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L'Avenir de Roubaix-Tourcoing nr*» MT\ sacttTC iniYME laTOÉUSATlON à eapttal varlaMe SIÈGE A CROIX UodiUcttion de Société OFFRES DEMANDES D'EMPLOIS S«»NTE AVIS DIVERS ..H Ronbail, lei 16 novembre, 1* •Membre 1900 et 11 Janvier H01, portant cette meolion : a KÎrtgialrè e Iloubiix , le eaaai janvier 1801. tolio 79, a e- 14 et suivantes. Hecu huit .(renée vinjt-cioo ant d'incandescence SECS&MANCHONS AUER , Rapporter la galerie t t nnaiûmité des membres mua .e de ia tiee mckcl (tablée générale 1 at%in M nouï( l au m&n eamiaoi de la Société Anonyme iTCTAWGÏUSATION, dont ses devant ledit M" VAHI loHtet \mi, enregistres e .mu de cette modifications, porté aui eiété diven notamment celles suivi La société se soumet Ka conséquence, le fonda 10 e'inl sera suseeotibie d'augmeo- tation pur des versements sac ««tifs faits par les associés OL par l'admission d'associés non veaux, et de fois être r duit au des trois cents francs. Quant kprésenl.tecai riâleai fixée la somme i cents francs, et divisé en douze parts de as francs chacui peut être augmenté sens «elle autorisation de rassemblée générale, jusqu'à concurrent 3'nne somme de Ï.MO franco par rémission de 88 nouvel parts de ï> francs chacune. Chacun des membres de li nociété ne wurn èlrî tenu dei «ettes ou engagements de li soeiété que jusou'à concurrent du montant des pari» par lu souscrites ; en conséquence, iei tiers ne pourront exercer leun étD'it» ou poursuites que sui l'actif soci,->!. La Eoeiêté ne sera point dis state par la mort, la retraile, l'interdiet.cm, la faillite ou la .déconfiture de l'un des associé* : elle continuera de plein droit antre le» aulres essoe.éï. « Eipéd.t' a été i « 1901 : « justice de ratx des canton: « Eft-O'JCst de Iloubaix, l'autn « au greffe du tribunal de com « merce de ladite fille, a Pour extrait et mention (Signé) : A. VAHÉ. EtudedeM-Julc- DF.LMOTTE notaire à Lille, 4? rue du Molinc-l, 42 WAK011HVL • n lieu dit le Petit Co'tign.e.*. à proximité du eau'il et de lagatedeCfoix-Waï^uebal, GRAXDE si BELLE USINE A VENDRE par adjudication publique. Lan 1901. le LI'NDI 18 IlAHIhW. u im^lM-uresde s'aprés-miùi. eu l'une '1 - s;ilW de la Mairie île Croix, ù la ïequétede M. l>.-,ri.;oi^ Obéis. liquidaUi.r ù Lille, rue de l'Arc. lô, en f|•talif.i il>' liqui- dateur de In Société anonyme pour l'exj-loiiation dans lea stfpartc-uiijiits du Nord et -lu Pas-de-CBlaid de .'A.v-M.-m; pur, procédés Raoul Pictat. Mise-à-prix, 15,000 fi«nr<. (Voir les affiches). 3S2.ol,~, U DEPOT : 16, Rue du Curé. ROURAIX m I ihî VIN: COUPAGE... I 0 » « r » 32' • Nar«pr( Ir-ï-i-ij.- W:2B' VINt Raoréae*faj*lf a s U:. IMIEL, lain 4iee.il (dis). AU CORSET ELEGANT Vandorpe-Lava St-63, Ftusaesraancznis JMH'BAIX INCROYABLE!!! A l'occasion des Fêtes, la Maison Vandorpe-U». «il-63, rue des Fabricants, ltoubaix, te jupons moirés de tontes M.^ces a u j , ^ 4 ,,; 9 5 irlices salant 6 fr. ÛO et K Ir. 50 C'est la aeute maison possé- dant cet article. ÉTABLISSEMENTS CAMBIER Bacièté Anonyme au Capital de CMMHAIOW CINQ CKMT MILLE Pm.vre Siège Social * Parii, 4, avenue Cflrnot ; Siège d'exploitation à LILLE-SAINT MAURICE (Nord) ; 139, m e du Faubourg de-Roubaii Dal •• J»»,lrr u 7 l'rjvrler ISOl VENTE PUBLIQUE de 1,200 OBLIGATIONS 5 ./' au prix do 480 francs remboursables par 5 O O francs Intorôls payables les 15 Mai et 15 Novembre. IM:IP:RJ.:»V£EÏÎS,J:B5 r>H3 CAMBIER, ù la demandée à Paris BER10T, Camille, Vice-Président, nie du Long Pot, à Fives-Lille; JONVLLLE, Edmond, boulevard de Paris, à