… Provoquant, chez la plus part d'entre nous, quintes et cathare !Ainsi de stripteases en rhabillages nous par-vînmes peu après midi grâce à un minutage précis et une vélocité quasi professionnelle, aux confins de Très-leMont pile poil pour l'apéro !Bernard d'en Haut et Marie Claude, le Dédé à la Nicole-d'en-Bas, parvenus sur ces entrefaites au camp de base, furent du repas. Repas léger…Descente par les cols des Arces où nous prîmes la flotte, et du Cou où nous prîmes la descente.Signalons encore que votre serviteur, dans le col des Arces, profita de son Goretex brandi comme une muleta pour se livrer à un exercice tauroma-chique du meilleur effet.Une très belle sortie ! Meilleure compagnie du monde ! Repas pantagruélique ! Une fille toute-fois…1/ Arrêtâmes : Vous en connaissez beaucoup des mots qui on deux accents circonflexes ?2/ Coupe-vent invariable au pluriel ?

Toute trace de compte rendu est perdue, restent une photo et un parcours Garmin...

Lucien Boeuf, Gérard Le Goff, Serge Janan et vot’ serviteur au col des Arces.

En Suisse procheVendredi 7 juin

Serge Janan et Bernard Brutillot « font de l’eau » route de Chevrens en Suisse. Attention aux guêpes !


CCamarades syndiqués !Nous étions six !

Deux créatures, trois vrais cyclos et un fan…OuDeux créatures, deux vrais cyclos et deux vieux …Collation au bord de l'eau comme à St Trop' !Apéro au Gewurztraminer fruité bien frais, des-sert au roteux…Café chez Luigi.S'font pas ch… les Clampins ? Anniversaires des deux vieux obligent.Avant la descente, prudents, nous nous pliâmes à la cérémonie de l'alcootest…Nous n'en avions qu'un pour tout le monde ! C'est donc à tour de rôle que nous interprétâmes la flute enchantée dans l'petit tube.Au vu du résultat, assez inattendu, brandi par Ni-cole, (voir pièce jointe) nous enfourchâmes sans risque aucun nos montures… Toutefois, le Dédé, en auto, descendit calmement.Qui a dit : « C'est pas un alcooltest c'est une ana-lyse d'urine ! »Insolent !Un temps magnifique ! Un paysage grandiose ! Des filles au poil ! (J'ai dit « au ») ! Un bon casse dalle ! La plus formidable descente du monde !La meilleure tarte de l'univers chez Ninette ! Un rosé au pamplemousse que ch'te dis kça !

Ah ! Le col test ?Mercredi 12 juin

Alcootest...

Le lac des Plagnes

!


Bizzz Brigitte

Se

rge Janan et Lucien Chevallay

Le Dédé-d’en-Haut à la Nicole-d’en-Bas en te-nue bougeoise est venu en voiture avec le mâ-chon et le Marin bien sûr...

En montant vers le lac des Plagnes.

Le Dédé d'en haut à la Nicole d'en Bas n'a pas oublié le Marin sorti de la glacière !


NNous sommes six le compte rendu est perdu...

La capiteVendredi 14 juin

Dimanche 16 juin.

Bellevaux

Pour les 14 et 16 juin

les archives sont muettes les agendas vides !H e u r e u s e -ment Mon-sieur Garmin veillait.

Quand l’esprit s’enflamme le corps tisonne.

Mercredi 19 juin

Nous étions douze !

Les affaires reprennent.Bon d'accord y'avait des filles, quatre ! Rien n'est parfait.Michel, son fidèle coéquipier, derrière lui, votre serviteur, frénétique, dôpé à mort, bourré de cortisone, t'a escaladé la grimpée chez Mar-phoz, à une vitesse quasi Pantanesque.Rompant avec son légendaire fair-play, au sommet de la côte, il laissa sur place tous ses coreligionnaires (il faut bien le dire âgés pour la plus part) pour finir sa course victorieuse, tel Virenque, doigts levés en « V »WW, dans les pou-belles de Vailly.Chacun de penser alors que Michel, le fidèle équipier, a de l'avenir dans le vélo ! Sortie un peu trop brève, temps magnifique, routes à l'ombre, les plus belles nanas du monde, les meilleurs coéquipiers, café au Billat, apéro à l'arrivée ! PARFAIT !


Mireille à l’aise

André Octobon et sege Pomel : pause au Billat,on est fatigué hein ?

Nicole et Serge

Le Dédé à la Ni-cole d’en Haut


Col du CouVendredi 21 juin

Vot’ serviteur

Il ne reste rien de cette

sortie, excep-tion faite du parcours sui-vi et de la pho-to ci-dessous.

Col du Feu - Lullin

D’après des notes quasi illisibles griffon-nées dans l’agenda, il semble que nous

fussions douze pour cette sortie « Touriste » du dimanche matin.

Dimanche 23 juin


LJoux-Plane les Gets !

Lao Tseu l'a dit en son temps :

« Souffler dans ta trompette regonfle tes joues planes ! » Huit comme on dit à Arcachon ! Nous étions huit vrais cyclos au départ de l'église.À St Jean d'Aulps nous fîmes notre jonction avec Gérard…Nous étions donc neuf authentiques cyclistes empreins des « vrais valeurs traditionnelles du vrai cyclotourisme » comme disent les dinosaures de la FFCT… Ainsi fiers et hardis nous…Quoi ?Quoi la fille ? Oh ! Bon ! Si vous z'y t'nez il y avait aussi, je crois, peut être, semble-t-il, me dit-on… Une fille.Donc, nous étions dix.Formidable sortie ! St Jean, Essert Romand, Joux Plane, Samoëns, Taninges, les Gets, Essert Ro-mand, St Jean !Que du bonheur et des courbatures !Beaucoup d'absents et d'absentes, hélas ! Pour diverses raisons. Casse croûte près du lac, bise glacée, soleil par instant radieux, sommets en-core enneigés, quelques haltes hydratantes et chaleureuses, admirable patience des premiers arrivés.PS 1 : Pardon Brigitte…PS 2 : Georges qui possède un semi-remorque a pu embarquer d'une seule « bouchée » une bonne partie des vélos ! Sympa.PS 3 : Nous avons raté pour cause d'heure tardive la tarte de Ninette ! Damned !

