l'envol décembre 2014

20
Changement de bannière Décembre 2014 À INSCRIRE À VOTRE AGENDA : Assemblée générale annuelle Mercredi 18 mars 2015

Upload: la-coop-covilac

Post on 22-Jul-2016

221 views

Category:

Documents


0 download

DESCRIPTION

 

TRANSCRIPT

Page 1: L'ENVOL Décembre 2014

Changement de bannière

Décembre 2014

À INSCRIRE À VOTRE AGENDA :

Assemblée générale annuelle Mercredi 18 mars 2015

Page 2: L'ENVOL Décembre 2014

2 L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

SOMMAIREMot - présidente et du dir. général ...................................2Quincaillerie ......................................................................3Ruminant ...........................................................................4Végétal ..............................................................................6Porc....................................................................................8Avicole ...............................................................................10Agroenvironnement...........................................................14Grains ................................................................................15Colloque ............................................................................17Escouade ...........................................................................18

Bonjour à tous(tes),

Covilac : une entreprise collective régionale au bénéfice de ses membres.La mission de chaque entreprise est bien sûr d’être rentable puisque sans rentabilité il devient impossible d’assurer sa croissance, de rémunérer ses employés et de se positionner aux signaux des marchés. Qu’est ce qui nous distingue alors par rapport à d’autres modèles d’affaires?

C’est que notre modèle entrepreneurial coopératif, lorsque les profits sont au rendez-vous, retourne une partie de cette profitabilité dans le milieu, contribuant ainsi à maintenir l’activité économique dans nos milieux. De plus, elle répond aussi à un des principes coopératifs qu’est de jouer une action communautaire dans son environnement par de nombreux dons et commandites pour soutenir la vie sociale du territoire couvert par la coopérative.

SITUATION FINANCIÈREL’année financière de Covilac qui vient tout juste de se terminer nous laissera des résultats globaux d’opérations supérieurs aux budgets anticipés même en l’absence de ristournes de la coop fédérée de l’an dernier. Le secteur agricole, les productions végétales, le ruminant et la division des grains ont maintenus leur croissance en 2014 et le secteur détail est demeuré relativement stable.

Pour le secteur porcin, la rentabilité est au rendez-vous, cette année. En effet, la conjoncture a fait que les prix reçus sont nettement supérieurs aux coûts de production affichant même des niveaux historiques dans certains mois. Les conséquences de l’épidémie de la DEP (diarrhée épidémique porcine) aux E.U. expliquent en grande partie cette situation.

AGAN’oubliez pas de noter à votre agenda 2015, l’AGA de La Coop Covilac mercredi le 18 mars 2014. C’est à ce moment que les résultats de la dernière année seront dévoilés ainsi que le projet de ristournes proposés par le conseil d’administration aux membres.

BMRComme vous l’avez certainement vu en passant à Baie-du-Febvre dernièrement, La Coop Covilac affiche maintenant la bannière BMR et Agrizone sur ses bâtiments.

Rappelons-nous que Groupe BMR et La Coop fédérée ont conclu une entente commerciale par laquelle La Coop fédérée, via sa bannière Unimat, a fait l’acquisition d’une participation minoritaire dans le Groupe BMR.

Ce regroupement est bénéfique pour nos consommateurs et nous positionne avantageusement dans le secteur de détail tant au niveau accessoire agricole que commercial.

VŒUXAu nom du conseil d’administration et du personnel de La Coop Covilac, permettez-nous de vous souhaiter des Joyeuses Fêtes et une très Bonne Année 2015 avec de la santé, du bonheur et du succès. Nous vous remercions de la confiance que vous avez envers votre coopérative et nous espérons pouvoir continuer à vous servir pour les prochaines années.M

OT D

E LA

PRÉ

SID

ENTE

ET

DU

DIR

ECTE

UR

GÉN

ÉRA

L

Muriel Dubois, agr.Présidente

Richard Laroche, agr.Directeur général

Page 3: L'ENVOL Décembre 2014

3

QU

INCA

ILLE

RIE

Samedi le 29 novembre dernier, nous avons reçu la visite de Hugo Girard et de la mascotte Pic pour le changement officiel de la bannière BMR. Plusieurs personnes nous ont rendu visite et ont eu la chance de discuter avec notre invité spécial. Les enfants ont pris des photos avec nos visiteurs et ont eu la chance d’avoir un petit souvenir. De plus, les 50 premiers clients se sont vu remettre une carte récompense 360 avec 10$ échangeable en magasin. Les cartes récompenses 360 sont disponibles en tout temps, informez-vous au magasin BMR de Baie-du-Febvre pour plus de détails.

De plus, lors de cette journée, chacun à essayé de lever le fameux poids nommé Louis Cyr qu’Hugo Girard n’a aucune difficulté à lever. Cependant, il n’y eu qu’une personne qui à réussi à lever d’un bras le poids de 165 lbs et ce fût Monsieur Dave Benoît de la ferme Guy Benoit. Grâce à cet exploit, il a reçu une carte cadeau BMR. Félicitation M. Benoît !

Merci à tous ceux qui sont venus nous visiter et qui ont fait de cette journée un succès!

Nous vous attendons pour votre prochaine visite bientôt!

