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15 ans au compteur. 86 numéros déjà derrière lui. Une vingtaine de hors-sé-rie publiée. Une dizaine de journalistes et une graphiste à son service. Près de 7000 articles écrits et mille idées dans les cartons. Ramdam poursuit son aventure avec l’enthousiasme et la curiosité qui sont sa marque de fabrique.

« Donner à réfléchir… Aller à la rencontre des acteurs culturels… l’indépendance c’est d’abord un état d’es-prit … prendre le temps d’aller plus loin… Ramdam c’est pour tous ceux qui aiment sortir, qui sont curieux, qui veulent aller à la rencontre des artistes… Ramdam s’intéresse à la culture et tout le Bataclan dans toute la région… » Voici ce que nous écrivions dans l’édito du premier numéro de Ramdam en 1996.Nous pourrions écrire la même chose aujourd’hui. Ramdam a évolué bien sûr, mais le credo d’origine, l’idée fondamentale qui motive notre travail et nous 

anime au quotidien est identique. La même depuis le premier jour. Découverte, rencontre, singularité, plu-ralité… Des mots qui, au-delà d’une ligne éditoriale, traduisent une manière d’appréhender la vie. Ce qui n’a pas changé non plus, c’est l’enthousiasme, la curio-sité, le bonheur artisanal de construire jour après jour ce petit objet qui se veut le porte voix de toutes les expressions culturelles. Ce qui a changé en revanche, c’est que les lecteurs sont infiniment plus nombreux à le glisser dans leur poche tous les 2 mois. Et c’est une grande joie !

Pierre Combes

Ramdam, 15 ans, c’est d’abord le souvenir du Bataclan et celui de Pierre qui m’a fait confiance pour ma première production, un concert des Fabulous Troubadors. Depuis, Mister Combes a fait son Ramdam qui est devenu au gré de mes expatriations le point de repère pour garder le contact avec ce qui se passe dans la région.Nicolas PeyreDirecteur du Festival du Film Francophone de Grèce

Je me souviens de la période où Ramdam a été créé. À ce moment, Pierre Combes et moi-même étions tous deux dans nos débuts, vouant, chacun à notre manière, nos vies à l’art et à la culture. Le temps a passé, Pierre et Ramdam sont toujours là et je suis heureux de pouvoir parta-ger avec eux l’élan et l’énergie qui m’animent.Heddy MaalemChorégraphe

Pour moi, Ramdam est un magazine qui reflète l’intense vie culturelle de toute une région et qui aiguise et comble les appétits culturels des Midi-Pyrénéens.Henri Molina Maire adjoint en charge de la culture à Colomiers

Ramdam, 15 ans de culture

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1996Le 1er numéro

de Ramdam est dans les

kiosquesRamdam rédaction : 51, rue des Paradoux, 31000 Toulouse. Téléphone : 05 34 31 26 31, Fax : 05 34 31 26 30- E-mail : info@ramdam-magazine.comDépôt légal 2346.96. ISSN 1276-6267. Commission Paritaire : 0513 K 80192.Illustration de couverture : Thibault Fernandez.Ramdam est une publication de Ligne Sud SARL 51, rue des Paradoux. Au capital de 8000 €. RCS Toulouse1998B01046. APE 7022 G. © Ligne Sud et les auteurs. Sauf autorisation écrite de la direction, la reproduction des textes, illustrations, partiellement ou dans leur totalité est interdite.

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1995 : Création du festival garonne Avant d’être le festival festif et populaire qu’on connaît aujourd’hui, Rio Loco s’appelait Garonne : depuis 1995 la manifestation invite au printemps un fleuve du monde à venir déverser sa culture et ses musiques sur la Prairie des Filtres à Toulouse.

1996 : réouverture du théâtre du Capitole rénovéC’est le retour d’un théâtre à l’italienne, alliant modernité et tradition. Une rénovation en trompe l’œil pensée par Richard Peduzzi, scénographe de Patrice Chéreau, alors directeur de la Villa Médicis, qui évoque les théâtres du XVIIIe siècle. Une belle réussite.

1998 : Ouverture du tNt - théâtre de la CitéEnfin un théâtre digne de la quatrième ville de France. Le nouveau théâtre est pourvu de trois salles dont la princi-pale, construite en amphithéâtre, peut accueillir 900 per-sonnes. L’architecture, due à Alain Sarfati, mêlant moder-nisme et tradition, se fait le reflet de la mixité de sa programmation.