Mercredi 26 juin

!

Prodigieux paysage de la montagne !


BelleriveVo

t’se

rvite

ur e

ntre

Ranfo

lly et Joux Plane.

Dimanche 30 juin, selon certaines sources, nous étions dix ! C’est la seule

info qui subsiste. Même Monsieur Garmin, sans doute oublié au logis, n’a rien enregis-tré.

Les Clampins au col de Ranfolly peu avant Joux Plane.

Vendredi 28 juin


HJuillet

Ventoux

Hélas ! la relation des tribulations des Clampins en Provence est perdue... Il faut savoir que

nous avions posé le balluchon à Sault. Bin woui le Ventoux depuis Sault c’est moins haut que depuis Malaucène ou Bédouin. Comme que comme, comme disent ceux qui ne sont pas à un pléo-nasme près le Ventoux par les autres voies nous connaissions déjà. Comme que comme, l’alti-tude finale est la même. Comme que comme depuis Chalet Reynard (pas Renard) les six der-niers kilomètres sont commun avec la route sud venant de (la fille du) Bédouin. Préparés physiquement et moralement nous étions prèts à tout affronter sur le tas de pierres.Même la pluie ?Même la pluie !Damned !

Le sommet sous la pluie...


D

LLa veille du Ventoux il y avait au programme

le col de Macuègne pour Nicole Millet et Gérard le Goff, seuls à le franchir à vélo... Les autres s’économisant pour le lendemain. Il fait un temps splendide. Nous sommes sereins (comme le Mont)

La vue depuis le col de Macuègne

De Sault, pour monter au

Ventoux, il faut d’abord descendre, mais ras-su re z - vous ça ne dure pas... Au

sortir des m u r a i l l e s

du village la pluie s’est mise

à tomber, continue, calme, pénétrante, voyez l’expression de grande lassitude sur le visage de Serge.

Nicole au sommet du col

Gér

ad stoïque sous la pluie

Col de Macuègne1er jour

2eme jour Ventoux

Gorges de la Nesque

Nic

ole

sto

ïque

sous

la pluie

Serg

e stoïque sous la pluie

Mardi 2 juilletMercredi 3 juillet


Au sommet il ne pleut plus...

Vot’ serviteur photographié par un pro comme un pro.

Nicole passe les « jambières » sans résille !

Et c’est la photo finale : l’équipe au complet y compris Ninette.

De nos jours ce panneau, re-couvert d’au-to-collants est à peine lisible !

Fière devise des Clampins au Mont Ventoux : « Le Ventoux c'est où ? Le Ventoux c'est d'ssous . »

118 LES CLAMPINS (ET LES CLAMPINES AUSSI) 2013

Saucisse ?

Photo Nicole

Photo jp

Chaussette ?

Dans les gorges de la Nesque

Le versant nord vers Malaucène

!


E

Pont-canal de Briare

En ce temps là vot’serviteur eut l’idée de cycler au bord de la Loire... Le Cher est loin ! Seule

Bouchera, était du voyage. Le sept juillet le (pré-somptueux) parcours prévoyait de gagner le pont-canal de Briare en partant de Sancerre.Au retour, entre Briare et Côsne-Cours sur Loire, (pas conne) (je sais) par les « sentes » de l’inté-rieur des terres, Vot’ serviteur s’est perdu dans les cours de ferme !C’est là, au milieu de nulle part qu’il renonça à trouver la route à suivre.

Le pont-canal de Briare

Dimanche 7 juillet


dans sa grande bonté il prévint Bouchra que nous ne serions pas rentré pour l’apéro... du soir.- « Vous êtes perdu dit-elle sereine » à votre servi-teur plongé jusqu’au coup dans la carte IGN et la confusion.- « Certes avoué-je »- Vous aimeriez savoir où nous sommes ?- Bin woui.- Nous sommes là, dit-elle en brandissant son smarthphone.- Le point bleu ?- Le point bleu.- Vous voudriez savoir par où il faut passer ?- Bin woui...- Il faut suivre le fil bleu...C’est ainsi que trois cents mètres plus loin nous retrouvions les routes civilisées !Sauvés !

Vot’serviteur venait de prendre contact bouche bée avec le vingt et unième siècle.Merci Bouchra ! Le sens de l’orientation (bous-sole, ign) du cyclo FFCT style Henri Bosc (1) en a pris un coup ce jour là !

1/ Henri Bosc, chantre immortel du cyclotourisme et des VRAIES va-leurs de la FFCT, apôtre du 650 B... Personnage de la FFCT.


Sauvés par le GPS

Un carré

Mercredi 10 juillet nous sommes sept. Le compte rendu est perdu.

Bouchra vaiqueur !Vot'serviteur KO

Mercredi 10 juillet


DAh ! Nanas ? Vailly - Le Jotty

Col de saxel

Dix !Nous étions dix ! Dont deux filles.

Des filles du genre de celles qui vous attendent en papotant nonchalamment en haut des côtes !Pour ne pas passer pour des clampins aux yeux des deux créatures, nous optâmes, après pa-labres, pour un parcours adapté à nos perfor-mances habituelles.Bien nous en a pris…Un temps magnifique ! Une légère Bise bienfai-sante ! La meilleure compagnie du monde ! la forme de votre serviteur quasiment retrouvée ! Café à Ballaison ! Une pensée pour le Dédé à la Nicole d'en bas, qui, pacifiste notoire (?!?) échappe par artifice (si j'ose dire), au défilé du quatorze juillet…Damned !

