inter média
Embed Size (px)
DESCRIPTION
ÂTRANSCRIPT

In er-Média
Le magasine qui répond à toutes vos questions vacances

Chaque année, 45% des familles vont en vacances dans des pays étrangers pour créer des mémoires, prendre des risques, etc... Notre magazine vous offre les réponses à vos questions voyage pour que vous puissiez apprécier vos vacances sans vous inquiéter. Le décalage horaire, la santé, les activités sans dangers et le mal de transport sont des problèmes auxquels vous aurez solutions. Nous offrons aussi quelques jeux et horoscope pour vous ou vos enfants lors du voyage aérien. Merci et bon voyage!
Éditoriale

INDEX
➔ Décalage horaire p.4
➔ Une santé compromise à l’étranger p.8
➔ Difficultés d’adaptation entre cultures p.12
➔ La formation d’un paradis sur terre p.16
➔ Le mal de transport expliqué p.20
➔ Sous l’eau sans bobos? p.24
➔ Les effets de l’espace sur le corps humain p.28
➔ Tout compris ou pas de compromis? p.32
➔ Neufs questions sur le virus Zika p.34
➔ Horoscope voyage p.38
➔ Jeux voyages p.39

Décalage horaire
Par: Arianna Durgerian

De millions de personne chaque année vont voyager autour du monde
soit pour les affaires ou pour des voyages personnels. Dans le cas où il y a un
décalage d’horaire, ceci peut avoir un impact sur la santé des personnes.
Mais pourquoi est-ce que le décalage d’horaire nous impacte si fortement?
Ce problème a une conséquence majeure sur votre rythme circadien et va
être plus significant lorsque nous voyageons vers l’est.
Premièrement, le rythme circadien affecte notre santé. Le rythme
circadien représente tout ce que notre corps a besoin pendant 24 heures. Ce
rythme va être grandement déranger si on ne fournit pas tous ces demande,
comme la nourriture trois fois par jour, et au moins 8 heures de sommeil
etc… «Le corps a un certain nombre de nécessiter.». Si notre corps ne reçoit
pas tout ce qu’il a besoin pour la base de sa survie, de nombreux types de
symptôme vont apparaître, par exemple, fatigue extrême, problèmes
intestinaux, perte d’appétit et problème de mémoire. Ce rythme va être
gravement chamboulé lorsque l’on parcourt de longues distances et quand il
y a un grand écart d’heures entre les fuseaux horaires.

Deuxièmement, voyager de l’ouest vers l’est est beaucoup plus difficile
pour notre corps que voyager de l’est vers l’ouest. Lorsqu’on voyage vers l’
ouest on recule nos horloges ce qui nous donne la chance de reprendre le
temps pour répondre à tous ce que notre corps a besoin. Cependant, lorsqu’on
voyage vers l’est, nous devons avancer nos horloges qui créent une instabilité
dans nos habitudes. Par exemple, notre corps ne va pas savoir si nous devons
maintenant manger ou dormir. «En moyenne, notre corps a besoin d’un jour
entier pour récupérer tous les fluides et nécessitées non rependu.»
Finalement, le décalage d’horaire affecte la majorité des gens qui
voyagent. Leurs rythmes circadiens vont être gravement dérangés qui peut s’
aggraver dépendamment d’où on voyage. Compte tenu de la situation, les
conséquences peuvent être surprenantes.
Mais est- ce que l’humain va pouvoir, avec
la technologie, trouver une solution pour
ce problème?

Les aventures de Viktor

Une santé compromise à l’étranger
Par: Maya Tabortowski

Plusieurs vont en voyage, ne s’inquiètent de rien et passent du bon temps,
mais d’autres y vont et tombent malades après quelques jours. Dans ces
moments, on se demande pourquoi notre santé est si fragile dans les pays
étrangers. La plupart du temps, il s’agit d’aliments et l’eau que l’on
consomme qui nous rendent malades.
Premièrement, les aliments dans les pays étrangers sont souvent très
différents à ceux qu’on a l’habitude de consommer, alors notre corps n’est
pas habitué à ce changement. De plus, les aliments peuvent être
contaminés dans les pays moins fortunés. En effet, notre santé semble être
beaucoup plus fragile dans un nouvel environnement où notre corps n'y est
pas adapté. Lorsque nous ne sommes pas bien protégés, nous pouvons
attraper diverses maladies comme, l’hépatite A et la fièvre typhoïde. «La
chaleur, les normes de culture des fruits et légumes, les conditions de
conservation et de transformation des aliments et la contamination après
la préparation, comme dans les buffets, ne sont que quelques-unes des
causes» explique le Dr Martin Brizard, omnipraticien et médecin de
famille, à Laval. Bref, il faut prendre des précautions comme se laver les
mains plus fréquemment, ne pas ingérer rien qui n’ait été bouilli, cuit ou
pelé et éviter les produits laitiers pour s’abstenir de payer cher pour voir
un médecin dans un pays étrangé à cause d’un mauvais choix alimentaire.

