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Les Mai gs ra s s'organisent La proposition de Edouard Bartbe ,,srvvimmn ANNEE. 3ji 3,79 ABONNEMENTS jelt, 12 h.: moi, 23 ir. 1 an, 43 fr, e ans, il y occupe mie situation considérable FI I à propos de cette eut-ô-rite qu'il est passé en quel- d'un modeste tribunal de province à l'un des pos- enviés de Paris. Il y a une sorte de synchronisme es de sa carrière et certaines attitudes politiques. titré jeune dans la magistrature. L'amitié d'un par- tassai, jointe à une vive intelligence et à beau- te-faire, lui en firent gravir rapidement les per- s.- s. Et M. D.., est conseiller de cour d'appel à un es seraient très heureux d'être substituts auprès le troisième classe. Le plus brillant avenir rat- eareusement, son protecteur mourut prématuré- pas su en trouver un autre. C'est pourquoi 11/. D... e Poste où son ami l'avait mis. Il ne peut même r contre un autre équivalent. pas un fiction; je pourrais remplacer ces ini- noms. Les cas de ce genre sont lunaire:raides. je suis étonné que les associations de magistrats s comme l'on fait les postiers, les instituteurs, n des parkmentaires dans les nominations et es juges. Qu'ils le fassent hardiment, fermement. rvice à eux-mêmes et libéreront les députés et Ré:tondant à un député qui était un peu inquiet d'avoir sur le sel, M. Pierre Laval, garde des Sceaux, mi- te ede la Justice, lui dit sur ce ton familier qui lui est hait- 'sire fais pas, mon vieux, avec quelques millions, je ' s,,gmenter le traitement de nies magistrats. Ahl s'il èirc ainsi, reprit notre parlementaire, je ne regretterai ute. est que nos magistrats ne sont pas trop bien payés. riche on bien ne pas redouter la gêne si on veut (t las twre hum cette .cdarriere. Pendant lonemps les gouverne. uud se suce, erent en France, qu'ils fussent manarchi- ublicains, virent dans la médiocrité des traitements ces fonctionaires comme une garantie de plus contre petite bourgeoisie Bis d'instituteurs ou de petits fon, ti:ddutires. convenait, selon l'esprit des dirigeante bourgeois, or t'application des lois restât confiée à des hommes qui, grâce kar éducation cf leur fortune, fussent parfaitement péné- de celte forme de l'esprit de sagesse que l'on appelle l'es- prit conserva et . ' 13, leur côté, les magistrats n'en étaient pas trop mécon- tente fi leur était agréable de se considérer comme une élite t doo le recrutement, il est vrai, reposait beaucoup mains sur t 1,,,érife que sur la richesse; mois cola importait peu en soin' e. car chacun sait que les membres d'une élite, tout heureux are distingués du commun, cessent rapidement de se mon- Ou exigeants sur les raisons mêmes de ce qui leur vaut de «restituer un élément part dans l'organisme social. ",Ijs Io guerre est aussi passée par la avec son cortège de ,,,,,,kmences sociales qui ne sont rien moins quo révolution- naires. Vue partie de la bourgeoisie, celle qui n'a pas fabriqué do armes, n'a pas spéculé, ne s'est pas livré as mercantilisme, d s'est contentée de vivre de ses rentes, s'est appauvrie. Elle stiâi sur son capital une amputation auprès de laquelle le prélèvement dont parlent les socialiste_s ne serait qu'une mesure naine D'autre part, les traitements des moyens et des hauts fractionnaires -- et ceci est une simple constatation sont loin d'avoir subi une augmentation corrélative à celle du prix dr In Nie. C'est politiquai aujourd'hui les magistrats se plaignent et ,dent famine. Suivant l'exemple de ces ouvriers, qu'ils traitent orme anisent dans leur prétoire avec une hauteur ou une familiarité injurieuses, ils fondent des groupement, créent des nnialeii ou même, comme c'est le cas Toulouse se réunis- gni eyndicats. La nécessité de l'organisation leur a été im- posée ptIr les circonstances. Et cela devait amener à réfléchir cens qul ont souvent reproché aux prolétaires de s'être casa- dès page.la,défernee. de leurs intérêts matériels etin orimx leur donner quelques remords' de' leur Sée'érfté.passée à l'égard liter méthode d'action qu'ils empruntent leur taie': rai lu les revendications des magistrats, j'ai sous les yeux telles d'un groupement du Midi. Entre autres ,désiderata, je :eleve la demande d'une augmentation sensible do tous let traitements pour rendre à la magistrature /a considération à laquelle elle a droit, pour l'accomplissement de sa miSsion dans l'intérêt de tons les justiciables et celle de la création d'une dame personnelle à deux échelons dans Vats les grades. Et nuise ce sont gens à I'mprit pratique, nos ;luges expliquent 1\.' trie cette amélioration pécuniaire pourrait facilement être obte- 35, grâce à un meilleur rendement des services judiciaires. li suis quelque peut étonné de constater qu'ils se limitent SOCIALISTE Acindaistration 5G, Rus Roqueluinc - TOUI,OUSE - - Compte Chèques postaux' 5.e77 BUREAUX A PARIS Rue 3 (e Croirai cis-e8 lin arts vient d . jar B M. Gaston asilssii x mlesion lies travail, nobles itt des moyens de cornmuttimtion sur m prop.ition de vannait. d'Illouarl Ballo et, plusimrs sel mIligues tendant û organiser, on van du car- burant natitmal, la fisncluallen cro/- cool induâtril provenant de la ins- tillation, de l'agave et do testes au- tees plantes ateeoligenm. Le député 'ils (lard s'exprime miro- si Il n'échappe I. personne qu'il y a un grand intiôt national d subs- liber, dans la mesure iln ncasible, un carburant produit sur notre sel, au moins on partie, d l'essence chant notre pays est peu pris totalement :Sa lel ciu fdvrier 102:1O Ré vd- CO cet &M. Mlle impose. aux tas-,portateurs s'essen ce d'acqrir an service d csk esools une quantité d'al- cool déiste au d'alleu d im e leur per- Utak._ lemenoc, cet alcool étant des- tinai. à la préparation du carburant national contenant 50 d'aloi.] el dl ted'essoneo do néttrok L'idem( de vin, do cule. et de tous fruits Les MENACES CONTRE LsETRANGER que intérieure de la péninstie. M. Mussolini na s'est Tes borné, en effet à dire Si je n'eues, veirgem moi e, il a fait des allusions assez Glaires aux rapports de son gouvet- /tentent avec le seule du moedo. s Notre bataille à l'étranger est devenue dure et totem. Plus dit' ficile en saison de circonotances qui dépendent des choses ci en raisen de circonstances Mil déa,,,kat dcs choses et en raison de circonstances oui dé.KiNdrat ries:Losomee.:. No. 'représentons l'antithèse dm minci' peu de 1789.. Hia, loin. Mussolini proclame que l'Italie prend une initiative et la gardera, -.-fera tem.. plier sa nen.e. Jusqu'ici, nous sommes dans l'idéologie, si l'on Peut dire. Mais Nous avonsadulée avanblv mu hirtin er que vais est Plus un ihaeolini a prononcé un discours s SNI est nécessairs, nous luise. si mérite hautement rattention et sons le cercle politique le cercle ni ne concerne pus ln seule politi- dei nations étrangères> rame ,rie it l'hutin, r il se p à propos du oarbrraut nahonal o ramant sein loch toelle a sien eu j g u a rem il faut 'clone' se PrémeuPer L'agave isl tien de ces Plantes' Ni? Chat réservé la consomination de peut donner jusqu'à 50 litres d'al cool û 100 lege: par tonna do feuil- les récolté.. Elle pont titre cultivée Issu des terrains improprm tentes autres cuiter. et aboulent dans l'Africain du Nord. D'ailleurs, l'alcool qui en serait extrait ne serait qu'un sous-Prduit, la fibre dlgravo avais!, elleetrintrib lise utilisation importan le. L'aime] .provenant de l'agave et do tonie autres plantes alomlismm pourra alimenter le marché métro- politain. Mais au moment oh notre emplie afrkatri entes bans une tes rindo d'exploitation plus intensive grâce ;a la pénétration des caravanes automobilm, il est du plue haut le- luisit qua l'un des de. éléments en- trant dans la compositliiii du carbu- rant nationai mit produit en Afri- que mime, Pour ces raisons d'ordre général di d'ordre particulier, la Gommission dm travaux mulelios ,denim un avis Edouard SARTHE Peseta:1de a la proposition ils réunie- lias n. 1h02, erstnuil ' filet de if:visionner la production de lut, mission essentielle qui ml de :Ohne- csolsoulnrouviect,le la clistiltation de ler, d'enceurares el de linrErer tes l'activité nationale. 11°A.SCISMM un rude soum. député da Cantal. «mea, Pet Chlmenceem un dim.. damm la tombe de Cestas. Ceifo, mn Henry FONTANIER, el mi. Malle existe et revendique pleine. ruent lo droit d'exister. C'est là la phrase capitale. Elle s'éclaire par les cominentaires de la presse fasciste. Teoere, Jupon, oui réclame plus one lamais Pour le droit de se s dilater en d'autres ternies, d'acquérir des territoires nouveaux. Et la question eet r:ose de quel cité le gouverne- net se tournera-rit ? peut que Mussolini pré- ctse ses vues darm le discours ou 1 ,CAIAACOrA sises avoir débarqué si Afrique. ameuta nes Leman or toue ma AR.00 ALIÉRIE rDAKAR'Zre par las MUSS Aériennes Latécoère ouseisrmim mn. men air s a- it nna set« lev:talon de ces charges par des jeunes licenciés ett droit issus auvquestions purement matérielles. Je n'ai vu nulle part qu'il biO 9,,tion pigdépendance des magistrats vis-à-vis des per- Politiques. Sans doute, nue répondra-t-on qu'il était inutile de parler d'une chose aussi naturelle, aussi évidente par elle- rne. le veux bien. Mais ceci est purement du domaine de /a théorie. , réalité est fort différente. De tont lemPs et les répit- romPirs du Maroc quo les arabes étrangers no fréquentent mese que Ocrant o. ports jusqu'ici le- l Wallon s'ainttliore grandoment LE MAROC TEL QU'IL EST h'ont as innové en cela nonnnation des magis- R.? ulirg.pecr, mare, deur h l Obligé de Sc cantonner, P ina s a 2 - duos eéecruil eg ire t'euu -, , e no sun eita-nailitha nrcitascriptiou do cosi' d'aPPel, dans le ressurt du d.que tri- marqua par la chaîné si Orem] At- enflé', dont la campagne mimais, an: :tett maintes reprises, »th our r,,,, ord franco- 'Jda e été l'ocpcasion d'interventions politiques. Dans chaque Couchant, a reef eimammint Pen Pics inacteesiblo. &es s zii:a tîultr .ilr eom de eux rférduattetx Itpod cour er entai tdrutu I tidd t tuu,u, ptenten na /hep° the fieu_ ecjiagàql, ouu rra_ sua te du casinos seon e daire ai s'a- ims rivière' dest naegable toua sonies le r I u' d all tribunal. Personne n'y vient siéger, s'il n'a obtenu non agré- bais. ores lu Oral et le Noill-Ouest ont un régime jereonuelj ortaik qui pesas et i'esotCleelimer d'ile int'ere'r. l N'Ut' IlriXqU'une vacance se produit, le directeur du persan- jusqu'ami de. mers, la momies.- dilsonchif d /a mer ou is CO«. quo une vile cosmopolite. copejujet ar D vie t h nim orribloitt chies, les lo- , ou des hommes politiques, senatu il ii'',,': i.1. aeat Mdisponsabie, avant ta nomination d'avoir Passen- est ag .,«Ot A ,51A deréable, le poirier et le po.rn- à don d o par mul e.ts o l Ot cara cmeanx est, Dna C ports _tes plancaim fréquent. sent n, ins y l'olivier moto Un.., es v ha anes su, - mt et asab ; sur selni-ei 'S'str t. te minent .750 idlomâtres de ce- los sables; d'autos part, n1 voies fer- Remonta confortables y sont rares mbltivard, ,énmeur? agr '0,' candidaéé duNkrier P005et de I' eraugersdalent gias rsnnet d ii:ingssut rit - sural nassiagel. i P7. t es avan on touait, jetO ses réoccupe dieurd de consulter ses fiches peu, ge rsp_ le iiit. fAtialtique, ALIT lesquelles ao ont lem ertiliehillure 'olastra p es er Ott clitt et tes. sur no double versant le climat AêCS, nt muice; lm transports se font 01 non -loyer hors ele prie. Tee au_ la a première qumfion que ro. E032 à . . y ti, t . . pitulagm nourrissant un - nom- e n a ut r ,. ne sou a igue ues nes. quo c mt mi porId e, ancien ministre? Vous ne nomme que serez breux, y abondent. Sur les bardes el- telegisphimin mien oie Tenger à nie où se fait etejli, Par caravanes ,,.,nessieUr9 ne s'y opposent pas. C'est ainsi que les a t. h loses mos don tio'mt euh/ab â aca est Fez et 'Péteuse. Ajouter ,.. Ex°. Si dl je le répète, cela date de longtemps, de très, long- Paritytalt,4.allostat j a i Ier 1°3 Ire Pree<uo tIoC rtionée ri : relies di afsaitarvb et son sot oit.. Un voyage d'au- On.l it% et do Tonger,gtt coemIn ne' le 's peit. ebte ait l, r r,' unrorPlu, ha,der, postes roi. ta gu. ve&s da l'aed sa l'oued otailleu. et, tort c . onte ; il mas ieations et Pi desnséeuritb peraly. m? el,lmé, cireux. Le versant meridional du restent Me habitude sous la Restauration et cela n a pas F froid and-Atlas est erroné gr I. ruPcne dans rint,ricur eat Ga qui, ou l tre a diffient coin- mi instruit, disert et même éloquent, c'est, sui- ta vegétation luxuriante, ruais Io ré- et il ,,,, munithins en ii011MCADA grat, ,, suudui., fa!?N't'at . '''f e 'uraPn ri'sue3.61'i di it p p em eM parl l d t B 11 o Ce groupe restreint d'heureux mortels dont lei l'oere e s'ee':recitsii'it'ufintips'ef l'''remirCi,ergt.reree=L-e. eogi,-.2. 0?--t, ,e.ia n'n.:- lient même i. vol p e. vint oludeire PrImée P., Il lo climat eM t p eméré cl te SOlte quan et ea tité e d armes f roon ont on 'tlanile espe., aeri ,,ellretnnionu . Il ii,u iu, et qui avait été appliqué: à Routier : c un Démosthène ee,gits6ild:Jtor%.redIttrâcjd edeinoocoeuvin ia.smanusrzzastldre.%;: ,,,:ok, h, pi. lo chanz: souvoc, avec la jsremie- Cailloux. » Il n' ee d enL mrron iones. onc pas sans tal pluies t dom 30 etra ushasli ret des untan: pa.%, à fi; ndade son département. Il en est l'une des lumières. C'Pe. uuL'tztéi,riee,urdla cet peu et, s p an qu n a c nu mue de Io au 29 et re. M. A.., est un homme politique, il mege minent aboule/de;c ,es elientent, la campagne. ' mêmeha.ani au 25 'N.varD Ce gros embarra t cela n'aurait pas suffi à lui assurer une .auSsi Mame s ûk P000 sur tout le mamie marocain. Le Maroc est, û l'Occident, comme PEgypto l'Orient, le refuge dm cailles b leur transmigration d'Eu- rope en Afrique, mals le, môme moins meure qu'ailleurs Mies do tombent lias toutou rities; si IO Ma- me doit devenir eldorado d'un exo- de européen, ménage souvent de cruelks désillusions au. aventureux coureurs de la fortune. la villa la plus pittoresque do ce vaste empire, qui u à peine 10 d'habitants et pourrait aisé- ment en nourrir GO millions, est Eu, la animale du Maghreb, sa ville sain- te et, av. Kéruman la tunisienne, l'une des deux villes sacrées do l'A- f piqua du Non& btOlgrii l'automobite que le Sultan y a acclimatée pour son usage, est la sente dos cités saints-, do l'Is. lem qui reste à peuprem inviolée pur In civilisation des ii chiens de chré- tiens tt. Le Caire, Bagad, Damas sont aujourd'hui envahis par les touristes et par le proses européen. A FCP. OR DO compte qu'un pedt nombre d'étrangers et 1m Peine MM- ris parmi ses 10.000 habitants. Feu n'est os proprement partite tane ville, e est un nouléo de mai- 20 CENT. j DEUX PARTIS SEULEMENT, IMCLArin M. Mutin« . ' CEUX QUI VIVENT DE AJOUR TRAVAIL ; aux QUI VEULENT TwReDu TRAVAIL DES AMRI:S. (M, Herriot art banquet des EItediants). La Démission de M. Malvy IAIHEIll 10 AVRIL 1926 ç. Ainsi M. Malan a démissionné. Tous les républicains le regretteront, M. Matou avait accepté ses fonctions en des circonstances particulièrement difficiles et il eut dû prévoir d'abord l'assaut haineux de ses adversaires; se cuirasser ensuite par avance contre ce débordement de rancunes; prendre enfin la résolution de se cramponner et de n'abandonner la place que sotts la con. L'assaut s'est produit, avec la violence escomptée. Mais, mal-i gré, les secours précieux et inébranlables qui ont volé vers lui, lo député du Lot, nad préparé, sans doute, ne, vent plus soutenu3e Ira latte. Il a boul. Quelque répugnance qu'il éprouve, it juste litre à se dresser contre des diffamateurs professionnels, il notes devait, semble-t-il, de conserver le poste de combat accepté par lui dans la plénitude de sa volonté. .Son départ de la Commission des finances avait permis de hausser à set place, un de ses correligionaires politiques, dont cependant le passé récent abjuré il est vrai avec solennité était chargé d'une approbation évidente des Incitées elemencis- tes contre M. Mem lui-même. Son départ du ministère de l'Intérieur permet à 31. Daeand, sénateur de l'Aude, de prendre surs poste essentiellement politi- que. dont il se servira autant contre les socialistes que contre les réactionnaires. C'est un devoir impérieux pour moi de révéler que M. te docteur Jean Durand, sénateur radical-socialiste, partage sans réserve, la mentalité anti-socialiste de tous ses correligionnaircs audois. Quelle que soit sa réputation dans les milieux politiques d« Parlement, quelles que soient ses déclaration de demain, rien lie décidera le nouveau maître de nos préfets à transformer l'alti- tente de toute sa nie politique. M. Jean Durand n'ainte pas les socialistes et il s'efforcer« de lem nuire. Que nos militants de la Prame entière retiennent cet avet, issement. ....Ainsi, sans paraître y toucher, M. Briand élimine tom ceux qui, au sein de son gouvernement, conservaient encore des sym- pathies avouées et sincères pour les pariés d'avant-garric. Et il les enlève précisément des ministères les plus imper- hmts, au point de vue politique. comme la Justice, l'Intérieur, l'Instruction publique. Sans doute objectera-t-on que 31, Briand a soutenu ?natta jour M. Matou, de son mieux, el qu'il n'est pas responsable de la fureur des droites contre le ministre de ?Intérieur. Mais quel besoin avait-il, M. Briand, d'aller ch, cher M. Malan? En l'entubant à la présidence de la Connanston des (Man- ' ces ne savait-il pasqa d abrunlonntitt la cl il de celle xmrt- mission ride moins sûres et Moins fermes? En le mettanf, à l'Intérieur, ne savait-il pas qu'il chassait M. Chautemps riant la loyauté démocratique était à t'abri de tout reproche? En le réintégrant place Beauvran, ne savait-il pas que droite crierait à la provocation, au défi, et qu'ainsi, ce geste trop ' vain pour rallumer la sympathie agonisante de l'extrême gau- che, appellerait contre le bénéficiaire un torrent d'ignominieuses Patzt-il pardonner à M. Briand la stérilité morale de ce geste. sous prétexte qu'il ruent pas le loisir d'en peser les conséquences? Notre premier ministre a-t-il besoin de foot de réflexion?' Son expérience ne lui avait-elle point révélé de prime abord mut le danger de cette réintégration? ....Pour moi, j'estime qu'en cette affaire M. Briand mérite de sérieuses critiques. L'autre jour, ici même, notre camarade Fernand Bouisson, député de Marseille, écrivait que M. Briand (watt rendu un mau- vais service à M. !golem, sans aucun profit pour la cause démo. cratique. Ce jugement, d'apparence paradoxal, voici que les événe. ments le confirment. tionnatre. Miteux encore elle va donner à ce clan une confiance en sa force, certainemeM exagérée, mais qui l'incitera à persé.- aérer dans la voie de chahut éhonté, dans la distribution con pieuse des injures et des accusations calomnieuses. Rien ne servirait de dire que 31, Matou est en effet malade. Il n'eût pas dû accepter la charge, s'il ne se sentait pas bien portant: Il en connaissait bien toute !a lourdeur. Mats est-d exact, que M. Briand, en réalité, n'a rien fait pour; retenir 4I Matoir ajo ter crédit à des bruits très clairs, très précis, d'aptes lesquels le président da conseil aurait même soulatitli le départ de son collaborateur d'un jour? Parut-il croire que M. Briand nourrit l'espoir de réaliser ainsi la conjonction des centres; ,. d'atténuer la violence lion de droite; en même temps qu'il continuera à garder la con. fiance des radicaux par l'avènement de M. Durand, peu connu canuse politicien, homme lige de M. Sarraut devant qui M. Briand s'incline SiMS hésitation, ni murmure depuis sa visite el son die. cours a Carcassonne? Faut-il s'attendre à voir un changement d'orientation poli. tique, d'autant plus pernicieux qu'il sera inavoué? 1 Léon IlUDEL,IE. (Voie en deuxième ner, sà,sleies, débits la démission et dur eons sweirpillmt aux :1(dours dna en ruine., surmontés den cild par ravin. serpentant av. sa rides:, la vieux fort, uvre dm esclavea ffl Oeben, acemehant aux flancs des ehrliene M. qui porto moere un coteaux, des pardins d'orangers rX nom frstnçais u La Bastion, de grenadiers, de eitroanPus e'a- bricatiera. De5 hauteurs ta bortdd ent Tulja% eUdo.,,,ger.pnedu.,,r'eten, la capricieuse vallée descendent Ms II alimentés d'un bout de rives la vieille rue du 00h00, le rannie G l'autre, enmdant des rom boni nd'e taiissis do Eines. juselnGuà s'N n plen&buie,%116'e nh'in 'rlee n stepar'imo' . si. de marbre tes recueillent rt peu, roeu sfr,m, emin,ira I m distribuent, es est la ville dm de la fol, cornai° pour l'Est, l'Uni- eaux courantes, de la verdure et demue,e Cuire,m. la fraîcheur, te paradis da rasa- rent' arrno ,&01,.. mais l'entrée en a MA jusqu'ici in. tordit° aux n mutule ». AI1NOTTO, Le Ministre de l'Intérieur et le Président du Conseil ont man- qué dans cette affaire, d'abord de, clairvoyance; ensuite d'obs. tination. Il fallait d'abord laisser Matou oit il était.. Il fallait ensuite qu'il conservât son nouveau poste ministée riel puisqu'il y était. Sa retraite va provoquer des cris de joie parmi le clan réac- . Autour de cotte dégringolade maisons h Mien:os, de jardins fleuris et de ruisseaux, courent,diaaremparte Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Les Mai gs ra s s'organisent La proposition de Edouard Bartbe