Sortie « Touriste » du dimanche matin. Le compte rendu a disparu.

Nous sommes cinq.

Photo : Serge Pomel

Mercredi 17 juillet

Dimanche 14 juilletVendredi 12 juillet

PLes grandes oreilles Les Lindarets - Avoriaz

Compte rendu perdu.

Nous verrons Véron

Pour une idée farfelue c'est bien une idée farfalue que de monter à Avoriaz par les Lin-

darets (Bêêêêê !) et « naturellement » en des-cendre par justement « la montée » d'Avoriaz ! Ce genre Didier, pardon ! Ce genre d'idée que tu as le soir entre la prune et le génépi après un solide mâchon entre copains... Pour aggarver la situation déjà bien hasardeuse Alain gasparini, qui a ses habitudes, te nous suggère-t-il pas d'al-ler vers le lac de Montriond directement depuis le Pont des Plagnettes par une route toute plate et bucolique connue de lui seul... Nous l'emprun-tâmes.La peste soit des routes plates et bucoliques nous l'avons rendue incontinent. (La route pas Alain).

Lac de Montriond

Vendredi 26 juillet

Dimanche 21 juillet

Vendredi 19 juillet


Au lac de Montriond, les Clampins ont encore le sourire, mais ça ne va pas durer, la montée vers Les Lindarets est une belle vacherie ! pardon une belle chêvrerie !

Les Clampins entrent dans Avoriaz comme Napoléon dans Moscou.Nous étions sveltes et maigrichons en ce temps là ?Que nenni ! J'ai étiré la photo en hauteur pour faire ressortir la glorieuse verticalité de l'architec-ture locale...

En bas dans la vallée : Morzine


Pays de gavot Sapins de Novel

Nous sommes cinq, le compte rendu est perdu.

À noter qu'à cette époque nous revenions à Thonon par le bois du Feu et Les bois de Cuir, nous n'avions pas encore découvert la fameuse «route à Dédé », nous en re-parlerons.

!Dimanche 28 juillet Mercredi 31 juillet


Nous sommes cinq, le compte rendu est

perdu. À noter qu'à cette époque nous revenions à Thonon par le bois du Feu et Les bois de Cuir, nous n'avions pas encore dé-couvert la fameuse « route à Dédé », nous en reparle-rons.

Les Clampins les plus courageux sont mon-tés jusqu'à La Planche !


Août

Avertissement, tout comme en juillet, en août 2013 les Clampins abattirent

moult exploits, hélas ! Les comptes rendus sont perdus, ne seront donc relatés que très brièvement les sorties, qui seront réduites aux traces enregistrées par Monsieur Gar-min et les notes parfois presque illisibles re-trouvées dans l'agenda de 2013.

Col du CorbierVendredi 2 août

Crevaison au mauvais endroit

Quelle chance vous avez !

Rien à lire, le compte rendu est perdu !

Les derniers lacets du Corbier, comme un petit Stelvio

À titre de com-paraison : les

lacets du Stelvio, comme un grand Corbier...

Une fois n'est pas coutume, y'a gras de photos de vot'serviteur ! Les vues ont été

prises « Chez Michel » à l'époque le seul res-tau au col du Corbier. Une autre époque. Marie-Pierre


Les Crapons Lac des Mines d'Or

Piste cyclable...

Mardi 6 aoûtDimanche 4 août


Votre serviteur, Mireille Lacassagne Louis Borelli

Brigitte Peillex Serge Janan Bernard Brutillot

Un accueil très désa-gréable nous a été

réservé par les auber-gistes... Nous décidâmes de ne plus y retouner.

La PalanterieVendredi 9 août

Il ne subsiste que la trace de Monsieur gar-min.


Le pays de GavotDimanche 11 août

Lucien † pris d'un élan de tendresse pour Nicole ?

Ni bas ni chaud. C'est Bassa-Mardi 13 août

DDimanche dernier, à l'apéro, Sergio fin psy-chologue qui connaît ses Clampins comme

sa poche, lâcha comme ça, le regard fixé sur le fond de son verre qu'il faisait tourner lentement entre ses doigts, sans avoir l'air d'y penser sérieu-sement: " Si on montait à Feu Courbe mardi ? "Approbation frénétique des Clampins présents !Dont acte !Parvenus au Feu Courbe, vous savez c'que c'est, pour boire le café confortablement, d'un com-mun accord, nous poussâmes jusqu'à La Cha-pelle d'Abondance où nous dégustâmes aux Cornettes un excellent moka.


L'heure de l'Apéro étant encore lointaine, lequel d'entre nous suggéra perfidement d'aller siffler un coup de blanc à Pré la Joux ? Ainsi soit-il !L'altitude, c'est bien connu, bonifie le chasselas …Souffrant de misères articulaires, incompatibles avec l'humidité et la fraîcheur ambiante de Pré la Joux, votre serviteur insista lourdement pour boire au soleil…Ainsi, c'est à Plaine Dranse que les six Clampins engagés dans l'aventure se retrouvèrent en ordre dispersé…Les premiers, las d'attendre les derniers enchaî-nèrent vite fait vers le col de Bassachaux pour se réchauffer et passer le temps … Les der-niers, ne trouvant personne dans les bistrots de Plaine Dranse, décidèrent d'aller voir si les autres n'avaient pas filé vers le haut vers le restau du col…C'est ainsi que les Clampins, sans le faire exprès sont montés à Bassachaux.

Excellent repas à la descente au milieu de mil-liers de vététistes cosmopolites et polyglottes !Temps frais, gros nuages de passage, un semi remorque dans les derniers lacets ! La meilleure compagnie du monde. Une fille dans le coup.


Serge Janan à la recherche d'un vtt ?

Avec des frites !


Le boilluEn plein dans l' FionVendredi 16 aoûtJeudi 15 août

Le gond de la forgeDimanche 18 août

Tous (et toutes)volontaires pour figurer sur la photo.

