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671e Année. - No 25 _ W . det BUREAUX : Eue Saint-Rome, 4 . 4IIOgQSEpl1P%`. MMURES DES CEp001'ui011 DE6 &BALVEJC1 UGS T UJ'lb DES CH0AlNS 00 FLR 0010101 ET D'OIILRANS lIcOl Igel;O'iOB un en, t0 ft; A malt, le t e miet, let. star., se e050lsea. DApaeta trnrha LLaaa ou rots. Dk pAIITMMB'SJTS - vo l; - 9 r f , - 11 f. D1gru: Arrivera M tin f0 i. W lésion s h. et 0égr oeaou al kfRANOEB Les frais aupplémontso ea rte pat. en eu. Matin 11 h: 3) M.U. Agen 1 ,efs 6 r isupnaa) t 00 Mxu ItPr.i50 Ae Matie 4 0, f0 ratio 4 h ts é ( ch ) dafr 3 W toit 1 lis $nir 6 . , bU t v ri A 8 Is , Mana Ma n en Os Ybpolt Ixr RYOruem®rN est `a,M A---. e Matin leu?,.) tf i'; ,air (expient 1 4g soir Garcar. e l5 iii tu W Hoir Imaéhd 0 W l a, tl 00 t TOULOUSE : Aux buron,., du Jonrnzl, tans Bt-Rome, /1. Ase- e la soir su 5, APAIi18: C,hes M. Bavas, tan. J: J. Roaeooaa, *i rhas MM. faffltte-Rullo t 1 1 de la taurin, M. Fontaine, rue d. Poésie. 12, Matin Seuls Corrospondanu pour les Annanera. Matin Toulouse, 25 Janvier. ta4p6ehan TO4.igrsphlquex Berlin, 18 janvier. La Norddeutcch Allgenrmn, Zeitunq pu- blie ,.taie oorr pondeuse télég ph que 6ohanggén antes M. de Il em,enk t l am. b sud i la Confédération de l'Ans- g d N .à l dépoté n 1111 J g%, d R L p.ay. t f fé 18 et b Va 1 [ se d mt d'A sil p t mrter su 1 ssoanré dh Meus r m o. le lgsserad partir av ha heu- noue, dos à son rang, M. de Bismarck e r6po.dIl le i me jour amrmativa- m t. Sur e sne o cabs il s'est dressé co même temps au aabiort de Florence en faisant remarquer q était dl' devoir de roi unvara les iu'+Iodes de let à l'i,goo de Nmilde veillillou e, à In dignité et J collé- Lea an du pope t italien a répondu sac ,nsemiona étnimrt de sauvelgardev Iv dignité et l'iudépendanoe du pape, etgu'à set égard là, il ne pouvait ex iit., vu-vu doute. 1. fndépeudueee belge publia la dépêche onivanto, datée dArlou, 19 Lr. nomb,rdeu eut de Longvvy troué aojo¢rd'hu avec haeuooup de v gueur. 300 bombas sont tombées eue la ville. Lv ciooher s'est fenil,.. Plusieurs maisons sot démolies. . Versailles 20 jauni I. Nos partes devant Parie la 10 ont été de 4W hommes. Les perte. ua l'ennemi ont été ai cau« sidérait[. qu'il a dd demanler un arme-os de 48 heure. Peur relever sea blessés et ses morts. 500 prisonniers out été faits à l'eu- nemi. Do Ponnisc.ski. Saint-Quentin, 20 janvier. La premiers armée a emperlé hier une éclatante victoire près de Saint- Quentin. t'es uoupee quiy out pris part étsfont, outre colles de a premibre ar- éo, celle du général saxon, comte de Lippe. Saint-Quentin a été occupé le sair près que lots régiment de la division du prince Albert eut enlevé la gare d'as- saut. La covalene a fait plusieurs charges heure¢sos. cet, prisonniers causse et t in , 10,000 non t blessés sont tommbée unos aujo'. ar plus s grande dé,,,- Us Eau cation de de 1 'armé. ennemie. Nos per- tes ne, sont nos encore constatées. Mais I.Ilosifs Fraoçaia saut beaucoup plu. importantes. ne srxai.ixa. f,, Sioelasn,eiger (journal officiel,) publie uns dépêche de M. Biomark adres- sée, eu date du 17, à M. Kern, inis- tre de 1. Ceufédératieu salace à Paris, laquelle répandsséeA ue ire, o date du 13, adre A M. deiBiamark par le iatra de Sodas et d'alttrre diplomates ot demandant qu'il fAt domsé à leurs oompatriotoi la possibilité de sortir main- Seuum =toi M. de Biamark répond que cette réola- mation est pue fondée ea droit des ras. Il rappelle sea notes du 26 estn- bre et dn 4 novembre 1070 qui atti- raient l'attention des étrangers sur les dangers que leur offrirait la continuation de leur séjour dans Parla. Ni 1. lof, ni l'usage n'oblige J'aseié- g t à faire cenaaftre d'avance aux as- aiégéa les epératiI.a auaquslles le sfége - panera avoir à proofder. On devait Atre préparé à Dette éventas. lité que devant le "'i"""' pereis- tenta de la défense, l'assiégeant finirait par avoir recours en bombardement. L'eut,, ieapon de quitter Parie donnée plomatiqus demeurerra maintenue comme affaire de courtotate mtarnebonale que leur sorte soit cbase difficile et quai. barraeeacte pour les assiégeante Mais quant à us note. de oua le rs n b Z'tr l' la t d g. Au siég d tari I y n a p dautre que la cepitulatmu de oeta ville. DéPECBES OFFICIELLES. Impact ter Loa d d i g d 1 d u fétégr dsA R de Dqo¢ 22J i r 3 h.u e Encore une brune lauses pour noue. 20 tu tria". ea LLTeaea. usas a carra. to h l0 a^srlm f III tcir Poà 1 0 n.+ 4 h- I li 50.15 giroct.l ta A l'or Mgmteaj. . 5() Attaquée de nouveau ce mat prés AUTRE DfPBCHR une ,.,. surprises continual noua g d u 23 J uv er repoussé poussé les P u t t la l1 h I m tin ligne et ..VaIrap s a sv élu . Mes six brigades télégraphiques di per- nées, voit an m lieu del batte s, sel t e postes dohservatioo, entonr6.s p 1 i font preuve d'un sangfroi f etd g. rq lise. C. t Ig A, go et le fe, de 1 rai ri r,lh la lgue de la fe d rme de gel Air, pros Cerce lies Di1on, 12 5 h. a Ifn sole de. croulé inoi i c, c mmis à Hamevill¢ par les Prusnienea e de ... ambulances, a soulevé l'indignation géNec) médecins et i. Rrmii ee a- t été mm. e sapés malgré loue lava iesigna Dos cngne:e cet voyer e à ce eujet. PRTVEE Bordeaux, 2/. janvier, l0 h, mat. Aucune nouvelle de Paris depuis le ballon de vondredi matin. Dijon, 25 janvier. 1ujourd6Hi, nouvelle bataille sous Dijon et nouvelle victoire des ['tanç Voici la suceessiou des dépêches 6 h. 25 soir. Cé Oral I'ébssier à gueram. Dijon Ires-violemment 011' lié depuis une heure de l'après-midi par forte co- lonne prussienne, par lo côté nord et le coté out Toutes le monde est à son poste. 5 h. 16, soir. Cotent Gaueklorà guerre. h ; ennemi est à 1,500 métras d'ici, occupe Pouilly et le château do 11011naire. On dit Riccioti cerné. 6 h. 15, soir. Colonel C,auckler à guerre. L'ennemi se retire battu. Riccioti a pris le drapeau du file de ligneprus - sien. 6 h. 45, soir. f eporteur des camps à guerre. La déroute des Prussiens est com- plète. Leur attaque a eu lieu à 1 heure par la routo de Langres. La brigade lticciotti Garibaldi s'est couverte de gloire ; elle a détruit le 619 régiment d'infanterie prossiooue et lui a pris son drapeau. I: horoïsme dans cette armée est à l'ordre du jour. moum catsaa.tc, e"Anne. en ncao, Lille, le 25 janvier. Soldate, C'est on devoir impérieux de votre général de vous rendre justice devant vos concitoyens; vous pouvez être Bout de vous mêmes, car vous avez bien méri- té de la patrie 1 Ce que vous avez soultert, ceux qui ne l'ont pasvu ne pourront jamais l'ima- giner et il a personne à accuser de ces souffrances, les circonstances seu- les les ont causées. En moins d'un mois, vous ayez livré trois batailles à un ennemi dont l'Euro- pe entière a peur. Vous lui avez tenu tête, Tous l'avez vu reculer maintes fois devant vous. oos avez rouvé qui il n'est pas in- yioYcihle et op 'la défaite de la France n'est qu'une surprise amenée par fi- Replie d'un gouvernement absolu. Les Prussiens ont trouvé dans les jeunes soldats et dans des gardes na- tionaux des adversaires capables deles, vaincre. Qu'ils ramassent nos traînards et qu'ils n'en rament dans leurs bulletins, peu importer Ces fameux preneurs de canons n'ont pas encore louché à une de haies. Honneur à vous l Quelques jours de repos, o[ ceux yui ont juré la ruine de la France nous retrouveront debout devant eus- La général commandant eu c6 f l'armée do Ncrd, Signé : J''Amnu0BS. 11 Bancal, ancien députe est mort.. Bijou, 25 janvier. Lennemi, oprés avoir simulé une ai- letue sur notre gauche, a massé le gros de es forces sur la route de Lori' gros et sest emparé un moment do la ferma de Pohillr drou nous I avons de- log n b: liant biset e dans le mur et soi une lusiliad0 eblatanlr. I a bn rde Ri croli a pris le drapeau d SI' régiment prasbleo. L'ennemi a éprouvé des portes cour mes. Le file a ôté presque anéanti. L'ennemi a pris la fuite sur Illesi- goy, Norgos et Savigny-le-See. Tous les corps engagés ont fait leur devoir. Une oraude partie dos mobilisés do la Haute - Savoio est arrivée à temps pour plurielle part au combat. Daosl'Ouesy aucun incident notable. L'ennemi paraît 3e replier. Le dépar- tement de la Mayenne est libre ; Alen. çon est évacué. Dans l'Est, la ligne de Lyon à Besan- çon a été coupée par des contents enne- mis à Byans près Quingoy. Pas de nouvelles de Paris. Chronique Locale. eut été ruconnés, par orété d millier- tes de 1 ara, es et plots oi p as d ris tel garde net ovale mob I sen des départements. Compagniead- génie Capitaine en ter, M. DORdé, lue; ceci- laine en 2e , M. Barbé, Joseph; lieutenant eu lvr , M Castex, Fraoeoie ; lieutenant eu 2e , M. Go rdey, François. Par décision du 1h janvier 1871, M. de Teoil da Pardailhan, capitaine d'infanterie de marine, passe, comme capitaine, au 71a régiment d'mfenteris de marcha. par décret du 23 janvier saut nom mets Avocat généra! prés la Cour d'Appel de Tr,loosa, M. Pelleport, substitut près le Tribunal dv'fouloosa, en romplacosneut le m. Manse, mmé proaurcur général P""' la Cour d'Anoppel de'ibulouo,. Avocat eénérei pros le Coor d'Appel de 'l'oulcuea, ill. Voguer, 64wnnier do l'ordre des avocats de Menue[ su rampUcement do Il. D;Bre. Avocat g6néral près la four d'Appel de romouae, M. sentaican, avocat pros le tribunal de St-Girons, eo remplacement de M. Angor. SuLStftn prés le Tribunal de Prom'èro Instance de Toulouse, M. A'lerd Gay, t à mmetaub..; eu temple. meut de M. Pelleport, n é avocal-général prés le Cour d'Appel de Toaloues. substitut près le tribunal ci vit de Moutaubau, M. Lateaille, juge prés le tribunal i 'I de St-Girons, ex remplace. meut de M. Couget. Per ordonnance de M. le premier aident de le Cour d'appel de Toulouse, la première sesaiou de la cour d'assises de la sute-Garonne , s'ouvrira le lundi 27 fé- vrier, sous la présidence de M. le cou- veiller Burguerieu, asf,té de MM. les os soif ra Deyres et Poejade. Les memlires du Gouvrnement de la défense nationale délégués pari représeu- Ie Gouvernement et eu exercer lea pou- vofrs VI, les décrets des 12 et 16 Septembre 1870; Vv le décret du il noveml 1870, rit eu ministère de l'inter, or l,svdépense, coocornaot le set - de la délégaticu spéciale chargée de la cons- troatcon dos batteries d'artillerie mises à 1 n g d département,, éd t de 501 llOo f p él 8 sor ecoui de g q mi Ilc1 11 t3 1 ocO do lé go» d sédentaire. t-no, s'eswtxes, LaxehanM- Matiu e h. tu s±atiu e h. 05 111 00,, { ' 55 . x 4T as!., a te Sdr Mercredi, 24 Janvier 1871'. ?ALOI, su âlïIINdil Ammmao, laIligne Itèolan e< la igu latta divers, la l'go. 0 Ie. 5e 0 le J pr. IDMUD7 : Dualtaaint.Rome, N, e. pxemu a &e,'..Infe, Imo , mene Philippe l.ntasam,- ,,i' e rem il f15m, Béerate t j.ere s rit mec 1 pr du t de ette de cap Art. 1 r S la redit de trois t Ittoisut n m torve' à la su 'W mille f s t miel, ère d ri - d c. f 1 tit,,s es J nao qui téta x o ld71 ehap t a 17 1 éteicgt représentés à ce Congres budg t at d po r Is dép ses , 5f lové P s succès relatifs de sosaro da je, dé g lie,. s le I ti1; gf b s ;t, m h r s'écoule L o, [ t ; r t i te d. d'.q lles. la g d biu é - le l , il a mie t nl de se di ei- dod cxcom q q t Il f s tr m" g 't ! I t t aa da.- ,I rslê porté A 1. r -.371 al t I P ll d.:l t q. t 11+ muet, . 1 I F t de la mil f u budg t et- Rép l 1 q. t I blé t tra d'items d . tac c 18111. D 008 I hure peau d lo'1 . an, P a loris, vu- Art. 2 l.v étts.:: éu ér met lu . si sortie v marieuse du g6ner l T dAlég é p - é Idasu,i uiast r d l' téta de; n le p is d lD l o u plus e seul l'e q t à la tt bl l ( n n en o p a e p dér f ue, xrounue prscllace. c de ff Fi à Bd t 14 ji 1871 ater oua,eanver. Ad. Crémt.nx Léon Gambette, , (deusBi' soin, L. Fourichon. Les obsèques do monseigneur l'Evéque de Moetesbau out eu lira hier, à dix houree du tin.tir.. La cérémonie était pré- sidée par monseigneur l'archevéque de Toulouse. Le doyen de la typographie Touloe. saine, M. Jean.Paul ,est mort, hier mardi, à l'âge de J2 ans. M. Ro¢- get était fort estimé pour son caractère honorable et obligeant. R a passé es loi. ort. sac nes Prusse de porter tous ses e armées départementales, m noce de ren- dre inutile tout l'béroisms dépensé par os soldats impvevi'és, dans FOuer t, sur la Smnme et sons Belfort. D',utra part, les ménagements os- treordi.eires de la délégation de Bor- deaux envers les divers partie m.,,- chiques, qui placent la anse de la Ré- ubliq..o aa-'sella do salut du paya, imam s permettent de craindre qu'aux complice' tioue rtérimres n vieonent bientôt s adjoindre des complicatioue intdricuree. C'est pour gazer à osa deuz Avnntua lités également fanostes que les délégros mde la pressa ré ul,licaine des dparte- eits net cru devoir se réunir, et, pras dêtre concertés, recommandée au isole ut Ils masers iv tes- e r capelles d'assurer la Répnblfgoe on te ici attaques du dedans et du de, go' carrière dans la maison Douladoure, I hors : vofliaat tc travail et c rrigerat les preuvcs ,presque jueyu'à sa dernière cent epontieui Les relation é e cetdes plus agréables avec cet homme leboneua t modeste, yui na vécu que pour ra famille, ses amiset son devoir. 001IElIt) 11, SCIE'sClS, INSCRIP'f10N6 sr nouas anrrira es rorcouss. Séance du 12 janvier, Présidence de AI. Vaïsae-Cihlel. M. Berry, appelé psr l'ordre du tra- vail, lit u étude historique et 100ev.- phigae surale peuple celtique dos 'olkoe, qui formait, avant ln conquole r ia i opulalion dominante du pays désigné dormi ous le nom de Gaule Narbon- naise, En relevant les témoig¢ages trop peu nombreux, malheureosemvnt, que les anciens no s' o t laissés sur cotte antique population, Ni. B:,rry fait remar- gnerlûaque ntsesdlesPme é rt o'auts ets les plus gnage ppar- tianuent ohronologiqumneut ' l'époque mai n-at môme a premier siéoie de _le apeè l'piee re, fis qui e Volée étâlertt i le restés aprè em la congoota u possession des rlohesterritois occupés ou envahis par eus, et que l'an 0o1ait toujours sous la r m de terre do, ue Il e secundo partie dn son travail, M ation . Rare-v étudie successfaamcntlesdeux grande a tVbus dont o re posait le n dos Volées. Il mourra les Tecto- sages établis t l'ouest, a centre de l'isthme quo resserrent tesudeux mars dans de riches pays de plaine que limite le fleure Que... et le fleuve Ailla, et s'étendant par hautes vallées des deux fleuves jusqu'à la chef oc des Pyrénées que Strabon et Ptolémée leur assignent pour limite, à partir des sources de la Guerres, au moins. Leu Arecemikes qui paraissent i' fermé l'avant-garde de la population conquérante étaient séparés des Teato- sagee, aoz temps historiques, per dru territoires et des popolations étrao¢ares, soumisse tour à teur à l'us et à `autre des deeu peuples. M. Berry croit devoir affirmer, en s'appu ont sur le témoiguago t olucre'gravd t étrabonuque leur ter- ri, BhSue, dans l'angle de terres m ré g ses et [mules, ressercé antre les Cé t la ét 't là u'il s'ét t ét du 000 dép -[d s T eto- g J qu à la ville de Nar- o r., que Strabon lippue, le geaod part des Arecomikes. Le S e Al r p rpétael, G Orme Anvol c.e. C at q orné l e.s- 0-. t t q lq 4 L a suret d'un eu 31 décembre 187e, . C g d j l' t .. ép Llicains, . te 1 1 ` 1 m somme de deux cent aivquante mille q pe it v 1 à P ouse, le 21 ai o ai franco; Jan r. Dne m gord )e précieuse nous Vu le règlement général da 31 mai parvient à cet gard par la vin. de 1'8'- 1562 an, la comptabilité publique I mancépatton; osé jouiront publie legs re a f' Révolution le ceux des lonctios- -aille Je t t ordre dent le ts aumini é lg t I I pas té a vont Jr 1a Jourdl d. entrés d iséntl Fran- ce à p le; . 2 I I I imméd o' et iPeclf ris Ies drapeaux du la classe de 1851, déjà mise par ¢ndécret êtes isposition du ministre de la guerre: MM les offimi.rs de la garde nationale édenta. saut phéli. de s udre .u gr nde tenue eu capital, bureau du haut ut S. en l I, l J d 26 tirent, à 2hc et lsiraemib puer ccw-n- muacation N I ut nd rfice comptable d - camps ai t i 4 Ils, I à l rr é t $a de. onmrdr, d'être appelé a caotiv ité. Le nom'e0 (Piegre), ,rde à la 7m, compagnie du Irae bataillon de le 1re légion du Gers, vient da faire eu te de probité qui mérite d'être aigu.- lé. Cet homme a trouvé dans la baraque gtallaitoocupve sa compagnie, au porte- iooe[riant une somme de Si, traces 35 centimes qu'il s'est empressé de m tire autre les aies du chef d'état- major du camp. Cet homme sera porté à l'ordre du jour. l,e gméral de dicieiun, commandant le camp ds Toulouse. P.O. Le Ii-coloeel chef d'état-major, (Sigeatnre ilIteiéle) On noua apprend qu'une gdronde aéré- iir.Ic g et musicale t1,pro- I duit ..ps 1 . t g té tirs dis blessés le I cernée doit avoir heu dors l'Egli e St Etieoue a commencement de 1. semaine prnohaiee . 3- Astrielian à deux heures d'eseeci- ee par jour, de tous les Moyens valides. mcriés ou non, de 18 ào10 ans '1' Héquiaition de {oi.s les ouvriers A apts à fabriquer les nouvel- les armes dent le pays e on besoin impé- Sa;Transformation, malgré l'avis cou- u traire des comités spéoiaox, des animes fusils eu fusils se chargeant par la ou- lasse fie dlofi'.Jisution, par tous les moyens possibles , des capitaux noces aires à la ooutinuauo. dla lutte, qu'il rota la fois de l'ho lio,r et de l'intérêt de la France r6publicain, de poursuivre à an- trace,; .7 Face o de recrute, conteur ersdance e da", le carpe dus officiers d'ed- 'nistrxion, au nom du principe de L'aeaeseibilité .'e tau ¢x emplois publias at dans l'intérkt mémo il service des mec,; a .SEavof do commissaires eivls ans r.s:éc, chargés de représenter devant l'essemi le geuvernéme.ua de le Répu- blique et de tenir, d'une vibre per- an ute, la délégation de Bordeeeu au courant de la situation des troupes en amp: 1b Oa Obhgation pour la République L an- çaioe da pou u re la guerre sans fibre ni merci, et de tue traiter , dans aucun cas, qco après le complote expulsion de veA ;.,normal s oljoà la paix de ta.- a ,cIlle- tes élections, qui ne, e raient e ment pas moins nuisibles à la lerence qu'à la Républigne, et qui sort d'ailleurs matériellement Infaillibles 1 fo Réduction provisoire Il, amitié dv tous les traitaurents au-dessus de Si. mille. fraues. La réduction os perler, que sur la fraction e.oédaot ce ma um. e 12o Co vocation immédiate des ro missions dépar-amentales deus Pinté ét de la défense. a he gouvernement ont invité à pree. die des mesures énergiques soutra ira p-étendants qui vicient on violeraient le territoire de la Ilépubligve. O k dhréel ,'S n 1. cc chef et d,légs:és d j n vaux dont Ilmils ,,i,,nl de \ioi tpc 1- D -r .la de FIL, f l : r d. _ + rit t. iensr li t dur de lo ellI tli qt F lie, M ' [ fl v de Pé r; I ), Oies, de lo loose, Lil e il fr 1Mé It P t t. l g P pl kt M II NPrtIt y l f1. y roA l'- t. du I t RS,pl Cj,a- Icli 5 Rp bl I. 1 II 1 1416 r iel ry d. D d g li l d I t s -p 1{evoi d muer côte, Bepéohc, de Toulouse Nous nous empresrons de pu6lfer la let- tee suiva.te e r la combat d'Arery, dr.- fée de Desoedeaa ( Doubs ), le 1.4 jan- er dent rions rcoons c nnicatioe: Notre armée de LEst a marché jusqu'à présent crime u entrain admirable, et elle e supporté avao as énergie qui ae fut jamais démentie, les so flrauees que lui creuse une température glacia'e comme celle que nous avons Le tee corps, cvslie de par le i le. I ovonlles, fait pintetéde Doue s ment. Nou s s avons mus e imi ici les is dont il est composé, et qui out été fermés en si.peu dl e9 te- b mrli'dautes affaires de Vil- lersex,tl et d'Es. tel, remportées par le ISo et le 201 cape, le 00m devait a i air sa journée de succès devant uAr- co. Ce village situé le la croisée des routes de Villersexel à Montbéliard et de Belfort à l'hale sur le Doubs, ém t occupé par les Prussiens, qui s'y étaient fortemset r tranchés. Lear artillerie placée à droite et à gauche du village et appuyée contre de, bois, défeudait non.neotement Areey, encore le route d'lléricourt et Bel- fort. Lec 24e corps reçut la mission d'en- lever cas dinérenlra positioaa le I5. Dés la veille, le général Rreeeoiles, nmprumont heureusemen aux Prussiens e dv leurs réglée h bitoelles, garnit d'ar- tillerie les bois.mmeuses qui erdéroulent en avant d'Arany. e Ln 15 au matin, l'attaque générale au. A droite la Ire division, géné- ral d'Aribs ; à gauche la 2e, Pet oral Co. magny. La 5e disieiou, c mmaodée par le général Derseebiea, cille dont deux lé. gious de marche da Rheoe fout partie, était chargée da tour rr les bois du Mont, oh tee Prussiens ec tenaient massés. A neuf heures du matin, par un rolcil splen- dide, mais aussi par un froid de 20 de gré', a ,.cade se bisait entendre enta toute le cligne, mais plus vivement sur- tout à votre canons, des' la direction de Gonvillor b. Le front d'attaque s étendait 55m pins de cinq kilomètres de terrain. Nette artel crie, dissimulée deus la ferla de ti tavelles lueçeit feras obus sur les bina d M t et sur herey, et notre io- I I lent; de ¢ bois f K n II t 1 d Il' Pro, ans i t u on, ,ai répondit r à 'di cle fat mes pé_ t 1 ., t ohligée de s rc- I svda,, t 1 oey. C'est alors qu I I I 0 1 1 1 d ri g . +It,br,et dans h ni'log.. et bie.i bt après notre or- t'a uI t 1 se y aeusy t t e t Isla laisse, ne 1 p s pdmea, g à à tle p i t é 1. e u, em- t t l a p ilions de p 1 S 1 A t Eol,ean, t St J I p d c q I division, de av voté, 'n fiait bouvillard, Vcllars et Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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671e Année. - No 25

