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SOMMAIRE Préambule Remerciement I - Contexte du projet I.1 - Mon profil I.2 - Mon projet I.2.a - Nature du projet I.2.b - Fiche signalétique de l’entreprise I.2.c - Historique I.2.d - Motivations I.2.e - Objectifs II - Présentation des produits et du marché II.1 - Les produits II.2 - Le marché II.2.a - Présentation du marché II.2.b - Caractéristiques de la demande II.3 - Caractéristiques de l’offre II.4 - Les concurrents indirects II.5 - Analyse SWOT III - La stratégie III.1 - Plan de communication III.2 - Stratégie de vente et premiers moyens de fidélisation IV - Les moyens commerciaux V - Les moyens de production V.1 - Les fournisseurs et sous-traitants V.2 - Les moyens techniques VI - Le site marchand VII- Le dossier financier VII.1 - Le compte de résultat prévisionnel VII.2 - Le besoin en fond de roulement (BFR) VII.3 - Le plan de financement initial VII.4 - Le plan de trésorerie VII.5 - Le plan de financement à trois ans VII.6 - La TVA (TVA Achats/ TVA Ventes) VII.7 - La rentabilité – Point mort VII.8 - La construction finale des comptes prévisionnels VIII - Conclusion

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SOMMAIRE

PréambuleRemerciement

I - Contexte du projetI.1 - Mon profilI.2 - Mon projet

I.2.a - Nature du projetI.2.b - Fiche signalétique de l’entrepriseI.2.c - HistoriqueI.2.d - MotivationsI.2.e - Objectifs

II - Présentation des produits et du marchéII.1 - Les produitsII.2 - Le marché

II.2.a - Présentation du marchéII.2.b - Caractéristiques de la demande

II.3 - Caractéristiques de l’offreII.4 - Les concurrents indirectsII.5 - Analyse SWOT

III - La stratégieIII.1 - Plan de communicationIII.2 - Stratégie de vente et premiers moyens de fidélisation

IV - Les moyens commerciaux

V - Les moyens de productionV.1 - Les fournisseurs et sous-traitantsV.2 - Les moyens techniques

VI - Le site marchand

VII- Le dossier financierVII.1 - Le compte de résultat prévisionnelVII.2 - Le besoin en fond de roulement (BFR)VII.3 - Le plan de financement initialVII.4 - Le plan de trésorerieVII.5 - Le plan de financement à trois ansVII.6 - La TVA (TVA Achats/ TVA Ventes)VII.7 - La rentabilité – Point mortVII.8 - La construction finale des comptes prévisionnels

VIII - Conclusion

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I.2 – Mon projet

L’objectif de ce projet est la vente par correspondance des collections de créateurs africains d’une part, et d’autre part des objets d’arts africains, principalement l’art pictural et des sculptures en bois et en bronze, mais aussi un pôle cosmétique de produits « bio » destinés aux peaux noires et métissées.

I.2.a - Nature du projet

I - Contexte du projet

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Créer un espace virtuel afin de présenter la mode et l’art inspirés par la culture africaine sous un angle différent de ce que l’on retrouve automatiquement dans les boutiques en ligne.En ce qui concerne l’espace vestimentaire, je compte partir d’une sélection pointue des créateurs avec qui je compte tisser un partenariat.Mon exigence à ce niveau par du fait que trop souvent les non africains ne se reconnaissent pas dans les collections des créateurs africains quand bien même ils les apprécient. Cette réaction tout à fait normale, est due au fait que les collections de nombreux créateurs restent spécialement conçues pour la femme africaine.AddictAfrica veut dans un premier temps positionner les collections des créateurs africains dans le contexte fashion actuel sans distinction de race, et ensuite les faire connaître à travers le monde grâce à Internet et aux différentes approches commerciales que je compte mettre en place.