Page 4: L'ENVOL Décembre 2014

4 L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

RU

MIN

AN

TOn a tous entendu des horreurs concernant de nouvelles installations en robotique, souvent parce que le producteur avait choisi la robotique pour de mauvaises raisons. Mais il semble que l’expertise étant maintenant au rendez-vous de plus en plus de producteurs choisissent cette option avec d’heureux résultats. On dit que plus de 60% des nouvelles installations laitières sont constituées d’étables avec robots de traite! À ce point? Chose certaine, pas loin de 100% de ceux qui ont un projet en tête y pensent. Mais est-ce le bon choix pour tous? Certainement pour plusieurs, puisqu’une majorité de producteur l’adopte et en sont satisfait. Voici quelques pistes de réflexion qui pourraient vous aider dans votre réflexion.

Nous le répétons souvent, les clés du succès en robotique sont : régie, santé, santé et santé! Je me souviens de l’exemple lors de conférence où je parle de pieds et membres : en stabulation entravée, lorsqu’on observe une vache qui a un mal de patte, on se dit « faudrait bien que je la mette dans la cage à sabot demain »! Et la réflexion se refait, le lendemain, le surlendemain… Mais si nous, on a un caillou dans le soulier, ce n’est pas long!

En stabulation libre, la vache qui est moins en forme doit marcher pour manger, mais elle suit quand même les autres à la salle de traite. En robotique, elle doit marcher pour manger et aussi pour se faire traire. Bref, vous comprendrez qu’être attentif aux besoins des vaches est essentiel en robotique : il faut réagir rapidement et efficacement aux problèmes individuels des vaches, spécialement pour les problèmes de pieds et membres. De même, une vache en santé et en forme, ayant une bonne condition de chair etc. aura plus de facilité à atteindre les endroits voulus dans l’étable : abreuvoir, robot, mangeoire et stalle ou aire de couche. Vous devez donc maintenir une excellente régie du troupeau sur tous les points de vue : Nombre de saillie par vache et intervalle de vêlage entre autre. Le succès de la traite dépend aussi d’aliments appétant et bien que l’aliment au robot puisse être très bon, il demeure un concentré si les aliments de la RPM (ration partiellement mélangé) ne sont pas suffisamment appétant pour favoriser une bonne consommation de fourrage, la vache ne sera plus attiré par les concentrés qui

pourraient provoquer de l’acidose ruminale.

Il est important de bien aménager l’étable pour permettre la circulation des vaches à l’intérieur. L’erreur trop souvent commise par les producteurs qui n’ont pas eu de succès a été de tenter d’économiser sur le bâtiment aux dépends du confort et de la liberté de circulation des vaches.

En traite robotisée, gagner du temps, oui mais comment?

En traite robotisée plusieurs facteurs peuvent influencer les performances du robot. Par contre, contrairement à l’homme même s’il y a plusieurs vaches qui attendent à l’entrée pour se faire traire … le robot n’augmentera pas la cadence. Il faut donc lui facilité la tâche, afin que chaque vache passe le moins de temps possible dans le robot.Pour ce faire, nous vous avons sorti quelques points à faire attention pour optimiser l’efficacité au robot.

1-L’espace : Il faut laisser le plus d’espace possible autour du robot. Il y a des distances minimales à respecter entre le robot et le début des premières logettes, et ce, afin de libérer l’entrée et la sortie du robot. Par exemple : des logettes situées trop près du robot avec des vaches qui sont «perchées» dans leurs stalles peuvent nuire à la circulation des vaches qui veulent aller se faire traire ou nuire à celles qui veulent sortir du robot.

*** L’aménagement de l’étable permet une bonne circulation et un bon confort.

LA TRAITE ROBOTISÉE, UN BON CHOIX POUR TOUS?

Page 5: L'ENVOL Décembre 2014

5L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

RU

MIN

AN

T2 - Le bain de pied : Il n’est pas recommandé de mettre le bain de pied à la sortie du robot. Cela peut nuire considérablement au temps que les vaches vont prendre pour sortir du robot. Certaines vont avoir peur et vont figer sur place tandis que d’autres vont prendre le temps de l’observer et de le sentir et même que certaines vont y aller pour le grand saut! En espérant ne pas y toucher. Donc, au lieu d’avoir pris 3 secondes pour sortir, ça lui aura pris 30-45 secondes. Au bout de la ligne, au lieu d’avoir 7-8 minutes de durée dans le box, une vache à plus de 9-10 minutes. Même chose pour la raclette qui arrête à la sortie du robot, un autre obstacle à franchir, autant la raclette que la vague de fumier qu’elle a amené avec elle.

3 - Le pis : Il faut porter une attention particulière au pis en général, pas seulement au positionnement des trayons. Autant la saleté que les poils du pis ou même la queue des premiers veaux peuvent nuire au robot, afin qu’il repère rapidement les trayons et qu’il débute la préparation. Pour ce qui est des queues de nos premiers veaux, puisque leur pis est normalement accroché plus haut que les autres, le laser peut la confondre avec un trayon. C’est pourquoi, surtout pour les premières traites des taures, il est important de clipper les longs poils de leur queue pour éviter la perte de temps que peut occasionner la recherche des véritables trayons et pour éviter un stress de moins pour nos jeunes vaches.

4 - La vitesse de traite : La vitesse de traite à également une grande influence sur le temps qu’une vache va passer dans le robot. C’est un des critères qui peut être amélioré avec la génétique. C’est également un des points qui peut être amélioré avant même les premières pelletées de terre!