Il n'y a pas hélas ! De compte rendu de cette sortie. Il n'y pas non plus de trace de Mon-sieur Garmin peut être oublié au logis.

Le gond de la forge... clin d'oeil à Alain Gasparini grand maître du contrepet.


B

L'encre nazeMercredi 21 août

Bientôt la foire de Crête !Cet évènement marque la fin des grands ex-

ploits cyclistes en montagne…Du moins pour les cyclistes normaux !

Avant cette inéluctable fatalité les Clampines et les Clampins décidés à frapper un grand coup projetèrent de grimper au col de l'Encrenaz…Vot'serviteur connaissant bien leurs possibilités sportives, instruit surtout de la grande faiblesse des filles en montagne qu'on-est-toujours-à-les-attendre, les filles, pas les montagnes, avait comme on dit « prévu large » quant à l'heure du départ ! Du coup le dernier est parvenu au bassin à onze heures comme n'importe quel bouillon !Damned ! Trop tôt pour le mâchon !Et pourtant hein ? C'était bien calculé ! Onze heures à l'Encrenaz laissait juste le temps de boire confortablement l'apéro avant de manger sur place !

Mais non ! Ces sportifs pointilleux voulurent « en faire encore un p'tit peu » avant la pose ! Comme si le choix de l'heure du départ était le reflet d'une erreur ! Le chef ne se trompe jamais ! Il prévoit ! Il prévoit large peut être, mais il prévoit !Du coup, la p'tite auberge d'Essert Romand étant fermée, c'est encore à Seytroux, après être passée aux Gets, que toute la bande dut se résigner à grimper pour manger !

Superbe magnifique sortie par la plus belle route du Chablais, de joyeux compagnons, trois filles exceptionnelles, le boire et le manger parfait !

Bon appétit Bernard !


Bords du RhôneVendredi 23 août

... Le compte rendu de cette équipée en Suisse proche est perdu... Je crois me souve-nir qu'avant Martigny, nous étions arri-vés, sur nos machines à Lavey...

Nous étions deux...

Lucien Boeuf †

Vot' derviteur

Le boeuf et l'âne en quelque sorte ! pardon Lucien où tu es je sais que tu rigoles de cette photo prise exprès !


DouvaineDimanche 25 août

Bosses et bossesMercredi 28 août

LLucien Boeuf est parti le 9 juillet 2020 terras-

sé en quelques heures alors qu’il retrouvait la forme et renouait avec des projets après une alerte sé-vère.

Nous ne connaissions de Lucien que son côté cycliste, il nous

avait rejoint en 2013 et d’emblée s’était fondu

dans le groupe des Touristes le dimanche matin et dans le groupe

des Clampins dans la semaine. Nous ne saurons que peu de chose de son pas-sé, l’homme était posé, discret et pudique nous sûmes cependant sa passion pour les treks dans l’Himalaya, où il avait appris un art de vivre tout de spiritualité associé à une alimentation saine. Béotiens, lors de nos sorties, nous riions de ses pe-tits déjeuners roboratifs et si diététiques.Prosélyte il nous expliquait alors narquois les bien-faits d’une alimentation saine.Volontiers critique, râleur et bougon à ses heures, le bonhomme ne cherchait certes pas à plaire à tout le monde et pourtant, il était bon, serviable, à l’écoute.Lors d’une sortie à vélo, nous nous étions retrouvés chez lui à Perrignier, il nous avait généreusement offert à cette occasion un grand cru inoubliable de Bourgogne, il nous avait reçu dans une mai-son, sa maison, au calme, une maison ancienne, accueillante, avec un jardin, un ruisseau et une source ; une maison à son image…


Lac de VallonVendredi 30 août

Les Clampins au col du Feu

En montant au col du Feu

Première étape : le Carlina dit « Les balises vertes »... à Armoy.

Bernard Brutillot, Robert Ker... Christian Frume, Serge Janan.


Toutes les têtes sont orangées sous le parasol tango

Bernard Brutillot

La Nicole (Millet) d'en bas.

Vot' serviteur

Bouchra Morin

Le dédé à la Nicole d'en bas et Bouchra.

Pas terrible cette photo du lac ! Mais garantie d'époque


Septembre

Tels les manuscrits de la mer Morte, rares sont les comptes rendus de sep-

tembre qui ont survécu.J'en ai retrouvé deux dans les méandres des mémoires informatiques d'ordina-teurs désuets.


Route des Rives

La route des Rives, comme son nom ne l'indique pas est ex-trèmement bossue !

Les Clampins bien alignés au bord de la route en plein virage pile au dé-part de la route des Rives (juste en face)

Route des Rives le débutEn face : les Clampins

Photo « Steet view »

Mercredi 4 septembre

On l''emprunte (sans frais) au dessus de Monthey et Chöex de-puis la route des Giettes. Hélas ! Le compte rendu est perdu.

Un magnifique parcours en Suisse proche, il est possible de revenir à Thonon

par le Pas de Morgins, les Clampins le feront plus tard.


Une route particulièrement acrobatique !

Robert Ker... un visiteur breton, Clampin honoris causa

Un banc bienvenu ?


Bas chat bletVendredi 6 septembre

Nous étions six, nous parcourûmes le Bas Chablais pour récupérer de la route des

Rives !

Jeu de mots laids pour gens bêtes, ou jeu de mollets pour jambettes ? Comme dit Alexandre.L'enseigne où enseigne notre bonne institu-trice a changé... !

Brigitte songeuse


Ça bosse(s) Saxel-BoëgeMercredi 11 septembre Vendredi 13 septembre

Ce jour-là nous étions douze comme des œufs ! Une seule fille était de la party, Ce

parcours qui n'a l'air de rien passe en réalité par la plupart des bosses du Bas Chablais. C'est le parcours préféré de Nicole qui totalise près deux mille cols au Club des Cents Cols.

