22° .ANNEE. N. 12.339

ABONNEMENTSnet IP Ir./ sel, 43 Ir.. I an 33 In

,

SOCIALISTERédaction et Administration 38, One Roquelaine, TOULOUSE Tél. 200.43 C. C. Pastan 77

BUREAUX A PARIS 3, Roe SLAngastIn Té/aphones Coteniters 76.8. 61.21 t Loto 20

Le scandale Stavisky et ses répercussionsle Groupe Socialiste a repris son projet de loi destiné

à protéger l'épargne et demande que les réserves dts sociétésd'assurances et les dépôts des établissementsde crédit soient soumis à une gestion publique

CHAUTEMPS A DÉCLARÉ QUE, SANS CONSIDÉRATION D'AMITIÉ,OU MÊME DE FAMILLE, DES SANCTIONS SERAIENT PRISES ENVERS TOUS CEUX

QUI, PAR NÉOLICIE'Cft CLLMPI A CC Id, COMPLICITÉ, ONT FAVORISÉ STAVISKV

LA 1151502,

E rideau vient de tomber surIn premier acte. La Chambrea entendu tre1s d. interpel-lateurs t nos amis Léo La-

grange et Georges Monnet, puis leréactionnaire larnmange. lieursdiscours ont été coupés par diver-ses inlerruptions sensationnelles,dont lune de Dalimier, très ap-plaudie Après quoi le prési-dent du Conseil a clos In séanceirar are harangue d'un art coin

qui loti donne, A l'heure oùj'écris ces lignes, partie gagnée.

Mais C'est fiel. du Warp,ren guis bien Sûr, qui inleresseavant tout Inn caner rôdes.

Léo Lagrange a, du premiersel*, mené taus ses gracias damentta Chambre. Dès aujourd'hui il

s'est classé dans l'ego po des ora-teurs dont le Parti peut être fier,entre las mains de qui il peut re-mettre toutes les lâches, fût-ce lesplus malaisées. ha lâche était, d'a-nalyser le scandale, d'y retrouverla Dace des complaisances, des ca-rences, peut-êtsc des eamplicitesadministratives, judie1aires ou po-licière, Il s'en eut acquitté avecune grave et séarra ardeur, avecone sorte de probité passionnéequi imposaient Pattentinn, puis lesespecL

Quant à Georges Monnet, il a re-aruvelé le genre de tours de forcedont il est h peu près seul capa-ble ; avec cette tranquille, limpideet intrépide assurance qui n'appar-tient qu'à lui, il a pris directementà partie la manuvre réactionnai-re. Il l'a retournée contre les Tar-dieu, les Flandin et les Dumesnil.Il a relié le scandale plaisent auxscandales passés. Il en a démariéle mécanisme technique et lastructure sociale, é n réquisitoiretranquille fléchi devant aucunedes tare, du l'égare, pas même de-vant celle vénalité de la pressedant il semble parfois qar tout lemonde ait peur.

Et maintenant, comment nosm'atours art-ils conclu I Co n'estpas ft nons de départager des seri-Xices publies se rejetant l'un surl'autre ler fautes el les charges. Cerôle incombe au gouvernement,arar sa responsithilihé, ou bien àFenquate parlementaire. Nos ers-tours ont denoneé ce désordre soli-daire des institutions. cette corrup-tion généralisée des murs quipont le résultat nalvret d'un régimenu /a recherche du profit expliquetout, où la possession de l'argent

I

justifie tout. Ils ont précise et laresen quelque sorte, les ensei-

gnements positifs inc le scandalearmporte et que le groupe availdécidé d'en tirer.

Nous avons, dès aujourd'hui, re-pris le teste prépare par le Groupeal y a ring ans pour la protection/de l'épargne Des qrr,luurd Irai nousdemandons, en attendant /a satin-liSatiein pure et simple, que lesréserves des sociétés d'assuranceselles dépôts des établissements decrédit soient soumis à une gestionpublique. Voilà le terrain sur le-quel f000 entendons porter labataille, sur lequel nous la par-poivrons.

LEON BLum.

Lit Température&rom., à IO heures, Rd.l'empirait+. minime +5.l'empara.. maxima +II.A midi *14,n soleil et +11 à l'ombre.A 19 heure. +9 et demi.A minuit +9, *

De haut en bas Léo Lagrange,Fié, qui a déposé une interpella-tins as nom du Groupe; Georges

Monnet_

gences des chefs de service, B. la Insti. ou à la Police. Ou tte saurait déclinre, toutefois. que M. Chien, Préfet dlPol.e, sera l'objet d'une mesure ainressive.

Les fauteaTele-91118-gragee, Ceiles qu--donneront lieu aux mesures discipli.iret. les pins Importantes, a dalla,te président du Conseil, inaomberon'surtout aux magistrats du siège et diParquet de la gqine, et à eertaim foncHonnaires de la Silreté générale, donce commissaire qui, ayant pourtant arrété l'escroc, en 1326 t l'ayant interMi par la suite des sallea de jeux, ludalivralt, au début de 1932, non paune carte d'inspecteur de la Sûreté ginérale, ocrasse kttre d'introductionauprès de ses collègues du service deaJeux dans tous les tripots de France,pour lui en faciliter à nouveau l'accès.

Mals 11 y a aussi, en cette matière,un autre responsable. Il s'agit de M.le sénateur Rahman qui, ministre del'Intérieur de M. Tardieu a de sa main,signé une dédalea bienveillante enversStavisky.

M. Chautemps t'a raves it la tribune.La Chambre n'a pas été stupéfaits.

Pour pretiare tout. les sanctions quis'imposent le chef du gouvernement at-tendra les réeultats de l'enquête admi-nistrative. Certes, rien ne permet depréjuger que celle, n'en p. conduiteavec la pls grande impartialité.

Tout de même, l'opinion publique nesaurait accepter fis délai. Pour unsr-ndale de cette partiteur, t esoiettnavitefinasser, pas seulement defrapper juste, les .nctiens doivent Nueimmédiates.

Et puis, II n'y a pas que ta policeet la justice, dee le préside. du Cen..11 a et indiqué qu'Il refornierait complatement et Prochainementleis eervices. -

II y a aussi selon sou expressionree homme« inriculents ent ne soc

'veillent D. oses leurs relations cesmartres-chanteurs et <une presse venate que e «maternas a excellemmentstigmatisée

Mieux que par des Motets imPraviadacomme eilx du garde des Sceaux. d,poee dés hier, et qui. à Praulève vaa.paraissent attentatoires It la liberté delieraient. gouvernement ferait hien,Pom réprimer rigoureusement les faiteet gens dont 11 s'agit. de faire cennal.tes officiellement et publieuement auOses, les noms et les actes. Et de lasPoursuivre conformément à la lot.

A ce titre aussi, Il Justifierait sesengagements et ses Promesses.

Pierre LAINE.Les révélations

et les engagementsA Bayonne

du président du ConseilAUCUNE NOUVELLE

quoi aeaehats as i,mille Chautemps a remporté un grandsuccès, B. la Chambre. Si ,site-el avaitse à se prononcer aussitôt après le diecours du président du Conseil. le gouvernement. eans nul doute, aurait sanaus une maJori.

Et pourtant M. Camille Chautempsnia précisé suc.. des savate. qu'ilcompte prendre muera tous ce.ux quiPar négligenca comatule.,a nomma,cité, out favorisé les exploits de Stavisky.

Le président du Conseil s'est coatesde révéler certaim faits, asocial

d'ailleurs significatifs51 a dégaril que toue les eounain50

seralart frangés.Répondant à ta diversion po/Pique

teniêe par M. Dommange M Chautemps, en s'écalant, dans ut beau mouvement oratoire, qu'il ne se latoseraltarrèter par aucun lien d'amitié ou mê-me de famille, a ainsi Island entondricm l'un dos fonctionnaires rentre miune sanction serait prise, serai. sormoere beau-frère M. Pressant procurette de la République sa Parquet de

En ajoutant quise dessus des fanetionnaires coq-aida, Il acmé,. mei'aussi, pour etre reprini8es, les aigri

INCULPATION

sd'Iditaill cepoued'iincst.roclieo.n;nom

'liPa"'été WnW.1 d1 c.:erntr'ti

Irreee"treelLee c;virt' son

Cor'e

Shsaicky 15e lemme 0,0e55

st7IVete: es tin prrq'neet h05f 51e

Mme Stavisky a fait savoir souinlention d'assister à l'ouverture desscellés apposés sur la lettre et lna

bagages, opération à la, lie pro-cédera M. d'Uhalt an tout proehara.

CONFIRMATION DE MANDATDE DE.g.qT

Tisser a ête amené ce matin an/talais de justice pour passer devantia chambre du /conseil qui a statué ànouveau sur son incarceration. On Asait que celte formalité est obliga-toire d'après la récente loi sur la li-berté

De nombreux cureitra, phi:does-phes et journalistes se trouvaientdevant /e tribunal ; lainer,', de l'inMilité s'est effectuée sans inciuents

'1;7. ecorre eUsais' i.,1

lIIlIIlIIIIItIIIllllseuIuuIlIllIIlItlluItllIIlIIlIIlIluIjlIIaIItuIliIlilljlIIiIleiZItIlIlIjllIllIll

DES DATTES...ff/

Le. funérailles sh. général D1jI3A1L. M. RAYNALDY, minions de la Justes,prononce a. discours. Au tond, les diplomate, set %Machel. minima sétrone.

LA CHAMBRECU:AMBRE FAIT CONFIANCE AU GOUVERNEMVINT

(Voir les débats en deuxième page).

Parla, 12 janvier. gr/tares la qat.-se réunirait le 29 janvier tique hebdomadaire du &Minage, pu-

bliée par le mmistére du nava auJournal Officiel na date du 6 jan-

vier le nombre des chômeurs itûentsest de 319.815 deas les fonde de chô-mage ends 457 .116 les bureaux deblemelearee, soit, au total, 320.273 dont289435 hommes et 60.838 femme.

La semaine dernlere, oe total êtall de312 894. Il y a done cette semaine une

rg, puress d, la couiurenee sera, ace, ami...alma de 2.3 di Clameurs Ins-vomie pour le lundi 29 Janv., nans I. deux ..gorles

Pons.

Londres, 11 janvier. .c'est seulementb. Gen., que Denderson arrêtera is da.

laquelle sera rhunl le Pur.0 do laCon.renca Ayant. au conne de son en-trevue av. eir Sobin ...ion, pria con-naissance du point de +mais.. le p.-a.,. part], probabiement In.d1Paru /rua, f.r. un arr.,40 lavure,

.gnein ta suisse. +

25 CENTo

M. Herriot ne veut plus voir les scan*doits au premier plan de l'information.

,H aimerait .mieux qu'on les étoulfat ?Ce serait évidemment préférab'e pour

les protecteurs ou les compiices desescrocs.

EXAGERATIONSEn vérité l'on exagère. La presse

surtout euagese. Et la certitude oùVon est que cenlai. complices ouprotecicure des escrocs demeurerontinconnue no saurait nous pousser aen voir partout et à suspecter tousceux oui ont approché de Stavisky.

Geste maladie du soupçon ansesgénéralise es qui constttue d'ad-

aboutit aux accusations les plus ab-.rdes et les plus odseuses.

StesUsly cimesie toue les escrocs,comme tous les tarés, approchaitfacilement tee hommes les plus hon-'leu,. les Plna respectables, les plusyeintilleux nir l'honneur qui luiwg,,laserst la nsain, consersaient et leras écho:ad:é s'ét.tart.ileillf de te,. el.<agreable et utile parre ose présenteet recommandé par des personnalitesimportantes.

Stavisky a été considéré comme enmortel fortuné, et généreux; maissemblable nue mortels d'aujourd'hut,Par l'immense majorité de ceux qui,pue hasard, accidentellement, ou parintermittence, se sont liés avec lui.

Soupçons.r tosse ces genetà d'in-telligence avec l'escroc, ou de .m-plaisance, c'est bon tout eu pluspour Daudet.

Que des députée, des hommes d'al-Mires aient eu des relations avec lui,quoi de surprenant! 11 recherchaitlen" cnnuneree.

Mais quel fond de nealhonnéleté etd'indélicatesse nourrisses-vo. donc«14 tond de votre propre cur sivoue «Mutile. à un malandrin, reluiQui s'asseoit d ses c.W3. le croyanthonorable, parce ou il le sait honoréd

dls heu de soupçonnes tout lemonde, de rechercher, tons ceux quiont pu diner ou prendre l'apéritifasee Stavisky, on ferait mieux dereater à l'administration des so.no-rions «sa gras cospaides que Voncannait.

Chez les magistrale, elles les policrisse, chez les haut-fonctionnairesmunicipaux. chez les journalistes, de,hommes savaient qui était Stavisky,et le caractère véreux de ses opéra-tions financières prier,e,, et artueliee.

Cessassla eont coupables. lisions, nombre,.

Réclamons, sains arrêt des puni.Stucs eremplaeL5 contre ceux Io, aulies de 71.0. éptliSer, pour satisfaireun sadisme moral déshonorant, àgrossir leur nombre d'une cohorte danefs ira, cents.

L'ensemble des hommes su snéritejpas tant d'injurieuse snefiance 1

Les oryanisatione politiques ne laméritent p. da.rantage.

Personne . relu. jamais, per-dra. ne re,.era na, lie suite, dedéjeuner, d'aleer au theltre avecl'homme ..0/11. lai pré.sente et lus route.

De e1.118 saints freastens1rent 1.1milieu, les plue honteux, sa. pre-,

Et l'on ne voit p. so. regret,redire pour. leur vert«.

une partie de la presse, risiblementheureuse de barbotter dans la vase,s'efforcer d'étendre le scandale ensurface et bien phis 801iCiEliSecompromettre 1ea adversaires politi-1oves que d'exiger et d'obtenir dessanctions pour les vrais défaillants.

..L..acti HUI/ELLE.

Da. la Petite Gironded'Isar, M. S. Bach 147.1.1411, qu'unsoesaliste de marque ne le.nomme pas aurait gs connu » Sta-Ivisky. Et il en prend prétexte pours'étonner de ma eévérité pour les

commensaux de l'escroc.Ma sévérité ne s'exerce qu'd

contre de ceux, qui soupçonnant laneouoroa,,listér,,,de ,aLavil,,s ihydet;o:fl

rae:i.:.certnin que le Parti socia-liste n'et compte pas un seul dan.

Et cela tient sans doute au con-tr6le minutie, dont le Parti esea-'Ire tous ses représentante.

Aiai-0 si d'aventure un complice

eto:sheienite,d roire,.:;:iftvo:

parira no., je Rai a

nie, nous mettrions à le flétrir etnoue debarrasser de lus, en

tempe et moiace de formes que n enmettent présentement les autresPartie d se débarrasser de ses

pareil.Il Bach en est certaine.:,t H00.5-

vaines :

Un heureux profiteur du scandale Stavisky:

...le directeur de la Compagnie de l'Est I

SAMEDI 13 3.1.111P11 len

LE GAGNANT DU GROS LOT

Après Tarascon, Avignon I AprèsAGgnon, Cavaillon! La Fortune adécidément un faible pour la Pro-vence. Le gros lot de la gut:sèmetranche a été gagné par un boulan-ger de la ville, célèbre par ses ine-676, 14. Félix Reynaud,

voit ici aveephotographiés hier matin at'li.

11111111111i11.111111111111111111111111111111II

Notre Congrèsde Lille

par Paul F,4UREEST à Lille sue 3e rurira nets&congres national extroordina're,puisqu'il nous a été impossible da

trouver à Paris pour les 10 et Il fé-svier, une salle assez reste, et que Ro-ger Salengro el L Lsbas nous ont spon-tanément déclaré mie nos amis du Nordacceptaient joyeusement de nous serer

Les ossises du socialisme franto,s saFendront donc dores la grande ville pro-d'arienne, berce. avec Roubaix desoeulisme dans une région ois malgrà/a guerre, roccapation Mangé., lesscissions el le cluinsuge, les travailles.sont demeures si profondément attachéée

leur parti.Nous pot/Vans Pire assurés d'être en-

lourés de la sonna/hie et de la confianOS da peuple ..rier lillois.

Le dimarschu dons fes rues de Lille.lerrière des centaines de drapeaux rou-ges, e,eerllsd, nos jevnes gardes. unetonie immense. venue des vieux feu-bourgs matent défilera acclama,' lesoc'olisme.

Il faut que, de son côté, notre con-grès soit une m.ifestatian puissante di,progrès const.ts et de /a farce gra'esdissante du Parti.

Taule bit presse a annoncé la déco..position de notre organisation à la sursde l'insignifiante dissidence que ron saq.

Ln réponse a déjà été donnée et liesera mieux encore dans les jours quiViennent dos toutes nos fédérations,compris les deux ou trois dos on az-1

nançai/ la disparition et qui sont pirivantes et Plus furies qu'en. "elent jamais.

Une réponse ghérille. Poucble du Parti, doit are faite à Lille.

Nos fédération, tiennent ces temps-ce

leurs congrès départementaux elles se-

rom Fen inirées en désignant au com-pies, deg, la mesure du possible, leurai

tilegations statutaires.II nous faut un grand et beau corsl

près. Nous l'aurons parce que mis tucLlitants le voudront.

PAUL FAUNE,

L'échafaud a fonctionne

à Auch

Ce matin. c'est l'heure de l'expiationpour le rdsse Jourrochef, incendionset ass.sin, pros d'un am si demi aprês

la pe (nation du crime.Il est 6 h. 20. Le onef dis peoptetv

seconmargzétcas uasoide. anotol 05

ReaMtchensko, InteaPrége et Sûiatgardien-Chef de la Maison d'Arrêt se

readent sons retard s la cela. de ion.

La nit grince dans la serrure et laporte in.sive se développe sur se4gonds. Le pmeureur mtre Le premier

Jourouoher, votre recours en gradea Ré rejeté. Vous allez subir votre pelasAyez du courage I n

Le comdamvé se dresse en sursaut.Un moment d'hebétuda Jouroichen reg.:te I. rua hagarde. Il faudra l'Inter.pinte po. lui faire comprendre. MoreJp.O.klefl pouese un ma de bête fauve.11 hurle longuement.

Voulea-ve. I. secours de la relis,

pionNon, non. nim La

Le magistrat est là pour recueillieI. dem... déclarationce du eardrunn4areemenerr sten tern aucune. Il se on,

LE 5 DECEMBRE 1928, déclaration de M. RAYMOND POINCAREau sujet de L'AFFAIRE HANAU

Le gouvernement ne reculera devise aucune sanction justeftéeet les coupables, quels Witt soient, seront frappée. se

LE 28 NOVEMBRE 193û, déclaration de M. Al.DRE TARDIEU ausujet Un L'AFFAIRE OUSTRIC

a Noaa ferons la lunsière entière et totale. La justicegpicja eag, eanje. o

. . Ir 3 JANVIER '934, dédaration de M. CAMILLE CHAUTEMPS

au sujet de L'illtFAIRrLu justice suivra soli entais avec- «ne iûf!..Z.1,b!. Masseur et ne

s'arrêtera â etuese. considération de persorines. oélillogorianàment inondé pre I. Conord Enoludoé

lllllllllll 1111111m1111011111M14.111111111111111111111M111111111,1111111111Millesill lll I ll

LA JOURNEE D'AUJOURD'HUI Trois témoins sonnai entendus es'M. d'Uhalt, jase d'instruction. %mu.û'lrnûmM. lve

t Ph d'eh"' queirreg Pr'7â.éun"sjttrêtS chargée, allait én, a,g, ol,/ /:sn remen accusé e par u evelte perquisition au crédit R.t.ds, I Ifservice XIlayol-pal et au domicile de M. Carat en te el de StalialY en marée de nos-présence de deux armons, are self es dnPl.,elissier ni M. Carat n'assisteront A 1;./isIreislsp/.7g",l.1ll:ces perquisitiOns.

Le juge d'instruction a décidé, en l'el&lein accord avec le parquet, qu'a

t'avenir les interrogstoires et lesconfrontations entre :ismer et Da-rat, et les autres inculpes, aaroni Pour ballionnerheu à prison.