1999 : Ouverture du Zénith de toulouseTant attendu, le Zénith de Toulouse ouvre ses portes en avril 1999 à la place de l’ancienne Cartoucherie. Ses 9000 pla-ces et sa multifonctionnalité (concerts, manifestations spor-tives, spectacles en tout genre…) en font un lieu incontour-nable de la vie culturelle régionale.

2000 : Pronomade(s), saison 1Première saison territoriale des arts de la rue en France, Pronomade(s) égrène ses spectacles d’avril à novembre sur une trentaine de petites communes de Haute-Garonne. Depuis 2006 Pronomade(s) est labellisé Centre national des arts de la rue.

Ramdam c’est une maquette lisible, une palette de couleurs dynamique, une bonne prise en main. Le contenu est succinct mais efficace avec une ligne éditoriale bien pensée. Il couvre l’ensemble des champs culturels, ce qui est un atout. En résumé, c’est un guide efficace et festif sur lequel les acteurs culturels peuvent compter !Hervé Ferrage & Virginie PitinDirecteur Centre régional des Lettres Midi-Pyrénées

Ramdam, c’est deux mois d’actu culture/loisirs en deux coups d’œil et trois clins d’œil : pratique pour être au courant de tout sans perdre des heures. Ramdam, c’est à la fois concis et consistant.Laurent SalbayreConsultant communication / attaché de presse

Ramdam c’est l’outil indispensable pour connaître toute l’actualité culturelle de la région mais aussi pour découvrir des artistes et des acteurs culturels grâce à des portraits, des interviews, des sujets tou-jours vivants et passionnants. En une phrase : La culture dans toute son exigence et dans toute son ouverture. Vincentella de Comarmondadjointe au Maire, Mairie de toulouse

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Témoin privilégié de la vie culturelle en midi-Pyrénées, ramdam voit depuis 15 ans s’enrichir le panorama régional : jeunes artistes, nouvelles structures, festivals débutants se font chaque année une place en midi-Pyrénées, et dans les pages du magazine.

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2000 : Ouverture des abattoirsSymbole de l’art moderne et contemporain, voilà 10 ans que les Abattoirs ont pris place dans le bâtiment d’Urbain Vitry à Saint Cyprien.  

2001 : Circuits reconnu “Pôle arts du Cirque”Circuits à Auch est reconnu commve l’un des princi-paux  « Pôle Arts du Cirque » en France et reçoit le label « scène conventionnée pour les arts du cir-que ».

2001 : Lo Bolegason ouvre ses portesLa  Scène des Musiques Actuelles  de la Communauté d’Agglomération Castres Mazamet dévoile en 2001 une salle de concerts, quatre locaux de répétition, un espace multimédia et une programmation éclecti-que.

2002 : Manifesto voit le jour1e édition de ce festival dédié à l’image qui expose désormais à l’automne, à Toulouse et Tournefeuille sa sélection de photographes contemporains.

2005 : Création du festival Le Marathon des mots4 jours en juin, en tous lieux et souvent simultané-ment, Toulouse s’adonne au spectacle des mots. De grands écrivains, lus par de grands comédiens, tous convoqués pour un Marathon littéraire qui a su trou-ver un large public dès sa première édition. Une belle idée.

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Pour les 15 ans de Ramdam, mon grand plaisir serait de réunir les acteurs de la culture de cette belle région et de leur infliger, par lecture publique, l’intégrale des éditos de Pierre Combes. Tous ces gens de culture comprendraient alors ce qu’il a fallu d’abnégation à toute la rédaction pour tenir 15 ans ! Que dire de plus ? Que la presse régionale est loin d’être floris-sante et incisive, que les cahiers culturels et critiques sont quasi inexistants.... alors que Ramdam résiste et est toujours pré-sent. Certes, on le voudrait plus moqueur, faisant, comme son titre le suggère, un boucan de tous les diables. Mais faute de grive, la trille du merle Ramdam nous accompagne et sa gratuité en facilite main-tenant l’accès à tous.geo MartinezLa grainerie

Ramdam, c’est un repère important dans la vie culturelle de la région. Ramdam, une offre qui crée la demande.Maurice PetitDirecteur du festival Lettres d’automne

Depuis 15 ans, j’ai feuilleté ce guide, me suis plongé dans certaines pages qui fai-saient le portrait de tel ou tel artiste ou décrivaient un évènement. J’ai toujours trouvé mon compte. Parfois je reprends un ancien numéro et le parcours comme je le fais pour des revues de randonnées... Je m’arrête à certaines étapes, en saute d’autres et continue toujours mon voyage...Jean-Pierre MontagnéDirecteur administratif théâtre de la Digue