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BUREAUX : Eue Saint-Rome, 4 .

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t TOULOUSE : Aux buron,., du Jonrnzl, tans Bt-Rome, /1. Ase- e la soir su5,APAIi18: C,hes M. Bavas, tan. J: J. Roaeooaa,

*i rhas MM. faffltte-Rullo t 1 1 de la taurin,M. Fontaine, rue d. Poésie. 12, Matin

Seuls Corrospondanu pour les Annanera. Matin

Toulouse, 25 Janvier.ta4p6ehan TO4.igrsphlquex

Berlin, 18 janvier.

La Norddeutcch Allgenrmn, Zeitunq pu-blie ,.taie oorr pondeuse télég ph que6ohanggén antes M. de Il em,enk t l am.b sud i la Confédération de l'Ans-

g d N .à l dépoté n1111 J g%, d R

L p.ay. t f fé 18 et bVa 1 [ se d mt d'A silp t mrter su 1 ssoanré dh Meusrm o. le lgsserad partir av ha heu-noue, dos à son rang, M. de Bismarcke r6po.dIl le i me jour amrmativa-m t.

Sur e sne o cabs il s'est dressé comême temps au aabiort de Florence enfaisant remarquer q était dl' devoir deroi unvara

les iu'+Iodes

de let àl'i,goode Nmilde

veillillou

e, à In dignité et J collé-Lea an du pope

t italien a répondusac ,nsemiona étnimrt de sauvelgardev Ivdignité et l'iudépendanoe du pape, etgu'àset égard là, il ne pouvait ex iit., vu-vudoute.

1. fndépeudueee belge publia la dépêcheonivanto, datée dArlou, 19

Lr. nomb,rdeu eut de Longvvytroué aojo¢rd'hu avec haeuooup de vgueur. 300 bombas sont tombées eue laville. Lv ciooher s'est fenil,.. Plusieursmaisons sot démolies. .

Versailles 20 jauni I.Nos partes devant Parie la 10 ont été

de 4W hommes.Les perte. ua l'ennemi ont été ai cau«

sidérait[. qu'il a dd demanler un arme-osde 48 heure. Peur relever sea blessés

et ses morts.500 prisonniers out été faits à l'eu-

nemi.Do Ponnisc.ski.

Saint-Quentin, 20 janvier.La premiers armée a emperlé hier

une éclatantevictoire près de

Saint-Quentin. t'es uoupee quiy out pris partétsfont, outre colles de a premibre ar-

éo, celle du général saxon, comte deLippe.

Saint-Quentin a été occupé le sairprès que lots régiment de la division

du prince Albert eut enlevé la gare d'as-saut.

La covalene a fait plusieurs chargesheure¢sos.

cet, prisonnierscausse et t in ,10,000non

tblessés sont

tommbée unos aujo'.

arplus

s grande dé,,,-

Us

Eau

cationdede

1 'armé.ennemie. Nos per-

tes ne, sont nos encore constatées. MaisI.IlosifsFraoçaia saut beaucoup plu.

importantes.ne srxai.ixa.

f,, Sioelasn,eiger (journal officiel,)

publie uns dépêche de M. Biomark adres-sée, eu date du 17, à M. Kern, inis-

tre de 1. Ceufédératieu salace à Paris,laquelle répandsséeA ue ire, o datedu 13, adre A M. deiBiamark par le

iatra de Sodas et d'alttrre diplomatesot demandant qu'il fAt domsé à leursoompatriotoi la possibilité de sortir main-Seuum=toi

M. de Biamark répond que cette réola-mation est pue fondée ea droit desras. Il rappelle sea notes du 26 estn-bre et dn 4 novembre 1070 qui atti-raient l'attention des étrangers sur lesdangers que leur offrirait la continuationde leur séjour dans Parla.

Ni 1. lof, ni l'usagen'oblige

J'aseié-g t à faire cenaaftre d'avance aux as-aiégéa les epératiI.a auaquslles le sfége

- panera avoir à proofder.On devait Atre préparé à Dette éventas.

lité que devant le "'i"""' pereis-tenta de la défense, l'assiégeant finiraitpar avoir recours en bombardement.

L'eut,, ieapon de quitter Parie donnée

plomatiqus demeurerra maintenue commeaffaire de courtotate mtarnebonaleque leur sorte soit cbase difficile

et

quai.

barraeeacte pour les assiégeante Maisquant à us note. de oua le rsn b Z'tr

l' lat d g. Au

siég d tari I y n a p dautreque la cepitulatmu de oeta ville.

DéPECBES OFFICIELLES.Impact ter Loa d d i g d 1 d u

fétégr dsA R deDqo¢ 22J i r 3 h.u e

Encore une brune lauses pour noue.

20tu tria". ea LLTeaea.

usas a carra. to h l0 a^srlm

f III tcir Poà 1 0 n.+4 h- I li 50.15 giroct.l ta A l'or Mgmteaj. . 5()

Attaquée de nouveau ce mat prés AUTRE DfPBCHR

une ,.,. surprises continual noua g d u 23 J uv errepoussépoussé les P u t t la l1 h I m tin

ligne et ..VaIrap s a sv élu .

Mes six brigades télégraphiques di per-nées, voit an m lieu del batte s, selt

e postes dohservatioo, entonr6.sp 1 i font preuve d'un sangfroi fetd g. rq lise.

C. t Ig A, go et le fe, de1 rai ri r,lh la lgue de la fed rme

de gel Air, pros Cerce lies

Di1on, 125 h. a

soir.

Ifn sole de. croulé inoi i c, c mmis àHamevill¢ par les Prusnienea e de... ambulances, a soulevé l'indignation

géNec) médecins et i. Rrmii ee a- t été mm.esapés malgré loue lava iesigna

Dos cngne:e cet voyer e à ce eujet.

PRTVEE

Bordeaux, 2/. janvier, l0 h, mat.

Aucune nouvelle de Paris depuis leballon de vondredi matin.

Dijon, 25 janvier.1ujourd6Hi, nouvelle bataille sous

Dijon et nouvelle victoire des ['tançVoici la suceessiou des dépêches

6 h. 25 soir.Cé Oral I'ébssier à gueram.

Dijon Ires-violemment 011' lié depuisune heure de l'après-midi par forte co-lonne prussienne, par lo côté nord et lecoté outToutes

le monde est à son poste.

5 h. 16, soir.Cotent Gaueklorà guerre.

h ; ennemi est à 1,500 métras d'ici,occupe Pouilly et le château do

11011naire. On dit Riccioti cerné.

6 h. 15, soir.Colonel C,auckler à guerre.

L'ennemi se retire battu. Riccioti apris le drapeau du file de ligneprus -sien.

6 h. 45, soir.

f eporteur des camps à guerre.

La déroute des Prussiens est com-

plète.Leur attaque a eu lieu à 1 heure par

la routo de Langres.La brigade lticciotti Garibaldi s'est

couverte de gloire ; elle a détruit le 619régiment d'infanterie prossiooue et lui apris son drapeau. I: horoïsme dans cettearmée est à l'ordre du jour.

moum catsaa.tc, e"Anne. en ncao,

Lille, le 25 janvier.Soldate,

C'est on devoir impérieux de votregénéral de vous rendre justice devantvos concitoyens; vous pouvez être Boutde vous mêmes, car vous avez bien méri-té de la patrie 1

Ce que vous avez soultert, ceux quine l'ont pasvu ne pourront jamais l'ima-giner et il a personne à accuser deces souffrances, les circonstances seu-les les ont causées.

En moins d'un mois, vous ayez livrétrois batailles à un ennemi dont l'Euro-pe entière a peur.

Vous lui avez tenu tête, Tous l'avezvu reculer maintes fois devant vous.

oos avez rouvé qui il n'est pas in-yioYcihle

et op 'la défaite de la Francen'est qu'une surprise amenée par fi-Replie d'un gouvernement absolu.

Les Prussiens ont trouvé dans lesjeunes soldats et dans des gardes na-

tionaux des adversaires capables deles,vaincre.

Qu'ils ramassent nos traînards etqu'ils n'en rament dans leurs bulletins,peu importer

Ces fameux preneurs de canons n'ontpas encore louché à une dehaies.

Honneur à vous l Quelques jours de

repos, o[ ceux yui ont juré la ruine de

la France nous retrouveront debout

devant eus-

La général commandant euc6 f l'armée do Ncrd,

Signé : J''Amnu0BS.

11 Bancal, ancien députe est mort..Bijou, 25 janvier.

Lennemi, oprés avoir simulé une ai-letue sur notre gauche, a massé legros de es forces sur la route de Lori'gros et sest emparé un moment do laferma de Pohillr drou nous I avons de-log n b: liant biset e dans le mur etsoi une lusiliad0 eblatanlr.

I a bn rde Ri croli a pris le drapeaud SI' régiment prasbleo. L'ennemi aéprouvé des portes cour mes.

Le file a ôté presque anéanti.L'ennemi a pris la fuite sur Illesi-

goy, Norgos et Savigny-le-See. Tous lescorps engagés ont fait leur devoir. Uneoraude partie dos mobilisés do la Haute -Savoio est arrivée à temps pour pluriellepart au combat.

Daosl'Ouesy aucun incident notable.L'ennemi paraît 3e replier. Le dépar-tement de la Mayenne est libre ; Alen.çon est évacué.

Dans l'Est, la ligne de Lyon à Besan-çon a été coupée par des contents enne-mis à Byans près Quingoy.

Pas de nouvelles de Paris.

Chronique Locale.

eut été ruconnés, par orété d millier-tes de 1 té ara, es et plotsoi p as d ris tel garde net ovale mob I sendes départements.

Compagniead- génie

Capitaine en ter, M. DORdé, lue; ceci-laine en 2e , M. Barbé, Joseph; lieutenanteu lvr , M Castex, Fraoeoie ; lieutenanteu 2e , M. Go rdey, François.