5- L’entretien : Ce point est très important. Chaque équipement à ses recommandations au sujet du nettoyage du laser ou même de la calibration du bras afin qu’ils puissent retrouver ses repères. Il faut donc être bien informé par notre concessionnaire des différents entretiens de routine à faire, afin de conserver l’efficacité du robot.

Nous venons de faire un bref survol des différents points qui méritent qu’on leurs portent une attention particulière, afin de maximiser l’efficacité du robot. Comme vous avez pu le constater, il n’a jamais été mention que la couleur du robot avait une influence sur son efficacité.

Finalement, bien sûr, il faut aimer l’informatique et le travail à l’ordinateur. En traite robotisée, le programme du robot fournit une multitude d’informations sur chacune de vos vaches. Il faut avoir l’aptitude et le goût de «pitonner» et de fouiller à travers différents tableaux et graphiques les informations inhérentes au troupeau. Il y a tellement d’informations, que vous vous sentirez plus proche de vos vaches que lorsqu’elles étaient en stabulation entravée.

En conclusion, il est important de s’entourer d’intervenants fiables ayant une bonne expertise dans chacun de leur domaine et qui travailleront en synergie avec vous pour assurer le succès de votre entreprise : fournisseur d’équipement, vétérinaire, nutritionniste et autres (financiers?).

Le réseau La Coop a constitué un groupe d’experts-conseils qui se spécialisent en traite robotisée et échangent régulièrement leur expertise dans le domaine. Ils sont chapeautés par deux conseillers spécialisés de La Coop Fédérée, afin de maintenir cette structure à la fine pointe des connaissances et nouveautés dans le domaine. N’hésitez pas à en parler avec votre expert-conseil qui vous épaulera dans vos projets, peu importe votre choix!

Et n’oubliez pas, la traite robotisée ne permet pas de passer moins de temps au travail mais bien de le faire avec beaucoup plus de flexibilité!

* La Coop Covilac félicite Alexandre Beauchemin qui a gagné, lors du Rendez-vous la Coop en

septembre dernier :

« L’expert-conseil de l’année dans le ruminant. »

Alexandre Beauchemin,Expert-conseil Ruminant La Coop Covilac(spécialiste traite robotisé et grand troupeau)

Avec la collaboration de Monsieur Hugues Ménard T.P.Conseiller spécialisé, La Coop Fédérée

Page 6: L'ENVOL Décembre 2014

6 L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

Page 7: L'ENVOL Décembre 2014

7L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

Page 8: L'ENVOL Décembre 2014

8 L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

La plupart du temps le transport des animaux est effectué par un transporteur externe. Bien que ce dernier doit réaliser ce travail, l’éleveur quant à lui a quand même certaines responsabilités à assumer. C’est un travail d’équipe de tous les instants et chacun doit collaborer. Voici une revue rapide des points saillants dont les producteurs doivent s’occuper afin de réaliser un transport idéal.

Transport porceletsAutant le vendeur que l’acheteur doivent s’assurer du nombre d’animaux qui sortent ou entrent dans leur bâtiment. Pour cela, je ne vous apprends rien, il faut les compter!! Assurez-vous du bon nombre avec le transporteur. Si toutefois une possible erreur est détectée (parce que l’erreur est humaine après-tout), assurez-vous de le faire inscrire sur le bon de livraison. Signez toujours ce bon. Si les animaux sont très gros, assurez-vous que le transporteur le sache aussi avant le chargement, l’espace ne sera pas le même alloué aux animaux.

Si vous souhaitez plus d’informations sur les densités de chargement, vous pouvez consulter le Guide de référence sur la manipulation et le bien-être des animaux dans le transport. Ce guide est disponible en version électronique sur le web. (www.accesporcqc.ca ensuite cliquer sur – Publications disponibles/Outils pratiques/Bien-être animal/Guide

de référence sur la manipulation et le bien-être des animaux dans le transport)

Transport porcs à l’abattoirLors de la sortie des porcs vers l’abattoir, avant de commencer à charger, dites au transporteur si vous avez des animaux fragilisés, faites-lui en part. Il pourra les vérifier et les disposer dans le compartiment adéquat, ou les refuser, selon le cas. En aucun cas, un porc fragilisé doit être embarqué aux travers des autres. Il doit toujours passer par l’œil averti du transporteur. Certaines catégories d’animaux avec anomalies peuvent être transportées dans le même compartiment que les autres animaux. Les autres doivent être isolés, embarqués les derniers et débarqués les premiers à l’abattoir.

JeûneLa planification du jeûne fait partie des responsabilités de l’éleveur/vendeur. On vous a souvent parlé au gré des conférences les multiples bienfaits, c’est pourquoi à part les tableaux ci-joint, je ne m’étalerai pas trop sur le sujet.

N.B. le jeûne commence seulement lorsque les trémies sont vides d’aliments.

PO

RC PRÉPARATION AU TRANS-PORC

Page 9: L'ENVOL Décembre 2014

9L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

Un outil de panification du jeûne existe auprès de votre expert-conseil. Il pourra certainement vous aider à vous y retrouver.

Sachez aussi que des animaux n’ayant pas subi de jeûne le risque d’en perdre est plus grand et ces animaux sont aussi plus difficiles à déplacer et c’est sans compter que l’intérieur du camion devient plus sale rapidement.

