THE CHESS HOTEL PARISDOSSIER DE PRESSE

OUVERTURE ÉTÉ 2014

Sommaire

Rue du Helder. Une adresse en toute référence

The Chess HotelUn hôtel rue du Helder

The Chess HotelUn exercice hôtelier signé

Gilles & Boissier Leur premier hôtel à Paris

The Chess HotelUne table des matières

Gilles & Boissier:Un état des beaux lieux

Rendez-vous gourmands à l’hôtel : So chic, so Chess

Les artistes du Chess

Compagnie Hôtelière de Bagatelle

Le Cabinet Bastie

3

Paris. IXème. Le plus petit des vingt arrondissements de la capitale. Le plus dense, aussi. Le plus concentré, le plus animé. Le plus mystérieux, encore. L’arrondissement que les Parisiens s’amusent à (re)découvrir. Traversé par les Grands-Boulevards, porteur de la mémoire canaille et littéraire du XIXème siècle, carrefour effervescent de jour comme de nuit. Un périmètre serré, authentique Monopoly des hasards et des nécessités où se recense l’essence de la capitale. L’Opéra Garnier. Les Galeries Lafayette. Le Printemps. Les théâtres. Les enchères à Drouot. Les cinémas. Les banques, la finance. La presse. Les grands hôtels. Et, au-delà de la plus parisienne des places, la rue de la Paix, les joailliers, le luxe, qui filent vers les Tuileries, la Madeleine.... Paris “neuvième” où l’air du temps respiré. Inspirant, donc...

4

Rue du Helder. Une adresse en toute référence

Coupant en deux, sud-nord, le triangle urbain borné par l’Opéra, Richelieu-Drouot et la Chaussée d’Antin, la rue du Helder, voie étroite à sens unique, n’est pas une adresse anodine. Référé à un fait de guerre entre France et Angleterre sur terres hollandaises, le dit-Holder était un fort. Ce fut ensuite un fief. Celui de la haute-société parisienne de la Rive-Droite ayant établi ses résidences Chaussée d’Antin. Noblesse oblige. Un monde disparu mais resté vivant sur le papier. C’est là que Balzac qui habitait le XVIème y envoie son Rastignac se colleter avec les élites qui le feront se pousser du col. C’est là qu’Alexandre Dumas, lui, farouche habitant du IXème, loge la famille de Morcerf dans Le comte de Monte-Cristo. Des hôtels particuliers aux hôtels de voyageurs: la rue du Helder aura consommé sa légende du siècle sous d’autres étoiles...

5

The Chess HotelUn hôtel rue du Helder

Désormais, on ne descend plus dans un hôtel. On y monte. En hissant sa réception au premier étage, « The Chess Hotel » prend de la hauteur. D’une contrainte faire un état d’esprit. Avec dans l’idée de déposer armes et bagages. Aucun gimmick ni concept, juste un vrai palier de décompression soustrayant les hôtes de la frénésie et du tapage des Grands-Boulevard. Anti-thème par essence, « The Chess Hotel » pousse élégamment ses pions sans autre stratégie qu’offrir un séjour serein aux voyageurs. Pas de tour d’ivoire ni de cheval de bataille marketé non plus. Et encore moins de diagonale du fou pour en établir les codes d’accès comme d’usage. Reste l’évidence bichrome de quelques noirs/blancs sophistiqués posés comme autant de jalons et clins d’œil esthétiques et stylistiques par Gilles & Boissier, entrés dans l’univers hôtelier parisien grâce à la Compagnie Hôtelière de Bagatelle.

6

The Chess HotelUn exercice hôtelier signé.

