les actualités de la roumanie pour le mois de janvier 2016 de eastrategies

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Eastrategies Page 1 Actualité macro-économique en Roumanie Population : 19,947 millions d’habitants PIB en 2014 : 151,47 milliards EUR PIB par habitant en 2014 : 7.500 EUR/habitant Croissance en 2014 : +2,8 % Croissance prévisionnelle en 2015 : +4 % Flux net d’IDE en 2013 : 2,71 milliards EUR Salaire minimum brut garanti à partir du 1er juillet 2015 : 235 EUR (1.050 RON) Salaire moyen brut mensuel, en octobre 2015 : 586 EUR (2.594 RON) Taux d’inflation en 2014 : 1,1 % Taux de chômage en juillet 2015 : 4,9 % Place de la France dans les échanges commerciaux : 3ème client, 4ème fournisseur Stock IDE français en 2011 : env. 7 milliards EUR, France – 3ème rang parmi les investisseurs étrangers Cours EUR/RON au 28.01.2016 : 1 EUR = 4,5386 RON NOUVEAUTES Janvier 2016 Correspondant Bretagne Commerce International, Fédération des Industries Mécaniques (FIM) et BNP Paribas Fortis

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Eastrategies Page 1

Actualité macro-économique en Roumanie

Population : 19,947 millions d’habitants

PIB en 2014 : 151,47 milliards EUR

PIB par habitant en 2014 : 7.500 EUR/habitant

Croissance en 2014 : +2,8 %

Croissance prévisionnelle en 2015 : +4 %

Flux net d’IDE en 2013 : 2,71 milliards EUR

Salaire minimum brut garanti à partir du 1er juillet 2015 : 235 EUR (1.050 RON)

Salaire moyen brut mensuel, en octobre 2015 : 586 EUR (2.594 RON)

Taux d’inflation en 2014 : 1,1 %

Taux de chômage en juillet 2015 : 4,9 %

Place de la France dans les échanges commerciaux : 3ème client, 4ème fournisseur

Stock IDE français en 2011 : env. 7 milliards EUR, France – 3ème rang parmi les investisseurs étrangers

Cours EUR/RON au 28.01.2016 : 1 EUR = 4,5386 RON

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Actualité politico-économique en Roumanie

« Venez en Roumanie! », le Premier ministre Dacian Ciolos lance un appel aux PME : Le Premier ministre Dacian

Ciolos, a été reçu par François Hollande le 20 janvier. « Il y a de belles opportunités pour des PME, notamment

dans les secteurs de l'énergie et de l'agro-alimentaire », assure le Premier ministre roumain, en visite à Paris.

Après avoir vu Angela Merkel, début janvier, le nouveau Premier ministre roumain, nommé le 17 novembre der-

nier, a été en visite officielle en France. Les deux hommes se sont rencontrés « comme de vieux amis », selon les

termes de François Hollande. Le président français a rendu hommage a l'ancien Commissaire européen à l'agri-

culture, marié à une Française, qui « avait toujours veillé à donner à l'agriculture européenne les conditions de

son développement ». Au menu: l'organisation d'une saison culturelle roumaine en France en 2018, à l'occasion

du 100ème anniversaire de la création de la Roumanie moderne. Mais l'on a aussi beaucoup parlé d'économie,

des Roms et de l'adhésion de la Roumanie à l'espace Schengen... Dacian Ciolos: « Durant mon mandat, qui durera

jusqu'aux prochaines élections législatives, à la fin de l'année, j'aimerais attirer des entreprises françaises sur le sol

roumain. Notre pays connait une croissance de 4%. Il y a de belles opportunités pour des PME, notamment dans

les secteurs de l'énergie et de l'agro-alimentaire. Il y a aussi le projet européen de laser de grande puissance, en

cours de construction, qui pourrait intéresser des sociétés spécialisées dans les domaines informatique et médi-

cal. Pour les inciter à venir, nous devons mener une réforme administrative et poursuivre le développement d'in-

frastructures. Nous devons aussi leur offrir des facilités fiscales. » Concernant l'entrée de la Roumanie dans l'espa-

ce Schengen, Dacian Ciolos a déclaré : « Depuis des années, la Roumanie remplit les conditions pour entrer dans

l'espace Schengen. Si rien ne s'est passé, c'est essentiellement pour des raisons politiques, liées au haut niveau de

corruption qui régnait dans le pays. Mais la situation s'améliore. Les derniers rapports européens sur les