Aiguille casséeSuite à un récent incident survenu chez un client d’Olymel, j’aimerais aussi vous rappeler que si une aiguille est brisée en pouponnière ou en maternité, assurez-vous d’en faire le suivi avec un tag. Il faut s’assurer que le producteur d’engraissement sache qu’une aiguille est possiblement dans l’un des animaux et qu’il se rende à l’abattoir en ayant un suivi précis. Même si vous n’êtes pas certain que l’aiguille est encore dans l’animal, ne prenez pas de chances. La communication est importante, faites-le inscrire sur le bon de livraison et laissez le tag sur l’animal, du côté où l’aiguille aurait été cassée. On pourra ainsi le suivre en engraissement jusqu’à l’abattage de celui-ci. La même procédure s’applique si c’est une aiguille qui se casse dans un porc à l’engraissement.

TraçabilitéFraîchement débarqué l’aspect traçabilité vient s’implanter dans notre jargon d’usage. Le programme est obligatoire depuis le 1er juillet 2014. Le programme est basé sur 3 piliers : Soit, l’identification des sites, l’identification des animaux et l’identification des déplacements. Ces dits déplacements devront être déclarés dans le dossier APPPORC (mouvement ou finition) par le propriétaire des animaux. Vous avez certainement remarqué le nombre de rajouts d’informations inscrits sur les bons de réception et d’envoi d’animaux. Entre autre, un numéro de QC, celui-ci vous a été émis par Porc-Tracé Canada. Ce numéro est attaché au bâtiment ou au site d’élevage. Il doit être inscrit sur vos bons de réception et d’envoi, comme quoi les animaux ont transités par votre ferme avant d’être envoyés ailleurs. De nouveaux bons d’expéditions en partance de la Maternité et de la pouponnière seront bientôt disponibles. Ils regroupent l’ensemble des informations à devoir y être inscrites : anomalies, poids moyen, # plaque d’immatriculation, #QC, #AQC, retrait de médicaments, etc.

TatouageLe tatouage des porcs à l’abattoir est aussi l’une des obligations du producteur par rapport à la traçabilité. C’est donc certainement une habitude à conserver. Le tatouage est aussi obligatoire pour le paiement des lards chez Olymel. Il est la signature de votre travail.

Ceci n’était qu’un court résumé de vos responsabilités pour le transport. Il en va de vous à les appliquer. Le transport est un travail d’équipe, si vous souhaitez d’autres informations, votre expert-conseil est la personne toute désignée pour y répondre. Bon Trans-Porc.

PO

RC

Joanie Sévigny, TPExperte-conseil en production porcineCentre de services des deux rives

Page 10: L'ENVOL Décembre 2014

10 L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

AVI

COLE

Les 14 premiers jours de la vie du poulet de chair est la période la plus sensible parce que l’oiseau est en train de changer à partir d’un système de régulation thermique immature pour une mature.

Une erreur commune est de penser que le maintien de la bonne température est l’unique facteur de réussite. Nous devons prendre en considération d’autres questions, d’autres éléments importants. Une façon de définir ces autres questions est la règle 80-20(loi de Pareto), ce qui signifie que 80% des conséquences proviennent de 20% des causes. Nous devons toujours valider les points de régie de départs suivants : la température, la qualité de l’air, l’eau et les aliments. Une bonne gestions de ces points.

La première semaine correspond environ à 20% de la durée de vie du poulet. Cette première semaine était aux environ de 11% de toute la vie en 1978 pour obtenir le même poids. Donc un bon départ est très important pour le poulet, et chaque bon point obtenu sera récompensé dans de bonnes performances.

TempératureLa température de la litière est le facteur le plus important parce que les poussins d’un jour sont directement en contact avec le sol. Le rapport de la surface du corps à la masse corporelle est grande dans le poussin d’un jour et il diminue avec l’âge, le jeune poussin va donc perdre de la chaleur plus rapidement qu’un oiseau adulte.

Le poussin est couvert de duvet qui a une valeur isolante pauvre. Si la température n’est pas contrôlée, il perdra rapidement de la chaleur par rayonnement et conduction. Nous vous suggérons d’avoir la litière préchauffée et stabilisée 24 heures avant le placement ce qui se traduit par un préchauffage de 48 heures.

Un poussin confortable respire par les narines et perd de 1-2 g d’humidité dans les premières 24 heures.

Si les oiseaux sont exposés au froid, ils vont se réchauffer par le blottissement ou par l’alimentation pour se garder au chaud, ce qui affecte le taux de conversion alimentaire et ceci est le moyen le plus coûteux.

Si la température ambiante est de 26ºC (78.8ºF), la perte d’humidité (1-2 g) durera trois jours. Dans le cas contraire, avec une température trop élevée, les oiseaux vont essayer de se retirer de la chaleur ou d’éviter la production de chaleur, donc arrêter de manger. Si les poussins commencent à haleter, ils peuvent perdre 5-10 g d’humidité dans les premières 24 heures, puis la déshydratation se produit. La bonne température influera également sur la santé des oiseaux et de l’immunité parce que le développement du système immunitaire et le stress nécessite de l’énergie et quand les oiseaux ne sont pas à l’aise au cours de ce développement, ils seront plus sensibles aux infections et auront un système immunitaire moins compétent. La température interne du poussin (mesure de cloaque) doit être maintenue entre 40.4-40.6ºC (104.7-105.1ºF); dessous de 40°C (104.0ºF) est froid et au-dessus de 41°C (105.8ºF) est trop chaud.

