migros magazin 06 2012 f ge

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N O 6 6 FÉVRIER 2012 www.migrosmagazine.ch Photo: DUKAS/PA Stan prépare la relève Stanislas Wawrinka, ambassadeur de Swiss Tennis auprès des jeunes, dévoile ses ambitions à la veille d’une rencontre de Coupe Davis au sommet. | 32 SOCIÉTÉ I 12 Les dernières découvertes sur le cerveau. INFOS MIGROS I 38 La Suisse, terre des coopératives. ÉDUCATION I 93 Comment se débarrasser des poux. Changements d’adresse: à la poste ou au registre des coopérateurs, tél. 022 307 52 76 [email protected] Les offres promotionnelles de ce journal sont uniquement valables en Suisse. Edition Genève, JAA 1227 Carouge

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Page 1: Migros magazin 06 2012 f ge

NO 6 6 FÉVRIER 2012www.migrosmagazine.ch

Photo:DU

KAS/PA

Stanpréparela relève

StanislasWawrinka, ambassadeurde Swiss Tennis auprès desjeunes, dévoile ses ambitionsà la veille d’une rencontre

de Coupe Davis au sommet. | 32

SOCIÉTÉ I 12

Les dernièresdécouvertessur le cerveau.

INFOSMIGROS I 38

La Suisse,terre descoopératives.

ÉDUCATION I 93

Commentse débarrasserdes poux.

Changements d’adresse: à la poste ou au registre des coopérateurs, tél. 022 307 52 [email protected]

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Page 2: Migros magazin 06 2012 f ge

Le plateau de jeu Animanca en bois massif FSCAvec le plateau de jeu Animanca, deux joueurs et 16 pierres Animanca seulement, des mo-

ments de divertissement passionnant et pas bête du tout sont garantis! Ce jeu stratégique

traditionnel pour petits et grands est très facile à apprendre. Le but est de faire passer les

pierres d’un creux à l’autre sur le plateau de jeu jusqu’au creux principal. Avec Animanca,

l’on peut s’amuser à tout moment, même lorsqu’on est en déplacement: une partie ne dure

que dix minutes et les pierres peuvent être facilement rangées dans le plateau de jeu.

- Un jeu passionnant et pas bête du tout pour deux- Facile et rapide à apprendre- Piquer avec habileté les pierres de son adversaire

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Page 3: Migros magazin 06 2012 f ge

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Page 4: Migros magazin 06 2012 f ge

éDitoriAL

Steve Gaspoz, rédacteur en chef

Plus qu’un organeLe cerveau, si familier et pourtant si peu connu.Au cours des décennies,des siècles passés, de nombreux scientifiques se sont penchés sur son fonc-tionnement. Siège des émotions, de l’intelligence, de la rationalité, il est legrand ordonnateur de notre organisme et enmême temps une indescriptibleboîte noire. Les anciens s’interrogeaient sur les liens entre cet organe et l’esprit,entre une chose physique et une autre immatérielle. Se demandaient commentles altérations de l’un agissaient sur l’autre. Plus tard, les scientifiques se sontpenchés sur l’aspectmécanique du cerveau, sur le fonctionnement de ce quiapparaissait comme une boîte noire, un espace presquemagique.

Etpuis l’informatique et ses programmationsmathématiques sont ap-parues.On s’est alors intéressé aux flux nerveux, aux zones concernées partelle ou telle activité, au développement des sentiments, des dons particuliers...Reste qu’en 2012, notre connaissance du fonctionnement du cerveau humaindemeure très lacunaire (lire l’article en page 12).Quel est, par exemple, leméca-nisme de la pensée, des rêves?Différents projets, tel le Blue Brain de l’EPFL,tentent à travers diversmodèles de formaliser cesmécanismes.Mais sans préju-ger de l’avenir, on peut toutefois être certain qu’il restera longtemps encoresuffisamment d’inconnues pour occuper quelques générations de chercheurs.

La science-fiction a souvent envisagé le dépassement de l’Hommeparlesmachines.Desmonstres capables de penser, d’interagir et d’anticiper nosréactions pourmieux nous diriger.Celamontre tout l’espoir que l’on place dansles développements techniques et scientifiques à venir,mais aussi le peu decrédit accordé à la capacité d’évolution, de création, d’imagination de l’esprithumain.Car à la différence de quelque artefact que ce soit, le cerveau n’est pasqu’unmécanisme éminemment complexe. Il est le lieu de tous les possibles,même ceux que l’on ne conçoit pas. Il est ce qui fait de chacun d’entre nousun être parfaitement unique et tellement difficile à appréhender.

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-Yves-Massot/

Arkive,Laurent

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M-Infoline:tél.: 0848 84 0848* ou +41 44 444 72 85 (depuis l’étranger)[email protected]; www.migros.ch

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Adresse de la rédaction: Limmatstrasse 152, case postale 1766, 8031 Zurich,tél. 058 577 12 12, fax 058 577 12 [email protected]; www.migrosmagazine.ch* tarif local

19 | SOCIÉTÉAvec février, le carnavaleffectue son grand retour!Qui aura la plus belle fête?

4 |soMMAire |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | MigrosMAgAzine |

Page 5: Migros magazin 06 2012 f ge

enbReF6 | Les dernières informations

dumonde Migros.

soCiété12 | Sciences: le cerveau sous toutes

ses coutures.19 | Société: c’est carnaval, tour d’horizon

des meilleures ambiances.23 | Portrait: Irène Rossier a tout quitté

pour aller s’occuper de sa mère âgée.26 | Ecologie: le vélo en hiver, possible

sous certaines conditions.32 | Entretien: les confidences

de StanislasWawrinka.

inFosMigRos38 | Les coopératives: unmodèle à l’image

de la Suisse, qui séduit les entreprises.42 | Das Zelt: DJ Antoine est le grand invité

du Chapiteau cette année, avecle soutien deMigros.

46 | Animanca: l’aventure débute dans legrenier, où des trésors sont à découvrir.

enMagasin48 | Chocolat Frey: le délicieux cacao fête

ses 125 ans. Retour sur son histoire.52 | «aha!»: des produits pour

les personnes allergiques.63 | Actilife: pour rester en forme en hiver.65 | Lilibiggs: des galettes sans sucre.67 | RestaurantMigros: le petit-déjeuner

se prend aussi àMigros.69 | Idées gourmandes: bon appétit!71 | Roses: offrez des fleurs à votre conjoint.

CuisineDesaison74 | DamienGermanier: le cuisinier vient

d’obtenir 16 points au Gault &Millau.

votReRégion53 | Les informations

de votre coopérative régionale.

auQuotiDien87 | Psychologie: tirer bénéfice de ses ex,

pour réussir son couple.93 | Santé: vrai/faux pour savoir comment

se débarrasser des poux.102 | Voiture: Hyundai I40.

leMonDeDe…110 | Philippe Sennwald:

Le dessinateur Sen se dévoile.

RubRiQues9 | Courrier des lecteurs10 | Cette semaine30 | Minute papillon97 | Jeux: sudokus, mots fléchés

... et surtout des bons d’achatMigros à gagner!

105 | Voyage lecteurs:les Açores, perles de l’Atlantique.

108 | Cumulus: les offres dumomentà découvrir.

23 | PORTRAITPour profiter desdernières annéesavec samaman,Irène Rossier estrevenue à Fribourg, laville de son enfance.

74 | CUISINE DE SAISONAttention virtuose! Damien Germanierfait l’unanimité avec ses recettes.

26 | MOBILITÉNe rangez pasvotre véloà la cave enhiver.

| 5| MigRosMagazine |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | SOMMAIRE

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Page 6: Migros magazin 06 2012 f ge

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fil à internet à ses clients. Les gourmetset les gourmands pourront alors surfergratuitement durant deux heures avecleur smartphone ou leur tablette.

Aujourd’hui déjà, enpartenariat avecSwisscom, Migros offre déjà ce servicedans près de la moitié de ses restau-rants. Les clients intéressés sont direc-tement informés sur place si un réseauest désormais disponible. «Beaucoupde nos établissements possèdent un

coin lounge avec des canapés confor-tables qui invitent à surfer en toutedécontraction», explique Hans-PeterOettli, responsable de la GastronomieMigros, avant de conclure: «Les res-taurantsMigrosn’offrentpas seulementdes repas savoureux et bon marché,mais aussi un accès à internet gratuit.»

Texte:MichaelWest

SurfergratuitementTous les restaurantsMigros offriront bientôtun accès gratuit à internet durant deux heures.

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DeMumbai à Delhi,le circuit «Sur lestraces du tigre»

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6 |en bReF |No 6, 6 févRIER 2012 | MigRosMagazine |

6 |

Page 7: Migros magazin 06 2012 f ge

Soutien audocumentaireLe Pour-cent culturelMigros a dévoilé le nom dugagnant de son 2e concours«documentaire-CH».Il s’agit d’Eric Bergkrautqui souhaite présenter desclients de bistrots de quar-tier. Avec la participation dela SRG SSR, le Pour-centculturel Migros prendra encharge les frais de réalisa-tion du film, qui devrait être présenté durant le festival Visionsdu Réel en 2013. Par ailleurs, le thème du concours 2012 est connu.Sous l’intitulé «Courage? Courage!», les réalisateurs sont invitésà se pencher sur ce sujet.

Infos: www.pour-cent-culturel-migros.ch/contributions.

M-Way

Vélos électriques et bonHotelplanPrévoyez d’ores et déjà des balades printanières à deux avec desvélos électriques. Jusqu’au 29 février, M-way propose en effet desrabais intéressants sur l’achat des e-bikes. Ainsi, qui achète deuxvélos électriques de l’assortiment M-way reçoit un bon d’achatHotelplan d’une valeur de 600 francs.

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d’hygiène féminine de grandes marques des condi-tions d’achat plus favorables. Comme toujours, les

clients bénéficient des économies réalisées. De plus, Migrosannonce la baisse de plusieurs autres produits: tous les soinscorporelsZoé,deshuiles etdesvinaigres (enqualitéM-Classicet Bio) ainsi que des aliments pour animaux, entre autres.

séCuRitéaliMentaiRe

Rappel de produits QuornLors d’un contrôle de qualité,la présence de bactéries pa-thogènes de type listeria aété détectée dans un produitpané de la gamme CornaturQuorn. Pour des raisons desécurité, Migros enjoint sesclients à ne pas consommerles trois articles suivants:escalopes de Quorn au fro-mage, à la crème et aux épi-

nards (art. n° 1309.012,Fr. 6.50), escalopes de Quornau pesto et à la mozzarella(art. n° 1309.038, Fr. 6.90)et mini-nuggets de Quorn(art. n° 1309.045, Fr. 6.30).Les femmes enceintes etles personnes souffrant d’unedéficience de leur systèmeimmunitaire qui auraientconsommé ces produits et

présenteraient dessymptômes tels que fièvre,maux de tête et nauséesdoivent consulter un méde-cin. Les trois produits Corna-tur susceptibles d’être conta-minés étaient en vente de-puis janvier 2012. Les clientsqui en ont acheté peuvent lesrapporter dans unmagasinoù ils seront remboursés.

Eric Bergkraut.

| 7en Bref| MigRosMagazine |No 6, 6 FéVRIER 2012 |

Page 8: Migros magazin 06 2012 f ge

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Page 9: Migros magazin 06 2012 f ge

Ecrivez-nous! Un article de «Migros Magazine» vous fait réagir?Ecrivez-nous en mentionnant clairement vos nom, prénom, adresse et numérode téléphone: Migros Magazine, Boîte aux lettres, case postale 1751, 8031 Zurich;[email protected]

«MigrosMagazine» no 1 du 3 janvier.A propos de l’entretien avec Isabelle Filliozatet le courrier de nos lecteurs

«Cessons de nousbattre, favorisonsla qualité du lien»■ Je me suis rendue au séminaire «Lagrammaire des émotions» (…) et j’aiégalement assisté à ses conférencessur l’éducationdesenfants, iln’estpasquestionde faire l’amalgameentre pouvoir et autorité,niéducationpermissive.Je rejoins totalement la familleTafelma-cherdePullyquipratique l’éducationdans le respectet lacom-préhension de l’enfant. J’ai élevé six enfants de cette façon et,commedit IsabelleFilliozat,nouspassonsplusdevingt ansdenotre vie à accompagner nos enfants, (...) cessons de nousbattre avec eux et favorisons la qualité du lien. (...) LucieWeber,

Savigny

«Pour l’enfant, la punition n’apas de sens»■ (…) Isabelle Filliozat est une grande dame et je la remerciepour son livre, grâce auquel j’ai appris les outils pour offrir àmesenfantsuneéducationdigned’eux,sansviolence, respec-tueuse de leur intégrité psychique et physique. Résultat, desenfants-rois et capricieux? Tout le contraire! A 8 et 11 ans, ilssont de petites personnes bien dans leurs baskets, ayant ap-pris le respectdesautres etd’eux-mêmeset, surtout,capablesd’exprimer leurs émotions. (…)Unpetit enfant est puni parcequ’il a,mettons, tiré les cheveux de sa sœur.On l’envoie danssa chambre«se calmer» pendant une heure. Pour lui, cela nefait aucun sens.Mais c’est samamanqui l’a dit, et il est obligéde faire confiance à sa maman. Archaïquement, sa survie endépend.Et puis ces épisodes se répètent, et il grandit avecunevision biaisée des relations. (…) Ce n’est pas parce qu’il estpetit,dépendant etdonc impuissantque l’onpeut tout seper-mettre.Cela s’appelle l’abus de pouvoir. (…) Sandrine Prince,

St-Cergue

«MigrosMagazine» no 3 du 16 janvier. A propos de l’article«Méditer pourmieux vivre»

«Il s’agitd’unetechniquevietnamienne»■ La«pleineconscience»n’estpasune techniqueaméricaineimaginée à l’Université du Massachussetts. C’est une disci-pline trèsancienne,miseau jourpar lemoinebouddhisteviet-namienThichNhatHanh.Il avécu laguerreduVietnamaidantsesconfrèresàsurmonter lesatrocités,etquandelleaété finie,portant secours aux «boat people» qui fuyaient le Vietnamcommuniste (…).Lorsde l’undesesvoyages, il a rencontrédesvétérans de guerre américains, eux-mêmes très traumatiséspar la guerre, et a organisé des retraites pour qu’ils retrouventlapaixà travers lebouddhisme.C’est commeçaque la«pleineconscience»s’est répandueenOccident. (…)BeatrizBalmasede,

St-Maurice PhotoStéphanieTétu

| 9| MigRosMagazine |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | RubRikentitel | unteRRubikentitel

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Page 10: Migros magazin 06 2012 f ge

sur Le viF

Magali Dubois,porte-paroledu Bureau depréventiondes accidents

Photo:Keystone/AP/KevinFrayer

iMPuLsionJeanAmmann,journaliste etchroniqueur«La Liberté»

La paraboledu bidon à lait

P rofitant du fait que les vaches sontpeusyndiquées,unpaysan,prèsdechezmoi,proposedu lait 24heures

sur 24: un automate dispense à la de-mande un lait réfrigéré.

Soucieux de favoriser le commercede proximité, désireux de réduire lecoût écologique de notre alimentation,conscientsdesdifficultésque traverse lapaysannerie suisse à l’heure où l’agneaupascal nous vient deNouvelle-Zélande,nous avons donc décidé, ma femme etmoi, de nous approvisionner auprès decet automate.

Pour ce faire, il nous fallait revenir àun accessoire rendu caduc par le berlin-

Luge et bobne sont passansdanger!Encore un accident grave en bob, la semainedernière à Haute-Nendaz, avec un petit Vau-doisde6ansgrièvementblessé.Maisque faitleBureaudepréventiondesaccidents (bpa)?Ce drame fait suite à quatre accidentsmortels l’hiver dernier. Nous espéronsqu’il s’agit d’une sérienoire etnond’unetendance lourde. Les recommandationsdu bpa sont très claires: la pratique duboboude la lugecomportedes risques etne doit pas être prise à la légère.

Pourquoi l’est-elle davantage que le skiou le snowboard?Sans doute parce qu’il s’agit d’un loisirludique, praticable un peu partout, ycompris en dehors d’endroits spéciale-ment adaptés. Ça ne coûte rien ou pasgrand-chose, c’est amusant et l’on peuts’y adonner dès la petite enfance sansapprentissage préalable. Mais du coup,on se rendmoins compte des dangers.

L’augmentation du nombre d’accidents etune prise de conscience très relative desrisques ne nécessiteraient-elles pas unecampagne de prévention nationale?Lenombre d’accidents a en effet doubléen dix ans: de 5740 en 2000 à 12 850 en2009. Cependant, nous restons encoreloin des quelque 67 000 incidents deski. Nos moyens étant limités, nous nepouvons pour l’heure qu’observerl’évolution de la situation.Et effective-ment réagir de manière très visible sicela perdure.

Et en attendant?Nous avons édité des brochures dé-taillant les précautions à prendre, quenous distribuons aussi bien dans les of-fices de tourisme que dans les écoles ouauprèsdes exploitantsdepistesdédiées.

Aquoi rendent-elles attentif?Auportducasque,commeàski,debonsgants et des chaussures montantestenant la cheville. Il faut éviter de lugertête en avant. Se rappeler, en outre, quel’on prend rapidement de la vitesse etque le contrôle, notamment sur unepente verglacée, reste aléatoire. Enfinelles enappellent à la responsabilisationdes parents quant au choix de l’endroit.

Entretien: Pierre Léderrey

10 |Cette seMAine |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | MigrosMAgAzine |

10 |

Page 11: Migros magazin 06 2012 f ge

Dans le chaosd’un roadmovie

La Suisse, côté motels désaffectés. Telle est lavision exploitée par la photographe CatherineLautenegger dans sa nouvelle exposition. Dansune ambiance de films américains – façonLynch etWenders – elle sillonne les routesromandes et immortalise le chaos de cesimmeubles à l’abandon, offrant un regardinquiétant, mais fascinant, sur notre pays.

«Motel», galerie Kissthedesign, Lausanne.Jusqu’au 24mars. Infos: www.kissthedesign.ch

AmStramGramrevisite Roald Dahl

Vieux, bêtes et méchants. Les deux gredinsde Roald Dahl sont de retour sur la scène duthéâtre Am Stram Gram. Toujours aussi râleurset querelleurs, Compère et sa Commèreentraînent leur jeune public dans un spectaclecoloré et irrésistiblement enjoué. A dégusteravec un bol de spaghettis aux vers de terre.

«Les deux gredins», Am Stram Gram, Genève.Jusqu’au 12 février. Infos: www.amstramgram.ch

Ami-chemin entredrame et comédie

Après avoir joué les gouverneurs et les tueurs àgages,George Clooney revient dans un rôle depère de famille tout ce qu’il y a de plus ordinaire...Si ce n’est qu’il habite àHawaï, que sa femmeest dans le coma, qu’il se retrouve seul avec sesdeux filles – une gamine précoce et une ado re-belle – et que celle-ci lui apprend que sa bien-aimée le trompait et comptait le quitter. Sanstomber dans le pathos,Alexander Payne signeun film tendre et amusant et offre à GeorgeClooney un rôle qui pourrait lui valoir un oscar.

«The Descendants», Alexander Payne, avecGeorge Clooney. Actuellement en salle.

Dans la têted’une amnésique

Chaquematin, Christine se réveille aux côtésd’un inconnu. Chaquematin, il lui rappelle qu’ilest sonmari. Chaquematin, elle découvre avecstupeur son propre visage dans lemiroir: ellequi se croyait encore étudiante, c’est une qua-dragénaire qui lui fait face. Amnésique, Chris-tine n’a plus d’identité: elle doit chaque jourrecomposer son passé. Angoissant? Certaine-ment! D’autant plus qu’on lui cache la vérité.La terrible vérité...

«Avant d’aller dormir», S. J.Watson, Ed. Sonatine.

Mes bons Plans

Tania Araman,journaliste

Dans l'obJeCtiF

La foire culturelle d’artisanat deSurajkund, près de NewDelhi, enInde, se tient durant la premièrequinzaine de février. Des dansesfolkloriques y sont organisées, avecici la troupe de l’Etat de Haryana(à g.) et celle du Gujarat (à dr.).

got: le bidon à lait. La jeune générationn’a jamais vu de bidon à lait ni de fax:ces deux ustensiles ont pourtant rendudegrands services à l’humanité,mais ilsn’ont pas résisté à l’ère numérique.

