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Encore quelques jours et ce sera les vacances, le moment idéal pour vous plonger dans

l’édition juillet/août du magazine Irrésistible Auto Automobile & autres Tentations.

Un numéro à promener sur votre lieu de villégiature et qui s’appréciera tout autant à la

campagne, à la mer ou à la montagne. En clair, le compagnon idéal de vos vacances. Vous

y découvrirez pêle-mêle les dernières grandes nouveautés avant le Salon de Francfort, les

essais de la dynamique Chevrolet Avéo, la huppée DS4, la séduisante Volkswagen Golf

Cabriolet, la BMW 1M et la très efficace Porsche Cayman R. Une édition qui vous permettra

de faire la connaissance de la gamme Gordini de Renault, du tout nouveau scooter 3 roues

de Piaggio, le YOUrban mais aussi de la future star de la rentrée, le Range Rover Evoque.

Cette période estivale, c’est aussi l’occasion pour la rédaction de préparer les numéros à

venir. Dès septembre, les événements internationaux vont s’enchaîner et ce sont les salons

de Francfort, le SEMA Show, le salon de Los Angeles, Essen et Tokyo qui clôtureront l’année

2011. Du pain sur la planche pour les équipes d’Irrésistible Auto et du repos bien mérité pour

tout le monde.

En attendant de vous retrouver dès le 6 septembre, nous vous souhaitons d’excellentes

vacances, une bonne route et bonne lecture.

IRRESISTIBLE AUTO (édition Lille Métropole / édition Pas de Calais) est un magazine gratuit édité par la SARL 2LR - 86 avenue Jean Lebas 59100 ROUBAIX - Tél. : 03 20 28 40 98 - Fax. : 03 20 11 10 33 - www.irresistibleauto.frDirecteur de publication : Laurent HaumanRédacteur en chef : Eliott ColinService commercial : Béatrice Lagabbe, Hubert WarotDirecteur artistique : Thibaud BeghinDirecteur d’édition Pas de Calais : Christophe JolyOnt collaboré à ce numéro : Marine Mondry, Carole Denoyelle, Cécile Fockenoy, Salma Benjelloun Touimi, Fabien DupontDiffusion : Irréductible GroupeIRRESISTIBLE est une marque déposée à l’INPI le 16 02 04 (N° 0432713916) par la SARL L’IRREDUCTIBLE, représentant légal Laurent haumanL’envoi de tout texte, toute photo ou tout document implique l’acceptation par l’auteur de leur libre parution dans le magazine, les newsletters ou le site.Toute reproduction, même partielle, sans autorisation est strictement interdite, sous peine de poursuites.Imprimé en France par : Imprimerie Mordacq

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Laurent HAUMAnDirecteur de publication

Eliott COLInRédacteur en chef

éditeur de presse spécialisée

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Bmw m5C’est bien connu, les choses circulent très vite sur Internet et ce n’est pas BMW qui dira le contraire. Après les fuites concernant le Mercedes ML, c’est au tour de la BMW M5 d’être à son tour dévoilée avec un peu d’avance sur le calendrier. Apparu au salon de Shanghai sous la forme d’un concept très proche du modèle de série, le dernier bébé de la maison Motorsport affiche cette fois-ci ses traits définitifs. C’est sous une robe bleue et une plastique plutôt sobre que la bête ose enfin se montrer. Côté mécanique, pas de surprises, la M5 délaisse comme prévu son V10 atmosphérique et succombe à la mode de la suralimentation. Animée par le V8 4.4l biturbo à injection directe issu des X5M et X6M, la cinquième génération de M5 (F10) annonce des performances à la hausse. Avec 560ch sous le capot, le 0 à 100km/h est expédié en 4.4s et la vitesse de pointe est annoncée à 305km/h pour les possesseurs du pack « M Driver’s », sans cela il faudra se contenter de 250km/h (vitesse limitée électroniquement). Pour la transmission une boîte automatique 7 vitesses DCT sera proposée, mais on parle aussi d’une possible boîte manuelle.

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VolVo C30 éleCtriqueVolvo en a terminé avec la phase de développement de sa nouvelle C30 électrique. Les livraisons interviendront après l’été et concerneront essentiellement les entreprises, administrations et autres organismes publics. Produite à Gand, la voiture est achemi-née à Göteborg en Suède où elle reçoit son moteur électrique, sa batterie et d’autres éléments électroniques spécifiques. Situés à l’emplacement habituel du réservoir, les modules de batterie sont placés dans un compartiment spécial aménagé dans le tunnel central de l’auto. Volvo annonce une autonomie de 150km pour une recharge complète de la batterie en 7h de temps. Les performances sont plutôt honorables avec une vitesse de pointe de 130km/h et un 0 à 50km/h annoncé en 4 secondes.

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Une HotwHeels en actionPour fêter le 100ème anniversaire des 500 Miles d’Indianapolis, Hot Wheels a vu les choses en grand. L’entreprise de jouet n’a pas hésité à créer une rampe grandeur nature longue de trente mètres pour battre le record du monde de saut automobile le plus long.Le pilote dont l’identité est restée secrète jusqu’à la dernière minute n’était autre que Tanner Foust, ancien cascadeur et actuel présentateur de l’émission Top Gear USA. Un pari fou que l’animateur s’est empressé de relever. Mission accomplie pour la Team Hot Wheels Yellow qui a réussi à parcourir une distance de 101,2 mètres (332 pieds), soit 10 mètres de mieux que le précédent record.

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Bmw Série 1Initialement prévue pour le salon de Francfort en septembre prochain, la BMW Série 1 a sur-pris tout le monde en dévoilant sa nouvelle plastique avec un peu d’avance. Pas de révolution en vue pour la nouvelle compacte de chez BMW mais une évolution par petites touches. Si les proportions globales de la voiture restent pratiquement inchangées, avec une longueur qui augmente de 8cm et une largeur de 2cm, la face avant reçoit en revanche un traitement tout particulier. Ainsi, ce sont les optiques qui opèrent un changement radical par rapport à la géné-ration précédente. Un regard perçant et plus étiré qui n’est pas sans rappeler celui de la récente BMW 5 GT. Les feux arrières ne sont pas en restent et se rapprochent de ceux de la dernière Polo. Le constructeur bavarois a donc joué la carte de la prudence pour offrir une version plus consensuelle et s’ouvrir à une nouvelle clientèle. Côté motorisation, l’allemande aura droit à deux blocs essence, les 116i et 118i utiliseront le 1,6l développé en collaboration avec PSA Peugeot-Citroën, produisant respectivement 136 et 170ch. Concernant les versions diesels, les 116d, 118d et 120d seront animés par le 2.0l développant 113ch, 143ch et 184ch.

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Mini CoupéPrésentée comme concept car au salon de Francfort 2009, la Mini Coupé nous revient sous sa forme définitive. A peine plus grande que la berline (4cm), la nouvelle déclinaison de la mini se dévoile intégralement dans une livrée blanche et rouge du plus bel effet. Modèle strictement biplace, la mini coupé semble avoir conservé les gênes du concept avec ses lignes dynamiques et son intérieur sportif. Sous son air de petit jouet, ce coupé chic et branché offre un pro-gramme de personnalisation toujours aussi complet et devrait sans mal trouver son public. Les motorisations seront partagées avec le modèle de base, soit 3 moteurs essences, celui de la Cooper de 122ch, de la Cooper S de 184ch et enfin de la John Cooper Works de 211ch. Côté diesel, il faudra se contenter du 143ch de la Cooper SD. Présentation officielle prévue au salon de Francfort, du 15 au 25 septembre prochain.

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Alors que la nouvelle New Beetle n’a pas encore pointé le bout de son nez sur nos routes, voilà qu’une première préparation débarque déjà sur le net. Inspirée d’une certaine Porsche GT3 RS, cette New Beetle baptisée pour l’occasion RS en reprend les principaux codes esthétiques. Enormes jantes de vingt pouces et bande orange au logo RS accompagne l’auto. Une jolie réalisation que l’on doit aux membres du forum VWVortex.com qui ont eu la chance de travailler sur une voiture de préproduction offerte par Volkswagen. Le résultat est efficace et

terriblement alléchant. Ne vous attendez cependant pas à retrouver le flat six de la Porsche, cette réalisation conserve le bloc 2.0l TSI d’origine. Les simples modifications sont purement cosmétiques, outre la peinture spécifique, cette Beetle RS reçoit également une ligne d’échappement sport et des étriers de freins Brembo. Un projet qui n’en est qu’à sa première phase et qui devrait encore évoluer pour recevoir de nouvelles modifications très prochainement, notamment sur le plan mécanique.

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Audi A1Clubsport QuAttroComment transformer une citadine chic en une sportive démo-niaque ? Il suffit de demander à Audi et vous aurez une réponse à la limite du raisonnable. 503ch, 0 à 100km/h en 3.7s, 0 à 200km/h en 10.9s, tel est le cocktail explosif de cette nouvelle Audi A1 qui prend le nom de Clubsport QUATTRO, le tout dans une sobriété du plus bel effet. Dévoilée lors du fameux rassem-blement de la Wörthersee, cette auto ne restera malheureuse-ment qu’un simple concept. Dommage, son « petit » 5 cylindres cubant 2.5l et développant 660Nm de couple trouvera peut-être sa place sous le capot d’un autre modèle aux anneaux.

Audi r8 Gt spyder On connaissait déjà la version coupé de la R8 GT, Audi nous dévoile à présent sa version découvrable. Prévue pour le salon de Francfort, la belle a profité du rassemblement de Wörther-see pour exhiber sa plastique avantageuse. Au menu, une cure d’amincissement façon carbone qui permet de gagner 85kg par rapport à la R8 V10 Spyder pour un total de 1640kg sur la ba-lance. On retrouve également le fameux V10 5.2l de 560ch et ses 540Nm de couple qui permet à cette jolie monture d’abattre le 0 à 100km/h en à peine 3.8s, le tout cheveux au vent. Comme pour la version coupé, l’Audi R8 GT Spyder ne sera produite qu’à 333 exemplaires pour un tarif de base de 207 800€.

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Chevrolet vous présente sa nouvelle citadine : l’Aveo. Avec son design racé et expressif, son intérieur soigné et moderne, la nouvelle Chevrolet Aveo a tout pour vous faire succomber. Jugez plutôt : 5 portes et de nombreux équipements de série comme une radio CD MP3 avec prise auxiliaire, un régulateur de vitesse, des vitres avant électriques ou encore 6 airbags et le contrôle électronique de trajectoire ESC.Alors n’attendez plus et venez découvrir la nouvelle Chevrolet Aveo !