Roubaix; LEVANT. Georges, avenue de Neuillv (Villa d Orléans), .Wnillv-su Les demandes sont reçues chez tous las Bauqui t Changeurs de la région. SU FI EAUX t ROUBAIX, 65, Rue des FaHHeaurts, 6S TOBBCOIHG,53, Ru Verte, 53 TYPOGRAPHIE - LITHOGRAPHIE - GRAVURE Spécialité d'Affiches en tous Genres LETTRES MORTUAIRES & D'OBITS Donnant Droit ù CIHSEltTION GRA TUITE tant /'« A otntr de Roubaix- Tourcoing » •c^vU-r^vs^v^-rst tien le panure peur moi ANNUAIRES BAVET-AICEAD I.Arrond- d'Avesues.. «.Ville d'Armenlières. } &• Cambrai. î SI Hafurwclt. | 35 Valcncieanes I " a'do Pas-de-Calais I nuairedi ' talion (Bi e MindU-perte t Valenciennes | JS iPaa-rte-Calali 44. ÂnnuairedorExpor- r. Rsqnrrnelu, l BONGÉNIEDELILLE I îfeMONIHURl X «I-MODE 2 BIÇMIIIES BATARD h S lui - 1 -I. tï' 3 S - £ ! I - 11 l! a. ;l 1 «S . ; *ii S .3 ,U1- J- _J". ûti'ERISON RADICALE RHUMATISMES. GO» ^ PHOTOGRAPHIE ELKAN T-4, Rue rellart. KOl'It.VIX PREMIÈRETCOMMUNIONS Portraits très soignés depuis 5fr. la douzaine Portraits Artistiques a l O fr. avec une MAGNIFIQUE PEINTURE A L'HUILE SDR BOIS 4, Rue du 7 1 m KmÉi mi lnntniii.1 VENTÏA¥ÉDIT Mm à tout Client recommençant un nouveau compte SAISON D'HIVER. - Immenses ehoix do V6ioments d'Hoinrus, Dames et Entants, tau: faits, et de Drupi.Ties et Tissus fantaUi-.' Hante Nouveauff'- on h>\\- iz^nve-i pour Vêtements sur mesure. (Coupe et I-'acon irré- prochabtei.) J^ubricfue «lo >Î<MI1*IOM. _ Meubli.--- su:' commandes. Moiiiiiors en tous genres et Literies compotes. Livraisons discrètes franco îa <lo- micîle pa: ia voiture de i'AùiûiuisM'aticn. Le Voyage entlor est â-eui- botii-»»é a tout aciioteur venant à Lillo. SEULS REPRÉSENTANTS A Houbaix : M. TRÉFUEft, 1(Krue du Collège. ATourcoini: : M. LOKILUN. 24, r u e d e Gtad. A Croix : M. BROCART, 101. rue Kléber. O « . T e l n e t M. Charles POLACK 5G, l'iieulnkcrmiiun, ROUBAIX 9, rue du Priez, LILLE Visible tous les Mard s sf Vendredi D r a h e n r e s à ô heures ilu soir, & ROril.tIV U CABINET DE LILLE EST OUVERT TOUS LES JOURS VI. POLACK so rend à domicile sur demande IKAISMHV J>K CX>5tnAJrCB ^W CAPSULES de. Quinine de Pelletier plus facile- général les î les et paludéennes. In lus.-rlude. ù wanqut d'énergie, te thumatume, lu goutte. Ut maux de mat, sont tributaires de cet hfroï<[ue médicament. CîfBCAPHiE S » plusariive qu'un grand n r r e de quinquina. 1^,^ _ Eiigtrtl nom nUETIfR luietmtUtCepittk. ^| i Ir. le gramme en 10 Capsule*- ^r ,..,„.-, las Pharmacies. y p vtliMtit tout les Samadii 20 PAGES SS» 5 LE ruas ANtatNrrupus «Tisnoee m DES JOURNAUX DE MODES CONTIENT, ' " ' ' nUSDEHOMlESrlOUVtAUX *i PLUS DC TRAW.UXA INMUl W PLUS DE LrrrtRATuiu; À PLUS DE KECETTES DC ClIISHS L PLUS DE RINSEIONEMENTS T ijlJjJUCUN AUTRE *l 3 MOIS : 4 trauo —UN AN : U Irancs W ED1TWB i : coalaaint umCramrr coloriée M f. UD Patron décoape dans Its S', 3* et 4* •". L. 3 MOIS : » Ir. 80 - UN AN : 28 Iranca ÀBIL G0UB4UD, Ùittsr,3,r.du4-Septewbre M CAISSE INDUSTRIELLE DE LILLE 1, rue des Sept-Agaches (pnt li Graidila» nUS-jarw) TOUS ORDRES DE BOURSE sur les marchés de Par», Lille, Lyon, Londres, Bruxelles, e'c, CtsrUaju du ttnpliut | Marché officiel, 1 fr par mille de capital »f «iln HUI».I ( Marché en banque, 0,50 - Renscignemcnf* et Hvdt* dr>rumcnti>es sur toutes t^feurs •hutnèllcset autrrs.aiirrfsfis gratuitement nttrdrmaude. • a CIRCULAIRE HEBDOMADAIRE de la CAISSE INDUSTRIELLE DE LILLE, pami35a.it tous les rnrrcredis, est envoyée, à litre d'essai, i toute personne qui ta fait la demande rrftî Rdubatr-Taurccing 1M Course aux Mi« ROMAN