La tuberculose tue 4 000 personnes par jour dans le monde. Si cette maladie frappe plus volontiers les pays en développement, la tuberculose n’est pas pour autant éradiquée dans les pays industrialisés. Aff ection curable, son traitement se heurte cependant à un phénomène qui s’amplifi e partout dans le monde : l’explosion du nombre de bactéries résistantes aux traitements antibiotiques. Vaincre ces résistances est un combat que l’Institut Pasteur de Lille a inscrit dans les missions de son Centre de Recherche sur la Longévité, dont l’objectif est de contribuer à l’allongement de l’espérance de vie en bonne santé.

SANS VOS DONS, PAS DE RECHERCHELa contribution de l’Institut Pasteur de Lille au progrès scientifi que et médical est considérable. Que ce soit dans la lutte contre la coqueluche, la tuberculose, la maladie d’Alzheimer,le cancer, l’insuffi sance cardiaque ou le diabète, les avancées médicales rendues possibles par les travaux de nos chercheurs ont soulagé, voire sauvé, la vie de très nombreux patients.

Quel que soit le domaine dans lequel s’exercent nos recherches, le but poursuivi est toujours le même : permettre à chacun de vivre mieux plus longtemps. C’est dans cette optique que l’Institut Pasteur de Lille a créé un centre de recherche sur la longévité et le bien-vieillir.

Mais en la matière, la volonté, la motivation et le travail ne suffi sent malheureusement pas. Sans vos dons, pas de recherche, et sans recherche, pas de progrès médical.Un grand merci aux nombreux donateurs qui rendent possibles ces avancées médicales. Ils encouragentaussi, si besoin en était, notre motivation et notre volonté d’aboutir.

Pr Patrick BercheDirecteur général

de l’Institut Pasteur de Lille

a tuberculose tue plus que le sida ou la malaria. Avec environ 4 000 morts par jour dans le monde,

le combat contre cette maladie est un enjeu crucial de santé publique.En 2016, selon un rapport de l’Organisation mondiale de la Santé, plus de 10 millions de personnes dans le monde ont contracté cette maladie et 1,8 million en sont mortes, le plus

souvent au sein de populations défavorisées. Mais comme un grand nombre d’autres atteintes bactériennes, la tuberculose se heurte à un défi mondial : enrayer l’expansion de la résistance aux traitements antibiotiques. Selon les chiffres de l’OMS, 190 000 malades ont succombé en 2016 à une souche multirésistante de la tuberculose. Pour ces patients, l’isoniazide et la rifampicine, les

deux antibiotiques les plus couramment utilisés dans le traitement de cette affection, se sont avérés inefficaces. En cause, l’usage inapproprié qui est fait des antituberculeux et qui a amené certaines bactéries à développer des résistances spécifiques.Cette menace n’est pas à prendre à la légère. L’antibiorésistance tue à grande échelle, et pas seulement en matière de tuberculose. Selon

N° 7Février 2018

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Retrouvez tous nos rendez-vous sur notre site Internet

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Vivre mieux plus longtemps

EUROS

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motivation et notre volonté d’aboutir.

Pr Patrick Berche

5 000 CAS DE TUBERCULOSE PAR AN EN FRANCEAidez-nous face à cet enjeu majeur de santé publique

Dans les Hauts-de-France, 277 cas de tuberculose ont été déclarés en 2017. Parmi les malades, près d’un tiers ont plus de 55 ans. (Source : INVS)

L

Voici des exemples de tout ce que peut représenter votre don

Journal IPL 18 4 001.indd 2 20/02/2018 10:08

un rapport de l’OMS de 2014 citant des chiffres du Centre Européen de Prévention et de Contrôle des Maladies (CEPCM), le phénomène de résistance aux antibiotiques a causé la mort de 50 000 personnes en Europe et aux États-Unis cette même année et les projections ne sont guère optimistes. Selon le LEEM (qui fédère les laboratoires p h a r m a c e u t i q u e s présents sur le sol français), la résistance aux antibiotiques pourrait être la cause de 10 millions de décès chaque année dans le monde à l’horizon 2050.