Deuxièmement, l’eau qui est crucial pour notre survie peut aussi
être contaminée. Regardons ce phénomène en détail : quand nous
consommons ou rentrons en contact avec une eau contaminée, cela peut
entraîner une décompensation de plusieurs problèmes de santé, par
exemple, la schistosomiase, la diarrhée et des infections transmissibles.
L’eau au Canada est très bien filtrée et bonne pour la santé comparé à
celle à l’étranger à laquelle nous ne sommes pas habitués. De plus, d’
après un journaliste d’Affaires étrangères, «D’autres infections peuvent
parfois être transmises dans les installations publiques de baignade, y
compris les parcs d’attractions nautiques.» Donc, même si l’eau est à l’
apparence propre , la meilleure façon de ne rien attraper n’est que d’
utiliser de l’eau pure ou embouteillée.
Cela dit, notre corps est beaucoup plus vulnérable dans des pays
étrangers, car certains pays n’ont pas les ressources pour rendre les
aliments et l’eau libres de bactéries. Alors dès que vous possédez l’
occasion, n’hésitez pas à bien
vous protéger, demandez
votre médecin pour des
vaccins efficaces contre ces
maladies.

Les aventures de Viktor

Difficultés d’adaptation entre cultures
Par : Italie Gagnon

Ici, au Canada, nous avons la chance d’être favorisés [IG1] par rapport à d’
autres pays du monde. Parfois, la rencontre entre ces deux réalités est dure.
Pourquoi certaines personnes ont-elles des difficultés d’adaptation lorsqu’elles
rencontrent une culture qui leur est étrangère? Il y a plusieurs réponses à cette
question, par contre, celles qui sont en lien avec les aspects sociaux et culturels
sont celles qu’aborde ce texte.
Premièrement, les personnes
qui ont des difficultés
d’adaptation lors d’une
rencontre avec une nouvelle
culture peuvent ne pas comprendre les différentes valeurs de celle-ci et cela
peut causer des problèmes d’intégration. Ces personnes vivent un choc des
civilisations. Un choc des civilisations
« n’est que la constatation de l’ignorance et des silences qui les séparent. ». Il y
a plusieurs exemples qui démontrent cette ignorance. Comme lorsque que
Wajdi Mouawad a immigré au Québec, et qu’à sa première journée d’école il s’
était fait insulté d’ « osti d’intellectuel français à lunettes », ces mêmes
personnes qui lui ont dit cela ont ajouté qu’ils allaient lui dévisser la tête et lui
«chier» dans le corps.

Wajdi dit ne pas avoir été surpris par l’incroyable insulte mais plutôt par la
manière dont il était perçu par ses nouveaux camarades. En somme, nous
pouvons dire que nous sommes victimes des difficultés d’adaptation lorsque
nous fermons les yeux sur les réalités d’ailleurs.
Deuxièmement, ce trouble du pays que certains vivent peut aussi avoir
rapport avec la difficulté à faire face à une culture étrangère de la notre. Par
exemple, depuis le début du terrorisme islamique, plusieurs pays craignent
les musulmans tel que l’affirme la revue «L’EXPRESS». Washington aurait
même lancé un message d’alerte concernant le terrorisme en Europe. Des
actes de la sorte engendrent des préjugés chez la population. On irait jusqu’à
parler d’«islamophobie». Donc, les préjugés sur les cultures différentes sont
très présents et mènent à de l’intolérance de la part de la population.
Pour conclure, un petit pourcentage de la population est déstabilisé par
un changement de culture. Cela est dû à la somme du silence et de l’
ignorance qui séparent les civilisations et des préjugés qui sont créés par des
facteurs qui varient. Mais pourquoi notre culture serait-elle meilleure qu’une
autre? Ne sommes-nous pas tous égaux? Nous devrions être plus ouverts aux
cultures étrangères de la nôtre,] car nous pourrions passer devant des
opportunités incroyables.

Les aventures de Viktor

La formation d’un paradis sur Terre
Par: Luke Genest

Vous êtes content de prendre quelque semaine de vacances aux îles
hawaïennes. Vous mettez votre serviette sur la plage et vous regardez l’océan,
vous vous demandez alors, pourquoi Hawaii est-elle un archipel? En fait, les
scientifiques disent que la formation du point chaud et de la formation des iles
hawaiiennes sont des très bonnes pistes.
Premièrement, pour comprendre la formation d’Hawaii, il faut clarifier
les causes de la formation du point chaud hawaïen. Par définition, un point
chaud est un endroit à la surface d'une planète qui a une activité volcanique
régulière, c’est-à-dire une zone dans le monde où les volcans sont encore en
éruption. Le Larousse explique qu’un point chaud est formé quand «des
matières venant du manteau, remontent en surface et percent la lithosphère»,
de plus le magma monte du manteau et pénètre la lithosphère pour se rendre
en-dessous des plaques tectoniques. Pour finir, un point chaud est une zone
où les volcans
sont encore en éruption
et elle est formée quand le
magma pénètre la
lithosphère.