NOUVEAU Pierre SALEIS Mùs, le m.Un raém, debJter, elle Mt, — co Johannesburg, du reste, jour où el.e démit : toute la ville ds stirpriie eitraordi- DEL'XIËHi: PAKT1E p e Tavaiefit ils pas Ait a Tant lui. «ai, h Londres,fcAnsttrdata. a B*ri taeaat t Johaaineiburg, proclamais scecs d orgueil. t la au pi- pas, elle, de ces oaifs Bas su te coasictérait nullement cornai! une pwsss)ne estraeroiaiire, et son ferme petit bin •cas l'empeciiait de jamais prendre au aérieus cette qmlifcaiicHi da • célèbre > qu'on accolait tosmurs à son nom. U e était «ntlement keurenee de rair le me- «es Vacconapasjoer partout, dans cette etittence ••••imiBstac, indépendante, elle avait Kts*j»H ironvé I'MMI de i unique cnigria de sa Bt, Ici, son bonbsur sa doublait de la joie de •M père, im regain de jeunesse qui avait suivi S** •noces imprévu an drqae Jshn Carter. . Cssa rsiariaii u «Mènent, inévitable hélas! • J l t H * " * * * * pars ésaraét prendre née invs- £ile venait d'acheter sa toilette, et Ca»im!r pénétrait dans sa clutrjbre. le rhapeau tig^rt* ine;it casse assiette, son premier cigire s la Lui, ét-'il allé chercher ses jo-ireaux, ces bons journaux, qui. deuuis une s-moiun peu ça. t MARIQUIT.V qu'on aurait pu I - Et tout cela pour toi, petite f... Hein f... s t . . . Ça marcbe-t-il ? Vraiment. John Carter te chauffe ton sucées... M&riquita troncs légèrement tes sourcils et dit: C'est trop... c'est trop. pèrt,^,Cela ie- ient absurde... Que veui-tu quoo puisse ra- conter sur moi pendant tant de colonnes? Eh I Lis le, t Bt Casimir, avec la confiance d'un homme que rien n'a jamais étonné. * Les ss-tu lues, t«i T Non. Puisque jn t'apporte lea journaux pour que nous lea Hsiawa ensemble 1 Le visage plutôt eaanyè, MariajuiU, tout ea ••linart d'agrafer asa corsage, se pencha sur le journal que Caaiaanr tmnit tout étalé devant sa aj| pti pMUtMMt; - Mor ch'ri.™, - Hein -m> lion a -Ah! me tu te 1 'I...Q10: il n'oit p> 0! d>dan • :,... çuo le r,. l'a M r, , tutti , dira nie n?. ptre quïs- . l'ns Et il retournait le journal, mail lire, le brandissait l'arieusement, partir en bataille. Mariquita le calma en risnt : Eh. mon oapi, est-ce que ce riqoita n'est qu'à moi ?... Nous sauriens bien s'il 7 a L ici uni t artiste. Cest que 1 C'est tout boum heur, père : aftst tout bonnement nom qo'on de donner à un-î mine d'or... Une mine d'or V.. . Ma ri q ai ta T... On a dooné ton nom É f... Voyons, toyons... Kl cette coïncidence abasourdissait Casimir ; Mariquita, quoique affectant beaucoup de légèreté, de gaieté, en était, au fond, assez im- Et Casimir répétait : TMnom*... On a donné ton soin à ?... Ça. par exempte, c'est trop fort 1 Cependant 11 s'asseyait devant la t nb -, com- mençait de parcourir l'énorme article et sa stu- péfaction grandit encore. Mais tsia-tu que t'est faoïeai Trabcn- w a T . . . Mais c'est taoui, inouï, petite 1 Mariquita avoua : Cest une coïncidence su moins étrange! Et, penches taus les J dévorèrent l'article qj -ésoltatsdec Jnhsnneshurg. nQn les péri- iionoait tout t de Trebor- discutait impré puissant, presque un inviolable. D« reste, eam droit avait été reeesua séance teoute par les autorité* UaMsiilianansl ; Mt Qu'est-ce çué© lefëhapirognph? Le c n a i ' Mli,ll< atui •ptj .pour tn> Gnapirofirapn prtu t> ïeavover penaaut t> )w - MBuanasat . , , 1 i . ; . ' . . •. : iai fle réesTpeoiÛon' tHE CHA PIROGRAPHi Co'LW"V. Plaee et la Bourse, Parla. 