la rose de charenton / saint-maurice

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Charenton/Saint-Maurice Logement Votre département à la rescousse p.3 Éducation Donner le meilleur à nos collégiens p.4 Gilles-Maurice Bellaïche Patricia Richard Les élections cantonales remportent souvent la palme de l’abstention. Cette absention reflète notamment une méconnaissance de ce scrutin. En effet, le lien entre canton et Conseil général peut sembler obscur. Les élections cantonales servent à élire un Conseiller général. Le Conseiller général est notre représentant à l’Assemblée départementale, appelée Conseil général. Ainsi les élu-e-s du département sont donc les représentants d’une partie du département : le canton. Maintenant, entrons dans le détail : à quoi sert le Conseil général ? Je dirai pour résumer, que le Conseil général est, avec la municipalité, l'institution qui touche au plus près notre quotidien. Il est responsable entre autres, de l'action sociale (RSA, APA…), de la petite enfance, des collèges, de la voirie et intervient également dans des domaines d'importance tels que le logement social, les transports, l'environnement, le développement économique, la culture, le sport, etc. Toutes ces actions sont détaillées dans les pages qui suivent. Je suis persuadé que vous brulez d’envie de vous y plonger convaincus que vous êtes maintenant que les élections cantonales ne désignent pas les cantonniers... Ivan Rodolphe, responsable du Parti socialiste de Charenton [email protected] Les cantonales c’est pour les cantonniers ? Hors-série spécial élections cantonales des 20 et 27 mars 2011 dans le Val-de-Marne Vivre dans le Val-de-Marne Grandir Économie et emploi Conjuguer équité et efficacité p.6 dans le Val-de-Marne Travailler Charenton la Rose de POURVOUS & Saint-Maurice

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Numéro Hors-série du journal des socialistes de Charenton et de saint-Maurice, spécial élections cantonales.

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Page 1: La Rose de Charenton / Saint-Maurice

Charenton/Saint-Maurice

Logement

Votre départementà la rescousse p.3

Éducation

Donner le meilleurà nos collégiens p.4

Gilles-Maurice BellaïchePatricia Richard

Les élections cantonales

remportent souvent lapalme

de l’abstention.Cette

absention reflètenotamment

uneméconnaissancedece

scrutin.Eneffet, le lienentre

cantonetConseil général peut

semblerobscur.Les élections

cantonales serventàélireun

Conseiller général. LeConseiller

général est notre représentantà

l’Assembléedépartementale,

appeléeConseil général.Ainsi

les élu-e-sdudépartement

sontdonc les représentants

d’unepartiedudépartement :

le canton.Maintenant,entrons

dans ledétail :àquoi sert le

Conseil général ? Jedirai pour

résumer,que leConseil général

est,avec lamunicipalité,

l'institutionqui toucheauplus

prèsnotrequotidien. Il est

responsableentreautres,de

l'action sociale (RSA,APA…),

de lapetite enfance,des

collèges,de la voirie et

intervient égalementdansdes

domainesd'importance tels

que le logement social, les

transports, l'environnement, le

développementéconomique,

la culture, le sport,etc.Toutes

cesactions sontdétailléesdans

lespagesqui suivent. Je suis

persuadéquevousbrulez

d’enviedevousyplonger

convaincusquevousêtes

maintenantque les élections

cantonalesnedésignentpas les

cantonniers...

Ivan Rodolphe, responsable duParti socialiste de [email protected]

Les cantonales c’estpour les cantonniers ?

Hors-série spécial élections cantonales des 20 et 27mars 2011

dans le Val-de-MarneVivre

dans le Val-de-MarneGrandir

Économie et emploi

Conjuguer équitéet efficacité p.6

dans le Val-de-MarneTravailler

Charentonla

Rose

de

POURVOUS

&Saint-Maurice

Page 2: La Rose de Charenton / Saint-Maurice

dans le Val-de-Marne

Patricia Richard43 ans, conseillèremunicipale de Saint-Maurice

Ma sensibilité de citoyenneaux questions de justice,demixité sociale et d'équité m'aconduite à rejoindre le Partisocialiste.Au sein du groupe de gauche«énergies nouvelles», jetente de donner clairementle signe de mon engagementen me rendant disponiblepour les Mauritiennes et lesMauritiens. Ma candidatureau coté de Gilles-MauriceBellaiche va dans le sens dece bien commun qui nous estcher :notre canton.Bien sincèrement

www.ps-charenton.fr(2) la Rose de Charenton & Saint-Maurice / Hors-série spécial cantonales 2011

Vivre

Handicap

L’ action de l’État et descollectivités locales enfaveur des personnes han-dicapées a des années de

retard.Face au manque de volonté,

le seul moyen qui semble fonc-tionner est de sanctionner lesvilles qui ne répondent pasfavorablement aux lois qui sesuccèdent pour imposer l’ac-cès de tous les services publicsà tous.