Pendant les deux premières semaines, l’éleveur doit ressentir que dans le poulailler il fait trop chaud sinon, la température est susceptible d’être trop faible pour les poussins. Nous suggérons la température de l’air dans la zone de démarrage au moment du placement, avec 30-50% d’humidité relative, commençons à 33ºC (91.4ºF); sept jours, avec 40-60% d’humidité relative, 30°C (86°F); et à 14 jours, même RH, 27°C (80.6ºF). Si l’humidité est moins haut, augmenter la température par 0.5-1.0ºC (1°F). Si l’humidité relative est supérieure à ce qui précède, réduire la température de la maison par 0.5-1.0ºC (1°F). Toujours utiliser le comportement des oiseaux et de la température effective comme le guide ultime pour déterminer la bonne température pour les oiseaux. Les poussins les plus petits (les plus jeunes des troupeaux de reproducteurs) nécessitent

COMMENT DONNER AU POUSSIN LE MEILLEUR DÉPART POSSIBLE

Page 11: L'ENVOL Décembre 2014

11L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

AVI

COLE

des températures plus élevées naturellement car ils produisent moins de chaleur (environ 1°C) pendant les sept premiers jours. Selon le climat saisonnier, il est très important d’avoir des outils pour chauffer et climatiser l’air, et des options pour fournir un flux d’air correct et de la distribution. La qualité de l’air La ventilation distribue la chaleur dans tout le bâtiment et maintient une bonne qualité de l’air dans la zone de démarrage. L’idéal pour les oiseaux est de l’oxygène de 19,5%, du dioxyde de carbone inférieure à 3000 ppm, de monoxyde de carbone et de l’ammoniac (NH3) de moins de 10 ppm et un niveau de poussière inférieurs à 3.4mg/m³.

Les plus hauts niveaux de monoxyde de carbone sont causés par la combustion incomplète des combustibles fossiles, mais le problème majeur est une combinaison de la concentration et du temps d’exposition. Les oiseaux peuvent tolérer des niveaux de 600 ppm pendant 30 minutes, mais 3000 ppm est mortelle en deux heures. La concentration en dioxyde de carbone de l’air normal est de 400 ppm. En hiver, quand nous voyons les poussins assis près du mur extérieur, nous pensons d’abord à une haute température, mais le problème est peut-être du dioxyde de carbone. En effet, le niveau de dioxyde de carbone est peut-être trop élevé à l’intérieur principalement en raison du taux d’échange de débit d’air faible.

Si la pression dans le poulailler est trop basse, et si des fentes d’air existent les poussins vont migrer à l’endroit où il y a plus d’oxygène disponible à proximité de ces fuites. Cependant, la litière y est froide à cet endroit et il n’y a pas d’alimentation ni d’eau présente.

Des niveaux élevés d’ammoniac dans le poulailler sont néfastes pour les oiseaux. Ceci est un gaz incolore, soluble dans l’eau, avec une odeur prononcée et toxique pour les cellules de l’animal. L’eau est nécessaire pour en transformer les excréments de

poulets de chair à l’ammoniac, il est donc important de réduire les niveaux d’humidité dans la litière pour réduire les émissions d’ammoniac.

Le but principal de la ventilation est d’assurer une bonne qualité de l’air sans exagérer la vitesse au niveau des oiseaux. Une ventilation insuffisante peut causer des hauts niveaux de NH3, CO2, d’humidité et une augmentation accrue de problèmes liés à la production telle que l’ascite.

Il est important d’évaluer les niveaux de NH3 toujours à la hauteur de l’oiseau. Les effets négatifs de NH3 comprennent les brûlures aux pieds (foot pad burns), des brûlures aux yeux, ampoules au bréchet/irritations de la peau, diminution du poids, une mauvaise uniformité, la susceptibilité de certaines maladies et la cécité.

Eau et alimentation L’eau un joueur «invisible» dans l’élevage. Il peut être à la fois ennemi et ami! Plusieurs fois, nous voyons cette composante oubliée de l’industrie du poulet de chair. L’eau est un nutriment essentiel qui influe pratiquement toutes les fonctions physiologiques. Nous devons garantir 24 ml d’eau par oiseau dans les premières 24 heures.

Plusieurs personnes ont démontré l’importance de nettoyer et désinfecter les conduites d’eau. Le potentiel d’oxydoréduction (ORP) de 650 750 m Vest un bon objectif; un niveau plus haut peut entraîner la corrosion de l’équipement, et indiquera un problème au niveau de la propreté de l’eau. La procédure de rinçage est également un bon outil pour maintenir la température adéquate de l’eau pour les oiseaux.

Nous vous conseillons d’utiliser du papier à 50% de la zone de démarrage et la quantité de nourriture devrait être 50g /oiseau dans la période où le papier est en bon état. Stimulation l’activité au cours des 5-7 premiers jours d’âge est nécessaire pour une

Page 12: L'ENVOL Décembre 2014

12 L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

AVI

COLE

consommation d’aliment optimale, favoriser le système digestif et le développement du système immunitaire.