11 mm ixi r* /iy :lîl ï'ï!lli-*5Slal #3F 3 i i ea ?c8eM!i E - P r> 22 E tji ; 3 S:Ï=|S 2 H «i illî^!l-]ll£jt:"' 0 5P_ .r3S5 h LIEBIG LIEBIG LIEBIG LIEBIG Véritable Extrait de Viande [ IEBIG INDISPENSABLE dans toute bonne cuisine, peur préparer et améliorer potages, sauces, légumes, ragoûts, etc. papiers étaient parfaitement possession parfaitement indiscutable. Et les compagnies, qui s'attendaient a parer de tout le terrain, n'avaient plus q gociers triomphe de Georges Treborsoo, occupait sieurs colonnes, et le nom de Mariquit était pas encore imprimé. faites sur le beau gymsatiarque pour lui ache- ter sa conquête. Mais Treborsoo avait montré une superbe énergie, ex<fé cent mille livres sterling, alors qu'on lui ea offrait dix mille, puis vingt, puis trente... Il était demeuré toute une journée inébran- lable devant toutes les propositions, même lui offrir la somme réellement énorme de deux millions de frsncs pour les quelques milliers de terrain qu'il devait à ton audace et aux jarrets de cas chevaux, Georges Trabortan, encore plus intrai- table que la veille, irait répondu iranqaillemen : qui m'appartiennent je fsis 1 mine, je trouverai les capitaux necesssii et cette mine, dont je veux faire la raine mines d'or, s'appellera LA M.MHfjt'iT*. Arrivés a ce point du récit, Mariquita et père cassèrent de lire. Leurs jeux se brouillaient, leur gorgé se 1 Eh quoi I il existait t quelques jsnrnéei ent déjà, c'est- à-dire beaucoup de rocaille entrecoupé* é* bina pauvres pâturages... £1 ee terrain ratant ans ' ippaiait Mariassta. ïitrage, était ce Georges Treborson, que C si r avait inopinément suppléé le soir da rriTée a Johannesburg t Petite, petite t a'écria Casimir, il y 1 quoique chose d'extraordinaire. O leique chose qui le grisait, t'a vague sei ent que lui ausii monterait un matin à c ' qu'il courrait devant lui follement, audratt de - Ab î petite, petite ! Si pareille chose nou: Si tout d' millionnaire! Ah f petite, pourrait plus te dédaigner, Était venais la fille d'i petite 1 personne ' ; faire de la peine... pas m-'me... Nais, comm* il prononçait ces derniers nota 1 voix s étrangla dans sa gorge. Sou enthousiasme irréfl-chi l'avait entraîné parler de ehosea qui, pour eux, devaient être lortes, k évoquer le seul chagrin qui iff?! Oh I chérie ! car Ei il M précipitait 1 mander pardon. Ile, était prêt a dé- fi ache- vons notre lecture... Seulement.. Elle le menaça.: ueaûment du doigt Seuiem bnlier. Car elle aussi, an instant un coup de folie, griserie la sensation que, dans ti riquila. il dttait bi pour elle. Mais elle se repeaaaât. Làians lis csnrir après l. n'Us s*n laissont, plus em- in être plus heureux que nous, toi déj pprecié par le pubiic de ton cirque, et roo âis plaire, J'Y compte bien, \ celui de Oui, oui... tu as raison, fit Casimir rede- t sage. Et puis, du reste... rallia bien qu'il se cooso;lt de la décep- [ui suivait son coup de folle espérance de . l'heure et qu'il se prouvai à'lui-même que les choses étaient pour le mieux avec SA 1 te plus dédaigne 1 rat t>u reste, il parait que, dans ce pays, perd les millions au moins aussi vite qu on Jet gagne... Ce n'était donc pas la peine d'essayer d'en gagner. Et qu'avait-il k désirer ? Yavait-il riches»; imparable aux grands veux bleus de sa le, k ces lèvres si fraîche» dont toai les baisers étaient pow lai. à ces bras d'un ai pur dessin qui ae s'etrroutaienl qu'autour de son cou, à cette souple et ferme poitrine qu'il aimait nt à sentir battre sur la sienne ? Et qs'étsit-cs qu'une mine d'or, même una iae a'appeisat h Mariquita, atiprcs c' tas bureaux, soit h la Rourse, an... Attx-vous Uariamiu? •'abordaie U aa»r <U la »t4(u« •, avait aja't MajtXiMtl