Par décision du 1h janvier 1871, M. deTeoil da Pardailhan, capitaine d'infanteriede marine, passe, comme capitaine, au 71arégiment d'mfenteris de marcha.

par décret du 23 janvier saut nommets

Avocat généra! prés la Cour d'Appel deTr,loosa, M. Pelleport, substitut près leTribunal dv'fouloosa, en romplacosneutle m. Manse, mmé proaurcur général

P""'la Courd'Anoppel

de'ibulouo,.Avocat eénérei pros le Coor d'Appel

de 'l'oulcuea, ill. Voguer, 64wnnier dol'ordre des avocats de Menue[

su

rampUcement do Il. D;Bre.Avocat g6néral près la four d'Appel

de romouae, M. sentaican, avocat pros letribunal de St-Girons, eo remplacementde M. Angor.

SuLStftn prés le Tribunal de Prom'èro

Instance de Toulouse, M. A'lerd Gay,t à mmetaub..; eu temple. meut

de M. Pelleport, n é avocal-général

prés le Cour d'Appel de Toaloues.

substitut près le tribunal ci vit deMoutaubau, M. Lateaille, juge prés letribunal i 'I de St-Girons, ex remplace.meut de M. Couget.

Per ordonnance de M. le premieraident de le Cour d'appel de Toulouse, la

première sesaiou de la cour d'assises de lasute-Garonne , s'ouvrira le lundi 27 fé-

vrier, sous la présidence de M. le cou-veiller Burguerieu, asf,té de MM. lesos soif ra Deyres et Poejade.

Les memlires du Gouvrnement de ladéfense nationale délégués pari représeu-Ie Gouvernement et eu exercer lea pou-vofrs

VI, les décrets des 12 et 16 Septembre1870;

Vv le décret du il noveml 1870,rit eu ministère de l'inter,or

l,svdépense, coocornaot le set - de ladélégaticu spéciale chargée de la cons-troatcon dos batteries d'artillerie mises à1 n g d département,, éd t de501 llOo f p él 8

sor ecoui deg q

mi Ilc1 11 t3 1 -m ocO do lé go»d sédentaire.

t-no, s'eswtxes, LaxehanM-

Matiu e h. tu s±atiu e h. 05111 00,, { ' 55 . x 4T

as!., a te Sdr

Mercredi, 24 Janvier 1871'.

?ALOI, su âlïIINdil

Ammmao, laIligneItèolan e< la igulatta divers, la l'go.

0 Ie. 5e0 leJ

pr.

IDMUD7 : Dualtaaint.Rome, N, e. pxemu a

&e,'..Infe, Imo , mene Philippe l.ntasam,- ,,i' e rem il f15m,

Béerate t j.ere s rit mec 1 pr du t de ettede capArt. 1 r S la redit de trois t Ittoisut n m

torve'à

la su 'Wmille f s t miel, ère d ri - d c. f 1 tit,,s es J nao quitéta x o ld71 ehap t a 17 1 éteicgt représentés à ce Congresbudg t at d po r Is dép ses

, 5f lové P s succès relatifs de sosaroda je, dé jé g lie,. s leI

ti1;

gf b

s ;t, m h r s'écouleLo, [ t ;

rt i te d.

d'.q lles.la g d biu é -le l , il a mie t nl de se di ei-dod cxcom

qq t Il f s tr

m"

g 't ! I t t aa da.-,I rslêporté A 1. r -.371 al t I

P ll d.:l t q. t 11+muet,

. 1 I F t de la

mil f u budg t et- Rép l 1 q. t I blé ttra d'items d . tac c 18111. D 008 I hure peau d lo'1.an, Pa loris,

vu-Art. 2 l.v étts.:: éu ér met lu . si sortie v marieuse du g6ner l TdAlég é p

Idasu,i uiast

r d l' téta Là de; n le p is d lD l o

uplus

e

seul l'e q t à lattbll ( nn eno p a e pdér fue,

xrounue prscllace.c

de déffFi à Bd t 14 ji 1871ater oua,eanver.

Ad. Crémt.nx LéonGambette, , (deusBi'soin, L. Fourichon.

Les obsèques do monseigneur l'Evéquede Moetesbau out eu lira hier, à dixhouree du tin.tir.. La cérémonie était pré-sidée par monseigneur l'archevéque deToulouse.

Le doyen de la typographie Touloe.saine, M. Jean.Paul ,est mort,hier mardi, à l'âge de J2 ans. M. Ro¢-get était fort estimé pour son caractère

honorable et obligeant. R a passé es loi.

ort. sac nesPrusse de porter tous ses earmées départementales, m noce de ren-dre inutile tout l'béroisms dépensé paros soldats impvevi'és, dans FOuer t, sur

la Smnme et sons Belfort.D',utra part, les ménagements os-

treordi.eires de la délégation de Bor-deaux envers les divers partie m.,,-chiques, qui placent la anse de la Ré-

ubliq..o aa-'sella do salut du paya, imam spermettent de craindre qu'aux complice'tioue rtérimres n vieonent bientôts adjoindre des complicatioue intdricuree.

C'est pour gazer à osa deuz Avnntualités également fanostes que les délégros

mde la pressa ré ul,licaine des dparte-eits net cru devoir se réunir, et,

pras dêtre concertés, recommandée au

isoleut Ils masers iv tes-

e

r capelles d'assurer la Répnblfgoeon te ici attaques du dedans et du de,

go'

carrière dans la maison Douladoure, I hors :vofliaat tc travail et c

rrigeratles

preuvcs ,presque jueyu'à sa dernière

cent epontieui Les relation é ecetdesplus agréables avec cet homme leboneuat modeste, yui na vécu que pour ra

famille, ses amiset son devoir.

001IElIt)

11,

SCIE'sClS, INSCRIP'f10N6

sr nouas anrrira es rorcouss.

Séance du 12 janvier,

Présidence de AI. Vaïsae-Cihlel.

M. Berry, appelé psr l'ordre du tra-vail, lit u étude historique et 100ev.-phigae surale peuple celtique dos 'olkoe,qui formait, avant ln conquole ria i opulalion dominante du pays désignédormi ous le nom de Gaule Narbon-naise, En relevant les témoig¢ages troppeu nombreux, malheureosemvnt, queles anciens no s' o t laissés sur cotteantique population, Ni. B:,rry fait remar-gnerlûaque ntsesdlesPme é rt o'auts ets les plus

gnage ppar-tianuent ohronologiqumneut ' l'époque

mai n-at môme a premier siéoie de_le

apeèl'piee re,

fis qui e Volée étâlertt i lerestésaprè

em

la congoota u possession desrlohesterritois occupés ou envahis pareus, et que l'an 0o1ait toujours sousla r m de terre

do,ue

Il e secundo partie dn son travail,M

ation

. Rare-v étudie successfaamcntlesdeuxgrande a tVbus dont o re posait len dos Volées. Il mourra les Tecto-sages établis t l'ouest, a centre del'isthme quo resserrent tesudeux marsdans de riches pays de plaine que limitele fleure Que... et le fleuve Ailla, ets'étendant par hautes vallées des deuxfleuves jusqu'à la chef oc des Pyrénéesque Strabon et Ptolémée leur assignentpour limite, à partir des sources de laGuerres, au moins.

Leu Arecemikes qui paraissent i'

fermé l'avant-garde de la populationconquérante étaient séparés des Teato-sagee, aoz temps historiques, per druterritoires et des popolations étrao¢ares,soumisse tour à teur à l'us et à `autredes deeu peuples. M. Berry croit devoiraffirmer, en s'appu ont sur le témoiguago

tolucre'gravd

tétrabonuque leur ter-ri,

BhSue, dans l'angle de terresm ré g ses et [mules, ressercé antreles Cé t la ét 't là u'ils'ét t ét du 000 dép

-[ds Teto-

g J qu à la ville de Nar-o r., que Strabon lippue, le geaod part

des Arecomikes.

Le S e Al r p rpétael,

G Orme Anvol c.e.

C dé at q orné l e.s- 0-. t t q lq 4 L a suret d'uneu 31 décembre 187e, . C g d j l' t .. ép Llicains, .te

1 1 ` 1m somme de deux cent aivquante mille q pe it v 1 à P ouse, le 21ai o aifranco; Jan r. Dne m gord )e précieuse nous

Vu le règlement général da 31 mai parvient à cet gard par la vin. de 1'8'-1562 an, la comptabilité publique I mancépatton; osé jouiront publie legs re

a f'Révolution le

ceux des lonctios--aille Je t t ordre dent le tsaumini

é lg t I I pas té avont Jr 1aJourdl d. entrés d iséntl Fran-ce à p le;

. 2 I I I imméd o' et iPeclf ris Iesdrapeaux du la classe de 1851, déjà misepar ¢ndécret êtes isposition du ministrede la guerre:

MM les offimi.rs de la garde nationaleédenta. saut phéli. de s udre .u

gr nde tenue eu capital, bureau duhaut ut S. enl I, l J d 26 tirent, à2hc

et

lsiraemib puer ccw-n-muacation

N I ut nd rfice comptable

d - camps ai ti

4 Ils, I à l rr é t $a de.onmrdr, d'être appelé a caotiv ité.

Le nom'e0 (Piegre), ,rde à la7m, compagnie du Irae bataillon de le1re légion du Gers, vient da faire eu

te de probité qui mérite d'être aigu.-

lé.Cet homme a trouvé dans la baraque

gtallaitoocupve sa compagnie, au porte-iooe[riant une somme de Si,

traces 35 centimes qu'il s'est empressé dem tire autre les aies du chef d'état-major

du camp. Cet homme sera porté àl'ordre du jour.

l,e gméral de dicieiun, commandantle camp ds Toulouse.

P.O. Le Ii-coloeel chef d'état-major,(Sigeatnre ilIteiéle)

On noua apprend qu'une gdronde aéré-iir.Icg et musicale t1,pro-I

duit ..ps 1 . t g té tirsdis blessés le I cernée doit avoir heu dorsl'Egli e St Etieoue a commencement de1. semaine prnohaiee .

3- Astrielian à deux heures d'eseeci-ee par jour, de tous les Moyens valides.mcriés ou non, de 18 ào10 ans'1' Héquiaition de {oi.s les ouvriers

A apts à fabriquer les nouvel-les armes dent le pays e on besoin impé-

Sa;Transformation, malgré l'avis cou-utraire des comités spéoiaox, des animesfusils eu fusils se chargeant par la ou-lasse

fie dlofi'.Jisution, par tous les moyenspossibles , des capitaux noces aires à laooutinuauo. dla lutte, qu'il rota lafois de l'ho lio,r et de l'intérêt de la

France r6publicain, de poursuivre à an-

trace,;.7 Face o de recrute,

conteurersdance

e da", le carpe dus officiers d'ed-'nistrxion, au nom du principe de

L'aeaeseibilité .'e tau ¢x emplois publiasat dans l'intérkt mémo il service des

mec,;a

.SEavof do commissaires eivls

ansr.s:éc, chargés de représenter devant

l'essemi le geuvernéme.ua de le Répu-blique et de tenir, d'une vibre per-

an ute, la délégation de Bordeeeu aucourant de la situation des troupes enamp: 1b

Oa Obhgation pour la République L an-çaioe da pou u re la guerre sans fibreni merci, et de tue traiter , dans aucuncas, qco après le complote expulsion de

veA;.,normals oljoà la paix de ta.-

a ,cIlle-tes élections, qui ne, e raientement pas moins nuisibles à la lerence

qu'à la Républigne, et qui sort d'ailleursmatériellement

Infaillibles

1 fo Réduction provisoire Il, amitiédv tous les traitaurents au-dessus de Si.mille. fraues.

La réduction os perler, que sur lafraction e.oédaot ce ma um.

e 12o Co vocation immédiate des romissions dépar-amentales deus Pinté ét

de la défense.

a he gouvernement ont invité à pree.die des mesures énergiques soutra irap-étendants qui vicient on violeraient leterritoire de la Ilépubligve.

O k dhréel ,'S n 1. cc

chef et d,légs:és d j n vaux dontIlmils ,,i,,nl

de \ioi tpc1-D-r .la

de FIL,f

l: r d. _ + rit t. iensr

li t durde

lo ellItli qt Flie, M ' [fl v de Pé r; I ),Oies, de lo loose, Lil e il fr1Mé It P t t. l gP pl kt M II NPrtIty l f1.

y roA l'-t. du I t RS,pl Cj,a-

Icli5 Rp bl I. 1Ré II 1 1416 r Ré ielry d. D d g li l dI t

s

-p 1{evoi dmuer côte, Bepéohc, de Toulouse

Nous nous empresrons de pu6lfer la let-tee suiva.te e r la combat d'Arery, dr.-fée de Desoedeaa ( Doubs ), le 1.4 jan-

er dent rions rcoons c nnicatioe:Notre armée de LEst a marché jusqu'à

présent crime u entrain admirable, etelle e supporté avao as énergie qui aefut jamais démentie, les so flrauees quelui creuse une température glacia'e commecelle que nous avons

Le tee corps, cvslie de par le i le.I ovonlles, fait pintetéde Doue s ment.

Nouss avons mus e imi ici les is

dont il est composé, et qui outété

fermésen si.peu dl

e9te-

bmrli'dautes

affaires de Vil-lersex,tl et d'Es. tel, remportées par leISo et le 201 cape, le 00m devait a i

air sa journée de succès devantuAr-

co. Ce village situé le la croisée des routesde Villersexel à Montbéliard et de Belfortà l'hale sur le Doubs, ém t occupé par lesPrussiens, qui s'y étaient fortemset rtranchés. Lear artillerie placée à droiteet à gauche du village et appuyée contrede, bois, défeudait non.neotement Areey,

encore le route d'lléricourt et Bel-fort. Lec 24e corps reçut la mission d'en-lever cas dinérenlra positioaa le I5.

Dés la veille, le général Rreeeoiles,nmprumont heureusemen aux Prussiens

e dv leurs réglée h bitoelles, garnit d'ar-tillerie les bois.mmeuses qui erdéroulenten avant d'Arany.

e Ln 15 au matin, l'attaque généraleau. A droite la Ire division, géné-

ral d'Aribs ; à gauche la 2e, Pet oral Co.magny. La 5e disieiou, c mmaodée parle général Derseebiea, cille dont deux lé.gious de marche da Rheoe fout partie,était chargée da tour rr les bois du Mont,oh tee Prussiens ec tenaient massés. Aneuf heures du matin, par un rolcil splen-dide, mais aussi par un froid de 20 degré', a ,.cade se bisait entendre entatoute le cligne, mais plus vivement sur-tout à votre canons, des' la direction deGonvillor b. Le front d'attaque s étendait55m pins de cinq kilomètres de terrain.Nette artel crie, dissimulée deus la ferlade ti tavelles lueçeit feras obus sur lesbina d M t et sur herey, et notre io-

I I lent; de ¢ bois oùf Kn II t 1

d Il' Pro, ansi t u on, ,ai répondit

r à 'di cle fatmespé_ t 1 ., t ohligée de s rc-

I svda,, t 1 oey. C'est alorsqu I I I 0 1 1 1 d ri g . +It,br,etdans h ni'log.. et bie.i bt après notre or-

t'a uIt 1 se y aeusy

t t e t Isla laisse, ne1 p s pdmea,

g à à tle p i t é 1. e u, em-t t l a p ilions de

p 1 S 1 A t Eol,ean,t St J I p d c q I division,

de av voté, 'n fiait bouvillard, Vcllars et

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l It le lit Ims le Qd IaGr nu' -Le vi Ci ïbbemn de fer conti-

q hrarIs 7 w PeS p dW Vii Grrnfife 1 rsol". s - 51 ml , é nmu .... r Sou

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tin.Loira publie àp .oi orllaeas, et : r tj le b .it k t5v' e ° l M sir aille ü tr d adresser é g, e mé la:uatiou suvvantem.[

C ! te bri tir ru' a re ne fournit

Ilantela

gool a .e p et lianwhndr L:++S t ville de Lavaljrair é été i r lartà la ga. d p la

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let , u user, s I{ t p 4a .' q e ,I q à n t r t au eut eu a t ;B, le Hednf ieur ,phe(du Journal aYly t ê é

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su inspirera ors t uPa P I ttp trou d u' élit m tat e-L P f Y ü- t i P9 r ei

es générez4a.,'liae foi, lapins le coonr ncmi t fi

Ilmaire au dong q létait L chef La G1 onnde den S or ra Produit ou J+

qn ém rient dgé

de la rempegne nous avons attaqué et Adrofgne qui d une main combat ait 1P cbmu coté d l'armée chi, .

L.+uu tes Prmmcae aces de l'ertfll+rie ri, Prmsorens, et de feutre relevait Ins blen' article sel il dune &.ue me aulique U côté de La Flécha, de Sablé et dedaos lequel il est dit que es ren- Chdteln, un sur , otélégraphiaulent notrd ü.fameric. es ? C'est trop compter , en vérité, sur du u bile 'd'unà bleràe l !a

queNos pitres sont très minimes; notre la ntiveté du Totale. -

re pa jni eda

a les uhbns se sont repliés eur le Mans.fafeule.cio a t m, traheaon, en protégeant la

tuitle

l'im- Un train a déraillé hier au noir, à 6ywor yu é poursuivre u., Du resta, d'après les rumeurs pératrnee et colle Ses pire-1 s dGrléanse , énnem que 1 .nilicr,e avait mie en dé. sir..loti le mot de t énigme lie p ut

routa. tarder à être connu. S'il était vrai qaee Noua entendons loir et malin le os- les Bourbon. des branches aînée et ça

ende Belfort qui nous appelle. Pnissiuns dette nuisent eu le courage de traiterlions parvenir à débloquer bientôt cette aveu l'invasion conditionssua nditions que l'onforlcrusse, qui résista avec tant de -il- sait, de aa charger nsuite de liquiderlame, et qui est l,q; olé lie l'.àlsace, yue le-tourd passif qu'elle nous léguera etGnillenrne serait giteu aise de unir en à urrlyer, comme ou dit, las pldtras anpoobe. ped8t de la République qui ne tarderait

Pas à .pareille à l'horizon, 1 faudrait.ara I convenir que l'attrait du pouvoir est

Brunit de, eervati a:n6vdoroieduoic. fadespar ii ilé<a+ sliil ,i t l'eal.é,n end sud Je

la

Grmiils

ohde

Allt

: MI e.

