Le mot du Maire

Bonjour à toutes et à tous, Et tout d’abord, permettez-moi de vous souhaiter de la part de toute l’équipe municipale une bonne et heureuse année 2019 à toutes et à tous,

L’année 2019 sera celle des chantiers immobiliers, du cadre de vie, de l’entraide et de la culture. Un nouveau chantier - celui des locaux techniques afin de faciliter l’entretien de la commune - viendra se joindre à la liste de ceux déjà programmés sur le terri-toire, qu’il s’agisse du projet culturel, de logements so-ciaux (ICF, Oise Habitat, ou le dossier Flint) et de petits logements collectifs. Cadre de vie ensuite avec, entre autres, de nou-velles idées concernant le parc municipal, la protection de l’environnement, les jardins partagés, la plantation d’arbres anciens, et autres projets de circulation rou-tière. Nous serons attentifs aussi à la résolution de ce dossier de dépôt sauvage aux portes de notre territoire. Entraide, enfin, avec la mise en place de la mu-tuelle communale qui permet aux plus fragiles d’entre nous de réaliser de substantielles économies tout en bé-néficiant d’une protection sociale plus adaptée, et avec la révision également des coefficients familiaux dans un souci d’équité sociale… Et tout cela en maintenant nos subventions aux associations - quelle que soit leur nature, sportive, cultu-relle ou sociale - et aux écoles, avec aussi des activités nouvelles pour les anciens en cours d’année… A suivre,

Bonne lecture à toutes et à tous !Henri Herry

SOMMAIRE

• Le mot du Maire

• Chantier du projetculturel : c’est parti !

• Décharge sauvage

• Maraîchage et écologie

• Bientôt un vergerau parc municipal ?

• Circulation : constatset concertations

• Radar pédagogique : quels enseignements ?

• Jeune talent à découvrir

• Retour en images

• Agenda

L’OrrygeoisN°14 - HIVER 2019

LE JOURNAL MUNICIPAL D’INFORMATION D’ORRY LA VILLE - MONTGRESIN

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Rentrée 2019

Les coefficients familiaux

L’équipe municipale a revu les barèmes des partici-pations des familles pour les études et les classes de dé-couverte. Ainsi, dans un souci d’équité sociale, un tarif au quo-tient familial s’applique à toutes les activités, cantine, études et classes de découvertes.

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URBANISME

Il ne s’agit pour l’heure que des travaux préparatoires, démolition et désamian-tage, accompagnés de la réalisation d’un cheminement piétonnier - qui relie rue du 18-Juin et place de la Libération. - pour contourner le chantier, ou encore des-truction des anciens bâtiments de la ca-serne de pompiers. Celle-ci, a été quittée par les hommes du feu en début 2009, et laissée à l’abandon, elle se trouvait dans un état de délabrement avancé. Un morceau de la salle des Ren-contres, dont les soubassements étaient très fragiles et en mauvais état, a été aussi démoli, la partie restante de cette salle sera raccordée à l’édifice contenant l’ancienne bibliothèque.

Hommage au passé

Cet édifice bien connu des Orrygeois était la seule partie subsistante d’une très ancienne ferme devant laquelle se trouvaient des jardins. Les garages qui viennent d’être rasés ont été construits bien après. La phase 1 du projet culturel s’inspire de cette ferme : le bâti aura une forme en U ouverte sur un grand espace piétonnier propice à installer une scène pour organiser des spectacles. Ces travaux vont par ailleurs en-traînés le déplacement de la stèle com-mémorative de l’Appel du 18-Juin qui, au-delà de la fin de ce chantier, restera à sa nouvelle place.

Le chantier du projet culturel est lancé au cœur du village et ceci depuis quelques semaines déjà. Il ne s’agit pour l’heure que des travaux prépara-toires à la réalisation de la première tranche du futur espace. Vous êtes nom-breux à le constater à l’heure de la rentrée et de la sortie des classes de vos (petits) enfants. Patience à toutes et à tous, le temps que ce chantier abou-tisse.