,,srvvimmnANNEE.

3ji 3,79

ABONNEMENTS

jelt, 12 h.: moi, 23 ir. 1 an, 43 fr,

e ans, il y occupe mie situation considérable FII à propos de cette eut-ô-rite qu'il est passé en quel-d'un modeste tribunal de province à l'un des pos-enviés de Paris. Il y a une sorte de synchronismees de sa carrière et certaines attitudes politiques.

titré jeune dans la magistrature. L'amitié d'un par-tassai, jointe à une vive intelligence et à beau-te-faire, lui en firent gravir rapidement les per-s.-s. Et M. D.., est conseiller de cour d'appel à unes seraient très heureux d'être substituts auprèsle troisième classe. Le plus brillant avenir rat-

eareusement, son protecteur mourut prématuré-pas su en trouver un autre. C'est pourquoi 11/. D...e Poste où son ami l'avait mis. Il ne peut mêmer contre un autre équivalent.

pas un fiction; je pourrais remplacer ces ini-noms. Les cas de ce genre sont lunaire:raides.je suis étonné que les associations de magistratss comme l'on fait les postiers, les instituteurs,n des parkmentaires dans les nominations et

es juges. Qu'ils le fassent hardiment, fermement.rvice à eux-mêmes et libéreront les députés et

Ré:tondantà un député qui était un peu inquiet d'avoir

sur le sel, M. Pierre Laval, garde des Sceaux, mi-te ede la Justice, lui dit sur ce ton familier qui lui est hait-'sire fais pas, mon vieux, avec quelques millions, je

' s,,gmenter le traitement de nies magistrats. Ahl s'ilèirc ainsi, reprit notre parlementaire, je ne regretterai

ute.est que nos magistrats ne sont pas trop bien payés.riche on bien ne pas redouter la gêne si on veut

(t lastwre hum cette .cdarriere. Pendant lonemps les gouverne.uud se suce, erent en France, qu'ils fussent manarchi-

ublicains, virent dans la médiocrité des traitementsces fonctionaires comme une garantie de plus contre

petite bourgeoisie Bis d'instituteurs ou de petits fon,ti:ddutires. convenait, selon l'esprit des dirigeante bourgeois,or t'application des lois restât confiée à des hommes qui, grâce

kar éducation cf leur fortune, fussent parfaitement péné-de celte forme de l'esprit de sagesse que l'on appelle l'es-

prit conserva et .

' 13, leur côté, les magistrats n'en étaient pas trop mécon-

tente fi leur était agréable de se considérer comme une élite t

doo le recrutement, il est vrai, reposait beaucoup mains sur t1,,,érife que sur la richesse; mois cola importait peu en soin'e. car chacun sait que les membres d'une élite, tout heureuxare distingués du commun, cessent rapidement de se mon-Ou

exigeants sur les raisons mêmes de ce qui leur vaut de«restituer un élément part dans l'organisme social.

",Ijs Io guerre est aussi passée par la avec son cortège de,,,,,,kmences sociales qui ne sont rien moins quo révolution-naires. Vue partie de la bourgeoisie, celle qui n'a pas fabriquédo armes, n'a pas spéculé, ne s'est pas livré as mercantilisme,d s'est contentée de vivre de ses rentes, s'est appauvrie. Elle

stiâi sur son capital une amputation auprès de laquelle leprélèvement dont parlent les socialiste_s ne serait qu'une mesurenaine D'autre part, les traitements des moyens et des hautsfractionnaires -- et ceci est une simple constatation sontloin d'avoir subi une augmentation corrélative à celle du prixdr In Nie.

C'est politiquai aujourd'hui les magistrats se plaignent et,dent famine. Suivant l'exemple de ces ouvriers, qu'ils traitentorme anisent dans leur prétoire avec une hauteur ou unefamiliarité injurieuses, ils fondent des groupement, créent desnnialeii ou même, comme c'est le cas Toulouse se réunis-gni eyndicats. La nécessité de l'organisation leur a été im-posée ptIr les circonstances. Et cela devait amener à réfléchircens qul ont souvent reproché aux prolétaires de s'être casa-dès page.la,défernee. de leurs intérêts matériels etin orimxleur donner quelques remords' de' leur Sée'érfté.passée à l'égardliter méthode d'action qu'ils empruntent leur taie':

rai lu les revendications des magistrats, j'ai sous les yeuxtelles d'un groupement du Midi. Entre autres ,désiderata, je:eleve la demande d'une augmentation sensible do tous lettraitements pour rendre à la magistrature /a considération àlaquelle elle a droit, pour l'accomplissement de sa miSsion dansl'intérêt de tons les justiciables et celle de la création d'unedame personnelle à deux échelons dans Vats les grades. Etnuise ce sont gens à I'mprit pratique, nos ;luges expliquent 1\.'

trie cette amélioration pécuniaire pourrait facilement être obte-35, grâce à un meilleur rendement des services judiciaires.

li suis quelque peut étonné de constater qu'ils se limitent

SOCIALISTEAcindaistration 5G, Rus Roqueluinc - TOUI,OUSE - - Compte Chèques postaux' 5.e77

BUREAUX A PARIS Rue 3 (e Croirai cis-e8

lin arts vient d . jarBM. Gaston asilssii x

mlesion lies travail, nobles itt desmoyens de cornmuttimtion sur mprop.ition de vannait. d'IllouarlBallo et, plusimrs sel mIliguestendant û organiser, on van du car-burant natitmal, la fisncluallen cro/-cool induâtril provenant de la ins-tillation, de l'agave et do testes au-tees plantes ateeoligenm.

Le député 'ils (lard s'exprime miro-si

Il n'échappe I. personne qu'il y aun grand intiôt national d subs-liber, dans la mesure iln ncasible,un carburant produit sur notre sel,au moins on partie, d l'essence chantnotre pays est peu pris totalement

:Sa lel ciu fdvrier 102:1O Ré vd-CO cet &M. Mlle impose. aux

tas-,portateurss'essen uéce d'acqrir anservice d cskesools une quantité d'al-cool déiste au d'alleu d ime leur per-Utak._ lemenoc, cet alcool étant des-tinai. à la préparation du carburantnational contenant 50 d'aloi.] eldl ted'essoneo do néttrok L'idem(de vin, do cule. et de tous fruits

Les MENACES CONTRE LsETRANGERque intérieure de la péninstie. M.Mussolini na s'est Tes borné, eneffet à dire Si je n'eues, veirgemmoi e, il a fait des allusions assezGlaires aux rapports de son gouvet-/tentent avec le seule du moedo.

s Notre bataille à l'étranger estdevenue dure et totem. Plus dit'ficile en saison de circonotances quidépendent des choses ci en raisende circonstances Mil déa,,,kat dcschoses et en raison de circonstancesoui dé.KiNdrat ries:Losomee.:. No.