LA LEVER Un Pell la PresseACet après-midi, les scellés Ont

levés à l'appartement de Tissie UN PRLa ET- En raison de l'imrmrtance des ;:..POUR a CoRRECIPINNALISERf9/1r2qui s 'are" sls. 'ils'DIFFAMATIONj.,.,0,.g..,

LES AFFAIRES DE DIFFAPAR LA PRESSE

tarai, secondera M. d'Ithait, juge /d'instrartion dans ses opération,

u bureau de la Chambre Plusieursprojets de loi ayant uour effet la

ar et la correctionnalisatiar dré'esLa femme de l'escroc I:ression des tans de t ndrafic

Poloscites Peur diffamation el la ré-

appelée à la Sûreté pression de certmnes .mpagnes ba-tées sur la production de nouvellesfausses oude pièces (sigillées.

Le premier projet tend à réprimerA PARIS, LES ENQUET/TURS g,

CONVOQUENT DE NOUVEAUX trgg, gigspgeg et g gg,,,,,ogg,TEMOIss pénalement d'autres ab,,, d'Influe°

ce. a pour but de compléter el deceap,g. ees »ru., mettre en harmonie les articles 177

Sûreté générale aderpierg,Ce plutot 179 du Code Petial:

corrmaion.Profitant de ee répit, les enquè I/ prévoit les peines à infliger" aar

teurs ont achevé la procédure eu corrompus et aux corrupteurs quegours et transmis leurs dossiers au tetrafic soit le fait d'un particulierpanqart. 'ou d'un fonctionnaire,

Le bureau de la Conférencedu Désarmement

Le chômage augmente

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(alitera de pleurer longuement. Il retea-.rraaueel le verre de rhum t ii sida-Sens tred000nele.

La toIlette est alors talle ait tipiItluUlOt,

Le noudatflnt tel auailtut aWte aa-Valut erre la gulllolIoe.

Le condensa sol telS sur la asseoIrpolir-cl roule. L'edeuleue povaur oItbuoluO. 110 ddvliv. le aouieau caRattees nu twist sourd, il cet cal 8 b. if.

Le cadavre k ait irnnaportt k IhipI.Ml-hOil,rOs. aIS M. le ducieiee Lseirudedul,'ur0100, t la demande de M. le peu-tean'ut Abtlooa, doyen de ta £50111de mtdeelne de Toolouse. s. apete agrt-aIraI du procureur général. p!'élnVt lestepsulse surrèvalea et lot Cocue y al.(rotas. Cri segev dolrenl servir eneffet, à des eplrlevree médlonlee. plIs,-

oeluolqoee et htol0001uru qui ecrovteffovtotes dam lis latnrtluleee de Tus.tee ce

Le Camelot du Royqui dégrada

e monument Briandvoit sa peine

maintenue en appel

Leretotr et Qaunay ava!ent nu

augmenter lè Iew...

Snoone. ii ficeler1 Cet crève-milSd:0cr d'uapel de Rouie,

lisetoire la ddradalroc. dvi muouelealtArieS, Pelard R Pe,v-erer'ldu,a.

0e self que l. al eneemhei Stentoran eu-01151e oorcmt Cuorlaa Paol, mIli-tent d'AvllOu lpaouniue. rOnil versé sueta riauve Olau-e socle vIoles du Oatu51501 nu ll&uida corrosIf.

Su-ou lie dires de St;nieleee roidie CI'uod;coOa d'uuioneOEhUl le peltudtpet'uIèvarall R ouvieuli mit,e eranot.

COudai Pour, lut avole Sel stodem-

eraun, R il odeoo éosncfrauve dumuc -1,lii;s'idierlett appelde ce tojopu-uL Le ri dèvrmbre, coco-ruDviIi dé reoeeor u'Oovil ru secte lie.jitér decuel lu Cour da Rouno, se eustere000t ovo!1 clé reroat, Chenue Paolarall déSuet fade détaut. U rivetaitsu'loord'hul, con opoOellioO, Ive nooveuute t dédoré oc pue reeruoler l'asse urdirai craie rapr0001l, il avoir

rttc de la pollilOce d'Aeieride erined e,lace lac cvuuudoeoèea, 5510e lut, cuLccvi tIre de ravIser lmooiOer,t onvoue 000tili eoeoplee

après plaidoIrie du uh0005iar Martele 01000 et de me Culenvl, a000ntsStIlOrée dec ramelore du Dur, de bue.resu de Parie, et lvinrv001ivv de l'ars.sac plotrul tlerlrred, votademandé Ineenrlrrvellov du lutaaavo de premièreteeoeore. la Cvoreloonue,orve diii.ROcS et cuniolevu In peine ra die metsdo prlern sa cccv clayon d'amende, rireneldleeOeoe de re tel1 oves s délie(raie drevir e e mcccvi. et yu'il imper.teee de cttvsule 1001e ove strie de acc-es Ou mmcc acore eoeoeelrilet de(avuirec l'ordre peu-le e.

Sept inculpations

sont prononcées

ta suite de l'incendie

u "GeorgesPhilippar"

Pontai let 'mrelpèse teeeefed'hemivide par impredeacefigrereat les deux directeursdes Cbaatien ée le Laiteet l'iegéeieur ces abri des

Meraegrriec Merilimes,

frère de M. Faisan

Li it crat liSP, eu ride cocue Te-tees. nos des ISIS bolIer .ovliéa de leflaue de cuomeore tPnvuarea, le o Gave

te e vo rereodie. Ou-crevée paeaeaerrse licilibres de l'dqolirape trvurlravl.danales trrrervas,aeeeevrtareeve.Pie.

er'dOscs ont e000tOs, t.a eeci,eieerueeeierede di tulle aovvere relire k teBeevv, luoe d'laarurtiuu, un euopod

e'eeerloru e ercarlilte av tracts sabore dr StrIure de euevbreoc tend.

For ailleurs. plualeorl tveclIlPe deVlvlinret portèrent Plelvli 05 es rets-eelsevr reSte rielle per !'orenve deMas drmard Dueullie, revlumla Leu-dv,cekI, aelvhel eruuu. todea. 3.-PCeolur, Bren, Pavai,, edvedeaeu. rraua

I.e uoie dcrvlae, tee rarirre Sellert aposirest un Intevoire remeeve rat.

qtl rruvuio rira iivvolulrla suit à l'ai-

reivr-rsetse casorereea.Plrlllreee s.

avtes. eue t'ereeua e, vs. Bairebe, cuis.stout. av ererrleee vira eut tue renie tfit Baron,

11. vIre anear-,atde. ee;or.ntetuèosleedyiOeulvida Par eeuersuevre. etcliaeen.roeludeeesrsl revvesrvarrre tes rOde'tesele. ieit& Dreevvr,Prorsen et 050e-

asvOea; eil.Mutreet et Panvet. dicos.tarde dee Atelierr et Cheotrere ce eterre; Guées. itarrervur do bo,'aev

Verresea, se mIres. tepéeiaureepide des Meesagames sdadrleeee. ersesde reeotee srrre.aeoralcles delel.

Sepinutrai teeeelrsrtoca dvlrree e,e.5es d'let ire.

vavoerons euS l'aeeleur let tournaItts le croate ledeelrle aralert reerc se

plus tneaaratetee de rresrlee ecseeruela.

bu realllCe0iture On tvni Bel,Ce PannaI ar a'e pas terejerars le cas.ban de li rieberelnae.

La réponse allemandeh laide-mémoire françait

seavcs de In ornes brlteovlios. u sen.

LcIra Si

- L'Iseerne,icr clnrrare ace Jonenaos(aMides05 ait eue n, deuu0000L eour Csalie. es eoed irentase nral.aneraeaa-

S. Osai reIne tee dise taillais. -

«serges Rbeeei sont au basa dl

L Aflaire devant la Chambre

Sésere do eeaaiireParis, té jnvvirr.- A é h. 30, pren_

veut place ao bavé du goouortir.

orrhltaputldy,

LE TItitISIEME Il'e'rE.oPTqLLàTFVsTLa parole est douoér k aotrr na_

merade L0000ptL'uval sur cr55 hymmege t M.

Olteoretelie pour «let éilrPglilursierolee qu'd e prOnotlnéea itieP e et

li souhaits que lvi pr00000eea ou il(tItre à le lèlbuvi suitol o-Su-teins.

LACOUIIT. - il sel teoipl de tés.-die r001re trop de eloliuevvea 51 deeomplaisinpreuclrrrltColea. cirmmrrrllre lui Ici periOie la tuile al leeolrldr de Shuuitkp. Il y sont, eneffet, 15 plot grood toldedI purs. lavdried et la joetice, k su qua pot lu_diordil (ut rt;tr deoa t'vblitrolico depaPier, fl rdi 415 ci similis pour Ireagents tceOdte à Chemovix de pété-Irer dlod le chalet 0000114 tour l'es,.mon, cour vo prétvelr quelconque,et de l'ir;rmobiliuor.

Uve arise questIon dolé tire réeo_Ive l selle Sac tu000ipatihilitdt par-clive paradoiule

plrur lei evoonts pepleOleotalret deAu-rodéo dc000t Ire tribloallu Iras.virsemnvi.a d'lorltvidue qv'tle ont tedevoir de aocdatccrr daonet le Par-IrmetiL

LA CRLT58JE MOS4l4iUTAittRBoduédaet à LaeOurl, lerussiOu-

ciste liarilviic souliune 00e les eu-qodtne a000vr-tes par te pPérlI1retdli c000rd ne pirmt,l.irpyt nuririiie-lorIot 5t1. dl Ct1;lluibre toovtee roO_1mhlee (tclercopéioflsradieallsto_vialirtes). Et l'orulrér noonrvOtatrrlolmlvo 0001Fr l'abvri,ivahle vtvaltiéde 15 pereee iraOçaine r. )lvtrro-utt-iiona aor de nomhrruu Rance).

M. CUAIITEIIIPS. - I.e Su-a gpnudvmajurir.é dec jvuo-iiit!ioire rrmplin-mot lrui' métier aère beuli000pd'hooilèteld al de Inirol. lAyprullltie

et. OAME'C'UC. L 0110ff ave houleIovdlivvvuirce, Il Y eu s beelt-edO1101 roruliil 100 lolérll, doc Socié)riihavoiérev. Cc ce 001 r000erne lemillrlix pulitiqvee, lave pIPierMit. Acdpé Beaan ri tt000.vore, qrttornri Ire avounlu rie l'escroc. il lusrevirler nrrr Irs rloflhutrrs Ilut 05eotor)vt lu vpénéiuo do Cdédit 11vnivipnl ah enta qui set prrrelie ledtvelvppemrot de i'enrPmlusnia lleur rrapovsulrilitd eut oerteive. e

Aprée on rd;iliiilvire violnul Olu_Ire M. Chiairpr, itt. Ruinollr cuvéllll l

M, IOAMO1T'tlE. - Torde cdlvpovorrilore osé ovr dmooattèu nnto.enlie do rériule I »

L'OtluNtON At.50tItiI1RNEM. MInIlel WaltrP ddoclohiPtot

eue loovevu ilIéerpeilatIctI, aIl; Sqo'oa h t'ieopresllvri, ra biceps,,1It plilvs al lodmiviliiali,;n ircuiniiestut plut oomplaisnolee via-hvie d'un ceci-ut vile tin -h-vitprreuccee partnitnooeul buouPrhlea

M. Witl,TEII. - Lre évéoelveolaavturic ont lul-lelveot ému la pviulntiOv alraèi000l et Il (cul. dall'inldrél dl prrotige dde urgaOihOliutr'aOèuiS, qor le gouvrPvetcetit aliteeu eu celle elIu;ro aurv la plIegravda é000ela. s )Applaodinee-mrulel.

L'INTERVIt.N't'IOND'UN NEO.StiiI5ALtSTE

Ce soIt cgtuleusrnl dm0 o euuubloclohloullllcaoquevovlalue ut. lOtIt.

1h. lu-cal tel troc srllioil dpi nu-cIlontlulle donné-e hirr por II. 15111

ll.LISAT. - Ou cous dmmandesollubuiorpuélé-ure. Cool cela nul hies j 510.1loi doularuliuuu de 11. r pPba;deOux Cuoaetl doivral mira prsotsoa.

lhlIlipolIp que I or-ludtu CIII poura000 aupaètialikd al qun 00e

tniue adtauouèuLe de dé-rot tuéeItuouodrrpu-puirttl ttoéeirtépai eus11.110e. Iiuovi R la pdliuu, cl y sorteplue b ou dira duc Il. lu pruinesde Couceil s 115 ouoesé b le luire.

La, puSse judlnisirs avuil leu Srnolllpled rappuoli eur le vie de Souoaukp, Que euoi.ila devenue t Poliedual a oaalt-rhle pieu taira cade

000ni à la Surets gdeidosln, clile prutégaloL Dut-ui douo qu'il lu11511 ulihi ouilLés ivdlullcvr t QuehouéS danuarena t-l-Il tait arcSter t lP.ireo!.

bible taauail_nde pae teirrOt à luIauilliae let uiiu)Oilt le nuOltlrO;clvIre li p100 It'IluOsulOt puliuqlue puaihlila I lApluluod-iusoleuculo k glu

ténu, 15e aduttoiaatotillat II y ogsaeda combla 5 u-IiI taut huo

iuPruo,ron il, le etérlIrul. Moisnsrail bée Illl'OO Irur epplirlaàe I

ru-loIr vppl. I è C O pIdietsI

e

élal-alujor puur bina (lxrr lea p5tuouatltl;tuo. (.t,pplalidi000;neulu

usuelle. tl000nrl;rvle dlocral.LespvuPr'llumr douce e sur la

quellerrensténlr vieet dc reppelel'eticohiou publique, - 0e poue PIIvurd sus yelia'du pays. La meusle la 01500, 0111 lruuuilleulpvldluoilmtceruoe à douter de beauruuyd51105e, dec bolrlivre do régim'e etl'lopr'édulild' dIOelcljée 01 publié,,lrvtnI le aulellle di ClevIohy. puur-havi dIebli, est vo eymlllulvc neuve. s

L'or'alcul tacunr, qlre d55 aloisni !rii-uudllle aoulirvdpoilt lr Ouuose_oemrvt pot nuire 1000 éorrgie.

Ld LES CE TiC L'INMUNITEPdeI.Esihr'oTtadg tiC cl. BOerAURE

Le ppéd;decl fat! al or. rovou leqor la uhumbra t été taule ItouIrmaoclr de lovée de l'iOI011iull

I elle P l,t UI ô Orieleorbrra et Il 1)00,1, ea rurallu000r, h ce PéerllP dIve sn.e bllrraupour 31 noorvlor Is rommierilva rharé-s d'ennnlinnr on lie drI,Ieade.

La parole rit alore à li. Ybapur

L13°Chlmhea denote nvee ne iviérat pasoioocé ta député der éistrsl'yrrnéoe, pol duvlipeutl'pm;,i1011115 erc0lid Ivule It

l'apnvyrr do er-iollale StuvlektOlé menveviir d'ove lsçuu pvrlievliéraolrop dine don. le Pays iI.aistueiuàeasfaideltselpeur ---

di

Au

La jvtaler O pnesd à Boyvone.QIInlIe en a'y arrdie paa si let aussiquelIs atlnigal lui elle doit tilde-dru. îitaoieky, ds se touttnt mlrdelor,Ir prieillvol du Cooteil o toit 0e as-pnilpet lloèivlltltoeia le s eurrtèn-hum vilst e de an houtme cet plvec

- élvqvrnl qu'eoens iablruu.tInlO-Ipté I denu rotldlmcallcna- -

pour ahoe de soaliaxpe rie moie de

iosu-?opareyu vIlains. dv atro-péfiuvta Ipta de polipsuilenl.

1025 I ehèqnr leva )pvrtrsOiler,pan de jogempèt) 1 -

lb2dIdélvurcennsvt dP titrealpvurooile, hiblrulloel. Apréu huItare, l'nllnirc tl'Ott tocs joméc I

lérpoie tOPO I 5dlrei'eort addetreepoomaboolic p0 ibid k ta gloira 1

Sodopoolel Sirote,Colle, vbiectivo d'oc avOt dl 820

miillioOt p1111 'a bneque de 0h!,.Dont les emiltia Aloi ii &, pupe,

le ememl arivneor eroproc s. brIsa I

benovoup de vrillée pvliliqose, Sclip-etre av,iyomé'hut ; r'eni bipe le Il-rheli humais, t Tilt epplaudlene-Irrelr k duuitrnlu;irrv!rel.

Salle, ,r li-II irill'rv.lOrs (Leu rcep'lv I -léphoor, os les lai orlvra. lIa

- rrelep ,irudirinitr lvi le supprrrue- ri hiuolttly oblirvi air aat te Sa lee uhroit.

Da l'épergne pillée Il (alt se, mil,livn, Qù'yvs piuvre limene vvlr OC

- inie, elle cerllira lu PIlléle de la loi10 I prur lui, lvi moelle; ogre errtrde

L'dgulilt drvavi la juohire, belle- - vomildie I )Aplllsudiserpprntsl.- Que l'escryn alt pi es rouvrir dlv-

Ilunorresi Ilootes. qus pe1001i dlxale Il ais pu mur i-turF cri hmtan-lance. Prit h r l.'v,llrillébei.Qui a aridlt les prvreuiiynv, syp-

prilvé on dolairi', le cbiqrte lavé,rlitptlO,lvermcllsmt au poivt Ive.

- vlilire le ru-pIpi dit l'ss'tuet n'nei- en dép.1et e'liuoird'lur.'

lit. S.AVIIALEIY. - L'edleir'e semae jugés Ir 20 coi-Ide roahelo.

M. YSARNteOAILOeni' - (lei, mulet' 050 snt lildvisay, rvslolrossl? lAp.t rlaodieeemeut, au croire pi à drot-

iél.M BAYT4ALDV. - dl e dec nus,.

M. Yb'arorvarsy dmneuvds qui s- fOIrai R Staelakpuncup)er lodlviai-trsvleros. voa carIe d'dlentrurou

nom dAlrtr.etdre, sol s envpèeiud ledureté dagie mollIr, lai parte l'aI-

e lair, du-Opléave. qui s lellié es dé.,- veivllpee atve le suPveiller, l'etnro_- uluerir de Baisser. lApplaadioetes,mroia à dpylOn).

- il. CILOtITPIMPO, - J, pans teer 00,11,0 00.011000 qua voue. lMou-t - rcmrel, divers).I il. YffARNEIOAI1AY. - Slaèlok

eni leurS mynidrinoremnet On es.ccii mémr de a000s peraunder qo'iiarittoioll1d.

t- S COAUTEMPS, - te fuIt s étd- evvhPmd pnr l'eoqoo!u di pruno_- mpue de Cllnml,elo. Il y a dri Ohoere

d'oOe gl'uviod lerrihl,. (tu étuIrevoir 001'aultiiOl u-lits lu n011celleIl, le mol-t de Siaauihy il p at su'Ire dollie,.

ii. F'RqNKl,tE..ROflfl5.,gr - Lae PypOlilmi,.

et. IIUALI'tllMpfl - huIs s mie-orrumoloilt e rail prvs.ieier à 011e nI-0110fr oh vvt lit eniri,dvae des erp_doarmea, médroive et le prypriitelode la villa. 5v e tISsuS, prés do ta-luire troic lelires anvvnevt1501111e de Stav;skp do cm d0000e ta

CI'vl,mrvi vent_os 01115 le Pyliercon devoir ci bIne I, crin mP_

M. YBARI1UOEORAY - Ce OintproduIt e isole impmpsaivv dpnuvav-Iablr.ee qui cli -'le, cati 10 prO-relIe 5110 Shit 5 dirvioky, aile

ro ilrrviprs movlrnt, ,,n et oie, de cee hardil siolstrrlitnori Vulo

I Etc.r Oieky e lot nvoaeniod.ire décicrahioor In Vols, devant

- le culture evelira rheitd dr eut aIda.

'lernentM. YBEU3OEIPAFIAV. - Que sue- le

né-dit elollrelu d"005 pslile u-Ils10111mo Suyoune 00 alt pu eogagerde e pentuiup, de milhluae, VoIlà qefpubar ritoauioetiue.

Le roopapurll dvr là-han. QoaO.lité de eec,. qui avlieni rucuatllue-0e pe le ville et l'EOat, pinumout au_jould'luo! roc louP épapion ddtpoice.

StoP la eèonttité de -pruléser ld_parnvr, 1001 lv hluade était Copuleln,isirmpc .rnrrl.rd.

flnilun c'a nov (cil nysore et lab-vdr ilélielur 0000loot. Stirto, Sut-1dm, étau-1h31 I Et le (lot dv bvOrf101110 et mrOaop, pour l'dtrllgir,jOsllOI'uO pur vis age ds la Fr1005.

Ccii 0v on d'iodigahoo mi dr jet-Dur quo jeppvrtn à II irib000.