Deuxièmement, chaque ile hawaienne est composée d’au moins un volcan
qui a été produit par le point chaud. « Les îles hawaïennes ont été formés par
un point chaud, celui de la plaque Pacifique. Alors que le point chaud est lui-
même fixé, la plaque est en mouvement. Donc, comme la plaque se déplace
au-dessus du point chaud, l’archipel hawaiien ont été formé», nous explique la
NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration). Le magma, qui sort
du volcan, formera, lentement, les iles en s’accumulant et en refroidissant. La
grande île d’Hawaii est encore en éruption, parce qu’elle juste au-dessus du
point chaud. D’ailleurs, il a plusieurs autres dans le monde qui ont été formés
de la même façon, comme les iles de Pâques ainsi que les îles Galápagos. Ces
trois atolls ont tous été formé par la présence d’un point chaud. Pour
terminer, ce paradis sur Terre a été fondé grâce au magma refroidit du point
chaud de plus que plusieurs autre iles ont été formé de la même façon.
En guise de conclusion, les îles hawaiiennes ont été formées parce que les
plaques tectoniques du Pacifique ont passé au-dessus du point chaud et le
magma refroidit s’accumule sur les côtés de l’ile pour l’agrandir. Cependant, si
ces iles sont trop loin du point chaud, vont-elles disparaitre?

Les aventures de Viktor

Le mal de transports
expliqué
Par: Yuteng Cui

Imaginez-vous en train de lire un livre dans une voiture qui roule à pleine
vitesse sur l’autoroute. Tout à coup, vous avez la tête qui tourne et vous avez
envie de vomir. C’est le mal de transport. Comment expliquons ce phénomène?
Nous allons répondre à cette question en parlant des aspects physiques et des
aspects psychologiques.
Pour commencer, les humains sont capables de se tenir debout en gardant
leur équilibre, principalement grâce au système vestibulaire de l’oreille et aux
yeux. Ceux-ci sont responsables d’informer le cerveau sur l’état d’équilibre du
corps , mais ils sont habitués de recevoir les mêmes informations en même
temps. Toutefois, après l’arrivée des nouveaux moyens de transport, cela n’est
parfois plus possible. Par exemple, lorsqu’on lit un livre dans une voiture, nos
oreilles ressentent les tremblements de l’automobile tandis que les yeux
perçoivent l’immobilité de la page du livre. En bref, nos oreilles perçoivent du
mouvement, mais nos yeux ne voient rien qui bouge. Nos sens ne sont pas
habitués de capter
ces types de donnés contradictoires.
Malgré cela, ils font ce qu’ils doivent
faire et ils envoient leurs perceptions
différentes au cerveau. Comment
pensez que le cerveau va recevoir cela?

Pour enchaîner, le cerveau, comme le système vestibulaire de l’oreille et
les yeux, n’est pas adapter à recevoir et analyser ces donnés anormales. Il ne
comprend pas ce qui arrive et n’a aucune idée comment interpréter cette
situation. Alors, il fait ce que l’évolution lui a appris de faire: il assume que le
corps a ingéré une neurotoxine et fait son possible pour s’en débarrasser. Dans
la plupart des cas de mal des transports, la façon la plus logique d’accomplir
cela, c’est de vomir. Notez bien que la sévérité des symptôme peut varier d’un
individu à un autre.
En conclusion, le mal de transport est causé par l’incohérence de l’
information envoyé par les sens qui est ensuite mal interprété par le cerveau
pour un ingestion accidentelle de neurotoxine. Par ailleurs, l’évolution de ce
réflexe devait être très utile avant l’arrivée des moyens de transports
modernes. Dommage que nos cerveaux ne sont pas au courants de nos
avancements technologiques.