Quatre étoiles. Cinquante chambres. Onze par étage coloré. Toutes différentes et toutes sereines. « The Chess Hotel » dame le pion aux tendances en faisant un pas de côté. Sur l’échiquier du projet, le pari osé fut d’offrir carte blanche à Dorothée Boissier et Patrick Gilles. Autrement dit: Gilles & Boissier, rompus aux projets pharaoniques et ultra-luxe dont ils sont coutumiers aux quatre coins du globe. Les voici, défiés, challengés, rompant en apparence avec leur registre. Une récréation silencieuse plutôt. Et pour ce duo d’architectes, designers et décorateurs, l’opportunité redimensionnée d’opérer près de l’Opéra, selon leurs termes, “une synthèse de nos arts”. Charlotte Perriand, jamais bien loin... De fait, tout, depuis les luminaires jusqu’aux lits, des rideaux jusqu’aux consoles de travail, a été dessiné ad-hoc. Au centimètre près, sans trahir leurs goûts ni leurs exigences. Exception faite des fauteuils du lobby, signés Christian Astuguevieille. Un ami. A ce travail au chausse-pied obéissant à un décalage obligé –ni luxe, ni design, ni vintage, s’est ajouté celui, plus intime, d’une envie de débrayer, de poser ses valises dans une ambiance tranquillisée, paisible, voire déconnectée. Ou comment réinventer le classicisme 3.0.

Belle rencontre pour un hôtel

La Compagnie Hôtelière de Bagatelle est spécialisée dans la création et la gestion de boutique-hôtels parisiens et étoilés, décorés par des architectes d’intérieur renommés. La rencontre avec Gilles & Boissier eut lieu grâce à l'un des dirigeants de la Compagnie Hôtelière de Bagatelle, ancien camarade de classe de Dorothée Boissier. Enthousiasmé par les nombreux travaux du célèbre duo, il prit contact avec eux et leur proposa le projet "The Chess Hotel". Aussitôt accep-té. Rencontre, retrouvailles, amusement. Et pur plaisir d’engager une collaboration inédite aux dimensions différentes, sans en écarter les contingences, envisagées comme autant de stimulii. Chacun ses pions, chacun son personnage, chacun son rôle: la partie pouvait commencer. Nul mat au finish, sauf pour les peintures. Mieux qu’une rencontre: une expérience.

7

© Christophe Bielsa

8

Gilles & Boissier Leur premier hôtel à Paris

On les attendait à bord d’un palace supra-étoilé. Mais c’est au cœur d’une hôtellerie parisienne en pleine révolution qu’ils ont préféré faire escale, autour d’un projet plus intimiste. Pour leur premier hôtel à Paris, pour « The Chess Hotel », Gilles & Boissier ont joué la carte de la neutralité a-thématique et des décalages “parisiens”. Adeptes des oxymores, ils ne pouvaient que souscrire au projet de l’hôtel « The Chess », oxymore par nature. A commencer par son choix de ne pas se mettre en vitrine. A défaut des murs, ce sont les règles du jeu qu’ils ont dû y pousser, relire, revoir, réagencer. Cela tombe à pic: ils adorent ça. Murs et murmures: tout a été conclu, pensé, livré sans tapage derrière cette façade haussmannienne à cinq fenêtres, et au-delà de cette marquise en fer forgé. Pas de biz, pas de buzz. Juste la base d’une envie de silence. Et celle d’un retour à l’hôtellerie classique, celle qui sait recevoir et prendre soin de ses hôtes ; l’expression d’un savoir-bien-vivre qui ne se limite pas à la taille des espaces. L’invention du luxe à la française du XXIème siècle peut aussi s’accommoder de contraintes.

“Outre ce cadre obligé, nous tenions à introduire dans ce projet la notion de calme, de silence, au cœur d’un quartier animé, voire bruyant. Nous sommes allés à l’essentiel sans sacrifier aux critères d’un quatre-étoiles, en imaginant comment agencer sur quelques mètres carrés configurés selon sept superficies différentes, des chambres qui soient des sortes de pied-à-terre, efficaces et élégants”.