Projet culturel

Les travaux ont débuté !

Chronologie succincte

• 2008-14 : discussion et communication sur un projet culturel surdimensionné qui n’aboutira pas. • 2014-15 : lancement d’un nouveau pro-jet avec la reconduction des subventions.• 2016-17 : travail sur ce nouveau projet.• 2018 : lancement des appels d’offres, déménagement des associations et de la médiathèque.• 2019 : le chantier, d’une durée de 12 mois, commence par les démolitions de l’ancienne caserne et d’une partie de la salle des Rencontres, âgée de plusieurs dizaines d’années. Celle-ci devenait vé-tuste et était non conforme en ce qui concerne l’accès aux PMR.

Première pierre

Vous êtes toutes et tous convié(e)s à la pose officielle de la première pierre du projet, prévue le 16 mars prochain.

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Ci-dessus : une vue en 3D du projet culturel. Vous pouvez y identifier ce côté « corps de ferme », évoqué ci-contre, avec les différents bâtiments qui délimitent un espace central. Vous voyez aussi la continuité d’une circulation directe avec la rue du 18-Juin 1940 et au-delà avec l’école maternelle de la Nonette.

Ci-dessous : un plan de masse du projet évoque lui aussi ce côté « ferme ». Il montre aussi la connection avec la rue du 18-Juin et - en gris foncé - la création de places de parking pour compenser celles perdues du côté de la place de la Libération. L’actuel parking devient une esplanade dédiée aux circulations douces.

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ENVIRONNEMENT

autorisation officielle en 2017 afin d’y planter… des pommiers (!), est lui aus-si devenu depuis quelques mois, une seconde décharge illégale à ciel ouvert. Au total, ce sont pas moins de 2000 m2

concernés aujourd’hui, situés majoritai-rement dans l’ancienne casse et un peu moins dans la seconde où les sols sont jonchés de déchets de tout ordre… Pire, ce dossier de pollution ferait aussi appa-raître d’autres pratiques condamnables comme le travail au noir en plus de la destruction d’une zone naturelle classée. Nous vous indiquions dans un pré-cédent article en date de novembre 2018 que le Procureur de la République et la gendarmerie avaient agi, le premier en ouvrant une information judiciaire, les seconds en bloquant les accès des deux sites incriminés. Aujourd’hui, la gestion de ce dos-sier par les autorités compétentes suit son cours. Deux arrêtés préfectoraux stoppent ces illégalités et demandent à l’exploitant de remettre le site dans son état initial. Vous pouvez accéder à ces arrê-tés préfectoraux sur le site municipal : page d’accueil > article « zone polluée (suite) » > voir les pièces jointes.

Décharge sauvage

Le dossier entre les mains des autorités Nous évoquions voici quelques mois la mise en cause d’individus qui avaient fait de terrains situés aux portes du territoire communal un site de dépôt d’ordures. Aujourd’hui, les autorités ont toutes été mobilisées.

Sur le territoire d’Orry-la-Ville, entre Pontarmé et La Chapelle-en-Ser-val, une ancienne casse est devenue au fil du temps une décharge sauvage, une véritable poubelle à ciel ouvert dans la plus grande indifférence. Depuis main-tenant plus de deux ans, un dossier constitué par les autorités pour stopper le phénomène semble être en attente de jugement. Que s’est-il passé ? Il sem-blerait que le document dorme sur le bureau des autorités policières de Saint-Denis depuis toutes ces années, le pro-priétaire des lieux cités plus haut rele-vant des autorités du département de la Seine-Saint-Denis. Un second terrain, limitrophe au précédent, qui avait fait l’objet d’une

L’ORRYGEOIS - N°14 - HIVER 2019

Directeur de la publication : Henri HerryTextes-maquette-photos : Agence Lcom

Impression : Seugy Offset ServicesTirage : 1 650 exemplaires.

