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Pays de LonsJournal GRATUIT d’informations

Mars 2018N°125

RUBIN4 atouts page 17 !

Résidence des TanneursLes premières placescommencent à êtreattribuées

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Bœuf sur le ToitChristophe Camacho :“je souhaitesimplement que leBœuf vive…”

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RevignyL’espoir en l’avenir…

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Dossier spécialp. 11 à 23

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2 actus Pays de Lons n°125 - Mars 2018

NAISSANCESTéo de Loïc CRINQUAND et IngridBOUVET, BarretaineNaé de Julien PATRIGEON etMallaury BILLET, BletteransMaxime de Guillaume SAIVE etElodie LEAU, BriodMarius de Florian MARTIN etCaroline CAZOT, ChambériaAlyson de Arnaud SIMONIN etClémence RENARD, Chapelle-VolandMaxence de Guillaume PICARD etSwann SENDRA, Chapelle-VolandLéo de Clément MONTERO etValérie GUERRIN, CharézierFlavie de Nicolas RICHARD etAurélie BIDEAU, CharézierCally de Rémi BERBEY et LisaMICHAUD, Clairvaux-les-LacsMaëline de Salime SIRADJI etNoussourani HADHARI, CousanceAdèle de Alexandre LECOEUR etHélène VAUDRIT, CrotenayTya de Florent DUMONT etSéverine KAZANOWSKI, Domblans

Nolhan de Matthieu VIENNOT etSarah BUGNOT, GevingeyLilwenn de Gaël PERRON etJohannie ROMAND, LarnaudMaya de Donal SOLE et LuciePOMMIER, Lons-le-SaunierMany de Manuel DA-SILVA-NEVESet Lucie CROLET, Lons-le-SaunierAlyssa de Boris MENO et DominikaFLAJSINGEROVA, Lons-le-SaunierGabin de Nicolas TISSOT etStéphanie HEBERT, MaisodÉlia de Joël RINGENBACH etHouefa TOMAKPLECONOU,MesnoisVictor de Florian CHARDON etMarine PERRIN, MontmorotNinon de Mathieu KEMEL etLaurine BUGUET, NognaAlice de Yann SCHEUBEL et OphélieMARCHAIS, NognaEmma de Jonathan GÉRARD etÉlodie PALOMERA, OrbagnaCharline de Christophe BOURDONet Adeline BON, Perrigny

Alice de Jérémy COMPARET etLucie PICAUD-BERNET, PimorinClélia de Jérémy BOBANT et JulieVINCENT, PimorinMaël de Fabien PETITJEAN etAnaëlle GIRARDOT, PlainoiseauAxël de Fabien PETITJEAN etAnaëlle GIRARDOT, PlainoiseauManon de Jean-Baptiste OUTHIERet Elsa GAUDILLAT, PlasneElanur de Kadir AYDIN et PinarÇAGRICI, PolignySerrena de Arnaud PELLISSARD etSophie PELLIGAND, Saint-DidierClara de Jean-François MEDIGUE etLaure CUILLEROT, Sainte-AgnèsMarie de Stéphane GILLET et SarahBRUNET, Villevieux

DÉCÈSBOUILLIER André, Beaufort, 85 ansMAITRE Madeleine, Boissia, 71 ansVAGNE Maurice, Buvilly, 82 ansDAUMARD Marcelle, Chemenot,90 ans

RIOU Henry, Chilly-le-Vignoble,84 ansMILLET Micheline, Conliège, 91 ansOUDET Solange, Crotenay, 83 ansCOLSON Claude, Cuisia, 88 ansBRENIAUX Marie, Darbonnay, 86 ansALLUIN Max, Domblans, 85 ansMOUGET Louis, Fay-en-Montagne,80 ansFAIVRE Marthe, Largillay Marsonnay,88 ansGRAPPIN François, Larnaud, 67 ansBUATOIS Noël, Lons-le-Saunier, 86 ansFAILLENET René, Lons-le-Saunier,54 ansQUILAN Marcel, LONS-le-SAUNIER,88 ansMICHAUD Bernadette, LONS-le-SAUNIER, 81 ansJEANNIN Henri, Lons-le-Saunier, 94 ansBARID Mohammed, Lons-le-Saunier, 67 ans

DULOT François, Lons-le-Saunier,64 ansLEFRANC Henry, Lons-le-Saunier, 93 ansDESGROUX Nadine, Lons-le-Saunier,69 ansPOULET Marie, Lons-le-Saunier, 78 ansFRACHON Jean, Lons-le-Saunier, 94 ansBILLEBAUD Marie-Louise, Lons-le-Saunier, 94 ansALLEMANDET Léone, Lons-le-Saunier, 89 ansPHILIBERT Blanche, Lons-le-Saunier,100 ansVACELET Marie-Josèphe, Lons-le-Saunier, 85 ansPOULET Marie-Josette, Lons-le-Saunier, 78 ansMAGNIN Colette, Lons-le-Saunier,90 ansCHARPILLON Robert, Lons-le-Saunier, 89 ansBONNIVARD Odette, Lons-le-Saunier, 91 ans

CUREAUX Jules, Lons-le-Saunier, 87 ansBOISSY Marise, Lons-le-Saunier, 89 ansRODET Aimé, Menétru-le-Vignoble,96 ansCUNY Laurent, Montaigu, 53 ansBESANÇON Olivier, Montaigu, 50 ansFRAYSSE Marcel, Montmorot, 85 ansBOUILLAUD Robert, Montmorot,80 ansCRUCHET Marie-Louise,Montmorot, 91 ansSCHOEFFRE Camille, Nance, 91 ansGRÉA Simonne, Orgelet, 92 ansJACQUET Paul, Pannessières, 91 ansGRAS André, Poligny, 83 ansPELLAN Julien, Poligny, 87 ansROY Marie-Thérèse, Saint-Lothain,72 ansGERMAIN Pierre-François, Saint-Maur, 70 ansPICAUD Louise, Sellières, 87 ansBONIN Séverine, Voiteur, 41 ans

ETAT CIVIL

Zone des Epenottes

BP 212 - 39102 Dole

Tél. 03 84 82 50 21

n°ISSN : 1 778-820X

Imprimé en France

Rédaction : redaction@paysdelons.fr

Régie publicitaireTél. 03 84 82 50 21

Portable 06 33 79 00 94

commercial@paysdelons.fr

2 actus

Situé rue des Tanneurs, dans la continuité d’Edilys,ce nouveau bâtiment porte le nom de sa rue. Il estaménagé de dix-sept appartements dont huit dou-bles pour des couples. Ces logements, proposés àla location, répondent à une forte demande de lapart des seniors. “Les plus jeunes ont tendance àfaire construire en périphérie de la ville. En prenantde l’âge, ces personnes veulent se rapprocher ducentre-ville pour bénéficier des services” expliquePhilippe Cannard, chef de service de gérontologiepour ce nouveau bâtiment, les structures EHPADdu secteur et le foyer logement Colbert. Tout un

Les premières placescommencent à être attribuées

La résidence des Tanneurspour seniors autonomes va

accueillir ses premierslocataires dès le mois deseptembre. Les heureuxbénéficiaires vont être

contactés ces prochains jours.

1Lons-le-Saunier - Résidence des Tanneurs

Le nouveau bâtiment en travaux, rue des Tanneurs, à Lons-le-Saunier, dans la continuité d’Edilys.

Christophe Bois à gauche avec Philippe Cannard

audit a même été réalisé en ce sens en 2012 et2013.

Réponses suite aux dépôts des dossiersAprès dix-huit mois de travaux, la livraison est pré-vue pour fin juin et l’aménagement pour le moisde septembre. 110 demandes ont été reçuesdepuis 2014 et seulement la moitié va passer encommission. La priorité est donnée aux faibles res-sources et suivant la date d’ancienneté de lademande. Les premières réponses pour la listeprincipale vont intervenir courant mars.

Le financement du projetPorté initialement par le CCAS, le projet a dû êtrebasculé sur la ville suite à de nouvelles demandesde normes sismiques et acoustiques. Descontraintes supplémentaires qui ont augmentél’enveloppe budgétaire avec un surcoût de500 000 €. La ville de Lons a ainsi pu obtenir dessubventions, notamment de l’État et d’une caissede retraite pour financer en partie les deux mil-lions d’euros de la construction. “Cela a été un tra-vail de longue haleine avec beaucoup d’interlocu-teurs...”.

Une forte demande“Ce projet correspond à la demande car le bâti-ment est sécurisé avec des logements personnelspréservant l’intimité, une petite terrasse indivi-duelle et une salle de regroupement ouverte à la

fois pour les résidents, habitants et structureslocales”. Sur la ville, 1 450 personnes ontaujourd’hui plus de 80 ans mais entre des budgetsréduits, la possibilité de bénéficier du système deportage de repas et de la téléalarme gérée par leCCAS, ces personnes restent à domicile un maxi-mum de temps. Pour Christophe Bois, en chargedes affaires sociales : “On attend plus longtempspour aller en maison de retraite. La société évo-lue... Aujourd’hui, un séjour en EHPAD est de 24 mois alors qu’il était de 36 mois en 2014”. EntreLons, Montmorot ou la résidence privée de Ville-neuve Sous Pymont, 400 places en EHPAD sontproposées. Mais en accueillant toujours plus depersonnes dépendantes sur l’ensemble des struc-tures, cette nouvelle résidence des Tanneurs vaproposer, cette fois, des places aux personnesautonomes.