D. 2%

m

Janvier,

TLeem. sen. aximum d'hier r + 8.7,id. min. de le nuit : - 1.0,

moisas, nones. Ores en mar "'a,.,.9 h. m. 0a,7471 -- t ll d - Stmidi. 0-,746 , SE

t C 111,e La ométre, prés oir egéri.m tisenté hier dune le camée, s'eûl, "mis à

baser wés fer remetL temps est sombre., l'air humide et

ssea pire. (trouillard 'casez épais dans la

matinée.

Pour le ,ironique Tonale et tort or nprécède.

A. Payai,

M. Anatole de La Forge, préfet desRasaes-Pyrénées, caneidérant qae la ra-tion do

quiiatisaiutilisertfes, pour guérir ssa plaise,

éficed s de l'n empue, aprie le 16 jadveer l'arrêté suivant;

Le obéi. aa de Pau et la villa de Biarritz,s résidasses impériales , sent

ira isforméss en ambulances pour Iee sol.date Massée su servie de la Républi-que.

Des dispositions -mal, prises afin quetout ce qui est objet d'art, dans ces de.meures, soit maintenu

enétat parfait de

rue sures tien,

tin dit laps le Conservateur d'Auch :Ille bruits alarmante sur les deus pre-

miers batailleras de la garde mobile duGers ont circulé de nouveau eu ville de.puis ve gt quato heures avec un lunede démit yui semblerait devoir leur duo-,

il earartèred'authenticité,

présent none n ans r :un' coni.,ytuioetieu a(Qbicfie ou ojp

xe que sort de nature à donner de 1,oonsislan.n aux rumeurs dés,-'rcaaaequi sont mises en circula;',un. Nous som-mes don. dans la jomuiblu laonativa de

noir falr. connaître la né,ité, gael-gaepduels r e quille 1110, lies plus Vireeur. c eut l fl pont lie roppmtad ont

et 1 11, ,, t, semis cureu e. u l il andinnG i

au

ces L'illes1. adu, .t l'mps I nui file oral mail des fils télé.

9 ilphegites, devrait bien, i! nous semble,p;e cous r l'étal d'inuertiln le ont tinnllu anxiété qoi péri' sur les familles. Unpeu irams de politirloe à l'haire acl¢elloet nen peu plus do seraient toutn'ait de 00100

tuant eux co oetions parli;uli7,-supplim,siccus du i s loua. urs

l e iL de v,ulmrio o,os

v oatout a, f f ûi a ire I' pr iaiu eus

notenl,n h

cil ailles sit ééiri.Ilii t 4

U q at été 1 é à

nw mzil,lé veilles

mit, adljoid

eux,u l' t u t' I 1 Bar

s , 1 t été 1 b tien.il 1. 1fan iett ton, d 's6 M, I

Mm tet- Màt I .bras de IAdmi.tusa tien t u ip 1 de liordraux, .Dos

J mAhuy q e le peu, ie e éléon mués.

e Bordeaux, le 1.I,juth ber 1171.M

,la w' f 1 an anno Ber qeilion 1. (

lil mil il, aord'hoi, la daté

mm,Va.

Or, q1 a d t 1 nné hie sle surt xécu ban du la ooude,nnolion a

t 1, uinaeéo contre In noniuné lienm Y,t Pat ru ire ae coopta

d,rigoureux

. la peu'édure f etruda entre er aon-runé; elle. pris connniaear.ce elle-md-

no de tentes les pièces du dossier, et;adnés un m , elle e préféré la

e,,rde uitu rigueur dos leu.ddliin

' deoeet,ilagp., elle r ce ceé,par

pli.oise

morteu

n tellslas travaux forcée e

edésisiuit6.- Elle

si, per saanisa eu, a potes, rede Wonm"" que envoue avisa treprise.

Le garda-daasceaua, chargé devous a 0ucer l'adoption de votre tau-chaxta suppngaa, ulait l'uucalia. de

ré eler, messieurs, l'expressionde s'a halteute at seneàr estime.

a S gué : A. L. Cel,el0ux.

Un lit dans la Gieeadc.Le Courrier de !s Giralda noms a

fait un cote à dormir debout peur ex-pla1nne la prdsooce du prince de Joiravil.le à l'armée du Mana. Ou fit dans esjomval :

(,Suit l'article dam lequel nous vmiafeooulb colla, quoi le prince do Joili

bleu passant pour faire net re de tellesiitrile, s. Tout ea hésimant e are à

re à tri t d'aveuglement ut de présomption, on est foroé de reconnaître

qu'ily e là-desaom ou mystère que es

s ogullérrs explications du Courrier n ox-pliqaent pua du tout Un eu tes demilie plua vraisemblable peut êtes dans

les attaques que certaine presse dirigedepuis quelque temps coutre la RI .,',

0e^ue et le f bl cuis a u ciii une-

S a l o pull q ot

I. 15 t e dllà,ro chul char d I

l"Il lai lissat

é l, pv'il y a v g t ana' occasion, b.souliern I é q. elle me lut p squérir de fét ah--mon m0e,, si,mprés de r elles espérances , et à

lexemple le l'E-ppagne, cette pauvreidiote? Encore 1Espagoe eut.alto adisla dignité de repousser toute teausactmn

es nvahieseurel Caverne eanaulee ;c est au pouvoir de veiller et d'éclairer lepubliesVoici la réponse du Courrier da la

GtrandeJ. Maaeleonna. s

M. Martinelli traite notre récit de son.La à dormir debout. Pourquoi ne rétabli-rait-il

P.les faits st ne raconte-t-il P as

la vraie histoire, 'il la eo it a ont lemoyen de se reseigner à t lita heureetaue toute ahane aurris dee limiers de laRépublique, selon le balle a. "ai.. decitoye préfet de Tonlense. Mais thons-robin M. Martinelli ne sait rien et il niaqee davantage. Il y e

ne'chose qui

dépassa sa compréhesaiou , c'est qu unpr ae .e simple mortel p fisse quit-ter le tain du feu où il a les pp ds chauds,pour la seule satisfaction de cembenreI,,aneme de son paya. Pareille action lueamble tellemaat estrevagante qu'il ne

peut croire à sa réalité, et sa eonvmtiunest si bien faite à cet égard qu'ampreutant u mot de Royer-Collard, il dit:Cola nest pas, le l'ignore, mais te l'ai.,firme.

Ilne Gui pas troden M,

Martinelli vit dans'-T. ieu où personnese passe lot exenlelquea farntaisies.Te'.. le mande y montre autant d ompres-s,!nieut à servir le Franc. dans les pré,feclnres, l'es sous.préfectures, les inten-daneea, eu un mol leu emplois de toutesorte qui rapportent des honoraires sans

.,enté n à fuir les oham s debataille où il n'y 9 qae des coups â et-trop r Ml. li Ii v t t le I. iedes eépull n Il d d Iii lé-

tal on4 Hile ru

de If d: ses,à eVemand, hu

leie tours r l rmo1ieution que I , apii

ira Iras plue célàbr,s pour, préparab ar évadas et fuir leurs n cachots.Il il plu

Il.,'do

gsltédearour se

4teria A1les

billés et de le mitrIIIÎe, sans en tirer uantre profit que la satisfaction d'on pantricGgno devoir accompli.

Pmr M. M t li er fottrés .eimplen lin nô. t t Il ment straorl

qu'il t I 'ale IIII I

t bl t t peint I f ails é-1 lie I qs ,[ t d p. tant,

ah o ami En ed.L, M marliI! M il o'm'a q c'est I émigra.ou,lie déelare q litre d. tt lIl

e post

à

litre conn t queR I s. tI été t Bil Ira

d tl I

i

r, eret ou,l [-f d t

1.I 11 t i p uvr r e.al

tisons à ira acteurs grdde d

roi t

Il échappe à l'hnuorabl M M t silque s le 1 rime de I. m Ils trert n v r u t l I p , . léai ,

oanor, de traiter lil,ve ,

portions que vol exit ils 'sut nétrenge moyen do rênes r en net battre a nos zvan4 postes e tu

ciller I s Pries ils. Quand on v,et Irai-tles lieue ou y net plus le oc,,,

ormut Un pion 1 pasinon dons les lofaitdnnces t les él.tsmnjors, on illuslrson képi de nombreux al 11, r q. efait de ml à pela

o.mg, t s gardeouom de le peste de raire la ce.p defeu. Comni n er par tuer les amis aveclesquels projette une atlante corandrea n'ert pas le de se les direnuyaumeavorae,

ee menerenreprseon.fblt d l'ti à bne tin.

L'igmrance où est M. Martinelli de laréalité des choses déteint évidemmentsur a..

argumentation

, et jette dans senesprit d'on dinaire, si luolde, une ...fusiontoute exceptionnelle. Non-aeulemed ilire semble pas savoir ce

"cise fait, mais

encore, il ne semble pas aavaie d'eventa-85 ce qu'il dit. Plus il écrit, plus il s em-brouille. Nous ne t'avns jamais vu enune pareille nnfusine,

Il parle de mystéres, il Parle d déviechaude, il parle même latin f Ne. seale-fement lia langues "antes, mais useIlia langues mortes Oacquca en eu luivit pareille éloquence. Sencho I seaubrave S'ccho 1 remettes votre illustremaître n aelle. La République lui faitperdre les arçons. Veillez à son équbreet redoubles de soins. Pue pins tard

'ni.tout é l'heure il vient de parler latin.Poile Gnucy.

, h. 20. à la Sumeliéer ,doua hommesu lendemain du 4 septembre. ont été blessés peu grièvement.=Ceci vaut u reotifloation. P.r suite de ee déraillement, aucuna En ce qui immerrus l'impératrice , train v s t de Niort n'a pu arriver àj'ai pensé qae mon devoir de préfet Angers hier en soir ni en matin-

de police doue graodo capitale, in'em- La e sera libre aujourd'hui varsposait avant tons de préserver un ré- midi voie

'honneur labellegime qui "ai eu lpeine de mort, comme les violes.

ses, eumatiére politique, de toute repré-saille.

,Ce principe généreux, que je me fé.Haine d'avoir sauvegardé vis-à.vie d'unefirme était bon à affirmer eu Francei,noot eu m ont on les armées et le

gouvrrn met du roi Guillaume ne res-pectent plue nen. I,e àseptembre rosie.ra tin o fier visà vis du 2 Décee'

'"'àQuant aux princes o léans , le ucde Chertr ta peinas do Jaill ille et leeue Aumale , ila vont pas foi lie sas rai mourir Angleterre , pleins deiristoese, qn: v, heures après leur art vée

P'reI où ilss'aient

fait m..altec leurp,ê,,Itec, aue I désir que je leur ai fait

1 er de mi lis voir fournir ecceà oupt

e c gtaetr eI F deu,aia. c, au conar011i i 1

sa-Il d':,enta n dus de gré de cette lotlsuud I le mont usé 0, a m

mide t absolu de itoya it mettre leur épée au survu.4

da In iélensn nationale.fat

étaient ncela d'accord avee la F.M. trop oubliéede hi. Jules Favre, affirmant que nouaétions eu combat et non pas au pouvoir.

ale ne sois P. plus partisans des lobaet mesures d'eaceptio sous le Républi-que que sous rompu s.

.1; ueve , Maieur

, l'assurance demea sentimntsdistingguéa.

Comte do Eémetry.stries censEo ce ai touche l'imF6ra9

royo sTas

M. le ointe de Ifàrmry use maispas agi humainement1ulema rai p asf

politiquement. 11 aurait pu se tapenttira jour de sel rigseors ; il se repas

..aie de mansuétude, , La Fraalui1,,,lui tiendra compte de .>avoiri

pas,

s,pana ces jdt tour notés, -Failli à des

...es,

dentnul ne font mesurer les..cèn,e

tee femme que a cruellementri

rose,, avec ses lorisr DetMte chats a les

cimes de toue les Biens.Quant

'ospriuoae d'Oelbam

le, en quit

tant l'amis sur la peinée qui ur étaitsapeiméeq 'lotir présence pouvail êtren arasa d'agitation dans un mo,nam

làtous lao efforts devaient tendre contre

ennemi, ils n'ont fait que eeariflaq lieà

esVoue leur a dit dire le

bien de le patrie, les élans les plus géné-ox du rn¢r. feux que col' e on l'c±l1

apprécieront f m de leur sacrifiesM. le comte

de

kéEéeatep ra ppalle en nu.

canants termes à omit qui semblent l'a"

voireuh ié, quel était eu 4 erptumire le

droit rigoureux de ces prince lue1w

éuerguménes l'aconsest aujourd'hui den'aviar lues appréhendés ao corps et détenus pria . Nous n voyons pas

vertu d q l titra les membres douvre emr.,IL de la Défense national

ont porté la mec sur e, a.Entrear ont de traot+diov , c

ill'vnuvo

Imnb havta., t lui-m8,u; , etIra

prosd'Orléans, indu tau oursphares j lira.

gonte la grande question qu' le suil're,go nniversol sera appelé à trncdornr.

Lyon, 22 janvierL'a rrorvé de prestieoe n'est

Il n é, é 1 pour notre vil le, chu

jour il et, .11ilo p r cntmnes.

ItvaI11-0 n lu'à

1 tsll rssi.n0, ti ngés car l'état-major d, la place, oves

surIlé II

are, par 1'0000-

1'e d I affiliait,, sac foule osaslé I l . d f

h la l - d l h

1- (mou

d1 bloc

t1 m.al uae dans loue

litny [ t l l t 1

entament 1 l . 1 Ilaifoi £0001 t t l l'à aime

-o,, I' s I é na s'dta,t li t Ii l t',, r leu prison-, ira

dan eV le d t y il s'est passé à 1roi

gare d Pcbe

autoIln Or n pression, pris don

mn I d d deste à te suJat. C. de g û -

bé Loirt u' la g- lui donneg t t 4 P fe

éinol ul t q b II t oodo Idel. Q,a d lie m

121111o

t ilare, (;"et ueu épque voua

olée, cela? lue dit le garçon.avAces mats, le pression cette dans

eue véritable forcer, ut, si l'on ne fitintervenu, il aurait étranglé le ganpo.

a Il u'y a q, la vérité qui offense, adit un proverbe. {

(Décentreleaafiael).

Les mobilisée de Saône et Loire, duJars te. l'Ain a ...t distillais daaeles den. journées de le bataille de Dijon.

La déroute des prussiens a été accen-tuée par l'enlèvement des positions deDaez et de Ilautevilln. Les troupes Très-

oerpsesetles prisonmiersrspécialement auPte d'Infanterie (Poaoréraneans).

Augoms, 20 pavie', 2 heures1.ea pruosicoa o t lisparu du elfe de

Morannotlst de la Povcba.

Poitiers, 25 janvier.Le femme du jeuneal qui,en la

fête de notre brava armés de i'Oast,défend si vaillamment l'honneur de laFracas, Mme Chanzy, est a Rochelors,depuig e milliers loura. Elle compte y de-meurer quelque rampa.

M. J. GuédoI s'estempressé de moi'tee à la disposition de Mme Chauzy,. quil'a aemplé, fhmel de la soas-préfectues,inhebhté depuis le mois de septembre.

Hier suir, à l'àrrivée à Niort dutram I Angora, ou a appris qu'un armed avait été commis duos un wa-

g Loa femme qui trouvait seuleun artilleur e été asas,iuéa par

a"e

ln ci, qui lui aurait tiré an coup dé l or daos la région du cmur-

L upal ie e été écrané à la prisonde Nmr.

(dmmaal de la Vienne )

On lit dans !0 Journal de la N,èere :. A la date du 4 janvier, n avoue

publié ou ordre du jour -du général dePointe de tdeé go; 'qui s gnelait en cestermes le fait d'armes accompli par nueale... de le division de la Nièvre, sens

les ordres do générai àu re,copie.dès.hem

18 .L.31

m caféine dee tIgruche de la ' 'néon de a Niére c

a.da.r ee d6 , p agénéral duTemple

rélia

cours

de C da deux à cinq heures à lagare de Chà[illon-sur-Loire, a délogé àla balonuette les Prussiens de leurs Po-stions,

a Les Pesesiece sol au plue de 500 tubsn blessés j de

e.Iranlté, nous oir en

50 hommes bora decombat, dot lia tués.Bonn officiers ont été blessée : le capitained'artellerio de Condé et le lieutenant devaisseau Daniel.

L°enneuu a fui, et noue .vous occupéllreare. - Lais mohibiaés sa lent mue trèsbleu comportés, les matelots out été ad-mirables, l'artillerie a Lion pointé. Lelicol enautcol.nel Pudrie s estrumeur distingué.e

Le général du 'temple signale lahall, condaete des fracas tireurs réunie

us I son mandmaent du commandantde Plane, et partieuliéremnnt celle de la6e onmp,gma, soir les ordres du a pitai-Lus »

. Le nom dm capitaine de la fie ...pu-gaie des corps dant réunis sous la derec-fion do

commarindant

de Place n'est pas

L.ript ve, lie lote des cC

50 eo gme, a part eslièrement n ntn

b "mà déloger l'ennemi tin Re are, las

quo le prouvel'attest,hon suivante pounée par le maire de Iiriare, à la sir ede la réoccupation de loft, ville par aoslronr

a

Le

e maire 1 Brises certifie que, 1eooe,fer janvier 1871, 1, ndamt gCasl.

'e t fierté, avec ompagueqs"'1 de 130 ".mines, eno auoo' de

l'armée près riaune (que était en iroel de,4011 hommes, 1poi oiq loues lluvs la

ville), et que, après auo

liait

léa

l I,

1

heures, il a fait délogerl'nnemiit

m- la ville.Brute, le Ib jnviere 1v71.