ISSN en cours.

Imprimé sur papier labellisé FSC.

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Un terrain d’une superficie d’envi-ron 1,5 ha situé à quelques dizaines de mètres du lavoir était à vendre. La SAFER des Hauts-de-France (Société d’Aména-gement Foncier et d’Etablissement Rural) a exercé son droit de préemption et s’est acquitté des 29 000 € de la vente, la Mairie avec l’appui du Parc Naturel Ré-gional Oise–Pays de France, envisage de faire l’acquisition de ce terrain dévoué, à terme, à l’installation d’une activité agri-cole aux portes du village. Comme le précise un document en-voyé en Mairie par cet organisme régio-nal, la zone concernée est classée comme incluse dans le site « Forêt d’Ermenon-ville, de Pontarmé, de Haute-Pommeraie, clairière et butte de Saint-Christophe ».

L’ancienne carrière située sous les terrains à exploiter abrite des populations de chiroptères (chauve-souris), espèce me-nacée et protégée sur le territoire du parc. Une surface d’environ 1 ha est pro-mise par le PNR à des activités agricoles à promouvoir ou préserver. « Nous sou-haitons, avec notre partenaire, y voir s’installer, à titre gracieux, un maraîcher sur les 9600 m2 disponibles », explique Henri Herry, le Maire. « Le site offre deux intérêts. Celui d’abord de favoriser les circuits courts pour l’écoulement de la production maraîchère, mais aussi celui de céder le tréfond de ces terres à la pro-tection d’espèces animales fragilisées », poursuit-il.

Développement durable

Sauvegarde et pédagogie aux portes d’Orry Un terrain de 1,5 ha était à vendre à proximité du lavoir. Il devrait permettre à un maraîcher de s’installer afin de développer les circuits courts de distribution, de promouvoir la préservation des espèces menacées et de sensibiliser les plus jeunes à ces deux thématiques.

Deux initiatives devraient voir le jour du côté du parc municipal. La première est menée en parte-nariat avec le PNR (Parc régional Natu-relOise-Pays de France) et consiste en la plantation de 21 pommiers dans la zone dite « prairie » située à la limite orien-tale du site, du côté de La Chapelle-en-Serval. Il est également convenu de faire planter d’autres arbres en lisière du parc communal. Il s’agit ici de créer un écran arboré masquant les bâtiments, assez

hauts, qui sont construits à côté sur le territoire de la commune voisine. Vous êtes toutes et tous conviés à cette première plantation au cours de laquelle des explications techniques et pratiques vous seront dispensées. Le second projet vise à faire agran-dir le jardin partagé existant et à faire installer une petite éolienne afin de dis-poser de l’eau puisée dans la nappe d’eau découverte sous ces terrains.

Parc municipal

Deux nouvelles initiatives

Plantation fruitière

Le 27 janvier 2019, rendez-vous est donné à 14 h à la population sur le parking du stade du SIVOM. De là, vous serez convié(e)s à la plantation des pommiers (se munir de bottes et d’outils).

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Circulation routière

Constats & concertations

Le sujet de la circulation sur la commune a toujours été très délicat et très complexe. Il ne peut se réduire à quelques critiques stériles comme certains se plaisent à le circonscrire.

VIVRE ENSEMBLE

Il faut préparer des solutions concrètes au regard de la réglementation en cours et le nombre croissant de véhi-cules dans le cœur de vieux villages qui sont inadaptés à l’évolution de nos habitudes de transport. Nous avons fait le choix de la consul-tation en partageant avec vous, habitants directement concernés, la recherche de so-

lutions constructives et utiles. C’est ce qui a été fait (rue d’Hérivaux partie basse, rue de