Encore des projets...La Clinique du Jura d’une capacité de 37 lits devraitêtre rachetée d’ici deux ans. De nouvelles placespour développer notamment la prise en chargedes malades d’Alzheimer. Si le montant d’achat estévalué entre 1 à 2 millions d’euros, Christophe Boisl’assure : “Le prix d’achat sera réinjecté pour réno-ver les blocs opératoires de l’hôpital”. F.P

En changeant de catégorie et en accueillant deséquipes professionnelles inscrite à l’Union CyclisteInternationale, le Tour du Jura a pris une autredimension en 2017. Un tour qui joue maintenantdans la cour des grands. De plus en 2017 le Tour duJura a profité de l’étape jurasienne du Tour deFrance pour emprunter en éclaireur la grande étapeDole/Station des Rousses. Un bon souvenir pourLaurent Monrolin directeur de la course : “C’étaitparfait pour notre première année en profession-nels. Une vraie belle étape qui a connu un beau suc-cès populaire. Les équipes et les coureurs ont souli-gné une étape de haut niveau. Dans ce cadre, il estvrai que le Jura offre un beau terrain de jeu avec unearrivée aux Rousses maintenant « mythique »”.

Cette année, on se calme un peu. Maintenant programmé sur deux grandes étapes,

le Tour du Jura restera cette année dans le grandpérimètre de la nouvelle communauté de com-munes, “Arbois, Poligny, Salins, cœur du Jura”. “Ilsétaient les seuls cette année à répondre à nos sol-licitations. Mais quand on connaît les alentoursd’Arbois, Poligny et Salins, nous n’avons eu aucunedifficulté à bâtir deux belles étapes”.La compétition aura lieu le 21 et 22 avril avec unepremière étape qui reliera Poligny à Salins-les-Bains en passant par le Val d’Amour et le MontPoupet. La deuxième étape partira du petit villageVilleneuve-Sous-Pymont pour rejoindre Arbois entraversant la Bresse Jurassienne, Baume-les-Mes-sieurs, Champagnole, Salins. “Deux belles étapesqui promettent de belles bagarres à l’avant, il fau-dra être solide pour gagner le Tour” explique Lau-rent Monrolin.22 équipes seront au départ avec 182 coureurs,

Cyclisme - Le Tour du Juraau cœur du Jura

Laurent Monrolin, directeur du Tour

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300 personnes dans la caravane et bien sûr les 150 bénévoles de Jura cyclisme, la performanteassociation organisatrice du Tour du Jura.

Contact : Laurent Monrolin06 87 51 65 18 - www.tourdujura.com

Pionnière dans un domaine de l’esthétique que beaucoup ont tenté de s’approprier depuis, Annick Béjean restenotamment la leader et la seule à pratiquer, pour les femmes comme pourles hommes, la technique d’élimination durable des poils à la LumièrePulsée Ariane. Ainsi l’institut, aussicharmant que chaleureux, situé rueSaintDésiré vous propose de vousdébarrasser définitivement de la corvée de l’épilation.

Juste un peu de technique…L’appareil émet un flash de lumièreapproprié qui agit efficacement surl’ensemble des poils, quel que soit lazone (visage, corps), la mélanine du

poil transmet cette énergie au bulbepileux pour l’atrophier. “Dès la première séance, la repousse des poils esten nette diminution, environ 30 %”,constate avec satisfaction MarieLinequi en fera 6 pour respecter lesconseils de l’esthéticienne. “La poussed’un poil se déroule suivant troisphases qui sont l’anagène, la catagèneet la télogène ; le principe de laLumière Pulsée Ariane est d’intervenirpratiquement sans douleur et tout endouceur pendant une fraction deseconde sur ce cycle naturel”, expliqueAnnick. Ainsi, selon la zone, lesséances sont espacées d’un mois etdemi à deux mois.

Précautions à minima !Les seules précautions à prendre sontd’éviter les expositions au soleil avantet après la séance ainsi que la consommation de médicaments photosensibilisants le jour de la séance.

“Centre agréé Ariane” : quésaco ?N’est pas “centre agréé Ariane” quiveut : “Tous les praticiens diplôméssont formés par des médecins !”. Voicipar exemple, le premier point d’unecharte qui en compte six autres quisont tous aussi rigoureux. “L’exigenceest à ce prix”, précise Annick Béjeanqui parle encore d’un bilan gratuitavant les séances, d’une propositionpersonnalisée, d’un suivi méthodiqueafin de mesurer l’évolution des résultats grâce à l’utilisation de ce matérielMade in France, ultraperformant ettotalement sécurisé reconnu commele n°1 du marché.

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Coupe, mèches, couleur, reflets... pourles femmes, les hommes qui veulent vraiment autre chose.Bletterans, capitale de la Bresse jurassienne peut s’enorgueillir de posséderparmi ses commerces de proximité, rueLouis XI le Grand, un salon de coiffureHommesFemmes qui met les habitudesau placard !

“A chacun son tour, une seule place... jeprends mon temps”Le coiffeur casse les codes et ça plaît, ainsi“lorsqu’on pousse la porte de ce salon volontairement sobre, on s’y sent bien”, confieHélène qui y vient pour la troisième fois“parce que c’est mon fils qui me l’a recom

mandé”, ditelle ! A l’HAIR DU TEMPS, pasde fauteuil pour attendre son tour, lepatron ne prend qu’un(e) client(e) à lafois : “Fini le chronomètre, terminé le stress,je veux travailler à ma façon pour réussir àchaque fois une coiffure unique” ! Un seulbac à laver, pas de tondeuse, que desciseaux, 11 paires précisément, deuxsèche cheveux, deux coupe choux, desbrosses et des produits, “les meilleurs dumarché et mes dix doigts”. “Je suis un artisan”, clame Marc qui s’est posé à Bletterans pour retrouver après une vie professionnelle particulièrement agitée, le calmeet la sérénité que cette ville à taillehumaine lui a inspirés.

Des concours à tour de bras, diplômes à gogo ! En effet, Marc Capuano est un multidiplômé puisqu’il a remporté un nombreimpressionnant de concours nationaux etinternationaux autant dans le domaine dela couleur, des reflets, du coiffage que dela coupe... la preuve : vainqueur du Trophée des deux Savoies en 87, diplômé duGrand Prix Lyon Coupe de France 88, prixet médaille d’or du Festival Internationalde coiffure de Beaulieu Lausanne en 89,1er prix de la Coupe de France en 89,

2e Prix du Concours International deVichy... Après avoir tenu son salon à Lyonpendant 7 années, la passion dévorantequ’il ressent depuis toujours pour cemétier ainsi que son envie de découvrird’autres techniques le poussent successivement à Londres, Los Angeles puis27 années à Genève.

“Le brushing fait la coiffure, pas la coupe”L’artisan applique à Bletterans ce qu’il aappris làbas et ce qui lui a permis de remporter tant de trophées. Avec des tarifsaccessibles à tous, il est là pour rendreune femme belle mais ditil “le brushingfait la coiffure, la coupe fait le relief, c’esttoute la différence” ! Après la coupe, lesmèches, les reflets, la couleur : des soinsofferts. “100 000 cheveux pour un brun,80 000 cheveux pour un roux, 140 000 pourun blond... ça mérite toute mon attention”confie l’artiste.Des horaires adaptés : le matin dès 7 h surRendezvous ! Et du lundi au samedi de 9 h à14 h et de 17 h à 21 h.

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Institut de beauté

4 actus Pays de Lons n°125 - Mars 2018

Christophe Camacho :“je souhaite simplementque le Bœuf vive...”Christophe Camacho est président de l’association “Prod’ij”.Consultant en loisirs indoor, il est maintenant le nouveau respon-sable de la salle lédonienne “Le Bœuf sur le Toit”.

3Lons - Bœuf sur le Toit

Que pensez-vous du fait d’avoir été retenu pour la gestion du Bœuf sur le toit ?Cela fait vraiment plaisir. Nous avions préparé un dossier pourêtre retenu. Un dossier à la hauteur de cette magnifique salle quine demande qu’à vivre. On nous fait confiance, nous avons uneconvention pour 3 ans, nous avons une feuille de route, nous larespecterons. Lons c’est ma ville, j’ai saisi une opportunité, c’étaitle moment pour moi. Nous sommes déjà à la tâche...

Quel est la particularité de votre projet ?J’ai proposé un projet d’ouverture qui ne se limite pas qu’à lagrande salle. Notre projet s’appelle “Le Bœuf village”, un villageculturel, un repère culturel pour que l’ensemble du site soitconcerné. Mon projet c’est de construire, de travailler avec desjeunes pour préparer l’avenir. Je suis de passage...