Il est recommandé une intensité lumineuse de 25 lux dans la partie la plus sombre du poulailler, mesurée à hauteur de poussin. Un autre bon outil est d’avoir une ampoule de 100 Watt suspendue au-dessus du dernier plat du soigneur. A sept jours (poids standard) nous avons besoin de commencer à réglementer l’obscurité. Le nombre d’heures de noirceur variera selon les spécifications du marché pour le poids. Le poids de sept jours est un bon outil, mais le facteur le plus important est l’uniformité.

La meilleure façon d’améliorer les performances du troupeau n’est pas en augmentant le poids à sept jours des poussins qui ont le mieux réagit au départ, mais en diminuant le nombre de poussins qui ont le moins bien réagit au départ. Un bon coefficient de variation est de 8-10%.

Validation du jabot au bout de six heures (test no1) et de nouveau à 24 heures après le placement (test no 2). Un bon objectif devient 95% des oiseaux avec de l’eau et des aliments dans la culture. Nous ne devons pas oublier que les oiseaux sont les meilleurs capteurs dans le poulailler.

Dans les premières 24 heures après l’arrivée, un poussin a besoin de consommer 20-25% de son propre poids corporel de moulée et 40-50% dans l’eau. Ce sont des objectifs importants; et rappelez-vous que la consommation d’eau et l’alimentation sont reliés entre eux. L’objectif est de parvenir à 4-5fois le poids d’un jour à sept jours et le standard de la race à14 jours.

Une bonne gestion dès le départ entraînera toujours une meilleure uniformité du troupeau. L’uniformité est la clé des résultats et ne peut pas être obtenue qu’après avoir fait un travail de départ moyen dans les 14 premiers jours. Les facteurs critiques sont la température, la qualité de l’air, l’eau et les aliments. Lorsque ceux-ci sont corrects, 80% de votre succès sera atteint.

**extrait des guides de régie de Cobb Aviculturement vôtre !

Eric Dion, agr.Directeur des ventes avicoles La Coop

Page 13: L'ENVOL Décembre 2014

ÉCONOMISEZ INSTANTANÉMENT À L’ACHAT DE CES

PRODUITS-VEDETTES.

Programme soya Longueur d’Avance

Faites des économies grâce au Programme 2015 soya Longueur d’Avance de DuPont. En achetant des herbicides pour le soya de DuPont entre le 1er septembre 2014 et le 6 mars 2015. Non seulement vous posséderez l’équipe la plus redoutable dans la protection des cultures, vous économiserez en plus jusqu’à 5 $ par acre! Cette année, économisez 1,00 $ supplémentaire par acre sur les acres correspondantes d’herbicide en ajoutant un achat anticipé de fongicide Acapela® de DuPontmc.

Renseignez-vous dès aujourd’hui sur le programme soya Longueur d’Avance auprès de votre détaillant et complétez votre commande d’herbicides pour 2015. Des questions ? Faites le 1 800 667-3925 ou visitez soyalongueurdavance.dupont.ca.

Des conditions s’appliquent.

Comme avec tout produit de protection des cultures, lire et suivre soigneusement les directives de l’étiquette. L’ovale de DuPont, DuPontmc, Les miracles de la sciencemc, Acapela®, AmiPlan®, Canopymc, Engardemc, Freestylemc et Gardien® sont des marques déposées ou de commerce de E. I. du Pont de Nemours and Company. La compagnie E. I. du Pont Canada est un usager licencié. Membre de CropLife Canada.© Droits d’auteur 2014, La compagnie E. I. du Pont Canada. Tous droits réservés.

Page 14: L'ENVOL Décembre 2014

14 L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

AG

ROEN

VIRO

NN

EMEN

TÀ la fin du mois d’octobre, La Coop Covilac annonçait la parution de son site web spécialisé en agriculture de précision et images satellite. Le site web donne accès à la visualisation des photos aériennes prises au mois de juillet et août. Ces images montrent la densité du couvert végétal habillant leurs champs. Le spectre de coloration des photos en question, permet de déceler et de différencier différentes zones sur la même parcelle. À titre d’exemple, des zones infestées par des mauvaises herbes, ou bien des zones ou l’égouttement de l’eau ne se fait pas convenablement, ont généralement une coloration pâle sur les photos.

Un cycle allant de trois à cinq ans est recommandé pour pouvoir tirer des conclusions de ces photos- là. En effet, le résultat de superposition permet de produire les cartes des zones de gestion ou bien les zones d’aménagement, une appellation que certains professionnels préfèrent. Ces cartes sont produites dans le but de délimiter les parties de champ là où certains problèmes se reproduisent d’une façon récurrente. La fiabilité des zones d’aménagement augmente avec le nombre d’années couvertes par des données portant essentiellement sur les rendements, les prises des photos aériennes, ils s’ajoutent à cela, les relevés topographiques des champs ainsi que d’autres informations telle la conductivité du sol des parcelles en question.Une fois réunies, ces données laisseraient entrevoir si le profil des zones d’aménagements prédéfinis est cohérent ou non. Dès que le profil des zones d’aménagement s’avère stable, l’application à taux variable (ATV) devient justifiable. Une compilation des données des trois dernières années, est alors, le minimum recommandable avant de commencer à faire des applications ATV.