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Ramdam est quasiment une institution à Toulouse et dans la région. Les communi-cants ont à cœur d’y faire figurer les actions qu’ils portent. Toute manifestation cultu-relle cherche à attirer l’attention du maga-zine. L’équipe est attentive et reste toujours rigoureuse dans ses choix éditoriaux.anouk Déqué anouk Déqué communication

Avec Ramdam, on est très loin d’une rela-tion «commercialisateur d’espaces publi-citaires» / «annonceur». Nous travaillons ensemble, nous imaginons, et nous parta-geons un certain «esprit», pour ne pas dire certaines valeurs. EDF, notamment à tra-vers l’espace EDF Bazacle à Toulouse, et Ramdam avaient tout pour se rencontrer : l’ambition de faciliter l’accès à la connais-sance, à la découverte, ou à la création artis-tique, d’appeler à la réflexion, de proposer l’inattendu... Ramdam c’est aussi une exi-gence éditoriale, un rapport étroit à la vie des territoires de notre région et donc à ceux qui les animent. C’est un magazine bien sûr mais c’est bien davantage ; c’est un acteur de la vie locale reconnu et res-pecté.Jean-Francois Escapil-inchauspeChargé de mission communication EDF

Comment parler de quelque chose qui fait partie de notre vie pour le boulot, et pour le plaisir ! Plaisant, différent, informatif, curieux. Une écriture agréable et qui évite de parler pour ne rien dire. Des pubs qui ne débordent pas et qui sont déjà une info. Des petits plus importants (où manger ?). Pour nous à l’Action Culturelle, c’est un outil important, mais que l’on feuillette comme un magazine. 15 ans déjà et tou-jours aussi jeune ! Béatrice Vinet-garcia Directrice du Développement local Conseil général des Hautes-Pyrénées

2005 : C’est de la Danse ContemporaineEntrée dans la danse de ce festival attentif à la créa-tion contemporaine et aux pièces qui ont marqué  l’histoire de la danse. Une manifestation  portée par le Centre de Développement Chorégraphique. 

2006 : Les Eléments ont leur VictoireLe Chœur de Chambre les Eléments, dirigé par son fondateur Joël Suhubiette remporte le prix de l’en-semble de l’année lors des Victoires de la Musique classique.

2007 : Ouverture du Bikini, version 2 Détruite le 21 septembre 2001 par l’explosion de l’Usine Azf, la mythique salle rock toulousaine renaît six ans plus tard jour pour jour à Ramonville. 

2008 : L’usine au turbinSoutien à la création, actions artistiques et culturel-les sur le territoire du Grand Toulouse, développement d’un pôle ressources et enfin production de chantiers, spectacles et costumes sont au nombre des missions de ce lieu conventionné dédié aux arts de la rue et installé à Tournefeuille. 

2008 : Le Lido déménageAprès 20 ans passés dans les murs de l’ancien cinéma de l’avenue de Saint Exupery, le centre municipal des Arts du Cirque investit un chapiteau permanent posé dans le quartier des Argoulets.

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La pluridisciplinarité a toujours guidé la rédaction de ramdam comme elle guide la création actuelle. danse, théâtre, musique, lyrique, cirque, jeune public, arts plastiques : tous ces domaines forment l’ossature du magazine. Tous les artistes y ont leur place.

Ramdam, c’est un regard à la fois compé-tent, complice et amoureux sur la vie artis-tique de notre région, c’est la parole don-née aux artistes et acteurs culturels, c’est la mémoire de beaucoup d’aventures artis-tiques vécues ici.Emmanuel gaillardDirecteur d’Odyssud-Blagnac

Ramdam, c’est une aventure qui dure dans une époque où tout tourne court… c’est donc précieux, utile et intéressant ! alain MonnierÉcrivain

Ramdam… Ce qu’Eisenstein disait du cinéma : la synthèse de tous les arts !Natacha Laurent Déléguée générale de la Cinémathèque de toulouse

Ramdam, c’est un magazine sérieux qui offre une information culturelle ouverte et sans exclusion.Jean-Marc LacabeDirecteur Le Château d’Eau

SI Ramdam étaIt…« Si Ramdam était une chan-son, Ramdam serait Padam Padam de Piaf, parce que ça sonne comme Ramdam. Si Ramdam était une date, Ramdam serait l’année 2001 ; Dominique Crébassol avait écrit un très bel article, illus-tré de belles photos… »Patricia FerraraChorégraphe