Le Nez dans le vert

Regroupés dans “Le Nez dansle vert” depuis 2011, lesvignerons bio du Jura necessent de progresser. Ils sontde plus en plus à se convertirpour produire des vins dequalité qui connaissent ungrand succès en France maisaussi à l’étranger. “C’est vrai,c’est nature, c’est précieux,c’est le reflet de notre terroir,c’est le fruit du Jura,l’expression du Jura...” Jean-Etienne Pignier, co-présidentde l’association, n’hésite pas àqualifier ainsi les vins bio duJura. Le Nez dans le vertcompte aujourd’hui 47 vignerons qui serontpresque tous présents àGevingey les 25 et 26 marspour la grande fête annuelledes vins bio du Jura. Un salonqui se tient en alternance à

Arbois et au château deGevingey. Le dimanche estconsacré au grand public, avecdégustations, restauration etde nombreuses animations,une belle journée convivialeet familiale. La journée dulundi est quant à elle réservéeaux professionnels. “Le bio etle Jura sont à la mode. Lesuccès est réel. J’espère quecela va continuer, que lajeunesse suivra. Nous prenonsbeaucoup de plaisir à seretrouver, à partager nosexpériences, Le Nez dans le vertest une belle aventure et ungrand moment deconvivialité” exprime Jean-Etienne Pignier avec unepassion débordante.Rendez-vous à Gevingey les 25 et 26 mars.http://lenezdanslevert.com

Les vins bio du Jura font la fête à Gevingey

EN BREF

PULSE SESSION SUR LA SCÈNEDU COLIBRIAprès le temps fort marqué il y a 8 jours avec l’accueil(exceptionnel) des Infidèles, ce sera le groupe Dolois « PULSEtribute to Pink Floyd » davantage connu aujourd’hui sous lenom de PULSE SESSION, qui sera sur la scène du Colibri mardi6 mars prochain à 20 h 30. Pour la petite histoire, le groupe estcomposé de 12 musiciens chanteurs et autres choristes…Autant dire que la salle sera déjà bien « occupée »…Mais pas de souci, le concert se fera de la salle comme àl’accoutumée, mais sera également diffusé tant en musiquequ’en image en arrière-salle.Pré-ambiance :https://vimeo.com/user81541778

Alors les réservations, c’est dès maintenant par retour mail ou au 03.84.24.34.60.

« Le Colibri » - 50 rue Victor Lorain, 39000 Lons-le-SaunierTél. 03.84.24.34.60 - https://www.le-colibri.org/

Comment s’organisera la programmation ?Nous ne pourrons pas assurer une programmation seuls. Cettesalle est multiprogrammation, ouverte à tous. Nous proposeronsdes spectacles ou des festivals, mais nous laisserons aussi la salleouverte à la location. Le projet culturel est de donner les moyensaux associations de se produire. Nous travaillerons bien entenduen co-réalisation avec les autres acteurs culturels comme Scènesdu Jura, Le Moulin, l’Amuserie, l’Elipse...

Vous préparez déjà la saison prochaine ?Nous avons déjà des spectacles de programmer avant l’été,comme la Saint-Patrick en association avec “A Lons en folk” le17 mars. Dans un premier temps, nous proposerons un spectaclepar mois. Oui nous préparons la saison prochaine qui débuteraen octobre avec des groupes reconnus.

Que souhaitez-vous maintenant ?Je souhaite être bien au Bœuf ! Je souhaite que le public revienne car il mérite cettesalle. Je souhaite que la culture soit simple et accessible. J’aime les projets collectifs,je suis prêt à rencontrer tout le monde. Je souhaite aussi associer des partenaires àcette aventure, des entreprises qui souhaitent investir sur la culture. Je souhaite simplement que le Bœuf vive...

Christophe Camacho, président de l’association “Prod’ij” et responsable de lasalle “Le Bœuf sur le Toit”.

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“Le magasin est transféré à Perrigny”… l’annonce apposée sur la vitrine del’emblématique fournisseur des particulierset des professionnels de la pâtisserie ne peutêtre plus clair : le PARADIS des CORDONSBLEUS se refait une jeunesse à Perrigny .

Un regroupement via la maisonmère !Des locaux vastes, plus de 200 m2 d’exposition, un accès facile, un parking gratuit quijouxte le magasin… “il ne m’en fallait pasplus pour mettre un terme à la présence de ce commerce situé au centreville depuis

plus de 22 années”regrette cependant

JeanChristopheGuillin, le patron.

En regroupant ses activités sur un seul site,celui de la maisonmère à Perrigny, créée en 1934, le fournisseur en pâtisserieboulangerie Guillin va répondre encore pluslargement aux particuliers, aux professionnels, aux associations comme à tous ceux quiorganisent une réunion, un mariage, unefête après une rencontre sportive ou commerciale, un congrès, un anniversaire...

Nouveau : des fruits surgelés, desmarmelades, des charcuteries, del’épicerie !A son rayon de décors en sucre ou en chocolat, à ses arômes, à ses pâtes d’amande, à sespâtes à sucre, à ses dragées Médicis, à seschocolats de couverture Barry, à ses fruitsconfits entiers et autres confiseries… réservés aux gourmets, Le Paradis des Cordons

Bleus ajoute désormais un choix de puréesde fruits surgelés, de sirops, des confitures etmême un assortiment de charcuteries. “Eneffet pour répondre à la demande de nosclients, nous nous sommes équipés en froidnégatif”, précise le chef d’entreprise.

Et aussi : plats, couteaux, moules ensilicone...Les établissements Guillin font partie desrares commerces capables de fournir audétail comme en gros, aux particulierscomme aux professionnels toute unegamme de produits de haute qualité quientre dans les fabrications artisanales desboulangerspâtissiers ! Morilles, girolles,cèpes, mélanges de champignons prêts pourfaire une sauce, en sachets de 35 grammes,Le PARADIS des CORDONS BLEUS reste le

leader local en ce qui concerne les fournitures à l’adresse des restaurants.

A l’accueil, Fabienne et Dominique “C’est toujours à Fabienne que revient lacharge d’accueillir la clientèle des CORDONSBLEUS”, précise JeanChristophe Guillin et lavendeuse de confirmer“qu’elle est heureused’avoir déménagé d’autant qu’elle trouve enplus d’un choix immense et de qualité dansles rayons, une équipe de 11 personnes compétentes au service des clients”.

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Le Paradis des Cordons BleusJeanChristophe Guillin, gérant.

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Le secteur de l’aide à domicile connaissant unessor important depuis plusieurs années, lesmétiers de l’intervention à domicile évoluentet recrutent. Zoom sur deux formations acces-sibles sans diplôme : technicien(ne) de l’inter-vention sociale et familiale (TISF) et auxiliairede vie sociale (AVS).

Les intervenants des services d’aide à domicile(SAD) et ceux employés par des particuliers regrou-pent 515 000 personnes, soit 30 % des salariés dusecteur social et médico-social, selon le ministèredes Affaires sociales. Cette filière professionnellese structure progressivement, et de nombreuxbesoins émergent avec l’évolution des secteurs dela gérontologie, du handicap, etc. Les besoins deprofessionnalisation et de qualification des salariéssont importants d’un point de vue quantitatifcomme qualitatif.

Voici deux de ces métiers, tous les deux de niveauCAP ou BEP et relevant de la catégorie C (ouvriers,employés) : technicienne de l’intervention socialeet familiale (TISF) et auxiliaire de vie sociale (AVS).

Technicien(ne) de l’intervention sociale et familiale (TISF)Elle épaule et assiste les personnes en leur appor-tant une aide professionnelle dans l’accomplisse-ment des tâches et activités de la vie quotidienne,y compris les loisirs : le lever, le coucher, la toilette,les soins d’hygiène et de prévention (à l’exclusion

des soins infirmiers), l’aide à l’appareillage, la prépa-ration et la prise des repas, les travaux ménagerscourants, les démarches, les sorties, les courses…Par son action, elle rend possible leur maintien àdomicile, contribue à la préservation, la restaura-tion et la stimulation de leur autonomie, favoriseleur insertion sociale et ainsi concourt à la luttecontre l’exclusion. Du fait de l’allongement de ladurée de la vie, de la solvabilité croissante d’un cer-tain nombre de personnes âgées depuis qu’existel’allocation personnalisée d’autonomie (APA), etgrâce au développement général des services auxpersonnes et aux familles, ce secteur d’activité vapoursuivre son expansion et se diversifier.

Auxiliaire de vie sociale (AVS)Aucun diplôme n’est exigé pour préparer lediplôme d’Etat d’auxiliaire de vie sociale (DEAVS),cependant, chaque établissement de formationorganise des épreuves d’admission comprenant :

• un questionnaire d’actualité d’1 h 30 minutes surdes problèmes sociaux auquel le candidat devrarépondre par écrit,

• un entretien de 20 minutes avec un formateur etun professionnel.

La formation est répartie sur une durée de 9 à36 mois. Elle comprend 504 heures de formationthéorique et 560 heures (16 semaines) de stagepratique. La formation théorique est répartie en6 domaines de formation :

• connaissance de la personne,• accompagnement et aide individualisée dans lesactes essentiels de la vie quotidienne,• accompagnement dans la vie sociale et relation-nelle,• accompagnement et aide individualisée dans lesactes ordinaires de la vie quotidienne,• participation à la mise en place et au suivi et àl’évaluation du projet individualisé,• communication professionnelle et vie institution-nelle.

La formation est sanctionnée par le diplôme d’Etatd’auxiliaire de vie sociale (DEAVS) délivré par lepréfet de région, au nom du ministre chargé desAffaires sociales.

https://infos.emploipublic.fr

Les métiers du domicile

Coup de projecteur sur “Les métiers du social”

Les métiers du social. Qui fait quoi !