AgirFort de son expertise dans le domaine des maladies infectieuses et fidèle à son engagement en matière de longévité, l’Institut

Pasteur de Lille a pris le taureau par les cornes. On se souvient que ce sont deux chercheurs de l’institut, Albert Calmette et Camille Guérin, qui, au début du XXe siècle, ont mis au point le premier vaccin efficace contre la tuberculose (BCG). Le docteur Alain Baulard, directeur de recherche Inserm à l’Institut

Pasteur de Lille, est peut-être en passe de remporter une nouvel le victoire contre ce fléau, et plus généralement

contre les maladies infectieuses. Son équipe et celle du professeur Nicolas Willand développent actuellement une stratégie inédite permettant de rebooster l ’eff icacité des traitements antibiotiques disponibles (voir c i -dessous) . Le projet est actuel lement en phase de

développement préclinique avec l’Institut Pasteur de Lille et d’autres partenaires. Il est si prometteur que le docteur Baulard a déjà reçu le prix Pasteur-SINF (Société Industrielle du Nord de France) pour couronner les travaux déjà entrepris sur ce thème.Comme tous les projets ambitieux, la lutte contre la tuberculose et pour l’amélioration de la durée de vie en bonne santé coûte cher, très cher. Vous le savez, c’est grâce à vous que ces recherches peuvent être menées par nos chercheurs et qu’elles conduisent souvent à des avancées majeures comme celle décrite ci-dessus. Votre soutien est essentiel pour nous permettre de prolonger votre période de vie en bonne santé, qui passe aussi par la lutte contre les maladies infectieuses, telles que la tuberculose.

Pour en savoir plus ou faire un don : www.pasteur-lille.fr

TRANSMISSIONPar les éternuements et postillons des malades

CONSÉQUENCESInfection des poumons mais d’autres organes peuvent être touchés

PRÉVENTIONVaccination par le BCG,isolement des malades pendant 3 semaines

AGENT RESPONSABLEUne maladie infectieuse causée par le germe Mycobacterium tuberculosis ou bacille de Koch

LA TUBERCULOSE

SYMPTÔMESFièvre, fatigue

TRAITEMENT Association d’antibiotiques antituberculeux pendant au moins 6 mois

Toux grasse

Suite dossier

« En 2015, la tuberculose

a tué plus que le sida. »

UNE MOLÉCULE QUI PREND LE CONTRÔLE DE LA BACTÉRIEDirecteur de recherche à l’Institut Pasteur de Lille, le docteur Alain Baulard espère aboutir prochainement dans ses recherches sur le bacille de Koch.

Dr Alain Baulard « Nous avons découvert une molécule équivalant à un “virus informatique” qui prend le contrôle de la bactérie pour la forcer à s’autosensibiliser à un antibiotique, même lorsqu’elle est devenue résistante. »

Dr Alain Baulard

Ce candidat-médicament poursuit la route de son développement préclinique. Si tout se passe bien, les premiers tests chez l’homme pourraient démarrer au cours de l’année 2019.

VOTRE DON EST ESSENTIEL POUR LA RÉUSSITE DE CE PROJET. MERCI POUR VOTRE SOUTIEN.

LE BACILLE DE KOCH, UN SERIAL KILLER SILENCIEUX

En 2015, entre 1,5 et 1,8 million de personnes sont mortes des suites d’une infection au bacille de Koch, la bactérie responsable de la tuberculose. Le bacille s’attaque aux plus faibles. Environ 95 % des décès surviennent dans des pays à revenus faibles ou intermédiaires et 60 % des cas se concentrent dans six pays : l’Inde, l’Indonésie, la Chine, le Nigeria, le Pakistan et l’Afrique du Sud.

Les enfants ne sont pas épargnés. Un million d’entre eux ont contracté cette maladie et au moins 170 000 en sont morts en 2015.

La résistance grandissante des bactéries aux traitements antibiotiques complexifi e la tâche des autorités sanitaires : cette même année, 480 000 personnes ont développé une tuber-culose multirésistante, diminuant dramati-quement leurs chances de survie.