« Si Ramdam était un tableau, Ramdam serait Les quatre sai-sons d’Arcimboldo. Si Ramdam était un animal, Ramdam serait un suricate. Si Ramdam était une boisson, Ramdam serait du vin ( du Tari-quet ou du Lambrusco). »Pupella NoguèsCompagnie de théâtre

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Ramdam, c’est un véritable magazine, en papier et en pixels, plein de dates de spec-tacles, de concerts, d’événements, qui donne envie de sortir de chez soi. Et en plus c’est gratuit, sauf pour les annon-ceurs bien sûr, mais ils peuvent se rattra-per en le lisant sans rien débourser.Il n’y a pas les bagnoles, l’horoscope, le programme TV, les secrets des people, les fiches cuisine et bricolage… Mais finale-ment, on s’en passe aisément. Pierre, tu peux nous en remettre 15 ans de plus, on en redemande ! Jean-Paul rivièrePrésident Directeur général rivière and Co

Ramdam nous crée plein de problèmes, avec toutes leurs infos, parce qu’on sait plus quoi aller voir écouter ou faire. Alors finalement on reste à la maison, on lit Ramdam et on fait semblant d’être sorti, on sait tout.Claude Sicreassociation Escambiar

Ramdam est un partenaire incontourna-ble de tous les acteurs culturels de la région. Une excellente vitrine de l’offre culturelle régionale. Le témoin d’un monde en pleine effervescence et évolutions. C’est la parole donnée aux artistes, aux Arts et à la culture dans leurs riches et comple-xes diversités ! Michel WolkowitskyDirecteur festival Sylvanès

Ramdam est une formule pratique qui permet de savoir ce qui se passe dans les départements de Midi-Pyrénées. Ramdam informe vite et bien sur les sorties et loi-sirs culturels.Danièle DevynckConservateur en chef Musée toulouse-Lautrec

« ramdam a toujourS été préSent »À l’occasion des 15 ans du magazine, nous en avons profité pour interroger mouss amokrane, fondateur emblématique du groupe toulousain zebda, afin de lui demander ce qu’il pense de l’intérêt de la presse culturelle régionale pour les artistes locaux.

en quoi pensez-vous qu’un magazine culturel régional consti-tue un porte-voix efficace pour les artistes locaux ?C’est évident que la proximité est très importante. De nombreux artistes et projets ont pu être mis en lumière grâce à la presse régionale, sans quoi ils n’auraient jamais été connus. Quelle que soit la pratique culturelle, même la plus infime, il est important qu’il reste quelqu’un pour en parler. On a besoin de ce type d’éner-gie au niveau local, c’est essentiel.

Vous en tirez une bonne expérience personnelle ? Il faut dire qu’on a eu de la chance à nos débuts car il y avait beaucoup plus de médias dans la Région, qui nous ont à peu près tous soutenus. Depuis, beaucoup ont disparu et c’est regretta-ble. Je pense qu’il est plus difficile de se faire connaître en tant qu’artiste de nos jours.  Heureusement il reste des survivants, dont Ramdam qui a traversé les années avec brio. 

Justement, que pensez-vous de la pérennité de ramdam ?Je pense que c’est un exploit ! Je sais que ça a été un combat de tous les jours pour faire durer le magazine et cela témoigne d’une vraie envie, d’une vraie conviction de la part de l’équipe et de Pierre. Ramdam a toujours été présent au plus près des lecteurs et des acteurs culturels, et je pense que c’est pourquoi il garde leur soutien depuis le début. 

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Il est important pour un artiste de se sen-tir accompagné par les journalistes, depuis toujours l’équipe de RAMDAM m’a sou-tenu, en relayant les infos sur mes projets, en me donnant la parole. Ils m’ont per-mis aussi de découvrir d’autres artistes. Il s’est installé un respect mutuel, une confiance, une amitié sincère. Je leur sou-haite longue vie.Palante ! Un abrazo a todos.Bernardo Sandovalartiste guitariste

Ramdam accompagne depuis sa création les acteurs culturels, les artistes, les collec-tivités. Personnellement j’y ajouterais une page d’humeur ou de critique, pour dyna-miser le côté purement informatif. Ramdam est un magazine culturel de référence, agréable à feuilleter. Il rappelle l’immense diversité des cultures. Quelques mots d’impertinence seraient les bienvenus... Danielle BuysPremière adjointe au Maire / Mairie de tournefeuille