La coercition, voilà le déno-minateur commun de nos poli-tiques publiques !

Dans le département duVal-

Développer le programme

47 ans, chefs d'entreprises,marié, 3 enfants.

Je suis Conseiller municipalde Charenton et je préside legroupe des élus «Réunirpour Changer» (rassemble-ment de toute la gauche).Je siège à la Communautéde CommunesCharenton/Saint-Mauriceet,depuis mars 2010, je suisConseiller régional d'Île-de-France. J'habite depuisprès de 30 ans la ville deCharenton,ma famille,monparcours professionnelet mon quotidien sont liésà notre canton.

de-Marne, 25 000 personnesreconnues handicapées doi-vent pouvoir vivre,apprendre,travailler, se loger, se dépla-cer, se distraire comme lesautres.Pour les personnes han-dicapées le Conseil général amis en place de nombreux dis-positifs, parmi lesquels :

• un engagement fort etconcret en faveur des per-sonnes handicapées décritdans un document qui consti-tue une feuille de route surl’intégration des personneshandicapées dans le Val-de-

Le département finance une partie des travaux nécessaires à l’aménagementd’un itinéraire cyclable sur le Chemin de Halage le long de laMarne.

En matière d’environne-ment, toutes les collecti-vités territoriales ontautorité pour agir si elles

le souhaitent. Communes,départements ou régions sontdonc libres de prendre des ini-tiatives. Mais l’environnementne doit pas se résumer à unesimple question de jardinageet de gestion des espaces verts.Ce n’est pas non plus une cas-quette que l’on met pour atti-rer l’électeur, pour ensuiteannoncer que « l’environne-ment, ça commence à bienfaire ». Dans ce domaine, leConseil général du Val-de-Marne assume,par conviction,largement sa part et démon-tre chaque jour une véritablevolonté d’action. A l’inverse,les Maires de notre canton secontentent de planter quel-ques décorations florales parci et un arbre par là, commesi une plate-bande d’œilletsd’Inde allait résoudre à elleseule le changement clima-tique.

La préservation des ressourcesen eau, un enjeu importantLe Conseil général a pris trèstôt la mesure des enjeux ens'engageant dans une poli-tique de réduction de sonimpact sur l’environnement.Il a notamment développé unprogramme de rénovation descollèges pour améliorer leurisolation thermique, réduireleur consommation énergé-tique et leurs rejets de CO2.Le confort des élèves s’entrouve alors sensiblementamélioré. Cet effort sera pour-

suivi sur l’ensemble des bâti-ments appartenant au Conseilgénéral.

Nos communes ne peuventmalheureusement pas se van-ter d’une politique aussi ambi-tieuse ! Leurs actes annoncentd’ailleurs clairement leurrenoncement, puisque pal-miers et oliviers sont d’oreset déjà installés sur nos placeset dans nos rues, comme pourmieux attendre le réchauffe-ment climatique annoncé.

L’action du Conseil généralen matière d’environnementne se limite pas à la luttecontre le changement clima-tique. En effet, la préserva-tion des ressources en eau quenous consommons, représenteun enjeu important dans undépartement aussi urbanisé

que le Val-de-Marne. LeConseil général s’est donc fixécomme objectif de protégerses cours d’eau, notammentla Seine et la Marne, et d’enaméliorer la qualité sur le longterme. Citons, l’améliorationdu réseau d’assainissementpermettant de limiter l’impactdes habitants sur l’eau de laSeine, pilotée et financée parle Conseil général.

Un itinéraire cyclable sur lechemin de Halage de la MarneLe département finance éga-lement une partie non négli-geable des travaux nécessairesà l’aménagement d’un itiné-raire cyclable sur le Cheminde Halage qui bénéficiera ànos deux communes et a faitfigurer les aménagements spé-cifiques du bras de Gravelledans son «Plan bleu », un planqui signe son « Engagementpour l’eau dans le Val-de-Marne ».

La réduction des déchets, lasensibilisation des val-de-marnais aux problèmes envi-ronnementaux, la définitiondes cartes du bruit ou la pro-motion des moyens de trans-ports alternatifs à la voituresont autant d’actions que ledépartement s’engage à pilo-ter dans le futur.

Changer de Conseiller géné-ral dans notre canton, c’estfaire en sorte que les enjeuxenvironnementaux de noscommunes soient pris ausérieux, et pas seulement auprintemps ! //

Non à l’alibi politiqueEnvironnement

Gilles-Maurice Bellaïche

Page 3: La Rose de Charenton / Saint-Maurice

www.gillesmauricebellaiche.net (3)la Rose de Charenton & Saint-Maurice / Hors-série spécial cantonales 2011

dans le Val-de-MarneVivre

Marne : le 3ème SchémaDépartemental du Handicappour 2009-2013 ;• un service de transport dédiépour les trajets du quotidien :FILIVAL ;• un système de télésurveil-lance, de suivi et de soutienpsychologique :VAL’ECOUTE• un espace dédié pour accueil-lir, écouter, aider et êtreinformé sur toutes les aides :la Maison Départementale DesPersonnes Handicapées.