Conseiller/ère pénitentiaire d’insertion et de probation.Il accompagne les personnes condamnées ou enattente de jugement avec un objectif : éviter larécidive. Aide aux démarches et préparation à laréinsertion : il peut selon les cas demander desaménagements de peine.

Conseiller/ère d’insertion sociale et professionnelle.Maîtrisant l’offre de formations, les programmesd’insertion et le marché de l’emploi, il oriente desjeunes sortis du système scolaire, en apportantconseils ou suivi à long terme. Il est souventspécialiste d’une thématique (alternance,logement...).

Auxiliaire de vie sociale.À leur domicile, il aide des personnes en difficulté àréaliser des tâches du quotidien, comme les repas,les courses ou encore les démarchesadministratives.

Conseiller/ère en économie sociale et familiale.Son rôle : aider des familles à rééquilibrer leurbudget après un accident de la vie (maladie,divorce...) mais sans décider à leur place. Il peutaussi animer des ateliers pédagogiques, parexemple, “cuisiner équilibré et économique”.

Educateur/trice spécialisé/e.En établissements spécialisés, ce pro du social aideles personnes dépendantes dans leurs gestesquotidiens (s’habiller, manger...). Observateur et àl’écoute, il s’adapte aux besoins des personnes.

Aide médico-psychologique.En foyer, en centre social ou sur le terrain, ce pilierdu social encadre et guide des personnes fragilesvers l’autonomie et l’insertion. La confiance est demise pour mener à bien ses projets socio-éducatifs.

Source onisep

Des établissements proches de chez vous. Quelques pistes...� CAP Assistant technique en milieuxfamilial et collectif• 39 Crotenay - Etablissement régionald’enseignement adapté La Moraine• 39 Dole - Lycée professionnel Jacques Prévert� CAP agricole Services aux personneset vente en espace rural• 39 Lons-le-Saunier - Lycée agricole de Lons-le-SaunierMancy• 21 Chamblanc - Lycée agricole Anne-Marie Javouhey� BAC PRO Accompagnement, soins et services à la personne• 39 Dole - Section professionnelle du lycée privéPasteur-Mont Roland

� BAC PRO Services aux personnes et aux territoires• 39 Amange - Maison familiale rurale du Jura annexed’Amange• 39 Lons-le-Saunier - Lycée agricole de Lons-le-SaunierMancyAdressez-vous à votre Centre d’Information et d’Orientation (CIO)en libre accès ou sur rendez-vous. Documentation spécialiséesur les formations scolaires et professionnelles et sur lesmétiers à votre disposition.21 rue des Ecoles, à Lons-le-Saunier

Au sein de ce lycée, vous pourrez accéder au CAP agricole Services auxpersonnes et vente en espace rural (SAPVER), en deux ans après la 3e. Ce CAPagricole forme des employés qualifiés en services aux personnes et enaccueil-vente en espace rural, pour travailler dans des magasinstraditionnels, des supermarchés de proximité, des supérettes ou certainscommerces, qui exercent des activités de services, comme les pharmacies,les salons de coiffure, La Poste ou encore les banques et assurances. Mais,vous pourrez également travailler dans les halles, sur les marchés et leslieux de tourisme (chambre d’hôtes etc.)Dans le secteur des services aux personnes, le professionnel intervientauprès de nombreux publics et notamment des publics dits fragiles : petiteenfance, personnes handicapées, personnes âgées ou/et dépendantes. Il estemployé au sein de diverses structures publiques ou privées, à domicile oudans des structures collectives d’hébergement (de type maisons de retraite,EPHAD, foyer-logement...) ainsi que dans des garderies, établissementsscolaires, hôpitaux de jour...Les jeunes, CAP en poche, peuvent poursuivre en Bac Pro, préparer desconcours sanitaires et sociaux ou intégrer une vie professionnelle vers lesmétiers de la petite enfance, de la santé, du social de l’accueil, de la venteet du tourisme.

ChamblancLe lycée A-M Javouhey, le lycée des services à la personne

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FORMATION

Choisir une filière plus longue sur 3 ans est une autre possibilité avec le BacPro Services aux personnes et aux territoires (SAPAT). Il s’adresse à desjeunes intéressés par l’accompagnement, les soins et les services à lapersonne (enfants, personnes âgées ou handicapées) mais aussi pluslargement par les services aux populations (animation, accueil, tourisme).Le titulaire d’un Bac SAPAT est amené à exercer ses activités dans dessecteurs variés. Son champ d’activité, axé sur le relationnel et le soin auxpersonnes, s’étend de l’accompagnement des personnes à l’hébergementet à la restauration, au tourisme, au développement local. Au delà des matières générales et des enseignements professionnels quesont la cuisine, l’entretien des locaux, la puériculture, l’aide à la personne,voyages et sorties, la volonté du lycée Javouhey “est aussi d’apporter des« plus » aux élèves avec des initiations à la zoothérapie, à la langue des signes,l’accès à la formation BAFA, etc.” Les projets pour 2018 sont nombreux !Lycée A-M Javouhey 21250 Chamblancwww.lycee-javouhey.fr - chamblanc@cneap.fr - 03 80 20 38 90

ObjeObject

0tif 2021

Objectif 2021

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- Humanités, littérature et philosophie et sciences politiques - Histoire géographie, géopolitique - Sciences de la vie et de la T- Physique chimie

athématiques - Mathématiques néragénérale

- Humanités, littérature et philosophie et sciences politiques - Histoire géographie, géopolitique

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NOTRE-DAME DE LA SALETTEGROUPE SCOLAIRE

Le charmant petit village de Voiteur compteparmi ses terres un domaine de 3 ha où trôneun château du XIIIe siècle qui au fil du tempsest devenu le GROUPE SCOLAIRE NOTREDAMEDE LA SALETTE. Avec plus de 100 élèves en classes primaires et200 au collège, si le groupe scolaire n'a cessé des’agrandir et de se moderniser il a su, du fait desa proximité avec le territoire, conserver autourde la direction et de son équipe pédagogiquecomposée de 17 professeurs et de 5 professeursdes écoles toute son authenticité et ses traditions d'accueil.

“Ici on n’inscrit pas les enfants… on lesaccueille !”En ce qui concerne les quatre classes de l'écoleprimaire, alors que les cours démarrent à 8 h 30et se terminent à 17 h, les enfants (et lesparents) peuvent profiter le matin d'un servicede garderie dès 7 h 45 et le soir jusqu'à 18 h.Les plus grands du collège arrivent grâce auxlignes instituées par Conseil départemental maisaussi par celles de deux bus privés qui rayonnent dans les villages alentour “car on vient àNOTRE DAME depuis des villages de plus en pluséloignés”, constate la directrice.

Un enseignement adapté, des effectifsréduits… Rouges, Jaunes, Bleus…En plaçant l'enfant au centre de toutes sespréoccupations, NOTRE DAME DE LA SALETTEoffre une pédagogie différenciée où l'enfantpourra évoluer à son rythme. Avec un effectifréduit, par exemple pas plus de 25 élèves parclasse en 6e et un classement par couleur, l'enfant poursuit une scolarité “toute en douceur”.Ainsi sont classés Rouges les enfants ne nécessitant pas une attention particulière, Bleus, lesenfants qui feront l'objet d'une surveillance plusgrande et Jaunes ceux pour qui l'équipe pédagogique devra particulièrement s'employer àadapter son enseignement. En ouvrant sesportes aux enfants atteints de difficultés d'ap

prentissage, le GROUPE SCOLAIRE NOTREDAME DE LA SALETTE démontre s'il le fallaitencore, son savoir faire pour développer lesavoir être des enfants dont il a la charge.

“Conseil de médiation”Pour responsabiliser les élèves de primaire, lesprofesseurs ont mis en place des conseils demédiation dans lesquels les enfants peuvents'investir pleinement afin d'éviter les conflits.Cuisine traditionnelle, participation des enfantsau service, au tri, au compostage, voyagesdécouvertes… A NOTRE DAME, “on apprenddans tous les domaines et c'est un bien”, assurent des parents venus chercher Jonathan, leurado qui se dit “fier et heureux d'être dans unebelle école, que le château le fait toujours rêver,que dans le parc il fait du VTT, des cross, du jardin.”. Dès la rentrée et pour se découvrirmutuellement et établir une cohésion degroupe, les élèves de 6e vont se retrouver pendant une semaine à Lamoura !

Un projet d'établissement novateurpour 2018 !Directrice mais aussi professeur d'histoire, AlineRostollan et son équipe entendent remettre enplace une option Langue et Civilisation de l'Antiquité c’estàdire l'histoire et le latin maisencore des stages découvertes en entreprises,une orientation réussie passant par là. Ecole

catholique privée, NOTRE DAME DE LA SALETTE,invite à la réflexion religieuse sans jamais l'imposer mais l'ambiance générale que l'on perçoit àchaque pas que l'on fait dans le château appelleà l'apaisement et au respect, alors...

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22, rue Château Charrin39210 VoiteurCollège : 03 84 44 96 96École : 03 84 44 63 39Mme Aline Rostollan, directrice du collège, accompagnée

de Mme Sophie Orain, directrice de l’école primaire.