Ramdam est devenu le véritable guide du routard culturel de la Région. Il est indis-pensable et permet de découvrir des évé-nements discrets mais passionnants qui jamais n’auraient eu la moindre commu-nication. Pour tout cela merci à Ramdam, et que ce Ramdam sonne longtemps et réveille les consciences culturelles assoupies.gil PressnitzerEcrivain, fondateur de la Salle Nougaro et du site esprits nomades

« Si Ramdam était une chanson, Ramdam serait Ah ça ira…ça ira…ça ira… Si Ramdam était un livre, Ramdam serait La vie mode d’emploi (Perec) Si Ramdam était un tableau, Ramdam serait Le déjeuner sur l’herbe Si Ramdam était un animal, Ramdam serait un caniche à poils ras. Si Ramdam était une date, Ramdam serait 1984 (Orwell) non je plaisante ! 2013 : on rasera gratis ! Si Ramdam était une addiction, Ramdam serait un vieux whisky irlandais. Si Ramdam était un sentiment, Ramdam serait l’impatience. Si Ramdam était une boisson, Ramdam serait une boisson avec beaucoup de bulles bien sûr. Si Ramdam était un vêtement, Ramdam serait un string léopard. »Didier CaretteDirecteur du théâtre Sorano

« Si Ramdam était une héroïne, Ramdam serait Olympe de Gouges.Si Ramdam était un animal, Ramdam serait un chat.Si Ramdam était une boisson, Ramdam serait de la vodka. »Jean-Pierre Beauredon Cie Beaudrain de paroi

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Ma lecture de Ramdam ne manque jamais de susciter ma curiosité pour des mani-festations et des initiatives, mais c’est avant tout l’occasion d’avoir un pano-rama de l’offre culturelle. Ramdam a su en 15 ans s’adapter et relever un défi, celui de témoigner du développement de la vie culturelle de ce grand territoire régio-nal. Ainsi l’ensemble de Midi-Pyrénées devient plus attractif et des initiatives isolées et «pleines d’esprit» s’en trouvent confortées. Elles en ont besoin particu-lièrement aujourd’hui, comme l’ensem-ble du secteur culturel. Ramdam, un outil pour se repérer dans ce grand cir-que artistique, qui fait partie de la vie en Midi -Pyrénées.Marc FouillandDirecteur Circuits Scène conventionnée auch - gers- Midi Pyrénées

Le numéro « hors série » sur les 80 ans de Claude Nougaro a été une réussite tant au niveau du fond que de la forme. Ramdam : la culture a son tamtam !Yvan Cujiousartiste

Ramdam est un véritable partenaire pour la valorisation des programmations artis-tiques, le magazine ne se contente pas d’afficher les manifestations, il les expose et les fait s’exprimer. Il est en quelque sorte le premier lien entre l’art et le public et facilite la rencontre. C’est ce supplé-ment de sens qui fait de Ramdam un magazine culturel. Béatrix BordesDirectrice adjointe des affaires CulturellesDirectrice artistique Spectacle VivantVille de Colomiers

Ramdam, tout feu tout flam ! Ramdam l’été = bonheur dans le pré Ramdam l’hiver = au chaud les concertsTouche pas à mon Ramdam ! Ramdam’addict ! Vous l’aurez compris, Ramdam j’adore !Laurence got-VillierDirectrice de la communication mairie de Montauban

« Si Ramdam était une chanson, Ramdam serait Qu’est ce qu’on attend pour être heureux. Si Ramdam était un livre, Ramdam serait la Bible. Si Ramdam était une héroïne, Ramdam serait Alice (celle du pays des merveilles). Si Ramdam était un tableau, Ramdam serait French Cancan (Picasso). Si Ramdam était un animal, Ramdam serait une puce savante. Si Ramdam était une date, Ramdam serait 2020 (25eme anniversaire). Si Ramdam était une addiction, Ramdam serait l’ivresse.Si Ramdam était un sentiment, Ramdam serait l’envie. Si Ramdam était une boisson, Ramdam serait le Cosmopolitain (Vodka c’est fort, Triple sec  pour l’amertume, Cranberry c’est détoxi-fiant, Citron vert pour rendre le tout harmonieux mais piquant). Si Ramdam était un accessoire, Ramdam serait des lunettes. »Joël SuhubietteDirecteur artistique du choeur de chambre «les éléments»

« Si ramdam était un tableau, Ramdam serait La charmeuse de  serpent du Douanier Rousseau. Si Ramdam était un animal, Ramdam serait le baboune ou le singe hurleur. Si Ramdam était une date, Ramdam serait 1515.Si Ramdam était une boisson, Ramdam serait la Belzébut. »Christian CouminMetteur en scène et directeur artistique du Lido