Les aventures de Viktor

Sous l’eau sans bobos ?
Par: Yasmine Pérard Laporte

Depuis toujours, la curiosité de l’être humain nous a amené vers le ciel et
même au fin fond de l’océan. Notre curiosité nous permet de voir de
merveilleuses choses, même à 100 mètres sous l’eau. Toutefois, serait-il
possible qu’il y ait un danger à tout cela ? Pourquoi est-ce que la plongée peut
poser une certaine menace à l’être humain ? Deux phénomènes principaux se
démarquent des autres : le barotraumatisme otitique et les accidents de
décompression.
Pour commencer, le barotraumatisme otitique pose un danger car il peut
causer des problèmes de santé. Ce phénomène est une déformation du tympan
pendant la descente qui mène parfois jusqu’à la rupture du tissu intérieur de l’
oreille. Il peut aussi survenir en avion ou lors de tout changement d’altitude
rapide. Cet incident est causé par la pression à l’extérieur du tympan qui va le
pousser vers l’intérieur et ainsi compresser l’air à l’intérieur de l’oreille.
Cependant, plusieurs symptômes peuvent prévenir le plongeur du risque d’
accident. Il peut y avoir une basse audition, une douleur majeure dans l’oreille,
une sensation de froid ou de vertige ou même une crépitation. Le
barotraumatisme peut être très grave au point de causer une hémorragie. Il est
important de prendre des mesures de sécurité adéquates, c’est-à-dire,
descendre à une vitesse lente en respectant la méthode des paliers de
décompression.

Pour continuer, l’accident de décompression est aussi un accident causé par la
pression, mais contrairement au barotraumatisme, il est plutôt vu lors de la
remontée et les symptômes ce feront voir seulement qu’une fois la plongée
terminée. « Il se manifeste par un dégagement de gaz dans la cochlée ou le
vestibule de l’oreille, provoquant des bulles de gaz dans les espaces
périlymphatiques ou endolymphatiques et dans les vaisseaux de l’oreille
interne. » Il est très important que le plongeur soit transporté au centre
hospitalier le plus proche dès qu’il y a signe d’un accident de décompression
car si la blessure n’est pas soignée en recompressant l’oreille, elle peut s’avérer
très dangereuse. Pour cet accident, la même règle de sécurité s’applique :
respecter les paliers de décompression.
Pour conclure, l’univers de la plongée sous-marine est rempli de merveilles
que tout homme rêverait de voir, mais ce peut aussi être un monde dangereux
si le plongeur ne détient pas une bonne formation et n’agit pas avec prudence.
Si vous envisagez d’aller faire une petite baignade, assurez-vous d’être bien
préparé et de connaître votre « buddy de plongée » pour ne pas que le rêve
finisse en fiasco.

Les aventures de Viktor

Les effets de l’espace sur
le corps humain
Par : Robert Liu

Dennis Tito, un américain âgé de 75 ans et le premier touriste dans l’espace
Il aurait dû s'entraîner et mieux connaître les astuces pour rester en santé dans l’
espace. Il a été très étonné des maladies qui lui attendaient dans l’espace. [1]
Alors quels sont les effets du voyage spatial sur le corps humain? En fait,
plusieurs changements vont avoirs lieux principalement chez les os et les
muscles du corps humain.
Premièrement, dans l’espace il n’y a pas de gravité. Alors, vos jambes et vos
pieds, qui doivent toujours vous tenir debout, deviennent très détendu. En effet,
elles conduisent à la dégradation des os par la libération de calcium et laissant
les os très faible. Avec des os affaiblis, vous aurez le risque des os fracturés et de
la formation des pierres dans les reins. En plus de cela, la perte d’os va être très
difficile de réparer. Votre colonne vertébrale, qui est compressée sur la surface
de la Terre, n’est pas compressée dans l’espace alors vous serez un peu plus
grand que si vous étiez sur la surface de la Terre. En somme, il faut prendre
soins des os pour garder le corps en état santé.

Deuxièmement, dans l’espace, sans la nécessité du dos pour se tenir droit
et des jambes pour se déplacé, les muscles deviennent de plus en plus faible.
Effectivement, le corps est essentiellement toujours détendu ce qui va lier vers
l’affaiblissement des muscles, alors les astronautes doivent faire environ 2
heures d’exercice par jour. L’affaiblissement des muscles laisse le corps plus
vulnérable aux blessures et il sera moins efficace avec les tâches. Ensuite, en
revenant de l’espace, le corps va avoir du trouble à marcher, ou faire des
mouvements quotidiens. Donc, de l’exercice est nécessaire pour maintenir la
masse et pour éviter les risques de blessures.
Pour conclure, dans l’espace, le corps humain va avoir une diminution des
os et des muscles qui vont laisser le corps en risque des maladies et des
blessures. Même si l’espace a tout ses risques, ce sera une expérience de vie et
maintenant on est capable de la faire, comme Dennis Tito l’a fait avec de l’
argent.