La ChablaisienneDimanche 15 septembre

Voulue par Jean Claude Reynaud (Maire de Cervens) et jean Luc Houot Président

du CRT la Chablaisienne est la grande ran-donnée cyclotouriste du Chablais.


Pour cette édition la météo est sinistre

Sur cette photo figurent Catherine Bor-geais-Rouet Présidente du CODEP mais aussi... Vot' serviteur à gauche et au centre Claude Bandiera ! (1) 1/ Claude Bandiera : comme il dit lui-même

« vacciné avec un rayon de vélo, trempé dans la colle à rustines » (sic). Passionné de vélo, au-teur de deux ouvrages (au moins) « Bicyclette rouge » et « La France vue de ma selle » auteur aussi d'un guide exhaustif de la Via Rhôna.Grand amateur de « bambées » (c'est son mot) grande distance en autonomie. Un personnage des cyclos de Faverges aux mille facettes « te-nancier » de : www.Biclou.com que je recom-mande vivement. Surnommé entre-autre de Phacochère, Sanglier du val de Fier, La bête du Grésivaudan, grand amateur d'endorphines... Champion du dé-part à l'aube sous la pluie « en tapant dans les graisses ». Homme intègre que j'ai perdu de vue quand je dû me séparer de la maintenance du site du CRT... Ainsi va la vie... Salut le Glaude ! Bonnes bambées !

Les bénévoles désoeuvrés...


La strada


membre assidu du comité, combien y a-t-il consacré d’heures ? Combien a-t-il, de ses mains fabriquées puis peintes puis posées, puis déposées et stockées de flèches multicolores pour notre randonnée ? Cet homme, à l’honnêteté scrupuleuse, travailleur et bon, est attaché à la culture rugueuse de notre moyenne montagne. Observateur aigu de la société et de la nature, il transmet volontiers ses constatations, mais n’impose rien, ne critique rien. La performance cycliste n’est pas son créneau. La pratique du vélo pour lui n’est pas une fin en soi, elle est prétexte à l’amitié, la bonne humeur, à l’approche et au service des autres Marcel n’est pas bavard comme certains l’ont prétendu. Marcel parle beaucoup, mais pas tout seul ! Il parle à ses compagnons de route, c’est chez lui une forme de gratitude. Ces paroles sont une façon pudique de leur souhaiter la bienvenue et les remercier de leur présence d’exprimer son plaisir qu’ils soient là. J’aimerai vous conter une remarque qu’il fit au cours d’une sortie pluvieuse. Tous les deux, nous montions au col du Cou sur nos vélos. De sa voix posée et calme ne m’affirma-t-il pas : « Heureusement que tu as choisi cet itinéraire-là aujourd’hui, par beau temps, nous aurions eu trop chaud ». Le bonhomme est là, positif, heureux d’exister, heureux de transmettre aux autres sont bonheur d’être en montagne, à vélo, même sous la pluie ! Le cadre, les fragrances, l’atmosphère, l’instant, les compagnons, sont toujours, pour lui, uniques et émouvants. Marcel se lève chaque matin avec « quelque chose à faire » c’est son moyen de rester jeune et actif. Sa mémoire est phénoménale, il vous citera le nom du vainqueur du tour de Corzent en 1954, avec la même aisance, le menu servi au resto après une randonnée extérieure vingt ans plus tôt. Son attachement au CRT est indéfectible, son affection pour ses camarades constante et sincère. Son bonheur d’être là, palpable, réconfortant, exemplaire.

MarcelSamedi 14 septembre

MMa r c e l P r e m a t ,

notre Marcel nous a quittés le

14 septembre 2013. Il avait quatre vingt

six ans il était le doyen absolu du CRT.

Marcel était l’être humain inoubliable que chacun espère rencontrer au cours de sa vie. Cyclo honnête, vaillant, tenace, serviable, courtois, toujours de bonne humeur ne retenant systématiquement que le bon côté des choses. Il fut, avec les mêmes qualités, d’abord un petit garçon des montagnes, un menuisier ébéniste de talent, puis, un père de famille et un grand père attentionné. Marcel, durant la semaine, roule de temps à autre avec les « Clampins » ! Ce n’est pas lui qu’on attend ! Le dimanche matin, hiver comme été, il est place des Arts prêt au départ ! Le nombre de randonnées extérieures qu’il a fait par le passé est impressionnant. Longtemps responsable du matériel,


C

La baleineMercredi 18 septembre

Tout est perdu à propos de ce parcours... Nous étions quatre, le temps était nua-

geux et pluvieux... (courte note sur l'agenda)

Ray-Ban... anes...Vendredi 20 septembre

Comme vot'serviteur avait échafaudé un par-cours par le Plan Fayet, nous partîmes tous

les treize (1), d'un seul élan vers Armoy en zap-pant Bernard-d'en-Haut, qui, au labour, nous a raté d'un poil de s'conde.

Notons qu'à Gros Perrier c'est fou, deux créa-tures, telle Roxane, de leur balcon nous caque-tèrent que Bernard d'en haut nous précédait de peu et attendrai le p'loton à St Didier.

Temps magnifique, aimable compagnie, café « tropical » (Fi de l'institutrice d'entant !).

Boucle un peu courte variée cependant.

1/ Effectif compliqué, jugez zan (en comptant les filles) :

- Au départ treize, plus un égaré du groupe des Pierrots venu direbonjour moins Bernard Brutillot arrivé après la sonnerie.

- A St Didier quatorze si on compte Bernard d'en haut raté de cinq minutes mais avec nous par la pensée. (Entre nous il aurait laissé un chèque pour nos consos... Bref.)


- À la pierre à Martin ou peu s'en faut, dix.

- Parvenu à Excuvilly, par adjonction d'un peloton parallèle, allez savoir peut être quinze ! Voire dix sept !

- A Margencel dix de nouveau consécu-tivement à la perte d'éléments rentrés chez eux vers Anthy ou Allinges.