Sachez, jeunes lecteurs, que le bidonà lait ressemble,grossomodo,àune sta-tion pour iPod évidée que l’on tiendraità la verticale, avec une poignée mobileen son sommet et muni d’un couvercleamovible. Est-ce clair? Quant au fax,c’estunappareil qui émettait un roucou-lement strident à chaque fois qu’on leconfondait avec un téléphone. Je racon-terai la vie etmort du fax une autre fois.

Donc,nousnous sommes rendusdansune quincaillerie. Nous avons demandéà voir le bidon à lait. Il y avait deuxmo-dèles en magasin: l’un en aluminium,l’autre en plastique. Le bidon en alumi-nium, d’une contenance de trois litres,coûtait 129 francs.Nousprîmes le bidon

en plastique à 12.90 pour une conte-nance identique. Pourquoi vous conté-je par le menu nos tribulations lactées?Parceque jenecomprendspascommentun bidon à lait en aluminium peut coû-ter 129 francs et une station pour iPod75 francs (en période de soldes), un lec-teurDVD49francs,unappareil dephoto88.20 francs (14mégapixels)?

Comment concevoir qu’un usten-sile somme toute rudimentaire, qui n’aguère évolué depuis la découverte del’électrolyse, puisse coûter deux fois leprix d’un engin bourré de composantsélectroniques?

Parce que plus personne n’achètel’inusable bidon à lait, tandis que tout lemonde se précipite sur les gadgets hau-tement périssables du divertissementélectronique. Peut-on parier sur unecivilisation jetable, où le bidon à lait esthors de prix?

| 11CETTE SEMAINE| MigRosMagazine |No 6, 6 FÉVRIER 2012 |

Page 12: Migros magazin 06 2012 f ge

Dans lesméandresdu cerveauhumainSi nos cellules grises conservent une bonne partiede leurmystère, l’évolution de lamédecine etdes nouvelles technologies permet chaque jourdemieux en comprendre le fonctionnement.Tour d’horizon.

N euroéconomie,neurosciences co-gnitives et affectives, psychiatriegénétique: les disciplines visant

à mieux comprendre le cerveau humainfleurissent à vue d’œil dans le mondescientifique.«Lesnouveauxoutils tech-nologiques dont nous disposons nouspermettent d’affiner notre connais-sance de cet organe», explique le pro-fesseur Patrik Vuilleumier, co-direc-teur du Brain and Behaviour Laboratoryde l’Université de Genève.

Parmi les découvertes les plus signi-ficatives de cette dernière décennie?L’intense activité qui règne en perma-nence dans nos cellules grises – «Pour5% du poids total du corps humain, lecerveau utilise près de 20% de l’énergieconsommée par notre organisme» – etun fonctionnementen réseaudavantagequ’en zones. Bien sûr, personne ne sau-rait nier que l’aire deBroca est en chargedu langage,mais«cequi intéresse avanttout les scientifiques aujourd’hui, c’estd’étudier comment les différentes ré-gions communiquent entre elles»,poursuit Patrik Vuilleumier. Et derelever également l’influence dumonde extérieur sur notrecerveau: certes, la donne gé-nétique est importante, maisnotre environnement moduleconstamment notre façon defonctionner.

Les manières d’exploiter ensuiteces découvertes se déclinent à l’infini.La parole aux experts...

Texte: Tania Araman

A lire: «Le cerveau pour les Nuls»,Dr Frédéric Sedel et PrOlivier Lyon-Cahen,Ed. First.

12 |soCiété | sCienCes |No 6, 6 février 2012 | MigrosMAgAzine |

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Trois domainesde recherche actuelsLe cerveau passionne les spécialistes. Actuellement, trois domainessont particulièrement au centre de toutes les interrogations.Découvrez-les dans les pages suivantes, balisés par leur titre en gris.

Le cerveaugénétique

Les tendances suicidaires oumeurtrières sont-elles inscrites dansnos gènes? Notre façon de réagir au stress est-elle influencée pardes traumatismes de notre enfance? Telles sont les questions surlesquelles se penche l’unité de recherche de psychiatrie génétiquedirigée par le professeur Alain Malafosse à l’Université de Genève.

Lesmaladies neurologiques sont-elles inscrites àl’avance dans notre cerveau?Pas nécessairement. Certaines maladies rares, telles que la chorée

de Huntington – qui affecte les fonctions motrices et cognitives – sont effectivement hérédi-taires. En revanche, Alzheimer ou Parkinson s’avèrent plus complexes: il n’existe pas un gène dé-clencheur unique. Et pour des affections comme la dépression, les tendances suicidaires ou lestroubles bipolaires, nous nous rendons compte de plus en plus que notre patrimoine génétiquen’est pas seul en cause. Il y contribue certes, mais nous ne pouvons pas nier l’importance de fac-teurs environnementaux, qui ont même la faculté d’induire des mutations génétiques.

Pouvez-vous nous donner un exemple?Prenons le cas de personnes ayant souffert de traumatismes durant leur enfance (abus sexuels,maltraitance psychologique, négligence, etc.). On peut observer chez certaines d’entre elles, se-lon le stade de développement auquel intervient l’événement, une modification chimique de leurADN. Le gène qui régule leur réaction au stress est transformé. Une fois arrivées à l’âge adulte,elles éprouveront plus de difficulté à faire face aux situations stressantes.

Qu’en est-il des criminels? Est-il possible d’identifier une zone dans leur cerveauexpliquant leur passage à l’acte?Cette question soulève un problème éthique. Aux Etats-Unis, des données génétiques sont d’oreset déjà utilisées lors de procès pour établir des circonstances atténuantes.Mais il serait dangereuxde parler de prédisposition inéluctable et de prendre desmesures préventives contre les personnes«à risque».Aujourd’hui l’on sait que l’histoire individuelle peut inverser l’expression génique. En re-vanche, l’observation de sujets prédisposés à contrôler difficilement leur impulsivité nous permetdemieux comprendre le passage à l’acte et d’envisager demeilleurs traitements.

Le cerveaua-t-ilun sexe?Si de plus en plus de scienti-fiques s’accordent à dire quenotre cerveau fonctionne dif-féremment selon que noussoyons un homme ou unefemme, il est encore impos-sible de déterminer, en obser-vant l’organe d’un sujet don-né, à quel sexe appartient sonpropriétaire. Non, Monsieur,votre cerveau n’est pasnécessairement plus grosque celui de Madame!

L’orientationpolitique est-elleprédestinée?Selon de nombreuses étudesanglo-saxonnes, deux zonescérébrales se différencie-raient chez les électeurs dedroite et de gauche... Cesdisparités impliqueraientchez les premiers une incli-nation à réagir de manièreagressive à la peur, et chezles seconds une facultéaccrue d’adaptation à lanouveauté.

Mais où se cachel’humour?Si l’on est capable de déter-miner avec précision leseffets du rire sur notre cer-veau (entre autres, augmen-tation de la dopamine, leneurotransmetteur du plai-sir), les raisons pour les-quelles nous «marchons» àcertaines blagues et pas àd’autres demeurent encoreune énigme. Les scientifiquesparviendront-ils un jour à per-cer ce mystère?

| 13| MigrosMagazine |No 6, 6 FévRIER 2012 | société | sciences

Page 14: Migros magazin 06 2012 f ge

LeCerveAuPHysionoMiste

«Ils se ressemblent tous!» Ne le niez pas:cette pensée vous a déjà traversé l’esprit encroisant un groupe d’Asiatiques dans la rue.Une manifestation de nos préjugés raciaux?Point du tout! La reconnaissance desvisages, l’un des sujets-phares desneurosciences cognitives, est un phéno-mène physiologique sur lequel notreconscient n’a aucune influence.«Grâce à un système d’imageriecérébrale, nous sommes en mesured’isoler les zones qui s’activentlorsque nous essayons de recon-naître quelqu’un, explique RobertoCaldara, psychologue et professeurde neurosciences cogni-tives à l’Universitéde Fribourg.

Il est difficile,pour le cerveaueuropéen,de différencierles visagesasiatiquesou africains.

Or, nous nous rendons compte que le proces-sus est extrêmement rapide.»La raison de notre confusion devant desAsiatiques ou Africains (qui, soit dit enpassant, connaissent la même confusionquand ils doivent identifier des Européens)?Ce que les scientifiques appellent le «cross-race effect». «Déjà dans les années 90, il avait

été prouvé que ce phénomèneest dû à la fréquence à la-quelle nous rencontronsun certain type de vi-sages, souligne RobertoCaldara. Le fait que nouscroisions moins souvent laroute d’Asiatiques ex-

plique notre ten-dance à les clas-

ser dans une petite catégorie homogène.Nous disposons demoins de critères pourles différencier.» Alors qu’à 3 mois le bébépeut identifier indistinctement tous lesvisages, cette faculté a d’ores et déjà disparuà l’âge de 9mois. «Plus récemment, lesnouvelles technologies d’imagerie nousont permis d’observer où et commentnotre cerveau code les visages: or,ce phénomène s’opère différemmentselon que nous ayons affaire à des gensde la même ethnie que nous ou pas.»A noter que notre sensibilité aux premièresimpressions – le fait qu’une personne nousparaisse digne de confiance, compétenteou antipathique – est quant à ellequasiment identique face à un Européenou un Asiatique.

«Nous dispo-sons demoinsde critères pourdifférencier lesAsiatiques etlesAfricains.»Roberto Caldara,psychologue et professeurde neurosciences.

14 |soCiété | sCienCes |No 6, 6 FévRIER 2012 | MigrosMAgAzine |

Page 15: Migros magazin 06 2012 f ge

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Page 16: Migros magazin 06 2012 f ge

Blue Brain: vers la créationd’un cerveau virtuel■ L’idéeLancé en 2005 à l’EPFL par le professeur Henry Markram, le projet BlueBrain vise à simuler, par le biais de l’informatique, le fonctionnement dela colonne corticale (groupe de neurones) du rat. Or, cette dernière pré-sente de grandes similitudes avec celle de l’humain. Un pas de plusdonc vers unemeilleure compréhension de notre cerveau.«Depuis que les scientifiques ont commencé à s’intéresser à cetorgane, une quantité impressionnante d’informations a été récoltée,explique RichardWalker, porte-parole du projet. Mais les différentesrecherches manquaient d’interaction entre elles. L’idée de Blue Brainest d’intégrer toutes les données obtenues dans unmêmemodèleinformatique.»

■ Les résultats«Grâce à notre simulation de la colonne corticale du rat, nous pouvonsconduire des expériences et les répéter à l’envi en réduisant l’utilisationdes animaux. Le projet apporte donc un net avantage éthique.»La prochaine étape? Connecter le modèle à des robots sur lesquels onpourrait conduire des expériences comportementales.

■ Le futurUn projet de plus large envergure est actuellement à l’étude. Son nom?Human Brain Project. Rassemblant des scientifiques internationauxet issus de disciplines différentes, il vise à reproduire unmodèle le pluscomplet possible du cerveau humain. Rendu réalisable grâce à uneinitiative suisse, le projet doit encore recevoir le feu vert de la Commis-sion européenne.Si le projet est mené à terme, il pourrait devenir un outil d’importanceinternationale, mis à la disposition des neuroscientifiques dumondeentier. «Aumême titre que les astronomes utilisent le télescope Hubbleet les physiciens l’accélérateur de particules du CERN pour conduiredes projets de recherche, des psychologues, neurologues et mêmedes ingénieurs informaticiens pourront poursuivre des expériencesgrâce à Human Brain.»Quelques exemples? Déterminer de quelle manière nous prenons desdécisions, développer de nouveaux traitements en simulant unemaladiedans le cerveau informatique, créer de nouveaux types d’ordinateurs...

Le CerveAu eMPHAtique

L’enregistre-ment parencéphalo-gramme à hautedensité permetdemesurerl’activité élec-trique ducerveau.

Le résultat d’une simulation 3D d’un réseau de neuronesobtenue par Blue Brain.

«Jusqu’à il y a une dizaine d’an-nées, le domaine de l’affect, jugétrop subjectif, n’était pas consi-déré comme abordable d’un pointde vue scientifique.» Co-directeurdu Brain and Behaviour Laboratory(ndlr: laboratoire cerveau et com-portement) de l’Université de Ge-nève, le professeur PatrikVuilleumier applaudit les progrèsde la médecine, qui permettentaujourd’hui d’étudier dema-nière très rigoureuse le lienentre émotions etméca-nismes physiologiques. «Grâceau développement de nouvellestechnologies, nous pouvons étu-dier comment le cerveau réagit àdes stimuli très émotionnelscomme l’odorat, ou même lors deleur évocation par la pensée oul’imagination. Nous comprenons

mieux les circuits impliqués dansdes maladies psychiatriquescomme l’anxiété ou la dépression.Nous avons également découvertque lesmêmes zones s’ac-tivent lorsque nous souffronsou que nous observons uneautre personne souffrir. Voilàqui nous en dit long sur notre fa-culté à nous mettre à la place del’autre et qui pourrait aider àmieux comprendre certainstroubles de l’empathie et du com-portement social, peut-êtremême à les traiter.» Les neuro-sciences affectives s’intéressentégalement à des phénomènescomme la prise de décision, la mo-tivation, l’estimation du risque,donnant naissance ainsi à de nou-velles disciplines telles que la neu-roéconomie et la neurofinance. Ill

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soCiété | sCienCes |No 6, 6 FéVRIER 2012 | MigrosMAgAzine |

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Page 17: Migros magazin 06 2012 f ge

| MigRosMagazine |No 6, 6 février 2012 | RubRikentitel | unteRRubikentitel| 17million de pièces vendues!

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Page 19: Migros magazin 06 2012 f ge

lesmeilleursraouts

La Suisse dispose aujourd’hui del’une des plus grandes densités de carnavalsaumonde. Chaque ville possède le sien.Au risque de tuer le sens de la fête?

E videmment, on ne court plus àmoitié nu, arméd’un fouet enpeaude chèvre pour frapper les pas-

sants, comme jadis pendant les luper-cales romaines, en février. Une fête qui,commed’autres cérémonies antiques etpaïennes,a fini pardonnernaissanceauxcarnavals que nous connaissons.

«L’Eglise des premiers âges, expliqueJean-PierreTzaud,auteurd’unGuidedescarnavalsdumondeentier, impuissanteàfaire disparaître les fêtes profanes, se vitforcée de les tolérer et de substituer peuà peu la pensée chrétienne aux supersti-tions qu’elle combattait.»

Etdemettrepasmald’eaubénitedansla fureur dionysiaque primitive: «AuMoyen Age, le carnaval devient moinsdissolu que dans l’Antiquité, moins tri-vial.» Avec quandmême, comme l’a ra-conté l’ethnologue Suzanne Chappaz-Wirthner, des «processions parodiquesoù,enoppositionavec l’odeuragréabledel’encens utilisé habituellement, les aspi-

rantschanoines lançaientdesexcrémentssur lapopulation».Ceuxquiaujourd’huise plaignent d’un jet intempestif deconfettis feraient bien de s’en souvenir.Enfin, relève encore Jean-Pierre Tzaud,l’influence de l’Italie, dès le XVe siècle,mettra en vogue les mascarades, les balsmasquésetducoup«legoûtpour lamo-querie, l’intrigue et les plaisirs faciles».

La fête duraitquatremoisAujourd’huienSuisse, ladensitédescar-navals, avec plus dedeux centsmanifes-tations, est l’une des plus élevées aumonde. Ce qui pourrait apparaîtrecomme un dévoiement de la fête origi-nale, chacun organisant son carnavalquand et comme il veut, n’est peut-êtreque le retour à d’anciennes habitudes, sil’on en croit Jean-Pierre Tzaud: «Jus-qu’auXVIIe siècle, la périodede carnavalcouvrait lesquatremoisd’hiver.Denom-breuses réglementations,tantecclésias-

tiques que laïques, tentèrent d’endiguerles excès causés par ces bacchanales, lecarnaval fut réduit à trois jours: di-manche, lundi, pour atteindre son apo-théose le Mardi gras.» Suzanne Chap-paz-Wirthner émet l’hypothèse que larenaissance actuelle des carnavals, no-tamment dans les cantons protestants,peut s’expliquer par «une forte émigra-tioncatholiqueenprovenancedecantonsplus faibles sur le plan économique».

Unefêtedestransgressionsoù,commele dit Jean-Pierre Tzaud, «les hommesse déguisent en femmes et inversement,les pauvres deviennent riches, les petitsgrandissent».SuzanneChappaz-Wirth-ner relève toutefois que, souvent, de nosjours, «la critique carnavalière valoriseles vainqueurs, dans la sphère politiqueen particulier, et s’acharne sur les vain-cus. C’est dans ce sens une critique trèsconservatrice.» Résumé des meilleuresambiances dans les pages suivantes.

Texte: Laurent Nicolet

Les effrayantsmasques des«Tschäggätä»dans leLötschentalen Valais sontconnus loinà la ronde.

CARN AVAL

quandque lel’on en

araîtreorigi-

arnaval

| 19| MIGROSMAGAZINE |No 6, 6 février 2012 | SOCIÉTÉ | MŒURS

Page 20: Migros magazin 06 2012 f ge

Achacun son

On aurait pu enciter bien

d’autres. Voici néanmoins un

choix, parfaitement subjectif,

de seize manifestations où

goûter l’inépuisable magie

du carnaval. Qu’Avenches,

Martigny, Châtel, Estavayer,

Fully, Sainte-Croix, Moudon et

les autres nouspardonnent.

LAUSANNE,3-6mai

La transformationde la fête du Soleil

en carnavalpermet désormaisde prolonger leplaisir. Le der desders avant la tra-versée d’un long,très long désert.

ST-MAURICE,17-21 février

Connu pour son«bal Nègre» dulundi où, hormisle Père Blanc af-frontant le sorcierGnoulou Goulou,les visages pâlessont strictementbannis ou grimés

de force.

PAYERNE, 24-27 févrierLes fameux Brandons, quatre jours

de folie, et cette sympathique tradition:barbouiller les vitrines des commerçants«d’anecdotes croustillantes et vécues».

ÉVOLÈNE, 18-21 févrierL’authentique carnaval de village,avec ses peluches (personnagescouverts de peaux non tannées etporteurs demasques sculptés) et

ses empaillés, sanglés dans 30 kilos depaille. Mieux vaut, des uns comme des

autres, ne pas trop s’approcher.

BASSECOURT,17-21 février

C’est «le» carna-val du Jura, c’estd’ailleurs commecela qu’il s’appelle.Des cliques et desclaques à ne plussavoir où donner

de la tête.

BROC, 17-21 févrierSous le thème du rock des années 60.Cortège «chasse-hiver» aux flambeauxle samedi, gros cortège le dimanchedès 14 h 44, qui avait eu les honneurs

de TF1 en 2004.

MONTHEY, 16-21 févrierLe plus grand de Suisse romande,

avec une denrée introuvable ailleurs:l’«esprit» montheysan, tout en gouaille

assassine. Mais comme l’a ditle président de la ville, «on ne fait ça

qu’aux gens qu’on aime».

CARN AVAL

20 |SOCIÉTÉ | MŒURS |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Page 21: Migros magazin 06 2012 f ge

BRIGUE, 10-19 févrierTrois carnavals pour le prix d’un.

A Brigue même avec le «Türkenbund»,et dans les localités avoisinantes

de Naters, avec les tueurs de dragons,et Glis, avec la Confrérie de la Pive.

BELLINZONE, 16-21 févrierOrganisé par la société du Rabadan,

n’ayant retenu du ramadan que le voletnocturne de relâchement après unejournée de jeûne et de prières. La fêtes’achève le mardi par un risotto géant.

SION,16-21 févrierSon cortègede chevauxle dimanche,sa beach partyle lundi, avecsable, palmieret piscine,interdite aux

moinsde 18 ans.

BÂLE, 27-29 févrierDébute là où les autres en sont à soignerleur gueule de bois: à 4 heures dumatinle lundi qui suit le mercredi des Cendres,par le fameux Morgenstreich. Avec cetteannée un thème censé résumer l’étatdumonde: «Ça coince de partout.»

ZOUG, 16-21 févrierCortège du «Greth Schell», d’aprèsMargret Schell, une institutrice qui

ramenait sur son dos sonmari ivre mort.Les «Lölli», personnages pas trop futés,

frappent les importuns à coupsde vessie de porc.

BERNE, 23-25 févrierDébute par le «Ychüblete», le roulement

de tambour qui réveille l’Ours deson hibernation et le libère de la prisonoù il croupissait depuis novembre.

LUCERNE,16-21 févrierCélèbre surtout

pour son«SchmützigerDonnerstag»dès 5 heures du

matinet son

«Güdismontag»(lundi gras).Le plus grand

après Bâle. Saufque les guggenremplacentles cliques.