Le sondage, concernant le projet devant se substituer à l’enlèvement de l’orme de la Libération, a été ouvert pen-dant dix semaines sur le site municipal. Cette consultation démocratique s’est achevée avec le Nouvel An. Vous avez été plus de 220 à vous exprimer sur le sujet. Nous vous en remercions toutes et tous. Voici vos choix :• Vous avez été 56,3 % à privilégier l’opé-ration visant à replanter un arbre en lieu et place de notre bon vieil orme.• 42,3 % souhaitent voir édifier un petit monument à la place de l’arbre abattu.• Les 1,4 % restant souhaitent ne rien voir en ce lieu. Au regard de ces résultats, vous avez choisi de privilégier la nature en milieu urbain, choix auquel nous ne pou-vons qu’adhérer. Vous serez donc infor-més et associés pour le choix de l’espèce qui sera alors posée en remplacement.

Sondage

L’heure du choix Le service convivial et écologique Rezo Pouce, qui a été mis en place sur Orry-la-Ville, l’a aussi été sur les autres communes de la Communauté de l’Aire Cantilienne. C’est en toute logique qu’une inauguration générale a donc été organi-sée et Rezo Pouce a été lancé officielle-ment le 1er décembre dernier à Gouvieux pour tout le territoire communautaire. Toute personne intéressée par ce co-voiturage solidaire peut s’inscrire sur le site officiel www.rezopouce.fr.

Rézo Pouce

Inauguration

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Montgrésin, rue des jonquilles…), avec le plus souvent, la mise en place d’une phase expérimentale, donc adaptable. On est bien loin des critiques stériles qui n’apportent aucune solution ! Merci donc aux habitants des rues concernées par les aménagements récents, avec les-quels les échanges ont été très constructifs et très productifs.

Actions en concertation

Il n’en reste pas moins que que cer-tains points restent intangibles :• la vitesse excessive de certains perdure ;• les demandes des nounous, mamans et personnes âgées de pouvoir circuler en sé-curité (trottoirs, passage piéton) se multi-plient comme le nombre de véhicules tra-versant le village ! De nombreux essais ont été réalisés depuis maintenant 15 ans :• pose de dos d’âne ;• mise en sens unique de certaines rues ;• arrêtés municipaux pour stationner à cheval sur les trottoirs dans certaines rues étroites ;• aménagements de chicanes pour obliger les conducteurs à ralentir ;• mise en place de stops et de feux trico-lores pour casser la vitesse ;• réduction de la vitesse en accord et après discussion et analyse avec les associations de cyclistes ;• stationnement alterné dans tout le village à quelques exceptions près dans certaines

rues ;• réfections récentes de trottoirs et cani-veaux, etc… Tout ceci en concertation avec les ha-bitants des zones concernées et parfois à leur demande. De nombreuses discussions et échanges ont eu lieu. Le nouvel ASVP a par ailleurs fait le tour de nombreuses rues, il a dialogué avec certains d’entre vous et commence à connaître le village. Il est en mesure de proposer des solutions utiles à tous…

Mise en œuvre adaptée

Aussi, suite à tous ces échanges sympathiques, nous travaillons à une co-hérence de tous les arrêtés municipaux. Nous commanderons alors de nouveaux panneaux de circulation et de stationne-ment. Cette démarche consiste à une mise en œuvre par quartier, voire par rues, de projets adaptés même si cela doit passer par une refonte de la circulation du village au regard des règles de circulation et de stationnements récentes. L’objectif vise bien sûr à la satis-faction de toutes et tous, aux besoins légitime de chacun. Au-delà, il fau-drait que chacun puisse stationner sans gêner les autres, en respectant le calme de la commune ; pouvoir circuler en sécu-rité ; et faire bonne acueil aux remarques et aux propositions judicieuses faites par les Orrygeois(es) décidés à résoudre ces problèmes !