J'ptlime il'lillroee 011e l'allelredpit 1ère vont de haut paras lue 05qui esl pins cmvi que In craodnle'Floucvier. envI la dégradaiioo dpl'raprlt publIe dont elle erS le aigreTroue holriroec ovl dirigé le linier defla,v000c I Tisuier, Goret e! dtavirky,In indIen do bal. Le egle dc Ti,elrrn lIS (loI hop par le rteidrot deCovoeit. Ce qol pet grave, pont quoTimi rm rbtnoeit do erelméleor decsis000lorra cl lmlIyo flOu permeltulstl

Ile Iruude. lExelcmetiooe auaeotroci b droite.

ISorel e dit m,ur ado'oraaimo poli-11110e, il ed (roppé, 15 ne i'arodble,mi pae I au_10550e dr It pseebou pIn-liliqur. il y u l'b,uvaui!d, In pilid.

hi. SIODINAUD. - ToIt. eu-111)dvii dIre v'épblé .lmro'Oiierot jusqut

l'lt0O 111e ouvtme-re. ITomolle àReéllêor ou rrpirr).

III IIEIffO1IPT. - S e'agit trI entela piPI. maIn le juelice.

RILAN SUGGESTIF

or 0e l'Aesrmhltc qui reprpervo'tnelivo, et qoi 0e-ut la lIrmipre, ellerit sosel tOjotlpopeyt alinlloyr aimalumride t lAppleuditaemruts àgexohel.

(IIITIELLES P000LES I

plelo Oda la policiorVIle sppleo.liserylelrts à drl,lle et

an cru-r,. Mounervsnte dlv,r,),La coevre pot auapnndoe à t h, eh

junlu'b cl haoren,

à Qreepe, à Il iL là, Ooeroiuvi te-recta.s - 50e saure ta séay,,'.e us, irscpcs,u.

riouiuuioa punil Sarnlcu la Maresenol h000rslrlmii,mat g5,reiea

I htfeL Cliellreuin. ttsparldy» «ut.

Ré-ars de i'aeras,eaittt

LE R MIDI SOC LÎQTS o --

M. 'ilturmnygsruy mcvse ooarilél Ile tribene ri, péeomsOt soc dtxroueade 0e molihi, ettllrime à nouveau sesdouiea ace l'étrange elvrt dc SIs-niOY, - lIer ,releqoceticu psI posée I qui douv, deputedis cet, s 415 siens puieeevt pvaeprotéger Qlevithy panels folIo sI lemeure malgré love eu.;irveus dribic O lApplcadiacpeiraoi ce neaireal à droils),

hussltdi purée te mort lIe Seasis-tIpi. vs ivnrnai qui vo-et cIlle-cielpasuvadoerosom de gouvrrcrmenl.mrtluil no movehrlte I t blaviskyrai noorl, é eaotvui rommr00001 àrrnpircr. e Je vo aida pea de ccl asIc,Jestime 01er. mile mort no peoi 0e-rélep la vérilé ne merchr.

Aprés i'loonrpslgarion de M, Yber'atgupay, qai ririinaor la numinellrud'uoerOoorrisbroo d'rveeIrtla, SI aceeolprvrvfini do T. BvnOet elle salichIe leva l'ulCalre, lu loerousloa rutnadulepPo ploeP.

LE DEBAT tUeS LES 0051)11000tIC SOUeS

Ls toréatdrct, donos Imrenrr desoedrme do ioor déroaés.

Le prPotiem, de ht. llrrpini, rUt, ae-isecii,aicaipollÇlI I

s La lllaashllne, lsluçévt oo.deemacale tout lulna noiseidértttiun b rai-sept de te prohill

,Euism0100 que le ltrootr sbt régimeréptehhvea sot d'eannrar, dons 100etes dvmeices. In relrsaapire°t lie I,.povuS-iit ptdoé-qui'i' - - -

o Péaolns R voir dévoiler ano, selS.aagrloiPaI let aoemlusrs xxi toqué-teeS l'vpioloc I

s Oéplamr cor arreoc libre et n-SouPouce de lu juebvm

« Veut eoumeaod 0e g000eruriernipour rempli- tout ave deo'ohe ri, ne-puuvaevt toute adriiialuoe patanl'ordre lu péer.

DauO autrea ordrro die bar psiépIé déposé-a aP MovOmi, scalpbath os Sa. ébranle, ruee000,dntn. 50qonlribmr, de ht. Ybarvdêcney, de-maode le oumtualioa d'ale 000smitsioa d'nuquéte,

M, Herchai o le preartem In paneirdena lea suplivutiooa ds vule.

ht. Hrmmiol déuloci qu'il parlerarutaonoc prolaudent ils ovo gtuupe etpuruooue pidaodrot it'uue oaiam ,ir cié'dia méairipul noix 'al laplIu0001ute contra lu 'tour - eonlck,

eu rcq'mmut ers uneaui000n ait evail avoue.le as lIrai

I radioci let tovsura vent pic a cou lé.3g, HSIS.IUOT - u).. puole rel.

ivoap du acundulu iorteml. t. appaa si Isagu ,,Iot dan h,OOIlIcl uLtltd mIaou 0100 des lIte tau-Itt prou'

,jouoei. ldox ieulnmeug 1 Il y Il tuesia d'suquétr, calés le I'aésun e pnno,OOil pan 0 Spua dé- ,li5, 0015

k auohc, pcèlentaiunuo k dpuitn.lIII. TAR.LlthdU. - Leoalvue prarle

aauu douse Sa millIard n000edé puclot. élmog ii In é-ui ui d'.Oluspp et drLvncaiar. lApploldboeoeoouaa n deoi-

-

liEUREIOT. - Je paele aoo deatigeoc

101111 des 01,1-liarde dolloéx k lu iiaaqus Jtntioulli la u-InuIt, il

bi. lil,i0ldsluT. - Areeelhr,amat, luSollque leouiuuali nie oeadsl uoil au-000a 0100 mtlluuode nu pour Ions lepeulraaeooduot peou.m Ou lIerlenluraemibt In laI or-111000 pouroheolur bloqua o.

III, hau.obhuuio', - Si hou cou'bic IrauopuoteP le dé-outs'ecIui pclouuulol,leelual0011iadrutuuU,li0000 ItOOqsclllibk pus.Qsus.ud ou Illdii tn100lue lullpoulu

'ruvuaoc 1001105 Ilaperal suouleeaaudoatuodadocuguni00000oo iluehans pat a'rxuilaeo quI1 codIfie s P5iupllilllcr.

e b a't-il dan ale pnrti rtdinuh- dea luopabiri I u, dcuiunis 15. bise'aide - -

il eépvud poudrsatar,ul qn'ét a'iatpes eu alclure dallé-cure 0001 queneaotl,mulaitirua que la local ous'eucrou ruiuplètnnieaa, cc il40e mut leI eou,»,uOmOolbOPn001l, oc-POOl ooul do parut. Il aloula mu-mn qu'lle oullin000 la JaslIos lIOLIbI'ne1

ifoemiet meolot, que s'il s'apotd'uup oleopagne de atevuèu,ge al de

nlrnoane pilleus pao laIsses à la morni dc xci qne10 5111 l'llOsiupsliilIgl d, la grailleoegaaluugtoe polileqoe ccii copel-551115 et qui a tonl000s lacé l'hvo,vè.celé su pnsmire 011,5 tfe oc. pcdoprre.p111000 ci dr sera deoturs,

INTERVENTION11E ViNCESPT.utCtQt(tL

Apelta ccc Orée, soeptasios dctéyvos, Vlorcul-Aorioh mollIe k laaPl000eptlarlOi le Gouaprusmruaau 00m des dOOInlieOre, à potine u-10ada» ra k pmdoldrc dci aallu'ttuila. Iiinsooitque.00lovuesousleesvuulé-,.leu, oeleirci sois étouili

il .'éll'er rvrotrr ha nmniaationI d'oie Cvv,ne)m en d'eOqupns quiInc lot aces. i011ili tu» ires lis peSaS-

Saules part, il tdv)te le Gnovrr'arl000u à onérm 1111e dorin dr tribu'

IcalromponS du Prceidsoa de la Cour

de (laseuaion, de dpuu Dorrvs('tors d'evpl, dne oCra d'iusiror-tian dr pmtsinre et des nrpeésrx.elle perlmmrvtnlrss do cola la» per.

'tic. (IIlrrtnrlpvvu è dmnito),M. BdIit3ClT. - Fa des merobcas

del'kvadéseie Fnanneise. lBiee,l.Pois oint M Aodré Tardiru qui

eS-lare. la Comrnlseino d'enqvOtr etlIeu-sen pc) risit rtplirmere le Sel.feeyrelils du te011pe seviaiiaoi érF rs n ce,

.1 déclare que tee ansi, 0e ltté.erorcyene serments oc. le prupoe)iioe Choc.ci'm,eay, ai e-lie de Viovent .50-en5

evpllrellon, tee- les vrllrru in,tulle colt lrrmlrvére. bu téeaoe octauepmndor é il b. 00,

M. CIIÀOITEMPSA to mpiorioe de 15 eiosce, M.

Cbaulronps e-001e è I, arthune Persee'Poplqnop ale Ire Inters Ai loIr.

hI, ClIAiJTulJtpq - Sel mrepeéI, démiosius de hS Selimlre. «md,Cour pncrlumr oc lucoan col. fInal'.,nirll,ru cure,eptiep font o-licIte, g,bovea lei lIed apliunue, messe à1005 lac mnlollrpe du vIhiorI. Sel.drnie. hou S evuul le rIdé eolieiqoeOn oomelllèmr. rI et. D»lineirm e. dolei-croie, celé-oiS cille es hooer Cpuoresc Sec .el,pyriym, il ilrotie, selonlIe isege géoéeaj, duenor 50e *00010-

-

Mon cane le a'ovoia pue à bat d,mea.

Chuulr,ups colline mot-011e u5m peojola, il ioeislcei pour le odebéons do pcujei qIl ssdiaeilene à crI

dé-bIt le Teil d'intrrornir socorée dnacdelinialpuiivna plan 551es chicots Irire Sera des alutlegre to5ailiills

hi, CIdAUTEMPS, - J'iaalatnneiitisnl poum qoe le dirrumoleur par ho

prosar contre Inc hOlolatpt plsèhreaoiI elba eu deltleurr de iiirn 110mo'ulairBeat eu prouva. e.. ierdira,'net picilit lire Oltaqoes dérétea0001cc lot, mais dana le iouroat e LeLihmrié o, qu'il lillasIr, de ec dots'iore, ici pu hme qoe orteil leoopruprs irées li teSte I'looeat iSp

htnciahy.dSp, U ne Pavoit lasuslt su. An

liru dr 5m tenIr bI on ana pmepd 1mea plus proolins. 0e, dons or job'oct dOl s pria In dropraa de le ml'leSté, il y t des enlapuoce 5m l'es'crue, ITelu bimo à gpir.lm), Je pour'réa dccc à colo r rodipgo e M. barbetFeinS'. qai Amide en joonOul 1

s Alort, ces aruinlre regori-les roue-10ème L coudas je tub poaoaiiuru quéeovdra hunotlemnetre000etieleequ'il cr51 lelesé tromper.

M. DraInS FEihI11V. - Je dirigei Lu Ubentl e depuis la Il eeril1013. Jr luIs rr000ètlauiulr dppunnpsjour de 1001 me qui an Sen-I. Toute-(ria, le prpoédrcl direplracr, Si. Os,eillp hymerd, noriioaeii à y es-'boyne des articles SIS tt algosoure.J'ai eutimé, ces leurs dcl niera, qu'àte suite dos SalIs rrol010as par 5m.ac pobishordUni deventossame. 2m

ruluhoite que l'on moIter sliu ieiiiipnoicads dans pa débai uur suiollou

cl. Cli000empa do déirod droou-loir e'cllsqoer à la Ilbarlé de le

CI0AIITEIsIt°h. - 'rreevie pstliotrmci lie jneemouiutr de bolIer (ai)de luoovoim pobiiltlariurot cl rupbte'

Lr prd ttl0d oasm-rahqioolmne iroisitmnprv)rI ace ta péapgaal',iudon de in 11011Cr

M. CbIAt.ThOu li. - La polir. o'PIS ll5 purlicuhjèeruornt ellogotn. I

M. I)OMMANGE. - Pas Ioule inpolirr, maia lé sûreté générale. aOl1010001 notre coloriaS dinecea

teL CHAIJ'I'EMPS, - dli O u Il deae000n k epcdoyhr, lIs 50e sorOon per-dcalhèretneat lunilpo, ri jeu dia 00SeoS des errvines du perqort, iorépé'aémnnt ponce 00-e j'y al Soi bipas delamiillp. lpirèa Sire ,

Le présideot du rvxepd eo eléat àle runeminthue purhmnirotul.ee d'en-

M, COIAUTEMPS. - Lu rerberchede le nédné pue clac pucemiisluerorlrieeniaéer I On dvvnpralt plu'lés ux doline I'beotonrssion qu'onnrut étOulilS lu roérilé.

LA CONFIANCE VOTÉEBI 100 pou,o au vote.g, Sup la demoode de gocmulivn

d'ove oémmiOciOl d'oeqobto (urmu.ide pue 105 do-olIve, et pdpuucoén pur

ode per SIS VetasoolOr 120.

P. Soc l'ocdrp dIt jour ttnoriot qui(Oit eooliuone ou guuvrnceoeacl.

La inc purbie ont nulle à meloaleu et.

pacha u-nlattvo à lanonliaune met mua soc vois par vIro-lia ni Ir gl,llveccnmrat posa Il nIas-lion demiloliunne.

Ellu eut botte p00 151 Voix nus.Ire 1%.

te groups b. F. I, 0. qei s'ibIle55001 peodIlIt la soepooeiov dc oSlo-os, Ion5 déridé, à l'ouueimlsé,mv)ne amois poua, de 000ep 10dm do01cr dc M. tdemriot qui, luivnvt peu'

lionnrao gouvmnOemovtnnpoudsruorluioaOiou d'oaa nomoiieclvu d'eu.quéte.

L»looéedrl'ioenuvitlperlurcre-lime de M. B000aureestvoideàmoinelrvic,kmb.ls.

Pochais, séuave svendi uppèc-

me obseryaton de sta palIonil ta se letel sous or trao

-

e. MOts, 50 10001er. '10 maOs. 0505

51es d'llv prutlleOlac 05 mIre cilla.M an.nralb SOnO islcgvoea clonas s Mea,

rorlO' ove OIlcaauutiOu On» lei scsIl

Réuniondu Groupe socialiste

Ls Onaona sacs eéust este sa entetdacia di LIon 010m.

Menosa al Luecaloge ouI tuaIt mouslI

raliatluo. 510 débat sarl lvsOlioi ri Ol'000nImiOl le éooupiaapr000es laufl

unlapllilbalaan, pose 0es dosaadrt de

les debsoi pose dalidin do I'ailllacsuni0000 duos Isa illuilvO 51 00 dOL

lia cadis deoldé de eereeodrs Ir profat sur la rnoleOIlOn do lopanaos uulsealt tIl daoOeI 150, ralboleyne bleuslaIne al Isa Iemaadar sue ulavuealoe

O O.

aulouod'eaxi meme, uneepopoellIva de mtaOloaIos eeaa demau-ee ur d'ueillaelue tmooédlore, 10101501

lispIlcu dis Arelleannatea,aamley,dopa, à deelaeone vue les rO,erneass15e PsoiSsua sChI,IOliis nu OnelIslIale05 Onmraceles ratsanstons te decdenbtlatam,vli CslcaOl iOOSi t 10,000crie ra011nos, evIolIl ocrores a s Calsse des Dtanr. al Coa,lecnilla.

SIOlant ernernle Idb-5011e. uaolcl, Barabtremr, ec000.

r,, Sellremlene, Mensese. Olaonbv.Blem, atome, uvlae,i, rahuners, 515ecentre, C,elonni. uhn.lelet, 000bsa.000ieaon, Idtmmoe, Borne, Conard, 50'lIe, Finelsr, elsoerlls, rIe, s'rea, ton.aavlae, ynomaea, rrotaaed. 0015v. 001p100. Oraslsel Cous 0,. Omm I,,. lurcels.Jsrh»1, Jandriller. Lagoaoct, LOallis.LStOs, i.IH»yeder, Meeeox, fdau,rse,ntm'h, MIondi. Montd, MouIse. niv,,ella.Pararte. Pe000, Paroi. Planrht Oves,aOL cletlme. 01050. Burblle, Oninlleusllee. 011ridiee, nmnui.blI,rvle, 'mbmBac, Thlvios, Vardebég Valeta'. WSiIL

EFIOP50l teIlluta.

AU SE1ÇftT L'accord collIIhlercial

fraoco-soviétique

a été signé hier lllati

INTERPELLATIONS51111 LA pOLtTiQIlE

EXTCSIUSIJUSEStade la j001imr. - La eéuxcr

dtoslallalinu du blirenu déttalttd15 oom-qeolé qu'A lu k. Ou.

ému 1100e do go0aluemnotaeal'cetpeia plaoc I MM. PIul-ltnllu000,Allicri dcceeaut, Iseuil, Willoaiu-Esetoand, Le Ciungeu.LE DISCOURS D'INSTALLATION

CIlS III. JhAtlNlilSbYE0 perloant poaocastuu du aibse

ppdeldeutIel, 50. Jeaopcner, oqlnhasoute cr0105014 ace polligupe dr hicoouluaom qu'ils lui 0h k iI000IIdaomiedé et lilioilS 1m bocouu proel.

I p101011101 b dieuooei iiodi.aleolleL

Le Sénat flue eonuitr as et isu-sire lu noaoiltoliun drr geaodeepat001ianiolIs et as 00 lalldiel lIter-lion dru moOlbnoe sa du vico.y1ési-deot de o ldeuto'Coue de juotiso.

Puis ly podriolellt luit usolunuitenue M. Heoey Uhéoon s dépuré uso

drrnnude d'ivirepollution sur los me-tonic r0 010 SpiS pe'OOdretddOurar'

Il eue In meepoot dnu il,alitutiooaré5abl)coimre,

dereaodn qOd lad'iapoaainv rirrbs anaaiidl epria ledtna,so»iuiu dos ivarrpellatiopa sup b

pPlltIooroiccloons.rSté. eéolemr

olpi itoeo rloulut,,liestdee,rlsbn, milirou d'inetiloerure. 0cc

ot,00peca lac tosd.On abonde clora leu diepureint do

l'ioleepellasioeaue ha pulitiqne an.tdriparr.

M, Ammbrertrr monts k Ira toiLe'

°Tl neuaOxteulle, d0,-nia u,viresOa000s mie tooln.pOtOt'

p#naocrs dccc lx eonnioeiov do pIe'ion iclersatiovaus et I'eopéninnmr adtmuvini 0110 ma peooeo Or aodli.

Iailvr:En ,éalité, le S. D, N. noS impuit'cdii., M. Mot,oIivI propoem .tn'elltne podere ras indl)orn do senrllooset M. Boosevelt, toI, ro leu munraotdo Ileore, né-10,0 d'r odhto,m.

Pi. S.omotv, dn,'oié.mp ihèerprl In-toor, dit qoc l'Allemagve o qoiliéla SoPlétd dre l01sblnos puuetruire il ncobmtle qui peemollraild, ronsteter aol edarccctaeet eiaa-drstii.

M. Loeoreneno,idèro rquope, ilil,'soie, ira 000ra dc stv-agnrscivx, Iicuggène al obaodossoe le éuoe de dé-nurmpmoibt, do noodoroer noire et'lent, de rallrnmic nov alliatore, deoe)lloekeoolirixtoeergdupmdmrasenoutre moreS me lullson coutre duepropaguedra elimenlére pse b'élrun'

02Après ove conpcqlous de aitance,M, Monmi Plaioavt, tmtisibnl, le'iscpcllulnue, dnmande as miris000des ou-miens étrcugbnco do dIe-s nk

hI. Lan)cs Hubent qol pamin en'snibe, so tmmvr k n000e qoe Ira bar.riIons et0050l'èero 5e héeiseertt ers-doot qyelm sarrens de pot0000véot.tivos ce maillylinel,

La suite de 15 d'iaerlslivx ml ovo.tnodc k In pr'sbaite té-use, fiole kcasodi. gduumlev4aà lei,, 00.