WILER,Lötschental,16 et 18 févrierC’est tout leLötschentalqui entre

en ébullition avecla sortie

des démonsauxmasqueseffrayants,les fameux

Tchäggätä, pargroupes de six,agitant leurssonnailles etpoussant

des hurlements.

FRIBOURG, 17-21 févrierLe carnaval des Bolzes, autrement ditceux de la Basse. Avec procès et miseà mort du Grand Rababou et, surtout,

ouverture des cavestransformées en bars éphémères.

Photo:Prisma/Gu

enterFisc

her,illustratio

n:Ko

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| 21| MIGROSMAGAZINE |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | SOCIÉTÉ | MŒURS

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Accompagnerunparent àl’hiver de sa vieIrène Rossier a laissé tomber ses projets deretraite afin d’aider samère de 83 ans, dont lesforces déclinent gentiment…Un choix de vieque cette ancienne infirmière ne regrette pas.

L ’allongement de notre espérancede vie et la politique actuelle vi-sant au maintien à domicile de nos

aînés font que de plus en plus de per-sonnes dans nos sociétés deviennentce qu’on appelle en jargon médico-so-cial des proches aidants. C’est-à-diredes hommes et des femmes – ça pour-rait être un jour vous oumoi!–qui s’en-gagent pour une durée indéterminée àprendre soin d’un parent, ami ou voisinatteintdans sa santéousimplementâgé.

Pour Irène Rossier, sexagénaire auregard doux et aux gestes mesurés, ai-der sa mère de 83 ans s’est un peu im-posé comme une évidence.«J’ai éprou-vé la nécessité de me rapprocher dema famille en général et de ma mamanen particulier, de profiter avec elle des

Irène Rossiern’a pas hésitéun instant àretourner vivreà Fribourg pourse rapprocherde samère.

Photo:Pierre-YvesM

assot

| 23| MigrosMAgAzine |No 6, 6 février 2012 | soCiété | PortrAit

Page 24: Migros magazin 06 2012 f ge

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belles années qui lui restent.» Pour-tant, au printemps passé encore, cetteancienne infirmière-assistante et édu-catrice n’imaginait pas qu’elle se lance-rait dans pareille entreprise…

«J’ai arrêté de travailler le 30 avril.J’avais 62 ans. Cette préretraite, je lapréparais depuis trois ans et je pensaisen profiter pour réaliser quelques rêvesde jeune fille, tout en continuant à vivreau bord du Léman.» Il en ira finalementtout autrement. «Au début de l’été, jesuis allée m’occuper de maman parceque ma plus jeune sœur, qui partait envacances, ne pouvait momentanément

plus lui rendre vi-site. C’est commeça que tout a dé-marré!»

Par altruismeet amour plus quepar obligation,elle décide alorsde consacrer da-vantage de tempsà sa génitrice.Pour la soutenir et

lui prêtermain-fortebienentendu,maiségalement pour soulager sa cadette etson frère, lui aussi embarqué dans cetteaventure. Le 1er novembre, elle quitteLausanne pour s’installer à Fribourg,sa ville natale. «Je n’habite pas avec mamère. J’ai mon propre logement. C’estimportant pour garder la bonne dis-tance, pour ne pas se laisser envahir ouenvahir l’autre,pour éviterquene s’ins-talle une relation fusionnelle.» 4,6 kmexactement les séparent.

Tout s’est déroulénaturellementIrène Rossier fait le trajet en bus plu-sieurs fois par semaine. «Mardi, mer-credi et jeudi, je mange avec maman àmidi et on passe ensuite l’après-midi etla soirée ensemble. J’y retourne samedien fin de journée. Enfin, dimanche, ellecuisinepourmon frère etmoi.»Unvéri-table sacerdoce!«Non,non, c’est natu-rel ce que nous faisons les uns pour lesautres, ce n’est pas un sacrifice, nousdonnons beaucoup mais nous recevonsbeaucoup aussi.»

Si elle assure une présence soutenue,cette femme n’intervient en revanchedans le quotidien de sa mère qu’avecdes gants. «L’essentiel, c’est de ne pastrop la bousculer, de la respecter, de nepas l’étouffer ni de la blesser en lui don-nant l’impression d’être inutile. Je mecontente d’apporter des repas équili-bréspourqu’elle senourrisse sainementetd’effectuerdemenus rangements avec

sonconsentement.»«Notre relationestsaine, poursuit notre interlocutrice. J’aiappris à dire non si quelque chose nemeconvenait pas et maman sait aussi quej’ai besoin de certains jours pourmoi.»

Parce que entourer un parent fatigueet peut même épuiser à la longue; il estdonc nécessaire d’avoir des moments àsoi pour recharger ses batteries. «Je meressource notamment par le biais de lamusique. Je fais partie d’un petit en-semble amateur et féminin de gospelbasé à Lausanne.»

Aujourd’hui, après quelques moisd’expérience, Irène Rossier tire un bilan

Côté coursEndosser le rôle de proche aidant ne va pas de soi. Pour éviter d’être dé-bordé, fatigué, stressé, pour ne pas se sentir impuissant ou coupable, ilvaut doncmieux se lancer dans l’aventure après avoir été dûment brie-fé sur les tenants et aboutissants d’un tel accompagnement.Irène Rossier, par exemple, n’a pas hésité à suivre des cours organiséspar la Croix-Rouge vaudoise sur le thème: «L’accompagnement d’unproche en situation de fin de vie ou de soins palliatifs.» «Çam’a permisde rafraîchir mes connaissances, d’acquérir de nouveaux outils,d’échanger et de partager des expériences… C’était utile et trèsconcret.»Cette formation comprend cinq cours répartis sur dix samedis(de 9 à 12 heures à Lausanne). Coût: 50 francs par module, soit250 francs pour le tout. La prochaine session démarre le 18 février.Une autre est encore prévue cet automne.

Renseignements et inscriptions: www.croixrougevaudoise.ch, 021 329 00 29.

trèspositif decet accompagnement.«Lefait que la famille se soit resserréeautourd’elle lui procure du plaisir et de la joie,elle adenouveaudepetitsprojetscommerecevoir des gens à sa table, ça l’a vrai-ment remise sur les rails!» Et vous? «Jecrois que mes pas m’ont guidée au bonendroit, je pense que c’est ce que j’avaisdemieux à faire pour ne pas avoir de re-gretsplus tard.Etpuis, je redécouvremamaman, je suisplusproched’elle que ja-mais je ne l’ai été auparavant.»

Texte: Alain Portner

«Il ne faut pasl’étouffer ni la blesser

en lui donnant l’impres-sion d’être inutile»

Irène Rossier,infirmière-assistante. A partir d’un certain âge, la situation s’inverse et les enfants deviennent

responsables de leurs parents.

Photo:arkive,is

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| 25| MigrosMagazine |No 6, 6 févRIER 2012 | sociéTé | porTraiT

Page 26: Migros magazin 06 2012 f ge

L e thermomètre affiche un pe-tit –4 degrés. Du coup, même lesautomobilistes roulent avec gants

et bonnet et hésitent à sortir. Mais paslui.Malgré les flocons qui commencentà tomber, Christian ne renonce pas àson vélo. «J’adore ça, et j’ai pris l’ha-bitude d’aller travailler avec, expliquece jeune publicitaire genevois. Avec unpeu d’habitude, et pour autant que l’onsoit bien équipé, c’est faisable presquetoute l’année.» Comme lui, de plus enplus d’amoureux de la petite reine, parpassion ou raison, ne rangent plus leurbicyclette à la mauvaise saison.

«Evidemment,noteAdrienRowland,vendeur spécialisé dans le cyclisme,ceux qui pédalent par pur plaisir sansêtremordus arrêtent lorsque le thermo-mètre descend trop bas. Mais il est vrai

que cette clientèle de«roule-toujours»se développe.»

A la commune de Lausanne, malgréune topographie guère favorable surtoutlorsque la chausséedevientglissante,onconfirme que l’augmentation du parcde vélos s’accompagne logiquement deplus d’utilisateurs hivernaux. Un peuplus au nord, à Yverdon-les-Bains, oùl’on compte plus de 15 000 bicyclettespour 25 000 habitants, le constat estidentique: devant la nouvelle gare CFF,les places de la «vélostation» se rem-plissent également sous les frimas.

Mais faut-il être un casse-cou pourrester cycliste 365 jours (ou presque) paran?Quelle conduite adopter?Quels sontles équipements, sur lamachine commesur soi, à acquérir absolument?Enselle!

Texte: Pierre Léderrey

Le véloen toutesaisonDe plus en plus de cyclistes ne rangent pasleur bicyclette durant les grands froids.Encore faut-il prendre quelques précautions...

«Pour autant qu’on soitbien équipé, on peut rouler

presque toute l’année»Christian, cyclistepar tous les temps.

Rouler à vélo en hiver ne pose pas de problème particulier. Il faut

26 |soCiété | Mobilité |No 6, 6 février 2012 | MigRosMagazine |

Page 27: Migros magazin 06 2012 f ge

Plutôt VTT que vélo de course, bien sûr,même si ce dernier ne rend pas le roulagehivernal impossible. Electrique? Pourquoipas, mais alors pour la même raisonqu’en été: l’atout offert par son aideau pédalage est compensé par un poidsplus important. Au niveau de la tenuede route, cela ne change rien.

Les professionnels contactés se montrentunanimes: en hiver, la priorité en ce domainene concerne pas les conditions de circula-tion, mais de visibilité. «A cause du passageà l’heure d’hiver, relève le Bureau de préven-tion des accidents, de nombreux usagers seretrouvent sans éclairage suffisant», cequi – on s’en doute – constitue un grosrisque d’accident. D’autant que, déjà durantla belle saison, le bpa estime qu’untiers des cyclistes circule sans un éclai-rage adéquat, et plus de 10%avec unelampe avant ou arrière défectueuse.Comme la nuit multiplie les risques par trois,leur acquisition devient impérieuse. «L’équi-pementier Smart, par exemple, commercia-lise des lampes 5 leds pour devant, et3 leds pour derrière, qui non seulementpermettront d’être vu, mais égalementdemieux voir», explique Adrien Rowland.On rappelle en outre que la loi impose auxcyclistes de disposer d’un éclairage(amovible ou non) visible à 100mètres.

Avec les longues nuits, l’autre problèmeposé aux cyclistes hivernaux se situenaturellement sous leurs roues. Bitumefroid, pluie voire neige ou verglas (maisce dernier est de toute manière à éviter)accroissent d’autant le risque de finir parterre. Et avec deux roues, la seule solutionpour rester en selle consiste à s’équiperde pneus au profil plus prononcé, voireà la gomme plus tendre. Des grandesmarques comme Continental en fabriquent,mais le top se trouve auprès de fabricantsplus spécifiques comme Schwalbe (pneuHurricane) ou Maxxis (Wormdrive), àdes prix juste sous la barre des 30 francspar pneu. Selon Pierre-André Clément,

2 Equipementdu vélo

1 Type debicyclette

3 Profildes pneus

juste prendre garde aux plaques de glace.

Photo:Keystone

/Aurora

| 27| MigRosMagazine |No 6, 6 févRiER 2012 | soCiété | Mobilité

Page 28: Migros magazin 06 2012 f ge

La ligne légèreet savoureuse.

Page 29: Migros magazin 06 2012 f ge

le patron de l’enseigne spécialiséeExtrem Bike, des freins à disquesont également à conseiller. «Parcequ’ils sont plus progressifs, moinson/off que les tambours. En plus,ils offrent une meilleure tenueet un bon ressenti au niveau duguidon.» Autrefois réservé àdes engins haut de gamme,le frein hydraulique se trouvedésormais sur des VTT à partirde 600 ou 700 francs. Pas dequoi s’en priver.

4 Equipementdu cycliste

L’hiver à la force du mollet néces-site évidemment de ne pas attra-per une bronchite après la secondesortie. Le plus efficace consiste àadopter la stratégie de l’oignon:en multipliant les couches. Plusc’est près du corps et plus on privi-légiera un matériau «technique»en fibre synthétique, tenant chaudtout en laissant s’évacuer la trans-piration. «Parce que empiler descouches trop étanches, c’est l’as-surance de transpirer et doncd’avoir froid», rappelle Pierre-An-dré Clément. Au milieu, une polaireou un pull chaud pas trop épais fe-ra très bien l’affaire. Et au-dessus,on adopte une veste d’hiver coupe-vent, là aussi pas trop épaisse pourconserver sa liberté de mouve-ment. Un pantalon coupe-ventpassé sur le jeans n’est pas unemauvaise idée, on le choisit facile àenfiler (une longue fermetureéclair latérale aide grandement à lamanœuvre), et complète le dispo-sitif anti-froid. Lesmains et lespieds se refroidissant vite, onn’oublie pas une bonne paire degants étanches et des chaus-settes chaudes. Christian, lui,rappelle qu’il existe, comme enmoto, des surbottes chaudes etanti-éclaboussures. Enfin, lecycliste n’oublie pas son casque,mais cela, c’est toute l’année…

5 Nepas négligerl’entretien

Eh oui, les motards le saventégalement: le sel répandu généreu-sement sur les routes comme

les trottoirs occasionne de grosdégâts aux pièces métalliques.Comme le chrome n’est guèreprésent sur les vélos modernes(sauf peut-être sur les «Beachbikes» un peu hors sujet en hiver),et que les cadres sont souvent enaluminium, c’est plutôt du côtéde la chaîne, mais aussi de lavisserie et des câbles qu’il fauts’inquiéter, car ils peuvent rouiller.

On peut protéger sa bicyclette envaporisant préventivement un sprayau Téflon ou au silicone, mais cerempart finira toujours par cédersous les assauts du chlorure de so-dium. A éviter absolument: rouleraprès une période de salage et en-treposer son engin dans un endroitfroid et humide, une cave parexemple: dégâts rapides assurés.«La seule solution consiste à la-

ver régulièrement, idéalementdeux ou trois fois par semaine,son vélo. Et jamais au lavageautomatique, toujours soigneu-sement à lamain!» avertit AdrienRowland. Faute de quoi, pressionet infiltration d’eau réduisentdrastiquement la durée de vie despédaliers et autres roulements àbilles. Eh oui, rouler en hiver à vélon’est pas de tout repos...

| 29| MigRosMagazine |No 6, 6 FévRiER 2012 | soCiété | Mobilité

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Page 30: Migros magazin 06 2012 f ge

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Jean-FrançoisDuval,journaliste

Conte à cliquerdeboutMon ami Max vient de changer de bou-lot. Il était jusqu’ici indépendant, le voi-là dansunegrande société. Il débarque àl’apéro sur le coup de midi, et il me dit:–C’est pas croyable, mon vieux, lemonde a complètement changé! Je suisen train de m’apercevoir que je neconnais rien de rien aux nouvelles mé-thodes de travail. Quel choc!–Tunevaspasmedireque tupeines à tefamiliariser avec un nouveau systèmeinformatique?– Ah ça, non. Là, tu sais que je suis unchampion.Non,non, rien à voir avec ça.–Alors quoi? Je t’écoute.– Eh bien, c’est un changement absolu-ment radical, énorme! Voilà: au lieu detravailler, JE PASSE MON TEMPS ÀDIRE CE QUE JE SUIS EN TRAIN DEFAIRE. Quasiment à longueur de jour-née! Stupéfiant, non?

–Drôle de poste qu’on t’a filé là…–Nonnon, tunecomprendspas!Tout lemonde dans la boîte en est là. Tous lesemployésdoivent faire commemoi.Direce qu’on fait chaque seconde de la jour-née faitpartiedenotrecahierdeschargesà tous.L’une demesnouvelles collèguesm’adit quec’était commeçadepuisplu-sieurs années. Elle estmême restée stu-péfaitedemon ignorance sur l’évolutiondu travail à l’âge moderne. Paraît qu’y aplus une entreprise où, à l’exception dela direction, tout le reste de la pyramidedes employés passe la moitié de son

temps à rapporter, de manière très for-melle et détaillée, à quoi elle passe sontemps. Evidemment, moi, les premiersjours, j’ai pris un retard terrible. Jecroyaisbien faire: sitôtque j’enavais finiavecunclient,hop, jepassais au suivant.Mal m’en a pris! J’ai passé toute la se-conde moitié de la semaine à réparermonerreur et à introduiredans l’ordina-teur, sur Excel et autres logiciels, tout ceque j’avais fait pendant la première.

– Tu trouves que c’est du tempsperdu?–Non, non.D’abord onm’a rappelé quej’étais payé pour ça. Ensuite on m’a ex-pliqué que c’est une mesure productiveà tous égards. Ça crée une saine émula-tion,uneémulationFORMIDABLEdansla boîte, ça génère de la compétitivité.Ben oui: à chaque minute, d’un clic, dusous-fifre aubigboss, tous les employéspeuvent être au courant de ce que fonttous les autres. Ça favorise la transpa-rence, ça rationalise les tâches.Moi, parexemple, tout lemondesait quelle affairej’ai conclue,où j’en suis demesobjectifsannuels, si j’ai un rendez-vous, uneséance,ou si justement je suis en traindetaper ce que je suis en train de faire.–C’est ce qu’on appelait autrefois taperun rapport…– Oui, oui, sauf que le rapport est per-manent, instantané, jamais différé. Çacomptepar les tempsqui courent,car ilscourent vite. Si tu te laisses prendre de

vitesse, tu risques bien d’aller te fairevoir ailleurs. Et c’est pas juste pour fairedu chiffre. Non, j’ai une copine qui tra-vailledans le social,à l’Etat.Elle a affaireà des familles, des enfants, des gensmaldans leur peau, des perdus. C’est lamême chose pour eux. Ils doivent notertout ce qui s’est dit. Sinon, on va croirequ’ilsperdent leur temps.Deplus,quandonaconsciencedecequ’on fait,on le faitmieux: supposons que ma copine dé-passe de cinq minutes le timing prévu,elle se dit: oh là là, mon rendez-vousavec cettepauvrepersonneadurébeau-coup trop longtemps, fautque jemeres-saisisse, immédiatement! Plus questionque je gaspille de la sortemon temps.

– L’humanité va de l’avant, dis-je.Songe que bientôt l’informatique de-viendra suffisamment subtile et caléepour prendre instantanément note,toute seule, comme une grande, de toutceque tu fais.Tout sepassera carrémenten temps réel.– Tu veux dire que je n’aurai même plusbesoindedire ceque je fais?Lamachine,le système le diront pourmoi?– Max, c’est déjà le cas dans certainesentreprises, non – les grandes banquespar exemple.– T’as raison, mon vieux. Super! Nousn’en sommes encore qu’à la préhistoirede ces nouvelles gestions du travail.C’est magnifique comme nos enfantsvont vers des lendemains qui chantent!

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Page 32: Migros magazin 06 2012 f ge

«Jen’ai aucuncomplexepar rapportàRoger Federer»

Ce week-end, la Suisse affrontera les Etats-Unislors du premier tour de la coupe Davis, à Fribourg.

L’occasion de faire le point avecle n°2 du tennis suisse, Stanislas Wawrinka,

confiant en ses capacités.

Annoncez-nous une bonne nouvelle! Avecune équipe américaine privée de deux de sesmeilleurs éléments (ndlr: Andy Roddick etBobBryan), la Suisse a toutes les chances del’emporter ceweek-end, n’est-ce pas?Je n’irai pas jusque-là, non. Bien sûr,comme nous jouons à domicile, nouspartons favoris. Mais les Etats-Unisrestent une équipe très difficile à jouer,la rencontre risque d’être serrée. Enplus, leur équipe compteplusde joueursque la nôtre, nous n’avons pas le droit àl’erreur.

Oui, mais Federer sera à vos côtés cetteannée.C’est une des raisons pour lesquellesnous partons favoris, sur le papier.Maismême avec lui, ce ne sera pas facile.

La coupe Davis de-meure-t-elle pourvous l’un des pointsforts de la saison?Oui, depuis huitans que j’y parti-cipe, j’ai toujoursrépondu présent.C’est une chanceet un honneur

pour moi de pouvoir jouer pour monpays. J’en rêvais déjà quand j’étais petit.Chaque année, l’un de mes objectifs,c’est d’aller le plus loin possible,de donner le maximum de chancesà la Suisse.

Un de vos autres objectifs pour 2012, c’estd’entrer dans le Top Ten de l’ATP...De m’en rapprocher le plus possible,en tout cas.

Vous n’avez pourtant pas très bien démarrél’année: lors de l’open d’Australie, vous vousêtes arrêté aux 16es de finales. Pensez-vousréussir à remonter dans le classement?Mais l’année ne fait que commencer!Onne peut pas encore tirer de conclusions.Je ne vais pas modifier mes objectifsaprès un seul tournoi, il en reste encoreénormément à jouer. Je reste confiant, jesais que j’ai tout pour y arriver.