I.2.b – Fiche signalétique de l’entreprise

Raison Sociale : ……………………AddictAfrica………………………………………………………………Adresse : 30 rue de l’Abbé Choquet…………………………Code Postal :………59140……………………. Ville : Dunkerque………………………..Tél : …03 28 66 79 55………………… Fax : …………………………………………Forme juridique : …………EURL………………………..Activités : Vente à distanceProduits : Vestimentaire, Arts, Cosmétiques

- Description :

- Caractéristiques techniques :

Date d’ouverture envisagée : …01/10/2007……………………………………………

N° SIRET : ……………………………………..N° RM et/ou RC : ………………………Code NAF : ……………………………

I.2.c – Historique

Etudiante en DEESMA, j’ai toujours eu envi de créer mon entreprise. Après avoir passé différents stages au cours de mon cursus universitaire, j’ai pu m’imprégner de la vie d’entreprise en travaillant dans les différents secteurs piliers de la gestion d’entreprise et me tisser une expérience professionnelle quoique minime.

Alors que j’étais à la recherche d’un emploi à temps partiel pour financer ma formation en Master e business et suite aux nombreuses réponses négatives, j’ai décidé de me lancer dans la création d’une entreprise.

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(Me lancer ?) mais comment ?dans quel domaine ? Toutes les idées que j’avais nécessitaient un apport financier important et je savais pertinemment que trouver un financement allait êtrequasiment impossible.

C’est alors qu’un jour en lisant le magazine AMINA l’idée de créer une boutique en ligne de vêtements m’est venue. Mais en poussant un peu plus ma réflexion à ce sujet je me suis rendu compte qu’il fallait apporter un plus à cette boutique, car l’idée de créer une boutique en ligneétait un peu banale, mais créer une boutique en ligne où l’internaute pourrait trouver :-des vêtements de jeunes créateurs et créateurs africains renommés tels que Alphadi, Pathé’O … -des vêtements type africains de par les tissus utilisés ou encore par le mode de fabrication (toujours fait à la main)-des vêtements non plus réservé aux femmes africaines exclusivement, mais adaptés à toutes les personnes quelles que soient leurs formes, leurs origines, leur couleur de peau…-des produits cosmétiques « Bio » adaptés aux peaux noires et métissés, qui entrent dans la perspective du respect de l’environnement, mais aussi de la peau et de la santé-des œuvres d’art africains…était une innovation qui me permettait de me démarquer de l’offre déjà existante sur le marché.Bref, la mode et la culture « made in Africa » où que l’on se trouve.

I.2.d - Motivations

D’origine africaine, j’ai côtoyé différentes cultures et traditions africaines notamment les principales d’Afrique centrale, de l’Ouest du nord, qui m’ont fasciné par la beauté de leurs modes.Au fur et à mesure que j’avançais dans mes recherches pour la mise en place de ce projet, je me suis aperçue qu’il n’existait pas encore sur le marché d’offres similaire à la mienne et que celles que l’on pouvait trouver était très limitée.C’est à ce niveau que ma détermination est véritablement née.

Faire découvrir aux autres cultures ces magnifiques collections de créateurs africains, en les adaptant aux tendances actuelles est l’un de mes principaux objectifs.

Au niveau des œuvres d’arts : faire reconnaître au niveau mondial des artistes déjà connu outre frontière, en partenariat avec l’Unesco et les principaux acteurs du secteur touristique.

Mettre en place un partenariat qui permettrait à ces différents artistes de bénéficier d’une couverture financière décente à la hauteur de leurs œuvres.

Le développement de la notoriété de ces produits et l’ouverture de ces cultures et traditions au monde aura un impact non négligeable sur le tourisme africain, et donc surl’économie des pays concernés, dont l’économie est généralement basée sur l’exploitationintensive des ressources naturelles.

Faire prendre conscience de l’importante de la préservation de l’environnement avec des produits 100% naturel, ainsi que des méthodes de conception purement traditionnelles

I.2.e - Objectifs

-Combinaison passion objectifs prof

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II.1 Les produits

- Les collections vestimentaires

II - Présentation des produits et du marché

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-les œuvres d’arts

-Les produits cosmétiques

II.1.a - Les collections vestimentaires

Les collections présentées par AddictAfrica sont à l’image du monde actuel , métissé chic et moderne…

Savant mélange s’inspirant à la fois des tenues traditionnelles africaines et des codes vestimentaires en vigueur, la préservation de tout le savoir des maîtres artisans africains se traduits notamment par la couture intégralement faite à la main, dans le plus grand respect de la nature et de l’environnement.

Les matériaux utilisés, 100% naturels sont autant de gages pour la valorisation d’un savoirfaire ancestral tout en se plaçant dans une logique de développement durable.