. Vrm. C'est à la sut; de 1111E Il ire queIl la

t ,e L il té à 'ord e du jour de I nor-e par le gé -6 al duTrio la

L,,om d L re e n'est pue inix I l L t III N,o ne Il (. re'l L'le l f t y'.

t lo t d d

lourd hie l t ,t t f v a t tdee pondu t -

,gi v lé

eu, les champs l l t lI 1 la fête dl

pp

pg d.f t déjà

t ms,_ It' 1 t I h 1 I

,m1 -t d, in gué x d oror.re11 I

mt l

e

1 't denotm deptoea ,Y, B ana té

I.e Journal du flouer publie Iee docu-ents sui llt,e

,,, lfavre le 16anvear,Le -.-préfet do

(lèvre,Ce sidérant qu'il résulte du r ecés-

vorbal de l'administration des télégra-phie que M. Vatinel, maire d'Ftr,tnl' afait couper les fils de la station télégra-phique de cette ville à la nouvelle de l'ar-

8e d'un détachement de Prnssieaa àriv

Fécamp on;

Csidérant que M. Vatinel e reconnuseocéres Jet vrritaMas lia faits .... ignésa.dit

Calamité p1 q.",

qu'euI

agissant ainsi M. Va-nitel ees rm pour mobile que de re con-cilier la bien-il fanon de pourront, etque, par cette coripable défeillanca, il afacilité les apérn'inns de I' nvahmneenr,et lui Prété sciemment ton ami...rs.

ArrêtéArt. ter. NI. Vatinel est révoqué de

ça fonctions.snet, Y. Celte 000, 0ntlan est prononcés préludiaa dru pdualü6smvileeetmi-

la, cet es luoctionuaere a aveu.cure. La reua'prnjrt, E. Remet.

J

Nous, sous-préfev. de l'arrondi s'pont prions pour écraser et démembrer la Fran

lu les Ppl' tin fur pa r M!-tu' sq:l -Ils dE ,.de t

^r .Belles le conseil man p I, 00000'q.6 par ses soins dans la journée du 8de ee mois, a donné, à l'unammnfi desmembres présents,aou dhésion entièrefil. mreore prise par M. Vatinel, con.er-nant la rupture dns fils télégraphiques ;

e, auoo lui, cette maure de daatruabousursit du' mémo être poussée p us Ims.

Vu les instructions nsimsséreelles du 24octConsidérantbe dernier ;

que par sa délibérationami.patriotique le

Conseilmunicipal

triolet a failli à ees devoirs fConsidérant que M. Davelay, adjoint,

s'est associé àcette délibération ;En vertu des po Dits admiuisbeaiifs

qid noue eut été mcliés.Arrêtons :

Art. fer, Le Conseil municipal d'Elrefat est dissous.

Art. 2. M. Davelay, adjoint, est161 va-

squé de ses louchais.Art. 3. Une commission municipale

formée dens le plia brefor, délai.Le Havre, le 10 janvier.

Le souapré(et da Marre, E. R iris.Le gonv-retards aceeordé à la villa

de Fécamp une somme de 10,000 fr.,destinée à venir eu aide aux ouvrierssous travail.

Les Ronceraie vine,at d'être té.-le. nos c farce q e iodigoequelaont les ae.nmeute de le Presse à l'égard

de l'Angleterre.Le consul (na vies.nams I) A gl

P"été dpargr,é dans les 1 Ill ep

set par l c Pressions o s f 1 iq¢isillon, et de logement dee r e. Il

st plaint é é al lt, t IloI Ldouble quo"lé 1 1 ,.t I a1.,

glsis; mata la général lin a répondu qu ildevait se conformer e lotes las chargea ims lut, les habllouts de Rouen.

A.posée

ému momnt, le consul russe -qui est Français, remarquez bien - rrce-eeveit une lettre des Montés esicu-ee qui le relavait de tourne prhoeges

de réquisitions et de logement de sol-date.

D'après ses 6. 94 000 l.la ends ocra é .léilé

Fe

ans paire dernier., et Gu ll u p-p Ilo,eit au s cou s ssa é ---silo

nésqui

la ésaient revenir sous lesbile. a qpo .-

drapeaux.Ce tait trouve sou commeniat:e clans

nen détail des plue caractéristiques Se Le

situation.Pau, qui ....ait la morgue des prïn

e ig urs, principi les t bobo.reaes de Prusse, l'appel adressé aux oflefers civils et 'ollre faite sua sonsc'fileur.

du grade d'officier dans l'armée active di-sant, esses hautement, que la lutta eu est

arrivée à sa derui@tso péreiode,t q,ril te sque IaFenuen, que que eieu

passagers, redouble d énergie pu., cirasse

l'envahisseur.L devoir le commande ; uand la sas

lot de la patrie est si cruelqlement enga-06,irève sua discussions intérieures. Lia

les ne viendront pas de camp des régc+

tiannairea.

-Le;Josessl;de fonces vient de pu.blire ana lettre du général d'Aurellaa dePaladines à M. Gambetta. Cette pièceest.elle authentique '?Nous l'ignorons etnous ne l'a reproduirons qu'après avoirété édiliéa'or

aspoi il.

Peovisairaunt, nous nous bornons àdire que fille 11' I.tt e, le généralauoo, or 111 d que lao dépêchesfl Ils I lgé las opératiena

al' ill'' de la Loire vont

ét 1 l l ,. s le f o ra que lapait prisepan ll Ça nholt0 sud eoffisamment aoe-

1 rv q ie M. E. Pinard, aprèse. d L I b rté, aurait reçu

t d d val a airtir

du territoire Iran.rais, et

qui,. nrconséquence il aurait étéeocompagné,iusq¢'à le frontière suisse.

- M. de Lipameki (Ernest), colonelde Parmma aaadealre, est nommé su Ora-de de général de brigade se litre de taremée auxiliaire,

- M. Jules Rairai a été ..miné loepeaieur-général de J'ietruation, publique.

La présence des Prussiens dans les - Ou litdaas l'FLelr!dtie

Véé,gee,de aycoamntrd'hci(manda

ent louglempe empé- maiel dernière 5 à 000 Bava

ehtal

-

n oe se rendent enrois nfspPaoei à Hirsi 8ls nous n'aPPro- ont les ..in; héesIlsma lie. 1GovniAie A lieou' ue faits 8rd'hui 1 anone 'adosa 91q ire de leur renar audlé renvoLs onteut commis.nos amcmis yen Yésra Pmi.»m archer auOo eait maintenant que le mardi 11 I fus de

'tire.' e, v ers 7 heures du so ir, lo fdira.

tireur et an garde mobile venaient d'en-etrerchez M. Liaihies, maire

Brlet àvà a

lal 'ams

tau de uyèdre') uinmuo 00 deei

haiea pai qua oe denier leur

avait donné, quand uae troupe pmnestan-n composée de 20 à 50 hommes se pré-ipiie tou: a .000 i dens la m

[misant une décharge de ses armes.' Let sne'tieeu, fol tué ainsi qu'un sieurF ry, voisin de M. Mathieu, qui esbrouvait la par hasard, et le aommé Georges,gnel'enoouadé rait equis pour la cordu' e obea le:. are de la commuue.

tnbout ar-hee dedt Irai même a

tanmi nacoup dé fauque le blessa légèreim-a ale tempe ; pros ant de est épw,i,-va

désordre, le malhenreua vielilard réussit ose réfugier dans une piècevoisins.m

Cas aseacres ac.ontplea, las soddataallemands. humèrent un inc ndie dansla m s n, qui bientôt fut réduite en

ea avco Ion mobilier et toutes lescourégie oltesf é bl.. d gàrent alors vers

If Lt i t go plarieuant égale

iota M. M.thiea, t occupée par ssa

fils I'au1, man é et pé,o de doux petits eu-fants.'Troueout la porta fermée, ils tiré-rnteur les fenôtres, et uee geôle de loi.

Ils Fénitra dans l'intérieur du la maison :ne d'elles traversa lo he...a, d'un dessalants.

A ce momoot Mathieu fils, ee.teadast que l'on enfomcaet la perte, seha.Barda à sortir Anssuô[ les lendits la sai-

remet l'entral.éres,. àdix passur laro ire : envam dunanda t-il gr;'me a sesIlourreaux;ilseurentl'mp > 11 sau-té le le 1,01110e s,ni les 10de afemme, de sen pare et rte sa mère.

VI. Ira é d F q villa u liraé la I t e suivante eu préb,t de la

Mandore.éloneieur le préfet,

i 11 J 01 I lth l ed

loi,i t p te neurale tousI. - uII g.nér,ux.

Tort Ilr,t le nen ir ortà vo iv,o ton ors ira laf éft 1 pg d p D d t..

p .I

"t 116 -d'àt

J n flt

r, fuser le b..10e hautement la dsailit d I g' é l 1

ai"àl l q t d

iu ids'dt t ltd pln0'tel,-

l re mo,or

elle. le, 1l

mai Ion u'l'

b y, obot, qu élu par le svll'adu uo,el, je me redonnais qu'a lui aew la voIwté de me faire siéger et 1te m, faire rê-

devogregrtee été Percé d,+ sortir

la la'6wis6eorvr 'eonl'a les q 1,ustiuua po itgnes,ptunI4au,

qae, sous le, je poui

comté.Imar aux elfor15 .-neu s jouir ohas.erdu Dot', pays envahisaear,mais je n n pas, peur le ces où le

1 t avec l les apitoy..blce éirrégularnis i dela poste, que v s pussiez panser unseul instant que j'adhérerais à votre con-vo tien.

Voeita araire etc.l.e lieumnaut-colonel commandant

le 92e ré8iment de marche,Vte René 1,1 Tocue.viuc.

anion cmisnnlnr général de la Manche.

1, Rtoïle helye, en des cri n tes Ici plus6paedas de Bruxelles, a...... que la

Prose fait, eu ça memsut, un sfort su.

- !Vous n'avoua encore aucune lueur-mation fficielle sur la journée de ven-dredi à Parie, et, comme ou ad le repq elle,les dép@ches de source pruseienne- qoiootété pobliéea hier étaient aussi celasaivee ana événement, du 19.

Cepeadeat, la Gironde a cru pouvoirente....., noua toutes réserves il cet

vrai, le bruit de la prise at de l'occupatao de SaintGerm,in par l'armée de Pa-ris sÇette nouvelle, toujours d'origineprusaierne, disait le Gironds, eerait arri-mée à Rordoesu par Ce.dvc., Si Ile estornera, le fait important qui et le relate o spe s'accomplir que le vendredi 20. Cstévidemment l'alla droite, sous le comman-de eur du gêné al Duc ont, qui auraiterénté ce coup de main heureaa, llnveot

eo effet, le 19, vers J...bêre prés

Beuglval,ltuznval, occupé deus la matinée du

19 par le général Belicmaenr, est entraliueel au nord et Garches an sud.

E fin, c ont le général Vn oy qui tuaitla gauche, et qui avait ocopê Moimare-tout.

Comme ea vient dele voie, les hauteursdent nos troupes fêtaient emparées outu'0 être abauaonéea à la nuit.

E.l-il possible qae la droite, qui, Ilstoutefois, n'a pua uéohi, ait continué laleu lemaiu son mouvement, como,rné laSaune et marché eur SsentGermain YNoue ,i croire. Puisse l'éveaemnt

us donner tort.

éf lin li 1 l t, qui faisait par.trie de I irtill. d. garde n Banale,a été bossé dans la s t e d,. v udredi.

- I.n Dai/p Telepraph a publié lad6-péche eu,vente .

Venadlos, 12 janvier.IIer, 1Ions a rèsmidi le géorfrel

0o, t0 de Mabk+, en revenant d'inspecterlas batterie al emandev du sud ouest, afa

illperdre le vie.

fI b t él téJ . d as voiture,t

1,ex

l l t de lore, de g ltu' t h lé I g! é 11 a

nord s dm. p les eooh a et In 1

luet aurore

ceerpendemd

que para nne oht éblessé.

l'A11LS BIENFAISANT.

1 1 u les ventesI

de emarlé,Il,I . It pl . t à Paris ; les

r f pl I mallieirous

u.h tubard ,,ment,

les da gcrs apfou, pis ub ic le dévone-00nt et la charité plus nécessaires que

jamais.Au choir n du Norrl. flans les salle' de

déport, unitif,, , ouvrent , les limesl,oirn e.sw-a tin international.pro r l'orq irisation du travail des fernmes,ont fait une vente très fructueuse : ies

,fromages, les pâtés, las mai, , Iee paquetsda cigares remplaçaient las objets d'artles tableaux et les élégantes inutilités quiee vendent ordinairement au profit deepauvres. Lea comptoirs, tenus par MmesDuuhàtel, Baedièees, la ma luise de Gdl-litet, ont fait dee recettes énorme'.

Les parts de Cruyàee trouvaient facile.rot preneur à 48 fr ; Ir, fromages de

hollande à 60 fr ; et même à 200 fr.Les pétê,, do 60 à 1:i0 fr ; les poulets,100 fr, les Ieufa à 5 fr. la pièce dispa-raissaient rapidement.

M. de Rostchild a eoegms nen pâté da200 leI M. Drachinier a payé a soue' .

n 21,0 fr. Une deoueine de chemises dellonelie e 6'é psyle 1,000 francs. Lesronds de beurre, valant 25 c. en tempsordinaire, sont gelée R5 fr.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Au eiinietére de l'iesmualioil pub liasou ..ridait ,usa M. lut a Sen n avaitg-aci, unir

""p été Ir, s. La ventes,z

ée t f, tr eu prote, tirs t basés et desm Ih. 1 Pria.

I p j u I elte a été do18 11110 t

U . 14', I ag - clé parée 1,000le 1 x

' l 'i é. 1) ri ; , lui

do d10 fr , c1 _ I 16 rC D 1 f l luta.

(havai, 1 I l { atpaella il,-. tes I -nr,ur.u .

D pdo

tin. t ,t . f I a qui suint Sasactes IJe; l,i..u e,

Mais la comtesse de Lucruttr, uséde f v 11 d i u au esale( G" aile l, q alla

t ir var de sua hie, enferméii raieOu y trouvera, avec beaucoup

il'ea rit et ilip i saine de anrie.x et, pi.quauts défi e; s

Paris, la 12 janvier, 1871, voieduel,), route de, ê,611es (balle, ))

. Ma bon a et ilen chère mère, je t'6-,liepour te di qu'il t faut pas te

iourmante.r pour I h mh leu,nt del'ai s Dn n vn est pas i npresmoamannué

omn , e nu pourrais In moire; les par sm, t o oteà lerdnaue ou vu, oo court,n pr n t ur 0 les ri'r, t

vai 'vol f l q t li re

ti l1, un I li t d [Grillh Ilgéi er! 1 , en ami , n S . i; afin; n par

carte d'un rusa, Orateur ce ,,cour, quoje l'envoie , .i-jointe! , Et dire qület rôtirait à uuo pari ille nonrniure etq,te personne .a sa plaint, rat admira-

c,La population est très curieuse à voir!

U ne q iétnde de note baroque Pariati,.et à la ...fiance qu'on a dans le géné-tel Troch i, On le voit connu aiment s'oc-cupant de tout, prés,dcait à touées l'asoli a de ace troupes, vaillant aux dis-tribatio.e, enfin dlrig ont

toutaven use

facilité, natmpartiald6,uneaciivltdiri-uiegiuables; sou air anime, cette sérénitéeeuragroaa doit., à tous une confiancequo arc autre ne saurait inspirer maisquül mérite et bien à tous égards.

, Ctat la vrai, le grec d peul s qui vadent aou hemin, méprisait

lele. gran-

deurs et lesc

calomnier, ne voyant que latacite qu'il s'est imposée; tout le resteu'eat rien, il non prend pas souci. Danstrois .,ci ii' r,d na

usommée

noustablent

d'avoavoir

un toi eldédéfen,e,,rl a.St

l'aine de pari,! N. croc pas que lestn¢ alPnetion pour le gémlrel qui me fait

tueirler canari n'est f éros de tous,-a..re-toi, ma ch

hère

,père, et loibée. certaine qu'avant peu je serai pré-de

sn i dus . tre ,il- abdteau t l'oinsLarda de te voir, de ma ,l,r

car ;ri de manger des poulets qui nu toitlent PasafROrn

ene de[e. la

& oils..

, .es.. grasse au.fui' mais qui a été vendue 160 fr. Laschiens lent hors de prix et les chats eu-cored,avantagv. Nous aven, déjà margé40

m ard chee et ets lev bdtos d-..nos Jardina dm Pilous et d'Aoalnemta-Lion ; os a gardé las éléphants pour lebouquet ; je I. dirai ai cela .et bon 1

, AdLea, ma chère mére,et à biantét.J.ne palis t'es aire davantage. .Voici la carte dont il est question, dans

cette lettreP ragea. Consommé de chien à la Bis-ark. Parla aux rogneras de rata à la

Fritz.Hors d'muvre, Saucisson dune à l'ai-

Quauea de rats à la l}uillaume.Cornichons Bavarois. Pieds de cheval àla \Vurtam bergenise,

listels, Langues de chleus, sauceMnltka. Oreilles d'ànae à la Sasoune,Cô elettas de chies panées à la pruaai-.nne-

Cli6tn. Gigot do chie. à la Frédéric.Chat, entouré de rata, Ausa

ta

maruneB":enseias.

. Filet de chameau, sanas gus-.

Entremet,. Craille impériale elle,

étaient sérieox, meut écrite.

C'aat la In triomphe du petit jouerai.o app se certains articles à as.-

sat p blés a: tri foi. par le F,garu, etqui out passion mé Paria pasdaot quelquesc'crus, te 4 croyait à la v rite deleu f liens.

