la source principale des douleurs à l'estomac et autres ulcères

5/9/2018 La source principale des douleurs l'estomac et autres ulcres

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ES D'OULEU,RS DYSPEPS1QUES constituent le plus importantignal d alcrte de la deshydratation. Elles peuvent surve-

I "'" d 1 .'tons es ,ages I e a 'VIe.- armi Ies douleurs dyspepsiques, la gastrite, la duodenite et

=~ bnllures destomac devraient etre traitees uniquernent pariccroissementde I'mgestion d'eau. Lorsqu'une (au plu-

.- irs) ulceratiorus) s'y associemt), ilfaudrait deplus recon-" 1 d 1+ . .' '''']... l' '" .. derer te moue alimentaire pour accc erer a reparation uu- ~~,lcereux. .Generalement, on estimc que 12 % desdyspepsiques deve-rppent un ulcere du duodenum au bout de six, ans, 30 %. res dix ans et 4 ' 0 ' % apres vingt-sept ans. Ces douleurs son!'une signification capitale, bien qu'onne reconnaisse leur-

-. i portance qu'une fois l'ulceration constatee par l'examenendoscopique.La pratique rnedicale semble etre devenue une-iscipline visuelle, alors qu 'elle fut autrefois. un art de p,er-ception et d ie reflexion.C'est Ia douleur liee aces differentes affections qui force Ie

malade a consulterun mcdecin, dont il recoit alors route I'atten-tion, meme si divers jargons s'attachcnr a decrire lesparame-tres locaux que I' endoscope revele, Le facteur commun

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fondamental de routes ces affections est la deshydratation quiprovo que des modifications tissulaires locales.

Qu' est-ce qui peut m' autoriser a soutenir un: these aussihardie ? C' est Ie fait que j' ai soigne avec umquement deI' eau, plus de 3 000 personnes souffrant de douleurs dyspep-siques. Toutes ont reagi positive~e.nt a unea.u/gm~e~tatIond'ingestion d'eau et leurs lesions chmques associees ala dou-leur ont aussi disparu. Le compte rendu des resultats de ce ,traitement nouveau fut publie dans l'editorial du Journal ofClinical Gastroenterology, en juin 1983.L'un des nombreux patients ainsi traire merite u n in te re tpm.ticulier qui preuve qu'a partir d'un certain seuil de deshy-dratation, aucune medication autre que l'eau n'est effica~e.

Cet homme d'environ 25 ans souffrait d'un ulcere pepuquedepuis des annees lorsque je Ie rcncontrai en p~eine cr~se. O~l' avait soumis aux examens classiques et le diagnostic pose6tait"ulcere duodenal". On lui avait prescrit des antiacides etdes cimetidines Ces dernieres sont des medicaments trespuissants qui bloquent l'action de i'histamine au nive~u ?esrecepteurs du "second" type, ceux qu' on appelle en general"rec~pteurs" dans le corps ou, dans le cas present, recepteu~sd'histamine 2 (H2). Certaines cellules de l'estomac productn-ces d'acide y sont tres sensibles, ainsi que, helas, beaucoupd'autres quine produisent aueun acide. C'est,la raison po~rlaquelle eette medication a des effets seco~da1fe~ ( ' ! ;ompr~sl'impuissance chez les jeunes adultes) et s'estreve~ee extre-mement dangereuse pour les personnes agees chromquementdeshY'dratees~ ." C' est a onze heures, un soir de 1'ete 1980, que Je posal monpremier regard sur ce jeune homme. 1 1 etait ~n proie a de~douleurs telles qu'il gisait dans un etat seml-comateux, arneme le sol de sa chambre, plie dans une position fretale. 11gemissait sans ces~,e,incc nscient d son ntoura . orsquj lui parlai iln rep m lit ra~. II n 'oH1mlll~iqlail I l l S ,lW,:'K ' plO'h 'So .Ie l u l d ' i 1,'lIllhi l'l qUI II al lal l 1 n . ' . I I '11I1 t :

"Mon, ulcere est en train de me tuer." Je lui demandai depuiscombien de temps il souffrait ainsi. II dit que ses douleursavaient commence a une beure de l' apres-midi, juste apres ledejeuner. Depuis, elles u'avaient cesse d'accroitre. Je luidernandai ce qu'Il avait fait pour les dirninuer et sil avait prisdes medicaments, II me repondit qu'il avait avale trois cachetsde cimetidine el un flacon entier d'antiacide. Malgre cettemedication impressionnante aucun soulagement ne s'ctaitproduit en dix heures depuis le debut de la crise.