- Au bistro pour fêter dignement la sortie ptêt' six à tout casser.

Photo prise ce jour là, sans aucun rap-port avec le sujet... Ça meuble.


RecordDimanche 22 septembre

Trou ducalMercredi 25 septembre

C'est là probalement le dernier tour du lac de vot'serviteur... Pour de multiples rai-

sons...


Zig et PuceVendredi 27 septembre

Lorgnon pas lorgnonsDimanche 29 septembre

CCamarades !Trois !

A l'aube, vers neuf heures nous étions trois place des Arts…On se demande encore qui était le Saint Esprit !Trois à cause d'une mauvaise action des météo-rologues qui comme chacun sait détiennent, non seulement le record toute catégorie de la flemme intégrale malgré des effectifs surabon-dants, mais aussi le record absolu des erreurs de prédiction ! (1)Temps idéal pour le vélo malgré les libations ex-cessives de certains à la Virade de Margencel …On en a vu du groupe « Sportif » rentrer au pas et en zigzag !Une seule fille… elle a payé le café !Presque 50 km.Parcours varié très peu de voitures, la meilleure compagnie du monde.

1/ Balaise la phrase non ? Mieux que Proust Marcel pourtant champion de la phrase à rallonge.


Octobre

le dugongMercredi 2 octobre

OOnze ! Nous étions zonze hier deux octobre pour la conquête du Bas Chablais.

Nous étions zonze en comptant la fille pour un et le tandem (enfin) (1) pour deux.Le tandem est un engin gris argent, muni de pe-neus " slick " (2) voire usés, de freins à disque hy-drauliques et de cavaliers forcenés ! Ce bolide furieux vous dépasse comme Voeckler, après la piqure, dépasse ses co-dôpés sur le Tour de France ! C'est dire !Super belle sortie par une météo de rêve.La meilleure compagnie du monde.Café au Bi 1 (humour de super marché !) servi par une minette toute neuve (90b) qui remplace notre bonne institutrice (85b)nous ne sommes pas perdants au change !

1/ « Enfin » en latin se dit « tandem », faut tout vous dire !

2/ J'insiste en Haute-Savoie on dit : « pEneu » et non pas « p'neu »


Vendredi 4 octobre

L'arbrisseau

Nous étions neuf, nous rendîmes une petite visite au noyer géant de Meinier...


Une petite crotteDimanche 6 octobre

Bouc

hra et vot'serviteur

C'est lors de cette sortie que Lucien † (voir page 158) offrit l'apéritif : une bouteille de Morey-Saint-Denis blanc inoubliable !

Le parcours dit : La petite crotte

Lucien Serge et vot'serviteur parés pour tâter du Morey-Saint-Denis.


C

Le cachalotMardi 8 octobre

Repas des ClampinsMercredi 9 octobre

Nous n'étions que deux pour cette sortie

préalable au repas des Clampins... Une

seule fille ! Nicole.

Cette année-là, au repas des Clampins « Sur Crête », nous étions une trentaine ! Le menu

est perdu ! Il est juste et bon de rappeler que cette tradition du repas des Clampins (et des Clampines aussi) a été initiée par Bernard Villano-va dit " Le Saint " à l'époque de la chasse. La grande première eut lieu quelques années plus tôt chez « Loana » et « notre bonne ins-titutrice ». Nous nous étions rendu au mâchon à vélo ! Je rapelle à cette occasion que Loana s'appelle « Christiane » et notre bonne institutrice « Valérie » et qu'elle n'a d'institutrice, certes pas ses interminables bottes cuissardes mais des lu-nettes... Tout simplement.Haro ! sur vot'serviteur qui, au cours d'une bouf-fée lyrique les avait nommées ainsi dans un compte rendu, puis dans tous.

Les Clampins tiennent tout le lit chez Morand place de Crête.


Théo qui, hélas ! nous a quitté.

Bernard Villanova, vot'serviteur, et Lucien Chevallay

Q

Nicole et les quat' ClampinsVendredi 11 octobre

Quatre ! Cet après midi nous étions quatre Clampins pour accompagner Nicole dans

son périple du Bas Chablais.Vous savez c'que c'est, à la télé faut faire de l'audience, tout est bon pour captiver l'Clampin, les prévisions météo se doivent d'être « à sensa-tion » !Aussi un grand nombre de Clampins étaient-ils resté au logis pour attendre au chaud une neige qui n'est finalement pas tombée…Aux confins d'Excenevex, les gendarmes s'étaient mis à leur aise comme d'habitude au milieu de la route, sans avertissement préalable, pour un bête constat d'accident. S'font pas ch… les gendarmes.

Louis Borelli et Madame

Gérard Le Goff et Madame

Bernard Villanova et Madame


?????Dimanche 13 octobre

Refoulés nous dûmes grimper la côte d'Excene-vex à Essert directement.Dôpe servie par notre bonne institutrice fati-guée, voutée, distante, vieillie… mais enfin re-bottée ! Fini les s'melles compensées.Je vous la raconterai une prochaine fois.Belle et fraiche sortie.

Serge janan Nicole Millet Louis BorelliLe vin sera bon !


Le néantMercredi 16 octobre

Prison de Champ DollonVendredi 18 octobre

Il ne reste rien de ce long parcours, ni note, ni compte rendu, ni photo. Seule subsiste

la trace de Monsieur Garmin

Allez à la prison ! Passez par la case de départ, certes, mais ne touchez pas un

fifrelin.

Serge janan devant la prison


Sortie de clôtureDimanche 20 octobre

Il n'est rien de plus représentatif de la sor-tie de clôture du CRT que la photo ci-des-

sous ! Le pot ! Jean-Jacques Bouillet, trésorier de son état, reconverti en barman efficace. Les Clampins ne feront qu'une courte pro-menade pour arriver les premiers...

Les archers du roy finirent par réagir, peu disposés à laisser prendre des photos devant la prison...