Cétat f nouvelle érigée en bale çoi i . , it.gi, de 1, eooelusmn raelle,

n, Loup eura 1, re.é gd urave deI x rat.A j 1) i if s d cedo rit 1ea ri

eI é u'.

quel 1 du ,e.1,1n,m nt angais

l t I n a I sé p rd GrIu.elle à la cote oavahea de M. de fia.mark, '.1.0ve au soulage des sapa ,ale-

de coihm,ce anglais daus le portde Ddoleie :

a Lonües, 13 janvier 1871.Eacel e ce

J'ai l'houne e de vous accuser récep-tion de tes bo ée en date du 0janvier o ni, rira ment Parvenus eh600 8

b

mppit q i) exele -

ch,nparu eor s I "tend Do-cible vol t paru o et .. i " auieaeetes au

gouvernre,ra

t 1 nor, eggracieuse

rame.Bu monmt que Votre Exceller.

.lyre de payer les flots, il n'y a plus rienàdes.

. En corséquen js pla la a libertéde vous adresser

aeuu.. ce pli la facture des

a ! dises fournies, je veux dire la..te des dég3ts cairns à antre préjudicepar suite du malentendu de Duo air.

, Ceuolnote s'nlévn à 175,085 livres,dont jepne couvrirai eu une fraiteà .airordre, payable fi. cri rani, à laquelle

voudrez bien réserver bon aa

oucil.s Plus cet espoir, je sois de Votre

Eue,[ ente, le très buvable et très dévouéserviteur,

Lord Goxmvmua, ,Suit la facture

AU LIOPARD LDENTII

aneaeu muau'i ras aces snraueeiucaa.

Neutra)ioés ImperLationCotenoadea DENRI"ES Expnrtatfona

lote, vannons Gros, demi gras

Marée politiques et

""d«ntérrnesa D traite

Draperie et coloniales, de ggré

DiplaSfaae, sic, ou de force.

Doit le roi de Prusse aux 'les érftanni-quea las articles ai pr,s payable camp-tant sans esaampt

1. Sept aavhec a- o rie angtaisoulla date la port de Duel

car,20,000

livres eterli.g eh....; e. tout 140,000lavera, ci, 140,000

2. Chargement desdits;35,000 liv., ci, 35,000

3. fa marinPs anglalil hies'86idée à 8 In, iàea m

4. Pavillon brdéchiré et foulé

a.ux pi piedal

ds;

mat., a. ba6ebt à 1a si, 2 penses le mé-

il,tre,ee, an, 06,fY

Total - cent soixante.

quinze milleé

uatre.vingt.huit livras a schillingsdouce pence', ai, 173,078 06,12

Nets,-L racde mai.. des lies6rilanniquea "offre de traiter dans lesmime. c nditians avec toutes les puia-sonars desl'Eurepe on des autres pariasdu monde qui ,,raient désireuses d'an.lamer die epératlune idedtiques.

La garandi maison des élis érilannigueaas rc,a de S na, par les facilités

qu'elle aborde, à tous les gens qui en-raient l'intention d'insulter la pavillon,angllaier

évier las contrefaçons, exiger laPumarque spéciale de la maison :

TOn'P PenR I.'1NGENa1

ger las porte du Cdleatn Empire. et oat-tondait plus pour eo qua l'arri-vée de 1, corvette o massée l'Alma, quise Louvait, fin octobre, sur yods deSiegapure, prèle à relier l'amiral dans linnora de la Chine

, La cc,,.Lw à hélice, le d'As ncroisière dans l'archipel de la Sonda, tai-rait une hisse coutiruel s à la marinemorchando allemande qui .'.Rait p usbris

D n b anses p Pr f e

étal,nt soult dv da s S kueét

ol

gëuéralcu¢ t de grandse t n. irichement chargés, t

iI arrivait à

chaque matant, or on d'eu lors .laséchapper un seul. >

LE

CEIAMI' DE BATAILLEDE sEDS1r.

pliait sur l'crntla de Mou-Mahon 01...ade pueoière, écrasés de lassitude, ee

malheureux soldats, musique au téta,traversaient Chilues a. demandant àggrands cria le coml,at ut la vanggeabce daEnrbach Q c'le qua fut la ol cure duelle .subi ans cette Journée drahlementnéfstc du b aot!t l'ose r ;sait dansles Aines, vt ou mi ,o aient p) la qu'à la.ver )a toclui imprimée au drapeau par

défaites de Spiubreau et dm Feaiaoh

_q I quelques ffi ra dos gradesI féri f a qu u pé i d le de

p t s é dep

répar r pé lo ont ap i té p enun ellevie et rlnmurie daa générant, a ale, cu a -crifibe do la batmlle et de l'ai,b.le. ho-ohaieutI tlt et tisuvisagea,ent peintocra ayp éhen l'aie II oy'

ntlev lad s délia ts, f s lppa d 'officieraiterriblement réduits, ml-alli aie' les chefs

00 omauder à uu trop grand nombre dmsoldat, et os les tenant plan dans la

main ils $ i I décordes adaustral( ttra néant les t6e.1-;ruaIra plus fèves et l héeursme le plu"

Tous n'en é,aiem pas moins dés déssofa .

La France a éprouvé dopas broie longs à faire leur devoir. Oa se tortillait au-

ras tant d 'salles émut ana, elle a P ô tsar da Chàiuu', eu envoyait à Paris

Partant d'aogoiases et d'espéreuues qui nubil Sale Haine, qui mitait

pomteeaezla

eue omble entri.prendru le récit dud "Il," 0 pur pendra pdi't'6véueunnut luintam e, vouant autour lutte. C lt .atout toutes les ouata à ,n

d'hoi parler de Sedan, La douleur, il est écha.g d wa ps de Peu notre lev.vent-vrai, a cet point calmée, la pini. ou- roses et les uhisua du Prluce royal de

ta et toujours soif; nanta dans Ici àmes Prusse. Aussi quel ne fut pas létonne-froa5eisee, et d'autans il appaltisait eut meut de l'armée ,t d habituera de Chà-

témolss de ces catastrophes de dira ça tans lorsqu'on app t gouc ebaodon-qu'ils es let vu, et d'apporter au percée railla champ da batmlle au quelgfto sur.

désarmais évoqué devant le tribunal da te classique pour se replier eue (Faims

fhnstoire leurs siunleaa dépositioos. ll me Eu ana journée, tout rut brillé do ae qui

asuble du reste remplir ne devoir de,j ne' faisait l'appeuoisieuumneat et le maté

aca en montrant coqu'était rire a olé 'ici d tenir. Sur mordra du réehall,

robre rinceécrasée

plntbt qu va 0 u unit ! ( a x f ur''

s qu a`s eei ee au Mea lainé es journées f lent p uva"t emp t , ta x b r q n ,

m Iheuroux sulda's. Plains d'ardeur, a sortes de blockhaus oonstrdit' à

habitués à vafaeea, allant b ies combats Mourmelen depui@ daa 'nuées, et on se

la souvenir do jaura livre à cette moulé de daetruvIfou aven-os aveugloires passées à l'espoir de futurs hauts tout de hâte qu'an ne p it pas le sain de

faits, ils devaient biertôt sentir que la garder les avoi..e et la paille, dent à

bravoure bat parfois inutile, l'béraisme Rai 'tl dés alan e emaoe

troupes mauimpuissant, lorsque l'emploi de les màlea qu leuvertu, est confié a des capimmas ,uhabi- Rafms ne pouvait d'aalleura litre que hu

les, à un chef d'armés irréelle, sa.. 05- premiées étape d'ana marcha vers uupsefté rit sans énergie. Se v peut corps- point stratégique, qui, selon toute Draba-fiéa 'Is

,fusaitpourtant laur Savoir, L'es- bih,é, ramai ou CI,"-"'6

e. "'-,-,,il "Ild'nnntiatnva et le isola qui

11 1*Nue sommes assez fatalistes e France,

quaient aux généraux fureut remplacés e[ pour la seconde foi. ou mettait, sommapar le dbvoumaut du soldat. Si l'iutrbpi- da tampr de Duiaaurtea, à fifre des défiadaté peuonnella et la fera.. d'àme peu lés de l'Argonee las Thermepyles Irae.ai-vaie.t triompher d'une discpirae' far ses. sans nul dente, regu'on aba det de osas innombrables, nus s ld ts, noir, un terrain degcase,m langtemp limité

malgré les tantes de 1 . s cboli, eussent pu!'qu au se décidait à rejoindre Baaame,u coup sur batée leu i N aat en a rq ar à 0 lotte, mais a.,.rm'

.,.I m6 de sa vfetoir 'lvaincre, ils rial paya d lente sautyt l'as. dg'.'.I .pin de sacrifies, quoi qu on en ait dit, semblait certain q on maéohereR droit àle désaàment au

1.'Ï."e. un c'étot la I i par Verdun, tla heulle et Gerba, et là

m6 patrie, aient br it se répandent mémé que Outre avenl-réfug"de dans l Sine de ces humbles et de garde s'était déjà portée sur Sainte-Méné-les ,ailla.,.. Le récit qui va enivre est heaIS,onaaclé à lé mémo t de osé pplorieut C'est de a côtéan'il tallait essayer d'a-

vaineae. On pmurraIt ae demander, en parer la jIi

O avec Rafales pp tir olé-

Ifsant cas pages attelsttae, pourquoi une gg ger l'armés de mats, qui sa débattait àplume Irençaisea retracé ces doulaureu Mars-la-Teerr h héaenville et à Saint-Pri-

àtaia.t exacte,emalsaes et navrantes ainegas en uu se tomes{ wef. rsesai ofortiau,. ne'. dégageait de balsa oo

neSte .gpèdaIvasti, vlse tiéaer. Un grate

douleurs. Regardons'.vérité eutaus,

ie, bile prfsfeaeu¢ da efÉesala,n pouvons qu'en être raffamd,

cheval,après avoir traverMseles lita

àe

Plus le mal lai RRrand, plus il importe de prus.aennea, appportait aa camp de L'hà-abattr

attrerem, La a.a., loin de ee laisser Ira la neuve lle qua Basai». manquait

ab parlaa malheur, ne vientmafia déjà de munitions. Treet, wagorsicanto-

h' ee,y puiser an se¢timeat de serperiee vaut ehacua art mdhoea de vertoun8n

et dé aigle qui soute peut 1. sauver 1 .aPédfbea à Moetmédg ai destinées a.

l l iLL'armée da défaite à Reie-

hole. et à Wmrth,s'était,

par Sarre-heurg et Nancy, es, sur Chilien,

ouibliant(d, couper leunuel de Saverue, quonficlét6 p1.eie.aller' l'ennemi danssa marche: La division Dousy, dont lebrave général Pellé avait prise le com-...da.eat à Wissemboueg, desae¢dait.Amepour se rallier jusqu'à Neufohd-Issu, et regagnait ensuite La Veuve etLe Mourmelen, oh ene eo refomait pnoi-blement, aombiant avec de jeunes ré-

es les vides faite par la mitrailla dansIra rangs ci,, . avesetdes turcos, c'étaitne

spectacle douloureux et pourtant au-litre. sumacs que loi de cas soldatsqui,

décimés par lefer, amaigris par lesprivations, balais par la fatigue, lue ,dto-

enrsenlambaaex; grand sombreblessés, fuyaient l'ambulaoae, et na de-maudaieot qu'à combattre. A In vue de

'ressuera aux aunes enveloppés decesinfra,, aux bu sas bosselées par lesbasanera, on eoug.aft à c. guerriers6paques, au trompette h'essé de G6rl'

ait Les mobiles du la Senne, campésdans la plaine crayeuse de Maurr,eloe,ngardas'nI d'oc on attendri at eespee.tueur les hammea échappés a.. combatse.d,lb s des premiers jours d'août,

débris umposanss do la plus énergiquetracé. de ...as, la vienne et légendairemée d'Afrique.

1",,,,,le programmad adopté jusqq,üci

Par la réunion es aomftés chargés de",,.are des mesures po.r rame Ir leeu'prSsentant do la Franco àla oei féline.lors de ao. arrivée da.. la aapltale del'Angleterre, use précession formée d'uncortOge i rose de la population irchercher M. Jules Fanes à la gare deCharirg Croff et l'aeeompaggn ea jusqu'àAlbert Gatq dans Ilyde ll'ark, ou estsitué l'hôtel de l'ambassade française,

Pour dor.,r à la démonstration uuearuetérr, plus soupeosaien, les comitésvoudraient faire sas star de.s la proces-

un à me plagie particulière,l'a

marrasRainlais

qimposaient l'équipage des boumer le

ue les Allemand, ont coulés deusla Senne à Duclair, dans où but on est àla recherche de ces hommes qni soutra-

usdepuis

quelques jours sa Angle-terre. Si

os

réussit à trouver et a rassem-bler d'entre eux, n leurf rait porter à la procession un drapeauAng'ais

..recrutéde velte ' e iption

F mé aux pieds parle roi Guillaume etBismerk. et flanqué de chaque côté doces doux antres : Le drapeau qui lira-

milliera'...6.. et e la grande

Dretagua Actrice sur les mare. , Le dra-pa.. corail eu outra macule de marquesde pieds bossasse, ae

a

niôleà faire

omprendre la .attire de l'outrage quelui ont iogigé Ira Prussiens,

Dn a propos. aussi a. .. mettre oncommunication aven toue lev

"%!.'«""'de. navires marchands caillés dana leport ae Lauriers, .6n de lev e.gager, euxet leurs mateleta, e prendre part à la

aeifeatetion en ;vent m groupe ledrape,, outragé. Una dépuhtion de la

'dl. de Bormmgham doit rendre àbandera pour sri joindre a. Cortege,

NOS FRERES DE SUISSE.

Dans la dernière assemblée générale dela société d'agriculture de la Sains. Lu-

and', quia eu lieu il y aun mois àLausanne, la proposition fat faite, etadoptée aveu empressement, d'ejomer àtoutes les souscriptions déjb ouvertesdans notre pays en faveur daa victimesde la guerre une ouvra nouvelle et toute.pécule,

Il :agissait, de concert avec la société

d'agriculure de la Suisse ro do, et

sous )ce auspices du ...sent fédéral, de

ueillir 1. plus possible de semencespour les faire distribuer .,ix malheureuxagr,cu taies français aoxquels on a toutpris, jusqu'aux réserves destinée. à en-semeucer leurs terres, et de les ..ttre à1 ra dispusitiou an moyeu d'agents aûes,choisis sur las lieux mêmes, et dans aha-

des contrées ravagéea parle passa-

ge des troupes ou les réquisitions.Celle idée gé.éreuae cet aojourd'hui eu

ban chemin d'aboutir.L. président. des deux sociétés ont

on.férence avec le président fé-ci,

d6ral,equi leur a promis aide at appui.

Du reste, a. vouant toutes ses troupes,groasias des carys d'armée vanne do Lyout de Belfort, as masser autour de Chi'

love et prendre paeigmn dans ces plaineset sur cas collines oh la etratég,o man-,airs française s'eserçaitdepufe plusieurslunées à d'distr ,il. champs de Jmamu-

es et de batailles simulées, pareunae nedoutait que Mad-Mabaa as hvràt bientôtde. e ôté m combat suprême, Nouauni sua pp. us la plus admirable et laplasma outahle aituati... Eo eSet, ilmm-bla que -a plaines où vent se briser At-tela voient le champ de viciai. ils 1.Franco. Las Glanai coteaux de la Cham-pagne forment en ce lieu un mphithéâ-tre .,?2-'oà seine artillerie, nombreuse, ro-nouvelle, comptant plus de 400 auoaa

E 70 mitrailleuses, pouvait facilementécraser l'eenami. Perse... n'hésitait à.rails que l'action décisive do cetteguerre ne dut se livrer d'as cas champscataleumens qua Jar¢audàs nous .notrerui,aelants du saag des Bune.

Les aoldats y tompfanan0Rd'ailleurs, et

ospréperalant à la lutte. angée bu

'ailleurs,

l'armée paraissait choqua jour et-fenduele ahoo de l'ennemi, qui»,,-,-

fià marchas forcées par la vallée de

l'Aube. Lee Peccaio.a, disait-o"lo 18 août,,tais', entrés dans Troyes, lie e paientArcia, ou ente dan déja le g udmentd. Il rs ....os dors la direction de Vitry Une parti, de l'armée du général deFaily abandonnait alors Vitry, et se re-

n;ousna pouvaient aller pmaréohal ,

nue partie de i armé, du prince Fréd6rnc-Chnrles occupait Brie?7 déjàvers la ;ramiers de llelgique, Le succèsd'un monvam.nt vers Meta dépeudaft sur!tonltda la rapidité de l'eatiou, fi tallaitsa décider à truie téie -tepanes royal,qui arrivait par la vallée de l'Aube ; iltallait lui disputer le passage avec Polisderriérn lof, ou

,Lieu,par Il'

..,eh. on,trafic. sorte foudroyante, il [.liait sitardroit à FrédériaCharlee et l'attogter pardrmenies, tandis que nos troupes repli.vus Relu l'aborderaient de filet dans unembat à outrance. Lev jours; les bourse,n s pareil moment, étaient des sièoles,

et les heures s'écoulaient, lie jours pa"s-ecaeut sans qu'a Prît ma décision. ua.

matin, le `l3 aoAL, par uu I.P. plu-nix et trissa. l'armée de camp de Lhà-

leua, lev 120,hOda,ommes de Mac-Mahos,quittèrent Renais dana 1a yy I,tjonr frileuxet bleuâtre d'une atmosphère humide. lis

,ahanent lentement aoua l'ondée et da.ses

gla boue, les drapeaux dans leuainess, lev étend-"de des archal.... me-

tombaut mosfllés le long ans hampes, lesmitrailleuses enveloppéeslde leurs espéoeede museluèeac on de oequee de cuir, etcade armés, se déroulant la lang des rou-tes, entenduit la a nucri. lugubre diecloches de Notre-Dambde Renais, quileur ..voyait b travers la plane je ne sans

I funèbre adieu.q Nul .e doutait ri e noa soldats .a fila.sent dirigés ace Vareoua, Il Yerdon,Gemmeur s'imaginer qu'une masse d'hom-m s aussi irait, ..ma degaII6 de coeur, ,'engager dans ce dfffrcflepassage; danseelte aorte de couloir du-

e ré libre entre l'armée prussienne etla Belgnque Y Aller lé, démit s'exposer

Bans et de la démoralisation ,faible deschefs. 0, dirigeait les troupes sur Réthel:de là, elles devaient se porter sur

Siens;

at Monlmldy, et -Poudre l'armée de Mata

à travers lie Ardeuuee ; mats, il faut lele redire, la mouvement était ....,..ê m,ucé

trotg taro, mLe prince Peédérm-cue.t.e,prévenu, atais de pat te corps d'armé-de Briey à Lougvy et a M:ntmédy, ha'teillons oa escadrons qui jeq.létoieur irapapulatiaae se montraient paillet, toaa-paient Ira vdlagos, app ss est .u dis-

, ,art, ooivaà.nt .allais camuse

à le piste, et, éparpillé matliématiqua'nesdt, neanieuvraieut da façon à semasaux jours d bat. D'oc autre côté laprince r i t ciré à Chàlons, rebr uesait obemm et maeebait à la rencontra de

, si

.estroupve, qu'il voulait prendre à revers, Pro impsmart ce danger, sa, metfaut à profit l'ôlan français, nas généras.cassent regg gn6 au damier jour la lampaperdu à Chéloae a à Rairas; mais ilaffitda lied les d6pdches offioiagea datée.

de ene,cou,

ées de marche por os rendreommptil de l'mcapamté da cos officiers,(:site l.eapacit6 atteint des iraporti ...itoufquemeat dou:.ourau ee..Tant de dé-sbrdre 1 ié d'u,m g g ire L'mpereurchenue s v armés, s iéqu ëte iotcrr 5tàtonne , les généraux l aaeàeés, n de'aveu[ pas plus qua la P ut s f d tse confond somme dans tin bromliard et

a. frém t i n compare oas temps S'ar-mée ,,,i,,.,!'«.as eSSaie esclaves l ureplan de campagne depuisloogtemps mérf,aux advarbairee ei ternblement automati-que. qu'ils ont à combattre.