Même sans entraîneur? Depuis que vousvous êtes séparé de Peter Lundgren, vousjouez cavalier seul...Cette situation dure depuis septembredernier et tout se passe très bien. Je medonne le temps de trouver un nouvelentraîneur,mais pour l’instant, ce n’estpas une priorité. J’ai 26 ans, je sais jouerau tennis et ça fait unmoment déjà quej’évolue sur le circuit, j’en connais lesficelles.

L’engagement de Lundgren comme coachavait pourtant marqué un tournant dansvotre carrière en 2010. Pourquoi avoir cessévotre collaboration si rapidement?Parce que, après une année très intense,j’estimais qu’on avait fait le tour.Mais ilm’aénormémentapporté, tant auniveautechnique que mental. Son expérience

m’a également été très bénéfique, il atravaillé avec de grands joueurs commeFederer, il a gagné plusieurs tournois duGrandChelemaveccertainsd’entre eux.

L’autre point fort de 2012, ce sont les JOde Londres. Impatient?Comme tous les sportifs de haut niveau,oui. C’est l’événement de l’année. Moi,j’ai la chance d’avoir déjà vécu l’expé-rience et en plus d’avoir décroché unemédaille d’or (ndlr: remportée en doubleà Pékin en 2008 avec Roger Federer).

Comptez-vous sur un nouveau titreolympique?Ça risque d’être difficile, mais on vadonner lemaximum.

En observant vos résultats de ces dernièresannées, on a un peu l’impression d’une car-rière en dents de scie. Vous êtes capable dumeilleur,mais retombezbrutalementensuite.Comment expliquez-vous cette tendance?Mais je n’ai pas du tout l’impressiond’avoir une carrière en dents de scie! Aucontraire, il me semble que depuis mesdébuts, j’ai toujours progressé, à monrythme, j’ai gravi peu à peu les échelonsdema carrière, j’ai avancé dans la bonnedirection,miseàpartuneannéeoù je suisredescendu dans le classement. Autre-ment, j’ai sans cesse consolidémaplace.

Toutdemême,en juin2008,vousavezatteintvotre meilleur classement ATP, à la 9e place.

«J’ai toujoursréponduprésentà la coupeDavis,c’est une chanceet un honneur.»

32 |entretien | stAnisLAswAwrinkA |No 6, 6 février 2012 | MigrosMAgAzine |

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■ 1985: naissancele 28mars à Lau-sanne, de pèreallemand et demère suisse.■ 2003: vain-queur des Interna-tionaux de Francede tennis junior àRoland Garros.■ 2006: premiertitre ATP à Umag(Croatie). Il dispu-tera la finalecontre un cer-tain... NovakDjokovic!■ 2008: meilleurclassement ATP(9e place).Décroche lamé-daille d’or auxJO de Pékin, endouble, avecRoger Federer.■ 2009: mariageavec Ilhamvuilloud, anciennespeakerine de laTSR.■ 2010: naissancede leur fille Alexia.Second titre ATPà Casablanca.séparation ducouple.■ 2011: Troisièmetitre ATP à Chen-nai (Inde).

Bioexpress

| 33| MigrosMAgAzine |No 6, 6 FévRIER 2012 | entretien | stAnisLAswAwrinkA

Page 34: Migros magazin 06 2012 f ge

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Page 35: Migros magazin 06 2012 f ge

L’éternel second suissen’a pas à rougir de sonpalmarès,même s’il atoujours été dans l’ombrede Roger Federer.

Depuis, vous n’avez plus réussi à intégrer leTop Ten. Pourquoi?Vous savez, il y a très peu de pointsqui séparent le 8edu 22e ou 23emondial,on peut passer de l’un à l’autre enun rien de temps, à un match près.Ça tourne sans arrêt, c’est extrême-ment instable. D’ailleurs, à la fin 2008,j’ai terminé 17e. Il ne faut pas perdrede vue que nous sommes des millionsdans le monde à jouer au tennis,c’est déjà exceptionnel d’être dansles vingt premiers, notamment pour

un sportifsuisse. Il n’y ena pas beaucoupqui atteignentce niveau. Ils’agit d’en êtreconscient.Alors bien sûr,

nous avons la chance d’avoir un RogerFederer qui reste le meilleur tennismande tous les temps, mais on ne peut pasvraiment le comparer auxautres joueurssuisses.

Venons-en à Federer justement. Peut-onparler d’un petit complexe d’inférioritélorsque vous êtes confronté à lui?Non, je n’ai aucun complexe par rapportà Roger. A la base, il est simplementbeaucoup plus fort que moi. Il est

3emondial, je suis 27e: c’est normal queje perde face à lui.

Pasdepressionsupplémentairedonc lorsquevous vous retrouvez face à lui?Non.De lapression, il y ena toujours lorsdes tournois. Peut-être plus pour moique pour lui, mais uniquement parcequ’il en a disputé davantage quemoi.

Vous parlez peu de votre vie privée, enrevanche vous utilisez beaucoup les réseauxsociaux comme Facebook et Twitter pourpartager votre quotidien avec le public.Qu’est-ce que cela vous apporte?Je le fais avant tout pour mes fans. Ilsnous apportent beaucoup, à nous autressportifs. C’est une manière de lesremercier, de leur donner un point devue différent, un peu plus personnelque les journaux et les conférences depresse officielles.

Dans cettemêmeoptique, vous avez baladépartout avec vous une figurine d’HomerSimpson l’année dernière...Oui, je l’ai prise en photo dans diffé-rents endroits, c’était une façon un peudécalée demontrer le circuit, les hôtels,les villes que je traversais, les avions,bref, de partager mon quotidien, sansforcément me mettre moi-même enscène. Les fans ont adoré!

Suisse - Etats-Unis. La rencontre ades allures de déjà-vu. Il y a vingt ans,en 1992, les deux équipes s’affron-taient en finale de la Coupe Davis.D’un côté, JohnMcEnroe, PeteSampras, Andre Agassi et JimCourier, tous vainqueurs de tournoisdu Grand Chelem. De l’autre, uneéquipe composée uniquement dedeux joueurs: Marc Rosset et JakobHlasek. Si les deux héros helvètes dumoment avaient réussi à se hisserjusqu’en finale, ils ne purent battre leGoliath du tournoi,malgré une bellevictoire de Rosset sur Courier.Cette année, la situation semble êtreplutôt à l’avantage de la Suisse.StanislasWawrinka et Roger Federermèneront-ils leur équipe à la victoirecontre une équipe américaine privéede deux de ses champions, lors de cepremier tour? La réponse ce week-end! La rencontre se jouera à gui-chets fermés,mais les fans pourrontassister à l’entraînement cemercredi8 février au Forum Fribourg (13 h-16 hpour la Suisse, dès 17 h pour lesEtats-Unis). L’entrée est gratuite.Plus d’infos: www.swisstennis.ch

La coupeDavis:vingt ans après

«C’est déjàexceptionnel d’être

dans les vingt premiersjoueursmondiaux.»

| 35| MigrosMAgAzine |No 6, 6 FévRIER 2012 | entretien | stAnisLAswAwrinkA

Page 36: Migros magazin 06 2012 f ge

LLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLeeeeeeeeeeeeeeeeeeee mmmmmmmmmmmmmmmmmmmeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeiiiiiiiiiiiiiiiiiilllllllllllllllllllllllllllllllllllllleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuurrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr ddddddddddddddddddddddddddeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeesssssssssssssssssssssssss fffffffffffffffffffffffffffeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeessssssssssssssssssssssssssssssssssssss sssssssssssssssssssssssssssssssuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiissssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssseeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeesssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss.......................

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Page 37: Migros magazin 06 2012 f ge

En parlant d’Inter­net, sur le sitego4tennis, vous ré­pondez égalementaux questions desjoueurs débutants.Unemanière d’assu­mer votre rôle d’am­bassadeur de SwissTennis?Pour moi, c’esttrès important,notamment auni-veau de la relève.Pour l’instant,nous n’avons pasgrand monde et jeredoute le mo-ment où Roger etmoi-même arrê-terons.Sur ce site,je peux conseillerceux qui viennentde commencer, et

s’ils éprouvent duplaisir à discuter avecmoi, si on arrive à se voir de temps entemps, à taper quelques balles même,c’est déjà un bon début!

Pour revenir à un épisode qui fâche... com­ment avez­vous vécu les critiques dont vousavez fait l’objet suite à votre séparation avecIlhamVuilloud en 2010?Pas très bien, mais c’est un sujet que jen’aborde jamais dans les médias.

Mêmede votre fille?Même dema fille.

La voyez­vous souvent?Oui, tout le temps.

Est­elle fière de son papa?Il faudra le lui demander quand ellesera un peu plus grande.

Elle a déjà assisté à l’un de vos matchs,l’an dernier...Oui, à Berne, c’était super de la voiravecma femme dans le public!

Vous entretenez donc toujours de bonsrapports avec Ilham?Oui, de très bons rapports. Mais jen’aime pas parler dema vie privée.

Texte: Tania AramanPhotos:Matthieu Rod

Suivez StanislasWawrinka sur Facebook:www.facebook.com/StanislasWawrinkaOfficialet sur Twitter: twitter.com/stanwawrinkaSite officiel: www.stanwawrinka.com

«J’entretiensde très bonsrapports

avec Ilham.»

entretien | stAnisLAswAwrinkA| 37

Pourquoidit-on:

«Montersur sesgrands

chevaux»?

Autrefois, il existait trois sortes de

chevaux de tailles et de fonctions

différentes: les palefrois, chevaux de

parade ou de voyage, les somiers,

destinés aux gens de moindre impor-

tance, et les destriers, des chevaux

de grande taille pour aller au com-

bat. Monter sur ses grands chevaux

indique donc que l’on s’emporte et

que l’on est prêt à se quereller.

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Page 38: Migros magazin 06 2012 f ge

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La Suisse, un pays de coopératives. Que ce soit dans le commerceprésente dans notre pays.

Desentreprisesbien ancréesenSuisseDans notre pays, les coopératives ne sont passeulement fières de leur passé. Elles sont aussibien armées pour le futur. Des patrons de grandessociétés nous disent pourquoi.

L e mot «coopérative» sonne pourbeaucoupcommeunsubstantif res-pectable ou un adjectif remontant

aux origines du pays. Il est vrai que, de-puis toujours, les paysans de montagnese sont regroupés en coopératives pourexploiter de concert les ressources al-pestres.Unesolutioncollectivepermet-tantde survivredansunenvironnementnaturel difficile et de faire communé-ment front contre les puissantes forcesde la nature.

Les coopératives sont par essenceconstituées de collectivités d’individussoucieuses d’agir pour le biende chacunde leurs membres. Qu’il s’agisse d’unalpage, d’un magasin de village, d’unechaîne de supermarchés pratiquant desprix justes, il importe d’abord systé-matiquement de se prendre en chargeet d’assumer ses propres responsabili-tés.Deplus, les sociétés coopérativesnesont pas cotées en bourse et ne doiventpas constamment surveiller l’évolu-tion de leur cours sur les marchés. Elles

ne doivent pas non plus verser de divi-dendes à leurs actionnaires. En lieu etplace, leurs gains peuvent être réinves-tis dans l’entreprise –ce qui, en fin decompte, profite à tous les membres dela coopérative.

Des coopératives luttent pourdes logements à prix abordableResteà savoirquelle est l’importancedescoopératives dans la Suisse moderne.Celles et ceuxqui viventdansnotrepaysles rencontrentpartout sur leur chemin.Il appartientpourainsi dire auquotidiendes Helvètes de faire ses courses à Mi-

gros,de retirerde l’argent àunautomatede la banque Raiffeisen, d’assurer sesmeubles auprès de La Mobilière ou dese déplacer à bord d’une voiture Mobi-lity.Dans chacunede ces circonstances,lesSuissesont recours auxbons servicesd’une société coopérative.

Beaucoup de gens cherchant un ap-partementontpar ailleurs été encontactavec une coopérative. De nombreuxSuisses vivent en effet dans des loge-ments – on en dénombre 165 000– ap-partenant à une telle société. La sociétécoopératived’habitationzurichoiseABZ(Allgemeine Baugenossenschaft Zu-

SÉRIE

Année des coopératives de l’ONU«MigrosMagazine» se penche cetteannée sur le thème des coopératives.Dans une série en douze volets, nousvous présentons les différents aspectsde ces sociétés dont la forme juridiqueest historiquement ancrée dans le terreau national.Deuxième volet: en quoi les coopératives sont-ellesporteuses d’avenir?

v

38 |38 |INFOS MIGROS | COOPÉRATIVES |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | MIGROSMAGAZINE |

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Habitatde détail, l’autopartage, la gestion de 165 000 logements, cette forme juridique est très

Photos:Keyston

e(2),Pho

topress,DR

rich), la plus grande du genre en Suisse,possède à elle seule à Zurich et dans sesenvirons trente lotissements offrant autotal près de 4700 logements. Selon lescalculs de son président, Peter Schmid,lapartdemarchédescoopérativesd’ha-bitationavoisine 5%dans l’ensembledupays.Elle seraitmêmede l’ordrede 20%à Bienne ou Zurich, des villes indus-trielles par tradition.

Les sociétés coopératives inspirentdes sentiments de grande confianceau sein de la population helvétique. LeGroupement d’intérêt des coopératives(IGG) a réalisé récemment un sondage

téléphonique représentatif auprès deplus demille personnes. Selon cette en-quête, l’indice de confiance des socié-tés coopératives estde7,2points suruneéchelle de 10. Les sociétés anonymescotées en bourse n’obtiennent, elles,qu’une note de 4,7.

Les fortes turbulences enregistréessur les marchés et la poursuite de lacrise financière ont manifestementécorné la confiance placée dans les SA.Inversement, les sondés ont reconnuaux coopératives «des succès écono-miques à long terme». Ils ont aussi sa-lué «leurs structures régionales ainsi

Les paysans de montagne se sont depuistoujours regroupés en coopératives.Les paysans de montagne se sont depuis

APPeLAuX LeCteurs

Pour vous,qu’est-ce qu’unecoopérative?Envoyez-nous vos photos sur lethème des sociétés coopérativeset gagnez des bons d’achat.

Mobility?Unepetite entreprise agricole re-groupant les habitants d’un village?

Envoyez-nous sans tarder un clichéayant pour thème la coopérative.Vos pho-tos peuvent être déposées dès maintenantsur notre site internet.Au terme de la séried’articles que nous consacrons à ce sujet,nousvous lesprésenterons en ligne et tire-ronsausort cinqbonsd’achatMigrosd’unevaleurde 100 francs chacun.Bonnechanceà tous.

Déposez vos photos de coopérativessur www.migrosmagazine.ch.

Q u’est-ce qui vous vient spontané-ment à l’esprit quand vous entendezle mot société coopérative? Un cad-

die rempli deproduitsMigros?Unevoiture

INFOSMIGROS| MigrosMAgAzine |No 6, 6 FÉVRIER 2012 |

CooPérAtives | 39

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que la proximité qu’elles entretiennentavec leurs clients». Ils ont enfin estiméqu’elles «gèrent les risques de manièreconsciente et appropriée».

Mais qu’en est-il de l’avenir? Les so-ciétés coopératives sont-elles arméespour faire faceauxdéfis qui les guettent?

Nous avons rencontré les patrons detrois importantes coopératives–LaMo-bilière, Raiffeisen Suisse et la Coopéra-tive d’habitation de Zurich (ABZ) – qui

expliquent les avantages de ce type desociété.

Pour sa part, Franco Taisch, profes-seur ordinaire de droit économique àl’Université de Lucerne, analyse dansun entretien les raisons pour lesquelleslemodèle de la société coopérative n’estpas près de décliner. C’est même, selonlui, une forme juridique de société mo-derne et tournée vers l’avenir.

Texte:MichaelWest

Des coopératives sous la loupe:trois exemples éclairants

LaMobilièreL’entreprise est numéro 1 en Suisse dans lesdomaines de l’assurance ménage, d’entrepriseet de prévoyance ainsi que de la réassurancedes caisses de pension.

■ Chiffres 2010:Chiffre d’affaires: 3 milliards de francsBénéfice: 408millions de francsCollaborateurs: 4300

Groupe Raiffeisen SuisseSur la base des sommes inscrites à son bilan,le groupe bancaire est le troisième plus impor-tant de Suisse.

■ Chiffres 2010:Somme du bilan: 147 239milliards de francsBénéfice: 952,5 millions de francsCollaborateurs: 9656

ABZAvec 4700 logements, la Société coopératived’habitation de Zurich (ABZ) est la plus grandedu genre en Suisse.

■ Chiffres 2010:Chiffre d’affaires: 60millions de francsBénéfice: ABZ n’en réalise pas. Dans l’hypo-thèse où des gains seraient enregistrés,la différence serait comptabilisée commeamortissement des biens immobiliers.Collaborateurs: 60

■ Peter Schmid,président:«Les coopératives d’habi-tation constituent unmo-dèle suisse à succès,ancré dans le tissu démo-cratique originel du pays.

Elles favorisent la propriété collective. Une foisacheté, le terrain reste auxmains de la coopé-rative et échappe ainsi à la spéculation. Decette manière, les sociétés coopératives d’ha-bitation apportent une contribution impor-tante au service de la population avec des lo-gements à prix abordable qui assurent aussiun bon équilibre social dans les différentsquartiers des villes. Elles favorisent aussi unstyle de construction, d’habitat et de vieorienté vers la collectivité et agissent dema-nière intégrative.»

■ Markus Hongler,CEO de LaMobilière:«La forme coopérativeconvient bien à une assu-rance qui est orientéevers le long terme, la sé-curité et la confiance.

Nous pouvons de surcroît nous concentrer en-tièrement sur notre clientèle, avec laquellenous partageons régulièrement notre réussite.Rien que cette année, nous lui avons ristourné125 millions de francs. Notre structure de coo-pérative nous a donné la possibilité de plani-fier à long terme. Nous ne devons pas réagir àchaque secousse dumarché. En tant que so-ciété coopérative, la stratégie que nous sui-vons par rapport à nos fonds propres est em-preinte de prudence. Nous disposons enconséquence de réserves confortables.»

■ Pierin Vincenz,CEO de Raiffeisen:«En tant que coopérative,le groupe Raiffeisen ne ré-pond pas de ses activitésdevant ses actionnairesmais devant ses clients et

ses membres. Cela nous permet demener unepolitique sur le long terme plutôt qu’une poli-tique axée sur le profit rapide. De surcroît, lesbénéfices réalisés en commun sont réinvestisdans l’entreprise. Celle-ci se compose de plusde trois cents agences autonomes implantéesdans le tissu local. Grâce à cette structure dé-centralisée, nous sommes plus proches de nosclients. Ces dernières années, nous avons ob-servé une nouvelle tendance allant vers da-vantage de proximité avec le client et un re-tour au local. Ce sont là nos valeurs.»

40 |inFos Migros | CooPérAtives |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | MigrosMAgAzine |

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sérieAnnée des coopé-ratives de l’ONU

Pour Franco Taisch, les coopératives ont une belle carte à jouerdans unmonde toujours plus globalisé.

«Unecoopérativeapportetoujoursunavantageà la collec-tivité.»

«Etre prochedesclients est unatout»Franco Taisch, professeur ordinaire de droit économique à l’Université de Lucerne,est convaincu des avantages des sociétés coopératives et, en particulier, des vertusde leur enracinement dans le tissu local.

P résidentduCentrede compétencepour les sociétés coopératives,Franco Taisch connaît mieux que

quiconqueces entreprisesdont la formejuridique est porteuse d’avenir, et ce,même si une majorité de sociétés ano-nymes est aujourd’hui créée.

Quelle estaujourd’hui l’importancedessocié-tés coopératives dans l’économie du pays?Une première impression subjective ledémontre: en Suisse, elles sont incon-tournables. Il est donné à chacun d’en-trer en contact avec de grandes entre-prisesdecettenature:Migros,LaMobi-lière, les banquesRaiffeisen.Sansparlerdes très nombreuses entreprises pluspetites épousant lamêmestructure coo-pérative.

Peut-on également démontrer leur impor-tance par des chiffres pertinents?Prenez par exemple le produit intérieurbrut (PIB) qui représente la valeur totalede tous lesbiens et servicesproduitsdu-rant une année dans un pays donné. En2009, pour la Suisse, il se montait à484,6 milliards de francs. Or, 11% de cemontant provient des dix plus grandessociétés coopératives du pays. Ce quiveut dire qu’elles ont créé à elles seulesplus d’un dixième de la richesse natio-nale.