Alors nous nous tournâmes de l'autre côté...


Dugong bisMardi 22 octobre

Il ne subsiste aucune note à propos de cette sortie.

Vroum vroumVendredi 25 octobre

MMercredi nous étions quinze !Aujourd'hui 1/11/, douze comme les œufs !

Toutefois pour atteindre ce chiffre il faut compter les quatre filles… Bof c'est vite passé.Le Tandem Fou compte pour deux ! Au moins !Le Dédé à la Nicole d'en Bas à l'essai après sa réparation a tenu jusqu'à Pipibois (d'en bas).Notre bonne institutrice, de congé, cependant fidèle au poste, la fesse un peu trop pointue dans un vrai pantalon à manches longues,juchée en souliers bas sur un haut tabouret de bar laissa Sakopine (une Russe) (95 B) nous servir la dôpe. (Ca c'est d'la phrase ! Beau comme du Proust.)C'est bon à savoir, en RTT l'institutrice ne porte pas ses longues cuissardes ombreuses sous les quatre centimètres de sa symbolique mini jupe.Faudra rev'nir c't'hiver.Parcours en zigzag varié et animé, la meilleure compagnie du monde, temps couvert mais sec et doux.

PS : Les photos seront adressées directement aux intéressées et aux intéressés par courrier séparé… Il vaut mieux !

T'as d'beaux oeufs !Mercredi 30 octobre

Premier exemple de vélo assisté...

En bas de la côte des Meules vot' serviteur sent tout à coup des ch'vaux en plus... Costaud

Michel.

E


Novembre

Le Léman : photo Nicole Millet

Toussaint

Le 1er novembre nous sommes douze, le temps est gris, le parcours suivi est bien

compliqué mais intéressant.

1er novembre


Dimanche trois novembre vot'serviteur est seul place des Arts ! Il n'y a ni compte

rendu ni trace de Monsieur Garmin.

Jeudi 7 il fait doux, nous sommes dix, il reste de ce périple la trace Garmin et les photos.

Il est probable que mon vélo et moi sommes hâtivement rentrés au logis.

Les Clampins au départ le 3 novembre

Lucien Boeuf † et Serge Pomel


Le 9 novembre nous sommes huit, il y a deux filles ! C'est samedi, jour sec entre

deux jours de pluie, le parcours s'appelle le 85B allez savoir pourquoi...

Il manque « la fille » sur la photo et vot'serviteur qui immortalise l'instant.

Chez Loana et notre bonne institutrice


Non-sortie des Clampins Bikini-lès-MoutheMardi 12 novembre Vendredi 15 novembreAAutrefois, quand il s'agissait de prévoir la mé-

téo, j'affirmais péremptoire : « Demain ? Il fera beau ! Fermez les guillemets. »A l'époque je ne craignais pas la pluie…De nos jours, l'âge de raison m'a rattrapé, pour le temps du lendemain je dois me référer au pro-nostic hasardeux des fonctionnaires de Météo-France-Damned !Que dire alors, sortir demain ou vendredi ?Il semblerait que vendredi soit meilleur que jeu-di… Si l'on peut dire.Donc, pour la prochaine sortie des Clampins at-tendons à demain « pour voir », comme dit Pa-trick Bruel alias Benguigui dans les tripots.Or donc à demain.Bonne réception.Bise aux filles et pour tous. NDLR : Tout ça pour ne rien dire…

OOh ! Marie ! Sors les deux bœufs qu'je les compte.

Celle là j'vous l'ai d'jà faite mille fois !Deux mille !Nous étions deux comme les pièces d'un maillot de bains cet après midi.L' association d'idée toutefois s'arrête là, une bizzzzze vivifiante, incitait plus au port du parka une pièce qu'au délicat bikini en deux bouts d'dentelle de Venise !Damned !Parcours réduit mais tonique !Excellent compagnon, bise sensible, tempéra-ture pour les « anales »


Ghost riderDimanche 17 novembre

La sortie mercredi 20 est annulée à cause du mauvais temps.

SSix !Nous étions six.

Sachant que nous étions trois vrais cyclos, com-bien y avait-il de filles (si exceptionnellement on leur donne la même valeur qu'aux garçons) ?Le Black Bird était de la sortie ! En l'absence du Tandem Fou il a pu caracoler sans concurrence loin devant.Pour mieux humilier les monoplaces, la machine infernale est dotée d'une s'naille railleuse dont l'insolent pilote use abondamment depuis les lointains quand ils veut, poussant sa pointe de vitesse, nous dépasser tel l'ouragan !L'instant d'après, ce Ghost Rider disparait dans les confins escorté du rire sarcastique de la pas-sagère ! By Jove !Sortie rigoureusement identique à celle de ven-dredi, retour simultané avec les grands, mais avec 20 km de moins qu'eux.Même pas froid !

© Marvel comics

Pour le plaisir : 23 novembre, réunion du CODEP 74


C

Génération de caractère(s)Vendredi 22 novembre

Camarades !Petit tour sympa par une douce tempéra-

ture et un beau soleil réconfortant…Des routes bien sèches et propres. Compte ren-du plus tard si j'ai le temps.v jjjjjjjjjjj: ikpçolkj b n : :l!mxxxxxxxxxxxxxcp^; Les inscriptions fortuites et insolites que vous voyez à l'écran sont dues au talent précoce de Camille ! (11 mois) Ça promet ! (Je jure que c'est vrai, c'est le gamin qui a tapé sur mon clavier !)


HDimanche vingt quatre novembre la sortie

est annulée, la Bise souffle en tempête

Mercredi 27, il fait froid, nous sommes quatre. Le compte rendu est perdu.

Huit !Yahvé huit Clampins au parvis cet après midi.