Une politique volontariste nepeut se réaliser sans le soutien

du départementÀ Charenton et à Saint-Maurice, il faudra encore denombreuses années avant queles villes soient accessible àtous. Pour autant, des effortssont faits et nous les encou-rageons. L’appui du Conseilgénéral sera indispensable,tant au niveau des subventionsnécessaires à la réalisation desnombreux travaux d’accessi-bilité que pour le partage desservices existants déjà auniveau duVal-de-Marne.

Il est regrettable de consta-ter que les sites internet de

d’aide et d’accompagnement social

Nos propositionsCrise du logement

Selon l’Insee, 3,2 millionsde Français ne vivent pasdans un logement satis-faisant, et il en faudrait

au minimum 900 000 de pluspour faire face aux demandes.Alors qu'il est le pilote de lapolitique du logement enFrance, 70% des personnesinterrogées jugeaient dans unrécent sondage l’action du gou-vernement en matière de loge-ment inefficace.L’ampleur desbesoins rend donc plus que

Pour une politiquedu logement qui n’oubliepersonneS'il existe bien à Charenton etSaint-Maurice,un parc de loge-ments sociaux en règle avecla loi SRU au regard du cumuldes quatre catégories d'aide,la catégorie destinée auxménages les plus modestesreste la moins représentée.

Au moment où les conditionsd'accès à un logement décentdeviennent de plus en plus dif-ficiles pour les plus fragilesd'entre nous, nous sommesfavorables à une politique dulogement qui n'oublie per-sonne.

Changer de Conseiller géné-ral, c’est faire le choix d'unConseiller général qui sauravous entendre, et faire enten-dre votre voix pour dévelop-per une offre de logement soli-daire sur notre canton. //

Votre département à la rescousse ➤➤ Nous allons créer auplan départemental lemicrocrédit afind’accompagner lesfamilles à faiblesrevenus.

➤➤ Nous développeronsdes partenariatspérennes au travers,notamment, des planslocaux de lutte contreles exclusions qui vontdans le sens d’unecoproduction collectivede la prévention et de lalutte contre lesexclusions (logement,santé, éducation,formation, …).

➤➤ Nous développeronsla solidaritéintergénérationnelledes aînés envers lesjeunes pour transmettresavoir-faire et savoir-être(parrainage, ateliers,échange de savoirs, …).

➤➤ Nous dépasseronsle simple stade de laprévention spécialiséepour aller vers la miseen œuvre d’unevéritable politiquedépartementale de lasécurité publique.

➤➤ Nous mettrons enœuvre un programmeterritorialisé deconstructions et deréhabilitationspour favoriser lelogement, en tenantcompte de la précaritéénergétique, dubesoin de logementdes jeunes, desdifficultés liéesà l’hébergement, …).

nos villes, (www.charenton.fre t w w w . v i l l e - s a i n t -maurice.com), n’offrent quetrès peu d’informations sur lesnombreuses aides pratiquesou financières proposées parle Conseil général.

Sous prétexte de combatpolitique, on oublie l’essen-tiel : l’accès au service publicet aux aides pour tous.

Changer de conseiller géné-ral, c’est garantir une politiquede solidarité volontariste quin'oublie personne, que l'onsoit valide ou invalide. //

jamais nécessaire une inter-vention du département. Pourfaire face aux 54 000 demandesde logement recensées en Val-de- Marne, le Conseil généralconsacre 12 % du montant glo-bal annuel de ses investisse-ments à l’habitat, soit 38,4 mil-lions d’euros.

Sur notre canton, 337 200euros de subventions ont étéaccordées récemment à la villede Saint-Maurice pour l’ac-quisition-amélioration de 63logements.

Au total, 765 logements ontété programmés sur onze com-munes du territoire départe-mental pour près de six mil-lions d’euros de subventions.

la Rose de Charenton hors-série spécial cantonalesPour nous contacter : Parti socialiste deCharenton- 35, rue de Verdun 94220 [email protected] - Imprimé surpapier PEFC par les ateliers d’Alfortville -Ne pas jeter sur la voie publique

Sur notre canton, 337 200 eurosde subventions ont été accordéesrécemment par le Conseil généralpour l’acquisition-amélioration de63 logements.

Page 4: La Rose de Charenton / Saint-Maurice

www.ps-charenton.fr(4) la Rose de Charenton & Saint-Maurice / Hors-série spécial cantonales 2011

dans le Val-de-MarneGrandir

Éducation

Continuons à donnerle meilleur à nos collégiens

Avec un excellent taux deréussite au brevet et uneréelle qualité deséquipes pédagogiques

les collèges du canton (LaCerisaie et Edmond Nocard)donnent une belle image duservice public.