'représentons l'antithèse dm minci'peu de 1789..

Hia, loin. Mussolini proclameque l'Italie prend une initiative etla gardera, -.-fera tem..plier sa nen.e.

Jusqu'ici, nous sommes dansl'idéologie, si l'on Peut dire. Mais

Nous avonsadulée avanblv mu hirtiner que vais est Plus unihaeolini a prononcé un discours s SNI est nécessairs, nous luise.si mérite hautement rattention et sons le cercle politique le cercleni ne concerne pus ln seule politi- dei nations étrangères> rame ,rie

it l'hutin,ril se p

à propos du oarbrraut nahonal

o ramant seinloch toelle a sien eu j g u a rem

il faut 'clone' se PrémeuPer L'agave isl tien de ces Plantes' Ni?Chat réservé la consomination de peut donner jusqu'à 50 litres d'al

cool û 100 lege: par tonna do feuil-les récolté.. Elle pont titre cultivéeIssu des terrains improprm tentesautres cuiter. et aboulent dansl'Africain du Nord. D'ailleurs, l'alcoolqui en serait extrait ne serait qu'unsous-Prduit, la fibre dlgravo avais!,elleetrintrib lise utilisation importanle.

L'aime] .provenant de l'agave etdo tonie autres plantes alomlismmpourra alimenter le marché métro-politain. Mais au moment oh notreemplie afrkatri entes bans une tesrindo d'exploitation plus intensivegrâce ;a la pénétration des caravanesautomobilm, il est du plue haut le-luisit qua l'un des de. éléments en-trant dans la compositliiii du carbu-rant nationai mit produit en Afri-que mime,

Pour ces raisons d'ordre généraldi d'ordre particulier, la Gommissiondm travaux mulelios ,denim un avis

Edouard SARTHE Peseta:1de a la proposition ils réunie-lias n. 1h02, erstnuil ' filet

de if:visionner la production de lut, mission essentielle qui ml de :Ohne-csolsoulnrouviect,le la clistiltation de ler, d'enceurares el de linrErer

tes l'activité nationale.

11°A.SCISMM

un rude soum.député da Cantal. «mea,

Pet Chlmenceem un dim.. damm la tombe de Cestas. Ceifo, mn

Henry FONTANIER,el mi.

Malle existe et revendique pleine.ruent lo droit d'exister.

C'est là la phrase capitale. Elles'éclaire par les cominentaires dela presse fasciste. Teoere, Jupon,oui réclame plus one lamais Pour

le droit de se s dilateren d'autres ternies, d'acquérir desterritoires nouveaux. Et la questioneet r:ose de quel cité le gouverne-net se tournera-rit ?

peut que Mussolini pré-ctse ses vues darm le discours ou 1,CAIAACOrA sises avoir débarqué siAfrique.

ameuta nes Leman or touema AR.00 ALIÉRIE

rDAKAR'Zrepar las

MUSS Aériennes Latécoèreouseisrmim mn. men airs a-it nna set«

lev:talonde ces charges par des jeunes licenciés ett droit issus

auvquestions purement matérielles. Je n'ai vu nulle part qu'ilbiO 9,,tion pigdépendance des magistrats vis-à-vis des per-

Politiques. Sans doute, nue répondra-t-on qu'il était inutilede parler d'une chose aussi naturelle, aussi évidente par elle-

rne. le veux bien. Mais ceci est purement du domaine de /athéorie., réalité est fort différente. De tont lemPs et les répit- romPirs du Maroc quo les arabes étrangers no fréquentent mese que Ocrant o. ports jusqu'ici le-

l Wallon s'ainttliore grandoment

LE MAROC TEL QU'IL EST

h'ont as innové en cela nonnnation des magis- R.?

ulirg.pecr,mare, deur h l Obligé de Sc cantonner,

P ina s a 2 -duos eéecruileg iret'euu

-, , e no sun eita-nailitha

nrcitascriptiou do cosi' d'aPPel, dans le ressurt du d.que tri- marqua par la chaîné si Orem] At- enflé', dont la campagne mimais, an::tett maintes reprises, »th our r,,,, ord franco-

'Jda e été l'ocpcasion d'interventions politiques. Dans chaque Couchant, a reef eimammint Pen Pics inacteesiblo. &es s

zii:atîultr .ilr eom deeux rférduattetx Itpodcour

erentai

tdrutu Itidd t tuu,u,ptenten na

/hep° the fieu_ ecjiagàql, ouu rra_sua te du casinos seon edaire ai s'a- ims rivière'

dest naegable toua sonies ler

Iu' dall tribunal. Personne n'y vient siéger, s'il n'a obtenu non agré- bais. ores lu Oral et le Noill-Ouest ont un régime jereonuelj ortaik qui pesas et i'esotCleelimer d'ile int'ere'r.

lN'Ut' IlriXqU'une vacance se produit, le directeur du persan- jusqu'ami de. mers, la momies.- dilsonchif d /a mer ou is CO«. quo une vile cosmopolite. copejujetar D vie t h nimorribloitt chies, les lo-

, ou des hommes politiques, senatu

il

ii'',,': i.1. aeat Mdisponsabie, avant ta nomination d'avoir Passen- est ag.,«Ot A ,51A deréable,

le poirier et le po.rn- à don d oparmul

e.tso

lOt

caracmeanx est, Dna

Cports _tes

plancaimfréquent. sent

n, ins y l'olivier moto Un.., es vhaanes su, - mt et asab ; sur selni-ei'S'str

t. te minent .750 idlomâtres de ce- los sables; d'autos part, n1 voies fer- Remonta confortables y sont raresmbltivard,,énmeur? agr'0,' candidaéé duNkrier P005et de I'eraugersdalent

gias rsnnet d ii:ingssut rit -sural nassiagel. i P7. tes avan on touait, jetO ses

réoccupe dieurd de consulter ses fiches peu, ge rsp_ le iiit. fAtialtique, ALIT lesquelles ao ont lem ertiliehillure 'olastra p es

er Ott clitt et tes. sur no double versant le climat AêCS, nt muice; lm transports se font 01 non -loyer hors ele prie. Tee au_

la a première qumfion que ro. E032 à .

. y ti, t . .pitulagm nourrissant un - nom- e n a ut r ,. ne sou a igue ues nes. quo c mt mi porId

e, ancien ministre? Vous ne nomme queserez breux, y abondent. Sur les bardes el- telegisphimin mien oie Tenger à nie où se fait etejli, Par caravanes,,.,nessieUr9 ne s'y opposent pas. C'est ainsi que les a t. hloses mos don tio'mt euh/ab âaca est Fez et 'Péteuse. Ajouter

,..Ex°.

Si dl je le répète, cela date de longtemps, de très, long- Paritytalt,4.allostat

j a

i Ier

1°3 Ire Pree<uo tIoC rtionée ri : relies di afsaitarvb et son sotoit.. Un voyage d'au- On.l

it% et do Tonger,gtt coemIn ne'le's peit. ebteait l,

r r,' unrorPlu, ha,der,postes

roi.ta

gu. ve&s da l'aed sa l'oued otailleu. et, tort c .onte ; il mas ieations et Pi desnséeuritbperaly.

m?el,lmé,

cireux. Le versant meridional du restent Mehabitude sous la Restauration et cela n a pas F froid

and-Atlas est erroné gr I. ruPcne dans rint,ricur eat Ga qui, ou ltre a diffient coin-

mi instruit, disert et même éloquent, c'est, sui- ta vegétation luxuriante, ruais Io ré- et il ,,,, munithins en ii011MCADA grat, ,, suudui.,

fa!?N't'at . '''f e'uraPn ri'sue3.61'i di it p p em eM parl l d t B

11 o Ce groupe restreint d'heureux mortels dont lei l'oere e s'ee':recitsii'it'ufintips'ef l'''remirCi,ergt.reree=L-e. eogi,-.2. 0?--t, ,e.ia n'n.:-lient même i. vol p e.vint oludeire PrImée P., Il lo climat eM t peméré cl te SOlte quanet ea tité e d armes f roonont on 'tlanile espe., aeri ,,ellretnnionu

. Ilii,u iu, et qui avait été appliqué: à Routier : c un Démosthène ee,gits6ild:Jtor%.redIttrâcjd edeinoocoeuvinia.smanusrzzastldre.%;: ,,,:ok,h, pi.

lo chanz:souvoc, avec la jsremie-

Cailloux. » Il n' ee d enL mrron iones.onc pas sans tal pluies tdom 30 etra

ushasli ret des untan: pa.%, à

fi;

ndade son département. Il en est l'une des lumières.

C'Pe. uuL'tztéi,riee,urdla cet peu et, s p an qu n a c nu mue de Io au 29 et

re. M. A.., est un homme politique, il megeminent aboule/de;c ,es elientent, la campagne. ' mêmeha.aniau 25 'N.varDCe gros embarrat cela n'aurait pas suffi à lui assurer une .auSsi Mame

s

ûk P000 sur tout le mamie marocain.Le Maroc est, û l'Occident, comme

PEgypto l'Orient, le refuge dmcailles b leur transmigration d'Eu-rope en Afrique, mals le, mômemoins meure qu'ailleurs Mies dotombent lias toutou rities; si IO Ma-me doit devenir eldorado d'un exo-de européen, ménage souvent decruelks désillusions au. aventureuxcoureurs de la fortune.

la villa la plus pittoresque do cevaste empire, qui u à peine 10

d'habitants et pourrait aisé-ment en nourrir GO millions, est Eu,la animale du Maghreb, sa ville sain-te et, av. Kéruman la tunisienne,l'une des deux villes sacrées do l'A-f piqua du Non&

btOlgrii l'automobite que le Sultany a acclimatée pour son usage,est la sente dos cités saints-, do l'Is.lem qui reste à peuprem inviolée purIn civilisation des ii chiens de chré-tiens tt. Le Caire, Bagad, Damassont aujourd'hui envahis par lestouristes et par le proses européen.A FCP. OR DO compte qu'un pedtnombre d'étrangers et 1m Peine MM-ris parmi ses 10.000 habitants.

Feu n'est os proprement partitetane ville, e est un nouléo de mai-

20 CENT.

j DEUX PARTIS SEULEMENT, IMCLArin M. Mutin« .

' CEUX QUI VIVENT DE AJOUR TRAVAIL ;

aux QUI VEULENT TwReDu TRAVAIL DES AMRI:S.

(M, Herriot art banquet des EItediants).

La Démission de M. Malvy

IAIHEIll 10 AVRIL 1926ç.

Ainsi M. Malan a démissionné.Tous les républicains le regretteront,M. Matou avait accepté ses fonctions en des circonstances

particulièrement difficiles et il eut dû prévoir d'abord l'assauthaineux de ses adversaires; se cuirasser ensuite par avancecontre ce débordement de rancunes; prendre enfin la résolutionde se cramponner et de n'abandonner la place que sotts la con.

L'assaut s'est produit, avec la violence escomptée. Mais, mal-igré, les secours précieux et inébranlables qui ont volé vers lui, lodéputé du Lot, nad préparé, sans doute, ne, vent plus soutenu3eIra latte.

Il a boul. Quelque répugnance qu'il éprouve, it juste litre à sedresser contre des diffamateurs professionnels, il notes devait,semble-t-il, de conserver le poste de combat accepté par lui dansla plénitude de sa volonté.

.Son départ de la Commission des finances avait permis dehausser à set place, un de ses correligionaires politiques, dontcependant le passé récent abjuré il est vrai avec solennitéétait chargé d'une approbation évidente des Incitées elemencis-tes contre M. Mem lui-même.

Son départ du ministère de l'Intérieur permet à 31. Daeand,sénateur de l'Aude, de prendre surs poste essentiellement politi-que. dont il se servira autant contre les socialistes que contre lesréactionnaires.

C'est un devoir impérieux pour moi de révéler que M. tedocteur Jean Durand, sénateur radical-socialiste, partage sansréserve, la mentalité anti-socialiste de tous ses correligionnaircsaudois.

Quelle que soit sa réputation dans les milieux politiques d«Parlement, quelles que soient ses déclaration de demain, rien liedécidera le nouveau maître de nos préfets à transformer l'alti-tente de toute sa nie politique.

M. Jean Durand n'ainte pas les socialistes et il s'efforcer« delem nuire.

Que nos militants de la Prame entière retiennent cet avet,issement.....Ainsi, sans paraître y toucher, M. Briand élimine tom ceuxqui, au sein de son gouvernement, conservaient encore des sym-pathies avouées et sincères pour les pariés d'avant-garric.

Et il les enlève précisément des ministères les plus imper-hmts, au point de vue politique. comme la Justice, l'Intérieur,l'Instruction publique.

Sans doute objectera-t-on que 31, Briand a soutenu ?nattajour M. Matou, de son mieux, el qu'il n'est pas responsable dela fureur des droites contre le ministre de ?Intérieur.

Mais quel besoin avait-il, M. Briand, d'aller ch, cherM. Malan?

En l'entubant à la présidence de la Connanston des (Man-' ces ne savait-il pasqa d abrunlonntitt la cl il de celle xmrt-

mission ride moins sûres et Moins fermes?En le mettanf, à l'Intérieur, ne savait-il pas qu'il chassait

M. Chautemps riant la loyauté démocratique était à t'abri detout reproche?

En le réintégrant place Beauvran, ne savait-il pas quedroite crierait à la provocation, au défi, et qu'ainsi, ce geste trop

' vain pour rallumer la sympathie agonisante de l'extrême gau-che, appellerait contre le bénéficiaire un torrent d'ignominieuses

Patzt-il pardonner à M. Briand la stérilité morale de ce geste.sous prétexte qu'il ruent pas le loisir d'en peser les conséquences?

Notre premier ministre a-t-il besoin de foot de réflexion?'Son expérience ne lui avait-elle point révélé de prime abord mutle danger de cette réintégration?....Pour moi, j'estime qu'en cette affaire M. Briand mérite desérieuses critiques.

L'autre jour, ici même, notre camarade Fernand Bouisson,député de Marseille, écrivait que M. Briand (watt rendu un mau-vais service à M. !golem, sans aucun profit pour la cause démo.cratique.

Ce jugement, d'apparence paradoxal, voici que les événe.ments le confirment.

tionnatre. Miteux encore elle va donner à ce clan une confianceen sa force, certainemeM exagérée, mais qui l'incitera à persé.-aérer dans la voie de chahut éhonté, dans la distribution conpieuse des injures et des accusations calomnieuses.

Rien ne servirait de dire que 31, Matou est en effet malade.Il n'eût pas dû accepter la charge, s'il ne se sentait pas bienportant: Il en connaissait bien toute !a lourdeur.

Mats est-d exact, que M. Briand, en réalité, n'a rien fait pour;retenir 4I Matoir

ajo ter crédit à des bruits très clairs, très précis,d'aptes lesquels le président da conseil aurait même soulatitlile départ de son collaborateur d'un jour?