Pour autant, la lutte reste de mise et porte ses fruits. Selon les chiff res du LEEM (Les Entreprises du Médicament), entre 2000 et 2015, 49 millions de personnes infectées par le bacille de Koch ont ainsi pu être sauvées grâce à un diagnostic rapide et à un traitement effi cace. La recherche médicale, et les dons qui la rendent possible, sauvent tous les jours des vies.

L’INSTITUT PASTEUR DE LILLE, BERCEAU DU VACCIN CONTRE LA TUBERCULOSE

En 1895, Albert Calmette prend la responsabilité de l’Institut Pasteur de Lille. Il est rejoint par le vétérinaire Camille Guérin en 1897 et ensemble ils entament leurs recherches sur la tuberculose dès 1900. Ces recherches dureront une vingtaine d’années et aboutiront, à Lille, à la découverte d’un vaccin effi cace qui porte leur nom : le BCG (Bacille de Calmette et Guérin).Ce vaccin est testé sur les nouveau-nés pour la première fois en 1921, avec succès. En 1924 commencent les premières campagnes de vaccination, qui seront largement diff usées dans le monde dès 1928.Aujourd’hui, les chercheurs de l’Institut Pasteur de Lille, tels que Camille Locht et son équipe, continuent de travailler sur cette maladie,notamment pour prolonger l’effi cacité du BCG et rendre le bacille de Koch plus sensible aux antibiotiques.

Les souches ori-ginelles du BCG sont exposées au musée de l’InstitutPasteur de Lille, ouvert au public lesvendredis et samedis(informations au 03 20 87 72 42).

Albert Calmette1er directeur de l’Institut Pasteur de Lille

L’actu au

microscope

Votre santé

Journal IPL 18 4 001.indd 3 20/02/2018 10:08

Selon les travaux des professeurs David Montaigne et Bart Staels, publiés dans la prestigieuse revue médicale The Lancet en novembre dernier, le manque d’oxygène dont souffrent les cellules cardiaques lors d’une intervention chirurgi-cale est mieux supporté par le patient l’après-midi que le matin. En cause, un récepteur nucléaire, le Rev-ErbA, plus présent dans l’organisme en début de journée et qui augmente la sensibilité du cœur à l’ischémie (privation d’oxygène).

600 patients suivisPour parvenir à ces conclusions, l’équipe lilloise a suivi près de 600 patients opérés du cœur au CHU de Lille entre 2009 et 2015. Les résultats sont clairs : les compli-cations ont été moindres chez les patients opérés l’après-midi. Les deux professeurs mènent actuel-lement des travaux pour mettre

au point un traitement permettantde limiter temporairement la production par l’organisme de ce récepteur nucléaire.

Le défi est de taille : même si les complications sont le plus souvent bien maîtrisées par les équipes chirurgicales, la mise au point d’un tel médicament permettraitd’opérer un patient à n’importe

quel moment de la journée (notamment en cas d’urgence) avec un égal niveau de chances de réussite.

Une chose est certaine : votre sou-tien est essentiel pour permettre à l’Institut Pasteur de Lille d’aller plus loin dans ses recherches.

* Institut Pasteur de Lille / CHU de Lille / Universitéde Lille / Inserm

Chirurgie cardiaque : des travaux prometteurs pour réduire encore les risques de complications

L’actu au

microscope

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Retrouvez toute l’actualité de l’Institut Pasteur de Lille et de ses partenaires, en direct sur les réseaux sociaux.

SOUTENIR L’INSTITUT : TOUS LES MOYENS SONT BONSSi vous voulez soutenir les recherches menées par l’Institut Pasteur de Lille, vous pouvez bien sûr faire un don directement sur notre site www.pasteur-lille.fr.