9

© Christophe Bielsa

10

© Christophe Bielsa

11

© Christophe Bielsa

12

The Chess HotelUne table des matières

Experts dans l’art et la manière de doser sans avoir l’air d’y toucher la théâtralité exigée par les lieux publics et l’opulence intime des lieux privés, Gilles & Boissier n’ont pas fait autre chose avec l’hôtel « The Chess ». Eux qui aiment les émotions fortes mêlées au charme, racontent un projet sentimental, soigné, attentif, comme s’il s’était agi de leur propre maison.

“Déjà, tout dessiner pour. Du plus gros meuble –une armoire, au plus petit accessoire –une applique ; des baldaquins aux salles-de-bains de style grand-hôtel, sans tricher sur la table des matières et leurs traitements. Chêne massif, chêne naturel, chêne teinté. Pierre Marquina noire. Pierre blanche Carrare. Lin. Velours. Laiton patiné. Granit. Mosaïques... Ensuite, stabiliser la palette de couleurs en plaçant chaque étage sous teinte tutélaire -Bleu persan, Bleu glacier, Terre jaune, ou habilement composée –Gris ardoise et Craie bleutée ou Terre de Bourgogne et Gris clair. Ce sont les seules saillies chromatiques du Chess. Les autres jeux, sont joués aux bains, mosaïques de véritables géométries pixélisées en pur noir/blanc avec échiquiers réguliers ou chambardés, compositions ultra-Bauhaus ou totalement Pacman”.

ChessPour la galerie...

Ni art-hotel ni gallery-hotel. « The Chess Hotel » est juste un hôtel très parisien, très nouveau, dont le décor inédit s’injecte des interventions plastiques et graphiques d’artistes contemporains, invités, encouragés, à faire vibrer l’ensemble. Trois artistes que Gilles & Boissier sollicitent volontiers pour leurs projets “publics” comme privés.

Entrés dans le décor de l’hôtel « The Chess», il y a là Alix Waline, Victor Ash et Cyprien Chabert. La première a étoffé l’entrée d'une fresque englobant. Le deuxième a mis le lobby du premier étage dallé noir et blanc en pleine cimaise en y dardant un regard de hibou. Immense. Hypnotisant. Symboliques: la nuit, la protection de ceux qui dorment et celle du yang. Oxymore, encore... Le troisième a réalisé les fresques botanisantes de la cour intérieure, la graphie des tapis des couloirs et s’est introduit dans les chambres sur la pointe des pieds pour le bon motif végétal.

13

Petit-Chess. Tous les matins, dès 7 heures.

Servi chaque matin dès 7h et jusqu’à 10h30 (11 h le samedi et le dimanche) le petit-déjeuner de l’hôtel « The Chess » s’adresse à ses hôtes hébergés ou venus de l’extérieur, au gré de deux formules consacrées : l’une à 22 euros sous forme d’un généreux buffet salé-sucré ouvrant l’appétit par sa variété ; l’autre à 10 euros, plus parisienne avec boisson chaude au choix –café, thé, infusion, chocolat - accompagnée d’une viennoiserie et vitaminée par un jus de fruit frais. Service compris : celui qui a été choisi provient de la manufacture de porcelaine hôtelière allemande Bauscher Weiden, fondée en 1881 et souveraine sur la question. Quant aux saveurs, « The Chess Hotel » mise sur le pur-fruit-pur-sucre avec les confitures de l’excellente maison parisienne La Chambre aux Confitures, dont le magasin se trouve non loin de là, rue des Martyrs, dans le IXème arrondissement. Et aussi sur les jus de fruits frais et les jus du jour Made-in-Provence par Kookabarra, fournisseur exclusif de l’hôtellerie de luxe.

www.lachambreauxconfitures.comwww.kookabarra.com

Chess-Tea. Tous les après-midi à partir de 15h.