L’association sollicitées pour tra-vailler sur ce dossier - appelée Actiom - a rendu ses propositions en Mairie, plus précisement au CCAS (Centre Communal d’Actions Sociales). Pour toutes celles et ceux que cela intéresse, merci de vous adresser en Mairie afin de prendre au plus tôt un rendez-vous. Pour ceux qui ne disposent pas de la mutuelle obligatoire de leur employeur - comme les retraités, les personnes en contrats courts, les chômeurs, etc… -

plusieurs types de contrats ont été négo-ciés par l’association qui est par ailleurs reconnue par l’Association des Maires de France (l’AMF). Ces contrats sont particulièrement intéressants en terme de baisse des coti-sations et d’augmentation des prises en charge médicales. N’hésitez pas à vous adresser en Mairie pour en savoir !Site de l’Actiom : www.macommunema-sante.org/lassociation-actiom/

Mutuelle communale

Propositions intéressantes : nous consulter !

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Radar pédagogique

Quels enseignements en tirer ? Le radar pédagogique se déplace de quartier en quartier et permet de peaufiner les choix d’aménagements ou de signalétique sur le territoire com-munal. Il est bien évident que, parfois, des essais sont nécessaires ! Le radar pédagogique a été posé pendant deux mois, rue de La Chapelle, afin de mesurer le nombre de véhicules et la vitesse de ceux-ci en entrée du village pour tous véhicules venant de la commune voisine. Un premier constat : quelque 6000 voitures/jour passent par Orry-la-Ville ! Un second : la vitesse record enregistrée pendant cette période a été de 104 km/h à l’angle de la rue du 18-Juin-1940. Mais « bien heureusement », seuls 2 % des véhicules dépassent la vitesse de 70 km/h et 85 % sont en dessous des 50 km/h, à ceux qui doutent du bénéfice des places de parking et leur rôle de casser la vitesse. Les cœurs de vieux villages comme le nôtre ne sont pas adaptés à autant de véhicules et ce nombre de passage/jour va encore augmenter, vu d’abord l’augmenta-tion du nombre des logements - de l’ordre de 520 prévus au PLU de La Chapelle-en-Serval et plus encore avec les villages alen-tours. A ce sujet, les 90 logements, pro-grammés rue du 18-Juin-1940, devraient apporter environ 1,5 % de voitures en plus en entrée du village si la moitié des voi-tures vont dans ce sens-là et si chaque lo-

gement a deux voitures. Conclusion : ce ne sera pas la contribution la plus importante à ce flux venu des communes voisines. Que faire ? Faut-il, par exemple, comme à Coye-la-Forêt mettre aux heures de pointes le centre ville en sens unique ? Cela ventile le flux de véhicules dans les rues latérales (au grand mécontentement de leurs riverains) et rend impossible le croisement (assez rare quand même) de deux camions ou deux bus. La circulation en cœur de vieux vil-lage est un dossier compliqué pour toutes les communes. Des réflexions sont en cours pour apporter des solutions concrètes, pour le confort de tous les habitants qui subissent ces flux de passage tous les jours.

Le Sicteub a fini les travaux de construction du poste de relevage de la route Manon qui est entré en service et doit le rester si tout se passe bien. Fini donc le passage des gros camions du chantier sur cette route. En conséquence, deux dossiers vont pouvoir débuter : • la réfection de toutes les portions très abîmées de la chaussée de cet axe - financée pour moitié par le Sicteub -

même si pour l’heure, l’entreprise qui doit réaliser les travaux n’a pas fourni de calendrier pour cette opération ; • conséquemment à la fin de la réalisation du poste de relevage de ce côté du village, la destruction de l’ancien poste situé près du lavoir va être pro-grammée. Celui-ci devrait être remplacé par un espace de repos agrémenté de table et de bancs.