Vous pouvez aussi vous rendre sur le site Alvarum (www.alvarum.com/pasteurlille) pourdevenir vous-même collecteur. En 2016, notre parrain Franck Thilliez a ainsi récolté pour l’institut 2 353 euros de dons à lui seul en organisant un tirage au sort permettant aux donateurs de gagner son dernier roman. Mais il n’est pas le seul ! Près de 600 collecteurs ont soutenu l’Institut Pasteur de Lille sur Alvarum. Un grand merci à eux qui font avancer la recherche.

Une équipe de chercheurs lillois* a mis en évidence que le cœur supporte mieux les interventions chirurgicales l’après-midi que le matin.

Environ 20 000 personnes sont opérées du cœur chaque année en France, souvent en lien avec la vieillesse, l’obésité ou le diabète.

Cancer du côlonDe l’intérêt du dépistage précoce

Votre santé

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Aujourd’hui, le cancer du côlon se dépiste de façon très simple, chez soi. Sa détection précoce permet d’éviter des traitements lourds ou mutilants et garantit des taux de guérison très élevés.

Depuis 2015, l’Assurance Maladie propose tous les deux ans aux assurés de plus de 50 ans un test de dépistage du cancer colorectal. Délivré directement et gratuitement par le médecin traitant, très simple à utiliser, ce test est bien plus performant que le précédent, tant dans la détection du cancer que dans celle des lésions précancéreuses. Il permet de mettre en évidence la présence de sang dans les selles.

Chez vous, tranquillement, il suffi t de piquer vos selles à l’aide d’un petit bâtonnet que vous placez ensuite dans un tube qui sera adressé à un centre d’analyses à l’aide de l’enveloppe pré-aff ranchie

fournie dans le kit. Négatif dans plus de 97 % des cas, ce test permet de détecter aussi bien les lésions cancéreuses que précancéreuses. Et même parmi les 2 à 3 % de tests

laissant supposer la présence de sang dans les selles, plus de la moitié ne présentent en définitive aucune anomalie.

Il n’est bien sûr jamais agréable d’apprendre que l’on souff re d’un cancer. Mais détecté précocement, le cancer colorectal se soigne le plus souvent très bien, au moyen de traitements peu invasifs. Si vous avez plus de 50 ans et si l’Assurance Maladie ne vous a pas encore proposé de dépistage, votre médecin traitant vous indiquera la marche à suivre.

Pour en savoir plus : www.pasteur-lille.fr

« Une détection précoce garantit des

taux de guérison élevés. »

Grande enquête santé et longévité : les résultatsLES FRANÇAIS ONT LA FORME !

L’Institut Pasteur de Lille rend publique sa grande enquête annuelle sur l’hygiène de vie et la longévité des Français. Les répondants sont à 46 % des hommes et 54 % des femmes. Les trois quarts sont retraités.

Il ressort de cette enquête, dont nous livrons ici en exclusivité les premiers résultats, que nos compatriotes respectent les messages de prévention : 89 % d’entre eux mangent souvent ou très souvent des fruits (93 % pour les légumes). Plus de la moitié d’entre eux (55 %) pratiquent une activité physique au moins 30 minutes par jour.

La vie sociale n’est pas oubliée : 73 % des répondants jugent la leur « équilibrée », 86 % ont au moins un contact quotidien avec leur entourage. Quant à leur vision, 90 % d’entre eux estiment qu’elle est assez bonne pour pratiquer leurs activités quotidiennes (86 % pour l’audition).

Cette enquête annuelle donne à nos chercheurs de précieuses i n f o r m a t i o n s sur la santé des Français pour vous permettre de vivre mieuxplus longtempset en bonne santé.

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BULLETIN DE SOUTIEN PONCTUEL

BULLETIN À RENVOYER AUJOURD’HUI DANS L’ENVELOPPE JOINTE, SANS AFFRANCHIR.

DÉDUCTION FISCALE :

66 % (voyez au verso)

De la part de :

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aujourd’hui dans l’enveloppe jointe,

sans l’affranchir, accompagné de votre R.I.B.

COORDONNÉES DE MON COMPTE

Fait à .....................................................................................................