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Depuis 15 ans, Ramdam est le guide de réfé-rence des sorties culturelles en Midi-Pyrénées. C’est une source inépuisable de découvertes, d’idées de sorties pour celui qui veut se lais-ser guider. Lorsque je suis arrivé de Paris en 2003 Ramdam est devenu instantanément indispensable pour moi. En un coup d’œil, on peut repérer les spectacles, les concerts, les pièces de théâtre… C’est un formidable révé-lateur de la richesse créative et artistique de la région.Pierre Carli,Président du directoire de la Caisse d’Épargne Midi-Pyrénées

« Ramdam est désormais par sa fréquence et le contenu de ses informations un allié pré-cieux pour qui veut tout connaître sur la vie toulousaine. Sa maquette et sa mise en page sont autant d’incitation à lire avec plaisir et intérêt un magazine vivant et informatif au premier degré. Son lectorat large en fait un support indispensable pour qui veut com-muniquer efficace. »alexandre LevyDirecteur de la Marketing ESC

RAMDAM de coeur Le carré d’As que composent André Lacam-bra, Pierre Lepagnol, Virginie Peytavi et Pierre Combes a le talent de cultiver distance criti-que et fidélité. Véritable accompagnateur des aventures culturelles et artistiques créées en Midi-Pyrénées depuis 15 ans, Ramdam a su se positionner comme un témoin privilégié et un «indic» avisé. Alors faisons un vœu pour ses 15 prochaines années : que Ramdam main-tienne sa vigilante curiosité sur l’ensemble du territoire régional, car la Vie (culturelle) conti-nue hors de l’agglomération toulousaine !Marion Vian & Philippe Saunier-Borrell, Codirecteurs de Pronomade(s) en Haute-garonne, Centre national des arts de la rue

Nous lisons Ramdam avec plaisir dés récep-tion. Il est bien la vitrine de toutes les activi-tés culturelles de la région Midi-Pyrénées. Sa présentation est très attractive, et nous som-mes très heureux que la programmation de notre petit mais prestigieux lieu culturel y figure.Pierre DelbosDirecteur galerie Le Casino

C’est le seul magazine à vocation régionale et généraliste tant il est vrai que, pour Ramdam, il n’existe pas de frontière entre les expressions culturelles. Ramdam en une phrase… Le meilleur remède pour lutter contre «l’entre soi culturel» (formule que j’emprunte à Claude Llabrès), c’est un éveilleur des sens. Michel-Paul Monredon Directeur de la communication rectorat

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c’est la richesse culturelle régionale qui a motivé le positionnement territorial de ramdam : trois scènes nationales (à Foix, Tarbes et albi), un Théâtre national à Toulouse, une Scène conventionnée pour les arts du cirque (circuits à auch) et un centre national des arts de la rue (Pronomade(s)) pour ne citer que ceux-là, composent un solide maillage qui garantit une culture de qualité sur l’ensemble du territoire.

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« En 15 ans, Ramdam s’est imposé comme une réfé-rence régionale en matière culturelle. Et dans le contexte actuel, c’est d’évasions, d’enthousiasme et de curiosité dont nous avons besoin. Ramdam, c’est une conception éditoriale résolument tournée vers la culture. La culture sous toutes ses for-mes. De la plus classique à la plus contemporaine, Ramdam les décrypte avec impertinence et accuité. Coup de cœur, coup de gueule, lire Ramdam c’est déjà voyager. Un voyage – gratuit ! - à la rencontre des artistes, des créa-teurs, des expressions artistiques, et des évènements qui font notre région.

Sans oublier l’esprit pratique de ce magazine : un petit magazine par la taille qui couvre les richesses culturel-les de la plus grande région de France. Avec internet, une nouvelle dynamique s’est créée. Ramdam a sa propre marque de fabrique : donner la parole aux artistes et aux internautes. Ce sont ceux qui vivent et font la culture, qui en parlent le mieux. Ramdam les fait s’exprimer et rayon-ner. Ce magazine est une respiration. Maintenant place à l’avenir et pourvu que le Ramdam résonne longtemps en Midi-Pyrénées ! »

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Président de la Région Midi-Pyrénées, Martin Malvy nous livre sa vision du 1er magazine culturel régional.