PORTESOUVERTESSAM. 10 MARS

De 9 h à 16 h 30COLLÈGE

De 9 h à 13 hÉCOLE PRIMAIRE

PORTESOUVERTESSAM. 10 MARS

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Revigny (39570)Altitude : de 335 à 574 m, Superficie : 651 haPopulation : 249 habitants (les Revignois) -Canton de PolignyCommunauté de communes :Espace Communautaire Lons AgglomérationMaire : Jean-Yves BaillyConseil municipal : Pierre Chavon : 1er adjoint - Jean Cheve-lot : 2e adjoint - Claude Naimo : 3e adjoint - Brigitte Blanc - Pas-cal Delaine - Laurent Morel - René Niel - Marie Richème -Arnaud Rozan.

Si le village très ancien portait déjà ce nom à la Révolution,il eut d’autres dénominations au cours des siècles, Ruvinia-cus, Reveigne et Revigney notamment. Son étymologiesemble être le patronyme d’un homme latin nommé Revi-nus. Situé au fond d’une reculée typiquement jurassienne,sur une zone dite “bassin houiller du Jura”, le territoire deRevigny qui donne naissance à la rivière “la Vallière”, futdonné aux moines retirés à Baume au IXe siècle, avantd’être placé sous la dépendance du comte Etienne III deBourgogne et ses successeurs.

Les seigneurs de RevignyAvec Revigny, la seigneurie regroupait Publy, Saint-Maur,Montaigu, Poids-de-Fiole et Conliège. Au XIIe siècle,Aymon 1er de Revigny était seigneur de ce lieu. Huguesson fils lui succéda. Au début du XIVe siècle, Rainaud,comte de Montbéliard reçut le château de Revigny que luitransmit son frère Hugues de Bourgogne. Il donna alors laseigneurie à la famille de Montaigu qui la conservajusqu’en 1514. Philiberte de Luxembourg en fit l’acquisi-tion pour son fils Philibert de Chalon qui l’incorpora à saseigneurie de Montaigu. Le château de Revigny fut détruiten 1637 par les Français. Les ruines disparurent peu àpeu, puis des vignes furent plantées à son emplacement.Un autre château au centre du village était propriété dela famille de Binans qui contrôlait un fief important.Claude-François de Grammont le posséda un moment. Ala Révolution, il était encore habité par le baron Yselin deLanans, lequel émigra. La propriété fut vendue nationale-ment en 1793.Depuis le XIIe siècle, Revigny possédait une chapelle trèsancienne dédiée à l’Assomption de Notre-Dame. Elle futremplacée par l’église actuelle à la fin du XVe siècle. Elledépendit de la paroisse de Saint-Maur jusqu’en 1684. En1660, les habitants se cotisèrent pour construire le clocheren forme de tour carrée qui a toujours fière allureaujourd’hui. En décembre 2013, lors de travaux de réfectionde son toit en laves, une infiltration d’eau fit tomber plu-sieurs épaisseurs de plâtre au niveau du chœur, révélant augrand jour des fragments de peintures murales, lesquelles,après expertise, se sont avérées être une fresque représen-tant une illustration de la Passion du Christ datant du XVe siè-cle. Cette église eut le privilège d’être lauréate du prix Pèle-rin du Patrimoine en 2016. En 1991, elle fut inscrite àl’inventaire supplémentaire des monuments historiques.

Revigny : l’espoir en l’avenir…

JUSTE UN PEU D’HISTOIRE

En quittant Lons-Le-Saunier, après Perrigny etConliège, Revigny est le dernier village au fondde la vallée de La Vallière qui prend justementsa source ici. Une vallée au riche passé quandles vignes et les terres agricoles occupaientencore les coteaux…

Quand on arrive à Revigny au fond de la vallée de La Vallière, onpeine à imaginer une vallée lumineuse, ouverte… tantaujourd’hui les bois et les friches ont gagné du terrain. Fini letemps des vignes, dévastées par le phylloxera en 1850. Par lasuite, viticulteurs et agriculteurs partirent travailler à Lons-le-Sau-nier. Preuve de ce passé, les terres à vigne sont encore classéesen AOC ! Une terre propice pour de nouveaux viticulteurs ? Pourquoi pas ?

Des camions, des camions, des camions…Mais la Vallée de La Vallière, Perrigny, Conliège, Revigny et leurshabitants, supportent difficilement le ballet incessant descamions, déviés ici pour éviter la côte de Montaigu. Un sujet dediscorde qui ne date pas d’hier mais jamais solutionné… A quandune solution pour que Revignoises et Revignois retrouvent unpeu de calme et gagne en qualité de vie ? “Ce problème est péni-ble. Revigny est un beau village au riche patrimoine. Nous avonsrénové le centre du village pour valoriser ce patrimoine. Ici, dessentiers de randonnées et la voie verte piétonne et cycliste tra-versent la vallée pour rejoindre le premier plateau jurassien.”explique Jean-Yves Bailly, maire de Revigny et par ailleurs vice-Président à l’Agglomération ECLA en charge de l’assainissement.

Une peinture murale de premier ordreUn patrimoine riche qui a dévoilé fin 2013 un vrai trésor dansl’église du village. En fin de travaux de toiture, une chute de plâ-tre laisse, en effet, apparaître des peintures murales de bellequalité. “Le chemin de la passion” soit 17 scènes datant duXVIe siècle. Une pièce unique en France. “Nous nous sommes fixé

le défi de restaurer cette œuvre et deux scènes ont déjà été trai-tées. De nombreux visiteurs se déplacent pour cette peinturemurale. Nous aurons besoin de nombreux partenaires pour yarriver. Nous veillons à réunir les fonds. Dans un premier temps,nous nous attachons à consolider l’ossature du bâtiment”conclut monsieur le Maire.

8 Un village du Pays de Lons

Une association contre les camions mais aussi pour de nouvelles idées…L’association de défense Vallée Vallière est née en février 2002.

M. Chavon en est le Président avec au départ un objectif

simple : la lutte contre le passage des camions dans la vallée. Il

faut dire que les nuisances dues à ce passage sont fortes : bruit,

pollution, sécurité… Jusqu’à 700 camions par jour dans la vallée

il y a quelques années, le nombre de passage s’est réduit à 350

suite à l’ouverture aux camions de la côte de Montaigu dans le

sens de la montée. Car là est bien le problème. Les camions qui

traversent le Jura en direction de Lons-le-Saunier sont déviés

vers la vallée de la Vallière pour éviter la descente de Montaigu

jugée trop dangereuse. “Une étude est menée par les services du

Conseil départemental pour rendre possible cette descente. De

nouveaux aménagements sont envisagés, nous sommes en

attente de confirmation” explique Pierre Chavon. Mais au-delà

de la lutte contre les nuisances, l’association souhaite

maintenant s’investir dans la vie de la vallée. Et les projets de

manquent pas :

• Le désenfrichement du paysage pour, pourquoi pas, retrouver

les terres agricoles et viticoles. Un projet étudié avec l’Adefor 39

et la chambre d’agriculture.

• Les marchés avec une proposition de créer un marché

mensuel plutôt bio à Conliège et Revigny en alternance le

premier mercredi du mois et ce dès le mois d’avril.

• Des jeux “intervallière” le 26 mai à Conliège.

• La valorisation des vergers de la vallée de La Vallière

• La création d’un café associatif dont le porteur serait la

commune de Revigny…

“Nous ne manquons pas d’idées ! Et les membres de

l’association souhaitent ne pas rester qu’une association de

défense. De nouveaux membres arrivent et une réelle volonté se

dégage pour redonner vie à cette vallée… en attendant tout de

même la fin du transit des camions” conclut Pierre Chavon.

Contact Pierre Chavon : 06 80 18 70 91

La vallée et Revigny au temps des vignes…

Jean-Yves Bailly, maire de Revigny

Une peinture murale unique en France

Un incessant ballet de camions dans le village…

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• Les priorités et les objectifsde l’Anah pour 2018• Les aides “Habiter Mieuxsérénité” et “Habiter Mieuxagilité” p. 12

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• Interviews de la présidenteet de la directrice de l’Adil duJura

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Anah : l’Etat fixe le cap12

BON À SAVOIR...

Mars 2018 - Pays dolois

Habiter Mieux sérénitéHabiter Mieux sérénité, c’est un accompagnement-conseil1 et une aidefinancière pour faire un ensemble de travaux capables d’apporter ungain énergétique d’au moins 25 %. Ce gain vous fait bénéficier en plusd’une prime Habiter Mieux2 pouvant aller jusqu’à 2 000 €.

Le montant de votre aide Habiter Mieux sérénitéSi vous vous situez dans la catégorie “ressources très modestes” : • 50 % du montant total des travaux HT. L’aide Habiter Mieux sérénité est de10 000 € maximum + la prime Habiter Mieux2 : 10 % du montant total destravaux HT, dans la limite de 2 000 €.Si vous vous situez dans la catégorie “ressources modestes” : • 35 % du montant total des travaux HT. L’aide Habiter Mieux sérénité est de 7 000 €maximum + la prime Habiter Mieux2 : 10 % du montant total des travaux HT, dans lalimite de 1 600 €.1. Aide forfaitaire de l’Anah à hauteur de 560 €.