Autour duPalais-l- oui lé-ou

Paru, la j000ise. - Nous aouosddpu-t, daua e-us demoièoci édotinusdb,oc, lia couletblrs buaaeoss qui seannt ddrou lire aon ai,urdn du Fa-lIIm.10albon,soies Ibeumea etml-au

mulio, no aigualait uilivintie'canot qua 00.1 anrenlobtoils Ivuipotcl lonu .molsqv'euoonac'aaou,mélémei01000e. Tnenle eoevla et gurdnseu'ooboiycoo nut àtS blnssia et mob'siuoiién, Un seul cgpot rua nectd oct 5 t1 bi d iédeepaodie,ia do la paix

A ucore rocimurtiqol a'apans lit)publié, no n, moualt pou lt numbrpmine dre muyiieaasnte bbeaaéa. 0vemelt nopovds.vu que mIsé-cl rotd'oos queraxtalor eeyieox,dvveove dieuioe mIlS éid solo réeieuse.aceolt nol,rldu,

Sa tnmbnn de nrve.ri, Il doua si'gneo-leo plueieoes di soi aoatnhrs

Le major Feydictateur

en Autriche

dlfbmlivsl dote Inp elleleallevu d'oic d5les onllulOrairare, O rouler Fen, nOS

dl, 0111110e, tut a, su rflre. 021*105 t

vIIinicueot. dboeoetceo'exlrss cIron.

051.0555 dire sole 15 male, Fer,

u cduluelr 010 cpi- On,è rriae'Is. essai les e000e 0t l'hoeeOenul, case 15 erlmor 000-crasses. 15 Seedanoe fssalSla é's.rlee,

imeiioebls do eealee»eioe, 55 s dimdil e . qaulqcss bar., le db.ecerlsrs

coolIe 50e nuL 11 Opeil0000

le e»,rquel. s 'aIam,es,epoeecrannm, J. r.

e, anenlenr, Ooi.na,es eec 15 atausuc..

O est Saisi us punhuec, Il . eesedrl 155

reneresercrrme.sssI.e

eslos nOtule-e. es .c, ,elafsec., teS

?nrs0se5m0l.O. tIUAàiNa'àjtej,,

Lo edodmonie de 15 slgIrIhlps *h000duu vrollu chOmdpSlnl tPellsonlilinusasu lieu Star mullu. aanlsltni Oso Allaites Clrandiec,,

00, al haonea, Ovveulsnahl, 1moaadcop de 111.1,10, t PuOa, ae000pmol de OslpvelsWr, chef dl la ntorcso,plloe oommenrlais sItiétI oue et dxihcOtc erori100nnlnes 05 tidmbaiiauannuSlil as. QuaI «Orne 00 lielilntdrluO dIns le pabloal de M, Pc

Aeuo j, Inlutelpe des OePaloas Oleeanoa ii li0000invll M-M, Leursn0001e. mlutSOcs Sa Pumulemoeu numollI; PalelOtre. ilOc.scloéluime 111,0

l'Beecblele Pdnll100iel arma 0e Polo,luirrea, dinaoioue du Poot010uel Cou.Iopulrx dilmiior ililohI dci AltuoPolllltoedi Chila000l cl 0000iae, ehet ehnt-ellobnl ra casions co mInIer.des Ottaloet 000uveimne,

°iI55M. PauI.010000e. Oor000l0 pnisoale551 LclbnanLaonan. Polor l ntoncrueeslilceactnti onreml nonoru Icllr elOosi

bal du cala go i'ctoord, 15 mlole.tPs dat Alnnipre ul000autra 51 lasnne.adeuns, coca 0000ebienoeno ORiel.SOa dv l'heureuse mlueiu»Ion des au-e1

11es gagnants dt la Loterli,

se font connaitro

C. sosi, sateosllrmeitedes hobit»ois de Midi

miS. sonO 100e rOenerelSd0OOuuelae5rs5ut5ldOi- 5i

La teosa, .xs MooseflI.Mariollic. 11 lu000r, - Ioule babl

tecl. 5e nsacaalll. uul 000 niPom 35 54»lIer

tes, Sus bobluncO Ou ,cluomlredPO5

lac 10,005 rsnonotse 0e OOcl uoO04

insu- occIsoem

licornes Mitai.

: -odie

La iriinnai d lainai jng

cinq aflairvs daseroaaries

ani accidents di travail

MOulIna, li 10001m, - do0 otflie

010 lOI lr0100es d»eaua I» 15150a000eoluuvOslds000usl,

Poalopus Jaouusl. as 505. ae-»acnl.

1)11 de Ourbn, 01011 lape-leI de mmrbb- -

Fianna Moussa, aa ans. sulSosleor àsalui'rouoaemusnuuooli, o élI domdaunl Dalle ouon00050lo I dl 50 35udauou,aosunsiaeu 10e r-alla d'manda l Jnvquli, pour anm000IoOt eue ds ,iaoe.

e-moie hecrsl,fl tus, nldiocuhaaeOaOlaaooe.rluaebli. a OuI 0000nmui5 aie de oniava aoel Oln,It ai let tas

à ° oaae.°julle.mol, de prleon aoab-aunaies00001eodeOuloaoue )jurOuiL II nus le loOeve

0,audoee III mondemut à 5 as esupha0010ecturl.eoO

o-conclu OOIlsuO. ls Ina, hOlellerdeou nmuonu, ua 0105, oobOieaIrvm1500 Plasrunu. li aua, OutOlualcur. Inulrdnolaas.Vvealr», nul cul olodaaooé.oeiauaauooesoloisealau maous é'alaalla I

Oe000iu al sua de rrlaon,Jn000ei ChoIrons, t& ans, 0r nabab

Ponegaie.sor.a000le. l000Iel daeolr0000ois al Jacqluba. 100111$ du puuplioIaaloI 50101110e cana sait, soutes IOlélaIrs pOuoionIe, 0m tuinLpvutauleor'Otoule, erleauue d'e,Oraqosrie.énalemnul cOV011ué, alun vnmrllolil,

Sono cinduc001s i o-lente Maome, 55sIls, pr000iIlabeu s eclaLPnucnola.sonOIuuls, k t aoa dc mlauvooarsueele .110h troncs d'auleo, s b Ctaods ObU5o

01001e. osauue mnxouatccsllent.lIaI loénols O'anafld,uJu000ru bicS

:L iuelou On, e,Onso let proola

Le Comité centraldu Cartel confédérédes Services publics

répond aux néosLo (omISa aconIt du CanIsI motS

ddmt das Ser,ilns pabllr.eeeaeeroeieuvvriuor au tiégo da la S'ddIealltRsSlécalo di, euueuveonirn,.

Apois sotIe ,asm!nt la vuasttnx 5MtltdemnllOo ai 0001e lolo Ivolda disco

let aoopsroenit,ulal. ii o crie CoaoaiS

mootoli du PeustI ,00ieilsia u. Prseidota 11500e1. monl ddme001ss les O

clarelinne de» dlriIedeO. euu Cartslles pePmslo aeaceus000 001 '4

Cola Occuulu, tri PenlsnIpoI a Ivresruelle Os l'anne t de embss 0

calleairmenutianoclm.L5 CalollO OLOblul deolaee lIns tO

da rIo, ale I» n101Ie,OnOS 50001ia1 5acceto die «OinbOas pubtou. lusuaatabis do u010Sr011andIlIIidIrul asu 15lalexeol l0010nadaal dis eneli pullSoara cl 0011 smcaasenmol050aroont. ubbsolumtue de-noce de InlIIn Oplveesualicu do lendaom, su deoaeinistaIlla. SI melorIsls Ilulae et. dsOlansOtilOs enlOrleonso cor laanllads sala reePlieabillli de, diltéttuis e000ia» 0eldmaedulrns, eéolanaileae lue 50I'naconaalon de b'lsaono dm110.

ts1upes5i pi

4BONNEZ- VO Ui1la sec5 spss J. W p!asd

Vt

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

venlouril draten///111Wiradrartrur

On sait qu'un terrible Coup de grisou s'est produit dans les mines Nelson, à Osa, prés de Bue, en Tchécoslo.quie. faisant 138 morts. Nus de. Premières phOtOgraehies montrent, de gauehe à droite, deux aspeete du puits détruit par l'explosion. Plus loi

mutions anéanties, Enfin, la foule se brassant devant la mine tragique.

Le Roman de StaviskyNotre pond confrère ci MARIANNE w

publie dans le numéro de cette Je-snatne une Inograploe dé.illée deStavisky pleine d'oetérét ri que muasnoua yermettorrc de lui emprunterpaur nos lecteurs. On verra aineseomenent la vie de cet homme lus une'perpétuelle aventure d'escroquerie,et combien imparelonnablea ;mat ce.gui en ces derniers temps lui firentecur,.anee

Serge Sacha Alexmtdre Staviskyst ne on 1889 à Sloboska, dans nu

faubourg de Kievx. Sou grand-pèreavait, il y a doc lustras, tenté com-me lui de conque.rir Paria. Un fitmvisky fut, en effet, directeur du thêtates Marigny. Malheureusement, ilabandonna mn théâtre, emportant,déc.,

pire durt.szkapctl=re .

manuel, chirurgien-dentiste, à Parisrue de la Bienfaisance, était par

montre un très brave homme. Cocaehez lui que le jeune Ale% fit socpremières armes, mlant 1m réservesal'ar destinées aux dentiers, dém.bant des bridges pour aller les ven-dre. Le dentiste ne porte pas plaimte, et même permit à son fils, affir-me-t-on, de disposer d'une sorrarro deois oene malle francs qu'il avait

comPte en banque, lorsque en1826, Serge Alexandre Seeha ayant

,commis une escroquerie de deux mil-

** ja parmi ceux qui ont pour missionOn sait qu'il épmaa, en 1910, Mlle de faire respecter la lot 1 Le glapie

Armande Serrer et qu'il divorça t disparait des dassiers de la police,qu'en 19., une nagae ne taaate.uns provision - une petite affaire,

- lé fit condamner k quinzejours de prison et vingtaing francs

LA CATASTROPHE MINIÈRE D'OSEK

nette époque, ses affaires sont si ,COMMe on dit dans un certain mon- Mayotte et Alexandre entrèrent dansnombreuses, que la coal asion mena. de, ne manquant jamais de le visi- le jeu du baron,

igatpp,,,vicuor;.ditlues.ltyofepborez utenulops.,ter.ideL ouervoirai ganourAitzt faii EnLpain perdit sept mil-

, il a' sv'eil/or sur seemaTa7r'rs'. Minge, jolie, trois. ptor/IP éV/(1% erf'e L'a tpareil à déceler la gross.see

00119u le Prit Pot, un nouvel extrait av. de bea.. yeux da. un visage payer, faisant grand tapage, ai-

de vi.de. agréable, c'était. vraiment une com- sant qu'il avait été victime d'. tra

emi.e* * pagne digne d'un faiseur d'or et à cheur...Mais le hasard manci . se m mérites, elle ajoutait le Courage-Crin fit scandale. Le baron tins-

que par.. doc projets trop vastes, I

Et mmmença la course de l'homme pain ne m met pas inutilmieut enjogai, aae!inmisissalle tais les arauiers cinq oolère Le croupier, quarante-cinq

obligé de risauer son d.tin sur des 88at 4114. employés furent renvoyé, Alexandre

sommes peu important. I. lino artiste * *- nt Mayotte 'furent interdits de, jeu...

sa maitres., set ,1 a avait °lapone! Cl'es alors que la amanifiqueC'était a sept heur. do aman. Le

pour quarante mille francs de bi- d'entre les idées de Stavisky eerma...jeiouLelrotpe ntezitnere crédits municipaux sent maori-

qu'ayant invité au restatirant eru'ee'de i*or.'.urceltni:rrorvt'en't andre de faire téléphoner Paris,

les principales caractéristiques.un groupe de jolies femmes et d'amis l'être gagés sur I. dépôts précieux

douxcholasdes gens qu'il veut conquérir, Igue ces a banques privées ont dans 'il règle une addition avec un billet . leur coffre. Stavisky ne pensa guère **de moi dollars ; le traiteur qui l'a' aux dépôts ; il pensa surtout que Une des affaires les moins /mu-sera lui rend la monnaie, mi-partie celui qui dispose du pouvoir dans relises de Stavisky, fut celle de

en billets de banque, mapartm en un crédit municipal peut émettre des l'Empire.oreheque tiré sur sa banque. Goa bons, dont le nombre est, en pria.- Ce fut en réalité l'affaire de AH,

un ohéque de doue cents trama. Ste, :M., illimité.. Fayotte.visky le fait laver » - fa/sifier »I II fit ses premièresarm. à, Or- btaiisky et Rayotte s'étaient mn-- porno habile faussaire. Il sait I lé ans; il gagna la la confiance du nus, en 1926 à la Santé, où ilsque celui qui le lui a remis a qua-; fonctionnaire qui pouvaitboumeri.r étaient voie. de .1.1e. Et M.ravto'oioq mille epa,pnytes.à szimep.te, rjr,(toaseiii,j par uiiionmy..q,u peut Dayrotitiso un goût particulier

exactement de quarante-cinq ohe d'haî.. et Ln cor de oll'asumr'i P° àE'n faisant plaisir M. Mayotte,fiance- Il montait... Stavisky °herchait aussi sou aven-Unde ses complices., Dernetri. ** toge...Popovici, l'encaisse. On arrête De- Entre 1on affaires d'Orléans et de II faisait plaisir, par la marnemetriok On arrête Stavisky. Conduit Bayonae, il y a un trou de six mois. occ.ion, a de paisse. amis dame

,iivns Or ieanm, mm aan police judiciaire, il se defend Six mois gue Stavisky empioya a vedette autrie.Menne, Cjili devaient

,Vest alorsdOlq

ff l m tue Lus sa retraite ded avoir joué aucun rôle d.ans cet t -oy o d

te mener un jeU qui pouvait, - il le faciliter sou affaire doc bous aurai-ire On ui onr Mue ; craionuire la res..

Montigny-eur-Loing, joère de l'es- !' 'reuen eine bene une , u ne, il ,I examine, . para t a. e recodén- mon

passes-de plusieurs milliards. , Alors, on lança Mlle Rite Georg

Très assidu à, la scène, AL Ilayotteprenait son rôle au sérieux. Il ri'elmrchait . société dm grands au-trucs, et dirigeait Mi-mane les M-

et de l'a .

/I r és t 'I et kaatiuka...Il 1,0 un voyage en Remmena, enAutriche. En Roumanie, il .trepritles vastes affairee que l'on sait, etdont nous parlons par ailleurs...

L'homme aux cinq sente jou .me. a Hr,y eac seinspecteur de polme de l'avoir prts... est vraiment .... Pour réaliser saCalait:je 1

On fait défile, devant nouvelle eatreprise, il va devenir Pendant la derruê. semaine duPeser. Mas 1m policiere qu'il maori- le conseil finaticier de la « Coince' spectacle de l'Empire aI. acteurs

amende. Il s engagea en 19/4, fut mine ; il cite des noms, on lui fait autonome des règlements et des n'étaient déjà pas payés - M.

reforme en 1915, ne tarda pas a fon. compulser tous les registrm du von- grands travaux internationaux . Mayotte fit f.e à /a mauvaise for-

' der une banque, et PiX mois après sa frôle; on In i fait Visiter as hareaux, Avec l'argent obtenu, on financera tune ; il resta dînant et déjeunaat

réforme - quelques semaines après comme à un inspecteur en mission, de grands travaux en France et, a prix fixe, en face du musio-Lall,

reaverture de la basque - etait On ne découvre .pas le .upable. De. da. I. mloniel, on :ara d. aean-- au milieu ele ses machiniste...

condamné a six mois de prison et Jnettios Popovici est condamna po. ces aux Etats. StaVisky .-L eu p.se * *100 francs d'amende. avoir encaissé tan faux chèque, Sta- de devenir le banquier du monde... Tissier ayaat été arrêté, on a mis

Petits délits... ce mut au reste les visky, l'auteur principal, est relaxé Cette affaire étant préparée, Ste- six jours pour atablir un mandatmals qui lui aient valu des unda. faute de preuvru vialLy organise l'escroquerie de d'anener autre Stavisky. On était'

'nations. Elles devaient d'ailleurs 11 dirigeait alors, en sous-nain, le Bayonne; elle lui procurera les soma si peu assuré rie la véritable identité I

acre supprimées de son caeier judi- poste des émissions radiophoniaum men nécessaires à l'acquisition del de M. Alexandre, que le mandat fut

daire par l'amnistia de.. la Tour aiffel, une autre me affaire. bona agrair roumains 00 hongrois. dr.sé au nom de « Serge Alexandre,

* * ala,e can est trop. Un mandat de Ou a tout dit sur eette .croquerie, dit Stavisky do

A brou bien dé- comparution est lancé coutre lui, Il sur l'installation de Tismer à la di-1 Oa «con. coron.-mais que ne ...-eau, avecsa.b un t...., , gain. iiii an reaam se rend a la. convocation du juge. Va- rection da Crédit municipal de te-tani pae 1 - que Stavisky, quel-

empreint du citera. dave de Ion- t'il 81. enfin arrêtrilla pas .- Pop la meaplaisance de M. oues jours avant l'arrivée du man-

. dein, effilé,, nen core. L'inusionniste a un nouveall Garai t, sur l'égnissiou des bons il.- dat, fut prévenu d'avoir à déguer-filtilE Maille aUX. , -0,,,p, tour dans son sac. Tandis que le mires... pir. ,, Main.nant .n ne peut plus

riea four vous, lui aurait-on cht. »

mmma °a. ua'au.- '''' `0,.j. '''-'.1 perd dans la foule des avocats et sanme portée sur tee registr. du bureau de hl. Ameline, qui Pavaitk.... ..

t duamfdlitrbout des doigts,inn '."-e""qu'' ' 1«. pl ai devra.

0m

s'en f ria. Crédit municipal d e...eBam. On lait apPeieamangeai ne bu- Le lendemain, an parlementaire . fit prendre aux mmpagnies d'.- II n mea, Fei de l'arrêterrait pas, ne fumait jamais, parlait influent venaiener grand tapage , arr..,peu, éooutait beaacoup d'unesdans le cabinet du juge. Le maga- sociales.

aux cais.s. d assurances bien' qu'un énorme dossier eût étéréuni contre lui. Mais la juseice

** n'était encore s a i s i e d'aucune

vement . application us plan de Lu-

sé au cours de la Conference do Luce,rie, plan dont no. avons dan0 donné

melent. il P,8,aal.nit,... P'.,',,,' rurveillent, pagne les mauloirs, se de un millier de ira.. environ, Présenta à la Police Judtciairo, eu

a juge comaidee son dossier, pas. Les b.ons de un mdhon, que le tan-btavishy demit la porte a p. da loup, sous le re- dem Tissier-Stavisky jetait eurne jouant de ea voix douce qu'a ben- rd des gardes municipaux qui le marché, mrreeponda ent à des gag. L'avant-veille de Nota, Stavisky se

eer. On la transporta, dans une %.-8. mère ai'àit ...Tirtrat dé.ritenan. n'avait-i/algue ...48.u..t dat d'amener contre l'atonnant Sta. venu pour l'occasion M. Serge Alex. On voulait simplement lui fairement, la soignèrent. btavisky, toutm

f

iel, les enmuragea dans leur géné- jJsar andre - les obtint en favorisant don savoir qu'il lui serait interdit de

muse mission. Mais l'ima.gination, ** élections, en distribuant kdes am- négocier en Frauoo cm limes han-

ches rot honane daventure, ne d. Il apprit un jour qu'on était eur , ,,elilli..11.1.tran ctianiprelfripiee .talraatp.res amie

exil-elle paa l'emporter sur la 50v-on piste et organiai un grand ban-eibaite la plus naturelle 7 lainvrai- ami d'adieu* Le dîner eut lieu a 'Pour la mule remise d'une effairg homme, disait-il au rader. Je sais

vais termes, et môme m ea;lomnié. Mais nous- aurons peut-êtrel'occasion de nous revoir et peut-êtrechangereavous d'amis...