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« Que ramdam résonne longtemps en midi-pyrénées »

Je me suis abonné à Ramdam dès que j’ai eu connaissance de son existence. Et outre le rédactionnel des articles souvent inté-ressant, ce que je trouve primordial, c’est l’éphéméride coloré suivant les genres, par département. Je le consulte scrupu-leusement avec un surligneur et fait mon choix de concerts ou d’expos. Michel Dieuzaide Photographe, vidéaste

Ramdam, c’est une revue qui tente, sou-vent avec succès, de trouver des proposi-tions de qualité dans l’actualité culturelle de la région. Ramdam : une revue qui se cultive.Olivier GalGalerie halle aux poissons

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en 2005, à l’occasion de ses 10 ans, ramdam a décidé de soutenir le Téléthon en éditant un numéro spécial destiné à récolter des fonds. Patrick coquerel, responsable Télé-thon 2005 revient sur ce partenariat.

« Partenariat, le mot est très faible, je qualifierais ce projet d’élan du coeur, de partage et de générosité de la part de l’équipe de Ramdam accompagnée par une multitude de jeunes journalistes plus motivés les uns que les autres ! Tout était à faire, à construire en très peu de temps : monter un numéro spécial d’information, de reportage et d’interviews afin de comprendre et d’informer une fois encore nos conci-toyens. Car le sujet est tellement difficile lorsque l’on touche à l’humain, à l’intime.  Il fallait expliquer le quotidien, la douleur, l’espoir des malades dans la recherche financée par le Téléthon et l’AFM pour toutes ces maladies orphelines que l’on ignore faute d’enjeux financiers importants. Mais Ramdam était présent avec son public, sa motivation, je dirais même avec sa détermination ! C’est encore aujourd’hui un souvenir vivace pour tous les malades, bénévoles et donateurs de ce Téléthon 2005 qui fut un énorme succès. »

Ramdam, c’est avant tout pour moi, le souvenir d’un beau partenariat vieux de 10 ans maintenant, lorsque le 8 Juin 2000 nous avions réalisé ensemble un numéro spécial de cette publication, intitulé « Au chœur de l’entreprise » à l’occasion d’un grand concert donné au Zénith de Tou-louse pour AÏDA, par l’Orchestre Natio-nal du Capitole, sous la direction de Michel Plasson et avec la participation d’un chœur de salariés de nos entrepri-ses adhérentes.Francis grassPrésident de l’association aÏDa

Ramdam, 15 ans

de culturecItoyenne engagée

« élan du cœur »

L’engagement et la solidarité font partie de la culture d’entreprise développée par ramdam et mobilisent ses salariés. cet engagement se traduit par l’édition de hors-série (azF, Téléthon…) qui vous ont marqué et qui nous tiennent à cœur.

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Ramdam, 15 ans

de culturecItoyenne engagée

Ramdam, 15 ans

de culturepartagée

« une InformatIon culturelle de QualIté »Bertrand Thomas, directeur de l’ecole de Journalisme de Toulouse, donne son sentiment sur la question de la gra-tuité de la presse généraliste et sur le cas de ramdam en particulier.

« Spontanément je ne défends pas la presse gratuite, c’est un principe. La presse délivre des informations qui ont un coût (aller chercher l’info, la traiter, la mettre en pages et la distribuer). Il est bon que le lecteur soit conscient du prix d’une presse libre et professionnelle. De plus, cette presse quotidienne gratuite s’arrête en juillet-août et pour Noël, alors que l’information, on le sait, vit en continu. Par ailleurs, j’ai conscience que cette presse permet à des journalistes de travailler et qu’elle contribue à faire vivre une économie qui repose sur la publicité. Concernant Ramdam, produit que j’assimile à de l’information service, le problème est différent de la presse généraliste nationale. Ramdam donne une info rapide, simple, efficace pour se mouvoir dans l’of-fre culturelle, dans la lignée de Pariscope ou de l’Officiel des spectacles qui ont toujours affiché un prix modique et popu-laire. Tant mieux que cette presse soit gratuite car elle cor-respond à des couches sociales pas forcément fortunées qui ont droit à une information culturelle de qualité pour faire ses choix de spectacles. »

Le magazine Ramdam est pour moi « LE » magazine qui donne toute l’info cultu-relle de la région. J’y trouve de l’informa-tion sur les concerts, spectacles, rencon-tres d’artistes auxquelles je n’ai pas pu aller et j’ai confiance dans les commen-taires qui sont faits. En plus, il est devenu gratuit maintenant ce qui est très intéres-sant pour sensibiliser des publics qui ne sont pas naturellement attirés par l’art ou la culture. Dominique FaureDirectrice du développementVeolia Eau région sud ouest

Un petit magazine, par la taille , mais grand par la qualité et l’impertinence qui convient au débat culturel.Jacques roccaDirecteur de la communication airbus

Vendu en kiosque pendant pas moins de 14 ans, ramdam fait le choix en 2009 de passer en gratuit dans un monde où la concurrence est rude et où l’information est toujours plus vaste et accessible. Pari réussi avec un élargissement de son lectorat et une qualité sans compromis.