Parut-il croire que M. Briand nourrit l'espoir de réaliser ainsila conjonction des centres; ,. d'atténuer la violencelion de droite; en même temps qu'il continuera à garder la con.fiance des radicaux par l'avènement de M. Durand, peu connucanuse politicien, homme lige de M. Sarraut devant qui M. Briands'incline SiMS hésitation, ni murmure depuis sa visite el son die.cours a Carcassonne?

Faut-il s'attendre à voir un changement d'orientation poli.tique, d'autant plus pernicieux qu'il sera inavoué?

1

Léon IlUDEL,IE.(Voie en deuxième ner, sà,sleies, débits la démission et dur

eons sweirpillmt aux :1(dours dna en ruine., surmontés den cild parravin. serpentant av. sa rides:, la vieux fort, uvre dm esclaveaffl Oeben, acemehant aux flancs des ehrliene M. qui porto moere uncoteaux, des pardins d'orangers rX nom frstnçais u La Bastion,de grenadiers, de eitroanPus e'a-bricatiera. De5 hauteurs ta bortddent Tulja% eUdo.,,,ger.pnedu.,,r'eten,la capricieuse vallée descendent MsII alimentés d'un bout de rives la vieille rue du 00h00, lerannie G l'autre, enmdant des rom boni nd'etaiissis do Eines. juselnGuà s'N nplen&buie,%116'e nh'in 'rlee nstepar'imo' .si. de marbre tes recueillent rt peu, roeu sfr,m, emin,iraI m distribuent, es est la ville dm de la fol, cornai° pour l'Est, l'Uni-eaux courantes, de la verdure et demue,e Cuire,m.la fraîcheur, te paradis da rasa- rent' arrno ,&01,..

mais l'entrée en a MA jusqu'ici in.tordit° aux n mutule ».

AI1NOTTO,

Le Ministre de l'Intérieur et le Président du Conseil ont man-qué dans cette affaire, d'abord de, clairvoyance; ensuite d'obs.tination.

Il fallait d'abord laisser Matou oit il était..Il fallait ensuite qu'il conservât son nouveau poste ministée

riel puisqu'il y était.Sa retraite va provoquer des cris de joie parmi le clan réac-

.

Autour de cotte dégringolademaisons h Mien:os, de jardins fleuriset de ruisseaux, courent,diaaremparte

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Page 2: s.-images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1926/B315556101_MIDSOC_1926... · noms. Les cas de ce genre sont lunaire: ... petite bourgeoisie Bis d'instituteurs ou de petits fon, ti:

Iscuessem

Jean Durand, sénateur de l'Aude. Le la -on a cens-roitdes croise ts mérveilleux

remp1ac 1. blialvy.

Conseil de Cab netParis, 9 avril. - Les membres du

gouvernement, convoqués pour exa-miner la mite â donner à la démis-sion de M. Malvy, se sont réunis, ceznatin, au minier,ee des affairesétrangères, sous la présideme de M.A. Briand.

A tissue de la ellinee, qui 00m-virola à 10 heures, et se termina â12 h. 30. M. Daniélou, souser.t.6-taire d rte a la prescience du con-seil, est menu communiquer à lapresse le compterenen suivant dela délibération

LA OMISSION DE I1L MALVYM. Briand, président du conseil, a

«pose /a situation .politique.Après avoir rappelé lm cireons-

tanees dans lesquelles M. Italvyavait Pte amené à prendre quelquesjours de repos, le président du "ri-mil a donné lecture de la lettre parlaquelle le ministre de l'intérieurlui donne sa démission.

M. Briand a été prié de trammet-ire b M. Malvy les regret unanimesdu. censeN

M. JEAN DUR 01611 EST NOMME'MINISTRE DE L'LNTEMEtlit

Li président du conseil a ronéo-te, aven l'agrément de tous sm sol-kg o-, à NI. Jean Divrand, ministreactuel de t'agriculture et membre dupa'I e tillé nombreux de la majo-rité. Ir portefeuille do l'intérieur.

M. .1055 Durand. a accepté.Le successeur de Mt Jean Durrod

sera nlésigné, demain matin, au coursdon nouveau <Mima de cabinet quise tiendra, à 9 h. 30 au ministère elmaffaires étrangères.

LES TRACEMENTSDES FNCTIONNAIRES

Le consent a poursuivi l'examen dela question des traitements des feue-tionnaires.

LA SITIJAITON AU MAREIGLe président du conseil a entendu

tes rorognies de l'état des affairesmarocaines.

Mût. Laval Daniel Vincent, Jour-dain et Durafour, actuellement ab-sents, S'étaienl fait exeuser.

La lettre de PL NalvyParis, 9 aroil. -- Volei le texte ds

In lettre remise hier jeudi per M.bleivy au président du conseil, elpar laquelle 13 a donné sa romissiouOr ministre de l'intérieur

Mun cher Président,Lorette, dans la nuit qui précéda

votre départ peur Genève, vousayez eninseerû me ma présenceétait nroossatre dans la cons tu unde vetre gouvernement pour romapermettre de poursuivre la grandemuera de paix à laquelle votre nomrestera attaché et de réaliser l'équi-libre budgétaire attendu par le regsj'ai se:tante nomme un devoir, surCou instances pressanteu et celles devos futurs coLlaborateurs, le pesteque vous m'avez confie Nul autre

NOtin le savez, n'a guidé netdécision.

J'ai cru sincèrement qu'il me se-rait possible de pratique" à vos cô-tés une politique de loyauté, tin 130-1Msion et d'accord. ràpubleam àl'heure où les phis grove. Pr,0.0.-patIons a-mafflue/d l'opinion publi-que.

Vero savez mrnent mes effortsde conciliation, arProCiés erounderlét la Commlision des finances, sesont hourtes, dàs men entrée dansvotre entiimet, aux haines les Plusviolentes et aux hostilités les plusprétnédttées.

Mit ne s'agissait que de ma per-sonne oe déchaînement de passionn'aurait que peu d'importance ; la...Pagne de caloinnim dirigro sansrépit contre moi, par les ennemis dela République ne murait maint.-voir. Le ferme soutien gro j'ai Inno-e depuis le débat de nues épreu.s

auprès de l'opinion democratigno, levote si entonnant de la Chambre, lesmilliers de témoignages peu ne ces-sent de me nananir montrent hienque le paYS. skst pas mépris uneseule mem% sur le sens et la portéede cro ataques. Mais, t y a ceux quogon présence pourraitvous et dont /e concours prof êtreindispensable pour /a réalisation levotre ProgrummeYens eompremirez que je ue veuit-lepas dans cos conditions, et malgie

À la Cogs,lcn séntorlale

És Usances

LES CONCLUSIONS DU RAPPOR-TEUR ADOPTEDM

Paris, 9 avril. -- La Commissionsénatoriale des finances s'est réuniece matin, sens la présidence de M.111111iês-Lamoix, et en a terminéaune l'examen du projet de bregetde 1928.

111. II. Choir", rapporteur général,O exposé comment se présente, à lasuite des travaux de la conunissionet du .le du 4 avril 102f sur tee

ressources fiscales, l'équilbreprojet de budget.

Les negelles sont Prévue. à 37milliards 555.090.523 franes, les dé-penses à 30 milliards 116.829476 fr.,soit, sous les réutves gel vont sui-vre un excèdent de recettes brutesde 1.438 millions 361.047 francs.

Mats 1/ convient Immédiatementd'observer que la Chambre, soit h laà/encode du gouvernement, soit. .ro e de faaura à incorponer 1.18,3 millions decrédits pour l'exécution de lois vo-tées ou mises au point de dotation.

L'excellent de recettes net dm

budget se trouvera donc réduit à205 'militons environ.

Alprês un exposé du rarmorderrgènerlia, un grand débat s'est en-gagé de.nt tu connnission.

MIVI. Doumer, Charles Dumont, F.Merda, Pausant, Dausset et le rap-Port.r général y ont pris Part.

Il résulte des observations échan-gées que, toot en rendant hommage

In loyal et al courage.. Mmoignanede solidarité que vous m'avez ap-porté, être Une cause d'ernhartm.pour le gouvernement, une caused'échec pour sa politique.

Je vous prie donc, mon cher pre-sident, de vouloir bien retrouverdans mon éloignement volontaire duministère que vous m'avez fait (hon-neur de me mnfier toute votre li-berté d'action et de me rendre ia

Permettez-moi de reprendre, &-gage de toute charge 'officielle, aroute que j'ai toujours mivie et deimursuivre la politique d'action dé-mocratique et sociale que j'al %a-jours deron ue avec ceux um ont lesentiment de ce qui est trou, de sequi est juste, de ce qui est humain.Croyez bien que je nerollomi le-ne% le témoignage preeieux d'esti-me et de sympathie que vous m'avez.donné et que je m'efforcerai, commeje l'ai fait par e passé, de faciiiterla (robe 8i lourde qui vous incendie308 itent,s graves que mus vivons.

'Veuillez agréer mon cher prési-dent, l'assurance de m. sentimentseordia/ement dengues.

Signé I J. MALTS'.

Autour dts ConseilParis 9 avril. - En communiquant

,In prreee le mu ptemendu officiel de la dé-libération. M. Daniélou a indiqué que lesureesseur lie M. Jean Durand au nénis-the de 1Agricultnre ne 'serait désigné riredemain en raiesn de Febeence de redan.membres du gouvernement.

Le président du Conseil désim, en effet.apre le cabinet toA enthr ratifie lagnetiote de la personnalité sen laque lesure porté mn ohm.

couseccrétaixe dbreat à la présidencea ajouté

La lege de &minden de M. Melvyne sers communiquée que darre fa mires.De plue, est inexact mie M. Mnbre fln9chargé de diriger I. néereqtions qui vents'engager entre les émanes des tribusdissidentes du Riff et ne autodtés hanse-

5

LA QUESTION DES DETTESLe minime des finances, interrogé sur

let diverses questions qui sont à l'ordredu jmr de son départoment, a fait I. dé-olarations sauvantes

er Je ne me rendrai pas à Londres avant/a fin de la semaine prochaine au phis Mt.

s ,fattends, en effet, des nouvdlesMisenington. Je veux commit. l'état despourparlers avec la Trésorerie américaineavant de traiter mec la Grande-Bretagne.

e M. H. Bérenger m'a fait annoncer queles négreistione étaient en n'es lote, voiepour les traitements des fonctionnaires, ausillet damne!, un échange da VII. a eulieu au cours de la séance du conseil.

Le ministre indique qu'une commissionextraparlementuire va etre nommée en detrouver. nes rapidement, une sohmon

Ont eodou,'000 IrEner'; iscerpronsP'Z s' on.Miros affluent an minietére des finance.

OU L'ON PARLE ENFINDE LA l'AIX

IM. R. Père s'éleigne et dere ad tour deM. Painlevé d'être mis eur la sellette, ausujet dee négsciations arme

a Des némmations, declere M. Psildevé.s'oredr nès prodminmonont et nausvont

same le freme espoir qu'elles aboutimm.Elles auront lieu non pas à Tanger, commeO avait été dit, mais à ChMe. L'Eue-sun.n ras encore dusinul Be.siioireuno-

unonPeur le France, notre choix s'ett ar-re'h eus /fi général Simon qui vient de ren-trer do Maroc, et sur M. Ponsre, ministreplénipotentiaire, 0mq-directeur dos affairred'Afrique au ministère dre affaire« Aran-

res'"Ce. s deux personnalités ere-ent accom-pagnées per une troisième pareemnatitébhoisie semai les mesubsou de l'entourageo. , dont aéeé,ot au Maene . ce mea

Duclos, chef du cabinet de M. Shen.» Dès que l'Eepagne aura nommé ms

représentante ils se eenchent à Parie et mn.Hama...sant de gagmre lu Box éol'a 'In-férence avre les p/énipotenthaires françaisefin de se monte d'accord sur uns lignede conduite commune.

a J'ajmte qus de sen celé Abelel-Krima déjà désigné des tentée...n leddk"

e.Et comme le minime de le guerre se

tait, M. Briand qui survient, regagn.t sesvespretements. conclut

Les future no0000e...8 do Pois nul mlsou lul.100 s nos

l'Espagne se goureuivmt en plein secondentre nos dettx pays.

s Dans troie . quatre hure, une réunionpréliminaire dee déléguée eepegnois et fran-çais se tiendra à P.O. a

h t'effort neeettudi et qui mnstitue

l'a7rated:'71;,eieisllnaniess, 711-vers orateurs ont nPlao92

suivre avec la plus grande vilancel'exécution du budget, nneterl'accroissement des déPenses ro dese préoccuper au Wu, ha nt degré il,In pontique monétaire l'inntatd/des ch/triges rendant nécessairementPrécaires les prévisions budgétai,ces /es plus sincèreromt étoblies.

Les membres de la commienninqui ont pris /a parole ont tousexprimé que les mesures ses parI. loi du 4 avril l'aient été si car.divement.

Le président de la commission aexprimé le sentiment die tomatescollègues en rendant hotmnagel'élévation du débat qui venait de st.dquiler. Puis, les conclusions durappolleur général, mises aux voix,ont été adoptées a l'unanimité.

Enfin, ils ont manifesté le vif dé-dir mie l'union de toutes les bonnesvolontés se fit autour de la defensedu front et du relévement de nosA..., pour biquet la "Mime°du pays est un facteur indispensa-b/e

Le Sénat, qui sera saisi en teninsutile de rapport général, aborderadès lundi après-midi /a discussioncht budget.

COURS DES CHANCES

Londres t 141.60 ; Ne...York t 29,10Espagne 411,125 Ses. 561,76

Uni franc estimes/ : A Londres et àNese-Yerk, à 0 h. Cg ; A Bee.lene, àais. 243 ; A Genève, à Ois. 178.

Leude.% 9 m. régimes, du ,Dai-le Nea. a. Cierge de, eembe,attire eu le raisonnesstrevItMut,e et l'imceimité de Ihinénagmnenrdre quatre no.mala croineree que le Ja-pon vieIt de emmena. Tout en restanten-chemine du tonnage et des dimensionsautorisée p. le imité emtelo à West-itoume, lea nouveato omise. coestitnent deredoutable, engin, de gurere. Ils sont dotéed'une artillerie aupérioure à celle des cmi-murs des autres natio..

Les experte navals étranger, mn expriméla emprise que ces Creiffellre, leur avait faitéprouver. ils notent que le secret de leurconetruction a été jalousement gardé patI,, laponale. Les groigeom goostruits ac-tuellement par les autres natom coûte.pka chez ,ont plus vulnérables et moi.efficaces.