ET MAINTENANT...Quel est l'hommelb escroe Un vulgaire escroc. On

nifesté Pin.n n.tion de lar ua maa- Des complicités 1 Stavisky - de- plainte.

semblable dépasse muvent le yrai. rly, dans la villa que, pour cette au palais,. en étani généreuxsur.cluM1 ve. a Parlé mai en ...-Tandis que Eatamsky remerciai oceasion ..ne _, r ette iman . a ed-

atipérieure de l'ordre des soins que avait tapissée de ,pa mes vertes et res, tant de millions. Même si les

Yen avait donnés à sa mère, il la de fleurs. Tout pr. de l'entrée, les Opérations qu'a faisait ne parais-

mnvainquit qu'il avait decouvert un vali.s bien gonflées de l'hoMnm auxisaJent pas toujours régulières, n'é-

mmiede merveilleux contre le cancer, cinq eent millions étaient'prépar.s. talt-il Pas sono riche pour lent Or.

il lui en raya. le secret et obtint Onze convia. participaient aux ratier-d'elle huit cent mille francs pour agapes, entourant quatre fen-ams, **Corder une sodé. pour l'exploit.' dont Arlette Simon en peignoir c11 Comment les influences politiques

tic,. de la providentielle panacée .sue rose : un bijoutier paria., un de Stavisky joument-elies1 Un exem-. ,

Même BOUS l'épreuve de la douleur,l'escroc manif.tait mn génie..

* *Il avait encore touteles séductions

de la jeunesse, lorsque après laguerre Jeanne 13looh - Jeanne Dar-py - un Panay femelle, qui avaiteu I. plus grands succès au café:eoncert, s'arnouraeha de lui et lm°Ma un restaurant-dancing, rueCaumartin, le sympathique Cadet-Rousselle. Cela lut mit le Pied àl'étrier de Paris. 11 trouva là, en

.élae temps qu'unpd'

r.alier, grandamour oriamal, près un million...

lat million, . n'.t Ia«Ind'dm. pour un illusionniste suabelles mains... A partir de 1022, ilet du gromm Rimmel, qui bâtit surugn:hriyiiuMuerie géante un trust ha-Yo.de A. SOrcrirS'ite-tallations mem/tiques et agricoleeil pose les bases de la Société fon-Mère d'entrepris. générales et detravaua publies ; l'une qui doit

rurvoirla France entière de sil.

blé et de frigorifiques; l'autre quidoit encourager le bâtiment, en four-nissant aux entrepreneurs d'utilesavances. Il a dans ses eenseils d'ad-ministrntion des magistrat0 honora-bles, notaires, refilera, a8oM.

a parle de Panam p.a.rce'aima

ummajell's, un P.ét.ur uJr 8"8., eireate'dj'oe;g-temps, M. 'Caryllsey'iiJ'e's7quc%n ranveur' de cha-i-1.a Mayotte, futur directeur de Glard, juge d'instruction, avait à mies, un fabri.nt de faux bons, unl'Empire, et mer. un médecin 55m'.histruire une affaire où Stavisky faisan bien distributeur deobit.- On en était au gigot quand ;était mêlé, et son rapport formel pourboires, un e épate. a Que le'buee firent ouvrir. Il F concluait au renvoi de l'..croo de- retentissement - légitime - de cetteeut résistance, bataille dans Pesos.: vent la justice. affaire ne nous fasse P.

m'll,iieTJjeljer otmuvie.Slaivipst'nfeo stP.al.0 ha dpn :a: pprrpriiddeennel luee,ehe-rtSia.c,,,haoltrisàtry,;Aulexienp.

de la vie aventureuse de StaviSkY être - Glar fut nommé, sur ces qu'a Cornelius Herta et qu'il serait

ïlaissait, la moi. grande... entrefai. cos, nseiller à !a hua& à Chicago.La tète se tenni. a la polt. ja- Un nouveau juge fut nommé, le Quelles 'sont les questions qui se

diciaire, où los policiers - Inc ml' rapport de M. Glard rangé dans desspta,shL â, vtalediir L.stuir. 11 fallut reasu cemenr I las-nreigne m

lans son dossier un oh'eflo, avaient tempamnéZsr*Pritt L'Ise" - le

l'inPree:b`,17dZiaélr's.on'e%Hiedtebénej.. d'un. 4 r-ur-

Comment Staviska arrêté lejuillet Mg, a-kil pu sortir de pri-son en mptembre 1997, sans avoir étéjugé I

Comme. le chèque Maquillé de 3millions qui avait motivé l'erres,tien de Stavisky At-il disparu dudoesire -ei

Comment Stavisky s'osa-ii Pro..On dérangeait pour ni us . carte d'électeur et un casier ;it-

ems pontes. 11, jouait sur la banque dioiaire vierge nom d'Alexandre1de Zographos. Sa mise ne fut jamais t nain,en, Alexanise, nonna publi-

inférieure huit cent mille fran.. quanent pour être Sta,viiky,Cannes lui colts, dix eté admis à la fondation `du Crédit

Deauville sept. -

municipal de Bayonne 7

** * * Comment, le scandale de Bai-orne

Arlette Simon,. que Stavisky avait On alla chercher le bar. %pain ayant éclaté le 15 décembre, Stavie

n

-

conue pauvre, très pauvre - était à Biarritz, quand Stavisky &aida Ity n'ait-il été indculpé que le 29

restée fidèle à eon ami pendant toute deujouer Saint-Jean-de-Lua Lesqunde ses amis dirigeait le Casino. jamais mso ua

Oestions e ce genrer Pdra

ne sont1 blen é on

,riuidsse2tgéneur, Stavisky fut Conduit Q,:rd

juste le t,emps i lui fut nécessare royaux. Toutes les jolies emuirneaIl y resta une atm. enairon i- reeseee,,Virr'baje.jrrtr

eue

'ounue rrguninem Orienta'.1%°tIrl'arntdia learfa'rodpré-telle SimeO, svn Omis, ose '1 On OIT'tait en prison, et pour se faire déli-

M. J8zun-re"..

vrer par un psychiatre très connuna .rtificat attestant sa démence,ce qui autorisa son avocat, a rée.-rami.% epn.

sinibef:Jeupr.1,ei.bîpripa.fice dune

Lis « SOC/M.3re I

"invIt'ir suff a'tsiU tr`tru'iZsant Alex.

No. en voyons plusieur, qui ses'tent encore sans reponse

Q 'a. ne lanceraial p. 1 Déjà a sa détention. Elle l' assistait a

A .neffilefGrearezorew.eurarireur.WAMIFer/surieturdnrAte4r..«..e.nsendteekewAtoureutrAl

L'APPLICA1 ION DU PLAN DE LUCERNE Pragrammes du jour

Les nouvelles longueurs d ondes

des postes françaisLe lundi 13 janvier sera mis effecti-

Ainal fine 1101I8 l'avons déja Indique,la plupart des stations .roptennes mmdateront leur langueur d'ondes Peur seconformer an plan de répartition dres-

En conformité de ses décisio. inter.nationales et du ;Goret du 20 dém.Ors 1033, axant la lonan.r d'ondesdes post. privés français nos sta-Irons d'émisslon - mot nationales, quePrivece - neva. émettre sur lesnouvelles longueurs landes.

Seule, la Tour Eiffel ne modifiera«. sa longueur d'ondes d. le 15 jan.mer. 00 sait, en effet, que si is Plande Lucerne est appelé être appliquérigoureusement en . concerneles longueum d'.des moyeates, 1.1 aaoulevé de vives protestations pour cequi est des grand. ondes, ne seraminerve qu'en partie. c'eat qui amè-nera la Tour conserver pendant quel.mies semaines ou quelquee mois se

grande longueur d'ondée de 1,445 mu.

Ose.Ce.ndant, II est probable qu'un ac-

cord Mterviendra entre 1oc nationsprotesEtaires. La Tour devra alors,set ce.ss ses émissions, soit paseer

rr,,:m '7:"To.`1;Zt °J.206 métres pour le p.te .tional dele Tour Eiffel, Uns oue cette Informa-tins ait 1. confirmée ou Infirmée mou

m 6 e

nalea du tytie 11 sera utilisée par Juan-les-Pi. et Ratlio.VItus. Radie-L. L. etDealers utiliseront hune et l'antre lalongueur d'ondes de 208 ni. 9 (ondecommune internationale du type n. Il.Rordeauxand-Ouest et Nîmes la ion-guette d'ondes de 201 m. I (O. L dutype 2.) et Radio-Normandie etRadio-Agen une longueur d'ondes de200 m. 10. C. L du type ns 2).

Diaprée les accorda de Lucerne. lu-ttlisation par une station d'émissiond'une longueur d'end. commune en.traîne les obligations suivant.

Pour les ondes communes internationales tyPe n° 1, obligation d'unestabilité de la fréquence Pina 19cycles et «OEN. de /a paissance d2 Ica.

Pour 10e ondes comm.. Interna.,

nalesbitype X, obligation d'une

(na'. de la fréquence plus 50 Machas et /imitation de ta Massa.. â.0 watts.

Bien que les décisions prises à Lu.cerne aient pour but de mettre un peud'ordre dans le désordre des ondes eu.roliéenn., et de servir ainsi mertate de raudiEur. Il est probable MMleur mixe en appli.tion apportera, Espremiers jours, une certaine perturbanon, Toutes les stations fl'émisaionsn'auront pas rigoureusement réglé /medispositif d'émission ; Omet-

front - vmontairement tavolantal.renient - avec une puissance supé.rieure à celle qui let aura eté attri-

buMée.ais aven le temps, les statif. 0e.mission parvieadront se conformer

Il convie. également de noter que saaaement aux obligations da pan dehuit stations privées. sur mus.devrai, Lucerne.desormam passer sur une longueurd'ondes communes Internationales, c'est-0-01. Sur des ondes utilisées simulta-liement par pludeurs sonnons d'émis-eione,

En France, la longueur d'ondes deMt m. 6 (ondes co.atmes later.tio-

On pourra juger alors, de la vele.réelle de cette nouvelle distribution delongimur d'ondes françaises, et 11 faut.pérer qu'elle mettra un pen Mbar,mollo dans l'anarchie actuelle de If.ther eurouéee.

Paul CAM P A RG UE.

Nos stationsnationales

A MARSEILLE, - On sait que lapremiers pierre du nouveau poste deMarseille-Realtor été solennellementP.. y a que/oued semaines, en P.-

Jr. t'eut' "notlead".nt effectivement commencés. et 11 fautespérer one l'em..24 verra l'Inaugu-ration du poste de 60 kw de la Franceméridionale.

A IMCE. - Le plan général Fer-0115 prévu une station d'émise.poue la France du Sulest. C'est a. LaVrague, entre Nice et Cannes, que ion-vent s'élever les pylen. de E nouvellestation d'Omission. On prépare N1cenue cérémonie semblable f .11e deMarseille,

EN BRETAGNE. - DepuM longtempsdéjà on parle du poste de Rennes et dela Bretagne. Lorsque M. fluernEr étaitministre des Postes de M. Tardieu, Ilavait fait des prom.ses formelles. unPoste d'émission de 60 ka aller( krconstruit en Bretagne. Il serait Emma-. avant moins d'un an. Les almées ontpassé et les arme.. de M Guerniersont restées vaines-

Cependant ne désespérons Pas Le

mors tmnlere100 - do 0000,',mllre. On 5e-

fet, ce poste dolt étre élevé sur leterritoim de la communs de Theerle.

Los propriétaires du terrain choiepae l'Administre.. d. Postes avaientflairé la bonne affaire, ils s'étaient re-fusés à. une vente amiable. 11 fallut in-tr.uire une procédure d expropriafion. Cette procédure est terminée. LeOnce chargé d'évaluer la valeur duterrain a définitivement fixé le lAriX

global de celul-ci 209.192 francs. Vol.ei donc termiMes les premières forma-lités Inmspensabl..

Robinson Crusoésur disques

Cette série de dimuee, dédiée a laJeunesse, est, en minieure, une opéeettecomplètement nouvel..

En effet, Il s'agit d'Une comédie mu-sicale Meulée, en Mare tableaux.

M. Camille DIZeraY a écrit les Jude-emea et les couplets. 3s. Christiné acomposé une partition spéciale peur cettepet. on.ette, mit. par Gramophone,tout paeticuliOement *el.. aux en-rente. C'est ha. Urban, le créateur .

m Jat ie protagoniste.

Si vous avezun cadran étalonné

L'application du plan de Lucerne eto modification doc longueurs d'ondesdes principales stations européen..obligera les sans-fillees é modifier leurtableau d'étalonnage.

po's7a7d0enn direTirelliersavdloeuoenul

Citméer'eteirr ornèt«'7Uue'roendnj,suffira de dre.er un noilv.0 ta-

frIV.e.etffé'rra Pins graade Pour000enolooeshl500 0e

du mod5000ione 05v 0Conrle,dEectement en noms de station.

ca2c'iéLZ.10'sann;igue ciadoe dlell;".,(,erader.ils n.e recevront p. Radlo-v Rusa sur092 mètres, n1 Radio-Paris sur 1.725mètres, ni Radio-

`1

Normandie sur 223

,e,'Z'lli,200r 7.'1%711sololium noconstructeur de le. appareil un nou-veau cadran d'étatonnege, conformé-.ent 0,0,010,11e de lépuîernre.11.1e,tir

carre rani/ ';fri'rvirpX'S'euér. Teraeloîd'émission su point exact de leur ca-dran où elles sont Mdiauéek

ErAce a quel on pourra.Ineb,ternraitone moustiques, M des

1,9 férançam n'ayant p.compris

LE RALENTI » SONORE

Un Jeune Inventeur transats, M. Mara.a trouvé le Secret du [Menti soupirs a,

ondes sonores et le mécanisme Mi son.

.Oance de . troavasile,a oent de partir en nt.. on l'Ins-

titut der Recherches Scientifiques met 9,sa disposItion un laboratoire de l'Ir.R S S.

Mrsaf-Purmur, Per.)

1111111111111111111111111111111000101111UUMIUM

Le anadrie est heureuse d'amené.

L'et:te:Urie: "u`

4 pix.4.1,tea,"Chants do monde du travail

Jee.ajour

lei

RADIO-1'01;1,0BMO h, - Concert offert par le Radia*

Cl. de mon, L. refrains dansante.8 In. 34). - D.natees nouvelles de 1g

nuit.On, 35. - (Hohestre symphonique.8 n,- Chanemmettes.12 h. - Orchtrese Mennoie.12 h, 15. - Fragments d'opéras-ara

.miques.iv 30. - Nouvel' de der«.

heure de la matinée.12 h. 45. - Le quart d'heure des .5.

dam..Mea13 h. --é errkl. d. «principe

marchés régi.aux.13 h. 05. - Musique militaire.13 h. 15. Opérette.13 h. 30. - Orchestre de selon.13 h. 5. -- éGlia.onnettes.44 h. - Changes et boer..Pl h. 15. - Bulletin d'informa.«

aune édition).18 h. - BulEtin d'informa*/ «

dernière heure.18 11. 15 - Orahestre argenta.18 h. 90. - Opères.19 h. - Récital dé piano.59 h. 15 Nouyelles de demie«uhere de l'aprês-midi.19 h. 30. - Orchestre Men..19 45. - Fragments choperas20 IL - Orchestre de salon.20 h. 15. - M.idue réglons/e.20 h. 30. - Extraite de films.20 h. 45. -,Opagageomiques.21 22 - Théâtre Concert sur

Amr, opérette de Gaboreche.21 h. 35. '-Au hal imam°.22 - Orchestre vanacie. .22 h. 15. - Bulletin d'Information«23 h. - Le quart d'heure des angle22 h. 30. - OPérasaamjalte.22 a 45. Oral.. -symphonique,

Eure.23 h. 10. - Musique 000010e,2.4 h. - DSTIliècen capé.. de ri

genre 0001v0 h. 05, - Mélodies.0 h. 15. - Musique militaire.9 h. 30, Prode l'emiasion.

LES PETITES' NODVEMMSDE RADIO-TOULOUSE

Ls pl. de Lucerne.- En applienii«du Plan de Lucerne, fludie-Tauluimea

partir du 15 janvier 1934, effectuerae. émissions nur la nouvelle longueurd'onde de 935 metr. 1895 kilocycle.

Le retour de Monsieur Roy. - Apr.une absence de ban loura motivée com-me 000n5Pavons Oit, par une grippe te-nace, le s-yinuetblque speaker de Radio-Toulouse : Je. Roy a repas sou mevice le samedi 6 janvier.

TOULOUSE-MEM,lnO8 h. 30. -- Journal parlé (1. em001051001

présenté par M. Lauls Lespine.1,0 h. 30. Relais de Marseille. Co*

PL h. - Musique anosmie.. (cdae

mi. sélectionnée.g7s1:2:.Ltp, ixz menal parl0 (2me0Conale-

s uesEcleii de Toulouse. 51.iquePendant l'enteacte Pregrarnme12 IL 45. - Concert symphonique.

57 h. - Relais de PanaEcole .marieure des P. T. T. Rant...ion déconcert symp.nique Panaeleaup.

19 h. - Radio-dourual de Prame,19 h. 90. - Conférences Iode,

motion médicale Lee tionairee parM, P000000.

40050..19 - Musique enregistrée. 1190.gramme dee effectue. de TolliOnse.

20 0.- Journal .010 Oum émission),présenté par M. Louis LespEe.

20 h. 20. - Musique enregistrée.

C'en're.'t rele.77; Paria-E. cole allépérleure d P. T. T.

LA NOUVELLE LONGUEBR D'ONDEDE TOOLOUSE-PVIIENEES

En exécution du plan de Gamme. I*Station Toulouse-Pyrénées » chan-gera de longueur d'onde dans la maldu 14 an 15 Wyler.

L'écoute de la Stati. devra se tainpartir du 001001,0e sur 386 matrea S.

Fied.hi «et deouter1 ilp meulaspodetnu-mimainessus. e fr. 50.

Dai Erjoh-EEram-re eaggrà Die el !oz irm mire Imre rj rira EL: a ETIEE ardienral-E -2

zezerezeiw;ifee2

d'uniate à ses be- mille d. Rentnaines moyeu du

l'une quWeencue L,EpAir,HE et faites inscrire urnARGNE fait participer sa c

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des autres-marque M. Euqêne Limiter àa L'Homme Libre ri, pour remonterles pendules du palais de justice;elles vont trop lentement

Les six ou sept annêes largementaccordées O Stavislq constituent lescandale qu'il faut expliquer. Il nese cachait pas pendant ces six ousept années. Il s'exhibait sur les pla-ges, el tous les commissaires spé-ciaux pouvaient signaler sa présen-ce, exactement comme celle d'unél,adit de Fresnes, car il n'était pasautre chose qu'un évadé.

Ce qu'on a raconté sur la promis-cuité acceptée par de hautS bine-tionnaires de la police .t faux,heureusement faux, car ce sontd'honnêtes gens qui ne s'exposentpas à des accidents pareils. Maistout de même, il ne faut pas tenteile diable.

Il y a des gens qui, par condescen-dance ou légèreté ont manqué dmettre des camarades dans le plu;glmnd embarras et qui ont riuluede faire croire aux passants quec'était par ordre du ministre quel'on faisait un traitement :spécial â.

Cette manille.Veut cela doit cesser.Tout le monde n'est pas bien placé

pour savoir qu'il ne faut pas exa-gérer la valeur de certaines appa-rences et l'on doit au public un res-pect profond et minutieux des prit,eines qu'on lui enseigne.

PITIÉ POUR LA SYRIE

L'Association des étudiants FI;riens de Toulon. a adre.e la lettrsuivante à M. Paul-Boncour

Monsieur le Ministredes Affaires étrangères

Mons Mur le Ministre,Nous avons l'honneur d'attirer vo-

tre attention sur la suite des évé-nement fâcheux qui se sont déroulésen Syrie depuis la suspension arbi-traire III Parlement par un arrêtédu Haut commissaire.

Après l'institution en Syrie du ré-gime parlementaire régulier, con-trairement aux principes de laConstitution syrienne, un nouvel ar-rêté de M. le Haut commissaire vientd'accorder de pleins pouvoirs dicta-toriaux au gouvernement qui préci-sément ne jouit pas de la confiancedu parlement syrien.

En conséquence, les libertés pu-bliques et surtout celle de la presse

Le statif Corse s'en firn000-141 I Les se trouvent a nouvau gravement si-raits sont nord 0e, teinteS.