Quand une medication aussi massive ne vient pas a bout desdouleurs d'un ulcere peptique, on se met automatiquement asoupconner Ia presence d'une affection plus grave, quelquechose qui pourrait necessiter une intervention chirurgicalc.Pe~t -etre cet ulcere avait -il perfore ! J' avais assiste a des ope-rations de ce genre Oil les gens qui etaient perclus de douleur,exactemcnt comme ce jeu.ne homme devant moi, Le test estsimple: ces patients ant nne paroi abdominale tres rigide, durecomme une planche Id e bois ..Je 1 1 1 e rnis done a tater la consis-lance de la paroi du jeune homme qui, heureusement, etaitsouple, mais tendue a force cledouleurs ; I'ulcere u'avait done, ~ ", t sI lo o re p er fo re ..

L'arsenal des medications en de telles circonstances est tresIiIllite. Si trois cimetidines de 300 mg et un flacon entierd'l~tiacide n'avaient pu calmer Ia douleur, j'aurais ignore

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s 'etaient arretes ..Je lui d on na i u n a utre ve rre d'eau. E n l "e sp ac ede que lques m inutes , ses douleurs disparurent completemente t il se m it a 'p re nd re co nscie nce d e s on e,ntourag~.II s e le va et

". . . " " " ' " ....rnarcha en direction du l11Uf, s'y adossa et se nut a converseravec ses visiteurs, quietaient a present plus surpris que .lui-rneme par la souda ine transfo rm ation que tro is ven :es d ' eauavaient.apportee ! D ix heures duran t, ce t .hom m c av~ lt a troce-ment souffert et pris les medicaments les plus purssants etsophistiques pour Ie traitement de I'ulcere p epti~ ue sa ns I .emo i nd re r es ul ta t. Et vo ila qu e tro is v erre s d' e au a va ie nt pro du itun soulagem ent appreciable en que lque ving t m inutes! .L"il lustration .4demo11tre le cas de ce . pa tien t. 'O n y vottI'mtensite avec Iaquelle le cerveau signale la deshydratation.Au-dela d'un certain seuil, Ies caIrnants locaux ne sont plusefficaces. L'antiacide et la cimetidine ri'avaientmeme plus le

moindre effet sur les donleurs du jeune hornme ..Le cerveau~ dcessa de p ro duire de la souffrance (1 ' expression xie. . sademande d'eau) des que le volume d' eau ingere suffisait a 'retablir un e hydratation normale. L'eau seule fut en mesured'envoyer le message correct au cerveau. Ce meme mod e deproduction de la douleur existe dans Ies autres p~ ies de .l 'o r-g an ism e en cas de deshydra ta tio n loca le . O n devra it enserg nerI'existence de ce phenomene a ceux qui souffrent de douleursrhumatismales chroniques par exemple,E n, u ne a utre o cca sio n", j'ai p, u verifier si la cessation Ide la

douleur abdominaledcpendait du temps ou du 'volume d'eauingere. Unhomme vin t m e voir, porte pa r deux personnesCep atie nt, a lfl ig e d 'un u lce re pe ptiq ue d ep uis longternps, n e p ou -vait plus marcher. II souffrait atrocement de douleurs d y . . s p e p , -. , . " Jsiques et abdominales s up er ie ur es , A pr es rn' etre assure qu 1n 'a va it p as perfore.je lui do nn ai chaque heure un verre d'eau,II ne s'en remit pas en vingt minutes, ni meme en nne heureving t. S es douleurs n e s ' e stom peren t qu 'apre~ son tro isiern .verre d'eau, alors qu'en moyenne, les cas mOlD'S: graves 80111completement soulages de leurs douleursen huit minutes.