(Les collections variées afin de satisfaire le maximum de demandes se déclineront en 3 temps) :- la collection élégance avec des tenues de cérémonie adaptées aussi bien au mariage,

qu’aux occasions particulières, avec la possibilité d’une conception sur mesure.- des tenues décontractées, pouvant être portées aussi bien au travail que le samedi après

midi,- La collection de tenues en tissus typiquement africains

Les collections femmes

Les tenues de cérémonies

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Les élégantes décontractées

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Les tenues en tissus typiquement africains

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Les collections hommes

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II.1.b - Les œuvres d’art

Mon principal fournisseur : L’Ecole de Peinture de Poto Poto

De renommée internationale, l’école de peinture de poto-poto est l’une des plus anciennedu continent africain. Véritable temple de l’art pictural africain, elle est dépositaire d’un style unique etparticulier qui la caractérise. C’est en 1951 que P. Lods, artiste peintre et ancien soldat de l’armée française, décided’initier son employé de maison à la peinture, choqué par le style affiché par les peintrescongolais de l’époque qu’il juge trop européanisé. C’est ainsi que naît l’école de peinturede Poto-poto. Aujourd’hui, plus d’un demi siècle après sa création l’école est toujours animée du mêmeesprit, dont l’authenticité est imprégnée dans chacune des œuvres produites par les artistesqui en sont les réceptacles et les ouvriers. En établissant un partenariat avec l’école de peinture de Poto-poto, Addict-Africa se fixepour objectif la promotion d’un art pictural née du brassage culturel entre l’Afrique et laculture européenne.

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II.1.c Les produits cosmétiques bio

La cosmétologie bio qu'est-ce que c'est ?

Les produits vantent souvent leurs composants naturels, les packagings sont de plus en plusverts. Mais qu'en est-il réellement ? Comment faire la différence entre un produit vraimentnaturel et un qui ne l'est pas ?

Malgré leurs formes différentes (crèmes, gels, émulsion, etc.), les cosmétiques ont tous unecomposition à peu près identique : des excipients, des principes actifs et des additifs. - Un excipient est une substance qui a pour rôle d'accélérer la diffusion du principe actif dansnotre épiderme. Les excipients peuvent avoir plusieurs origines. Par exemple, l'amande douce,l'avocat ou le beurre de karité sont des excipients d'origine végétale. Les silicones sont unexemple d'excipient d'origine synthétique.

Le principe actif est, comme son nom l'indique, une substance responsable de l'efficacité du produit. Les principes actifs qui entrent dans la composition des produits cosmétiques sont l'acide hyaluronique, l'argile, l'élastine, le zinc, les vitamines, certains fruits et légumes, etc.- Les additifs sont très variés. Il peut s'agir d'adjuvants (pour colorer, parfumer, faire mousser...), mais aussi de conservateurs ou de colorants.

En quoi un produit cosmétique bio est-il différent ?La différence entre un produit naturel, bio et un produit "normal", vient de la qualité, de la quantité d'ingrédients ainsi que du processus de fabrication du produit.Par exemple, un produit bio contient souvent jusqu'à 35 % de principes actifs alors qu'il n'est pas rare d'en trouver moins de 1 % dans un produit normal. Un autre exemple concerne les additifs, qui ne sont jamais utilisés en cosmétologie bio contrairement à la cosmétologie traditionnelle. Les colorants servent à attirer l'oeil, les parfums à masquer des odeurs qui pourraient être jugées désagréables, ou d'autres additifs, comme ceux pour "faire mousser", nesont que pur confort...

Les étiquettes et les labelsCe n'est pas toujours évident de lire la composition d'un produit cosmétique pour plusieurs raisons. Déjà, ils sont souvent écrits en tout petit. Ensuite, ils sont définis par un code international (appelé INCI pour "International Nomenclature Cosmetic Ingredients") qui oblige à mentionner le nom des ingrédients en anglais et le nom des éventuelles plantes en latin.