UneétudeduGroupementd’intérêtdes coo-pératives (IGG)montre que les coopérativesinspirent un sentiment de confiance. Com-ment l’expliquez-vous?Une coopérative fonctionne différem-ment d’une SA. Elle n’est pas tenued’augmenter constamment savaleur surles marchés financiers sous la pressiondes actionnaires. L’effort des sociétéscoopératives profite avant tout à sesclients, collaborateurs et fournisseurs.Elles apportent toujours un certainavantage à la collectivité, par exemple àtravers des magasins offrant des prixjustes ou en veillant à ce que les loge-ments demeurent à un prix abordable.

EnSuisse, les sociétéscoopératives jouissentd’une longue tradition. Mais sont-elles aussiarmées pour le futur?J’en suis persuadé.Unde leursmeilleursarguments, très tendance d’ailleurs, estla proximité avec le client. Il s’agit d’unatout important dans l’économie mo-derne caractérisée par une concurrenceaccrue.Certaines entreprisesdépensentbeaucoup d’argent pour échanger avecleurs clients et pour tisser des liens aveceux.Oncherchepar exemplecettemêmeproximité avec les réseaux sociaux,commeFacebook.Depuis longtemps, lessociétés coopératives entretiennentunerelation étroite avec leurs clients. Ellesles considèrent depuis toujours commedes partenaires ayant leurmot à dire.

Il n’empêche: le plus grand chamboulements’appelle globalisation. Les entreprisessuisses sont confrontées à des multinatio-nales géantes. Les sociétés coopérativespeuvent-elles vraiment lutter?

Ouibienévidemment,car il n’y apasquela globalisation. Le retour du balanciersenommerégionalisation.Denombreuxconsommateurs ne veulent ainsi plus deproduits anonymes. Ils leur préfèrentdesmarchandises et des prestations ve-nant de leur région. Les coopérativespeuvent parfaitement répondre à cettenouvelle exigence, car elles sont fré-quemment très bien implantées dans letissu régional.

Pourtant, lenombredesociétéscoopérativesstagne en Suisse. Ceux qui créent une entre-prisepréfèrent la forme juridiqued’unesocié-té anonyme.Cela tient au fait quemaintes entreprisesde conseil sont encore rivées à cetteforme juridique. Je pense par exempleaux études d’avocats, aux fiduciaires ouaux instances qui épaulent les start-up.Cesprofessionnels conseillent très sou-vent à celles et ceux qui se lancent deconstituer une société anonyme ou unesociété à responsabilité limitée (Sàrl).Ces spécialistesoublientvolontiersqu’ilexisteunevariante et que la formed’unesociété coopérative présenterait beau-coup d’avantages.

Cette prééminence des sociétés anonymesne signifie-t-elle pas qu’à long terme les so-ciétés coopératives vont disparaître?Non, car il se pourrait aussi que, dans lefutur,unnombrecroissantd’entreprisesse transforment en sociétés coopéra-tives. Je pense à ces petites etmoyennesentreprises qui seront confrontées cesprochaines annéesàdeschangementsdedirection parce que leur directeur part àla retraite. Que fait aujourd’hui un pa-tronquine trouvepas le successeurqu’ilrecherche et qui tient à ce que l’œuvrequ’il a bâtie ne tombe pas sous la couped’un grand groupe? Il crée une sociétécoopérative dont il remet ainsi le sortentre les mains de ses collaborateurs etde ses clients.

Entretien:MichaelWestPhoto: Ueli Christoffel

| 41| MigrosMAgAzine |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | inFos Migros | CooPérAtives

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Les artistesviennent à vousDepuis dix ans, Adrian Steiner, directeur de «Das Zelt», accueille des spectaclesdans son chapiteau itinérant. A voir bientôt à Lausanne.

Le chapiteau Das Zelt accueille chaque année 180 000 visiteurs.

Adrian Steiner,directeurde Das Zelt

N é à l’occasion d’Expo.02, Das Zelt(littéralement le chapiteau) estune plateforme événementielle

voyageant de ville en ville à la rencontredes spectateurs.Une foisdeplus, lanou-velle tournée s’arrêtera à Lausanne, etce, du 23 au 25 février à la place Belle-rive. Pour Adrian Steiner, directeur de-puis dix ans de cette salle de spectaclespas comme les autres, la routinene s’estpas encore installée. «Ce chapiteau estun magnifique projet. Nous pouvonsainsi apporter de nombreux shows des-tinés à un grand public dans les villes,mais aussi dans des régions plus péri-phériques.»

Migros est partenaire depuisles débutsA Lausanne, Das Zelt accueillera parexemple leSwissComedyClub.FrédéricRecrosio et Karim Slama y présenterontlesnouveaux talentsde la scène romandepour une soirée placée sous le signe dela bonne humeur. Quant aux quatre té-nors suisses I Quattro, ils revisiterontles plus grandes chansons de films dontPretty Woman, Casablanca, Top Gun,RobinHood,Fame,Doctor Jivago et biend’autres encore. Enfin, le dernier soir,DJ Antoine fera vibrer la tente avec sestubes lesplus célèbres (lire également ci-contre).

Dès le lancement de ce projet,Migrosamontré unvif intérêt.«Il faut saluer lefait qu’après Expo.02, Migros s’est toutde suite engagée dans l’aventure, ex-plique Adrian Steiner. Le distributeur acru à nos idées innovatrices et, en noussoutenant,amontréqu’il savait prendredes risques.»

42 |infos Migros | sponsoring |No 6, 6 février 2012 | MigrosMagazine |

Page 43: Migros magazin 06 2012 f ge

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Pour la première fois,DJAntoinemixerasous le chapiteau Das Zelt le samedi25 février. L’occasion de danser, entreautres aux sons de son tube internatio-nal Welcome To St-Tropez. Avec plusd’unmillion d’albums vendus, le recordsuisse de clics sur YouTube, vingt-neufGoldenAwards enAllemagne, en Suisseet enAutriche, leBâlois est devenuau fildes ans une grande star internationale.A noter que la soirée débutera avec SirColin en special guest, un DJ qui s’esthissé plusieurs fois en tête des hit-pa-rades,et se termineraaucélèbreMADdeLausanne.

tirAgeAu sort

DJAntoinemixeraà Lausanne

Avant que la soirée ne se poursuive auMAD,DJ Antoine fera vibrer le chapiteau Das Zelt.

sponsoring byTournée Das Zelt 2012.

Offrez des spectaclesavec le franc de solidaritéParce que, pour beaucoup trop de personnesen Suisse, s’offrir une soirée au théâtre ouun concert est un luxe inabordable, Das Zeltlance le franc de solidarité. Ainsi, au momentd’acheter un billet, vous avez la possibilité defaire un don d’un franc. Ce geste permettraaux plus démunis d’assister à des spectaclesgratuitement ou à des conditions fortementpréférentielles. Cette action est notammentvalable pour les familles et les particuliersen possession de la CarteCulture de Caritas.

Prévente■ En ligne:www.daszelt.ch■ Par téléphone: 0900 800 800(Fr. 1.19/min.)■ Repas de gala: conseils personnalisésau 0848 000 300 (tarif normal).■Offre RailAway CFFAvec un billet combiné RailAway des CFF,bénéficiez d’un rabais de 10% sur le trajet entrain et 10% sur l’entrée au spectacle. Offredisponible au guichet des gares CFF et auprèsde Rail Service: 0900 300 300 (Fr. 1.19/min.).

Aujourd’hui encore, Adrian Steiner etsesquarante-cinqemployés fontpreuvede créativité. Avec le ComedyClub et leRock Circus, ils ont monté – avec suc-cès – leur propre production. «C’estgénial de voir comment une idée poséesurune feuilledepapierblanchepeut,aufinal, enthousiasmer un public.»

L’année est trop courte poursatisfaire toutes les demandesChaque année, 180 000 spectateursfranchissent les portes de Das Zelt. Ilpourrait bien sûr y en avoir encore da-vantage, sauf qu’Adrian Steiner ne peutdresser sonchapiteaupartout.«L’annéeest tout simplement trop courte», s’ex-cuse ledirecteur.Quantàunagrandisse-ment de la tente, il n’est pas à l’ordre dujour.AdrianSteinerpréfère investir dansun programmede qualité. Et poursuivrele conceptqui a fait le succèsdeDasZelt:apporter la culture auxquatre coinsde laSuisse. Texte: Andreas Dürrenberger

Programme détaillé: www.daszelt.ch

Participer et gagner«Migros Magazine» tire au sort10 x 2 billets pour le concertde DJ Antoine à Lausanne le25 février 2012.

Tentez votre chance■ par téléphone en appelant le numéro0901 560 089 (Fr. 1.–/appel depuisle réseau fixe) en indiquant vos nomet adresse.■ par SMS en envoyant un textoavec le mot GAGNER, ainsi que votreadresse au numéro 920 (Fr. 1.–/SMS).Exemple: GAGNER, Adam Premier,rue du Paradis 1, 9999 Jardinville■ par internet en vous rendant surwww.migrosmagazine.ch/coupdechance

Délai de participation:dimanche 12 février 2012.

Les gagnants seront avertis par écrit.Le versement en espèces de la contre-valeur ne peut être exigé. Tout échangede correspondance et le recours à la voiejudiciaire sont exclus.

| 43| MigrosMAgAzine |No 6, 6 FévRiER 2012 | inFos Migros | sPonsoring

Page 44: Migros magazin 06 2012 f ge

En vente dans les plus grands magasins Migros, jusqu’à épuisement du stock.

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5.50Protège-poêlesen forme de fleurle lot de 3,vert ou rose

2.50Sac à pain fleuri43 x 34 cm

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Page 45: Migros magazin 06 2012 f ge

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3.50Clip en formede papillon2 pièces, jaune,rose ou vert

16.80Mobile à ventavec sa boîtevert, bleu ou rose

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2.50Cornets en métalavec bougiechauffe-platrose, vert, grisou jaune

6.50Ciseaux à herbesà 3 lames

4.90Fleurs en étoffeen potmotifs divers

6.90Couronnedécorative pourla porte Welcomemotif fillette,env. 20 cm

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9.80Bougie LEDrose, vert ou jaune

la pièce

4.50Rouleau décoratifen étoffe«Dotty Voile»28 x 250 cm, blanc,vert, gris ou jaune

RINTEMPS.

Page 46: Migros magazin 06 2012 f ge

Des trophéesuniques grâceà l’applicationAnimancaAvec l’application Animancapour smartphones et tablettes,

il est possible de s’amuser même hors de la maison.L’«app» présente un avantage de taille puisqu’elle per-met d’ouvrir un coffre dans le grenier d’Animanca etde s’emparer aussi de trophées que vous ne trouverezpas dans le galetas. L’application est disponible gratui-tement dans l’App Store et l’Android Market.

Sur le site internetwww.animanca.ch,les enfantsexplorentlemonde depuisleur chambre.

L’«app» présente un avantage de taille puisqu’elle per-

pas dans le galetas. L’application est disponible gratui-

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46 |inFos Migros | AniMAnCA | No 6, 6 FÉVRIER 2012 | MigrosMAgAzine |

Page 47: Migros magazin 06 2012 f ge

L es enfants adorent fouiner dans legrenier à la recherche de trésorsdisparus. Et ils finissent toujours

par y dénicher quelque chose, mêmes’il ne s’agit que des lettres d’amour ques’échangeaient leurs grands-parents il ya cinquante ans.

Sur le sitewww.animanca.ch, l’aven-ture commence dans le galetas qui pro-pose de nombreux jeux, concours,énigmes, devinettes et idées de brico-lage. Pour jouer, chaque visiteur enre-gistré doit créer son propre avatar. Ilpeut ensuite entamer son voyage surles différents continents, un périple qui

UnmondeàdécouvrirSur www.animanca.ch, un grenier virtuel livre peu à peu ses secrets.Ce site internet permet de s’amuser, de bricoler et de remporterde magnifiques voyages – cette fois-ci bien réels.

l’obligera à mobiliser toute son habile-té, ses connaissances et sa réactivité.Eneffet, des jeux passionnants lui permet-tront de récupérer les pierres perdues àl’effigie d’animaux aux pouvoirs éton-nants.Lesmeilleurs joueurs intégrerontle «Hall of Fame».

Quant au téléphone confectionnéavec des boîtes de conserve, il fournirachaque jour de nouvelles informationsamusantes aux explorateurs.

Les esprits créatifs trouveront égale-ment sur le site Animanca des idées dejeux et de bricolage. Il y est notammentexpliqué comment fabriquer un porte-

clefs avecdespierresAnimanca.Anoterque les enfants peuvent aussi proposerdes idées qui profiteront aux autres vi-siteurs.

Les règles du jeu permettent par ail-leurs de maîtriser toutes les subtilitésd’Animanca en un temps record.

Enfin, le galetas recèle unmystérieuxcoffre au trésor dont le contenu sera dé-voilé le 22 février. Pour l’ouvrir, il fautcependant posséder le passeport d’ex-plorateur que l’on pourra se procurer àlamêmedate àMigros pour tout achat àpartir de Fr. 60.-.

Animanca permet bien sûr aus-si de gagner des prix. En collabora-tion avec Vacances Migros, il sera tiréau sort parmi tous les participants desvoyages Animanca d’une valeur de plusde Fr. 30 000.-.

Le prix principal est un safari de deuxsemaines en Afrique du Sud au coursduquel vous pourrez approcher des élé-phants, des lions, des zèbres, des girafeset des rhinocéros. Le deuxième prix estun voyage de dix jours auCanada sur lestraces des baleines et des ours. Le troi-sièmeprix estunvoyageenScandinavie,terre natale des lynx et des cerfs.

Texte: AnetteWolffram Eugster

| 47| MigrosMAgAzine |No 6, 6 février 2012 | inFos Migros | AniMAnCA

Page 48: Migros magazin 06 2012 f ge

H ier comme aujourd’hui, la Suisseest le paradis des amateurs dechocolat, «un pays de cocagne

où le lait et le chocolat coulent à flots»,comme aimait le décrire à la BelleEpoque la maison Chocolat Frey. Et sila production de lait est bien évidem-ment très répandue dans la belle Hel-vétie, celle de cacao est par contre plussurprenantedanscepetit payspauvreenmatières premières. Pourtant c’est bienl’importationonéreusedes fèvesqui està labased’un tel succès.Etonnant,non?

La recherchede laqualité et leperfec-tionnisme ont été des moteurs pour lespionniers du chocolat suisse qui, dans

leur grande sagesse,étaient convaincusqu’une petite entre-prise ne pouvait s’im-poser face à la concur-rence étrangère qu’enétant meilleure quetous les autres.Cet état

d’esprit estd’ailleurs toujours lamarquede fabriquedeChocolatFrey,et ce,mal-gré les périodes tumultueuses qu’a dûtraverser l’entreprise familiale.

A l’hiver 1887, les frèresMaxetRobertFrey fondent lamanufacturedechocolatR.&M.Frey.Ces Argoviens choisissentla licorne, symbole des armoiries fami-liales,comme logopour l’entreprise.Audébut, les deux jeuneshommes confec-tionnent leurs produits dans la mai-son de leurs parents à Aarau. Puis, parmanque de place, les installations deproduction sont installéesdansunean-cienne filature.

Duproduit de luxe à la denréede première nécessitéAla finduXIXe siècle, l’économie suisseest florissante, demêmeque l’industriechocolatière. Cette période bénie voitégalement naître le tourisme suisse –uneaubainepour lesFrey: les richesBri-tanniques,quidécouvrentvers 1900quelaSuisse estune région idylliquepour seressourcer, sontmarqués par le raffine-mentdesproduitshelvètes et répandentdans leur pays la bonne réputation deschocolats argoviens.Ceproduit est alorsun luxe réservé aux classes supérieures

Chocolat Frey fêteCréée en 1887 par les frèresMax et Robert Frey, lamanufacture d’Aarau a activement

Pralinés, tablettes,lapin de Pâques,les employés deChocolat Frey onttoujours travaillédans l’amour dutravail bien fait.

Les touristes anglaisont beaucoup vantéles chocolats suisses.

48 |ENMAGASIN | CHOCOLAT |No 6, 6 février 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Page 49: Migros magazin 06 2012 f ge

ses 125 anscontribué à l’excellente réputation des chocolats suisses.

Pour savourer leur tablettede chocolat aux abordsde la chocolaterie Frey,les petits gourmandsdevaient souvent défendreleur trésor contre les oiesqui vivaient sur le site.

Aumilieu duXVIIIe siècle,le travail des fèves decacao demandait unegrande force physique.

| 49| MigrosMAgAzine |No 6, 6 février 2012 | enMAgAsin | CHoCoLAt

Page 50: Migros magazin 06 2012 f ge

RubRikentitel | unteRRubikentitel |No 6, 6 février 2012 | MigRosMagazine |

50 | Uniquementle mercredi

8 février2012

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Découvre avec Animanca: le mercredi 8 février 2012, découvre le pouvoirsymbolique de la pierre Terra en habit d’or. Mais ce n’est pas tout! Cette pierre aux pouvoirs spéciauxte permet de marquer quatre fois plus de points au jeu Animanca. Pour tout achat à partir deFr. 60.– dans tous les magasins Migros, Do it + Garden Migros, melectronics, Micasa, OBI, SportXXy compris Outdoor, dans les restaurants Migros et sur LeShop.ch, chaque client reçoit une pierrejoker. Trois pierres joker maximum par achat, jusqu’à épuisement du stock. www.animanca.ch

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8 février 8 février 8 février 2012

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En 1950,Chocolat FreyetMigros s’unissent pourviser l’excellence.

Autrefois,le chocolat étaitle péché mignondes classes aisées(à g.). Plongée aucœur du départe-ment de rechercheet développementà la fin des années1980 (ci-contre).

Pour fêter son anniversaire, Chocolat freya puisé dans ses archives. Résultat: cinq grandsclassiques désormais présentés en édition limi-tée dans des emballages rétro permettent departiciper à un concours. A la clé: des prix d’unevaleur totale de fr. 125 000.–.

Autrefois, le chocolat était le péché mignon des classes aisées (à g.). Plongée au cœur du départe-ment de recherche et développement à la fin des années 1980 (ci-contre).

En 1887, les frères Max et Robert Freyfondent la chocolaterie R. & M. Freyà Aarau.

Cinq chocolats anniversaire

de la société. Denrée rare, il a le pouvoirde ravir lespalais lesplus exigeants etdeconquérir le cœur des dames…

Frey survit étonnamment bien à laPremière Guerre mondiale. Les frèresbénéficient de plusieurs facteurs favo-rables: les pays voisins doivent produirepour les efforts de guerre, les frontièresrestent ouvertes et la demande étran-

gère est, contretoute attente, éle-vée. En Suisse parcontre, le chocolatpasse du statut deproduit de luxe àcelui d’aliment depremière néces-

sité pour de nombreuses couches de lapopulation.

Même l’armée suisse se nourrit dechocolat Frey. Cependant, la réalitén’était peut-être pas aussi rose pour lessoldats que le prétendait une carte pos-talede l’entreprise.Sur celle-ci,onpou-vait voir de joyeux combattants suissesdans un pré attaquant le camp adverseavec des pralines en guise de boulets decanon.

Après la guerre, qui sonne la fin duboom des exportations de chocolat, leschoses se corsent pour les deux frères.Affectés par le conflit, les pays autrefoisimportateurs ne peuvent tout simple-ment plus s’offrir cette denrée. La criseéconomiquemondiale se charge ensuitede porter le coup de grâce à l’industriedu chocolat.

Quand le rationnement pousseà la créativitéLa Seconde Guerre mondiale est unepassedifficilepourFrey.Maintenir leni-veaudeproductionn’estpas choseaisée,notammentcardenombreuxcollabora-teurs sont mobilisés, et parmi eux, Ro-

bert Frey Junior, fils et successeur dufondateurRobertFrey.Les aliments sontrationnés, et les importations de cacaosont limitées.

Pour pallier cemanque, on incorporedes noix, des fruits confits ou du malt àla masse de cacao. C’est d’ailleurs vrai-semblablement à cette époque que re-monte l’invention du mélange Tourist,aujourd’huidevenuunclassiquede l’as-sortiment Frey.