Postes le long de le frontière; les Ors-nadier, et la ertslllenre belges aaiateieotdéeioasement émus b tic lutte, qui cedéroula lesagoe aras leur. Y....- oua beaucoup médit de il B I6 qua e ritnette guerre, et on a t g 9 M'ama t

épris au, les .enmana qm t balbutiait.La fil' gigqne était loin d'étai hostile à 1.F,.aae,1 u quiète à bue droit des projetset des amhitioaa de l'homme qui touaitalors les dastiuéaa de Outre pays, rit'pouvait à coup sûr souhaiter intérieure..et le défaite de l'Imper-u'; mais assu-rément aussi elle gardait aufend de soncame ce seutimdot da dévotement ;ra-tera( psur la France et le peuple Fran-ç ia. Combien de fois avons-nous été ton.ch6, touché jusqu'aux lamas, par lesmarques de sympathie et l'aminclu effu-ei., qui acaaedlrmnt uu seldat françaisréfugié sur le terre belge' Il n'y avaitlà ne. de joué, rie. d'apprêté. Les pepu-lations walounes, fraryaises de langage etde euaveulrs, ,,,,,;.a,., a. s 'fondantgr nder vara Loogsvy 1. si n préaelles se portaient en f 1 à l tr .fiers,attendant let blessés

lese.C urag eut

loticoaaoleat, s g nt et l'a aidabelge, n puis

témlesoigner,uu peu grisée

parastis odeur de rdre et de ..,Pèrequi lin vagalt de PPraaca, ae senti[ plued'ags fois prtse de patte sorte de fienneimBaste appelle l'appétit dé le rixe et

oowba

d

t.arte0A Give/, sa il demeurai, anonplus

alus[orle

pays la tadelle..r. ddu

u pays ne üéti ns maffable,

e autre GubraLans

ter air et qui,

er0

dress m pleèus o semble aro.rl'assaut

ut; mata àGuvetet, uaima partout

r.d.âi utratka avait laissé les a-larda, na offerts

.aae..e

me-tions sana sa.tion., 1.0 Ardennais des cariions aman'raient, chcrchaat à Givet tin ratage ger.le ehatoes-fort, aussi difficile à défendreque ail eût été démantelé, ae po.vaft

aenslruisait ea hàto daafaut. ffrir. O.remblais, o. exerçait les jeunes gens depays et Ace ppaysaus mobiltsBs laientla garde ea blouse blocs auprès des eanoueservie par des artillaura leatairea, lia-

mdest le bruitsa

répandait pan b peuri a accordés obtenus çà et var ll.51 safens,Des récits de victo;ros agitaient la pontavilla, et ce n'étant pas sana émotion qu'auvoyait ces femmes, ces e fonts, tee gens

galets, sa rattaoh.er soudai. à toutes sasfrétai espérances 4es Prussiens avaientété battus à Busancy, d'autres disafaut

Féeries, - maVraient de faim dans desesennemiraei, quçaiei

ndéearté'igna, va ries ouecs fi'villa

orait ie6s , L'

ra7d dit.

fionltés auxquelles en s t E eé' Icde

,lait d'audace. Apré' aa .4 dalutte, .es nmt s ça repos, nos

de ment b n tt more, et loue e.-1L..

ir i at b peine mangé la"u-pe bu quelque, gorgée, ou aévor6, toutau marcham, uo peu de pain.

La bat" Ils do Carignan,plus

terriblequa le c bat do .....a, fut aussi Plus

d sasireuael çt elle en réalité quI edécidé du

sort1. 1 pat et fel-

mol ud fut

f yeble crééiment que la suite ds colle clés ar-

aauteouplusquieoe000n culer embat

plut é1er, la lette devint une bevoliurie;lutte verpa à eueps ai o b r d tflierla.L'ennemi, décimé par s mite Ileuaea,

rs,susit nus à la charge avec useépela neutable furie; Il vainquit, ou-out ladira ,P'i' aa sang. Les eaux rougrea de

la Chas,, trainaieet des cadavres alle-mands. 3 s la le 1 bv dans l'm+ceodie d C" g n M M l t en-vait sen b g ld u et hé ri mesublime d ll h lf q fait de lui,sinon où gé é al é,!, , [ d enadmirable

a' 1s devait letuomb rédfi, de_

lai,',lfmulla C gi al,', l'avoir ;épilamulla

L j.'ci 0 c0o , e

l t d '. e solatim>

.aisé

Sioda

laiasor à 'I'..al, lu; ui, cha,npde bataille ou les mot p usamns et tee'

varois sa oompoaient par nülliors La nuira

l'empereur, 'ares,, par la défaite, tété-oen alun oeaeyabloà l'unpéra na,t

e, datée de Carignan: 11

d ho ir s' -enora ne ugem na uj erà cheval longimportance. Je allia

rest,attiser'

tomes.,La ter septembre, pré' les méats

d Petit Ré lly et de B,se 1. à l'aubedune ruée eme, le aamege, quidurait depuis trous jours, recommao aitplus horrible M,e-Mahon, replié suis le

;on de Sedan, étendant son armés sula rive droite dais Meuse, fais.., laceaux Saxons et six W enirmbvegeois powtés b Ilémilly at commandée pur le pain-ce de S.. intimant avoir contralui toutes lee forces do l'armée prus-sienua, excepté le eorpe d'armée du

peine, Frédéric.Charles, qui tixet téta acrus heur. môme aux troupe. de Mat.,t re,ule u moment devant le.r vio-

lent II,.rt. Qu'eu se figure as, in aeterre ,,,,,,isa inond' d'euuemfs, fourmi,tant de troupes Allemandes. Sur les colli-

nes qui ae r nt Sedia et forment nu-tourde I pla mm, au vaste tard.

en e.tannll à la citadelle semble u-"foncée, tires tr open, épualéas, harassés,aval l'amsrtahte au amer, sent eoufianaaSans leurs oheta, sens eepofr ".fois-ci,nos ..feu foyer d héaelsele dans limaque la rage dn soldat battu, ans

troupea sont désergaaséee, rcallesarelelles )etfest duo. les rangs de tristes laz-ais, Ses mate à double entente castre le.généraux Ces .,ajols -,,a an bataille,et

harge bbai abitaet b combtt aa pas

de charge, ,etto baissée et fanfare aucatf,

,sacace

soldatsldate le teil Idq men Plus

aiauts-

ilsde-ontrois jaura, its ta défendsu

défendreei enversrin,Leaseps du pm de Saxe oeeape 1-

,,.t. de l'armée euoemieB, A sa deuil,, daBrévilly à Psuen, les avarois, qui vie-miel d'incendier Bazeilles, attendant et Ra

massent, eroforeés de le garde royal.prussien.. Ce sent les Bavarois qui cul-

cet attegeer. Le matin venu, lis ge-geot un feu vif de tirailleees

surauLa

Muscats, pais d'eu 6)a. àle bals.,nette j'a te jet..t, cette fois la poi-tride déeoumneto , dans las nues du

illage. Nul soldats leu repoussent; les

Bavarail moulait, ae rolcemaat et revteo-

e.t. Cette pouilles de la Moauelle, qu'ilfaut evauper à tout prix, est pour les

Prueeieas ta olé mémo de la bataille. Lae

Bavarois t lu poste "'a-., et lelposte de danger. Maison par maison,faut atta

b r içdess desl"

rimas pavéenlever Ira

C 'bal ... Inato axa,pli, éa etr

fmteuse

u tee morts bavarois s'eulasaent etdéueaeent dans la grande rue MQUbula.

0a tee oyait fauchée par grappes, les

eadaveea faisant appui ans cadavres,et sua morts demeuraient aine, Sans Lom-bor. La garde royale à ila mime heureattaquait Dauzy, Ruheeourt, petits villa-ges ,"''é, aux bois do l'Ardenne, blasa,caqueta, enchasséa comma en 'des écrinsveusu

otfrappantrsaus relàohe. De lamiebonze heures du vos auldats résus-'aiest intrépidement , relataient doualeurs lignes ces

grenadiers

poméranienaet as, chasseurs d, Muuicb ; mais, tendusqae lea nôtres luttaient ainsi an déaéspé-és, voyout se briser rostre eux les ba-

taillons ennemis, par u tri anche d'uneara p.mrlence et d'unoibardioese 'mg'-

libre b la fois, une autre armée prus-aieone, il pplia nombreuse, l'armée vfcto-riense de Wissembeurg et de Wmrtlu 0m-"v it somme à Poids loup sur le champ

1 de batanlle,

e Attygny. On parlait vag.emen d'unecontre à Vaream,o,r de canons pris de

tilleul défaite. Ce qui était ametunn, d'est,pas des fienta-tireur avaient brillé, an yjetant dLe pétrole enllammé, las bons deMeut-Die. et des Grandes-Armoises, ea

ienstétaient réfugiée et tapis les P..eamme avant Wissembeurg t Fer eh.

Tout à coup au milieu de ces bruns rat-auraus q chacun de mi., .sceptaat aveclatte crédulité facile qu'au accordaaux ....fies ardammeat dévirées, la...relia sus arriva aide combats defilament, de Moussu et de Carignan.

A Ballonnai, la -louant, le gàuéral deFailly. P. un aveuglement inexplicable,redoutait ai peu la voisinage des Prussi-

s, doit il ignorant la marcha, que lesboulets ennemis

'mirant

rpreudrn nossoldats établie co grande hab., las rangemêlés, entra deux ales de voituras a. ba-gages sur la ro ta, et pris n quelquesaorte au milieu de ces carrioles de eéquaait!.. de ,.a

,,,Qu'on

"imagine la situation d'une armée

arrétte ainsi et fusillée e l'uinproviste.

Lois de la protéger, osa voitures, cesab"rrettea, ces cheveu. qui piaffent entombent des deux ,',cris da chemin, cas

a dan,;em les Plus évidente, las plusdiffioil s à éviter - point de retraite pal'solde : devant soi l'oanemi, derrière soila tromiére. llatin, il [allant se rejeter surla terre neutre et ae laisser désarmer parIaa corps d'observation belggesde Namur h Arluu; Quelle wmba-aeiwuetratégique, dont las périls écla-tent aux yeux du 'pies ignorant duos la

tiers pour pet qu'al interroge uva cartegéogrphique I L'histoire dira, il set vrai,s'il de

an[raatpat dans l'eeprti es q.elgaee-

nos et surtout de l'empereur .a d'airaaehé de ae appprocher d'..a frontièreau l'on peavait du mains trouver en .aile

de revers. Je .'ai Ipoint couva l'ar-més dan. sa marche vara Ion Ardennes.Je quittais Reims à l'heurRpa6eu le départda panes impéria pou pa

qui farçait trois trains de uvres soldateaffamés à de.euace sa gare durant pplu-sreues heures, aoeasi.... it cette '6volta,ce désordre, c. pillage de voitures depa s par les troupes, - triste et pénibles é. dort les journaux ont 1 ra entre-tan le publia. Les soldats liaient exas-pérée, Leur ladisoipllne venait deq hépfta-

Le dernier courrier de Chine apporte

las enauvelles fora i.,ê,ossa.ws qu'a. vu

(tire :e M. 1. cri tw-amiral Dupré, voulant

en fiai" aven b fanatisme chinois, ode'n dé réaient 2 aimé.... criindemnité eu faveur

dades vieGmes des der-

.fers massacres.le Il a de plus, ggAA la démolition de

la forteresse de TaxKou qui, dlfaudantrentrée de Pe-chsdi, empéahe nos bA1i.enta légers de remanacr jusqu'à Ti..Tain.

. Ey oles de satisfaction nationale,il

réclamma

la taro de doL'distrois mandarins

coupables de complicité ou d'incurie,Le gouvernement chinois ayant de-bras

1. protection au chargé d'eff,imsede Prusse, l'amiral fait bloquer lafrégate allemande Medtasa dans le partde Yukohanra (PJa o. e, défense deortie sous pene

d'Ales),avcoulée.

s

mimal DuPré sa disposait à saaaa> La

TOUT POUR L'ARGENT,

Uu petit jouraal de Lyou, 1,=.d,publie sosvent des

articleseetspirituel., Il arrive mémo qu'en se laussuprendra

p dois à ire dru nxtrmta qu'eudoaaent d'autres journaux, comme s'ils

puy sua effarés qui lâchant lev 1111, etc'aufunent, tant la trouble, tout augmen-te la désordre. As momeut d'une egeaesa-o soudaine, furieuse' nos soldats, o m-p6. sans ordra de bataille comme a.ha-sarde étaieal, par l'impardornahla fautedo général, àdemi vainaua avait d'avefrppu combattre il. réeisiérent pourtant.L' ..ami leur opposant des fereaa mm,.dérablee, une armée --tibia e tee .neorpe comparativement faible. Las Prae-ris.a mua.ualea Jour syskme d'ésesae-ment. En teste siuoé,iét, le, soldate dogénéral de Failly cembatttreat un coutresix. Le soir, maigri leur courage, le ba-taille était perdu; mais rien envoie n'étantdéfinitivement oempeamia, et Mas-Mahonà la tombée de 1. ..fi, enrayant da Ca-rignan au G6nbaal de Failly des roulants

Qpreux, avant ampàehé que le nouveléohec du 5e corps ce se changeàt en

dérouleLa bataille devant remmeuaer le lan-

d . L'ana a

mpaenaitqu'a ne

fallait laisser a. u rbpt à cas trouppeshésotquee, mais épuisées et mal nourrie,-loir tee aeldais fran1eisi ® Aq L6gitu Il

C'était l'armée du prions royal, 1 ac-

cola que Ma-Mahon attardait è Chàlons,q 'il eut pont.lire anéantir If, et qu'adéhouchact b Meurmeloe pour y trouves.as baraqueme"te femme encore, sousprendra de reprs, s.bitement résolue àrejoi die l'advareeire qu'alla ne rmm ti-trait ppas, détail arseitlt misa en marche,doublant tee étapes, brûlant le terrain,par un de ses cops d'ondes. somparableale fameuse marche de floua qui harassal'armée prussieme, mais dérada 1. vic-toire h Sedewa, Os attendait serra arméedepuis jo e.. Le roi avait attaqué, cer-tain q e le prince arriveront ea jour voulu. Le paine rayrai avait assurément -tende le ..mura, :Carngnaa. Il redoublade peamptntude dans la nuit du 31 aoûtn ter septembre, et su. armée, venant

de Chàlons par Yeaalers, passait la Mes-à 1)...hery au moment mémo oà las

Bavarois atmgrnieltt n La Mancelle, eL ohI prier. de Saxe raitaen premier eerpde eanou. Dés lors le prie.. royal pua'vait faire entrer ,ce armée en lit e. [1 fit

eux, il fit rapidement longer race cal-data la coure de la Meuse. Tont an pm-nantpoaitron sur la rév du fieu.a, illarigtt, faalûq[uanl le champ di Iraladli

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Y

reciveéreitne - Lélg a, tlp aq'il r I

I

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L'as de, Géras.: L. JOUGLA

Te, un corps d'armée sur Fteing et Gi-ne,tanliequcleoaealerie, u

C'a par le prince Albreobt, le frère adunitre Prusse, pénétrait dans les baie de

l'Ardenne, et, déployant de Flégnenu àPnuru a uhlans, ses hussarde,rs dragons, oeohés, blottis derrière lesr Iii n.e, attendait 'nos soldate, qu'on .1

,si prendre entra irais feux, pourlouper la retraite.

suA once heures, nos troupes défendentnuadmirable et vic'orieux aabarca-

a, -e,A 1. M.... lie et le terrain de Haaeile l'a vu, lesle

allie"r"i"t'erauttelleséR Loei; salles te' as ri*'naient en

écheq elles allaient vain.re, elles al-laiect fuira recaler ces manses profondesdes soldats de Prusse, de Saxe, de Dada.et de Wertemberg, toute l'Allemagne eun moq lorsqu hrasquemeet, à onzeb ores, le oa.ou da prince Frit. mi-'l

n feu aur Floi.g, aur Givome, écrasea loin nos combattahts étonnés, e0'arés

de cette eeuennada mutuelles, de temi nouveau qui accourt avec desi, aillons plus épais que Inc premiers.