Bref, les labels sont finalement la seule garantie sur laquelle le consommateur soucieux d'acheter bio peut s'appuyer. Les produits dits biologiques doivent en effet répondre à différents critères pour en obtenir un.Ils doivent être exempts de tout parfum, de colorant et de conservateurs artificiels. Ils ne peuvent contenir ni produits de synthèse ni produits issus du pétrole. Ils doivent être sans glycérine, ni paraffine, ni vaseline, ni alcool. Les produits utilisés doivent être des produits de qualité biologique, sauvages et sans traitement chimique. Enfin, concernant les huiles essentielles, elles doivent être 100 % pures et naturelles.

Depuis les directives européennes de 1997, tout produit cosmétique doit pouvoir prouver l'efficacité qu'il revendique. C'est pourquoi, un produit subit de nombreux tests avant d'être lancer sur le marché. Concernant la cosmétique bio, les produits doivent également respecter

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un cahier des charges très pointu pour pouvoir obtenir un label. Les deux principaux labels sont Ecocert et Nature & Progrès.

Finalement, pour obtenir une appellation "bio", un cosmétique doit comporter 70 % minimumde composants biologiques. Le label "Nature & Progrès" se démarque, en exigeant dans son cahier des charges 100 % de composants bio (Lire l'interview). Enfin, d'un point de vue purement éthique, les packagings de ces produits sont recyclables. Et, naturellement, aucun test n'est effectué sur des animaux.

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II.2 Le marché

II.2.a- Présentation du marché

« Le e-commerce français en hausse de 30% selon L’Acsel. » La France compte désormais 16millions de cyber-acheteurs, soit une hausse de 24% sur un an. Résultat : le chiffre d’affairesdu commerce électronique grimpe de 31%, boosté par l’offre des TPE-PEM.IL faut noté que les pays tels que la France, l’Espagne, l’Italie… sont encore à la traînecomparé aux pays nordistes et au reste des pays industrialisés en ce qui concerne le commerceélectronique.

Dans un marché de l’habillement relativement stable, le e-commerce fait figure desegment des plus dynamiques. En effet, sur les 9 premiers mois de l’année 2006 le chiffred’affaires du marché global de l’habillement ne progresse que de 0.4%. Depuis Août 2006 lapart du chiffre d’affaire Internet représente 2.2% du marché global de l’habillement alors qu’ilétait de 1.5% en septembre 2005.

Le Boom des ventes en ligne

Depuis un certain temps le marché de la vente des produits d’habillement en ligne est enébullition, mais aujourd’hui de nombreuses initiatives commencent à éclore.

En analysant le marché global du e-commerce, ce bouillonnement est confirmé : lesvêtements remontent dans les catégories des produits les plus achetés en ligne et figurentactuellement à la quatrième place du classement selon l’étude e-commerce de BenchmarkGroup.

Ce dynamisme de la vente de produits vestimentaires en ligne apparaît principalement lié àune féminisation de la population des cyberacheteurs. "Depuis 12 à 18 mois, un rééquilibragede la population des cyberacheteurs a été opéré, sous l'effet d'une féminisation importante. Lesfemmes représentent dorénavant la moitié des nouveaux acheteurs, indique. Or l'habillementest un des secteurs sur lesquels la femme est majoritaire".

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II.2.b Caractéristiques de la demande

Le secteur de l’habillement est des moins statiques, il est difficile à suivre quand on est pasune « fashion victime », car les tendances changent au jour le jour, une personne « ringarde »la veille peut devenir très tendance le lendemain…C’est un monde en perpétuelle quête d’innovation , où chacun veut être exceptionnelle par satenue. Ses codes permettent une certaine distinction sociale, et sont les seuls à combler lesentiment d’appartenance : « je suis chic et je reconnais une fashion victime par son sacFendi, sa chaussure Kazamoto ou Gucci, sa chemise Eden ou Canali… »

Il suffit d’observer les comportements des consommateurs, dans les grandes commedans les petites villes l’apparence a pris une place importante, ces consommateurs nedemandent qu’une chose : le duo beauté/qualité.Ils sont prêts à dépenser une bonne partie de leur budget pour satisfaire ce besoin, et lesstatistiques le prouvent.Prenons le cas des non africains :