Pourtant, à La Cerisaie, ilva bientôt falloir « pousserles murs ». Ce collège, prévuà l’origine pour 600 élèves, aconnu une extension lui per-mettant d’accueillir jusqu’à800 élèves. Cet agrandisse-ment s’est réalisé en densi-fiant les bâtiments sur le ter-rain d’origine tout en gardantles mêmes espaces communs(cour de récréation, préau,salles de permanences, réfec-toire, etc.). Avec des effectifsqui varient entre 720 et 780élèves, force est de constaterqu’il est temps de se préoc-cuper d’augmenter ses capa-cités d’accueil.

L’ancien lycée Jean Jaurès doitdevenir un nouveau collègeEn effet, compte-tenu des pro-grammes immobiliers encours, nous dépasserons les800 élèves d’ici quelquesannées et les emplacementsassez grands pour accueillirun nouveau collège sont rares.Dans le même temps, laconstruction du lycée RobertSchuman à Charenton a per-mis de libérer les bâtimentsde l’ancien lycée de l'avenueJean Jaurès. Il semble donclogique et essentiel de réser-ver ces bâtiments, actuelle-ment vides, au profit d’un pro-chain collège qui seraindispensable sur notre can-ton. Dans le cas contraire, ildeviendrait alors impossiblede construire un nouveau col-lège faute de foncier dispo-nible.

Pour y parvenir, commentdoit-on procéder ? Le Conseilgénéral du Val-de-Marne estdésigné par la loi comme celuiqui doit construire le bâti-

ment et il est de la respon-sabilité de la commune demettre le terrain à disposi-tion. L’un ne peut aller sansl’autre !

Notre problème se résumeau fait que, sur notre canton,le Maire de Charenton est enmême temps Conseiller géné-ral sortant et qu’il a prévu,pour sa part, d’édifier sur laparcelle de l’ancien lycée unepetite école élémentaire dequelques classes et surtoutde réaliser une grosse opé-ration immobilière sur unepartie de ce terrain !

Favoriser la réussite scolairedans les établissementspublicsNous avons bien compris quela petite école n’était là quepour justifier, une fois de plus,la cession de ce terrain (quise situe face au bois de

Vincennes !) dans le but defaire des appartements deprestige à des prix que peud’entre nous pourront acquit-ter. Sans compter que ces nou-veaux logements confortentla nécessité d'établissementsscolaires, et notamment d'uncollège.

Changer de Conseiller géné-ral sur notre canton, c’est s’as-surer que le bâtiment de l’an-cien lycée sera bien destinéà offrir à nos jeunes un ser-vice public d'éducation quileur garantira l'équité et laqualité auxquelles noussommes attachés. Or, noussavons que pour former descollégiens d’excellence àl'image de ceux de nos actuelscollèges La Cerisaie etEdomond Nocard, il faut desconditions d’accueil qui favo-risent la réussite scolaire. //

Avec des effectifs qui varient entre 720 et 780 élèves, force est de constaterqu’il est temps de se préoccuper d’augmenter les capacités d’accueil de LaCerisaie ou d'envisager la création d'un nouveau collège.

Nos propositions

➤➤ Nous voulons apporterdes réponses pour la Petiteenfance, particulièrementconcernant les modes degarde qu’il faut adapteraux mutationsfamiliales, à la flexibilitédu temps de travail :développement desstructures d’accueil(crèche inter-entreprise,micro-crèche dequartier…) et prise encompte des situationsd’accueil spécifique(parent en recherched’emploi ou en formation,réflexion sur une aide pourfavoriser le retour àl’emploi des femmesbénéficiaires du RSA,accueil par des approchesdiversifiées des enfantshandicapés…). Cespropositions s’articulentautour d’une coordinationterritoriale assurée par ledépartement dans le cadred’une politique éducativeet familiale en liaison avecla CAF notamment.

➤➤ Nous valoriserons les« bonnes pratiques » pourlutter contre lesinégalités face à laréussite scolaire et laformation, avecl’Education nationale, lesassociations, les familles etles villes.

➤➤ Nous étudierons lacréation d’un servicesocial scolairedépartemental dès lamaternelle pour agir auxsources des difficultésscolaires.

➤➤ Nous proposons lacréation de la Maisondépartementale desparents, lieu dédié àl’accompagnement,l’écoute, l’information etl’orientation (difficultésrelationnelles, handicap del’enfant, adoption, …).