Voirie communale

Des nouvelles côté route Manon

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Orrygeois

Un jeune artiste peintre à découvrir Valeur montante de l’art contemporain, Nathan Chantob force le respect. Ce jeune homme, qui travaille dans son atelier à Chantilly, est aujourd’hui exposé à l’international et dispense ses enseignements à un public passionné. La maison, toute en hauteur, se fond dans les alignements ur-bains proches de la gare. En ce début d’après-midi, Nathan ouvre sa porte dans une atmosphère encore bai-gnée de silence, celui nécessaire à ses deux très jeunes enfants et à sa femme, happés tout trois par le som-meil d’une sieste bienfaitrice. Pour ce jeune papa, tout com-mence à Orry-la-Ville où il suit sa scolarité déjà empreinte d’une cer-taine attirance artistique : « J’ai été intéressé très jeune par le dessin, et c’est mon grand-père qui m’a légué tout son matériel, peintures et pinceaux…», explique Nathan. A 16 ans, il part suivre des enseigne-ments artistiques en Belgique où il touche à tout pour mieux retrouver sa préférence, le dessin et la peinture à l’huile. De retour en France, il s’initie à à peu près à tout ce qui peut lui passer sous la main. Et puis, en parallèle de la préparation des concours d’entrée aux grandes écoles artistiques de l’Hexagone, il vend ses pre-mières œuvres à des proches, mais aussi et surtout à de parfaits inconnus qui appré-cient son travail ! « Ceci n’aurait pas été possible sans l’indéfectible soutien de mes parents que je n’ai pas eu à convaincre de mes choix pro-fessionnels », avoue Nathan… « Mon père le premier, lui qui tient depuis le début le rôle de conseiller artistique à mes côtés. »Gand en Belgique, Saint-Paul-de-Vence dans le Sud, Genève en Suisse, mais aussi Paris ou encore Honfleur sans parler des salons spécialisés dans lesquels il se dé-place… Quelques années plus tard, c’est à l’international que ses œuvres trouvent acheteurs, des œuvres qu’il qualifie de « figuratives avec une facture picturale abstraite. » Aujourd’hui, Nathan - qui concède avoir conscience que « rien n’est jamais

gagné » - profite de cet élan donné par son public « qui me conforte dans mes choix artistiques. » Mieux, il vient cette année 2018 de dispenser des stages de formation en Sologne pour des passionné(e)s aux profils variés : « J’y apprends beaucoup sur moi », précise-t-il avant de s’en amuser : « Et puis, ce n’est pas banal de recadrer un retraité qui abuse de son portable en plein cours… » A l’aube de cette nouvelle année, Na-than Chantob avoue : « Je ne me suis pas encore trouvé. Il ne faut - me semble-t-il - jamais se reposer sur ses lauriers, ce sont ces sentiments qui en tout cas nourrissent mon travail aujourd’hui… »

• Pour en voir et en savoir plus sur le jeune artiste et son actualité, rendez-vous sur Internet (sites, profil facebook…). Vous y découvrirez tout à la fois l’univers du peintre, inspiré par notamment Egon Schiele ou Munch et des informations sur son calendrier. • Pour ses ateliers en Sologne, se reporter au site www.leglandier.com sur le-quel figure l’agenda des ateliers et les thé-matiques développées par les artistes en général et Nathan Chantob en particulier.

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Insolite

Quatre camions à l’assaut du village

Dans le bulletin L’Orrygeois n° 9 paru l’hiver dernier, nous vous présentions un jeune et talentueux joueur de tennis, Laurent Boury. Voici à quelques mois près le palmarès de ce jeune garçon promet-teur :• 1/2 finaliste du tournoi national de Creil (60) ;• finaliste du tournoi national de Was-quehal (62) ;• finaliste tournoi national de Bois-Guil-laume (76) ;• 1/8e de finale du tournoi internatio-nal open 10/12 TCBB (Boulogne-Billan-court-92) ;•1/16e de finale du tournoi international open super 12 d’Auray (56) ;• 1/4 de finale du tournoi international top 10/12 de Bressuire (79) ;• 1/16e de finale tournoi international de Biot (06) ;• Vainqueur consolante du tournoi inter-

national d’Halton (Angleterre) ;• 1/4 de finale des championnats de France individuels ;• 3e de la coupe de France 13 ans à Gre-noble (38).• vainqueur de sept tournois locaux (dans l’Oise et l’Ile-de-France) en catégorie 13/14, 15/16 et 17/18 ans (Domont, Vil-leparisis, Méru, Lamorlaye, Damartin-en Goële, Margency, Champagne-sur-Oise).