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Équipements de série • 5 portes• Radio CD MP3 avec prise auxiliaire• Régulateur de vitesse• Vitres AV électriques• 6 airbags• Contrôle électronique de trajectoire ESC• Assistance au freinage d’urgence• Banquette AR 2/3 - 1/3 > Garantie 3 ans ou 100 000 km(2)

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On l’avait entrevue au dernier mondial de l’Automobile avec le concept GTC Paris, la voilà qui dévoile enfin ses traits définitifs. La version cou-pé de l’Opel Astra garde l’appellation GTC mais change complètement par rapport à la berline. Toutes les pièces ou presque sont différentes à l’exception des coquilles de rétroviseurs et du brin d’antenne. Le style général de l’auto gagne évidemment en fluidité avec une ligne beaucoup plus musclée et un profil plus élancé. Pour accompagner ce caractère bien sportif, le coupé germanique pourra s’appuyer sur différentes innovations. La tenue de route promet d’être à la hauteur grâce notamment à l’intégration d’une suspension avant HiperStrut et d’un train avant sophistiqué emprunté à la version OPC de l’Insignia. Disponible à partir de cet automne, l’Astra GTC pourra compter à sa sortie sur les moteurs essence turbo 1.4l 120ch et 140ch, le 1.6l 180ch et le diesel 2.0l CDTi 165ch. Pour la version OPC, il faudra patienter jusqu’en 2012.

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Après une première apparition en 2005, l’appellation Trophy reprend du service et s’exporte sur la dernière Megane RS. Forcément avec cette nouvelle version, la sportive signée Renault gagne quelques chevaux supplémentaires. Ainsi la belle atteint une puissance de 265ch contre 250ch pour la version de « base » et voit son couple passer de 340 à 360Nm. Pour arriver à ce résultat les ingénieurs de chez Renault Sport ont travaillé sur l’admission d’air et ont procédé à une augmentation de la pression du turbo. Equipée de série du châssis Cup, la Megane RS Trophy améliore également ses performances, le 0 à 100km/h est abattu en 6sec et la vitesse maxi passe à 254km/h pour une consom-mation fixée à 8.2l au 100km. Sur le plan esthétique, la RS Trophy se pare d’un toit noir, de jantes 19 pouces spécifiques à liseré rouge et reçoit une plaque numérotée. Car oui, il n’y en aura pas pour tout le monde, seul 500 exemplaires seront disponibles à partir du 20 juin pour la modique somme de 35 000€.

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Nouveau Mercedes MLMercedes a levé le voile sur la troisième génération de son Classe M. Le dernier tout-terrain de la firme à l’Etoile s’offre un nouveau visage mais ne révolutionne pas le genre. Mercedes a plutôt joué la carte de la continuité pour son nouveau 4x4, on retrouve ici le style du précédent modèle mais avec une pointe d’agressivité en plus. Cette nouvelle génération du ML repose sur la plate-forme du nouveau Jeep Grand Cherokee. Si le dessin extérieur ne marque pas de grands changements, le design intérieur gagne lui en finesse et la qualité de finition progresse sensiblement. La référence en matière de SUV chic et initiateur du genre se pare égale-ment des derniers équipements déjà en place sur les autres modèles de la gamme Mercedes. Sous le capot, le ML s’équipe du tout nouveau 4 cylindres diesel de 2.1l de 204ch, sans oublier le V6 3.0l diesel de 258ch. Côté essence, seul le V6 3.5l de 306ch sera disponible. Ce baroudeur de luxe se dévoilera au grand jour lors du salon de Francfort en septembre prochain.

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skoda Fabiars 2000 desigN

Le meeting de la Wörthersee a une fois encore réservé son lot de surprises aux fans automobiles. Outre l’Audi A1 Clubsport Quattro aperçue il y a quelques jours, c’est un autre concept tout aussi démesuré qui a été présenté sur le stand Skoda. Le constructeur tchèque a développé sur la base de sa Fabia un sympathique roadster sportif quatre places. Un concept pour le moins original baptisé Skoda Fabia RS 2000 Design, et qui reprend le kit de la RS2000 engagée en rallye IRC. Si le pare-brise profilé à l’extrême interpelle, c’est surtout la présence de quatre portes qui surprend davantage. Les quatre sièges ba-quets et les touches de carbone qui ornent l’habitacle finissent de donner une touche de sportivité à l’auto. Un projet osé qui aura eu le mérite de susciter la convoitise à défaut de passer un jour le cap de la production en grande série.

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Z.E. TOUR RENAULTCette fois-ci, c’est pour de vrai. Renault organise un tour d’Europe de sa gamme Zéro Emission baptisé Z.E. TOUR. Le 6 juin, les véhicules ont pris possession du Domaine Mandarine Napoléon de Seclin pour permettre à la clientèle professionnelle, mais aussi aux particuliers ayant commandé un modèle de la gamme Z.E., d’essayer la Fluence ou le Kangoo. Toute la gamme Renault Z.E. aura ainsi traversé 11 pays d’Europe en 7 mois environ et offert la possibilité à tous ceux qui se seront présentés dans les centres d’essais de goûter au plai-sir de conduite que procurent les véhicules électriques (le chiffre de 1 000 visiteurs est attendu en France).

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La 4L 3000 remporteLe GUmBaLL 3000Qui l’eût cru, la Renault 4L 3000 a surpris tout le monde en remportant l’édition 2011 du Gumball 3000. Même si le projet n’a plus grand chose à voir avec la version de 1961, il faut tout de même souligner la prouesse de l’équipe « l’Ecurie ». Le pari n’était pourtant pas gagné d’avance, l’idée de métamorphoser une simple 4L en une vraie bête de course dénom-mée 4L 3000 a demandé beaucoup de temps et de travail. Si la voiture conserve son allure originelle, on ne peut pas en dire autant du moteur et du châssis. Terminé le bon vieux 4 cylindres de 30ch, le tout a été rem-placé par un moteur de Clio V6 développant quelque 230ch. Un projet fou pour une aventure unique en son genre. La petite française a su rivaliser avec les Porsche, Ferrari, Lamborghini ou Aston Martin pour finir en tête au bout d’un périple de 5000km qui les aura mené de Londres à Istanbul en passant par Paris, Barcelone, Monaco, Milan, Venise, Zagreb, Belgrade et Sofia. Un joli cadeau pour une voiture qui fête ses 50 ans cette année.

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Symbole indémodable des années 80, la golf GTI reste un mythe à part entière dans le paysage automobile. Certes depuis tout ce temps, la recette a quelque peu changé mais l’esprit GTI demeure intact. Pour fêter le 35ème anniversaire de sa petite bombinette, le constructeur allemand a décidé de sortir une série spéciale in-titulée « Edition 35 ». Au programme de cette version, quelques modifications cosmétiques d’usage telles que ces badges apposés ici et là sur la carrosserie, sans oublier les jantes sport en alliage de 18’’. Mais on retiendra surtout un gain de 25ch par rapport à la GTI de base, soit désormais 235ch, de quoi abattre le 0 à 100km/h en 6.6sec . Seule ombre au tableau, cette Golf ne sera disponible qu’en Allemagne à partir de cet été.

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Musée de l’auto, collection MahYLorsque Ghislain Mahy achète en 1944 sa pre-mière voiture, il ne se doute pas que cette Ford T est la première pièce d’une collection qui tota-lisera près de 1 000 véhicules en l’an 2000. Cette collection, unique au monde par sa diversité, re-trace l’histoire mondiale de l’automobile de 1895 à nos jours.

Ces ancêtres ont hanté durant un demi-siècle l’ancien « Cirque d’Hiver » à Gand. Ensuite 230 joyaux mécaniques furent transférés à «Au-toworld», dans le cadre des prestigieux musées du Cinquantenaire à Bruxelles, où ils sont toujours exposés. En 1997, la ville de Leuze-en-Hainaut a racheté l’ancienne usine Ernaelsteen en vue d’y installer le futur musée communal de l’automo-bile et c’est ainsi que naquit « Mahymobiles ». Foncez découvrir plus de 300 véhicules exposés et devenez un as de la mécanique en visitant la salle didactique. Le Musée de l’auto, collection Mahy vous convie également à découvrir l’étonnante collection de miniatures, la rétrospective des 2 roues, la mini-piste destinée aux enfants de 2 à 7 ans, la galerie dédiée à l’évolution de la car-rosserie et aux raids. Au fil des ans, le Musée de l’auto ne cessera d’évoluer et de s’agrandir afin de vous présenter un nombre croissant de véhicules et d’attractions.

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Musée de l'Auto - Rue Erna, 3 – 7900 Leuze-en-Hainaut (BELGIQUE) – Tél. : +32 69 35 45 45 - www.visitwapi.be/mahymobiles

Lorsque Ghislain MAHY achète sa première voiture en 1944, il ne se doute pas que cette Ford T est la première pièce d'une collection unique au monde qui totalise à ce jour plus de 1.000 véhicules.

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possibilité aux visiteurs de contempler quelque 300 modèles de la marque sans cesse renouvelés. En plus de cela, le musée propose également des expositions temporaires en mettant l’accent sur un pan de l’histoire de Porsche. Actuellement c’est Ferdinand Porsche qui est à l’honneur, présenté comme le « pionnier dans le domaine hybride ».

La passion pour l’histoire automobile ne se dément pas, la preuve avec le succès grandissant du Porsche Museum. Ouvert le 31 janvier 2009, le musée Porsche de Stuttgart vient de passer la barre du millionième visiteur. Une réussite qui s’explique par la notoriété du constructeur de Zuffenhausen mais aussi par la pléthore de véhicules exposés. L’édifice en acier d’une surface de 5600m2, donne en effet la

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Une fois n’est pas coutume, effleurons la gestion des sinistres automobiles par les assureurs à la lumière de l’interprétation juridique des clauses contractuelles du contrat d’assurance.On élude souvent la fastidieuse lecture des contrast d’adhésion pour s’en remettre à notre interlocuteur privilégié, agent général ou courtier. Pour-tant, compte tenu de l’évolution exponentielle des vols de véhicules, les assureurs ont rivalisé d’ingéniosité pour tenter de limiter leur engagement en accroissant les devoirs et les obligations de leurs assurés et en sanction-nant le non respect de ceux-ci par une fin de non recevoir à une demande de prise en charge du sinistre. Désormais, les contrats d’assurance foisonnent de clauses de limitation et/ou d’exclusion de garantie.

Témoin, ce couple qui vend son véhicule d’occasion et accepte qu’un ache-teur potentiel fasse un essai sur route. Ce dernier en profite pour prendre la fuite et l’assureur oppose la faute de l’assuré en application de dispositions contractuelles. Pour la Cour de Cassation, la clause imposant simplement à l’assuré de prendre des précautions élémentaires contre le vol n’apporte pas de restrictions excessives à la liberté et ne confère pas en conséquence à l’assureur un avantage trop avantageux.(1) Le vol ne sera donc pas indemnisé sauf à ce qu’il ait été commis par effraction ou escalade d’un lieu privatif, d’une tentative de meurtre ou de violences corporelles, d’où l’importance des déclarations préalables de l’assuré lors de la déclaration de son sinistre.