« mécanismes de coopération et de vérification », qui mesurent les progrès réalisés en matière de réforme du sys-

tème judiciaire et de lutte contre la corruption, sont positifs. Nous avons également prouvé, ces derniers mois,

que la Roumanie, en collaboration avec l'agence Frontex, était capable de protéger les frontières de l'Europe.

Tous les ingrédients sont donc réunis pour que nous puissions adhérer à l'espace Schengen. Une première étape

pourrait être l'ouverture de l'espace aérien Schengen à la Roumanie. J'ai demandé à François Hollande son appui,

il m'a répondu que cette option était possible. » (Source : www.lexpress.fr)

Les ventes de véhicules électriques et hybrides neufs ont doublé en 2015 : 495 c'est le nombre de véhicules

électriques et hybrides neufs vendus en Roumanie en 2015. Cela représente 110% de plus qu'en 2014 - 236 uni-

tés. Les chiffres nous sont fournis par l'Association des producteurs et importateurs d'automobiles (APIA). Il s'agit

de 0,5% du total de véhicules neufs commercialisés au niveau national l'an passé. L'APIA complète son compte

rendu des résultats pour l'année 2015 en évoquant les types de combustibles : les véhicules diesel représentent

53,5% du marché du neuf roumain, contre 46% pour les véhicules fonctionnant à l'essence. Du côté de la France,

ce sont plus de 22.000 véhicules électriques qui ont été immatriculés l'an passé. Là encore, les chiffres sont en

hausse. C'est la Norvège qui domine - et de loin - ce classement en Europe avec plus de une immatriculation sur

trois qui est électrique ou hybride. (Source : Lepetitjournal.com/Bucarest)

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Eastrategies Page 3

L’industrie du meuble en bois est en crise : La semaine dernière, une conférence de presse organisée par la fédé-

ration de tutelle de l'industrie du meuble roumain, APMR, et Fordaq, avec le soutien de la Chambre de commerce

roumaine CCIR et de CONPIROM, a permis à certains représentants de l'industrie du meuble en Roumanie de met-

tre en question la forte hausse du prix de la matière première bois. L'industrie du meuble roumain vit une situa-

tion. Les prix d'achat ont grimpé parfois jusqu'à 300% depuis 5 ans. Cette évolution met en péril l'ensemble de

l'industrie du meuble de la Roumanie, estiment les représentants de l'industrie. La compétitivité de la filière bois

roumaine sur la scène internationale est menacée, ainsi que les emplois. L'industrie roumaine du meuble est dans

une situation difficile depuis 25 ans, estime Aurica Sereny, la présidente de l'APMR. La cause en étant la forte

hausse des coûts au cours des dernières années. Une situation en face de laquelle le pays est en situation de dé-

flation. Sur le marché international, les prix des meubles à longue durée de vie ont chuté de 3,1%, et de 2,6% sur

le marché domestique. Trop de temps a été perdu pour la mise en pratique du nouveau code forestier de mai

2015, estime Catalin Tobescu, le vice-président de la Fédération roumaine des propriétaires forestiers. Pendant ce

temps, l'office national Romsilva a abusé de sa position dominante, donnant lors des ventes des prix de références

situés nettement au-dessus du niveau des prix européens. C'est pourquoi les représentants de l'industrie du meu-

ble réclament un renouvellement des ventes sur la base de prix de références révisés. (Source : http://bois.fordaq.com)