Page 5: La Rose de Charenton / Saint-Maurice

www.gillesmauricebellaiche.net (5)la Rose de Charenton & Saint-Maurice / Hors-série spécial cantonales 2011

dans le Val-de-MarneGrandir

Faire garder ses jeunesenfants est un véritablecasse-tête pour lesfamilles. Les places en

crèches sont trop rares et pastoujours adaptées aux

emplois des parents (tempspartiel, travail du samedi,horaires décalés, …). Faciliterla garde des enfants, c’estaussi faciliter l’accès à l’em-ploi pour les parents (princi-

palement pour les mamansqui se voient souvent con -traintes de rester à leur domi-cile). Trop de familles ne peu-vent bénéficier de places encrèches collectives ou multi-accueil dans notre canton deCharenton et Saint-Maurice.

L'INSEE a relevé en 2009,254 naissances à Saint-Maurice et 459 à Charenton.Dans le même temps, lesdemandes de places encrèches sont honorées pourenviron 20% à Saint-Mauriceet 30%à Charenton. Desfamilles sont ainsi excluesd’emblée du système de gardecollective du fait de leurshoraires de travail décalés oudu temps de transport qui neleur permet pas de récupérerleurs enfants avant la ferme-ture des crèches.

Proposer des solutionsdiversifiées de mode de gardeIl est donc nécessaire de pro-poser des solutions diversi-fiées de modes de garde quiprennent en compte le stylede vie et les contraintes desfamilles.

Ces solutions existent. Ainsi,peut-on favoriser la mise enrelations des parents et des

gardes d’enfants en mettantà disposition un système à laportée de tous, permettant degérer les offres et lesdemandes d’emploi de gardesd’enfants. Des crèches àhoraires décalés existent surnotre département (dans notrerégion, certaines fonctionnentmême 24h sur 24). Pourquoipas sur notre canton ? Souventportées par des associations,elles doivent cependant béné-ficier de subventions impor-tantes pour pouvoir fonction-ner. Encore faut-il s’engagerà promouvoir des initiativesen ce sens ! Enfin, alors quela scolarité est gratuite, lagarde des plus petits repré-sente un budget très impor-tant. En permettant l’accueildes enfants de moins de troisans à l’école maternelle, onpeut donc aider les famillesles plus en difficulté.

Changer de conseiller géné-ral sur notre canton, c’est per-mettre de bénéficier demodes d’accueils de la petiteenfance plus nombreux, plusinnovants et plus en adéqua-tion avec les besoins et modesde vie actuels des habitantsdu canton. //

Il est nécessaire de proposer des solutions diversifiées de modes de garde quiprennent en compte le style de vie et les contraintes des familles.

Accueil de la petite enfance

Faire plus et mieux !

Solidarité entre les générations

La démographie de laFrance évolue et il estincontestable que d’iciquelques années la popu-

lation française aura vieilli.D’où l’émergence d’un sujet

de débat et de réflexion auniveau national sur l’autono-mie.

La dépendance peut êtreliée à différents facteurs : lamaladie (maladie d’Alzhei merentre autre), le grand âge, laperte d’autonomie...

À ce jour, il existe un dis-positif d’aide permettant derépondre à cette nécessité :l’Allocation Personnaliséed’Autonomie.(APA) Cette aide,créée en 2002, est versée sanscondition de ressources auxpersonnes de plus de 60 ansen perte d’autonomie oudépendantes. Elle permet par-fois un maintien à domicile ou

L’allocation personalisée d’autonomiebien une aide pour un héber-gement en établissement.

Un nombre de bénéficiaires quine cesse de croîtreLes sommes versées au titrede l’APA sont en perpétuelleaugmentation et le nombre debénéficiaires ne cessera decroître. Les Départementsassument la charge financièrede cette aide en partie com-pensée par la Caisse Nationalede Solidarité pour l’Autonomie,financée par la fameuse « jour-née de solidarité ».

Pour le Conseil général duVal-de-Marne, la politique enfaveur des personnes âgéesdépendantes ne se résume pasà distribuer l’APA, elle sup-pose aussi la mise en placed’une réflexion via le «SchémaDépartemental pour une poli-tique des personnes âgées».

Mais le poids de la dépen-dance pèse dans le budget denotre Conseil général de façoninquiétante, 11 500 val-de-marnais en sont actuellementbénéficiaires. En effet l’Etata délégué cette compétenceaux départements sans pourautant mesurer la chargequ’elle fait peser sur ces col-lectivités locales et sans attri-buer les ressources corres-pondantes.

Aujourd’hui la question dela dépendance divise. La majo-rité présidentielle entend choi-sir un système d’assurance pri-vée obligatoire, défendantl’idée que chacun devra s’as-surer pour prévenir les consé-quences de sa propre perted’autonomie.

L’autre vision, celle que nousdéfendons, est celle de la soli-darité nationale.

Changer de conseiller géné-ral sur notre canton, c’estcontribuer à préparer l’ave-nir et maintenir un modèlesolidaire. //

Les sommes versées au titrede l’APA sont en perpétuelleaugmentation et le nombre de béné-ficiaires ne cessera de croître.