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Page 1: I îfeMONIHURl - Bn-R · 2011-05-20 · t la au pi pas, elle, de ces oaifs Bas su te coasictérait nullement cornai! une pwsss)ne estraeroiaiire, et son ferme petit bin •cas l'empeciiait

L'Avenir de Roubaix-Tourcoing • nr*» MT\

sacttTC iniYME laTOÉUSATlON

à eapttal varlaMe SIÈGE A CROIX UodiUcttion de Société

OFFRES DEMANDES

D'EMPLOIS

S«»NTE

AVIS DIVERS . . H

Ronbail, lei 16 novembre, 1* •Membre 1900 et 11 Janvier H01, portant cette meolion :

a KÎrtgialrè e Iloubiix , le • eaaai janvier 1801. tolio 79, a e- 14 et suivantes. Hecu huit .(renée vinjt-cioo

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d ' i n c a n d e s c e n c e

SECS&MANCHONS AUER

, Rapporter la galerie t t nnaiûmité des membres m u a . e de ia tiee mckcl

(tablée générale 1 at%in M n o u ï ( l a u m & n eamiaoi de la Société Anonyme iTCTAWGÏUSATION, dont

ses devant ledit M" VAHI loHtet \mi, enregistres e

m» .mu de cette modifications,

porté aui eiété diven notamment celles suivi

La société se soumet

Ka conséquence, le fonda 10 e'inl sera suseeotibie d'augmeo-tation pur des versements sac ««tifs faits par les associés OL par l'admission d'associés non veaux, et de

fois être r duit au des trois cents francs.

Quant kprésenl.tecai riâleai fixée la somme i cents francs, et divisé en douze parts de as francs chacui peut être augmenté sens «elle autorisation de rassemblée générale, jusqu'à concurrent 3'nne somme de Ï.MO franco par rémission de 88 nouvel parts de ï> francs chacune.

Chacun des membres de li nociété ne w u r n èlrî tenu dei «ettes ou engagements de li soeiété que jusou'à concurrent du montant des pari» par lu souscrites ; en conséquence, iei tiers ne pourront exercer leun étD'it» ou poursuites que sui l'actif soci,->!.

La Eoeiêté ne sera point dis state par la mort, la retraile, l'interdiet.cm, la faillite ou la .déconfiture de l'un des associé* : elle continuera de plein droit antre le» aulres essoe.éï.

« Eipéd.t' a été i « 1901 : « justice de ratx des canton: « Eft-O'JCst de Iloubaix, l'autn « au greffe du tribunal de com « merce de ladite fille, a

Pour extrait et mention (Signé) : A. VAHÉ.

EtudedeM-Julc- DF.LMOTTE notaire à Lille,

4? rue du Molinc-l, 42

W A K 0 1 1 H V L • n lieu dit le Petit Co'tign.e.*.

à proximité du eau'il et de lagatedeCfoix-Waï^uebal,

GRAXDE si BELLE

USINE A VENDRE

par adjudication publique. Lan 1901. le LI'NDI 18

I lAHIhW. u im^lM-uresde s'aprés-miùi. eu l'une '1 - s;ilW de la Mairie île Croix, ù la ïequétede M. l>.-,ri.;oi^ Obéis. liquidaUi.r ù Lille, rue de l'Arc. lô, en f|•talif.i il>' liqui­dateur de In Société anonyme pour l'exj-loiiation dans lea stfpartc-uiijiits du Nord et -lu Pas-de-CBlaid de .'A.v-M.-m; pur, procédés Raoul Pictat.

Mise-à-prix, 15,000 fi«nr<. (Voir les affiches). 3S2.ol,~, U

D E P O T :

16, Rue du Curé. ROURAIX

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Raoréae*faj*lf a s U:. IMIEL, lain 4iee.il (dis).

AU CORSET ELEGANT

Vandorpe-Lava St-63, Ftusaesraancznis

J M H ' B A I X

I N C R O Y A B L E ! ! !