Le choix se baser sur des collections de créateurs africains et d’ouvrir la cultureafricaine au monde par d’un constat simple sur la croissance des loisirs , en particulier dutourisme avec des ventes en ligne de séjours pour l’Afrique qui ont exploser.Les motivations de cet engouement pour l’Afrique ?Se détendre et découvrir une culture merveilleuse certes, mais il ya aussi la mode ! 9,9 touristes sur 10 ont dans leur bagages au retour, une tenue d’Afrique, il ne la porterontque très rarement parce qu’elle n’est pas adaptée au climat de leur pays d’origine, ou toutsimplement parce qu’elle ne corresponds pas au codes vestimentaires de ces pays, tant encoupes qu’en colories…La solution est simple, il faut s’adapter ! S’adapter au climat, aux codes vestimentaires envigueur, aux origines, à la culture de l’autre…

Imaginons le nombre de personnes à travers le monde qui pour une raison ou uneautre habitent loin de leur terre d’origine. Je suis d’origine africaine je vis en France, et je saisdes personnes comme moi comptent par millions ; jamais avant l’invention de l’internet iln’avait été aussi facile et économique de garder le contact avec son entourage en cas dedéplacement, et jamais il n’avait été aussi simple de connaître l’actualité ou même d’avoir desimages qui nous sont familière.

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Pour ne prendre que ces deux exemples, je peux affirmer qu’ils donneraient tout pourcombler cette nostalgie par un tableau accrocher à un endroit de la maison, une tenue qui parl’un de ses éléments rappelle le continent d’origine.

Ce besoin est réel, il est là et ne demande qu’à être satisfait, en tout cas correctementsatisfait, comme tout autre besoin que peut avoir un individu.

Aujourd’hui grâce au e-commerce , on peut acheter des biens d’un pays où on n’estjamais allé , découvrir des cultures, des pays dont on avait jamais entendu parlé, en un clic onpeut voyager à travers le monde sans bouger de son fauteuil. Mais qu’en est-il des produitsafricains ?

C’est dans cette optique que la Société AddictAfrica veut, de la même manière que les

autres cultures se sont fait connaître à l’Afrique par différents canaux, faire connaître laculture africaine au monde, mais surtout faire reconnaître la valeur de ces créations et briserles idées préconçues sur la mode africaine.La mode africaine est chic et moderne et convient aussi bien aux noirs qu’aux blancs, qu’auxrouges, qu’aux jaunes.A travers les collections qu’elle sélectionne, AddicAfrica prouve que les créateurs africains nesont pas à côté de la plaque de la mode, il qu’ils y sont en plein.

II.3 - Caractéristiques de l’offre

Nos produits Caractéristiques

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II.4 - Les concurrents indirects

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Dans les premières pages de ce rapport je précise que l’idée de créer un site marchand était unpeu banal, mais ce qui fait la force de ce projet, ce sont ses armes forgées par la veilleconcurrentielle. En analysant les méthodes et pratiques de mes concurrents, j’ai pu décelercertains handicaps dont les principaux sont souvent communs à tous :

-Des boutiques en ligne peu pratiques et peu conviviales, alors que l’achalandaged’une boutique en ligne est aussi capitale que celle d’une boutique sur une avenue comme lesChamps-Elysées L’offre variée proposée par les e commerce permet au cyberacheteur de ressortir aussi vited’une boutique qu’il en est entré lorsqu’il ne trouve pas ce qu’il cherche.

-Un manque spectaculaire d’ergonomie des sites et une offre de produits très limités-Manque de moyens de communications et de fidélisation-Pas de renouvellement de collections-Aucune proximité avec le client-Manque de Service Après Vente-Pas de challenge et d’audace

II.5 – Analyse SWOT

Sabouniuma

Africfashions

Africouleur

Faso-design

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Strengths/Forces

-Innovation et créativité-Maîtrise des produits-Implication des fournisseurs dans la réussite de ce projet-Atouts et aptitudes personnelles à l’innovation-A ce jour, aucun concept de ce genre n’existe

S

Weaknesses/Faiblesses- Manque de moyens financiers et humains-

Opportunities/Opportunités-Afrique, deuxième destination touristique après les îles-Développement du e commerce mondial de 24% par an-Augmentation spectaculaire du nombre de cyberacheteurs-Evolution du regard porté sur l’Afrique-Brassage des mœurs

Threats/Menaces

-Développement de la concurrence-O T

W

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III – La stratégie

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III.1 – Plan de communication

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III.2 – Stratégie de vente et premiers moyens de fidélisation

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