Témoin encore, cette société qui se voit opposer une déchéance de garantie pour le vol de son véhicule professionnel au motif que le vol a été commis avec les clefs du véhicule restées sur le contact et sans effraction. Pour les magistrats, le contrat définit le vol garanti comme étant la soustraction frauduleuse du véhicule commise par effraction de celui-ci et des organes de direction ou du garage dans lequel il est stationné ou consécutive à un acte de violence à l’encontre de son gardien ou de son conducteur. (2)

Selon une jurisprudence bien établie, la clause stipulant que l’assureur in-demnise son assuré des dommages résultant de la disparition ou de la dé-térioration du véhicule assuré, causés par un vol par effraction du véhicule assuré, est parfaitement valable et opposable. (3)

Généralement, les assureurs imposent l’existence de traces d’effrac-tion constatées sur les serrures ou le neiman. Cette double condition est parfaitement valable étant précisé que l’effraction du véhicule se définit

habituellement par le forcement, la dégradation ou la destruction de tout dispositif de fermeture. On assimile l’usage de fausses clefs, de clefs obte-nus frauduleusement ou de tout instrument pouvant être frauduleusement employé pour actionner un dispositif de fermeture. Certaines juridictions tiennent compte aujourd’hui de l’apparition de nouvelles technologies, telles que l’usage de boîtiers électroniques spécifiques ou la prise d’empreintes de barillet de porte pour la réalisation d’une fausse clef permettant de voler un véhicule sans effraction. Ainsi a-t-il été jugé comme abusive la clause qui imposait d’établir, en cas de vol, la double condition (effractions serrure + neiman) par référence à ces nouvelles technologies et au principe de l’éga-lité de traitement entre assurés.

Les clauses contractuelles ne doivent pas avoir pour effet de priver l’assuré de pouvoir faire la preuve par tout moyen du vol et au contraire permettre à l’assureur de limiter sa garantie. (4) Il est bien certain que les assureurs seront tentés d’exiger, contractuellement, la mise en œuvre de mesures de précautions comme l’installation de système antivol, de système de repé-rage des véhicules, la présence de vitres gravées…

Enfin, les contours de la notion de déclaration préalable de l’assuré sur la survenance de sinistres antérieurs ont récemment été complétés par la Cour de cassation. Cette déclaration doit porter sur tout sinistre stricto sensu (accident de la circulation matériel et/ou corporel) impliquant un véhicule mais cela concerne également la victime d’un vol. (5)

Le fait de ne pas avoir déclaré avoir été victime d’un vol de véhicule dans le passé peut être considéré comme une fausse déclaration. Les magistrats de Bastia ont rejeté la demande d’indemnisation d’un assuré en estimant qu’il avait fait preuve de réticence rendant le contrat nul dans la mesure où cette réticence avait diminué l’opinion de l’assureur quant au risque. (6)

Même rébarbative vous aurez compris l’importance de lire les conditions particulières et générales de votre contrat d’assurance notamment quant à vos devoirs et obligations dans la prévenance et la survenance de vos éventuels sinistres.

Vigilancement Votre.

Gabriel DENECKER, Avocat au Barreau de Lille

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Retrouvez chaque mois nos conseils en matière de législationet de réglementation routière par Maître Gabriel DENECKER Avocat au Barreau de Lille

N’hésitez pas à lui soumettre vos questions :juridique@irresistibleauto.fr

JURIDIQUE

PAIERA…PAIERA

PAS…

(1) Cour de Cassation, 2ème chambre civile, 03 février 2011. (2) Cour de cassation, 2ème chambre civile, 16 décembre 2010.

Cour de cassation, 2ème chambre civile, 22 octobre 2009. (3) Cour d’Appel d’Amiens, 25 février 2010 sous la réserve que les

magistrats avaient relevé que les limitations de garanties en matière de vol étaient évoquées, par renvoi au lexique, et de

manière peu lisible . (4) Cour de cassation, 2ème chambre civile, 17 mars 2011. (5) Cour d’Appel de Bastia, 13 avril 2011.

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DéVELOPPEMENT DURABLEAvec un taux de CO2 inférieur à 130g/km et une consommation en cycle com-biné de 4.9l/100 km, l’Evoque revendique être le Range Rover le plus léger et le plus économique de toute l’histoire de la marque et démontre clairement l’engagement du constructeur en faveur du développement durable. Dans un souci d’efficacité, les concepteurs de la marque ont fait appel aux techniques de construction allégée et décidé de décliner ce Range Rover dans une version à roues avant motrices. L’Evoque offre également toute une gamme de moteurs à essence et diesel dotés de l’injection directe et du système de coupure du moteur à l’arrêt (stop and start). Il se dote également de systèmes favorisant la réduction des rejets de CO2, d’une direction assistée électrique (EPAS) tout en étant conçu pour offrir une capacité de recyclage optimisée en fin de vie.

DESIGNEn version 5 portes ou en Coupé, le design extérieur de l’Evoque est directe-ment inspiré de celui du concept LRX qui a été plébiscité pour sa réinterpré-tation des «canons» stylistiques du Range Rover.En conjuguant un design fort et une conception méticuleuse, les concep-teurs de la marque ont pu traduire tout l’esprit du concept LRX sans pour autant trahir les valeurs chères à Range Rover, à savoir le luxe, le raffine-ment et les aptitudes en tout-terrain.

« Le Range Rover Evoque marque une évolution majeure du design du Range Rover. Avec sa ligne de ceinture de caisse ascendante extrêmement marquée, son épaulement musclé courant le long de la carrosserie et le profil plongeant distinctif de sa ligne de toit « flottante », l’Evoque adopte une silhouette réso-lument dynamique qui lui confère une allure aussi puissante qu’athlétique », explique Gerry Mc Govern, directeur du design de Land Rover.

QUALITé INTéRIEUREL’Evoque se distingue par un habitacle richement doté, qui fait appel aux matériaux nobles et offre toute l’élégance raffinée que l’on est en droit d’at-tendre de l’intérieur d’un Range Rover.Ses clients pourront opter pour un garnissage en cuir souple rehaussé de doubles surpiqûres qui confèrent une finition éminemment luxueuse à chacune des surfaces du tableau de bord, des portes et des sièges. Le conducteur bénéficie d’une assise plus basse qu’à bord d’un Range Rover classique, une position qui accentue le sentiment de sportivité tout en res-tant surélevée par rapport à la route pour une plus grande sensation de maîtrise. Il en résulte une hauteur sous pavillon plus généreuse que sur bon nombre de berlines sportives traditionnelles, malgré le profil plongeant de la ligne de toit.

UN AUTHENTIQUE TOUT-TERRAINLes conducteurs qui souhaitent sortir des sentiers battus au volant de leur Range Rover Evoque seront rassurés d’apprendre qu’en plus de sa garde au sol incomparable, il leur offre un angle de franchissement ainsi que des angles d’attaque et de fuite bien supérieurs à ceux des autres SUV compacts du marché. L’Evoque sera le tout premier Range Rover de l’histoire à donner le choix à ses clients entre une version à transmission intégrale permanente intelligente, caractérisée par des performances et une capacité de traction inégalées sur toutes les surfaces, et une version à roues avant motrices à faible empreinte carbone et garante d’une consommation plus que raison-nable. Ce nouveau venu dans la gamme offre un potentiel en tout-terrain, encore rehaussé par la nouvelle version du système «Terrain Response» qui a fait la réputation de Range Rover.

MOTORISATIONSLes clients pourront opter pour le turbo diesel 2.2l entièrement revu et cor-rigé, désormais disponible en deux niveaux de puissance de 150 et 190ch. Monté sur la version à roues avant motrices, le bloc 2.2l de 150ch offre une consommation de 4.9l/100 km pour un taux de CO2 inférieur à 130g/km. Associé à la version quatre roues motrices, il ne consomme plus que 5.6l/100km pour un niveau de rejets de CO2 de 145g/km. Le Range Rover Evoque est également disponible avec le tout nouveau moteur 2.0l Si4 de 240ch qui associe trois technologies d’avant-garde : l’injection directe d’es-

RANGE ROVER EVOQUE

QUESTION DE CHOIXLe nouveau Range Rover

(en 5 portes ou en Coupé) s’impose comme le plus petit et le plus économique modèle de toute

l’histoire de la marque britannique. Le Range Rover Evoque est la

concrétisation du célèbre concept LRX et de son design de crossover

coupé dont il conserve parfaitement l’esprit. Fidèle à la marque,

l’Evoque impose le respect tant par sa qualité de finition que par ses performances et aptitudes en tout-terrain, tout en arborant une

silhouette plus compacte.

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UN AUTHENTIQUE TOUT-TERRAINLes conducteurs qui souhaitent sortir des sentiers battus au volant de leur Range Rover Evoque seront rassurés d’apprendre qu’en plus de sa garde au sol incomparable, il leur offre un angle de franchissement ainsi que des angles d’attaque et de fuite bien supérieurs à ceux des autres SUV compacts du marché. L’Evoque sera le tout premier Range Rover de l’histoire à donner le choix à ses clients entre une version à transmission intégrale permanente intelligente, caractérisée par des performances et une capacité de traction inégalées sur toutes les surfaces, et une version à roues avant motrices à faible empreinte carbone et garante d’une consommation plus que raison-nable. Ce nouveau venu dans la gamme offre un potentiel en tout-terrain, encore rehaussé par la nouvelle version du système «Terrain Response» qui a fait la réputation de Range Rover.

MOTORISATIONSLes clients pourront opter pour le turbo diesel 2.2l entièrement revu et cor-rigé, désormais disponible en deux niveaux de puissance de 150 et 190ch. Monté sur la version à roues avant motrices, le bloc 2.2l de 150ch offre une consommation de 4.9l/100 km pour un taux de CO2 inférieur à 130g/km. Associé à la version quatre roues motrices, il ne consomme plus que 5.6l/100km pour un niveau de rejets de CO2 de 145g/km. Le Range Rover Evoque est également disponible avec le tout nouveau moteur 2.0l Si4 de 240ch qui associe trois technologies d’avant-garde : l’injection directe d’es-

sence, la suralimentation, et la double distribution à calage variable pour une motricité et une sobriété exemplaires.

TROIS THEMES DE FINITIONLe thème « Pure » conjugue le design extérieur du concept car avec des garnissages intérieurs sobres et élégants aux teintes neutres. Les maté-riaux qui habillent la plupart des surfaces contrastent avec les inserts en véritable aluminium brossé.

Le thème « Prestige » symbolise le summum du luxe Range Rover, alliant un design extérieur distinctif souligné par des jantes alliage exclusives de 19 pouces et des détails de style du plus bel effet, et un intérieur somptueux alliance de cuir très fin et finition métal ou bois.

Le thème « Dynamic » offre un design extérieur sportif, caractérisé par des jantes de 20 pouces et des boucliers, des bas de caisse, une calandre et des sorties d’échappement spécifiques qui confèrent à l’Evoque une allure plus affirmée et plus déterminée. Outre le pavillon et le becquet arrière dispo-nibles dans un coloris contrastant, les intérieurs héritent de sièges sport.

www.helloevoque.comTarifs à partir de 32 900€

RANGE ROVER EVOQUE

QUESTION DE CHOIXLe nouveau Range Rover

(en 5 portes ou en Coupé) s’impose comme le plus petit et le plus économique modèle de toute

l’histoire de la marque britannique. Le Range Rover Evoque est la

concrétisation du célèbre concept LRX et de son design de crossover

coupé dont il conserve parfaitement l’esprit. Fidèle à la marque,

l’Evoque impose le respect tant par sa qualité de finition que par ses performances et aptitudes en tout-terrain, tout en arborant une

silhouette plus compacte.