Les aventures de Viktor

TOUT-COMPRIS OU PAS DE COMPROMIS?
Nous avons tous besoin de vacances régulièrement, mais vous ne savez pas où aller avec vos enfants pour que tous passent de belles vacances? Les types d’hôtel et leurs avantages influencent la plupart des destinations de voyage en famille.
Premièrement, les types d’hôtel offrent des services différents les un des autres ce qui rend le choix d’un hôtel plus facile pour une famille. Par exemple, un hôtel où l’on paye la chambre au soir est bien simple mais ne répondra pas aux besoins d’une famille. Tandis qu’un tout compris peut s’avérer bien utile. Au Club Med, il est possible pour tous les membres de la famille de prendre plaisir aux vacances. Tout est rapproché, et il y a des services offerts pour la garde d’enfants. Bref, les tout-compris sont un environnement favorable pour une famille avec enfants.
Deuxièmement, les tout compris ont pour avantage d’offrir plusieurs activités sans frais supplémentaire et qui sont disponibles sur un territoire commun à l’hôtel. Il est donc possible pour les parents d’inscrire leurs enfant à une garde. Par exemple, le club med offre le ‘’mini club’’ qui prend les enfants en charge une journée complète et leur font faire des activités. Pendant que l’enfant créé des soouvenirs les parents peuvent profiter des vacances. Tandis que les hotel ou l’on loue au soir n’offrent habituellement pas d’activités ou de services de garde. Bref, les tout-compris comporte plus d’avantages que les autres types d’hotel.

Finalement, en général, les tout-compris sont plus avantageux pour les famille qui cherche à apprécier le repos avec leurs enfants en plus de faire plusieurs activités en une journée. Si vous envisagez de partir en voyage, il vous serait préférable de reviser vos besoins et vos attentes avant de louer une chambre d’hotel..

Zika : neuf questions sur un virus qui inquièteLE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 02.02.2016 à 06h35 • Mis à jour le 03.02.2016 à 09h34 | Par Pascale Santi et Sandrine Cabut
Abonnez vous à partir de 1 € Réagir Ajouter
Le moustique Aedes aegypti, responsable de la transmission du virus Zika qui a déjà touché 1,5 million de
Brésiliens, en janvier 2016. FELIPE DANA/AP
L’inquiétude monte face au virus Zika. Se propageant de manière explosive, il est fortement soupçonné de causer des troubles neurologiques, le syndrome de Guillain-Barré, et des malformations congénitales, les microcéphalies. Lundi 1er février, à l’issue d’une réunion d’experts, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décrété que l’épidémie constitue« une urgence de santé publique de portée mondiale ».Transmis par des moustiques, comme la dengue ou le chikungunya, ce virus a déjà touché 1,5 million de
personnes au Brésil, et 3 à 4 millions de cas sont attendus sur le continent américain en 2016. Des cas
importés ont été identifiés en Europe, dont cinq en France métropolitaine. Accusée d’avoir réagi trop faiblement
lors de l’épidémie d’Ebola, l’OMS a annoncé toute une série de recommandations pour mieuxlutter contre cette
nouvelle menace. L’une des priorités est d’accroître la surveillance des cas de syndromes de Guillain-Barré et
des microcéphalies dans les zones touchées par le virus Zika, afin dedéterminer si celui-ci est directement en
cause, ou s’il existe d’autres facteurs. L’OMS prône également une intensification des recherches pour mettre
au point des traitements, un vaccin et de nouveaux tests de diagnostic de cette infection. Aucune mesure de
restriction des voyages et des échanges commerciaux n’est en revanche envisagée.
En dix questions, tour d’horizon sur un virus émergent qui pose de nouveaux défis.
D’où vient Zika, et jusqu’où ira-t-il ?
Le Zika est un arbovirus transmis par la piqûre de moustiques du genre Aedes (aegypti ou albopictus). De la
famille des flavivirus, comme ceux de la dengue ou de la fièvre jaune, le Zika a été identifié pour la première
fois chez un singe macaque rhésus dans une forêt ougandaise en 1947. Il a ensuite été isolé chez l’homme en
1952, en Ouganda et en Tanzanie.
La première épidémie s’est déclarée dans les îles Yap (Micronésie) en 2007, où elle aurait touché les trois
quarts de la population. D’autres ont suivi, en Polynésie française d’octobre 2013 à avril 2014, et au Brésil,
depuis mai 2015. Les premiers cas brésiliens ont été décrits dans deux articles publiés en mai et juin 2015.
Depuis octobre 2015, le virus s’est propagé dans des pays d’Amérique centrale.
La Guyane et la Martinique sont à leur tour en phase épidémique. « C’est la troisième épidémie d’arbovirose
après la dengue et le chikungunya, et probablement pas la dernière. La diffusion du Zika a été extrêmement
rapide à l’échelle planétaire », souligne François Bourdillon, directeur général de l’Institut national de veille
sanitaire (InVS).
Le recueil de données se poursuit pour affiner les modèles destinés à décrire l’évolution de l’épidémie et
évaluer les moyens à mettre en œuvre pour la juguler et prendre en charge les malades. Mais, note Simon
Cauchemez, spécialiste de la modélisation à l’Institut Pasteur, il faudra encore « quelques semaines » pour
proposer des scénarios étayés.