La suspension arbitraire des jour-Ceux qui ont le droit de se taire anus continue, et ainsi on vient de

or.,,//,o o,, 0/... suspendre sine die tout récemment

'été des sembo.. It a confiance dont l88 journaux , AI-Babas et « Al_eusgamt et dente G a chambre rée. AYOM », grands quotidiens de Da-licaine a Mais 14 refuse ans mugie. mas. Ces suspensions arbitraires en-

pares Io droit da jouer aux vertuenn o trailleill le chômage des ouvriers 1,31-Pour cette cemre nécessaire, Je me pographes, avec son cortège de nal-

ourna, Mon entendu, vers la majorité sère et de famine.répelicaine. Las hommm de droite oui Laq anioaji,acelamamm nlitititte . cherchent par tous /es moyens bse,1,11e8,1111.11.,%,1711r. venger des eéaments anticcdoniauxér.r. Prém'rn ageurnindérése'' "rt"//".. ''qui006/n0t1 d:1s dodZni(kVrus 5.,1`0 'eocreds,.n''selefe:onsedilsrestri la la de umnibrd. (22 ouveg,façon de faire aujourdlmi la (0001005. bre), re //d /a ratification du projet

Tout e fait d'accord, du traité négocié par le gouverne-, nient syrien, avec le représentantLes reSponSabilités du cap :taller. du gouvernement français, M. l'Am-

Le.og 000i,lou us nom cii bassadeur Haut commissaire, M. degesposame.a de ces Mandai, c'est Martel:ees,,pa,sucvno donsi parle Mon Jeunes. C. procédés e révélant souventMans G Paies I Mes mesquins. Ainsi le gouverne-, Les tébunaux allemands canda. ment vient de dissoudre le conseil

Fel.zsoLor, dans le

.sio",',2'"/,?,%"Z-

t bue degtutd, 01 do 17Umplacereat'ità-4-iirtià-tête Ménomidre rêàtme autre député resté fidèle au 00 ver,

rassis!e et êtalt, en tom cas, ou des arment, en violation des lois Mm-e...einem/ écoutés de Mussolini. 130016 torales des conseils representatifsatm DtatadMis, oneapla p.,.Is.j7,! sans se soucier de la compétence del'on Tout ROA 6PI l'unou de l'anteur les banqués a rem é des scanda.

pCnItau long de fan dernier. La ares. C. ProsPOSs SmSlivellt Chaque[rage. na pas beaucoup parle de jour davantage l'opinion publique

cette engame, c'cut dommaço. elle OU- Syrienne.:yre des perspectives stupetiaMes sur 'a000

0015r,prmotmoxsdatructue et PPPIPme. 551",4." lei vett Exeellence que rené-

PlithistttPs ns"-ls Pststli" ts/ls . tition de ces mesures draconiennesintra par avoir des salles deplora-

ment te arittilege de ces seandated Nul bles et nuisibles aux intérêts descestme n'. est exempt. Ce n'est tnis doux pays.la for.politlmto d'un pays mil les Noua pas de popeFend PoSsikiea, eP0f u.PP1Pue éé. Mhiplier de mettre fin à cet état dena recherche exaspérée da mont per feorn,

--e:ag;;"'!,"ri.',`Ce'''. '.";' ,`,Z","r,,Vti em.°,%aotte.'isl°la piraterie et M 'incnie une po/itirme plus déocra-pillard .0e trafiquant telreà vaeeovoeloeole tique et conforme aux t raditions de

L'SOuvuul O, stgis, rillSssgti lat,t'àZliesce- agmler, mernieue mi-le mrilnlin0e cr05bistre, l'assurance de ma plus haute

Ce ne sont pas ces politiciens considération.

Culdrerntatni'lettederliatZel p/.g.LJ,produit de la domination du canitie a u. 001IHÂBem déclin.

Ils finiront avec rinstauration révo.intIonnaire du pouvoir des ouvriers et'dm paysan.; Très bien. Mais alors. 11 lads aban,donner cette politique sactiairtak, con-tee let socialistes. Es ilfest Hanamer/sincèrement nna. Minife de caste'0111Miftre elusace In

anO fane/ arrêter SlatéSity tarant 5,dit le Figaro t

Des arrestations de complices ou docomparses ne feront pas oublier l'ab.sence On naccu00 pamcMal et qui savaittout. Le gouvernement reponaable deaes agents avait un devoir arrêt.Otavisk7 vivant. Ce nue la poli.valt mettre à la disposition de la Uteetice, es nAtaient ose quelques livresde chair, eetatt un hcanme, un hommeaVee See aveu, ses mensonges, SeeContrelictione, sa défense, Mile élé-ments de la vérité que l'opinion OS>me et nul sont définitivement enterréedans le caveau provisoire de Champ..Si l'arrestation avait eu lieu quandl'escroc eimulait H travers Paris, dansles restaurante les musicballs et00010105 0e

dsee Tgr;;::. ocraeiro lb-gciaaniss Potrauge souricière des netres deleaute.Savele.

Bien sûr, tout cela est accablant pareOn police. Mais M. Jean CAMPA, 1e PH-jet de Plilmpire, se défend. Et 0 sefait défendre, car it a .g amis, et Maslo, tes menas.

C'est ainsi qua rom a la suettrisc detirs cts MOU, daeS le Petit Parte.,Mus la sigeature de X. Maurice Presoui n'a ha/Maint DM detroututad des'occUper de politique

Ce n'a ras lté sans i Nnoi attristéque les Parisiens, quiont de la téteet du cm., uni connaisseOl leurs nom,mes cul n'ont pa.s l'amitié ausmfacile, aussi Imprudente sue certainshommes pentiques... 000 00 s'élabo-rer, ces jours derniers, une campagneà la fois Insidieuse et sans courageMntre le préfet de pollee.

M. Jean Chlaope ayant cru nouanteprendre quelques leurs de mues, l'oc-easion était home pour user et abuserIn son absence en lui prêtant dn torts

Lu

fantaleistes et divera...Des sapote furent mis en circulation.prêMt Malt un ami de marial, é.

Le préfet avait reçu de Stavise unIon important pour la maison de santéana gardiens On la paix Le préfet

ails prérête avaient hé vus dansune loge à l'Empire. en compagnie deStavisky 1... Pei, le préfet et sesservices avaient fait Pm.. enneMlassabla mansuétude en faveur dePdscroc...

Les Parisiens, qul savent que leurpréfet a les mains nettes, ont accueillicomme il convenait c. Potins... D afallu tout de même eue M. Jean Minn-Pe vint répondre O ces MIlevesées..

Niais cette campagne centre Ms denos meilleurs chefs révèle, à cetteheure, un état dieeprit attristant.

o Une nouvelle inculpation

après la catastrophe

du " Georges-Philippar

La na. des responsables de l'horriblemort des 410 lismavers ou matelots duGeorocs-pialimme s'a/longe c'est

LnFttilics lireei PUS cela ";.'1,7,:n.``'200000n.:,,........Dépassant les deux coups de DMA- uno'oaqomanousaoamonuarus..saoofi

Ire d'hier, el les personnels, '88 Pur hnnrudence M.serrim-sodetn, directeur general des

miner le fonctionnement même de ".Il os institut...g ts. ,SaborniSollena a choisi conimePOire M J. Gign % 0 M 0 no 1 t Camdourneri Industrielle u, parfaire té- Avec I. dellz directeurs des Chosifie.moinne de l'absurdité de eertaines mon Loirs. 00m 551 grouou 000m 000.conceptions administratives et poli- oteur en phot des messageries Ida-lattnes,figues o aveo ms autres, quel, belle brochette t

L'Etat doit, comme les particuliers Avis OAL De.o. Oit n'a arrêts nts'en tenir t son métier. ft n'est fait .564/4,s4s 5.0`4465."5.5""."lissl445noO amment ni our gérer des reser- 0se //ces ni pour depnner des indications =l1 "t"sur la façon de les gérer. Il n'estoutillé ni pour être banquIerPour être anPreeiateur » en quoi Mouvement du Portnue cg soit. Car, /Usant cela, ouautre chose, il le fait. mal et il ne _g_ TouroAérienfait pas ce pour quel 11 est fait de, par use-MontaudranexempM la police. En bonne justice,

'f riUn des principaux condamnés dons I Ligne oulou-Ca.blanea. D'éparl'affaire de Bayonne devrait être do Touli,,,,l'étatisme sous toutes /es ferrnes de joio, Duhourdien Soorralmonratite. arrivé à Tans. le 12 jerLier, à 17 II, 08,

On/gnons-Y, Psur lors complet une Ligne Ca.b/...-Thelouse. Dam.'certaine conception du parlementa- Casablanca le 12 janv., à 4 h. 30risme, dont beaucoup de Français pilote. Sonnellet radio. Tracbengum p.-portent la responsabilité. A force de o. 7 m: eseaccriea, 197 arrivé à Toulon.,se persuader du e rien ne peut être la /2 à /3 so,réalisé ou obtenu hors un appui par- Liooe Marseille-BoacsIone. -,Départlernentaire, trop d'électeurs ont dole 12 jsoLier, à 5 h.t. pilote,donné à leurs élus un sentiment ex- nue.. I: poste, 19; memage-cessif de leur importance et l'ha- riaa, 39: arrivé à. Bercolone, le 12 janvier,bitude de maltraiter jusqu'à les fous- à 7 L. 49.ser tous les rouages de Mat. Iii Linos sarcdur,g.ma,,k. Dgpur,e'ensuit que ces rouages deviennent de Barcelone le 12 janvier, à 12 h. 18:faibles, sans qu'ils soient foncière- lets, Dhé; radio, Régnier: pasmge 2,rdent mauvais. !poste, 22; messageri. 44;

sommaiToam,pgerasteg, selIG la 12 janvier, à IS M.I

son activité incompétente et diva- ,a.gor, i; posta, 78; messageries, 280.

GROUPE DES VTUDIANTSSOCIALISTES DE TOULOUSE

A l'Ecole Socialiste

Ainsi qu'il a. été annoncé diman-che dernier, la réunion de Gemg.MONNET a été renvoyée au mois deh entier.

La vente des mates continue, audimanone, ds 10h.

0go 05 h 00.»

Après l'inondationde Saint-Agne

Noua avons dit, se matin, dans no-tre édition Moule qu'une tontimted'eau sIsals rompue au chemin auPréfet.

Vendredi matin, lm pompiers mntrevenus sur leslieux afin de pomper

eva'r: M'iTireSt.dons

Les dégote paraissent importante.Poules, lapins out été noyis et dumobilier est abîmé par l'eau.

Jeudi soir, au mons et de la ruts-tare de la conduite, un jeune enfantà bicyclette, est tombé dans la cre-vasse, mais a été rejeté par la forcedel'eau. Il en fut quitte pour unb

col/ns,eeessHsseIllluhIelrIIIlIIsIsIsneCsellIe,snie

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Au Grougnaou AngoraLE 6 JANVIER 1934

Gr, Us soir-là, on pouvait croirequ'il y avait Grattée Réunion deFamille s à l'Avenue Honoré Serres.

De tous les coins de Toulouse, tousceux qui ont été nourris de l'espritde camaraderie et de fraterhité quirègne dans ce quartier de l'Avenuede Paris, s'étaient rendus au Grand

' Restaurant Fournie; une table d'es-prit venait, malgré toute sa simplici-

j té, hien dressée.Non point certes 1 que Oct palais

les plue délicats aient eu plain-, don, en quelque manière que cela

grand none; local, il nous fut donne

'j1aUr'at'orr es, ceela dudeplot

éorrttlet7' d', non'mulernent sur le terrain de l'amitié,mais ausai sur relui de la fraternité

Foin de diseuse:ons politiques,foin de discussions religieuses, on de-

!visaitde table b noble de façon char-

mante et les da/nos qui, plus que ja-mais, sayent rester jeunes parcequ'ell. n'ont p. désappris la puis-sance de leur sourire, rivaliserentavee leurs enfante qui eux laissaientftui,eesr le timbre de Murs rir. argen-

Nntre cher et aimable préaident,M. Fauré, conseiller municipal, pré-sidait, entoure de MM. Fons, mn-eiller municipal; Vidal, directeurdu cinéma o, Le Royal a et vico-pré-aident de notre société: Luvini, se-crétaire; Gauban, trésorier/ etc., etc.

Mais ne faudrait-il pas citer, pourêtre juste, le nom de tous les convi-ves par qui les tables de la belleaile du Restaurant Fournie revêti-

rent tant d'éclat i Et oui, il le fau-drait, man imelle longue liste celaferait I Contentons 110118 de direqu'une pléiade de vrais r.s'étaient donné rendes-vous pour raserrer entre eux les liens de camera.dreie al de . , .

-sent.' En tout une cinquantaine de convi-ves et l'on n'aura nulle peine à croi-

1 re que le (drougnerou Angora avaitvu s'annexer tons les vrais amie de,quartiers environnants c'est justiceet tont commentaire ne ferait qu'af-faiblir la force démonstrative decette assertion.

Au Champagne, M. Fauré, prési-dent, se lève et dans la plus fine desallocutions etavec une émotiontenue et d'ailleurs nrofondément reg-à/Mie par l'a.istanoe, il évoque le,premiers débuts rle notre société. Il

b:int4finsuite

la santé de tous lesmembr. du Graugnaou. et à leur le

Po. de véritable réunion toulou-saine sans concert, dest la noble tra-dition dans notre chère ville. On enimprovisa facilement un, car les élé-ment ne font jannai défaut au Gnou-"r.gran5 soaperon,o 9Prea-nvojZi fikune,"o'ittrette, ehansons italiennes, espagno-les, chansons patoi.s monolo nes

Toujours des chants, encore deschants, d'ultimes .nfidenees. On nevoudrait panse quitter déjà. La montee, .rtie de la poche du vilet ac-cuse pourtant une heure invraisem-blable I Allons, il faut partir I Onpart en so retournant...

Les meilleur. choses ont une fin,hélas I

Le Secrétaire o MASSE.

1.15 « sesim SOCIALISTE

AU PALAISTRIBUNAL CORRECTIONNEL

Audeence du 12 Janvier

Président ; M. Gout; mce-prési-dent ; M. Pevraud; greffier M.

Les mendiants. Le nommé Paul

'ï de s.C°m cite ne, ut su p s paeen. le 6 1 anoier dernier, aa fla-grant déllt On menthes..

Arrêté, il fm,i déféré au Parquetqui le renvoya en correctionnelle. Ilcomparait h l'audience d'auj,r.d'hum le tribunal le .nitanme a unmois de prison.

Les vagabonde. PhInellf3 vaga-bonds dédilent à la barre.

C'est tout d'abord, Jules Robertqui fut arrête, le 3 janvier, par I.gendarm. de Grenade, pour vaga-bondage et défaut de earnet.

/I est madamne à 8 jours de-ri-

Pois, c'est Paul Bourbon etepolf4urra v.13Zeodzargrêuteié,otanItemcoenut_

fumer rens mandat de dépôt enattendant leur comparution devantle tribunal.

Enfin, Gaaton Neige, El ans,qui fut arreté par les gendarmes deMontastruc, pour vagabondage et défaut de carnet, s'entend condamnerà Il jours de prison.

MESDAMES!MESSIEURS!'°em

DANS LA RUEUNE CAVE VISITEE

Le 11 courant, vers 14 heures, endeseendant à la cave, M. UlzemerArthur, restourateur, 08, rue Cujas,a constaté que la porte d'entréeétait ouverte, les pitons du cadenasarrachée et qu'on lui avait soustraitrphlusmnieure bouteilles de vins fins et

DES CANARDS S'ENVOLENTklme Laverene Marguerite, mina-

di d. demeurant 115 faubourg Bon-nefoy, a porté plainte contre incon-nu au 45 arrondissement, pour volde 4 canards, commis dan, la nuitdu -0 au 11 courant, dans son jar-din. 24 route de Laveur.

FOULER COQ ET PINTADE ENFONT AUTANT

Mme Trentou/ Mono, ménagère,demeurant 20 route de Laveur, aporté plainte contre inconnu au 4earrondissement, pour vol de 4 pou-les, un coq clone pintade, commisdans un réduit situé O proximité desa maison, dans la nuit du 10 au 11courant.

ENCORE LISE 1.M. Brunet Georges, employé, de-

r-purant 12 rue de Castres, a porteplainte contre inconu au 3e a.on-dissement, pour vol de sa bicyclettecommis le 11 courant, entre 10 h. 30et 21 h. 30, devant le restaurant dePEtoile du Nord, boulevard Las-

crosses.COLLISION

Le 11 courant, vers 11 h. 45. une

Lascrosses, à hauteur de la rue desscollision s'est produite boulevard

Chalets, entre un tram de /a hame 10,et un camion hippomobile conduit 1par M Pelissier Arnaud, demeurant10, route de Balme.

Par suite du choc, le conducteurdu camion est tombi de son Mènesur la chaussée, sans se faire aucunmal.

Dégâts matériels seulement.UNE VIELIE MIME TOMBE

A L'EU.

Liber, 10, rue de Rémusat , 01-loris, Côte-Ravée-Montaudran; Vau-thier, 5, rue de l'Inquisition

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2e qualité de 18 à h1 fr.; foin de 19021 fr.; paille de 0001e.

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30 fr. les 50 kilos; farine, 180 ; re-pas.s, 55; son 55 fr, le tout les100 kilos

Porte, 79 ans, demeurant 40 murde ronde de 05y01111e, qui ramassaitdu bois dans le Pare Toulousain, surlee berges de la Garonnette, esttombée dons l'eau.

Aux cris qu'elle a puons e, Orspassants el des employés du servicedu nettoiement se sont portés à sonsecours. .

Après avoir été retirée de l'eau cettepersonne a été transportée à Pliôtel-Dieu et admise salle St-Joseph.

TROUVAILLESRée/amer r h M. Gaussens, Fuxi 65,

place du Capitole, un trousseau declés ; â M. Gourbielle, 4, allée desDemoiselles, deux grilles et un ta-mis ; 0M. Cames, 26, rue !Obus, unepaire de gants; 4 l'agent Cajarc,arrondfissement, un plan ; à M. Gnou-bd, 32, rue tinter/ms, m.porte- -nate; à M. Vibes, 1, rue Pharaon, lintrousseau de clés'. à M. Canavy, 65,avenue des Minimes, un paquet detubes à M. Mack, bateau-lavoir,mud st-rie,e, 4 billets du CréditCommercial; b 51115 Alhy, 10, alléeCharles de Fitte, un trousseau declés; aux épaves, une procurationà l'Administration des trams, unpertefeuile, Ou nette-monnaie, unecarte, un rouleau, un manteau, unenions, une paire de gants, deux pa-quets et cinq parapluies,tro u

Cil ETLA SITUATION FISCALE

I/ES ARTISANSLe Bureau de la Fédération des

Arüsans de Toulouse et de /a ré-gion a le plaisir d'informer les ar-tisans qu'une permanence sera ou-

vl.Ônitteboulons 'kl.eriddirirtl'echaefee 'ilMa:inetsreda-odes, Place du Capitole 14, on les dé-l ,egué

de r.

leur disposition potfi. leur fournirtous renseignements utiles sur -leursituation fiscale.

La Fédération informe tous lesadhérents qu'ils trouveront auprèsdes délégués chargés de les rensei-gner, toute la d.umentation néces-saire sur les questions artisanales.

La permanence commencera àfonctionner dimanche 14 janvier àpartir de 10 heures, café des Arcades, pl.e du Capitole 14,

CERCLE LAIelleU CANTON

Nous sommes heureux d'informerles nombreux amis du Cercle Laiqueque la fête donnée au profit dm oeu-vres de cette organisation, o I hhéeprimitivement p./. le 20 chteembredernier et renvoyée à cause dufroid, aura lieu le dimanche 21 jan-vier 0934 à 11 h. 30, à Placa15 desfilles Lamartine, rue des Feuillan-tines,

Dans qUelques jours, nous donne-rons le programme de cette mani-festation laique qui est aPPliiO5un grand su...

LE JOYEUX BOULISTES

' Dimanche 7 janvier /es JoyeuxBoulistes recevaient sur leur bou-ladrome, en partie amicale, lm troisexcellentes quadrettes dos Gais Bou-listes Cocudiens.

Quatre parties furent disputées.Les trois quadrettes des Gais Bou-listes Cocudiens ont fait preuved'un brio supérieur, mais t n'en estpas moins vrai que les trois qua-drettes des Joyeux Boidisles, par/eur belle résistance, rendirent jus-)1100 s dernière minute les parties

I PIERRE matins) WILAIFélicitons tous ses véritables spot- ,tifs, qui ont dignement défendu les 1couleurs de leurs clubs.

Un apéritif offert pas tes JoymurBoulistes, réunis au siège, tous

joueurs et amis des deux clubs.Un concert v.al et instrumental

obletura cette belle après midi spor-tiveot) nos amis Villa, Rey, Camion-lives, Galy, Baylou, et nombreux

autres chnnteurs des deux socialesréunies inventèrent de talent.

Réunion des Joyeux Boulistesce soir samedi à 21 heures, au siège,café Coude., rite Négreneys Li-cences, cotisations, adhésions.