Costin Borc : « L’entrée de la Roumanie dans Schengen enverrait le message que la zone est bien vivante. » :

Dans son interview aux « Echos », le ministre de l’Economie renouvelle la volonté de son pays d’entrer dans

Schengen. Mais en septembre, Bucarest a voté contre la répartition des migrants au sein de l’Union. La Roumanie

ne fait pas partie de la zone Schengen. N’est-ce pas un atout ? Au moins la Roumanie reste à l’abri de la vague mi-

gratoire … « Oui et non. Ni la Serbie, ni la Macédoine, ni la Bulgarie ne sont dans Schengen et pourtant elles n’é-

chappent pas au flux migratoire. De notre côté, nous continuons à vouloir rentrer dans Schengen. Nous souhai-

tons participer à la lutte contre la menace terroriste et à la mise en place du corps de garde-frontières. Nous

avons l’une des frontières les plus longues d’Europe, avec le Danube au sud, la Moldavie et l’Ukraine à l’est. Si les

Européens accordent à la Roumanie le droit de rentrer dans Schengen, cela enverra à l’Europe le message que la

zone Schengen est bien vivante et qu’elle a un avenir. Nous proposons de l’intégrer par étapes, en commençant

par les frontières aéroportuaires, ce qui faciliterait les affaires. Toutes les conditions sont remplies au niveau tech-

nique, il s’agit aujourd’hui de prendre une décision politique qui sera une reconnaissance des efforts que nous

avons faits. Dix ans après leur adhésion à l’Union européenne, les Roumains restent convaincus qu’elle leur offre

un avenir meilleur. » Concernant un possible dérapage des finances publiques suite au fait que le gouvernement

de transition a entériné les mesures de relance votées par le gouvernement de Victor Ponta, M. Borc a déclaré :

« Notre gouvernement a accepté les textes qui avaient été votés à la fin de l’été par le Parlement. Le budget 2016

prévoit un déficit de 2,9 % de PIB avec une croissance de 4 %. Les baisses d’impôts et de TVA représentent un sou-

tien de 10 milliards de lei (2,2 milliards d’euros) aux entreprises dont on attend maintenant qu’elles investissent.

Nous avons aussi maintenu l’augmentation du salaire minimum de 1.050 à 1.250 lei à partir du 1er mai (soit 276

euros). » (Source : www.lesechos.fr)

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Paris et Bucarest plaident pour la sauvegarde de Schengen : François Hollande et le Premier ministre roumain

Dacian Ciolos ont appelé de concert à assurer « un avenir » à l’espace Schengen, s’exprimant devant la presse à

l’issue d’un déjeuner à l’Elysée. « Nous voulons assurer un avenir à Schengen car sa dislocation aurait des consé-

quences extrêmement graves pour l’Union européenne », a souligné le chef de l’Etat français qui a indiqué qu’il se

rendrait en Roumanie cette année. Pour autant, a poursuivi François Hollande, « nous devons améliorer Schengen

et parfois rediscuter un certain nombre de règles d’application ». « Mais nous devons garder Schengen, c’est-à-

dire la libre circulation », a-t-il insisté, notant que « la Roumanie, depuis longtemps, veut participer pleinement à

Schengen » et que les deux ministres de l’Intérieur français et roumain discutaient « des étapes que nous pouvons

franchir aux conditions qui sont celles de la sécurité ». « Nous saluons ce que fait la Roumanie pour aller dans le

même sens que la France, c’est-à-dire assurer une sécurité effective des frontières extérieures de l’Europe », a

ajouté François Hollande. « Nous soutenons notamment ce que fait la Commission européenne pour l’installation

de gardes-côtes et de gardes-frontières pour régler le plus humainement possible (la question) des réfugiés qui

viennent », a-t-il précisé. De son côté, le Premier ministre roumain a « confirmé l’appui de la Roumanie aux pro-

jets de consolidation des frontières européennes ». « Nous espérons que cette contribution de la Roumanie (…)

sera l’un des critères retenus pour qu’elle puisse adhérer à l’espace Schengen », a-t-il souligné. Face à un afflux de

réfugiés parfois incontrôlable, plusieurs Etats membres de l’UE ont réintroduit des contrôles provisoires à leurs

frontières ces derniers mois, à l’intérieur d’un espace Schengen où la libre-circulation est habituellement la règle. (Source: www.respectmag.com)