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Style En regardant les lignes de cette nouvelle Aveo, on comprend que l’époque Daewoo semble définitivement révolue. Le style de la marque coréenne, placée sous l’égide General Motors et rebadgée Chevrolet en 2005, s’est radicalement métamorphosé pour plus d’élégance. Terminées les formes sans émotion des anciens modèles, la nouvelle Aveo se distingue de la génération précédente par un design plus affirmé. Inspirée du concept car Aveo RS entrevu au salon de Détroit 2010, l’Aveo 2011 en conserve les principaux traits. On retrouve ainsi ce museau au dessin agressif qui lui va si bien et qui n’est pas sans rap-peler l’avant de la Mitsubishi Colt. Ajoutez à cela des optiques étirés et vous avez une citadine à l’allure bien sympathique. Si son gabarit assez massif peut surprendre au premier abord, le profil montre finalement une certaine fluidité notamment grâce à l’introduction des poignées de porte arrière insérées dans les montants (une vraie tendance ! ). Avec une longueur de 4.04m et une lar-geur de 1.74m, l’Aveo en impose et rivalise avec les européennes sur ce point. La Chevrolet Aveo poursuit donc la renaissance de la marque instaurée par le lancement récent de la Cruze ou encore de l’Orlando.

HabitacleA bord, l’Aveo dévoile un habitacle plutôt sobre, sans superflus, seul le comp-teur se permet une petite folie avec un design plus futuriste (compte-tours analogique à gauche et tachymètre numérique à droite). La planche de bord au style épuré laisse à son conducteur une impression de robustesse. Bien assemblé, l’intérieur gris clair ne souffre pas de gros défauts et reste assez lumineux, dégageant une atmosphère de sérénité appréciable. Côté habitabi-lité, l’Aveo exploite au mieux son gabarit plutôt imposant. Avec une hauteur de caisse plus importante que la moyenne, 1.52m tout de même, la Chevrolet offre un très bon confort pour une citadine. En cas de long trajet, les passa-gers auront le plaisir de disposer d’un espace suffisant pour leurs jambes. Détail important : de nombreux rangements sont mis à disposition dans tout l’habitacle. Le conducteur n’est pas en reste : bien installé dans les sièges au dessin soigné il jouit d’une position de conduite relativement élevée. Enfin,

l’Aveo profite d’un volume de coffre acceptable (290l et 653l avec les dossiers de banquette rabattus) qui autorise à partir en week-end en toute tranquillité.

action Pour notre essai, nous avons eu droit au moteur essence 1.2l de 86ch badgé Ecotec et emprunté à Opel, le tout était couplé à une boîte manuelle cinq vitesses bien étagée. A noter que la version 1.4l développant 100ch peut s’équiper en option moyennant 1100€, d’une boîte automatique 6 vitesses. Si les performances du 1.2l se révèlent un peu juste, il faut reconnaître que pour un usage quotidien et citadin, ce petit quatre cylindres reste amplement suffisant. Le moteur, d’une étonnante discrétion à bas régime, ne devient pas envahissant quand on monte dans les tours. Les sensations au volant sont agréables et rasurantes, l’Aveo s’en sort avec les honneurs notamment sur le plan dynamique, même si la présence de roulis gâche un peu la fête. A la pompe, l’Aveo ne s’avère pas trop gourmande et revendique une consommation correcte de 5.5l/100km en cycle mixte. En plus d’offrir des prestations à la hauteur de son statut, la Chevrolet se pare d’un équipement très alléchant. Outre la direction assistée, on retiendra surtout la présence de vitres avant électriques, de la banquette rabattable 2/3-1/3, de l’autoradio CD MP3, des 6 airbags, d’un volant réglable en hauteur comme en profondeur et enfin d’un régulateur de vitesse. Un équipement pléthorique très appréciable à ce niveau.

concluSionAvec sa petite bouille attachante et dynamique, la Chevrolet Aveo change du tout au tout et possède des arguments solides pour séduire le public européen. Malgré une concurrence farouche sur le segment des citadines, l’Aveo peut se vanter d’un rap-port qualité/prix très intéressant, un argument qui devrait plaire en particulier aux jeunes. Disponible uniquement en version essence, l’Aveo devra patienter jusqu’à septembre pour recevoir les motorisations diesel.

Tarifs à partir de 11 950€

eSSai

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Disparue du catalogue Volkswagen depuis 2002, la Golf cabriolet s’est fait attendre et nous revient presque 10 ans après. Les fans de la marque auront le plaisir de retrouver l’esprit originel du premier modèle datant des années 80. Simplicité et plaisir ont visiblement dicté le cahier des charges du constructeur allemand qui compte bien avec

Chevrolet Aveo

Stylee etDynamiqueUn an et demi après le lancement de sa citadine Spark, Chevrolet récidive et continue sa marche en avant en présentant la toute nouvelle version de l’Aveo. Complètement métamorphosée et plutôt aguicheuse par rapport à sa devancière, l’Aveo change tout ou presque et vient concurrencer les reines de la catégorie des petites polyvalentes que sont les Peugeot 207, Renault Clio et autre Volkswagen Polo.

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l’Aveo profite d’un volume de coffre acceptable (290l et 653l avec les dossiers de banquette rabattus) qui autorise à partir en week-end en toute tranquillité.

Action Pour notre essai, nous avons eu droit au moteur essence 1.2l de 86ch badgé Ecotec et emprunté à Opel, le tout était couplé à une boîte manuelle cinq vitesses bien étagée. A noter que la version 1.4l développant 100ch peut s’équiper en option moyennant 1100€, d’une boîte automatique 6 vitesses. Si les performances du 1.2l se révèlent un peu juste, il faut reconnaître que pour un usage quotidien et citadin, ce petit quatre cylindres reste amplement suffisant. Le moteur, d’une étonnante discrétion à bas régime, ne devient pas envahissant quand on monte dans les tours. Les sensations au volant sont agréables et rasurantes, l’Aveo s’en sort avec les honneurs notamment sur le plan dynamique, même si la présence de roulis gâche un peu la fête. A la pompe, l’Aveo ne s’avère pas trop gourmande et revendique une consommation correcte de 5.5l/100km en cycle mixte. En plus d’offrir des prestations à la hauteur de son statut, la Chevrolet se pare d’un équipement très alléchant. Outre la direction assistée, on retiendra surtout la présence de vitres avant électriques, de la banquette rabattable 2/3-1/3, de l’autoradio CD MP3, des 6 airbags, d’un volant réglable en hauteur comme en profondeur et enfin d’un régulateur de vitesse. Un équipement pléthorique très appréciable à ce niveau.

conclusionAvec sa petite bouille attachante et dynamique, la Chevrolet Aveo change du tout au tout et possède des arguments solides pour séduire le public européen. Malgré une concurrence farouche sur le segment des citadines, l’Aveo peut se vanter d’un rap-port qualité/prix très intéressant, un argument qui devrait plaire en particulier aux jeunes. Disponible uniquement en version essence, l’Aveo devra patienter jusqu’à septembre pour recevoir les motorisations diesel.

Tarifs à partir de 11 950€

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Chevrolet Aveo

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CITROËN DS4

REBELLEBOURGEOISE

ESSAI

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Soyons clair, la DS4 n’est pas une voiture comme les autres. Difficile en effet de rester insensible face au dessin de cette nouvelle Citroën. Subtil mélange entre berline, coupé et SUV, elle surprend par ses traits tendus et acérés. La DS4 est là pour se montrer et ça se voit, même si sa ligne plus élancée et ses courbes accentuées affirment une certaine personnalité, son style est plus sage que celui de sa petite sœur DS3. Ici pas de personnalisation exagérée mais quelques touches de raffinement du meilleur goût et une pointe de classicisme. Si elle conserve les projecteurs avant et le capot de la C4, tout le reste a été changé. Le bouclier avant, agressif à souhait et les touches de chrome ici et là finissent de donner une touche de sportivité à l’ensemble. Cette allure musclée on la retrouve également à l’arrière de la voiture. Que ce soit les flancs à l’apparence sculpturale, la poupe arrondie et les portes dont les poignées ne sont pas apparentes (façon Alfa Romeo), tout laisse à penser que la DS4 n’est pas qu’une simple compacte.

HABItAcLEAvec ses formes de coupé, on pourrait croire qu’une fois à l’intérieur, la nouvelle DS4 ne soigne pas ses occupants. Il n’en est rien. A bord rien n’est laissé au hasard pour flatter le conducteur et ses passagers. Et pour cause : la DS4 reprend les mêmes ingrédients que la C4, dont l’ergonomie et la fi-

La marque aux chevrons continue de développer sa gamme premium. Après le

succès commercial de la DS3, qui est venue jouer sur les

plates bandes d’une certaine Mini, Citroën passe la vitesse supérieure et dévoile sa DS4.

Déclinaison chic et sportive de la plus consensuelle C4, la

DS4 joue clairement la carte de l’originalité et risque d’en

séduire plus d’un avec son style unique et ses lignes agressives.

nition étaient déjà excellente. Elle y ajoute en plus ce côté chic déjà présent sur sa petite sœur DS3.

En matière de confort, la DS4 fait également très bonne impression, les assises plutôt sportives assurent un très bon maintien et peuvent être selon le niveau de finition électriques et massantes. L’habitabilité ne progresse pas par rapport à la C4 mais reste convenable pour une voiture dotée d’un tel profil. Forcément avec un tel look, la DS4 a du faire quelques concessions. Ainsi, les passagers arrières auront la curieuse surprise de trouver des vitres arrières fixes, une grande première pour un véhicule quatre portes. Une fois ce petit détail oublié, on profite sans difficultés du confort de cette nouvelle DS4. Côté finition, on retrouve sans étonnement les trois niveaux de la DS3 : Chic, So chic, et Sport chic.

Dès la première version, la DS4 est richement dotée, elle y reçoit les prin-cipales aides électroniques (ABS et ESP), la climatisation manuelle, des jantes alliages 16 pouces, des antibrouillards avec éclairage d’intersection et le limiteur-régulateur de vitesse. En passant à la finition So chic, la belle se pare de jantes alliage 17 pouces, d’une sellerie mixte cuir/tissu, de sièges massants et de la climatisation automatique bizone. Le haut de

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Soyons clair, la DS4 n’est pas une voiture comme les autres. Difficile en effet de rester insensible face au dessin de cette nouvelle Citroën. Subtil mélange entre berline, coupé et SUV, elle surprend par ses traits tendus et acérés. La DS4 est là pour se montrer et ça se voit, même si sa ligne plus élancée et ses courbes accentuées affirment une certaine personnalité, son style est plus sage que celui de sa petite sœur DS3. Ici pas de personnalisation exagérée mais quelques touches de raffinement du meilleur goût et une pointe de classicisme. Si elle conserve les projecteurs avant et le capot de la C4, tout le reste a été changé. Le bouclier avant, agressif à souhait et les touches de chrome ici et là finissent de donner une touche de sportivité à l’ensemble. Cette allure musclée on la retrouve également à l’arrière de la voiture. Que ce soit les flancs à l’apparence sculpturale, la poupe arrondie et les portes dont les poignées ne sont pas apparentes (façon Alfa Romeo), tout laisse à penser que la DS4 n’est pas qu’une simple compacte.