Le .......................................................................... SIGNATURE

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Institut Pasteur de Lille

Fondation reconnue d’utilité publique

1 rue du Professeur Calmette - BP 245

59019 Lille Cedex - ICS : FR27ZZZ407312

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BULLETIN DE SOUTIEN RÉGULIER

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Le premier versement pourra avoir lieu au plus tôt 5 jours après signature du

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non autorisé. Vos droits concernant le présent mandat sont expliqués dans un

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Lille à découvrir plus vite des traitements qui permettront à tous de vivre

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GRANDE ENQUÊTE NATIONALE 2017SUR LE COMPORTEMENT HYGIÈNE DE VIE ET LONGÉVITÉ

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ACTIVITÉ PHYSIQUE

5 MINUTES POUR VIVRE MIEUX

PLUS LONGTEMPS

QUESTIONNAIRE

NUTRITIONMerci de cocher une seule case par question. Vos réponses seront étudiées en toute confidentialité.

1. À quelle fréquence consommez-vous les produits suivants ?

2. Grignotez-vous

en dehors des repas ?

3. Avez-vous l’impression d’avoir une nutrition équilibrée ?

6. Quel type d’activité pratiquez-vous ?

7. Comment percevez-vous votre effort ?

4. Avez-vous l’impression d’avoir une

activité physique équilibrée ?

5. Pratiquez-vous une activité physique de plus de 30 minutes

par jour (ou estimez-vous faire plus de 7 000 pas par jour) ?

Fromage

Légumes

Poisson

Fruits

Viande

Boissons sucrées

Jamais

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Peu souvent

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Oui

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Souvent

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Très souvent

Très souvent

Très souvent

Très souvent

Très souvent

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Non

Non

Non

Très souvent

Jardinage

Facile

Marche

Très facile

Bricolage

Ni facile ni difficile

Course à pied

Difficile

Autre

Très difficile

Mme Christine DUTILLEUL

12, rue du specimen

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99000 LAVILLE cedex

Christine DUTILLEUL-MARTIN

12, rue du Spécimen / Villa des Fleurs

Appartement 15 - Bâtiment C

Allée des Marguerites

99000 LAVILLE CEDEX

20 € 30 €* 50 € 80 € .......................€

Autre montant

* soit 10,20 € après déduction fiscale

Chère Madame NOMDEVINGTSICARRACTERES,

En prenant 5 minutes pour participer à notre

grande enquête nationale, vous allez vous

poser les bonnes questions sur votre

hygiène de vie.

> Vous aborderez les points clés pour vivre

mieux plus longtemps.

> Vous fournirez de précieuses informations

aux chercheurs de l’Institut Pasteur de Lille

sur la santé des Français.

Merci d’utiliser l’enveloppe-retour ci-jointe pour

nous retourner votre questionnaire dûment

rempli, accompagné de votre don.

Christine DUTILLEUL-MARTIN

12, rue du Spécimen / Villa des Fleurs

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Journal IPL 18 4 001.indd 4 20/02/2018 10:08

AGENDA

n Au cœur des labos Courant mars 2018

L’institut vous ouvre les portes de ses laboratoires de recherche : inscrivez-vous sur notre site Internet www.pasteur-lille.fr dans l’onglet « Actu ».

n Route du Louvre Dimanche13 mai 2018

Retrouvez-nous sur le stand AG2R La Mondiale et courez aux couleurs de l’Institut Pasteur de Lille en créant votre page de collecte sur www.alvarum.com/pasteurlille.

Retrouvez tous nos rendez-vous sur notre site Internet

www.pasteur-lille.fr dans l’onglet « Actu ».

Édité par l’Institut Pasteur de Lille, fondation privée à but non lucratif reconnue d’utilité publique depuis 1898. Directeur de la publication : Patrick BercheContributrice : Sophie-Charlotte Pedrono Rédaction et conception graphique : Mediaprism l’Agence © Photothèque de l’Institut Pasteur de Lille

MERCI D’AVANCE POUR VOTRE AIDEwww.pasteur-lille.fr

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Montant collecté auprès des particuliers en 2017

Nombre de dons en 2017

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irecteur du Centre d’Infection et d’Immu-nité de Lille, implanté à l’Institut Pasteur de

Lille, Camille Locht est tombé très tôt dans la marmite de la microbiologie. Mais il a long-temps hésité entre sa carrière et une vie d’artiste.