Classique des classiques hôteliers, le tea-time redevient à la mode, d’autant plus prisé s’il sait s’isoler du tapage de la rue. Au sein de « The Chess Hotel », le lobby verse chaque après-midi dans le registre gourmand du genre avec une proposition de thés Mariage Frères et pour tentations sucrées les gâteaux exquis des Fées Pâtissières créés par le talentueux Eddie Benghanem, le chef-pâtissier bluffant du Trianon Palace à Versailles. Inauguré fin 2013 rue Rambuteau à Paris, le comptoir pâtissier des Fées en question - Déborah Levy et Sarah Harb, revisite sous sa direction artistique tous les classiques français déculpabilisés par sa touche no-sugar. www.lesfeespatissieres.com

Cheers au Chess. Tous les soirs de 18h à minuit.

Pas d’hôtel sans bar. « The Chess Hotel » passe derrière le sien dès 18 heures. Sortie des bureaux. Apéritif un pas de côté. Juste un étage à monter pour décompresser. Rien de mieux que quelques bulles rosées, brutes ou prestige : c’est Laurent-Perrier qui pétille. Autre breuvages ?: c’est Bacardi qui grise. Des fruits sans alcool ? : les jus Kookabbara se pressent au ralenti. Cheers. Jusqu’à minuit. Sous l’oeil du hibou. Chouette !

Rendez-vous gourmands à l’hôtel : So chic, So Chess

Comme partout dans le monde, Paris ouvre volontiers entre parenthèses gourmandes ses hôtels étoilés à une clientèle extérieure avertie. Petit-déjeuner. Tea-Time. Cocktail. « The Chess Hotel » ne faillit pas à cette tradition sans cesse renouvelée et accueille en bel-étage et sans restriction les Parisiens désireux de s’élever au-dessus des contingences, le temps d’un café-croissant matinal, d’une coupe de champagne apéritive ou d’un digestif vespéral.

14

© Christophe Bielsa

15

Gilles & Boissier:Un état des beaux lieux

Lui, c’est Gilles. Elle, c’est Boissier. Lui revendique une pre-mière vie chez Christian Liaigre. Elle, chez Philippe Starck. Tout les oppose et tout les rapproche. Depuis 2004, Dorothée Boissier et Patrick Gilles avancent ensemble, complémentaires jusqu’à la fusion. Mieux, ils foncent. Succès fou. Et mondial. Depuis leur agence parisienne, les Gilles & Boissier ont imposé leur imprimatur de New-York à Dubaï, de Pékin à Las Vegas, de Saint-Tropez au Petit-Palais. Les magasins Moncler, c’est eux. Les restaurants Hakassan, aussi. Le duo a ses entrées chez Baccarat et ses sorties en mer à bord d’un bateau privé tout juste mis à l’eau. Attendus en 2015 à Manhattan, à Marrakech et à Mexico, ils y œuvrent pour le compte de Four Seasons, Mandarin Oriental et Baccarat Hotels. Cinq étoiles absolues. En attendant, ils ont lancé en janvier 2014 la collection de meubles et luminaires auto-éditée Gilles & Boissier Privé, et participent pour la deuxième fois en 2014 à l’exposition-manifeste AD Intérieurs, aux Arts Décoratifs.

www.gillesetboissier.com

16

Alix Waline, auteure des fresques de l’entrée principale et de l’entrée du Lobby

Née en 1974 Alix Waline vit et travaille à Paris.Après des études aux Beaux-arts de Paris, et un échange à l’Ecole de La Cambre dans l’atelier textile, elle se consacre au dessin sur tous types de supports.Les murs deviennent petit à petit son domaine de prédilection.Elle travaille le dessin comme une broderie, point par point, couche par couche, inspirée par les images de cellules du corps humain et l’idée de la circulation des fluides. Les formes, arrondies et abstraites, épousent les murs jusqu’à en repousser les limites. Pour Gilles & Boissier, elle a déjà réalisé une fresque pour le restaurant Kinugawa en 2010.www.alixwaline.com

Victor Ash, auteur de la fresque Hibou, lobby, Ier étage.