L ' expe ri e nce montre qu e jorsqu 'o n b oit un verre d ' eau, ellepasse immediatement dans les in testin s et y est absorbee.Cependan t, en une dem i~ heure , quasim en t la rnern e quan tited 'eau es t secre tee dans jes couches g landula ires de Iamuq ue us e g a st riq ue , prete a e tr e u til is ee p ou r l a d ig es tio n. Lepro ce ssu s d ig es tif de s a lim e nts solides demande Ia presencede grandcs quantites d'eau, L 'acide ch lo rh yd riqu e (H Cl), le senzym es e t l' activite de I'e st om a c t ra ns fo rm e n t les a l imen tsen un l iquide hom ogfm e , capable de passer dan s les intestinspour I' etape , d ig e s ti v e su ivan tc .L e m ucus es t secre te par 18 couche Ia plus in te rn e de I'es to -m a c ; Lamuq ue us e ( vo ir i ll us tr at io n 5). II se com pose de 98 %d'ea~ etde 2 % de m a tie re so lide ("echafaudag e") charg ee deretenir I'eau: ilc on st itu e d orle un tam p on n ature!. n contienrd u b ica rbo nate de so dium , cha rg e de n eu tra lise r l'acide afin depro teg er Ia m uqueuse . Ce tte reaction produit de s quantitesIm p orta nte s d e sel (sodium issu du bicarbona te e t chIm e deI'acide). L'e x:c es d e sel a lte re lacapacite du m ucus a retenlrI 'eau. Une n eutra lisa tio n tro p in ten se de I'acide entraine desd epo ts d e sel tro p im po rtan ts , ren d m o ins ho m og ene la eo uchede mucus et pe rme t a I'a c id e d 'a tt aq u er la muqueuse , causantt in si d es douleurs"E n S eCn !tan t n ature llem e nt de I'eau a tra ve rs la couche de

IIIUCUS, le s m uqueuses se debarrassem des depo ts de se tI' 'i f f .. . . '", . - - le a cl te de cette barriers pro tectrice depend done d' un eIII r ~ st io n r eg u Ji er e d'eau, eO particu lie r avan t l'bsorptiond a il m en ts B olid es q ui srimulent la p ro du ct io n d 'a cid e par le sJandes de la paroi gastrique.Ainsi, l 'eau procure l'unique protection naturelle contre

. aride dans l'estomac. L es sn tia cid es n eutra Iis an t l 'a ciditeII,III" , I' estom ac en tie r - e t non pas seulem en t au con tact des'1 '~"I(,I I~ leuses o ffren t un e pro tectio n in efficace qui perturbe la'II YHio, logie de la digestion.

N ( ItiS devrions m ain tenan t com prendre que si nous dispo -I'll.' d' un sign al de faim, il en existe un autre pO ur la soif,

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, '. ." ., I," ~uq'ueuses. Une barriere de. ' . , . , . . , ' ~ . ': 5 ' L ' e s tomac e r s es s u u cu n es n~ . '. '. ',. ,- ,... " ...deIl1us~ ratJo t~ . ""~ " , ..' . r a t e e r et ie n t l e bicarbonate et neu.tIal.~se }..a~~_"e, .nlucas conec te.ment byd ,..... ,., r''., i "e'fficace et perrnet la penetra-d /"1, . d - ta t ' 0' ' 1 1 r end ce lt e. p r ot e ct Io n 111. . .... .' .La . eSl1.yIa ,at I, .' ... .'. '.:"~ .. ".' .'.... ' ' ',",' U ,I e h'\rdratatlon Co[-. " .-, , ', ",' d""la leslondesm uqueuses., n ; ,.' .,'tion de 1 aCide, et IOI:~ ~~',. "'if" ','qu e n"in1porte quel mediCalTI,ent.re cte pro cu re u ne ba rn er,e p lu s e ' lca ce .' r .

Vestomac et le duodenum

C E s o p h a g e

DuodenUl11Grande..bure

!vl~queusegastriqueValve.gastrodllod,e.nale~siege, frequent d'ulceres

Bonne hydratationDeshydra ta t ion . : ,I'acide traverse

:~JNourri ture et acide

traverser 'aastriq' ue'; l . ._ .P e ri to i ne .

Malheureusernent, on le nomme "dyspepsie" et on le traiteavec toutes sortes de medicaments, causant plus de ,degatslocaux au niveau duodenal et gastrique que de bien-etre. Pourcalmer cette douleur, le traitcmcnt generalement preconise est1 id .. d . I.... - .. - --" '1

"