Est-ce un virus mutant ?
C’est ce qui pourrait expliquer l’explosion récente des cas, selon des experts cités dans le New Scientist. L’
hypothèse semble cependant peu probable aux yeux d’autres spécialistes interrogés. L’analyse du génome
entier du virus Zika qui circule au Brésil montre une similitude « quasi complète » avec les souches à l’origine
de l’épidémie qui a sévi en 2013 et 2014 dans le Pacifique, selon une étude parue dansThe Lancet le 16
janvier, menée par les chercheurs de l’Institut Pasteur de Guyane.
Comment reconnaître la maladie ?
L’infection est asymptomatique dans les trois-quarts des cas. Les symptômes, quand ils existent, apparaissent
trois à douze jours après la piqûre, sous forme d’éruption cutanée avec ou sans fièvre. A cela peuvent s’ajouter
fatigue, maux de tête et courbatures, laissant penser à un syndrome grippal. Le virus peut aussi se manifester
par une conjonctivite, un œdème des mains ou des pieds. Ces symptômes disparaissent généralement en deux
à sept jours, précise l’OMS. A priori, l’infection est immunisante, ce qui signifie qu’on ne peut pas contracter
deux fois ce virus. Zika et ses conséquences chez l’homme restent toutefois mal connus, concèdent les
spécialistes.
Comment la détecter ?
Les gènes du virus peuvent être repérés par des analyses sanguines, d’urine ou de salive. Mais la fenêtre est
courte. « Le virus est présent dans le sang entre trois à cinq jours, dans les urines pendant environ dix jours,
dans la salive entre trois à cinq jours. Il n’y a pas de données sur le lait maternel », explique Isabelle Leparc-
Goffart, coordinatrice du Centre national des arbovirus (CNR-IRBA). Ces chiffres sont issus de données
publiées sur quelques cas. Le CNR devrait fournir prochainement des données plus précises.
En cas de résultat négatif malgré des symptômes évocateurs d’une infection à virus Zika, un diagnostic
sérologique (recherche d’anticorps) est effectué par les seuls CNR (1 en Guyane et 1 en France métropolitaine,
à Marseille, qui en a déjà réalisé plus de 1 000).
La circulation concomitante de la dengue et du chikungunya (proches du Zika) complique le diagnostic, tant
clinique que biologique. Du fait de réactions sérologiques croisées entre ces virus, les résultats peuvent être
faussement positifs.
Quels sont les risques pour une femme enceinte ?
C’est l’un des principaux sujets de préoccupation. Même si la preuve n’est pas encore formellement établie, il
est désormais hautement probable qu’une infection par le virus Zika pendant la grossesse peutentraîner de
graves anomalies du développement cérébral, comme les microcéphalies (trop petite taille du cerveau et du
périmètre crânien, souvent associée à des lésions cérébrales). Les atteintes les plus sévères peuvent conduire
à une mort in utero ou dans les premiers jours de vie.
Début 2016, parallèlement à la flambée épidémique du virus Zika, les autorités sanitaires locales du Brésil ont
recensé plus de 4 000 cas suspects de microcéphalie, soit une multiplication par 20 à 30 par rapport aux
années précédentes.
La microcéphalie est une malformation rare : aux Etats-Unis, 2 à 12 cas sont recensés pour 10 000 naissances
vivantes, indique le centre de contrôle des maladies (CDC). Elle peut entraîner un handicap très lourd, avec des
troubles psychomoteurs, moteurs, intellectuels, isolés ou associés.
« Les microcéphalies peuvent relever de plusieurs causes, notamment toxiques, génétiques ou infectieuses.
Mais au Brésil, la corrélation de l’excès de cas avec l’épidémie d’infection à Zika, dans le temps et dans l’
espace, est très suggestive d’un lien de cause à effet, souligne Jet de Valk,