Les carte des zones de gestion permettent aussi d’aligner les producteurs et les experts conseil à cerner des problématiques et chercher par la suite des éléments de réponse à travers une investigation ciblée. Comme par exemple l’élaboration des profils de sols au niveau d’une zone compactée,

la vérification du système de drainage au niveau d’une zone qui s’égoutte mal. Les zones de gestions combinées aux cartes de rendement représentent deux éléments ressources pour l’élaboration d’autres produits comme les cartes de la chaux ou bien tout autre élément fertilisant applicable à taux variable. D’ailleurs, on peut se baser sur les cartes de zones de gestion pour effectuer des analyses de sol géo-référencées. Selon le nombre de zones qui paraissent sur la carte, l’expert-conseil planifie ses prises de sondes. Cela offre donc une meilleure précision d’échantillonnage tout en réduisant le nombre de carottes à prendre sur une parcelle et offre évidement un gain économique. Une fois qu’on a les résultats des analyses de sol géo-référencées, on peut procéder à une application de la chaux à différents taux selon le pHt de chaque zone. De même, le principe s’applique aussi pour la fertilisation potassique et azotée. Tous ces produits seront disponibles sur le site internet de Covilac dédié au service des images satellites. Ces produits offrent d’excellentes possibilités pour optimiser la fertilisation et d’ajuster l’application de la chaux. Les membres abonnés à ce service seront contactés prochainement pour des séances de formation sur l’utilisation du site.

Enfin, la gestion de l’application à taux variable à long terme est importante. Bien que les zones de gestion ne changent pas d’une année à une autre, les doses d’application des engrais changent. Cela est dû généralement au précédent culturale, le niveau de fertilité des sols et de l’évolution de leurs aspects physiques au fil des années. Un outil comme celui des imageries satellites met au service de nos membres la fine pointe de la technologie, afin de suivre de près l’état de leurs parcelles et de prendre, éventuellement, les bonnes décisions concernant leurs mode de gestion et de pratiques culturales.

Anis Riahi, agr., M.Sc.Expert-conseil en agroenvironnementet agriculture de précision

SITE WEB SPÉCIALISÉEN AGRICULTURE DE PRÉCISION ET IMAGES SATELLITE

Page 15: L'ENVOL Décembre 2014

15L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

GRA

INS

Décembre est à nos portes et ce mois se veut être celui du bilan de l’année.Que ce soit au niveau professionnel ou personnel :U n printemps pluvieux retardant les semisN e pas voir l’étéJ uste un gel hâtif pour nous mettre un peu plus de pressionO h! Que la neige a neigé, soya et maïs encore dans les champsY oupi c’est le temps des fêtes!E t peur pour la qualitéU n peu plus de pression pour le producteurX xx on croise les doigtsN on finalement dame nature nous a permis de finirO h rendement normal mais baisse de la qualitéE t viendra le temps de vendreL es mois futursBon soyons sérieux

Début décembre et la récolte est déjà derrière nous. Malgré le gel historiquement hâtif que nous avons connu en septembre, il n’y aura pas eu de conséquence sur la période qu’a été faite la récolte.

Du côté qualité du maïs, il est évident que ce gel a eu une conséquence, mais moins drastique que l’on croyait. Bien que le poids spécifique soit moindre que la normale, reste que le rendement était de la partie.

Maintenant que tout le monde sait la qualité que vous avez dans vos silos, quel sera la meilleure stratégie pour commercialiser cette récolte. Il y a plusieurs écoles de pensée sur le sujet. D’abord, ayant moins de superficie en maïs cette année au profit de la fève soya, on pense qu’il y a entre 10% et 20% moins de maïs cette année. Ceci signifie que les prix devraient rester prêts de la valeur d’importation. Ayant une qualité moindre que les autres années, plusieurs utilisateurs ce retourneront vers du maïs importé, afin de se garantir un maïs pesant. Est-ce que cela signifie que celui qui détient du maïs ayant un poids de 68 kg/hl et plus aura une surprime tout au long

de l’année? Réponse, oui et non. Il est certain que ce maïs sera recherché et que certain voudront payer une surprime. Cependant, lorsque le maïs importé fera son apparition à l’ouverture de la voie navigable, ce dit maïs ne devrait plus être recherché comme étant une pépite d’or. Ce n’est pas un secret, la récolte américaine de maïs est l’une des plus imposante enregistrée avec ces 366 millions de TM. Côté exportation, les américains auront de la compétition car les pays Européen et de la Mer Noire devraient eux aussi devoir exporter une partie de leur récolte abondante. Ce qui aurait comme conséquence de créer une pression sur les prix.

Présentement, les bases locales sont d’une force rarement vu depuis plus de 10 ans. Malgré des stocks plus abondants et une force de notre dollar Canadien, voir des bases locales frôlant les 1.40 fob ferme reste sans aucun doute un signal de vente très fort auprès des producteurs locaux.

Une bonne stratégie de vente est un écoulement régulier sur chaque mois. N’attendez pas au mois de mars, car à ce moment il se pourrait bien que faute de disponibilité les besoins des acheteurs soient déjà comblés.

Car si on retient trop, il faut se souvenir que récolte record peut égaler liquidation du côté américain. Prochain point à vérifier : - Rapport production final en janvier - Exportation hebdomadaire - Production éthanol - Prévision d’ensemencement - Court du pétrole et de notre dollar

Toute l’équipe de RSSL vous souhaite une bonne année de commercialisation ainsi que de très joyeuses fêtes.