Orrygeois

Palmarès 2017/2018

Cet article pourrait aussi avoir pour titre quelque chose comme « l’erreur est humaine ». Jugez plutôt : un habitant de la rue d’Herivaux nous a rapporté ce qui s’est passé vendredi soir le 30 novembre der-nier vers 20 h. Quatre camions de taille et tonnage très importants sont passés dans le cœur de notre village, devant la Mairie puis le long de la boulangerie ! Le centre du village n’est bien sûr pas conçu pour des camions de ce gabarit ! Pourquoi ce passage nocturne sans même avoir prévenu riverains ou Mairie ? Pourquoi circuler sans GPS et passer là, alors que d’autres rues plus larges à proxi-mité sont plus accessibles ? Autant de points incompréhensibles. En réalité, ces engins ont été aperçus plus tard, vers 20h30, ce même jour, à la gare de Orry / Coye : ces camions com-

mandés par la SNCF venaient à la gare suite aux travaux réalisés et finis par la SNCF depuis deux mois sur les rails dans notre secteur. A la demande des habitants de ce tronçon de rue, et en concertation, les amé-nagements ont été réalisés il y a plusieurs mois, pour ralentir les voitures et augmen-ter la sécurité des piétons. Les panneaux de circulation ont été commandés, l’arrêté municipal sera bientôt publié, la SNCF et la société Kéolis – cars scolaires et ou cars SNCF - seront informés de cette interdic-tion. Cet évènement est fort heureusement rarissime même si parfois, certains cars SNCF ont été vus à cet endroit, semblant ignorés l’existence de la rue du Muguet, bien plus large.

Curieuse histoire que celle de ces camions qui font fausse route un soir d’hiver au cœur de notre village. Visiblement, la signalétique - pourtant refaite à neuf récemment - n’est pas suffisante au cœur du village. Récit.

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L’Orrygeoise Night, le 8 décembre.

EN IMAGES

Le goûter des Ainés et leur colis de Noël, le 15.

Le marché de Noël, le 2 décembre.

Commémorations du 5 décembre.

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Janvier> les 26 et 27 janvierStage débutantMéditation zen, médecine traditionnelle chinoise, pra-tique de l’ohashiatsu de 9 à 18 h à l’école maternelle.

> le 27 janvierPlantationparticipativeD’arbres fruitiers, dans le parc municipal. Rdv donné à 14 h parking du stade du SIVOM (se munir de bottes et d’outils).

Février> les 2 et 3 févrierStageLes bases de la médecine traditionnelle chinoise et les points d’acuponcture, orga-nisé par l’association L’arbre aux pieds nus, à l’école ma-ternelle de 10 à 17 h.

> le 4 févrierStageLa PNL (programmation neuro-linguistique), organi-sé par l’association du Prin-temps du Verseau à l’école primaire en présence de Marie-Agnès Horst.

Mars> le 10 marsAprès-midi carnavalOrganisé l’après-midi par l’UPPE (horaire non défini) à l’école élémentaire.

> le 16 marsPose de la premièrepierrePose de la première pierre du chantier du projet cultu-rel. Place de la Libération (horaire non défini).

AGENDA

Retrouvezl’intégralité de l’agenda de Orry-la-Ville - Montgrésin en parcourant les pages

dédiées du site :www.orrylaville.fr• • • •

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La galette du CCAS offerte par la Mairie, le 6 janvier.

La galette de l’association La vie d’Orry, le 6 janvier.