-ormanittlee-mon.,-

Le casqueou le calot ?VA-T-ON IMPOSER LE, CASQUE

aux MILITAIRES on PERMISS/ON

Un bruit court qui vient de s'é-chopper den .bureaux do ta rue Saint-Dominique, où l'on veille jalouse-ment star les intérets de la défensenatiorole I quelque brave officiers'apprête, dit-on, à faire signer parM. Patnlevé, une o dmion x con-cernant la mut/elfe tenue de sortiedes untlitaires et prescrivant le portdn casque et do la baïonnette, « enville! »Ea:m mem doute, 'M. PMI Painlevéqui West point aussi distrait que lalégende vent .bien l'affirmer, lira ré-troubla:dire de son subordonné avantde la signer... Le ministre de laguerre, qui tonnait mieux que per-sonne 0.1 son ministêro % principede Pastsl, s'opposera sans doute h

.i.t?ougX.ri'fintelpeoereeoelreel.:lotte net '

Tous ceux qui ont porté /a beur-suifinotte, et ils mut quelques-uns,gavent mets en gent les ineonvé-utero I ou fa/lait, pendant la guer-re, avoir recours â cette protection,il semble bien inutile de Pintligeraux militaires._ au repas; quant àla baionnette I I

Pourquoi vouloir donne aux pal-sibtes villes de garnison l'aspect decités en état de sièpe ?

DOS

qui font la guerreLe Bulletin de police de Budapest

publie un goalltnique disant :La police a appris e 2g mars que

trois jeunes garçom, avides dtav"-tures, étudiaient testaios plans dan-tastiques dans le but d'utiliser lesfêtee de Paqnes pour frites irruptionen Maitoire étranger avec un grou-pe ptus nombreux de fanatiquessemblablm.

L'organisation a été découverte àtemps et-remué% a montre lo carac-tère enfantin de Pentreprim de mrteque la police na pris dabord de me-surm que contre sro renru. qui nedisposaient même d'aucune arme àfat ni d'autres moyens aPProPos6au plan et n pu am-si établir qu'il,n'étaient pas en état de se lirormertering:mm.1 nécessaire.»aigre ma, la police a, finalementécroué les membres de Porganisatitinet a ouvert une instruction contre

his

eux,

ileivoaux

DROITS D'ENREGISTREMENTET DE TIMBRE

L' n Offiejel o vient de publieles nem/eaux tarifs suivante

1. Droits d'enregistrement desventes Ileulufmniso, r tours d'évban-ges ou de partage, ventes de domai-nes nationaux et autres mutations àtitre onéreux de bien immeubles t

tard ancien , 12 'X, décimes com-pris; tarif nouveau, 15 %, sans dé-clin..

Les actes dont la date est anté-rieure à la présente luise Pourrontbénéficier de IMmien tarif qu'a tacondition Tétre présentés à la for-malité dans les vingt jours de l'en-trée en vigueur de la tu-édente loi.

La majoration du unit d'envie%frettent prévue à cet alinée 0ms'mp-plique pas aux personnes peu for-tunées, bénéficiaires des dispositionsde la loi du 5 dromes° 1922, en cequi concerne les achats d'imtneubles

rotués en application de cette IonDroits d'enregistrement des Mmes

d'immeubles en vue de In reventetarif ancien, 14,40 %, déelm. com-pris ; tarif nouveau, 18 II, sans dé-

nies.Droits d'enregistrement des muta-

tions à titre onéreux de fonds decrotta/mime (etientide, achalandage,droit au babii, matériel, marchandi-ses, etc.) : tarif ancien, 1,6e e1,5000, décimes compris; tarif nous've. , 9 % sans décimes.

2.- Droits de nombre proportion.nal sur actions des sociétés dont ladurée n'exeède pas dix ans : tarifancien, 1,20 %, décimes comptas,tarif nouveau, 2 %, sans démine..

Des sociétés dont la Ourle dépassedix ans et obligations : tarif an-cien, 2,40 %, décimes compris; taritnouveau, 4 %, sans décima.

Titres étrangers désignés dans les

rtiillelsit %le di: l'.31 1:1%147% 1 72'pnragraphe 4, de /a Loi du 30 mars1972 (fonds d'llirltS, Sneletés,etc.) tarif encien, 2,40 %, drome,compris; tarif nouveau, 4 %, sans

décLeiriltres visés par les lois des13 mni 1863, 23 juin 1857 et 30 mars1872 delà timbrés an tarif antérieur

la loi du 28 décembre 1895 sontpassibles du tarit de 4 58 imputa-tion faite de lImpêt d9b11 Pa99.

Droit annuel d'abonnement autimbre établi par les arttolei 22 et31 de la loi du 5 juin 1850 (queticune soit l'époque a laquelle l'abon-nement n tué contracté) tarif an-cien, 0,12 tre. décimes compris; taritnouveau, 0,20 %, sans décimes.

LE MIDI SOCIALISTE -.

SauveurDANS NOS VILLES D'EAU des PoutrsonsLA TAXE DE SEJOUR

Paris, 9 avril. - Par décret endate du 2 avril 1926, est autorisé,Pour une durée de deux années, l'éInblissement dans la stntion de tentrisme de Louresnilarousse (Hautes-Pyronées), eine taas de séjour us..êt7/ Perças du 15 avril au /er no-,i'êt/bee de croque année, sultan'tes tords ci-,près'. hôtels et mai-sons de Ire catégorie, 1 r, Pur P.,sonne et , jour; hôtels et mai-sons de 2e catégorie, 75 centim.,,,par personne et per jour; hôtels elmaisons dg 3e catégorie, 50 centimespar permnne et per jour.

Ces tarifs ne comPrennunt pas lutaxe additionnelle. La taxe est dueà partir du jour de Verrier.. Lad.nrée de pereeptiOn de la taxe estau mnximum de 28 jours.

Une affiche pincée dans les hôtels,in siège des Syndients d'initintive etdans ks bureaux do renseignementsportera ln nomenclature des dispen-sés

D'autre pot, I' « Officiel a publiePaha% suivant.

s La tme additionnelle à pence-voir en sus la taxe dans les stationshydrominérales chmatiqueS et detourisme est fixée pour l'année 1926aux taux ei-après

10 "S> dons les stations suivantesno le produit net de la troe prier/mate nM pro dépassé 20.000 francspendant l'année 1935 o Alet, Arge-1.-Gazost, AudInac-lett-Bnins, Bel-pouy-Bareges, Camera 111005-800'secs, laranne, La Nouvelle, Mimizan,Mitantlunis, °dent-Font-Rom", Sa-

15 % dans les stations s'Usantestanrleam-Main<, Axnles-Thermes,Combo-km-fluins, Cnronsgonne,mulouleatBning, 1s:slaves-les-Flots,Sotake-sur-Mer, Vernet-les-Bains.

20 % dans ha statu. suivantes .

Arcachon, Bagnères-de-Bigorre, Ba-enneres-Oe-Luelmn, Bayonne, Biar-ritz, Dax, Hendaye, Pait, lloym. Les.Sarilus-nl'Olonne , Snlies-desBéarn,Saint-Jean-de-Luz, Vichy.

Cosme ku3ustedevint IIR "Cg rois

de l'oniiu5to e allemande

Nous avons relaté- que l'on desrois de l'industrie d'outre-Rhin, Au-guste Thyssen, sest êteint dans sonchâteau, i Pige de 85 ans. Depuisque/que déjà, il vivait à Pe-sta. dtsmomie.

Ont était Auguste Thyssen?Il naquit le 15 Inai 1840 b Eseti-

weiler. Fils d'un petit hanquier decette ville, il tré'quenta le gymnasede Karlsruhe, pum Proolo de nom-morne d'Anvers. En 1805, apràs avoirpassé bois ans dans la banque deson père il créa pràs de Mülheim,dans la Ruhr, une petite aciérie, oc-eupant 70 ouvriers. Une centaine deMlle marks lui avaient suffi pourcréer son usine.

I Des après La guerre, en 1871, iltransforme es. petite aciérie en smié-té par actions. Pour-couvrir ses be-soins en chmbon, il s'intéresse â des

, syndicats miniers de fa Ruhr, rens-; truit des leut-rotionaux 01 lami-, mirs et une nouvelle aciérie.

Peu It peu, II orronim son eons.or-I Xi., Il avance méthodiquement,sam se, hâter. Il voulait être librede tous ses mouvements et Wareep-,tudame des .banques ou même d'as-Urinaires. Son trust m prérontaitbien nomme une société par action,mais en réalité il Malt avant toutune industrie privée et fermée, dontles bénefiees revenaient à lui etsa famille

/En 10141 /es entreprises de Thys-sen atteignaient une valetir de plus:Pro romi-miLlrod nic marks. AttOeil de 70 ouvriers, il avait sous ses

ordres el:vitt:ri 50.000 inivrietra. FOtandis que la petite aciérie de Mü-lheim ne prodmsait que 3.600 tonnesde fer, en MM. son trust en produi-sait plus, de 500.000 tonnes.

Lorson'en 01318. la Lorraine revintà la France, Thysmn perdit sen en-treprise la plus moderne, celle aim-ai dont i/ était te pros fier, les acié-ries de Hagendingen.

Il retiel h cette rompe, commetous les industriednallerneands Mesune énorme Indemnité du gouverne-ment du Reich. Ce/te somme, tontcomme les bêneffiees énormes milretira de /Inflation, Il Pemploya âln-ô-erre, rt agrandir and umnes.A la fin de linfistion, i/ Meir te sen/Industriel du Reich qui premedalt desinstallations vraiment modernes. Et

levatrusts, imam-bles de s'adapter aux ,nouveros con-ditions, saler"laient, son monoe.Hum sortait indemne de la tempêteel gr'ôee à urne politique finaneiéresaine, pouvait continuer à erre,troc un :minimum de ehémage

La Corrida du 9 iraiA BÉZIERS

Six magnifie,, tenu limpie, de Salomonmpour le. nudadors

garai. Aundlite, Chars..Auesitire annoncée l'ouverture de In loca-

tion pur cette magmfiqua corrida de tor.gué marquera rouvertma de la temporodaen Mara de Béziers. une volumineuse cor-respondance est parvenue au bureau desArènes.

Quel plue beau <and ett eget semait-o0rétdi.r, sun. ei Fon tient compte del'ssvsnoieoaoosu0iuovss de le pemm, queesiui qui réunit eur une Intime affiche unmatador dont la vaillance est légendairetant en Espagne qu'a. Amériqure undie*. dont lee récente auccée Mexiqueont dépassé ceux dos mande meus mibrillent au hmument Temiu i 50 la stem/torero du iota. <dut red ferv cette annéepartie de toue he stem% outet Pénis.

Et pour les tome, cet élément essentielde toute bonne corridas, pouvaixon fairemieux que s'amure à /a gunadésia de Cor-dite, dont I. produite Peovelilsupporter la empara.. tee <cire skaélevages ha mIn. réputés

Le Conne/num qui mit combien lm ha.bàués de noce Cam tiennent à l'élément. lm. sa do., on ne peut mieux faitka dm.. De reste, fi ganadere Soto-mayor. vient d'écrire au Président du Con-sortium nour lm annoncer l'ensmi de laPhotographie des formidables biche, choi-sis Poa cette m'ide. Cu Amon ...rom

clS

Rien n'est plus grnve qu'unrhume négligé car rien ne peutMe plus dmigerero par les coneplientions qu il entrame pour lesvoies respiratoires.

La toux, Poppremion, te siffle-ment des bronches, les crncliatsdifficiles sont autant d'indicesprécurseurs de la fluxion de poi-trine, de la broncho-pneumonie,de la oleuréde.

ID lait »lia négliger al aulgaire rime.Soigneevons à temps en pre-

nant dès la première quinte le

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FEDERATiON ors SOCIETESMletIGALES DU MIDI

raenn, Aude, Aveyron, Gard, Hérault,llarênéereOrientalee. Torto

FEtE FEDERALEà Chaires, le lé mal 1926

Nous avons déjà annoncé que, pour cl-haver non vingtième annivermire. la FI-dém.,» des Sociétés Mdeicales du Midi,organise me Fête Fédém/e 000.05 lieuà Béziers. le dimanche 16 mai prochain.

La fête commencera le mmedi 15 mei,par une retraite et un bal populaire quiarra lieu sue la place de la Citadelle.

Ce même soir, à 21 heures, la Fédéra-tion tendon on see.eme Canani, à Ulmsi dn'ViIle.Le dimanche /6 mai. 50 5,0,,. con-

cours des soliste, individuels.A 10 heures concerta dormie eee

vers pointe de la vi/le par ka Sociétés ped.ticipantes.

A midi o beurre.. nrinni.A 14 heures : défilé.A 14 h. 30, aux arènes concert artis-

tique avec /e concoure d'artistes de l'Opéraau duo. nnonte terre dus plm ré-

regiames--- rimées

Le maitre Paul Vidal, Ceand Prix de 88.me. président d'Honneur de la Fédération,aseistera à cette Hm

enestescrAareserfagnagePoregnoser vstclimfihnia

Emi sion d'Obligationsde ta S c.été MérIdienale

ca'hfnpreooî.1n

Il reste encore à souscrire quel-oues OBLIGATIONS DE CENTFRANCS, productives d'intérêts d6 o 100 nets d'impôts.

Ces obligations sont largementasunties par l'ensemble de l'actifsocial.

Ces titres sont nets d'impôts pré-rente et futurs, à rexception detous droits de transmission et de

L.'inTé'rrt. est PaYabin ammelle-ment le ler août de ,haque année.Ces obligations sant souscrites

iusqu'à fM mars, au cours deCENT QUATRE FRANCS CIN-QUANTE CENTIMES.

Le deuxième coupon d'intérêt estParabole le ler août 1926.

Les souscriptions scM crues eusiège de In Société 36 rue Rocue-

fi''n, nieT c'C t Chèqne Postal rr. 5277

----- --CHRONIQUE LITTÉRAIRE

LES LIVRES NOUVEAUXLES INDESIRABLIC2, j e so-cial, par Auguste pojean, chezVergé-Doumem, éditeur, Saint-

.

L'amertume qui imlelègne ce &n-me, est telle que, dés Le premieracte, on est en droit de se deman-der si c'est bien un cri de révoltequ'a voulu pousse: l'auteur. Et pres-'que aussttôt, devant la largeur de latouche, la lette% et la richesse dutableau, on sent qu'Il ne s'agit nul-lement de cela, mais d'un exposevrai de la réalité actuelle, d'un pam-phlet Mat la vigueur étoroe quel-MefaiS mais ne surprend pas. Anemrs de ces six actes, où M. Déjeanflagelle les profiteurs ce la guerre,nall, se tend et édition:le l'in 10100lion motivée d'un honnête libm".écuré pur Pinj.lice sociale faiteut00 qui ont tout quitté b l'appel duPays, qui ont peine, qui nid sonf-fest, et qui, revenus affaiblis etamoindris, se sone trouvés abaissésd'un rueg social par le faft des au-tres mi o ont gardé l'arrière ren-dons In tuerie n.