UN SEUL NUMÉRO À RETENIR : 1-800-661-6494

FLASH MARCHÉ

Page 16: L'ENVOL Décembre 2014

16 L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

GRA

INS

RENDEZ-VOUS LA COOP

Au rendez-vous La Coop qui s’est déroulé le 24 et 25 septembre dernier, Le Regroupement de services Rive Sud Saint-Laurent Senc. s’est vu remettre le prix de:

LA COOPÉRATIVE DE L’ANNÉE EN COMMERCIALISATION DES GRAINS

RECONNAISSANCE GRAINS ÉLITE

Le 17 décembre dernier, le Regroupement de services Rive Sud Saint-Laurent Senc. s’est vu remettre le prix de :

LA 3E POSITION POUR LA MEILLEURE AUGMENTATION

DE VOLUME COMMERCIALISÉ DE LA FÈVE SOYA.

Grâce à votre confiance durant cette dernière année, nous avons pu être le leader de la commercialisation de vos grains dans le Centre-du-Québec et de la Montérégie. Encore cette année, notre personnel d’expérience vous offrira les services d’achats (comptant, sur base, différés), la vente (comptant, sur base, différée), le transport, le séchage, l’entreposage, le criblage et les informations sur les marchés.

MERCI D’AVOIR CONTRIBUÉ À CE SUCCÈS!

N’HÉSITEZ PAS À NOUS TÉLÉPHONER : 1 800-661-6494

Page 17: L'ENVOL Décembre 2014

17L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

CO

LLO

QU

E COLLOQUE DES COOPÉRATRICES

Le Colloque des coopératrices 2014 avait lieu à l’Auberge Godefroy de Bécancour les 12 et 13 novembre dernier. Cette édition a réuni 47 participantes.

Le colloque à débuté le 12 novembre en début d’après-midi par une visite au Centre de la Biodiversité du Québec et le tout s’est poursuivi en soirée avec un souper réseautage à l’Auberge Godefroy. Le lendemain matin débutait les discussions sur le thème du colloque : La démocratie… parlons-en! Au cours de l’avant-midi, il a été question du regard croisé sur la fonction d’élue ainsi que sur les attentes des coopératives à l’égard de leur représentante. Tout au long de l’après-midi, il y a eu des ateliers d’exploration en lien avec les cabinets de campagne, la présentation des travaux, la rétroaction des participantes ainsi que l’évaluation de la journée. Nous pouvons conclure qu’il y a eu plusieurs discussions passionnantes et constructives.

Merci à chacune d’avoir fait partie de cette édition 2014 et nous espérons que vous serez parmi nous l’an prochain.

À NOTER : Le Forum féminin 2015, aura lieu le 31 mars, tous les détails à venir...

Page 18: L'ENVOL Décembre 2014

18 L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

ESC

OU

AD

EL’ESCOUADE COOP 2014

« Les coopératives, tout un monde de possibilités »

La Coop Covilac ainsi que plusieurs autres Coop du réseau La Coop ont relevé le défi L’ESCOUADE COOP, afin de célébrer la Semaine de la coopération.

Les 14, 15, 16 et 17 octobre derniers, 8 équipes composées d’experts-conseils des différents secteurs d’activités tels que : le ruminant, le porc, le végétal ainsi que des employés administratifs du siège social et du plan d’engrais ont été sur le terrain, afin de visiter plusieurs membres producteurs de la coopérative et promouvoir la coopération.

Pour une 3e année consécutive, nous avons établi un tirage au sort pour chacun des territoires. Vu le nombre important de membres, nous n’avons pu tous les visiter.

Tous les commentaires ont été positifs. Ce fut une agréable surprise pour l’ensemble des producteurs. Cafés, beignes ont accompagné des discussions. Cette visite avait pour but une rencontre amicale avec nos producteurs, d’être reconnaissant pour la fidélité qu’ils ont envers LA COOP COVILAC et aussi par la même occasion leurs mentionner que nous sommes heureux de coopérer à leur succès.

Merci à chacun pour votre bel accueil.

Au plaisir de vous rencontrer, lors de l’escouade Coop 2015, vous les producteurs de notre belle coopérative.

De plus, lors de la semaine de la coopération La Coop Covilac a fait

tirer un RIC de 200$.

Félicitations à Guillaume Roy de la Ferme Jéronico inc.

Page 19: L'ENVOL Décembre 2014

19L’ENVOL - DÉCEMBRE 2014

De plus en plus d’experts en agriculture au Canada choisissent de faire affaire avec FAC.

Ensemble, nous créerons un plan de financement qui vous convient. Nous prenons le temps d’en apprendre plus sur vous, sur votre exploitation et sur vos projets d’expansion. Si vous êtes prêt à passer à l’action, communiquez avec l’un de nos experts de l’agroindustrie.

fac.ca/expertAexpert 1-800-387-3232

« Nous sommes les experts sur la ferme. »

Maryse Forgues et Yves Robert – Clients de FAC

Page 20: L'ENVOL Décembre 2014

À l’occasion de cettemerveilleuse période des Fêtes,

La Coop Covilac désire vous offrir à vous et à votre famille, des vœux

chaleureux de bonheur, de santé et de prospérité.De plus, nous profitons

de cette période de réjouissancespour vous dire merci!

Bon succès pour la nouvelle année !De toute l’équipe de La Coop Covilac!

LA COOP COVILAC40, rue de l’Église, Baie-du-Febvre, Qc J0G 1A0Courriel : [email protected]éléphonez-nous : 450 783-6491 • Sans frais : 1 800 363-7977

copi

econ

cept

ion.

ca