Des recherches significatives conduites en Suede ont mon-tre que parmi les personnes qui souffrent de douleurs dyspep-siques classiques sans ulcere, le recours au piacebo"a.I'antiacide O'll TIl-erne 3 ,u n a g en t qui bloque l'action de I'hista-mine don I 'J ' e " U l 1 ' - esultat idle ntia .e En d' a u t r e s' " " e i t - m ' e s n i le s' - - - - - _ ' - _ , . , 1 : , - i, _ r C . , ' _ . " . . . q . u . .. ' . . : i : . . . . . ' . ' _ . ~ _ 1 1 . . ~ , l~ , I . ' . ~antiacides ni les medicaments plus puissants n' ont I'efficacitepromise. Lorsque le corps emet des signaux de deshydrata-tion, la prudence s'Impose ; toute prise de medicament estal d ,# 1 ' 1 ' , /. ors ..eCOl1sel ee .Selon toute probabilite, 1cau est la seule et unique

substance capable d'offrir U11 soulagement ..Apre,s tout, c'estnotre corps qui exige ce dont il a besoin ; il le reclame haut etfort. Si notre recherche est precise.mous pourrons identifierd' autres signes de deshydratation ..Cessons de croire que ladouleur dyspcpsique nindique qu'un phenomene isole etlocalise ..Dans chaque cas, elle signale la deshydratation,meme si un ulcere l'accompagne. Si I'eau pent faire disparai-ire Ies douleurs, I'adoption, d' une alimenration approprice feraIL Iisparaitre I" ulcere -ell un temps raisonnable.La p l upa rt de s antiacides contiennent entre 150 et 6 0,0 m , g

.l'uluminium par dose et sont dangereux pour I'organisme, Onltres serieusement incrimine I' exces d'aluminium circulant

I lans le corp'S comme facteur precipitant dans les maladies duIIYI',eAlzheimer, II e st im p era tif de comprcndre Ie rapportI '~ istant entre une ingest . ion d'aluminium a long terme et sonII u issible effet secondaire sur le cerveau. Toutes les etudes,Illnctiques du monde n'annuleronrjamais I'effet toxique d'un1 1 1 " :tu]utilise enpharmacologiepour affronter un simple signalI ~oif.

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L'Ile de Guam possede un sol riche en minerai daluminium(comme certaines regions de l'Ouest du Pacifique: la perrin-sule de Kii au Japon, l'Ouest de la Nouvelle Guinee et qucl-ques autres). Ce minerai contaminait serieuscment I'eaupotable de I'rle. Avant que cette pollution ne soit reconnue, ily regnait une maladie analogue ,8 . colle d'Alzheimer. Memeles jcunes gens semblaient souffrir de ce mal. II y a un certainnombrc dannees, on admit ce problems et on purifia I'eau..Aujourd'bui, les jeunes ne sont plus affliges par ce mal, 'L atoxicite de I 'aluminium dans I'eau potable est maintenantre co nn ue C O 'n l1 TI,eresponsable de cette maladie de typeAlzheimer,Utiliser des agents bloquant I'histamine est egalement

contre-indique a long terme, Ils ont de nombreux effets secon...daires, tels que vertiges et etats de confusion, chez les person-

A ,nes agees,II suffit de quelques semaines de cette medication pour

qu'apparaisse chez I'homrne une croissance des seins. Chezcertains patients rnasculins, on a note une diminution de Is;concentration en spermatozoides du liquide seminal ainsiqu'une forte baisse de la libido.

Ce type de medication est aussi forternent deconseille auxmeres qui allaitent ainsi qu' aux femmes enceintes, De faconnaturelle, I'histamine secretee en reponse a la deshydratationprovoque une dilatation des vaisseaux capillaires du cerveau.Les antihistaminiques bloquent cet effet dilatateur et provequent un appauvrissement de l'jrrigation cercbrale, ce qu i ~tparticulierement dangereux en cas de stress quand Ie cerv c U Iaun besoin accru d'oxygene.Bien que localisee au niveaude I' estomac, la deshydratatiou

se retrouve dans le corps entier, Si on evalue mal une doul .t udyspepsique en ne I' interpretant pas comme signal de s( il',organisme sera confronte plus tard a bien des problenles i l l "v er sib le s. B ie n sur, un e t l lmeur , de I es. tom.ac pourrait entralJI'd, -8 douleurs 'similair~ s - m a is I '~ S l naux per si st el '" ai n t m" I

Ie traiteme~t par l'eau. Au cas 00 les do, .. .. .... . .P 'a s . m a l g . - [ ' e ' - .u 'n ....,.... '. . ..- . . ' uleurs n e d is p ' a r a l s - s e ' 1 1 . t- - - " . , _ , I reaJustement d J ' -nnor'_ - .quelques jours, ils .~ ' __e . aplpo rt hydrlque pendant