Ce sont ces f Autres a les Profi-teurs indésirables, que ces répliqueset tirades vengeresses fouaille.mns Pitié. Et /soudent ? H salgnici de vérités qui sont mroonmes,qui sont étouffées, mais qui exigent.Tous les jours, /es faits divers desquotidiens annoncent nn drnme demisère psi n pour acteurs un mut.,one veuve de guerre, un anciencombattent, auxquels la tourmenteo donné te droit de subir sans par-ier le luxe outrageant et éhonté desen

L'idée est belle: elle est surtoutcouregeuse 1 CMst Là un bon graineu'a semé l'auteur. Et ces méritesCool mettes quelques %th/esses derimes, quelques hérésies a/ex./g/ri-t:ms, quelques 'erreurs de scènes, sur1e0me11es je ne veux pas Insister.Un le/ drame, en effet, doit êtreconsidéré dans son ennemble, quiest saisissant; et l'ampleur du dé-cor, /a hardiesse de la conception.la beauté de l'idée militent franuhe-ment en faveur de nette Captains l'attaqueront gni ne pourrontcependant mer le talent du drama-turge. Ilenueoup - et c'est là maseule critique - regretteront queson mis un nen élevé n'en facilitepas /a grands diffusion flans les nt,

Iv prodétaires, auxquels 11 feraittent de bien.

DIEMOIRES ECR1TS DANS UNSOUTERRAIN, 1864 e, /fr. FiodorDostolevsko. traduits du .ssepar Henri 'Mougoult et Marc Lmval. Editions Bossard, 140, boule-vard Saint-Germain, Paris. Prix i9 francs.Ces Mémoires sont d'un intérêt

.pital pour qui cherche à connai-'ce Pesseme du g gente crue/ a deDostolevski. De telles pages consti-tuent un decumeni, au marne titreque Llumenjteseonspdree,S:oanvrotrolpne,,,,

secte pour qu'on y prise avent toutl'oeuvre d'art, et presque Inhumainà foree de vêtit& e II y a - declareelle héros anonyme - dans les sou-venirs de disque individu des cho-ses 01111 ne revête pas à tout 1

monde, mals .uletnent à ses amis.H y en a d'autres qu'il ne révèlepas à ses mais, mals seulement àlui-même et eneore en seerot. Il y senfin des choses telles ..,e craintde se les rénéler à solemême, etelles ne sont pas rares chez touthome,o ultime il faut. Elfes sontmême Tautant plus nombreusesqu'il est plus comme I/ faut. a

1./tomine au souterrain, magretfont Cinsion maints passages desgrands romans de Dostoievski, estexaminé lei I la lumière dame in-trospection mi dépasse en handiesse tout ce qu'ont tenté dorolslors le, partisans les plus audnelerode la psychanalyse.

Parallèlement à l'étude philoso-phique, se déroule un drame d'unestmeticite saisissante. celui denomme .qui reprend contact aveco /a vie vivante 6 dont il avait pendul'habitude . en moisissant dans lemuterraln a,

(fest là inc hume qui touche hbien des points dangereux de lapersonnalité humaine, bafoue lesconventions de /a morale et du dog-me social, /a foi romantique en labonté naturelle de l'homme et en /anécessité du progrês. Mais, en nousmontrant l'infinie complexité même.Dhomme échappe aux lois de fer dudéterminisme t Ce qu'il faut à l'heu-

CHRONIQUE de la T.S.F.

RADIO.TOULOUSESAIIEDI IO AVRIL

A 10 heures. - Cours des marchésmunicipaux (légumes, fruit% lad/ ;extraifi des journaux régionauxconseils mx ménagères ; tmnus etrecettes pour le repas de midi.

A 12 h. 45. - Concert par l'or-chestre.

o..31nrcbe des braves o (perlier)gneiss" sous bois s, valse (Bazt-gade) ; < Avant le printemps »(Great) ; L'Ecomais de Chatou e,ouverture (Léo Delib.) ' o La Pe-tite Ma Mon blanche s solo de mi%(T. Coals) " Tinti s'(000110), solo de violon ; a La Rosede Saint-Flour », fantaisie (Offen.-bach) ; s Jovialités (Gabriel Ma-rie) ; Cloches d'automne s Ontou-gués) ; « L'union fait /a formmarohe (II. de Boni) ; o Maries

Lehar) ; s On ne P., Poe Vit'ter Paris a (WArys et Graccy).

A 14 heures. - Cerillondiorairemétéorolfigie chronique théâtraleet einématogriptiique spectacles ;un mem et une 000011e pour le re-pas du soir ; fontes et marchés ré-gionaux ; informationsmenevales dela presse du matin.

A 17 h. 30. - Cours dés produitsrégionaux; Bourse de commerce dt.Pneit ; oronges ; infermations.

A 07 h. 45. - Pour /es agriculteurss Sur la grande manifestation ami-mie h Toulomm

A 80 h. 111 - Le Jnurolol oaaaseine " ; les dernières muvelles de

la journée ; cours commerciaux lesmarchés régIonaturi *Manges; Bour-se; sport.

me, c'est uniquement

de cette =nit is'"'.5qu'elle about' et 4i5

Lesdimensl'"

o trpj .,<141livre enferment5-07'ge44,7-

tLecliy1.1,.iMo_rno,c

rlaveér. n

7. pfirece,, Sai%-fisIlAvant même que le

ret urs',"lini'2111eim' 00001es

le monde conroe l'aFaim n. Plus de Mentparution de ce livregloire d'écrivaindans l'ensemble' devourouse et riche,vre. Il n'a rien écrni de pl. puissantaussi largeni"t et

msoe.mgie egnurptnit clobnizihumaine, peutetre par

mentent : soi-mème.Dans ce tableau sd

vent50 s aiguisée jbreide, touten ces y

etsPef: dPP:d 'tern n'''': KoYt:ri:14mona0g0e1e

ly.risme, le fi"o'n'rr;évPe9ilre'r.me, et cette invention q

1117o'ar"e! nos qu'a01'es'0115

trgli Ia elde rmetni'iri trie,v;

eskei;:dgr ands livres. Si lnjusqu ou peu/ aller

mye ty"tate.

.der 1.0.2eg:grâemintèhnisZedee.in,.9:16'z'

quondien, 4 trot bre ce manuel esla détresse et de l'espoir déseoù do réussi à faire an livre hfois terrkble et éblouissant de follegaieté fantasque.

L'HOMME COUVERT DE PU.MES à, par Drieu de fi BroieraAux éditions de la N. 50. F., emj(nall/mard, 3, rue de Grenelle, Pg.ris. Prix : 9 fraises.Une série de tablealdi. et .

mêmes galantes &ms èe meneurgoût da XVIlle sieete se fort sanset constituent ce roman ddicitus,Que /e titre au moins n'eftaroudgpas le lecteur pudibond III est sin.eére, car en ce livre évolue un hèrqfort Pinté de o gent féminine moisqui, mime dans les situa/Joas rie

n'tqouorejolomsedlsdignité qui préserment de la gros-sièreté el do dégoat.

s Un jeune hennie est Invité i hcamPegne par une femme jeune...Surprise... a dit 1s /bande romm mdétiquette l'ouvrage. Oui, surpaiesaPiritstedies, et des meilleure% tra.dulies dans un style ssulillant et

limpide qui charme et gai stlifc.-

A LE 50131015101. ssessr A fmGni/lamie Gaulène, Ches P. Rieder, éditeur, 7, place Saine -fol,pies, Paris. Prix I 9 francs.L'écrivain 51, 000055 qu'est sent

compatriote Cadène réunit en ce

/es preuves de re merise t14romancier psychologue. Ced 00drame poignant que cette bd buesde la d...béance d'une femme PIs'endive tentement dans la Dame dela Plus basse prostituti. I Sm amsauts de révolte des Prete.'s'affaibdissentpen à peu, 5155000510seul. boat pla. à la passivité enface da destin inexorable gai esê

Ffi, .peraldlemeol à cette

fRne et A cette ardente qui <Rallient,grimme le rictens angoimrsouche de l'exil% désaxé. Jei Itszj,/besoin de vivra lom da nesqu'irradie le soleil: il hm, 5000-1,1ok et te brouillant an EFS% 150

pe., le tenaille qtril 00 pOOl

.monter I Il errent l'isolementque déraciné, et, Perle. Zije

, étreindre, veut saisir One récitIsmsaj le sauvera. Morne, et1

nuemanifester son énergiqmlité que, par me faiblesse,ko'r_nette qui l'emporte, il se /use 'déper d'atonie et de passszitt.

Cligrvne pumanle, ggyghumaine, ce livre seles meilleurs romans contente

Ceemes pnce

h. 43 - MM-dee emo '

et e It -1 D'"e

,A er rh. If, j,-ur Cone«ert de515 il'

dedul:Del,ly du Gasino 100eiPe-IfVichy : Tannbauser n R,

n,rn. ( ,n:, As no, smdir,ednonyrn: hdoei:1:1)0 ) b! ,.....,,,,,

:rnvi:,:rti,:kiial,ef)sreGm. hq:,.p...r.11),e;se:Poope.r:,b.i.,,_iodi.,,,,;:,:,,ni,

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lion, avee le coureurs .1.0;;;;00,l'Association d Arad tj: 2.iirolerr,

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BOAuc"herhoi,9fdler'rrIqrstiate

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e LA VOIX DESOoasnO d. J.O.'''. 5

oz.a.«.s.corde, 3. oc'3.1que Pagel. 13-7'.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: s.-images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1926/B315556101_MIDSOC_1926... · noms. Les cas de ce genre sont lunaire: ... petite bourgeoisie Bis d'instituteurs ou de petits fon, ti:

chronique de Toulouse 64, 12,12e,s136effermt-.12.bole)redu

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d,-, Toelouseslouse, qui groupe dans ses collec-ton out ce son a trait â la vie tou-

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ees.r- el' recueils de conféren-dans len:-e7., 2e Congrès de l'Eau,

ee1922 et 1924,

tee. à Teo:ol ouse% snécialistes ontleur concours

L'envoulu "'

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P';' ceSgl'exicsinté'rêt les deux pré-

cédc eurcougn., de l'Eau aura lieu

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ilireenne. à Toulouse.

Programme sA g h. 30 Ouverture du Congrès

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Sciences. nos dactylos comptables et 2.1-AperçU des résultats preatiquese mités rappelle à ses membres que Maison fripiers moderme de is Réglo.

etmers Congrès da Iss sons g vssits reprendront à par- stems( arts cm 1,1155 Si ms/ ism.deg, Pie% rsisréssussus, dss tir

dumididimanche 11 courant, de h h 4ssigsssussess.../mmagssgssmagsgus,à (cours de sténographiecuusisamlies de Paris à Orleans et cours de comptabilité, cours de

du Isésdi. ru Ça S .

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acrssur ,s_ssoesses chassé do cou', cours d'entrainenient commence.de botanique à la faculté des Scie, rentereelez nitduirors dsessluss.s=ces de Toulouse, président de la °'°i°or

Société d'Horticuhure de la Haute.

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Cette Exposition est ouverte àtous les constructeurs et industrielssusceptibles de s'g intéresser. Elleest soumise au réglement del'Union des Exposants de machineset outillage agricoles.

Peur tous renseignements cons.eérnentsires s'adresser au secs&ruas général, 12, me Lafon, à Tou-

2- Congrès Régionaldes Chos..fillrs

RETRAITES des CHEMINS de FERComme nous lavions annoncé

dans une de nos précédentes édi-fions, s'est le dimanche 11 avril,15 heures prScises, dans la sage del'ancienne Fauluté des Lettres, rutde Rémusat, qu'aura lieu le meetingoù sera traité, devant les parlemen-taisev de la rigola, te réabutementdes pensions de retralte.

A cette réunion assisteront égale-ment les déléguée des groupes duréseau Midi appartenant à la Fédé-ration nationale des retraités deschemins rie fer, ainsi que les pensionnés civils et mSitsires.

Nous engageons instamment tousles retraités (hommes, femmes etyeuses) Il y venir nombreux.

Id. Rosse, présSient du conseilfédéral de Paris, présiderai celleréunion.

sera donné incessamment.

COURRIER ARTISTIQUE

THEATRE DU CAPITOLE

Min que la clôture de la StaiSenlyrique soit digne d'un ensemble quia omet° un universel hommage, ladirection Dont h offrir à son fidûleet si sympathique publie des spec-tacles de choix.

Aujourd'hui SaIlledi, el pour lesadieux de Mlle Lengie de AIALlard, Lapeyre et Allsony, ce seront.les u Contes d'Hoffmann u, délié sifavorablemed accueillis. Il n'est pasbesoin de dire que nus arlistm sesurpasseront.

Demain en Sfatinée e Fest savec l'Intéressant concours de N.Dimanche II avril, se tiendra àTl

5,sf'e'

XV,e'..,,d"Jusr, deA,sulluki: dius , Ar/ Û cÉletairt ''direnriSsle/leLbeenn

eLe n_i---- -u, --_,,..--22.2""I'là, .Gelard, Hormièress nous Pos-eoitsèS regional des cuêss`i'us- I mettent une inMrprittation . ph.Led, but minden/ du Congrès est styis,-

- P'etesSes centre la secntototien En Soirée « Hérmllade . le, égs-du Comité National de la jement MM, Ilemenet, Vezzani, Tm-eo castre raugirtentation en' 1110, Surourne, 010110u el geste° ais-: du prix du permis de chaos 1 ai que Mmes Caylus, Bourgaignon,:7 9..ii projette; contre l'oblige-11,m aro. MM. de nuy, Régi.eur de-... Pans tons ,4 coutuote, une! aérai, M. Bourmanek chef de l'or-

l'Iice d'assuranaa unhi_usuid couler! chester et le ballet nous iprésente-'hOn

obligatoire d , coulere/a ris- : ru" "'re "1"c>a "e Ier'N'C' nu 17°.°B.se de ! t 11 r ''''t 71'07/et l.s deV'tie"e's" a=r . Pnx du Perm ,

is ,oe el: Soere' beestre, les elneurs' et leess -°' dist",q1..uer mn= roules ba/lets déploieront toutes

cisi54les cor-

---.9.s ui. ou etrimient de na- sourie. de leur mlent, pour finir ensrJzsrois plus puissantes et breere,,, une saison magnifiquementA l'issue ddilassus u congrès, nn apéritif --hal-

rétinite,' " un le"Iquet fratumul EXAMENS ET CONCOURS, les délégués qui voudrontVidre rs,Un concours pose le recrutement

de 2 er'29snt de la cOtisstiOn est dm Rédacteurs deS Mani/W.113MS Llf20f, 'iules, Pour l'apéritif et dé PElat et de COntrnleurs adjoints dep.. no

005te banquet. la Culture du Tabac aura lieu à la

e''''e de sa insc, d.o,R

fino de tm%ipvetnière quinsaine duejzo,t, ège,.eafé igel. 77, al- Lm Jeunes gens qui désireraient v

prend. part pourront se faire ins-erire 6 la .Manufacture des Tuba. de

CA ET LAToulouse avant le 30 avril 1926 der-nier délai.

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CANTON SUDLes mrearades sont priés d'assister à la

réunion cantonale atvi aum lieu samedi 10suai], café Louis. si.. Saint-Michel. à21 heures.