HaBItacLEAvec ses formes de coupé, on pourrait croire qu’une fois à l’intérieur, la nouvelle DS4 ne soigne pas ses occupants. Il n’en est rien. A bord rien n’est laissé au hasard pour flatter le conducteur et ses passagers. Et pour cause : la DS4 reprend les mêmes ingrédients que la C4, dont l’ergonomie et la fi-

nition étaient déjà excellente. Elle y ajoute en plus ce côté chic déjà présent sur sa petite sœur DS3.

En matière de confort, la DS4 fait également très bonne impression, les assises plutôt sportives assurent un très bon maintien et peuvent être selon le niveau de finition électriques et massantes. L’habitabilité ne progresse pas par rapport à la C4 mais reste convenable pour une voiture dotée d’un tel profil. Forcément avec un tel look, la DS4 a du faire quelques concessions. Ainsi, les passagers arrières auront la curieuse surprise de trouver des vitres arrières fixes, une grande première pour un véhicule quatre portes. Une fois ce petit détail oublié, on profite sans difficultés du confort de cette nouvelle DS4. Côté finition, on retrouve sans étonnement les trois niveaux de la DS3 : Chic, So chic, et Sport chic.

Dès la première version, la DS4 est richement dotée, elle y reçoit les prin-cipales aides électroniques (ABS et ESP), la climatisation manuelle, des jantes alliages 16 pouces, des antibrouillards avec éclairage d’intersection et le limiteur-régulateur de vitesse. En passant à la finition So chic, la belle se pare de jantes alliage 17 pouces, d’une sellerie mixte cuir/tissu, de sièges massants et de la climatisation automatique bizone. Le haut de

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gamme Sport chic ajoute à cela l’aide au stationnement avec la mesure de place disponible, une paire de jantes alliage 18 pouces, une sellerie cuir et le système de surveillance d’angle mort. Un équipement très complet que l’on pourra compléter au besoin par l’option cuir intégral avec la sellerie Habana dessiné à la façon d’un bracelet montre. Une option élégante qui ajoute à l’au-to une touche de raffinement supplémentaire. Le dynamisme qui se dégage à l’intérieur de la DS4 est accentué par la présence d’un pare-brise panoramique qui permet une vision vers le haut de 45°. L’habitacle est ainsi baigné dans une lumière qui permet de profiter de chaque détail de la planche de bord. Par rap-port à la C4, la DS4 voit ses dimensions évoluées quelque peu. Notre compacte premium mesure 4,27m de long contre 4,33m pour la C4, mais gagne toutefois en largeur, avec 2cm en plus par rapport à la C4. Forcément avec son look de crossover la DS4 a pris un peu de hauteur et culmine dorénavant à 1,53m contre 1,49m pour la C4. La qualité perçue et le soin apporté à l’ensemble place la DS4 en concurrence directe avec les reines de la catégorie premium que sont l’Audi A3, la BMW Série 1 ou plus récemment l’Alfa Romeo Giulietta.

Au volAnt La première impression que l’on a lorsque l’on prend le volant de cette nou-velle DS4, c’est ce sentiment de dominer la route, la position de conduite assez haute et la bonne visibilité permet d’apprécier chaque déplacement. Par rapport à la C4 dont elle reprend les principaux ingrédients, la DS4 démontre un dynamisme exemplaire. Les mouvements de caisse habituellement pro-noncés sur ce genre de modèle s’effacent pour laisser place à un confort ap-préciable en toute circonstance. Doté d’une personnalité à part entière, la DS4 fait preuve d’une efficacité sans faille pour distiller au conducteur un plaisir de conduite retrouvé. Que ce soit en ville ou sur routes sinueuses, la Citroën se révèle à l’aise en toutes circonstances. Le travail réalisé sur la direction et les suspensions a permis de modifier le comportement en profondeur. Au fil des virages, les sensations vont en s’améliorant et l’on prend de plus en plus de plaisir à enchaîner les courbes. Le châssis très bien équilibré y est pour beaucoup et donne entière satisfaction.En terme de motorisation, la DS4 offrira une large gamme de moteur à son lancement. En essence, les habituels VTi de 120ch et 155ch seront complétés par le nouveau THP de 200ch, déjà utilisé sur les modèles sport du groupe PSA. Ce moteur promet de belles performances avec un couple de 275Nm et une vitesse maxi annoncée à 235Km/h. En diesel, deux motorisations seront disponibles, le HDi 110ch et 160ch qui offrent eux aussi de très bonnes sen-sations au volant.

ConClusion Qualitatif c’est le mot qui vient forcément à l’esprit lorsque l’on parle de la Citroën DS4. Agréable à regarder comme à conduire, la compacte premium de Citroën nous a séduit à plus d’un titre. Dynamique, confortable et unique en son genre, la DS4 fait très fort. Avec de tel atouts dans sa poche, Citroën peut espérer le même succès que sa DS3 en attendant l’arrivée du crossover DS5 pour la fin de l’année.

Tarif à partir de 21 300€

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ExtériEurA peine plus longue qu’une golf normale (5cm), la version cabriolet parvient dès le premier coup d’œil a attirer la convoitise. Le dessin de cette nouvelle Golf respire la nostalgie et ça se sent. Basée sur la plate forme de sa rivale premium, l’audi A3, la Golf cabriolet reprend les mêmes ingrédients qui ont fait le succès de la mythique Golf 1 cabriolet née en 1974. Eh oui ! déjà. Elégante et raffinée, sa ligne est un modèle de fluidité et invite forcément aux balades à ciel ouvert. Pour s’en persuader il suffit de décapoter, et là, la Golf devient tout simplement irrésistible. Chrono en main, 9 secondes suffisent pour retirer la capote en toile, une manipulation que l’on peut d’ailleurs réaliser en roulant jusqu’à 30km/h. Grâce à cette capote souple le cabriolet ne prend que 140kg dans la balance par rapport à une Golf classique. Le dynamisme général de l’auto est accentué par le pare-brise très incliné mais suffisamment court qui ne gâche en rien l’allure de la voiture. L’arrière lui aussi est assez court : un trait caractéristique aux trois générations précédentes de Golf décapotable.

A bord Une fois à bord, pas de doute permis, nous sommes bien dans une Golf. Cette version cabriolet s’inspire évidemment de la berline mais personne ne s’en plaindra. La qualité germanique est là,l’ensemble respire le sérieux et la so-briété. Bien installé, on profite des sièges Confort, disponible à partir de la finition Carat qui proposent un très bon maintien et une assise confortable. Autant dire les choses comme elles sont, on se sent très vite à l’aise à bord de cette Golf cabriolet. Les occupants arrière pourront eux aussi profiter du paysage en toute tranquillité. La Golf protège efficacement ses passagers du vent une fois les vitres remontées et si cela ne suffit pas, on pourra toujours installer le filet anti-remous mis à disposition. Spacieuse, la Golf l’est as-surément, on accède sans mal aux places arrières grâce aux sièges avant rabattables et coulissants équipés en prime d’une mémoire de position. A cet espace s’ajoute le silence. Une fois décapoté, c’est l’absence de bruit de mou-

vement qui étonne. Il en est de même lorsque la pluie fait son apparition et que l’on doit recouvrir l’auto, l’insonorisation du couvre-chef laisse à penser que nous sommes tout simplement au volant de la berline. Et si l’envie d’un week-end à l’air libre vous prend soudainement, la Golf cabriolet saura sa-tisfaire vos envies d’évasion. D’une capacité de 250l, le coffre sera suffisant pour emmener quelques affaires, et même des objets un peu plus longs si l’on décide de rabattre les dossiers.

Air librE Pour nous accompagner lors de notre essai, nous avions droit au bloc essence 1.2l TSI de 105ch. A son volant, les sensations sont excellentes et suffisent largement pour déclencher un vrai plaisir de conduite. La souplesse appré-ciable du moteur s’ajoute au confort de suspension. L’agrément de conduite est ici bien réel, seul bémol, les reprises de l’auto se révèlent un peu juste lors de dépassements forcés. Malgré tout, les accélérations proposées paraissent tout à fait suffisantes. La consommation s’est révélée modérée durant notre petit tour de roue, un peu plus de 7l aux 100km en adoptant une conduite assez dynamique. En cycle mixte la consommation annoncée descend à 4.4l. Confortable plutôt que sportive, le comportement de cette nouvelle Golf ca-briolet rassure et invite au voyage en toute décontraction.

ConClusion Avec toutes ces qualités, la Golf cabriolet apparait comme une option de choix pour cet été malgré une concurrence toujours plus nombreuse. Forte de ses atouts et du capital sympathie qu’elle possède auprès des nostalgiques de la marque, cette Golf fait revivre avec brio l’esprit originel de la première génération. Proposée à un tarif raisonnable en vue de ses prestations et de son équipement, la Volkswagen Golf cabriolet quatrième du nom comblera sans aucuns doutes les amoureux de balades en pleine nature, le tout cheveux aux vents. Tarifs à partir de 24 390€

EssAi

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Disparue du catalogue Volkswagen depuis 2002, la Golf cabriolet s’est fait attendre et nous revient presque 10 ans après. Les fans de la marque auront le plaisir de retrouver l’esprit originel du premier modèle datant des années 80. Simplicité et plaisir ont visiblement dicté le cahier des charges du constructeur allemand qui compte bien avec ce nouveau modèle renouer avec son glorieux passé.

VW Golf Cabriolet

rEtour dE flAmmE

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vement qui étonne. Il en est de même lorsque la pluie fait son apparition et que l’on doit recouvrir l’auto, l’insonorisation du couvre-chef laisse à penser que nous sommes tout simplement au volant de la berline. Et si l’envie d’un week-end à l’air libre vous prend soudainement, la Golf cabriolet saura sa-tisfaire vos envies d’évasion. D’une capacité de 250l, le coffre sera suffisant pour emmener quelques affaires, et même des objets un peu plus longs si l’on décide de rabattre les dossiers.

Air libre Pour nous accompagner lors de notre essai, nous avions droit au bloc essence 1.2l TSI de 105ch. A son volant, les sensations sont excellentes et suffisent largement pour déclencher un vrai plaisir de conduite. La souplesse appré-ciable du moteur s’ajoute au confort de suspension. L’agrément de conduite est ici bien réel, seul bémol, les reprises de l’auto se révèlent un peu juste lors de dépassements forcés. Malgré tout, les accélérations proposées paraissent tout à fait suffisantes. La consommation s’est révélée modérée durant notre petit tour de roue, un peu plus de 7l aux 100km en adoptant une conduite assez dynamique. En cycle mixte la consommation annoncée descend à 4.4l. Confortable plutôt que sportive, le comportement de cette nouvelle Golf ca-briolet rassure et invite au voyage en toute décontraction.