responsable de l’unité zoonoses et maladies à transmission vectorielle à l’InVS. Dans plusieurs cas, du virus Zika
a été mis en évidence dans le liquide amniotique, ce qui est un argument supplémentaire. »
Des études sont en cours pour établir formellement le lien et répondre aux nombreuses questions en suspens. «
Pour d’autres virus, comme le cytomégalovirus, le placenta joue un rôle de barrière. Une infection de la femme
enceinte n’est donc pas toujours transmise à son fœtus. Il est établi que les atteintes pour l’enfant à naître
dépendent du moment où le virus atteint le fœtus, explique le professeur Yves Ville, chef de la maternité de l’
hôpital Necker (AP-HP), à Paris. Quand l’infection est précoce, au premier trimestre, c’est souvent la loi du tout
ou rien : soit aucune lésion, soit une atteinte majeure, qui aboutit souvent à une fausse couche. Un passage plus
tardif peut avoir des conséquences plus modestes (retard de croissance intra-utérin) et réversibles. Il en va sans
doute de même pour Zika. »
Que faire pendant la grossesse ?
Le message est clair : en France, la ministre de la santé Marisol Touraine déconseille aux femmes enceintes de
se rendre dans les zones touchées. Le Haut Conseil de santé publique (HCSP) a actualisé ses recommandations
sur ce virus le 22 janvier. Celles-ci comprennent l’organisation « d’une information, d’un suivi et d’une prise en
charge renforcés de toutes les femmes enceintes dans les zones d’épidémie du virus Zika, que ces femmes
soient ou non suspectes d’infection par le virus Zika ». Le HCSP préconise aussi la mise en place « d’un système
de surveillance et d’alerte spécifique à la détection d’anomalies congénitales neurologiques ou non ».
La microcéphalie peut être suspectée en échographie au deuxième trimestre de la grossesse, à partir de dix-huit
à vingt semaines. Il existe un test diagnostique de l’infection fœtale par l’isolement du virus Zika dans le liquide
amniotique après amniocentèse.
En Martinique, où les premiers cas autochtones de Zika ont été détectés en décembre 2015, six femmes
enceintes infectées par le virus ont déjà été repérées, qui vont bénéficier de ce suivi renforcé, précise Martine
Ledrans, responsable de la Cellule de l’InVS Antilles-Guyane.
Face aux nombreux appels de femmes enceintes revenant d’une zone épidémique, inquiètes pour leur futur
enfant, Yves Ville a ouvert une consultation spécialisée Zika à Necker, le 1er février.
Quelles sont les autres complications de l’infection à virus Zika ?
La survenue d’un syndrome de Guillain-Barré (SGB) est l’autre motif de préoccupation. Dû à une atteinte des
racines nerveuses, ce syndrome associe des douleurs – musculaires et sur des trajets de nerfs –, des troubles
sensitifs (picotements…) et surtout des paralysies d’intensité variable. Après une phase d’extension et de plateau,
qui peut durer plusieurs semaines, les signes disparaissent dans 80 % des cas. L’atteinte des muscles
respiratoires est la plus redoutée : elle conduit à une assistance respiratoire chez environ 20 % des malades.
Le SGB est rare, sa prévalence est de l’ordre de 1 à 2 cas pour 100 000 personnes en Europe. Il est précédé
dans plus de la moitié des cas par des symptômes infectieux, et de nombreux germes, bactéries ou virus, se
trouvent à son origine : grippe, cytomégalovirus… C’est aussi une complication de certaines vaccinations. Des
dizaines de cas de SGB possiblement liés à une infection par Zika sont en cours d’investigation.
« Aux Antilles, les Agences régionales de santé ont évalué les capacités des services de réanimation et les CHU
se préparent pour faire face. Par exemple, en Martinique, une soixantaine de cas de syndrome de Guillain-Barré
pourraient survenir, si l’on se fonde sur la fréquence des cas survenus en Polynésie », indique Jet de Valk.
Ces données, concernant 42 patients, ont été analysées par l’équipe du professeur Arnaud Fontanet (unité d’
épidémiologie des maladies émergentes, Institut Pasteur) pour mieux caractériser les SGB liés au virus Zika. Les
résultats devraient être publiés dans les prochaines semaines.