Exemple : Avec Habiter Mieux sérénité, de quel montant pouvez-vous bénéficier pourun ensemble de travaux de 17 000 € HT ?• 8 500 € d’aide aux travaux• 1 700 € de prime Habiter Mieux2

10 200 € Montant total de l’aide Habiter Mieux sérénité32. Prime Habiter Mieux donnée dès lors que les travaux de rénovation énergétique permettent un gain énergétiqued’au moins 25 %.3. Montant calculé pour la catégorie de ressources “très modestes”. Pour la catégorie “ressources modestes”, le montant total de l’aide est de 7 550 € (35 % du montant des travaux + 1 600 € de prime Habiter Mieux).

• la lutte contre la précarité énergétique dans le cadre du Plan Climat. Leprogramme “Habiter Mieux” est conforté puisqu’il lui est assigné un objectifde 75 000 logements par an pendant les 5 prochaines années, dont10 000 copropriétés fragiles et 3 000 en copropriétés dégradées sur 2018.Afin d’atteindre l’objectif hors copropriétés, le dispositif “Habiter Mieuxstandard” est complété par un dispositif “Habiter Mieux travaux simples”,lequel permet à un propriétaire occupant d’avoir recours ou non à un opé-rateur-conseil pour des travaux d’ampleur réduite mais identifiés comme lesplus efficaces en matière de rénovation énergétique ;

• le traitement de l’habitat indigne ou dégradé : l’Anah apporte des aidesaux travaux de résorption de cet habitat, avec un objectif maintenu de8 950 logements, dont 5 000 logements de copropriétaires occupants et3 950 logements de copropriétaires bailleurs ;

• le redressement des copropriétés en difficulté et la prévention de ladégradation des copropriétés fragiles, notamment en articulation avec desactions dans le cadre de programmes de rénovation urbaine et de requali-fication des centres-bourgs. Les objectifs sont de 15 000 logements encopropriétés en difficulté et de 10 000 logements en copropriétés fragiles ;

• l’accompagnement des personnes en situation de handicap ou de perted’autonomie pour l’adaptation de leur logement, avec un objectif stable de15 000 logements ;

• l’accès au logement des personnes en difficulté par :- la production d’un parc à vocation sociale via l’aide aux propriétaires bail-leurs, avec un objectif de 5 000 logements, en baisse par rapport à celui de2016 (6 000 logements).- l’humanisation des structures d’hébergement.

Les priorités et les objectifs de l’Anah pour 2018

Habiter Mieux agilitéHabiter Mieux agilité c’est une nouvelle aide financière pour faire l’undes trois type de travaux au choix, dans une maison individuelle : • Changement de chaudière ou de mode de chauffage• Isolation des murs extérieurs et/ou intérieurs• Isolation des combles aménagés et aménageables.Les travaux doivent être faits obligatoirement par une entreprise ou un artisanqualifié RGE (reconnu garant de l’environnement). L’accompagnement par unopérateur-conseil n’est pas obligatoire4. Vous êtes libre de revendre les certificatsd’économie d’énergie (EE) obtenus grâce à ces travaux.Le montant de votre aide Habiter Mieux agilitéSi vous vous situez dans la catégorie “ressources très modestes” : • 50 % du montant total des travaux HT. L’aide Habiter Mieux agilité est de10 000 € maximum.Si vous vous situez dans la catégorie “ressources modestes” : • 35 % du montant total des travaux HT. L’aide Habiter Mieux sérénité est de7 000 € maximum.4. Aide forfaitaire de l’Anah à hauteur de 150 €.Exemple : Avec Habiter Mieux agilité, de quel montant pouvez-vous bénéficier pour le chan-gement de chaudière à hauteur de 4 000 € HT ?• 2 000 € d’aide aux travaux55. Montant calculé pour la catégorie de ressources “très modestes”, sans accompagnement. Pour la catégorie “ressources modestes”, le montant total de l’aide est de 1 400 € (35 % du montant des travaux).

Confort et bien-être, deuxautres moteurs pour rénover !L’amélioration de la performance éner-gétique n’est pas la seule raison derénover une maison ; près de trois Euro-péens sur quatre envisageraient unerénovation pour améliorer le confort etle bien-être de leur famille.Aujourd’hui, la plupart des propriétairesseraient enclins à rénover leur logementpour réaliser des économies d’énergie,pour autant, le facteur économiquen’est pas leur seule motivation. Près detrois quarts des Européens envisage-raient de rénover pour améliorer leconfort et la santé de leurs familles. Onsait, d’après l’édition 2016 du Baromè-tre de l’Habitat Sain, que pour la plupartdes Européens, le confort/bien-être estune motivation aussi forte que les éco-nomies d’énergie.De l’ordre d’1 à 2 % par an seulement,le rythme de rénovation du parc bâtiexistant est faible. D’où la nécessité dedévelopper les mesures incitatives endirection de l’investissement privé. Lesavantages pour la santé et le bien-êtredevraient donc être mis en lumière parles politiques et campagnes d’incitationau même titre que les économiesd’énergie. Ce serait un bon moyen d’ac-célérer le rythme des rénovations.Rendre plus sain les logements desEuropéens par la rénovation permet-trait de réduire l’incidence des maladiesrespiratoires et leur coût social. Il suffi-rait de rénover 2 % de l’habitat euro-péen chaque année pour diminuer demoitié le nombre de logementshumides à l’horizon 2050. Le nombred’Européens souffrant d’affection respi-ratoires dues à l’humidité de leur loge-ment s’en trouverait réduit de 25 % surla même période

Source Baromètre de l’Habitat Sain.

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14 Mars 2018 - Pays dolois

“L’ADIL, c’est la porte d’entrée…”Natacha Bourgeois - Présidente de l’ADIL du Jura

“Les conditions sontplutôt favorables…”

Agnès Martinet,Directrice de l’Adil du Jura

Il semble aujourd’hui que de bonnes conditions soient réunies pour investir ou rénover ?“Oui pour les ménages, c’est un bon moment pour investir. Les prêts bancaires restent très

avantageux et les aides dans le cadre de la rénovation énergétique sont très intéressantes. Lesprix d’achat sont corrects et l’on trouve de belles prestations à des prix abordables. C’est enfonction de ces divers éléments que nous tentons de faciliter et de favoriser l’accession à la

propriété ou à la rénovation d’un bien existant. Notre rôle est d’expliquer les différentes solu-tions de financement du projet, d’explorer les meilleures pistes dans un contexte global. La

simplicité et la pédagogie sont importantes, on synthétise avec les demandeurs, on intègretoutes les informations afin de concrétiser au mieux les projets. Après ces échanges, nous

sommes en mesure de fixer l’éligibilité d’un dossier aux aides existantes…”

Pour vous quelle est la missionpremière de l’ADIL du Jura ?Permettez-moi simplement de rappelerque l’ADIL est un service gratuit, neutre età disposition de tout le monde. L’Adil estune association financée par des subven-tions provenant des collectivités, d’Actionlogement, de l’Etat et de la CAF du Jura.Que l’on soit propriétaire-occupant, loca-taire, en accession à la propriété, investis-seur, en copropriété... on a tous besoind’informations pratiques, juridiques,financières ou fiscales. L’Adil est là pour yrépondre, c’est une incontournable ported’entrée sur l’habitat. L’Adil intervientaussi auprès des communes et collectivitéspour les seconder dans leur démarches,dans leurs projets, ou pour les aider àrépondre aux habitants.

Pourquoi s’adresser à l’Adil ?On s’adresse à l’ADIL quand on a des pro-jets de construction ou de rénovation,quand on a des interrogations sur ses

capacités à investir, sur la marche à suivre,sur les aides auxquelles on peut préten-dre... mais aussi par exemple dans le cadred’interrogations ou conflits entre proprié-taires et locataires, tout ce qui concernel’habitat dans son ensemble. L’Adil écoute,conseille, oriente. Nous apportons notreconnaissance de tous les organismes dusecteur. Nous avons une vision à 380° verstous les acteurs de l’immobilier.

Bien se loger c’est important ?Bien sûr ! On a tous besoin d’un toit, d’unabri, d’un chez-soi... où que l’on soit, oùque l’on aille. Tout le monde prétend àbien se loger, c’est le point de départ d’unprojet de vie, d’une qualité de vie, c’est undes investissements importants. Sanslogement décent, la vie est plus compli-quée. Dans ce sens, l’Adil du Jura est làpour aider tout le monde, pour évoquertoutes les possibilités.

Comment se porte l’habitat dans le Jura ?C’est un habitat rural avec peu de gros

investissements immobiliers neufs. Unhabitat rural et vieillissant qui mérite d’im-portants travaux de rénovation, d’autantplus que les terrains disponibles à laconstruction neuve sont moins nombreux.On vit plutôt bien dans notre départementet nous ne sommes pas encore en manquede logements. Mais l’habitat c’est aussi desprofessionnels, des artisans. En renseignantprécisément sur la nature des travaux etles aides possibles, l’Adil contribue au déve-loppement économique de ces entrepriseslocales. Car des aides bien distribuées, sontsouvent accompagnées de travaux com-plémentaires...

Et pour conclure ?Les choses évoluent sans cesse… Lamanière de se loger aussi. Il ne faut pashésiter à se renseigner pour imaginer unachat, une rénovation, un déménagement.Une simple question peut déboucher surun beau projet. Je pense que l’Adil est làpour vous aider.

ADIL et SOLIHA : un duo dans

Rendez-vous en appelantle 03 84 86 19 30.LONS-LE-SAUNIER : du lundi aujeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à17 h 30, le vendredi après-midi de14 h à 17 h 30. Permanence DOLE : 1er et 3e jeudisde 14 h 30 à 17 h dans les locaux de la SA Doloise - 5A, rue Bougauld.