ConClusion Avec toutes ces qualités, la Golf cabriolet apparait comme une option de choix pour cet été malgré une concurrence toujours plus nombreuse. Forte de ses atouts et du capital sympathie qu’elle possède auprès des nostalgiques de la marque, cette Golf fait revivre avec brio l’esprit originel de la première génération. Proposée à un tarif raisonnable en vue de ses prestations et de son équipement, la Volkswagen Golf cabriolet quatrième du nom comblera sans aucuns doutes les amoureux de balades en pleine nature, le tout cheveux aux vents. Tarifs à partir de 24 390€

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VW Golf Cabriolet

retour de flAmme

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ExtériEur Bestiale c’est sans doute le premier mot qui vient à la bouche lorsqu’il s’agit de décrire cette BMW Série 1 Coupé M. Pour les inconditionnels de la marque à l’hélice, le souvenir de la première génération de M3 (E30) ressurgit aussitôt avec beaucoup d’émotion. Et pour cause : le nouveau bébé des ingénieurs Motorsport s’en inspire énormément. A peine plus grande (3cm), la Série 1 Coupé M renoue avec l’esprit sportif de la marque. Excepté l’empattement qui grandit d’environ 80 millimètres par rapport à la M3 d’antan, pour le reste la Série 1 Coupé M fait dans le sentimental et lui emprunte presque tout. Au niveau esthétique surtout, cette BMW sort le grand jeu. Son allure bodybuildée lui assure un look ravageur. La face avant se pare d’un bouclier agressif qui intègre trois entrées d’air et les ailes bombées rappellent les bonnes vieilles GTI d’époque. A l’arrière, un béquet assez sobre prend position, tandis que

les autres. Petite touche agréable, les surpiqûres oranges viennent égayer l’ensemble, on en retrouve sur le tableau de bord, la gaine du levier de vitesse, le frein à main et les sièges. Ces derniers, assurrant un maintien parfait, n’ont d’ailleurs plus grand-chose à voir avec la version civilisée de la Série 1. Le vo-lant à trois branches se laisse facilement prendre en main. L’intérieur de cette nouvelle BMW tranche radicalement avec les formes extérieures qui respirent la brutalité. En matière d’équipement, notre petite boule de nerf se contente du strict minimum pour la version d’entrée de gamme baptisée CS (ClubSport). Sur le modèle de « base », la BMW se fait plus conciliante et s’équipe de la climatisation bi-zone, d’accoudoirs et de sièges électriques. Mais le plus im-portant est ailleurs, car comme la M3 de 1986, c’est sur la route que la Série 1 Coupé M dévoile tout son potentiel, et là c’est que du bonheur.

BMW SéRIE 1 COUPé M

FArOuCHE

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les quatre sorties d’échappement sont là pour assurer la mélodie du six cylindres en ligne. La BMW impressionne son monde et ce n’est pas les jantes de 19 pouces, empruntées à la M3 GTS ni la couleur de notre modèle d’essai qui nous fera dire le contraire : dans sa robe Valencia Orange, la BMW invite aux joies du pilotage.

A bOrd Une fois glissé à l’intérieur, pas de doute possible, nous sommes bien dans une Série 1. La planche de bord au dessin connu reste d’une grande sobriété. Pas de touche de fantaisie mais un semblant de sportivité par ci par là. Le compte-tour qui annonce une vitesse maximale de 300km/h vient genti-ment nous rappeler que la Série 1 Coupé M n’est pas une voiture comme

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les autres. Petite touche agréable, les surpiqûres oranges viennent égayer l’ensemble, on en retrouve sur le tableau de bord, la gaine du levier de vitesse, le frein à main et les sièges. Ces derniers, assurrant un maintien parfait, n’ont d’ailleurs plus grand-chose à voir avec la version civilisée de la Série 1. Le vo-lant à trois branches se laisse facilement prendre en main. L’intérieur de cette nouvelle BMW tranche radicalement avec les formes extérieures qui respirent la brutalité. En matière d’équipement, notre petite boule de nerf se contente du strict minimum pour la version d’entrée de gamme baptisée CS (ClubSport). Sur le modèle de « base », la BMW se fait plus conciliante et s’équipe de la climatisation bi-zone, d’accoudoirs et de sièges électriques. Mais le plus im-portant est ailleurs, car comme la M3 de 1986, c’est sur la route que la Série 1 Coupé M dévoile tout son potentiel, et là c’est que du bonheur.

BMW SéRIE 1 COUPé M

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les quatre sorties d’échappement sont là pour assurer la mélodie du six cylindres en ligne. La BMW impressionne son monde et ce n’est pas les jantes de 19 pouces, empruntées à la M3 GTS ni la couleur de notre modèle d’essai qui nous fera dire le contraire : dans sa robe Valencia Orange, la BMW invite aux joies du pilotage.

A bORd Une fois glissé à l’intérieur, pas de doute possible, nous sommes bien dans une Série 1. La planche de bord au dessin connu reste d’une grande sobriété. Pas de touche de fantaisie mais un semblant de sportivité par ci par là. Le compte-tour qui annonce une vitesse maximale de 300km/h vient genti-ment nous rappeler que la Série 1 Coupé M n’est pas une voiture comme

Avec la Série 1 M Coupé, BMW conclut de la plus belle des

manières le développement de la gamme série 1. Véritable

concentré de sportivité à l’état pur, ce joli joujou des temps moderne exhibe ses formes

musclées avec insistance. Difficile pour nous de ne pas

succomber à la tentation d’un essai en sa compagnie, histoire

de jauger le potentiel de la bête. Silence, Moteur, Action !

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à 100 km/h est abattu en 4,9 secondes et la vitesse maxi atteint les 250km/h (limitée électroniquement). Pour stopper la bête, le freinage est confié à d’énormes disques composites. Le rapport poids puissance est respectable et s’établit à 4,6kg/ch. Forcément avec de telles performances, le rapprochement avec l’actuelle M3 (E92) vient tout naturellement à l’esprit. Si cette dernière s’équipe d’un gros V8 de 4.0l d’une puissance de 420ch, la Série 1 Coupé M tient la dragée haute à sa grande sœur et propose des performances quasi similaire. Moins puissante, le bébé M se rattrape par sa vivacité et son dyna-misme extraordinaire. Elle offre ce petit plus au niveau conduite qui fait toute la différence par rapport à une M3 beaucoup plus lourde. A peine le temps de jouer avec ce nouveau jouet que vient déjà le moment cruel de rendre les clés.Dommage car on s’attache vite à cette petite BMW.

ConClusionLes superlatifs ne manquent donc pas pour qualifier cette BMW Serie 1 Coupé M. Performante, agressive et efficace, la bombe bavaroise offre son lot de sen-sations fortes. Impossible de passer inaperçu au volant de cette terrible furie qui vient concurrencer la tout aussi radicale Audi RS3 Sportback. Une auto plaisir qui dévoile un potentiel sportif à toute épreuve, nous on en redemande !

Tarifs à partir de 53 400 €

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Moteur Une fois les présentations d’usage terminées, il est temps de s’attaquer aux choses sérieuses. Impatient comme jamais, je me décide à actionner le bouton de démarrage située sur la planche de bord. Un premier sourire apparait tout naturellement dès les premières vocalises du six cylindres en ligne biturbo de 340ch qui offre pas moins de 450Nm de couple dès 1500tr/min. Le moteur vous prend par surprise à chaque instant et se permet toutes les folies possibles. Pendant ce temps mon rythme cardiaque s’accélère au fur et à mesure que je libère la puissance. Collé au siège je tente de lutter avec mes propres armes et prends mon courage à deux mains pour affronter les virages qui s’enchaînent à une vitesse inavouable. Cette BMW Série 1 Coupé M envoie du lourd. Si ce nouveau bolide paraît un peu pataud sur le papier avec ses 1570kg, une fois en action c’est tout le contraire. Agile et légère en courbe, la dernière née de chez Motorsport s’agite comme une puce à la moindre occasion. Grâce à son châssis exemplaire et à son train avant ultra précis, la BMW Série 1 Coupé M ne fatigue jamais et se montre d’une redoutable efficacité.

Même en conduite très sportive, on est sans cesse surpris par son potentiel. Les sensations au volant sont simplement jouissives et l’équilibre de l’auto ne souffre d’aucun défaut grâce aux très bonnes suspensions. Une fois lan-cée, cette version extrême de la Série 1 sort le grand jeu, jugez plutôt : le 0

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à 100 km/h est abattu en 4,9 secondes et la vitesse maxi atteint les 250km/h (limitée électroniquement). Pour stopper la bête, le freinage est confié à d’énormes disques composites. Le rapport poids puissance est respectable et s’établit à 4,6kg/ch. Forcément avec de telles performances, le rapprochement avec l’actuelle M3 (E92) vient tout naturellement à l’esprit. Si cette dernière s’équipe d’un gros V8 de 4.0l d’une puissance de 420ch, la Série 1 Coupé M tient la dragée haute à sa grande sœur et propose des performances quasi similaire. Moins puissante, le bébé M se rattrape par sa vivacité et son dyna-misme extraordinaire. Elle offre ce petit plus au niveau conduite qui fait toute la différence par rapport à une M3 beaucoup plus lourde. A peine le temps de jouer avec ce nouveau jouet que vient déjà le moment cruel de rendre les clés.Dommage car on s’attache vite à cette petite BMW.

ConClusionLes superlatifs ne manquent donc pas pour qualifier cette BMW Serie 1 Coupé M. Performante, agressive et efficace, la bombe bavaroise offre son lot de sen-sations fortes. Impossible de passer inaperçu au volant de cette terrible furie qui vient concurrencer la tout aussi radicale Audi RS3 Sportback. Une auto plaisir qui dévoile un potentiel sportif à toute épreuve, nous on en redemande !

Tarifs à partir de 53 400 €

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PORSCHE CAYMAN R

REmaRquablE

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PORSCHE CAYMAN R

REmaRquablE

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Malgré son physique d’athlète et son architecture à moteur central, le Cayman

a du attendre six ans avant de se voir offrir une version ultra-sportive. Dans l’esprit, depuis

2005, un Cayman, c’est bien et efficace pour sauter de feu en feu ; un Cayman S, c’est encore

mieux et encore plus efficace pour se faire quelques peurs sur routes ouvertes ; un Cayman

R, c’est encore mieux que mieux et surtout beaucoup plus efficace pour « se payer » de

véritables sensations au volant. Essai d’un petit concentré de GT3 avec 330ch, qui n’a rien à

envier à sa grande sœur 911.

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R du Cayman signifie Radical. De ce fait, il faut faire quelques concessions aux éléments de confort habituellement de série sur ce genre de modèle. Et encore, il y a quelques années, les versions Club Sport des 911 et autre 968 faisaient l’impasse sur les vitres électriques, l’insonorisation ou les capiton-nages de portes. Alors ne venez pas vous plaindre…

SUR ROUTELe Cayman R, c’est un concept. Comment, en ajoutant seulement 10ch par rapport à la version S, peut-on transfigurer une voiture performante en une vraie voiture de course ? En gagnant quelques kilos sur la balance. Entre l’em-ploi d’aluminium pour les portes, le recourt aux sièges baquets, la suppression de la climatisation et le choix de jantes distinctives, le Cayman R s’est offert une cure d’amaigrissement à la mode GT3. Désormais le 0 à 100 est avalé en 5s et les 282km/h sont atteints sur circuit.