"'c~ ..... ',-,; ,'. sera prud,e .n t de co n suln , . I . ' ~ .. ' . .evaluer 1 etat de la maladie. S' 1 ' . ' . . : ' . . . . " r un ~edecln .POUT~ .s t '. . . ' . . 1 .es douleurs p ' T O - v ' l e n - .- . -d'~asnte.d'une duodenite ou d' . .j: '.,..en r une1m .perativemell t p..reVQ'Jl';' .un.e ~lceratJ.o.n.p'eptlque, ilfaut~.. ... .. .. - , ...1 une IngestIon d'. ,",:... . i - ~ , .regnue adapte au malade. eau reguIlere et un

les colitesL,es co~i!es au niveau inferieur de l'bd " .' " .d abord etre interpretees co' ' .. , . ... . ... ..a .~omen .devraIentd'~au. Elles .sont souve~t as:n~~,un, autre ~lgn~l d~ manque-n ..".. O Clees a une cons" tl ' p"'t, ' -.' 1 1 'I erne causee par une des]: ..d . , . . . . . . . _ - . . ' " . . I a ,lOll, e, .'e . ..L'une de. ' ..., ..... .. ~~.ly.ratatlOn perSlstante.. .. ' s tonctlOns pnnclpales du ....... ~...' . . ....Iecycler une parti de 1'. '. p ~ros Intestlll c.onslste a" _...... ,_ ~. . Ie ,e eau qu IIContlent I - rr. ...", _'rop., g ra nd e p .:e rte -.'(o r ._...rr . ..... . .pour en . evirer une-_ o,n nomme ce -' ~'. '.so,dil1m"); 110US recy.clons' > _ _ . ' - - .mecan.ls~e.. "'pJo._mpe it - . L . . _. . a ln Sl e nV Iro n 40 1 tre, d'"" ......rsqu' il y a deshydratation,' Ie co ......e~ .......au parI, op sec pour proO '~ _, ,. .._.__.~_ _. . nten.u IntestInal est, '_'.' __. oressel conven.ableme t, .'... _'; . < . . . ,(11011 le telnps d' ag. .g_aver 1-, . .. ..'. . _ ,. .. . .n , ce qUI do'nne auI ~ . ' . . ' a S it ua tI on par un , " '" . '" .( " 'ts tJque de 1'eau .. Un e co r /., ._ ' :'"..'/ 'e recup,era tlonI - ' . . / . , onstlpatlon en resulte ' t . .._ .' ~. ;sequIllbrer encore. davai " . . ;'.. . . -,-~' _e partIcIp,e a

I ' ~ - ' ,avantage 1 . 'o rg-an lsn A . . . " . u n surplus d' aliment I e decl .. "':1e.vec 1 arnveej rntesun et rend len [I. t 8,'. e.$e.~he ts so.Jldes S'e nta ss en t da ns

_ . .. ,I, ,ouJours plus j . " '- b I . .. , . ' ., assage d'un contenu durci. Si 1" .pe~l, e;t douloureux 1en re~anche, Ies douleurs de /~~estJon ~ e~,u.estadequateSOclees a la C -o - .n s..t I p a t: . . .. ' . .d ;0 . ..a .,0. m e . f l. l . . . l D f e . 1 .] .e u r .gauche. '. .. 1 Io n i 11Sp.' ir a" 't ~ . . M ' '. 1 1 1 I, poire 0 .' .' .' ... '. ..' -. c, ,,1I,ont._r anger une p.o m m _:" "'.. u une orange Ie SOlf cor t ,, 'b -' . _. ..' .." .J e"ilIon Ie lendemain. .. . nIl I uera a redurre la consti-

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Les fausses douleurs d' appendiciteII se peutqu'une douleur aigue apparaisse dans la partie infe-rieure droite de I'abdomen. Elle p,eut parfaitement imiter uneappendicite. En revanche, d'autres caracteristiques distincti-ves passent inapcrcues ': absence de fievre, aucun durcisse-ment de la paroi abdominale et aucune impression de nausee.Un ou deux verres d' eau feront disparaitre cette douleur. Danscette situation particuliere, un verre d eau peut meme servird.'outil de diagnostic.

En resume: les douleurs dyspepsiques signalent unedeshydratation chronique ou grave affectant le corpshumain. Elles peuvent etre soignees par une simpleI ingestion d ' eau reguliere. Le traitement courant p,ar

I . antiacides et antihistaminiques neprofitepas a uneI personne chroniquement deshydratee dont le corpsLn'a d'autre ressource que de reclamerde l'eau.

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