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Sympathique, vivant, plein d’informa-tions pratiques, Ramdam traîne long-temps sur un coin de mon bureau au Théâtre du Capitole. Léger, je l’embar-que souvent dans mes déplacements, quand j’ai un peu de temps pour regar-der ce qui se passe à Toulouse. En un mot : M A L I N ! Frédéric Chambertthéâtre du Capitole, Orchestre National du Capitole

Lecteur de Ramdam depuis une dizaine d’années, j’apprécie tout particulièrement le ton indépendant des articles et la diver-sité des sujets traités. «La culture éclaire la complexité des choses alors que les médias les simplifient»... Preuve que Milan Kundera n’a pas encore lu Ramdam ! Ramdam occupe une place à part parmi les magazines culturels toulousains, ne serait-ce que par sa longévité et l’absence de méchanceté. Il me semble que Ramdam ne fait pas partie de ces journaux qui s’in-téressent à ce qui intéresse le public, mais davantage à ceux qui intéressent le public à ce qui les intéresse... Une réponse inté-ressée !Jean-François PortarrieuDirecteur de la communication Mairie de toulouse/grand toulouse

Ramdam en une phrase ? je parlerais d’une information qui évite les écueils de la démagogie et du racolage. Un exploit par les temps qui courent !Jean-Louis guilhaumonPrésident de Jazz in Marciac

Ramdam réussit parfaitement l’alliage entre l’objectivité à ten-dance exhaustive de ses pages « agenda » et la nécessaire sub-jectivité des articles de fond et des interviews. L’importante part donnée aux interviews confère au magazine une dimen-sion vivante et dynamique.En outre, le défi de couvrir l’actualité culturelle d’une aussi vaste région que Midi-Pyrénées est remporté, tout en misant sur l’attractivité de la couleur et la qualité iconographique.Outil personnel autant que professionnel, Ramdam a franchi un cap majeur en passant à la gratuité, dans un format qui a évolué et qui semble désormais abouti. Ramdam en une phrase : un incontournable mi-chemin entre Pariscope et Télérama pour la région Midi-Pyrénées.Lionel Hiver administrateur du collectif éOle et du festival Novelum

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Je n’utilise et ne consulte Ramdam que sous son aspect «on line» et j’avoue que c’est très efficace pour savoir ce qui se passe sur l’ensemble de la région chaque jour. Peut-être que les organisateurs d’évène-ments ne savent pas assez qu’ils peuvent s’inscrire et bénéficier de cette énorme toile d’infos...Philippe LéogéBig band 31

Bien fait, clair, coloré et gai, maquette moderne juste ce qu’il faut, simple de se repérer, des critiques / points de vue sym-pas. Je lis Ramdam plutôt sur Internet depuis que c’est possible. Et plutôt en soi-rée ou lors d’insomnies ! Laurence de Boerioattachée de presse

« acceSSIbIlItéconvIvIalItéactualISatIon »directeur du pôle médias-culture-communication de l’Université Toulouse 1 capitole Serge regourd revient sur la complémentarité entre le magazine et son site internet.

« Ramdam a parfaitement compris l’articulation entre presse papier et presse en ligne, sur internet.Contrairement à une présentation dominante, il ne peut s’agir de logiques de substitution, mais de complément. Le site de Ramdam s’ins-crit remarquablement dans cette complémentarité, en se fondant sur les spécificités d’internet : accessibilité, inter-activité, convivialité, actualisation permanente. Ces vertus sont particulièrement adaptées à la culture et à l’informa-tion culturelle. Vraie réussite pour un vrai modèle. Il dépend désormais des acteurs culturels de s’en emparer et de le faire vivre au niveau des ses potentialités. »

déjà en 1996 ramdam avait son site internet. Puis en 2005 ramdam créé un concept fort avec la réalisation d’une plate-forme communautaire qui permet aux acteurs culturels de publier gratuitement leurs informations. Pour ses 15 ans le site prend des couleurs et offre encore plus d’interactivité à l’internaute.

Ramdam, 15 ans

de cultureconnectée

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