Des renforts issus des groupes d'élite du CRT étaient de la sortie !Une fille… Malgré cela sortie calme pour votre serviteur assez bien remis de son exercice d'acro-batie spéléologique de la veille.Il faut dire que cinq forcenés, l'abandonnant avec deux autres rêveurs à un jet de pierre de Colongette, sont allés virer de bord aux confins de Veigy Foncenex sans même un regard pour les longues bottes de notre bonne institutrice. Gâcher un si beau détours ! Ch'te jure.Le Garmin de jp, faisant partie des attardés, ne fait pas état de ce crochet.Par contre, le Garmin de Bernard, participant à l'échappée, doit, lui, afficher la rallonge.Exercice : A l'examen du parcours affiché par le lien ci-dessous,1° Question : Quel différence y a-t-il avec le parcours de mercredi ? (A part la bise)2° Question : Quelle température régnait au bistro « Le Sarde » à Douvaine ? (Exprimez les résultats en degré Celsius.)Belle sortie, relativement courte, bonne compa-gnie, température ambiante 3 à 4°, soleil inter-mittent.

Il y a Garmin et gaminVendredi 29 novembre

Cadeau : une autre bande de clampins


B

Décembre

Bout droitDimanche 1er décembre

Brillante sortie sous un bon soleil… glacial…Sept Clampins, mais une fille !

Deux bons éléments du groupe des costauds en renfort. (1)Les « Garmin » gelés ont fait « grève » comme on dit à la SNCM.Damned !Deux abandons, l'un pour cause de vingt doigts gelés l'autre pour cause de vertèbres encore fra-giles.La meilleure compagnie du monde !

Lève la jambe...Mardi 3 décembre


C

1/ L'un d'eux, au sortir de Douvaine, posant un pied sur le cadre, est rentré en pédalant d'une seule jambe !Costaud l'acrobate ! Votre serviteur n'a pas réussi à le dépasser !Jésus Marie Joseph !

En attendant NicoleJeudi 5 décembre

Camaraaaaaaaaaaades !Nous étions sept ! Comme les merveilles du

monde.Les renforts maintenant coutumiers étaient là.Sur le tracé du parcours enregistré par Monsieur Garmin on voit bien que vôt'serviteur est quasi-ment à l'arrêt à maintes reprises, fatigue ?Que non point !C'était pour attendre Nicole…C'est toujours pareil, les filles qu'on est après dis-cuter, on n'est rien qu'à toujours les attendre. (Comment c'est pas français ?)Faut dire que Nicole était devant ! (Comme d'hab')Damned !Très bonne compagnie, météo fraîche et vivi-fiante, même très vivifiante au retour. Léger vent de fesse. (si j'ose dire)

Monsieur Garmin, gelé, n'a enregistré la trace qu'aux confins de Chens-sur-Léman.

Les poiriers givrés


U

Dimanche 8, il fait très froid moins quatre ! Nous sommes cinq dont Nicole.

Mercredi 11, le temps est gris, il fait froid, néanmoins nous sommes huit

(en comptant Nicole) ;-)

Bain de boue debout

Une pauv'paire de Clampins au départ à treize heures !

Excellente compagnie.Pas la moindre fille ! Naturellement, par ce froid le gloss craquelle, parfois même crevasse (non c'est pas un subjonctif).Petit parcours à tâtons dans le smog, sur la pointe des peneus (1) par des routes de « cul terreux » (dixit gérard) poissées d'une gelée boueuse et glissante…Beurk ! Z'avez bien fait d'pas v'nir.

1/ Orthographe savoyarde selon Alain G.

Vendredi 13 décembre


Flou artistiqueDimanche 15 décembre

BBy Jove !« 15/12/2013 9 h 00 place des Arts » (comme il

est écrit au générique des polars) :SOLEIL !« 15/12/2013 9 h 20 Sciez » :BROUILLARD !Heureusement, grâce à notre expertise en bis-tros, reconnue par tous, en entrant au Sarde à l'aveuglette nous sûmes que nous étions à Dou-vaine !C'est dire la consistance du smog !Par mesure de sécurité nous fîmes demi-tour et de ce fait retrouvâmes le soleil aux abords de Thonon.Café offert par Gérard dont c'était encore l'an-niversaire…Bonne ambiance, une crevaison toutefois, vite maîtrisée d'une poigne de fer par Jacky.


K

Permafrost ou pergélisol ? Ach So !Mercredi 18 décembre Dimanche 22 décembre

Kamarads !Ach !

Ze fût ein bonne zortie ze bâtin ! Nous zétions sex !Ach !Kolossale tembérature !Ach !Z'auriez dû f'nir !Ach ! Zo !Bonn rézebtion !

UUne chaleur cet après midi !Etouffante !

Cinq, nous étions cinq, ambiance sereine de franche camaraderie (pas de fille).Parcours classique d'entretien, c'est pas comme les routes qui en manquent… D'entretien.Le brouillard s'est refermé sur nous aux confins de Sciez ! Nous ne revîmes le soleil qu'au retour à Margencel.Prochaine sortie : Dix tours du circuit de Corzent, c'est plus sûr ! Ca vous dressera ! J'applaudirai du bord de la route. Quelle différence entre ces deux parcours ?


On the road againVendredi 27 décembre

SSix ! Nous étions six, comme les doigts de la main pour le Bas Chablais again !

Bonne ambiance, moyenne convenable, pas de fille…Parcours en forme de « 8 »En ajoutant à son total les 47 km d'aujourd'hui, Bernard a largement dépassé le ¼ de tour du monde soit à peu près 250 tours du Bas Chablais !Soit dix mille kilomètres.L'exploit fut dignement arrosé au retour.

On the Bas-Chablais againDimanche 29 décembre

Gérard et Bouchra

Le compte rendu de cette sortie est perdu.


Ainsi s'achève l'an 2.013... Le temps est comme les Clampins (et les Clam-pines aussi) il ne s'arrête jamais. Après les fêtes, l'aventure continue en 2014. Z'avez d'la chance hein ?


tome iv - cyclos-thonon.fr

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