A l'occasion des Fêtes, la Maison Vandorpe-U». «il-63, rue des Fabricants, ltoubaix,

te jupons moirés de tontes M.^ces a u j , ^ 4 , , ; 9 5

irlices salant 6 fr. ÛO et K Ir. 50 C'est la aeute maison possé­

dant cet article.

ÉTABLISSEMENTS CAMBIER Bacièté Anonyme au Capital de CM M H A I O W CINQ CKMT M I L L E P m . v r e

Siège Social * Pari i , 4, avenue Cflrnot ; Siège d'exploitation à LILLE-SAINT MAURICE (Nord) ; 139, me du Faubourg de-Roubaii

Dal • • J » » , l r r u 7 l ' r j v r l e r I S O l

VENTE PUBLIQUE de 1,200 OBLIGATIONS 5 ./' au prix do 4 8 0 francs

remboursables par 5 O O francs Intorôls payables les 15 Mai et 15 Novembre.

IM:IP:RJ.:»V£EÏÎS,J:B5 r>H3

CAMBIER, ù la

demandée à Paris

BER10T, Camille, Vice-Président, nie du Long Pot, à Fives-Lille; JONVLLLE, Edmond, boulevard de Paris, à Roubaix; LEVANT. Georges, avenue de Neuillv (Villa d Orléans), .Wnillv-su

Les demandes sont reçues chez tous las Bauqui t Changeurs de la région.

SU FI EAUX t

ROUBAIX, 65, Rue des FaHHeaurts, 6S — TOBBCOIHG, 53, Ru Verte, 53

TYPOGRAPHIE - LITHOGRAPHIE - GRAVURE Spécialité d'Affiches en tous Genres

LETTRES MORTUAIRES & D'OBITS Donnant Droit ù CIHSEltTION GRA TUITE tant /'« A otntr de Roubaix- Tourcoing »

•c^vU-r^vs^v^-rst tien le panure peur

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ANNUAIRES BAVET-AICEAD

I.Arrond- d'Avesues.. «.Ville d'Armenlières. } &•

Cambrai.

î SI Hafurwclt. | 35 Valcncieanes I "

a'do Pas-de-Calais I nuairedi '

talion (Bi

e MindU-perte t

Valenciennes | JS iPaa-rte-Calali

44. ÂnnuairedorExpor-

r. Rsqnrrnelu, l

BONGÉNIEDELILLE I î f e M O N I H U R l X « I - M O D E 2

BIÇMIIIES BATARD

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PHOTOGRAPHIE ELKAN T-4, R u e r e l l a r t . K O l ' I t . V I X

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Portraits Artistiques a l O fr. avec une

MAGNIFIQUE PEINTURE A L'HUILE SDR BOIS

4, Rue du 7 1 m KmÉi m i lnntniii.1

VENTÏA¥ÉDIT M m à tout Client recommençant un

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O « . T e l n e t

M. Charles POLACK 5 G , l ' i i e u l n k c r m i i u n , ROUBAIX

9 , rue du P r i e z , LILLE

Visible tous les Mard s sf Vendredi Dr a h e n r e s à ô h e u r e s ilu s o i r , & R O r i l . t I V

U CABINET DE LILLE EST OUVERT TOUS LES JOURS

VI. POLACK so rend à domicile sur demande IKAISMHV J>K C X > 5 t n A J r C B

^W CAPSULES

de. Quinine de Pelletier

plus facile-

général les î les

et paludéennes. In lus.-rlude. ù wanqut d'énergie, te thumatume, lu goutte. Ut maux de mat , sont tributaires de cet hfroï<[ue médicament. CîfBCAPHiE S» plusariive qu'un grand nr re de quinquina.

1^,^ _ Eiigtrtl nom nUETIfR luietmtUtCepittk. ^ | i Ir. le gramme en 10 Capsule*- ^r

,..,„.-, las Pharmacies.

y p vtliMtit tout les Samadii

20 PAGES SS» 5 LE ruas ANtatNrrupus «Tisnoee m

DES JOURNAUX DE MODES 1» CONTIENT, ' " ' '

nUSDEHOMlESrlOUVtAUX *i PLUS DC TRAW.UXA INMUl W PLUS DE LrrrtRATuiu; À PLUS DE KECETTES DC ClIISHS L PLUS DE RINSEIONEMENTS T

ijlJjJUCUN AUTRE * l 3 MOIS : 4 trauo — UN AN : U Irancs W ED1TWB i : coalaaint um Cramrr coloriée M f. UD Patron décoape dans Its S', 3* et 4* •". L . 3 MOIS : » Ir. 80 - UN AN : 28 Iranca T» ÀBIL G0UB4UD, Ùittsr,3,r.du4-Septewbre M