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Mais dans l'ardeur et l'impatiencede sa jeun.esse, il abandonna ses,études au Conservatoire et travailla,hztdd ie not. vporiart lelse isTohreàstsr e o

meurs d'entree eux. Le 18 novembredernier la scène de Havre montai/un opéra-bouffe en stmt tableauxa Robert Maeaire a dont Marc Ber.thomieu avait écrit la partitionet le livret; le 23 décembre leGrand Théâtre de .onte-Carlo représentait a Sacha oparette entableaux dont la musique gammen-

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LIERAIT et PAIITNEllmmyeilleux numéro

de danses arroi/Piques

un acte tiré d'un conte de La Poutame.

Paroi. et musique de /Marc Berthomieu. Couplets de Guillet deS:aix

Musicien sinobrement cons de se.art M. Berthomien ms un artiste doréelle valeur. L'hosnme est 0000 05'quise simplicité et h a gardé de souorigine méridironale ce quel y.. demouleur. erend sympathique à. tomin ceux quiapproche. Souhaitons qu'il trouveauprès de ses compatriotes tout /asuccês qu'il mérite et que e ColinMartine vienne enrichir notre re-perloire lyrique.

'COLIN MArtYiNE

Le sujet est tiré de la gageure delTrois Commet/pt coma de La/eine. Voulant tire, vengean/ce des:défauts de Maitre Thibaud, sonmari, qui est buveur et paillardDame Roseline àccepte les aveuxPressants du page Cofin, O cnonditiout

ire's'îlailttilrinjre'uaystepries erit'este"fi:

soéme do 500 6000v. 4

le nontsstede es,srtires,,seen oi005 socs

Roseline.. Mais les deux amourettXeut compté sans Maitre Thibaud

5500000ef05100-000b, lo,i 0111 one

.-Ime, faussement indllinee exigu

one/ne:ri' Ir ijaeicj;anime liais 01anunt dégrisé quand Thibaud s'a.perçoit ealin dosa méprisedsn

Utingirlrien0.:00 Ce/0a

l'i'ar'irlaPfrennere'ilèRs'leenIneenddel

LA VANNINAM. Paul Bastide qui fut durant des

Pnnees un des meilleurs chers-d'or-chestre de théâtre, en province, estaujourd'hui Directeur de la M0000c:1.Y

l'Opéra-Comique et occupe M.

THEATRE DU CAPITOLE

AVANT.PREMIERELA VANNINA. Livret de M. de

COLIN MARTINE. Paroles tell

Chourine. Musique de PaulBastIde,

muni-no de M. Mare Berthonneu.Couplets de M. Guillot de Sais -

Deux créations en une seule re-leesentation voità un luxe inaceou-hune en ces temps de .i-disante grande pitié n des théâtres lyri-ques. M. Camposcasso l'actif direc-teur do Théâtre du Cattilolesemble avoir fait là acte de coura.genous Pen félicitons, tant pou, l'ef-fort fourni que pour les deux oeu-vres et les deux musiciens qu'anona a révélés,

M. Marc Berthonneu est ne aloulouse. Pour un musicien, c'estpresque un titre de noblesse. Lameille ville du gry savoir fut detout temps et est demeurée la patriedes musiciens et des artistes. A Tou-louse, les vocations musicales .ntfréquentes. Il semble que la filiationdes troubadours se continue dans cepays de soleil, tant sen peuple agardé au coeur l'enthousiaste amourde la musique et de l'art lyrique.

La famille de M. klare Berthomienvoulaat pourtant pas en faire an

musicien. Après de brillantes éludessecondairm le jeune homme entran

PEcole supérieure de commercéMais il avait un a.utre rêve. Il faisattaussi de la musique, oui £05 000se02de notre éminent compatriote PaulVidal, il s'y donna bientôt complète-ment, et ses aptitudes étaient telles,son travail .s1 Intelligent et si opi-niâtre qu'il rem,porta d'emblée lesamix premiers prix d'harmon.e etde fugue au Conservatome de Parisen 1931, l'année suivante il tut ad-mis à concourir pour le prix deRome,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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sligIritagl y.drAirArffew:o,

Dans la seconde moitié du m siècle,su moment du grand dé...Pm.. tsel'industrie et des movens de transpotsen France.Il n'était pas rem de voir ongils de paysan ou d'ouvrier sortir de sa/classe et devenir un bourgeon. Les Eco-des rejouai,. des Arts et Métiers nipermis à beaucoup d'aocompin ce po..ge Des bourses ouvraient aux MIL MOdu peuple les portes daces écoles. Versla vingtiême année, ils en sortaient av.une formation technique et un diplômequi leur permettaient di.cuper, Jossl'industrie, la marine, les chemins defer, les entreprises de dame Pub',des postes de mécaniciens, de chefs dedépôt, de contremaitres, de chefs àechantier ou d'atelier, d'ingénieurs même.

Ces hommes se trouvaient aussi enté-gés à un milieu qui n'était pas celui deleur naissance. Un mariage venait sou-

,ent les attacher M. étroitement ene,-eleur nonce la classe. De tette classe,

qui ne les avait pourtant pas accise.%sans metian., ils prenaient souvent, unaspiraient à prendre, les parie pris et lesprêtent... Moins par lâcheté que palIgnorance et entrainement. N'ayant pascle culture générale Mt n'imaginant Pasles horizons que cette culture peut ounce,ayant été, dès Padsseacence, très etroi.arment contenus, par leurs obligationsprofessionnelles et très strictement iras.

au souci de la besogne Dite fairavant. d'autre part, rompu les liens quiles unissaient kur °lases d'origine eis'étant par la-même détournés d'unesource possible de grands sentiments etde beaux élans, ces hommes étaient eueffet condamnée à accepter de la bouc-geoisie .s murs, ses aspirations, sessasses de vie. Souvent mange il a da leurarriver de mettre à la conquête et à ladéfenao des privilèges de Dur musc.classe plus d'obstination et plus d'âssutéque les autres. Ce qui ne venaittant de la violence de leurs .uveltines.que de leur zèle a accomplir aveo rigueuret loyauté les taches qu'on leur assitconfiées et sur la vraie nature desqsmt-les Ils n'avaient jamais réfléchi.

000- Mals il a di arrives à quelques-uns oeCes /sommes d'être ebraffiés et troublesdans leur quiétude laborieuse.s Qu'une grève éclate dans le personaelsubalterne des chemins de fer, et ce Dslmfde dépôt de machines va peut-être se un-

té ne s'agit point du'Dictionnaire de l'Académie Fran.iseOnt au train oû 11 va, risque fort de nePue être terminé avant la eoneomma-alto ôta el Carpre,

dés demain, prendre (dace survotre tahle de travail ou dans votreatlotio Caque,

Il staalt, vous l'avea Pent-ésse deviaé,de Larousse da XX. Pacte, celui,là mn-me que Séverar mans signalait (ternie-l'ornent dans sa page des livres.m'en moudrais d'empiéter sur eus ter-rain, mais il me .mble que cette non-welle encyclognsse sortie dss Pr.em dala mai.n Laroueee représente ef.fort humain qui n'est pant seulementdu dom,us da la Littérature.

Par la méthode, la conscience. Pisoa.ver:té et la rigoureuse objectiva& quion( prêsidê é sa rédaction, elle estOisie eltr annelée D rendre aux travail.leurs de toua srdrea d'inappréciabhssservice.

Dans Mutes les branches, an. Mutestes matières, qu'il s'agisse d3 sciencecode littérature, d'art, d'ers Oies ou 0e

Ahi oui, fit Pauliac, la pré-;aration de oc concert dont vousm'avez parlé P... Votre présence yest tellement indispensable I

Pierie Gardel ne me pardonne-rait pas de manquel la répetition dedemain ricin Il l'a retard. à .usede moi.

imijce Uyrte'eqUee lerrp7ot;:.dsrrrtM Cardai est votre chefd'o..- ..estes f demanda négligemmentEdouard.

C'est un organiste de grand ta-lent, dit Luciane II fait courir -outLyon. Je crois queutas l'entendrezbientôt à Paris.

Je ne manquerai pas d'allerl'écouter. Ce .ra une façon de en'réconcilier avec lui, car, cea joursdernière, je lui en ai un peu vouluas.es le connaître.

Oh/ Et Luciane, dans un Mand'enthousiasme, 04 ne Pelat Pan en

FEUILLETON DU s MIDI s

..C.diedfieiedrarAFIFIFil:àfi

ANTOINE BLOYEpar Paul NIZAN

mander tout d'un coup mass étrange rôleon lui fait jouer quand on l'emploie àbriser l'élan de ces travailleurs mea-nIciens. chauffeurs, hommes d'équipedu monde desquels il est lui-méme sorsadans inc rangs desquels son vieux pareest peut-être encore, et qui ne font nueréclamer les salaires strictement nécessai-res à la Mus modeste des existences.

Une injustice dans leur avancemess, unedéception dans leur .narriére peuvent quel.quefois aussi poser àorshomrnsqotsont restés droits et loyaux de redou-tables problèmes et les leter dans destourments qu'ils ne sont pas préparas drésoudre ou à

Quelque malheur domestique, la mond'un proche, les soucis que cause la san-té fragile d'un enfant, l'ennui qui vientd'un mariage fait sans amour, Murentaussi éveiller en ces hommes un senscritique qu'ils ne pourront plus dam,mais refouler, mais qui apparaît trop taudpour être fécond.

Aussi, la plupart du temps, rien en ..-rence ne sera chan né dans mur vie. Ilscontinueront d'accomplir leur tâche à asatisfaction de leurs chefs. Ils continusrom de mériter l'estime te mus. Leurentourage verra bien leur inquiétade,mais il n'en soupçonnera pas la yr..gm'ar'nde0nr"s'rirs r

dentelaon"n cra,r n'ois sel

pas Ce trottinés. nas fait fausseroute tout au début de leur cendre, s'ilsn'ont pas mené la Plna erenee ai s PheLets des egisten.s. On croiss seulementquine ...ratez, malades. On ne Mu-ra pas qu'ayant fait sur eux-mérnes les

ei'derristtrrmroentoduerssstliiils'tsfcfr`..'"PZ:L''_.tin de passer sans les prendre à côté desseules choses qui peuvent donner du prixè la vie. 000

C'est d'un de ces hommes q. M s'au/Nizan nous conte l'histnire dans son Antrerte ployé, mi n'est pas seulement /e solideroman d'une vie douloureuse, mals ve'mde toute une catégorie s.iale, rentamera

ne connaitre un peu de joie quia la con.didon de ne pss comprendre au milieu cequel grand drame elle est placée. entre

Clarreologir'i=n7etdeupC:tp;-tans.,

ID Parie, Gras.

3.-B, SEVEILif,

ELOGE DU DICTIONNAIREnaissances indispeneaNes min eissmiss-gants, aux industaiels, aux comptables,aux hommes d'affaires Il constitue ala fois en raccoural nn tahlsau objectifdu inonde économique actuel et de sonfonetionnement, et une véritable eney.clopedie des moyens de production etde travail appropriés aux exigenssa dulamer. et de la technique modernes.

Des Indications( precista et claires yer.;,%ut slanés:u%uns infinfte teune:.

lue tira cOïn'm'aea.le's de tre'saortes, la jurieprudence tees raires,reiationa commerciales internationales,e régime tes douanes, des monnaiea,tes valeurs financières, des maids et

l'anjelineljr Ig'abnAllgtiq!aa'S',''étretc., le tout admirablement classé etordonné, rendu vivant et commode àl'aida de graphiques et de tables. sy-noptique..

Là au.1, dans ce Larousse gommer.eial, fi y a un effort, un effort humainda grand Jay], dont notre ttroque PeMs'enorgueillir, et qui méritait, croyons-.. d'aine souligne. J.

du public I. derniers résuaaia dusavoir humain, et ceci, nous us répé-tons, amc un ((crapule vieil. d'impar-tialité qui fait de ce formidal. travailMt guide précieux en. sûr pouvant êtreutilisé par tons avec un égal bonheur.

L'illustration par Par protée.. lesplus récemment découverts en eimill-aravura hallogravure, est abondante.do sorte que le Lanusse ds XY, siéciese préseMe comme une sorte de mns.Iconographique extramement vaste etcomplet, dans lequel, du point de vueartistique notamment. mine renseigne-ments utiles et aussi male joies pou.vent être pulsés.

Bien Mie très serré, le texte ImPriméavec dos caractères neufs est ou netent ulula ttnihtr. L'ensemble des sixvolumes a été réalisé dans un formatmaniasse qui en permet l'usage coassas.

En bref, le Larousse du 1, aréoleprolonge, avec la mim h jour, de cmvingt dernières s.nnées. dans le plande Pactueût, la grande tradition des.cyclopedses I.arousse doutaMst plus il faire.

Une autre réalisation récente de lamaison Latone. qui ne peut manquerde retenir l'Intérêt car le r.crocsne com-mercial illustré. Ce fort volume, agréa-

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turerritt"Z'st= ernite.

(31)

l'Infernale Gitaneil par MW Staal et GILLE GERNEAN

.....à un tel homme. Il est si

bon et il a été si malheureux I

t( Ah ça I pensa Pauli., Lat-m quece Pierre Cardel aurait un peutourné la tête a Luciano lu.

Les malheurs de l'artiste l'intéres.Baient fort peu. I/ voulut en éviterle récit.

C'est à cause de lui que voushésitiea a venir ans Sairdes-Maries-de-la-Mer, demanda-t-il, sans mana-gamets., à Luciana.

Le visage de la jeune fille, touscette attaque brusquée, s'était cou-vert d'une rougeur subite.

Pauliao le remarqua.Et, .mme Luciane hésitait è ré-

Pardonnez-moi, dit-il, je n'aiveg ssieBleds il n'y a pas d'indiscrétion

a me demander une chose aussi gimple. J'hésitais k venir pour ne pasaimer aB souffrance l'étude de cer.

moreurirmewneemeer.nrefarAninfreurerAuure:Area

CARNET DU LECTEURTRILITY t Boubonie d Gent-.

(Flammarion). C'est un roman Pottjeunes filles encore sous la tete,lep,slseuslla, Os

cerdnUe;=.'Ur:,°:-bltrrnes pomma celui du désarmement.Mais probablement M. Tri., ne sePrend Pas luianôme au aérien

000François-Pau! RAYNAL : 45 Ili de

. gamine, prnface de 0. Gaudi.onfle.-d'Arnses (libraire Orobitg).Raynal, ParLsien d'Auvergne, reste su.t.bé b ses montagnes, b la riviêre gsseoule ares de son village, a sesgnons ès de jeux. Il nous raconte toutcela, dane .e Mua. agr80.01e, seméede.ressio. patoises, parce qu'il y S.des choses que l'on ne peut exprimerque dans cette langue dont les motsfont. par eux-mèmes, Image. Il Moquems ancêtres, figures auvergnat. Pumaet honnêtes. Puis ses souvenirs de polopin, ivre de libertê, heureux de patau.ger dans /a Sumâne maigre les fouet.tas. de /a grandanere Enfin, une par.Un du /ivre .t réservée ses lOsendeeet contes du paya d'Auvergne. Ce livre,tout personnel, rehaussé de dessMs Mesréussie de 1 auteur, mérite d'être romanQué. 000

Jean GAULM1ER t vatricate huittenue éditions Rieder). 11 est suesfacile fie usueller la sensiblerie desmines a raide d'hie... larmoyantes

tuietu. M. Jeun Onulmlnrsstilé celapar la sobriété de ses Mens. Ces calo.nia. souffrent ge la solitude, del'issu lot qu'inflige la vie au régiment.lis soue/rent aussi de cette d.eptionsul noua attend lorsque nous nous trou.(mus dans des pays dont nous nousétions fait une image embellie et inréelle. Ces histoirea sont toutes trèsasrenantes, sa. aucune exagération.écrites avec un Mei souci do

000Sean VARIOT t Bounipernicke fuel-

iimardi. Bounasernickel est le dela/dame tome de la Rapsodie Montagne,e. C'est un litre alerte, plein da vie.un homme colossalement trie., nepeut cependant acheter la femme qu'ilaime. 11 sut seul malgré son argent, it

teeieU,e0enorreel.'emous voila dans an roman, transe..da Strasbourg à Veniae, dau5 des situa-tions Desu sans g toucher, etsana vouloir la prendre au serieux, queDA. Varies traite la vie, cependant sitragique, du ma/heureux Bounmeruic.Pet. No. lisons ce livra sa. uneminute d'inattention, je pense sCarllest agrassale pour tua auteur d'obtenirun tel résultat.

000Jea. CASSOU : Les inconnue de la

pave (Gallimard). tg. Jean Cassouattache peu d'importance au roman enPl.meme ; Il esirre, estompé en quel-gne aorte. Ses personnages eux, comPstent, ils essayent dc se réaliser malgréla Re, mais ils sont entravés et seheurtent au contraire de ce qu'ils veu.lent êtss. L'aMour de Sébastim pourles bras de sa secrétaire est bien vl.vaut. réal irIs o.k. mals tinsseréalise eau. Quant d Charles, le tauxabanafeur. leateur de Spinosa, 55 nepeut naa plus ciats aon petronEt les voici tous deux daua lavieillis, ne pouvam plus impunémentgeùter au vin. Ils el mettent A parler

cur ouvert et aperçoivent Tentsétrecomme un flamme vive et M'ante la

evrV' sdr' ssatt70Drt'edéant ret=senul noue apporte quelque chose et gutmet en lumière les grands mérites deson auteur. 000

TVIII.m FAULKNER r ganet.ire.Préface d'Andre Malraux. Trad. R. N.Raimtault et bleari -De/greva (Gal hmardl. hl. André Malraux, dana tapréface, rapproche danot.ire dee m

d'Edgard Poe. Mais, (point. Amé-ricain. M. Faulkner est loin d'agates

119Angenlepare'snaCe=irbe'nedn't'reeet la terreur. En lieant ce lisse, bienaméricain, avec ses gangstera, ses hom.camte.ssess et brutaux, sa plass:

IssorreUn'tsalbaCreAr:,1Agcl ans ee. -

sent. Et puisque da. la ptrafamsest aussi question de la tragadis gr.rce,,,Imutn,:i vraiment &menai.assistons aux crim'e'a eretSérZÎ sm-puissant, d'un pervers, élevé daua une

L'eau chaude

par l'électricité

Emmen tarifs de nuit très réduits

Ecct IeulouseIoe le lancleIo. Quai st-Pie"-. I

tains morceaux diffieilrs qua je doisjouer avec Pierre Carde/.

.-'luiteusueerstgeiespesdulaisser en muffranee votre vieil amiPauliac 1

Depuia tant d'années que vousn'avez p. cherché à me revoir, pou-vais-je croue que mon absenm pour-rait vous affecter.

Cependant, le billet que j'avaisjoint è. la lettre de M. Braucieretait significatif

Vous m'aviez tellement peu ha-bituée à ce style affectueux que lienai été toute surprise.

Vous pensiez que je seeuussimais plus 1

Je me demandais, surtout, svous m'aviez jamaia aimée.

Voua saviez, cependant, que j

En nomme d'affaires intelli-gent et dévoué, je le reconnais, etje sa.is quo vo. avet été majeur,prémûupé de iléus faire retrouver, b.ma et à, moi, la fortune detante Je...tantine et la nôtre.

L comprenezmoi je ne'voulais pas faiie de la recherche d.cette fontine la condition de votreamour pour moi

Je ne vous parlais phis de monamour pour vous éviter d'avoirm'aimer simplement par reconnais-sance.

Mais, aujourd'hui, que, gra. àM. Brancier et au roi des bohémiens,noua allons vers une solution rapideet une restitution prochaine de l'ar-gent qui voua est dû, jar'héeite pas

voue redire, CO... sera.% oree

LE « MDI SOC/ALISTIS

maison de correction e dont la placeest dans un asile d'alién.. Male enAmtrigne Il peut g.ner, on ne saitcomment, beaucoup d'argent. Cela nousétonne et nous choqua Puisque ceroman se classie dans . eategorie desromana polissent (sans police II ratvrai( il ne manque pas d'autres auteurscapables de siOunar les frissons qu'onattend des uvres de cette espèce. Nales demande,utc pas à Senot.ire.