Page 6: La Rose de Charenton / Saint-Maurice

www.ps-charenton.fr(6) la Rose de Charenton & Saint-Maurice / Hors-série spécial cantonales 2011

L’action du conseil général en bref

33 millions d'euros c'estla somme que versechaque année le Conseilgénéral au STIF (Syndicatdes transports d'Ile-de-France) pour participer aucoût des différents modesde transport du Val-de-marne. Il porte le projetde métro ORBIVAL, afinancé en partie le pro-longement de la ligne 8,le futur tramway et lanavette fluviale VOGUEO.

Priorité transport

Les dépenses socialesdu département ontaugmenté de 18% entre2005 et 2009 ;les dépenses pour le« Revenu de SolidaritéActive » (RSA) de 21,2%.

Action socialeet solidarité

Le MAC VAL est devenuincontournable pour l’artcontemporain. Avecen vi ron 100 000 visiteurspar an il réconcilie la ban-lieue et les lieux dédiés àla culture. L’enveloppebudgétaire totaleconsacrée à la cultureen 2010 étaitde 14 millions d’euros.

L’incontournableMACVAL

38,4 millions d'euros sontconsacrés au logement.Le plan HABITAT 2010acte de la volontécroissante de s'engagerdans la voie de l'accès detous les val-de-marnais àun logement de qualité.

Un logement dequalité pour tous

Ici comme ailleurs, notredépartement n'est mal-heureusement épargné, nipar la fermeture d’entre-

prises ou de commerces, nipar leur déménagement versd'autres localités, et ses habi-tants par les licenciements.

Le Conseil général, acteurmajeur du développementéconomique du Val-de-MarneFort heureusement, le Conseilgénéral s'est énergiquementengagé en faveur de projetspermettant de soutenir, déve-lopper et pérenniser l'at-tractivité économique denotre territoire. Ainsi, le pro-jet Seine Amont, grande opé-ration d’urbanisme et de déve-loppement, prévoit la créationde 1000 emplois par an et3000 créations de logementsà l’année.

Plus au sud, le Pôle d’Orlyest un grand projetré gional d’aménagement etde développement durablepour les vingt prochainesannées. Ce chantier consti-tue la porte d'entrée sur lesdéparte ments du Val-de-Marne et de l'Essonne, richesde leurs 275 000 habitants et154 000 emplois dont 26 000sur la seule plate-forme aéro-portuaire. Le projet prévoitnotamment la créationd'équipements dont un cen-tre de congrès internationalet une gare TGV.

N'oublions pas le projetOrbival qui doit permettre laréalisation d’un métro enrocade traversant le Val-de-Marne. Tous ces projets d'in-térêt public concourent à favo-riser la création d’unedynamique économique et ànourrir notre espoir d'une viemeilleure pour tous les habi-tants de nos communes.

Par sa situation géogra-phique, notre canton doitdonc se tenir prêt à changerd’échelle en s'inscrivant dansde nouvelles configurationsterritoriales, ce qui présenteau vu de la diversité des pro-jets de réelles opportunités.Or après bientôt trois ans de

mandature, les Maires, lePrésident de la Communautéde Com munes de Charenton-Saint Maurice et notre Con -seiller général sortant nedémontrent pas leur volontéde mener une politique ambi-tieuse en faveur du dévelop-pement économique.

Le projet de nouveau quar-tier Bercy-Charenton, l'un desderniers grands chantiers auxportes de Paris, en est la tristeillustration. Faute d'impul-sion des majorités UMP, ilreste quasiment au pointmort. Pourtant, ce projet nouspermettrait de prendre unavantage décisif sur notre ave-nir et sur nos voisins de lapetite couronne parisienne.

Impulser des actions concrètespour défendre notre cantonNous déplorons le défaut d'an-ticipation, l'absence totale delisibilité permettant d’im-pulser toute une séried’actions concrètes pour

défendre nos spécificitésinter com munales et aussinotre canton ! Le statut devos élus socialistes au Conseilde communauté de com-munes, certes minoritaires,ne fait pas d'eux de douxrêveurs, notamment enmatière d'économie ! Tout cequ'ils préconisent est en rap-port avec les potentialités dedéveloppement existantes etle respect des priorités ins-crites dans les schémas régio-naux et départementaux.

Ces projets font partie desatouts sur lesquels votre pro-chain Conseiller général devras'appuyer pour redonner del'attractivité économique ànotre canton et à nos villesau sein de notre département.