Mars 2018 - Pays dolois 15

“Apporter plus de confort et de pouvoir d’achat…”Hélène Pélissard - Présidente de Soliha

“Des réponses concrètes rapidement…”Bernard Cantenot - Chef de service

Comment s’opère la prise en charge du public ?Nous sommes face à des personnes déjà rensei-gnées par l’Adil ou à des personnes qui s’adres-sent directement à nous. Nous recevons sou-vent des ménages qui ont un projet et quisouhaitent faire des travaux. Un premier entre-tien avec une conseillère habitat permet dedécrypter le projet, d’analyser les différents élé-ments et de dégager des premières tendancessur l’opportunité et les conditions d’égibilité dudossier. En fonction, nous envisageons alorsune visite sur le terrain.

Des visites de logements et maisons ?Oui car on ne peut pas évaluer correctementla nature des travaux sans une visite conseilsur place préalable. L’environnement globalest important. Notre technicien prendconnaissance du souhait des habitants, deleurs habitudes de vie dans le logement… Il

établit un premier bilan énergétique, évalue levolume de travaux et surtout le gain énergé-tique possible après travaux. Sur 2017, lamoyenne de gain énergétique après travauxs’élève à 40 %, une réelle économie quand onhabite dans le Jura ! Quand aux seniors, ilspourront aussi être aidés pour adapter leurlogement. Cette première visite permet ainside fixer une base de travail pour approfondirle dossier.

Et par la suite… ?On finalise le descriptif des travaux avec lesdonnées techniques pour les demandes dedevis. Nous analysons les devis avec les proprié-taires et dans le même temps, nous finalisonsles dossiers de financement. Dossiers qui seronttransmis au délégataire des crédits Anah etautres financeurs, pour validation des aides.Notre objectif est de faciliter au maximum lesdémarches et d’obtenir les meilleures aides.

Question délais ?Il faut environ trois mois entre le premier contactet l’obtention des aides. C’est globalement assezrapide. Les propriétaires ont ensuite un an pourentamer les travaux. Les travaux terminés, il suf-fit de nous transmettre les factures pour le verse-ment final des aides.

Les aides se poursuivent en 2018 ?Oui et nous espérons maintenir cet importantvolume de dossiers traités. C’est notre raisond’être. A l’ère de la dématérialisation, nousaurons une proximité particulière pour aider lesménages ou personnes seules dans leursdémarches. Il faut veiller à ce que personne ne sedécourage et ainsi éviter le renoncement. Denombreux projets en centres urbains, centresbourgs, OPAH… se développent sur le Jura. Desdossiers intéressants qui donnent droits à desaides et des avantages fiscaux. Il ne faut pas hési-ter à entreprendre et prendre de bons conseils !

Pour vous, quelle est la mission premièrede Soliha ?C’est simple, en Franche-Comté, on compteun million de logements ou habitations. 70 %de ces logements ont été construits avant1975 avec les matériaux d’alors et loin du res-pect des normes environnementales et éner-gétiques que l’on connaît aujourd’hui. Nousavons donc un patrimoine et un importantparc immobilier à rénover. Tout d’abord pourle confort des occupants et dans undeuxième temps pour une amélioration dupouvoir d’achat grâce aux économies d’éner-gie. En effet, une maison ou un logementbien rénové représente une économie impor-tante. Le rôle de Soliha, c’est le conseil tech-nique, le conseil de terrain : comment finali-ser un dossier avant travaux, commentenvisager des travaux d’isolation réalistes enfonction de l’habitation concernée, des res-sources de chacun et des aides publiques pos-sibles ? Nous sommes là pour aider lesménages, les personnes à mobilité réduite ou

en situation de handicap, mais aussi les pro-priétaires bailleurs à passer d’un projet à uneréalisation. Nous sommes une association àbut non lucratif, nous ne réalisons pas de tra-vaux, on travaille simplement dans un espritde service et d’intérêt général.

Les enjeux sont-ils importants ?Oui, très importants. Nous avons tous com-pris que les matières premières naturelles nesont pas inépuisables, que l’on doit consom-mer moins. Les nouvelles technologies et lesnouveaux matériaux permettent aujour-d’hui de construire et rénover des logementsde grande qualité, très bien isolés avec unefaible consommation d’énergie. L’idée, grâceaux aides significatives de l’Etat, via l’Anah,c’est permettre d’améliorer les performancesénergétiques de 30% en moyenne avec 50 à60 % d’aides, des aides toutefois soumises àdes conditions de ressources. Mais au final,c’est tout de même un propriétaire sur deuxqui est éligible à ces aides.

Combien de foyers sont concernés ?Le parc de logements à rénover est vaste. C’estsans fin ! Le Jura est, en volume de dossierstraités, le premier département de Franche-Comté. Environ 800 dossiers d’aides ontabouti en 2017. Soit autant de ménagesaccompagnés pour lutter contre la précaritéénergétique, contre le logement indigne etpour faciliter le maintien à domicile. Nousavons la connaissance pour conseiller, notredevoir est d’aider à concrétiser un dossier enfonction des ressources de chacun : quels travaux, quel chiffrage, quel financement ?Personnellement, j’aime cette notion deconstruire, bâtir, rénover... en lien avec la situa-tion sociale des ménages. Finalement la règleest simple : apporter plus de confort et depouvoir d’achat.

l’accompagnement…

AGENCE de LONS-LE-SAUNIER : du lundi auvendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17h, AGENCE de DOLE : les lundis, mercredis etvendredis de 10 h à 12 h , 3 avenue Aristide Briand.

16 Mars 2018 - PPays de Lons

Redonner de l’attractivité à l’habitat de centre-ville et de centre bourg en l’adaptant aux nouvelles attentes des habitants et lutter contre la précaritéénergétique…ECLA s’est engagée dans la politique del’habitat de façon volontariste depuis 2006,avec la réalisation d’un PLH, dont laseconde version a été adoptée en fin d’an-née 2015 et la prise de délégation des aidesà la pierre. La volonté de prendre la déléga-tion des aides à la pierre est liée à notresouhait d’adapter les financements aucontexte et contraintes locales. La précaritéénergétique est une problématique localeque nous avons souhaité traiter en ayantune approche globale du logement entenant compte du couple loyer + charge.Ainsi les aides attribuées par la collectivitésont conditionnées à l’atteinte d’un certainniveau de consommation énergétique deslogements.

Parc privé locatifPour le parc privé locatif conventionné,financé par l’Anah, nous appliquons unemodulation des niveaux de loyers en fonc-tion de la classe énergétique obtenue. Celapermet à un propriétaire qui fait l’effort demieux isoler son logement de proposer unloyer plus haut puisque le locataire fera deséconomies de charges. C’est le raisonne-ment au coût global.

Propriétaires occupantsPour les propriétaires occupants, les aidesproposées sont progressives en fonctiondes revenus des personnes et du gain éner-gétique réalisé grâce aux travaux. Plus il y ades travaux réalisés, plus le gain est impor-tant et plus le montant de la subventionAnah est élevé (entre 35 et 60 % d’aidespeuvent être alloués). ECLA apporte sur sesfonds propres une aide complémentaire de500 € pour les propriétaires occupants auxressources les plus faibles.

Adaptation du logement auxcontraintes du vieillissementLe second enjeu de la politique de l’habitatporte sur l’adaptation du logement auxcontraintes du vieillissement. Pour les tra-vaux permettant le maintien à domicile, lesaides Anah sur le territoire d’ECLA peuventaller de 30 à 55 %.

Des logements adaptés aux nouvellesattentes de la populationEnfin le troisième enjeu de la politique del’habitat d’ECLA est d’offrir des logementsadaptés aux nouvelles attentes de la popu-lation, en ayant une approche globale dulogement dans son environnement. La simple réhabilitation d’un logementn’est plus suffisante, il faut considérer celogement dans son environnement global.Il faut que les produits proposés soientattractifs pour de nouveaux habitants. Parexemple pour des jeunes ménages, il fau-dra proposer des logements avec desespaces verts privatifs pour les enfants.Pour des personnes plus âgées, il seraimportant de proposer des logements avecun ascenseur qui soit facilement accessibledepuis le domaine public. Redonner de l’attractivité au logementc’est aussi redonner de la luminosité à deslogements en démolissant des corps debâtiments devenus obsolètes, qui de pluspermettent de libérer des espaces sur letènement pour faire des espaces de convi-vialité.

“ECLA a engagé une OPAH-RU en 2012”C’est pour répondre à ce type d’enjeuxqu’ECLA a engagé une OPAH-RU (Renouvel-lement Urbain) en fin d’année 2012. Elle apermis de relancer une dynamique sur leterritoire. En effet, l’animation confiée àSOLIHA Habitat et les aides complémen-taires apportées par ECLA se traduisent parune augmentation significative des projetsdéposés par les propriétaires bailleurs et lespropriétaires occupants.