Ordre du jour s Causerie par le camaradePires Auriol, qui doit traites de l'école

CANTON CENTRERénnMn ',abhorre et contradieMire

au Faubourg RenneSeiPour continuer la tâche nid)) deat

mie, le sani Socisli. a es devoir orga.Mme pour une date et eyee des orateursoui seront fixés ddrieurenitnt. »ne réu-nion pkblique et contradictoim dans la .I/aCosbarrieu, faubou, Bonne'al. (sa cerna.rades chargés de prendre la parole dive-lemnerent la situation de la mu,cipalité,Par rapport à . gestion depuis onze mois.

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VIE OUVRIERE

DANS LE BA,TLNIENTL'accord ci-dessom vient d'être

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, MARCHEsou MUNICIPAL de l'enseignement smondalre.

u II avril 1926 : Pour Sous s'enseignements s'adres-

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.i. E. 0l.les devant l'Institm, boulevard Riquet.

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si11,e,.d: els:gen., Tom les sméres.

:,,,,:ii,:: k.ol:.; 7P5'.' . 11,:0:ar ,,,oiI,:J:::20h:.'45p',:,àb: le,',/s:tertiefnsuutteeEld. ee, ere: 7,11:7::::,,i;dtsl: s:es,''Tsh:;,_:''''sits.s:s1.troteebnique, 4, boulevard Riquet,

eS °sri.. cour- Mères années, fera le samedi tonS café Merm. esmsoL.

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LE MIDI SOCIALISTE:

turquin vivre avec ses dures 7

bm., doute, quandauod Ou ne peut pas

même le puassouvent, en PMU faireautrement. La preuve en est dansl'exemple de Mlle Jeunes Joseph,demeurant, 9, villa Leblotne, Mopt.rouge (Seine)

« Je suis heureuse de pouvoir te.mai 50e - écrit Mlle Jeanne do-seph - que les Pilules Pinkcomplètement soulagée nu bout depeu de temps des crsmpes d'esto-mac, accompagnées de migssine,

de névralgiesdont je souf-frais en rai-son, certaine-ment, do lavie iSédentsire

S laquellem'asereint mnprofesSion de

couturière.J'ai, depuis,

recommandéles Pilules

pink â descsmaradestaies qui, el-eS Onêté ires seis.Isle, dey se-, te. . - uguelte Robert, rue deyultsts, y I Castres, 24. - Robert Cries..

Mgs JOSEPH NO3 « misé- petite rue Colasson, 2. ._-Pierre(Pho. Mem res it ont, es Courtade, quart'. Ssintighnon. -généra, pane cannelisppouvro,se. Etienne Limes, impasse Francisque-ment du sang et in dépsessioa Sarcey, 5,système nerveux, d'où résulte un dé- Séesrèglement du fonmionnement des do 7 avril 1926organes. Les maux d'estoinse, les Denis Amis.., 80 ans, Chemin demaux de tête, les névralgies sont des s id 7 s "ss-Itsinsesolles. -conséquences de lisapauvrissement Louis Rogoo, 52 ans, rue des Récolletsdu 500g et de Psifsiblissement des Ado/pIte Martin 65 ans Alliee est Pintsgsot les Pilules Plois des Demoiselles Il. - Madeleine Cui.qui sestilueot sang sa riches. bnhiiis, Euousu Sacanal, as ans, rueet retrempent les nerfs, sont, rom dee Filariose 27. - Gormaine Met-ter ces malaises, touioure si °Mea- leville, 34 ans, rue de la Chaîne, 19.met, Doue ..'ère enérslet dd - Appallonie Caravol, Eptinse Bar-reste, les Pilules Pink donnent !es don ss ss, , _mei

lalleurs

tats contreneurasthénie

l'anémie, Guimbeu Veuve13

P raS 76E ans, à La-is chlorose,résul. rairai- ssooseM. le Siecretsue genera du Prefet. Nism ossse.mentgèrésod, les troubles de val, 65gémie

sns. àsalves

- Dospiees 4ssissussous s ses s usss la croissance et du retour d'aire, /es- 8 avril 1926

Nous rappel°. que c'est ce soir Ment °rire le Syndic.. en E vente danssssoseo, ssuissu.s. Re,, ',sas.. de mennisepa.a le Svnsl n Déo, na,ret, Etsi%Lz.rattli.s. 4-5 afsnri,géLhilue.i

50 la / s' -

LA SO/REE DES MARENGOTINS N

.dans les salons de l'hôtet de Pans, dat des ouvriers menuisiers con o- 23.

m.Ballu.les 6 boitParis.e

sure qui a étératifiée très amicale- 11"1" " irré- Marius TeDu

rtre, 2'7 ans, une ates-derite des règles.Enttolltes /es ohsrma-

sini 9 - Pio Rrre obert 45 a

à f

PO, /4. - Cécile Bouissi, Opouse Ca-s employmes ; nous espérons

tgrace es enuisiers du badinent t vite, 96. - Marie Fiourens, Epousecousai/ supérieur de l'A.g de rbriculture, M. Baas°. Bsitai/le de cordet-

d m LES SOC1ETES - Vincent Jouret, 75 ans, Côte-Pa-bortisulteur-f/euriste à Antibes. et tis.nos. le ciéeimns de grand meus pour Le coànclicei. - Ce ser. à 21 mur, Mann 72 ans, rue 1100 leu. - Yvette

d'hedi hme. `°

>1. Grec,

pré,siLent''''',..o''' w-"ade

,,In

P

see iétéVOL D'UNE MONTRE DE BORD que des hensts ne puissent se pro. se mis Bo,sle, réunion du conseil d'ad- Maa mysseS s jours. uss d'Embarthe,'u.`-''''''''' Une enquete est ouverte au Se sr. dusre. ministration e den moniteurs, mur l'exa- 17. - Louise Périé. Veuve Tou..Mines, rondissement pour vol d'une mosi Au fait, les besoins sont les rree- ''''_ r 05 l

de l'' '111."'11"'s 's.'15ièr.. nm. l=s 77 g., rue du Pont-Vieux, 10. -. Hos

M Bell d ,deL'Irrisation des , pa,.mr, fee en éta'

automotsl,

consemdite de bord, lis4e au mes pour tous, il n y a pas de rai. noministratoura sent priée d'ans. . le Oses I, 3_ Alisnés Iser . , irm dee Services tablier m

d'une voilage e. mntrale eur maton, sasmasamst vatammmassOn Que ce Uni vient d'êtrevcd te.'kelen des AlPes-Maritimes. à Le a été solun tis ces jours si su. menuiséers us s sais à issus

R,,,,,,,, sério.st, use sis psus Iller Inatln, vers 11 heures, une cas avec con ance etSeseitté de SsesessMesels, - Vero/-

mle. Par MIMrl:;.,E.iepou..:. d' r fr. s,tiss Irriustis sons en horticulture flo- fessu du s, 0.-,..,sugo. Pric t .

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csito, de Ve"'lle' d'ectem rue Gsmbetta, is Soirée da0410/41 déés. Les autres corporations du 'Itdermises. Phfr.ordre.

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6511huru de le fisule"G"9/1, ,u: Béarnais, ' i,entre une camionnette au-titube., as MME lui srerm,Des président de la Somete d hor-

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De par t Il dem d d tes.Des démonstrations pratiques - POMPse. de la ...me .utrale se u ain son è à t / '

oues anes e carrom faites sur la Prairie des Filtres. sont rendus aussitôt sur les lieux ed Btrreet ayant sage h Fédéra::::: :ellen:eu:a Blessa Si do Poil-net éteint le feu aprês on gnart. Bourse du Travail de Tooilome, us, g i.) g isselos de Tomes. -«''''ig'' .m cour' n'Id.. P'nhmit ditsesire de travail. (m'il serait accordé une augmenta- -r, P.

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Cette augmentation de .laise signe. Prix des places Entrés géttOsoCe17 m 192horaore sera consentie à datm du iii.,efssas's7s.r toneslss le° ''' dramassés O hc,,.0:. fr. ; Enceinte tribunes 15 fr. 25s; 6.

Cet accord signé par les par ti es `"Isinounes numérotées 20 fr. 25 cl

r.contractantes en présence de M. le F°e"'"eCI''''

25 fLa lo25.cation puas Ies pjaces numês

rotes. sis ucontinera anjourdbui sa-medi de h. 12 h. et de 15 â 19 h.et demain dimanche de 9 â 12 anSorsébviat du Stade Toulousain, 1,Plume Matablau.

La vente des cartes â 5 fr. et 15baillis Si rontinies se fera dimanchede 9 14 h. aux kiosques ci-après :Gare Matsbinu (Syndicat d'Initiati-ve); kiosques d. tramways des M-I) .1110 J rès, Bayard, 0001-Mi-chef et Aarnaud Bernard, partirdo 12 h. 30 au terrain d. Ponts-JanInfants

Ouverture des portes 12 h. 30.L'entrée des places h 5 fr. se fera

par /es deux portes do bord du ro-val. Les autres places enmeront parla grande porte:

délégué, seea anneX é au contrat ma, 0.":ri

Prefet de la Haute-Garonne ou son onn'

coEnctif du 4 juin 1924 qui conserve sis, ss spus, ssrs Laie.Saisi-Àhse.tests sa oc rue sauf pour rsre. ler, Eatrdnement au terrain.4,11..1.4ra relutPlaci Pur raccord ci- Fraternelle des M m esMinimes. - Persnse

po, vermment des - cotisations et rensei_Pour le Syndicat confédéré des Psaneste, le dimanche II saird, de 9 à

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Bhilnnnt Bourgarel, Bar-thèr Batiste AVOS DE I3ECESret.D,Ipuecl. Ma_ rés.

ft'me'e °Pour le Préfet 2.de la Haute-Ge- hsll,117-/otTNUN''150t1in..43EFERIFCOINCE.-E.sonne t Le Secrétaire généi, DASMEIS e BAYA.RD, ont la douleur deral. Jean Fagedet,

fi''" sS'indice des Auxiliaires do Li . Unlape quos'dlm'vrees"7:i'd

presmnt appel bit à tate reeeeeneet "rtztiTiaouirLudz.11nemdm¢«,...L.%%,..Madame Veuve Henri TOUR:NIE

née Jeanne Fériéde la censfitution définitive du syndic.désége à nese ds 77 ans Pt 1.3Tes setsesis à Is réunion. dimandae I d'assister à ms obsèques qui arums lieuavril. à 10 henree, Boers. du Tressa. semacrhsi samedi 10 simil 1924, à 15 h. 30Fanerai des T. C. R. r _ rées= 5nint-Mictilas.

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diammele, de IO heures à midi. riel et An 00P Bou-Denil,Smits Ms syndiqués confédérés y visa pierre ,Gayet, représentant, Plass

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go, agent de Bureau Ponts-et-Gee.ours, Bel de la Gare, N.

Gansai° Coste, employé CompagnieAlgérienne à Béziers (Hérault) stmas, Bd Darnot,18.

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Castres, et Jeanne Gales, trimes.,à Montauban (Tarn-et-Garonne).

Baptiste Gr., emPloyé de rom-mence, esse chu Cimetière-Ssint-Cy-prien, 4, et Jeanne Piqueuse', a. p.,rue du 130.26995

Germain Merradal, facteur intéri-maire, â Labège (11.-G.), et FéliceSomprou, ouvrière en chaussures,allse Saint-Agne II, B.

Raymond Dar.. employé de com-merce, rue Tournante-de-huppé, 45.et Germaine Gaussé, dactylographe,rue Saint-SYDei

Victor Anglade, ajusteur-meesni-eien, rue Denis-Papin, 1, et Hen-nette Richardy, dsetylographe,de Cugnaux, 58,

Jeun Dcupuy, carrossier, rocleneuve, 2, et Adrien.. Lagravelle,easquetiése, rue des Fontaines. 80.

Szyntkieviez Joinkiew, étudiont,houdevand de /a Mare, 22, et EnditieInc.v étudiante, boulevard de /aGare, 20,

Léon Berdoulat, employé de bu-reau, rue Denfert-Rochereau, 22, etMarcelle Cané', rnécanimenne, rueSébastopol, 2.

Naissancesdu 7 avril 1928

Emilienne Gaza.. rie Monta.drsn 32

'Andra§ Mereaslier rue AI-

bus, 11: Gilbert Doriens Route deRessms ; Marie Causin, rue St-Mi-chel, 107.

Du 8 avril 1926Andrei Berge, rue Trasersiére-

Saintefsmic, I. - Albert Martin.lue Latéside-Raymend-/V, N. - lio-ber: Dupuy, rorrhihnct de la Pato-

eedieItteiRdeuClidiritLEi - î

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Les Contes d'HoffmannMmes Heillgoonet,

Celard, l,place. MM. Coilard,laperre, Albony, Lacourne,Marolles.

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THEATRES d CINÉMASTHEATRE DU CAPITOLE (Ciel. de

la saison lyrique).- Adotoollull, à 20 h.15Lei Contu d'Otimssri a pour les adieux

d. M. Lareyre, ave MinesLamie, Celard, Laplace ; med. Canard,Lemme, A/bony, Laceume. Darelles.

Dimanche, en matinée, Faust a, avecMmes Heilhrounter. Célard, MonnièrestMM. Bertrand, Arme, Marmont.

En mitée, s Hérodiade r. avec Mlle Ca,am, Mlles Bourguignon, LaPlece: MM.Veam, Reatmett, Tenue, Lamume, Ri,vison, Meuse.

burmas leution eat ouvert taamces trois représentations.

Servies opectsi cl. trauma,s à la tamisdu ThéStre.

THEATRE DES VARIETES. - Ce soissamedi à 20 h. 30. dencihne reptésentationde l'Operet. nessene .0iMmeso, asseleencours de Mme Yvonne Sabatier, M As.

dao ide, Ose/sem. Mmes Legs., isosousd, Manier, Wel. Jodle. Nids-l-dr, Mes.

Andemoième acte. Tango dansé per MmeYvonne Sabatier et le danseur Fzedds.

As Sus se., Cmasel Bele enpagnol,dansé par M//e Marthe Babille, danstueeEtolle, Mlle Hensiette /m'igues, premièremvestie et les dames du corps du Ballet

Demain dimanche, en matinée s L.eette . Lee Cloches de Cor-racaille a, avec M. Georges Fois, le d'ai-deux tente de FO/aéra-Comique.

Location ouverte.THEATRE DES NOUVEAUTES. -

L. Pélite Pént I Ce nom vehige de boucheen bouche t c'est que cette petite artisteest vraiment une osande, par son talent,« diction et pestes merveilleux. /I fautamst citer Neuf, le molli-fantaisiste

Fliand, le mrfait illusMnniere etim les autre« attractions epa composera esbeau pm,amme. Il mt prudent vis see.

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matinée à 3 hem( : virés à 9 heures :

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osée!, psfe, eaerpretee par trois BrOodesvedettes Calleen No,e, Lloyd Huches et

IrtirmEt'fZitk s ctiOn,:a12u dordei:'Itl./and';scomique.

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Deu.ehe. matinée à 3 h. et soirée à5h 45. »Anie pmgrammle-

CRAND-ROND C/NFMA. - Samedi,soirée h 8 h. 45

Ame, .piède s, drame t s La Mainale Daim, s, sem.. s Mylordsouille a, Pros chapitre.