La transmission est-elle possible entre humains ?
La transmission est presque exclusivement vectorielle », note le rapport du HCSP. Mais les autorités sanitaires
texane ont rendu public un cas de transmission par voie sexuelle entre un voyageur ayant contracté Zika au
Vénézuela et son partenaire après son retour. Un cas cas similaire de transmission par voie sexuelle avait déjà
été rapporté dans la littérature. Six jours après son retour d’un voyage auSénégal en 2008 pour des travaux sur
le paludisme, le chercheur américain Brian Foy avait présenté des signes cliniques préoccupants. Quatre jours
plus tard, c’était au tour de son épouse, pourtant restée aux Etats-Unis. Tous deux sont infectés par le virus
Zika. Une autre étude, publiée en février 2015, mentionne la présence du virus dans le sperme d’un homme de
44 ans vivant à Tahiti (Polynésie française), quinze jours après le début des symptômes.
Des arguments jugés encore récemment insuffisants, selon les autorités, pour prouver une transmission par
contact sexuel. Le cas texan a cependant conduit les Centres de contrôle des maladies (CDC) américains à
recommander l’usage de préservatifs pour prévenir la diffusion du virus.
Des cas d’infection lors de l’accouchement ont été également rapportés, sans conséquences notables pour la
santé du nouveau-né. Quant à la transmission par transfusion sanguine, même si elle n’a jamais été mise en
évidence, le risque ne peut être écarté, note l’HCSP. « L’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm)
met en place des mesures qui prennent en compte ce risque », dit Jet de Valk. La Croix Rouge américaine
recommande aux personnes ayant visité des zones où sévit l’épidémie de s’abstenir de donner leur sang
pendant 28 jours après leur retour.
Des traitements ou vaccins sont-ils disponibles ?
Non. Dans une interview à l’agence Reuters, Gary Kobinger, un chercheur de l’université Laval (Québec) a
indiqué qu’un vaccin contre le virus Zika pourrait être testé chez l’homme à partir de septembre, et mis à
disposition avant la fin de l’année. Il s’agit d’un vaccin à ADN, issu d’une collaboration entre l’université de
Pennsylvanie, le groupe pharmaceutique Inovio et le groupe sud-coréen GeneOne Life Science.
« Il n’y aura probablement pas de vaccin sûr et efficace contre le virus Zika avant plusieurs années », a
toutefois déclaré Anthony Fauci, directeur de l’Institut américain des allergies et maladies infectieuses (Niaid).
Le Niaid explore plusieurs approches, l’une avec un vaccin à ADN, fondé sur son expérience d’un vaccin pour
le virus West Nile, une autre avec un virus atténué. Dans un article, publié le 13 janvier dans le New England
Journal of Medicine, Anthony Fauci souligne que la recherche d’un vaccin protégeant contre le Zika pourrait
bénéficier des technologies utilisées pour d’autres flavivirus. De tels vaccins risquent cependant d’être
confrontés aux mêmes écueils, poursuit le patron du Niaid. « Comme ces épidémies sont sporadiques et
imprévisibles, une vaccination élargie en prévention d’une flambée serait d’un coût prohibitif avec un rapport
coût/efficacité faible. Quant à l’option de constituer des stocks, elle ne pourrait probablement pas permettre de
répondre assez rapidement à une épidémie explosive. »
En l’absence de traitement, les recommandations sont d’éliminer les gîtes potentiels de moustiques (vider,
nettoyer ou couvrir tous les contenants susceptibles de retenir l’eau, comme les seaux, les pots de fleurs,
soucoupes ou pneus, afin d’éliminer les endroits où les moustiques peuvent se reproduire). Les habitants sont
invités à privilégier les vêtements longs, clairs de préférence, et à utiliser des répulsifs et des moustiquaires.
« Les Martiniquais, qui connaissent bien ces moustiques et ont vécu une épidémie de chikungunya en 2014,
savent ce qu’il faut faire pour empêcher leur prolifération. Mais il faut une prise de conscience des populations
de la nécessité impérieuse de lutter contre les Aedes », martèle Martine Ledrans. D’autant que ces moustiques
deviennent de plus en plus résistants aux insecticides.

Horoscope voyage Bélier (21 mars-20 avril)
Taureau (21 avril-20 mai)
Gémeaux (21 mai-21 juin)
Cancer (22 juin-22 juillet)
Lion (23 juillet-22 août)
Vierge (23 août-22 septembre)
Balance (23 septembre-22 octobre)
Scorpion (23 octobre-21 novembre)
Sagittaire (22 novembre-20 décembre)
Capricorne (21 décembre-19 janvier)
Verseau (20 janvier-18 février)
Poissons (19 février-20 mars)
Ibiza, Espagne
Bakou, Azerbaïdjan
Tachkent, Ouzbékistan
Où devrais-je visiter?
New York, États-Unis
La Havane, Cuba
Lima, Pérou
Kyôto, Japon
Mexico, Mexique
Paris, France
Vienne, Autriche
Hanoï, Vietnam
Bangkok, Thaïlande

Jeux voyages Solution p.43

Jeux voyages Trouver la différence
(32 différence)

Mots fléchés(

Sudoku

Solution des jeux

Fait par :
Prénom : AriannaNom : DurgerianDate de naissance : 29/07/01Grandeur :5’2Sexe : F
Prénom : ItalieNom : GagnonDate de naissance : 31/03/01Grandeur :5’4Sexe : F
Prénom : YasmineNom : Pérard LaporteDate de naissance 27/11/00Grandeur : 5’7Sexe : F

Prénom : MayaNom : TabortowskiDate de naissance : 07/06/01Grandeur : 5’8Sexe : F
Prénom : LukeNom : GenestDate de naissance : 16/09/01Grandeur : 5’2Sexe : M
Prénom : RobertNom : LiuDate de naissance : 08/05/01Grandeur : 5’7Sexe : M
Prénom : YutengNom : CuiDate de naissance : 22/12/00Grandeur : 5’8Sexe : M

3.99$