Changer de Conseiller géné-ral, c’est faire le choix d’unterritoire conjuguant équitésociale, environnement et effi-cacité économique. //

Un projet conjuguant équité sociale,environnement et efficacité économique

Vie économique et emploi

Nous souhaitons mettre en place une structure de soutien aux commerces deproximité dans nos centres-villes et nos quartiers.

dans le Val-de-MarneTravailler

Page 7: La Rose de Charenton / Saint-Maurice

www.gillesmauricebellaiche.net (7)la Rose de Charenton & Saint-Maurice / Hors-série spécial cantonales 2011

L’action du conseil général en bref

104 établissements sontgérés, entretenus, rénovéspar le département pourun budget global de fonc-tionnement de plus de 22millions d'euros. Un planpluriannuel de dévelop-pement numérique, de 13millions d'euros sur troisans, est en cours.

Collège etcollégiens

Le département prend encharge 50 % du coûtde la Carte IMAGINE R.C’est plus de 70 000 col-légiens, lycéens et étu-diants du départementqui en bénéficient.

Vous êtes absentles 20 et/ou 27 mars

prochain?Si vous souhaitez donnerune procuration de vote,

contactez nousau 06-61-87-62-63

ou [email protected] Toutes les voix comptent!

Vote parprocuration

Les 18 et 19 juin 2011comme chaque année setiendra le festival de l’oH.L’occasion de sensibiliserchacun d’entre nous, eten particulier les jeunes,au développement dura-ble et à la préservationde nos ressources.

Allons tousoH festival !

dans le Val-de-MarneTravailler

Nos propositions➤➤ Nous souhaitonsmettre en place unestructure de soutienaux commerces deproximité dans noscentres-villes et nosquartiers. Ce dispositifpermettra de maintenirl’emploi local pour lesval-de-marnais et dedynamiser nosterritoires.

➤➤ Nous voulonspromouvoirl’activité économiqueet solidaire parcequ’elle produit lasolidarité nécessaire àtous et particulièrementà celles et ceux qui sontles plus éloignés del’emploi.

➤➤ Nous devonscontinuer à favoriserl’innovation, gaged’attractivité de notreDépartement pourl’avenir des emplois,dans un soucipermanent decompétitivitééconomique, sociale etenvironnementale.

➤➤ Nous devonsréfléchir à nostransports : lamodernisation dutransport collectif, sonextension particu -lièrement en lien avec laRégion Île-de-Francepour Arc express/Orbival, l’entretien duréseau routier, ledéveloppement descirculations douces…tout cela doit être encohérence avec l’accèsdes transports au seinmême des quartiers, auplus proche de l’habitat.

Transport

Outre l'entretien des routesqui, depuis les dernièreslois de décentralisation,entre dans ses compé-

tences obligatoires, le Conseilgénéral intervient largementsur tous les modes de trans-port. Fort de 4,3 millions dedéplacements par jour dans leVal-de-Marne dont presque lamoitié se fait en voiture, il esttemps de favoriser les trans-ports alternatifs. Le réseau rou-tier arrive à saturation, l'échan-geur de l'A86 et de l'A4 détientle triste record du plus grandbouchon d’Europe. Ainsi, pourles transports collectifs, leConseil général verse chaqueannée 33 millions d'euros àl'autorité organisatrice destransports en Île-de-France (leStif). Le réseau de bus accueillechaque année plus de 250 mil-lions de voyageurs. Le dépar-tement compte 35 gares et17 stations de métro.

Développer l’alternativeà la voitureL'offre de transports en com-muns est là et pourtant il fautcontinuer à la développer pour"désengorger" le département.C'est ainsi qu'est né le projetde métro en rocade ORBIVALsoutenu par une grande majo-rité des maires du départementtoutes tendances confondues.Ce projet a servi d'ex em ple aufutur programme de réseau demétro automatique du GrandParis ou d'Arc Express. Nouspourrons donc très prochaine-ment voir naître (enfin) un

métro en rocade dans notredépartement.

En matière de déplacement,la dernière réalisation duConseil général visible dansnos villes est la piste cyclableavenue du Maréchal de Lattrede Tassigny qui permet de relieren toute sécurité le pont deCharenton au bois de Vin -cennes. Elle répond à unedemande croissante de moyensde transports alternatifs à lavoiture dans nos villes. En effet,c'est chaque jour près de 400cyclistes qui empruntent cettevoie, il était donc urgent desécuriser leur parcours tant lacirculation des voitures estimportante sur cette artère. Sila nécessaire construction decette piste cyclable ne faisaitpas débat, son tracé a été longet laborieux à fixer, tant lesmaires de nos communes onttergiversé avant de prendreune décision. La raison en estsimple, c'est qu'ils n'ont tou-jours pas compris que le véloétait plus qu'un simple dépla-cement de loisirs mais un véri-table mode de déplacementurbain et une alternative à lavoiture que beaucoup de nosconcitoyens pratiquent pour serendre sur leur lieu de travail.