« La microbiologie me fascine depuis que je suis adolescent, par curiosité scientifique », confie Camille Locht. Depuis des années, il travaille au développement de nouveaux outils de lutte contre la coqueluche et la tuberculose. L’approche qu’il privilégie ? « Il faut commencer par comprendre le germe et identifier son point faible, pour agir ensuite à ce niveau précis. »

À l’entendre, il y a du pain sur la planche. Côté coqueluche, les travaux se concentrent sur l’amélioration des vaccins disponibles. Ces derniers fonctionnent bien, « mais la durée d’immunité qu’ils confèrent est

courte ». De plus, ils protègent contre le déclenchement de la maladie, mais pas contre l’infection. Il y a donc des porteurs qui s’ignorent et qui peuvent transmettre la maladie.

Côté tuberculose, c’est encore plus complexe. « Nous avons à la fois un problème de diagnostic, de médicament et de vaccin », analyse Camille Locht. L’Institut Pasteur de Lille travaille actuellement à une méthode qui permettrait de savoir à quels antibiotiques résiste la souche détectée sur un patient. L’institut tente aussi de mettre au point de nouveaux médicaments utilisables contre les souches résistantes. Enfin, l’équipe de Camille Locht travaille au développement de vaccins apportant un meilleur niveau de protection.

Cette vie de chercheur ne se fait pas sans sacrifices. « J’ai fait beaucoup de musique dans mon jeune temps », confesse Camille Locht, « et j’ai longtemps hésité à

devenir artiste. Un jour, il a fallu que je choisisse ». Aujourd’hui, il ne regrette pas son choix. « Travailler sur des mécanismes complexes est un plaisir incomparable », assure-t-il. « Comme un explorateur, j’aime m’aventurer sur des terrains jamais foulés. Il y a bien sûr des déconvenues, mais c’est d’autant plus réjouissant de rencontrer le succès ! »

Le docteur Camille Locht« Travailler sur des mécanismes complexes est un plaisir incomparable. »

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Le prélèvement automatique Sécurité et tranquillité, pour le donateur comme pour le bénéficiaire

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n SERVICE RELATIONS DONATEURSSylvie Frémaux03 20 87 79 47

n PAR COURRIERInstitut Pasteur de Lille1, rue du Professeur Calmette BP 245 - 59019 Lille Cedex

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€ 80€ soit 27,20 € après déduction fiscale

Contribuer à financer des bourses à destination de jeunes chercheurs

50€ soit17€ après déduction fiscale

Préparer les médicaments de demain

soit 34€ après déduction fiscale100€

Financer du matériel de laboratoire

En matière de recherche, l’argent est le nerf de la guerre. Pour venir à bout de pathologies lourdes, les bons sentiments ne suffisent hélas pas. L’Institut Pasteur de Lille ne fait pas exception à la règle. Comme la majorité des fondations, son budget est dépendant de la générosité du public : ne vous y trompez pas, vos dons sont essentiels à la poursuite du travail qu’il a déjà engagé.Mais voilà, si la générosité intrinsèque du don est une réelle source de satisfaction pour les chercheurs, la recherche est une affaire de longue haleine. À ce jour,

10 % d’entre vous ont déjà opté pour le prélèvement automatique afin de donner à l’institut les moyens de ses ambitions. Opter pour ce type de prélèvement à échéances fixes libère le donateur d’un certain nombre de formalités administratives et donne à l’Institut Pasteur de Lille une visibilité financière indispensable à son action. Votre générosité n’en aura que plus de retombées positives.Et n’oubliez pas que la déduction fiscale légale joue en votre faveur : un prélèvement de 10 euros par mois ne vous coûte en réalité que 3,40 euros !

l’Age

nce

Journal IPL 18 4 001.indd 1 20/02/2018 10:08