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Matinile à 3 h. - Soites à 9 h,Magazine illustré les dernières

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d'après la Pièce de CHARLES MEREas. Germaine ROUER de l'Odéon

Location de 10 h 12 h. et de 3 à 6 II.Risduetions acceptées en Matinée

Cinéma *OLYMPIA"Aujourd'hui Samedi

S'Prograine exàtr9aeihidinaire

SANS FAMILLE

DIMANCHE II AVRIL 1926

A Fontenilles à 13 heures.Orateurs inscrits

FAUR, conseiller municipal deToulome.

LINIERES. conseiller municipal deToulouse.

CALVAYRAC, secrétaire de lasection de Fonsorlses.

A Fonsiosbes, à 14 h. 30Orateurs inscrits

FAL1R, conseiller municipal deToulouse.

LIN1E10ES, mmsei/les municipal deToulouse.

CALVAYRAG secrétaire de lasection de Fonsorbes.

Canton de 51-8451. - RéunionsPubliques dans diverses communesdu canton avecs le concours des ci-toyens 1 RAUZY, BEDEL GOIJZY

A A rivas à midi. grand b,anquet.A l'issue du banquet, mande

rempon publique,Orateurs inscrits

LABATUT, dérouté, conseiller Ré(néral.

pf,DOUGE. député, conseiller gé-néral.

A &met, à 20 11. 30Orateurs inscrits

MASQUERE, secrétaire de Fédé-ration, conseiller général.

BILLIERES, maire de Toulo

CASITON DE SAINT-BEATSamedi et dinnanche auront

lieudans divers. coma/Unes du canto:sden réunions de Prolossetlido oveeconcours du canusiede Lobeul dé-puté de la lite-Garonne. Goamy, moi-re de Csesères, conseiller d'anronshs-miment. Bele, trésorier des Syndi-cats eonettlérés de la Rte-GaronneItauzy, des :lenneSSOS socialiste.

Voie: Phasme dia reunioaa :

g

L'anémie est vaincuegrâce à la Quintonine 'yen laquellecoqol 1eri1JP'llee'JeePtei'emsleelafeelltrbelle et remonta rapidement forge-nisme affaibli,

Le seeros de ()Malouine, 3 Ir, 50,Toutes 15115TiliiTe.

g.sedl à 8 h. 203 Fronsse, SalieJean Crawle, orateurs hemits

(iouy, Bodel, itausy.Dimanelie matin â 9 h. 30, sel°

Abadi 0 Cirre le casmsade Bele,aimossra une réunion ppm:ta/muent

pour l'organisation du syndicat.Dimanche au soir, à 3 ta. A Fos,

réunion publique et contradictoire.Orateurs inEKtits I Gouzy, Bedo.Remy.

,,,enehy au soir à La Matins deGiurand, à 8 h. 30 Muaivo puisligneet contradictoire orateurs inscrits:

Gousy, dausy. A 7 h. ban-quet chez le .marede Castes, mairede Ourse

PARTI SOUMALISURETET S.F.I.O. -Le comité cantonal du Parti ayantorganisé le lupdi 5 avril à Muret,salle Peyrusse, une grande réunionpublique et COntradictoire, se dé-clare nés satisfait du succès de cet-te itimortante manifestation à la-quelle assisMient ohms de 1.5(01 per-sonnes venues de tout rarronchsse4

e'ct.ciLe toyetn Rau.), dey Jeunesses.

Liatifa<s.né.itu,,,,ngéréf.xiipolisrft

dtur onè s laoPnrli cl

aaprpoll

'reiecuitnoy'se. Léon Messaud a trait&dos is sociales et des accidents du

Le citoyen Ca/VaysaC a ondé lon.guernent du socialisme ego/mole eten particulier pour la création d'unoffice national du blé.

Le citoyen Vincent Ausiol prendensuite la parole et. très acclamé,Par rassistasce a fait un" exposéremartluable de la situation homo-eière es éconosnique du Pa,'e àrheure présente et a longuementparlé de la position du serti en fa-

ce deLes oletrat'reeetec Peeoirateursrsqeje'lse sontsuccédés à la tribune ont été vive-

mclutAprê''sdaZéis. entendu le citoyen&este eoPortant /a contandiction.ce dernier se bornant tom simplesMent à cenelles rection du part).

L'assen-Mée se Menne aprèsavoir VOté à l'unanimité l'ordre dujour suivant :

l..09 citoyens de roeretaliesooentdo moret, ...blés en réunion pu..blique SOns In présidence du °RotorsI J arry, après avoir entondu "lescaresmbs lOsuzy, Mega., cehay-rad et Vincent 010101, ekprifrentleur entiers confiance au parts so-clatlieto qui les invite, 4 se grouperen 'un de t'émancipation du prote-

poirlI estIte't;;01,ZZ:.7"e eort'oe'sque'. s'orientant vers la retoitation

lois social., enferma de la loisur les gerelonts eu travail, luttaentre les grands Maux anbarculoS,nase, alesadisme, lutte emtre touteguerre.

Ser la sitaction économique duPuys, et en bien/dies des rusas.,ieentels ont été trop négligés Oie-

q'Accl'ece leur.

stu le citoyen Vincent As-rlol poar son remmumbh csati.gsus ta poRtique gsnésaie, financierset émues/dgun du paso, et ideentséance sus cris de I Vive fo iktpt,phein cocàele p,p1. 1.1.Pur la cts

SALIM-DU-SALAT

LA GREVE CONTINUE DANSLE CALME ET LA DIGNFIE. --S'il est une chose dont on puisse seféliciter dès maintenant, c est lamesure toute de dignité et degesse prise par les ouvriem carriersdans leur conflit avec l'administrastion Saboulard.

PPS de buit, pas de manifesta-tions brimantes, Mais l'Ordre et lissilence, dee hemea graves.

C'eut ainsi Cale 330Us SOTAllaitOnsVOir toujours confiants en eussuitiê,tries et dam la force de leur orga-nisation.

Secoueo cette torpeur dangereu-se qui vous paralyse, ne vous lais-ses pas bercer d illusions, ne vousleurrez mis de vaines promemes

Solidarisex-vous fortement, étrol-tement I A ceux oui nullement qua-lifiés .ulent vous en imposer pardes menaces, à ceux qui vous pes-sécutent et répandent sur vous levenin de leur méchanceté, à ceuxgni VOUS abreuvent de sacarsmeset vous 6daboussent de la boue deleur ignominie. rés/Onde. Pas moncourageuse fermeté, par un cahnedigne et fort, précurseur des wan-d, tempêtes. Soyes sobres de pe-ce scs7r dpcoeureeevoctels dieopsiecni'oel:PU/ligue toute entière, qui vous ad-mire et applaudit à votre sang froidPt votre fermeté. Demain elle volaiaidera dans Ia lutte, Disons tout deosui,iteiosthuge,,l%trzoi:dipidaé déi.litrer àréàg...dfait

dre.'''''Sabordts'ls7de's;éiallieetsta'vois hier àM. le luge de paix qu'a se refusait

à discuter avec sOn oemonnel. D n'adonc pas été possible de tenter lemoindre arrangement et de foiresurgir la moindre concession.

La direction a employé les proscédé classiqueissi les ouvriers car-nem n'ont pas rejoint le chant/es àtelle date, ils seront comidéréscomme ne faisant pins Partie de lamanière.

Malgré cette soerance digne destemps écoulée - mais nondésrmcrate - les ouvriers ne ré-deront uns.

L'InNb.hesitalin::t,:li'el:st'Pulgto:sc:od7éslifesaP6ru:o6éju::»17:1PaiPeou.e'''és-

exerce. lens pleine et entière soli.denté à l'égard de nos camaradesen lutte résolus à ne point se laisserfaire et à faire trios-na/. leurs 57.0-destm revendication,- je Coassasde eyèsds.

d'apelns le 'eare Tel, MALOTIV Epoque 1 s Pour l'Argent 0.

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FEDERATION SOCIIALLSTEDE LA Hte-GARUNINE-

Notre tableau de proPOgQndede lé et Il Avril 1926

REUNIONS PUBLIQUESorganisées

par les sections socialistesavec le concours de la Fédération

SAMEDI 10 AVRIL 1926Canton de SA Béat Deux mandes

réunionsOrateurs inscrits

RAUZY, des jennesses Socialistes.BEDELs de la Section Toulousaine.GOUZY, maire de Caières

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: s.-images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1926/B315556101_MIDSOC_1926... · noms. Les cas de ce genre sont lunaire: ... petite bourgeoisie Bis d'instituteurs ou de petits fon, ti:

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Elle belote- Mois votre père ne vous adml

parnais patté de celle qui vousau inonde?

L'artiste eut instant d'hésitation.deolium d'Une voix sourdeSi... si... il rrea dit que ma t'aère

Iktit morte.NoriaSAlors Me n'était pas, elle ne pou-

vait pas Pire la Mc° du wulpteur?Elle hoi»ea retomber tristement sa

Elle sur sa Poitrine.Cependant Pierre poursuivait

II m'a dit qu'elle Malt Morte._c'est vrai... D'après ce que je Mtusgomprendria un grand secret Pme su,ina naissance.- Je ne el:embat pask l'a fo dir C'est sans doute

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parse qu'il m'était di:fumes du le-v,. nia /11%.,1, vivant° que snon pèreme fil celle déclaration.

li se ttrime avait relevé les veux.Ses niaisso se esispaiont aux bras

du fauteuil,Les se.ndcu étalent solennelles.

fève, tout aux événementsdramatiques qui se déroulaient de-

instant Cho,rotor du et oilualloe.

M. Dieu! si Pies. MM le fils

Peelater.C! tiikli'll.ere;rf.u%tesile pleurait depuis tant d'années!

Los lesreS sèches, le coeur sansbattement, la pauvre femme disait

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NOS PRINCIPAUXTT/MAIRES et ARTISTIQUES

Ve. et? Ul')te,DOMINIQII8 Mandat DUYLA4,

°Le2.1...reeL"gil" °,7e,"leVeddy'l:

SIX PAGes

- Le nom de votre M.-. pos_vez-vrrio me lo faire connaitre?

si:relie Io maroluis

Les paupières d'Hère se fermè-rent brusquement. Un eri jaillit d'en-ME ses avr... Sa tète se renversaen arrière.

- Mon enfant._ mon fils... articu-10-1-ollo Jaiblem.t.

f lun sottes paroios qu'elle poil

Preer ;firme Oeil à sm oisoor.- Mise- mère._Aloi mici que pour la première

fois._ durant quelques instants-. dOubliait Getsevieve.

Oui... voici qu'Il np pensait plusqu'elle étail là 1 sm, cafés, elle qu'iloyait opte retrouve° ivres tant dejours d'atroce desmpoir.

Sa mère!Mun Dieu, rouit sa Mère qui avait

recueilli en DamnaiCitaiS

s dtt la bOisSrn... de In,ner,t grrsaleizi la fille dis eomman-

lArsqu'ii allait &Ire mis au cou-rant de événements, comme lermeaorxeris d'Aulnoy° allait être heu-

Car n'était pal possible One dansce duel avec un infâme il eût été

TA »M. artiste avait enroulé seslass autour do la taille de sa mère.

14 faible.o qui wu» P.cèsbonheur s'était .Mareic de eelle-eiti cas ourer.

La chère ...tutu allait revenir à

Il défait soulevé... Dois..., ilPesait ses lèvres sur in Iront de la.conateme, sui' 00 front loulous Ifflu.niais que quelques rides creusaientdéjà. .

Au contact,- MI frisson pareourblle corps d'Ir.,

D'une voix divinement heureuse otfaible encore connue un sourde ma-dame dSiao01nboet reprenait :

-.Ahl mon mon Meri je leretrouve MUID

- Mère, mero... Dominent vons di-re lm sentiment» tumultueux quiaiogiortio dans mon bonheur>

lét avec une fièvre orobiwnie051... Vtillss10... le Mal jmnals

trop désespéré do te revoir.e Malgré se qiu, pûre °gavait dit..

il me Serabia5 fine lu no devais pasSire morte...

Je me deminis quo dm obstaclesPuissants vous séparaient père ettoi... maisil me r.tait 105111010 laconviction .qaa oies obstacles un Mileslisparaileasent et que nous serionsenfln tous reunis.

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Merci, Man Dieu...MM» miel quo tout 3 coup une

ombre passait sur son front., et uneréflexion amère._ désolante... uneréflexion ferrade Saaerwit, sonpoil.

PourtantPourtant st cela n'était pas..

sl Invie devait ciscore nous séparer? Pau-vre peste, murons il eouffrunutt

Den° souriait.Puis doucement Mie demandait-no me parlés 05500 de Mas pè-

re, mon Picitre?

rosai do pesréet: nâ'roausP, 'iqe sil,:jure,

La comte.° étouffa un cri.Des larmes de job roulèrent dans

se» yeux.liners poursuivait- Quel qu'ait MO te secret qui a

pesé si 1.rdeniont sue vos deuxlies, et que ho ne velm pas °hercherà approfondir, Je vous jum que monpês. est resté absolument Mélo avotre mémoire et it votre amen,

/I a passé sa vie I voyager, cher-chant sais doute Poulult qu'il nepulsa» Semer.

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Les Mystères du Peupled'Eugène 550

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amides de savoir, w dresse, admirable, grandiose, l'essr,de vérité et de listice do l'incomparable écrivain.kr mont, des plus grainas qualités de stylo et debrillent conteur ; den milliers d'exemptait. de . 05,1.d'ouvre out été répandu. et CU pages émouvantss ont fait

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Noua rappel.» que Maurice La ChStre fut condamné,en 1857 h un an de prison et 5.000 francs d'amenda pourl'édition des Myst.. du Peuple ii, cet ouvrage lurentété jugé subversif par lu geuvernement impérial et leparti clérical. Les clichés et Sens le, exsoplaires furentdétruite. Deux ans plue tard, nue édition du Dictionnaire'La Chem était détruit, et llaurim La Chatte se voyait

infliger eirm ans de prison pour outragm 0. la moraleet excitation à la bene entre eateyens I

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-AS! mon pauvre Rodolphe!Irêne 8, soulevait enfin- se met-

tait oehout.Elle murmura-Nuls pourrons le voir bientôt?Et nomt, efie sentait tout Se000p

trembler dans ses mains la ruain dePierrot une pe.Se lui vint qu'elatraduisit aussitôt :

Rassure-toi.- mon enfant._J'ai /u ce qui se t'amuit dans tonSine.

e Tes craintes sont vaines, Isu er&emelt.

st vrai, 101 01M mariéo avecun homme 'rine je n'aimais pas eldont la ponduite envers moi tut in-digne.

» Cet homme est mort.o Je sua libre. Pierre._ Tu avais

raison__ EOieu nous a etifin réussis...Qu'il soit ihersi Puor 8. DRMIN

Mt' t itragatlre 0502511

Pieso, pourquoi restes-tu salencieux? On dirait que tu tas peur

nso regarder en fano. Qu'y a-l-il? Tu mo tais peur... parle.., jet'en supplie... Ton père?

MW tremblait S son tour.- Voyons._ réponds«. un malheur

est enivra.

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