En 2017, le programme a permis d’engagerla réhabilitation de 118 logements, dont 91de propriétaires occupants et 27 destinés àla location avec des loyers encadrés. Sur les 5 années de l’OPAH-RU, nous avonspu mobiliser plus de 4 295 000 € de créditsAnah et FART sur le territoire, complétéspar des apports de fonds propres d’ECLA àhauteur de 400 000 € et qui génèrent destravaux de réhabilitation à hauteur d’envi-ron 8 500 000 € pour l’économie locale.Depuis l’engagement de cette OPAH-RU,c’est 448 logements qui ont été réhabilitéssur le territoire.Une réflexion est en cours pour une nou-velle contractualisation afin d’apporter unenouvelle animation sur le territoire, maiscependant, les dispositifs d’aides évoquésci-dessus perdurent.

ECLA - POLITIQUE DE L’HABITAT

Les autres dispositifs d’intervention de l’agglo-mération sur l’habitat :• Sur le parc public, géré par les bailleurssociaux, ECLA développe également unepolitique de soutien de la réhabilitationthermique des logements en apportantsur ses fonds propres, 1 300 € par loge-ment alors que l’Etat n’apporte plusd’aide directe.

• Les réhabilitations réalisées par les bail-leurs s’accompagnent d’une augmenta-tion des loyers, que notre subvention àvocation à limiter.

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18 Mars 2018 - PPays de LonsHabitat ? Logement ? Rénovation de votre logement ?le Conseil Départemental du Jura en rajoute !

Le département du Jura met en œuvre, dans lecadre de la délégation de compétence desaides à la pierre, une politique volontaire

d’amélioration du parc de logements sociauxet privés existants. Pour atteindre cet objectif,

le département gère et oriente lesfinancements de l’agence nationale de

l’Habitat (Anah) et accorde des subventionscomplémentaires sur ses propres fonds.

Lutter contre la précarité énergétique, l’habitatindigne et favoriser l’adaptation des logementsau handicap et à la perte d’autonomie n’est-il paslouable ? Dans ce cadre, le Conseil Départemen-tal du Jura reçoit, au titre des aides à la pierre,des financements de l’Etat par le biais de l’Anah.Plus que de distribuer ces fonds, et conscientsdes enjeux de demain, le département s’engagefinancièrement en complément de ces aides. Surla période 2016/2018, c’est un programme ambi-tieux de 16 millions de travaux qui est engagé :12,2 millions sur les financements de l’Anah et3,8 millions financés par le Département du Jura.Ces crédits s’adressent à la fois aux particuliers,aux bailleurs publics et aux communes.

Des aides ciblées et disponibles“Ces aides sont prévues pour favoriser la réhabili-tation des logements, la rénovation thermique etles économies d’énergie, pour traiter les situationsd’habitat indigne ou trop dégradé, pour développeravec les propriétaires bailleurs l’offre de logementslocatifs à loyer maîtrisé et sobre en énergie”. “60 %des habitants sont éligibles et les subventions peu-vent atteindre 70 % du financement total. LeConseil départemental subventionne par an envi-ron 600 logements pour les particuliers et environ250 logements rénovés ou construits pour les bail-leurs. De plus, ces travaux sont autant de marchéspour les entreprises locales qui bénéficient de14 millions d’euros de travaux sur la même pé-

riode”. Les demandes de dossiers sont à adresserchez Soliha qui se charge de constituer votre dos-sier et de transmettre les demandes de subventionau Conseil départemental. Nous vous invitons à ra-pidement déposer vos dossiers. En cette année2018, les aides de l’Etat sont conséquentes et pourl’heure encore disponibles.

Soliha : 32 rue Rouget de Lisle 39000 Lons-le-Saunier.Tél. 03 84 86 19 10contact@jura.soliha.fr - www.jura.soliha.frAgglomération Grand Dole - Service habitat - Tél. 03 84 79 79 79

DÉPARTEMENT DU JURA

Le Département est cette année encore un vecteuressentiel de la politique de l’Anah pour la lutte contre laprécarité énergétique. Le gain énergétique moyen desrénovations financées est de 43 % en habitationprincipale et de 72 % en locatif. Ces données sontsupérieures aux moyennes régionales et nationales,preuve de l’accompagnement du Département auprèsdes particuliers.

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20 Mars 2018 - PPays de LonsDes organismespour vous accompagnerVous avez un projet de rénovation, deconstruction, d’achat, d’investissement locatif :prenez contact avec les différents organismesdont la vocation première est d’informer etconseiller en toute objectivité.

Des conseils neutres et gratuitspour tout savoir sur vos droits et devoirs pour louer, acheter,construire ou encore rénover, connaître les aides financièreset fiscales pour réaliser votre projet. Les services de l’ADIL vousapporteront un conseil complet, neutre et objectif en vousétablissant une étude de financement personnalisée, en vousdétaillant les frais annexes (frais de notaire, taxes diverses,…),en vous informant sur les contrats vous liant aux professionnelset en vous détaillant les avantages fiscaux liés à vos choix.Prenez préalablement rendez-vous en appelant le 03 84 86 19 30.

LONS-LE-SAUNIER : du lundi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h 30, le vendredi après-midi de 14 h à 17 h 30.

Permanence DOLE : 1er et 3e jeudis de 14 h 30 à 17 h dans les locaux de la SA Doloise - 5A, rue Bougauld.

Energie et environnementPorté par l’association AJENA, L’ESPACE INFO ÉNERGIE du Juraaccompagne gratuitement les particuliers dans tous leurs pro-jets concernant les économies d’énergie dans l’habitat(construction, rénovation, changement de système de chauf-fage, isolation, énergies renouvelables...) et informe sur lesaides financières disponibles.

AJENA, Énergie et environnement est une association tech-nique à but non-lucratif qui agit pour la réduction desconsommations d’énergie et d’eau, la gestion optimisée desressources naturelles. Pour votre projet de rénovation, deconstruction ou pour obtenir un conseil afin de réduire vosfactures d’énergies, contactez l’association AJENA. Vous trou-verez des informations sur le choix et la mise en œuvre desmatériaux de construction et d’isolation, le chauffage, deslistes de professionnels, les aides financières mobilisables, etc.Sur rendez-vous en téléphonant au 03 84 47 81 14

LONS-LE-SAUNIER : du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h.

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Les architectes vous conseillent en toute indépendanceEn amont de tout projet de construction ou de rénovation,un architecte conseiller du CAUE vous apporte les informa-tions adaptées sur les aspects : paysagers (insertion dans lesite), architecturaux, (implantation, plans et façades, cou-leurs...), réglementaires (documents d’urbanisme...).Une construction, une réhabilitation, une extension, mêmemodestes sont autant d’interventions architecturales qui doi-vent être de qualité et respectueuses de leur environne-ment : faire appel au CAUE le plus tôt possible dans votredémarche, c’est l’assurance de la prise en compte d’une meil-leure qualité architecturale et paysagère pour votre cadre devie. Le professionnel étudie votre dossier en toute indépen-dance et sans fonction de contrôle, vous apporte des infor-mations et une aide personnalisée sans se charger de la maî-trise d’œuvre.DOLE : bâtiment de la visitation - 3 avenue Aristide Briand, 1er étage - le 1er mardi du mois à partir de 14 h, sur rendez-vous.

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BON À SAVOIR...

Rénover quand on est locataireLa loi précise clairement les obligations deslocataires et des propriétaires en matièrede logement. Ainsi, le bailleur doit fournirun logement en bon état d’usage et deréparation. […] Une clause dans le contratde bail peut mentionner des travaux que lelocataire exécutera (ou fera faire), encontrepartie d’une réduction de loyer.Lorsque le logement est en bon étatd’usage, le locataire peut prendre l’initia-tive de petits travaux d’entretien, d’aména-gement ou de décoration. Par exemple, il ale droit de remplacer la moquette ou lepapier peint, de repeindre une pièce, deposer une étagère, de fixer des meubles àcondition qu’ils soient amovibles ou d’ac-crocher des tableaux, à condition de rebou-cher les trous en partant. Lui incombentégalement les menues réparations pourconserver en bon état les portes, fenêtres,vitrages, serrures, murs, plafonds, revête-ments de sols, placards…En revanche, le locataire ne peut pas selancer dans une rénovation plus impor-tante “transformant la chose louée”, sansune autorisation écrite du propriétaire.Source Baromètre de l’Habitat Sain.

BON À SAVOIR

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“Le gérant change juste de prénom”, plaisanteLaurent qui, il y a juste un an, a repris la succession de son père.Créée à PoidsdeFiole dès 1985 par Rémy,puis installée dernièrement aux Rippes deSaintMaur, la SARL Rémy et Laurent PERNINn’en finit pas de gagner des parts de marchésur son domaine d’intervention, les bassinslédonien, orgelétain, le HautJura, la Bresse, lePays de Gex… Auteur de réalisations trèsremarquées dans le lot “fermetures extérieures” du contrat de construction d’unpavillon d’habitation ou de rénovation d’unbâtiment, c’estàdire les fenêtres, les volets,les portesfenêtres, les portes d’entrée, lesportes de garage qu’elles soient en PVC, en

bois, en boisalu ou en alu mais aussi lesvérandas, les pergolas, les gardecorps… laSARL Laurent et Rémy PERNIN fait figure deréférences dès qu’il s’agit “de surmesure ou decommandes spéciales”.Budget respecté, pose soignée, qualité garantie. Entreprise familiale s’il en est… Laurents’appuie sur une équipe de poseurs volontairement restreinte composée de Michel et Stéphane, les deux étant aguerris aux posesextraordinaires ainsi que sur Julie, son épou