Choisir un Conseiller généralsocialiste, c'est pouvoir déve-lopper une offre de transportsqui permette à tous de sedéplacer en toute quiétudedans le Val-de-Marne tant pourse rendre au travail que pourles courses ou les loisirs. //

Un département à 4 millionsde déplacements

Le réseau de bus accueille chaque année plus de 250 millions de voyageursdans le Val-de-Marne

IMAGINE R

Page 8: La Rose de Charenton / Saint-Maurice

Gilles-Maurice Bellaïche et Patricia Richard - 35, rue de Verdun -

94220 Charenton-le-Pont - www.gillesmauricebellaiche.net

élections cantonales des 20 et 27 mars 2011

dans le Val-de-Marnevivre travaillergrandir

Charenton et Saint-Maurice ont changé grâce au Conseil GénéralNe pa

s jeter sur la voie pu

blique

L’action du Conseil général du Val-de-Marne est essentielle à beaucoup d’habitants de notre cantonpour vivre, grandir et travailler. Voici quelques exemples d’actions concrètes dans nos villes…

➤➤ Pour la circulation desdeux roues dans nos villes,960 000 euros ont étéinvestis en grande partiepar le département pouraménager l’itinérairecyclable du chemin dehalage et 500 000 eurospour créer une piste cycla-ble avenue du Maréchalde Lattre de Tassigny(avec l’aide de la RégionÎle-de-France).Le conseil général a parti-cipé financièrement àl’installation des stationsVélib’ sur la voiriedépartementale dans lacommune de Charenton.

TRANSPORT/VOIRIE

➤➤ Dans le cadre du partena-riat entre le département etValophis Habitat (OPH) duVal-de-Marne un programmede travaux de réhabilitationet de gros entretien visait en2010 de nombreuxtravaux dans des immeublesde Charenton :• Rue de Conflans :

ascenseurs ...........36 000 €• Séminaire de Conflans :

ascenseurs ...........36 000 €• Maréchal Juin

ascenseurs ...........23 000 €• Quai des carrières :

ascenseurs .......... 15 000 €• Rue de l’abreuvoir :

ascenseurs ............ 5 000 €

et de Saint-Maurice :• Résidence Delacroix :

ascenseurs ........ 300 000 €• Résidence de Valois :

ascenseurs .......... 40 000 €

LOGEMENT ➤➤ A Saint-Maurice,les EHPAD Le Jardindes Acacias et Le Vald’Osne recevront res-pectivement 37 032euros et 49 680 eurosau titre du versementglobalisé de l’APA auxétablissements d’héber-gement pour personnesâgées dépendantes.

➤➤ L’AIDAPAC (Asso -ciation des intervenantsà domicile aux personnesâgées) de Charenton areçu, au titre de l’année2011, une avance de tré-sorerie de 110 000 eurosen début d'exercice bud-gétaire au titre de sesinterventions dans ledomaine des aides àdomicile.

ACTION SOCIALE

➤➤ Le Conseil général soutientfinancièrement chaque annéeles associations sportives qui enfont la demande. Grâce au ser-vice «Proj’aide», elles sontencouragées et accompagnéesdans leurs démarches. Pourl’anecdote nos «FouléesCharentonnaises» sont aidéesgrâce à une subvention versée àl’Azur Olympique.

SPORT

Dans le cadre du pro-gramme« Bibliothèmes 94 »,une subvention de10 025 euros a étéversée à la commu-nauté de communesCharenton/Saint-Maurice.

CULTURE

➤➤ L'ALIAJ, principal acteurdu secteur jeunesse sur nosvilles, est tous les anssubventionné par le Conseilgénéral que ce soit pourson fonctionnement habituelou bien pour des projetsparticuliers.

➤➤ 12 millions d’euros sontconsacrés à la prise encharge par le départementde 50% du coût de la carteIMAGINE R pour 70 000jeunes du Val-de-Marne(collégiens, lycéens,étudiants).

JEUNESSE

➤➤ Le Conseil général duVal-de-Marne a versé24 069 € de subventionsde fonctionnement, autitre de l'année 2009 pourla Maison de l’emploi denos villes située à Maisons-Alfort.

➤➤ 8000 euros ont été ver-sés pour le carrefour del’emploi qui se tient chaqueannée à l’initiative, entreautre, de Charenton.

EMPLOI

283 000 €

898 000 €

337 200 €

C’est le coût de la rénovation, sup-porté par le département, de la ruede Paris (couche de roulement)depuis la place des Marseillaisjusqu’à Paris en 2010.

➤➤ À Saint-Maurice, en2010, un financement de110 000 euros a étéinvesti pour la rénovationdu revêtement de la chaus-sée de la rue du MaréchalLeclerc dans sa partiecomprise entre la Mairieet la place Jean Jaurès.

C’est le montant que leConseil général investira àSaint-Maurice pour acquérirpuis rénover 63 logements.

ont été versés par le départe-ment pour la construction desgymnases Tony PARKER.