Grâce à sa nouvelle cartographie, le 6 cylindres du Cayman développe 330ch et 370Nm de couple. Il se fait aussi plus rauque au démarrage et s’amuse des retours de gaz à grands coups de ploplop au lever de pédale. Equipé d’origine de l’excellente boîte manuelle à 6 rapports, le Cayman R peut également re-

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DEHORSNotre modèle d’essai attendait fièrement sur le parking que nous fassions connaissance. Dans sa livrée noire et équipée de jantes 19 pouces Boxster Spyder, force est de constater que le Cayman R a belle allure. Les éléments de carrosserie gris clair contrastent avec la teinte foncée du véhicule et donnent à l’ensemble un look Racing. Ainsi, les rétroviseurs, les grilles d’aé-ration et l’aileron spécifique offrent au Cayman R le petit supplément d’âme manquant au Cayman et Cayman S. Dans la série des « détails qui tuent », on ne peut rester insensible aux stickers PORSCHE apposés sur les flancs de l’auto, un petit clin d’œil vintage façon CARRERA.

DEDANSDans l’habitacle, on découvre avec bonheur des seuils de porte logotypés Cayman R, des baquets mixant cuir et Alcantara ainsi que de superbes cein-tures rouges et d’adorables petites sangles de la même couleur en guise de poignets de porte. A part cela, on retrouve l’ambiance sobre des autres modèles et la qualité d’assemblage sans reproche inhérente à la marque. Notre modèle accueillait une radio et un GPS couleur alors que la version d’origine du Cayman R fait l’impasse sur ce genre d’accessoires. Et oui, le

cevoir la boîte à double embrayage PDK mais il serait dommage d’opter pour cette dernière tant la joie de manier un levier de vitesse fait partie du plaisir de conduire (piloter) le Cayman R.Dès les premiers tours de roues, il apparaît clairement que le Cayman R donne dans un registre qu’il lui était jusqu’alors inconnu ; celui de la vraie voiture de sport. Pour situer, l’impression est la même que celle de passer d’une 911 à une 911 GT3, les sensations de conduite sont celles d’une voiture dédiée à la piste. Les suspensions sont plus raides, la direction est plus franche, les sons sont amplifiés et le Cayman R virevolte allégrement d’un virage à l’autre à train d’enfer.

La pluie ayant transformé les petites routes en jolie patinoire, il ne nous a pas fallu longtemps avant de faire connaissance avec le tempérament joueur du bébé. Les dérobades du popotin nous ont vite rappelés à l’ordre et c’est le pied « léger » que nous avons profité du Cayman R ; un Cayman vif, affûté et précis dont le plaisir de conduite est distillé à chaque tour de roue. Les 330ch sont présents dès les bas régimes et s’expriment pleinement de 4 500trs/mn

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R du Cayman signifie Radical. De ce fait, il faut faire quelques concessions aux éléments de confort habituellement de série sur ce genre de modèle. Et encore, il y a quelques années, les versions Club Sport des 911 et autre 968 faisaient l’impasse sur les vitres électriques, l’insonorisation ou les capiton-nages de portes. Alors ne venez pas vous plaindre…

SUR ROUTELe Cayman R, c’est un concept. Comment, en ajoutant seulement 10ch par rapport à la version S, peut-on transfigurer une voiture performante en une vraie voiture de course ? En gagnant quelques kilos sur la balance. Entre l’em-ploi d’aluminium pour les portes, le recourt aux sièges baquets, la suppression de la climatisation et le choix de jantes distinctives, le Cayman R s’est offert une cure d’amaigrissement à la mode GT3. Désormais le 0 à 100 est avalé en 5s et les 282km/h sont atteints sur circuit.

Grâce à sa nouvelle cartographie, le 6 cylindres du Cayman développe 330ch et 370Nm de couple. Il se fait aussi plus rauque au démarrage et s’amuse des retours de gaz à grands coups de ploplop au lever de pédale. Equipé d’origine de l’excellente boîte manuelle à 6 rapports, le Cayman R peut également re-

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cevoir la boîte à double embrayage PDK mais il serait dommage d’opter pour cette dernière tant la joie de manier un levier de vitesse fait partie du plaisir de conduire (piloter) le Cayman R.Dès les premiers tours de roues, il apparaît clairement que le Cayman R donne dans un registre qu’il lui était jusqu’alors inconnu ; celui de la vraie voiture de sport. Pour situer, l’impression est la même que celle de passer d’une 911 à une 911 GT3, les sensations de conduite sont celles d’une voiture dédiée à la piste. Les suspensions sont plus raides, la direction est plus franche, les sons sont amplifiés et le Cayman R virevolte allégrement d’un virage à l’autre à train d’enfer.

La pluie ayant transformé les petites routes en jolie patinoire, il ne nous a pas fallu longtemps avant de faire connaissance avec le tempérament joueur du bébé. Les dérobades du popotin nous ont vite rappelés à l’ordre et c’est le pied « léger » que nous avons profité du Cayman R ; un Cayman vif, affûté et précis dont le plaisir de conduite est distillé à chaque tour de roue. Les 330ch sont présents dès les bas régimes et s’expriment pleinement de 4 500trs/mn

jusqu’à la zone rouge. Sur revêtement sec, il est certain que le Cayman R passe à fond dans toutes circonstances ; aidé par des barres antiroulis renfor-cées, un différentiel autobloquant et des suspensions raffermies, le Cayman R est une arme redoutable pour qui souhaite rouler à vive allure dans un sen-timent de sécurité ne souffrant aucune critique. Un point positif (un de plus) pour le freinage dont l’endurance n’a jamais été prise en défaut.

CONCLUSIONA 8 000€ de plus que le Cayman S, le Cayman R permet de s’offrir une voi-ture de course dont les aptitudes n’ont pas à rougir face à la concurrence (au contraire). Le Cayman R, est la solution pour tous ceux qui cherchent à rouler en véhicule performant et aiguisé. Son look et son comportement en font une Porsche très attachante dont la côte risque fort de rester haute sur le marché de la collection. La petite Porsche parfaite ?

Tarifs à partir de 71 199€

Remerciements à pour le prêt du Cayman R

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RENAULT GORDINIESSAI

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L’ESPRIT D’AMEDEE

DOSSIER

TWINGO GORDINI R.S.L’héritière aux bandes blanchesLa griffe Gordini impose sa « French Touch » : la peinture Bleu Malte mé-tallisée vernie barrée des célèbres bandes blanches évoque immédiatement l’émotion sportive. Sous son petit capot, la Twingo Gordini R.S. cache un bloc moteur 1.6l 133ch associé à une direction directe et un châssis Sport précis et confortable.Les équipements supplémentaires par rapport à la version Twingo R.S. :

EXTéRIEUR• Peinture métallisée bleu malte ou noir nacré avec bandes blanches Gordini

(sur le capot, le toit et le hayon),• Jantes aluminium de 17 pouces diamantées noires,• Animation noir brillant sur les boucliers avant et arrière,• Enjoliveurs d’antibrouillards, coques de rétroviseurs et becquet blanc

glacier

INTéRIEUR• Sellerie en cuir matelassé noire et bleue siglée Gordini,• Médaillons bleus sur les panneaux de portes,• Volant cuir noir et bleu avec deux bandes blanches pour visualiser

le repère « point 0 »,• Levier de vitesse avec soufflet bleu et pommeau siglé Gordini,• Plaque numérotée devant le levier de vitesses,• Compte-tours à fond blanc et bleu, cerclé de blanc avec une coque bleue,• Console centrale noir brillant,• Casquette de planche de bord gainée avec une surpiqûre spécifique,• Surtapis siglés Gordini

Vous êtes à la recherche d’un véhicule distinctif, très chic ?

Vous attachez beaucoup d’importance aux détails de finition

et vous êtes sensibles à un design fort mais élégant ? La griffe Gordini

est faite pour vous. En réinterprétant les valeurs associées à la marque créée

par Amedée Gordini, Renault signe depuis 2010 la rencontre

de la vivacité et du style unique de la griffe Gordini.

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RENAULT GORDINI

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L’ESPRIT D’AMEDEE

CLIO GORDINI R.S.Dans la légende Gordini.La Clio Gordini R.S. reprend l’ensemble des prestations développées par Re-nault Sport Technologie sur la Clio R.S. La griffe Gordini barre la carrosserie de ses deux bandes blanches légendaires et se retrouve par petites touches dans l’habitacle. Le châssis Sport de la Clio Gordini R.S. est associé à un moteur 2.0l 16V de 203ch réactif.

TWINGO GORDINILes Twingo Gordini R.S. et Clio Gordini R.S ont permis de développer les ventes de Renault Sport en séduisant une clientèle plus jeune mais égale-ment plus féminine. Fort de ce succès, Renault a étendu sa griffe « French Touch » en lançant la Twingo Gordini. Ce nouvel opus s’intègre dans la gamme Twingo en remplacement de la version GT. La Twingo Gordini adopte deux motorisations toniques :• Dynamique et réactif, le moteur TCe 100 confère à la Twingo Gordini un

caractère énergique pour des sensations de conduite ludiques.• Equipée d’un filtre à particules, la motorisation diesel dCi 85 présente,

quant à elle, un excellent compromis entre agrément et coût d’usage avec des émissions de CO2 maîtrisées de 100g/km.

RENAULT WIND GORDINIDévoilé au Salon de Genève 2011, le Wind Gordini est disponible à la com-mande depuis quelques semaines. Avec son design unique et ses équipe-ments riches, le coupé-roadster de Renault incarne particulièrement bien l’esprit Gordini. Axé sur le plaisir et le fun, le Wind Gordini offre le choix entre deux motorisations essence :TCe 100 : souple et tonique, ce moteur est équipé d’un turbo à faible inertie qui permet une mise en action rapide dès les bas régimes et procure un excellent agrément d’utilisation. 1.6l 16V 133 : développé par Renault Sport et présent sous les capots des Twingo et Clio, ce moteur développe 133ch à 6 750tr/mn et 160Nm à 4 400tr/mn. Son tempérament rageur prend corps à travers sa sonorité spécifique-ment travaillée pour le Wind.

Tarifs à partir de 14 800€

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24H DU NÜRBURGRING

L’ANTRE DU LION

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ZOOM

C’est sur le circuit le plus long, mais aussi le plus dangereux du monde que se sont déroulées les 24H du Nürbürgring devant plus de 200 000 spectateurs. Au programme : la présentation de modèles de série tels que les dernières BMW M5 et M3 CRT, une course unique de Porsche Cup en prologue, les premiers roulages officiels des Mini Coupé JCW et As-ton-Martin V12 Zagato et… trois jours en compagnie de l’équipe Peugeot Sport, vainqueur dans sa catégorie.