Les priorités stratégiques des ministères de la Santé et des Fonds européens : Le Gouvernement a rendu publi-

ques ses priorités stratégiques et les plans d’action sectoriels 2016 pour chaque ministère. Le ministère de la San-

té planifie de développer l’assistance médicale dans le domaine de la pédiatrie et néonatologie, ainsi que de la

grande brûlure et des pathologies majeures, d’améliorer le traitement oncologique et celui des maladies rares,

l’amélioration de la qualité des services de soins et des services d’urgence pendant la période critique et postcriti-

que, ainsi que le développement de la médecine préventive et de l’éducation médicale de la population. Le minis-

tère des Fonds européens se propose d’attirer les fonds relatifs à la période 2014-2020, d’assurer une « transpa-

rence totale » dans la mise en œuvre des programmes et des projets européens, de soutenir les bénéficiaires des

projets financés par les fonds européens, d’accélérer la mise en pratique des programmes FESI 2014-2020. (Source : Agerpres, Mediafax)

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Entreprises françaises en Roumanie

CARREFOUR : Le groupe Carrefour cherche à devenir leader de la distribution en Roumanie. Le premier groupe de

distribution français a annoncé un projet d’acquisition de 86 supermarchés de Billa Roumanie auprès du groupe

allemand Rewe. S’il est autorisé par les autorités de la concurrence, il permettra à Carrefour de venir « le premier

opérateur de supermarchés en Roumanie », estime le groupe. Le groupe est présent en Roumanie depuis 2001 et

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y possède actuellement 183 magasins, dont 29 hypermarchés, 100 supermarchés Market, 43 magasins de proxi-

mité Carrefour Express, 10 magasins de proximité Contact et un magasin en ligne. Son parc de supermarchés va

ainsi quasiment doubler. En 2014, Carrefour a dégagé dans le pays un chiffre d'affaires hors taxes de 1,07 milliard

d'euros (+6,3% en un an), soit 1,4% des ventes totales du groupe. Leader de la distribution en Europe, Carrefour

est aujourd’hui porté par le redémarrage en Espagne et en Italie. Ses ventes dans l’Hexagone ont également pro-

gressé d’1,6 % cette année. Son PDG Georges Plassat estimait début décembre que Carrefour allait vivre une fin

d’année « correcte ». Le montant de l’acquisition projetée par Carrefour n’a pas encore été dévoilé. Mais selon la

presse locale, Carrefour débourserait près de 100 millions d'euros pour ces supermarchés, qui auraient dégagé en

2014 près de 320 millions d'euros de chiffre d'affaires, pour 0,5 million de bénéfice net. Carrefour, deuxième dis-

tributeur en Roumanie avec une part de marché de 7 à 8% derrière l'allemand Kaufland (groupe Schwartz, aussi

propriétaire de Lidl) avec 14%, deviendra le premier opérateur de supermarchés en Roumanie. Il renforcera ainsi

sa position de numéro deux, creusant l'écart avec le numéro 3, Auchan, et ses 5% de part de marché. Billa Rouma-

nie possède une surface de vente totale de 83.000 m2. A l’intérieur de la marque Billa, elle n’est cependant pas le

plus gros réseau. Lancé à l’origine en Bulgarie, Billa est aujourd’hui principalement présent en Autriche, où il dis-