La qualité et le savoir-fairesont au rendez-vousAprèsdesannéesdecrise, lademandedechocolat connaît unboomsoudainaprèsla guerre. Pour pouvoir suivre cettecroissance rapide, les machines obso-lètesdoivent être remplacées.SiFrey Ju-niorparvient à sauver l’entreprisede son

père, il ne peut cependant apporter lesinvestissementsnécessaires. Il partdoncen quête d’un partenaire solide, qu’iltrouve en la personne de GottliebDuttweiler, le fondateur deMigros.

En 1950, ce dernier rachète petit àpetit le capital-actions de ChocolatFrey SA, et Migros décide de fusion-ner sa propre fabrique de chocolat,Jowa,avecFrey,qu’elle vientd’acquérir àBuchs (AG).

Aujourd’hui, l’histoiredes frèresFreyd’Aaraucontinuedes’écriredans lesate-liers de production de Buchs. Pour l’en-treprise familiale, la fusion a constituéune étape-clé vers un avenir prospèreet, pour Migros, un grand progrès dansla confectiondeschocolats en termesdequalité et de savoir-faire.

Texte: Nicole Ochsenbein

Photos:Rap

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| 51| MIGROSMAGAZINE |No 6, 6 févRIER 2012 | ENMAGASIN | CHOCOLAT

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Les savoureuxproduits de la ligne«aha!» ont étéspécialementélaborés pourles personnessouffrant d’allergieset d’intolérances.

52 |enMAgAsin | ALLergies et intoLérAnCes |No 6, 6 février 2012 | MigrosMAgAzine |

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Société coopérative Migros Genève

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Page 55: Migros magazin 06 2012 f ge

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T oujours plus de personnes seplaignentde réactionsallergiquesetd’intolérances,essentiellement

causées par les substances contenuesdans des aliments et des cosmétiques.Lemodede viemoderne qui caractériseles pays industrialisés permet notam-ment d’expliquer ce phénomène.

Les médecins, eux aussi, prennentce problème de plus en plus au sérieux.Ainsi,certaines allergies et intolérances,quin’étaient autrefoisdéceléesqu’aprèsplusieurs années, sont désormais diag-nostiquées rapidement.

Finis lesrenoncementsEn élargissant sa gamme de produits certifiés «aha!»,Migros fait le bonheur des personnes souffrant d’allergiesou d’intolérances.

Bonpour tousMigros travaille en étroitecollaboration avecle Centre d’allergie suisse«aha!». L’objectif communest l’élaboration d’unassortiment adaptéet attrayant pour toutesles personnes concernées.La gamme «aha!» proposeainsi aux personnessouffrant d’intoléranceset d’allergies des produitsparticulièrement digestes,ainsi qu’un maximumde sécurité et de transpa-rence. Tous les articles«aha!» sont contrôléset certifiés par l’organisa-tion Service allergie suisse(SAS), une filiale indépen-dante du Centre d’allergiesuisse.

Une allergie alimentaire consiste en uneréaction immunitaireducorps faceàuneprotéine végétale ou animale inoffen-sive. Dans le cas d’une intolérance ali-mentaire, l’organisme a perdu en partieou complètement, voire n’a jamais eu,la faculté d’assimiler une certaine subs-tance.Aucunanticorpsne se forme,maisl’organisme réagit immédiatement pardes troubles alimentaires.

A titre d’exemple, un Suisse sur septsouffre d’intolérance au lactose. Pourmenerunevienormale enévitant lesdé-sagréments lorsque l’onest concernépar

une allergie ou une intolérance, la seulesolution judicieuse semble être de re-noncer aux aliments et aux cosmétiquescontenant les substances incriminées.

Toutefois, il n’est jamais facile dese priver de certains produits, surtoutlorsqu’il s’agit d’alimentation. Cela estd’autant plus problématique lorsqu’uneseule personne est concernée au seind’unemême famille.

Pourtant, il est essentiel que le repasreste unmoment de plaisir convivial et,surtout, qu’il soit savoureux.

Heureusement, c’est tout à fait pos-sible avec l’assortiment «aha!» de Mi-gros.Ce label dequalité indépendantduCentre d’allergie suisse regroupedésor-mais près de septante produits. On ytrouve par exemple des produits laitierssans lactose,divers aliments sansgluten,un jambon sans lactose, un chocolat aulait sans lactoseetdes cosmétiquesanti-allergiques.

Le processus de certification «aha!»se fonde sur des directives encore plusstrictes que les dispositions légales en lamatière. Tous les produits «aha!» sontexempts d’une voire de plusieurs subs-tancesallergiques,et leur logoest immé-diatement identifiable sur l’emballage.

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Page 68: Migros magazin 06 2012 f ge

bâtiments médiévaux. Demi-pen-sion.

4e jour, excursion Etna - Taormina:vous découvrez l’Etna, le plusgrand volcan d’Europe encoreen activité; le cratère de San Sil-vestro culmine à 1900 m. Vouspassez l’après-midi à Taormina.Depuis le Giardino Pubblico, vousavez une vue splendide sur lamer, ses rochers abruptes et saplage de sable fin. Demi-pension.

5e jour, excursion à Syracuse: unevisite guidée en car vous permetde découvrir la ville de Syracuse.Temps libre et retour à GiardiniNaxos vers le soir. Demi-pension.

6e jour, Piazza Armerina - Enna -Agrigente: vous quittez la merpour les paysages somptueux desmontagnes de l’intérieur de la Si-cile. Dans la commune Piazza Ar-merina se trouve la villa romainedu Casale avec ses mosaïquesmondialement célèbres. Conti-nuation vers Enna. Vous visitezensuite la «vallée des temples» àAgrigente. Là se trouvent neuftemples en partie encore con-servés et datant du IVe et Vesiècles av. J.C. Profitez ensuite devotre temps libre pour découvrirAgrigente. Demi-pension.

SicileLa Sicile est la plus grande île detoute la Méditerranée et est situéeà un jet de pierre de la péninsuleitalienne dont elle est séparée parle détroit de Messine. La partieorientale est avant tout marquéepar le symbole de la Sicile, levolcan Etna. Outre de nombreuxsites archéologiques, vous visitezégalement des stations balnéairescélèbres, voyagez à travers despaysages montagneux, admirezdes baies romantiques et décou-vrez une végétation luxuriante.

1er jour, Suisse - côte de Versilia:voyage de votre lieu de départ àla côte de Versilia. Demi-pension.

2e jour, Paestum: vous descendezla botte de l’Italie en direction dusud et vous arrivez dans la soiréeà Paestum. Demi-pension.

3e jour, Taormina: vous atteignezla «pointe de la botte» à VillaSan Giovanni où vous prenez leferry pour Messine. En longeantla côte est de la Sicile, vousarrivez à Taormina. Cette villejouit d’une belle situation enhauteur et possède de nombreux

7e jour, Marsala - Palerme: vouslongez la côte pour rejoindreMarsala. Les caves du vin de Mar-sala, appelées «baglio», sont si-tuées entre le cap et la ville. C’estici que vous dégustez ce fameuxvin de liqueur. Continuation parle cap Boeo jusqu’à Trapani. ATrapani vous contemplez les im-menses champs de sel. C’est d’icique provient la plus grande par-tie du sel de Sicile. Ensuite vousvisitez Erice. Ce beau villagemédiéval haut perché au dessusdu niveau de la mer est un petitjoyau de ce coin de Sicile. Vousarrivez à Palerme dans la soirée.Demi-pension.

8e jour, Cefalu - Palerme - à bord:c’est sur la côte nord qu’estsituée Cefalu. Visite de lacathédrale romane. Puis retourdans la capitale de la Sicile etdécouverte de Palerme en car. Enfin de soirée, embarquementpour Gênes. Petit déjeuner

9e jour, à bord - Gênes: journée àbord. Le soir arrivée à Gênes.Demi-pension.

10e jour, Gênes - retour: retour enSuisse à votre lieu du départ.

DATES DES VOYAGES - 10 JOURS1. 16 - 25 avril

PRIX PAR PERSONNEchambre à 2 lits / cabinedouble intérieure CHF 1'725.-chambre à 2 lits / cabinedouble éxtérieure CHF 1'755.-chambre à 1 lit / cabineindividuelle intérieure CHF 2'110.-chambre à 1 lit / cabineindividuelle extérieure CHF 2'170.-assurance SOS /frais d’annulation CHF 25.-Optionsiège doubleà usage individuel CHF 200.-

PRESTATIONS

• Voyage en car de luxe 5 étoiles• 9 nuitées avec buffet de petit

déjeuner• 8 repas du soir• Traversée en ferry Villa San

Giovanni - Messine• Treaversée en ferry Palerme -

Gênes en cabine avec douche, WC• Dégustation de vin• Entrées et visites selon

programme• Guide local en Sicile sauf

le 7ème jour• Prestations

HOTELSBons hôtelà la côte de VersiliaTrès bons hôtelsà Paestum, Taormina, Agrigente,Palerme, Gênes

LIEUX DE DEPARTKallnach*, Bienne, Neuchâtel,Genève, Yverdon, Lausanne,Martigny

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Page 69: Migros magazin 06 2012 f ge

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Repas pour 4 personnes■ Mélanger 250 g de ricotta, 50 g de gorgonzola et 1 jaune d’œuf.Env. Fr. 5.60■ Incorporer 30 g de sbrinz râpé et 50 g de noix hachées.Rectifier l’assaisonnement avec de la noix muscade en poudreet du poivre. Env. Fr. 1.10■ Dérouler 250 g de pâte à ravioli abaissée (1 paquet de 2 rouleaux).Couper chaque rouleau de pâte en deux dans le sens de la longueur.Répartir la farce sur la pâte en espaçant les monticules de 5 cm.Badigeonner la pâte d’eau autour de la farce. Superposer les autresmoitiés de pâte. Presser autour de la farce et découper. Env. Fr. 2.50■ Cuire les ravioli env. 3 min dans l’eau bouillante. Egoutter, ajouter 40 gde beurre et parsemer de sbrinz. Env. Fr. 1.–

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Desvacancesdansl’assietteLes aubergines,courgettes, poivronsrouges et jaunesainsi que les oignonsgrillés fleurent bonles vacances au bordde la Méditerranée.Ces légumes étantdéjà affinés avec del’huile d’olive, il n’estpas nécessaired’ajouter de matièregrasse quand on lescuisine.Mélange delégumes grillés,600 g, Fr. 4.20** En vente dansles plus grands magasins.

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Page 71: Migros magazin 06 2012 f ge

D u temps des romantiques, lesfleurs permettaient de formu-ler ce que l’on n’osait exprimer de

vive voix. Si de nos jours il est plus facile

de dire ce que l’on a sur le cœur, un su-perbe bouquet fait toujours plaisir. Sur-tout lorsqu’il s’agit de roses, la variété laplus appréciée aumonde...

A la Saint-Valentin, les roses sont doncnaturellement plébiscitées, surtout sielles sont rouges, symbole de l’amour.Petit conseil: il est recommandé de tou-joursopterpourunnombre impair,car ilest ainsi plus facile dedisposer les fleursdans le vase.

C’estunprêtre italienqui adonnésonnom à la Saint-Valentin. Il a été exécutéle 14 février 269pouravoir osédonner labénédiction dumariage à des soldats del’armée romaine et à leurs fiancées. Lalégende veut qu’il ait offert aux tourte-reaux des fleurs de son jardin. Il est de-puis considéré comme le saint patrondes amoureux.

Texte: Jacqueline Vinzelberg

Ma rose,monamourLe jour de la Saint-Valentin, un bouquet de roses rouges traduità merveille les sentiments que vous portez à l’être cher.

Le saviez-vous?Un jeune bouton non éclos n’est pasforcément un gage de qualité, de fraîcheuret de longévité pour une rose.En réalité, les roses doivent être coupéesà un stade de maturité optimal pour pouvoirs’épanouir. Ce stade est très différenten fonction des variétés. Mais si la fleurest cueillie avant d’avoir pu se développer,elle ne pourra éclore. C’est pourquoi Migross’assure que ses roses sont coupées au bonmoment et dans les règles de l’art.

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Quand la cuisine devientuneprofessionde foiJeune chef quimonte, Damien Germanier, qui tient Le BotzaàVétroz (VS), a été promuRomand 2012 par Gault &Millau.Une distinctionméritée pour une cuisine élégante et généreuse.

L ’emplacement est ingrat. Cam-pé dans la zone industrielle de Vé-troz (VS), entre grues et entrepôts,

le restaurant Le Botza, en patois «pe-tit bois», ne paie pas de mine. Pourtantcette ancienne cantine pour ouvriers,évidemment agrandie et joliment res-taurée, est en passe de devenir un hautlieude lagastronomie.«Je l’ai trouvéparhasard et je n’ai pas fait la fine bouche.C’est vrai que le décor est désagréable,mais dès qu’on est à table, on ne le voitplus!» sourit Damien Germanier, tropattaché à son Valais natal pour chercherun endroit plus favorable.

Qu’importe. La valse des camions-remorques et le vrombissement desavions de l’aéroport avoisinant ne

l’empêchent pasde proposer unecuisine d’excep-tion. Seize pointsauGault&Millau,promu Romandde l’année 2012,espoir Michelin,Damien Ger-manier, 30 ans à

peine, fait partie de ces jeunes chefsqui montent, mais qui gardent la têtefroide.«C’est une reconnaissance pourle travail que j’ai fourni en 2011. Je vaisessayer de ne pas fairemoins bien cetteannée! Même si on essaie toujours des’améliorer techniquement.»

Plutôt la bonne chèreque la cuisinemoléculaireUn franc-parler qui ne lui vaut pas quedes amis, l’œil rieur et le tour de taillegénéreux qui prouve bien que «non,décidément, les végétariens ne sont passes copains», Damien Germanier af-fectionne la cuisine opulente, le solidecoup de fourchette, loin des bouchéeséthérées de la tendance moléculaire.D’ailleurs, mieux vaut ne pas le lancersur ce sujet qui l’agace, «toutes ces pe-

«On essaie toujoursde s’améliorer

techniquement.»

Damien Germanier propose une cuisine hors du commun, dans le décor banal d’une

74 |cuisine de saison | damien Germanier |No 6, 6 février 2012 | miGrosmaGazine |

Page 75: Migros magazin 06 2012 f ge

tites choses, quinze goûts différents parplat, à la fin on ne sait plus ce qu’on amangé. Lemoléculaire, c’est du vent!»

Damien Germanier ne conçoit pasl’assiette autrement que cossue, car-née, garnie de généreuses ripailles.Poisson, épaule d’agneau, foie gras,viandes braisées ou confites, autant demets longuement et amoureusement

goûts et Dégoûts

Secrets de cuisine

cuisinés, dignes d’un banquet rabelai-sien. Une cuisine mitonnée, chaleu-reuse, comme un reste de l’enfance, deces grandes tablées familiales quand samère préparait de vrais plats, – «pasune fondue chinoise!» – pour tous lesamis.

Alors, forcément, les sauces allégéesle font rigoler.Les siennes, jus tranchéau

■ Pour vous, cuisiner, c’est…Indispensable.■Quel est votre plat préféré?Une bonne fondue moitié-moitié.■Que ne mangeriez-vous pourrien au monde?Pas grand-chose, je suis curieuxet j’aime découvrir.■Qu’avez-vous toujoursen réserve?Une bouteille au frais et

très souvent de quoil’accompagner.■ Combien de fois par semainecuisinez-vous?Tous les jours, midi et soir, etsouvent 7/7.■ Avec qui aimeriez-vouspartager un repas?Les meilleurs repas sont ceuxque l’on partage avec des gensque l’on aime.

ancienne cantine d’ouvriers restaurée.

Cette recette estcomposée d’unebrunoise de fruitsexotiques à choisirselon ses goûts, àcouper en désminuscules.

Le cuisinier créed’abord danssa tête, puisdessine sescréations, avant,enfin, de lesréaliser.

| 75| MigrosMAgAzine | No 6, 6 FÉVRIER 2012 | CuiSinE DE SAiSon

DAMien gerMAnier | 75

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Page 77: Migros magazin 06 2012 f ge

curry ou bouillon crémé au cerfeuil, onttoujours leurmotàdire.«Oui, je lesaimemontées aubeurre,biengrasses,avecdugoût!» Mais qu’on ne s’y trompe pas:aucun laisser-aller dans l’assiette, unerigueur quasi géométrique, une épurequi transforme les réductions de pinotnoir en arabesques et autre écume demoutardeen traitillé.Unartqui s’inscritdans la lignéede sesdeuxmaîtres,DidierdeCourten etGérard Rabaey, chez qui ila travaillé et dont il a appris «le respectdu produit, le savoir-faire».

Mais d’où lui vient l’inspiration? Iln’en sait rien.Departout etdenullepart.Enallantparfoismanger chez les autres.«Il y a souvent un élément de l’assiettequim’intéresse et je reconstruis autour.

Mais je ne recopie pas le plat! Ma cui-sine, je la fais naturellement, elle est in-née,elle vientducœur.En tout cas,c’estcelle que j’aimeraismanger si je pouvaism’asseoir une fois àma table!»

Lemélange du terroiret de l’exotiqueGénéreux, farceur aussi. Il aime biencacher des têtes de veau dans des bei-gnets.Réhabilite volontiers les produitsingrats, abats, langue de bœuf ou piedsde porc. «Je préfère servir une poitrinede bœuf en bouilli plutôt que de prépa-rer un filet, qu’on voit partout.» D’ail-leurs, sa carte de brasserie fait la partbelle aux plats canailles, boudin noir etautre blanquette.Mais ce serait une er-

reur de réduire sa cuisine au seul terroir.Damien Germanier garde l’œil ouvertsur l’horizon, affectionne autant le car-paccio de dorade que les épices d’outre-mer ou les fruits exotiques, qui invitentau voyage.

En cette fin d’hiver, il est justementen train d’élaborer sa nouvelle carte deprintemps. Un travail qui se passe da-vantage dans la tête qu’aux fourneaux.«Je n’ai pas le temps d’essayer les re-cettes. Par contre, je fais beaucoup decroquis avant, pour le côté visuel.Quand le plat est dessiné, il est quasi-ment fini.»

Oui,à chaque saison, il change l’inté-gralité de la carte. Et met, tous les ans,deux nouvelles recettes sur son site in-

«Je préfèreservir unbouilli debœufplutôtqu’un filetqu’on voitpartout.»A30 ans, DamienGermanier est entrain de devenirune référenceculinaire au-delàde nos frontières.

| 77| MigrosMagazine |No 6, 6 février 2012 | cuisine de saison | daMien gerManier

Page 78: Migros magazin 06 2012 f ge

RubRikentitel | unteRRubikentitel |No 6, 6 février 2012 | MigRosMagazine |

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Fin carpaccio d’ananasmariné auvieux rhumagricole et à la vanille deMadagascar, noix de coco glacéeet nagedepetits fruits exotiques.Recette de Damien Germanier

ternet. Il est comme ça,DamienGer-manier. Généreux jusqu’au bout.«De toute façon, je ne les refais pas.Je n’aime pas les plats qui traînentd’année en année, ça prend la pous-sière. Et puis, ça m’énerve au boutd’un moment de répéter toujours lesmêmes choses.»

Evoluer, proposer de nouvellesrecettes,mais garder son âmeSous sa bonhomie, on sent une ten-sion, une impatience, une exigence,qui frise l’insatisfaction chronique.Commedes riffs de guitare hard rockcachés sous une placidité confu-céenne.Non, il n’a pas la patience deformer un apprenti cuisinier, mêmes’il «s’est bien calmé en cuisine».L’homme bouillonne, piaffe de dé-couvrir et de s’améliorer, de voir sacuisine grandir encore. «Je ne saispas dans quel sens je vais évoluer.Mais il faut évoluer sinon on se re-trouve à faire de la cuisine de vieux.Il faut aussi que la personnalité res-sorte dans les plats, qu’il y ait unesensibilité, une âme.»

Sûr que la gastronomie est chezlui plus qu’une vocation, un apos-tolat, qui lui laisse à peine le tempsde confectionner des purées–«c’estquand même mieux que des bo-caux!» – pour ses deux enfants enbas âge. «Cuisinier, c’est un mé-tier passion, une profession de foi,comme entrer dans les ordres. Je neme vois pas faire autre chose.»

Texte: Patricia BrambillaPhotos: Laurent de Senarclens

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■ Nage de petits fruits exotiques:Préparerunebrunoisedepapayes,mangues,grenades,pitayaet kiwis,mélangerà lamarinadedesananas.