Les 24H de la Nordschleife (boucle nord du circuit du Nürbürgring) repré-sentent un évènement majeur dans l’univers du sport automobile. C’est l’équipe Peugeot Sport, forte de sa première victoire en 2010 qui nous a proposé de passer trois jours en coulisses au sein du team. Avec des nou-velles RCZ et des pilotes tels qu’Alexandre Prémat et Stéphane Caillet, il était d’emblée prévisible que l’écurie Peugeot Sport- Nokia ne soit pas là pour faire tapisserie. En réalité, c’est un team passionné, dévoué et ambitieux que l’on a vu ému et exalté à l’issue de la course. Après 24 heures de course, 3300kms parcourus, 36 pneus pluie, intermédiaires et slick consommés et 14 changements de pilotes, la RCZ n°201 s’est donc illustrée comme première de sa catégorie ( D1T- Diesel) et 54ème sur 210 au classement général.

Un évènement en soi malgré l’abandon de la voiture n°200 durant la 14ème heure de course, et ce alors que dans les stands, un problème retenait la voiture du second équipage en lice. En effet, bien que victorieuse au final, la voiture n°201 dut subir quelques interventions imprévues. Après seulement trois heures et demie de course avec un revêtement irrégulier, il a d’abord fallu remplacer le spoiler carbone avant, puis les plaquettes et les disques avant au bout de la 12ème heure avant de s’attarder plus longuement sur un changement de durite moteur.

C’est donc une victoire méritée à laquelle nous avons assisté ainsi qu’à un spectacle unique regroupant quelques unes des GT de compétition actuelles les plus per-formantes. Outre l’aspect purement sportif, le Nürbürgring représente un véritable phénomène social, une réunion simplement axée sur la passion et la fête, que l’on soit dans les paddocks ou dans les immenses campings sauvages imrpovisés pour l’occasion. Vous l’aurez compris, avec des animations toujours plus attirantes et une ambiance inégalable, les 24H du Nürbürgring… ça fait des souvenirs. Croyez le ou non, en plus des images contenues dans les appareils et dans la tête et des nombreuses goodies offertes sur place, c’est un pneu slick d’ores et déjà mythique d’Aston-Martin V12 Zagato (conduite par Ulrich Bez en personne!) que nous avons eu l’audace de rapporter à la rédaction !

Texte & photos : Arnaud TAQUET

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24H DU NÜRBURGRING

L’ANTRE DU LION

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Un évènement en soi malgré l’abandon de la voiture n°200 durant la 14ème heure de course, et ce alors que dans les stands, un problème retenait la voiture du second équipage en lice. En effet, bien que victorieuse au final, la voiture n°201 dut subir quelques interventions imprévues. Après seulement trois heures et demie de course avec un revêtement irrégulier, il a d’abord fallu remplacer le spoiler carbone avant, puis les plaquettes et les disques avant au bout de la 12ème heure avant de s’attarder plus longuement sur un changement de durite moteur.

C’est donc une victoire méritée à laquelle nous avons assisté ainsi qu’à un spectacle unique regroupant quelques unes des GT de compétition actuelles les plus per-formantes. Outre l’aspect purement sportif, le Nürbürgring représente un véritable phénomène social, une réunion simplement axée sur la passion et la fête, que l’on soit dans les paddocks ou dans les immenses campings sauvages imrpovisés pour l’occasion. Vous l’aurez compris, avec des animations toujours plus attirantes et une ambiance inégalable, les 24H du Nürbürgring… ça fait des souvenirs. Croyez le ou non, en plus des images contenues dans les appareils et dans la tête et des nombreuses goodies offertes sur place, c’est un pneu slick d’ores et déjà mythique d’Aston-Martin V12 Zagato (conduite par Ulrich Bez en personne!) que nous avons eu l’audace de rapporter à la rédaction !

Texte & photos : Arnaud TAQUET

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Au chapitre des équipements spécifiques aux scooters 3 roues, on retrouve l’efficace système de stabilisation verticale qui équilibre votre YOUrban à l’ar-rêt et se déconnecte automatiquement dès que vous redémarrez. Plus besoin de poser un pied à terre au feu, activez sur le bouton et après un petit « bip » votre YOUrban se tient droit comme un I. Un dernier détail qui a son impor-tance, le frein de parking. Indispensable lorsque vous stationnez votre engin, au risque de la voir s’évader sous vos yeux. En effet, en pente le YOUrban a tendance à se faire la belle sans vous avertir. Serrez donc votre frein de parking, cela sera toujours plus simple que de mettre la béquille centrale.

EN SELLEPlus léger, le YOUrban est plus véloce que le MP3 ; sans être un foudre de guerre ou égaler les performances d’un « banal » 2 roues, le YOUrban af-fiche des performances honorables. Les 15ch suffisent à déplacer les 205kg du YOUrban sans trop rechigner et les 15kg perdus par rapport au MP3 se ressentent immédiatement au niveau du comportement ; le YOUrban se fau-file avec agilité dans le trafic urbain et se balance allégrement d’un virage à l’autre grâce à sa faible hauteur de selle. Les ingénieurs maison ont également modifié la taille des roues avant qui sont passées en 13 pouces au lieu de 12 sur le MP3 ; le résultat se fait sentir dès les premiers kilomètres. Le YOUrban gomme davantage les défauts de la route que le MP3 ; fini les fesses brisées par le moindre trou et le souffle coupé sur les bordures de trottoir.

CONCLUSIONPlus petit et plus léger, le YOUrban est principalement destiné aux déplace-ments urbains. Contrairement au MP3, il ne bénéficie pas d’une protection suffisante pour espérer évoluer de manière confortable sur longues routes. Moins chère que son aïeul, il n’en conserve pas moins les qualités dynamiques et assure à son pilote un véritable sentiment de sécurité par rapport à un scooter classique. Excellent produit d’appel sur le segment des 3 roues, le YOUrban est un choix judicieux pour qui souhaite sauter le pas du scooter tout en privilégiant stabilité et facilité d’utilisation.

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Depuis la sortie des premiers MP3 125cm3 en 2006, Piaggio a lancé la mode des scooters à 3 roues. Dès 2008, grâce aux voies élargies des versions LT, il est même possible d’opter pour une version 400cm3 offrant encore plus d’élan que le petit 125. En 5 ans, Piaggio a écoulé plusieurs milliers d’exemplaires et confirmé sa place de leader dans le monde du 2 roues. Au-jourd’hui, le constructeur italien présente une version repensée de son MP3 avec le YOUrban ; sorte de version allégée du MP3. Il conserve les moto-risations du grand frère en 125 et 300cm3 mais fait l’impasse sur le 400. A ce jour, pas de version LT commercialisée ; donc un essai en version 125cm3.

AGRéMENTBien moins encombrant que le MP3, le YOUrban se rapproche davantage d’un scooter GT de type Xevo que du MP3 dont il descend ; personne ne s’en plain-dra tant il gagne en maniabilité et en facilité d’utilisation. Plus compact, il peut désormais être pris en main par un (ou une) pilote de taille moyenne. Sa selle plus étroite et plus basse offre toujours un confort et un maintien idéal et les pieds reposent désormais par terre aux arrêts. Son guidon plus haut que la selle, permet aux jambes de se replier sans le toucher. A son guidon, on est assis comme sur une chaise, avec le popotin en guise de balancier pour guider l’ensemble. Les coups de rein pour placer le YOUrban se font sans mal et ce sympathique 3 roues se pilote de manière très intuitive. Un petit bémol pour la protection face aux intempéries un peu juste par temps frais ou sous la pluie. Il faudra recourir aux options pour monter un pare-brise plus haut si l’on souhaite exploiter l’engin tout au long de l’année.

DOTATIONToujours pas de boîte à gants sur un scooter à 3 roues, la colonne de direction ne permettant d’en installer : il faudra utiliser l’immense logement sous la selle . Eclairée, cette malle pourra également contenir votre bloc disque ou la chaine indispensable à préserver votre bien. L’élégant tableau de bord se compose de trois cadrans à aiguille. Sur la gauche vous trouverez la jauge d’essence, sur la droite la température du moteur et au milieu de le compteur de vitesse ainsi qu’un écran numérique reprenant l’horloge ou le thermomètre.

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Le nouveau Suzuki Kingquad 500AXI se présente comme le compagnon idéal de vos balades. Confort, puissance et aspects pratiques tout y est pour convenir à vos besoins d’aventure. Baroudeur confirmé, le 500AXI possède comme principal atout, un système de direction assistée qui permet de réduire les efforts du pilote. Le Kingquad, équipé d’un moteur 493 cm3 associé à une transmission automatique « Quad-Matic CVT », propose à son pilote de sélectionner-via une commande au guidon- un des trois modes disponibles à savoir deux roues/quatre roues motrices ou encore quatre roues motrices avec blocage de différentiel. Outre son excellente maniabilité, le dernier Suzuki propose un confort appréciable puisqu’il est équipé d’un système de suspension indépendant. Le KingQuad se veut également rassurant en toutes circonstances grâce à un freinage confié pour l’occasion à deux disques hydrauliques à l’avant et à un système scellé à bain d’huile à l’arrière. En plus de toutes ces qualités, le Kingquad 500AXI propose un équi-pement très complet : frein de parking, porte-bagages, jantes en alu, phare auxiliaire, tableau de bord avec deux trips journaliers, indicateur de rapport de différentiel, prise 12 volts…

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Saint Honoré s’est installé au 326 de la rue Saint-Honoré ( Peu de marques ont une rue à leur nom ! ), en plein cœur du Paris des tendances, de la mode et des grands bijoutiers et joailliers.Une visite s’impose dans ce nouveau «flagship store» !

Christophe Tinseau (Pescarolo N° 16), le deuxième pilote supporté par SAINT HONORE a dû se retirer suite à un accident lors de la 21ème heure de course alors que sa voiture était en lice pour la 5ème place.Les deux pilotes, Stéphane Sarrazin et Christophe Tinseau, portent lesnouvelles montres SAINT HONORE Haussman Forty7-24.www.saint-honore-paris.com

Stéphane Sarrazin, ambassadeur de la marque SAINT HONORE et pilote de la Peugeot 908 n°8 a terminé sur le podium lors des 24 heures du Mans 2011. Après une course pleine de rebondissements qui a vu la nouvelle Audi R18 remporter la course avec seulement 13 secondes d’avance sur la Peugeot n° 9, Stéphane Sarazzin et ses deux coéquipiers (Franck Montagny et Nicolas Minassian) ont franchi la ligne d’arrivée à la 3ème place.Après avoir débuté en 2006 avec Paul Belmondo, c’était la 6ème participa-tion consécutive de SAINT HONORE à cette course. Depuis lors, certains des meilleurs pilotes au monde comme Didier André, Stéphane Sarrazin, Chris-tophe Tinseau et Eric van de Poele, ont arboré les couleurs SAINT HONORE.

Depuis plus d’un siècle, Saint Honoré est synonyme du fameux «Style Paris» et signe des collections au design incomparable. De Paris à New York, de Tokyo à Dubai, l’exceptionnel savoir-faire horloger de la marque séduit les amoureux de pièces contemporaines. Qualité « Swiss Made », esprit unique, prestige des matériaux, finition audacieuse… Saint Honoré offre des modèles de montres, bijoux et accessoires toujours plus proches des envies actuelles.

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