Lis masses mires des. Preisieoa sppasut pourant, poiselleur hue.

loba sanveg's (1) gituetoourat

ra ensila, at-taquant de face, de flanc, de toutes part.ne. te intrépide année qui an recale pas,qui lutte, qui espère encore.

Les heu assenth dans cette réai.lance formidable et héroïque ; mai. te

da feu de plue eu plus meurtr er,du plus en plus nourri, se. resserre ait.tour de uns soldats. La mort es' nartout,1 raillerie prneninane d perlée-terri.1,1 e, prend politisa sur t us [,il peints.L'a boulets planerait dan. les rangefianças, et

'masoldats lus à

peina l b ,-il qui 1 ép pat.91e

jottmu la 6 ,

tim surs

cellules

d' uv t l mort; 1 ill. l lus batnI qu'il., t bordé I. Il urs-

Ov. eo-ts pièces 1, ras foudroient àte Ri e d Il loi. braves, habitué. an,embat à l'arme blanche ; 300,000 hom-mes les entourent, las espoaeeent, les fa,cillent du fond des bois et ldo haut des-le.-. Alors l'armée, laarmée fmnç tee, devant astre eeintoreideter, de feu, de balles et de mitrai le, ilorale, redescend et a'enfunns dans cet es-toonoiede Sedan, ..tallé maintenantd'une erê ode batterie. ton...tas.

Nus soldas-il", d'abord de pereer,-de treuerlesltgeaee prussiennes; ilae'éobep

ut et su fraient un paeeage per la Cho-pô par les bois de l'Ardenne, per leDote ouverte de la Belgique. Le pave.

liens, les hussards de la mort, eucteot desbois et les repoussent ou las sabrent. U.

C'rat leur les nuI f nia : t re. Après3 eu400 p de eRfcu

11 feux a. 'aha el ""i; un forévol ,a,he /Eolwnaine,,creetpoussenn ses trihurrahs qui

tedoivent raanandd.r a ce x donc

loi Lernrxbis

lgu -ILGada ltdnnqueàellea

ému à t es sassa

se jettent vers Sedan, pressés dan. lestaillis, ;et les hatterice prluilmaee, da]lent des coteaux le Gisons, mitrail.lent ]es sentiers et hachmd àia fois lsabranches et les hommes. Devant es .om-bra immense, devant ces milliers de ça

os devant ce déploiement. épouvanm-be de furee brutnla, nos troupes déei-d'as à résister, à diepnter cocu o rleudrapeau et leur cxtterme à cutter esseennemie, mais boraséea, l'im-peissanae, rte treny laissant leurs mors,généraux, officiers, soldats, aur ces coSeaux l'd Ardenn+, et 8eex00 hammasveut d

eenfarmer, 'antaseer dans ces

ors d"sormai'. ai etriatements c6léhreade Sedin.

,n.,ae rnAaxrls,(Le suite à demeée).

(Reuua des Daum.Meudee.)

Espagne.Madrid, 19 janvier

La Genette e(ficielte a publié le décretrelatif à l'éoeisaiaLa des bene dis trésorpeur la somare de 4M) millions de réae.(soit 120 millions de fraaes. )

liésIls seront payables tee 31 octobre etSi décembre lift, es 31 jsuei.r

1872;.

On noyers lesintérêts

tous les tmar., à partir du fan tév r r pesuham

Les beau sent dedc séLe per' èreséne damier. 75 fr. de

lente m elle,I.,r tee d , 150 te. 1 t èere, 150

t .: te gsetnéw 30(N) t 'nq'èine0,010 le I saxe R 200 te. ;

1 2R t fe fie la N8 r0..preehai,..

11,

leu bous ne ,out p layé à l qhé noa, les 213 de lote( et orle minais

a rat aune par les ses trésorpublia dates toua Espagnesni

du

d, tentes tee emdnbutona.Les noquérenre Plantant lie pays,

avec des coupons 21)10 ntér aur dOjeéehse, su en argent. Ils seront arasa de

pAyraies eunéeag

Las titres enrouléchéances

1

puvr

surels

le dermes paieraient.Les ,péculat ms à la Bourse us as

foot pas illusion aur l'avenir. Ils mit faitce baisse de 40 c. sur teues l'a va

leur, et pertiaulirrement sur les bonsdu trésor et le 301)1 intérieur-

1,a ministre usa fi..nce. e fuit pnhüernn aria qu'il p aérait a¢jourd'uui tee tsartarse, ha tu S3e du co¢pend ; p.100,fichu le 31 décembre, Six eu 19 jours, Aqualle époque aura-ton pipé les 3, 14ggatreatenu 77e sais yû un lino .ombrént

été visées peur litre payées on me

arLehsinistre a annn c6 qu'il Paillaitégalement les;mdrepeenedrs de travauxpublics auaquels il e t dd plue de 60mrlfians. Il va leur oBr due bora, dua6sor pour toute leur v leur amoralfis perdront, s'ils les veud.et de suit

EXP0S1TiON

27 112 p. 100.l'en concats plusieurs qui ont déclaré

un peu tard, il est vrai, qti ils ne aou-mission. eraient.plue de travaux-

Les quatre apj al, qu'a. va laite auc-cr sivemrnt aux élaateurs pour élire des

scillere gèuéranx, des dépotés, desaRnaaure et dos coseillers mumdipaus,peéuacupeut vivement tous iil amas,

Vous savez gtien Lspagn la eanstitu-Lion autorise tort le mu. du à pouenivr.

ns Ie8 anis da qui sec mtarie dit

commettraienteut ]e leur aa

tarins et m ume.e des écu. Commele ministre du l'intérieur a déclaré qu'ilferait la guerre aux candidate de l'opps.sitlon dyuaetign , l'a réppubllcai¢s et lesoarlietee out chargé des avouas., des-nés t des huissiers de poursuivredevant les teibhnaex, q ex r-cereitwe pression sur les élections oupemmettrait des abus de pouvoir,

Tout le meode -,plaint qua des or-nes électorales va sortir ou le uenaelide.flou de la dyrtaatie ou a alteiblieea-ment. la luta sera fougue et rude.

LOI etruation gui se poussait an sujetde l'ussassimat du général Prim isbaactivement. Parmi les sain inculpée, il

eu a nia qui t fait des ré él flousereus

s.Irais

c'lqondes

oi ud t d net?et être I née tc des p unes

hs. p. lu àMd dL mstr t qI ail p c tr p, ru.

telle, carmeu sl d F.Ileah norahle + J Ignore V j ran-drea la eé qu 'e t mp s6 L, r,edis pas te da um.s propres, de peurd'ôterobligé de r o aille, plus tend.

M d 1 bOjOn mS cuir '" t Espns-

gué que d s et ils élections, de roiso lie é éa dxy Tnota ient lla 1 rIévrier f,o oahdin.

Chéghu p rt rat i à l ie pourehtenir i u lompha de's e candidats dansnatta dite o misas puisque l'admrni.acetiou d départements t le ehoixdes a6maon,vu.t en dépendre.

Les ooveeïllaes géuéranx aa m ores parle sirirege universel vont nous faire -enlitre l'esprit général des populations.

Si alleu. sont favorables an geuvenrementactuel' il n'est pas douteux que l'électiondes sénaboru et relira dàes dépurée nedon lent au minisare et la dynastienue foras nouvelle.

Nommés cor le suffrage universel, lesconseillers généraux poumon , eu toualiberté, élireeure présidante, vice pr6-sidana et searétairca et prendre telle dé-o sien q.ails jugeront oov en' ble, cens

air à araiudec le veto u a déplaisirdre prèles ou du ministère ue qui etd une haute portée dans un paya é teepréfets sont toujours très-portés à êtreales rsyelhetee que le roi, et à exagérer

oustems t l d ô pour justi-dpar d d éat es autre

vent c mspurée par de vains eeprires-

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Aomvean s;Dtème contre le DITEE.

ranz viendra Dalle des notables. Ils so-ront élus par la suffrage a avers I. Lesnetablea et les no cuillers réunis, élirontlu sénateurs. Calo densièra élection aune grans importance cor pour la prewière fais eu Espagne, las cénatenrn àvie nommés par le chef du pouvoir axé.cutif, vont être remplacés per des sé-u teurs élus par lo suffrage universelsurs t

L'article 50 de la Constitution disposegoules projea de loi relatifs x co tn-butioue, au crédit public et àn la forcemilitaires ont prEseutéa aux députés

a t de l'Aire aux sénateurs, et que aius derniers présentaient, des amende-ments que les dépavés n voitlusseutpagedeuettre, l'opinion dasadéputésvendrait.

Il Il y deuil nue orle de upérlo-rit6 deus lé Geais des députée. Aus-si presque tous les dilue teJenra ues vers la Chambre

des

s

dé.

dé.putée.

Dernières Nouvelles

Cur 1 taries aparale Aa

JurTtx tL Or TOLLODSC.

B d 2t). 1871L us elle était vise P t u t

1--t sorti, il est sorti une pas ptout pour foire trou pas uau diversion,

-.il a.. es r 'ou aitallindre u1, 0,O é d 1 u.pla etrat'g iquoarrêtê Il es, sorti aveut ut e ana Forces.

Leet le plau, e) jet -

je me garderais d'en duc q .e que ce soit,'s cette fois personne, sauf le Chef su-

prême, ue sait t de qui est décidé,même les positrons oevup"es par les diffévents corps de l'ermde ne sont point con-nues et les détails que nous pouvons avoiront fort eu de chose.s

Bie que la ec'ndo attaqua 'ait pusglu le pramléoe, l'éuhea n', 'l pas oe que

l'on avait cru. L'armée n'a point recalé;in, pasiC:oes prises perds pour l'attaqueLot été gardées et mêms avancées. Seule-ment le Premier flan avoir

P""Iltrsupes à deux kilpmétres au-delàlontretout et n n'e pu conserver

terrain si rapidement conquis. Mais lecampagne de l cris lest pas finie ; elle

est pas mime commmméo, et .oua ps maintenant à d'im-

ponantes nouvelles,ds,m

be éprouvé,-

IncA déjà ossorllumaà raire à de rudes efforts, et ale doit

ent eavoir quo, mima apr8 le bomba -demont, même prés Parla b die, leguerreoueouera plus ardente, plus acharnée

que jamais.

Cru uel u mets du Nonite v ont uneparlée

quelquesnormes: Le général Le Flô de'

1

vient 0000reneer de Paris. Trochu cetsorti et ne rentrera pas ; Ducect est sor-ti ; Vinoy est sorti C'est la grande batai[-le sous Paris qui vu se livrer.

Depuis deux jours ies dépêches sonts oafaisantee ; l'espace s'élargit autourde nos armées ; o , respire mieux et pinslibrement. Chanzy complète sa n)oega-nisation et ses pprovisionnemeots.L'armée de la Loir. devenue l'armée deBretagne, retrait plus nombreuseet mieuxarmée qui avant sou échec du Mous.

Faidherheque les Prussiens peitendaieutcarnet tient en éveil les corps Prussiensdu Nord et biemét peut-étre des actions

perlantes vont âengager vers Saict'Quentin ou Pérenne.

Dans l'Est, Boerbaki, ecmplétementd6-

dags unedire. eau restéeiseconué®uvre

Les colonnes pruuiermea qui sa por-taient, par Dijon, sur les derrières del'armée de l'Est, ont été arrêtée,, battues,mises en fuite et poursuivies. Les Pamé.

ras du file régiment ont ppe du leurdrapeau, tombé an us de RiceiottiGaribaldi. Les 3 journées de Dijon oaété de véritable; i ta Iles , et par leo brade b tt t et par ia v

coté de Canaoo, par I, ,FiO,,, dis pers s,t tout l' t r I

t ts t cté iqucou tla ntéd

U , lronp 1 il a 11 é glIl port d. Il.tq is lé p e

ledit a .. ital. p t Eflesdcent à nos Il t la ..l In ép s],.a drux plus p'seanta ressorts de lsoinhnmai.e.

Donc rien de perdu. Déplorable è sesdébuts, la e unum, 7 uére est deveaeef ble et lecntmuee, h t temps, de-uvellr c armées se form,.,t et pour peu

qu'une tracée ae tasse devant l 'sirotée deParis, aine aurons eu Imille. io lutter,alors même que la ville de Par serait aupouvoir des Prussiens

Que le lutte poissse Le alut est là ! Si cous pouvons t nie quelque, mois encore, fussions n s battustous les jours, nous uerivnrocn à boa port.Mais il faut que l'armée de Parie se dé.gage 1

Et si nos ggénéraux, écartés par, desforas entraidé ables, des abords ds arts,,e peuvent lier devant de Trochuqua. moins ils

attire',sur suc et qui ils

refaudr.t les forcesp.

eonhmes. Alorsil fendra bien, eu que

Trochupasse, ou

que le blocs soit rompe si toutes [es fer-s prussienuea se réunissent contra

Trochu.Du courage donc ! Le semaine qui va

s'écouler peut décider de notre sort 1

Etede de Ni- GRl"GADTehaacho (ttAUTnwe).a FOURNITURES POUR L'ARMÉE

xr[TAAfr leur r2 Plis i,'A.TLLa

770 nu cens naroxsos,DE êt d G'OEillea métallique'

lesclos Four êt- B u-1

G é d pC G ê t Cres - o e uir eu tous eg nrespu teeo..Le Tribun l i il de Premiers

matanrn tee vinéharinet l

e

atente. E M O L I N E CT F I Lcalo nr),em ;.i'uue e, a aoa Sdu 26 n v bru la-a, nrgietré. Mr. AfiF nn noa nrvm ononn. nvS urrfan, aiue-profoisim,, vaine du I

.jean Raév. domlcihroeaiûnv,ane, ta, a erre tee o

DÉPÊCHE

Général Pélisaier d Beayniee/,Bordeaneo.

Dilua, 22 janvier.Celui qui eccuso les m bilisés d'avn r

joué un rôle dal dans la bataille de 1),pu, , journée du 21, cal uu iulâme calom-n

lenrappelle au général Garibaldi, auperles du la Côte.d'Oe, à tous ux quilas ont vas à l'movre. Les mobilisés Dolconservé leurs Position,, toute le journéeet toute le nuit.

La baaille rceemmonce aujourd'hui etles mobilisés les conservant encore.

La troisième légion des mobilisés deSaléee et-Loire, colonel Ferrait, .'Lut éta-blie avec endeno sur le Banc gauche dal'ennemi, a'y set maintenue jusquA mi-

uit et n â pn eu titre délogée que p,des forces très -péril. après anterus,

perse d'un léaler s.périeur, de deuxmusiciens, de q afro iafi un ee et doquarante sous-officiers etaoldets,

Dauz antres légions de Sasae'et'Lunerat aussi fait des partes sensibles, mois

d nt cous ne connaiasonapas eunceslcel el'éandue-

Teulre let antres légion,, tant celles dujura que celles de l'Ain t co.sers6leurs

p été attaquées, M' la11' Sri l'mot éu.:e uut bravem<.nL de

f. 1.

L s,ob,l , r,. a Il lut a,n(a,p v I f, à

, lll d 11 u de Dj,par es uniras les pas pr s as I gé érai Peanzm qy ,be, non seu-lement ne a -d, à l I sa ""fi é du tram qui lui état

un-yé

puer emmener ses troupes j l à 1f n.J'al donné l'ordre de le ferre allô ce

partout ou on le trouvera.Pour entrait A. Pecon,

Décès du 20 et 21 janvier.

Latfont (Marguerite) Y.. Bertrand, 67anse Bonhourc.

Berges l)l'rsstcis,) charron, 27 ans, à

Bovhorare.

lyre, (Joseph), 50 ans, rue 30 Peut.,

105L.ecosa(Jeanne), 66 ana, Place De-

puy, 12.1R a, (Marie), pomestfque, 21 ana,

tee des Potiers, 12.B-, (Pierre), oulamtenr, 41 ..a,

litAuue) , 35 s, Epouse

Piyuemal, Place de la Daurade.Begneeie (P6tronille), Epouse Idrae,

92 ans, meute de L'auvegue6Labatnt (Je Malin

nier, 55 ana, rue Si. Cy,rira, 25,

deL'Âequrédoc,r(Va. Mollet, 69 ace, rus

Lob min (Cécile), oesg.ettèee, 28 ans,rue l'limier, 55.

'ONTES D'ORNEMENTSEN DEUXIEME FUSION

iS`-C a'a.t:ut AOE UJ&T, A FOULCiUME

Ba

IIlooaes e cux,ces, teste Tour ce élu Cd

dco I 1 onexans

1

etl t-J I 'LRIS1 / I xa .Ara

ay De toutes dents ou racines gâtées ..ne extra.- vr. Onnan mis -mieux, Vt..aee, CRmses

talc. u il set d'redud la tien ni il-las. i I Irisons os JAnaiRS, etc. , etc.

lone ace de la Pomme, 57,hfir,nnr connu au de 69,C_geeyacneaa.ibl., , Mt Mua PEELEINtlidi. e, manne-autetee tle parie, ena r.,renl da j-e A COLONNE EN FONTEeu lsuc la 1. 111t, sur avale dl- dam Iee nouveeusllin teexounme aà li s, u d+ nis.ee rb ec tru- Id arasent l'exéc.tinu des lo les pu' allons de la bouche

ente. avec horions raranx nTn.rrés mm r,.on aam.s ter Le Costa Andaàfonnatir ' an ublialion vtnluesp M pELLECItIN b d lnemg,ea contention de mites a e lie pièces garanti, donnant 50'litre: d'eau par minute.Pu' r

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