CAISSE INDUSTRIELLE DE LILLE 1, rue des Sept-Agaches (pnt li Graidila» nUS-jarw)

T O U S O R D R E S D E B O U R S E sur les marchés de Par», Lille, Lyon, Londres, Bruxelles, e'c, CtsrUaju du ttnpliut | Marché officiel, 1 fr par mille de capital

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Course aux M i « R O M A N N O U V E A U

P i e r r e S A L E I S

M ùs, le m.Un raém, debJter, elle Mt, — co Johannesburg, du reste,

jour où el.e démit : toute la ville ds stirpriie eitraordi-

DEL'XIËHi: PAKT1E

pe Tavaiefit ils pas Ait a Tant lui. «ai, h Londres, fc Ansttrdata. a B*ri taeaat t Johaaineiburg, proclamais

scecs d orgueil.

t la au pi­

pas, elle, de ces oaifs

Bas su te coasictérait nullement cornai! une pwsss)ne estraeroiaiire, et son ferme petit bin •cas l'empeciiait de jamais prendre au aérieus cette qmlifcaiicHi da • célèbre > qu'on accolait tosmurs à son nom.

U e était «ntlement keurenee de rair le me-«es Vacconapasjoer partout, dans cette etittence •••• imiBstac , indépendante, où elle avait Kts*j»H ironvé I 'MMI de i unique cnigria de sa

Bt, Ici, son bonbsur sa doublait de la joie de • M père, im regain de jeunesse qui avait suivi S** •noces imprévu an drqae Jshn Carter. . Cssa rsiariaii u «Mènent, inévitable hélas! • J l t H * " * * * * pars ésaraét prendre née invs-

£ile venait d'acheter sa toilette, et Ca»im!r pénétrait dans sa clutrjbre. le rhapeau tig^rt* ine;it casse assiette, son premier cigire s la

Lui, ét-'il allé chercher ses jo-ireaux, ces bons journaux, qui. deuuis une

s-moiun peu ça.

t MARIQUIT.V qu'on aurait pu I

- Et tout cela pour toi, petite f... Hein f... s t . . . Ça marcbe-t-il ? Vraiment. John

Carter te chauffe ton sucées... M&riquita troncs légèrement tes sourcils et

d i t : — C'est t rop . . . c'est trop. pèrt,^,Cela ie-

ient absurde... Que veui-tu quoo puisse ra­conter sur moi pendant tant de colonnes?

— Eh I Lis le, t Bt Casimir, avec la confiance d'un homme que rien n'a jamais étonné.

* Les ss-tu lues, t«i T — Non. Puisque jn t'apporte lea journaux

pour que nous lea Hsiawa ensemble 1 Le visage plutôt eaanyè, MariajuiU, tout ea

••linart d'agrafer asa corsage, se pencha sur le journal que Caaiaanr tmnit tout étalé devant sa

aj | p t i pMUtMMt;

- Mor ch'ri.™,

- Hein

-m> lion d» a - A h !

me tu te 1 'I...Q10: il n'oit p> 0! là d>dan • :,... çuo

le

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M r, , tutti

, d i ra nie

n?.

ptre

quïs-

. l'ns

Et il retournait le journal, mail lire, le brandissait l'arieusement, partir en bataille.

Mariquita le calma en risnt : — Eh. mon oapi, est-ce que ce

riqoita n'est qu'à moi ?... Nous sauriens bien s'il 7 a L ici uni

t artiste. Cest que 1 C'est tout boum heur, père : aftst tout bonnement lé nom qo'on

de donner à un-î mine d'or... Une mine d'or V.. . Ma ri q ai ta T. . . On a

dooné ton nom É f... Voyons, toyons. . . Kl cette coïncidence abasourdissait Casimir ; Mariquita, quoique affectant beaucoup de

légèreté, de gaieté, en était, au fond, assez im-Et Casimir répétait : — T M nom*.. . On a donné ton soin à ? . . .

Ça. par exempte, c'est trop fort 1 Cependant 11 s'asseyait devant la t nb -, com­

mençait de parcourir l'énorme article et sa stu­péfaction grandit encore.

— Mais tsia-tu que t'est CÎ faoïeai Trabcn-w a T . . . Mais c'est taoui, inouï, petite 1

Mariquita avoua : — Cest une coïncidence su moins étrange! Et, penches taus les J

dévorèrent l'article qj -ésoltatsdec

Jnhsnneshurg.

nQn les péri-

iionoait tout

t de Trebor-discutait •

impré puissant, presque un inviolable.