■ Sacristainsà lapoudredevanille:320 g de pâte feuilletée1 jaune d’œufsucrepoudre de vanille

Préparation1) Fendre la gousse de vanille dans lalongueur et gratter la pulpe. Fairebouillir l’eau avec le sucre, la vanille etle gingembre. Laisser refroidir. Préle-ver le zeste du citron vert avec uncouteau économe et presser le jus.Ajouter le jus et le zeste dans le sirop,puis y verser le rhum. Couper l’ananasen quatre, puis en tranches de 2 mm.Les laisser mariner dans le sirop.2) Pour la glace à la noix de coco,porter l’eau et le sucre à ébullition.Laisser refroidir. Y verser le lait de noixde coco. Placer env. 4 heures aucongélateur. Mélanger la glace toutesles 30 min. Mettre la glace dans depetits moules à bombe glacée et lis-ser. Placer de nouveau les glaces aucongélateur.3) Entre-temps, pour les sacristains àla vanille, préchauffer le four à 180° C.Couper la pâte feuilletée en deuxdans la longueur. En parsemer unemoitié de vanille en poudre. Couvriravec la seconde moitié, presser légè-

rement les feuilles de pâte avec unrouleau à pâtisserie ou avec la paumede la main. Dorer un côté de la pâteau jaune d’œuf et parsemer de sucre.Presser légèrement le sucre. Procéderde même avec l’autre côté de la pâte.Couper la pâte dans la longueur en la-nières d’env. 4 mm de largeur. Vrillerles lanières en tournant une extrémi-té dans un sens et l’autre dans l’autresens, poser sur une plaque chemiséede papier sulfurisé. Faire dorer les sa-cristains 10 à 15 min.4) Avec une grosse cuillère parisienne,former un trou dans les bombes gla-cées à la noix de coco. Saupoudrer lecôté bombé de cacao en poudre. Dres-ser les tranches d’ananas sur les as-siettes. Poser les glaces à la noix decoco sur un peu de salade de fruits.Disposer le reste de salade de fruitsdans les trous formés dans les glaces.Garnir de sacristains à la vanille.

Préparation: env. 60min; congéla-tion: env. 4 h; cuisson: 10-15 min.

| 79| MIGROSMAGAZINE |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | CUISINE DE SAISON | DAMIEN GERMANIER

Page 80: Migros magazin 06 2012 f ge

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Page 81: Migros magazin 06 2012 f ge

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V ous avez la passion de la cuisineet avez envie de la partager avecquelqu’un? La Saint-Valentin est

aussi le temps des amoureux de la cui-sine. Vous préparerez un menu de sai-son choisi par votre chef qui vous ap-prendra les techniques et astuces pourbien le réussir.

Dans l’esprit de célébration de laSaint-Valentin, la carte sera ludique etaphrodisiaque. A la fin du cours, vousdégusterez ce menu original et plein desaveurs à la lueur des chandelles avec

les autres participants. Rendez-vousle mardi 14 février de 19 h à 22 h auxEcoles-clubsdeGenève-centre etBale-xert. Le prix est de Fr. 150.- par couple.

Quelques pas de danse sensuelspour le dessertEt si vous dansiez après le repas, pourdébuter la nuit en beauté? L’Ecole-clubvous propose de vous initier à la lapdance quelques jours avant la Saint-Va-lentin. Vous aurez ainsi le temps de ré-péter quelques chorégraphies inspirées

des cabaretsparisiens.Uncours élégant,ouvert à toutes sans limite d’âge. Ren-dez-vous samedi 11 février de 11 h 20 à13 h à l’Ecole-club deGenève-centre oude 14 h 20 à 16 h à l’Ecole-club de Bale-xert. Le prix de ce cours de lap dance(2 x 50minutes) est de Fr. 25.-

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Page 83: Migros magazin 06 2012 f ge

A l’heure où le carnaval bat sonplein, Venise vient à la rencontredes Genevois. Non pas avec ses

masques, mais sous les archets de l’Or-chestre baroque de Venise.

Le prochain hôte des concerts Mi-gros-Pour-cent-culturel-Classics estune référence. L’orchestre fondé il y aune quinzaine d’années par le claveci-niste et musicologue Andrea Marconest en effet reconnu comme l’une desmeilleures formations jouant sur ins-truments anciens.

Variété exceptionnellede concertosLe programme présenté à Genève plairaaux amateurs de concertos baroques.Unebonnepartieduconcert sera consa-crée à Antonio Vivaldi, compositeurprolifique dans le registre concertant.

Le«prêtre roux»aconsacréplusieursannées aux pensionnaires de l’Ospedaledella Pietà, institution charitable quiaccueillait jeunes filles abandonnées etorphelines.Vivaldi disposait làd’unvraivivier de talents musicaux, qui consti-tuait au début du XVIIIe siècle l’un desmeilleurs orchestres d’Europe, entiè-rement féminin de surcroît! Pour ces

jeunes virtuoses, Vivaldi a composé ungrand nombre de concertos, dont la va-riété est bien plus riche que certainesmauvaises langues prétendent!

Au programme de l’Orchestre ba-roque de Venise, il y aura des pages as-sez élaborées, comme le Concerto pourbasson en fa majeur, ou d’autres plussuccinctes (Sinfonia en si bémol ma-jeur), des concertos avec deux solistesoud’autrespourorchestre seulement.Aces festivités baroques se joignent deuxPh

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manuelRastoin

AndreaMarcon,claveciniste,musicologue etchef d’orchestre.

Festival AntigelSavourer la doucemusique électronique deRobert Lippock immergé dans l’eau à 34o

des Bains de Cressy? Ecouter un concert clas-sique et contemporain dans un terminald’aéroport?Suivre un Safari Rousseau en bus avec deshaltes lecture, danse et musique sous l’égidede Guillaume Chenevière, Jacques Roman, Ma-nuel Vignoulle et Patrick Müller?Vous immiscer dans le nouveau projet Dansein PAV avec les artistes fous de la FreaksTeam,

entre les bâtiments Sicli, la villa Baron et lesanciens entrepôts de l’Administration fédéraledes téléphones? Vous imprégner de l’osmoseparfaite entre les cordes du violoncelle etcelles de la kora africaine?Voilà autant de propositions concrétiséesjusqu’au 25 février par les allumés d’Antigel.

Location: Service culturel Migros et Stand InfoBalexert.Plus d’infos sur le festival sur www.antigel.ch.

Vincent Ségal etBallaké Sissokojoueront à Onex le9 février à 20 h 30.

autresgrandsmaîtresde l’époque,GeorgFriedrich Haendel et Johann SebastianBach, respectivement représentés parun Concerto grosso (no 1 en sol majeur)et une Suite pour orchestre (no 1 en domajeur). Texte:Michelle Bulloch

Où et quand? Victoria Hall – lundi 20 février à20 h. Organisation et billetterie: Service culturelMigros Genève. Billets aussi en vente à Stand InfoBalexert, Migros Nyon-La Combe et surwww.culturel-migros-geneve.ch.

Sur lestraces deVivaldiLes amateurs de musique baroque ont rendez-vous avec Vivaldi, Bach et Haendel au prochainconcert Migros-Pour-cent-culturel-Classics.

| MigrosMagazine |No 6, 6 FéVRiER 2012 | Votre région Migros genÈVe| 83

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Page 85: Migros magazin 06 2012 f ge

Changements d’adresse: les changements d’adresse sont à communiquer à la poste. Le journal suivra automatiquement à la nouvelle adresse.Pour plus d’infos sur la Société coopérative Migros Genève: www.migrosgeneve.ch

Genève, le nezauventAndré Klopmann a répertorié personnages et sites notables de la cité deCalvin dans son dictionnaire citadin.

L e livre est intituléMon dictionnairede Genève – De A comme Ador à Zcomme Zep. Mais en passant par

«Genferei», célèbres «genevoiseriesdontnousne sommespasavares».L’au-teur, André Klopmann, a consacré desannées à cette sorte de guide qui nouspermetd’errerdans laville enapprenantun tasdechoses ignorées et en regardantles façades d’unœil neuf.

La véritable histoirede l’AlhambraSaviez-vous que l’Alhambra, qui doitson nom à l’architecture grenadine del’intérieur, abrita les premières projec-tions de cinéma de Suisse? Qu’il ac-cueillit Mistinguett, Joséphine Baker,Piaf etMaurice Chevalier?Que sa scènecomporte de grandes trappes par les-quelles les prestidigitateurs, dont le cé-lèbre Houdini, pouvaient faire dispa-raîtren’importequi,mêmeunéléphant?

Une autre chose que nous ne regar-dons jamais sauf quand nous nous per-dons: les plaques de rues. C’est ainsique nous ne savons pas queGeorges Fa-von fut un visionnaire davantage qu’ungestionnaire et que si les tribunaux desPrud’hommes lui doivent beaucoup, ilne parvint pas à faire passer son pro-jet d’assurance vieillesse et survivants(AVS) et invalidité (AI). Au passage, sa-

luons James Fazy, impertinent, bagar-reur, fonçant dans le mur, y comprisceux des vieilles fortifications de la villemais accueillant toutes les religions oucourants de pensée. Et Jean-Jacques deSeillon qui mena une lutte pour l’aboli-tion de la peine demort.

Promenade guidéedans un passé flamboyantAux Bastions, ne regardons pas que lesjoueurs d’échecs, mais le parc tel qu’ilfut autrefois. Car ce n’est qu’en 1726qu’il fut aménagé enpromenade.Aupa-ravant, il fut jardin botanique – desorangers à la place des Réformateurs, çafait rêver – accueillit des animaux, despommes de terre, des étudiants et desmanifestations de toutes sortes.

Prenonsunverre auMolarden imagi-nantFromentprêchant juchésurdestré-teauxet la fouledesmarchandsdedraps,d’épices, de fourrures ou d’orfèvrerie…de tout ce qui s’échange dans un port!Traversons le pont et tournons autour

de l’étonnant monument Brunswick,répliquedumausoléede la familleScali-geri àVérone.LeducdeBrunswick léguade fortes sommesà laVillepour embêtersa famille, souscette conditionexpresse:disposer àGenèved’un tombeau remar-quable.Et si nous erronsdans laVieille-Ville, nous rencontrerons peut-être lefantôme de Franz Liszt qui enseigna lepiano au Conservatoire, lequel se trou-vait rue de l’Evêché.

Notre cité est fécondeenhistoirespi-quantes: nos édiles qui se disputent, lesmillions qui s’ajoutent ou s’évaporent,ona le choix.Unedesdernièresgenevoi-series consistant peut-être en la plaintepénale déposée sans rire par un mal-frat en visite, qui accuse les gendarmesd’avoir résisté lors de l’attaque d’un bu-reau de change! (n.d.l.r. La plainte vientd’être classée.) Si vousvoulezvousamu-ser et vous instruire, courez acheter cedictionnaire qui n’en est pas un, paruchez Slatkine. Texte: Liliane Roussy

Photos: Sylvain Selleger

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seignent comment s’occuper de sa vieamoureuse. Mais quand l’amour s’ar-rête? «La rupture, on en parle peu: laquestion est occultée par notre sociététrop romantique et à côté de la réalité»,lance Yves-Alexandre Thalmann.

«La culture du romantisme danslaquelle nous baignons, notre mytho-

logie, le cinéma hollywoodien et lalittérature nous mentent: ils parlentd’amours dont l’histoire s’arrête tou-jours au début, lorsque les héros se sonttrouvés, d’amours qui riment avec tou-jours.» Et comme ces maudits contesde fées et leurs «Ils vécurent heu-reux et eurent beaucoup d’enfants» nedonnent pas d’outils pour gérer un cha-grin d’amour, le psychologue fribour-geois et auteur très prolixe livre, lui, ses

recettes dans son Guide pratique desruptures heureuses.

Parce que l’amour finit toujours parfinir, ne serait-ce qu’avec lamort. Parceque des ex, on en a tous: des person-nages parfois encombrants, mis en lu-mière avec les familles recomposéesqui forment le quart de notre tissu so-cial, selon le psychologue fribourgeois,amours platoniques de jeunesse ou par-tenaires inoubliables d’un long bout de

«Lescontesde féesnedonnentpas d’outilpour gérerles chagrinsd’amour.»Yves-AlexandreThalmann,psychologue.

Auxpetits soinsavec ses exA l’heure des familles recomposées, les ex sont légion.Le psychologueYves-Alexandre Thalmann livre un guidepratique des séparations heureuses ou comment tirerlemeilleur parti de ces personnes après la rupture.

| MIGROSMAGAZINE |No 6, 6 février 2012 |

pSYCHOLOGIE | 87AUqUoTidien

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RubRikentitel | unteRRubikentitel |No 6, 6 février 2012 | MigRosMagazine |

88 |DU 7 AU 20 FÉVRIERTOUT L’ASSORTIMENTLÉGER

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vie. La faute aussi à la passion, érigéeen modèle de relation amoureuse, qui«produit beaucoup d’ex» parce qu’ellene dure pas.

Tirer des leçonsd’un échec amoureuxPour autant, loin d’une malédiction,un ex, ça peut servir… A améliorer laprochaine histoire, par exemple. «Ap-prenez à envisager les relations amou-reuses commedes occasions d’appren-tissage,des leçonsdeviequi permettentde développer vos compétences rela-tionnelles», lit-on dans le guide desex. «Ce sont ces capacités – oser direnon, exprimer un besoin, etc. – et pasl’amour qui feront durer une relation.Les choses ne vont jamais toutes seules,même si on s’aime.»

Idéalement, il faudrait commencerpar choisir sonpartenaire en fonctiondel’ex qu’il sera, lance le psychologue. Unbrin cynique? Quand on tombe amou-reux, c’est rarement la raison qui nousguide… Le choisir par amitié, alors,parce que la caractéristique principalede ce sentiment, c’est la confiance. Pastrès sexynonplus.Celui qui a fait du ro-mantisme sa cible insiste pourtant surle fait qu’on ne devrait «jamais prendreune décision impliquant la vie quandonest trop jeune, trop amoureux ou troppressé…»

Offrez à votre futur exune belle séparationBon, mais alors quand le mal est dé-jà fait? Le jour où sonne la séparation,on peut encore soigner la rupture. Aulieu des brutaux SMS et lettres, «parrespect pour les personnes que vousavez aimées, offrez-leur une belle sé-paration. Exprimez-leur vos raisons.»Et évitez la guerre. Une attitude évi-demment prioritaire quand il y a desenfants. D’autant «qu’on ne plaisantepas avec l’aliénation parentale»,punis-sable par la loi, rappelle le psychologuefribourgeois.

Autrement dit, lorsqu’un parentprend l’enfant commeconfident, lui di-sant pis que pendre de son ex-conjoint.Pris très au sérieux, ce comportementpeut amener à des redistributions desdroits de visite ou de garde.Sans comp-ter les dégâts sur l’enfant, qu’illustreYves-AlexandreThalmannpar un arbreà deux racines, dont on lui dit que l’uneest pourrie.

Et si on est le quitté, le spécialiste dela relationamoureuse suggèrede fuir leslieux chargés de souvenirs, d’en profiterpour découvrir de nouveaux hobbies,

de nouveaux lieux, de se fixer aussi surles défauts de son ancien partenaire etde laisser faire le temps. Egrenés sur unton léger mais appuyés par des travauxscientifiques, les conseils deGérer ses exmettent aussi engardecontre lebrusqueretourde flammequi survient fréquem-mentaumomentde sequitter.C’estque«la rupture renforce ledésir! Il faut justey voir un phénomène de réactance psy-chologique: on aime davantage ce qu’onne peut plus avoir…»

Mais s’il fallait ne retenir qu’unmes-sage, c’est celui d’opter pour une rup-ture brutale, d’un coup sec, au lieud’une séparation progressive. Par sou-ci d’économie de la souffrance. C’est

comme pour enlever un sparadrap…«Un chagrin d’amour fait souffrir, onn’y échappe pas. Il faut réfléchir à com-ment vous allez souffrir.» Pour Yves-Alexandre Thalmann, le pire, c’est depenser qu’on va rester amis et de vou-loir combler le vide avec une pseudo-relation.

Mais si on ne peut pas rester amis,on peut le devenir. Après avoir dûmentconsommé la séparation et réalisé sondeuil. Six mois à un an semble un lapsde tempsmoyennécessaire pour faire letour, selon le spécialiste.

Pour finir et pour bien commencer,lorsqu’on tombe amoureux, on devraitdemander à l’élu de nous raconter lerécit de sa ou ses ruptures. Histoire desavoir comment lui, il gère ça…

Texte: Isabelle Kottelat

«Gérer ses ex. Guide pratique des rupturesheureuses», Editions Jouvence.A lire aussi, le «Décodage amoureux»,mini-livredu même auteur qui vient de paraîtreaux Editions First.

Il vautmieuxune rupture

sèche, qui évitede prolongerla souffrance.

«Un chagrin d’amourfait souffrir. Le pire,c’est de penser qu’on

va rester amis.»Yves-Alexandre Thalmann,

dans son livre «Gérer ses ex».

| 89| MigrOsMagazine |No 6, 6 février 2012 | au quOTidien | psychOlOgie

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Avec le soutien de l’Aide Suisse aux Montagnards, la famille Morier a pu aménager cinq chambresd’hôtes confortables. Les revenus complémentaires résultant de l’agrotourisme assurent l’avenirfinancier de cette exploitation agricole de montagne vaudoise. Ainsi, les Morier pourront un jourtransmettre leur ferme en toute bonne conscience à la quatrième génération. Avec un don en faveurde l’Aide Suisse aux Montagnards, vous pouvez également aider à assurer l’avenir des habitantsdes régions de montagne. www.aideauxmontagnards.ch. Compte postal pour les dons 80-32443-2

Projet d’Aide aux Montagnards n° 2168:De nouvelles chambres d’hôtes

dans l’ancienne étable.

Page 93: Migros magazin 06 2012 f ge

Les poux reviennent chaque annéeau début de l’hiver, donc ils dispa-raissent le reste de l’année.FAUX. Comme ce n’est pas une mala-die, avec obligation de la déclarer, nousn’avons pas de statistique sur l’inci-dence des infestations par des poux etne pouvons pas dire avec certitude qu’ily a une fluctuation saisonnière. C’estpossible qu’il y ait plus de cas en hiver,les enfants étant en contact plus procheles uns avec les autres. En revanche, ilest certain que les pouxne disparaissentpas durant l’été.

Lespouxsautentd’unetêteà l’autre.FAUX. Ils se transmettent par contactdirect et rapproché des têtes.

C haquehiver c’estpareil:«Lespouxsontde retour!Mer-ci de contrôler les cheveux de vos enfants et de prendrelesmesures adéquates.»Lesparents sont alertésparun

petit mot des maîtresses et maîtres d’école sur une nouvelleinvasion de ces sales bestioles sur les chères têtes blondes,brunes ou rousses.

Et chaqueannée lesmêmesquestionsqui reviennent: faut-il courir à lapharmacie faireprovisionde shampoingpréventifoupasser toutes les cheveluresde la famille auvinaigre, inter-dire à ses enfants d’échanger leurs bonnets et casquettes avecleurs copainsou leur laver les cheveuxdeux foisplus souvent?«Il y a toujours une panique autour des poux, les parents sontsouvent terrifiés,mais cen’estpas justifié», tempèreThomasPlattner,médecincantonal adjointdans le cantondeFribourg.Ce spécialiste répond à un petit vrai ou faux sur l’infestationdeceparasite,histoirededédramatiser laproblématiqueetderétablir les bonnes pratiques. Texte: Isabelle Kottelat

Illustrations: Pascal Jaquet

Thomas Plattner,médecin cantonalfribourgeoisadjoint.

Les poux nesont pasl’apanagedes cheveuxsales.

Toute la véritésur les pouxLes poux sautent-ils d’une tête à l’autre? Faut-il faire bouillir les draps et congelerDoudou en cas d’invasion? Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur ces coriacesparasites avec le médecin cantonal adjoint du canton de Fribourg Thomas Plattner.

| 93| MIGROSMAGAZINE |No 6, 6 février 2012 | AU qUOTIDIEN | ÉDUCATION

Page 94: Migros magazin 06 2012 f ge

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Pour en savoir plus sur les parasites etcomment les traiter, rendez-vous surnotre site internet.

«Les filles sont plus touchées,car elles sont plus prochesles unes des autres.»

Les poux sont dangereux pourl’homme, car ils se nourrissentde sang qu’ils absorbent par le cuirchevelu.FAUX. Ils ne transmettentpasdemala-die à l’homme. Une infestation de pouxest désagréable,mais sans danger.

Les poux s’installent davantagesur les cheveux sales.FAUX.Ce n’est pas une question d’hy-giène. Les poux infestent les cheveuxsales comme les cheveux propres.

Lespouxpréfèrent lescheveux longsdes filles.FAUX.La longueurdes cheveuxn’a rienà voir. On pense que les filles sont plustouchéesparcequ’ellessontplusprochesles unes des autres quand elles jouent.