Né en 1968 au Portugal, Victor Ash vit et travaille aujourd’hui à Copenhague, au Danemark après vingt années passées à Paris. Graffeur-star des années 1980, on l’a connu sous plusieurs noms –Saho, Ash2..., passé des palissades de chantier et de terrains vagues parisiens aux cimaises londoniennes de Saatchi et aux honneurs d’expositions de Berlin à Séoul via Hong-Kong, Victor Ash est un talent-monstre. Après plusieurs idées et projets pour le Chess, il a choisi la symbolique forte du hibou pour veiller sur ses hôtes. www.victorash.net

Cyprien Chabert, auteur des fresques, cour intérieure; auteur des dessins, des tapis et des portes des salles de bains, à tous les étages.

Né à Paris en 1977, diplômé des Beaux-Arts, proclamé homme des villes hanté par les jardins phantasmés, Cyprien Chabert a débuté en solo à la Fat Galerie avec un cri du cœur : Tout est faux. Depuis, ce botaniste par défaut intrigué par les vides à remplir plante ses gravures et ses fusains chez ses amis artistes, chez l’orfèvre Christofle, chez Agnès b. Pour Gilles& Boissier, dont il a réalisé les fresques visibles en leur agence, Cyprien Chabert collabore à plusieurs de leurs projets publics et privés. A l’hôtel « The Chess », sa main a tracé et fertilisé feuilles, fleurs, branches, ramages dans la cour intérieure, sur les tapis des couloirs et sur les portes des salles de bains.

Les artistes du Chess

17

Compagnie Hôtelière de Bagatelle

Spécialisée depuis 2011 dans la création et la gestion de boutique-hôtels parisiens, la Compagnie Hôtelière de Bagatelle dispose en ville d’un portefeuille de cinq hôtels 4 étoiles dont le Vice Versa décoré par Chantal Thomass, le Platine, les Plumes et les Théâtres décorés par Vincent Bastie. Après « The Chess Hotel », la Com-pagnie annonce l’ouverture en 2015 de son premier établissement 5 étoiles, situé rue Saint-Roch, à Paris dans le Ier arrondissement. Forte d’un parc actuel de plus de 200 chambres, la Compagnie Hôtelière de Bagatelle ambitionne, par sa politique d’investissements, d’at-teindre l’objectif de plus de 1000 chambres. www.cie-bagatelle.com

Le Cabinet Bastie

Ce cabinet d’architectes a été fondé par Vincent Bas-tie à qui l’on doit plus de 70 boutique-hôtels parisiens - Le Petit Moulin, le Fabric Hotel, Le Platine, Le Seven, Le Pradey, le Burgundy, l’Original, les Plumes Hôtel, L’Atmosphère, Les Théâtres… Le cabinet Bastie met à la disposition de ses clients un savoir-faire unique mêlant créativité et ingéniosité.

18

The Chess Hotel****

6 rue Helder, Paris 9èmeinfo@thechesshotel.com / 01 48 24 10 10

http://www.thechesshotel.com/

Tarif à partir de 250 € la nuit en chambre supérieurePetit-déjeuner buffet sucré-salé : 22 € par personne / formule express: 10 € par personne

Petit-déjeuner, Tea-time et bar ouverts à la clientèle extérieure

Lien pour télécharger les visuels et le dossier de presse : http://www.zmirov.com/media/chb/thechesshotel_2014.zip

Contacts Presse :

Compagnie Hôtelière de Bagatelle Zmirov Communication - Jennifer Pétré & Stéphanie Zara

01 55 34 37 62 – jennifer.petre@zmirov.com / stephanie.zara@zmirov.com

Gilles & Boissier

Nathalie Franchini Communication – Grégory Maxime 01 47 54 57 77 / gregory@franchinicommunication.com