000PERCHERON : On tete, pilote de 11,

ana (Flammarion). Ceua qul n'ontpas vols lisent /es récite d'aviateureafin d'apprendre ce qu'Ils ne connaissentvas. Les autres les Usent pour faire re.vivre les minutes d'émotion, les angois-ses qu'Ils ont éprouvées. Pour évoqueramel tas paysag. Inoubliables quisent la vaste/aie de l'e.ace Toutes c.émanons, tous ces passages, M. Pencheron nous les donne dans .n livre.Notre génération ne se Iasse pas encoredes roma. d'aviation. Et lorsque leroman est sincère, sans grandiloquence,lorsqu'il sait voir les missi:. hors Pairdes pilotes de ligne qualités qui nemut pas sans ,inévitables défautsnous l'accueillons avec une grandesympathie. 000

Jean A. PROAL u A Hauteur d'homme(Den./ et Stress/. Dans spremierlivre de la série, Le Martre du Jeu,le har. romPt avec son villaess poareourir la montagne et aimer librementune jeune fille de nase/stance. Mas the.A hauteur d'homme eat la (mite de ceroman. Sylvain renoue avec sa famille,Il rentre bercail e Ouate marier avmOs fille nin voisin. Mais i1 .t reprisPar son premier amou.r, et brav.1 toutle village, il ônouse Mass.. De chuteen chute, nous le voyons délaissé parc. villageois qui ne peuvent admettrequ'une femme soit Mdéssenclante, et osehr.onner tout comme un homme. Elletrahit son mari qui vent la tuer. Maiselle meurt accidentellement. Que vadssenir Sylvain J Je pense que M.Pross no. le dira dans son prochainroman. 000

Raymond CUENEAU t Le Chiendent(Caûimard, Le roman-de M. Usé-usait méritait d'être remarque et lePrix des LOinsdlayote l'a fait connaltre.

Des imagos Inattendu. fourmillent canasm nrre. Ce ne sont qua visions spi-rituelles( d'une vie pas drôle du tout.Comme il neus dépeint blenla crasse

ere,lse. annIse't'ion itinuiv:.2?2!a UruC.Un veut d'imaginassent mutine. Us ro-man extraordiande no. entra/. a tra-vers des aventures mrss-Ipl. Joe hérossont boulottera., mis dans des situa-tions cocasses, et terribles meï toutcect exissé ? Cela s'écroule sou-dain et comment la ,.,r,eratacreoligue

Lss'imultanément des milliers.peolila ,'

lupus avait bien des milliem.Comment donner une impression Juste

de ce roman st riahe et si personnel ?Le mieus est de le lire, afin de goûterpi einement le mand talent de M. Gué.neau. 000

Weide 13A171A lett. 'gradua de galle.Ami par Mauri. Redon. Marectretlenta Roland AI. (Edition. du Macles.Ce dernier mon-situe Mme Pi.. Battraeut sinon le meilleur que RO. ego.%

'elle, du moi. la plus poétique. Disse-rtrt nkst pan dies s recit la vie ha-nale d'une mais dana lerythme qui se tlagare 55 Pmess5a em-ployé par l'auteur traduire Msses lesetreques de la vie d'Ina par une danse.Ma a danse vie. Il en Maude unesorte . ballet dmt Ina est la danseussa.étoile et lea persona.. .oluentautour d'elle, I. eatelliotest p.i.

eattrieve fll'ZI:Dr'fiersu ro.--Ur;comtnence sa vie deus l'enMousimme

'"rhberniai aras le 1500es tans te crut

Peurturrl lu'bonheur quittoons. gii.e

entre ses dssals. I/ n'es riuien de pl.mouvant que cette poursode. que cet.

'allers.. d'assoira et de

alenteiattà1 ,Destreeer lnejlrUnie% d:dl

'Lme'lre'cieur se Iss.ent prendre par l'atrm.phare de ce roman symbolique qutdistille tour è tour /a Joie et la dua'leurs mouvement réglé commeune erekessration.

ea ee *rira« OMO pita

ABONNEZ-VOUSiregM Net moyen de hoi

num seeignestass.

Comment voulez-vouaêtre par.

(alternent au courant de nie?»

du ...oart,1,,z.rialist...e,..ai..vols.seetet

toute la sincérité de mon murLucia.ne, je vous aime. »Lucia. étouffa an sanglot.

Mon pauvre ami, réponditelled'une voix entre-coupée, comme vousmeriteriez que je puisse vous répon-dre de même !...

Profondément troublé, Edouardlui

Auriez-vous douu donné votre.ueauaà un autre 1

Luciane tu répondit pr.s.Tout à mue, se souvenant du nom

qu'elle avait prononcé devant lui, lejeune homme si.ia

- Cle Pierre Gardel, n est-cepas, qui m'a volé votre cur

Paûcusez rs, répondit vive-ment Lucia.. I ne .vait, il ne

e pouvait pue savoir, puisque moi-môme j'ignorais que vous m'aimiezencore.

Mais, enTin, qui est donc cePierre Carde] po. avoir su ainsi Fiefaire aimer de .118

"lie grand artiste dont le coeurfut brisé par urie femme, réponditLuciane.

Vous avez .cepté une mi.ionde sur de charité dit Pauli. avec

ne puis, ajouta-t-il, quecliner devant un rôle aussi sublime.

Pour la dernière fois, les el.besdes da'ntee-Maries sonnaient à toutevolée, appelant les peler]. b Ptglisemair la cérémonie des adieux ans

112(M1,,ei , mos nnumannammuininellommt n min atm n imas neguelann

APRÈS L'ECOLE

de Jeunesse UNE CONFÉRENCELes Auberges

Un pressant appel ms militantsde province peut la réaLsation

rapide d'an vaste réseau

Quelques camarades nous ont de-

mandé de préciser quelle serad notreposition vistr.vis des jeunes étrangeraet des jeunes Francais adhéreeta â desgmumments autres que le Centre Lai-s.. des Auberges de Jeunesse.

C'est bien volontiers que none le

faisons.En ce coll concerne d'aboermdel:s

berges de Jeunesse (figue Mare Sens

fee's; ZU0=t°": ilagrne%e'ert-eus User use selee et este Ci

reu as noua eOnIpds eus taPromté.

Nous n'entendons P.. en ce Qui no.consente, ravaler notre act.n h unequestion de boutique. Nous recevrene

teurs d'unetetsce n..Îh entjerge Ygne 'd'Aube r.ges de Jenneste.

Vis-à-vie dea jeunes étrangers, notreposition est /a même. Tous ceux qui

e d' Il se

Éggler:rtd"ArUheregel: ZIeun'S'eesront ace. (tans autre formalité a. nosAuberges.

Une difficultê semble avoir Inquiéta

trakererrialssaC'entsPnaali=1ed'A.J.. le Centre largue des A. de T.risque M voir son réseau d'AubergesInconnu à l'étranger.

Que nos camarad. se rassurent.Noua prendrons en temps yods toutesmesures utiles pour que nos Daubera..ient connu. d Tétranger. Et noueavons h notre disposition les molle,.d'information et de diffusion lea plus(Pendus et les plus efficacea.

Parmi les ralsona .1 sont à l'originede notre mouvement figure, entre asstres, la nécessité de faire se rencon-trer I. Jeunes de toua les pays, afinqu'am antre/ment H se connaisse. d secomprendre matuenement, d salais lavanda et l'erreur des barrPres que lesnationalismes ont dressées autre eux.

C'est là l'un de m. buts essentiels,et c'est pourquoi une part importantede uos efforts tendra à faire connaîtren. auberges it l'étranger. h faIrequeles jeunes étrangers fréquentent nosauberges, y rencontrent les jeunes

rece:x des rela.

fermement.'sVconDJIOnt parPrZieépistolaire, pour le pins grand' Pende notre Idéal de mutnelle comgréfreesias entre les Peul,. Sans lagmeTeaucune action positive pour s Paix,

saursst être efficace.@tient à la question de la Ligue in.

ternationale d'A.J., elle se Matera entemps voulu. suffit que notre Centreexiste et se déve'oppe pour gel soitconnu et reconnu par organisationsdes autres Pan

Nous pourrIona sana doute nous anitt.mr à polémiquer avec la Lieue Marc.agnier. Ceissei male en offre »saie-tta et mentes occasions.

Peseretta notre avis da temps per.du et dna efforts/ qui amont mSeuxemssoyes à deveSopper notre réseaud'Aubergea.

SI da. chaque nagion de France,chacun veut bien faire l'effort nul semanifeste dans la Région Paviaienne.le Centre largue aura, au printemps,un M.. d'assied/. dee MM. 1111POOtante.

La France est en retard, gond.,rablement en retard en ce qui commame les Auberges de Jeunesse.

Nous n'avons pas le temps de rensarréter s nolémigner. Il no. faut Ma-lus. rapidement, IInoua faut séssiser.rteut.

Noe organisme. fondateurs ont asseafreOVergUre pour ene essa soit fair.Que ce. qui ne se aont pas eneore misau tsar,/ e,

San...nasses, Instituteur, membres/de l'enseignement, messcipalités socia-listes, cssyres scolaires, postsseolairesou périacolaires. municipalités sou-cieuses de matras sorial, tons milté.sente à nos organtemea fondateurs ;Jeunesses sportives, syndicassa, coo.traratives, soelarstee, réailblicaines,Anis 4e la nature, mss./Mauristes, me.te/cyclistes, etc... usaaers prfeen.1 venir des Anberees de jeunesses'est seras de doter la France duremnrt d'anima. qui .1 manque,

du travail.Le Centre Laisses.

Four toua r.seignemente écrire suCentre Lab. des Auberges de Je..se. 1, rue de gave -Massa, à Parie (Ir)ou télaphoner r Archives 12.21,

1111M711,11111111111111.1111111111111l1M11111111l

SOCIALISTEot cracha ear eta (Ader ihrartler. .yediae

Le gérant : DABRICAU

risquerait de meurtrir davantage

Il vaut mieux noua donner alnous-mêmes le temps de réfléchir.

d'Âtilécsi>renesssae rea' eàgiliertplage pour se rendre è I eglise :

Voulez nous, demanda-teelle, ruanoua reniontmas, issma aussi, au vil-,/aga pour nesse garnisse

'irai euAvec vous, j irai où vous vou-drez, même sachant nue voua nem'aimez plus, répondit Edouardavec une ferveur contmue.

Bien que Mantello lui eût signalé/a présence de Nadette aux Saintes'Maries, le Jeune homme était loindnue l'ancienne hou lietière!l'épiait depuis longt :ps et marehait maintenant derrière lui,pre-nant, elle aussi, le chemin de l'épi..

A vrai dire, Nad., étouffait de,

'Vile al/ait de surprise en surpriae I

dans ce pêlerinage qualifiaitdans sa pensée, d'odieux et de sa-crilège.

Hier, elle avait aperçu Mantello,qui chaque soir lui faisait des ser-mente et prétendait l'aimer, occupé

flirte r av. une ravissante jeune

Aujourd'hui; c'était Pauliur quipre.ait .ntre lui le bras d'unefemme qu'il semblait consoler.

Quelle pouvait être cette femme 1Nadette avait beau la regarder,

elle n'aurait eu le dire.Il lui semblait bien, vaguement,

Tout ce que nous pourriOns avoir connu dans son enfance quel-ajcuter an ce moment, dit Lucia., qu'un gni lai ressemblait, mais elle

E4 A

DE G. LAP1ERRENotre aml fit, le Jeudi DI décembre.

au Centre de documentation sociale. uneconférence trm substantielle eura L'Outation sociale après Vassale: st

Enseignement post-scolaireEn 1000. les syndicats d'insdtuteura

avalent déjà examiné le problème. Ilsavaient été devancés dans leen a..-.nations par Jules Fer, qua en 188.3,lors de l'inauguration d'une écoleVienne, déclarait que récole ubligatoi.re Jusqu'à 12 ans était quelque chosed'incomplet ; par,Poinearê qui, en lann,dans une circulaire, posait la questiond'an enseignement imatiscotalro sous lecontrale de l'Etat. Jaurès, enfin, dans unarticle de la Revue de renseignementprimaire, en septembre Ossa suggéraitla création dans chaque village d'une.eieté d'éducation populaire 00 le tra-

r it acsroltre 'sa valeurtechnique et humaine.

La scolarité obligatoire/iman% 14 ansest un progrès, mais insuffisant. Car.aprés leur acolarité, les jeunes travail-

'tngtrelAePce.7ovi

eq.'enWel'o'gprre'n'dent. après le vote de la

',,z'A;7';'.eptre2,35'1.onns;leit'peni:;réducation Intellectuelle des ednles.centa qui ont quitta primaire

sucrer ente eurtora se.nalZreole

7,7=rteMaUl'individu', ne peuvent être pria Jon-mebase de culture. Il faut tome cherchercelle-cl en dehors du mss., -

at.ré(rFirsZee brerenle dure cruOemnurumerte

ze,'t",teer2;e;Tize..ares scolaires et post-molaires/ a coor.donné 1es efforts. encouraaa Tee bonnevvolontés et Muss/ b mettre sur Medune organisation puismnto (67 ode,.Pons Ister.sant dee rallliers de mem-

Parallldement à eut effort d'aducationlargue il en est un autre, nordsuivlpar I. organisations srmilmles, pourarracher la jeunesse à l'emprim des or.ganisatinns clé/Traies.

Le cléricalisme et la jeunesseLes cléricaux, en effet. s'attachent à

attirer à eux nenfantr e l'adolescence.Le Pare rendre erste/lise les ceuvreseathssinues dans la banlieue rouee (pa-tronages de tvmnt.Vintcun de P.1, n.vre ...tire catholique, see.latien ca.the/igue data Jeunesse Permise. un'ensolfie des ingénisurs carbolinuesl. En/027. a été constituée /Mss./0(itn le-ciste pour la christianisation des E.P.S.,tes ce/alles et lycées et qui a moeres.sé ranidernent grame à la enmplicité derortslas directeurs et professeurs.

La mente propagande se p.rsuitaunrês de la Jeunesse ouest., tendant

Vssragiet.ter flans le Jorstenn nuidixpose d'un journal tirant à 35ansa-terne/air.. et ess s v.sstrile des en-dira, oh' Di ana

Ana celer. Malia.a par le PareCendre, il faut ssoutss reliratienneee par le P.J,.../ss, la Com...so Nord, des MPliines (l'édition et quel.

cédant une mm rue ouf tire h Né MOexemplaires groutirme catholique, pa-mentor par Mmes Foch et Joffre s Plusaieurs jeurnana et revnea Mn Semainede Curette. ger.. Ria et Roc RefriastM,Orant berme de/0On. exemnlatreal.

Centre ru rassau de mégtiens Merl-eales. la Ptte doit ntre organisée etboum,. sans Misa.

Mouvements de jeunesseà Fé.ranger

assourd'hni, un menvementen-Jacté/sise des partis politiques pourattirer la jeunesse Ils se réclamentdes exneriences de la Russie. de /Italie,de Efalemame qui ont créé dans un hutpolitique des mouvements de Jeunesse

n ars e. e mouvement s est drve-ioppé an lendemain de la révcdutionune organisation ressemble 90 millionsde jeenes gens chez nui on développele culte enthousiaste du régime soviéti-que.

Mn Mate, les enfants et les adokeseenta sont enrôlés dans des oraantratlions qui doivent Mire d'eux lea servi-teurs adv.ts de l'idéal fasciste.

En Allemagne, le mouvement de Jeu-nesse, antsrieur à /a guerre, se présen-tait comme une réaction contre le régi-me autoritaire de racole et la demina.son des parents, Puis, apr.. guerre,

ge'putt'iM??Éirj'enIS:S(t'd'elte': Inteanmalus da rani tour:nient

Patronages laïqueset auberges de jeunesse

Noua aussi, no. devons organiser

ne parvenait put b préciser ses sou-venir,

Cela n'empé'clmit p. Nadette desentir, eu son emur ulcéré, sourdremie haine faroualle coutre cetteaman. qui /lu prenait son bien.

Sa première pensée fut de oondirsur elle, de lui decuirer ses vete-mente, de mettre en Inces sa colle.rets de satin et ses dentelles, decréner ses °neveux et, aprea lavoirrendue ainsi ridicule et grotesque,de lm labourer le visage avec sesongles.

Mais elle .mprit qu'en unissantainsi, elle indisposait à .11..1. Pan-liac contre elle ails pet (lait défini-tivement

Or, elle ne pouvait s'y résigner,car depuis qu'Edouard, auce la com-plicité de la femme de chambre, étaitvenu chez elle pour lui faire sa dé-claration d'amour, elle s'était folle-ment attaohée à lui.

El. l'aimait à sa manière, avecemportement et passion,

Nadette pensa doum qu'il valaitmieux user de ru., et con.itre sonennemie, avant de songer à luttercontre elle.

ais csmuurroé y parvenir 1

La chose ne lui paraissait pas fa-cile.

Si elle interrogeait Edouard, ce-lui-ci nierait ou s'empr.serait d'é-luder la question.

Le surveiller, quand il /serait deretour à Parie, serait plue ehimé-rique encore.

%dette était, en quelque sorte,de.re.ut Feaolave d'Asiella et elle ne

notre jeunessu et nous efforcer de rom--donnes toutes les format.ns déja essestantes, laïques, pacifistes et déslreuneede travainer au program social.

Pour les enfante jusnu'a. 14 ans,ssault de multiplier les patronages son.

tait que la Ligue de l'enseignement cetS'organisme qualifié pour perfectionnercette mure.

Pour /es adolescents de 14 h 17 au.ti r a urgence créer une espèce deceoutisme laïque qta éberenerait â satis-faire les goûts et les aspirations de laJeunesse.

Pou, /. Jeunes gens de 17 à 20 ans

rsuubses%edeel ijlet="Pl'u.:'"'"'"'

'Iss'aMiar /'5nVMT: ''des municipalitéssocialistess

sssgslulfrançaise de l'enseignements Syndisatnatio./ d. Instituteurs, Union dee

gent g'enttrce'letedeubergeen'ele'es-'

'esrea'n /Vert, Jte'eneoduess-WeZirJle repos des vacancee, du dimanche etde l'après-mIdi du samedi, k dee excur-sions et voyages au tours desquels ilstrouveront des gites 0 bon marché. Enjuillet, une centaine d'auberges serontcréées.

Ce à quoi aspirent les organisationsconstituant., c'est berS usciter chez les1unes le 501m Ou voyage, â leur Panr0,ettre d'élargir leur horizon, h enrinhirleur esprit de counnissanms nouvelles,Puis. par l'organisation de soi-9,es ln,ternationaux, b former en eux un eeprit'international. enfin à snsciter Persan,sation de aro.. d'études (par profes.slang, par affinités. par possibilitésMc/graphique. où les jeunes gens dell-

éreront ensemble. prendront des Int-Datives. et non seulenient préparerontla grande randonnée annuelle. mals pardes réanima aduratives, rétrbadves,sportives, travailleront à leur davelop.eumant intellectuel et physique, da..10be et dans /a liberté.

ConclusionNotre désir, c'est de créer tout nn

:Eseau de amuies d'enfants, d'a.-eontrèle rigoureux de PEtat, laisseront

le et orienteront leurs adhérents versune large part à l'initiative Individuel-

', vie, vers l'étude et la compréhension

rinates problêmes nodaux. Nous espérons

S..ere./..1e? 'FIrinreSeda"7'rer-Sgeignement primai, el. phis hautrea individus ni travailleront au nenfactionnement d'eux-mêm., assoadi.vont leur personnalité, ami-c./Pont leurfarIssange de travail, de pensée. debonheur. se ',répareront â devenir l'élitede rbsmnotéa.

Berthe FOUCHER E.

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pouvait songer aortir aussi .u.vent qu'il lui eût été néceisaire poure.roer sur Pauliac une surveillanceefficace.

« Par ailleurs, il est si facile àParie de cacher une iieiaouliupnssait eimore la jeune fille.

Tout en réfléchissant, Nadett(avalt déja franchi le seuil de 1 éginstoù s entassaient les fidelea.

Elle manuvra si bien que, malgréPas remous de la foule, ,elle ne perditpas de vue Pauli. qui, en galanthomme, s'efforçait de trouver unsiège confortable pour la jeune fem.me qui était Mn bras.

IIsait office de prie-dieu et s'assit lui,même à l'extrémité d'un bene, toutauprès d'elle.N

noeCir baie eireisaatdlse

Elle s'agenouilla derrière la jeusafemme qui accompagnait Pauliuc et,tirant de sa poche un chapelet àgros graine, elle feignit de se plon-ger dans la plue ardente dévotion.

Edouard, entendant cette bellefille murmurer de ferventes prièrela regarda b la dérobée, mais ne 15reconnut pas.

Il y eut de nouveau des chante etlatin, des invocations sou françaiseu provençal, al une vibrante allacati« fut, par ms moine,

suivre).

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