Les produits naturels, style rinçageau vinaigre, sont plus efficacesque les produits chimiques vendusen pharmacie qui rendent les pouxrésistants.VRAI etFAUX. La résistance aux pro-duits est problématique, mais ce quil’est aussi c’est que de nombreux pa-rents préfèrent utiliser des substancesnaturelles qui n’ont aucune efficacité.Pour traiter les poux, on doit absolu-ment utiliser les produits spécifiques enrespectant bien leurmoded’utilisation.Si les poux ne sont pas morts après letraitement, c’est que le produit n’a pasété utilisé correctement ou qu’il s’agitd’une résistance contre le produit.Dansce cas, il faut demander une alternativeà la pharmacie. Il existe sur le marchédifférents agents chimiques contre lespoux.

Monfilsadespoux,je lui rase la tête.FAUX. Ce serait probablement la me-sure laplus efficaceet laplus simple.Elleest pourtant très stigmatisante. Nousrecommandons plutôt d’utiliser le trai-

tement par des produits adéquats; ilssont disponibles sans ordonnanceà la pharmacie.

Il n’y a pas besoin de consultersonmédecin pour des poux.VRAI. Une infestation par despouxn’est pasunemaladie et nerequiert, en règle générale, pasde consultationmédicale.

Peigner les cheveux avecunpeigne particulier n’est pasnécessaire.VRAI. On peut l’utiliser en complé-ment au traitement avec des produitschimiques. Mais cette mesure, souventtrès désagréable, n’est pas indispen-sable puisque son efficacité n’a pas étéscientifiquement prouvée. On peutdoncy renoncerpourautantqu’on traitecorrectement les cheveux avec des pro-duits spécifiques.

Sisonenfantadespoux,il faut laverles habits et la literie de toute la fa-milleà60degrésaumoinsetpasserles peluches et jouets une nuit aucongélateur.FAUX.Cen’estpasnécessaire.Lespouxne quittent jamais une tête volontaire-ment puisqu’ils ont besoin du cuir che-velu pour survivre. Ceux qui tombentsont déjàmorts ou vontmourir bientôt.Ils nepeuvent plus infester.Le lavagedela literie et des habits n’est donc qu’unemesure purement hygiénique.

Un enfant qui a des poux resteen quarantaine à lamaison.FAUX. Pour autant qu’il soit traité,il peut continuer à fréquenter l’écolenormalement.Mais la législationcanto-nale fribourgeoisepermetd’exclure sco-lairement des enfants si le problèmen’est pas pris en charge par les parents.Car c’est clairement une question deresponsabilité des parents.

Raser la tête de son enfant peutêtre stigmatisant et ne s’avèrepas forcément nécessaire.

| 95| MIGROSMAGAZINE |No 6, 6 février 2012 | AU qUOTIDIEN | ÉDUCATION

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2. Combien de cantons traverse l’autoroute A3?C 11 U 9 R 7

3. En quelle matière sont la plupart des pierres de curling?S calcaire A granite C marbre

4. Quel terme désigne un jeu de cartes?I 1000 bornes T Yahtzee L Quinito

5. Où ont lieu depuis 1935 les championnats dumonde de caisse à savon?N Suède G États-Unis H Allemagne

6. Quel est le surnom du gangster «Al Capone»?M Poker face A Facebook N Scarface

7. Quel animal a un cerveau qui peut peser jusqu’à 9,5 kg?E cachalot A éléphant W rhinocéros

8. La taillaule (brioche) est une spécialité romande du canton de …?S Vaud C Genève E Neuchâtel

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98 |jEUx |No 6, 6 février 2012 | MIGROSMAGAZINE |

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Autour du châtaignier infini, l’hiver s’est installé. Quoi de plus agréable quede jouer dehors dans la neige? Les Lilibiggs et leurs amis ont fait des bons-hommes de neige. Sauras-tu trouver qui a créé quel bonhomme de neige?

AU ROYAUME DES BONS-HOMMES DE NEIGE

En jouant, Hugo a découvert une grotte géante dans la glace.Il est impatient de l’explorer en profondeur. Malheureusement,il a oublié de laisser des repères sur son chemin et s’est com-plètement perdu. Peux-tu l’aider à sortir de la grotte?

HUGO L'EXPLORATEURDES PROFONDEURS

ÉNIGMES

BIMARULe chiffre à côté de chaque colonne et de chaque ligne indique le nombre decases occupées par les navires. Ils ne peuvent pas se toucher et doivent êtrecomplètement entourés par l'eau, sauf s’ils touchent le bord.

PONTSChaque cercle représente une île. Le chiffre à l’intérieur du cercle indique le nombre delignes (ponts) qui passent sur cette île. Les ponts qui relient les îles voisines ne sont quedes traits horizontaux ou verticaux. Les îles peuvent être reliées avec des lignes simples

ou doubles. Au final, toutes les îlessont reliées les unes aux autres.Des intersections, des ponts dia-gonaux et des liaisons avec plusde 2 lignes ne sont pas autorisés.

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Page 100: Migros magazin 06 2012 f ge

IMpRESSUMMIGROSMagazineConstruirecase postale 1766,8031 ZurichHebdomadaire du capitalà but socialwww.migrosmagazine.ch

Tirage contrôlé:505 869 exemplaires(REMP octobre 2010)Lecteurs: 598 000(REMP,MACH Basic 2011-2)

Direction des publications:Monica Glisenti

Directeur desmédiasMigros:Lorenz Bruegger

Rédaction:[email protected]éléphone: 058 577 12 12Fax: 058 577 12 09

Rédacteur en chef:Steve Gaspoz

Rédacteur en chef adjoint:Alain Kouo

DépartementMagazine:Tania Araman,Patricia Brambilla,Mélanie Haab, Virginie Jobé,Pierre Léderrey, Laurent Nicolet,Alain Portner

DépartementActualitésMigros:Daniel Sidler (responsable),PierreWuthrich (coordinateurpour la Suisse romande),Jean-Sébastien Clément,Andreas Dürrenberger,Béatrice Eigenmann, ChristophPetermann, Daniel Sägesser,MichaelWest

Département Shopping& Food:Jacqueline Jane Can (responsable),Gerda Portner, Heidi Bacchilega,Anna Bürgin, Dora Horvath,Sonja Leissing, Fatima Nezirevic,Nicole Ochsenbein, Claudia Schmidt,Jacqueline Vinzelberg, AnetteWolffram

Mise en pages:Daniel Eggspühler (responsable),

Marlyse Flückiger (direction artis-tique),Werner Gämperli (adj.),Nicole Gut, Gabriela Masciadri,Tatiana Vergara

Photolithographie: René Feller,Martin Frank, Reto MainettiPrépresse:Peter Bleichenbacher, Marcel Gerber,Felicitas Hering

Service photo:Olivier Paky (responsable),Lea Truffer (resp. pour la Suisseromande), Susanne Oberli

Correction:Paul-André Loye

Nouveauxmédias: Sarah Ettlinger

(responsable), Laurence Caille,Manuela Vonwiller

Secrétariat:Stefanie Zweifel (responsable),Imelda Catovic Simone, Doris Fischer,Nadja Thoma

Communication& coordinationdesmédias:Eveline Schmid (responsable),Rea Tschumi

Département des éditions:PatrickWehrli(chef du département)[email protected]éléphone: 058 577 13 70Fax: 058 577 13 71Thomas Brügger, (responsable a.i.

annonces), Alexander Oeschger(responsable marketing),Patrick Rohner (responsable MediaServices), Nicole Thalmann(responsable service interne).Annonces:[email protected]éléphone: 058 577 13 73Fax: 058 577 13 72Abonnements:[email protected] Frick (responsable),Téléphone: 058 577 13 13Fax: 058 577 13 01Editeur:Fédération des coopératives MigrosImprimerie:Centre d’impression Edipresse,1030 BussignyTamedia SA, Zurich

Comment participerTéléphone Composez le 0901 591 904 (Fr. 1.–/appel depuis le réseau fixe).SMS Envoyez MMF4 suivi de la solution, vos nom et adresse au 920 (Fr. 1.–/SMS). Exemple: MMF4 234 Pierre Lexemple Rue Lexemple 22 8000 ModèlevilleCarte postale (courrier A) Migros Magazine, sudoku, case postale, 8074 ZurichInternet www.migrosmagazine.ch/motsfleches

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Le recours juridique est exclu. Aucune correspondance ne sera échangéeau sujet du concours. Pas de versement en espèces. La participationautomatisée est exclue du tirage au sort.

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100 |jEUx |No 6, 6 FéVRIER 2012 | MIGROSMAGAZINE |

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Page 101: Migros magazin 06 2012 f ge

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Page 102: Migros magazin 06 2012 f ge

Moderne et confortable, j’avoueavoir été tout aussi charmée parce modèle que mon amieJezabel. Esthétiquement, Hyun-dai a tout juste. La carrosserieest joliment dessinée et j’aiparticulièrement apprécié l’onced’agressivité apportée par sesdesigners. La i40 évite avec briole coté ennuyeux que peuventtraîner certains breaks.

Mais l’apparence, ce n’est pastout… surtout lorsqu’on parle devoiture. Pour se rendre comptedes compétences de cettevoiture au physique prometteur,nous avons branché mon lecteurMP3 (dont le menu était alorsaccessible depuis l’ordinateurde bord) et sommes parties surles chaussées enneigées. Alorsque les routes de Haute-Nendaz

Par Leïla Rölli,chroniqueuse automobile

Cette semaine, c’est avec Jezabelque j’ai testé le véhicule de lasemaine. Je n’avais pas encore

démarré ce joli break que mapassagère, les yeux scintillants, medemandait à combien s’élevaitle prix de cette petite merveille,visiblement plus qu’intéressée parma nouvelle acquisition. Le prix?Pas des plus abordables, près de45 000 francs. Toutefois, il fautgarder à l’esprit qu’à qualité égale,d’autres marques auront vite faitde dépasser largement ce montant.

Et dans la vraie vie, elle est comment cette voiture?

Les pharesEn plus de leur design réussi, les phares avantbénéficient, de série, de l’éclairage adaptatifAFLS. Un mécanisme de pivotement fait tour-ner une partie du cône d’éclairage dans ladirection où sont braquées les roues. La visibili-té est optimale et la sécurité renforcée.

Les phares

Le toit panoramiquePureté et liberté, voilà les deux sentiments provoquéspar ce vaste toit panoramique, légèrement teinté ettotalement électrique. Vitres et pare-soleil se meuventgrâce à un bouton situé en dessus du rétroviseur central.grâce à un bouton situé en dessus du rétroviseur central.

Un break au design agressifHyundai présente la nouvelle version de sa i40. Unmodèle long, très long: 4,77mètres!

102 |VOITURE | NOUVELLE HYUNDAI I40 | No 6, 6 FÉVRIER 2012 | MIGROSMAGAZINE |

Page 103: Migros magazin 06 2012 f ge

Le tableau de bordPlutôt réussi, il est simple d’utilisation. Un peu tropde loupiotes bleues à mon goût, mais au moins lesinstruments et fonctions sont facilement identi-fiables. Du laqué, du mat, du rembourré, l’ensembleest un peu chargé, mais tout de même trèsagréable à regarder.

auraient incarné le parfait décorpour la prochaine revue d’Holiday onIce, j’ai relevé peu de patinageet, a contrario, une excellenteadhérence. Les 136 chevaux sontbien exploités, mais une larmede dynamisme en plus aurait étéla bienvenue.Economique et respectueuse del’environnement, la Hyundai i40 estaussi confortable pour ses passa-

gers arrière quiprofitent d’unespace hors ducommun. En témoigne mon amiFabien et son bon 1,89 mètre quin’effleurait même pas le dossierdu siège avant avec ses rotules.Evidemment, il faut pouvoir naviguerun break de 4 m 77, mais avec la pléiadede détecteurs associés à la caméra derecul, ce n’est pas la mer à boire!

commun. En témoigne mon ami

fiables. Du laqué, du mat, du rembourré, l’ensemble

ÉMISSION DE CO2 EN G/KM

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Fiche techniqueNouvelle Hyundai i40

Moteur / transmission:1.7 CRDi Premium 4 cylindres, 1685 cm3, 136 chBoîte automatique 6 vitessesPerformance: 0-100 km/h = 10,6 smanuelle – 12,0 s automatiqueVitesse de pointe: 198 km/hDimensions: Lxlxh = 477,0 cm x 181,5 cmx 147,0 cmPoids: 1647 kgConsommation: mixte 5,1 l/100 kmEmission de CO2: 134 g/kmEtiquette Energie: BPrix: à partir de Fr. 44 990.–

La sécuritéPlus qu’il n’en faut: acier premiumultra-résistant à la traction, struc-ture en acier multicônes, airbags enveux-tu en voilà (même pour lesgenoux!), système de stabilitéélectronique ESP avec VSM, pourVehicle Stability Management.

Le coffreLa deuxième rangée se plie en moins de temps qu’il n’en fautpour le dire selon un rapport 2⁄3-1⁄3. Des rails permettent d’arri-mer bagages et courses, des casiers sont dissimulés sous unfaux plancher amovible pour encore plus de solutions. Généreux,il passe de 553 litres à 1719 litres banquette rabattue.

NOUVELLE HYUNDAI I40 | 103| MIGROSMAGAZINE | No 6, 6 FÉVRIER 2012 | VOITURE

Page 104: Migros magazin 06 2012 f ge

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Photos:Shu

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L ’archipel des Açores, perdu au mi-lieu de l’océan Atlantique, peut sevanter de faire régulièrement l’ac-

tualité! En effet, son anticyclone est ci-té presque quotidiennement. Mais cesperles ont bien plus à offrir qu’un pointsur une carte: les douces étendues verttendre, les pics volcaniques, les falaisesescarpées et les petits villages en fontunedestinationpeuvisitéeetattachante.

1er jour: GENÈVE–SÃOMIGUELVolTAPàdestinationdePontaDelgada.

2e jour: EXC.À LAVALLÉEDEFURNASDépart pour la vallée de Furnas, situéedans la partie sud-est de l’île. Elles’étend dans un ensemble de cratères etl’ony trouve ledeuxièmeplus importantlac de l’île, des sources thermales répu-tées et le splendide parc botanique deTerra Nostra. Promenade dans ce ma-gnifique environnement tropical.

3e jour: EXC.ÀSETECIDADESDépart vers les montagnes de SeteCidades en longeant la mer et les pâtu-rages.Superbepanoramasurdes lacs si-tués au fondd’un énormecratère volca-nique.Visite d’une plantationd’ananas.

4e jour: EXC. BALEINES ET LAGOADOFOGOCroisière d’observation de baleines. LesAçoresont laplus importante coloniede

dauphins et de baleines qui fréquententles eauxdumilieude l’Atlantique.Retourà quai, excursion sur la côte nord, visitede Ribeira Grande.

Une route de montagne vous mène àla Lagoa do Fogo, la lagune de feu. Dusommet vous pourrez admirer le pano-rama sur la côte nord et sud de l’île.

Puis, arrêt dansune fabriquede céra-mique.

5e jour: SÃOMIGUEL–TERCEIRAVol à destination de Terceira.

6e jour: ANGRADOHEROÍSMOVisite d’Angra do Heroísmo, qui abriteun centre historique inscrit au Patri-moine mondial de l’Unesco. Puis croi-sière vers les îlots aux chèvres, deux pe-tites îles volcaniques divisées par lesmouvements tectoniques et par l’éro-sion. Observation des oiseaux endé-miques.

7e jour: EXC.MONTEBRASILDemi-journéed’excursionvers leMonteBrasil.Magnifique panorama sur la villed’Angra do Heroísmo et ses environs.Poursuite vers l’est, caractérisé par despiscinesnaturelles et des villages depê-cheurs.

Balade àPraia daVitoria, visite et dé-gustation dans une cave à vin. Après-midi libre et soirée folklorique.

8e jour: TERCEIRA–GENÈVEVol à destination deGenève.

Lemagnifiquecentre historiqued’Angra doHeroísmo(petite photo).Lagoa do Fogo(grande photo).

| MIGROSMAGAZINE |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | VOYAGE LECTEURSESCALE INSULAIRE | 105

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Page 110: Migros magazin 06 2012 f ge

CARTED’IDENTITÉNom:Philippe Sennwald(dit Sen)Etat civil:marié,deux enfants:un fils de 12 ans etune fille de 4 ans.J’aime: l’humoursurréaliste desBelges, un pays où jevais très souventdepuis douze ans etma rencontre avecles Frères Taloche.J’aime pas: leconformisme typi-quement helvétique,même si j’aurais sansdoute de la peineà vivre ailleurs.Une citation:«Est-ce que les œufsbrouillés peuventse réconcilier?»

Undérivé demon travailC’est la figurine deTaratatin, mon Tintinparodique. Il n’en existeque 9 au lieu des 99prévus, parce queMoulinsart SA a prisprétexte d’un objet tirédes albums d’Hergé(ici le chapeau deTournesol) pourmenacer d’un procès.Du coup, c’est devenuun vrai collector.

Photos:LoanNg

uyen,is

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Unclin d’œilCette vache enpeluche. Elle date de2004 et s’appelle«Ola». J’étais lepremier dessinateuren Suisse à en faire une,et elle s’est très bienvendue à travers toutle pays. Il y a eu ensuiteun cochon, un renne etun ours, qui ont un peumoins bien marché.

L’humourauboutdu crayonSen, dessinateur humoristique, déborde d’actualité,entre trait politique et parodie tintinesque.Le Vaudois ne cache pas qu’il a dûmanger de la vacheenragée pour vivre de son art.

J ournaux,TV,BDetmêmepeluches:le trait rondouillard de Sen est par-tout.«Je suis dessinateur humoris-

tiquedepuisplusdevingt ans,etpour envivre ici, pas trente-six solutions: mul-tiplier les collaborations, prospecter,croire en soi.» Depuis neuf ans, chaquevendredi, le dessinateur lausannois a leshonneurs du Journal deMorges.

Actuellement l’ouvrage ne manquepas, puisqu’il prépare une série de say-nètes humoristiques pour la télévisionbelge. Il y a aussi ce troisième (et der-nier) coffretparodiquedeTintin, réaliséavec ses camarades de feu l’Associationdes dessinateurs romands. «Une belleaventurequi a eu l’autorisationdeMou-linsart SA, les ayants droit de l’œuvred’Hergé. Hélas, ils ont changé d’avisdepuis 2004, et du coup on en reste là.»

Sen n’en est pas à son premier piedde nez à la profession. En 2008, plu-sieurs personnalités en vue, comme sescopains les Frères Taloche, ManuellaMauryouDariusRochebin,acceptentdesouffler avec lui les dix bougies d’Agul-hon, le Père Noël né en 1997 dans lespages du quotidien vaudois 24 Heures.En 2006, son particularisme de dessi-nateur humoristique de droite lui vautd’être choisi par le grand argentier ducanton, pour son Petit Broulis illustré.15 000 exemplaires vendus, un recordpour un abécédaire politico-civique.

Oui,Senvitdesoncrayonaujourd’hui,mais cela n’a pas toujours été facile avecnotamment une première décennie «oùj’ai bien galéré», avoue-t-il en rappe-lant que moins d’une dizaine d’auteursen Suisse romande vivent de leur coupde crayon. Dessin publicitaire, dessinde presse, et désormais jeu vidéo pour lecompte du Parti libéral-radical vaudois.«J’ai reprismonpersonnageduchienquiconduitunenichemotoriséedansuncir-cuit à laMarioKart.»

Texte: Pierre Léderrey

110 |LE MONDE DE... | SEN |No 6, 6 FÉVRIER 2012 | MIGROSMAGAZINE |

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Son dernier travailLe troisième et dernier coffret de «l’Atelier duRadock», avec cette fois quatre aventuresaux USA. Comme les précédents, les 500exemplaires numérotés partent très vite.

Une gourmandiseLe chocolat chaud, que je vais souvent dé-guster dans son temple morgien, le Balzac.Au grand dam de mon poids. Mais ils enproposent une telle variété et l’endroit estsi sympa qu’il m’est impossible de résister.

Destination de rêveLe Brésil, dont ma femme est originaire.Je l’ai rencontrée ici, lors d’une dédicace,mais elle a bien sûr tenu à me fairedécouvrir ce pays magnifique. Rio,notamment, m’a laissé un grand souvenir.

Son dernier travail

si sympa qu’il m’est impossible de résister.

SEN | 111| MIGROS MAGAZINE | No 6, 6 FÉVRIER 2012 | LEMONDE DE...

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