pose de plus de 1.000 magasins. Ce n’est pas la première fois que Carrefour s’attaque au réseau Billa. Le groupe

avait racheté 53 supermarchés de la marque en Italie, en 2014. Pour sa part, le groupe Rewe se concentrera sur la

poursuite du développement de son activité discount en Roumanie, avec sa chaîne de hard-discount Penny. «En

se centrant sur les activités discount, le groupe Rewe peut idéalement faire progresser sa stratégie de croissance

en Roumanie», a expliqué Frank Hensel, directeur général de Rewe International. Sur les neuf premiers mois de

l'année 2015, les ventes de Penny dans le pays ont progressé d'environ 14%. (Source : www.lesechos.fr, www.agefi.fr)

Le 20 janvier dernier, Carrefour Roumanie a été récompensé dans la compétition « Give IT », organisée chaque

année par l'Association Ateliers Sans Frontières. Cette compétition a pour but de récompenser les entreprises qui

choisissent de donner leurs anciens équipements informatiques afin qu'il soit réutilisé pour des projets éducatifs

et d'insertion dans tout le pays. Cette année, Carrefour occupe la troisième place du classement des entreprises.

Cette année, Carrefour occupe la troisième place dans le classement des entreprises qui ont remis à l'Association

« Ateliers Sans Frontières » le plus grand nombre d''équipements électriques et électroniques usagés (DEEE), favo-

risant ainsi la réduction des déchets et leur réutilisation avant recyclage et élimination. La plupart des équipe-

ments informatiques donnés par Carrefour Roumanie seront offerts, après remise en état, aux écoles et aux asso-

ciations dans les communautés défavorisées. Ces équipements créent également des emplois dans l'atelier d'in-

sertion pour les personnes défavorisées. (Source: www.carrefour.com)

LACTALIS : Le plus grand fabricant de produits laitiers en Roumanie, Albalact, sera repris par le géant français Lac-

talis, qui a racheté 70% des actions et fera une offre de rachat total du fabricant de Alba Iulia. « Lactalis a signé un

contrat avec les actionnaires vendeurs qui détiennent 70,3% du capital total de Albalact, ayant pour objectif d'ac-

quérir la totalité des actions détenues par les actionnaires vendeurs », précise Albalact, dans un communiqué. La

valeur de la transaction est de 407 millions de lei (89,7 millions d’euros), dont seront déduites les dettes nettes

d’Albalact. Albalact - Alba Iulia est la plus grande entreprise à capital majoritaire local dans l'industrie laitière.

Créée en 1971, Albalact a été transformée en société par actions en 1990 et privatisée en 1999. Albalact a un

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EXPO FLOWERS & GARDEN (7 - 10.04.2016) : www.expoflowers.ro

Salon international de fleurs, aménagement paysager, horticulture et jardinage – 8ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

CONSTRUCT EXPO (7 - 10.04.2016) : www.constructexpo.ro

Salon international de technologies, équipements, outillages et matériaux pour constructions - 23ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

ROMTHERM (7 - 10.04.2016) : www.romtherm.ro

Salon international d’installations et d’équipements de chauffage, refroidissement et de conditionnement de l’air

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

AMBIENT EXPO (7 - 10.04.2016) : www.ambient-expo.ro

Salon international de produits et systèmes pour aménagements intérieurs et extérieurs, décorations, mobilier et

piscines - 23ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

ROMENVIROTEC (7 - 10.04.2016) : www.romenvirotec.ro

Salon international de technologies et d’équipements de protection de l’environnement – 23ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

ROMMEDICA (14 – 16.04.2016) : www.rommedica.ro

Salon international de médicine et pharmacie – 26ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

AUTOEXPOTEHNICA (22 – 24.04.2016) : www.autoexpotehnica.ro

Salon international de composants et accessoires pour l’industrie automobile – 4ème édition