D« reste, eam droit avait été reeesua séance teoute par les autorité* UaMsiilianansl ; Mt

Qu'est-ce çué© le fëhapirognph ?

Le c n a i ' Mli,ll< atui

•ptj .pour tn>

Gnapirofirapn

prtu t> ïeavover penaaut t> )w - MBuanasat

. , , 1 i . ; . ' . . • . • :

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tHE CHA PIROGRAPHi Co'LW"V. Plaee et la Bourse, Parla.

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papiers étaient parfaitement possession parfaitement indiscutable.

Et les compagnies, qui s'attendaient a parer de tout le terrain, n'avaient plus q gociers

triomphe de Georges Treborsoo, occupait sieurs colonnes, et le nom de Mariquit était pas encore imprimé.

faites sur le beau gymsatiarque pour lui ache­ter sa conquête.

Mais Treborsoo avait montré une superbe énergie, ex<fé cent mille livres sterling, alors qu'on lui ea offrait dix mille, puis vingt, puis trente...

Il était demeuré toute une journée inébran­lable devant toutes les propositions, même

lui offrir la somme réellement énorme de deux millions de frsncs pour les quelques milliers de terrain qu'il devait à ton audace et aux jarrets de cas chevaux, Georges Trabortan, encore plus intrai­table que la veille, irait répondu iranqaillemen :

qui m'appartiennent je fsis 1 mine, — je trouverai les capitaux necesssii — et cette mine, dont je veux faire la raine mines d'or, s'appellera LA M.MHfjt'iT*.

Arrivés a ce point du récit, Mariquita et père cassèrent de lire.

Leurs jeux se brouillaient, leur gorgé se 1

Eh quoi I il existait t quelques jsnrnéei

ent déjà, c'est-à-dire beaucoup de rocaille entrecoupé* é* bina pauvres pâturages... £1 ee terrain ratant ans

' ippaiait Mariassta.

ïitrage, était ce Georges Treborson, que C si r avait aï inopinément suppléé le soir da rriTée a Johannesburg t — Petite, petite t a'écria Casimir, il y 1

quoique chose d'extraordinaire. O leique chose qui le grisait, t'a vague sei ent que lui ausii monterait un matin à c

' qu'il courrait devant lui follement,

audratt de

- Ab î petite, petite ! Si pareille chose nou: Si tout d'

millionnaire! Ah f petite, pourrait plus te dédaigner,

Était venais la fille d'i petite 1 personne ' ; faire de la peine... pas m-'me...

Nais, comm* il prononçait ces derniers nota 1 voix s étrangla dans sa gorge. Sou enthousiasme irréfl-chi l'avait entraîné parler de ehosea qui, pour eux, devaient être

lortes, k évoquer le seul chagrin qui

iff?! — Oh I chérie ! c a r Ei il M précipitait 1

mander pardon.

Ile, était prêt a dé­

fi ache­vons notre lecture... Seulement..

Elle le menaça.: ueaûment du doigt Seuiem

bnlier. Car elle aussi, an instant

un coup de folie, là griserie la sensation que, dans ti riquila. il dttait bi pour elle.

Mais elle se repeaaaât. — Làians lis csnrir après l.

n'Us s*n

laissont, plus em-

in être plus heureux que nous, toi déj pprecié par le pubiic de ton cirque, et roo âis plaire, J'Y compte bien, \ celui de

Oui, oui . . . tu as raison, fit Casimir rede-t sage. Et puis, du reste. . . rallia bien qu'il se cooso;lt de la décep-[ui suivait son coup de folle espérance de . l'heure et qu'il se prouvai à'lui-même

que les choses étaient pour le mieux avec SA

1 te plus dédaigne1 r a t

t>u reste, il parait que, dans ce pays, perd les millions au moins aussi vite qu on

Jet gagne... Ce n'était donc pas la peine d'essayer d'en

gagner. Et qu'avait-il k désirer ? Y avait-il riches»; imparable aux grands veux bleus de sa le, k ces lèvres si fraîche» dont toai les

baisers étaient pow lai. à ces bras d'un ai pur dessin qui ae s'etrroutaienl qu'autour de son cou, à cette souple et ferme poitrine qu'il aimait

nt à sentir battre sur la sienne ? Et qs'étsit-cs qu'une mine d'or, même una iae a'appeisat h Mariquita, atiprcs c'

tas bureaux, soit h la Rourse,

a n . . . Attx-vous Uariamiu?

•'abordaie

U aa»r <U la

» t 4 ( u « • , avait aja't MajtXiMtl