Lieu et organisateur : Bucarest, ROMEXPO SA

Evénements

actionnariat majoritairement roumain, et les actions émises par Albalact sont admises aux négociations à la caté-

gorie Standard de la Bourse de Valeurs de Bucarest. Albalact détient 99,01% des actions de la société Rarăul Câm-

pulung Moldovenesc et 100% de la société de logistique Albalact Logistic SRL, ayant plus de 1.000 employés dans

les trois entités. Albalact vend des produits frais, pasteurisés et UHT, sous les marques Zuzu, Fulga, Rarăul, Alba-

lact et Poiana Florilor. Lactalis est le leader mondial de l'industrie de la transformation du lait, détenant de nom-

breuses marques internationales de succès tels que « Président », « Parmalat », « Galbani ». Le Groupe compte

actuellement 75.000 employés et détient plus de 200 usines situées dans 43 pays à travers le monde. En 2015, le

Groupe Lactalis a enregistré un chiffre d'affaires de 17 milliards d'euros. (Source : http://adevarulfinanciar.ro)

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Les dépenses de décembre, un mal difficile à guérir : Le budget consolidé est passé d'un excédent de 5,3 milliards

de lei (1,1 milliard d'euros ou 0,76% du PIB) en novembre, à un déficit de 9 à 10 milliards de lei (2,2 milliards d'eu-

ros ou 1,4% du PIB) en décembre. Le gouvernement Cioloș fait ainsi perdurer la tradition qui veut que l'Etat dé-

pense tout au dernier moment, pour ne rien garder dans son portefeuille. Quinze milliards de lei (3,3 milliards

d'euros) se sont envolés en seulement un mois. Le budget 2015 a été construit sur un déficit de 1,8% du PIB, soit

2,9 milliards d'euros, mais, en novembre, il enregistrait un excédent de 1,1 milliard d'euros. Par ailleurs, le budget

s'est basé sur une croissance économique estimée à 2,5%, et celle-ci devrait très probablement atteindre les 3,7%,

voire 4%, pour devenir l'une des plus élevées de l'Union européenne. Une croissance plus importante que prévue

apporte bien évidemment plus d'argent au budget. Voilà comment s'explique l'excédent budgétaire enregistré en

novembre. Les données chiffrées qui seront bientôt rendues public par le ministère des Finances, vont nous ap-

prendre à quoi tout cet argent a été utilisé durant le dernier mois de l'année. Mais en attendant, nous pouvons

regarder en arrière pour comprendre quel est le mécanisme par lequel ce changement de tendance se produit

habituellement durant le mois de décembre. Car l'Etat paie certaines de ses factures seulement s'il lui reste de

l'argent, en toute fin d'année. Par exemple, si une société de construction – de taille petite ou moyenne – refait

une route, et que l'Etat n'a pas vidé toutes ses caisses en décembre, alors elle est payée juste avant les fêtes de fin

d'année. Si elle n'a pas cette chance, elle recevra son paiement l'année d'après. Il s'agit là probablement de la rai-

son pour laquelle le budget 2015 enregistrait un excédent en novembre, qui se transforma en déficit en décem-

bre. Pourquoi ce genre de pratique est-il toutefois profondément vicieux ? Puisqu'il falsifie la réalité. Quand nous

pourrons regarder plus attentivement les chiffres du ministère des Finances, nous pourrons certainement obser-

ver que l'excédent de novembre n'est pas seulement dû aux revenus conséquents collectés par l'Etat, mais aussi

et surtout grâce à l'absence d'investissements. Les dépenses d'investissements durant les onze premiers mois de

l'année 2015 ont été 13% moins élevées qu'en 2014. En d'autres termes, l'Etat a investi durant cette période qua-

siment autant que ce qu'il a payé pour rembourser les taux d'intérêt des emprunts qu'il a contractés ces dernières

années (env. 10 milliards de lei, soit 2,2 milliards d'euros). Avec les paiements effectués en décembre, les dépen-

ses d'investissements ont probablement un peu augmenté, mais le fait que les caisses étaient encore pleines d'un

peu plus d'un milliard d'euros en novembre a créé l'illusion que l'Etat avait de l'argent. Du coup, les fonctionnaires

ont demandé des augmentations salariales et les ont obtenues. Cela nous coutera cette année 13 milliards de lei

(env. 2,9 milliards d'euros) de plus et poussera le déficit budgétaire à 3% du PIB, contre 1,8% en 2014 et 1,4% en

2015. Si les paiements dus par l'Etat avaient été effectués tout au long de l'année et non pas au mois de décem-

bre, alors le déficit budgétaire aurait été cet automne de 1% à 1,5% du PIB. Il aurait été alors clair que des aug-

mentations salariales de cette ampleur n'étaient pas possibles. (Source : Ziarul Financiar- Iulian Anghel, Lepetitjournal.com/Bucarest)

Bulletin financier

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Le Parc industriel de Galati – présentation

Le Parc industriel de Galati a un positionnement concurrentiel sur la carte des destinations d'affaires offrant de nombreuses opportunités pour les investisseurs:

• l’un des plus grands carrefours commercial de Roumanie

• liés à l'Union Européenne à travers le Canal Rhin-Main-Danube;

• le voisinage immédiat de la frontière avec la Moldavie et l'Ukraine;

• l'accès à la route nationale DN 2B Galati- Giurgiuleşti, situé à proximité de la Zone de libre-échange Galati

• l’accès au chemin de fer à écartement standard utilisé dans l'Union Européenne et à écartement large utilisé dans la CEI et certains pays d'Asie.

La structure et l’infrastructure du parc :

Points forts du parc industriel :

• Le développement des affaires au sein du Parc industriel de Galati permet d'obtenir une exonération pour cer-taines impôts et taxes:

- Exemption d'impôt sur le terrain loué au sein du parc industriel ;

- Exemption d'impôt sur les bâtiments appartenant à l'infrastructure du parc industriel ;

- Exonération de toutes taxes dues aux budgets locaux des unités administratives-territoriales pour la délivrance des certificats d’urbanisme, d’autorisations de construire et / ou démolition pour les terrains et les bâtiments fai-sant partie de l'infrastructure du parc.

• Position concurrentielle sur la carte des destinations d'affaires en raison de la promotion des valeurs suivantes:

Communauté d'affaires solide; Connexion au marché mondial d'affaires; Esprit entrepreneurial; Innovation et technologie; Accès au financement.

• Le Parc industriel de Galati est stratégiquement situé près de la Zone de libre-échange Galati, a accès à des voies de transport fluvial importantes (le canal Rhin - Main - Danube), de transport ferroviaire mixte russe-européen et routières ; accès aux docks de sorte que les sociétés puissent bénéficier de services portuaires.

• Le Parc industriel peut fournir les services et les activités suivantes:

- Services pour les entrepreneurs et les investisseurs – création d'entreprise, conseil juridique, conseil fiscal;

- Financement non remboursable et remboursable pour les PME - assistance et conseil;

- Espace de travail en système de co-working pour les mini-entrepreneurs, les innova-teurs, les chercheurs;

- Formation professionnelle en développant des programmes de formation et attirant le financement nécessaire;

- Connexion globale en développant un réseau de coopération internationale.

• Puissance installée: 3 Mkv;

• Système d'égouts;

• Usine de traitement de l'eau;

• Eau courante.

• Surface: 21.8 ha;

• Siège administratif: 1980 mp²;

• Bâtiment industriel: ~ 1100 mp²;

www.parculindustrialgalati.ro

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du marché, implantation, délocalisation, sous-

traitance, recherche partenaires, exportations … en

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Marc Pascal HUOT

Fondateur de Eastrategies,

Directeur Général – Associé

17, rue C.A Rosetti

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